Rapport Pfizer : la bombe dont vous ne deviez pas entendre parler

Source: Lettre du Dr Schmitz

C’est officiel : Pfizer est l’entreprise qui produit le seul vakx1 disponible en France contre la pandémie.

Un vakx1 qui est en fait un médicament (1), comme l’a reconnu Jean-François Delfraissy, président du Conseil Scientifique.

Un médicament tellement efficace d’ailleurs, que le système informatique de santé a été calibré pour prévoir jusqu’à 10 doses par patient (2).

Pas de mauvais esprit : avec un potentiel de 10 doses achetées par Français, n’allez pas croire que Pfizer voit la France seulement comme un marché juteux…

C’est seulement l’occasion, pour cette noble entreprise, de démontrer que son médicament, qu’ils ont prétendu immédiatement efficace à 90% (3), doit quand même être administré 10 fois de suite…

N’en doutez pas : Pfizer vous aime


Je ne me permettrais pas de douter de la bienveillance de cette entreprise d’intérêt public, malgré la lenteur qu’elle a mis à publier le rapport des expériences préliminaires concernant son « vakx1 » ARN.

Et quand je parle de « lenteur », c’est qu’elle comptait terminer la publication de son rapport en 2096.

Hélas, ce n’est pas une plaisanterie (4).

Chère lectrice, cher lecteur, n’y voyez aucune malice ! Une telle lenteur se comprenait, évidemment.

C’était par souci de ne causer de migraines chez personne, surtout pas chez les journalistes subventionnés, qui préfèrent s’égosiller sur d’autres sujets.

Or Mark Pittman, un juge texan certainement complotiste, a trouvé que Pfizer se moquait du monde.

Le 6 janvier 2022, il a sommé l’entreprise de publier l’entièreté du rapport de ses expériences préliminaires au plus vite (5).

C’est désormais chose faite.

« Pfizer savait que son vakx1 tuait(6)»


Un fait important ressort de ce rapport (7) :

Sur les 42 086 personnes malades suivies dans le cadre de l’expérience préliminaire Pfizer, 1 223 sont très officiellement mortes.

Ce qui fait environ 3% de mortalité.

C’est beaucoup pour une maladie qui, selon les calculs des autorités françaises, tuait 0,7% des personnes infectées au sommet de sa virulence (8).

Doit-on en conclure que le vakx1 est plus dangereux que la maladie contre laquelle il devait protéger ?

Il se trouve que des défenseurs acharnés des vakx1s ne trouvent pas la corrélation pertinente (9).

Sous-entendent-ils que sur ces 1 223 personnes malades, certainement confinées, une bonne partie d’entre elles devait s’amuser le week-end à faire des courses de voiture ou à prendre l’autoroute à contresens ?

Car prendre dans cette étude des personnes gravement malades, qui auraient pu mourir d’autre chose que de la pandémie ou du « vakx1 », aurait représenté une faute méthodologique rédhibitoire.

Donc, une fois la bêtise des « fact-checkers » mise à part, l’étude elle-même admet que les 1 223 morts ne correspondent qu’à la moitié des patients suivis.

De l’autre moitié, on ne sait pas grand-chose : on ne sait pas si ces patients ont guéri, avec des séquelles ou pas. Pire encore, pour près du quart des personnes de l’étude, on ne sait rien (9 400) – donc rien ne les exclut a priori d’être ajoutés aux personnes décédées.

On voudrait nous prendre pour des idiots qu’on ne s’y prendrait pas autrement !

Qui y a-t-il dans la cohorte inconnue ?


Si l’on compte 1 223 personnes décédées pour seulement la partie du panel dont le destin est connu – soit la moitié – on peut se demander s’il n’y a pas eu, au moins, le double de morts : donc une mortalité de 6%.

Mais cette mortalité de 6% impliquerait que la partie « obscure » du panel est au moins aussi fiable que la partie la mieux connue.

Or un fort soupçon pèse sur une étude aussi peu scientifique, où le destin du quart du panel est textuellement « inconnu ».

A-t-on dissimulé les pires effets indésirables et un plus grand nombre de morts dans cette catégorie dont l’étude dit qu’elle ne sait pas comment leur maladie s’est terminée ?

Une multitude de cas létaux ou de handicaps à vie a-t-elle été passée sous silence ?

De plus, l’expérience nous a depuis enseigné que même les cas classés comme « guéris » peuvent dissimuler des séquelles du vakx1 à moyen ou à long terme – parfois mortelles.

Toute spéculation mise à part, cette étude montre qu’il n’aurait fallu, pour rien au monde, toucher à ce « médicament ».

Au moins cela car une question subsiste :

Où sont passées les règles des femmes ?


Des dizaines de milliers de femmes en âge de procréer, dont des adolescentes, commencent à se demander pourquoi elles n’ont plus leurs règles, suite à leur vakxination.

Une association commence à faire du bruit à ce propos : « Où est mon cycle ? » (10)

Nous avons été les premiers, dans la sphère francophone, à alerter le public sur ces effets secondaires du vakx1.

Car les spicules propres au virus (les protéines spike), également produites en masse par l’ARN messager des vakx1s, s’incrustent dans les ovaires, causant possiblement des dommages irréversibles.

C’était ce qu’avait établi Byram Bridle, à partir des données exigées par le Japon, et soigneusement corroboré Robert Malone, inventeur de la technologie ARN (11).

Ces dommages causés par les spicules semblent l’explication la plus probante au fait que tant de femmes en âge de procréer n’aient plus leurs règles après vakxination.

Je ne reviendrai pas ici, comme je l’ai déjà fait, sur les trop nombreuses études qui montrent bien hâtivement que le vakx1 ne réduit pas la fertilité.

Etudes souvent faites sur des panels ridiculement petits (12), sans compter les articles dans la presse sans mention scientifique (13)…

Surtout, aucune de ces études ne prend le temps nécessaire, et elles ont toutes pour point commun d’être trop catégoriques sur leur résultat pour être scientifiquement solides.

En fait, elles servent surtout à dédouaner l’industrie vakxinale.

États, CDC, Dr Fauci : cette responsabilité dont personne ne veut!
Donc le vakx1 ARN Pfizer consiste à faire reproduire à votre corps la spicule, le « bec du virus », afin que votre système immunitaire le reconnaisse et le détruise avec le virus.

Or si cette spicule peut endommager les ovaires (ou les testicules), ce vakx1 est possiblement très dangereux pour la fertilité humaine, surtout si on prévoit de vous l’inoculer 10 fois.

Mais le virus dont sont issues les spicules l’est tout autant. Car l’origine de la spicule (ou protéine spike), est vraisemblablement d’origine artificielle.

Car l’enquête sur le caractère artificiel du virus arrive peu à peu à son terme (14), avec la mise en cause du Dr. Anthony Fauci, inamovible directeur de la santé publique aux États-Unis.

Celui-ci aurait directement financé les recherches qui ont donné naissance à la spicule et au virus de la pandémie.

D’après le sénateur Rand Paul, le Dr. Fauci serait donc directement responsable de la pandémie et de ses conséquences. Et on se demande même, aux États-Unis, si la fuite du virus n’était pas délibérée…

En tout cas, depuis 3 mois, le Dr. Fauci est en demeure de répondre à des questions dont les réponses pourraient le faire comparaître devant un tribunal international, et il refuse de s’y soumettre (15).

Mais il y a une certitude : les pouvoirs publics sont plus acharnés à écouler leurs vakx1s que soucieux du cycle des femmes, et ceci doit vous interroger plutôt deux fois qu’une.

Surtout avec un rapport préliminaire de Pfizer aussi peu rassurant.

La démographie, hantise des puissants ?

La civilisation humaine connaît aujourd’hui un problème de ressources.

C’est aussi vrai pour les récoltes – qui ne sortent de terre qu’avec de l’azote, du phosphore et du potassium – que pour les carburants fossiles.

Ce n’est pas qu’une question de mode de vie, c’est aussi une question de nombre. Il y a, soyons en sûrs, un « choc démographique » à l’œuvre.

Mais sans surprise, ce sont toujours les puissants qui s’octroient le droit de déterminer qui doit vivre et qui doit mourir, et même qui doit naître.

Il va sans dire que les politiques « eugénistes », c’est-à-dire de stérilisation sélective, ont été nombreuses au cours de l’histoire.

Il y en a eu dans presque tous les pays germaniques (Autriche, Allemagne, Suisse et Scandinavie) et anglo-saxons (Royaume-Uni, Canada, Etats-Unis, Australie) ainsi qu’au Pérou, en Inde et en Chine (16).

En régime nazi, cette doctrine avait même son journal, le « Nouveau Peuple », qui militait ouvertement pour l’élimination des handicapés (17).

Aujourd’hui, certains médecins osent avancer que la sélection des naissances est indispensable si l’on veut faire concurrence aux enfants asiatiques, bientôt « améliorés » par des puces dans le cerveau (18)…

Et il y a une autre forme d’eugénisme qui a le vent en poupe en ce moment.

Ainsi, au Colorado, une loi votée en Avril permet aux femmes d’avorter à n’importe quel moment de leur grossesse (19).

Derrière l’idée de faire de cet Etat un sanctuaire de l’avortement, les détracteurs y voient le retour de la vieille politique malthusienne, qui consiste à réduire les naissances dans les classes les plus pauvres (20).

Car c’est statistiquement prouvé, notamment par l’administration française (21): l’avortement reste plus fréquent chez les femmes les moins aisées.

Elles sont moins bien informées sur la contraception, ou elles ne peuvent se permettre financièrement une autre méthode que la pilule, tombée en désaffection (22).

Toutefois, la décision du Colorado, dans les termes du droit français, où le délai d’IVG est pourtant passé de 12 à 14 semaines (23), consiste à remettre en question la formation d’un être à part entière dès la gestation.

Force est donc de constater qu’il y a rupture du consensus sur la question du commencement de la vie.

Il semble que ce soit cette tendance qui ait conduit l’administration fédérale américaine à ne plus légaliser unilatéralement l’avortement, mais à laisser aux Etats la liberté de décider de cette question (24).

Or, dans cet Occident qui s’écharpe, je doute que les futures mères puissent se fier aux politiques publiques. Il est désormais impossible d’affirmer qu’elles veulent tout à fait leur bien.

Dr. Thierry Schmitz

(1) https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html

(2) https://www.leparisien.fr/societe/sante/vaccin-anti-covid-non-il-nest-pas-prevu-de-recevoir-jusqua-dix-doses-de-rappel-17-05-2022-S2KTN27HHBGIVBFW3WIXNRQ6BE.php


(3) https://www.lefigaro.fr/flash-actu/covid-19-le-vaccin-pfizer/biontech-efficace-a-95-selon-des-resultats-complets-de-l-essai-clinique-20201118

(4) https://news.bloomberglaw.com/health-law-and-business/why-a-judge-ordered-fda-to-release-covid-19-vaccine-data-pronto

(5) https://www.sirillp.com/wp-content/uploads/2022/01/ORDER_2022_01_06-9e24e298ae561d16d68a3950ab57077b.pdf

(6) Titre utilisé par un journal irlandais, the Lightpaper : https://irishlightpaper.com

(7) https://perma.cc/6W69-9WFT

(8) https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/coronavirus-quel-est-vraiment-le-taux-de-letalite-du-covid-19-6882368

(9) https://www.aap.com.au/factcheck/anti-vaxxers-misrepresent-pfizer-report-to-say-1200-died-in-the-first-months-of-rollout/

(10) https://www.marieclaire.fr/ou-est-mon-cycle-face-aux-institutions-un-collectif-questionne-les-effets-secondaires-du-vaccin-anti-covid-sur-les-regles,1427821.asp

(11) https://covidvaccinesideeffects.com/joe-rogan-interview-with-dr-robert-malone-transcript/ (à 1.35.54)

(12) https://www.fertstert.org/article/S0015-0282(21)01968-3/fulltext

(13) https://www.jpost.com/israel-news/coronavirus-vaccine-has-no-impact-on-fertility-israeli-study-shows-665523

(14) https://www.latimes.com/science/story/2021-07-24/fauci-theres-no-way-the-coronavirus-was-made-with-u-s-research-funds-heres-why

(15) https://www.foxnews.com/politics/rand-paul-says-fauci-stonewalling-gain-of-function-questions

(16) https://fr.wikipedia.org/wiki/Stérilisation_contrainte

(17) https://fr.wikipedia.org/wiki/Neues_Volk

(18) https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/genetique-laurent-alexandre-fait-polemique-trois-scientifiques-lui-repondent_1992053.html

(19) https://www.coloradopolitics.com/opinion/colorado-springs-gazette-barbaric-new-bill-allows-postnatal-abortion-rights/article_e250f652-9f00-11ec-834d-7f6a316450e7.html

(20) https://fr.wikipedia.org/wiki/Malthusianisme

(21) https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/communique-de-presse/232-200-interruptions-volontaires-de-grossesse-en-2019-un-taux-de-recours-qui

(22) https://www.20minutes.fr/sante/1373673-20140513-contraception-crise-pilule-fait-progresser-autres-methodes

(23) https://www.gouvernement.fr/actualite/le-delai-legal-de-livg-passe-de-12-a-14-semaines

(24) https://www.politico.com/news/2022/05/02/supreme-court-abortion-draft-opinion-00029473

Compilation de 1000 articles scientifiques revus par les pairs sur les effets secondaires de vakx1s

Peer Reviewed Medical Papers Submitted To Various Medical Journals, Evidencing A Multitude Of Adverse Events In Covid-19 Vaccine Recipients.


Myocarditis 

Includes terms: Inflammatory Heart Reactions & Myocardial. Inflammation of the heart muscle (myocardium). The inflammation can reduce the heart’s ability to pump and cause rapid or irregular heart rhythms (arrhythmias). Signs and symptoms of myocarditis include chest pain, fatigue, shortness of breath, and rapid or irregular heartbeats. In a small percentage of cases persons with myocarditis can be at risk of sudden death following strenuous activity. Some sufferers of myocarditis may require heart surgery or a heart transplant later in life.

  1. Myocarditis after mRNA vaccination against SARS-CoV-2, a case series: https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2666602221000409
  2. Myocarditis after immunization with COVID-19 mRNA vaccines in members of the US military. This article reports that in “23 male patients, including 22 previously healthy military members, myocarditis was identified within 4 days after receipt of the vaccine”:  https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/fullarticle/2781601
  3. Association of myocarditis with the BNT162b2 messenger RNA COVID-19 vaccine in a case series of children:  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34374740/
  4. Acute symptomatic myocarditis in seven adolescents after Pfizer-BioNTech COVID-19 vaccination:  https://pediatrics.aappublications.org/content/early/2021/06/04/peds.2021-052478
  5. Myocarditis and pericarditis after vaccination with COVID-19 mRNA: practical considerations for care providers:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0828282X21006243
  6. Myocarditis, pericarditis and cardiomyopathy after COVID-19 vaccination:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1443950621011562
  7. Myocarditis with COVID-19 mRNA vaccines:  https://www.ahajournals.org/doi/pdf/10.1161/CIRCULATIONAHA.121.056135
  8. Myocarditis and pericarditis after COVID-19 vaccination:  https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2782900
  9. Myocarditis temporally associated with COVID-19 vaccination:  https://www.ahajournals.org/doi/pdf/10.1161/CIRCULATIONAHA.121.055891.
  10. COVID-19 Vaccination Associated with Myocarditis in Adolescents:  https://pediatrics.aappublications.org/content/pediatrics/early/2021/08/12/peds.2021-053427.full.pdf
  11. Acute myocarditis after administration of BNT162b2 vaccine against COVID-19:  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33994339/
  12. Temporal association between COVID-19 vaccine Ad26.COV2.S and acute myocarditis: case report and review of the literature:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1553838921005789
  13. COVID-19 vaccine-induced myocarditis: a case report with review of the literature:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1871402121002253
  14. Potential association between COVID-19 vaccine and myocarditis: clinical and CMR findings:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1936878X2100485X
  15. Recurrence of acute myocarditis temporally associated with receipt of coronavirus mRNA disease vaccine 2019 (COVID-19) in a male adolescent:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S002234762100617X
  16. Fulminant myocarditis and systemic hyper inflammation temporally associated with BNT162b2 COVID-19 mRNA vaccination in two patients:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0167527321012286.
  17. Acute myocarditis after administration of BNT162b2 vaccine:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2214250921001530
  18. Lymphohistocytic myocarditis after vaccination with COVID-19 Ad26.COV2.S viral vector:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352906721001573
  19. Myocarditis following vaccination with BNT162b2 in a healthy male:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0735675721005362
  20. Acute myocarditis after Comirnaty (Pfizer) vaccination in a healthy male with previous SARS-CoV-2 infection:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1930043321005549
  21. Acute myocarditis after vaccination with SARS-CoV-2 mRNA-1273 mRNA:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2589790X21001931
  22. Acute myocarditis after SARS-CoV-2 vaccination in a 24-year-old man:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0870255121003243
  23. A series of patients with myocarditis after vaccination against SARS-CoV-2 with mRNA-1279 and BNT162b2:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1936878X21004861
  24. COVID-19 mRNA vaccination and myocarditis:  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34268277/
  25. COVID-19 vaccine and myocarditis:  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34399967/
  26. Epidemiology and clinical features of myocarditis/pericarditis before the introduction of COVID-19 mRNA vaccine in Korean children: a multicenter study 
    https://search.bvsalud.org/global-literature-on-novel-coronavirus-2019-ncov/resourc e/en/covidwho-1360706.
  27. COVID-19 vaccines and myocarditis:  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34246566/
  28. Myocarditis and other cardiovascular complications of COVID-19 mRNA-based COVID-19 vaccines
    https://www.cureus.com/articles/61030-myocarditis-and-other-cardiovascular-complications-of-the-mrna-based-covid-19-vaccines
  29. Myocarditis and other cardiovascular complications of COVID-19 mRNA-based COVID-19 vaccines https://www.cureus.com/articles/61030-myocarditis-and-other-cardiovascular-complications-of-the-mrna-based-covid-19-vaccines
  30. Myocarditis, pericarditis, and cardiomyopathy after COVID-19 vaccination:  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34340927/
  31. Myocarditis with covid-19 mRNA vaccines:  https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCULATIONAHA.121.056135

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“Ils ont déjà préparé la prochaine pandémie Marburg”

Arnaud de Brienne

Qui ne constate qu’il y a beaucoup plus de cas d’infection cette année, avec près de 90% de « vaccinés » qu’il y a un an sans « vaccin » ? Cela n’interpelle personne ? Pas de problème, vraiment ? Mais ce n’est pas tout, Bill Gates l’avait laissé entendre il y a quelques mois, avec un petit sourire entendu et inquiétant : nous allons vraisemblablement vers une autre épidémie autrement redoutable, l’épidémie Marburg. Comme le suggère ce chercheur, Kieran Morrissey, ne ricanons pas comme les crétins qui en sont encore à la fable du mangeur de chauve-souris ou d’un virus échappé malencontreusement d’un laboratoire négligent mais faisons plutôt nos recherches et croisons les informations. Nous ne sommes qu’au début d’un processus….(NDLA)

“Bonjour je m’appelle Kieran Morrissey. Je suis un ingénieur de 61 ans et j’ai travaillé ces 22 dernières années dans un grand hôpital universitaire de Dublin, où j’ai acquis une connaissance approfondie du fonctionnement du système de santé irlandais.

Au cours de mes récentes études sur l’immunologie et la virologie pour essayer de mieux comprendre ce qui se passe avec les virus et les vaccins qu’ils promeuvent, j’ai découvert un article écrit en 2017, par deux chercheurs italiens, le couple Gatti et Montanari, qui testent des vaccins depuis 2004. Ils en ont examiné 44 au total et ont découvert que ces vaccins sont contaminés avec des nanoparticules inorganiques, y compris toutes sortes de substances telles que les métaux lourds, le plomb, etc.

Cela m’amène à penser que les vaccins provoquent des réactions immunitaires depuis de nombreuses années qui peuvent se présenter comme des grippes et d’autres maladies. Plus les symptômes apparaissent, plus on administre de vaccins pour tenter de les prévenir… Il y a une sorte de boucle sans fin entre les vaccins et les maladies.

Donc les vaccins provoquent des maladies qui exigent plus de vaccins…

Mais au cours de l’enquête, j’ai découvert quelque chose d’encore plus inquiétant.

En avril 2021, Bill Gates/GAVI a publié un article sur son site web dans lequel il affirmait que Marburg était la prochaine grande pandémie dont nous devions nous inquiéter. Marburg est une fièvre hémorragique relativement rare. Nous n’avons eu que 16 cas depuis 2005.

Que savent donc Bill Gates et GAVI que nous ne savons pas ? Pourquoi est-ce une menace ? Pourquoi l’OMS et les médias conventionnels ne publient-ils pas des articles sur cette maladie rare ?

J’ai fait des recherches plus approfondies et j’ai découvert qu’ils avaient déjà développé un test PCR spécial pour cela. C’est très inquiétant, car maintenant ils peuvent prouver que n’importe qui pourrait avoir le Marburg grâce à un “test”, aussi fantaisiste que le test PCR covid. Mais comme ce test PCR actuel, il sera difficile de le réfuter.

J’ai aussi trouvé qu’ils ont publié des articles  affirmant que la maladie de Marburg se transmet par les chauves-souris de façon asymptomatique, ce qui a été réfuté pendant la pandémie du Covid. Si vous n’avez pas de symptômes, vous n’avez pas de virus, et vous ne pouvez pas le transmettre asymptomatiquement. La propagation asymptomatique d’un virus n’existe pas. Bien que ceci ait été largement admis, des articles qui disent le contraire sont publiés !

La nouveauté la plus inquiétante que j’ai découverte, c’est qu’on est en train de développer très rapidement un nouveau vaccin pour Marburg appelé RIVAX, qui contient de la RICINE, une substance hyper toxique qui a été utilisée dans les attentats terroristes du métro de Tokyo et qui a tué un grand nombre de gens. Pourquoi ont-ils mis une toxine si dangereuse dans un vaccin ? C’est très étrange et inquiétant.

Mais comment pourraient-ils initialiser cette pandémie de Marburg sans la propager ? Très simple : en fait ils l’ont déjà initialisée. Les lésions causées par les vaccins Covid comprennent des hémorragies et des caillots, qui sont très semblables à celles de la fièvre hémorragique. En administrant les vaccins de rappel aux prisonniers, dans les maisons de retraites et les hôpitaux, ainsi qu’aux enfants en contact étroit dans les écoles, ils provoquent davantage d’hémorragies et de caillots qu’ils appellent “fièvre hémorragique”.

Ils feront le test avec le nouveau test PCR et diront que c’est le Marburg.

Cela expliquerait le nombre excessif de morts que nous voyons dans les hôpitaux, ce sera une couverture. Ils diront que les décès ne sont pas dus à des lésions causées par le vaccin Covid, mais au Marburg. Il y aura une soudaine et très grande panique. Il y aura une hystérie de masse jamais vue auparavant. Les gens feront tout pour obtenir quelque chose qui les protège. Le vaccin Rivax sera lancé rapidement et administré “à titre expérimental”, comme ça s’est passé avec le vaccin Covid.

Cependant, une grande différence avec le vaccin à la ricine, c’est que l’infrastructure est en marche et les ressources sont déjà en place pour la développer et la gérer dans un laps de temps très court. Ils pourraient atteindre une couverture de 100% de la population en un temps record. La ricine contenue dans le vaccin va pouvoir tuer des milliards de personnes très rapidement. Il n’y a aucun moyen connu de l’arrêter une fois que c’est commencé.

Arrêter de se faire vacciner contre le Covid est le seul moyen d’arrêter cette épidémie de Marburg, annoncée par Bill Gates, GAVI, l’OMS, etc.

Nous devons convaincre nos amis, notre famille et tout le monde que la vaccination est une erreur qui les rendra encore plus malades !

Vous devez compter sur votre immunité naturelle et la renforcer avec de la vitamine C et de la vitamine D, du zinc et tous les autres minéraux nécessaires. Si vous êtes atteint de Covid, l’Ivermectine et l’hydroxychloroquine sont très efficaces. Nous n’avons pas besoin d’un vaccin qui provoque des symptômes de fièvre hémorragique. Nous devons arrêter cela immédiatement. Si nous ne le faisons pas, nous serons confrontés à une prétendue pandémie de Marburg, qui sera le prétexte pour lancer le vaccin à base de ricine qui tuera des milliards de personnes.

Veuillez faire connaître cette vidéo à tout le monde. J’ai publié toutes les recherches dont j’ai parlé ici sur www.lewrockwell.com  S’il vous plaît, lisez-les.

S’il vous plaît, faites vos propres recherches. Vous verrez que ce que je dis est vrai. Vous vous rendrez également compte que je ne gagne rien à dire tout cela, je perds plutôt. Je suis sûr que mon travail à l’hôpital est en danger, et Dieu sait quoi d’autre.

Michel Dogna

C0VlD-19 les chiffres: «Contrairement aux promesses maintes fois répétées par les exécutifs et les promoteurs du vakx1, celui-ci n’a rendu à personne sa vie d’avant »

Breizh-info 15/02/2022

La forte hausse du nombre des décès COVlD déclarés depuis le 1er janvier 2022 au niveau planétaire montre que le variant delta n’a pas dit son dernier mot.

En Israël, l’expérimentation vakxinale tourne au fiasco si l’on s’en tient à l’évolution des 5 dernières semaines.
Multiplication des cas par 122 et des décès par 66. Tous les records sont battus. Au vu de ce qui se passe en Israël, et pour la première fois, je commence à m’inquiéter pour mes proches qui se sont soumis, sous la contrainte, aux injections vakxinales.

Avant propos : « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » (lorsqu’ils ne sont pas mensongers, bien sûr) Propagande gouvernementale reprise inlassablement en Octobre et Novembre par la « meute » des médias mainstream français…

Il est donc temps de commencer à faire parler les chiffres déclarés par les États eux-mêmes.

Observations :

1 – Avec le variant Omicron très contagieux mais très peu létal, surtout et y compris dans les pays très peu vakxinés d’Afrique ou d’Asie, le nombre de nouveaux cas déclarés (pour la plupart Omicron) a augmenté sensiblement sur la planète en janvier passant de 25 à 100 millions de tests positifs pour 5 semaines. Le nombre de décès ( lié au variant delta et à l’hiver) a augmenté dans le même temps passant de 200 000 à près de 300 000 pour la même période. En clair, l’apparition du variant Omicron pourrait bien être une véritable bénédiction pour la planète, puisque celui ci constitue un véritable vakx1 naturel en raison de sa faible létalité. En revanche, le variant delta n’a pas dit son dernier mot et la fin de l’épidémie n’est pas encore en vue, surtout si elle repart dans l’hémisphère sud, ce qui semble être le cas.

2 – Malgré une vakxination de masse menée «tambours battants» depuis début décembre 2020, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020 (contamination et nombre de décès) sur l’ensemble de la planète. La vakxination n’a donc pas fait reculer l’épidémie partout où elle a été appliquée en 2021 et les chiffres ne sont guère encourageants pour les 5 premières semaines de Janvier. Les pays en développement les moins vakxinés d’Afrique et d’Asie s’en sont, d’ailleurs, beaucoup mieux sortis que les pays développés les plus vakxinés: c’est un fait.

3 – Alors même que l’efficacité du virus et de ses variants s’atténue avec le temps et que de nouveaux traitements précoces efficaces ont été découverts, la létalité de cette épidémie aurait dû reculer nettement avec l’apport de 10,2 milliards d’injections vakxinales pour une population de 7,9 milliardsd’habitants ; injections vakxinales «vendues» par Big Pharma pour une efficacité de 90 à 95% sur les formes graves. Ca n’a manifestement pas été le cas au cours de l’année 2021 et des cinq premières semaines de 2022.

4 – Contrairement aux promesses maintes fois répétées par les exécutifs et leurs relais médiatiques promoteurs du vakx1s, celui ci n’a rendu à personne «sa vie d’avant». Jamais les contraintes n’ont été aussi fortes pour un résultat aussi nul.

5 – Et pourtant, comme toutes les autres épidémies avant elle, nouveaux variants ou pas, l’épidémie COVlD-19 devrait régresser naturellement sous l’effet de plusieurs facteurs :

– La prolifération des variants rend chacun d’entre eux moins létal au fil du temps. C’est le cas du Omicron.

– Le réservoir de personnes fragiles et atteintes de comorbidité, donc susceptibles de faire des formes graves de la COVlD s’est progressivement « vidé » par décès des plus fragiles. On ne meurt pas deux fois …..

– Dans de nombreux pays, l’apparition et l’application de nouveaux traitements précoces pour les personnes atteintes de la COVlD y réduisent considérablement la mortalité liée à ce virus.

– L’immunisation naturelle d’une partie croissante de la population mondiale qui, testée ou non, a contracté la maladie et en a guéri, devrait également contribuer à la baisse de la létalité. A cet égard, le variant Omicron, très contagieux mais très peu létal, joue le rôle d’un véritable vakx1 naturel pour ceux qui contractent la maladie, sans être porteurs de multiples facteurs de co-morbidité.

Aujourd’hui les politiques et les médias de certains pays occidentaux, dont la France, s’agitent toujours, jusqu’à l’hystérie, autour du variant Omicron signalé par l’Afrique du Sud le 24 novembre dernier, mais déjà été identifié en Irlande et au Pays Bas dès le 20 novembre 2021.

A ce jour, ce nouveau virus n’a pas encore tué grand monde, que ce soit en Afrique ou en Europe. Si le monde occidental doit paniquer et s’arrêter de vivre à chaque apparition de nouveau virus sur notre planète, sans même savoir s’il est vraiment dangereux ou s’il tue beaucoup, alors le retour à la vie d’avant n’est pas envisageable avant très, très longtemps. Si la population de ce monde occidental doit faire confiance à des politiques, des scientifiques et à leurs relais médiatiques, largement corrompus par des lobbies transnationaux et mondialistes qui imposent leur stratégie et leur agenda, alors nous entrons dans une ère nouvelle de contrôle total des populations et de l’opinion, par des minorités riches, puissantes, surfant sur la peur et jouant sur les chaos et les divisions qu’elles créent de toute pièce, et utilisant la corruption, le mensonge et la manipulation pour régner.*

Vidéos et documents « alternatifs » et intéressants sur la vakxination et la gestion de la crise sanitaire

1 – Sur la « Pandémie » :

Article du professeur Christian Perronne qu’on ne présente plus.

Docteur Laurent Toubiana : une autre vision de l’épidémie

2 – Sur les effets secondaires des vakx1s :

Une audition intéressante aux USA sur les effets secondaires des vakx1s dans l’Armée. Elle a l’avantage d’être sous titrée sur ce site. Mais je l’ai retrouvée sur plusieurs sites mainstream américains, hélas non sous titrée en français.

3 – Sur le vax1s, la vakxination et le pass vakxinal

Sur le vakx1 :

Sur le Pass vakxinal :

Le docteur Gérar Kierzek, médecin de plateau TV mainstream s’exprime sur le pass vakxinal

Après les camionneurs canadiens, un convoi de la liberté français et européen présenté par son initiateur.

4 – Sur la gestion de la crise sanitaire

Point de situation provisoire des décisions récentes prises par des états face à la crise sanitaire

Bulletin mensuel de situation COVlD planétaire du 5 février 2022 GMT

Quels sont, jusqu’à présent, les résultats planétaires de l’expérimentation vakxinale de masse ?

Source : Our World in Data:

61,4% de la population mondiale aurait reçu au moins une dose d’un vakx1s COVlD-19 et 53% seulement seraient complètement vakxiné, représentant près de 4,2 milliards d’h.

10,2 milliards de doses auraient été administrées dans le monde et 17,75 millions seraient encore injectées chaque jour, en utilisant trop souvent des mesures coercitives, dans des pays occidentaux notamment, qui voudraient se poser en modèle pour le reste du monde en multipliant les doses, alors qu’ils on failli, depuis le début, dans la gestion de l’épidémie, en multipliant les  erreurs d’appréciation.

10 % seulement des habitants des pays à faible revenu auraient reçu au moins une dose. Ils ont, il est vrai, et parce qu’ils sont plus jeunes, une mortalité COVlD encore très inférieure aux pays les plus vakxinés ….

Extrait d’un point de situation vakxinal planétaire au 4 février 2022

A l’échelle planétaire, aucune amélioration significative de la situation n’est encore vraiment perceptible, bien au contraire, puisqu’il y aura eu deux fois plus de décès COVlD en 2021 qu’en 2020 alors même qu’il y a consensus scientifique pour admettre que le variant delta a été  moins létal que ses prédécesseurs. Sur les 5 premières semaines de 2022, le nombre de décès de la COVlD (variant delta) n’a cessé de croître pour atteindre le niveau du pic d’août 2021. Un vakx1 est, par définition, un outil visant à éradiquer une épidémie ou à la faire reculer. C’est très loin d’être le cas après 14 mois de campagne de vakxination de masse. Qu’on le veuille ou non, il va falloir vivre avec ….

Toutefois le dernier variant Omicron, très contagieux mais très peu létal pourrait bien être, en 2022, le vakx1 naturel attendu.

On me rétorquera que la situation serait bien pire si l’on avait adopté d’autres stratégies de lutte contre la « pandémie ». C’est une affirmation commode et gratuite qui est, malheureusement, démentie par les faits  (« On peut débattre de tout sauf des chiffres » nous répètent inlassablement les médias, relayant le discours du gouvernement français.) Eh bien parlons chiffres !

1 – L’augmentation de la mortalité COVlD a été générale sur la planète. Il n’y a aucune corrélation entre le taux de vakxination et le taux de mortalité des différents continents. 5 à 6 fois moins vakxinée que l’Amérique latine, ou que l’Europe, l’Afrique déclare un taux de mortalité de 13 à 15 fois moindre.

2 – En Suède, aucune des prédictions apocalyptiques des experts autoproclamés ne s’est réalisée.  96 000 décès en  un seul  mois prévus par les « experts » en mars 2020 ?  Dans la vraie vie: 16 143 décès en deux ans, bilan réalisé sans aucune des mesures folles que la France a connues. La Suède, plus contaminée, plus âgée et moins vakxinée, que la France est quasiment sortie de l’épidémie depuis six mois, dans la sérénité, alors même que la France continue d’y patauger. Son taux de mortalité est de 30 % inférieur à celui de la France et de la moyenne européenne.

3 – En Islande, en Israël, au Royaume Uni, aux États-Unis, à Singapour, (…. etc) pays supposés être parmi les plus immunisés ou protégés au monde  par le vakx1 ou par la guérison de la maladie (entre 75 % et 95%), la contamination et/ou la mortalité prennent de l’ampleur parmi les doubles vakxinés (voire, en Israël, parmi les vakxinés à trois ou quatre doses).

Ainsi,  à Singapour (6 millions d’habitants vakxinés à 88%), la mortalité a augmenté très fortement sur les trois dernier mois montrant les limites de l’efficacité vakxinale

Situation de la mortalité COVlD à Singapour aujourd’hui vakxinée à 90%: « On peut débattre de tout sauf des chiffres » « tous vakxinés, tous protégés »  qu’ils disaient sur toutes les télés françaises

En Israël, la contamination et les décès explosent. Entre le 14 décembre 2021 et le 26 janvier 2022, le nombre de nouveaux cas est passé de 595 à 72 014/jour (Moyenne sur 7 jours) soit une multiplication par 121 en 6 semaines

Entre le 30 décembre 2021 et le 5 février 2022, le nombre de décès en Israël est passé de 1 à 66 décès/jour (Moyenne sur 7 j). Le record absolu du nombre de décès est battu dans un pays vakxiné à 72 % (mais beaucoup plus pour les personnes fragiles) et dans lequel 33,36% des habitants ont déjà été testés positifs et devraient donc avoir une immunité naturelle. 18 millions de doses ont été déjà été injectées à une population de 9,3 millions d’habitants

Avec le nombre de cas critique actuel (1 134), Israël a encore beaucoup de soucis à se faire pour les jours à venir. Une forte majorité des hospitalisations concernent aujourd’hui des personnes âgées double ou triple vakxinées ……

Au Royaume Uni, entre le 28 décembre 2021 et le 4 février 2022, en 5 semaines, le nombre de décès (moyenne sur 7 jours) a été multiplié par 2,5 , passant de 86 à 256 décès/jour malgré la multiplication des injections vakxinales ….???? La proportion de vakxinés et de non vakxinés dans les hospitalisations est la même que dans la population générale. Constatant que la stratégie du tout vakxinal et des mesures contraignantes et liberticides ne porte pas le moindre fruit, le gouvernement britannique y a renoncé en abandonnant toutes les mesures qu’il avait prise et en adoptant  la stratégie du «vivre avec».

4 – Curieusement, et c’est une autre exception française, il n’y avait, selon les déclarations officielles, que des non vakxinés dans les réanimations et dans les décès enregistrés en France (80 % selon la propagande officielle…..). Ces proportions ont été revues fortement à la baisse. Curieusement aussi, aucun des nombreux effets secondaires recensés dans d’autres pays  ne semble apparaître en France et leur nombre, largement sous évalué, n’est plus vraiment porté à la connaissance  du public par les médias depuis juillet dernier 2021

Les chiffres de mortalité COVlD et l’omerta sur les effets secondaires étant ce qu’ils sont, il devient légitime de s’interroger sur l’absence d’efficacité et de miracle vakxinal. « Le vakx1 ne tue-t-il pas, in fine, plus qu’il ne protège ? »

En clair, le spot TV français « On peut débattre de tout sauf des chiffres » relève de la manipulation grossière dans la mesure où le chiffre annoncé (80 % de non vakxinés dans les réanimations) était faux. Et ce chiffre était faux parce qu’il était très loin d’être  cohérent avec ceux qui nous venaient du monde entier  en provenance de pays qui connaissaient la même situation que nous.

En clair aussi, le slogan répété inlassablement par les politiques et leurs relais médiatiques : «Tous vakxinés, tous protégés» apparaît chaque jour un peu plus mensonger et contre productif.

Mensonger parce que ça n’est manifestement pas vrai à l’échelle mondiale, si l’on en croit  l’évolution actuelle de l’épidémie dans les pays les plus vakxinés. Les vakx1s actuels, élaborés à la hâte, et toujours en expérimentation, ont été conçus pour contrer le virus souche de Wuhan. Ils ne semblent pas adaptés ni très efficaces pour contrer les nouveaux variants et peut être ceux qui pourraient encore apparaître.

Contre-productif parce que les plus crédules des vakxinés se croient « immunisés » par un QR code de pass sanitaire ou vakxinal et ne respectent plus les gestes barrières et les précautions élémentaires nécessaires en cas d’épidémie. Ces gens là deviennent, avec les encouragements et la bénédiction des autorités politiques et de santé, de véritables dangers publics pour la santé de la population, vakxinée ou non.

Avec l’apparition du variant Omicron très contagieux mais peu létal, qui se comporte pour l’énorme majorité des contaminés comme un « vakx1 naturel » avec peu d’effets secondaires graves, la possibilité existe d’une « fuite en avant vakxinale » avec des « rappels » tous les trois mois, avec des vakx1s qui auront toujours une ou deux guerres de retard sur des variants, beaucoup plus malins que nos gouvernants, nos journalistes et nos autorités de santé.

La vakxination va-t-elle devenir obligatoire tous les trimestres ? tous les mois ? Au plus grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques, …. , des hommes politiques et des médias qui bénéficient de leurs largesses ? Ou finira-t-on par se rabattre sur le «vivre avec» comme les britanniques, les espagnols les danois ou les tchèques et beaucoup d’autres, en utilisant des traitements précoces qui ont fait leurs preuves et rendra-t-on aux praticiens l’entière liberté de prescrire ? L’avenir nous le dira.

Il est recommandé aux vakxinolâtres les plus inquiets de remplacer le QR code du Pass sanitaire bientôt, à moins que cette épidémie, comme toutes les grandes épidémies du passé, ne finisse par s’éteindre naturellement. N’ayez aucune illusion, Big Pharma, politiques et médias vous expliqueront que c’est grâce aux vakx1s COVlD et vous serez sommés de le croire.

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Rapport de situation planétaire COVlD du 5 février 2022 0h00 GMT

Observations factuelles : En ce début d’année 2022, à l’échelle planétaire, la contamination COVlD (variant O-micron) a explosé et la mortalité mensuelle COVlD (variant delta) a fortement augmenté. Janvier 2022 aura donc été l’un des pires de l’épidémie en terme de mortalité déclarée: 290 000 décès en 5 semaines après 10,2 milliards de doses de vakx1s injectées. Ce nombre reste très supérieur à la moyenne mensuelle des décès de 2020 sans vakxination, qui n’était que de 150 000 décès/mois et proche de la moyenne mensuelle de 2021 avec vakx1 qui a été de 300 000 décès/mois. On réalise toute «l’efficacité» (???) des campagnes vakxinales qui auraient dû faire reculer le virus et combattre les formes graves de la maladie ….. On peut débattre de tout, sauf des chiffres .….

Les pays les plus pauvres, dont 10 % seulement de la population seraient vakxinés, sont ceux qui affichent les taux de mortalités COVlD les plus faibles ( inférieurs à 1, mais le plus souvent à 0,5 pour mille). «On peut débattre de tout sauf des chiffres»…..

Les pays les plus riches, les plus « avancés », les plus vakxinés (de 75% à 98%), les plus assistés médicalement, mais aussi les plus âgés, les plus fragiles, les plus touchés par le surpoids et l’obésité, sont ceux qui continuent d’afficher les taux de mortalité les plus élevés au monde. (supérieurs à 1,5 et jusqu’à 4 pour mille). « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » ….

Après 2 ans d’épidémie, le taux de mortalité COVlD planétaire reste dérisoire (0,74 pour mille habitants), comparé à d’autres maladies plus ou moins difficilement curables (cancer, sida et surtout «famines»……) . La population terrestre continue donc d’augmenter, malgré la COVlD au rythme élevé de 70 à 73 millions d’habitants par an. « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » ….

En plus de 2 ans d’épidémie, 5,74 millions d’individus, très âgés, fragiles et souvent déjà malades sont décédés « avec la COVlD » alors que près de 125 millions d’individus sont décédés dans le monde, de bien d’autres causes….

On notera avec intérêt le comportement paradoxal de l’être humain qui accepte, en 2021, de réaliser 42,7 millions d’avortements sur la planète, et qui, « en même temps » et « quoiqu’il en coûte » à l’économie et à la vie sociale prend mesures sur mesures draconiennes pour tenter, trop souvent en vain, de prolonger de quelques mois l’espérance de vie de quelques millions de vieillards (dont je fais partie), vieillards qui ont, pour la plupart, dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et dont certains ont usé et abusé des bonnes choses de la vie. Ainsi, 1,7 milliards de terriens seraient en surpoids et 800 millions seraient classés obèses en 2021…(Source : Worldometer)

Il faut donc RE…LA…TI…VI…SER, apprendre à « vivre avec », ce que font désormais un grand nombre de pays dont le Royaume Uni, l’Espagne, le Danemark, la Suède, la Biélorussie, la Russie, la république Tchèque et même Israël ; et «traiter précocement» pour limiter la mortalité, comme on l’a déjà fait dans le passé pour nombre de maladies. Il faut aussi, en Europe, cesser de supprimer des lits d’hospitalisation, en pleine épidémie, au nom de la «rentabilité», alors que notre population vieillit et donc se fragilise, et faire semblant de s’étonner (pour nos politiques et leurs «conseils scientifiques» sponsorisés par «Big Pharma»), que nos structures hospitalières soient saturées, ce qu’elles sont, chaque hiver, depuis bien longtemps.

En Europe, la gestion suédoise de l’épidémie qui a donné, depuis le début, des résultats bien meilleurs que les nôtres, devrait désormais être prise en exemple, en palliant ses faiblesses dans la prise en charge et le traitement des personnes âgées en établissements hospitaliers.

Le dernier pic épidémique planétaire du «variant delta» ayant été franchi dans les derniers jours d’août avec 10 329 décès/jour (moyenne sur 7 jours), la situation s’est améliorée progressivement jusqu’à la fin de l’année 2021 (5 958 décès/J, moyenne sur 7 jours, en dépit de l’arrivée du variant Omicron. Avec l’entrée en hiver de l’hémisphère Nord, elle s’est logiquement détériorée en Janvier 2022, comme chaque année à la même époque pour retrouver le niveau du Pic d’Août 2021 à plus de 10 300 décès/jour (moyenne sur 7 j)

Cette évolution reste très contrastée d’un pays à l’autre. La situation reste bonne en Afrique (très peu vakxinée). Elle est quasi-stable en Europe, mais se détériore partout ailleurs. L’épicentre de l’épidémie rebascule à nouveau progressivement vers le sous continent nord américain malgré un taux de vakxination déjà élevé de 75 %, une multiplication des « boosters » qui s’avère inefficace, et une immunité naturelle en hausse rapide (23 % de la population US ont déjà été testés positifs et ont guéri de la COVlD). Le surpoids et l’état cardio-vasculaire des individus, liés à la malbouffe générale sur le continent, et la surmortalité hivernale traditionnelle y sont probablement pour quelque chose …..

En Europe, l’Est se remet très vite du pic qu’elle a connu en décembre. L’Ouest où la contamination galope grâce au variant Omicron, semble atteindre, peu à peu, une immunité naturelle plus solide et durable que la très hypothétique « immunité vakxinale » qui est très loin d’avoir fait ses preuves.

Présentation des courbes de contamination et de décès planétaires,

A noter que l’arrivée de la vakxination n’a pas changé grand-chose, à ce jour. Aujourd’hui, 10,2 milliards de doses de vakx1 auraient été injectées, plus de 61 % des habitants de la planète «auraient» reçu au moins une dose de vakx1. 525 millions de doses de vakx1 sont désormais injectées chaque mois pour un résultat toujours aussi peu probant sur l’évolution de la contamination et de la mortalité.

Les taux de guérison sont très rassurants, sur 391 millions de personnes déclarées positives à la COVlD depuis le début de l’épidémie, plus de 310 millions ont été déclarés guéris, soit près de 80%. 75 millions seraient encore en cours de soin, dont 91 500 (en baisse) en situation critique, 5,74 millions seraient décédés « avec la COVlD » en 2 ans et, pour l’énorme majorité de ces derniers, des personnes déjà très âgées, atteintes de comorbidités et ayant dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine.

Ces taux de guérison varient d’un continent à l’autre en fonction de l’âge des population concernées et surtout de la gestion plus ou moins efficace de l’épidémie. Mais il est aujourd’hui presque partout proche de 80% à l’exception des pays les plus affectés du moment.

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Point de situation du Samedi 5 février 2022 0h00 GMT

Depuis le début de l’épidémie :

223 pays ou territoires ont été affectés par le virus, pour 391 millions de tests positifs, 5,74 millions de décès, 310 millions de guérisons75,4 millions de cas «actifs» dont 90 667 en état critique (stable).

29 pays ont déclaré plus de 30 000 décès depuis le début de l’épidémie et comptent 89% des décès avec, dans l’ordre des pertes: (USA, Brésil, Inde, Russie, Mexique, Pérou, Royaume UniItalie, IndonésieColombie, IranFranceArgentine, Allemagne, PologneUkraineAfrique du Sud, Espagne, Turquie, Roumanie, Philippines, Hongrie, Chili, Vietnam, République Tchèque, Équateur, Canada, Bulgarie, Malaisie.

A l’échelle de la planète, la mortalité liée à la pandémie est en hausse depuis début janvier 2022 et atteint désormais les 10 307 décès/jour (moyenne sur 7 j), c’est à dire au dessus du niveau du dernier pic planétaire du 25 août dernier.

A la lecture du tableau qui suit, on réalise à quel point, malgré l’apparition du variant O-Micron, la mortalité reste faible mais en très légère hausse en Afrique ; stable en Europe ; plus forte et en hausse sensible en Asie (Inde) et en Amérique latine (Brésil, Mexique), plus élevée encore mais quasi stable en Amérique septentrionale et en Océanie. L’Europe ne devrait plus rester longtemps l’épicentre de l’épidémie. L’Amérique du Nord pourrait bientôt prendre la relève. Le rôle de l’hiver, de la fragilité des populations en surpoids et surtout l’échec de l’expérimentation vakxinale aux USA peuvent expliquer cette évolution. La stratégie « atlantiste » (UE-OTAN) et mondialiste de gestion de la crise sanitaire est prise en défaut. Elle (l’OTAN) cumule désormais plus de 36% des pertes mondiales pour 12% de la population. C’est un échec cinglant de la stratégie du tout vakxinal …

Ci après, un tableau rappelant l’évolution de l’épidémie sur les 6 derniers mois (en vert l’amélioration hebdomadaire, en rouge la détérioration)

Bilan au 5 février 2022 0h00 GMT du nombre de cas et de décès par grande région du monde classées par taux de mortalité

Les bilans les plus lourds de la journée d’hier ont été, dans l’ordre, ceux des USA, du Brésil et de l’Inde. Ces trois pays ont déclaré, à eux seuls, près de 42 % des nouveaux décès de la planète.

L’Océanie, l’Afrique et l’Asie enregistrent une part des pertes mondiales de 27% alors qu’elles regroupent 77,5% de la population. L’Europe et le continent américain (Nord et Sud) enregistrent 73% des pertes pour 22,5% de la population mondiale. La part de l’hémisphère Nord continue d’augmenter avec l’effet hivernal, malgré le taux de vakxination le plus élevé au monde, et celle de l’Afrique pourtant sept fois moins vakxinée, continue de se réduire.

Pour relativiser, encore et toujours, cette crise sanitaire, voici la comparaison avec les épidémies du siècle dernier: On est encore très très loin de la grippe espagnole ….

Au delà des nombres évoqués ci dessus, il faut aussi souligner qu’une très forte majorité (88%) des décédés de cette épidémie avait déjà dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et souffraient de multiples comorbidités …. ce qui n’était pas le cas lors des grandes épidémies précédentes où les jeunes mourraient par millions.

A noter aussi que les statistiques dites « officielles » des gouvernements sont toutes sujettes à caution, chacun pouvant les manipuler à sa guise pour des objectifs politiques (entre autres).

*

Situation par continents, sous continents, et pays les plus affectés 

1 – LEurope

Épicentre de l’épidémie depuis la mi-octobre 2021, l’Europe a vu sa situation s’améliorer très sensiblement, puis se stabiliser. En dépit de l’hystérie politique et médiatique autour de la hausse du «taux d’incidence» du virus peu létal O-micron, le nombre de décès déclarés COVlD, seul indicateur pertinent, pour peu que les nombres déclarés soient justes, est stable presque partout alors que l’Europe est au coeur de l’hiver. Les politiques, les autorités de santé et les médias agissent pourtant comme s’ils voulaient continuer à générer la peur pour pousser les récalcitrants vers la seringue. Dans les faits, ce sont la Russie, l’Italie, la France et le Royaume Uni qui totalisent, à eux seuls, 51% des décès européens de la semaine écoulée.

1-1 – La Russie et l’Italie sont les seuls pays européens à avoir enregistré plus de 2 000 décès en 7 jours.

La Russie déclare encore, à elle seule, 21% des décès européens, mais le nombre des décès y poursuit sa baisse sensible (voir courbe ci dessous).

1-2 – Situation du Royaume Uni:

La situation s’est détériorée sensiblement en Janvier 2022 avec un doublement du nombre des décès quotidiens: 256 décès/J (moyenne sur 7 jours) dont une forte majorité de double ou triple vakxinésAvec l’arrivée du Omicron, jugé peu létal, le Royaume Uni a abandonné toutes les mesures coercitives et décidé de reprendre sa vie d’avant et de «vivre avec». Tenant compte des faits observés, le Royaume Uni n’a jamais tenté d’ostraciser les non vakxinés en tentant de les rendre responsables de l’échec planétaire de l’expérimentation vakxinale.

Le bilan total des pertes COVlD du Royaume Uni (158 000 décès «déclarés») suit désormais celui de la Russie (334 000) mais pour une population deux fois moins nombreuse. La vakxination de masse a débuté au début de décembre 2020 et 77% de la population auraient reçu une première injection; 71% auraient reçu la 2ème, la 3ème ou la 4ème … et 25,7%, ayant été déclarés positif, seraient immunisés naturellement. Le bilan continue d’être étrangement lourd pour une population présumée très protégée des formes graves par un vakx1 déclaré par Big pharma efficace à plus de 95% (????), d’autant que la proportion des personnes fragiles (ou à risque) vakxinées est bien supérieure aux données présentées ci dessus …..

1-3 – Après la forte hausse des tests positifs COVlD déclarée début janvier, la situation de l’Italie s’améliore (- 27% de tests positifs en 1 sem).

Le nombre des décès (du variant delta) est encore élevé, mais quasi stable. (+8% seulement en 1 sem). Il devrait baisser en février malgré l’effet «conditions hivernales». L’Italie restera probablement à la troisième place pour le nombre des décès en Europe. Notons que l’explosion du «taux d’incidence» n’est plus un indice pertinent, avec un virus tel que le O micron qui, grâce à sa faible virulence, se comporte comme un vakx1, bien meilleur que ceux proposés par Big Pharma.

1-4 – La situation de la France est comparable à celle de l’Italie.

Le nombre de testés positifs (indice peu pertinent) a fortement et très vite augmenté début janvier 2022. Mais il baisse désormais tout aussi vite (-23% en 1 sem). Celui des décès (du variant delta) plafonne sous la barre des 2000 décès/semaine malgré la période hivernale propice aux pathologies respiratoires. Celui des cas critiques semble stable (3 641), ce qui reste dérisoire pour la saison. Vraiment pas de quoi paniquer ….

A ce jour, 79,8% des français, sous la pression de mesures coercitives pour une large part, auraient reçu une dose de vakx1, 76% en auraient reçu deux (en 13 mois de campagne) et 31% ayant contracté le virus (dont plus de la moitié, o-micron, en Janvier 2022), seraient immunisés naturellement. Les résultats attendus de la vakxination expérimentale ne sont donc pas au rendez vous, comme partout ailleurs dans le monde. Une forte majorité des vakxinés admet s’être fait vakxinée sous les pressions des mesures prises par le gouvernement pour interdire aux non vakxinés de vivre et de travailler normalement. Mais beaucoup renoncent aujourd’hui à la 3ème ou à la 4ème doses de rappel, comprenant qu’ils entrent dans un cycle sans fin de vakxinations quadrimestrielles sans aucun bénéfice pour leur santé, d’autant que le nombre et la gravité des effets secondaires des vakx1s commencent à être connus et documentés. On est très loin, en France, du consentement «libre et éclairé» requis dans ce genre d’acte médical «expérimental», surtout lorsque l’expérimentation n’est pas une réussite. Le retour à la vie d’avant n’est donc pas pour demain, si le pays garde au pouvoir, dans deux mois, les «pieds nickelés» qui le gouvernent aujourd’hui. L’exemple des électeurs israéliens qui ont su chasser du pouvoir «Netanyahu-Vakxinator» inspirera peut être les électeurs français. Notons que Netanyahu est aujourd’hui traduit en justice pour des affaires de corruption et de conflits d’intérêt….

A noter que la proportion de vakxinés n’est plus celle annoncée par les autorités dans la mesure où un part importante d’entre eux refusent d’entrer dans le cycle infernal des injections bientôt trimestrielles imposées par l’exécutif en acceptant les 3ème ou 4ème injection. Ces vakxinés sont donc repassés sous statut de non vakxinés et n’ont plus droit au sésame vakxinal. Certains regrettent déjà d’avoir cru aux promesses de janvier 2021 du retour à la vie d’avant contre deux injections vakxinales …..

Ces chiffres français sont d’ailleurs peu fiables car ils émanent des autorités sanitaires et politiques françaises qui ont déjà beaucoup, beaucoup trop menti depuis le début de cette épidémie …..

Peut être devraient-elles regretter de ne pas avoir utilisé toute la palette des traitements précoces existant sur le marché et d’avoir interdit aux médecins de ville de soigner et de prescrire des molécules jugées efficaces presque partout ailleurs dans le monde……. Bien sûr, elles rendront les nouveaux variants, plus malins qu’eux, et les non vakxinés responsables de l’échec de leur stratégie …. sans jamais se poser la question qui tue: Les vakx1s expérimentaux anti COVlDélaborés à la va-vite, ont-ils ou non l’efficacité qu’on leur prête?

Pour le nombre des décès, la France a franchi la barre des 132 000 déclarés en ce début de février.

Chacun notera avec intérêt que le pic de mortalité (variant delta) de février 2022 est bien plus sévère que celui d’août 2021. Autrement dit, plus on vakxine en France et moins la population fragile, pourtant très vakxinée, semble protégée des formes graves. Ce constat devrait interroger sérieusement le conseil dit « scientifique » et les politiques qui devraient se rendre à l’évidence. Plus que le virus COVlD, c’est l’hiver et les comorbidités qui tuent. Et il n’existe pas de vakx1 contre l’hiver ……

Le taux de mortalité COVlD français reste, à ce jour, près de 3 fois supérieur à la moyenne mondiale avec 2,02 décès pour mille habitants en 2 ans, pour une moyenne mondiale de 0,74 pour mille.

Pour le nombre des décès, la France reste à la quatrième place européenne (sur 48 pays ou territoires) derrière la Russie, le Royaume Uni et l’Italie. Merci aux autorités de santé et à l’exécutif qui ont interdit aux médecins de prescrire les traitements précoces efficaces, avec le consentement éclairé de leurs patients …. Pour le taux de mortalité de l’épidémie, la France fait désormais, et pour la première fois, pire que l’Espagne …. (2,018 décès/1000h contre 2,014/1000h)

1-5- La situation de l’Espagne, pays latin vakxiné à 85%, ressemble à celle de l’Italie et de la France.

Le nombre des décès s’inscrit en hausse sur les 7 derniers jours (+ 4%). Depuis qu’elle a levé toutes les mesures coercitives, la situation de l’Espagne se détériore moins vite que celle de la France ….

1-6- La situation de l’Allemagne poursuit son amélioration :

Si le nombre de cas hebdomadaires Omicron déclarés augmente (+ 27% en 1 sem), celui des décès (variant delta) diminue progressivement (- 3%) malgré l’effet hivernal. L’Allemagne aurait vakxiné d’une première dose, à ce jour, 75% de sa population, 74% auraient reçu les deux doses et 12,8% ayant contracté et guéri de la maladie seraient immunisés naturellement. Pas besoin d’être sorti de Polytechnique pour réaliser qu’en 2021 la vakxination n’aura servi strictement à rien en Allemagne. L’évolution de la courbe en janvier nous répète que, comme ailleurs, c’est l’hiver qui tue. Et il n’existe pas de vakx1 contre l’hiver.

1-7- Avec un taux de mortalité de 2,5 décès par millier d’habitant, la Belgique, siège des institutions européennes, pays de brassage et de passage, restera un pays «cluster».

2- L’Amérique septentrionale

Le nombre hebdomadaire de cas déclarés et de décès a explosé en Janvier aux USA, champions du monde de la malbouffe et de l’obésité, et dans le peloton de tête de la gestion calamiteuse du « tout vakxinal ».

75% des citoyens US auraient reçu une première dose de vakx1, 64% auraient reçu les deux. Les citoyens US seraient donc plus vakxino-sceptiques que les français, ou peut être plus fermes dans leurs convictions. Il est vrai que toute la panoplie des mesures contraignantes appliquées en France n’a pas pu l’être aux USA pour des raisons constitutionnelles ….

Courbe des tests positifs US déclarés au cours de l’épidémie

L’épidémie est loin d’être éradiquée aux USA. Bien pire que prévu en 2021, le nombre des décès a passe le cap des 924 500 au 5 février 2022 (200 fois les pertes déclarées par la Chine), malgré le vakx1 …

En 2020, année COVlD gérée par l’administration Trump, le nombre des décès US avait été de 370 000 pour 20,5 millions de cas déclarés (sans vakx1s). Trump avait été lynché par la meute médiatique occidentale, contrôlée par l’état profond US et ses relais en UE, pour sa gestion jugée calamiteuse de l’épidémie. En 2021-2022, années COVlD gérées par l’administration Biden, le nombre des décès US a très largement dépassé celui de 2020 pour s’établir à 925 000 décès, donc + 51% de décès pour la gestion Biden en 2021-22. Ce triste bilan est obtenu alors que 542 millions de doses de vakx1 ont déjà été injectées à la population US (334 Millions d’h) en 2021-22 par l’administration Biden …..

Le lecteur aurait-il entendu les médias critiquer Biden pour les résultats de sa gestion de l’épidémie bien plus désastreux que ceux de Trump ? Aurait il entendu dire que l’efficacité du vakx1 n’est pas du tout celle annoncée par Big Pharma ?

«On peut débattre de tout sauf des chiffres»: de tels résultats d’une campagne de vakxination de masse avec un vakx1 vendu pour une efficacité de plus de 95% devrait interroger les responsables politiques du monde entier d’autant que les pays les moins vakxinés d’Asie et d’Afrique sont très loin d’afficher des résultats aussi calamiteux ….. et que les personnes à risque sont beaucoup plus vakxinées que les autres …. ce qui devrait entraîner une baisse rapide des décès si les vakx1s étaient efficaces.

Au Canada, les nombres de nouveaux cas et de décès ont suivi la courbe US. Forte crue fin décembre-début janvier, décrue rapide depuis le 7 janvier Le taux de mortalité COVlD déclaré par les canadiens (0,9/1000h) reste inférieur de plus de moitié à celui de l’Europe (2,18/1000h) et de plus des deux tiers à celui de son voisin US (2,77/1000 h).

3 – L’Asie

Rapportée à la population, la mortalité y reste dérisoire, très inférieure à la moyenne mondiale. La situation s’est détériorée sensiblement en janvier 2022.

L’Asie de l’Est et du Sud-Est (Chine, Japon, Vietnam, les deux Corées, Taïwan, Philippines, Indonésie, Laos, Cambodge, Malaisie, Birmanie …) reste donc toujours très peu touchée par la pandémie comparée au reste de l’Asie et du monde. La situation s’y détériore légèrement quasiment partout à l’exception du Myanmar, du Vietnam, des Philippines, de la Malaisie et de la Corée où la situation s’améliore.

L’Indonésie, actuellement pays le plus touché d’Asie de l’Est, enregistre un taux de mortalité encore dérisoire de 0,519 décès/1 000 h (inférieur à la moyenne mondiale de 0,737). Taïwan, pays parmi les moins touchés et qui n’a jamais adopté de confinement national, déclare un taux de mortalité de 0,036 décès pour mille h (851 décès de la COVlD en 2 ans pour 24 millions d’h). Le Japon, quant à lui, déclare 19 039 décès pour 126 millions d’h soit 0,151 décès /mille h.

C’est donc l’Asie de l’Ouest (Inde, Iran et pays voisins du Moyen-Orient), qui a enregistré l’essentiel des pertes en Asie. Ces pertes restent très limitées si on les rapporte au nombre d’habitants. Le taux de mortalité COVlD déclaré par l’Inde (0,358 décès pour 1000 h) reste dérisoire comparé à la moyenne mondiale (0,737 /1000h) ou à celle de l’ Europe (2,18 pour 1000h).

S’agissant de l’Iran, ce pays est toujours un pays sous sanctions économiques «maximales» de la part des USA (au profit d’Israël) et enregistre le 3 ème taux de mortalité le plus élevé d’Asie (1,548 décès/millier d’h), derrière la Géorgie, et l’Arménie qui a cumulé la guerre et la COVlD.

La contamination a explosé en Janvier en Israël, l’un des meilleurs élèves de la classe «tous vakxinés-tous protégès». En six semaines, du 14 décembre 2021 (595 cas/jour, moyenne sur 7j) au 23 janvier 2022 (72 913 cas/jour, moyenne sur 7 jours), le nombre de contaminés a été multiplié par 122Le nombre de décès est passé de 1 décès/jour le 31 décembre 2021 à 66 décès/j moyenne sur 7 jours, le 4 février 2022. Pour le pays phare de l’expérimentation vakxinale, le résultat est tout simplement un immense fiasco, quoi que puissent en dire les médias mainstream payés pour minimiser l’échec.

L’épidémie est donc très loin d’être éradiquée en Israël. Les hospitalisations d’aujourd’hui sont en majorité des doubles, triples ou quadruples vakxinés. On y est donc très loin du retour à la vie d’avant promis l’année dernière à la même époque par les promoteurs du vakx1 ….. même si Israël a renoncé à toutes les mesures liberticides qu’il avait adoptées.

Israël avait déclaré 3 325 décès en 2020, sans vakx1. Elle en était à 8 243 décès le 31 décembre 2021 soit 8 243 – 3 325 = 4 918 pour l’année 2021 avec le vakx1. L’année 2022 est bien partie pour être pire encore puisque Israël à déclaré 868 décès pour les 5 premières semaines de l’année 2022. Le vakx1 n’est donc pas aussi efficace qu’annoncé par Big pharma, puisque la situation continue de se détériorer en 2022, malgré la multiplication des injections vakxinales sur les personnes les plus fragiles …..

Cette mortalité asiatique, y compris celle de l’Inde et de l’Iran, reste aujourd’hui très inférieure à celle des continents américain et européen.

Tableau présentant la situation du 5 février 2022 des 20 pays d’Asie ayant dépassé les 9 000 décès (95 % des pertes en Asie)

4 – L’Amérique latine 

Avec plus de 1,6 millions de décès déclarés, l’Amérique latine n’est plus la région du monde la plus affectée par l’épidémie à ce jour, ni pour le taux de mortalité (remplacée par l’Amérique du Nord, ni pour le nombre des décès (remplacée par l’Europe). Sous continent le plus vakxiné au monde, l’Amérique latine a vu sa situation se détériorer très fortement en Janvier 2022.

En Amérique latine, les pertes humaines hebdomadaires déclarées sont en hausse très sensible à 15 154 décès déclarés. La situation se détériore quasiment partout. Elle ne s’améliore qu’en Équateur , en Bolivie, au Surinam et en Guyana (ces 3 derniers pays étant, curieusement, les moins vakxinés du sous continent). La situation est stable en Colombie.

Le bilan brésilien reste le plus lourd avec un tiers des pertes «latinos» de la semaine passée. Le nombre des décès hebdomadaire (du variant delta) s’y inscrit en forte hausse (732 décès/jour (moyenne des 7 derniers j).

Les décès se concentrent dans huit États qui déclarent près de 95 % des décès et plus de 21 000 décès chacun. Les autres pays des Caraïbes et d’Amérique du Sud restent encore relativement épargnés par l’épidémie.

Au Mexique, le nombre hebdomadaire de décès est, lui aussi, en nette hausse (+ 45% sur la moyenne des 7 derniers jours).

Tableau présentant la situation du 5 février 2022 des huit pays d’Amérique latine ayant dépassé les 21 000 décès (93 % des pertes)

5 – L’Afrique

Continent le moins vakxiné, se porte toujours très bien (comparé au reste du monde) :

La mortalité liée au COVlD y reste dérisoire. Elle est en hausse en Afrique du Sud, pays qui a révélé le variant Omicron il y a deux mois. L’Afrique du Sud, sur le podium de la vakxination africaine, compte à elle seule 37,5 des décès du continent pour 4,3 % de sa population.

Avec la Tunisie, l’Égypte, le Maroc, l’Éthiopie, et l’Algérie, seuls autres pays d’Afrique à dépasser les 6 100 décès COVlD déclarés depuis janvier 2020, elle regroupe 73 % des décès africains de la COVlD.

La fermeture des frontières avec l’Afrique à l’initiative des Européens pour éviter la contamination COVlD prêtait à sourire. Ce sont les Africains qui devraient se protéger de l’immense cluster qu’est devenue l’Europe vakxinée, toujours épicentre de l’épidémie, qui compte encore aujourd’hui 30 % des décès COVlD de la planète. La semaine dernière 207 457 nouveaux cas pour toute l’Afrique, 10,2 millions en Europe …. Sans commentaire.

Par ailleurs le lecteur notera que les deux pays africains qui ont choisi une stratégie « à l’occidentale» de gestion de la crise sanitaire (Rejet du traitement précoce à la chloroquine, stratégie du tout vakxinal): L’Afrique du Sud et la Tunisie totalisent 51% des pertes africaines alors qu’ils ne représentent que 5% de la population.

Si le lecteur n’en conclue pas que la gestion à l’occidentale ne tient pas la route et ne doit surtout pas être imitée, il a de gros souci à se faire pour ses capacités cognitives…

6 – L’Océanie

En Janvier 2022, la COVlD-19 a explosé sur ce continent malgré un taux de vakxination de 65%. L’Australie qui compte 62% de la population du continent Océanien, déclare 63% des pertes en dépit des mesures liberticides les plus draconiennes au monde et un taux de vakxination de 84%, très supérieur à celui de ses voisins. On y cherche, en vain, le miracle vakxinal (On peut débattre de tout, sauf des chiffres)

Sur 43,5 millions d’habitants, l’Océanie a déclaré, à ce jour, 2,88 millions de cas, dont 2,32 millions en Janvier 2022, en plein été austral; 2,54 millions auraient déjà été guéris et 6 487 seraient décédés (dont 1 984 depuis le 1er Janvier 2022). Le nombre de cas critiques est passé de 172 au 1er Janvier à 372 au 5 février 2022….. . Le continent océanien a déclaré 623 décès (moyenne sur 7j) la semaine dernière. Il en déclarait 62 (dix fois moins) en dernière semaine de décembre. Son taux de mortalité COVlD de 0,15 décès pour mille habitants, depuis le début, reste toutefois dérisoire (France: 2,018), et très inférieur au nombre de décès liés à la circulation routière sur le continent océanien.

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Nombre de décès déclarés pour 1 000 habitants des 34 pays de la planète qui ont déclaré plus de 24 000 décès.

Commentaires sur le tableau ci dessus :

1 – Onze pays de l’OTAN, dont les puissances majeures, se situent dans les 20 premières places de ce triste classement mondial, alors même qu’ils sont les plus vakxinés au monde. Les autres pays membres de l’OTAN ne sont d’ailleurs pas très loin: Grande fragilité des populations âgées et en surpoids? Faillite des systèmes de santé ? Très faible efficacité des vakx1s? Ou incompétence des gouvernances ? Quelles que soient les réponses à ces questions, elles n’augurent rien de bon en cas de conflit majeur impliquant tout ou partie de l’OTAN … contre un adversaire potentiel eurasiatique (Chine, Russie, Iran) ….

Rappelons que les 30 pays de l’OTAN qui ont adopté la stratégie du «tout vakxinal», en parfaite imitation de leur maître états-uniens, regroupent 955 millions d’habitants, soit 12% de la population mondiale. Ils ont déclaré un total de 2,15 millions de décès soit 37,4% des pertes totales de la pandémie et un taux de mortalité de 2,25 décès pour 1000 habitants. Le reste du monde, qui compte 6,97 milliards d’habitants a donc déclaré 3,60 millions de décès pour 88% de la population mondiale, soit un taux de mortalité de 0,52 pour 1000 habitants, plus de 4 fois inférieur à celui des pays de l’OTAN. Dans la « guerre à la COVlD 19 », la stratégie otanienne et mondialiste du « tout vakxinal » a donc été un échec puisque les pertes ont été «massives», comparées au reste du monde, sans préjuger d’ailleurs des pertes collatérales liées aux effets secondaires des vakx1s. L’avenir proche nous éclairera toujours plus sur les bilans comparés des différentes parties du monde «multipolaire» selon les stratégies appliquées. On peut débattre de tout sauf des chiffres surtout lorsque le rapport est de 1 à 4 …..

En raison des conséquences de l’affaiblissement économique de l’occident et des bascules de puissance en cours de réalisation, l’OTAN devra revoir sa politique d’ingérence tous azimuts et ses ambitions à la baisse, y compris en Ukraine ….. Les retraits occidentaux d’Afghanistan et du Mali en 2021 en ont été les premiers signes tangibles…. Il y en aura d’autres en 2022 …

2 – Les donneurs de leçons anglo-saxons (USA, UK) et, à un moindre degré, l’Allemagne et la France, pays qui tiennent encore le haut du pavé dans les institutions internationales (OMS, ONU, FMI, Banque mondiale, UE, OTAN), sont désormais assez mal placés pour prodiguer leurs conseils, avec condescendance, au reste du monde, et pour ramener leur «science» à tout propos. Les pays du tiers monde ont observé avec intérêt la gestion «à l’occidentale» de la crise sanitaire. Ils sauront, au fil du temps, se rallier aux partenaires les plus fiables du moment …. accélérant ainsi le déclin en cours de ceux qui ont failli.

3 – Quant à l’Inde qui a fait l’objet de l’hystérie des médias «covidistes» en juin 2020, force est de reconnaître que, rapporté à sa population, son taux de mortalité déclaré depuis le début de l’épidémie reste encore près de 5 fois inférieur à celui de notre pays. Les États de la fédération indienne sont des États qui ont très majoritairement fait le choix des traitement précoces efficaces et peu onéreux (ivermectine, chloroquine, azytromycine), choix que les pays occidentaux ont refusé de faire pour privilégier un vakx1 qui est aujourd’hui en situation d’échec face aux nouveaux variants du virus en Israël, aux USA, au Royaume Uni, à Singapour, aux Emirats… et ailleurs… 

4 – La Chine ne figure pas dans ce triste palmarès parce qu’elle n’a déclaré que 4 636 décès depuis début 2020 et aucun décès en 2021. On me rétorquera, bien sûr, le slogan habituel bien connu: « La Chine ment ». Si c’était le cas, la vérité aurait forcément filtré via nos représentations diplomatiques, les nombreux binationaux vivant sur place, les espions occidentaux infiltrés, l’OMS, les ONG ….etc. L’économie chinoise ne tournerait pas à plein régime. Toute argumentation de mauvais perdant ne tient donc pas la route. Les occidentaux ne devraient-ils pas, pour une fois, faire preuve d’humilité et demander quelques conseils de nature sanitaire aux chinois ? Rappelons, pour la forme, que le vakx1 n’est pas obligatoire en Chine…

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Un tableau présente ci après les bilans du 5 février 2022 0h00 GMT des 61 pays ayant déclaré plus de 9 000 décès (96% des pertes)

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Tableau de données concernant l’Europe (et l’UE) face à l’épidémie le 5 février 2022 0h00 GMT

Rappel : taux de mortalité COVlD mondial en 2 ans: 0,74 décès /mille h et européen: 2,18 décès/mille h

Nombre de décès COVlD déclarés par millier d’habitants et depuis février 2020, des 34 pays européens de plus de 1,5 million d’habitants affectés par l’épidémie (au 5 février 2022 0h00 GMT)

Commentaires sur les deux tableaux ci dessus :

1 – Les pays du Nord de l’Europe ont beaucoup mieux géré cette épidémie que les autres.

2 – Sans confinements, ni mesures contraignantes, voire répressives, la Suède a fait mieux que la plupart des grands (et moins grands) pays européens, et son taux de mortalité (1,583/1000h) est nettement inférieur au taux moyen européen (2,18/1000h) alors même que sa population, jamais confinée, plus âgée, moins vakxinée que la notre, a été l’une des plus «contaminée» au monde: 22,4% de la population suédoise ont été testés positifs.

Il y a eu manifestement, en Suède, une prise en charge et des traitements précoces des patients, meilleurs que dans d’autres pays ….. Les faits ont montré que les «experts» qui prévoyaient 96 000 décès en Suède pour la fin d’avril 2020 se trompaient très lourdement; et que les médias et les politiques qui relayaient bêtement les délires des «experts», jusqu’à prophétiser, pour certains, 400 000 décès pour la France à l’automne 2020 se trompaient aussi… Aucun d’entre eux n’a jamais reconnu ses erreurs …… ni présenté d’excuses pour avoir paniqué (délibérément?) les populations en relayant des «fake» prévisions …

3 – La Suède, dont la stratégie et la ténacité ont payé, est sortie du groupe des 55 pays les plus touchés au monde. Si l’on en croit sa courbe de décès, la Suède est quasiment sortie d’affaire depuis près de six mois, même si elle a connu, comme les autres pays européens, un épisode Omicron en Janvier 2022 s’ajoutant au delta. Elle a compté jusqu’à 36 décès/jour (moyenne sur 7j) le 26 janvier, mais en une semaine le nombre de décès a déjà diminué de moitié. Elle s’en sortira donc avant beaucoup d’autres pays européens …. et avec beaucoup moins de casse ….. Son taux de mortalité COVlD (1,58 pour 1000h) est très inférieur à la moyenne européenne (2,18 pour 1000h) et à celui de la France (2,02 pour 1000). Elle n’aura connu que 2 vagues significatives et une «vaguelette hivernale » en janvier 2022 et ne délire pas aujourd’hui sur la 5ème vague. Comme c’est curieux, on n’entend plus les journalistes, les professeurs de plateaux TV et les politiques français, donner des leçons à la Suède ……

5 – Quant à la Biélorussie, non confinée, peu vakxinée (45 % seulement ont reçu deux doses), objet de sanctions occidentales visant à déstabiliser sa gouvernance pour « emmerder » la Russie; pays qui recevait des exhortations de l’OMS, des pressions du FMI, des conseils de confinement du président français, grand spécialiste de la chose, et des torrents de critiques des politiques et des médias mainstream occidentaux qui voulaient «ramener leur science» et voir ce pays singer les décisions débiles de leurs gouvernances dans la gestion de la crise sanitaire, il s’en sort avec un taux de mortalité de 3 à 5 fois inférieur à celui des donneurs de leçons: l’un des meilleurs d’Europe (0,648 pour mille habitants). Il est vrai que ce pays n’a pas été une destination touristique très prisée des occidentaux, principaux porteurs et vecteurs d’infection et surtout de chaos et de guerre sur la planète, aujourd’hui comme hier.

*

Enfin, pour ceux qui s’intéressent aux résultats de la vakxination en Europe, voici un tableau d’évolution de la mortalité entre les années 2020 (sans vakx1) et 2021 (avec vakx1). Chacun pourra l’interpréter à sa manière …. en n’oubliant pas que, les personnes à risque ayant été vakxinées en priorité, les résultats sur la baisse de la mortalité auraient dû se percevoir très vite au cours de l’année 2021….. ce qui n’a pas été le cas, bien au contraire……

Les quelques pays qui ont enregistré moins de décès en 2021 qu’en 2020 sont parfois les pays qui avaient tellement mal démarré la gestion de la crise en 2020, qu’ils pouvaient difficilement faire pire en 2021 (C’est le cas de la France et de l’Italie).

Dominique Delawarde

Photo d’illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Overdose. Le documentaire à partager.

Overdose de perversion, d’injustice et de mensonge dans la stratégie sanitaire et vakxinale.
À quoi sert le pass ?
Pourquoi déjà 3 millions d’effets dits « secondaires » ont été déclarés à travers le monde ?
Pourquoi observe-t-on des rechutes de cancer, des maladies neurodégénératives rares et de telles perturbations du système immunitaire ?

Pour comprendre, Renard Buté, pour la première fois en binôme avec Belette Rusée, vous emmène faire un petit tour, avec la protéine Spike, à l’intérieur des cellules.

A partager sans modération

https://odysee.com/@RenardBute:3/Overdose:1

Témoignages des effets indésirables des vakx1s Covid :

https://t.me/temoignagesdangerVaccincovid

Pharmacovigilance française : https://ansm.sante.fr/
Pharmacovigilance européenne : https://www.adrreports.eu/
Pharmacovigilance américaine : https://vaers.hhs.gov/

Hospitalisations :

Décoder l’éco : « Non, les non-vakxinés ne saturent pas les réanimations ! »
https://www.youtube.com/watch?v=Or5KmoQhkdM

DRESS : https://data.drees.solidarites-sante.gouv.fr/pages/accueil/

Études et autopsies sur les effets secondaires : Dr John B.


https://t.me/DrJohnB

Pathologies cardio-vasculaires :

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33440640/ https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCRESAHA.121.318902 https://www.ahajournals.org/doi/full/10.1161/CIRCULATIONAHA.121.056135 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34664804/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34866122/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205194/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32887634/ https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.12.21.423721v1 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33872783/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34591186/

Cancer :

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8538446/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34696455/

Maladies neurodégénératives :

https://scivisionpub.com/pdfs/covid19-rna-based-vaccines-and-the-risk-of-prion-disease-1503.pdf
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22718614/ https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2211034821005885 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8006515/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32681865/

Echappement immunitaire

https://www.voiceforscienceandsolidarity.org/videos-and-interviews/second-call-to-who-please-dont-vaccinate-against-omicron

ADE :


https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34579572/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32908214/

Immunodéficience :


https://childrenshealthdefense.org/defender/covid-vaccines-suppress-immune-system/
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2021.656700/full
https://www.nature.com/articles/s41418-022-00936-x

Maladies auto-immunes :


https://www.nature.com/articles/s41418-022-00936-x
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.08.11.455921v1.full.pdf
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0008382

Comment les vakx1s C0VlD suppriment votre système immunitaire

Mohamed Tahiri

 Mohamed Tahiri

Les vakx1s peuvent offrir une protection spécifique, mais des études suggèrent qu’ils peuvent avoir des conséquences involontaires sur notre système immunitaire.

Dans un article de recherche non évalué par des pairs publié cette semaine, Stephanie Seneff, Ph.D., décrit un mécanisme des injections de C0VlD qui entraîne la suppression de votre système immunitaire inné . Pour ce faire, il inhibe la voie de l’interféron de type 1.

Dans cette interview, l’invitée de retour Stephanie Seneff, Ph.D., chercheuse principale au MIT qui travaille au MIT depuis plus de cinq décennies, discute de son dernier article, « Innate Immune Suppression by SARS-CoV-2 mRNA Vakxinations ». Le rôle des G-quadruplexes, des exosomes et des microARN », co-écrit avec le Dr Peter McCullough, ainsi que deux autres auteurs, le Dr Greg Nigh et le Dr Anthony Kyriakopoulos.

Auparavant, Nigh et Seneff ont co-écrit un article entier détaillant les différences entre la protéine de pointe et la protéine de pointe C0VlD jab. Dans un article de recherche non évalué par des pairs publié cette semaine sur le service de pré-impression authorea , eux et leurs autres co-auteurs approfondissent les mécanismes des clichés C0VlD, montrant comment ils ne façonnent absolument, en aucun cas. , sont sûrs ou efficaces. Les injections suppriment en fait votre système immunitaire inné.

« Je pense que McCullough est fantastique et je suis tellement heureux qu’il collabore avec moi », a déclaré Seneff. « J’espère vraiment que nous pourrons trouver une revue qui acceptera de le publier. Nous devrons peut-être chercher une sorte de média alternatif pour le faire publier.

C’est vraiment incroyable la quantité de censure qui se passe en ce moment. Je suis tout le temps en état de choc. Je n’arrête pas de penser que ça ne va pas s’aggraver, et ça va vraiment s’améliorer, et ça semble continuer à empirer.

Je ne sais pas où est la fin. C’est très décourageant… Pharma a tellement d’argent derrière [eux] et ils ont tout mis en place pour s’assurer que rien ne les échappe…

Nous espérons le mettre en place en tant que prépublication, mais … remarquablement, ils peuvent également le rejeter au niveau de la prépublication. Nous travaillons sur cet angle, mais ce n’est pas facile. Lorsque vous écrivez quelque chose d’aussi radical, ils se battent vraiment pour le garder hors du Web.

Le 16 janvier 2022, le service de prépublication Authorea a publié cet article sur son site Web, lui attribuant un DOI, le rendant ainsi officiel.

Signaux de sécurité exceptionnellement puissants

Comme l’a noté Seneff, lorsque vous examinez les différentes bases de données pour les effets indésirables, vous pouvez voir un signal de sécurité exceptionnellement fort – et les développeurs de plans C0VlD le savent. « Les chiffres sont hors de vue », dit Seneff, et cela vaut pour tous les niveaux d’effets secondaires, de légers à catastrophiques.

Seneff a examiné les données sur le cancer, par exemple, et en moyenne, il y a deux fois plus de cas de cancer signalés après les injections C0VlD par rapport à tous les autres vakx1s combinés au cours des 31 dernières années.

« C’est tout simplement incroyable, car c’est globalement deux fois [supérieur]. Le cancer du sein, par exemple, est trois fois [plus élevé] pour ces vakx1s en un an, comme pour tous les autres vakx1s depuis 31 ans. C’est un signal extrêmement fort », dit Seneff.

«Le lymphome apparaît également beaucoup plus fréquemment avec ces [C0VlD shots]. Il y a juste un signal incroyable là-bas dans le VAERS [le système américain de notification des événements indésirables liés aux vakx1s]. »

Le fait que le signal soit aussi fort est encore plus remarquable si l’on considère que la plupart des gens ne pensent pas que le vakx1 C0VlD pourrait être une variable dans l’émergence de leur cancer, ils ne le signalent donc jamais. « Cela me laisse perplexe qu’ils soient prêts à faire de tels dégâts à la santé de toute la population du monde. Je ne comprends pas ce degré de méchanceté », dit Seneff.

Perturbation de l’interféron de type 1

Les injections suppriment votre système immunitaire inné en inhibant l’interféron de type 1. L’une des premières études à informer Seneff et McCullough à ce sujet était une étude indienne, dans laquelle des cellules humaines cultivées dans une culture ont été exposées aux nanoparticules d’ADN qui leur ordonnent de fabriquer la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, un peu comme les injections C0VlD faire.

La souche cellulaire est appelée HEK-293. Ce sont des cellules qui ont été prélevées dans les reins d’un fœtus avorté dans les années 1980 et qui sont fréquemment utilisées dans la recherche. Bien qu’elles proviennent des reins, ces cellules ont des propriétés semblables à celles des neurones. Lorsqu’elles sont programmées pour fabriquer des protéines de pointe, ces cellules libèrent cette protéine de pointe à l’intérieur des exosomes – des nanoparticules lipidiques à l’intérieur desquelles la protéine de pointe est emballée.

Les exosomes agissent comme un réseau de communication pour les cellules. Lorsqu’une cellule est stressée, elle libère des exosomes contenant certaines des molécules qui la stressent. Ainsi, dans le cas des injections C0VlD, les exosomes contiennent des protéines de pointe et des microARN. Les microARN sont des molécules de signalisation capables d’influencer la fonction cellulaire. Ils amènent la cellule à modifier son comportement ou son métabolisme. En règle générale, ils le font en supprimant certaines enzymes.

L’étude indienne a trouvé deux microARN spécifiques à l’intérieur des exosomes libérés par ces cellules de type neurone : miR-148a et miR-590. Les chercheurs ont ensuite exposé la microglie (cellules immunitaires de votre cerveau) à ces exosomes. Ainsi, comme l’a expliqué Seneff, vous avez des neurones dans votre cerveau qui produisent des protéines de pointe, ou absorbent des protéines de pointe qui sont en circulation, et réagissent en libérant des exosomes.

Les exosomes sont ensuite captés par la microglie, les cellules immunitaires de votre cerveau. Lorsque les cellules immunitaires reçoivent ces exosomes, elles déclenchent une réponse inflammatoire. Il s’agit principalement d’une réponse à ces microARN, les miR-148a et miR-590. Bien sûr, vous avez également la protéine de pointe toxique là-bas.

Combinés, ils provoquent une inflammation du cerveau, qui endommage les neurones. Cette inflammation, à son tour, peut contribuer à un certain nombre de troubles cérébraux dégénératifs. Les particules lipidiques du vakx1 C0VlD, qui contiennent l’ARNm, sont similaires aux exosomes, mais pas identiques. Ils sont également très similaires aux particules de lipides de faible densité (LDL).

« Je pense que les exosomes sont probablement un peu plus petits. Les particules de vakx1 sont plus grosses. Ils ressemblent plus à une particule de LDL. Les particules de vakx1 contiennent du cholestérol dans leur membrane et des lipoprotéines. Ainsi, ils sont faits pour ressembler à une particule de LDL.

Mais ensuite, ils ajoutent ce lipide cationique, qui est vraiment, vraiment toxique – un lipide cationique synthétique qui le rend chargé positivement. Expérimentalement, ils ont découvert que ce lipide, lorsque la particule est absorbée par la cellule, est libéré dans le cytoplasme, [où] cet ARNm produit ensuite une protéine de pointe.

[The C0VlD shots] sont très intelligemment conçus, à la fois pour protéger l’ARN contre la C0VlD et pour rendre l’ARN très efficace pour fabriquer des protéines de pointe. C’est très différent de l’ARNm que le virus fabrique, même s’il code pour la même protéine.

Seneff a écrit un article entier détaillant les différences entre la protéine de pointe virale et la protéine de pointe C0VlD jab, avec Greg Nigh, qui a été publié dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice and Research en mai 2021. Il sert essentiellement d’amorce pour comprendre ce dont nous discutons ici.Deux microARN, miR-148a et miR-590, excrétés dans les exosomes avec la protéine de pointe, perturbent de manière significative la réponse à l’interféron de type 1 dans n’importe quelle cellule, y compris les cellules immunitaires.

Pour en revenir à l’article indien cité ci-dessus, ils ont découvert que la microglie finissait par produire une inflammation dans le cerveau et que les deux microARN jouaient un rôle central dans ce processus. Le miR-148a et le miR-590 ont été placés dans ces exosomes avec la protéine de pointe, et ces deux microARN sont capables de perturber de manière significative la réponse à l’interféron de type 1 dans n’importe quelle cellule, y compris les cellules immunitaires.

L’interféron de type 1 contrôle également les virus latents comme l’herpès et la varicelle (qui cause le zona), donc si votre voie d’interféron est supprimée, ces virus latents peuvent également commencer à émerger. La base de données VAERS révèle que beaucoup de personnes qui ont été piquées signalent ce type d’infections. L’interféron supprimé augmente également votre risque de cancer et de maladies cardiovasculaires.

La réponse à l’interféron de type 1 est cruciale dans les infections virales

Comme l’a expliqué Seneff, la réponse à l’interféron de type 1 est absolument cruciale en tant que première étape de la réponse à une infection virale. Lorsqu’une cellule est envahie par un virus, elle libère de l’interféron alpha de type 1 et de l’interféron bêta de type 1. Ils agissent comme des molécules de signalisation qui indiquent à la cellule qu’elle a été infectée.

Cela, à son tour, lance la réponse immunitaire et la fait démarrer au début de l’infection virale. Il a été démontré que les personnes qui se retrouvent avec une infection grave par le SRAS-CoV-2 ont une réponse compromise à l’interféron de type 1. Comme l’a noté Seneff :

«Il est ironique que les vakx1s soient administrés pour vous protéger du C0VlD, mais ils produisent une situation dans laquelle vos cellules immunitaires sont mal équipées pour combattre le SRAS-CoV-2 s’il pénètre dans la cellule. Le truc, c’est que le vakx1 produit une énorme réponse anticorps, et c’est typique d’une maladie grave.

Ainsi, le [C0VlD shot] trompe votre système immunitaire en lui faisant croire que vous avez eu un cas grave de C0VlD. C’est vraiment intéressant de cette façon, parce que ça a traversé la barrière muqueuse des poumons, ça a traversé la barrière vasculaire du sang, dans le muscle. De plus, il a été déguisé.

L’ARN ne ressemble pas à un ARN viral, il ressemble à une molécule d’ARN humain. Une partie des modifications [apportées à l’ARNm dans le jab] visait à le rendre très solide, afin qu’il ne puisse pas être décomposé. C’est aussi très bon pour rendre la protéine [spike] rapide, ce qui a aussi un problème car cela conduit à beaucoup d’erreurs, ce qui est un autre problème…

Les cellules immunitaires captent les nanoparticules et les transportent à travers le système lymphatique jusqu’à la rate. De multiples études ont montré qu’il se retrouve dans la rate… les ovaires, le foie, la moelle osseuse… La rate, bien sûr, est très importante pour la production d’anticorps.

Il est important de noter que la réponse en anticorps que vous obtenez du vakx1 C0VlD est exponentiellement plus élevée que celle que vous obtenez d’une infection naturelle, et la recherche a montré que le niveau de réponse en anticorps augmente avec la gravité de la maladie. Ainsi, le tir imite essentiellement une infection grave. Dans le cas d’une infection bénigne, il se peut que vous ne produisiez aucun anticorps, car les cellules immunitaires innées sont suffisamment puissantes pour combattre l’infection sans elles.

C’est lorsque votre système immunitaire inné est faible que vous avez des ennuis, et une partie de cette faiblesse est une réponse supprimée à l’interféron de type 1. Si votre réponse à l’interféron de type 1 est déficiente, vos cellules immunitaires ne sont pas très capables d’arrêter la propagation du virus dans votre corps.

Selon Seneff, la raison pour laquelle la supplémentation en interféron de type 1 n’a pas été recommandée jusqu’à présent est qu’il faut la chronométrer parfaitement pour que la cascade immunitaire fonctionne correctement. L’interféron de type 1 ne joue un rôle définitif qu’au stade le plus précoce de l’infection. Une fois que vous êtes entré dans une phase d’infection modérée ou sévère, il est trop tard pour l’utiliser.

Les injections C0VlD confondent votre système immunitaire

Comme l’a noté Seneff, les injections C0VlD sont si peu naturelles que votre système immunitaire ne sait plus trop quoi faire.

« J’ai l’impression que les cellules immunitaires ne savent pas ce qui se passe. Il y a cette protéine toxique produite en quantités massives par les cellules immunitaires. C’est extrêmement inhabituel. Il n’y a aucun signe d’infection virale car ces ARN ressemblent à des ARN humains.

C’est comme si les cellules immunitaires humaines décidaient soudainement de fabriquer une protéine vraiment toxique et d’en fabriquer beaucoup – c’est exactement ce qu’elles font – et le système immunitaire en est complètement déconcerté. Les cellules immunitaires ne savent pas quoi en faire.

Bien sûr, ces cellules immunitaires qui sont surchargées avec toutes ces protéines de pointe, elles disent : « Je dois me débarrasser de ce truc », alors elles l’expédient sous forme d’exosomes. Les microARN [dans les exosomes] pensent que les cellules réceptrices vont avoir besoin de ces molécules de signalisation particulières pour les aider à faire tout ce qu’elles doivent faire pour faire face à cette charge toxique.

Donc, vous répandez la protéine de pointe dans le reste du corps, juste pour dissiper la toxicité à laquelle vous faites face dans la rate, je pense. Ces exosomes sont également très bons pour former des anticorps. Il y avait un bel article qui montrait que les exosomes libérés [avaient] une protéine de pointe dans leur membrane, l’extérieur de l’exosome.

C’est plutôt cool que la protéine de pointe y soit affichée, car cela permet aux cellules immunitaires – les cellules B et les cellules T qui doivent s’en approcher de près – de comprendre comment façonner leurs anticorps. Les anticorps sont façonnés pour correspondre à la protéine toxique qui est exposée à la surface des exosomes.

Après quelque chose comme 14 jours du deuxième [jab], les exosomes ont induit une réponse anticorps. [Les chercheurs] ont estimé que les exosomes jouaient un rôle essentiel dans cette réponse anticorps extrême produite par les lymphocytes B et les lymphocytes T, le système immunitaire adaptatif.

Mais je pense que la façon dont le vakx1 fonctionne est qu’il n’y a pas de jeu que vous puissiez choisir autre que de fabriquer des anticorps. C’est la seule façon de lutter contre ça. C’est une protéine toxique qui est produite et libérée par ces cellules immunitaires, et la seule chose que vous pouvez faire pour l’arrêter est de fabriquer des anticorps.

Ils essaient de fabriquer de très nombreux anticorps qui se colleront sur ces protéines de pointe toxiques et les empêcheront de pénétrer par le récepteur ACE2. C’est le travail des anticorps. Ils s’en sortent bien, au début… C’est vrai qu’ils vous protègent des maladies. Malheureusement, les niveaux d’anticorps chutent de façon assez spectaculaire, assez rapidement.

Il existe également des anticorps qui renforcent la maladie plutôt que de la combattre, et le niveau de ces anticorps diminue à un rythme plus lent que celui des anticorps protecteurs. Ainsi, après plusieurs mois, vous vous retrouvez avec une réponse immunitaire NÉGATIVE. En d’autres termes, vous êtes maintenant plus sujet aux infections que jamais auparavant. Comme l’explique Seneff :

«Il y a un point de croisement auquel les anticorps stimulants peuvent être plus forts que les anticorps protecteurs, et c’est à ce moment-là que vous pouvez obtenir cette amélioration dépendante des anticorps (ADE) que les gens ont vue dans le passé avec [d’autres] vakx1s contre le coronavirus. Nous essayons toujours de voir si c’est le cas avec [the C0VlD jabs]. Il y a des preuves ici et là, mais ce n’est pas encore concluant. »

L’importance des cellules T cytotoxiques

Après que l’étude indienne ait informé Seneff et McCullough du problème de l’interféron, ils sont tombés sur une étude chinoise qui a suivi l’effet du vakx1 C0VlD sur le système immunitaire au fil du temps. Ici, ils ont découvert que l’infection provoquait une augmentation des lymphocytes T CD8+, d’importants lymphocytes T cytotoxiques qui éliminent en fait les cellules infectées.

Comme l’a noté Seneff, les cellules CD8+ sont une partie importante de la défense contre le SARS-CoV-2. Fait important, les lymphocytes T CD8 + ont été améliorés en réponse à une infection naturelle, mais pas en réponse au vakx1 C0VlD. Eux aussi ont trouvé la suppression de l’interféron de type 1 après l’injection. Ainsi, à la suite du vakx1, non seulement votre réponse de première ligne est déprimée – la réponse à l’interféron de type 1 – mais vous manquez également la partie de la réponse immunitaire qui nettoie les cellules infectées.

Le microARN qui influence le risque de myocardite

Un troisième microARN (ARNm) créé par une infection naturelle par le SRAS-CoV-2 est miR-155, et il joue un rôle important dans la santé cardiaque. Au début de la pandémie, des cas de C0VlD-19 causant des problèmes cardiaques ont été signalés.

Seneff soupçonne que les exosomes contenant miR-155 peuvent également être présents après l’injection et peuvent jouer un rôle dans les lésions cardiaques signalées. Plus précisément, miR-155 est associé à la myocardite. Comme mentionné précédemment, le microARN supprime certaines protéines qui provoquent alors une réponse en cascade compliquée. Lorsqu’une protéine particulière qui est un acteur critique est supprimée par un microARN, une cascade complètement différente se produit.

Pourquoi des problèmes auto-immuns peuvent survenir après le vakx1

Les anticorps produits par le jab contiennent également plusieurs courtes séquences peptidiques qui ont déjà été trouvées dans plusieurs cellules humaines liées à une maladie auto-immune. Senef explique :

« Kanduc a beaucoup écrit à ce sujet. C’est une experte de ces anticorps… La protéine de pointe [SARS-CoV-2] est très superposée à la protéine humaine. Cela signifie que lorsque vous construisez une réponse anticorps très forte à la protéine de pointe, ces anticorps peuvent se confondre et ils peuvent attaquer une protéine humaine qui a une séquence similaire.

C’est une forme classique de maladie auto-immune. C’est ce qu’on appelle le mimétisme moléculaire. Il y avait beaucoup de protéines différentes qui correspondaient. C’était assez surprenant… Il semble être très bien conçu pour induire une maladie auto-immune, si vous produisez des anticorps contre ces séquences dans la protéine de pointe.

Problèmes neurologiques chez les femmes

Les injections sont également étroitement associées à des problèmes neurologiques tels que des tremblements et des secousses incontrôlables. Curieusement, cet effet secondaire touche de manière disproportionnée les femmes. Le mécanisme fait ici encore intervenir les exosomes. Senef explique :

«Je pense qu’il y a un signal très fort pour l’idée, que je pousse, que vous avez ces cellules immunitaires dans la rate qui fabriquent des protéines de pointe et les libèrent dans des exosomes. Il a été démontré dans des études sur la maladie de Parkinson que ces exosomes voyagent le long des fibres nerveuses.

Ils iront le long du nerf splanchnique, ils se raccorderont au nerf vague, ils monteront jusqu’au cerveau et pénétreront dans tous ces différents nerfs du cerveau. Lorsque vous regardez la base de données VAERS, vous voyez des signaux énormes pour toutes sortes de choses qui suggèrent que différents nerfs sont enflammés.

Par exemple, il y a 12 000 cas d’acouphènes associés au vakx1 C0VlD-19, et c’est seulement ce qui est rapporté. Les acouphènes sont un signal fort. L’acouphène va être une inflammation du nerf auditif. Cela signifie que vous devez aller de la rate jusqu’au nerf vague, puis vous connecter au nerf auditif pour provoquer des acouphènes.

Ensuite, vous avez la paralysie de Bell, qui est une inflammation du nerf facial. Vous avez des migraines. Il existe plus de 8 000 cas de migraines, qui sont liées à une inflammation du nerf trijumeau.

Cela va probablement aussi, je suppose, le long des fibres nerveuses de la colonne vertébrale, ce qui peut être à l’origine de certains de ces cas où ils trouvent une paralysie. Les gens ont beaucoup de problèmes de mobilité liés à ces vakx1s.

Je vois la possibilité de causer beaucoup de perturbations à la gaine de myéline, et nous en parlons dans l’article. Cela implique, encore une fois, une signalisation complexe. Vous pouvez accéder au problème de la gaine de myéline par la perturbation de l’interféron de type 1.

Cela, encore une fois, implique quelque chose appelé facteur de réponse à l’interféron 9 IRF9. Cette protéine déclenche la production de sulfatide dans le foie, et cette protéine est supprimée par ces microARN que j’ai mentionnés plus tôt.

Le sulfatide, un important transporteur de lipides, est le seul lipide sulfoné du corps humain. Votre foie fabrique la majeure partie du sulfatide, qui est ensuite transporté par vos plaquettes (cellules sanguines) vers d’autres zones de votre corps. La gaine de myéline contient de grandes quantités de sulfatide. Cela fait partie de ce qui protège la gaine de myéline. Dans les maladies démyélinisantes, ce sulfatide s’érode, permettant finalement à la myéline d’être attaquée.

Seneff pense que le vakx1 C0VlD entraîne des dommages importants à la myéline, grâce à ces exosomes inflammatoires. Ces dommages ne se manifestent pas nécessairement tout de suite, bien que certains destinataires du jab subissent des effets extrêmement dévastateurs. Cela peut prendre 10 ans ou plus avant qu’une maladie démyélinisante ne s’installe.

« Je pense que nous allons voir des gens contracter ces maladies neurodégénératives de plus en plus tôt dans leur vie » , déclare Seneff, « et je pense que toute personne déjà atteinte de l’une de ces maladies connaîtra une progression accélérée ».

Nous pourrions bientôt voir une explosion des cas de Parkinson

Fait troublant, la perte de l’odorat et la dysphagie, l’incapacité à avaler, sont toutes deux des signes de la maladie de Parkinson, et ces deux affections sont signalées par milliers après l’injection. Ainsi, dans les années à venir, nous pourrions assister à une explosion de la maladie de Parkinson.

« Les études de Parkinson ont montré que vous pouvez attraper des agents pathogènes dans l’intestin qui produisent une protéine de type prion, ce qu’est la protéine de pointe. Les cellules immunitaires le récupèrent ensuite et l’amènent à la rate. Ceci, bien sûr, cause du stress.

Une cellule immunitaire stressée dans la rate régule positivement et produit plus d’alpha-synucléine. L’alpha-synucléine est une molécule qui combat l’infection, et c’est la molécule qui se replie mal en association avec la maladie de Parkinson.

Je suis fasciné par toutes ces molécules qui ressemblent à des prions. Il y a la protéine prion elle-même, qui est associée à la MCJ, la maladie de Creutzfeldt-Jakob, mais il y a aussi l’alpha-synucléine et la bêta-amyloïde, il y a le TDP-43, qui est associé à la SLA.

Toutes ces maladies sont surreprésentées dans la base de données VAERS pour les injections C0VlD, par rapport à tous les autres vakx1s combinés sur 31 ans. C’est juste complètement hors sujet.

Il y a 58 cas d’Alzheimer en association avec les vakx1s v, et 13 en association avec tous les autres vakx1s sur 31 ans. C’est plusieurs fois plus – 58 C0VlD 13.

La MCJ est également beaucoup plus fréquente. C’est presque sept fois plus fréquent dans les cas de vakx1 C0VlD . La MCJ est une terrible maladie. Vous devenez très paralysé et mourez après quelques années. C’est la protéine prion classique [maladie]. C’est extrêmement rare. Seulement 1 personne sur 1 million contracte la MCJ.

Il y avait une personne qui m’a contacté de France dont la femme a attrapé la MCJ quelques semaines seulement après le deuxième vakx1. Il était absolument convaincu que le vakx1 en était la cause. Il y a en fait 27 cas [of CJD] signalés dans VAERS pour les vakx1s C0VlD-19, contre seulement quatre cas sur toute l’histoire de tous les autres vakx1s combinés.

Problèmes de santé que nous pouvons nous attendre à voir plus

Avec le temps, Seneff prédit que nous verrons une augmentation spectaculaire des infections et des cancers de tous types, des maladies auto-immunes, des maladies neurodégénératives et des problèmes de reproduction. Comme mentionné, la recherche a démontré que la protéine de pointe s’accumule dans la rate et les ovaires des femmes.

Sans aucun doute, l’inflammation des ovaires n’est pas une bonne chose. Les hommes signalent également des testicules enflés, ce qui pourrait également indiquer une inflammation. Les données préliminaires montrent que les femmes qui reçoivent le jab dans les 20 premières semaines de grossesse ont un taux de fausse couche de 82% à 91%. Il existe également des rapports du VAERS décrivant des lésions fœtales. Bien sûr, cela pourrait également nuire à la fertilité future.

Comme décrit précédemment, certains anticorps produits par le jab peuvent réagir aux protéines humaines. Une protéine similaire à la protéine de pointe que les anticorps attaquent est la syncytine, qui est essentielle à la fécondation de l’ovule. Le problème est que les anticorps pourraient attaquer et détruire la syncytine, perturbant et empêchant ainsi l’implantation dans le placenta.

Omicron—Une bénédiction déguisée ?

Les piqûres perpétuent également le C0VlD, avec des variantes toujours nouvelles du virus.

« Dans le premier article que Greg et moi avons écrit, nous avions prédit que les vakx1s provoqueraient une émergence accrue de variantes de la protéine de pointe, des versions modifiées du virus, sous la pression du vakx1 », déclare Seneff.

« En effet, il me semble que c’est ce qui se passe. Mais j’ai vraiment bon espoir avec Omicron, car Omicron ressemble à un virus plus doux, mais incroyablement infectieux. Cela va traverser la population et donner à tout le monde, essentiellement, un vakx1. C’est un peu comme un vakx1 naturel, je pense.

[La recherche] a montré que… ayant eu Omicron, vous étiez protégé, dans une certaine mesure, de Delta. Delta disparaît de toute façon, parce qu’Omicron le chasse. C’est vraiment super. Je pense qu’Omicron est un cadeau divin du ciel.

Cette bénédiction peut cependant être annulée chez ceux qui ont reçu plusieurs injections C0VlD. Chaque dose érode votre réponse immunitaire, de sorte qu’elle devient de plus en plus compromise à chaque piqûre. Encore une fois, cela a à voir avec la suppression de l’interféron de type 1, discuté plus tôt.

Qu’est-ce qui catalyse les dommages chez les athlètes ?

Plus de 400 cas de problèmes cardiaques graves et de décès ont également été signalés chez des athlètes professionnels, qui comptent parmi les personnes les plus en santé de la planète. Quel mécanisme peut expliquer ce phénomène ? Comment se fait-il que les jabs C0VlD puissent causer suffisamment de dégâts pour éliminer les jeunes avec une biologie optimisée ?

Seneff soupçonne qu’être en forme pourrait vous amener à avoir plus de récepteurs ACE2 dans le cœur, et la partie S1 de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2. Elle pense que la protéine de pointe est délivrée au cœur via des exosomes, via le nerf vague, et, encore une fois, l’exosome miR-155 est associé à des problèmes cardiaques.

De plus, lorsque la protéine de pointe S1 se lie au récepteur ACE2, elle désactive le récepteur. Lorsque vous désactivez l’ACE2, vous obtenez une augmentation de l’ACE, ce qui provoque une hypertension artérielle et élève l’angiotensine 2. Lorsque l’angiotensine 2 est surexprimée, vous pouvez avoir une inflammation intense du cœur. Si vous vous engagez dans un effort intense et que votre cœur est enflammé, vous pouvez déclencher un arrêt cardiaque, ce que nous voyons dans de nombreux cas d’athlètes. Ils s’effondrent sur le terrain.

G-Quadruplex

Un autre objectif de l’article de Seneff et McCullough est quelque chose appelé G4 ou G-quadruplexes.

« Les G-quadruplex sont vraiment fascinants, et je ne les maîtrise pas du tout », déclare Seneff. « C’est de la biologie difficile, encore plus difficile que beaucoup d’autres choses que j’ai lues…

Les G4 sont essentiellement un arrangement de [guanines]. Les guanines sont l’un des quatre nucléotides qui composent l’ADN ou l’ARN. La guanine est le G dans le G4. Ce qui se passe, c’est qu’une séquence de nucléotides sur une chaîne d’ADN ou d’ARN peut se replier sur elle-même et former des G-quadruplexes. Ce sont quatre guanines, à différents endroits sur la protéine, qui s’enroulent et collent ensemble.

Il y a un métal au milieu – souvent du potassium ou du calcium – qui aide à stabiliser ces G4. Ce qui est intéressant à leur sujet, c’est qu’ils structurent l’eau qui les entoure. Ils fabriquent de l’eau gélifiée [c’est-à-dire de l’eau de zone d’exclusion (EZ)]…

Ces G4 peuvent se former dans l’ADN, ce qui l’empêche en fait de devenir actif. [L’ADN] n’est pas converti en ARN, et il ne produit pas de protéines s’il contient ces G4. Probablement, l’eau EZ ne permet à rien de s’approcher. Pensez-y comme étant coincé dans un gel.

Il y a beaucoup de G4 dans les régions promotrices de ces séquences d’ADN, et il y a beaucoup de protéines qui ont ces G4 dans leur région promotrice. Fait intéressant, certaines protéines peuvent les démêler. Il existe des protéines qui peuvent s’y lier et provoquer l’annulation du G4, et qui activent ou permettent l’expression de la protéine.

C’est un élément régulateur qui contrôle quelles protéines sont exprimées à partir de l’ADN. Bon nombre des protéines qui ont ces G4 dans leur promoteur sont des oncogènes du cancer. Tant qu’ils restent gélifiés, ils sont inactifs, mais s’ils deviennent non gélifiés, ils deviennent actifs.

Il s’avère que les protéines prions… [sont] fabriquées à partir d’ARN, et l’ARN a ces G4. La protéine peut se lier aux G4 de l’ARN et les deux réagissent. La théorie est que la protéine devient prion-like. Ces protéines prions ont deux façons d’être, l’une est sûre et l’autre non sûre, et les G4 augmentent le risque de mauvais repliement des protéines prions.

La présence de ces G4 et la rencontre avec ces G4 augmentent le risque de mauvais repliement dans la configuration de type prion. 9 La chose intéressante à ce sujet est que la protéine de pointe est une protéine de type prion. L’ARN qu’ils ont construit pour le [C0VlD jab], ils ont fait ce qu’on appelle l’optimisation des codons, qui impliquait de mettre beaucoup plus de guanines dans l’ARN que [trouvé] dans le [virus] d’origine. Ils ont amélioré la guanine.

Améliorer la guanine signifie augmenter le nombre de G4, ce qui signifie augmenter le risque de mauvais repliement de la protéine de pointe en une protéine de type prion. Je pense que les G4 augmentent le risque, le danger que la protéine de pointe [agisse] comme une protéine de type prion.

Mais nous ne savons pas vraiment quelle sera la conséquence d’avoir tous ces ARN G4 dans le cytoplasme. Nous avons un grand nombre de ces ARN assis là avec leurs G4. Qu’est-ce que cela va faire pour le reste du processus réglementaire du G4? Nous ne savons pas. Personne ne sait. Personne n’a la moindre idée.

Résumé

Pour résumer le point central du dernier article de Seneff, le jab C0VlD provoque la suppression de l’interféron alpha, ce qui affaiblit votre système immunitaire. En effet, les régulateurs de l’Union européenne avertissent désormais que des injections répétées de C0VlD peuvent affaiblir l’immunité globale.

Le principal mécanisme est l’altération de la réponse de l’interféron alpha, qui est essentielle à la bonne activation de votre système immunitaire inné, de votre immunité cellulaire, principalement de vos lymphocytes T et de vos cellules tueuses. Lorsqu’elle fonctionne correctement, la cellule lance la réponse à l’interféron de type 1 dès qu’elle est infectée par un virus.

Il déclenche l’entrée des cellules immunitaires, tue le virus et élimine les débris. Cela active la composante humorale de votre système immunitaire, la production d’anticorps, qui prend plus de temps. (C’est pourquoi ils disent que vous n’êtes pas protégé jusqu’à 14 jours après l’injection.)

Comment l’interféron de type 1 est-il supprimé par le jab ? Il est supprimé car l’interféron de type 1 répond à l’ARN viral et l’ARN viral n’est pas présent dans le vakx1 C0VlD. L’ARN est modifié pour ressembler à la molécule d’ARN humaine, de sorte que la voie de l’interféron n’est pas déclenchée. Pire encore, la voie de l’interféron est activement supprimée par le grand nombre de protéines de pointe produites à partir de l’ARNm dans le tir, et par les microARN dans les exosomes libérés par les cellules immunitaires stressées.

Références

Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

par Dr. Mark Bailey.

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la « découverte » du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde. (Les erreurs concernant l’existence de la particule du VIH et le fait qu’elle soit à l’origine du sida sont décrites dans Virus ManiaFR. Pour ceux qui souhaitent approfondir le sujet, je recommande le magnus opus de The Perth Group sur ce sujet).

« Les virus sont de petits parasites intracellulaires obligatoires qui, par définition, contiennent un génome d’ARN ou d’ADN entouré d’une enveloppe protéique protectrice, codée par le virus » ~ Medical Microbiology, 4th edition, 1996

Le journaliste indépendant Jeremy Hammond, qui se présente comme exposant la « dangereuse propagande d’État » entourant le COVID-19 et les dangers des vaccins, a ainsi fait la curieuse déclaration suivante en 2021 :

« L’affirmation fausse selon laquelle le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé (c’est-à-dire que son existence n’a jamais été prouvée) nuit considérablement à la crédibilité du mouvement pour la liberté de la santé et repose sur une ignorance totale de la science (le virus est constamment isolé et son génome entier est séquencé par des scientifiques du monde entier) » ~ Jeremy Hammond, 9 mars 2021

Je dirais que l’ignorance est du côté de Hammond, qui semble parvenir à sa conclusion en répétant essentiellement les affirmations des virologues et en rassurant le public sur la validité de leurs méthodologies. Ces dernières semaines, nous avons également vu le Dr Joseph Mercola présenter l’interview de Hammond et le blog de Steve Kirsch (qui fait également appel à l’autorité de la virologie) comme des « preuves » de l’existence du SARS-CoV-2. Kirsch déclare s’appuyer sur « les avis des experts en qui j’ai confiance », ce qui signifie qu’il a remis l’argument entre les mains d’autres personnes plutôt que d’enquêter lui-même sur la question. Mais est-il sage pour ces combattants de la liberté sanitaire qui s’opposent aux « experts » de l’establishment COVID de ne pas également remettre en question les virologues de l’establishment ?

Le Dr Andy Kaufman a produit une réfutation point par point du soutien de Hammond à la méthodologie d’« isolement » de la virologie moderne ici, tandis que le Dr Tom Cowan a prévenu que nous ne faisions que commencer à démanteler les absurdités de la virologie ici. Le Dr Sam Bailey a publié de nombreuses vidéos sur la question de l’isolement des virus, dont la plupart ont été interdites sur YouTube mais peuvent encore être trouvées sur Odysee. En outre, dans un essai que j’ai cosigné avec le Dr John Bevan-Smith, nous décrivons le premier pilier de la fraude COVID-19FR comme l’utilisation abusive du terme « isolement » par la virologie. En résumé, comme les virologues n’ont pas été en mesure d’isoler physiquement le moindre virus au siècle dernier, ils ont simplement changé la définition du mot, de sorte que même les virologues admettent que le terme est désormais utilisé de manière vague. Une situation étrange lorsque la méthode scientifique exige une terminologie précise.

https://odysee.com/$/embed/the-truth-about-virus-isolation-VOSTFR/81fef2417f07f84638ecb324a10aa354a56062ce?r=4tW1TZg35rP5W1xQ7DYqraiR81HezCfb

J’ai observé au cours des deux dernières années que de nombreux scientifiques, médecins et journalistes sont heureux de sauter par-dessus ce gouffre de l’« isolement » et de citer les « génomes de coronavirus » déposés dans des bases de données comme preuve que le virus doit exister. Par exemple, Steve Kirsch écrit dans son blog que :

« Je sais que Sabine Hazan a vérifié que la séquence du virus obtenue auprès de l’ATCC correspondait exactement à ce qu’elle a trouvé chez les personnes atteintes du virus » ~ Steve Kirsch, 10 janvier 2022

Il cite l’article de Hazan « Detection of SARS-CoV-2 from patient fecal samples by whole genome sequencing » comme preuve de cette affirmation. Kirsch admet qu’il ne sait pas comment les génomes ont été créés, mais ses…

« amis scientifiques semblent satisfaits avec eux. À 2000 $ la dose, je ne pense pas qu’ils commercialiseraient le produit s’il était contaminé et inutile. Ai-je tort ? » ~ Steve Kirsch, 10 janvier 2022

Malheureusement, il semble avoir été dupé par la façade high-tech du génie génomique de la virologie, où des « virus » sont créés à partir de diverses séquences génétiques détectées. En fait, il arrive que les séquences ne soient pas vraiment détectées du tout, comme l’expose le Dr Stefan Lanka dans ce qui pourrait être le coup de grâce de la virologieFR.

https://odysee.com/$/embed/Stefan-phase-3-VOSTFR/ce9fef1fd9b2e54677789664a56f32134145549b?r=4tW1TZg35rP5W1xQ7DYqraiR81HezCfb

L’article de Hazan peut servir d’exemple de la méthodologie défectueuse utilisée pour créer ces « génomes de virus ». L’équipe de recherche a obtenu des échantillons de matières fécales de 14 participants et a procédé à l’examen des séquences génétiques qu’elle pouvait détecter dans ces échantillons. Le premier problème se pose dans la section « méthodes », lorsque l’équipe déclare que « le contrôle positif du SARS-CoV-2 de l’ATCC (SARS-CoV-2 inactivé par la chaleur, VR-1986HK ; souche 2019-nCoV/USA-WA1/2020) a été inclus tout au long du traitement de l’échantillon ». Comment ont-ils su que l’échantillon contenait le virus inactivé ? Parce que l’ATCC (American Type Culture Collection) l’affirme sur son site Web en déclarant que « cette souche a été isolée à l’origine d’un cas humain dans l’État de Washington et a été déposée par les Centers for Disease Control and Prevention ». Et comment les CDC ont-ils su qu’ils avaient le virus ? Parce qu’ils ont affirmé l’avoir trouvé dans cet article.

« Coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère d’un patient atteint d’une maladie à coronavirus, États-Unis »
Mais où était le virus ?

Dans le document des CDC, il est dit qu’ils ont recueilli « des spécimens cliniques d’un patient ayant contracté le COVID-19 lors d’un voyage en Chine et qui a été identifié à Washington, aux États-Unis ». Ils ont conclu que le patient avait le COVID-19 sur la base d’un résultat de PCR qui a détecté certaines séquences dites provenir du SARS-CoV-2. Mais à ce stade, ils n’avaient aucune preuve de l’existence d’un virus – tout ce qu’ils avaient, c’était quelques séquences génétiques détectées chez un patient atteint d’une infection virale présumée. Après avoir réalisé une expérience de culture tissulaire en tube à essai sur leur échantillon clinique et prétendu qu’il y avait des preuves de la présence d’un virus en raison d’effets cytopathiquesFR non spécifiques, ils ont commencé à construire leur « génome ». Ils déclarent que « nous avons utilisé 50 μL de lysat viral pour l’extraction de l’acide nucléique total pour les tests de confirmation et le séquençage ». Il s’agit d’un autre tour de passe-passe, car il n’a pas été démontré que le « lysat viral » provenait d’un virus, il s’agit simplement d’une soupe de cultures de cellules fragmentées et d’autres additifs.

L’affirmation selon laquelle ils ont « extrait l’acide nucléique des isolats » est tout aussi trompeuse. Ils ont laissé entendre qu’ils ont isolé un virus et qu’ils savent quelles séquences d’ARN proviennent de son contenu. Cependant, cela nécessiterait que les prétendues particules virales soient réellement isolées physiquement par purification, ce qu’ils n’ont pas fait. Et je dis « présumées » parce que même s’ils purifiaient les particules, il faudrait encore démontrer qu’elles répondent à la définition d’un virus – y compris le fait d’être un parasite et l’agent causal de la maladie – ce qui n’a pas été démontré par ces auteurs ni par aucun autreFR.

Dans tous les cas, comment ont-ils su quelles séquences génétiques appartenaient au « virus » en premier lieu ? Ils ont « conçu 37 paires de PCR emboîtées couvrant le génome sur la base de la séquence de référence du coronavirus (numéro d’accession GenBank NC045512) ». Et d’où vient cette « séquence de référence » ? Cela se rapporte à l’article de Fan Wu, et al décrivant l’homme de 41 ans qui a été admis à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec une pneumonie bilatérale et malgré l’absence de nouvelles caractéristiques cliniques, on a dit qu’il était atteint d’une maladie qui a ensuite été appelée « COVID-19 ».

• Voir : « La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité »

Le spécimen était constitué de lavages pulmonaires bruts, il contenait donc un mélange de cellules humaines et potentiellement toutes sortes d’autres micro-organismes et fragments génétiques. Ils ont simplement affirmé qu’il y avait un virus dans le mélange. À partir de cet échantillon mixte, ils ont généré à l’aveugle des dizaines de millions de séquences différentes, puis ont mis leur logiciel au travail pour voir comment ils pouvaient les assembler. Pour réaliser cet « ajustement », le logiciel a recherché des « contigs », c’est-à-dire des zones où différents fragments semblent avoir des séquences qui se chevauchent. Parmi les centaines de milliers de séquences hypothétiques générées de cette manière, ils ont constaté que la plus longue séquence « continue » que l’ordinateur a pu créer faisait environ 30 000 bases et ont conclu que cette création informatique devait être le génome du nouveau virus présumé.

Ils pensaient qu’il s’agissait du génome parce que leur séquence de 30 000 bases générée de manière hypothétique était similaire à 89,1% à « un isolat de coronavirus (CoV) de chauve-souris semblable au SRAS, le SL-CoVZC45 ». Le « génome » de l’« isolat » de CoV de chauve-souris a été généré en 2018 après que « 19 paires d’amorces PCR dégénérées ont été conçues par alignement multiple des séquences SARS-CoV et SL-CoV de chauve-souris disponibles déposées dans GenBank, ciblant presque toute la longueur du génome ». En d’autres termes, ils connaissaient déjà la séquence à rechercher sur la base des séquences qui avaient été précédemment déposées dans la GenBank. Mais comment les producteurs de ces séquences déjà déposées savaient-ils qu’ils avaient trouvé des génomes viraux ? Bienvenue dans le raisonnement circulaire de la virologie moderne.

Pour expliquer la boucle dans laquelle les virologues semblent être pris au piège, cet article de 2019 publié dans Virology illustre bien le problème :

« Trois méthodes principales basées sur le HTS [séquençage à haut débit] sont actuellement utilisées pour le séquençage du génome entier viral : le séquençage métagénomique, le séquençage par enrichissement de cible et le séquençage par amplicon PCR, chacune présentant des avantages et des inconvénients (Houldcroft et al., 2017). Dans le séquençage métagénomique, l’ADN (et/ou l’ARN) total d’un échantillon comprenant l’hôte mais aussi des bactéries, des virus et des champignons est extrait et séquencé. C’est une approche simple et rentable, et c’est la seule approche qui ne nécessite pas de séquences de référence. Au contraire, les deux autres approches HTS, l’enrichissement des cibles et le séquençage des amplicons, dépendent toutes deux d’informations de référence pour concevoir les appâts ou les amorces » ~ Maurier F, et al, « A complete protocol for whole-genome sequencing of virus from clinic al samples », Virology, May 2019.

On touche là à la racine du problème. Les génomes de référence « viraux » sont créés par séquençage métagénomique, mais celui-ci est effectué sur des spécimens bruts (tels que des lavages de poumons ou des cultures de tissus non purifiés) et l’on déclare ensuite que les séquences sélectionnées sont d’origine virale. Il y a donc déjà deux problèmes : premièrement, il n’y a pas eu d’étape (c’est-à-dire de purification) pour montrer que les séquences proviennent de l’intérieur de « virus » et deuxièmement, comme décrit ci-dessus, les « génomes » générés par ordinateur sont simplement des modèles hypothétiques assemblés à partir de petits fragments génétiques, et non quelque chose dont l’existence a été prouvée dans la nature comme une séquence entière de 30 000 bases. Cependant, ces modèles in silico deviennent alors effectivement le « virus » et une entité telle que le SARS-CoV-2 est créée. Une fois que la première séquence de ce type est déposée dans une base de données, le « virus » peut être « trouvé » par d’autres grâce aux mêmes techniques métagénomiques défectueuses. Ou, comme l’indique l’article de Virology, il peut être « trouvé » par enrichissement de la cible et séquençage de l’amplicon (généralement par PCR), mais cela nécessite de disposer d’une séquence de référence… c’est-à-dire d’un modèle inventé in silico par séquençage métagénomique où la provenance des fragments génétiques était inconnue.

Il n’y a aucune partie dans le processus ci-dessus qui établit soit :

1) la composition génétique de toute particule imagée ou imaginée ; ou
2) la nature biologique de ces particules, c’est-à-dire ce qu’elles font réellement.

C’est une belle nanoparticule, mais de quoi est-elle faite et que fait-elle ?

Pouvons-nous maintenant revenir à l’article de Hazan pour constater qu’il s’agit d’un exercice inutile de virologie absurde. Ils déclarent qu’avec leur « contrôle positif du SARS-CoV-2 provenant de l’ATCC », les « génomes des patients ont été comparés au génome de référence du SARS-CoV-2 Wuhan-Hu-1 (MN90847.3) ». Le numéro d’accès MN90847.3 fait référence au « génome » actualisé qui aurait été trouvé chez l’homme de 41 ans de Wuhan, comme indiqué ci-dessus dans l’article de Fan Wu et al. La boucle est bouclée : à aucun moment il n’a été démontré qu’il y avait un virus en suivant cette piste de « génomes ». L’équipe de Fan Wu n’a jamais trouvé de virus, elle a simplement affirmé que sa simulation informatique de séquence génétique était une « nouvelle souche de virus à ARN de la famille des Coronaviridae », sans prouver que la séquence existait dans la nature ou provenait de l’intérieur d’un virus. Par conséquent, il n’y a pas eu de « détection du SARS-CoV-2 à partir d’échantillons de matières fécales de patients » comme le prétend le titre de l’article de Hazan, à moins que « SARS-CoV-2 » ne signifie des séquences génétiques d’on-ne-sait-quoi provenant d’on-ne-sait-où. Peu importe où ou à quelle fréquence ces séquences sont détectées – il n’a jamais été prouvé qu’elles étaient de nature virale. Ainsi, lorsque Steve Kirsch affirme que Hazan « a vérifié que la séquence du virus obtenue de l’ATCC correspondait exactement à ce qu’elle a trouvé chez les personnes atteintes du virus », il se trompe.

De quel « virus » parle-t-il ?

source : Dr Sam Bailey
via cv19

EN COMPLEMENT:

13/2/22: Le film « Terrain » partie 1 « La grippe des cigognes »

Confinements et mesures « sanitaires » n’ont servi à rien selon le prestigieux Institut John Hopkins

Nous avons signalé au long des mois la longue liste d’études et d’articles montrant l’inutilité des mesures de contraintes dites sanitaires. A cette somme, il convient désormais d’inclure une méta-analyse publiée par l’Institut, référence en matière d’analyse scientifique aux États-Unis.

Par Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, référent en santé publique de Covidhub.ch

Les auteurs ayant retenu 32 études évaluant l’impact des « mesures de contrainte » techniquement appelées Interventions Non-Pharmaceutiques (NPI en anglais) sur la mortalité due au Covid-19, leurs conclusions sont on ne peut plus claires :

« Si cette méta-analyse conclut que les mesures de confinement n’ont eu que peu ou pas d’effets sur la santé publique, elles ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où elles ont été adoptées. En conséquence, les politiques de confinement sont mal fondées et devraient être rejetées en tant que stratégies de gestion des pandémies. »

« Les études portant sur des NPI spécifiques (confinement par rapport à l’absence de confinement, masques faciaux, fermeture d’entreprises non essentielles, fermeture des frontières, fermeture des écoles et limitation des rassemblements) ne trouvent pas non plus de preuves générales d’effets notables sur la mortalité liée au COVID-19. »

Entendons bien : les mesures de confinement, les fermetures des commerces, restaurants, entreprises et écoles, l’imposition du port du masque, les limitations des rassemblements et les fermetures des frontières n’ont eu aucun effet probant sur la santé publique tout en se montrant socialement, économiquement, culturellement et même sanitairement dévastatrices.

Devoirs des gouvernants en santé publique

Un des principes fondamentaux en santé publique est de n’appliquer des mesures produisant de potentiels effets dommageables qu’à la condition qu’elles soient :

  1. absolument nécessaires,
  2. assurément efficaces et
  3. basées sur une science solide.

Tout en affirmant à tort que c’était le cas, nos gouvernements ont transgressé chacun de ces critères en adoptant au doigt mouillé et à la louche des trains de mesure que tous les spécialistes honnêtes savaient être inutiles et nocifs

Comment une telle dérive a-t-elle été possible ?

Retour sur quelques clés de lecture

Le choc de la pandémie de mars-avril 2020 a totalement ébranlé nos sociétés.  Il s’agissait pourtant d’une épidémie « bénigne » selon les critères habituels, ainsi que l’a encore rappelé récemment l’épidémiologiste Laurent Toubiana, preuves et données à l’appui.

Paniquées par les images terrifiantes en provenance de Chine ou des hôpitaux du Nord de l’Italie, nos autorités ont oublié tous les plans « pandémie » qui avaient été élaborés au cours des dernières décennies, sur la base des connaissances et des bonnes pratiques en santé publique.

Ceux-ci contenaient tout ce dont nous aurions eu besoin pour faire face intelligemment et efficacement à l’épidémie de Sars-CoV-2.

Aucun d’entre eux ne prévoyait, évidemment, de mesures comme le confinement de la population générale ou l’imposition du port du masque à des gens en bonne santé. Pour une raison bien simple : on savait pertinemment qu’elles étaient inutiles et produisaient des dégâts majeurs sur la population.

Les vraies bonnes pratiques

Dans un article datant de 2006, le Pr Donald Henderson, sommité historique de l’épidémiologie (crédité notamment pour son rôle dans l’éradication de la variole) rappelait sans ambages la réalité des connaissances scientifiques en matière de gestion des épidémies respiratoires virales :

« Il n’existe pas d’observations historiques ou d’études scientifiques qui soutiennent le confinement par quarantaine de groupes de personnes potentiellement infectées pendant de longues périodes afin de ralentir la propagation de la grippe.

Les conséquences négatives d’une quarantaine à grande échelle sont si extrêmes (…) que cette mesure d’atténuation devrait être éliminée de toute considération sérieuse…

Les restrictions aux voyages, telles que la fermeture des aéroports et le contrôle des voyageurs aux frontières, ont toujours été inefficaces. Le groupe de rédaction de l’Organisation mondiale de la santé a conclu que « le contrôle et la mise en quarantaine des voyageurs entrant aux frontières internationales n’ont pas retardé de manière substantielle l’introduction du virus lors des pandémies passées… et seront probablement encore moins efficaces à l’ère moderne« …

Pendant les épidémies de grippe saisonnière, les manifestations publiques auxquelles on s’attendait à assister en grand nombre ont parfois été annulées ou reportées, le but étant de réduire le nombre de contacts avec les personnes susceptibles d’être contagieuses. Il n’y a cependant aucune indication certaine que ces actions aient eu un effet significatif sur la gravité ou la durée d’une épidémie. »

Il concluait son article de manière prémonitoire en rappelant (c’est nous qui soulignons) :

« L’expérience a montré que les communautés confrontées à des épidémies ou à d’autres événements indésirables réagissent mieux et avec moins d’anxiété lorsque le fonctionnement social normal de la communauté est le moins perturbé.

Une gouvernance politique et de santé publique forte pour rassurer et garantir que les services de soins médicaux nécessaires sont fournis sont des éléments essentiels.

Si l’un ou l’autre n’est pas optimal, une épidémie gérable peut se transformer en catastrophe. »

  •  Pour voir  « Mesures de contrainte, origines et conséquences » présentation au Conseil scientifique indépendant, avril 2021 : cliquer ici.

Dictature et n’importe quoi

L’imposition des confinements et mesures de contrainte depuis 2020 ressemble à un mauvais roman dystopique : alors que ces absurdités n’étaient contenues (et pour cause) dans aucun plan pandémie, elles se sont généralisées à l’échelle mondiale après que la Chine, régime totalitaire, l’ait infligé à sa population. J’ai souligné ailleurs la stupéfiante histoire de ce shift radical passant d’un paradigme sanitaire sensé et élaboré sur une science solide à celui de mesures brutales, dogmatiques et totalitaires. Cela s’est fait en quatre étapes, mais à toute vitesse :

1/ Les plans pandémie prévoyaient donc uniquement des mesures sensées et pertinentes. Par exemple aux États-Unis : « le CDC recommande l’isolement volontaire des personnes malades à domicile » et « le CDC pourrait recommander la mise en quarantaine volontaire à domicile des membres exposés de la famille dans les zones où la nouvelle grippe circule »[1].

2/ Lorsque le verrouillage de la province du Hubei a commencé, le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en Chine a fait remarquer que « tenter de contenir une ville de 11 millions d’habitants est une nouveauté scientifique… Le verrouillage de 11 millions d’habitants est sans précédent dans l’histoire de la santé publique… »[2]

3/ Quelques jours seulement après le début du blocage, et bien avant qu’il n’ait produit des résultats : « Le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom, a ajouté qu’il était personnellement « très impressionné et encouragé par la connaissance détaillée de l’épidémie par le président [Xi Jinping] » et a félicité le lendemain la Chine pour « avoir établi une nouvelle norme en matière de réponse à l’épidémie »[3].

4/ « Ce que la Chine a démontré, c’est que vous devez le faire. Si vous le faites, vous pouvez sauver des vies et prévenir des milliers de cas de ce qui est une maladie très difficile » (Bruce Aylward, directeur général adjoint de l’OMS, fin février) Deux jours plus tard, dans une interview pour la télévision centrale chinoise (CCTV), Aylward l’a dit sans détour : « Copiez la réponse de la Chine à COVID-19.»

C’est ainsi que l’Occident adopta en trois coups de cuiller à pot, contre toute science et toute raison, une politique sanitaire dictatoriale.

Eh bien non !

Deux années plus tard, nous disposons d’une somme d’études et d’articles confirmant cette réalité connue de longue date. Les experts honnêtes et compétents n’ont cessé de rappeler la gravité de cette dérive (notamment dans la Déclaration de Great Barrington). Il vient d’être révélé comment Anthony Fauci, le très douteux pilote de la politique sanitaire américaine face au Covid, a conspiré pour discréditer les scientifiques intègres à l’origine de cette initiative.

  • Pour lire « USA: 2 stars de l’épidémiologie dévoilent comment Fauci et Collins sabotent la santé publique » sur Covidhub.ch : cliquer ici.

A la liste des 161 publications montrant la dangerosité et l’inutilité des confinements, publiées en novembre 2021, par le Brownstone Institute, vient désormais s’ajouter la méta-analyse du John Hopkins Institute, qui devrait mettre un point final au délire des confinements.

  • Pour lire « Plus de 400 études scientifiques démontrent l’échec des mesures «sanitaires» contre le Covid » sur Covidhub.ch : cliquer ici.

Dont voici la conclusion (le terme « lockdown » renvoie génériquement à toutes mesures privant les personnes de leur liberté) :

« Que nous disent les données probantes sur les effets des lockdowns sur la mortalité́ ? » Nous apportons une réponse ferme à cette question : Les preuves ne confirment pas que les lockdowns ont un effet significatif sur la réduction de la mortalité́ dans la catégorie COVID-19. L’effet est faible ou nul.

L’utilisation des lockdowns est une caractéristique unique de la pandémie COVID-19. Les confinements n’ont pas été́ utilisés dans une telle mesure au cours des pandémies du siècle dernier. Cependant, les mesures de confinement prises au cours de la phase initiale de la pandémie de COVID-19 ont eu des effets dévastateurs. Ils ont contribué́ à réduire l’activité́ économique, à augmenter le chômage, à réduire la scolarisation, à provoquer des troubles politiques, à contribuer à la violence domestique et à saper la démocratie libérale. Ces coûts pour la société́ doivent être comparés aux bénéfices des confinements, dont notre méta-analyse a montré́ qu’ils sont au mieux marginaux. Un tel calcul standard des avantages et des coûts conduit à une conclusion forte : les confinements doivent être rejetés d’emblée comme instrument de politique pandémique. »

Implications politiques

Elles sont évidemment énormes. Nos autorités, emportés par un vent de panique et sous l’influence trouble des milieux médicaux génériquement vulnérables à la corruption systémique, ont remisé les bonnes pratiques et maltraité les populations. En affirmant contre toute science que les confinements étaient absolument nécessaires et inévitables.

Cette mesure a même été utilisée comme une menace envers la population : « soumettez-vous au passe sanitaire » ou « acceptez de vous faire inoculer avec une injection génique expérimentale » sinon « nous serons obligés de vous confiner à nouveau. »

Un chantage ignoble et parfaitement fallacieux.

La vérité prend l’escalier

L’analyse de cette dérive insensée prendra du temps et devra mobiliser de larges ordres de savoirs allant de la santé publique à la criminologie en passant par la sociologie, la philosophie, l’épistémologie ainsi que les sciences économiques et politiques, avec un besoin urgent d’experts compétents et indépendants.

Une piste pourra intéresser les enquêteurs : comme l’a rappelé récemment le Dr Laurent Toubiana au micro d’ Ivan Rioufol sur la chaîne CNews, le rapport du Sénat français faisant suite au scandale sanitaire de la grippe H1N1 listait tous les éléments ayant posé problème, entre autres : focalisation absurde sur des « tests » au lieu de malades, faux indicateurs, vaccination généralisée dommageable en cours d’épidémie, corruption systémique et rôle trouble de l’OMS. Avec exactement les mêmes acteurs alors qu’aujourd’hui ! Habituellement, les rapports d’enquête servent à corriger le tir. Ici, on a surtout l’impression d’une répétition générale, les mêmes ingrédients crapuleux ayant été exploités à l’identique dix ans plus tard…

  • Pour voir « Les points sur les i » avec Laurent Toubiana, émission du 30 janvier 2022″ sur CNews : cliquer ici.
  • Pour voir « Dr Philippe de Chazournes – Les non-leçons du H1N1 », Conseil scientifique indépendant, juillet 2021 : cliquer ici.

Se posera aussi il faut l’espérer la question de la responsabilité des autorités et de leurs conseillers systémiquement corrompus : si les confinements et mesures de contrainte n’ont pas eu d’effet sur l’épidémie, ils ont en revanche détruit des dizaines de milliers de vies. Nombre de commerçants, restaurateurs, indépendants, entrepreneurs, ont fait faillite comme conséquence de ces mesures qui n’auraient jamais dû leur être imposées. La santé mentale de la population a été fortement touchée, en particulier dans les groupes les plus vulnérables de la population, aînés, enfants et jeunes en premier. En l’absence de toute science digne de ce nom en faveur des confinements, tout ceci constitue une négligence grave de la part des autorités, a priori pénalement répréhensible.

Sauve qui peut ?

A mesure que toutes les informations sortent sur la gestion politique calamiteuse qui a bien, selon la sombre intuition du Pr Henderson, « transformé une épidémie gérable en catastrophe », les gouvernants commencent à couvrir leurs arrières. Comme l’a récemment fait le ministre suisse de la santé : « nous avons certainement commis des erreurs, mais y a-t-il un autre pays où vous aurait aimé vivre la pandémie plutôt qu’en Suisse ? » demandait-il au journaliste. La question n’est pas là : quand un gouvernement piétine la science et impose des mesures destructrices sans la moindre validité, il ne peut décemment prétendre éviter d’avoir à rendre des comptes.

Reste aussi bien sûr posée la question des « experts » et autres « Task force scientifique » qui n’ont cessé au long des mois de faire paniquer la population avec des projections, des données et des informations fausses, au premier rang desquelles la nécessité impérieuse des mesures de confinement.

Cette question a deux volets que nous ne ferons que mentionner ici : celui d’une part du conformisme et de la soumission d’un milieu qui devrait défendre paradigmatiquement l’esprit critique et l’intégrité intellectuelle ; et d’autre part celui de la corruption systémique avec ses dérives criminelles, dont le Pr Peter Goetzsche avait déjà posé le diagnostic en soulignant que les agissements contemporains de l’industrie pharmaceutique relèvent des mêmes méthodes que celles du crime organisé.

  • Pour lire l’article « Richard Smith: Is the pharmaceutical industry like the mafia? » sur le site du British Medical Journal (en anglais) : cliquer ici.
  • Pour voir « La corruption systémique dans le domaine de la santé », Conseil scientifique indépendant, avril 2021 : cliquer ici.

Si la population et nombre de particuliers ont beaucoup sinon tout perdu dans cette sale affaire, d’autres s’en sortent plutôt bien. Ce qui n’est le cas ni de la science, ni de la démocratie, ni de l’état de droit.

  • Pour télécharger l’étude « A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ON COVID-19 MORTALITY » (en anglais) au format pdf : cliquer ici.

[1] Noreen Quails et al., Community Mitigation Guidelines to Prevent Pandemic Influenza, United States, 2017 (Sonja A. Rasmussen et al. eds., 2017).

[2] Sinéad Baker, China extended its Wuhan coronavirus quarantine to 2 more cities, cutting off 19 million people in an unprecedented effort to stop the outbreak, Business Insider, Jan. 23, 2020

[3] World Health Organization, WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV), Jan. 30, 2020

Considérez la possibilité que cette dystopie soit déjà celle que vous craignez

Envisagez la possibilité que la dystopie orwellienne que vous craignez est déjà là et est en place depuis de nombreuses années, mais que vous ne l’avez pas remarqué parce que vous êtes toujours autorisé à regarder Netflix, à acheter une arme à feu ou à dire ce que vous voulez au sein d’une petite chambre d’écho impuissante en ligne.

Envisagez la possibilité que les puissants obtiennent déjà tout ce qu’ils veulent de vous, en ce moment même, exactement comme les choses sont, et que toute action suspecte que vous les voyez faire n’est pas qu’ils construisent une cage pour vous mais qu’ils resserrent les boulons d’une cage qui a été tranquillement construite autour de vous il y a quelque temps.

Envisagez la possibilité que, pendant qu’ils vous apprenaient à vous méfier du communisme, des micropuces et du totalitarisme affiché, ils nous ont secrètement transformés en rouages sans cervelle dans une machine construite pour servir leurs intérêts et qui ne les défie en aucune façon.

Envisagez la possibilité que les tyrans aient compris qu’il est possible d’exercer un contrôle bien plus important sur une population par la manipulation psychologique à grande échelle que par la force ouverte, et qu’ils développent la science de cette manipulation psychologique à grande échelle depuis plus d’un siècle.

Envisagez la possibilité que nous soyons comme une femme qui a toujours craint de se retrouver dans une relation physiquement violente comme celle décrite à la télévision, et qui s’est retrouvée dans une relation psychologiquement violente où son esprit même est plié à la volonté de son agresseur dans tous les domaines.

Envisagez la possibilité que, tout comme dans une relation de violence psychologique, nous soyons manipulés pour croire que tout va bien, que nous donnons à notre agresseur tout ce qu’il veut de notre plein gré, que tout problème vient de nous et non de notre agresseur, et que nous sommes si bien entraînés à cela que nous avons même appris à nous intoxiquer nous-mêmes.

Envisagez la possibilité que les gouvernements qui s’emparent par la force de tous les médias et les transforment en organes officiels de propagande d’État soient en fait beaucoup moins efficaces pour le lavage de cerveau de masse que notre système actuel dans lequel les gens croient obtenir des informations exactes d’une presse libre et honnête.

Envisagez la possibilité que si les puissants étaient capables d’implanter chirurgicalement des micropuces dans nos cerveaux et de contrôler tout ce que nous pensons et faisons, ce qu’ils nous feraient penser et faire ne serait pas significativement différent de ce que l’écrasante majorité d’entre nous pense et fait déjà.

Envisagez la possibilité que la dystopie dont nous nous sommes inquiétés soit déjà en marche, non pas dans les directions que nous avons été conditionnés à anticiper, mais par le simple fait que l’esprit humain est beaucoup plus piratable que nous avons été conditionnés à le croire.

Envisagez la possibilité que, alors que nous avons été formés à craindre que les autoritaires communistes prennent le pouvoir et nous forcent à obéir à leur volonté, les autoritaires capitalistes nous ont fait marcher au rythme exact qu’ils souhaitent depuis des générations. Et nous pensons que c’est la liberté uniquement parce que nous avons été entraînés à le penser.

Envisagez la possibilité que vous ayez été entraîné à croire que la liberté ressemble à la possibilité d’acheter une arme à feu dont nous savons tous que vous ne l’utiliserez jamais contre les puissants, ou de choisir parmi 197 sortes de chips à l’épicerie, alors qu’en réalité cette consommation insensée n’est que le fait de tourner les engrenages de votre propre prison.

Envisagez la possibilité que la vraie liberté ne consiste pas à pouvoir consommer ce que les publicitaires vous ont convaincu de consommer, mais à pouvoir penser avec un esprit qui n’a pas été modelé par les puissants, à vous éduquer dans un écosystème d’information qui n’est pas verrouillé par ceux qui vous dominent, et à dire la vérité sans que votre discours soit étouffé par des dominateurs oppressifs.

Envisagez la possibilité que la seule chose qui nous empêche de créer le paradis sur terre est notre incapacité à voir clairement ce qui se passe dans notre monde et donc à élaborer une stratégie basée sur la vérité pour sortir de ce désordre, et que les puissants le savent, et que c’est pourquoi ils travaillent si dur pour nous empêcher de voir clairement.

Envisagez la possibilité que le véritable obstacle à l’harmonie terrestre ne soit pas tant des idéologies opposées que le fait que toutes les tentatives de voir clairement ce qui se passe réellement dans notre monde sont activement entravées par la propagande, par la manipulation de la Silicon Valley et par le secret gouvernemental.

Envisagez la possibilité que les salauds réussissent non pas en étouffant ouvertement la dissidence mais en étouffant secrètement toute volonté de dissidence, et que nous réussissions non pas en essayant d’éviter une dystopie qui est déjà là mais en travaillant à réveiller le géant à l’intérieur de nos frères et sœurs de son coma induit par la propagande.

Envisagez la possibilité que la vraie liberté signifie que toute l’humanité s’éveille de son rôle déshumanisant de tourneurs d’engrenages pour la machine capitaliste et qu’elle libère la brillance sauvage et imprévisible qui est en nous et que nos oppresseurs ont travaillé si dur pour garder en réserve.

Envisagez la possibilité qu’il y a tellement plus en nous que ce qu’il nous a été permis de savoir, et que la seule chose qui nous empêche de réaliser notre véritable potentiel en tant qu’espèce à ce stade de l’histoire est un malentendu induit par la propagande sur ce qu’est la liberté et ce qu’est l’esclavage.

Traduction de Caitlin Johnstone par Aube Digitale

L’avertissement de Vera Sharav survivante de l’holocauste

Vera Sharav

Vera Sharav avait trois ans lorsqu’elle et sa famille ont été déportées dans un camp de concentration. Elle a survécu à l’Holocauste et s’engage depuis de nombreuses années en faveur des personnes qui sont utilisées, consciemment ou non, dans des expérimentations médicales, avec des conséquences dramatiques. Dans cette interview, Vera Sharav parle de son inquiétude : l’Holocauste peut se répéter parce que l’esprit de l’eugénisme perdure et que la participation du corps médical est à nouveau acquise.
Vera Sharav parle d’un « crime contre l’humanité » qui se répète sous nos yeux. Beaucoup y participent volontairement…

Son témoignage, qu’elle devait prononcer à Bruxelles lors du rassemblement à l’issue de la manifestation brutalement interrompue (sabotée?) par l’action de (volontairement?) orientée de la police, est remplacé par cette interview qu’elle a accordé à Richard Boutry et à BAM à Bruxelles.

https://www.laminutedericardo.com/LMDR/vera-charave-rescapee-dauschwitz-entretien-exclusif/

Une autre interview de Vera Sharav par Uwe Alschner, pour un magazine allemand, avec la traduction en français dans le texte plus bas.

Uwe Alschner : Merci beaucoup, Vera Sharav. C’est un grand honneur de vous avoir dans ce numéro de Klartext. Vous êtes une survivante des périodes les plus sombres, les plus sinistres de l’histoire allemande, et par là je veux dire l’Holocauste. Je suis historien, c’est donc une situation très particulière. Il n’est pas facile pour moi d’avoir cette conversation, mais je sais qu’il est important que nous en parlions parce que la situation actuelle présente certaines analogies avec ce que nous savons de l’histoire.
Mais avant cela, ayez l’amabilité de nous donner un bref aperçu de qui vous êtes et de ce qui vous a conduit à devenir un défenseur des droits des personnes confrontées à la recherche médicale. Si je peux me permettre.

Vera Sharav : Oui, je suis une enfant qui a survécu à l’Holocauste. J’avais trois ans et demi lorsque ma famille en Roumanie a été chassée de notre patrie et déportée dans un camp de concentration. Mon père y est mort d’une maladie infectieuse, probablement la typhoïde. J’ai passé trois ans et demi dans ce camp et, bien qu’il ne s’agisse pas d’un camp de la mort, la mort était toujours présente, notamment parce qu’il pouvait arriver chaque jour que l’on soit transféré dans un camp de la mort. Notre camp était un camp où la famine a emporté la plupart des détenus. J’ai appris ce qu’est la vie dans de telles circonstances et ce que c’est que d’être un paria méprisé. Les enfants perçoivent beaucoup plus que les adultes ne le pensent. Les enfants voient beaucoup plus de choses que ce que beaucoup d’adultes croient ne pas remarquer.
À un moment donné, j’ai fait quelque chose que j’ai appris à l’âge de six ans : désobéir aux autorités. Je pense que c’est quelque chose que j’ai bien fait en tant que défenseur du public face à l’establishment très puissant. L’expérimentation médicale est l’une de ces zones d’ombre. L’un des sujets que les gens ne se posent pas vraiment est le suivant : à qui appartiennent les enfants qu’ils utilisent comme sujets humains pour tester de nouveaux médicaments et vaccins ? Quels parents lucides mettraient leur enfant à la disposition d’un cobaye pour quelque chose qui peut être très dangereux ?

Personne ne se le demande. Mais ce sont les enfants de ceux qui sont méprisés par la société comme une sous-classe. En effectuant de nombreuses recherches en tant qu’adulte, j’ai appris que tant que nous ne considérerons pas les autres et l’humanité dans son ensemble, l’Holocauste peut se répéter ! La différence entre l’Holocauste et les autres génocides est la participation active de l’establishment médical. C’est la grande différence. Cela en fait un crime complètement différent et, à mon avis, bien pire ! Certains médecins ont d’ailleurs été condamnés pour crimes contre l’humanité. Mais il est vraiment effrayant de voir que la mentalité de l’establishment médical allemand n’a jamais vraiment changé.

Elle a infecté la profession médicale, en particulier les institutions. Nous assistons actuellement à une utilisation de la médecine pour nous priver de nos droits humains et de notre liberté. Les responsables de la santé publique peuvent avoir une formation médicale. Ils ne sont pas pour autant des médecins généralistes. Un médecin a prêté serment de ne pas nuire au patient, avant tout. Les responsables de la santé publique sont des agents du gouvernement. Ce sur quoi ils sont censés se concentrer s’appelle le « bien commun ». Le problème est le suivant : qu’est-ce que le bien commun ? Qui décide de ce qu’est le bien commun ? Et que se passe-t-il s’ils ont tort et que cela nuit à l’individu ? Les droits civils résultent de la reconnaissance que les gens ont des droits qui ne sont pas accordés par la grâce des gouvernements. Ces droits sont fondés sur notre humanité. Et lorsque les scientifiques médicaux commencent à considérer les gens comme une simple matière biologique, ils sont assurés de causer beaucoup de dommages parce qu’ils ne respectent pas l’individu.

L’eugénisme a été la source principale de l’holocauste nazi. L’eugénisme n’a jamais été éradiqué. Il continue à se répandre et à affecter l’establishment académique en particulier. Je sais que c’est très difficile à comprendre, mais après l’Holocauste, après les procès médicaux de Nuremberg, une nouvelle espèce est apparue, les « bioéthiciens », les bioéthiciens et la bioéthique sont nés dans les institutions eugénistes… En fait, la société eugénique américaine est le terreau de la « bioéthique ». Les bioéthiciens sont essentiellement les hommes de main du gouvernement et de l’industrie médicale. Ils donnent leur bénédiction à des expériences non éthiques et à la politique de santé. Ils sont à l’avant-garde de cette pandémie, ce sont eux qui aident à formuler les politiques qui nous ont été imposées.

La science est utilisée comme si elle était « sacrée ». Il n’y a rien de « sacré » dans la science ! La science n’est pas plus sacrée que les droits individuels de l’homme. Bien au contraire ! En fait, la science est aujourd’hui très gravement corrompue par des groupes d’intérêt, des groupes d’intérêt très puissants.

Cela inclut les journaux scientifiques et les médias en général. Cela a commencé il y a longtemps, probablement il y a 30 ou 40 ans, mais c’est pleinement développé aujourd’hui.

La Fondation Bill [et Melinda] Gates exerce une influence considérable sur les grands médias et les maisons d’édition du New England Journal [of Medicine] ou du Lancet. Les meilleures revues scientifiques deviennent essentiellement des porte-voix du type de politique que Bill Gates souhaiterait. Bill Gates a même déclaré publiquement que la « solution finale », … il a utilisé ce mot exact [solution finale], [qui a également été utilisé par les nazis pour la solution finale de la question juive], la solution finale pour la pandémie de Covid serait un vaccin, et un vaccin seulement.

Eh bien, Bill Gates est un homme qui utilise ce terme en pleine connaissance de sa signification. Il est monté sur la scène publique lors d’une des conférences TED et a expliqué exactement comment la population humaine dans le monde peut être réduite de 10 à 15 % grâce à nos nouveaux vaccins et au contrôle des naissances ! Gates a de grands projets pour éradiquer une partie de la population. Mais je ne crois pas que ceux qu’il a en tête en seront informés afin de donner ensuite leur consentement sans être  conscients des conséquences.

Uwe Alschner : Laissez-moi, Vera, vous décrire l’image de soi d’une grande partie de la société allemande : L’Allemagne moderne est très fière que le pays soit devenu une démocratie modèle. C’était vraiment l’image de soi et ça l’est toujours. L’Allemagne est donc consciente de son héritage et de sa responsabilité lorsqu’il s’agit de l’Holocauste et de la guerre, ou des deux guerres et de la destruction qui en a découlé. C’est pourquoi les Allemands ont été pacifiques pendant longtemps, même si l’Allemagne est maintenant largement impliquée militairement. Néanmoins, il est vrai que l’Allemagne se tient fermement aux côtés d’Israël et défend le droit à l’existence de l’État d’Israël. L’antisémitisme est donc un interdit absolu dans la société allemande ! Il est même devenu une sorte d’arme politique.
Récemment, cela a également été utilisé contre les critiques des mesures Corona, qui ont été qualifiées d’ »antisémites ». Pour une grande partie de la population allemande, il s’agissait d’une sorte de moyen de dissuasion pour ne pas s’attaquer aux protestations, aux mesures Corona ou à la vaccination. Que pensez-vous de cela, Vera ?

Vera Sharav : Eh bien, il a fallu trois générations pour que le peuple allemand comprenne. N’oublions pas que seuls 23 professionnels de la santé ont été traduits en justice à Nuremberg, alors que des milliers de personnes étaient impliquées. Et ils sont retournés directement à leurs postes dans les universités et les laboratoires. Il a même été possible qu’un médecin nazi prenne la tête de l’Organisation médicale mondiale.

Il n’y avait aucune volonté réelle de prendre conscience de la monstruosité du nombre de personnes impliquées dans les machinations du régime nazi. Ce n’était pas seulement une affaire militaire. La population civile était impliquée, même si beaucoup prétendaient ne pas le savoir. Mais je pense que dans la mesure où les postes les plus élevés ont été repris par la génération suivante, puis par la génération suivante, d’abord les collègues des principaux responsables, par des personnes de la même génération. Il était alors clair qu’ils ne porteraient pas plainte. Mais leurs élèves, la deuxième génération, non plus. Ce n’est qu’avec l’arrivée de la troisième génération – j’ai lu de nombreux ouvrages de recherche allemands sur lesquels les recherches ont vraiment fleuri – que beaucoup plus d’informations ont été traitées sur le rôle des médecins et de la science dans la réalisation de l’Holocauste. De nombreux historiens ont fait des recherches à ce sujet. Il est donc clair que les Allemands, les jeunes Allemands, n’ont rien à voir avec l’Holocauste.

Et une partie de ce que je voudrais vous dire – et qui ne s’adresse pas tellement à l’Allemagne, mais surtout à l’adresse du public israélien : Quelle sera votre réponse lorsque vos petits-enfants vous demanderont un jour : « Où étais-tu alors ? ? … De quel côté étiez-vous ? « Parce que ce n’est pas encore fini. Nous ne savons pas ce que le vaccin va réellement faire. C’est une question qui se pose pour les vaccins, et il s’agit d’une technologie expérimentale qui n’a jamais été appliquée aux humains auparavant. Mais d’après les quelques recherches effectuées sur les animaux, nous savons que les animaux ne se sont pas bien comportés lorsqu’ils ont été exposés au véritable virus. Le vaccin ne les dérangeait pas, ils allaient bien. Mais quand ils ont été exposés au vrai virus…

C’est en effet un énorme crime contre l’humanité qui se déroule sous nos yeux ! L’Holocauste n’est pas non plus apparu du jour au lendemain. Il a commencé avec l’ »Opération T4″ (programme d’euthanasie), et je n’accepte pas que quelqu’un prétende ne pas voir la ressemblance avec le carnage actuellement perpétré sur les personnes âgées, en particulier celles qui se trouvent dans des centres de soins de longue durée et des maisons de retraite. Il s’agissait d’ordonnances et de lois des gouvernements des pays industriels les plus riches et les plus développés du monde occidental. Ce sont ces pays qui tentent aujourd’hui de vider leurs maisons, comme l’a fait Hitler. Il a commencé par les bébés et les jeunes enfants, les handicapés. Mais peu après, il a ciblé les résidents des maisons de retraite. On les appelait les « mangeurs inutiles ».

Les gens ! Cela se produit à nouveau aujourd’hui. C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui ! Et ce qui est vraiment incroyable : cela se passe dans les pays les plus avancés. C’est donc un grand pas. C’est un signal. Quel est l’objectif ? A quoi cela se résume-t-il ? Bill Gates et Klaus Schwab, ils décrivent la fin du jeu ! C’est un monde totalement dystopique dans lequel à mon avis aucun d’entre nous ne veut vivre !

Le moment est venu pour les gens d’enlever leurs œillères et de regarder les choses en face ! Je trouve révélateur que les moins instruits, ceux qui ont des emplois manuels, semblent comprendre ce qui se passe. Ils ont compris, ils n’ont pas d’illusions, ils n’ont pas subi de lavage de cerveau !

Le fait que la majorité du public israélien ne se rebelle pas contre la vente de leur terre comme laboratoire d’essai qui transforme la population en cobayes humains est… De toute façon, la peur et la propagande ont prévalu. Les nazis ont également utilisé la peur et la propagande, chaque régime totalitaire utilise plus ou moins de propagande pour forcer les gens à faire ce qu’on leur demande. Le fait que les gens aient su – et il y a eu de nombreuses révélations sur les pratiques commerciales sans scrupules de l’industrie pharmaceutique et des gouvernements aussi – [rend la chose si incroyable].

Alors comment se fait-il que la plupart des gens ne soient pas disposés à au moins s’interroger et à dire « Stop ! Pouvez-vous vraiment faire confiance à cela ? « … La peur est l’état qui permet d’éteindre tout jugement. C’est le travail des adultes de prendre des décisions raisonnables. Une démocratie est construite sur des adultes qui remettent les choses en question et sont d’accord ou non avant qu’une mesure ne soit conçue. Aujourd’hui, nous avons un État où la politique se fait à huis clos, sans aucune transparence. Et ensuite, les mesures nous sont simplement annoncées et nous devons les suivre.
La ligne directrice qui a conduit au meurtre des personnes âgées est précisément la politique de triage qui a été formulée par des bioéthiciens et qui a ensuite été simplement adoptée.
Andrew Cuomo, le gouverneur de New York, a même déclaré qu’il savait exactement ce que cela allait donner. Il a donné des instructions pour que les personnes âgées des maisons de retraite ne soient pas traitées dans les hôpitaux, qu’elles soient transférées dans les maisons de retraite, qui bien sûr n’étaient absolument pas préparées à une telle chose. Et il a dit que le virus dans les maisons de retraite était comme un feu dans une herbe sèche. Je pense que ça ne pourrait pas être plus imagé : « Un feu dans l’herbe sèche ». Et c’est exactement ce qu’il a fait.

Le fait que cela se soit produit dans tous les pays occidentaux signifie que c’était coordonné. Quelqu’un l’a fait, derrière des portes closes bien sûr, en secret, mais tout le monde s’est impliqué : Canada, États-Unis, Grande-Bretagne, Espagne, Italie, partout, Israël aussi… C’était un effort concerté pour se débarrasser du bagage économique.

Suite de l’interview par Uwe Alschner

Vera Sharav milite depuis longtemps en faveur des droits de l’homme dans le contexte des expérimentations médicales. Elle est la fondatrice et la présidente de l’Alliance for Human Research Protection. Elle y défend les intérêts des personnes qui participent à des expériences médicales contre leur gré ou à leur insu.
L’une de ces expériences est la vaccination contre le virus SRAS-COV2, explique Vera Sharav. Plus encore, la militante des droits de l’homme place la crise actuelle dans le contexte des notions idéologiques d’eugénisme et de contrôle de la population. Les principaux représentants de la « Grande Réinitialisation » ont – comme le fondateur du WEF, Klaus Schwab – des liens familiaux avec le national-socialisme ou, comme Bill Gates, des brevets sur des techniques de marquage indélébile de données personnelles sous la peau (« Quantum Dot Tattoo »). Lorsque le débat sur ces questions n’est pas ouvert mais supprimé, il est clair, selon Vera Sharav, que la vérité est dissimulée.

Vera Sharav : Le fait que cela se soit produit dans tous les pays occidentaux signifie que cela a été coordonné ! Quelqu’un a organisé cela, bien sûr, encore une fois derrière des portes closes, en secret. Mais tout le monde a suivi le mouvement : Canada, États-Unis, Grande-Bretagne, Espagne, Italie, partout où cela a été fait. En Israël aussi… C’était une action concertée pour se débarrasser évidemment du lest économique.

Les gens ne doivent pas se leurrer : ce n’est que le premier pas. Après, ce sera le tour de qui ? J’ai entendu dire qu’il y a des ordres de ne pas réanimer les enfants handicapés en cas d’arrêt cardiaque.
Si, en tant que citoyens, nous permettons à cet agenda et à son calendrier de se poursuivre, l’espèce humaine sera perdue. Ceux qui dirigent cet agenda l’envisagent de manière globale.
Ici, aux États-Unis, une part disproportionnée des décès dus à la Covid19, en plus du groupe des gens âgés à risque, provient des groupes noirs et latinos.
Donc, quand on dit « Black Lives Matter », cela ne s’applique pas à la santé publique ! La politique de santé publique est raciste ! Elle est biaisée et unilatérale. Il y a un racisme institutionnalisé dans la santé publique. Et ce, depuis des décennies.
Avec l’Alliance pour la protection de la recherche humaine [Alliance for Human Research Protection] que j’ai fondée, et dans mon travail avant cela, j’ai….

Laissez-moi le dire autrement :

J’ai surmonté l’horreur de l’Holocauste et je suis venue aux États-Unis à l’âge de onze ans.
L’une des premières questions que je me suis posées est la suivante : Où étaient tous ces gens [quand nous avions besoin d’eux] ? Comment ont-ils pu laisser cela arriver [à nous] ? Pourquoi mon père devait-il mourir ? J’étais hors de moi, en colère.

Parce que ce que je voyais, c’était une vie très confortable, New York était assez luxueux à cette époque. Je ne pouvais pas comprendre cela. Comment cela avait-il pu arriver ?

Bien sûr, avec le temps et l’âge, j’ai appris comment va la vie : de mauvaises choses arrivent, mais la vie continue ailleurs. Mais il y avait aussi un autre côté de la médaille : beaucoup de gens gagnaient magnifiquement leur vie grâce à la guerre. Chaque guerre a ses profiteurs de guerre.

J’ai sans doute compris alors que je ne pouvais pas devenir, que je ne pouvais pas devenir le même. Si j’étais si indigné par l’indifférence des gens, il était clair pour moi que je ne devais pas détourner le regard lorsque l’injustice se produisait.

C’est ainsi que, depuis de nombreuses années, je garde un œil critique sur la recherche médicale. Et je continuerai à le faire. Aussi parce que les vaccins prennent de plus en plus d’importance.
Il faut le savoir :
En médecine, il y a deux domaines où la coercition est acceptée. L’un est la psychiatrie, et c’est comme ça que ça se passait dans l’Allemagne nazie à l’époque : après les bébés venaient les malades mentaux, ils étaient médicamentés de force. Une personne atteinte d’une maladie mentale est désavantagée car elle ne peut pas témoigner devant un tribunal pour cause de démence.

Je me suis donc concentré sur ce domaine parce que j’ai découvert un grand nombre d’études destinées à prouver que les jeunes enfants noirs deviennent des délinquants violents. Quel genre de « science » est-ce là ?

Les institutions scientifiques, comme l’Institut national de la santé mentale, ont parrainé de telles expériences, qui visaient à confirmer l’idéologie eugéniste. Oui, on a administré à des bébés noirs un vaccin qui n’est pas autorisé aux États-Unis et qui s’était déjà révélé dangereux aux Philippines, surtout pour les jeunes garçons, mais on l’a quand même fait à Los Angeles. Et des bébés noirs ont également été maltraités lors d’essais de vaccins et de médicaments contre le sida.
C’est évident : en matière de santé publique, les vies noires ne comptent pas. Elles sont consommables.

Grâce à mon expérience, cependant, j’ai développé des antennes très fines. Si cela a pu m’arriver à moi, alors cela peut arriver à n’importe qui d’autre. C’est ainsi que je l’ai interprété. Il est malheureusement vrai que la plupart des gens se sentent plus en sécurité lorsqu’ils ont la même opinion que leurs collègues et amis.

C’est une attitude très dangereuse car elle ouvre la porte aux tyrans criminels. L’un des problèmes avec Pfizer, par exemple, est que cette société possède désormais les informations médicales de toute la population israélienne, ce qui est en soi extrêmement extraordinaire, car Israël a toujours été confronté à des menaces existentielles et a donc toujours essayé de protéger sa population. Comment diable pouvez-vous remettre les données médicales de la population à une société qui possède un tel catalogue de casiers judiciaires ? Celui de l’Amérique du Sud… L’Argentine y a résisté aux demandes de la société.

Les demandes comprenaient la mise en gage des actifs du pays, y compris ses bases militaires, comme garantie. Une garantie qui protège absolument Pfizer de toute poursuite en justice pour les dommages causés par le vaccin.

Ma première pensée à ce sujet a été : en dehors de la méthode commerciale scandaleuse d’une revendication aussi effrontée, la question vraiment intrigante est la suivante :
Quelles informations doivent-ils avoir sur leur propre vaccin pour exiger une protection aussi étendue ? Cela devrait certainement déclencher une sonnette d’alarme pour tout le monde ! Ils savent mieux que quiconque à quel point le risque est élevé, car ils connaissent toutes les données. Ce n’est pas notre cas ! Si je vivais en Israël, j’exigerais des informations sur ce que le [chef du gouvernement] Netanyahou a reçu pour cet accord.

Même si vous ne soupçonnez pas que quelque chose puisse être fait avec les données médicales, la valeur économique des informations sur les problèmes de santé de la population israélienne est incommensurable pour une entreprise pharmaceutique. Sur cette base, on peut imaginer toutes sortes de recherches qui ouvriront un incroyable flux de revenus. Nous parlons de huit millions de personnes, avec les enfants, qui seront aussi bientôt en ligne de mire, bientôt neuf millions de personnes.

Il y a tellement de questions qu’il est impératif de se poser :
Je ne suis pas un scientifique, les vrais scientifiques peuvent très bien expliquer les choses dans leur contexte. Ils n’ont pas vraiment besoin de ce jargon. Et la signification statistique n’est pas le seul facteur en médecine.
Ce qui compte, c’est l’effet clinique d’un produit. Ce qu’il fait chez les gens. Et c’est pourquoi le serment d’Hippocrate est si important et si juste ! Si vous considérez les gens comme un troupeau, alors vous êtes à côté de la plaque !

Et vous ne pouvez même pas empêcher la science de conduire à la fraude scientifique sur une telle base. Les individus forment ensemble la société. Il n’est pas vrai que la société est autre chose et que l’individu ne compte pas. Le bien commun n’a jamais été spécifiquement nommé. Qu’est-ce que le bien commun ? Qui le définit ?

Je voudrais aborder une autre question : j’ai parlé de Klaus Schwab.

Uwe Alschner : S’il vous plaît, continuez !

Vera Sharav : Jusqu’à présent, il n’y avait absolument aucune information sur Internet, ou dans les encyclopédies, « Who’s Who » ou autres, sur Klaus Schwab avant 1970. Rien du tout ! Il est né à Ravensburg en 1938.

Aujourd’hui, le 20 février dernier, un journaliste d’investigation a documenté ce qui n’a pas été mentionné jusqu’à présent : je ne peux que recommander à tout le monde de lire ce rapport. Il explique ce que je soupçonnais depuis longtemps, mais pour lequel je n’avais aucune preuve. Le rapport s’intitule « Schwab Family Values ». On peut le lire en ligne dès maintenant. Le rapport contient les réponses qui indiquent que cela pourrait être le début d’un « Quatrième Reich » !

Il y a une continuité qui est incroyable ! Je ne veux même pas… Tout est là. Il est aussi question de son père, Eugen Schwab, qui dirigeait la branche de Ravensburg d’une entreprise suisse qui produisait toutes sortes d’armements pour les nazis. Une médaille nazie a également été décernée pour cela, pour services exceptionnels rendus aux nazis, voyons si je peux trouver quelle était la désignation… [National Socialist Muster Betrieb].

Je reviens maintenant à l’actualité.

Les Cartes Vertes de Vaccination… Israël a été le premier pays à en annoncer l’introduction. Cela m’a bien sûr choqué ! Pourquoi ? Eh bien, qu’est-ce que cela signifie vraiment ? Cela signifie l’apartheid !

Cela signifie la division des citoyens entre ceux qui méritent et ceux qui sont dégradés. Ceux qui ne méritent pas et ceux qui devraient être récompensés. C’est l’abolition de l’égalité démocratique. La vaccination obligatoire par la porte de derrière !

Et c’est un vaccin entièrement expérimental !
Nous parlons donc d’une énorme expérience, 8 millions…, une expérience sur 8 millions de personnes qui sont prêtes … c’est-à-dire : si elles sont vraiment prêtes, à mettre en place un système d’apartheid à deux vitesses. S’il vous plaît, que quelqu’un arrête cela !

Il est également ironique qu’une partie importante de la résistance vienne des Juifs ultra-orthodoxes. Ils se sont opposés au confinement parce qu’il a empêché la pratique du culte.

J’ai vérifié :
Même à l’époque de la grippe espagnole en 1918, on n’a pas fermé les lieux de culte. On n’a certainement pas fermé toute la société. Les vrais scientifiques qui étudient la propagation des maladies infectieuses ont prévenu : il n’est pas nécessaire de fermer la société. Il ne faut jamais isoler les personnes en bonne santé. Il faut seulement isoler les malades ! Vous devez isoler les malades en quarantaine et vous devez les traiter. Dans ce cas, il faut les traiter tôt.

Mais pas tous les autres ! Ne fermez pas l’économie locale ! La plupart d’entre elles ne seront pas en mesure de rouvrir.
Elles feront faillite, sauf les très grandes, Amazon et toutes les autres sociétés de vente par correspondance sur Internet, où il n’y a aucun contact humain avec le client. Mais bien sûr, ils ont des milliers d’employés, mais ça n’a pas d’importance là-bas.

Tout cela fait partie de ce que Klaus Schwab appelle la « Grande Réinitialisation ». Il en a écrit les instructions. Comment cela doit être fait. Les gens deviennent du « capital humain ». Je pense que nous avons atteint un point où nous devons réfléchir sérieusement :
Comment arrêter l’émergence du 4ème Reich ? Parce que nous avons déjà cédé tellement de contrôle à ceux qui sont sérieux ! Ils s’y préparent depuis très longtemps !

Bill Gates a déjà… il a financé des recherches que le M.I.T. a faites pour lui. Il y a fait développer un tatouage qui, au lieu d’une carte d’identité imprimée, stocke des informations dans la peau qui peuvent être lues avec un iPhone. Que pensez-vous de cela ?

Je pense que… bon, cela va paraître absurde, et certaines personnes vont penser « la vieille dame est un peu perdue ».
Mais je pense que les gens sont devenus dépendants de la technologie. Et c’est ce qui causera leur perte ! Parce que si vous n’étiez pas aussi accro à l’iPhone et à tous les autres jouets numériques, alors ils ne vous suivraient pas si facilement. Mais les gens ne voient pas comment ces « grandes choses » pourraient être utilisées pour exercer un contrôle sur eux. Contre leur gré !

Les gens sont… C’était une manipulation psychologique qu’ils n’ont pas remarquée.
Et c’est ce qui se passe maintenant aussi avec le verrouillage. Chaque État, chaque pays le fait à sa manière, toujours légèrement différente. Comment pouvez-vous sérieusement dire que c’est scientifiquement fondé ? C’est du pur arbitraire ! Il y a maintenant 16 États américains sans masquage obligatoire. Je ne vois pas de grandes épidémies. C’est un gigantesque… lavage de cerveau.

J’aimerais que l’Allemagne prenne le leadership sur cette question ! Parce que nous ne devons pas nous retrouver dans une situation où nos petits-enfants nous regardent dans les yeux en se demandant : « Qu’est-ce qui n’allait pas chez toi ? Comment as-tu pu être aussi stupide pour laisser cela se reproduire ? »
Comment dire… Je comprends que j’ai l’air très dur. Et ça peut ne pas être bien perçu. C’est juste que : Je vois juste les dangers si clairement dans mon esprit ! Et petit à petit, une autre pierre s’ajoute à la mosaïque.

Comment ils ont « joué » avec les restaurateurs, par exemple. C’est vraiment absurde ! A l’extérieur. 1,50 mètres. Distance. Les restaurants de New York qui peuvent se le permettre – ce sont généralement ceux qui ont déjà une petite chaîne, ils ont pu se construire un peu plus – ont installé des tentes sur le trottoir. Pouvez-vous m’expliquer quelle différence cela fait qu’une table soit à l’intérieur, ou entourée de plexiglas ou de toile ? C’est absurde ! Tout cela n’a aucun sens ! Mais c’est le monde dans lequel nous vivons !
Ou la terrible décision de fermer toutes les institutions culturelles !
Et le fait de priver les enfants de leur éducation. C’est le deuxième plus grand crime après les expériences médicales. Priver une génération entière de son droit à l’éducation. C’est tout simplement inconcevable !

Et les enfants. Oui, ils aiment appeler les enfants des virus. « Même s’ils n’ont aucun symptôme, ils répandent le virus partout ! » Ceux qui disent cela n’ont aucune preuve pour cette affirmation ! Les dictats n’ont pas besoin de preuves ! C’est si incroyablement triste ! Croyez-moi, je n’ai jamais pensé que j’aurais à revivre une telle expérience. Avoir peur une fois de plus.

Laissez-moi vous parler du vaccin : Je n’ai pas l’intention de me faire vacciner ! Et c’est pourquoi j’y ai déjà pensé : que se passerait-il s’ils sonnaient à ma porte ? Les médecins et la police. J’ai entendu dire que c’est exactement ce qui s’est passé dans une maison de retraite en Allemagne. C’est exactement comme ça que le GESTAPO a fait. Eh bien, qu’est-ce que je peux faire alors ? Je vais réveiller la petite fille de six ans qui est en moi, développer une tête de défi et crier pour ma vie. Qu’est-ce que je peux faire d’autre ?

Nous sommes vraiment … à un carrefour important ! Soit la société va s’en sortir et survivre, soit elle ne survivra pas !
Il y avait tellement de signes significatifs. La Chine a été louée comme un modèle. Quelle personne saine d’esprit voudrait vivre dans la Chine communiste ? C’est comme vivre dans un état STASI ! Mais les gens auraient pu remarquer qu’un troupeau obéissant est le but. Un peuple qui dit « oui » et « amen » à tout.
Ce qui est drôle, c’est qu’il y avait une mentalité parmi le peuple américain, et aussi parmi les Israéliens, qui croyait en leur propre force. « Nous sommes assez forts et nous pouvons le faire. » Où est passée cette attitude ? La croyance en soi, où est-elle ?

Uwe Alschner : Vera, merci beaucoup pour cet aperçu très précieux et important sur la comparabilité des événements terribles du passé et des événements actuels, qui pourraient encore évoluer vers un monde beaucoup plus sombre. Vous avez dit que nous étions à la croisée des chemins. Je suis d’accord avec vous. Nous sommes à la croisée des chemins.
Beaucoup d’entre nous n’ont pas encore été capables de réfléchir et de réaliser ce qui se passe. Les Warner ont été accusés de ne rien faire de bon. C’est le contraire qui est vrai !
C’est pourquoi il était important que vous, en tant que survivants de l’Holocauste, souligniez les similitudes. Vous êtes appelés à faire ces comparaisons. De même, la comparaison entre la carte verte de vaccination et l’apartheid.
Ce sont des mots forts que je trouve très utiles. Ils peuvent être utilisés pour faire comprendre aux gens que nous n’avons pas seulement besoin de l’aide divine, mais que nous devons aussi redécouvrir notre dignité humaine et notre intelligence pour réaliser ce qui doit être fait maintenant. A savoir : résister pacifiquement mais résolument à la propagande, mais aussi aux mesures qui ont été prises et qui sont aussi injustes qu’inhumaines.

Vera Sharav : Permettez-moi d’ajouter, s’il vous plaît, au sujet de l’étoile juive :
J’ai suggéré d’utiliser ce symbole. Mais je comprends que d’autres personnes qui n’ont pas été personnellement touchées l’utilisent comme une attaque. Ils vous dépeignent comme l’ennemi et l’arriéré. On prétend que les détracteurs veulent revenir à l’histoire. En fait, porter l’étoile de David signifie un signe :
l’étoile a marqué le début, bien avant les déportations ! Ceux qui suppriment le débat, empêchent la discussion, l’échange d’idées, même les réunions.

Il est tout à fait normal de se disputer ! C’est bien aussi d’avoir un débat animé. Quand ils censurent et traitent les dissidents de « théoriciens de la conspiration », c’est un signal d’alarme : il y a une dissimulation en cours ! Ils dissimulent ce qui ne doit pas être discuté et évoqué par les gens et ce qui ne doit pas être connu ! C’est ce qui se cache derrière les mesures de censure. C’est un réflexe de défense.

Oh, et les « théories du complot »… S’il ne s’agissait que de théories, il n’y aurait pas besoin de les censurer.
Il n’y aurait pas besoin de persécuter et de supprimer tous ceux qui disent quelque chose de différent du récit officiel. Ce serait complètement inutile. Ils le font uniquement parce que la propagande est un mensonge. Et ils veulent vendre ce mensonge comme la seule vérité.

Uwe Alschner : Vera Sharav, merci beaucoup pour le temps que vous nous avez accordé ! C’était un grand honneur !
Je vous souhaite le meilleur ! Je souhaite pour nous que votre courage et votre détermination grandissent de façon exponentielle et nous inspirent tous ! Car nous devons prendre courage et prendre position ! Merci beaucoup !

Vera Sharav: Merci !

Originellement publié par le Blog allemand  Vitalstoff.Blog

L’hypnose vakxinale de masse expliquée par le professeur Mattias Desmet

par Lucia Gangale (son site)

 Mattias Desmet est professeur de psychologie clinique à l’Université de Gand en Belgique. Il donne des cours de psychothérapie psychanalyse individuelle et aussi de psychologie de la foule. Il est expert en tyrannie, totalitarisme et hypnose de masse.

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 Dans un podcast publié en ligne, dans des articles et des interviews (par exemple ici), le professeur Desmet explique comment se forme l’hypnose de masse. Lorsque cette période dystopique finira dans les livres d’histoire, nous nous demanderons comment tout cela a pu se produire, mais l’analyse de Desmet nous donne déjà aujourd’hui des indications précises sur ce qui se déroule aujourd’hui sous nos yeux. Comment, c’est-à-dire, il est possible que la vie humaine se soit réduite à être enchaînée et asservie par un QR Code, avec la liberté accordée par les gouvernants à l’échéance des différentes piqûres vakxinales. Comment il a été possible d’échanger sa liberté contre un spritz au bar et de diviser la société entre si-vax et no-vax. Comment notre vie s’est réduite à être scannée par une application, comme si c’était un aliment acheté au comptoir du supermarché. Comment a-t-il été possible de justifier cette dérive au nom d’une urgence permanente, avec un État chantage qui, tout en se protégeant de toute responsabilité pénale et civile, nous dit quoi faire de notre corps au nom de prétendues exigences collectives et de la protection de la santé. Comment il a été possible d’ériger la science en religion et le totem vakxinal en panacée de tous les maux de l’humanité. Comment, tout cela a été possible, entre autres, dans une nation comme la France, au mépris de sa splendide Constitution, de son passé des Lumières et de ses saints principes de Liberté, d’Égalité, de Fraternité.

 Surtout, comme en seulement deux ans il a été possible d’effacer des décennies de luttes et de sang versé pour affirmer les libertés qui nous reviennent en tant qu’êtres humains.

 Le chercheur belge s’interroge depuis longtemps sur l’hypnose collective qui s’opère, même face à des mesures gouvernementales gouvernementales démentes et contradictoires. Une hypnose qui conduit les individus à sacrifier volontairement leur liberté, même maintenant que la variante Omicron, très contagieuse mais non mortelle, semble marquer le tournant vers la fin de la pandémie de Covid 19.

 Selon Desmet, il y a quatre conditions de base pour que la société soit vulnérable à l’hypnose de masse :

 1) Le manque de liens sociaux, l’isolement et la peur qui en résulte ;

 2) Ne pas concevoir un sens ou un but dans sa vie ;

 3) L’anxiété fluctuante (il suffit de voir le nombre de médicaments contre l’anxiété et la dépression prescrits chaque année) ;

 4) Niveaux élevés de frustration et d’agressivité.

 Des mensonges et des contradictions alimentés par le courant dominant ont été crus vrais par les masses, sans cesse tendues par un récit inspiré de la peur du virus et de la haine envers les réticents au vakx1 ou envers ceux qui se posent des questions contraires aux décisions gouvernementales. Ces derniers, considérés comme des parias dont il faut se moquer et qui sont exclus de la société, même s’ils sont médecins, scientifiques et des prix Nobel.

 Desmet dit : « Les parents qui font piquer si avidement leurs enfants entrent dans la conscience de la foule qu’on appelle « formation de masse ». Ce changement social se produit quand il y a ou il y a eu une période de peur fluctuante, et c’est un pas sur la route vers un état totalitaire. Le totalitarisme commence toujours par une formation de masse au sein de la population.

 Ce n’est pas la même chose qu’une dictature. Dans une dictature, les gens obéissent par crainte fondamentale du dictateur au sommet, mais le totalitarisme est le contraire. Les gens sont hypnotisés pour obéir « au bien de la collectivité ». (…) Ils ne sont plus rationnels ou critiques comme autrefois, ils ne suivent plus la logique ».

 La raison pour laquelle tant de gens sont disposés à participer à ce délire collectif, « est que dans ce récit ils trouvent un nouveau lien social. La science, la logique et l’équité n’ont rien à voir avec tout cela ».

 Desmet met en évidence la différence entre une dictature montante et le totalitarisme : « En règle générale, dans une dictature classique, le dictateur devient plus doux et moins agressif une fois que les voix dissidentes, son opposition, sont réduites au silence. Une fois qu’il a pris le pouvoir complet, il n’a plus besoin d’être agressif et peut recourir à d’autres moyens pour garder le contrôle. Dans un état totalitaire, c’est le contraire qui se produit. Cela est fondamental à comprendre, parce que dans une société totalitaire, une fois que l’opposition est réduite au silence, c’est alors que l’État commet ses atrocités les plus grandes et les plus cruelles ».

 Ces deux dernières années, les idées dissidentes sur le Covid et les vakx1s ont été ponctuellement réduites au silence. On se demande alors quand la science est devenue définitive et incontestable et lorsqu’elle est fermée à tout dialogue. Et pourquoi, après deux ans, la propagande martele-t-elle de plus en plus sur le vakx1 unique pour tous, en arrivant à de véritables formes de persécution à l’égard de personnes saines, coupables seulement de refuser un traitement médical imposé ? Comment se fait-il qu’après ses années, on compte le plus grand nombre de contaminations parmi les détenteurs du pass sanitaire, puisque les non vakxinés ont été, de fait, empêchés même de vivre et de se déplacer librement ? Où est la logique de toutes ces mesures qui sont politiques et, bien sûr, non sanitaires ?

 De fait, aujourd’hui, la politique s’est emparée de la vie biologique. Le fameux code de Nuremberg et le « consentement éclairé » naquirent précisément comme défense de l’individu face à certaines extensions dangereuses du pouvoir politique.

 L’histoire nous enseigne que les masses ont toujours cru au dictateur de quart et que l’erreur a duré jusqu’à ce que les nations soient plongées dans l’abîme des guerres et de la spoliation des droits fondamentaux des peuples.

 Aujourd’hui, à l’époque numérique, nous vivons une forme inédite de coup d’État déguisé en politique sanitaire, entre des décrets sortis en un court laps de temps et une inoculation perpétuelle érigée en nouvelle forme de foi salvifique. Le tout assailli par la hâte et l’arrogance du Léviathan sanitaire, toujours plus nerveux et toujours plus dévorant les vies de chacun, vakxinés ou non vakxinés, désormais plus “humains”. L’histoire nous apprend que même les sorts se cassent, peu importe le temps que ça prend. C’est une période de vigilance que d’attendre que le rideau tombe sur cette comédie de l’absurde, avec tous ses tristes personnages, et que la Vie qui, malgré toute la violence à laquelle elle se heurte cycliquement, gagne sur tout, alors que cette fausse bonne gouvernance finit par se dévorer elle-même. 


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Historique: la démystification officielle de la virologie

Au cours d’une première phase, le Dr Lanka a montré que ce que les virologues attribuent à la présence d’un virus pathogène – la mort des cellules en éprouvette – peut être obtenu sans l’utilisation d’un quelconque matériel infectieux, car la technique qu’ils utilisent tue les cellules d’elle-même. Une vidéo très détaillée et simple qui explique la première phase des expériences de contrôle peut être trouvée ici (VF disponible ci-dessous  et vidéo sur le même sujet en VOSTFR)

https://odysee.com/@olya:b/VirologyFraud:0

Dans la deuxième phase, le Dr Lanka a montré que ce que les virologues appellent un « matériel génétique viral » peut provenir d’un tissu humain sain.
Vous trouverez plus de détails sur la 2ème phase ci-dessous.

https://odysee.com/@cv19:b/Stefan-Lanka—2e-phase-des-exp%C3%A9riences-t%C3%A9moins:e

Dans la troisième phase, il montrera qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ».

https://odysee.com/@cv19:b/Stefan-phase-3-VOSTFR:c

https://odysee.com/@katie.su
Transcrit FR
via : https://cv19.fr

Blackrock est le virus !

BlackRock est le virus !

  Marc Gabriel Draghi

La pandémie du coronavirus proclamée à la face du monde au début de l’année 2020 a permis de mettre en lumière les grands acteurs et lobbyistes de l’industrie pharmaceutique. Avec le désormais célèbre Covid-19, les grandes firmes liées au secteur de la santé ont eu l’occasion de démontrer au grand public l’étendue de leur pouvoir corrupteur et leur capacité à mettre en œuvre diverses manipulations pour imposer un narratif favorable à leurs « actions ».

En effet, depuis maintenant deux années nous vivons sous l’égide d’une véritable dictature sanitaire mondiale. Cette pandémie pro-vakx1 était néanmoins prévue de longue date comme l’avait annoncé la revue Nexus ou comme l’avait encore « demandé »  Jacques Attali dans une tribune publiée à l’occasion de la grippe H1N1 en 2009.

Évidemment attirés par les profits colossaux, les géants de la santé n’ont pas hésité à jouer un rôle fondamental dans le récit que les grands médias et les gouvernements servent aux populations depuis maintenant 24 mois. En cette époque post-démocratique d’instauration du pass vakcinal en France, il nous est quand même encore permis de nous demander en quoi ces sociétés ont eu un intérêt à collaborer à ce nouveau paradigme (qui in fine décrédibilise une grande partie de leurs activités) au-delà de la seule question du profit.

Face à la colère populaire qui monte, ne sont-elles pas en train de scier la branche sur laquelle elles sont assises ?

On le voit chaque jour, la tyrannie sanitaire amène des gens éveillés à se questionner sur leur propre santé et sur un système immunitaire naturel. Nombreux sont ceux qui se tournent vers des réflexions et des connaissances historiques plus proches de la médecine traditionnelle ou l’humain avaient encore une place centrale.

D’ailleurs cette pandémie a également révélé qui étaient les véritables médecins et soignants, jetant un grand nombre de professionnels de santé du côté de la corruption et du mépris des populations à leur égard. Alors pourquoi les sociétés pharmaceutiques, au-delà de la logique des profits colossaux engendrés, perdurent à se vautrer dans la fange des manipulations et du mensonge autour du Covid-19 ?

La réponse est simple et vous la connaissez déjà ! Big Pharma, comme tous les autres secteurs, ne peut plus être pensée comme une industrie indépendante. Elle est en réalité l’une des têtes de l’Hydre du système oligarchique qui souhaite nous imposer le projet de Nouvel ordre mondial.

La santé : un marché colossal en pleine expansion

Avant la crise du coronavirus, en 2019, d’un point de vue financier, il est vrai que le marché pharmaceutique représentait déjà presque 1 000 milliards d’euros de chiffre d’affaires.

Les cinq premiers groupes à l’échelle mondiale par le chiffre d’affaires global étaient Johnson and Johnson, Roche, Pfizer, Bayer ou encore Novartis. Ces sociétés mastodontes du secteur pharmaceutique représentaient à elles seules environ un quart du marché, et seule une vingtaine d’entreprises de ce même secteur réussissaient à atteindre les 10 milliards de chiffres d’affaires.

Mais autant vous dire que l’année 2020 (début de la pandémie) – et 2021 (année du vakx1) écoulées, ont constitué un âge d’or pour l’ensemble de ces firmes. Évidemment, l’un des cœurs de l’industrie pharmaceutique, est le secteur des vakx1s qui est particulièrement concentré. Cela s’explique par le fait que sa production nécessite des investissements considérables (notamment des flux financiers importants vers la recherche et développement, qui représente à elle seule, bien souvent jusqu’à un cinquième voire un quart des chiffres d’affaires d’une société).

Les vakx1s, une affaire rentable

Avant la pandémie, cinq laboratoires se partageaient 80% du marché : Johnson & Johnson, Pfizer, Merck, GSK et le laboratoire français Sanofi. Au total 27 milliards d’euros en 2019, représentaient le secteur du vakx1 soit 3% du marché du médicament.

En 2020 le marché du vakx1 a évidemment explosé, l’ensemble des grands laboratoires et firmes de la santé s’est lancé dans une course pour produire des vakx1s contre le nouveau coronavirus. Elles ont dû adapter leurs productions industrielles à l’échelle planétaire, par conséquent le chiffre d’affaires de ces firmes composant Big Pharma a explosé.

La firme américaine Pfizer a logiquement atteint en 2021 un chiffre d’affaires proches des 36 milliards de dollars, porté évidemment par ses ventes de vakx1s anti-Covid. Le laboratoire start-up Moderna  a de son côté, vu ses ventes annuelles atteindre une somme proche de 20 milliards de dollars. Tandis que le grand groupe pharmaceutique américain Johnson & Johnson a engrangé 2,5 milliards de dollars de revenus issus de son vakx1 anti-covid.

Évidemment ces chiffres ont de quoi donner le tournis, quand avec le recul on constate une efficacité très médiocre, selon les spécialistes sans conflits d’intérêts. Bien sûr, à écouter les très crédibles Jean Castex Premier ministre et son ministre de la Santé Olivier Veran, les vakx1 à ARNm sont efficaces et ne sont pas dangereux. Il nous faut donc impérativement faire confiance à la vaccination de masse et à la «s sainte Science »…

D’ailleurs, on le constate avec les autres exécutifs des pays occidentaux (Mario Draghi, Biden, etc.), le combat contre le coronavirus (peu dangereux) n’est en réalité pas du tout l’objectif de nos dirigeants. Leur mission est relativement simple : vakxiner l’ensemble des peuples du monde avec une injection expérimentale sur plusieurs périodes répétées. Pour quels motifs me direz-vous (en dehors de la domestication des populations et des profits de Big Pharma) ? Nous ne le savons pas encore…

Ce « plan » pourrait être taxé de « complotisme », néanmoins il avait déjà été minutieusement décrypté dans une revue intitulée Nexus en avril 2019, soit quelques mois seulement avant la pseudo pandémie mondiale…

Une industrie aux nombreux scandales

Pourtant quand on s’y intéresse quelques instants, on pourrait quand même avoir quelques doutes légitimes sur les fabricants de ces injections expérimentales (contrairement à ce que dit notre Pinocchio national Oliver Véran) censées sauver le monde depuis plusieurs mois, d’une épidémie qui ne tue que peu de personnes (120 000 morts en 2 ans en France) et qui voit les cas flamber depuis la vakxination de la quasi intégralité de la population.

Dans cet article nous ne parlerons évidemment pas du scandale ayant impliqué l’entreprise pharmaceutique Johnson & Johnson accusée d’avoir favorisé la dépendance à des médicaments antidouleurs (Oxycontin) au moyen de campagnes de promotion trompeuses et qui a été déclarée coupable et condamnée par des tribunaux américains.

D’ailleurs dans cette affaire au retentissement médiatique important plusieurs laboratoires ont été poursuivis devant les juridictions US dont le célèbre Purdue Pharma, qui a dû régler quand même 270 millions de dollars avant le procès. Grâce à ce scandale, en 2019, l’opinion publique US et même Occidentale, a pris conscience de la responsabilité de l’industrie pharmaceutique dans la crise de santé publique qui a fait plus de 400 000 morts en 20 ans, selon les chiffres du centre américain de prévention des maladies (le fameux CDC du docteur Fauci).

Nous ne parlerons pas non plus du plan de faillite du laboratoire Purdue de septembre 2021 validé par la justice Américaine qui a fait que la famille Sackler, accusée d’avoir alimenté la crise des opiacés aux États-Unis, a proposé 4,3 milliards de dollars pour solder les poursuites, le plan prévoyant également d’accorder l’immunité aux membres de cette même famille.

Du côté des sociétés pharmaceutiques stars de la vakxination anti-covid-19, nous n’évoquerons pas non plus les condamnations de Pfizer qui s’est vu obligée à verser une amende record de 2,3 milliards de dollars aux autorités américaines pour avoir fait notamment la promotion abusive de plusieurs médicaments.

Ou encore une amende de 60 millions de dollars pour la corruption de médecins et de représentants de gouvernement, afin d’y accroître ses affaires et ses ventes. Ces dernières années de multiples condamnations concernant Pfizer ont été prononcées aux États-Unis, Grande-Bretagne, enquêtes portant sur des pots-de-vin en France (affaire Cahuzac-Rocard), Grande-Bretagne, Chine, République tchèque, Italie, Serbie, Bulgarie, Croatie, Kazakhstan et Russie… ce qui n’empêche pas notre gouvernement de mettre Pfizer sur un piédestal.

Pour ce qui des autres grands groupes nous ne citerons pas non plus une affaire vieille de plus de deux décennies, qui a vu en 1999, la société Hoffmann-Roche devenue Roche a plaidé coupable et a été condamnée à rembourser une amende de 500 millions de dollars pour entente illicite avec BASF et Rhône Poulenc. notamment sur les prix de diverses vitamines. Ou encore une affaire liant Roche au géant pharmaceutique Novartis, avec qui en mars 2014, elle fut condamnée par l’autorité de la concurrence italienne à des amendes de 182,5 millions d’euros également pour « entente illicite ».

Et enfin pour finir nous ne traiterons évidemment pas d’une enquête de février 2018, ou le parquet grec a lancé des poursuites pour corruption contre un dirigeant en Grèce de Novartis, et demander au Parlement d’éclaircir le rôle d’anciens ministres dans un dossier de pots de vin présumés. Ou encore le scandale Novartis-Michael Cohen sur les conflits d’intérêts et les informations autour de la politique de santé américaine de Donald Trump et son ancien avocat Michael Cohen.

Gardez néanmoins tous ces noms de firmes en mémoire car nous allons retrouver la plupart d’entre elles à l’occasion des solutions anti-covid.

Suivre l’argent : trouver les ombres

Ce qui va davantage nous intéresser ici dans cet article, plus que les activités frauduleuses de Big Pharma en elle-même, que nous subissons quotidiennement à coup de propagande, de fausses informations, de mesures coercitives et attentatoires à nos libertés fondamentales depuis maintenant presque de 2 ans, c’est de savoir qui sont les acteurs derrière ces grandes sociétés du complexe pharmaco-chimique ?

Qui tire les ficelles ? Qui donne les consignes ? Qui sont les fondés de pouvoir et les valets ?

On a déjà évoqué la famille Sackler, mais si on mène une brève enquête on s’aperçoit très rapidement que les structures qui tiennent le secteur de la santé à l’échelle mondiale, sont exactement les mêmes que celles qui contrôlent les banques, les médias, le complexe militaro-industriel ou encore les grands groupes du secteur agroalimentaire.

Et parmi ces structures on retrouve évidemment les familles historiques du capitalisme transnational. En effet, derrière cette crise du coronavirus, se trouvent encore les mêmes acteurs du capitalisme financier nomade et apatride. Au-delà de la crise sanitaire (qui serait encore plus résiduelle si les malades avaient été soignés avec les traitements précoces notamment), la pandémie qui a lancé le « Great Reset est » en vérité l’un des points de départ de la plus grande opération de spoliation de l’histoire.

Certes le vakx1 est certainement là pour éliminer en qualité et ou quantité de potentiels rivaux de l’oligarchie (concernant la consommation de ressources et richesses) mais il n’est pas l’alpha et l’oméga, malgré le fait que les lettres grecques soient en ce moment très à la mode avec les variants (Delta- triangle) et (omicron- petit o- œil).

En effet, les acteurs de la Grande réinitialisation élaborant les consignes par l’intermédiaire notamment de Davos et de son Forum économique mondial, sont les mêmes qui siègent dans les conseils d’administration des grandes sociétés financières et qui susurrent à l’oreille de nos dirigeants.

En réalité depuis 2020, les dirigeants valets, les Macron, Draghi, Biden, Johnson et Cie sont désormais tenus d’un côté par la propagande médiatique covidienne et de l’autre par la logique financière de la dette qui n’a pas terminée de s’envoler et d’exploser notamment grâce à cette pandémie (atteignant maintenant 256% du PIB mondiale en 2020). La dette véritable instrument de coercition contre les nations (comme le passe sanitaire pour les populations) devra être remboursée quoi qu’il en coûte… comme l’a encore très bien rappelé l’employée de l’hyperclasse Christine Lagarde sur France Inter, il y a quelques jours.

Les gestionnaires d’actifs ou l’autre visage de Big Pharma

Pour comprendre cette mainmise et la toute-puissance des gestionnaires d’actifs dans le secteur pharmaco-chimique il nous suffit de procéder à une vérification non exhaustive des participations des grands gestionnaires d’actifs dans les firmes de santé dans cette crise covidienne.

Les deux plus connus sont évidemment BlackRock et Vanguard, mais il est également important de citer également leurs complices, notamment State Street Funds Management, Wellington Management Company, Capital Recherche and Management, Northern Trust Investements. On va le constater ces grands groupes par l’intermédiaire de participations croisées et d’influences tacites, possèdent en réalité presque l’intégralité du secteur pharmaceutique.

Mais alors en quoi ce lien entre les plus grandes firmes financières et les sociétés pharmaceutiques géantes est-il si important ? Tout simplement parce que les géants pharmaceutiques sont les protagonistes principales du narratif hystero-sanitaire et de la réponse formulée à cette crise du Covid-19.

Depuis quelques mois, les gouvernements (à l’image de notre ministre de la Santé Véran) sont simplement devenus des VRP de ces grandes sociétés. Celles-ci sont pourtant en train de mettre en danger par la vakxination de masse, l’ensemble des populations du monde par un récit officiel mensonger autour du coronavirus. Et pour faire avancer le dévoilement de la vérité autour de cette « mascarade pandémique » et espérer un jour traduire l’ensemble des responsables devant des tribunaux, il nous faut comprendre qui sont les décisionnaires véritables, qui ont poussé, conçu, un récit frauduleux pour accroitre leurs profits (financiers et politiques).

Car bien que les grands gestionnaires d’actifs indiquent avoir une gestion passive, en réalité ils ne se privent pas du tout d’imposer leur vision et stratégies aux sociétés dans lesquelles ils détiennent des parts importantes. Prenons l’exemple de BlackRock. Si le rocher noir estime que ses positions n’ont pas été suffisamment prises en compte, il vote contre la réélection des administrateurs jugés les plus responsables de la mauvaise stratégie de la société. La firme de Larry Fink a aussi de nombreuses fois, encouragé l’élection annuelle des administrateurs. D’ailleurs l’évaluation des conseils et le respect du principe « une action-une voix », que le rocher noir considère comme « démocratique », lui donne surtout une puissance colossale dans la prise des décisions à l’intérieur de ces firmes.

Évidemment, il est nécessaire de garder en tête que les ratios d’actionnariat changent fréquemment, car les BlackRock, The Vanguard Group achètent et vendent régulièrement. C’est pourquoi il ne faut pas s’attarder sur les différents pourcentages, mais se focaliser sur la présence de ces firmes dans les « tops actionnaires ».

Dans le paragraphe qui va suivre, nous nous sommes amusés à photographier les différentes participations des gestionnaires d’actifs au sein des géants pharmaceutiques composants Big Pharma (avant ou pendant cette crise pandémique covidienne). L’essentiel à comprendre est que les gestionnaires géants comme State Street, BlackRock et Vanguard, etc. individuellement et combinés représentent, comme vous allez le constater, un pouvoir d’influence colossale sur ces groupes et sociétés de l’industrie de la santé.

Ainsi, si par exemple on se penche sur la liste des principaux actionnaires de Pfizer au 22 novembre 2020 (au tout début du lancement du vakx1) on retrouve :

  1. The Vanguard Group – 7.74%
  2. State Street Funds Management 5.20%
  3. Capital Research and Management (World Ivestors) 4.66%
  4. Wellington Management Company. 4.51%
  5. Capital Research and Management 2.56%
  6. BlackRock Fund Advisors 2.42%
  7. Northern Trust Investements 1.24%
  8. Norges Bank Investement Management 1.07%

Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien du site zonebourse PFIZER INC.

Pour ce qui est de la société AstraZeneca dont le vakx1 n’a pas connu un grand succès en Europe, car rapidement catalogué comme responsable de thromboses à répétition, voici la liste des principaux actionnaires au début de la campagne mondiale de vakxination, le 29 mars 2021 :

  1. Wellington Management Company. 5.22%
  2. Capital Research and Management (World Ivestors) 4.27%
  3. BlackRock Investement Management (UK) 4.16%
  4. The Vanguard Group – 2.70%
  5. Norges Bank Investement Management 1,88%
  6. BlackRock Fund Advisors 1.72%
  7. BlackRock Advisors (UK) 1.20%
  8. State Street Funds Management 1.06%.

Les vakx1s de cette société sont désormais envoyés de manière prioritaire au pays du tiers-monde.

Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : ASTRAZENECA-PLC.

Quant à Johnsson and Johnsson, sa liste des principaux actionnaires avant même la proclamation de la crise, le 12 janvier 2020 s’établissait de la manière suivante :

  1. The Vanguard Group – 8.45%
  2. State Street Funds Management 5.76%
  3. BlackRock Fund Advisors 2.53%
  4. Northern Trust Investements 1.31%

Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : JOHNSON-JOHNSON.

De son côté la société GlaxoSmithKline (GSK), longtemps accusée d’être le propriétaire réel du laboratoire P4 de Wuhan, a bien dans ces tops actionnaires les groupes BlackRock et Vanguard. Cependant le lien entre GSK et le laboratoire P4 de Wuhan a été timidement démenti, mais il n’est pas du tout impossible qu’il existe bel et bien plusieurs connexions entre cette société et le laboratoire chinois (sous tutelle de l’État) responsable officieux de la plandémie, rien qu’en matière de recherche et de flux financiers.

Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : GLAXOSMITHKLINE.

Il est à noter que GSK s’est, elle aussi, lancée dans un traitement contre le Covid-19.

Ensuite la société Merck qui était et est encore le plus gros producteur d’ivermectine (l’un des médicaments étant utilisé dans certains traitements précoces du Covid-19) bloqué par les grands gouvernements et les médias, est elle aussi sous contrôle :

Puisque la liste des principaux actionnaires de Merck au 1er novembre 2021 était composée de :

  1. The Vanguard Group – 8.49%
  2. Capital Research and Management (World Ivestors) 5.48%
  3. State Street Funds Management 4.51%
  4. BlackRock Fund Advisors 2.19%
  5. Wellington Management Company. 1.91%
  6. Northern Trust Investements 1.23%
  7. Capital Research and Management (World Ivestors) 1.14%.

Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : MERCK-CO.

Enfin, pour en finir avec ces listes non exhaustives des principaux actionnaires, retenons celle de la société ROCHE  au 20 juillet 2021 :

  1. Norges Bank Investement Management 2.84%
  2. The Vanguard Group 2.63%
  3. BlackRock Fund Advisors 1.58%

Pour les positions des actionnaires et participations actualisées vous pouvez consulter ce lien : ROCHE-HOLDING-AG

Le grand public n’a peut-être pas encore entendu parler de cette société dans les médias à la différence des Pfizer, Johnson and Johnson, Moderna, etc. pourtant le rôle de l’ancienne Hoffman-Roche est fondamental car c’était tout simplement la première entreprise pharmaceutique du monde en 2020 en matière de chiffre d’affaires. Et on pourrait se dire naïvement qu’elle a loupé le coche de la course de la vakxination anti-covid.

Mais en réalité, il n’en est rien, c’est même elle, qui a décroché le premier « pactole » grâce à un autre outil de la pandémie. En effet, cette pandémie de Covid-19 ne repose concrètement que sur les tests– et les cas positifs. Ainsi pour entretenir un narratif de peur, les tests sont en réalité, l’un des éléments de base de cette crise sanitaire pilotée intégralement par Big Pharma.

À l’heure actuelle, les « tests covid » représentent une facture de plus de 6 milliards d’euros pour la France… Certains avancent même le chiffre de 10 milliards. Ainsi, au début de cette crise planifiée, en mars 2020, la division Roche Diagnostics avait déjà réalisé une étape importante avec l’approbation de son test de diagnostic du Sars-Cov-2 capable d’analyser 1 400 à 8 800 échantillons en 24 heures. Le 13 octobre 2020, Roche avait également communiqué sur le lancement d’un nouveau test antigénique, Elecsys SARS-CoV-2 Antigen, pour diagnostiquer la présence d’antigènes spécifiques à la Covid-19.

Nous ne relancerons pas le débat sur la qualité et le rôle des tests dans cette crise mais ce qui est certain c’est que tous les grands acteurs de Big Pharma étaient positionnés pour profiter de la crise. Et même s’il est vrai certaines start-up comme Moderna ou Biontech (BlackRock évidemment présent parmi leurs actionnaires) ont su tirer leurs épingles du jeu, en s’adossant à ces mastodontes., tous les poids lourds ont su se positionner.

On le constate donc tous les gestionnaires d’actifs se sont placés à l’occasion de la pandémie. Ce qui est étrange c’est de constater très souvent les mêmes noms dans l’actionnariat de Big Pharma. Dans cet article, la liste n’est évidemment pas exhaustive mais à chaque fois les mêmes noms des grands acteurs sont relativement peu nombreux et reviennent très souvent. Les grands gestionnaires d’actifs sont tous présents et ont des participations croisées dans ces sociétés.

Les grands gestionnaires d’actifs : un monopole qui ne dit pas son nom

Cependant le scandale ne s’arrête pas là. On pourrait se dire que le fait qu’il existe plusieurs grands groupes financiers qui contrôlent les laboratoires rend cet état de fait quand même acceptable et que ce n’est pas si étonnant. En réalité, il n’en est rien. Nous sommes bien devant l’un des plus gigantesques monopoles de l’Histoire de l’Humanité. La concentration financière et politique est presque totale. Même John D. Rockefeller s’il était encore de ce monde, pourrait rougir d’un tel niveau de monopolisation et d’opacité financière.

Car cette fois, à la différence du XIXème siècle, les quelques mains qui possèdent le grand capital mondial sont cachées derrière les paravents de sociétés écran, holding multiples, participations croisées entre rivaux et bénéficient du monde offshore parfaitement développé depuis les années soixante-dix. Mais n’en doutez pas, la consanguinité financière caractérise encore une fois ce grand monopole de l’ombre.

Il nous suffit d’étudier le cas du gestionnaire d’actif le plus connu, BlackRock, et sa liste des principaux actionnaires du 3 octobre 2020 pour s’en convaincre :

À la première place, on retrouve bizarrement son « grand rival » The Vanguard Group – avec 5.67%, puis en seconde position Capital Research and Management 5.27%, puis State Street Funds Management 3.34%, puis Wellington Management Company 2.95%, BlackRock Fund Advisors 1.84% ou encore Norges Bank Investement Management 1.80%

Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : BLACKROCK-INC.

Quelle étrange conception de la concurrence libre et non faussée… En réalité, on comprend donc bien que toutes ces grandes firmes se tiennent entre elles, se contrôlent et s’entendent pour se partager le gâteau des richesses de l’économie mondiale. Évidemment pour ce qui est des véritables propriétaires de BlackRock, The Vanguard Group (mettons de coté la propagande qui explique que ce sont en fait Monsieur et Madame tout le monde), des indices et des articles émettent plusieurs suppositions, mais tout le monde sait d’instinct que ces firmes appartiennent et sont contrôlés par les mêmes grandes familles du capitalisme financier apatride et mondialisé dont les noms sont connus et reviennent épisodiquement sur le devant de la scène internationale depuis désormais presque 2 siècles.

Le groupe Vanguard est historiquement le principal actionnaire de BlackRock. Cependant contrairement à ce qu’on pourrait penser, Vanguard est très certainement plus important dans ce système opaque de pillage des richesses du monde. Tout simplement car cette société (qui existait bien avant BlackRock) a été la firme précurseur sur les ETF (Fonds négociés en bourse). De même que la Wellington Management Company fut historiquement le premier grand gestionnaire d’actifs.

The Vanguard Group (le groupe de l’Avant Garde) et la Wellington (du nom du bourreau de Napoléon à Waterloo) Management Company sont des « nœuds » d’un milieu que l’on pourrait désigner comme la finance de l’ombre car leurs structures et actions sont encore plus opaques que celle de BlackRock, ce qui rend difficile la lecture des liens avec les grands acteurs historiques et politiques du monde de la finance.

Cependant la plupart des experts ne se font guère d’illusions, bon nombre des familles les plus anciennes et les plus riches du monde sont concrètement liées aux fonds Vanguard ou encore State Street. Des noms dans les organigrammes des sociétés et les réunions des clubs privés trahissent parfois ces secrets de polichinelle.

Les noms Rothschild, Rockefeller, Dupont, OrsiniMedici, apparaissent quelques fois au sein des organes exécutifs de ces groupes.

Ces grandes familles n’ont évidemment pas abandonné leurs places dans les banques mais ont trouvé dans ces nouvelles structures du capitalisme parasitaire, des outils très opportuns pour mener à bien leur projet de captation d’une grande partie de l’épargne mondiale.

Avant les années 2000 et la révolution Larry Fink/BlackRock, les gestionnaires d’actifs n’étaient pas des structures attrayantes pour les businessmans aux dents longues de Wall Street ou de la City, au contraire, ces groupes étaient davantage perçus comme des sociétés aux capacités médiocres.

Ce sont la montée en puissance des ETF (fonds indiciels répliquant par exemple le SP 500 cotations boursières des 500 plus grosses entreprises américaines) et surtout la crise de 2008 qui vont avoir pour conséquence la consécration des The Vanguard Group, BlackRock, State Street…

Évidemment l’influence des gestionnaires d’actifs géants est de nos jours considérable. Non seulement ils détiennent une grande partie des actions de presque toutes les grandes entreprises du monde, mais ils possèdent aussi les actions des investisseurs de ces entreprises. Cela leur donne de facto un monopole tentaculaire sur les secteurs les plus importants de l’économie mondiale.

State Street, Blackrock, The Vangaurd Groupe et Cie, véritables paravents institutionnels sont en réalité les ombres du plus gigantesque monopole secret de l’histoire. Bloomberg écrivait deux années avant la crise du coronavirus qu’à eux deux Vanguard et BlackRock pourraient posséder 20 000 milliards de gestion en 2028. Juste pour information en ce début d’année 2022, BlackRock vient déjà de dépasser les 10 000 milliards sous gestion à lui seul !

Le rocher Noir et le groupe de l’avant-garde ont donc entre leurs mains l’ensemble des industries et des grands secteurs économiques (GAFAM/ Big Tech, Big Pharma, Automobile, Défense, agroalimentaire). Pour vous en convaincre il vous suffit de procéder de la même manière que ce qui a été transcrit plus haut dans cet article. Vous allez vite vous rendre compte que les grands gestionnaires d’actifs possèdent tout, de Facebook-Meta, à Alphabet (Youtube-Google), en passant par Microsoft, The Coca-Cola Company ou même encore Tesla.

Les State Street, Blackrock et Vanguard ont la propriété de plusieurs milliers d’entreprises américaines, européennes, françaises dont les chiffres d’affaires approchent plusieurs dizaines de milliards de dollars.

Les trois géants de la gestion d’actifs sont en réalité les plus grands propriétaires mondiaux, ils représentent près de 90 % des sociétés cotées à la bourse américaine le S&P 500. Certains diront que c’est tout à fait logique puisqu’ils sont les maitres des ETF et de la gestion passive, et que c’est leur rôle d’être présent partout, dans tous les secteurs de la vie économique, mais ce constat est fondamentalement faux.

Évidemment, nous pouvons souscrire en partie à ces arguments de bon sens, mais en l’occurrence ce n’est pas leur présence dans les grandes sociétés qui posent véritablement problème et question. C’est bel et bien leurs poids dans l’actionnariat de ces dernières et permanence de leurs poids. Leur capacité financière leur donne un rôle moteur dans notre économie mondiale, sous perfusion financière des banques centrales.

Le Big Three et la World Company

Comme on l’a déjà indiqué, c’est la crise de 2008 (qui n’est toujours pas terminée), qui a permis à ces grands gestionnaires d’actifs anglo-américains de prendre une place démesurée dans l’écosystème du capitalisme mondialisé.

Presque inconnus du grand public avant la crise des Subprimes, ces firmes financières ont ainsi capturé des pans considérables des intérêts économiques, politiques et monétaires et se trouvent désormais être le cœur nucléaire du système financier mondial.

Ces sociétés financières ont progressivement pris le pouvoir et l’influence des grandes banques depuis 2008 car elles permettent aux grands détenteurs de capitaux de contourner les règles prudentielles appliquées à ces dernières. Les banques sont loin d’avoir disparu, mais une partie de l’influence et du pouvoir financier a été concrètement transférée vers ces sombres structures.

Évidemment à force de se développer sans contraintes réglementaires et obstacles politiques, les grands gestionnaires d’actifs, BlackRock, Vanguard, ou State Street, sont certes devenus les colosses du système capitaliste parasitaire mais paradoxalement (malgré leur puissance) ces titans pourraient également être le talon d’Achille de la finance mondialisée, au regard du niveau de concentration de richesses qu’ils ont fini par atteindre en l’espace de moins de deux décennies.

Grâce au Covid-19, on l’a vu, BlackRock gère plus de 10 000 milliards de dollars depuis la fin 2021. On peut constater la même dynamique pour Vanguard (7 900 milliards en mai 2021) et State Street qui gère quant à lui plus de 3.100 milliards sous gestion officiellement. À eux seuls, les trois leaders mondiaux du secteur ont désormais entre les mains « autour de 10 % de la capitalisation boursière mondiale totale ». C’est d’ailleurs BlackRock qui avait indiqué ce chiffre délirant dans l’un de ses communiqués.

Le pouvoir de l’influence

Et comme pour Big Pharma, l’ensemble des grandes entreprises (Google, Meta, Apple, etc.) doivent se soumettre à la vision des nouveaux géants de la finance mondialisée. Cela peut aussi expliquer les vagues de censure médiatique aggravées depuis mars 2020 et la proclamation de la pandémie. Le marché et la censure sont désormais entre ces quelques mains.

BlackRock, Vanguard, State Street « ont atteint une telle taille critique, un tel degré de concentration que nulle entreprise cotée n’ose déroger aux objectifs financiers que ces fonds leur assignent », constate très justement l’économiste Olivier Passet.

La théorie et la doxa officielle concernant les grandes firmes de gestion d’actifs voudraient nous faire croire que ces géants investissent de manière minoritaire dans des entreprises par l’intermédiaire des fameux ETF (fonds indiciels), mais comme on l’a vu en raison de leur consanguinité et de leur poids colossal actuel, il n’en est rien.

Les médias spécialisés nous expliquent que BlackRock, The Vanguard Group n’interviennent quasiment pas dans la gouvernance des grandes entreprises, (la fameuse gestion passive) et les experts expliquent aussi que les gestionnaires d’actifs se « contentent de gérer leur participation comme un placement financier ».

Certains osent même analyser la montée en puissance du rocher noir en disant qu’il s’agit (comme pour Robinhood) « d’une démocratisation de l’investissement », et d’autres disent qu’il s’agit d’un « triomphe de la médiocrité ». Mais ce n’est bien évidemment, ni l’un ni l’autre. C’est une stratégie des « quelques mains » savamment mises en place et que l’on distingue plus précisément depuis 2020.

Si les State Street, Blackrock, Vanguard ne sont pas, il est vrai, techniquement propriétaires des actions qu’ils achètent, ils ont cependant un pouvoir d’ingérence et d’influence concret puisqu’ils votent en assemblée générale et sont potentiellement les interlocuteurs des états-majors des entreprises.

De plus, ces géants financiers se défendent maintenant ouvertement d’être des actionnaires passifs, en témoigne une déclaration de l’ancien patron de Vanguard, Bill McNabb en 2015 qui expliquait que : « par le passé, certains ont pu penser que notre gestion passive s’accompagnait d’une attitude passive en matière de gouvernance, mais en réalité, rien n’est plus faux ».

D’ailleurs depuis la crise du coronavirus, et mars 2020, Blackrock a voté contre les recommandations du management près d’une fois sur trois aux États-Unis.

Désormais comme les unes The Economist pour les complotistes, la lettre annuelle de Larry Fink aux PDG des grandes entreprises mondiales est désormais scrutée analysée et décortiquée par les grands dirigeants, analystes, traders, et journalistes…

Dans les faits ce sont ces fiduciaires hyper-influentes qui dictent aux grands patrons la bonne marche à suivre d’un point de vue stratégique. N’importe quel observateur de bon sens, comprend qu’au regard de leur taille, les entreprises n’ont plus vraiment le choix. D’ailleurs, même les ETF en eux-mêmes posent des problèmes de gouvernance, de démocratie actionnariale et d’antitrust.

Pour preuve, BlackRock a triplé « les effectifs de son service de surveillance des sociétés cotées ». Ainsi, ses fonds peuvent « peser davantage par leurs votes en assemblée générale sur la stratégie et les comportements des sociétés qu’ils avaient en portefeuille ».

Covid-19 et concentration totale de l’économie mondiale

« Nous assistons à une concentration de l’actionnariat inédite depuis l’époque de John P. Morgan et John D. Rockefeller », écrivent les auteurs du rapport de 2017 « Hidden Power of the Big Three ». En réalité les acteurs de cette concentration des richesses n’ont pas changé, les mêmes grandes familles sont à la manœuvre : Rockefeller, Vanderbilt, Rothschild, Oppenheimer, Orsini, Medici … Seuls les noms sur les vitrines ont changé.

Ils sont juste représentés par leurs fondés de pouvoir (Fink, Boggle, O’Hanley, etc.) du moment, et ont à leur disposition des dizaines de grands gestionnaires d’actifs couplés au pouvoir des Bigs Banks (JP Morgan, Goldman Sachs, Morgan Stanley, Bank of America, etc.) et aussi les banques de conseil (Rothschild LCF, Lazard Frères chez nous, pour les fusions acquisitions lucratives des grandes sociétés dont ils sont actionnaires).

Pour cerner l’étendue du rôle majeur des gestionnaires d’actifs, dans l’économie mondiale, il nous suffit de décrire à nouveau la manœuvre de Blackrock à l’occasion de la pandémie débutée au début de l’année 2020.

Comme je l’ai indiqué il y plus d’un an dans mon livre Le Grand Reset en marche et dans mes articles, le 3 mars 2020 : alors que la bourse de Wall Street venait de subir une chute de 35 % en l’espace de quelques semaines, la Fed de Jérôme Powell a pris la décision de faire tapis : pour éviter le cataclysme financier qui devait logiquement se produire face à l’arrêt de l’économie réelle et les montagnes de difficultés et de dettes US et mondiales.

Le grand reset en marche (Géopolitique Profonde)

Ainsi, la banque centrale créée en 1913 a pris le parti de « soviétiser» complètement des pans entiers de l’économie US. Souvenons-nous, l’institution financière US a annoncé une intervention sans limite de montant ni de temps, via le rachat d’actions et d’obligations d’entreprises.

Pour simplifier la Réserve Fédérale a remplacé le « marché » (réputé libre et non faussé) pour faire remonter les cours de sociétés qui s’écroulaient. Et vous le savez bien, cette annonce a changé les cours et le cours de l’histoire comme par magie. Car, évidemment tous les cours de Bourse (qui avaient chuté de près de 30%) sont repartis à la hausse et ont même par la suite explosé leurs records.

Néanmoins pour maintenir et faire remonter les cours, l’institution de Jay Powell ne s’est pas gênée pour racheter massivement les fameux ETF des gestionnaires d’actifs, et en particulier ceux de BlackRock… Mais dans cette histoire il y a encore un plus gros scandale. Car pour racheter tous ces titres, la Réserve Fédérale a confié la responsabilité de tous ces milliards et de sa politique à Larry Fink et BlackRock…

L’ETF phare du rocher noir représentait même à la fin du mois de mai plus d’1/4 des achats de la Réserve Fédérale encadrée par le Trésor US d’après le journal les Echos. Ensuite toujours pour ne pas écrouler le système, la Réserve Fédérale a demandé à Pimco et à State Street de participer, eux aussi, à la fête. Ainsi la chose est simple les grands gestionnaires d’actifs depuis mars 2020 contrôlent réellement la politique monétaire américaine comme en témoignent les messages de BlackRock au bureau de Jay Powell et au Trésor US.

Ainsi la Réserve Fédérale a érigé en système les conflits d’intérêts colossaux de firmes financières avec les politiques monétaires. Et ce ne sont pas les nombreux scandales politico-financiers impliquant des membres de la Fed qui fleurissent ces derniers mois, qui vont nous faire changer d’avis. En réalité, l’organisation du vol, de la spoliation par la caste des 1%, est devenue « monnaie courante » au sein du Eccles Building.

La preuve avec les cas présidents des antennes régionales de la Fed de Dallas, Robert Kaplan, et de Boston, Éric Rosengren, qui ont annoncé leur démission en septembre dernier suite à des transactions boursières frauduleuses, et en ce début d’année 2022 c’est maintenant autour de Richard Clarida vice-président de l’institution de présenter sa démission !

Pour ce qui est des délits d’initiés affichés au grand jour, la Réserve Fédérale a fait très fort en 2021… Mais évidemment le contrôle de BlackRock ne s’arrête pas à la Réserve fédérale (qui reste cependant, encore pour quelques mois, la plus importante banque centrale du monde.)

Non l’influence de ces mastodontes se matérialise également  en Europe, comme on l’a déjà plusieurs fois énoncé, notamment avec le rôle de la firme de Wall Street auprès de la Commission Européenne.

D’ailleurs, pour faire un lien avec le Big Pharma, dont il était question au début de cet article, il n’est pas anodin de constater que la Commission Européenne d’Ursula Von der Leyen (dont le mari médecin travaille pour Orgenesis, firme spécialisée dans la biotechnologie et plus spécifiquement les thérapies cellulaires et géniques) s’est docilement pliée aux exigences de l’industrie pharmaceutique quand ces dernières ont imposé une confidentialité quasi totale sur les aides accordées pour la recherche et sur le coût des achats de vakx1s contre le Covid-19, tout en étant conseillé par BlackRock dans plusieurs domaines.

En France, n’oublions pas, que le seul Blackrock, possède de nombreuses actions des grandes entreprises françaises,  Total, Sanofi, Publicis, Danone… en gros entre 5% et 10% du CAC40, ce qui peut expliquer pourquoi Larry Fink et ses acolytes ont été invités à déjeuner à l’Élysée il y a quelques mois…

Grandes entreprises et banques centrales sous contrôle

La crise du coronavirus (An I du Nouvel ordre Mondial) n’a fait que renforcer la mainmise des gestionnaires d’actifs qui ont récolté l’épargne de leurs clients fébriles face à la conjoncture.

Désormais, « banques centrales et États marchent main dans la main pour éliminer le risque de sinistralité qui serait coûteux pour la finance. Et les fonds de gestion (…) ont plus que jamais la main sur les choix d’investissement, autrement dit sur la construction du monde de demain », comme l’a très bien résumé Olivier Passet.

Les slogans Build Back Better et le Monde d’Après prennent ainsi tous leurs sens. Passet avance même très explicitement que « c’est le contribuable des générations futures qui paiera pour l’immunité de la finance d’aujourd’hui ». En résumé, même les spécialistes « sérieux » et mainstream décrivent une prise de pouvoir réel des gestionnaires d’actifs au détriment des populations. La crise du Covid a été un colossal écran de fumée, un instrument de domestication des populations et la plus grande opération de spoliation de l’histoire (et elle n’est pas terminée).

Ces derniers mois, BlackRock a fait sauter littéralement tous les records, tout cela dans l’indifférence médiatique générale (trop occupé à vendre la propagande des injections expérimentales inefficaces). Sauf quelques rares médias se penchent actuellement sur la question soulevée par le rocher noir.

On l’a dit plusieurs fois le portefeuille de la firme de Fink dépasse désormais les 10 000 milliards de dollars. Son partenaire Vanguard va dépasser les 8 000 milliards et tous les autres gestionnaires d’actifs restent derrière à des places honorables avec plusieurs centaines de milliards de dollars chacun.

En ce début d’année 2022, la Réserve fédérale entièrement dans les mains de BlackRock et des gestionnaires d’actifs est donc en train, d’écrire le chapitre final de la grande phase monétaire et financière commencée en 1971 avec les accords de changes flottants de Nixon et la décorrélation de la création monétaire avec un système de change or.

En effet, en 2022 la Fed n’a déjà plus le choix. Elle est obligée d’écrire ce dernier chapitre. Soit elle laisse l’inflation galoper et le système financier actuel (roi Dollar) sera dévoré par l’hyperinflation. Soit elle remonte en effet ces taux et/où ralentit sa politique de tapering (rachat d’actifs) et elle provoquera la plus gigantesque contraction monétaire de l’histoire de l’humanité.

Comme d’habitude, l’institution présidée par Powell va essayer de gagner du temps comme elle l’a fait de 2008 à aujourd’hui, en essayant d’adopter des rôles différents en fonction des semaines (Good cop, Bad Cop) mais le temps s’accélère et l’heure des choix importants arrive pour l’Hyperclasse.

Quoi qu’il arrive, le retour au réel semble être acté depuis l’année 2021 (arrivée officielle de l’inflation), et les mois qui viennent risquent d’être assez mouvementés en matière d’actualité financière et monétaire.

Les prochains grands acteurs le FMI, la BRI et les CBDC attendent eux patiemment dans l’ombre pour proposer un remède (le vakx1 des monnaies numériques de banques centrales), pendant que l’avant-garde et le rocher noir écrasent et tuent les derniers restes de l’économie mondiale, comme le virus et ses variants étaient censés le faire avec les populations durant cette fausse pandémie du Covid-19.

À coup sûr, la pandémie financière arrive, et peut-être partira elle également de Chine avec la chute programmée du géant de l’immobilier Evergrande. Mais cette fois il y a fort à parier que les dégâts seront cataclysmiques.

Néanmoins cet effondrement annoncé ne doit pas une nouvelle fois nous enfoncer dans la peur, au contraire nous devons croire enfin à une sortie de crise positive pour les peuples. Face à un narratif sanitaire mensonger qui s’étiole de jour en jour, il n’est pas du tout impossible que nous transformions les quelques tremblements populaires en véritable « révolte des nations » face à la Grande réinitialisation.

Comme dirait le golem sortant Emmanuel Macron en période de campagne : « pensons Printemps ».

L’année 2022 et la bataille pour notre liberté ne font que commencer…

Marc Gabriel Draghi

Source: géopolitique-profonde

EN COMPLEMENT:

30 faits que vous DEVEZ connaître : Votre fiche d’information C0VlD

par Kit Knightly.

Vous l’avez demandé, alors nous l’avons fait. Une collection de tous les arguments dont vous aurez besoin.

Nous recevons beaucoup d’e-mails et de messages privés du genre « avez-vous une source pour X ? » ou « pouvez-vous m’indiquer des études sur les masques ? » ou « je sais que j’ai vu un graphique sur la mortalité, mais je ne le trouve plus ». Nous comprenons que ces 18 mois ont été longs et qu’il y a tellement de statistiques et de chiffres à essayer de garder en tête.

Alors, pour faire face à toutes ces demandes, nous avons décidé de dresser une liste par points et par sources de tous les points clés.

Voici les principaux faits et sources concernant la prétendue « pandémie », qui vous aideront à comprendre ce qui est arrivé au monde depuis janvier 2020, et à éclairer tous vos amis qui seraient encore prisonniers du brouillard de la nouvelle normalité.

*

Partie I : « Morts du Covid » et mortalité

1. Le taux de survie du « Covid » est supérieur à 99%. Les experts médicaux du gouvernement ont fait tout leur possible pour souligner, dès le début de la pandémie, que la grande majorité de la population ne courait aucun danger avec le Covid.https://www.youtube.com/embed/adj8MCsZKlg

Presque toutes les études sur le taux de létalité (IFR) du Covid ont donné des résultats compris entre 0,04% et 0,5%. Ce qui signifie que le taux de survie du Covid est d’au moins 99,5%.

*

2. Il n’y a eu AUCUNE surmortalité inhabituelle. La presse a qualifié l’année 2020 d’« année la plus meurtrière depuis la Seconde Guerre mondiale» au Royaume-Uni, mais cette affirmation est trompeuse car elle ne tient pas compte de l’augmentation massive de la population depuis cette époque. Une mesure statistique plus raisonnable de la mortalité est le taux de mortalité standardisé sur l’âge (TMS) :

Selon cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année pour la mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seules 9 années ont été meilleures que 2020.

De même, aux États-Unis, le TMS pour 2020 n’est qu’au niveau de 2004 :

Pour une analyse détaillée de l’impact du Covid sur la mortalité en Europe occidentale et aux États-Unis, cliquez ici. Les augmentations de la mortalité que nous avons observées pourraient être attribuées à des causes non liées au Covid [faits 7, 9 et 19].

*

3. Le nombre de « décès dus au Covid » est artificiellement gonflé. Les pays du monde entier définissent le « décès dû au Covid » comme un « décès, quelle qu’en soit la cause, dans les 28/30/60 jours suivant un test positif ».

Des responsables de la santé d’Italie, d’Allemagne, du Royaume-Uni, des États-Unis, d’Irlande du Nord et d’autres pays ont tous admis cette pratique :https://www.youtube.com/embed/Tw9Ci2PZKZg

La suppression de toute distinction entre le décès dû au Covid et le décès dû à autre chose après un test positif au Covid entraînera naturellement un surdénombrement des « décès dus au Covid ». Le Dr John Lee, pathologiste britannique, a mis en garde contre cette « surestimation substantielle » dès le printemps dernier. D’autres sources grand public l’ont également signalé.

Compte tenu de l’énorme pourcentage d’infections « asymptomatiques » par le Covid [fait 14], de la prévalence bien connue de comorbidités graves [fait 4] et de la possibilité de tests faussement positifs [fait 18], le nombre de décès dus au Covid est une statistique extrêmement peu fiable.

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4. La grande majorité des morts covid avaient des comorbidités sérieuses. En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2% de leurs « décès Covid » avaient au moins une comorbidité grave.

Celles-ci comprenaient le cancer, les maladies cardiaques, la démence, la maladie d’Alzheimer, l’insuffisance rénale et le diabète (entre autres). Plus de 50% d’entre eux présentaient au moins trois pathologies graves préexistantes.

Ce schéma s’est maintenu dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une requête FOIA d’octobre 2020 auprès de l’ONS britannique a révélé que moins de 10% du décompte officiel des « décès dus au Covid » à cette époque avaient le Covid comme seule cause de décès.

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5. L’âge moyen des décès dus au Covid est supérieur à l’espérance de vie moyenne. L’âge moyen des morts « Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, il est de 86 ans. En Allemagne, 83 ans. En Suisse, 86 ans. Au Canada, 86. Aux États-Unis, 78, en Australie, 82.

Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale.

Ainsi, pour la majeure partie du monde, la « pandémie » n’a eu que peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. À titre de comparaison, la grippe espagnole a entraîné une baisse de 28% de l’espérance de vie aux États-Unis en un peu plus d’un an.

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6. La mortalité covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle. Des études statistiques menées au Royaume-Uni et en Inde ont montré que la courbe des « morts Covid » suit presque exactement la courbe de la mortalité attendue :

Le risque de décès « dû au Covid » suit, presque exactement, le risque de décès naturel en général.

La légère augmentation pour certains des groupes d’âge plus élevés peut être expliquée par d’autres facteurs [faits 7, 9 et 19].

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7. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation de NPR « illégaux ». Les organismes de surveillance et les agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des Ordres de ne pas réanimer (NPR) au cours des vingt derniers mois.

Aux États-Unis, les hôpitaux ont envisagé des « NPR universels » pour tout patient testé positif au Covid, et des infirmières dénonciatrices ont admis que le système de NPR était utilisé de manière abusive à New York.

Au Royaume-Uni, on a constaté une augmentation « sans précédent » du nombre de NPR « illégaux » pour les personnes handicapées. Les cabinets de médecins généralistes ont envoyé des lettres aux patients en fin de vie pour leur recommander de signer des Ordres de ne pas réanimer, tandis que d’autres médecins ont signé des Ordres de ne pas réanimer généraux pour des maisons de retraite entières.

Une étude réalisée par l’Université de Sheffield a révélé que plus d’un tiers de tous les patients « suspectés » de Covid avaient un NPR joint à leur dossier dans les 24 heures suivant leur admission à l’hôpital.

L’utilisation généralisée de NPR forcés ou illégaux pourrait expliquer toute augmentation de la mortalité en 2020/21 [Faits 2 & 6].

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Partie II : Confinements

8. Les confinements n’empêchent pas la propagation des maladies. Il n’y a que peu ou pas de preuves que les confinements ont un quelconque impact sur la limitation des « décès Covid ». Si l’on compare les régions qui ont procédé à un confinement à celles qui ne l’ont pas fait, on ne voit aucune tendance.

« Décès dus au covid » en Floride (pas de confinement) et en Californie (confinement).
« Décès dus au Covid » en Suède (pas de confinement) vs Royaume-Uni (confinement).

9. Les confinements tuent les gens. Il existe des preuves solides que les confinements – à travers les dommages sociaux, économiques et de santé publique – sont plus mortels que le « virus ».

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation mondiale de la Santé pour le Covid-19, a décrit les confinements comme une « catastrophe mondiale » en octobre 2020 :

« Nous, à l’Organisation mondiale de la Santé, ne préconisons pas les confinements comme principal moyen de lutte contre le virus […] il semble que nous pourrions avoir un doublement de la pauvreté mondiale d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile […] C’est une catastrophe mondiale terrible, épouvantable ».

Un rapport de l’ONU datant d’avril 2020 prévient que des centaines de milliers d’enfants seront tués par l’impact économique des confinements, tandis que des dizaines de millions d’autres risquent la pauvreté et la famine.

Le chômage, la pauvreté, le suicide, l’alcoolisme, la toxicomanie et d’autres crises sociales et de santé mentale sont en hausse dans le monde entier. Les opérations chirurgicales et les dépistages manqués ou retardés vont entraîner une augmentation de la mortalité due aux maladies cardiaques, au cancer, etc. dans un avenir proche.

L’impact du confinement expliquerait la légère augmentation de la surmortalité [Faits 2 & 6].

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10. Les hôpitaux n’ont jamais été exceptionnellement surchargés. Le principal argument utilisé pour défendre le confinement est que « l’aplatissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de santé de l’effondrement. Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été proches de l’effondrement.

En mars 2020, il a été rapporté que les hôpitaux espagnols et italiens débordaient de patients, mais cela se produit à chaque saison de grippe. En 2017, les hôpitaux espagnols étaient à 200% de leur capacité, et 2015 a vu des patients dormir dans les couloirs. Un article du JAMA de mars 2020 a révélé que les hôpitaux italiens « fonctionnent généralement à 85-90% de leur capacité pendant les mois d’hiver ».

Au Royaume-Uni, le NHS est régulièrement mis à rude épreuve pendant l’hiver.

Dans le cadre de sa politique Covid, le NHS a annoncé au printemps 2020 qu’il allait « réorganiser la capacité des hôpitaux selon de nouvelles méthodes pour traiter séparément les patients Covid et non Covid » et que « par conséquent, les hôpitaux connaîtront des pressions de capacité à des taux d’occupation globaux inférieurs à ce qui aurait été le cas auparavant ».

Cela signifie qu’ils ont supprimé des milliers de lits. Pendant une prétendue pandémie mortelle, ils ont réduit le taux d’occupation maximal des hôpitaux. Malgré cela, le NHS n’a jamais ressenti de pression au-delà de la saison de grippe typique, et a parfois eu quatre fois plus de lits vides que la normale.

Au Royaume-Uni et aux États-Unis, des millions de dollars ont été dépensés pour des hôpitaux d’urgence temporaires qui n’ont jamais été utilisés.

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Partie III : Tests PCR

11. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer les maladies. Le test RT-PCR (Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction) est décrit dans les médias comme le « standard or » pour le diagnostic Covid. Mais l’inventeur de ce procédé, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic, et l’a dit publiquement :

« La PCR n’est qu’un procédé qui vous permet de produire une grande quantité de quelque chose à partir de quelque chose. Il ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose que vous avez obtenue va vous faire du mal ou quoi que ce soit d’autre ».

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12. Les tests PCR ont un historique d’imprécision et de manque de fiabilité. Les tests PCR pour le Covid sont connus pour produire beaucoup de résultats faussement positifs, en réagissant à des matériaux d’ADN qui ne sont pas spécifiques au Sars-Cov-2.

Une étude chinoise a montré qu’un même patient pouvait obtenir deux résultats différents avec le même test le même jour. En Allemagne, on sait que des tests ont réagi à des virus du rhume. Une étude de 2006 a révélé que les tests PCR pour un virus réagissaient également à d’autres virus. En 2007, le recours aux tests PCR a entraîné une « épidémie » de coqueluche qui n’a jamais existé. Aux États-Unis, certains tests ont même réagi à l’échantillon de contrôle négatif.

L’ancien président de la Tanzanie, John Magufuli, a soumis des échantillons de chèvre, de papaye et d’huile de moteur à des tests PCR, qui se sont tous révélés positifs au virus.

Dès février 2020, les experts ont admis que le test n’était pas fiable. Le Dr Wang Cheng, président de l’Académie chinoise des Qciences médicales, a déclaré à la télévision d’État chinoise : « La précision des tests n’est que de 30 à 50% ». Sur le site web du gouvernement australien, on peut lire : « Les données disponibles pour évaluer la précision et l’utilité clinique des tests COVID-19 disponibles sont limitées ». Et un tribunal portugais a jugé que les tests PCR étaient « peu fiables » et ne devaient pas être utilisés pour le diagnostic.

Vous pouvez lire des analyses détaillées des défaillances des tests PCR iciici et ici.

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13. Les valeurs CT des tests PCR sont trop élevées. Les tests PCR sont exécutés en cycles, le nombre de cycles que vous utilisez pour obtenir votre résultat est connu comme votre « seuil de cycle » ou valeur CT. Kary Mullis a déclaré : « Si vous devez effectuer plus de 40 cycles […], il y a quelque chose qui ne va pas du tout avec votre PCR».

Les directives de la MIQE en matière de PCR sont d’accord, puisqu’elles stipulent ce qui suit : « Les valeurs de [CT] supérieures à 40 sont suspectes en raison de la faible efficacité implicite et ne doivent généralement pas être rapportées », le Dr Fauci lui-même a même admis que tout ce qui dépasse 35 cycles n’est presque jamais cultivable.

Le Dr Juliet Morrison, virologue à l’Université de Californie, Riverside, a déclaré au New York Times : « Tout test dont le seuil de cycles est supérieur à 35 est trop sensible… Je suis choquée que les gens puissent penser que 40 [cycles] puissent représenter un positif… Un seuil plus raisonnable serait de 30 à 35 ».

Dans le même article, le Dr Michael Mina, de l’école de santé publique de Harvard, a déclaré que la limite devrait être de 30. L’auteur poursuit en soulignant que la réduction du CT de 40 à 30 aurait réduit les « cas de Covid » dans certains États jusqu’à 90%.

Les propres données du CDC suggèrent qu’aucun échantillon de plus de 33 cycles ne peut être cultivé, et l’Institut Robert Koch d’Allemagne affirme que rien de plus de 30 cycles n’est susceptible d’être infectieux.

Malgré cela, on sait que presque tous les laboratoires aux États-Unis effectuent leurs tests à au moins 37 cycles et parfois jusqu’à 45. La « procédure opérationnelle standard » du NHS pour les tests PCR fixe la limite à 40 cycles.

Sur la base de ce que nous savons des valeurs CT, la majorité des résultats des tests PCR sont au mieux douteux.

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14. L’Organisation mondiale de la Santé a admis (deux fois) que les tests PCR produisaient des faux positifs. En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus de PCR indiquant aux laboratoires de se méfier des valeurs CT élevées qui entraînent des résultats faussement positifs :

« Lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir ».

Puis, en janvier 2021, l’OMS a publié un autre mémo, avertissant cette fois que les tests PCR positifs « asymptomatiques » devaient être retestés car il pouvait s’agir de faux positifs :

« Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente ».

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15. La base scientifique des tests Covid est discutable. Le génome du virus Sars-Cov-2 a soi-disant été séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (Christian Drosten et al.) auraient utilisé ce génome pour créer des essais pour les tests PCR.

Ils ont rédigé un article intitulé « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel », qui a été soumis pour publication le 21 janvier 2020, puis accepté le 22 janvier. Cela signifie que l’article a été prétendument « examiné par les pairs » en moins de 24 heures. Un processus qui prend généralement des semaines.

Depuis lors, un consortium de plus de quarante spécialistes des sciences de la vie a demandé le retrait de l’article, en rédigeant un long rapport détaillant dix erreurs majeures dans la méthodologie de l’article.

Ils ont également demandé la publication du rapport d’examen par les pairs du journal, afin de prouver que l’article a réellement été soumis au processus d’examen par les pairs. Le journal ne s’est pas encore exécuté.

Les tests de Corman-Drosten sont à la base de tous les tests PCR de Covid dans le monde. Si l’article est douteux, chaque test PCR l’est aussi.

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Partie IV : « Infection asymptomatique »

16. La majorité des infections Covid sont « asymptomatiques ». Dès mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75% des tests Covid positifs ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique datant d’août 2020 a révélé que 86% des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

Il est littéralement impossible de faire la différence entre un « cas asymptomatique » et un résultat de test faussement positif.

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17. Il existe très peu de preuves à l’appui du prétendu danger de « transmission asymptomatique ». En juin 2020, le Dr Maria Van Kerkhove, chef de l’unité des maladies émergentes et des zoonoses de l’OMS, a déclaré :

« D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette effectivement le virus à un individu secondaire ».

Une méta-analyse des études Covid, publiée par le Journal of the American Medical Association (JAMA) en décembre 2020, a révélé que les porteurs asymptomatiques avaient moins de 1% de chances d’infecter les personnes de leur foyer. Une autre étude, réalisée sur la grippe en 2009, a trouvé :

« … des preuves limitées pour suggérer l’importance de la transmission [asymptomatique]. Le rôle des personnes asymptomatiques ou présymptomatiques infectées par la grippe dans la transmission de la maladie a peut-être été surestimé… »

Étant donné les défauts connus des tests PCR, de nombreux « cas asymptomatiques » peuvent être des faux positifs [fait 14].

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Partie V : Respirateurs

18. La ventilation n’est PAS un traitement pour les virus respiratoires. La ventilation mécanique n’est pas, et n’a jamais été, un traitement recommandé pour les infections respiratoires, quelles qu’elles soient. Dans les premiers jours de la pandémie, de nombreux médecins ont remis en question l’utilisation des respirateurs pour traiter le « Covid ».

Dans The Spectator, le Dr Matt Strauss a déclaré :

« Les respirateurs ne guérissent aucune maladie. Ils peuvent remplir vos poumons d’air lorsque vous êtes incapable de le faire vous-même. Dans la conscience du public, ils sont associés aux maladies pulmonaires, mais ce n’est en fait pas leur application la plus courante ou la plus appropriée ».

Le Dr Thomas Voshaar, pneumologue allemand et président de l’Association des cliniques pneumatologiques, a déclaré :

« Nous avons lu les premières études et les premiers rapports sur le sujet : Lorsque nous avons lu les premières études et rapports en provenance de Chine et d’Italie, nous nous sommes immédiatement demandé pourquoi l’intubation y était si courante. Cela contredisait notre expérience clinique de la pneumonie virale ».

Malgré cela, l’OMS, les CDC, l’ECDC et le NHS ont tous « recommandé » de ventiler les patients atteints de Covid au lieu d’utiliser des méthodes non invasives.

Il ne s’agissait pas d’une politique médicale visant à traiter au mieux les patients, mais plutôt à réduire la propagation hypothétique du Covid en empêchant les patients d’expirer des gouttelettes d’aérosol.

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19. Les respirateurs ont tué des gens. Mettre une personne sous respirateur qui souffre de la grippe, d’une pneumonie, d’une maladie pulmonaire obstructive chronique, ou de toute autre condition qui restreint la respiration ou affecte les poumons, ne soulagera aucun de ces symptômes. En fait, il est presque certain que cela les aggravera, et que beaucoup d’entre eux en mourront.

Les tubes d’intubation sont une source potentielle d’infection connue sous le nom de « pneumonie associée au respirateur », qui, selon les études, touche jusqu’à 28% de toutes les personnes placées sous respirateur et tue 20 à 55% des personnes infectées.

La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des « lésions pulmonaires induites par le respirateur », qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie, voire entraîner la mort.

Les experts estiment que 40 à 50% des patients ventilés meurent, quelle que soit leur maladie. Dans le monde entier, entre 66 et 86% de tous les « patients Covid » placés sous respirateur sont morts.

Selon « l’infirmière sous couverture », les respirateurs étaient tellement mal utilisés à New York qu’ils détruisaient les poumons des patients :https://www.youtube.com/embed/UIDsKdeFOmQ

Cette politique était au mieux une négligence, au pire un meurtre délibéré. Cette mauvaise utilisation des respirateurs pourrait expliquer toute augmentation de la mortalité en 2020/21 [Faits 2 & 6].

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Partie VI : Les masques

20. Les masques ne fonctionnent pas. Au moins une douzaine d’études scientifiques ont montré que les masques ne font rien pour arrêter la propagation des virus respiratoires.

Une méta-analyse publiée par les CDC en mai 2020 n’a trouvé « aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques ».

Une autre étude portant sur plus de 8000 sujets a révélé que les masques « ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques ».

Il y en a littéralement trop pour les citer toutes, mais vous pouvez les lire :  [1][2][3][4][5][6][7][8][9][10], ou lire un résumé par SPR ici.

Alors que certaines études ont été faites prétendant montrer que le masque fonctionne pour le Covid, elles sont toutes sérieusement défectueuses. L’une d’entre elles s’appuyait sur des enquêtes autodéclarées comme données. Une autre était si mal conçue qu’un panel d’experts a demandé son retrait. Une troisième a été retirée après que ses prédictions se soient révélées totalement erronées.

L’OMS a commandé sa propre méta-analyse dans The Lancet, mais cette étude ne portait que sur les masques N95 et uniquement dans les hôpitaux. [Pour un compte rendu complet des mauvaises données de cette étude, cliquez ici].

En dehors des preuves scientifiques, il existe de nombreuses preuves concrètes que les masques ne font rien pour arrêter la propagation des maladies.

Par exemple, le Dakota du Nord et le Dakota du Sud ont enregistré des chiffres de cas presque identiques, bien que l’un d’entre eux ait imposé le port du masque et l’autre non :

Au Kansas, les comtés sans obligation de porter un masque ont en fait enregistré moins de « cas » de Covid que les comtés avec obligation de porter un masque. Et bien que les masques soient très courants au Japon, ce pays a connu en 2019 sa pire épidémie de grippe depuis des décennies.

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21. Les masques sont mauvais pour la santé. Porter un masque pendant de longues périodes, porter le même masque plus d’une fois, et d’autres aspects des masques en tissu peuvent être mauvais pour votre santé. Une longue étude sur les effets néfastes du port de masque a récemment été publiée par l’International Journal of Environmental Research and Public Health.

Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il constatait une augmentation des pneumonies bactériennes, des infections fongiques, des éruptions cutanées sur le visage.

Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes.

Les enfants qui portent des masques respirent par la bouche, ce qui entraîne des déformations faciales.

Des personnes du monde entier se sont évanouies en raison d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leur masque, et certains enfants en Chine ont même subi un arrêt cardiaque soudain.

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22. Les masques sont mauvais pour la planète. Des millions et des millions de masques jetables ont été utilisés chaque mois pendant plus d’un an. Un rapport de l’ONU a révélé que la pandémie de Covid-19 entraînera probablement un doublement des déchets plastiques au cours des prochaines années, et la grande majorité de ces déchets sont des masques.

Le rapport poursuit en avertissant que ces masques (et d’autres déchets médicaux) vont obstruer les systèmes d’égouts et d’irrigation, ce qui aura des répercussions sur la santé publique, l’irrigation et l’agriculture.

Une étude de l’Université de Swansea a révélé que « des métaux lourds et des fibres de plastique étaient libérés lorsque des masques jetables étaient immergés dans l’eau ». Ces matériaux sont toxiques pour les personnes et la faune.

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Partie VII : Vakx1s

23. Les « vakx1s » Covid sont totalement inédits. Avant 2020, aucun vakx1 réussi contre un coronavirus humain n’avait jamais été développé. Depuis, nous en avons prétendument fabriqué 20 en 18 mois.

Les scientifiques tentent de développer un vakx1 contre le SRAS et le MERS depuis des années, sans grand succès. Certains des vakx1s ratés contre le SRAS ont en fait provoqué une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vakxinées pouvaient potentiellement contracter la maladie plus gravement que les souris non vakxinées. Une autre tentative a provoqué des lésions hépatiques chez les furets.

Alors que les vakx1s traditionnels fonctionnent en exposant l’organisme à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vakx1s Covid sont des vakx1s à ARNm.

En théorie, les vakx1s à ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent en injectant l’ARNm viral dans l’organisme, où il se réplique à l’intérieur des cellules et encourage l’organisme à reconnaître et à fabriquer des antigènes pour les « protéines spike » du virus. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais avant 2020, aucun vakx1 à ARNm n’a jamais été autorisé.

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24. Les vakx1s ne confèrent pas d’immunité et ne préviennent pas la transmission. On admet volontiers que les « vakx1s » Covid ne confèrent pas l’immunité contre l’infection et n’empêchent pas de transmettre la maladie à d’autres. En effet, un article du British Medical Journal a souligné que les études sur les vakx1s n’étaient pas conçues pour essayer de déterminer si les « vakx1s » limitaient la transmission.

Les fabricants de vakx1s eux-mêmes, lors de la mise sur le marché des thérapies géniques à ARNm non testées, ont clairement indiqué que « l’efficacité » de leur produit était basée sur la « réduction de la gravité des symptômes ».

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25. Les vakx1s ont été fabriqués à la hâte et leurs effets à long terme sont inconnus. Le développement de vakx1s est un processus lent et laborieux. Habituellement, il faut de nombreuses années pour passer du développement à l’essai et enfin à l’approbation de l’utilisation publique. Les différents vakx1s contre le Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. Il est évident qu’il ne peut y avoir de données de sécurité à long terme sur des produits chimiques qui ont moins d’un an.

Pfizer admet même que c’est vrai dans la fuite du contrat de fourniture entre le géant pharmaceutique et le gouvernement albanais :

« Les effets à long terme et l’efficacité du vakx1 ne sont actuellement pas connus et il peut y avoir des effets indésirables du vakx1 qui ne sont actuellement pas connus ».

En outre, aucun des vakx1s n’a été soumis à des essais appropriés. Nombre d’entre eux n’ont pas fait l’objet d’essais précoces et les derniers essais sur l’homme n’ont pas été évalués par des pairs, n’ont pas publié leurs données, ne se termineront pas avant 2023 ou ont été abandonnés après des « effets indésirables graves ».

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26. Les fabricants de vakx1s se sont vu accorder une indemnité légale en cas de préjudice. Le Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP) des États-Unis accorde une immunité jusqu’en 2024 au moins.

La loi européenne sur l’homologation des produits fait de même, et l’on signale l’existence de clauses de responsabilité confidentielles dans les contrats que l’UE a signés avec les fabricants de vakx1s.

Le Royaume-Uni est allé encore plus loin, en accordant une indemnité légale permanente au gouvernement, et à tout employé de celui-ci, pour tout préjudice causé lorsqu’un patient est traité pour le Covid19 ou « suspecté d’avoir le Covid ».

Une fois encore, la fuite du contrat albanais suggère que Pfizer, au moins, a fait de cette indemnité une exigence standard de la fourniture des vakx1s Covid :

« L’acheteur accepte par la présente d’indemniser, de défendre et de dégager de toute responsabilité Pfizer […] en cas de poursuites, de réclamations, d’actions, de demandes, de pertes, de dommages, de responsabilités, de règlements, de pénalités, d’amendes, de coûts et de dépenses… »

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Partie VIII : Déception et prescience

27. L’UE préparait des « passeports vakxinaux » au moins un an avant le début de la pandémie. Les contre-mesures proposées par le COVID, présentées au public comme des mesures d’urgence improvisées, existent depuis avant l’émergence de la maladie.

Deux documents de l’UE publiés en 2018, « L’État de la confiance dans les vakx1s en 2018 » et un rapport technique intitulé « Conception et mise en œuvre d’un système d’information sur la vakxination » ont discuté de la plausibilité d’un système de surveillance de la vakxination à l’échelle de l’UE.

Ces documents ont été regroupés dans la « Feuille de route pour la vakxination » de 2019, qui (entre autres) a établi une « étude de faisabilité » sur les passeports vakxinaux devant commencer en 2019 et se terminer en 2021 :

Les conclusions finales de ce rapport ont été rendues publiques en septembre 2019, un mois seulement avant l’Événement 201 (ci-dessous).

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28. Un « exercice d’entraînement » a prédit la pandémie quelques semaines seulement avant son déclenchement. En octobre 2019, le Forum économique mondial et l’Université Johns Hopkins ont organisé l’Événement 201. Il s’agissait d’un exercice d’entraînement basé sur un coronavirus zoonotique déclenchant une pandémie mondiale. L’exercice était parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates et GAVI, l’alliance pour les vakx1s.

L’exercice a publié ses conclusions et recommandations en novembre 2019 sous la forme d’un « appel à l’action ». Un mois plus tard, la Chine a enregistré son premier cas de « Covid ».

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29. Depuis le début de l’année 2020, la grippe a « disparu ». Aux États-Unis, depuis février 2020, les cas de grippe auraient chuté de plus de 98%.

Il n’y a pas que les États-Unis, la grippe a apparemment presque totalement disparu dans le monde.

Pendant ce temps, une nouvelle maladie appelée « Covid », qui présente des symptômes identiques et un taux de mortalité similaire à celui de la grippe, affecte apparemment toutes les personnes normalement touchées par la grippe.

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30. L’élite a fait fortune pendant la pandémie. Depuis le début du verrouillage, les personnes les plus riches se sont considérablement enrichies. Forbes a rapporté que 40 nouveaux milliardaires ont été créés « en combattant le coronavirus », dont 9 sont des fabricants de vakx1s.

Selon Business Insider, « les milliardaires ont vu leur valeur nette augmenter d’un demi-billion de dollars » d’ici à octobre 2020.

Il est clair que ce chiffre sera encore plus important à l’heure actuelle.

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Ce sont les faits essentiels de la pandémie, présentés ici comme une ressource pour aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des inconnus. Merci à tous les chercheurs qui ont rassemblé ces informations au cours des vingt derniers mois, en particulier Swiss Policy Research.

source : https://off-guardian.org
traduction Réseau International

L’intervention claire et nette d’un expert belge sur la gravité réelle et les mesures de gestion de cette soi-disant épidémie

Sars-Cov2 est-il (encore) dangereux ? Dans cette première partie, le Pr Martin Zizi, épidémiologiste, ancien directeur scientifique à la Défense belge, relativise la gravité de l’épidémie et nous explique l’évolution des nouveaux variants. Un langage clair et net à ne pas manquer.

Retrouvez les sources en cliquant sur les liens ci dessous
Lien vers les sources de la vidéo

Omicron daily overview: 20 December 2021

Ce que signifie VRAIMENT « vivre avec le C0VlD » et la prochaine étape dans le plan de la gouvernance mondiale

covidworld

  Rédaction Strategika  
Source : planetes360.fr – janvier 2022

Pourquoi les médias se mettent-ils désormais à minimiser l’hystérie Covid qu’ils ont jusqu’à aujourd’hui entretenue ? Est-ce parce que la « pandémie » est vraiment terminée ? Ou s’agit-il d’un élément important du processus de manipulation des esprits [particulièrement accéléré depuis près de deux ans ?

Ces derniers jours, voire ces dernières semaines, nous avons assisté à une nette modification de l’attitude des médias mainstream face à la « pandémie » de Covid.

De nombreux exemples de ce que l’on pourrait qualifier de « dissidence » se sont produits, si les médias n’étaient pas aussi étroitement contrôlés. Mais, puisque les médias sont étroitement contrôlés, nous devons le qualifier de changement apparent du message.

Le Dr Steve James, consultant en anesthésie, a confronté le ministre britannique de la santé, Sajid Javid, sur la faiblesse de la science qui soutient les obligations vakxinales [anti-Covid-19 – NdT. Notez que cette confrontation a été diffusée sur Sky News : https://www.sott.net/embed/KI_NexgKeHeHN7yVNWmTMEG5pfV

Traduction : « La science n’est pas assez solide ».

« Regardez le moment où un consultant hospitalier non vakxiné interpelle le ministre de la Santé Sajid Javid au sujet de la politique gouvernementale de vakx1s COVID obligatoires pour le personnel du Service national de santé. »

Il y a quelques jours, le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a participé à l’émission « Good Morning America » pour parler de la vague « Omicron », et a fini par souligner que la plupart des décès « Omicron » présentent [à la base – NdT] de multiples comorbidités.

Note du traducteur : En effet, selon le CDC, « plus de 75 % des décès Covid se sont produits au sein d’une population qui était atteinte d’au moins quatre comorbidités. » et « 94 % des décès Covid se sont produits au sein d’une population qui présentait des problèmes de santé. »https://www.sott.net/embed/nTCQdtMCreklIIMUq8CJflj-GpS

On peut en effet parler d’un virage à 180° !!! Ou du moins, c’est à cela que ça ressemble…

Dans une autre interview, avec Fox News, le Dr Walenksy a déclaré que le CDC allait publier des données sur le nombre de personnes décédées à cause du Covid, et sur le nombre de personnes décédées avec le Covid.

Tout ceci soulève une série de questions importantes.

  • Pourquoi le directeur du CDC s’engage-t-il (apparemment) dans ces argumentations sceptiques quant au Covid après avoir prétendu pendant deux ans qu’elles n’existaient pas ?
  • Pourquoi Sky News a-t-elle diffusé, puis tweeté, le clip vidéo d’un médecin défiant le ministre de la Santé ?
  • Pourquoi The Guardian publie-t-il des titres tels que « Il faut mettre fin aux vakxinations massives et vivre avec le Covid, selon l’ancien Monsieur vakx1s », et pourquoi cite-t-il des membres du personnel médical qui affirment que nous devons « traiter le Covid comme la grippe » ?
  • Pourquoi de nouvelles études selon lesquelles les cellules T de rhumes ordinaires peuvent « vous protéger du Covid » sont-elles mises en avant par les médias mainstream ?

On ne peut pas nier que le discours change et qu’ils lèvent le pied dans la narration [jusque-là hystérique – NdT]. Un nouveau chapitre s’ajoute au récit : celui de « vivre avec le Covid ».

Depuis plus d’un mois, c’est une expression à la mode dans toute la presse occidentale.

Le 1er décembreForbes titrait :

« Pourquoi le Covid-19 endémique sera une cause de célébration. »

Un article qui affirmait, entre autres, que « le Covid-19 endémique ne sera pas pire que la grippe saisonnière ». Ce sentiment a est désormais répété ad nauseum dans de nombreux médias.

Nous avons déjà mentionné l’article du Guardian du 8 janvier, mais il y a aussi un article antérieur daté du 5 décembre et intitulé « De la pandémie à l’endémie : voici comment nous pourrions revenir à la normale ».

CNBC a publié trois articles presque identiques sur ce sujet en l’espace de deux semaines :

« La pandémie de Covid pourrait prendre fin l’année prochaine, selon les experts – voici à quoi cela ressemble, et comment les États-Unis pourraient y parvenir » — 9 décembre
« La pandémie pourrait prendre fin en 2022 – selon les experts médicaux, voici à quoi une vie ‘normale’ pourrait bientôt ressembler » — 15 décembre
« Omicron pourrait flamber à travers les États-Unis – et potentiellement accélérer la fin de la pandémie de Covid, selon un expert » — 22 décembre

Le jour de l’an, Vox a publié un article intitulé :

« Malgré Omicron, le Covid-19 va devenir endémique. Voici comment. »

Bloomberg annonce qu’Omicron marque la fin de « la phase aiguë de la pandémie ».

Hier encore, The New York Post titrait : « Le Covid deviendra endémique d’ici la fin de l’année, selon l’ancien chef du groupe de travail de Biden », et USA Today posait la question « La pandémie change. Omicron apportera-t-il une nouvelle normalité pour le Covid-19 ? »

Et plus tôt dans la journée, Channel 4 a affirmé que « Le Covid en 2022 » signifie « apprendre à vivre avec le virus ».

Le message n’est pas seulement véhiculé par les médias. Des rapports indiquent que « vivre avec le Covid » sera la stratégie du gouvernement britannique à l’horizon 2022, avec une publication officielle sur ce sujet attendue « dans les semaines à venir ».

Ainsi, « vivre avec le virus » va être ajouté au vocabulaire de la narration Covid aux côtés de « aplatir la courbe » et de « la nouvelle normalité ». Mais qu’est-ce que cela implique réellement ? Quand ils disent « vivre avec le Covid », que veulent-ils vraiment dire ?

Tout d’abord, ne commettons pas l’erreur de faire confiance à un gouvernement, un média mainstream ou un « expert », simplement parce qu’ils commencent à dire 20 % de la vérité. Ce sont des menteurs, ils ont un dessein, c’est toujours vrai, et vous ne devriez jamais l’oublier, même quand — ou plutôt surtout quand — ils vous disent soudain ce que vous voulez entendre. Ils ne reconnaissent pas soudainement avoir eu tort. Ils ne font pas volte-face, ils ne corrigent pas leurs erreurs, ils ne retrouvent pas la raison et ils ne changent pas de camp. Il n’ont pas abandonné leurs convictions antérieures. Aucune vague de mauvaise conscience ne traverse l’élite [elle n’en a pas – NdT].

Ils ont un objectif. Ils ont toujours un objectif. Vous devriez également chasser de votre esprit toute idée de « retour à la normale ». Ce n’est pas le cas. Comment le savons-nous ? Parce qu’ils l’ont dit.

La moitié des articles qui parlent de « vivre avec le Covid » expliquent en détail comment les choses ne changeront pas vraimentPrenez celui-là, tiré du Guardian d’hier [9 janvier – NdT] :

« Vivre avec le Covid ne signifie pas forcément renoncer à toute mesure de protection. »

Il indique que le Covid pourrait bientôt devenir endémique, que les tests de dépistage de masse sur les personnes asymptomatiques pourraient être contre-productifs et qu’il faudrait peut-être y mettre un terme, mais rien ne change en ce qui concerne les masques ou les [soi-disant – NdT] vakx1s et tout cela laisse la porte grande ouverte à un nouveau « variant » qui pourrait à l’avenir déclencher d’autres confinements :

« Vivre avec le Covid ne doit pas signifier inverser toutes les mesures de protection. Si une meilleure ventilation et des masques faciaux réduisent l’impact des maladies respiratoires hivernales, c’est un point positif, même si le Système de santé n’est plus sous la menace imminente d’être débordé. Nous devrons également rester vigilants face à la menace de nouveaux variants qui pourraient encore nous amener à revenir en arrière. Aucune garantie n’existe quant au fait qu’un autre variant, plus infectieux et plus virulent qu’Omicron, puisse à l’avenir émerger. Les scientifiques affirment que le soutien des efforts de vakxination à l’échelle mondiale sera crucial pour sécuriser le chemin vers la normalité. »

Les masques, le télétravail et la distanciation sociale dans les endroits bondés pourraient tous rester dans les parages, selon l’un des articles de CNBC mentionnés ci-dessus. Et « les rappels d’injection Covid pourraient bien se transformer en vakx1s annuels comme ceux contre la grippe ». Pendant ce temps-là, les « experts » nous avertissent que même lorsque le Covid sera devenu endémique, nous devrons nous préparer à des « flambées » tous les trois ou quatre mois. Il semble bien que « vivre avec le virus » signifie maintenir le statu quo, assouplir quelques restrictions, mais laisser la voie libre à de nouvelles vagues de peur hystérique et paranoïaque si le besoin s’en fait sentir.

Mais pourquoi ? Pourquoi font-ils cela maintenant ? Il se pourrait qu’il y ait des scissions et des dissensions, voire des fissures dans les allées du pouvoir. Il est possible que certains membres du grand club suprême souhaitent à ce stade mettre un terme à la pandémie, par crainte que toute avancée supplémentaire sur la voie de la « Grande réinitialisation » ne mette en péril leur propre position ou leur propre richesse.

Peut-être.

Ce qui me semble le plus probable, c’est qu’ils ont le sentiment d’être déjà allés trop loin, et que pousser plus loin pourrait faire voler en éclats tout leur scénario.

Pour utiliser une métaphore appropriée, imaginez le programme de la « Grande réinitialisation » comme une armée d’invasion, traversant ville après ville, remportant bataille après bataille et brûlant tout sur son passage. Il arrive un moment où vous devez vous arrêter. Vos lignes d’approvisionnement sont tendues, vos hommes sont fatigués et leur nombre diminue, et les citoyens soumis à l’occupation opposent de plus en plus de résistance. Persistez néanmoins, et toute votre stratégie pourrait s’effondrer.

Dans cette situation, il faut se retirer sur une position défendable et la fortifier. Vous ne rendez pas les terres que vous avez prises, ou du moins pas en grande partie, mais vous cessez d’avancer. Les gens dont vous avez envahi les terres, si fatigués de se battre, seront tellement heureux que la guerre soit terminée qu’ils seront soulagés par ce répit avant de réaliser à quel point les terres qui leur ont été prises sont nombreuses. Ils pourraient même affirmer « qu’ils les gardent, à condition qu’ils cessent de nous attaquer ». C’est ainsi que fonctionnent les conquêtes, depuis l’époque de la Rome antique et au-delà. Un cycle d’agressions suivi de fortifications.

Lorsque nous passerons de « pandémie » à « endémie », nos droits [supprimés en raison d’une soi-disant crise – NdT] ne nous seront pas rendus, les injections, la surveillance et le climat de peur et de paranoïa subsisteront, mais les gens seront tellement soulagés par la trêve dans la campagne d’effroi et de propagande qu’ils cesseront de résister. Ils ne riposteront pas, et la « nouvelle normalité » deviendra littéralement juste ça, normale.

Ils donneront probablement leur feu vert au financement de tout ce que Bill Gates voudra faire pour s’assurer que « le Covid soit la dernière pandémie ». Et puis, un jour, lorsque les gens seront à nouveau sages et dociles, un nouveau variant fera son apparition, ou encore nous aurons besoin d’un « confinement climatique », et la pression pour le contrôle de tous les aspects de nos vies reprendra de plus belle. La meilleure chose que nous puissions faire à ce stade est de ne pas tomber dans le piège.

La presse, les politiciens et Big Pharma ne viennent pas tous de découvrir la vérité, ils utilisent simplement quelques petites parties de la vérité qu’ils ont [à dessein – NdT] ignorées pendant deux ans pour fortifier leur position. Mais ce n’est pas une mauvaise chose pour autant. Le fait même qu’ils ressentent le besoin de le faire montre que la résistance se développe, et qu’ils essaient de nous endormir.

Ce serait le pire moment pour arrêter de se battre.

Note du traducteur : Et pour votre information, ça ne peut pas être fini, puisqu’il il ne faut jamais présumer de l’issue d’un événement qui est toujours en cours.

On peut cependant suspecter que ce changement d’orientation dans les messages ne sert qu’à déblayer le terrain narratif pour mettre en place la phase suivante qui devrait être introduite rapidement :

  • des « chocs » environnementaux qui mèneraient à d’éventuels confinements climatiques,
  • des pénuries croissantes de nourriture et de chauffage,
  • un chaos économique et inflationniste,
  • la mise hors service et/ou le remplacement d’Internet,
  • sans oublier de mentionner des « problèmes » avec la Russie,
  • voire une cyber-attaque mondiale…

Cette liste n’est pas exhaustive et le choix est large.

En d’autres termes, ces monstres pourraient bien ouvrir un deuxième front très bientôt, car comme l’aurait dit Virgile dans l’Énéide, et en se référant au Cheval de Troie :

« Je crains les Grecs, même lorsqu’ils font des cadeaux. »

Source de l’article initialement publié en anglais le 10 janvier 2022 : Off Guardian
Traduction et emphases : Sott.net Source : sott

En complément:

La double hélice de la stratégie pandémique et économique entrelacée

par Alastair Crooke.

Le corollaire de l’effondrement de l’initiative technocratique visant à liquider l’économie surendettée pourrait bien être la récession.

Il y a trois ans, j’ai dit à un professeur américain du US Army War College à Washington, à propos de la campagne pour le retour en Asie des emplois de cols bleus perdus aux États-Unis, que ces emplois ne reviendraient jamais. Ils étaient partis pour de bon.

Il m’a rétorqué que c’était précisément le cas, mais je ne comprenais pas l’essentiel, a-t-il dit. Les États-Unis ne s’attendaient pas à ce que la majorité de ces emplois manufacturiers banals reviennent, et ne le souhaitaient pas. Ils devraient rester en Asie. Les élites, a-t-il dit, ne veulent que les sommets de la technologie. Elles voulaient la propriété intellectuelle, les protocoles, les mesures, le cadre réglementaire qui permettraient aux États-Unis de définir et de développer les deux prochaines décennies d’évolution technologique mondiale.

Cependant, le véritable dilemme, selon lui, était le suivant : « Que faire des 20% de la main-d’œuvre américaine qui ne seraient plus nécessaires, qui ne seraient plus indispensables au fonctionnement d’une économie américaine axée sur la technologie ? »

En fait, ce que le professeur a dit n’était qu’une facette d’un dilemme économique fondamental. À partir des années 70 et 80, les entreprises américaines ont délocalisé leurs coûts salariaux vers l’Asie. Il s’agissait en partie de réduire les coûts et d’augmenter la rentabilité (ce qui a été le cas), mais cela représentait également quelque chose de plus profond.

Depuis le début, les États-Unis ont été un empire expansionniste qui n’a cessé d’assimiler de nouvelles terres, de nouveaux peuples et leurs ressources humaines et matérielles. La marche en avant, l’expansion militaire, commerciale et culturelle continue sont devenues le moteur de Wall Street et de sa politique étrangère. Car, sans cette expansion incessante, les liens civiques de l’unité américaine sont remis en question. Une Amérique qui n’est pas en mouvement n’est pas une Amérique. C’est l’essence même de la leitkultur américaine.

Pourtant, cela n’a fait que renforcer le dilemme souligné par mon ami ci-dessus. L’expansion s’est accompagnée d’un déluge de crédits de Wall Street dans le monde entier. Le fardeau de la dette a explosé, et est devenu très lourd, en équilibre instable sur une tête d’épingle de véritable garantie sous-jacente.

Ce n’est qu’aujourd’hui – pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale – que cette impulsion stratégique expansionniste implacable des États-Unis a été remise en question par l’axe Russie-Chine. Elles ont déclaré « ça suffit ».

Pourtant, il y a toujours eu un autre aspect à cette dynamique de transition structurelle occidentale. Ses fondements, comme l’a suggéré le professeur, ne reposent plus sur le travail socialement nécessaire contenu dans la fabrication de produits ternes tels que les voitures, les téléphones ou le dentifrice. Mais plutôt, le cœur du système réside désormais dans les spéculations sur les actifs financiers tels que les actions, les obligations, les contrats à terme et surtout les produits dérivés, dont la valeur est titrisée indéfiniment. Dans ce contexte, les 20% (ou plus vraisemblablement les 40%) de la main-d’œuvre deviennent tout simplement superflus dans cette économie hautement complexe, hyper-financiarisée et en réseau.

Voici donc le deuxième dilemme : alors que le rétrécissement structurel de l’économie basée sur le travail gonfle le secteur financier, la volatilité complexe de ce dernier ne peut être contenue que par une logique de dopage monétaire perpétuel (injections perpétuelles de liquidités), justifiée par des urgences mondiales nécessitant des stimuli toujours plus importants.

Comment faire face à ce dilemme ? Eh bien, il n’y a pas de retour en arrière possible. Ce n’est pas une option.

Dans ce contexte, le régime pandémique devient le symptôme d’un monde si éloigné de toute autosuffisance économique réelle – suffisante pour soutenir sa main-d’œuvre existante – que le dilemme ne peut être résolu (du point de vue des élites) qu’en facilitant l’atténuation continue de l’ancienne économie, tandis que les actifs financiers doivent être réapprovisionnés par des ajouts réguliers de liquidités.

Comment la gérer ? Avec l’abolition progressive du contenu traditionnel de la main-d’œuvre dans les marchandises (soit par l’automatisation, soit par la délocalisation), les entreprises ont utilisé l’idéologie de l’éveil pour se réinventer. Elles ne produisent plus seulement des « choses », mais des produits sociaux. Elles sont des parties prenantes de la société, qui « fabriquent » des résultats socialement souhaitables : diversité, inclusion sociale, équilibre entre les sexes et gouvernance climatiquement responsable. Cette transition a déjà produit une corne d’abondance de nouvelles liquidités ESG circulant dans des artères économiques calcifiées.

Et la pandémie, bien sûr, justifie la stimulation monétaire, tandis que l’urgence de « santé » climatique qui suivra est préparée afin de légitimer une nouvelle expansion de la dette, pour l’avenir.

L’analyste financier Mauro Bottarelli a résumé la logique de tout cela comme suit : « Un état d’urgence sanitaire semi-permanent est préférable à un krach vertical du marché qui transformerait le souvenir de 2008 en une promenade dans le parc ».

Le professeur de théorie critique et d’italien à l’Université de Cardiff, Fabio Vighi, a lui aussi noté « l’Incurabilité » de ce qu’il appelle « la condition de Long-Covid du Banquier central » – que l’injection d’un stimulus monétaire aussi énorme que celui que nous avons vu, n’a été possible qu’en éteignant le moteur de Main Street, car une telle cascade de liquidités (6000 milliards de dollars) ne pouvait pas être autorisée à se déverser bon gré mal gré dans l’économie de Main Street (selon les banquiers centraux), car cela aurait provoqué un tsunami inflationniste à la Weimar. Au contraire, son objectif principal a été de gonfler davantage le monde virtuel d’instruments financiers toujours plus complexes.

Inévitablement, cependant, couplé à des goulots d’étranglement dans la chaîne d’approvisionnement, le flot de liquidités a provoqué une hausse de l’inflation de Main Street, et a donc imposé de nouveaux dommages sur le terrain. L’objectif consistant à gérer l’atténuation de l’activité manufacturière d’une part (verrouillage des petites entreprises), tandis que les liquidités circulaient librement vers la sphère financiarisée (pour retarder un krach boursier) a échoué. L’inflation s’accélère, les taux d’intérêt vont augmenter, ce qui entraînera des conséquences sociales et politiques négatives : la colère plutôt que la conformité.

Au cœur de la situation difficile pour ceux qui dirigent le système, il y a le fait que, s’ils devaient perdre le contrôle de la création de liquidités – que ce soit en raison de la hausse des taux d’intérêt ou d’une dissidence politique croissante – la récession qui s’ensuivrait détruirait l’ensemble du tissu socio-économique.

Et toute récession grave aurait probablement des répercussions sur les dirigeants politiques occidentaux également.

Ils ont donc choisi, au lieu de cela, de sacrifier le cadre démocratique, afin de mettre en place un régime monétaire ancré dans le culte de la science et de la technologie, de la propagande médiatique et des récits de catastrophes, comme moyen de progresser vers une prise de pouvoir technocratique « aristocratique » sur la tête des gens. (Oui, dans certains « cercles », on la considère comme une nouvelle aristocratie de l’argent).

Encore le professeur Vighi :

« Les conséquences du capitalisme d’urgence sont résolument biopolitiques. Elles concernent l’administration d’un surplus humain qui devient superflu pour un modèle reproductif largement automatisé, hautement financiarisé et implosif. C’est pourquoi le Virus, le Vaccin et le Passeport Covid sont la Sainte Trinité de l’ingénierie sociale.

Les « passeports-virus » sont destinés à former les multitudes à l’utilisation de portefeuilles électroniques contrôlant l’accès aux services publics et aux moyens de subsistance personnels. Les masses dépossédées et licenciées, ainsi que celles qui ne se conforment pas aux règles, sont les premières à être disciplinées par des systèmes numériques de gestion de la pauvreté directement supervisés par le capital monopolistique. Le plan consiste à symboliser le comportement humain et à le placer sur des grands livres de blockchain gérés par des algorithmes. Et la propagation de la peur mondiale est le bâton idéologique parfait pour nous mener vers ce résultat ».

Le point de vue du professeur Vighi est clair. La campagne de vaccination et le système du passeport vert ne sont pas des disciplines de santé autonomes. Ils n’ont rien à voir avec « la science » et ne sont pas censés avoir un sens. Ils sont primordialement liés au dilemme économique des élites et servent également d’outil politique permettant à une nouvelle dispensation monétaire de supplanter la démocratie. Le président Macron a dit tout haut ce qui n’est pas dit, lorsqu’il a déclaré : « Quant aux non-vaccinés, j’ai vraiment envie de les emmerder. Et nous allons continuer à le faire, jusqu’au bout. C’est la stratégie ».

De même, le Premier ministre italien Draghi a multiplié les attaques contre les non-vaccinés, rendant les vaccins obligatoires pour les plus de 50 ans et imposant des restrictions importantes aux plus de 12 ans. Là encore, bien que le mantra soit de « suivre la science », ces mesures n’ont aucun sens : le variant Omicron infecte principalement les personnes doublement vaccinées, et non les personnes non vaccinées.

Il y a deux jours, un éminent virologue lauréat du prix Nobel, le Dr Montagnier et un collègue, ont confirmé cet aspect « obsolète » des mandats de vaccination. Dans le Wall Street Journal, ils écrivent :

« … rendre obligatoire un vaccin pour arrêter la propagation d’une maladie nécessite de prouver que les vaccins préviendront l’infection ou la transmission (plutôt que l’efficacité contre des conséquences graves comme l’hospitalisation ou la mort). Comme le dit l’Organisation mondiale de la Santé, « si la vaccination obligatoire est considérée comme nécessaire pour interrompre les chaînes de transmission et éviter de nuire à autrui, il devrait y avoir suffisamment de preuves que le vaccin est efficace pour prévenir une infection et/ou une transmission grave ». Pour Omicron, il n’existe pas encore de telles preuves.

Les quelques données dont nous disposons suggèrent le contraire. Une étude a révélé qu’après 30 jours, les vaccins Moderna et Pfizer n’avaient plus d’effet positif statistiquement significatif contre l’infection par Omicron, et qu’après 90 jours, leur effet devenait négatif, c’est-à-dire que les personnes vaccinées étaient plus sensibles à l’infection par Omicron. Confirmant ce constat d’efficacité négative, des données provenant du Danemark et de la province canadienne de l’Ontario indiquent que les personnes vaccinées présentent des taux d’infection par Omicron plus élevés que les personnes non vaccinées ».

Ceci est rarement, voire jamais, admis. Macron et Draghi sont tous deux désespérés : Ils doivent « liquéfier » leurs économies, et vite.

En effet, le Dr Malone, chef de file des États-Unis et père des vaccins à ARNm, a écrit à propos de ceux qui soulignent de telles incohérences et illogismes – deux mois seulement avant la suspension de son compte Twitter – dans un message Twitter plutôt prophétique :

« Je vais parler sans détours », a-t-il écrit. « Les médecins qui s’expriment sont activement pourchassés via les conseils médicaux et la presse. Ils essaient de nous délégitimer et de nous éliminer, un par un ».

Il a terminé en prévenant qu’il ne s’agit « pas d’une théorie du complot » mais « d’un fait ». Il nous a tous exhortés à « nous réveiller ».

Comme l’a noté le Telegraph, les scientifiques britanniques membres d’un comité qui a encouragé l’utilisation de la peur pour contrôler le comportement des gens pendant la pandémie de Covid ont admis que leur travail était « contraire à l’éthique » et « totalitaire ». Les scientifiques ont averti en mars 2021 que les ministres britanniques devaient augmenter « le niveau perçu de menace personnelle » du Covid-19, car « un nombre important de personnes ne se sentent toujours pas suffisamment menacées personnellement ». Gavin Morgan, un psychologue de l’équipe, a déclaré : « Il est clair que l’utilisation de la peur comme moyen de contrôle n’est pas éthique. L’utilisation de la peur a des relents de totalitarisme ».

Un autre membre du SPI-B a déclaré : « On pourrait appeler cela de la psychologie « contrôle de l’esprit ». C’est ce que nous faisons… Nous essayons clairement de le faire de manière positive, mais cela a été utilisé de manière néfaste dans le passé ». Un autre collègue a mis en garde contre le fait que « les gens utilisent la pandémie pour s’emparer du pouvoir et faire passer des choses qui ne se produiraient pas autrement… Nous devons faire très attention à l’autoritarisme qui s’insinue ».

Le problème est cependant plus profond qu’un peu de « psychologie de la stimulation ». En 2019, la BBC a créé la Trusted News Initiative (TNI), un partenariat qui inclut désormais de nombreux médias grand public. TNI a été ostensiblement conçu pour contrer l’influence narrative étrangère en période électorale, mais il s’est étendu pour synchroniser tous les éléments du message et éliminer les déviations dans le vaste domaine des médias et des plateformes technologiques.

Ces « points de discussion » synchronisés sont plus puissants (et insidieux) que n’importe quelle idéologie, car ils ne fonctionnent pas comme un système de croyances ou une éthique, mais plutôt comme une « science » objective. Vous ne pouvez pas discuter avec, ou vous opposer à, la Science (avec un « S » majuscule). La Science n’a pas d’opposants politiques. Ceux qui la remettent en question sont étiquetés « théoriciens du complot », « antivax », « négationnistes du Covid », « extrémistes », etc. Ainsi, le récit pathologisé de la nouvelle normalité pathologise également ses opposants politiques : il les prive de toute légitimité politique. L’objectif est évidemment de les contraindre à se conformer. Macron l’a dit clairement.

La séparation de la population sur la base du statut vaccinal est un événement historique. Si la résistance est étouffée, une carte d’identité numérique obligatoire pourra être introduite pour enregistrer la « justesse » de notre comportement et réglementer l’accès à la société. Le Covid était le cheval de Troie idéal pour cette percée. Un système mondial d’identification numérique basé sur la technologie blockchain est prévu depuis longtemps par l’Alliance ID2020, soutenue par des géants comme Accenture, Microsoft, la Fondation Rockefeller, MasterCard, IBM, Facebook et l’omniprésente GAVI de Bill Gates. À partir de là, la transition vers le contrôle monétaire devrait se faire relativement en douceur. Les CBDC permettraient aux banquiers centraux non seulement de suivre chaque transaction, mais surtout de bloquer l’accès aux liquidités, pour toute raison jugée légitime.

Le talon d’Achille de tout cela, cependant, est la preuve d’une véritable résistance populaire à la suppression par les plateformes technologiques de toute opinion dissidente (quelle que soit la qualité de sa source), au refus de permettre aux gens de choisir en toute connaissance de cause leur traitement médical, et aux restrictions arbitraires pouvant entraîner la perte des moyens de subsistance imposées par décret, et étayées par des lois d’urgence, limitant la protestation populaire.

Mais de manière plus significative et paradoxale, le variant Omicron peut couper les jambes des dirigeants politiques qui ont l’intention de redoubler d’efforts. Il est tout à fait possible que ce variant léger (à peine mortel), mais hautement contagieux, se révèle être le « vaccin » de la nature, nous donnant une large mesure d’immunité – ostensiblement meilleure que celle offerte par les « vaccins » de la Science !

Nous observons déjà que les États européens sont confus et en désaccord les uns avec les autres – adoptant des lignes politiques diamétralement opposées : certains mettent fin aux restrictions, d’autres en décrètent de plus en plus. D’autres pays, comme Israël, réduisent les restrictions et s’orientent vers une politique d’immunité collective.

Bien sûr, le corollaire de l’échec de l’initiative technocratique visant à liquider l’économie surendettée pourrait bien être la récession. C’est malheureusement la logique de la situation.

source : https://www.strategic-culture.org
traduction Réseau International

Pfizer – La plus grande escroquerie mondiale détricotée !

Voici les preuves implacables, dans une présentation brillante qui démontre, de façon très simple et accessible à tous, à quel point les études de Pfizer sont truquées du début à la fin, avec la complicité des autorités sanitaires, politiques et des médias.
Cet exposé d’une association de 500 docteurs, chercheurs et praticiens de la santé Canadiens, doit devenir viral à l’heure des discussions sur le pass vaccinal. Le monde entier doit connaître la vérité !

Par @ExcaliburTraduction

blob:https://odysee.com/b79660b9-cec5-4bc4-a431-a677e052ea40

Il n’y a pas de mot pour qualifier ce scandale, l’enquête est canadienne mais, comme tout le monde est susceptible d’être injectés, nous devons prendre en compte cette enquête. Nous devons demander l’arrêt immédiat de ces injections toxiques. Partagez !

Version PDF de la présentation :
https://www.canadiancovidcarealliance.org/wp-content/uploads/2021/12/The-COVID-19-Inoculations-More-Harm-Than-Good-REV-Dec-16-2021.pdf

Vidéo originale sur le site de Canadian Covid Care Alliance :
https://www.canadiancovidcarealliance.org/

Vidéo sur les sportifs :
https://rumble.com/vpnxkr-are-these-side-effects-extremely-rare.html

Article sur les sportifs décédés ou malades suite aux injections :
https://report24.news/ab-13-jahren-lange-liste-ploetzlich-verstorbener-oder-schwerkranker-sportler/

Source ExcaliburTraduction:
https://odysee.com/@ExcaliburTraduction:4/Pfizer-inoculation-Do-More-Harm-Than-Good-doubl%C3%A9e:d

Technologies des nano-circuits dans le corps humain

Très belle présentation synthétique mais néanmoins très documentée de Chloé Frammery dans le cadre de l’Info en questions n° 82 sur les technologies de nano-circuits destinés à être injectés dans le corps humain et peut-être déjà expérimentées dans les injections actuelles.

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/NanoCircuitsVaccins:1
Documents relatifs à la présentation:

Présentation « Nanocircuits dans les vaccins » :
http://gerardscheller.ch/Presentation-IEQ82-Nanocircuits_dans_les_vaccins.pptx
PDF : http://gerardscheller.ch/Presentation-IEQ82-Nanocircuits_dans_les_vaccins.pdf
• Le Dr. Pablo Campra a observé des nano-circuits dans les 4 injections permettant : contrôle neuronal, détection bluetooth : https://rumble.com/vrsxi6-du-graphne-dans-les-injections-.html
• L’expérience interdite (détection bluetooth des injectés) : https://crowdbunker.com/v/frlM4D1haF
• Publication de Dr Pablo Campra – 29.11.21 téléchargeable ici : https://www.researchgate.net/publication/356507702_MICROSTRUCTURES_IN_COVID_VACCINES_inorganic_crystals_or_Wireless_Nanosensors_Network
• Analyse de l’analyse du Dr Pablo Campra, en français : http://gerardscheller.ch/Nano-reseau-etude_de_la_publication_de_Dr_Pablo_Campra_29-11-21.pdf
• Article de Liliane Held-Khawam : https://lilianeheldkhawam.com/2021/12/16/co-ro-na-pour-systeme-de-coordonnees-et-de-routage-pour-les-nanoreseaux/
• Présentation de Mik Andersen (en Anglais) : https://lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2021/12/12-intracorporal_nanonetwork.pdf
• Transistor, page Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Transistor

Etude de 2013 sur les nanorouteurs : https://doi.org/10.1109/JSAC.2013.SUP2.12130015
• Etude de 2018 sur les réseaux de nanocommunication pour le corps humain : https://www.ianakyildiz.com/bwn/papers/2014/j18.pdf
• Publication de 2010 : https://ieeexplore.ieee.org/abstract/document/5505714 => Analyse de Mik Andersen (2010) : https://corona2inspect.blogspot.com/2021/09/redes-nanocomunicacion-inalambrica-nanotecnologia-cuerpo-humano.html
• Publication de 2018 : http://dx.doi.org/10.1049/htl.2017.0034 => Analyse de Mik Andersen (2018) : https://corona2inspect.blogspot.com/2021/12/encontrada-evidencia-que-confirmaria-la.html

Analyse de vaccins – la 2ème vidéo [35:07] révèle des structures métalliques anguleuses : https://pathologie-konferenz.de/fr/

Article CORONA (2015) : https://dl.acm.org/doi/10.1145/2800795.28008

• Les magazines de Graphene Flagship sont téléchargeables ici : https://graphene-flagship.eu/graphene/graphene-magazine/

VIdéo de Ricardo Delgado, Quinta Columna : https://www.brighteon.com/cf03d0b1-a6ca-4741-b484-9ed90d818d23

Cette même vidéo doublée en français: Les « vaccins », leur contenu et leur objectif final (FR)

La distribution contrôlée des lots de vakx1s selon la toxicité de leurs doses ?

Une vidéo de présentation d’un rapport d’un britannique qui met en évidence les différentes toxicité des vax en fonction des lots sur base des effets secondaires enregistrés dans le système américain du VAERS. Elle dévoile aussi une potentielle ingénierie concertée entre tous les acteurs du cartel des empoisonneurs.
Interpellant ?
A quand une étude similaire sur l’Europe ?
(34 337 décès 3 120 439 blessures suite à des injections COVID dans la base de données européenne)

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/Deploiement-lots-vax:5