Les résultats de l’étude Discovery sont tombés : c’est une BOMBE

Copie ci-dessous de la lettre « Santé, Corps, Esprit » de Xavier Bazin du 14 octobre 2020

Mise-à-jour du 20 octobre:
La semaine dernière, j’ai frappé fort et, je crois, touché juste.
Je vous disais qu’il était criminel d’avoir arrêté brutalement deux essais clinique français sur l’hydroxychloroquine, alors qu’ils tendaient à montrer l’efficacité de ce médicament.
Eh bien cela n’a pas plus à tout le monde.
L’AFP a pris la peine de publier un article entier pour réfuter mon argumentaire[1].
Voici ce que clame l’AFP, en tête de son article :
« La gestion de Discovery par les autorités sanitaires françaises serait « un scandale », dénonce un article de santé-corps-esprit.com publié le 14 octobre, repris par de nombreuses pages et partagé plus de 7.000 fois sur Facebook.
Parmi les quatre traitements évalués c’est « l’hydroxychloroquine du Pr. Raoult qui obtient les meilleurs résultats », affirme l’article.
Mais, alors que Discovery « était en train de démontrer la supériorité de l’hydroxychloroquine ! », les autorités sanitaires françaises ont interdit d’inclure de nouveaux patients, rendant « statistiquement » contestables ces résultats pourtant « saisissants », accuse-t-il.
« Tout cela est faux », conclut l’AFP.
En réalité, je vais vous démontrer que tout cela est vrai.
Cet article de l’AFP est une grossière manipulation, et je vais vous en donner la preuve.
Pour lire la suite de cette mise-à-jour …

Copie de la lettre initiale du 14 octobre:
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Enfin ! Après des mois d’attente, les conclusions de l’étude Discovery viennent d’être révélées. Discovery est cette grande étude française qui devait trancher une fois pour toutes l’efficacité de plusieurs traitements contre la Covid.
Eh bien les résultats sont enfin tombés, et ils sont saisissants.
Parmi les médicaments testés sur des patients hospitalisés pour Covid-19, c’est l’hydroxychloroquine du Pr Raoult qui obtient les meilleurs résultats.
Oui, il y a moins de morts dans le groupe qui a bénéficié de l’hydroxychloroquine que dans le groupe qui n’en a pas reçu. Il y a aussi plus de patients guéris au bout de 29 jours parmi ceux qui ont reçu l’hydroxychloroquine.
Le seul problème est que ce résultat est peu significatif « statistiquement ». Mais il faut bien comprendre ce que cela veut dire.
Statistiquement, on a plus de chances d’avoir raison que tort en affirmant que l’hydroxychloroquine est efficace. Mais il reste quand même un risque non négligeable (40 %) que ce résultat positif soit dû au hasard. Pour une raison simple : l’étude ne compte pas assez de patients.
Et c’est justement là le scandale. Pour atteindre des résultats « significatifs », au-delà de tout soupçon, il aurait fallu continuer l’étude et intégrer plus de patients. Mais nos autorités sanitaires l’ont interdit ! Le 26 mai dernier, l’Agence du médicament a suspendu cette étude[1] sur l’hydroxychloroquine, sous prétexte que ce médicament était controversé.
A l’époque, j’avais déjà trouvé cette décision invraisemblable. Mais on apprend aujourd’hui que cette décision a été prise alors que l’étude était en train de démontrer la supériorité de l’hydroxychloroquine ! Je ne sais pas si vous vous rendez compte de ce que je suis en train de dire.
On a arrêté une étude, au prétexte que l’hydroxychloroquine était risquée, alors que les patients de cette étude qui prenaient ce médicament avaient de meilleurs résultats que les autres !!!
Cela paraît invraisemblable. Mais il y a encore plus fou :Une autre étude stoppée montrait 50 % de mortalité EN MOINS avec l’hydroxychloroquine ! Une autre étude française, Hycovid, a été stoppée alors qu’elle donnait des résultats encore plus spectaculaires[2] ! Dans cette étude randomisée contre placebo menée à Angers, les malades traités par HCQ étaient 48 % de moins à mourir des suites de la Covid, par rapport au placebo ! Près de 50 % de mortalité en moins !! Certes, comme dans Discovery, le nombre total de patients testés était trop faible pour qu’on puisse avoir un résultat « significatif », sur le plan statistique. Mais c’était une raison impérieuse de continuer l’étude, avec plus de patients, plutôt que de l’arrêter ! Car le signal était clair, positif, et il y avait une probabilité supérieure à la moyenne que l’hydroxychloroquine soit efficace. Et dans tous les cas, les patients traités dans ces études s’en sortaient mieux que les autres, ce qui fait qu’il n’y avait aucune bonne raison de l’arrêter !
Sauf, bien sûr, si l’objectif était de cacher l’efficacité de ce médicament dont le Ministre Olivier Véran a privé les Français ! Je rappelle que c’est le Ministre de la Santé Olivier Véran qui a interdit aux médecins généralistes de prescrire l’hydroxychloroquine le 27 mars, en pleine épidémie. C’est aussi Olivier Véran qui a interdit de prescrire l’hydroxychloroquine à l’hôpital, sauf exception. Donc si deux mois plus tard, une étude venait prouver que l’hydroxychloroquine est efficace, vous vous rendez compte des conséquences ?
Même si l’hydroxychloroquine a une efficacité minime, même si elle ne réduit la mortalité que de 5 %, son utilisation aurait sauvé plus de 1 000 personnes en France. Cela fait au moins 1 000 morts sur la conscience du Ministre.
Les autorités de santé ont-elles essayé de « sauver le soldat Véran » ? A-t-on volontairement arrêté des études, pour éviter qu’elles ne révèlent au grand jour l’efficacité du traitement du Pr Raoult ? Pour moi, la réponse est clairement « oui ».
Car 10 jours seulement après la décision de suspendre Discovery, l’INSERM a appelé à reprendre l’essai clinique, dans un communiqué intitulé : « L’hydroxychloroquine pourra être réintroduite dans Discovery après le feu vert des autorités compétentes »[3]. Mais les « autorités compétentes » n’ont jamais donné leur feu vert. Alors que Discovery pointait vers un résultat bénéfique de l’hydroxychloroquine. Alors que Hycovid était en passe de prouver un résultat spectaculaire sur la mortalité. Pour moi, c’est ce que les Américains appellent un « smoking gun », un pistolet fumant. Si vous trouvez un pistolet fumant dans les mains d’un homme, à deux pas d’un cadavre criblé de balles, c’est probablement lui le coupable. Le Pr Raoult ne s’y est pas trompé, en posant clairement la question :« Pourquoi avoir arrêté l’hydroxychloroquine, seul traitement efficace à 29 jours ? (non-significatif car pas assez d’inclusions) Discovery tend à montrer l’efficacité de l’HCQ sur la mortalité ! »[4]
Clairement, il y a eu une attitude criminelle de nos autorités de santé. Et si vous reprenez l’affaire chloroquine depuis le début, tout commence à s’éclairer. Toutes les pièces du puzzle s’assemblent parfaitement.

Lisez bien ce qui suit – mais je vous préviens, la vérité n’est pas belle à voir : Souvenez-vous: au départ Discovery n’avait même PAS prévu de tester l’hydroxychloroquine ! Je rappelle que l’étude Discovery a été conçue contre la science et l’intérêt des malades, dès le départ. Car les auteurs de l’étude avaient décidé de ne pas tester l’hydroxychloroquine. C’est invraisemblable, car à ce moment-là, début mars, c’était clairement la molécule la plus prometteuse contre la Covid. Pas parce que le Pr Raoult en avait parlé dans une vidéo. Mais parce que tous les éléments scientifiques pointaient vers une possible efficacité contre la Covid ! Déjà en 2005, la chloroquine avait montré une nette efficacité in vitro contre le SRAS (SARS-coV), un coronavirus très proche du nouveau SARS-coV-2[5]. En 2017, la chloroquine a aussi montré une activité in vitro contre le MERS (MERS-coV), l’autre coronavirus qui cause des détresses respiratoires[6]. Trois ans avant la crise actuelle, la conclusion des chercheurs était claire :« En résumé, la chloroquine a un potentiel à large spectre pour traiter les infections à MERS-CoV et SARS-CoV. La chloroquine a de nombreux avantages et pourrait être un excellent candidat pour un traitement combiné à d’autres antiviraux. L’hydroxychloroquine, un dérivé de la chloroquine, pourrait être une alternative en raison de sa moindre toxicité et de son profil pharmacologique similaire ». Voilà pourquoi, en janvier 2020, la chloroquine a été testée en priorité par les Chinois. Et dès le mois de février, une étude a confirmé que l’hydroxychloroquine et la chloroquine sont efficaces contre le nouveau coronavirus SARS-coV-2, in vitro. Mais surtout, quelques jours après, les Chinois ont annoncé que la chloroquine a une efficacité sur des malades, sur la base d’essais cliniques. C’était même un des plus grands virologues au monde, le Dr Zhong, grand spécialiste du SRAS, qui l’a confirmé publiquement, le 21 février :« A mon avis, le phosphate de chloroquine n’est pas un médicament miracle contre la Covid-19, mais il est efficace sur la maladie. Et il a un grand avantage, ainsi que tous les remèdes de la médecine chinoise traditionnelle (MCT), c’est qu’ils sont inoffensifs. C’est leur principal avantage »[7]Je précise que le Dr Zhong est l’équivalent du Dr Antony Fauci aux États-Unis : c’est le spécialiste en virologie que les Chinois respectent le plus[8]. Donc, l’hydroxychloroquine était clairement le remède le plus prometteur à ce moment-là. Surtout que ce médicament avait énormément d’avantages pour contrer cette nouvelle pandémie :
1. L’hydroxychloroquine est un médicament facile à fabriquer et déjà produit massivement par de nombreux laboratoires dans le monde : il était donc possible de fournir aux malades du monde entier des milliards de doses dès le mois de mars ;
2. C’est une molécule ancienne, avalée par des centaines de millions de patients depuis une cinquantaine d’années : non seulement c’était un des médicaments les plus sûrs au monde, mais on connaissait parfaitement ses rares effets indésirables, ses éventuelles interactions et les moyens de les éviter.
3. C’est un médicament qui se prend par voie orale : il peut donc être prescrit par un médecin généraliste et avalé par le patient chez lui, dès les premiers symptômes, ce qui est crucial pour bénéficier de son potentiel effet anti-viral;
4. Et pour ne rien gâcher, ce médicament ne coûte presque rien, à peine 5 euros la boîte.
Les auteurs de l’étude Discovery savaient tout cela, bien sûr. Mais le 11 mars, ils ont décidé d’écarter l’hydroxychloroquine de leur étude. A la place, ils ont préféré tester en priorité un autre médicament, le remdésivir. Certes, ce nouveau médicament avait lui aussi montré une efficacité in vitro. Mais contrairement à la chloroquine, les scientifiques chinois n’avaient constaté aucune efficacité sur leurs patients. Pire, le remdésivir présentait des inconvénients évidents et énormes:
1. Le remdésivir n’était pas un médicament commercialisé : il n’avait encore jamais été mis sur le marché, et le laboratoire Gilead n’avait pas la capacité de le produire en quantité suffisante en plein cœur de l’épidémie (mars-avril-mai), pour soigner des centaines de milliers de patients ;
2. Comme c’était un médicament nouveau, on n’avait aucun recul sur ses effets indésirables – les résultats des essais cliniques étaient même plutôt inquiétants, avec une toxicité avérée pour les reins ;
3. Le remdésivir est un médicament qui est injecté en intraveineuse : il ne peut donc être administré qu’à l’hôpital, donc au moins 7 à 10 jours après l’infection, alors qu’on sait que les anti-viraux ne fonctionnent vraiment qu’au début d’une infection.
4. Et pour couronner le tout, le remdésivir était annoncé à plusieurs milliers d’euros le traitement, un prix exorbitant.

Vous le voyez : début mars, il n’y avait pas photo entre le remdésivir et l’hydroxychloroquine. Avec l’hydroxychloroquine, on avait un traitement très sûr, immédiatement disponible partout dans le monde, que l’on pouvait prendre dès les premiers symptômes… et qui avait montré son efficacité, non seulement in vitro mais aussi in vivo, chez des vrais malades, par au moins une étude chinoise, randomisée et en double aveugle.
Et pourtant, le 11 mars, on apprend que le grand essai clinique français Discovery ne testera pas l’hydroxychloroquine. Il a fallu la pression du Pr Raoult et de l’opinion publique pour que les chercheurs de Discovery reviennent sur cette décision et finissent par intégrer l’hydroxychloroquine ! Vous le voyez : les dés étaient pipés, dès le départ, contre ce médicament peu coûteux.
Mais ce qui s’est passé après est encore plus grave :
L’étude Discovery a été stoppée sur la base d’une étude BIDON ! Fin mars, les autorités ont déclaré qu’il ne fallait pas traiter les patients, tant qu’on n’avait pas les résultats de Discovery. Et on nous a promis que ces résultats allaient arriver très vite. D’abord, on nous a annoncé des résultats pour début avril[9]. Puis pour fin avril[10], donc à la fin du pic épidémique, quand c’était trop tard. Et en septembre, on n’avait toujours pas les résultats.
Mais entre-temps, il s’est produit un des plus grands scandales scientifiques de l’histoire. Je parle de la fameuse étude parue dans la revue The Lancet, le 22 mai.
Cette étude retentissante concluait que l’hydroxychloroquine était inefficace et dangereuse : à en croire ses auteurs, ce médicament pourrait tuer 10 à 30 % des patients atteints de Covid. Problème: la revue The Lancet a beau être une revue prestigieuse, il était évident dès le début que l’étude était faussée. Le Pr Raoult l’a tout de suite vu, et l’a dit haut et fort dans les médias. Moi-même, modeste Xavier Bazin, je vous écrivais le 26 mai « Je vais vous démontrer pourquoi on ne peut pas croire un mot à l’étude récente du Lancet » (vous pouvez voir mes arguments ici)
Et nous avions raison : le 4 juin, la revue The Lancet a dû rétracter l’étude, reconnaissant qu’elle était probablement frauduleuse. Mais entre-temps, cette étude bidonnée a fait des dégâts effroyables, avec l’arrêt du traitement par hydroxychloroquine dans de nombreux pays du monde.
En France, le Ministre de la Santé Olivier Véran a sauté sur l’occasion pour demander au « Haut Conseil » de revoir ses recommandations sur l’hydroxychloroquine. Et dans la foulée, les études cliniques françaises sur l’hydroxychloroquine ont toutes été arrêtées, les unes après les autres, notamment Discovery et Hycovid. On a aussi suspendu Covidoc, qui était la seule étude au monde à tester entièrement le protocole Raoult, c’est à dire hydroxychloroquine + azythromicine de façon précoce.
Sur le coup, le responsable de l’étude Covidoc et patron du service des maladies infectieuses du CHU de Montpellier s’en était ému dans la presse :« Lundi 25 mai, j’ai reçu un mail de l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), et j’ai suspendu immédiatement les essais. Si on en reste là, on n’aura pas de réponse sur l’intérêt du traitement. L’étude du Lancet est un « assassinat » en règle. »[11]
En effet, l’étude du Lancet était criminelle. Et j’ose le dire, elle a très probablement été conçue pour cela : pour torpiller l’hydroxychloroquine. C’était le moyen idéal de tuer définitivement ce traitement prometteur, qui avait l’inconvénient de faire de l’ombre au remdésivir à 2000 euros, et aux vaccins à venir. C’était un assassinat mondial : aux États-Unis aussi, l’étude du Lancet a servi de prétexte pour arrêter le seul grand essai clinique qui s’apprêtait à tester le protocole Raoult sur plus de 2 000 patients.
Mais c’est en France que le scandale est le plus manifeste. Car en France, on a osé stopper des études qui montraient un impact bénéfique de l’hydroxychloroquine. Sur la base de chiffre frauduleux publiés dans The Lancet, on a stoppé des essais cliniques qui étaient en train de prouver l’efficacité du traitement du Pr Raoult !
Alors, qui est coupable ? Qui est derrière cette machination contre l’hydroxychloroquine ?
Pour répondre à cette question, regardez bien cette succession de décisions absurdes et criminelles contre ce médicament :
Début mars, l’hydroxychloroquine est écartée de la grande étude Discovery;
Fin mars, la France interdit aux médecins de donner l’hydroxychloroquine aux malades, alors que c’était un médicament sûr et prometteur ;
Fin mai, une revue prestigieuse publie une étude manifestement frauduleuse, qui conclut à une mortalité invraisemblable de l’hydroxychloroquine ;
Dans la foulée, la France suspend tous les essais cliniques sur ce médicament, alors qu’ils montraient un effet bénéfique sur les patients traités ;
Et en juin, même après la rétractation de l’étude du Lancet, aucune de ces études n’est relancée, parce qu’elles risquaient de prouver l’efficacité du protocole Raoult.
Qui est capable de faire ceci, à l’échelle mondiale, sinon des intérêts puissants et organisés ? Dans cette affaire, Olivier Véran et l’ANSM sont coupables, mais ils ne sont que des vulgaires exécutants d’intérêts qui les dépassent. Pour mieux comprendre le fond de cette affaire, je vous renvoie à ma lettre sur la puissance tentaculaire du laboratoire Gilead et de Big Pharma sur la science française et mondiale[12].
Mais je dois l’avouer : la situation est encore plus grave que ce que j’imaginais. Avant cette crise sanitaire, je croyais tout connaître des manœuvres des grands laboratoires pharmaceutiques contre la santé publique et je vous en ai souvent parlé. Mais jamais je n’aurais imaginé qu’ils pourraient fabriquer de toutes pièces une étude frauduleuse pour faire croire qu’un médicament est dangereux, et qu’ils réussiraient à la publier dans The Lancet. Et surtout, jamais je n’aurais pensé que des autorités françaises oseraient arrêter des études favorables à un médicament, en pleine crise sanitaire, alors que ce médicament aurait pu sauver des vies. Et pourtant, c’est ce qui s’est passé.
Interviewé sur CNews, le Pr Raoult a fait un appel solennel aux médias :« Je fais appel aux journalistes d’investigation, je voudrais bien savoir pourquoi les deux essais comparatifs avec l’hydroxychloroquine faits dans ce pays, Discovery et l’essai fait à Angers (Hycovid) ont été arrêtés prématurément tous les deux, alors que l’hydroxychloroquine donnait des résultats supérieurs au placebo. Je voudrais bien que des journalistes d’investigation interrogent les gens responsables de ces essais pour leur dire : comment se fait-il que vous les ayez arrêtées, quel est le rationnel scientifique, alors que les résultats préliminaires sont en faveur de l’hydroxychloroquine ? »[13]
Mais à ce jour, aucun grand média ne s’est emparé de cette affaire.
Alors je compte sur vous : transférez cette lettre à tous vos contacts, c’est VITAL. Nous devons nous unir pour révéler au grand jour ce scandale sanitaire sans précédent. Toutes les preuves sont là : on a cherché à assassiner le protocole Raoult.
Et le résultat, c’est que des milliers de patients sont morts, alors qu’ils auraient dû rester en vie.
Bonne santé,
Xavier Bazin

SOURCES:

[1] https://www.20minutes.fr/sante/2786731-20200526-coronavirus-fin-essais-cliniques-hydroxychloroquine-sonne-glas-essai-discovery

[2] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.09.16.20194571v1.full.pdf

[3] https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:RV1GkBvBH0cJ:https://presse.inserm.fr/lhydroxychloroquine-pourra-etre-reintroduite-dans-discovery-apres-le-feu-vert-des-autorites-competentes/39700/+&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=ch

[4] https://twitter.com/raoult_didier/status/1313509242167529472

[5]https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1232869/

[6] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5733787/

[7] https://www.les-crises.fr/les-mensonges-de-didier-raoult-pour-promouvoir-la-chloroquine-et-faire-oublier-le-reste/

[8] https://edition.cnn.com/videos/world/2020/05/19/chinas-dr-fauci-zhong-nanshan-coronavirus-intv-culver-pkg-2-intl-hnk-vpx.cnn

[9] https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/coronavirus-ce-quil-faut-savoir-sur-lessai-discovery-1191717

[10] https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-les-premiers-resultats-de-l-essai-discovery-ne-sont-pas-attendus-avant-fin-avril-08-04-2020-8296287.php

[11] https://www.midilibre.fr/2020/05/27/professeur-jacques-reynes-on-naura-pas-de-reponse-sur-linteret-de-lhydroxychloroquine,8905173.php

[12] https://www.sante-corps-esprit.com/leffroyable-puissance-tentaculaire-de-gilead/

[13] https://planetes360.fr/didier-raoult-je-voudrais-bien-que-des-journalistes-dinvestigations-interrogent-les-gens-responsables-de-ces-essais/

Dans le monde entier, on reconnaît l’intérêt du protocole Raoult

Cher(e) ami(e) de la Santé,En France, la chasse à l’homme est lancée :
Une association d’infectiologues a porté plainte contre le Pr Raoult auprès de l’Ordre des médecins. Cette association a touché plus de 600 000 euros de l’industrie pharmaceutique en 3 ans[1], et son président a été photographié avec un ruban « Gilead » autour du cou ;
Le Dr Vidal, président d’une association connue pour son combat anti-homéopathie, a déclaré publiquement « Le Pr Raoult devrait être interdit d’exercice» (dans la même interview, il fustige les « charlatans » qui recommandent des jus de légumes et des jeûnes…)[2] ;
Le Pr Philippe Sansonetti, grand pape de la vaccination sans esprit critique, fustige sur Europe 1 l’attitude « complotiste et populiste » du Pr Raoult[3].
Pourquoi un tel acharnement ?
Il y a deux raisons.
D’abord, les succès du Pr Raoult jettent une lumière crue sur les échecs lamentables de nos autorités politiques et sanitaires : En mars et avril, quand le Ministre Olivier Véran disait qu’il ne servait à rien de tester massivement, le Pr Raoult et son IHU de Marseille étaient les seuls en France à faire suffisamment de tests, une stratégie payante recommandée aujourd’hui par le même Olivier Véran !
Dès le début, le Pr Raoult s’est montré très critique envers le confinement extrémiste imposé en France en mars-avril… et l’histoire est en train de lui donner raison : la Suisse s’en est mieux sortie avec un confinement « light », et la Suède qui a refusé de confiner semble s’être définitivement débarrassée de l’épidémie !
Alors que le gouvernement n’a cessé de chercher à faire peur, le Pr Raoult passe son temps à rassurer les Français, avec une analyse raisonnable de la situation – il a montré qu’il n’y a pas eu plus de morts à Marseille en 2020 qu’en 2018… ce n’était donc pas une pandémie apocalyptique !
Sur les masques, le Pr Raoult demande de raison garder : à ce jour, il n’y a aucune preuve scientifique en faveur du masque obligatoire généralisé, et on sait que le port du masque est franchement absurde dans la rue, sur la plage ou à moto !
Même prudence raisonnable sur les vaccins anti-Covid : le Pr Raoult a dit dès le départ que c’était un « défi idiot », puisqu’on n’a jamais réussi à faire un vaccin efficace et sûr contre un coronavirus, et dans le meilleur des cas, le vaccin arrivera quand l’épidémie sera terminée. Avec les vaccins on touche à la cause profonde de la détestation du Pr Raoult par l’establishment. La vérité, c’est que le Pr Raoult met en danger les profits de l’industrie pharmaceutique. Car le Pr Raoult est un des très rares « grands pontes » à être 100 % indépendant de Big Pharma. Son IHU est entièrement financé par de l’argent public. de toute façon, le Pr Raoult n’a jamais été intéressé par l’argent : il vit avec sa femme dans une habitation modeste. Ce qui le passionne, c’est la science, la médecine, et la vérité. Attention : cela ne veut pas dire qu’il a raison sur tout, tout le temps. Mais c’est un grand médecin qui n’est pas lié aux pouvoirs de l’argent, et sa parole est précieuse. C’est parce qu’il est indépendant qu’il a recommandé des molécules peu coûteuses contre la Covid, comme l’hydroxychloroquine et l’azithromycine. C’est courageux, car il y a une omerta hallucinante contre les remèdes anciens efficaces contre le virus. On n’en parle pas dans les médias, mais de nombreuses molécules naturelles sont en train de faire la preuve de leur grande efficacité : c’est le cas en particulier de la vitamine D[4], mais aussi du zinc[5] – le zinc faisant d’ailleurs partie du protocole Raoult[6]. Des chercheurs indépendants aux États-Unis et en Afrique ont montré l’énorme intérêt de médicaments anciens, comme l’ivermectine[7] (si vous n’en avez pas entendu parler, c’est normal, aucun labo ne gagne quoi que ce soit à en faire la promotion, mais cette molécule est active contre la Covid et utilisée dans plusieurs pays). Et puis, bien sûr, il y a l’hydroxychloroquine, la molécule préférée du Pr Raoult. Ce médicament à 5 euros est la bête noire de l’industrie pharmaceutique depuis le début. Je vous ai montré dans mes précédentes lettres : Comment des autorités de santé, des grands scientifiques et des journaux médicaux réputés ont essayé de faire croire que c’est un « poison mortel », alors que c’est un des médicaments les plus sûrs au monde[8], avalé par des centaines de millions de patients.
Et comment la vérité scientifique sur son efficacité a été masquée par des études manipulées et par une omerta totale sur les nombreuses études favorables[9]. Personne ne prétend que l’hydroxychloroquine est un « médicament miracle », qui marcherait à tous les coups. Mais il existe aujourd’hui un nombre incroyable d’éléments qui pointent vers une efficacité certaine. Je voudrais les partager avec vous, car ils prouvent à quel point la guerre contre ce médicament relève de la folie furieuse. Un traitement utilisé dans le monde entier… avec succès ! D’abord, il faut couper le cou au préjugé selon lequel le Professeur barbu de Marseille serait le seul médecin au monde à proposer ce médicament. Les deux pays les plus peuplés au monde, l’Inde et la Chine, utilisent largement ce médicament. La Chine a récemment mis à jour ses recommandations contre la Covid-19. Or parmi les nombreux traitements recommandés officiellement, on trouve bien la chloroquine (qui a un atome d’oxygène de différence avec l’hydroxychloroquine)[10]. Quant à l’Inde, elle utilise massivement l’hydroxychloroquine, à la fois en traitement[11] et en prévention (donc pour des personnes qui ne sont ni malades, ni testées positives Covid[12]). Et il y a beaucoup d’autres pays qui utilisent largement ce médicament : l’Indonésie, la Turquie, le Brésil, la Russie, Israël, la Grèce, le Costa Rica, le Panama, l’Algérie, le Maroc, le Sénégal, etc. Et aucun de ces pays n’a eu à s’en plaindre, bien au contraire ! Le Sénégal est aujourd’hui cité en exemple pour sa gestion de la Covid[13]… et c’est un des pays qui utilise le plus l’hydroxychloroquine (peut-être parce que le Pr Raoult y est né !). Le Ministre de la Santé de l’Algérie s’est récemment félicité des excellents résultats de l’usage massif de la chloroquine, décidé dès le mois de mars[14]. Au total, des chercheurs indépendants ont fait le calcul : sur 1,8 milliards de personnes dans différents pays au monde, ceux qui habitent dans les pays où la prescription d’hydroxychloroquine a été encouragée à des stades précoces ont subi 76 % de mortalité en moins que les habitants des pays qui l’ont interdit ou boudé[15]. Bien sûr, ce n’est pas une preuve, car il peut y avoir beaucoup d’autres raisons qui expliquent cette différence. Par exemple, ce sont principalement des pays en développement (moins influencés par Big Pharma) qui ont recommandé la chloroquine – or ce sont des pays où il y a moins de personnes âgées, moins d’hypertension et de diabète que dans les pays occidentaux. Mais si l’on y regarde de plus près, les « coïncidences » en faveur de l’hydroxychloroquine sont très nombreuses. Prenez la Grèce : avec une population très âgée et plus de la moitié de ses habitants en surpoids, on aurait pu s’attendre au pire[16]. Mais dès le début de l’épidémie, le pays a commandé 5 tonnes de chloroquine et l’a utilisée massivement, à l’hôpital et en ville[17]. Résultat : en juin, la Grèce faisait partie des pays les moins touchés par la mortalité Covid, et sa gestion de crise a été saluée par l’Organisation Mondiale de la Santé. Ce qui s’est passé au Panama est encore plus intéressant. Ce petit pays a retiré l’hydroxychloroquine après l’étude frauduleuse du Lancet, puis l’a réintroduit quelques semaines plus tard. Le résultat est frappant : La mortalité était stable lorsque l’hydroxychloroquine était recommandée ;
Elle a brutalement augmenté après son interdiction…
Et puis elle a nettement reculé quand le médicament a de nouveau été autorisé.C’est ce qu’on voit bien dans le graphique ci-dessous :
Nouveaux morts au Panama
Vous me direz peut-être que c’est une coïncidence, et en effet c’est possible. Mais il faut expliquer aussi pourquoi le Costa Rica, qui a été le premier pays d’Amérique centrale à adopter massivement l’hydroxychloroquine, s’en est mieux sorti que ses voisins. Il faut expliquer aussi pourquoi, au Brésil, une région du Nord a eu de meilleurs résultats que les autres ! Il s’agit de la région de Parà qui a immédiatement importé 90 000 doses d’HCQ et 75 000 doses d’azithromycine et les a distribuées aux personnes infectées par la Covid[18]. Résultat : la mortalité a subitement reculé, alors que dans le reste du Brésil, qui n’utilisait pas (encore) le protocole Raoult, la mortalité est restée stable. Selon le Pr Harvey Risch, spécialiste en épidémiologie de l’Université de Yale, ce qui s’est passé dans cette région est « une expérience convaincante, à grande échelle, montrant l’efficacité de HCQ + AZ pour sauver la vie des personnes à haut risques infectées par le Sars-Cov-2. » Aux États-Unis aussi, les États ont eu des stratégies médicales très différentes, certains interdisant purement et simplement l’hydroxychloroquine. Eh bien la mortalité a été deux fois plus élevée dans les Etats où l’hydroxychloroquine était difficile à obtenir, par rapport à ceux où la prescription de ce médicament n’était pas restreinte[19]. Encore une fois, et je dis cela sans ironie, ce n’est pas une preuve formelle. Mais il est intéressant de noter que toutes ces observations vont plutôt dans le même sens. Et ne croyez-pas que je fais du « cherry-picking » : j’essaie de regarder les faits avec neutralité, et je me garde bien de choisir uniquement les faits qui sont favorables à l’HCQ. De fait, comme vous le savez, je n’ai aucune raison particulière d’être « pour » ou « contre » ce médicament. Mais un large faisceau d’indices m’a convaincu de son intérêt… comme ce qui s’est passé dans les maisons de retraite. Les maisons de retraite : un exemple fort ! Dans la plupart des pays occidentaux, près de la moitié des morts du Covid ont eu lieu en maison de retraite. C’est bien le lieu où les gens ont le plus de risque de mourir de cette maladie. C’est tragique humainement, mais c’est instructif médicalement et statistiquement. La raison pour laquelle les traitements anti-Covid sont difficiles à évaluer, c’est que la plupart des gens guérissent tout seul. Par exemple, l’armée américaine n’a connu que 7 morts sur 40 000 cas positifs, ce qui donne un taux ridicule de mortalité de 0,02 %[20]. Évidemment, les militaires ont moins de 65 ans et sont plutôt en bonne santé. Mais c’est un exemple révélateur de la difficulté d’évaluer un traitement. Tenez-vous bien : si on avait fait une étude randomisée sur ces 40 000 militaires, avec 20 000 militaires prenant de l’hydroxychloroquine, et les 20 000 autres qui prennent un placebo……et si le groupe ayant bénéficié du médicament avait eu 1 seul mort, contre 6 morts dans le groupe placebo……et bien les scientifiques n’auraient pas pu conclure à l’efficacité de l’HCQ, car la différence entre les deux groupes n’est pas « significative » statistiquement. Et on parle ici d’une étude sur 40 000 personnes, alors que la plupart des études portent sur 200 patients ! Tout le drame de l’hydroxychloroquine, c’est qu’il faudrait des études énormes pour prouver définitivement son efficacité, sur l’ensemble de la population. Mais si vous concentrez votre étude sur les maisons de retraite, c’est différent. Car les résidents sont très âgés et souffrent souvent de pathologies chroniques ; leur risque de mourir de la Covid (ou de n’importe quelle infection) est donc élevé. Il n’y a donc pas besoin d’avoir des centaines de patients pour voir si un médicament fonctionne ! Rien qu’à l’œil nu, certaines « belles histoires » sont significatives. Comme cette maison de retraite, dans le Texas, où 56 résidents et 33 membres du personnel ont été testés « positifs »[21]. Avec une létalité de 10 %, on aurait pu s’attendre à 5 morts, minimum. Mais le médecin chef a pris une décision : il a administré le protocole Raoult à tous les résidents, dès qu’ils avaient des symptômes. Résultat : 1 seul mort, un patient qui n’avait pas eu le temps de bénéficier du traitement. Et ce n’est pas un cas isolé. L’équipe du Pr Raoult a effectué un dépistage précoce dans certaines maisons de retraite de Marseille, et a pu administrer son protocole à beaucoup de résidents.Résultat ? Il y a eu nettement moins de morts chez les patients qui ont bénéficié de son protocole[22]. Des résultats similaires ont été trouvés par des scientifiques de la Principauté d’Andorre – qui n’ont pourtant rien à gagner à faire la promotion du protocole Raoult[23] ! A Andorre, les résidents qui ont reçu le protocole Raoult ont guéri à 88 %, contre 38 % chez ceux qui ne l’ont pas reçu. Encore une fois, ce ne sont pas des études randomisées, donc on ne peut pas exclure que les patients qui ont reçu le traitement étaient en meilleur état que les autres, au départ. Mais cela fait tout de même beaucoup de faits qui vont dans le même sens. En région parisienne, le groupe hospitalier Le Raincy-Montfermeil a publié une étude rétrospective de l’effet du protocole Raoult chez des patients très âgés et a conclu à un « bénéfice réel ».[24] Au Brésil, un grand prestataire de santé, Prevent Senior a adopté le protocole Raoult pour ses clients dès le début de l’épidémie. Et le résultat est incroyable : chez Prevent Senior, qui compte pourtant 112 000 utilisateurs de plus de 79 ans, il y a eu moins de morts au 1er semestre 2020 qu’au 1er semestre 2019[25] ! Autrement dit, chez Prevent Senior, une institution qui a détecté et traité très tôt ses patients, comme le recommande le Pr Raoult, les résultats sont excellents, comme si l’épidémie de Covid n’avait pas existé ! Au total, vous avez peut-être la tête qui tourne avec tous ces chiffres. Mais retenez au moins une chose : il n’y a pas qu’à l’IHU de Marseille qu’on croit dur comme fer à l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Ne croyez pas à la fable du « gourou marseillais » Aujourd’hui, on veut vous faire croire que l’IHU de Marseille est un petit village d’irréductibles gaulois mené par un druide étrange et qui croit à l’efficacité de leur traitement, envers et contre tout. Mais la réalité, c’est que partout dans le monde, des autorités de santé et des grands médecins plébiscitent le protocole Raoult. Tout récemment, c’est bien le protocole Raoult qui a été recommandé par 20 médecins américains, menés par le Professeur d’épidémiologie de l’Université de Yale, Harvey Risch, dans une étude publiée dans la prestigieuse American Journal of Medicine[26]. Cela ne veut pas dire que ce protocole est parfait, ni complet – je suis le premier à regretter l’absence de vitamine D, sans même parler de la quercétine, de l’Artemisia Annua ou des huiles essentielles. Mais n’oublions jamais que l’observation des médecins de terrain a de la valeur – moins de valeur qu’une étude bien faite, mais beaucoup plus que des études frauduleuses ! C’est pourquoi je voudrais conclure avec cette déclaration récente du Pr Perronne : « Au tout début de l’épidémie, j’ai des collègues âgés, retraités, qui étaient tombés malades, qui se sentaient mourants prêts à aller à l’hôpital, ils ont pris le traitement (du Pr Raoult) et tous m’ont dit, « en 24-48h j’étais ressuscité ».Et c’est ce que moi j’ai vu dans le service, ce que les aide-soignants et les infirmières du service ont vu, le traitement marche extrêmement rapidement s’il n’est pas donné trop tard. »[27]
Bonne santé,

Xavier Bazin
La Lettre de Santé, Corps, Esprit.

Autre référence d’un méta étude sur les résultats de l’hydroxychloroquine

Faut-il encore le prouver ? La crise est terminée !

Pourquoi cette hystérie, alors que TOUT pointe vers la fin de la crise ?
Côté gouvernement et grands médias, c’est l’hystérie et la psychose : Masques obligatoires à l’école, dans la rue, sur la plage ;
Annonces répétées d’une augmentation « exponentielle» du nombre d’infections ;
Sonnette d’alarme tirée dans certains hôpitaux ;
Appels à rendre le vaccin anti-grippe obligatoire, pour soulager les hôpitaux cet hiver.Et le Premier Ministre qui nous dit, tranquillement, que l’on restera comme ça tant que le vaccin anti-Covid ne sera pas trouvé.Tout cela, alors qu’il n’y a aucun argument, au moment où je vous parle, pour justifier cet affolement.Au contraire, beaucoup de signaux sont positifs.Voici donc les 5 arguments anti-panique, à transmettre autour de vous !Argument n° 1 : la mortalité reste au plus basOn veut vous faire peur avec ce graphique, qui montre une augmentation du nombre de cas positifs :
Evolution du nombre de cas en France
Évolution du nombre de cas positifs en France, du 1er mars au 12 septembre 2020
Mais on oublie de vous montrer ce graphique-là, sur le nombre de morts :
Evolution du nombre de décès
Vous le voyez, malgré l’explosion apparente du nombre de cas, la mortalité reste au plancher, malgré un très léger relèvement.Quant aux passages en réanimation, ils n’indiquent rien d’inquiétant non plus.Il n’y a qu’une seule région de France (PACA, en violet sur le graphique) où ce nombre augmente un peu :
Admissions en réanimation
Bref, pour l’instant, absolument rien n’indique une recrudescence inquiétante de l’épidémie.Mais alors, comment expliquer qu’on ait autant de cas « positifs » et aussi peu d’hospitalisations et de morts ?Argument n° 2 : beaucoup de cas « positifs » sont totalement facticesUne première explication, c’est que les cas « positifs » ne sont pas tous réels, loin de là.Déjà, avec toute méthode normale de dépistage, on a 3 % de « faux positifs », c’est-à-dire des cas positifs qui n’en sont pas.3 %, cela peut paraître faible, mais quand on fait 1 million de tests par semaine, cela fait tout de même 30 000 personnes diagnostiquées positives à tort.Mais il y a beaucoup plus important.En fait, un nombre incroyable de tests révèlent une infection passée, et non une infection en cours !Oui, les tests « PCR » sont si puissants qu’ils peuvent détecter chez vous un virus mort depuis des semaines !Donc vous pouvez avoir été infecté il y a 1 mois, vous en être sorti sans le moindre symptôme… et être diagnostiqué positif !Cela dépend entièrement de la façon dont vous faites votre test.Je n’entre pas dans les détails du fonctionnement des tests par PCR, mais retenez que plus vous faites des cycles d’amplification, plus vous avez des risques de trouver un cas positif à tort !Avec 25 cycles, le minimum, vous êtes sûr à 100 % que la personne positive est bien en cours d’infection, et probablement contagieuse[1].Mais avec plus de 40 cycles, comme cela se pratique un peu partout en France, vous avez d’énormes risques d’identifier un virus mort, donc une infection déjà ancienne.Cela signifie que la grande majorité des personnes testées positives en France ne sont ni infectées, ni contagieuses !La preuve : à l’IHU de Marseille, l’équipe du Pr Raoult réalise 35 cycles, ce qui est beaucoup plus raisonnable que 40 cycles.Résultat : lorsque des cas testés positifs ailleurs se font re-tester à l’IHU de Marseille, ils sortent « négatifs » dans 30 à 40 % des cas !Cela veut dire qu’au moins 30 à 40 % des cas positifs en France ne font que signaler une ancienne infection, avec un virus qui n’est plus du tout actif !Et si on adoptait une norme encore plus stricte, à 25 cycles, il est probable que 90 % des cas positifs disparaîtraient, purement et simplement[2] !Donc, s’il y a beaucoup de cas et peu de morts, c’est d’abord parce que certains cas positifs… n’en sont pas !Argument n° 3 : le virus a muté, et semble moins dangereuxMais il y a probablement une deuxième raison… et c’est que le virus a muté !C’est le Pr Raoult lui-même qui l’a annoncé dans une vidéo postée le 8 septembre sur Youtube.C’est manifestement une vérité qui dérange car :Youtube a immédiatement censuré cette vidéo – puis accepté, finalement, de la republier ;
L’inénarrable Pr Karine Lacombe, égérie de Big Pharma, s’est empressée de contredire le Pr Raoult : « Le virus n’a pas muté et est exactement le même»[3] ;
Et le Premier Ministre a enfoncé le clou, dans son allocution du 11 septembre : « Tout confirme que le virus n’a pas baissé en intensité».C’est un mensonge du Premier Ministre, probablement destiné à maintenir la vigilance des citoyens (et à avoir une rentrée tranquille).Car l’équipe de chercheurs de l’IHU de Marseille sait de quoi elle parle.Depuis février, elle a séquencé près de 700 génomes entiers du virus[4].Et leur conclusion est formelle : « les séquences de l’épidémie de février à mai ont majoritairement disparu, et celles de l’épidémie actuelle (juin-août) appartiennent à de nouveaux génotypes ayant un taux de mutation beaucoup plus élevé ».En clair, le virus qui circule aujourd’hui est très différent du virus de Wuhan de février dernier.C’était parfaitement prévisible : dans la plupart des épidémies virales, le virus tend à muter vers une forme moins agressive.Et pour le Pr Raoult, c’est clairement ce qui est en train de se passer :« Depuis juillet, et l’apparition de ce deuxième acte, les génomes que nous avons ne sont pas les mêmes que ceux que nous avions avant, et ce n’est probablement pas une mauvaise nouvelle. »« Les mutations que nous voyons sont associées avec la dégradation des organismes du virus. Quand ça se passe, c’est que ça va mal pour la bestiole »[5].Donc, le virus a bien muté, et il est certainement moins dangereux qu’avant.Ce qui est une double mauvaise nouvelle pour les fabricants de vaccin, soit dit en passant.Argument n° 4 : la majorité de la population a probablement DÉJÀ été infectéeCela dit, même si le virus n’avait pas muté, il ne faudrait pas craindre une deuxième vague géante.Pour une raison simple : c’est qu’une grande partie de la population a déjà été infectée !Officiellement, on vous dit que 5 à 10 % des Français ont été infectés[6].Ces chiffres viennent des mesures des anticorps anti-Covid, réalisés en mai-juin dernier.Le problème de ces chiffres, c’est que beaucoup de gens n’ont pas d’anticorps dans le sang même, même s’ils ont bien été infectés par la Covid :Soit parce qu’ils ont été très peu touchés, sans symptômes, et qu’ils n’ont même pas eu besoin de développer d’anticorps ;
Soit parce que les anticorps ont disparu – ce qui est le cas pour la majorité des gens, qui perdent leurs anticorps au bout de quelques semaines (encore une mauvaise nouvelle pour le vaccin)[7].Bref, on est probablement très proche d’une immunité collective en France, surtout là où le virus a déjà beaucoup circulé, notamment en Ile-de-France et dans le grand Est !On le voit déjà dans les chiffres actuels : les hospitalisations Covid sont au plus bas à Paris et à Strasbourg, alors qu’elles remontent dans les villes qui ont été peu touchées par la vague de mars-avril, comme Nice, Marseille, Toulouse ou Bordeaux.Rappelons aussi que beaucoup de gens – les enfants en particulier – ont certainement déjà une immunité croisée, grâce aux coronavirus qui circulent habituellement et donnent des rhumes.Bref, cela fait beaucoup d’arguments contre la possibilité d’une deuxième vague aussi mortelle que la première !Certes, les régions de France où le virus a peu circulé ne sont pas à l’abri d’une relative résurgence, surtout avec l’hiver qui approche.Mais il n’y a aucune raison de penser qu’on pourrait revivre la gravité de la pandémie de mars-avril dernier.Aujourd’hui, « quand on teste et qu’on traite les malades, la mortalité est extrêmement faible », a résumé le Pr Raoult[8], qui n’est pas inquiet pour un sou.Cela n’empêche pas d’être vigilant et prudent.Avec les épidémies et les virus, on n’est jamais sûr de rien.Mais c’est une raison suffisante pour arrêter de créer l’hystérie et la psychose dans la population !Surtout qu’on a sous les yeux l’exemple réussi d’un pays qui n’a pas cédé à la panique : la Suède !Argument n° 5 : la preuve par la SuèdeLa Suède a refusé de céder à la panique, et n’a pas confiné sa population.Là-bas, tout est resté ouvert : les écoles, les restaurants, les cinémas.Bien sûr, le gouvernement suédois a recommandé les gestes barrières élémentaires, et a interdit les rassemblements de plus de 50 personnes.Mais la Suède n’a pas imposé le masque dans les transports en commun… et encore moins à l’air libre.Et le résultat est là : la Suède n’a pas eu plus de morts de la Covid par habitant que l’Italie ou l’Angleterre, qui ont méchamment confiné.De plus, on fera les comptes à la fin de l’année, mais je parie que la Suède a eu beaucoup moins de morts causées par le confinement – comme des crises cardiaques non prises en charge, des suicides causés par l’isolement, etc.Quoi qu’il en soit, l’épidémie semble terminée en Suède.Ces derniers jours, la Suède avait 13 personnes en réanimation, et environ 2 morts par jour, en moyenne.Voici l’évolution du nombre de morts :
Daily deaths
Les cas positifs sont aussi en train de disparaître : sur plus de 100 000 tests réalisés en une semaine, seuls 1,3 % sont revenus positifs[9].Autrement dit, le virus a quasiment disparu en Suède.Encore une preuve que l’immunité collective peut être atteinte beaucoup plus vite que prévu !Alors stop à l’hystérie, stop à la panique.Arrêtons de faire subir l’enfer à nos enfants (et nos enseignants), avec le masque 8 heures par jour, 5 jours sur 5.En Allemagne, cela fait plus d’un mois que les écoles ont rouvert, sans distanciation (les enfants sont deux par bureau) et sans masque obligatoire… et il n’y a eu aucun foyer infectieux[10] !Arrêtons l’absurdité du masque obligatoire dans la rue : à l’air libre, les risques de contaminations sont extrêmement faibles !Respirez, vivez, aimez, avec SÉRÉNITÉ !
Bonne santé,
Xavier Bazin

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Une vidéo récapitulative des Tontons flingueurs de la gestion de la crise du Covid19

Voici une vidéo des déclarations les plus remarquables des Professeurs Raoult, Peronne, Montagnier, Toussaint, Toubiana, Caumes sur une série d’aspects cachés ou bizarres de cette crise.