Henry David Thoreau et la difficile désobéissance civile

   Rédaction Strategika

Par Nicolas Bonnal

Né en 1961 à Tunis, Nicolas Bonnal étudie beaucoup, voyage plus encore et commence à publier en 1995 : Mitterrand le grand initié. Il publie ensuite aux belles lettres le Coq hérétique sur l’exception française, la première étude en français sur Tolkien et Internet novelle voie initiatique. Il publie aussi des romans (les territoires protocolaires) et un recueil de contes (les mirages de Huaraz) après une vacance de cinq ans en Amérique du sud. Il revient vivre en Andalousie, puis publie des livres sur le cinéma (le paganisme, Kubrick, Ridley Scott, sans oublier les westerns). Anarchiste réactionnaire,  proche des libertariens américains et des traditionalistes européens, Nicolas Bonnal  se réclame aussi du genre pamphlétaire (un livre sur Céline) et décidément antimoderne. Il a publié des textes sur une dizaine de sites dont France-courtoise.infobvoltaire.frdedefensa.orgfr.sputniknews.com et pravdareport.com. Plusieurs de ses livres ont été traduits (russe, brésilien, ukrainien, espagnol). Son blog : nicolasbonnal.worpress.com

“Break the law. Let your life be a counter friction to stop the machine.”

Nous sommes gouvernés par des monstres et des imbéciles en occident : guerre, pénurie et contrôle numérique sont les mamelles de leur politique apocalyptique effarée. Mais le peuple se réveille après deux années de soumission inepte et de léthargie apeurée. Moment donc de passer de La Boétie à Thoreau, de la servitude volontaire (voyez mon recueil) à la désobéissance civile. On va voir qu’elle n’est pas si facile, comme le montre Thoreau (souvent mis à toutes les sauces, surtout par des liberticides) en luttant contre la guerre contre le Mexique et l’esclavage pratiqués par les USA (mon Dieu, ces patries des droits de l’Homme…).

On sait que le vieillard Joe Biden est un dément criminel qui veut détruire et le monde et son pays. Il y a bientôt deux cents ans donc Henry David Thoreau écrit déjà :

« Quelle attitude doit adopter aujourd’hui un homme face au gouvernement américain? Je répondrai qu’il ne peut sans déchoir s’y associer. »

Thoreau n’est ni anarchiste ni libertarien ; mais il écrit quand même :

« De grand cœur, j’accepte la devise : « Le gouvernement le meilleur est celui qui gouverne le moins » et j’aimerais la voir suivie de manière plus rapide et plus systématique. Poussée à fond, elle se ramène à ceci auquel je crois également : « que le gouvernement le meilleur est celui qui ne gouverne pas du tout » et lorsque les hommes y seront préparés, ce sera le genre de gouvernement qu’ils auront. »

C’est que tout gouvernement est vite perverti par les minorités et oligarques qui le contrôlent :

« Le gouvernement lui-même — simple intermédiaire choisi par les gens pour exécuter leur volonté —, est également susceptible d’être abusé et perverti avant que les gens puissent agir par lui. Témoin en ce moment la guerre du Mexique, œuvre d’un groupe relativement restreint d’individus qui se servent du gouvernement permanent comme d’un outil ; car au départ, jamais les gens n’auraient consenti à cette entreprise. »

Thoreau ne se fait d’illusion sur aucun gouvernement :

« Le gouvernement américain — qu’est-ce donc sinon une tradition, toute récente, qui tente de se transmettre intacte à la postérité, mais perd à chaque instant de son intégrité? Il n’a ni vitalité ni l’énergie d’un seul homme en vie, car un seul homme peut le plier à sa volonté. »

Le génie du peuple devrait suffire face aux volontés de contrôle et sabotage du pouvoir :

« Pourtant, ce gouvernement n’a jamais de lui-même encouragé aucune entreprise, si ce n’est par sa promptitude à s’esquiver. Ce n’est pas lui qui garde au pays sa liberté, ni lui qui met l’Ouest en valeur, ni lui qui instruit. C’est le caractère inhérent au peuple américain qui accomplit tout cela et il en et il en aurait fait un peu plus si le gouvernement ne lui avait souvent mis des bâtons dans les roues. »

Le politicien aux ordres devient vite un malfaiteur ou un saboteur :

« Et s’il fallait juger ces derniers en bloc sur les conséquences de leurs actes, et non sur leurs intentions, ils mériteraient d’être classés et punis au rang des malfaiteurs qui sèment des obstacles sur les voies ferrées. »

Mais en bas cela ne s’agite guère mieux ; comme dans le cas de notre crise sanitaire les fonctionnaires ont servi l’Etat sans réagir (ou presque) :

« La masse des hommes sert ainsi l’État, non point en humains, mais en machines avec leur corps.
C’est eux l’armée permanente, et la milice, les geôliers, les gendarmes, la force publique, etc. La plupart du temps sans exercer du tout leur libre jugement ou leur sens moral ; au contraire, ils se ravalent au niveau du bois, de la terre et des pierres et on doit pouvoir fabriquer de ces automates qui rendront le même service. 
»

Custine dans son pamphlet dégueulasse et grotesque contre la Russie traite les russes d’automates (voyez mon étude) ; il est bon que Thoreau remette nos preux démocrates à leur place :

« Ils ont la même valeur marchande que des chevaux et des chiens. Et pourtant on les tient généralement pour de bons citoyens. D’autres, comme la plupart des législateurs, des politiciens, des juristes, des ministres et des fonctionnaires, servent surtout l’État avec leur intellect et, comme ils font rarement de distinctions morales, il arrive que sans le vouloir, ils servent le Démon aussi bien que Dieu. »

Une minorité se dégage alors contre cet autoritarisme déviant qui risque la persécution :

« Une élite, les héros, les patriotes, les martyrs, les réformateurs au sens noble du terme, et des hommes, mettent aussi leur conscience au service de l’État et en viennent forcément, pour la plupart à lui résister. Ils sont couramment traités par lui en ennemis. »

Thoreau se révolte contre l’esclavage des noirs dans un pays présumé libre :

« …lorsqu’un sixième de la population d’une nation qui se prétend le havre de la liberté est composé d’esclaves, et que tout un pays est injustement envahi et conquis par une armée étrangère et soumis à la loi martiale, je pense qu’il n’est pas trop tôt pour les honnêtes gens de se soulever et de passer à la révolte. Ce devoir est d’autant plus impérieux que ce n’est pas notre pays qui est envahi, mais que c’est nous l’envahisseur. »

Thoreau remarque que les bons citoyens des USA se sont révoltés contre les impôts anglais et ils acceptent l’esclavage (ils portent une marque distinctive, un code QR, et dans la savante tradition égyptienne on leur perçait le nez pour les contrôler et les diminuer) :

« Si l’on venait me dire que le gouvernement d’alors était mauvais, parce qu’il taxait certaines denrées étrangères entrant dans ses ports, il y aurait gros à parier que je m’en soucierais comme d’une guigne, car je peux me passer de ces produits-là. »

L’esclavage ne sert qu’une minorité, comme le terrorisme médical sert une minorité pleine à craquer :

« En langage clair, ce n’est pas la kyrielle de politiciens du Sud qui s’oppose à une réforme au Massachusetts, mais la kyrielle de marchands et de fermiers qui s’intéressent davantage au commerce et à l’agriculture qu’à l’humanité et qui ne sont nullement prêts à rendre justice à l’esclave et au Mexique, à tout prix. »

Le problème donc c’est la réaction – et elle est difficile. Trop souvent on se paie de clics ou de mots :

« Le plus important n’est pas que vous soyez au nombre des bonnes gens mais qu’il existe quelque part une bonté absolue, car cela fera lever toute la pâte. Il y a des milliers de gens qui par principe s’opposent à l’esclavage et à la guerre mais qui en pratique ne font rien pour y mettre un terme ; qui se proclamant héritiers de Washington ou de Franklin, restent plantés les mains dans les poches à dire qu’ils ne savent que faire et ne font rien ; qui même subordonnent la question de la liberté à celle du libre-échange et lisent, après dîner, les nouvelles de la guerre du Mexique avec la même placidité que les cours de la Bourse et peut-être, s’endorment sur les deux. »

Thoreau alors prévoit le sinistre futur américain : les noirs en voudront toujours aux blancs de n’avoir pas voté pour l’abolition de l’esclavage.

« Lorsqu’à la longue la majorité votera pour l’abolition de l’esclavage, ce sera soit par indifférence à l’égard de l’esclavage, soit pour la raison qu’il ne restera plus d’esclavage à abolir par le vote. Ce seront eux, alors, les véritables esclaves. Seul peut hâter l’abolition de l’esclavage, celui qui, par son vote, affirme sa propre liberté. »

On rougit, et puis on s’habitue :

« Ainsi, sous le nom d’Ordre et de Gouvernement Civique, nous sommes tous amenés à rendre hommage et allégeance à notre propre médiocrité. On rougit d’abord de son crime et puis on s’y habitue ; et le voilà qui d’immoral devient amoral et non sans usage dans la vie que nous nous sommes fabriquée. »

Comment résister ? Refus de l’impôt par exemple :

« Si un millier d’hommes devaient s’abstenir de payer leurs impôts cette année, ce ne serait pas une initiative aussi brutale et sanglante que celle qui consisterait à les régler, et à permettre ainsi à l’État de commettre des violences et de verser le sang innocent. Cela définit, en fait, une révolution pacifique, dans la mesure où pareille chose est possible. »

Thoreau invite le fonctionnaire à démissionner (tu parles !) :

« Si le percepteur ou quelque autre fonctionnaire me demande, comme ce fut le cas : « Mais que dois-je faire? », je lui réponds : « Si vous voulez vraiment faire quelque chose, démissionnez ! » Quand le sujet a refusé obéissance et que le fonctionnaire démissionne, alors la révolution est accomplie. »

Il ne faut rien attendre du riche (on le savait depuis la parabole du l’aiguille et le chameau) :

« Car le riche — sans que l’envie me dicte aucune comparaison — est toujours vendu à l’institution qui l’enrichit. »

La clé de l’obéissance civile c’est la PEUR (avec une bonne épidémie alors…) :

« En m’entretenant avec les plus affranchis de mes concitoyens, je m’aperçois qu’en dépit de tous leurs propos concernant l’importance et la gravité de la question, et leur souci de la tranquillité publique, le fort et le fin de l’affaire c’est qu’ils ne peuvent se passer de la protection du gouvernement en place et qu’ils redoutent les effets de leur désobéissance sur leurs biens ou leur famille. »

Thoreau qui est on le sait très bricoleur évoque l’autarcie et l’isolement – chose facile à une époque où les USA comptent DIX FOIS MOINS d’habitants :

« Il faut louer quelques arpents, bien s’y installer et ne produire qu’une petite récolte pour la consommation immédiate. On doit vivre en soi, ne dépendre que de soi, et, toujours à pied d’œuvre et prêt à repartir, ne pas s’encombrer de multiples affaires. »

Comme l’État peut (et va, chez nous, pour obéir à Klaus Schwab et aux oligarques de Davos) tout prendre, il vaut mieux louer en effet ; mais rappelons que les prix de la location ont doublé en cinq ans en Floride par exemple…

Lors de cet épisode totalitaire, premier d’une longue série, on a tous vu la soumission incroyable des églises et clergés, tous plus vendus les uns que les autres. Or Thoreau est allé en prison pour cette raison :

« Voici quelques années, l’État vint me requérir au nom de l’Église de payer une certaine somme pour l’entretien d’un pasteur dont, au contraire de mon père, je ne suivais jamais les sermons. « Payez, disait-il, ou vous êtes sous les verrous. » Je refusai de payer. »

Thoreau déteste l’État et le méprise :

« Je vis que l’État était un nigaud, aussi apeuré qu’une femme seule avec ses couverts d’argent, qu’il ne distinguait pas ses amis d’avec ses ennemis, et perdant tout le respect qu’il m’inspirait encore, j’eus pitié de lui. »

Il écrit presque optimiste :

« Ainsi l’État n’affronte jamais délibérément le sens intellectuel et moral d’un homme, mais uniquement son être physique, ses sens. Il ne dispose contre nous ni d’un esprit ni d’une dignité supérieurs, mais de la seule supériorité physique. »

Il se trompe. L’État va changer de tactique pour nous soumettre. A la même époque Tocqueville écrit plus justement :

« Sous le gouvernement absolu d’un seul, le despotisme, pour arriver à l’âme, frappait grossièrement le corps ; et l’âme, échappant à ces coups, s’élevait glorieuse au-dessus de lui ; mais dans les républiques démocratiques, ce n’est point ainsi que procède la tyrannie ; elle laisse le corps et va droit à l’âme. »

Et c’était avant les bombardements médiatiques.

Mais Thoreau reste Thoreau. Gardez pour conclure cette formule magnifique :

« Enfreignez la loi. Que votre vie soit un contre-frottement pour stopper la machine. »

Sources principales :

http://www.bouquineux.com/index.php?telecharger=2786&Thoreau-La_D%C3%A9sob%C3%A9issance_civile

L’hypnose vakxinale de masse expliquée par le professeur Mattias Desmet

par Lucia Gangale (son site)

 Mattias Desmet est professeur de psychologie clinique à l’Université de Gand en Belgique. Il donne des cours de psychothérapie psychanalyse individuelle et aussi de psychologie de la foule. Il est expert en tyrannie, totalitarisme et hypnose de masse.

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 Dans un podcast publié en ligne, dans des articles et des interviews (par exemple ici), le professeur Desmet explique comment se forme l’hypnose de masse. Lorsque cette période dystopique finira dans les livres d’histoire, nous nous demanderons comment tout cela a pu se produire, mais l’analyse de Desmet nous donne déjà aujourd’hui des indications précises sur ce qui se déroule aujourd’hui sous nos yeux. Comment, c’est-à-dire, il est possible que la vie humaine se soit réduite à être enchaînée et asservie par un QR Code, avec la liberté accordée par les gouvernants à l’échéance des différentes piqûres vakxinales. Comment il a été possible d’échanger sa liberté contre un spritz au bar et de diviser la société entre si-vax et no-vax. Comment notre vie s’est réduite à être scannée par une application, comme si c’était un aliment acheté au comptoir du supermarché. Comment a-t-il été possible de justifier cette dérive au nom d’une urgence permanente, avec un État chantage qui, tout en se protégeant de toute responsabilité pénale et civile, nous dit quoi faire de notre corps au nom de prétendues exigences collectives et de la protection de la santé. Comment il a été possible d’ériger la science en religion et le totem vakxinal en panacée de tous les maux de l’humanité. Comment, tout cela a été possible, entre autres, dans une nation comme la France, au mépris de sa splendide Constitution, de son passé des Lumières et de ses saints principes de Liberté, d’Égalité, de Fraternité.

 Surtout, comme en seulement deux ans il a été possible d’effacer des décennies de luttes et de sang versé pour affirmer les libertés qui nous reviennent en tant qu’êtres humains.

 Le chercheur belge s’interroge depuis longtemps sur l’hypnose collective qui s’opère, même face à des mesures gouvernementales gouvernementales démentes et contradictoires. Une hypnose qui conduit les individus à sacrifier volontairement leur liberté, même maintenant que la variante Omicron, très contagieuse mais non mortelle, semble marquer le tournant vers la fin de la pandémie de Covid 19.

 Selon Desmet, il y a quatre conditions de base pour que la société soit vulnérable à l’hypnose de masse :

 1) Le manque de liens sociaux, l’isolement et la peur qui en résulte ;

 2) Ne pas concevoir un sens ou un but dans sa vie ;

 3) L’anxiété fluctuante (il suffit de voir le nombre de médicaments contre l’anxiété et la dépression prescrits chaque année) ;

 4) Niveaux élevés de frustration et d’agressivité.

 Des mensonges et des contradictions alimentés par le courant dominant ont été crus vrais par les masses, sans cesse tendues par un récit inspiré de la peur du virus et de la haine envers les réticents au vakx1 ou envers ceux qui se posent des questions contraires aux décisions gouvernementales. Ces derniers, considérés comme des parias dont il faut se moquer et qui sont exclus de la société, même s’ils sont médecins, scientifiques et des prix Nobel.

 Desmet dit : « Les parents qui font piquer si avidement leurs enfants entrent dans la conscience de la foule qu’on appelle « formation de masse ». Ce changement social se produit quand il y a ou il y a eu une période de peur fluctuante, et c’est un pas sur la route vers un état totalitaire. Le totalitarisme commence toujours par une formation de masse au sein de la population.

 Ce n’est pas la même chose qu’une dictature. Dans une dictature, les gens obéissent par crainte fondamentale du dictateur au sommet, mais le totalitarisme est le contraire. Les gens sont hypnotisés pour obéir « au bien de la collectivité ». (…) Ils ne sont plus rationnels ou critiques comme autrefois, ils ne suivent plus la logique ».

 La raison pour laquelle tant de gens sont disposés à participer à ce délire collectif, « est que dans ce récit ils trouvent un nouveau lien social. La science, la logique et l’équité n’ont rien à voir avec tout cela ».

 Desmet met en évidence la différence entre une dictature montante et le totalitarisme : « En règle générale, dans une dictature classique, le dictateur devient plus doux et moins agressif une fois que les voix dissidentes, son opposition, sont réduites au silence. Une fois qu’il a pris le pouvoir complet, il n’a plus besoin d’être agressif et peut recourir à d’autres moyens pour garder le contrôle. Dans un état totalitaire, c’est le contraire qui se produit. Cela est fondamental à comprendre, parce que dans une société totalitaire, une fois que l’opposition est réduite au silence, c’est alors que l’État commet ses atrocités les plus grandes et les plus cruelles ».

 Ces deux dernières années, les idées dissidentes sur le Covid et les vakx1s ont été ponctuellement réduites au silence. On se demande alors quand la science est devenue définitive et incontestable et lorsqu’elle est fermée à tout dialogue. Et pourquoi, après deux ans, la propagande martele-t-elle de plus en plus sur le vakx1 unique pour tous, en arrivant à de véritables formes de persécution à l’égard de personnes saines, coupables seulement de refuser un traitement médical imposé ? Comment se fait-il qu’après ses années, on compte le plus grand nombre de contaminations parmi les détenteurs du pass sanitaire, puisque les non vakxinés ont été, de fait, empêchés même de vivre et de se déplacer librement ? Où est la logique de toutes ces mesures qui sont politiques et, bien sûr, non sanitaires ?

 De fait, aujourd’hui, la politique s’est emparée de la vie biologique. Le fameux code de Nuremberg et le « consentement éclairé » naquirent précisément comme défense de l’individu face à certaines extensions dangereuses du pouvoir politique.

 L’histoire nous enseigne que les masses ont toujours cru au dictateur de quart et que l’erreur a duré jusqu’à ce que les nations soient plongées dans l’abîme des guerres et de la spoliation des droits fondamentaux des peuples.

 Aujourd’hui, à l’époque numérique, nous vivons une forme inédite de coup d’État déguisé en politique sanitaire, entre des décrets sortis en un court laps de temps et une inoculation perpétuelle érigée en nouvelle forme de foi salvifique. Le tout assailli par la hâte et l’arrogance du Léviathan sanitaire, toujours plus nerveux et toujours plus dévorant les vies de chacun, vakxinés ou non vakxinés, désormais plus “humains”. L’histoire nous apprend que même les sorts se cassent, peu importe le temps que ça prend. C’est une période de vigilance que d’attendre que le rideau tombe sur cette comédie de l’absurde, avec tous ses tristes personnages, et que la Vie qui, malgré toute la violence à laquelle elle se heurte cycliquement, gagne sur tout, alors que cette fausse bonne gouvernance finit par se dévorer elle-même. 


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Omicron : Nous vous avions prévenu que la farce C0VlD ne se terminerait jamais

par Brandon Smith.

Vous vous souvenez quand Anthony Fauci et d’autres « professionnels » de la santé payés par le gouvernement ont déclaré que les Américains devaient porter un masquer et rester à la maison pendant deux semaines pour « aplanir la courbe » de la pandémie de Covid ? Rappelez-vous quand ils sont revenus deux semaines plus tard pour dire qu’il fallait encore deux semaines de plus ? Vous vous rappelez qu’ils ont un peu relâché les mesures de confinement et qu’ils sont revenus à la charge pour en demander davantage ? Rappelez-vous en 2019 quand les gens ne se recroquevillaient pas chez eux et derrière des masques à cause d’un virus dont le taux de mortalité par infection (IFR) moyen n’était que de 0,27% ? Vous vous en souvenez ?

Au tout début de la réponse à la pandémie, moi et beaucoup d’autres personnes dans les médias alternatifs avons averti que les obligations et les confinements n’allaient jamais prendre fin ; ils sont censés durer éternellement. J’ai prédit cela en me basant sur les déclarations des globalistes et des institutions qui élaborent la politique de réponse à la pandémie pour les gouvernements nationaux. Dans mon article « Vagues de mutilation : La tyrannie médicale et la société sans cash » publié en avril 2020, j’ai souligné les commentaires du globaliste Gideon Lichfield du MIT gravés sur des livres blancs publiés par l’Imperial College de Londres. Dans l’article intitulé « We’re Not Going Back To Normal », il décrit l’avenir du monde sous la tyrannie médicale Covid :

Pour arrêter le coronavirus, nous devrons changer radicalement presque tout ce que nous faisons : notre façon de travailler, de faire de l’exercice, de socialiser, de faire du shopping, de gérer notre santé, d’éduquer nos enfants, de prendre soin des membres de notre famille.

Nous voulons tous que les choses reviennent rapidement à la normale. Mais ce que la plupart d’entre nous n’ont probablement pas encore réalisé – mais le feront bientôt – c’est que les choses ne reviendront pas à la normale au bout de quelques semaines, ni même de quelques mois. Certaines choses ne reviendront jamais.

Il poursuit :

Tant que quelqu’un dans le monde est porteur du virus, les épidémies peuvent et vont continuer à se reproduire sans contrôles rigoureux pour les contenir. Dans un rapport publié hier, des chercheurs de l’Imperial College London ont proposé un moyen d’y parvenir : imposer des mesures de distanciation sociale plus extrêmes chaque fois que les admissions dans les unités de soins intensifs (USI) commencent à monter en flèche, et les assouplir chaque fois que les admissions diminuent…

Lichfield argumente :

En fin de compte, cependant, je prédis que nous restaurerons la capacité de socialiser en toute sécurité en développant des moyens plus sophistiqués d’identifier qui est un risque de maladie et qui ne l’est pas, et de discriminer légalement ceux qui le sont.

…on peut imaginer un monde dans lequel, pour prendre un vol, il faudra peut-être s’inscrire à un service qui suit vos déplacements via votre téléphone. La compagnie aérienne ne serait pas en mesure de voir où vous êtes allé, mais elle serait alertée si vous avez été à proximité de personnes infectées ou de foyers de maladie connus. Des exigences similaires s’appliqueraient à l’entrée des grandes salles de spectacle, des bâtiments publics ou des plates-formes de transport public. Il y aurait des scanners de température partout, et votre lieu de travail pourrait vous demander de porter un moniteur qui suit votre température ou d’autres signes vitaux. Là où les boîtes de nuit demandent une preuve d’âge, elles pourraient à l’avenir demander une preuve d’immunité – une carte d’identité ou une sorte de vérification numérique via votre téléphone, montrant que vous avez déjà récupéré ou été vakxiné contre les dernières souches de virus.

Deux ans plus tard (au lieu de deux semaines), la farce Covid continue. Par farce, j’entends que le virus n’est pas une menace pour la santé de la grande majorité de la population, mais que les gouvernements et les médias continuent de semer la peur autour de son existence, tout en essayant de forcer les gens à accepter des vakx1s expérimentaux dont l’innocuité n’est pas prouvée par des tests à long terme. Dans presque tous les pays où les gens ont été en grande partie désarmés ou dans tous les pays où le risque d’émeute est minime, les totalitaires Covid se précipitent pour s’emparer de chaque once de pouvoir qu’ils peuvent avant que la population ne réalise ce qui se passe.

Je pourrais continuer à exposer la montagne de faits et de preuves scientifiques qui démystifient complètement la panique suscitée par la Covid-19, mais je l’ai déjà fait dans plusieurs articles. Je pourrais parler du fait que 99,7% ou plus des gens ne sont pas en danger de mort à cause de la Covid et que seul un infime pourcentage des personnes hospitalisées à cause de la Covid ont des effets secondaires à plus long terme. Je pourrais mentionner le fait que les pays ayant des taux de vakxination élevés comme Israël ou l’Irlande ont également les taux d’infection les plus élevés et de nombreux décès de personnes entièrement vakxinées. Je pourrais aussi mentionner que l’immunité naturelle a été prouvée par des études menées dans des pays majoritairement vakxinés et qu’elle est supérieure en tous points à la vakxination. Les autoritaires ne veulent pas l’entendre.

En Nouvelle-Zélande et en Australie, autrefois bastions supposés de la démocratie et de la liberté occidentales, les citoyens sont désormais enfermés selon les caprices des bureaucrates au premier signe d’un test PCR positif. Je dis depuis des mois que si vous voulez voir l’avenir que l’establishment réserve aux Américains, il suffit de jeter un coup d’œil à des pays comme l’Australie, où l’on construit actuellement des camps de prisonniers Covid gérés par l’armée. Des gens ont même été arrêtés en essayant de s’échapper de ces camps. Non, ce n’est pas une théorie du complot, c’est un fait.

Dans ces camps, vous êtes sous le contrôle total du gouvernement. Comme dans n’importe quelle prison, ils vous nourrissent quand ils le veulent, ils limitent vos mouvements, ils vous isolent de vos amis et de votre famille, etc. Votre séjour dans les camps peut même être « prolongé » par les administrateurs sans contrôle s’ils estiment que vous vous êtes « mal comporté ». C’est vrai, il ne s’agit pas de savoir si vous êtes contagieux, il ne s’agit pas de science, il s’agit de savoir si vous êtes soumis.

Et vraiment, c’est tout ce que la réponse à la pandémie de Covid a toujours été.

Regardez une nation comme l’Autriche, qui a 65% de vakxination et des taux d’infection en constante augmentation. Ils ont décidé que les personnes non-vakxinées étaient à blâmer, donc ils ont ordonné à toute personne sans preuve de vakxination de se soumettre à des mesures de confinement. Après cela, les infections et les décès ont augmenté encore plus. Donc, au lieu d’admettre la conclusion évidente et logique (que les vakx1s ne fonctionnent pas, ou au moins, que les confinements ne fonctionnent pas), ils ont ordonné un confinement pour TOUT LE MONDE. Pourquoi ? Pour cacher le fait que les non-vakxinés ne sont pas le problème.

Pour être clair, le pic initial qui a déclenché les mesures de confinement en Autriche s’est élevé à environ 300 décès, dont la grande majorité chez les personnes âgées. En Autriche, les patients des maisons de retraite représentent environ 36 % de tous les décès dus à la Covid-19. Pour être clair, ils éliminent les libertés de 9 millions de personnes et étranglent leur économie pour un pic de 300 décès. Les gens meurent chaque jour en grand nombre d’une foule de maladies transmissibles. C’est une réalité, ce n’est pas quelque chose qui doit être utilisé comme une arme politique et sociale.

Pour aller plus loin, l’Autriche menace également d’adopter un projet de loi sur la vakxination obligatoire qui prévoit des amendes et des peines de prison pour les non-vakxinés. Le statut vakxinal sera déterminé par le gouvernement et des rappels pourront être exigés à tout moment. Ce n’est pas parce que vous êtes entièrement vakxiné aujourd’hui que vous serez considéré comme entièrement vakxiné demain. Cela ne s’arrêtera jamais.

Les données montrent que la vakxination ne fait rien ou presque pour ralentir les taux d’infection ou les décès réels ; il y a eu plus de décès Covid en 2021 qu’en 2020 malgré la prolifération des vakx1s cette année. Autrement dit, les vakx1s ont été introduits cette année et pourtant il y a eu plus de décès Covid que l’année dernière. N’est-ce pas étrange ?

Les médias grand public prétendent qu’il s’agit maintenant d’une « pandémie de non-vakxination ». Je suppose qu’ils devraient dire cela aux milliers de personnes entièrement vakxinées qui ont été infectées et aux centaines de personnes qui sont mortes dans des États comme le Massachusetts, où l’on suit réellement les cas d’épidémie. Bien sûr, les médias continuent de chanter les louanges des vakx1s malgré ces petits contretemps.

Si les vakx1s fonctionnaient réellement, il n’y aurait pas besoin de vakxinations obligatoires. Les personnes vakxinées seraient protégées et les personnes non-vakxinées assumeraient les risques individuels. La secte Covid ne semble pas saisir la logique ici – Soit les vakx1s sont efficaces et il n’est pas nécessaire de les rendre obligatoires, soit ils ne sont pas efficaces, ce qui signifie que les rendre obligatoires est inutile.

Mais encore une fois, la logique et la science ne sont pas le sujet – Le contrôle est le sujet. C’est un raisonnement sans fin pour un contrôle infini. Cela ne finira jamais.

La réalité est que l’agenda Covid n’a pas été si efficace que ça si l’on regarde la situation dans son ensemble. Si l’objectif est la vakxination à 100 % et le contrôle perpétuel des passeports de vakxination en utilisant des rappels réguliers comme mécanisme de domination à long terme (tyrannie médicale), alors jusqu’à présent le plan a échoué. Certains pays sont tombés dans le long hiver Covid, mais beaucoup d’autres ne l’ont pas fait. Presque tous les États conservateurs des États-Unis défient totalement les obligations vakxinales et les tribunaux fédéraux ont bloqué les tentatives de Joe Biden de contourner la constitution. Si les États rouges d’Amérique tiennent bon, cela donne de l’espoir aux autres. Alors, que reste-t-il à faire pour les tenants du pouvoir de l’establishment ?

C’est facile… ils font simplement plus de la même chose.

C’est là qu’intervient le variant Omicron, ce dont nous, les « théoriciens de la conspiration », avons averti ces deux dernières années. C’est la beauté du récit de la pandémie lorsqu’il s’agit de construire un régime autoritaire mondial ; les virus changent constamment et de nouveaux virus peuvent même être créés si nécessaire. Il y a donc toujours une nouvelle menace pour effrayer le public et toujours une nouvelle raison de l’enfermer chez lui ou de lui demander de renoncer à ses libertés. C’est un cycle vampirique sans fin qui draine lentement la liberté d’une population.

Mettons de côté le fait que les médecins qui ont découvert Omicron en Afrique du Sud l’ont étiqueté comme un variant léger de la Covid et non comme une menace significative pour le public. C’est parfaitement logique. Dans la grande majorité des scénarios de pandémie, les virus ont tendance à évoluer vers des versions légèrement plus infectieuses mais beaucoup moins mortelles que l’original. Mais cela n’empêche pas les médias et les scientifiques du gouvernement de hurler au meurtre à propos d’Omicron et même de suggérer que cette fois, la Covid « pourrait » évoluer pour devenir plus mortel plutôt que moins.

Cela doit être fait. Ils n’ont plus rien et s’ils perdent la Covid, ils perdent l’une des meilleures opportunités qu’ils aient jamais eues pour contrôler de manière centralisée presque tous les individus sur Terre.

La peur de la Covid s’estompe. Des centaines de millions de personnes ne sont pas prêtes à renoncer à leurs libertés pour une pandémie exagérée et farfelue avec un IFR de 0,27%. De nombreuses personnes vakxinées se battent contre les obligations aux côtés des non-vakxinés. La plupart d’entre nous ne sont pas obèses. La plupart d’entre nous n’ont pas 80 ans et ne sont pas dans une maison de retraite. La plupart d’entre nous n’ont pas de conditions préexistantes. Ce sont tous des facteurs qui constituent la majorité des décès dus à la Covid-19. Beaucoup d’entre nous ont déjà eu la Covid et y ont facilement survécu, ce qui signifie que nous avons une immunité naturelle qui est 13 à 27 fois plus efficace pour arrêter les infections futures que les vakx1s. Sans plus de battage et plus de variants, la fête s’arrête pour les globalistes, et ils n’aiment pas du tout cette idée.

Si le public est autorisé à sortir un instant de la brume de la propagande et à retrouver ses repères, il pourrait se rendre compte qu’il a été la cible d’une campagne de terreur massive. Il pourrait se mettre en colère. Ils pourraient exiger des enquêtes. Ils pourraient même exiger que des têtes de globalistes tombent. Préparez-vous donc à ce qu’Omicron fasse la une des journaux pendant des mois, puis à la prochaine mutation, à la suivante et à celle d’après. Les globalistes et les opportunistes politiques continueront à jouer la comédie jusqu’à ce qu’ils obtiennent ce qu’ils veulent, ou jusqu’à ce qu’ils soient complètement éliminés de l’équation. Cela ne finira jamais, à moins qu’ils ne finissent eux.

source : https://alt-market.us
traduction Hervé
via https://lesakerfrancophone.fr

La Nouvelle Normalité et le combat pour déterminer l’avenir de nos sociétés face à un totalitarisme mondial

par CJ Hopkins.

Le capitalisme mondial a donc franchi le Rubicon. La phase finale de leur plan qui vise à transformer la société en une dystopie totalitaire devenue pathologique — au sein de laquelle les injections obligatoires de thérapie génétique et les documents numériques qui attestent d’une bonne conformité à leur Nouvelle normalité sont monnaie courante — est à présent lancée de manière officielle.

Le 19 novembre 2021, le gouvernement de l’Autriche Nouvelle normalité a décrété qu’à partir de février, les injections expérimentales à ARNm seront obligatoires pour toute la population. Ce décret intervient alors que l’Autriche persécute officiellement les « non vakxinés », c’est-à-dire les dissidents politiques et autres personnes de conscience qui refusent de se convertir à la nouvelle idéologie officielle et de se soumettre à une série d’injections à ARNm, censées combattre un virus qui provoque chez environ 95 % des personnes infectées des symptômes grippaux légers à modérés — voire aucun symptôme d’aucune sorte — et dont le taux de létalité global est d’environ 0,1 % à 0,5 %.

L’Autriche n’est qu’à l’avant-garde de cette Nouvelle normalité. D’éminents fascistes néo-normaux allemands, comme le Führer de Bavière, Markus Söder, et le ministre de la Propagande, Karl Lauterbach, réclament déjà un allgemeine Impfflicht (c’est-à-dire une « obligation vakxinale »), ce qui ne devrait surprendre personne.

Les Allemands ne vont pas rester les bras croisés et laisser les Autrichiens les surpasser publiquement en matière de fascisme, n’est-ce pas ? Ils ont une réputation à défendre, après tout ! L’Italie sera probablement la prochaine à se joindre à eux, à moins que la Lituanie ou l’Australie ne les devance.

Mais, sérieusement, il ne s’agit que du début du Siège hivernal dont j’ai récemment parlé. Le plan semble être de « néonormaliser » l’Europe d’abord — les Européens sont en général plus dociles, respectueux de toute autorité et pas très bien armés — puis de l’utiliser comme levier pour imposer le nouveau totalitarisme devenu pathologique aux États-Unis, au Royaume-Uni et au reste du monde.

Je ne crois pas que ce plan réussira. Malgré la campagne de propagande la plus longue et la plus intensive de l’histoire de la propagande, nous sommes encore assez nombreux à refuser de manière catégorique de reconnaître la « Nouvelle normalité » comme notre nouvelle réalité.

Et beaucoup d’entre nous sont en colère, extrêmement en colère… et en colère de manière militante et explosive.

Nous ne sommes pas [forcément – NdT] des « hésitants de la vakxination » ou des « anti-vakx1s » ou des « théoriciens de la conspiration qui contestent les vakx1s ». Nous sommes des millions de gens de la classe ouvrière, des gens qui ont des principes, qui valorisent la liberté, qui ne sont pas prêts à se laisser aller doucement dans les ténèbres de la mondialisation pathologique et du totalitarisme.

Nous ne nous soucions plus de savoir si nos anciens amis et membres de la famille qui ont adopté la Nouvelle normalité comprennent de quoi il s’agit. Nous comprenons, nous, exactement de quoi il s’agit. Il s’agit d’une forme naissante de totalitarisme, et avant qu’elle ne devienne un mastodonte à part entière, nous avons l’intention de la tuer — ou du moins de sérieusement lui porter atteinte.

Maintenant, je veux être absolument clair. Je ne préconise ni ne tolère la violence. Mais elle va se produire. Elle se produit déjà. Le totalitarisme — y compris la version « pathologique » à laquelle nous avons affaire — est imposé à la société et maintenu par la violence. La lutte contre le totalitarisme passe inévitablement par la violence.

Dans les circonstances actuelles, ce n’est pas la tactique que je privilégie, mais maintenant que nous avons atteint ce stade, elle est inévitable et il est important que ceux qui se battent reconnaissent que la violence constitue une réponse naturelle à la violence — et à la menace implicite de violence — qui, à l’aide des masses qu’elles ont plongées dans une frénésie fanatique, est déployée contre nous par les autorités de la Nouvelle normalité.

Il est également important — essentiel, je dirais même — de rendre visible la violence de la Nouvelle normalité, c’est-à-dire d’encadrer ce combat en termes politiques, et non en termes pseudo-médicaux propagés par le récit officiel du Covid-19. Il ne s’agit pas d’un débat académique sur l’existence, la gravité ou la réponse à un virus. Il s’agit d’un combat qui détermine l’avenir de nos sociétés.

C’est ce fait, avant tout, que les classes dirigeantes du capitalisme mondial sont déterminées à dissimuler. Le déploiement de la Nouvelle normalité échouera si cette dernière est perçue comme politique — c’est-à-dire comme une forme de totalitarisme. Elle s’appuie sur notre incapacité à la voir pour ce qu’elle est vraiment. Par conséquent, elle se dissimule tout autant qu’elle camoufle la violence dont elle fait usage à travers un récit public pseudo-médical, ce qui l’immunise contre toute opposition politique.

Nous devons lui refuser cette citadelle perceptuelle, cet antre herméneutique. Nous devons la contraindre à se montrer telle qu’elle est, une forme de totalitarisme « pathologique ». Pour ce faire, nous devons la comprendre… elle, sa logique interne, ses forces et ses faiblesses.

Le totalitarisme pathologique

J’ai décrit la Nouvelle normalité comme un « totalitarisme devenu « pathologique » tout comme j’ai prédit depuis au moins mai 2020 que la « vakxination » obligatoire allait pointer le bout de son nez — voir, par exemple, Le nouveau totalitarisme devenu « pathologique » [en anglais – NdT].

J’utilise le terme « totalitarisme » à dessein, non pas pour faire de l’effet, mais par souci de précision. Quand bien même cette Nouvelle normalité n’est que le stade initial de ce totalitarisme, son essence est indubitablement évidente. J’ai décrit cette essence dans une récente chronique :

« L’essence du totalitarisme — quels que soient les costumes et l’idéologie qu’il arbore — se caractérise par un désir de contrôler complètement la société, et ce dans chacun de ses aspects, mais également de contrôler chaque comportement et pensée individuels. Tout système totalitaire, qu’il s’agisse d’une nation entière, d’une minuscule secte ou de toute autre forme de corps social, évolue vers cet objectif irréalisable […] la transformation idéologique totale et le contrôle de chaque élément de la société […] Cette poursuite fanatique du contrôle total, de l’uniformité idéologique absolue et de l’élimination de toute dissidence, est ce qui fait du totalitarisme le totalitarisme. »

En octobre 2020, j’ai publié The Covidian Cult [traduit en français ici – NdT], qui s’est depuis transformé en une série d’essais consacrés à l’examen du totalitarisme de la Nouvelle normalité en tant que « secte à grande échelle, dont la portée touche toute la société — en ce qu’elle est devenue pathologique ».

Cette analogie est valable pour toutes les formes de totalitarisme, mais plus particulièrement pour le totalitarisme de la Nouvelle normalité, en ce qu’il s’agit de la toute première forme globalisée de totalitarisme de l’histoire, et donc :

« Le paradigme secte/culture a été inversé. Alors qu’une secte existe habituellement sous forme d’îlot au sein de la culture dominante, la secte est devenue la culture dominante, et ceux d’entre nous qui n’ont pas rejoint cette secte forment désormais des îlots séparés à l’intérieur même de celle-ci. » [Comme une sorte d’Archipel inversé, en référence à l’ouvrage d’Alexandre Soljenitsyne – NdT]

Dans The Covidian Cult (Part III), j’ai noté :

« Afin de s’opposer à cette nouvelle forme de totalitarisme, nous devons comprendre en quoi elle ressemble et diffère des systèmes totalitaires antérieurs. Les similitudes sont assez évidentes — c’est-à-dire la suspension des droits constitutionnels, les gouvernements qui gouvernent par décret, la propagande officielle, les rituels de loyauté publique, la mise hors la loi de l’opposition politique, la censure, la ségrégation sociale, les escadrons d’élite qui terrorisent le public, etc. »

Et j’ai décrit comment le totalitarisme de la Nouvelle normalité diffère fondamentalement du totalitarisme du XXe siècle en termes d’idéologie, ou d’absence apparente d’idéologie.

« Alors que le totalitarisme du XXe siècle était plus ou moins national et ouvertement politique, le totalitarisme de la Nouvelle normalité est supranational et son idéologie est bien plus subtile. La Nouvelle normalité n’est pas le nazisme ou le stalinisme [encore que ces deux derniers en ont jeté les bases – NdT]. C’est le totalitarisme capitaliste mondialisé, et le capitalisme mondial n’a — techniquement — pas d’idéologie, ou plutôt, son idéologie se résume à la « réalité ». »

Mais la différence la plus significative entre le totalitarisme du XXe siècle et ce totalitarisme mondial naissant réside dans la manière dont le totalitarisme de la Nouvelle normalité « pathologise » sa nature politique, ce qui lui permet de ne pas être visible [en tant que tel – NdT] et donc d’être immunisé contre toute opposition politique.

Alors que le totalitarisme du XXe siècle affichait ouvertement sa politique, le totalitarisme de la Nouvelle normalité se présente avec les atours d’une réaction [soi-disant – NdT] non idéologique — c’est-à-dire supra-politique — à une [soi-disant – NdT] urgence de santé publique mondiale.

Et c’est donc ainsi que ses caractéristiques totalitaires classiques — par exemple, la révocation des droits et libertés fondamentaux, la centralisation du pouvoir, le règne par décret, le maintien de l’ordre oppressif de la population, la diabolisation et la persécution d’une sous-classe de « boucs émissaires », la censure, la propagande, etc. — ne sont pas cachées, car elles sont impossibles à dissimuler, mais sont recontextualisées dans un récit officiel pathologique.

Les untermenschen [les « sous-humains » selon la doctrine nazie – NdT] deviennent les « non-vakxinés ». Les insignes de boutonnière à croix gammée sont remplacés par des masques à l’apparence médicale. Les papiers d’identité aryens deviennent des « laissez-passer vakxinaux ». Les restrictions sociales irréfutablement insensées et les rituels d’obéissance publique obligatoires deviennent des « confinements », des « distanciations sociales », etc.

Le monde est uni dans une guerre totale à la Goebbels, non pas contre un ennemi extérieur (c’est-à-dire un ennemi racial ou politique), mais contre un ennemi intérieur, pathologique.

Ce récit officiel pathologique est plus puissant — et insidieux — que n’importe quelle idéologie, car il fonctionne, non pas comme un système de croyances ou une éthique, mais plutôt comme une « réalité » objective [il s’agit dans les faits d’une pseudo-réalité – NdT]. Vous ne pouvez pas argumenter avec ou vous opposer à la « réalité ». La « réalité » n’a pas d’opposants politiques.

Ceux qui contestent la « réalité » sont « fous », c’est-à-dire « théoriciens du complot », « anti-vakx1s », « négationnistes du Covid », « extrémistes », [voire terroristes – NdT] etc. Ainsi, le récit pathologique de la Nouvelle normalité pathologise [ce que le Dr. Andrzej M. Łobaczewski nommait la ponérisation de la société – Voir à ce sujet cet article fondateur – NdT] également ses opposants politiques, nous privant simultanément de toute légitimité politique et projetant sur nous sa propre violence.

Le totalitarisme du XXe siècle a également rejeté la responsabilité de sa violence sur ses boucs émissaires — juifs, socialistes, contre-révolutionnaires, etc. — mais il n’a pas tenté d’effacer sa violence. Au contraire, il l’affichait ouvertement dans le dessein de terroriser les masses. Le totalitarisme version Nouvelle normalité ne peut pas faire cela. Il ne peut pas être ouvertement totalitaire dans la mesure où le capitalisme et le totalitarisme sont idéologiquement contradictoires.

L’idéologie du capitalisme mondial ne peut pas fonctionner en tant qu’idéologie officielle au sein d’une société ouvertement totalitaire. Elle nécessite de simuler la « démocratie », ou au moins de singer la « liberté » basée sur le marché. Une société peut être intensément autoritaire, mais, pour être fonctionnelle au sein d’un système capitaliste mondial, elle doit accorder à son peuple la « liberté » de base que le capitalisme offre à tous les consommateurs, le droit/obligation de participer au marché, de posséder et d’échanger des marchandises, etc.

Cette « liberté » peut être conditionnelle ou extrêmement restreinte, mais elle doit exister dans une certaine mesure. L’Arabie saoudite et la Chine sont deux exemples de sociétés capitalistes globalisées ouvertement autoritaires qui ne sont néanmoins pas entièrement totalitaires en ce qu’elles ne peuvent pas être et rester une partie du système. Leurs idéologies officiellement affichées — c’est-à-dire le fondamentalisme islamique et le communisme — fonctionnent essentiellement comme des superpositions superficielles plaquées sur les fondements de l’idéologie capitaliste mondiale qui dicte la « réalité » dans laquelle chacun vit.

Ces idéologies « superposées » ne sont pas fausses, mais lorsqu’elles entrent en conflit avec l’idéologie capitaliste mondiale, on peut facilement deviner laquelle l’emporte.

Le fait est que le totalitarisme de la Nouvelle normalité — et toute forme de totalitarisme capitaliste mondial — ne peut pas s’afficher comme un totalitarisme en tant que tel, ni même comme un autoritarisme. Il ne peut pas faire état de sa nature politique. Pour exister, il ne faut pas qu’il existe.

Par-dessus tout, il doit gommer les traces de sa violence — la violence à laquelle en fin de compte toute politique se résume — et il doit nous apparaître comme une réponse essentiellement bienveillante face à une [soi-disant – NdT] légitime « crise sanitaire mondiale » — tout comme à une « crise du changement climatique », à une « crise du racisme », et à toute autre [soi-disant là aussi – NdT] « crise mondiale » dont le système capitaliste mondial pense qu’elle terrorisera les masses en les plongeant dans une hystérie aveugle et obéissante.

La différence la plus significative entre le totalitarisme de la Nouvelle normalité et le totalitarisme du XXe siècle est précisément liée à cette pathologisation du totalitarisme — et au conflit politico-idéologique dans lequel nous sommes engagés depuis 20 mois. L’ensemble de l’appareil capitaliste mondial — c’est-à-dire les entreprises, les gouvernements, les entités supranationales, les médias d’entreprise et d’État, les universités, etc. — a été mis au service de cet objectif.

Nous devons accepter ce fait. Nous en avons le devoir. Pas les adeptes de la Nouvelle normalité. Nous [qui n’en sommes pas – NdT].

Le système capitaliste mondial est sur le point de transformer la société en une dystopie totalitaire pathologique au sein de laquelle ils peuvent imposer des « thérapies » génétiques expérimentales, et tout autre type de « thérapies » qu’ils pourraient au demeurant juger opportunes, et nous contraindre à présenter les « documents qui attestent de notre conformité » [à la site Nouvelle normalité – NdT], lesquels nous permettent de mener les activités les plus élémentaires de la vie.

Cette métamorphose de la société est violente. Elle est menée par la force, avec violence et avec la menace omniprésente de la violence. Nous devons accepter cette réalité et agir en conséquence.

Ici, dans l’Allemagne Nouvelle normalité, si vous essayez de faire vos courses sans porter un masque à l’apparence médicale, la police armée vous fera sortir des lieux — et je dis cela d’après mon expérience personnelle. Dans l’Australie Nouvelle normalité, si vous allez à la synagogue, les médias seront alertés et la police vous encerclera. En Allemagne, en Australie, en France, en Italie, aux Pays-Bas, en Belgique et dans de nombreux autres pays, si vous exercez votre droit de vous réunir et de protester, la police vous arrose avec des canons à eau, vous tire dessus avec des balles en caoutchouc — et parfois même avec de vraies balles —, vous pulvérise des agents toxiques dans les yeux et vous roue littéralement de coups la plupart du temps.

Et ainsi de suite. Ceux d’entre nous qui se battent pour leurs droits et s’opposent à ce totalitarisme pathologique connaissent trop bien la réalité de sa violence et la haine qu’elle a fomentée au sein des masses [acquises à – NdT] la Nouvelle normalité.

Nous la vivons au quotidien. Nous la ressentons chaque fois que nous sommes obligés de porter un masque ou qu’un fonctionnaire — ou un serveur — exige de voir nos « papiers ».

Nous la ressentons lorsque nous sommes menacés par notre gouvernement, lorsque les médias, des médecins, des célébrités, des inconnus, nos collègues, nos amis et des membres de notre famille nous manipulent et nous diabolisent.

Nous décelons l’expression de leur regard. Nous nous souvenons d’où elle vient, et à quoi elle mène.

Ce n’est pas seulement de l’ignorance, de l’hystérie collective, de la confusion, une réaction excessive ou de la peur… ou, OK, oui, c’est tout cela, mais c’est aussi du totalitarisme classique — en dépit de la nouvelle mouture pathologisée. Totalitarisme 101 [Le terme « 101 » placé après un nom fait généralement référence à l’introduction basique d’un concept qui s’adresse aux néophytes sur le sujet – NdT].

Regardez-le en face, et agissez en conséquence.

Source : https://off-guardian.org
Traduction et emphases Sott.net
Reprise de l’article paru sur Reseau International

La guerre cognitive contre les peuples ?

Les gouvernements occidentaux de l’alliance militaire de l’OTAN développent des tactiques de « guerre cognitive » , utilisant les menaces supposées de la Chine et de la Russie pour justifier la conduite d’une « bataille pour votre cerveau » dans le « domaine humain » , pour « faire de chacun une arme. »

L’OTAN développe de nouvelles formes de guerre pour mener une « bataille pour le cerveau » , comme le dit l’alliance militaire.

Le cartel militaire de l’OTAN dirigé par les États-Unis a testé de nouveaux modes de guerre hybride contre ses adversaires autoproclamés, notamment la guerre économiquela cyberguerrela guerre de l’information et la guerre psychologique.

Aujourd’hui, l’OTAN met au point un tout nouveau type de combat qu’elle a baptisé « guerre cognitive« . Décrite comme une « militarisation des sciences du cerveau« , cette nouvelle méthode consiste à « pirater l’individu » en exploitant « les vulnérabilités du cerveau humain » afin de mettre en œuvre une « ingénierie sociale » plus sophistiquée.

Une étude de 2020 parrainée par l’OTAN1 sur cette nouvelle forme de guerre explique clairement : « Alors que les actions menées dans les cinq domaines sont exécutées afin d’avoir un effet sur le domaine humain, l’objectif de la guerre cognitive est de faire de chacun une arme. »

« Le cerveau sera le champ de bataille du 21e siècle », souligne le rapport. « Les humains sont le domaine contesté » et « les conflits futurs se produiront probablement parmi les gens numériquement d’abord et physiquement ensuite, à proximité des centres de pouvoir politique et économique. »

Dans une révélation qui fait froid dans le dos, le rapport dit explicitement que « l’objectif de la guerre cognitive est de nuire aux sociétés et pas seulement aux militaires. »

Ci-dessous une conférence du Dr James Giordano, professeur de neurologie et expert dans différents organismes sur les problèmes éthiques, juridiques posés par ces progrès sur la maîtrise du cerveau. Une conférence que chacun se doit d’avoir entendu pour mesurer les enjeux actuels (tests en-cours avec la gestion de cette soi-disant crise ?) ou au-moins d’avoir lu l’article de Ben Norton sur le même sujet.

https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/James-Giordano:7

🌊 Source de la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=N02SK9yd60s&t=118s&ab_channel=ModernWarInstitute
🌊 Source du rapport : https://www.innovationhub-act.org/sites/default/files/2021-01/20210122_CW%20Final.pdf
🌊 Source de l’article : https://thegrayzone.com/2021/10/08/nato-cognitive-warfare-brain/

📝 Transcript : https://textup.fr/590222Lx

💡 Notes :

🧐 L’article de Ben Norton : https://www.lachainehumaine.com/2021/10/guerre-cognitive-de-l-otan-une-bataille-pour-votre-cerveau/
🧐 Le rapport vierge : https://www.lachainehumaine.com/wp-content/uploads/2021/10/du-cluzel-guerre-cognitive.pdf
🧐 Le rapport surligné : http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_616f17567889e.pdf

La « monnaie numérique programmable » : La prochaine étape de la nouvelle normalité ?

par Kit Knightly.

La phase finale de la guerre contre l’argent liquide est arrivée : l’argent est remplacé par des coupons soumis à un contrôle total de l’État.

S’inspirant du modèle du bitcoin, les banques centrales envisagent de produire leurs propres « monnaies numériques ». En supprimant tout ce qui reste de vie privée, en s’octroyant un contrôle total sur chaque transaction, en limitant même ce pour quoi les gens ordinaires sont autorisés à dépenser leur argent.

Dès l’apparition du bitcoin et d’autres crypto-monnaies, vendus comme un moyen d’échange indépendant et alternatif en dehors du statu quo financier, ce n’était qu’une question de temps avant que cette nouvelle alternative ne soit absorbée, modifiée et redéployée au service de l’État.

Voici les « monnaies numériques des banques centrales » : la réponse grand public au bitcoin.

Pour ceux qui n’en ont jamais entendu parler, les « monnaies numériques des banques centrales » (CBDC en anglais) sont exactement ce à quoi elles font penser, des versions numérisées de la livre/dollar/euro, etc. émises par les banques centrales.

Comme le bitcoin (et d’autres crypto-monnaies), la CBDC serait entièrement numérique, ce qui contribuerait à la guerre actuelle contre l’argent liquide. Toutefois, contrairement aux crypto-monnaies, elle ne comporterait aucun cryptage préservant l’anonymat. En fait, ce serait totalement l’inverse, ce qui pourrait mettre fin à l’idée même de confidentialité financière.

Il se peut que vous n’ayez pas beaucoup entendu parler des plans des CBDC, perdus comme ils le sont dans l’enchevêtrement de la « pandémie » en cours, mais la campagne existe bel et bien, et se poursuit dans les coulisses depuis des mois. Aujourd’hui même, Reuters et le Financial Times ont publié des articles à ce sujet. C’est une longue et lente escroquerie, mais une escroquerie quand même.

Les pays où l’idée a le plus progressé sont la Chine et le Royaume-Uni. Le yuan numérique chinois est en cours de développement depuis 2014 et fait l’objet de tests continus et généralisés. Le Royaume-Uni est loin d’avoir atteint ce stade, mais le chancelier Rishi Sunak s’efforce de promouvoir une livre numérique que la presse appelle « Britcoin ».

D’autres pays, dont la Nouvelle-Zélande, l’Australie, l’Afrique du Sud et la Malaisie, ne sont pas loin derrière.

Les États-Unis étudient également cette idée. Jerome Powell, directeur de la Réserve fédérale, a annoncé la publication prochaine d’un rapport détaillé sur le « dollar numérique ».

L’émission d’un euro numérique pour les particuliers est aussi à l’étude.

Les propositions relatives au fonctionnement de ces CBDC devraient suffire à déclencher des signaux d’alarme, même dans les esprits les plus confiants.

La plupart des gens n’apprécieraient pas l’idée que le gouvernement surveille « toutes les dépenses en temps réel », mais ce n’est pas le pire.

L’idée de loin la plus dangereuse est que toute future monnaie numérique devrait être « programmable ». Cela signifie que les personnes qui émettent l’argent auraient le pouvoir de contrôler la façon dont il est dépensé.

Il ne s’agit pas d’une interprétation ou d’une « théorie du complot », il suffit d’écouter Agustin Carstens, directeur de la Banque des règlements internationaux, s’exprimant plus tôt cette année:

Reprenons cette citation, en la soulignant :

« La différence essentielle [avec une CBDC] est que la banque centrale aurait un contrôle absolu sur les règles et règlements qui détermineront l’utilisation de cette expression de la responsabilité de la banque centrale, et qu’elle disposerait de la technologie nécessaire pour les faire appliquer ».

…ce qui vous indique non seulement qu’ils veulent et recherchent ce pouvoir, mais aussi comment ils le justifient pour eux-mêmes. Ils transforment l’argent des autres en une « expression de leur responsabilité », et considèrent donc qu’il est normal qu’ils le contrôlent.

Un article paru dans The Telegraph, en juin dernier, était tout aussi franc [c’est nous qui soulignons] :

« L’argent numérique pourrait être programmé de manière à ce qu’il ne soit dépensé que pour des produits de première nécessité ou des biens qu’un employeur ou un gouvernement considère comme raisonnables ».

L’article cite ensuite Tom Mutton, un directeur de la BoE :

« Vous pourriez introduire la programmabilité […] Cela pourrait avoir des effets bénéfiques sur le plan social, en empêchant une activité qui est considérée comme socialement nuisible d’une certaine manière ».

Les gouvernements et les employeurs s’assurent que l’argent qu’ils émettent ne peut être utilisé que pour des choses « raisonnables », et non pour des activités « socialement nuisibles » ? Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour voir comment ce système pourrait évoluer et transformer la société en un véritable cauchemar dystopique.

En Chine, le processus a déjà commencé, avec un manque de subtilité caractéristique. Alors qu’ils progressent vers la mise en circulation de leur monnaie numérique, ils interdisent toutes les crypto-monnaies pour éliminer la concurrence et il est déjà connu que le yuan numérique sera programmable.

L’approche de l’Occident sera probablement moins directe, mais pas moins contraignante pour autant.

Le Britcoin ne sera probablement introduit que dans des « circonstances particulières ». À commencer, comme le dit The Telegraph, par les prestations de l’État. Elles seront marquées pour n’être dépensées qu’en « produits de première nécessité ». (Bien sûr, si le revenu de base universel est mis en place, alors il est possible que la majorité des gens se retrouvent avec des « prestations de l’État »).

Il n’est pas difficile non plus de voir l’argent programmable alimenter le récit de la « protection du NHS », où les gens ne sont pas autorisés à dépenser l’argent de l’État en sucre, cigarettes ou alcool. Ou encore, les personnes inscrites sur les listes d’attente d’organes, ou diagnostiquées avec certaines maladies, voient leurs salaires et leurs dépenses contrôlés.

Dans l’ensemble, cependant, la nature de la tyrannie britannique est d’être officieuse. Ainsi, le gouvernement britannique fera tout un plat pour renoncer à son propre pouvoir de programmer l’argent, se démarquant ainsi positivement de la Chine… mais il ne prendra aucune mesure pour empêcher les grandes entreprises de « programmer » les salaires qu’elles émettent.

Ainsi, alors que l’État contrôle le yuan numérique en Chine, la livre numérique sera soumise au contrôle des entreprises et utilisée pour mettre en œuvre le partenariat tacite entre l’État et les entreprises qui définit le véritable fascisme.

Cela commencera probablement par de petites mesures prévisibles destinées à « limiter la concurrence ». McDonald’s, par exemple, fera en sorte qu’il soit impossible de dépenser son salaire chez Burger King, et vice versa. Coke et Pepsi. Starbucks et Costa. Vous voyez l’idée.

Nous avons assisté à la montée de la « cancel culture », un âge culturel de la politique identitaire et du « virtue signalling ». Eh bien, imaginez comment la monnaie programmable s’intègre dans tout ça. Les entreprises pourraient s’engager à « combattre la haine », et empêcher leurs employés de donner de l’argent à des partis politiques, des groupes religieux, des organisations caritatives ou des individus figurant sur une liste noire.

À l’ère du Covid, nous avons vu comment les auteurs/acteurs/chanteurs qui sortent du rang font l’objet d’une chasse aux sorcières dévastatrice, mais imaginez un monde où les entreprises pourraient « renoncer à ceux qui répandent la désinformation », en rendant impossible de dépenser les salaires qu’elles émettent pour des œuvres d’art/films/musique/livres de critiques virulents du gouvernement.

Peut-être que les entreprises feront en sorte que les employés non vaccinés soient soumis à davantage de restrictions salariales que les employés vaccinés. Peut-être qu’un salaire de personne non vaccinée ne pourra pas être dépensé dans les cinémas ou les boîtes de nuit, pour « arrêter la propagation du virus ».

John Cunliffe, directeur adjoint de la Banque d’Angleterre, a déclaré au Telegraph :

« On pourrait imaginer des contrats intelligents dans lesquels l’argent serait programmé pour n’être libéré que si quelque chose se produit ».

Peut-être les employeurs supprimeront-ils complètement le choix et feront-ils d’un test négatif et/ou d’un rappel de vaccin une condition préalable au déblocage de votre salaire. Cela pourrait s’appliquer à toutes sortes de comportements à l’avenir.

Le Forum économique mondial a une vision claire de l’avenir où les gens « ne possèdent rien et sont heureux ». Si l’on combine cela avec une guerre prolongée contre l’accession à la propriété, on peut imaginer que les employeurs et les gouvernements émettent de l’argent qui peut être dépensé pour payer un loyer, mais pas une hypothèque.

Imaginez maintenant le « Green New Deal » naissant. Des limites strictes sur la quantité d’argent que vous pouvez dépenser en essence, plastique ou viande.

Seulement X dollars par an pour les vols. Seulement Y livres sur le bœuf. Tout cela pour le bien de la planète.

L’argent, qui était une expression de l’indépendance, ne sera plus qu’un système de coupons entièrement soumis aux caprices des multinationales.

Nous sommes en 2030.
Pour réduire votre empreinte CO2, votre achat de nourriture avec de l’argent numérique
a été refusé parce que vous avez dépassé la limite de kilométrage de votre voiture.
Tout cela est suivi grâce à votre identité numérique.
15 points de crédit social ont été déduits de votre passeport pour le changement climatique.

Tout cela aurait ressemblé à de la paranoïa débridée il y a seulement deux ans, mais seriez-vous honnêtement surpris de voir cette suggestion dans The Guardian, ces jours-ci ?

Une monnaie numérique programmable aurait, codée en elle, la capacité de contrôler toute notre société. Et il semble que c’est là que la Nouvelle Normalité se dirige.


source : https://off-guardian.org

via https://cv19.fr

Appel aux personnes qui suivent les consignes sanitaires.

Partagez cette vidéo à toutes les personnes qui, avec les meilleures intentions du monde, croient bien faire. Et si nous en discutions sereinement dans la logique démocratique plutôt que d’exclure, censurer et dénigrer ?

Comme je l’ai écris dans mon texte Nouvelle terre, du Corona à l’apocalypse“, je rends hommage à toutes les personnes qui résistent en cette période à la peur, à la folie et la montée du totalitarisme.

Cela demande des compétences particulières aujourd’hui de résister avec calme et sagacité au mépris social, au harcèlement, au rejet, à l’agressivité dès lors qu’on fait valoir le droit à notre intégrité physique, au doute et au principe de précaution.

Quelles sont ces compétences particulières ?

Du bon sens certes mais aussi de l’intelligence émotionnelle, la vraie celle qui nous permet de sortir de la prison du cerveau limbique qui nous ramène à l’instinct grégaire d’un animal de meute tantôt loup, tantôt mouton et dans tous les cas pigeon dans les mains machiavéliques et faussement paternelles des gouvernements et des big pharma et leur recherche sans fin de profits.

Si vous êtes de celles et ceux sceptiques devant de telles affirmations, je vous invite vivement à visionner ici mon choix de vidéo et articles qui risquent de vous ébranler quelque peu.

Vous qui ne regardez que les informations des médias traditionnels, voici un choix synthétique des meilleurs contre arguments, ceci afin de vous permettre d’acquérir une vue équilibrée de la situation.

Et permettez-moi de vous poser la question : Où mettez-vous la limite ?

Où et quand mettrez-vous la limite pour comprendre que cette crise n’a rien de sanitaire et dire “ça suffit” ?

Est ce au 3ème confinement, ou au 4ème ?

Sera-ce à la 3° dose obligatoire pour avoir votre pass, ou à la 4ème, la 5ème , la x ème tous les 4 mois ?

Sera-ce quand vous verre l’hécatombe autour de vous dû à ces injections (qui commence à se voir) et qu’on vous dira que cela n’a rien à voir, que ce sont des phémonènes sans causalité et que c’est sans doute un autre variant qui en est responsable ?

Sera-ce quand les nouveaux nés devront être vaccinés alors qu’ils ont 100 fois plus de chance de mourrir du vaccin que du virus ?

Sera-ce quand vous verrez des non vaccinés privés de tous leurs droits et mis dans des camps pour non vacinés “pour les protéger” ?

Sera-ce quand vous comprendrez, trop tard, que vous êtes tracé, traqué numériquement et que l’accès à certains droits vous seront refusés en fonction de votre statut médical ou du bon vouloir du gouvernement, comme en avec le “crédit social” en chine ?

Quand allez-vous enfin cesser que l’on vous prenne un(e) imbécile, tout juste bon à obéir jusqu’à vous détruire la santé et à remplir les poches de Big Pharma et des GAFAM ?

Il est encore temps de vous réveiller.

Pour vous gardiens du vivant, du bon sens, de la dignité et de l’humanité, voici ma sélection actuelle de 4 informations minimales à connaitre pour résister avec intelligence à la bouffée délirante actuelle.

Le choix a été difficile, tant les médecins, experts et intellectuels de bon sens sont nombreux a déconstruire le narratif de la peur.

La suite sur ce lien

« Liberté » le documentaire à voir et diffuser de toute urgence

Je vous invite à visionner ce documentaire très intéressant et très touchant qui fait intervenir un certain nombre de personnes travaillant dans le secteur de la santé qui refuse le vaccin et dont la vie professionnelle pourrait basculer ce 15 septembre.

Si la liberté est la requête commune à toutes ces personnes, la crainte de se faire injecter un produit dont on ne sait rien et qui semble poser d’innombrables questions est aussi omniprésente.

Ce film est rythmé par l’intervention de scientifiques (comme Christian Velot) qui expliquent les dangers de cette injection qui est pour l’instant dans sa phase expérimentale.

Lien alternatif sur Odysee

Si vous ne deviez écouter que quelques minutes, je vous recommande le passage dès 48’37.Le projet a été initié par le Collectif BLOUSES BLANCHES. Celui-ci a contacté Magà Ettori pour réaliser un documentaire sur la situation sans précédent des soignants.
Le Collectif est très inquiet par l’annonce faite par le chef de l’Etat français du 12 juillet 2021 sur l’obligation vaccinale pour les soignants, ainsi que l’extension du pass sanitaire.
Applaudis lors de la première vague de la pandémie, décorés sur les Champs-Elysées un an plus tard, les soignants sont à présents stigmatisés par une grande partie de la population. Le gouvernement leur donne jusqu’au 15 septembre pour se résigner et se vacciner, a défaut de quoi ils seront mis à pied puis licenciés. Emmanuel Macron a monté le ton pour accélérer la vaccination, provoquant par son intransigeance un mouvement de protestation sans précédent au coeur de l’été 2021.

Source: blog de Liliane Held-Khawam que vous êtes invités à consulter pour y trouver d’autres vidéos qui alertent sur les dangers de la protéines Spike

Le pass sanitaire c’est la première expérience de crédit social dans le monde démocratique

L’usage du pass sanitaire se généralise dans le monde. Éric Verhaeghe, énarque et auteur du livre «Le Great Reset: mythes et réalités» (Éd. Culture & Racines), explique au micro de Rachel Marsden que c’est la première étape d’un projet de contrôle étatique mondialiste.

Le site d’Eric Verhaeghe: le courrier des stratèges

Voir sur son site: 10 mesures urgentes pour en finir avec le COVID en 2022

Qu’est-ce que le Great Reset recherche vraiment avec le pass sanitaire ?

Mais en quoi le Great Reset a-t-il vraiment besoin du passe sanitaire pour se mettre en place ? Cette question dont on pressent l’importance grandissante depuis plusieurs semaines, et qui s’impose aujourd’hui comme la charnière explicative des politiques publiques, donne lieu à de nombreuses supputations.

Il ne suffit en effet pas d’écouter les discours de la caste appelant tous à une ségrégation contre les non-vakxinés pour comprendre l’intention fondamentale de cette innovation. C’est en plongeant dans l’un de tes blogs de l’entreprise transnationale française Thalès que l’on comprend la stratégie d’ensemble qui se met en place, et les étapes qui suivront.

Peut-être vous êtes-vous demandé, comme moi, quelle mouche avait brutalement piqué Emmanuel Macron le 12 juillet lorsqu’il a annoncé la mise en place d’un pass sanitaire restreint dès le mois d’août. Il est encore trop tôt pour avoir toutes les réponses aux questions qui peuvent se poser, notamment sur le poids exact de l’industrie pharmaceutique dans les décisions politiques (on pense ici aux disparitions étonnantes de certains chefs d’État hostiles à la vakxination, qui laissent à penser que des méthodes de persuasion parfois assez violentes sont utilisées dans le milieu… l’Histoire éclaircira ces affaires).

Les langues commencent toutefois à se délier dans les milieux industriels, et ce qu’on apprend ne manque pas d’intérêt.

Thalès au cœur du pass sanitaire

C’est en allant sur le blog de l’entreprise Thalès (en anglais) qu’on comprend dans quelle cohérence d’ensemble s’inscrit cette première étape du capitalisme de surveillance qui s’appelle le pass sanitaire. Thalès entend en effet proposer une solution globale d’identité numérique et nous expose avec une forme de naïveté comment ce projet va se décliner.

Thalès écrit donc :

« Les passeports vakxinaux joueront un rôle-clé dans la capacité des citoyens à accéder à toutes sortes de services et agiront comme des précurseurs au passage vers l’identité numérique sur téléphone portable ».

Le pass sanitaire est donc un « précurseur » ! L’anticipation d’un système généralisé où l’identité ne sera plus établie par un document officiel « autonome » comme une carte d’identité, mais bien par un « portefeuille » numérique conservé sur un cloud et une application dont l’archivage échappera à l’utilisateur.

Autrement dit, il s’agit de nous habituer à changer de mode d’établissement de notre identité.

Un portefeuille digital pour accéder aux services publics

Sur le fond, Thalès ne cache pas l’ambition « centrale » du pass sanitaire, qui est de devenir une plate-forme d’accès aux différents services publics disponibles sur Internet. Pour ce faire, le pass sanitaire repose sur un « wallet », un portefeuille numérique, pour lequel la Commission européenne a d’ores et déjà posé les bases.

« Dans tous les cas, le déploiement du portefeuille digital – initialement pour le permis de conduire – fonctionnera comme une plateforme d’accès et des piliers pour d’autres services publics vitaux, comme les passes sanitaires ».

On comprend donc que le passe sanitaire est la face émergée d’un iceberg technique qui se constitue progressivement, et qui va bouleverser la notion d’identité « administrative ». Désormais, les citoyens seront directement gérés par un Big Data qui permettra de leur donner accès à certains lieux ou à certains services par le contrôle de l’intelligence numérique.

Quand le portefeuille digital remplacera le passeport

Dans la palette de services que « l’ID numérique » devra rendre, on trouve en particulier le remplacement en bonne et due forme du bon vieux passeport actuel. Celui-ci sera bientôt rangé aux oubliettes de la préhistoire et remplacé par une application sur un téléphone, où toutes les données individuelles seront centralisées.

« Enfin et pas des moindres, l’identité digitale européenne permettra aux citoyens d’utiliser leurs documents à travers tout le continent ».

On se souvient que l’Europe s’était fondée sur l’aspiration à un continent sans frontière et sans contrôles d’identité. Subrepticement, on est passé à une Europe avec des contrôles universels poussés à un point inconnu jusqu’ici. C’est sans doute le progrès des Lumières qui veut ça.

Portefeuille digital et euro numérique

Mais c’est une autre fonctionnalité du « wallet » qui doit retenir l’attention, car elle rejoint le projet d’euro numérique que nous avons évoqué cette semaine. Il s’agit de l’utilisation du portefeuille digital comme moyen de paiement.

« Cela devient exaltant de penser que le portefeuille digital peut héberger à la fois une identité numérique et des moyens de paiement. Ceci permettrait aux gens, par exemple, de payer une caution pour un nouvel appartement ou de régler une amende pour excès de vitesse directement depuis un smartphone ».

On y vient, donc : le pass sanitaire devrait déboucher sur une ramification future, le paiement en ligne, par exemple des impôts ou des amendes. Ou du loyer. Ou des traites sur en emprunt bancaire…

Bref, si l’on se souvient que l’euro numérique serait à la main complète de la Banque centrale européenne, l’espace de liberté qui restera au consommateur pour arbitrer ses dépenses va devenir de plus en plus contraint. Du propre aveu de Thalès, en effet, l’État saura tout de vous, y compris de votre situation financière ou bancaire.

La porte ouverte au crédit social

On va bien dans quel état de dépendance ce système entreprend, sans que ce projet ne soit publiquement explicité auprès des citoyens, de placer les individus. Se met en place une architecture qui rendra possible le « crédit social » à la chinoise : le wallet contiendra des marqueurs indiquant qui n’a pas payé ses impôts, ou ses dettes, qui a roulé trop vite, qui a tardivement réglé sa pension alimentaire. Et si le marquer apparaît, l’individu sera interdit d’accès à certains services, ou à certains achats.

Peu à peu, il sera marginalisé, sans possibilité de s’y opposer.

C’est bien à cela que sert le pass sanitaire. Il n’est pas une fin en soi. Il est un début, un précédent, une mise en bouche. Vous savez désormais dans l’attente de quoi il sera maintenu après le 15 novembre.


source : https://lecourrierdesstrateges.fr

Une conférence inspirante de Louis Fouché: « La joie au temps du corona »

Conférence de Louis Fouché – Le 11 Août 2021 à 19h00 – Aux Ateliers de la Côte (en Suisse), co-animé par la journaliste Isabelle Alexandrine Bourgeois et l’ingénieur et arboriculteur Matthias Faeh.
Quelle soirée! Inoubliable, vraie, intense, bouleversante! Personne n’en est ressorti sans un supplément d’âme que seul l’extraordinaire Louis Fouché sait insuffler à son entourage, ses lecteurs et auditeurs. Tout n’était que bienveillance et simplicité dans la salle des Ateliers de la Côtes.
Homme de paroles, au propre comme au figuré, Louis Fouché est l’un des êtres les plus inspirants révélé autour de la crise actuelle.
Après le célèbre roman « L’ Amour aux temps du choléra » du Colombien Gabriel García Márquez, prix Nobel de littérature, voici une conférence offerte par le médecin humaniste Louis Fouché sur « la joie au temps du Corona », le thème au coeur de la vie de la journaliste nomade Isabelle Alexandrine Bourgeois. Cet anesthésiste et réanimateur français, ambassadeur de l’affirmation de l’éthique en soi, de la protection du vivant par la non-violence et par la solidarité, ce réanimateur des réseaux humains par le bon sens et la sagesse, cet amoureux du collectif intelligent, pourrait lui aussi recevoir, et sans rougir, un Prix Nobel pour la Paix.
Le Dr. Louis Fouché est, à sa manière, la plus belle incarnation de cet « homme nouveau » qui naît aujourd’hui sur notre planète. Il est aussi encadré par Matthias Faeh, agriculteur, arboriculteur et ingénieur qui s’engage depuis des années par un retour de la conscience dans le monde agricole et au-delà. *** Avec ma caméra, mon micro et mes crayons, je pars en reportages autour du monde partager la joie de ceux qui positivent et cultivent l’enthousiasme. Je donne également des ateliers « Trace ta route de la joie » pour petits et grands, dans les écoles, les maisons de jeunes ou de retraite. Je projette mon film « La route de la joie » dans tout espace public, suivi d’une conférence.

Suivez mes aventures sur mon blog: www.joyfortheplanet.org Joy for the Planet est une association à but non-lucratif qui propose de partager, sous forme journalistique ou autre, le meilleur de l’homme.
Le film « La route de la joie » que j’ai réalisé en 2018 est mis gratuitement à disposition des écoles. Je donne également des ateliers dans les écoles intitulés « Trace ta route de la joie » pour les enfants et les adolescents.

La route de la joie: https://youtu.be/WNIEbVThVBw http://www.joyfortheplanet.org https://www.lesateliersdelacote.ch/ta… https://reinfocovid.fr/ https://unnotremonde.fr/ https://lalettreinfinie.ch/
Merci de sauter l’entre acte de 30 minutes. Si vous n’êtes pas intéressés par la prise de parole du public qui dure 1 heure, replacez-vous à la minute 3:19:50 pour les dernières 10 minutes.

La résistance au 21e siècle est-elle encore possible ?

Mika Denissot

La résistance au 21e siècle en France est-elle encore possible ?
Depuis ces deux dernières années, les mouvements de résistants ne sont pas nombreux en France (et dans d’autres pays du monde) dû à la pression politique du gouvernement, et le déploiement massif des fausses informations des médias de masse sur les réseaux sociaux qui jouent un rôle important pour empêcher toute tentative de résistance, guerre ou combat.
Chez les Français en particulier (mais aussi dans d’autres les pays du monde), y a plus de soumission que de résistance.

Alors oui, parfois on voit des débuts de résistance, une action par-ci par-là, un déploiement sur les réseaux qui donne l’impression d’un déploiement de mouvement de résistants, une sensation d’organisation puis tout s’arrête. Ce manque de résistance, de mouvement, d’organisation en réseaux, cette soumission, de mon point de vue, est fondé sur un manque de valeurs profondes et spirituelles concernant le sens de la vie. Et nous savons qu’en France le sens de la vie n’est pas forcément une question mise en avant, plaçant la spiritualité dans un rang loin derrière, empêchant in fine toute libération et déploiement de son âme.
Et plus loin, comment entrer en résistance, suivre des mouvements si au préalable je ne sais pas pourquoi je me lève chaque matin ?
À quoi correspond chaque début de journée ?
Quelles intentions va créer mon histoire aujourd’hui et mon histoire globale ? Et plus loin quel est mon rôle dans ce pays puis dans ce monde ?

Sans avoir répondu à cette question du sens, à mon avis il n’est pas possible d’avoir cette énergie de résistance face à l’oppression politique. La résistance pour moi, (résistance qui a pour intention la libération d’un point de vue holistique), au vu de la guerre silencieuse qu’il y a entre le gouvernement Français par exemple et les Français résistants ou pas, c’est cette capacité à dépasser cette peur de la mort d’un point de vue holistique. Celui qui n’a plus peur de mourir dans son ensemble, est inattaquable. Faire partie des résistants et entrer en résistance au 21e siècle, c’est avoir cette capacité à dépasser toutes ses propres « morts » dans sa vie (confort, image de soi etc.), à être prêt à mourir pour sa liberté.
Celui qui s’est affranchi de la mort devient une réelle menace pour la société, car la seule arme que les gouvernements, la seule l’armée qu’elle a sur ses esclaves, c’est la peur de la mort. Si vous habitez en France et que vous voulez entrer en résistance, il est nécessaire de rejoindre un réseau ou une organisation de résistants, de préférence en France pour pouvoir vous mettre en action dans cette guerre du peuple silencieux contre la libération de nos êtres. Seul vous n’êtes pas assez résilient et n’aurez pas assez de force de résistance face à l’armée de médias construits comme un réseau solide de contre résistants en face de vous. Seul, face à l’armée de dirigeants qui mènent une politique autoritaire pour gagner cette guerre silencieuse qui marque un nouveau virage dans notre histoire que ce soit en France ou dans les autres pays, vous n’aurez pas assez de forces physiques et mentales… Alors oui, la résistance, c’est la libération de la peur de la mort d’un point de vue holistique. La résistance c’est aussi comprendre que chacun d’entre nous à un rôle à jouer dans cette guerre sournoise. La résistance c’est créer une armée de lumière, un réseau d’hommes et de femmes de toute tradition, nation et pas seulement de Français et française, pour mettre en place un plan d’action d’un petit réseau d’abord, puis local, puis national et tout fait pour garder notre régime démocratique, pour empêcher ces règles liberticides et pour ne pas sombrer dans des régimes communistes où quel que soit tout autre régime politique qui rendrait toute la zone Europe et Française en particulier invivable. C’est cela la résistance !

Lettre ouverte aux non vakxinés » de huit scientifiques canadiens

Posted by Jean-Dominique Michel 

A l’heure où la France a basculé dans la tyrranie suite à la démission de son « Conseil constitutionnel » de remplir sa mission d’être garant des droits et libertés fondamentales, je re-publie traduite par mes soins et in extenso la lettre ouverte publiée par le Pr Denis Rancourt et sept autres scientifiques canadiens. Il paraît presque […]OLDERNEWER

A l’heure où la France a basculé dans la tyrranie suite à la démission de son « Conseil constitutionnel » de remplir sa mission d’être garant des droits et libertés fondamentales, je re-publie traduite par mes soins et in extenso la lettre ouverte publiée par le Pr Denis Rancourt et sept autres scientifiques canadiens.

Il paraît presque lointain le temps où les endoctrinés nous moquaient lorsque nous évoquions la perspective d’une société à la chinoise où les personnes et leurs corps seraient devenus la propriété des états (et des groupes qui les contrôlent). Se gaussaient avec force ricanements de la perspective d’une vakxination obligatoire avec un produit génique expérimental et d’un pass sanitaire établissant un véritable apartheid avec des citoyens de première et de seconde zone.

Nous y sommes désormais. Étant donné que cela n’a plus rien à voir avec une quelconque réalité sanitaire, il semble en effet s’agir un plan bien huilé qui se déroule au mépris de toute réalité.

Les « résistants » (oui, je continuerai à les appeler pour ce qu’ils sont face aux dirigeants et aux collaborateurs de cette dérive évidemment totalitaire) ont bien besoin de soutien, d’encouragement et de réconfort.

Les « élites » ayant vendu leur âme (cf. cette cohorte « d’éthiciens » qui viennent nous expliquer à quel point tout ceci est éthique alors que des « scientifiques » prétendent trouver que les opposants sont en quelque sort des démeurés) à nous de cultiver, entretenir et muscler la nôtre.

Oh, by the way, le Massachussets Institute of Technology (l’équivalent de l’EPFL en plus prestigieux) a mis en lumière qu’à l’inverse, les personnes sceptiques (qualité rationnelle faut-il le rappeler…) sont en moyenne plus éduquées et cultivées que ceux qui adhèrent aveuglément à des injonctions « sanitaires » de plus en plus aberrantes et liberticides. Et n’ont dans leur immense majorité aucun lien avec les théories complotistes : elles savent simplement se questionner sur la question complexe d’un rapport bénéfice – risque…

Quand il s’agira de remettre les « Corruption & Propaganda Awards », il y aura pléthore de nominés chez nous comme ailleurs.

D’ici là, veillons à rester pleinement lucides sur la réalité de ce qui se déroule, dont la trame semble (hypothèse forte) pertinemment résumée par le physicien et spécialiste de l’ « Intelligence Artificielle », Philippe Guillemant.

Le chercheur de l’OCLA, le Dr Denis Rancourt, et plusieurs collègues universitaires canadiens ont écrit une lettre ouverte pour soutenir ceux qui ont décidé de ne pas accepter le vakx1 C0VlD-19.

Le groupe insiste sur le caractère volontaire de ce traitement médical ainsi que sur la nécessité d’un consentement éclairé et d’une évaluation individuelle des risques et des bénéfices. Ils rejettent la pression exercée par les responsables de la santé publique, les médias et les médias sociaux et les concitoyens.

Le contrôle de notre intégrité corporelle pourrait bien être l’ultime frontière de la lutte pour la protection des libertés civiles.

Lettre ouverte aux non vackxinés

Tu n’es pas seul ! Au 28 juillet 2021, 29 % des Canadiens n’avaient pas reçu de vakx1 contre la COVID-19 et 14 % de plus n’avaient reçu qu’une seule injection. Aux États-Unis et dans l’Union européenne, moins de la moitié de la population est entièrement vakxinée, et même en Israël, le « laboratoire du monde » selon Pfizer, un tiers des personnes restent totalement non vakxinées. Les politiciens et les médias ont adopté un point de vue uniforme, faisant des non-vakxinés des boucs émissaires pour les difficultés qui continuent de se produire après dix-huit mois d’alarmisme et de confinement. Il est temps de remettre les pendules à l’heure.

Il est tout à fait raisonnable et légitime de dire « non » à des vakx1s insuffisamment testés pour lesquels il n’existe aucune science fiable. Vous avez le droit de faire valoir la souveraineté sur votre propre corps et de refuser les traitements médicaux si bon vous semble.

Vous avez raison de dire « non » à une atteinte à votre dignité, votre intégrité et votre autonomie corporelle. C’est votre corps, et vous avez le droit de choisir. Vous avez raison de vous battre pour vos enfants, contre leur vakxination de masse à l’école.

Vous avez raison de vous demander si un consentement libre et éclairé est possible dans les circonstances actuelles. Les effets à long terme sont inconnus. Les effets transgénérationnels sont inconnus. La dérégulation de l’immunité naturelle induite par le vakx1 est inconnue. Les dommages potentiels sont inconnus, car la déclaration des événements indésirables est retardée, incomplète et incohérente entre les territoires.

Vous êtes pris pour cible par les médias grand public, les campagnes d’ingénierie sociale du gouvernement, les règles et politiques injustes, les employeurs collaborateurs et le harcèlement sur les médias sociaux. On vous dit que vous êtes maintenant le problème et que le monde ne peut pas revenir à la normale si vous ne vous faites pas vakxiner. Vous êtes vicieusement visés en tant que bouc émissaire de la propagande et même les personnes qui vous entourent font peut-être pression sur vous. Rappelez-vous : ce n’est pas vous le problème.

Vous êtes accusé à tort d’être une usine pour les nouvelles variantes du SRAS-CoV-2, alors qu’en fait, selon des scientifiques de premier plan, votre système immunitaire naturel génère une immunité contre plusieurs composants du virus. Cela favorisera votre protection contre une vaste gamme de variants viraux et empêche toute propagation à qui que ce soit (contrairement au vakx1, NdT).

Vous avez raison d’exiger des études indépendantes évaluées par des pairs, et non financées par des sociétés pharmaceutiques multinationales. Toutes les études évaluées par des pairs sur l’innocuité et l’efficacité à court terme ont été financées, organisées, coordonnées et soutenues par ces sociétés à but lucratif ; et aucune des données d’étude n’a été rendue publique ou disponible pour les chercheurs qui ne travaillent pas pour ces entreprises.

Vous avez raison de remettre en question les résultats préliminaires des essais vakxinaux. Les valeurs élevées revendiquées d’efficacité relative reposent sur un petit nombre d’ »infections » déterminées de manière ténue. Les études n’étaient pas non plus en aveugle, où les personnes administrant les injections savaient ou pouvaient déduire si elles injectaient le vakx1 expérimental ou le placebo. Il ne s’agit pas d’une méthodologie scientifique acceptable pour les essais de vakx1s.

Vous avez raison dans vos appels à une diversité d’opinions scientifiques. Comme dans la nature, nous avons besoin d’une polyculture de l’information et de ses interprétations. Et nous n’avons pas cela en ce moment. Choisir de ne pas prendre le vakx1 laisse de la place à la raison, à la transparence et à la responsabilité. Vous avez raison de demander : « Qu’arrive-t-il ensuite lorsque nous abandonnons l’autorité sur notre propre corps ? »

Ne soyez pas intimidés. Vous faites preuve de résilience, d’intégrité et de courage. Vous vous rassemblez dans vos communautés, élaborez des plans pour vous entraider et défendez la responsabilité scientifique et la liberté d’expression, qui sont nécessaires à l’épanouissement de la société. Nous sommes parmi ceux qui sont à vos côtés.

Angela Durante, PhD

Denis Rancourt, Ph.D.

Claus Rinner, PhD

Laurent Leduc, PhD

Donald Gallois, PhD

John Zwaagstra, PhD

Jan Vrbik, PhD

Valentina Capurri, PhD

De quelle société voulons-nous ?

Ne nous trompons pas d’“ennemis”
Plus dangereux que le C0VlD, le virus de la division


Dans quel camp êtes-vous ? Êtes-vous pour ou contre le vaccin ? Pour ou contre le Pass sanitaire ? Qui sont vos alliés, et qui vos ennemis ?


Depuis bientôt un an et demi, la société se clive de plus en plus. Chaque camp projette le diable sur l’autre. Depuis le 12 juillet, la situation est encore pire. Dans les familles, dans les entreprises, les associations, partout, les gens commencent à se regarder de travers selon que l’autre est ou non du même bord que soi.
Un virus bien plus dangereux que le C0VlD est en train de détruire la société sous nos yeux : celui de la division, celui de l’étiquetage mutuel, du jugement, de la haine et de l’exclusion.
Si nous le laissons proliférer, dans quel monde allons-nous vivre demain ? Allons-nous laisser la société se couper en deux, avec une ligne de partage qui traversera chaque famille, chaque ville ou village, chaque commerce, chaque parti, chaque association ?
Un tel clivage ne peut avoir aucun gagnant. Peu importe le camp qui l’emporterait, ce serait l’esprit de division qui aurait triomphé et qui, demain, créerait de nouvelles lignes de fractures et poursuivrait sans fin le morcellement ainsi amorcé. Jusqu’à ce que tout le tissu social ne soit plus qu’un champ de ruines.
L’unité, seul remède à la division – que certains responsables politiques invoquent sans vraiment savoir de quoi ils parlent – ne peut exister qu’entre personnes ayant des convictions, des croyances, des pratiques différentes, mais sachant néanmoins se respecter mutuellement et vivre ensemble. Lorsque ces différences ne sont plus tolérées, comme actuellement, ce n’est pas l’unité qui règne, mais l’uniformité qui en est l’exact contraire, puisqu’elle détruit la diversité indispensable au vivant.
Si nous voulons trouver de véritables “ennemis” à combattre, mais cette fois pour rester unis et ne pas nous tromper de cibles, en voici quelques-uns, dont vous constaterez qu’aucun n’est une personne ni un groupe d’individus :
– L’esprit binaire vient en tête de liste, bien sûr, car il nous conduit à réduire la complexité des choses, des gens et des problèmes à des dualités simplistes, pour/contre, gentil/méchant, bon/mauvais, qu’on répartit en camps adverses. C’est lui qui donne naissance à l’esprit de division.
– La peur vient en second, qui a envahi la société depuis un an et demi : sa vibration émotionnelle toxique empêche de penser correctement, sans compter qu’elle empoisonne nos cellules et affaiblit notre immunité.
– Le besoin d’avoir raison suit juste après : la conviction d’être seuls détenteurs d’une vérité, sans accorder le moindre crédit à qui pense différemment. Le mental humain étant capable de justifier toutes les croyances, sans exception, les plus pertinentes comme les plus fausses, avoir raison ne prouve jamais qu’on soit dans le vrai. La vérité est plus vaste qu’aucun raisonnement.
– L’étiquetage qui parasite depuis un an le journalisme : étiqueter quelqu’un (complotiste, rassuriste, alarmiste…) permet de disqualifier cette personne sans même s’intéresser à ce qui motive son point de vue. Une fois étiquetée, elle en perd d’ailleurs son statut de personne à part entière : elle est réduite à une opinion, forcément erronée.
– La diabolisation du camp adverse, qui en découle naturellement : si l’autre ne pense pas comme moi, c’est qu’il est mauvais, qu’il a tort, qu’il est nuisible à moi-même et aux autres. Rapidement, on ne le voit plus vraiment comme un être humain d’ailleurs, plutôt comme un monstre, un ennemi à neutraliser.
– La conviction de faire ce qui est bon pour les autres, déjà dénoncée autrefois par Alice Miller1 dans son fameux livre C’est pour ton bien. Un proverbe touareg enseigne avec sagesse que « Ce qu’on fait pour les autres, sans les autres, c’est contre les autres ». Autrement dit, le « bien commun » ne peut résulter que d’un cheminement collectif.
– L’exclusion, qui est la conséquence logique de tout ce qui précède. Celui de l’autre bord a tort, il est mauvais, d’ailleurs il ou elle est …… (choisir son étiquette). Je sais mieux que lui ce qui est bon pour lui. Et s’il ne veut pas s’y plier, il ne reste qu’à l’exclure. Il ou elle l’aura bien cherché.


On pourrait certainement en trouver d’autres, mais nos véritables “ennemis” sont là, ils sont en nous. Il s’agit d’attitudes, de comportements que chacun de nous est susceptible d’arborer, quel que soit son camp, et qui sont une véritable gangrène pour le corps social que nous formons ensemble. Ces “ennemis”-là – ces poisons-là devrait-on dire – nous ne pouvons les guérir qu’avec ces antidotes à (re)découvrir que sont :
– Le dialogue, et en particulier la capacité à converser en bonne intelligence avec ceux et celles qui pensent autrement que nous, à nous ouvrir à leurs sources d’information, à leur expérience personnelle, leur parcours de vie, à tout ce qui les conduit à avoir aujourd’hui telle opinion, différente de la nôtre.
– La capacité à se remettre en question, à accepter que nul ne détient toute la vérité, la volonté d’aller examiner d’autres points de vue que le sien. Voire, celle de reconnaître que l’on avait en partie tort…
– L’acceptation de la complexité, car le monde n’est pas binaire, noir/blanc. Aucun problème ne peut se résumer à des 0 et des 1 : il y a d’infinies combinaisons, d’infinies nuances de gris.
– L’esprit d’inclusion, enfin, car l’autre, quelles que soient les opinions qu’il cultive, est un être humain comme moi, possédant les mêmes besoins fondamentaux, les mêmes aspirations essentielles, quelqu’un de bien moins différent de moi que nos idées ou croyances divergentes ne le laissent supposer en apparence.


Alors, qu’allons-nous combattre, au final ?
D’illusoires ennemis extérieurs, qui sont en réalité nos frères et sœurs en humanité, quitte à imposer à notre société l’une des divisions les plus profondes et les plus lourdes de conséquences de son histoire ?

Allons-nous laisser apparaître une guerre civile, des émeutes un peu partout, ou encore une nouvelle guerre de religion, opposant cette fois des croyances médicales2 à d’autres ?
Ou allons-nous plutôt nous occuper de nos propres ennemis intérieurs, nos peurs, nos vieux réflexes claniques, nos jugements, nos rejets ?

Surtout : quelle société nos choix vont-ils produire demain ?
Une société coupée en deux, déchirée d’un bout à l’autre par une fracture traversant toutes les couches sociales, les catégories professionnelles, les appartenances ? Un tissu social en lambeaux, traversé par la peur, le ressentiment, la haine, la honte ?
Ou une société aspirant à l’unité malgré ses différences et ses désaccords, recherchant ensemble, dans la diversité et le pluralisme retrouvés, des solutions aux défis actuels, sans exclure ni rejeter personne ?


Nous sommes à un tournant majeur de notre histoire. Ne nous méprenons pas sur ce qui est réellement en jeu ici, bien au-delà de seules questions sanitaires (ou politiques). C’est de notre avenir commun dont il est véritablement question, de la manière dont nous allons choisir notre façon de vivre ensemble, les uns avec (ou contre) les autres.
Certaines décisions ne sont pas de notre ressort, elles sont dans les mains de ceux qui nous dirigent, pour le meilleur ou pour le pire.


D’autres, en revanche, ne dépendent que de nous, individuellement et collectivement. Personne ne peut nous contraindre à étiqueter, à juger, à rejeter, à haïr ou à exclure. Personne. Tous et toutes nous pouvons faire le choix du dialogue, de la rencontre, de l’ouverture à celles et ceux qui pensent autrement, qui ont d’autres convictions, d’autres pratiques. Nous pouvons refuser la division, refuser l’exclusion, être solidaires les uns des autres, par delà nos opinions divergentes.


Il n’y a pas des vaccinés d’un côté et des non-vaccinés de l’autre. Il y a seulement des êtres humains, hommes, femmes et enfants, qui aspirent tous à vivre en bonne intelligence les uns avec les autres, à cultiver et préserver leur santé, grâce à la multitude de médecines et thérapies complémentaires qui existent pour cela, et à affronter ensemble, dans le respect de leur diversité, les défis majeurs que nous présente notre époque. Nous n’y parviendrons qu’ensemble, tous ensemble, en nous appuyant sur la multitude de connaissances et d’expériences disponibles, dans toute leur richesse et leur complémentarité, sans plus en exclure aucune.

— Olivier Clerc
1 Cf. C’est pour ton bien, d’Alice Miller, Editions Aubier, 1984.
2 Cf. mon livre Médecine, religion et peur : l’influence cachée des croyances, Editions Trois Fontaines, 1998.

Devenir résistant et résilient quand le monde est sous le choc

Rien n’est plus comme avant et rien ne sera jamais plus comme avant, et ceci est une bonne nouvelle. Le futur, c’est nous qui le créons aujourd’hui. C’est-à-dire que ce que nous allons léguer aux futures générations dépend à 100% de choix et actions.

Et force est de constater que devenir résistant et résilient sont les maitres mots en 2021.

Être résistant, c’est rester connecté quoi qu’il arrive à ses valeurs. Et être résilient, c’est apprendre et se préparer en cas d’effondrement systémique et de décisions politiques avec des lois liberticides.

Plus que jamais, il est nécessaire d’agir dans le réel, dans sa vie privée, seul et collectivement. Et rappelez-vous l’avenir appartiendra aux résistants et aux résilients.

Telegram le canal sans censure : https://t.me/mikadenissot

Vakxination obligatoire : quelques outils pour une résistance

Rodolphe Bacquet19 juillet 2021  9 min de lecture 

Le week-end dernier, un centre de vakxination anti-C0VlD a été incendié dans le Pays basque[1].
C’est un acte de colère, certes, mais c’est surtout un acte criminel, injustifiable.
La justesse et la légitimité de notre protestation face à des mesures d’un autre temps ne peuvent cautionner de tels débordements. C’est à chacun de nous à veiller à cela.

Quels sont alors les moyens à notre portée pour résister de façon digne et constructive aux mesures qui doivent être adoptées cette semaine à l’Assemblée nationale ?

J’ai repéré quelques outils, que je vais partager avec vous dans cette lettre.

Mais avant cela, il est à mon sens nécessaire d’expliquer ce qui appelle impérieusement notre résistance.

Il ne s’agit pas d’un combat contre la vakxination

J’ai passé un week-end très éprouvant, à valider des centaines de commentaires à mes trois lettres de la semaine dernière.

Les réactions étaient passionnées, et j’ai assisté à des échanges très vifs entre plusieurs de mes lecteurs. Je n’ai eu, heureusement, qu’à supprimer un seul commentaire outrageux. 

Ce qui m’a cependant frappé, parmi les réactions négatives, parfois violentes, que j’ai pu lire, c’est que le principal chef d’accusation était l’irresponsabilité du fait de refuser le vakx1 anti-C0VlD.

Cette réduction du débat à un « pour ou contre le vakx1 » illustre parfaitement l’impasse démocratique dans laquelle nous nous trouvons. Il ne s’agit d’ailleurs trop souvent plus de débat… mais de pugilat. 

Je l’ai dit, et je le répète, il ne s’agit pas d’un combat contre la vakxination.

Pour les raisons suivantes :

Primo, il s’agit de « vakx1s » non comparables aux vakx1 classiques

Je l’emploie par commodité, mais le terme de « vakx1 », a minima pour les produits à ARN messager qui sont stricto sensu des thérapies géniques, est abusif.

Un vakx1 classique, surtout, empêche la contagion et la transmission du virus dont il est censé protéger.

Pas les vakx1s anti-C0VlD actuellement disponibles : ils n’empêchent « que » de développer des formes graves de la maladie, avec une efficacité jugée il est vrai satisfaisante pour les souches originelles du virus.

C’est pourquoi l’argument du « je me vakxine, je protège les autres », pertinente pour des vakx1s classiques, est ici hors de propos : de fait, seule la personne vakxinée est (en partie) protégée.

Il est par conséquent absurde de comparer ces vakx1s anti-C0VlD aux vakx1 classiques contre la polio, la tuberculose et le tétanos par exemple.

Mettre tous ces vakx1s « classiques », sur lesquels on dispose d’un réel recul en termes d’efficacité et d’effets secondaires, dans le même sac que les vakx1 anti-C0VlD, développés à la hâte avec une technologie jamais testée à cette échelle, est un grave contre-sens. 

Et il ne s’agit pas là que de la phase 3 de ces vakx1s, qui n’est, comme vous le savez, pas terminée.

Secundo, le manque de recul sur ces produits nous dicte de les employer avec mesure

Le risque à long terme de ces vakx1s, quel est-il ?

Il est impossible de le prévoir avec précision, car il s’agit presque de science-fiction : on ne peut que conjecturer.

Mais il est tout aussi hasardeux de prétendre qu’il ne se passera rien, que d’affirmer qu’il se passera forcément quelque chose !

Je vous invite à lire, si vous avez le temps, un entretien lumineux avec le généticien Christian Vélot, publié il y a quelques jours. Il met des mots sur les risques associés aux vakx1 génétiques (à ARN ou ADN) si on les inocule à grande échelle : l’émergence de virus recombinants.

« Ce phénomène ne peut se produire que si du matériel génétique provenant d’au moins deux virus se retrouve dans les mêmes cellules, ce qui est fort heureusement extrêmement rare dans la nature puisque cela implique que des mêmes cellules soient co-infectées par au moins deux virus. Mais dès lors qu’on introduit volontairement et chez un très grand nombre d’individus du matériel génétique viral — ici à des fins de vakxination —, il suffit chez ces personnes d’une infection par un seul virus pour que de tels échanges (entre le génome du virus infectant et le matériel génétique vakxinal) se produisent et puissent ainsi donner lieu à des virus recombinants. »

Vous pouvez retrouver l’intégralité de cet entretien, technique mais passionnant, sur le lien en note sur mon site[2].

Nous n’aurons les idées plus claires sur les réelles conséquences de ces produits pharmaceutiques que dans, au mieux, 20 ou 30 ans. C’est parfaitement normal. 

Ça ne signifie pas qu’il ne faut pas les employer durant cette durée, c’est évident : ça veut dire qu’il faut les employer avec mesure.

Avec mesure, qu’est-ce que ça veut dire ?

Ça veut dire qu’il faut en priorité réserver ces vakx1s aux populations à risque – c’est-à-dire aux patients ayant un risque fort de développer une forme grave de C0VlD.

C’est la raison pour laquelle vakxiner en masse les enfants, compte tenu du manque de recul sur ces vakx1s, est à la fois inutile (leur vie n’est pas en danger) et dangereux (ce sont eux qui risquent de payer le plus longtemps la facture de ces produits en termes d’effets secondaires à long terme).

Ça veut dire, également, qu’il est capital d’en éviter l’inoculation à des personnes souffrant de contre-indications, en l’occurrence de maladies auto-immunes et inflammatoires.

Ça veut dire, enfin, qu’il est logique, et respectable, que chacun puisse juger de son propre « rapport bénéfice-risque ».

Je connais plusieurs personnes qui ont fait le choix de se vakxiner car elles jugeaient le risque de souffrir du C0VlD plus important que celui de souffrir des effets secondaires du vakx1, et c’est très bien.

C’est précisément cette liberté de choix qu’il est capital de préserver, aussi bien pour des raisons éthiques que médicales.

Tertio, le vakx1 n’est pas LA solution, mais une solution

La fuite en avant vakxinale a totalement occulté cette évidence : une maladie, ça se soigne, et un vakx1… n’est pas un traitement.

C’est un outil de prévention.

Or en se focalisant sur cet outil de prévention, le conseil scientifique et le gouvernement ont perdu de vue l’essentiel : l’épidémie qu’ils prétendent combattre reste aujourd’hui soignée avec les moyens du bord. 

On peut les comprendre : les fonds faramineux alloués à la recherche d’un vakx1 n’ont tout simplement pas pu servir à la recherche de traitements (une recherche plus pointue, plus utile, mais moins lucrative qu’un vakx1 à grande échelle car les « malades graves » du C0VlD resteront toujours une minorité).

Je ne vous parle pas seulement de traitements naturels, tels que ceux à base d’Artemisia Annua (à Madagascar) ou de vitamine D ; même la prometteuse ivermectine, dont une étude a encore confirmé la semaine dernière le potentiel thérapeutique contre le C0VlD[3], ne fait pas bouger d’un iota le gouvernement.

Autrement dit, la vakxination ne pourrait, et ne saurait être, considérée comme l’alpha et l’oméga de toute la politique anti-C0VlD du gouvernement.

C’est insensé… et peine perdue. Car :

  • au fur et à mesure de ses mutations le virus passe entre les mailles des vakx1s conçus sur la base du virus originel de Wuhan ;
  • ces vakx1s eux-mêmes et leurs « mises à jour » qui ne manqueront pas de se produire, nécessitant une troisième, puis une quatrième injection, exercent une pression évolutive sur le virus ;
  • le SARS-CoV-2 ne disparaîtra pas, et tout indique que ce coronavirus, de la même famille que plusieurs virus du rhume, va lui-même évoluer de façon à devenir bénin.

Tout cela rend l’obstination du gouvernement encore plus aveugle et absurde.

Je le répète donc : il ne s’agit pas de se battre ni contre ces vakx1s, ni même contre le principe de la vakxination, mais contre l’obligation vakxinale.

Cette obligation vakxinale, directe (pour les personnels soignants) ou indirecte (via la pression exercée par le pass sanitaire), et décrétée sur des motifs fallacieux, est une grave atteinte non seulement aux Droits de l’Homme, mais également à la Science.

Alors, comment faire pour résister sans tomber dans la sédition ou la criminalité ?

Actions en justice

Notre première alliée, dans un état de droit, c’est la loi.

Les mesures annoncées il y a une semaine par Emmanuel Macron lundi vont à l’encontre de plusieurs lois, nationales et internationales .

Plusieurs actions sont en cours, dont celle emmenée par Maître Fabrice Di Vizio.

Cependant, attention : j’ai vu plusieurs fois sur les réseaux sociaux un message invitant à écrire à son cabinet pour se porter partie civile contre l’État. Ce message, et l’adresse indiquée (prétendant être celle de son cabinet) sont des faux, comme l’avocat l’a lui-même dit[4].

En revanche, celle-ci, portée par l’Association de victimes coronavirus C0VlD-19 France, semble authentique – attention, elle est réservée aux soignants :

Vous trouverez le lien vers le site correspondant sur mon site, en note de ce message[5].

Annuaire des médecins s’engageant à préférer un traitement à la vakxination 

Le collectif « Laissons les médecins prescrire » défend ce qu’elle appelle une « quatrième voie », c’est-à-dire la prévention, la détection ciblée et les traitements précoces.

Cet annuaire recense, département par département, les médecins qui ont signé le manifeste et refusent l’obligation vakxinale.

Vous trouverez là encore le lien vers le site correspondant sur mon site, en note de ce message[6].

Annuaire des commerces, restaurants, entreprises et services qui n’exigeront PAS le Pass Sanitaire (Vakx1 ou Test)

L’ANIMAP est un portail professionnel jugeant impératif de respecter les lois anti-discrimination de notre pays… Lois foulées du pied par les mesures qui doivent être votées, vous le savez, ce mercredi. 

Ce site vous permettra donc de trouver des commerces, entreprises et services qui se refusent à jouer le rôle de policier civil que le gouvernement prétend leur faire jouer :

 Le lien est rassemblé avec les autres, en note sur mon site[7].

Rassemblements de citoyens

Nous avons vu ce week-end, dans plusieurs villes françaises, de nombreuses personnes manifester contre les mesures annoncées.

Il existe également des regroupements numériques ; je vous en présente deux : 

  • Les groupes RSA sont des groupes de résistance et de solidarité face aux abus provoqués par la crise[8]; ils disposent d’un compte sur la messagerie Telegram[9] (le groupe est accessible dans le channel en cliquant sur le bouton de la messagerie) et vous pouvez trouver et rejoindre votre groupe local sur une carte[10] ;
  • Une application « Tous AntiPass » se propose de répertorier et organiser les actions citoyennes de lutte contre le Pass Sanitaire et la vakxination obligatoire[11].

Et il y a toujours, bien sûr, la pétition que j’ai lancée, et qui a dépassé les 120 000 signatures :


Vous pouvez la signer en cliquant ICI.

Je vous invite à mentionner en commentaire les moyens et les actions légales que vous avez éventuellement trouvées de votre côté.

Et je termine par un très beau commentaire qu’a laissé hier Christian à l’une de mes dernières lettres :

Hier à la manif de Valence, Drôme, un panneau résumait parfaitement le dilemme :
 « Tu obéis pour que ça se termine, et c’est parce que tu obéis que ça continue. »

Je vous laisse méditer là-dessus. Portez-vous bien, et courage !

Rodolphe Bacquet


[1] Le Figaro (18.07.2021). Pays basque : un centre de vakxination incendié à Urrugne. https://www.lefigaro.fr/faits-divers/pyrenees-atlantiques-un-centre-de-vakxination-incendie-a-urrugne-20210718

[2] Mucchielli, L. (08.07.2021). C0VlD-19, vakx1s expérimentaux, stratégie vakxinale : entretien avec Christian Vélot. https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/080721/C0VlD-19-vakx1s-experimentaux-strategie-vakxinale-entretien-avec-christian-velot

[3] Radier, V. (13.07.2021). L’ivermectine, un traitement prometteur contre le C0VlD ? Nouvel OBS. https://www.nouvelobs.com/societe/20210713.OBS46503/l-ivermectine-un-traitement-prometteur-contre-le-C0VlD.html

[4] https://twitter.com/DIVIZIO1?ref_src=twsrc%5Egoogle%7Ctwcamp%5Eserp%7Ctwgr%5Eauthor

[5] https://association-victimes-coronavirus-france.org/action-collective-contre-obligation-vakxinale-pour-soignants/

[6] https://manifestes-libertes.org/medecins-engages/

[7] https://animap.fr/

[8] https://solidariteactive.fr/

[9] https://t.me/RSAfrance

[10] https://solidariteactive.fr/carte-groupes-rsa

[11] https://www.tousantipass.fr/

Chroniques du totalitarisme 1 – La mise au pas du 12 juillet 2021

Source: Anne Bilhéran

Article prévu pour parution dans l’Antipresse, abonnez-vous !
Autorisation exceptionnelle donné pour une parution avant l’heure ici, au vu de l’actualité. Un immense merci à Slobodan Despot et à l’Antipresse, pour faire vivre le contradictoire, et tracer l’étroit sentier de vérité des témoins.

« Nous avons poussé si loin la logique dans la libération des êtres humains des entraves de l’exploitation industrielle, que nous avons envoyé environ dix millions de personnes aux travaux forcés dans les régions arctiques et dans les forêts orientales, dans des conditions analogues à celles des galériens de l’Antiquité. Nous avons poussé si loin la logique, que pour régler une divergence d’opinions, nous ne connaissons qu’un seul argument : la mort. »

Koestler, A. Le Zéro et l’Infini.

« Nous avons poussé si loin la logique dans notre politique sanitaire au nom de la santé pour tous, que nous persécutons les soignants, médecins et infirmiers, et les malades. Notre nouvelle définition de la santé est l’indifférence au consentement, le refus des soins adaptés et de la prescription par les médecins. Nous soignons les bien-portants (nous nommons malades des gens qui ne le sont pas) et délaissons les vrais malades. Le corps de chaque citoyen appartient désormais à l’État qui peut en jouir comme bon lui semble pour ses expérimentations médicales, et celui qui ne s’y soumettra pas, nous le négligerons, le maltraiterons puis le tuerons, qu’il s’agisse d’un malade qui désirait être soigné, ou d’un soignant qui désirait travailler », pourra tout aussi bien dire un haut cadre repentant du nouveau parti du totalitarisme sanitaire actuel.

Le discours d’Emmanuel Macron du 12 juillet 2021 a opéré comme un coup de semonce dans la société française. Le pouvoir s’y est exprimé de façon tyrannique, clivant la société en deux catégories : les bons citoyens obéissants, et les autres. Sur les autres, la coercition sera exercée ; le pouvoir entend « soumettre ou démettre ». Nous nageons en plein harcèlement de masse, et je rappellerai la définition que j’en avais donné en 2006 : « Le harcèlement est un phénomène politique lié à l’histoire de l’humanité. Il « vise la destruction progressive d’un individu ou d’un groupe par un autre individu ou un groupe, au moyen de pressions réitérées destinées à obtenir de force de l’individu quelque chose contre son gré et, ce faisant, à susciter et entretenir chez l’individu un état de terreur » (Bilheran, 2006). Mode d’expression de l’abus de pouvoir, de l’autoritarisme, de la tyrannie, il s’oppose à l’autorité comme le pouvoir injuste s’oppose au pouvoir juste. Il est la méthode parfaite d’asservissement utilisée par les paranoïaques dont je dis souvent qu’il est le « chef-d’œuvre »[1]. »

Bien entendu, un tel discours est traumatique et sidérant. Revendiquer le « choix de la liberté » en imposant de telles contraintes, avec une telle violence (chantage, menace etc.), sur les vies, serait un paradoxe risible, si cela n’entraînait pas des conséquences tragiques.

Que cherche le harcèlement ?[2] Conduire à l’autodestruction. Cette autodestruction débute par l’inflammation émotionnelle suscitée par les harceleurs : peur, colère, rage, impuissance, tristesse etc. Maîtrisons nos émotions. Qu’elles soient des guides, mais ne commandent pas. Car si les émotions commandent, elles nourrissent le sadisme des harceleurs. Elles font leur jouissance.

Que craignent les harceleurs ? Que nous les envisagions tels qu’ils sont : des fous, des pervers ou des paranoïaques qui font des crises de tyrannie car ils n’ont pas grandi, et demeurent psychiquement immatures, sans capacité de maîtriser leurs pulsions de transgression et de meurtre. Et que nous puissions leur opposer notre indifférence, celle du parent qui ne cèdera pas au caprice. Les peuples doivent éduquer leurs gouvernants, et non le contraire. Les ministres sont étymologiquement, les serviteurs du peuple. Un gouvernement qui prétend éduquer son peuple bascule aisément en tyrannie.

Pour cela il faut bien réfléchir : sur quels pans de nos vies les harceleurs ont-ils une prise ? Il est inutile de crier sa colère à un harceleur : il s’en délectera. Certains s’imaginent qu’en éliminant le pouvoir harceleur, avec des méthodes révolutionnaires, le problème sera solutionné ! Rien n’est moins sûr, car le venin de la paranoïa s’est immiscé dans le corps social, la méfiance de tous contre tous, le clivage et la persécution des jugés « non-essentiels », inutiles, dangereux ou mauvais. Ce n’est pas nécessairement parce que l’on élimine le gourou de la secte que la secte s’arrête. Parfois, la tête du gourou repousse. Et même, ce peut être en pire.

En revanche, ne plus donner rien de soi, ceci est un long processus qui demande un travail de distanciation interne, mais nécessaire. Nous avons l’illusion de nous connaître. Nous croyons naïvement que si l’on nous supprimait nos repères, nous ne saurions pas faire face. Le totalitarisme risque de pousser de nombreuses personnes au fond de leurs retranchements, dans ce lieu de leur être où elles toucheront l’expérience de l’amour inconditionnel, de la transcendance, de la pulsion de vie, de l’énergie spirituelle comme le nommait Bergson, ce qui en retour leur donnera la foi, la force, le courage et la détermination.

L’heure de la persécution paranoïaque a sonné. Les ennemis semblent désignés, mais ne nous y trompons pas. Il ne faut jamais croire le langage de la perversion. Elle vous assure que, si vous consentez à faire ce que vous ne souhaitez pas faire, alors vous serez tranquille et tout ira bien pour vous. Elle exige que vous renonciez à un petit bout de territoire de vous-même. Puis, la boîte de Pandore étant ouverte, il vous sera toujours demandé plus, et encore plus. C’est le fonctionnement même de l’emprise perverse, de la mise en esclavage psychique et physique.

Alors, peut-être qu’aujourd’hui certains se rassurent, en se disant que, s’ils sont des citoyens obéissants, ils seront épargnés, puisque la vindicte désigne une catégorie d’individus en particulier dans un corps social désormais considéré malade, et qu’il conviendrait d’amputer. C’est une erreur.

Dans les systèmes harceleurs, tous ceux qui se soumettent docilement et font du zèle, espérant passer entre les gouttes, finissent par être persécutés puis exécutés.

Car la paranoïa est une folie raisonnante ; il faut entendre qu’elle n’a rien de rationnel et ne s’embarrasse pas de contradictions. Au diable la logique ! La logique devient ce que l’angoisse psychotique exige : de la persécution, du sang, des morts, pour se calmer, toujours temporairement. Aussi, cela procède à l’arbitraire, et par vagues. Tous les totalitarismes ont agi ainsi.

Soljenitsyne nota bien l’incrédulité des gens ; ils pensaient être de bons citoyens bolchéviques, n’avoir rien à se reprocher et pourtant, les rafles ne les épargnaient pas ! Cette incrédulité leur donnait ainsi l’illusion que quelqu’un s’apercevrait bien de leur innocence… mais rien n’est plus faux car leur erreur était la croyance aveugle en l’existence d’une rationalité, dans ce qui n’était qu’une folie empruntant de façon frauduleuse l’apparence de la raison.

Ne pas comprendre qu’il s’agit d’une folie au sens propre, d’une psychose paranoïaque qui perfuse sa contagion délirante dans le collectif, rend vulnérable.

L’individu perd du temps à tenter de justifier une logique rationnelle et raisonnable à ce qui n’est que langage infatué d’un délire ne s’embarrassant pas du principe de non-contradiction ! Ne pas se préparer psychologiquement au déferlement de la violence est une erreur, aussi. Car la paranoïa fait régresser les individus psychologiquement fragiles, et ils sont nombreux, dans la « banalité du mal »[3], celle que la charge traumatique du discours d’Emmanuel Macron a autorisée cette semaine en France. J’ai recueilli plusieurs témoignages de refus de soins d’êtres humains dans des hôpitaux ou cliniques car ils n’étaient pas « vaccinés »., notamment celui d’un chantage aux soins pulmonaires contre obligation vaccinale à un jeune non-vacciné, ou encore le refus de soins dentaires à un retraité non-vacciné, ou encore un ultimatum donné à une personne diabétique avec blessure : elle ne serait plus reçue, même en urgence, sans test ou sans ce que le pouvoir a convenu d’appeler un « vaccin ».

Le peuple français est harcelé, et certains, pensant atténuer la violence du harcèlement sur leur personne, font du zèle pour devenir les instruments de persécution des autres. Ils n’ont vraisemblablement eux non plus pas compris comment cela fonctionne… L’arbitraire, la logique de quotas, la recherche du mouvement éternel permettant d’assurer un contrôle des masses sont les ressorts des passages à l’acte du pouvoir totalitaire. Combien de maltraitances, combien de détresse, combien de souffrances, combien de persécutions, combien de morts, ce nouveau régime laissera-t-il dans l’Histoire ? Ce qui est sûr, c’est qu’il ne s’arrêtera pas en si mauvais chemin.

La psychose paranoïaque s’engage toujours au bout du déferlement totalitaire, avant d’agoniser en un râle exsangue, dans les mares de sang qu’elle a elle-même provoquées.

Puisque, depuis plus d’un an, nous ne parlons plus que de maladies et de morts, l’heure est venue pour ce type de questionnements métaphysiques : au moment de ma mort, aurai-je été en accord avec ma conscience concernant mon passé, mes actes, mes paroles ? Car il n’y aura rien d’autre que nous emporterons avec nous, que le scrupule moral dont notre conscience est le maître, et qu’elle nous oppose dans son miroir. « L’œil était dans la tombe et regardait Caïn »[4]… est-ce cela que l’on désire pour soi-même ?

Le totalitarisme accule à un choix, le non-choix devenant un choix par défaut : soit accepter de se faire avaler dans la pieuvre géante, en renonçant à son intimité et à tout ce qui constitue son individualité (le sacrifice total exigé par la paranoïa), soit déclarer sacré l’être humain en tant que régi, non pas par les nouvelles lois de la nouvelle normalité totalitaire, mais par des lois transcendantes et immuables (ne pas tuer, ne pas transgresser).

Nous voici encore et toujours revenus à Créon et Antigone.

Où placer le sacré dans notre existence ?

« Il n’y a que deux conceptions de la morale humaine, et elles sont à des pôles opposés. L’une d’elles est chrétienne et humanitaire, elle déclare l’individu sacré, et affirme que les règles de l’arithmétique ne doivent pas s’appliquer aux unités humaines – qui, dans notre équation, représentent soit zéro, soit l’infini. L’autre conception part du principe fondamental qu’une fin collective justifie tous les moyens, et non seulement permet mais exige que l’individu soit en toute façon subordonné et sacrifié à la communauté – laquelle peut disposer de lui soit comme d’un cobaye qui sert à une expérience, soit comme de l’agneau que l’on offre en sacrifice. »[5]

Seule la Littérature est capable de restituer l’expérience totalitaire, car elle invite à retourner dans l’intime, cet intime que le pouvoir paranoïaque veut dévorer, de façon cannibale, en bloquant les issues de secours à l’incorporation, l’intime des sentiments, les états d’âme, la vibration de l’être en proie à ses doutes, à ses errances, à son désespoir mais également à sa volonté, à ses aspirations, à ses décisions, à ses convictions. Dans le cadre des ateliers « Littérature et Totalitarisme », qui auront lieu à partir du 12 août 2021, je mettrai notamment au travail l’œuvre de Koestler, Le Zéro et l’Infini[6].

Un dernier mot : nous ne sommes que de passage… dans ce « theatrum mundi », où nous jouons tous des rôles, desquels nous sommes plus ou moins dupes, où les uns et les autres se jugent (de mauvais citoyens mettant en danger les autres en n’acceptant pas les contraintes imposées par le gouvernement, de mauvais citoyens contribuant à la perte des libertés etc.), je suggère de revenir en ce moment à la méthode phénoménologique de Husserl dont je perçois de plus en plus qu’elle a été conceptualisée en réaction à l’idéologie totalitaire nazie : l’épochè.
Qu’est-ce que l’épochè ?
C’est la suspension du jugement, un antidote salutaire face à la surinterprétation paranoïaque qui a contaminé l’espace social. Suspendre son jugement face au délire, ne pas tenter d’y rentrer ni de le comprendre à tout prix, suspendre son jugement face à la surexposition des signes et des interprétations données. Suspendre son jugement et s’en distancer, pour ne pas sombrer dans les effets projectifs en miroir (que l’on voit si souvent dans les phénomènes harceleurs), et notamment, ne surtout pas sombrer dans « la fin justifie les moyens », adage politique selon lequel, pour se libérer du tyran, et au nom d’un autre idéal tyrannique (liberté et abolition de l’oppresseur « à tout prix »), il devient permis de devenir tyran à son tour en utilisant des méthodes similaires.

Ataraxie (suspension des émotions – absence de troubles émotionnels) et épochè (suspension du jugement) sont des outils de la philosophie, qui peuvent aider au témoignage, car c’est bien le témoin qui en définitive humanisera toute cette affaire, en ce qu’il inscrira les traces et la mémoire, et fera vivre l’adage latin « Homo sum humani a me nihil alienum puto »[7].

Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme.

[1] « Le harcèlement, chef-d’œuvre de la paranoïa », article paru dans Santé mentale n° 243, décembre 2019. https://www.arianebilheran.com/post/le-harcelement-chef-d-œuvre-de-la-paranoia
[2] Pour ceux qui souhaitent approfondir les mécanismes du harcèlement, je renvoie à ma somme sur le sujet : https://www.arianebilheran.com/product-page/harcelement-psychologie-et-psychopathologie
[3] Pour reprendre l’expression d’Hannah Arendt.
[4] Poème « La Conscience » de Victor Hugo.
[5] Koestler, A. Le Zéro et l’Infini.
[6] https://www.arianebilheran.com/service-page/atelier-littérature-et-totalitarisme
[7] Terence repris par Montaigne dans le célèbre « je suis un homme, et rien d’humain ne m’est étranger ».

Macron: sortir du jeu pervers

Si vous ne connaissez pas votre cerveau, ils s’en occuperont pour vous.

3 points à comprendre absolument, quitter la scène de la manipulation perverse, payer le prix de ses choix.

Accéder aux bons outils pour se poser les bonnes questions permet d’agir au lieu de réagir. Si vous ne faites pas partie de la solution, vous faites partie du problème.

https://qactus.fr/2021/07/14/q-videos-ek-macron-france-sortir-du-jeu-pervers/

Lien alternatif: https://lbry.tv/@emakrusi:5/La-Voix-d-Ema-Macron-Poker-perversion-et-guerre-psychologique:7

L’idéologie Woke, un nouveau totalitarisme ?

Et si le totalitarisme du XXe siècle n’avait pas vraiment disparu et était en train de renaître sous de nouvelles formes, bien plus subtiles ? Le journaliste américain Rod Dreher nous exhorte à la vigilance dans l’entretien ci-dessous :

Né en 1967, Rod Dreher est journaliste pour le magazine The American Conservative. Il a collaboré auparavant au New York Times. Originaire d’une famille méthodiste, il se convertira au catholicisme en 1993 puis à l’orthodoxie en 2006. Son invitation à suivre la voie de saint Benoît rencontre un puissant écho outre atlantique.

Son livre Résister au mensonge vient d’être édité en Français, chez Artège, voici comment il est présenté :

Après son brillant essai sur le « pari bénédictin », Rod Dreher développe une réflexion aussi puissante que féconde autour du soft totalitarisme occidental. Pas d’interdiction officielle d’opinion, pas de déploiement d’un État policier, mais l’émergence insidieuse d’une tyrannie douce qui, sous l’égide d’un credo progressiste, annihile tout esprit critique et paralyse jusqu’au plus indépendant des libres penseurs. Qu’est-ce que le soft totalitarisme ? Comment l’homme moderne en vient-il à renoncer à sa liberté d’expression et aux lumières du bon sens ? Pourquoi l’Occident est-il gagné par le novlangue et la réécriture de l’histoire ?

C’est en s’appuyant sur les précieux témoignages d’anciens dissidents des régimes communistes que le penseur américain répond aux interrogations de notre époque. Incisif et lucide, il place le chrétien devant le vertige des temps d’aujourd’hui et de demain et l’appelle à la foi profonde, à la résistance familiale, à la soif de la vérité, seules à même de fissurer les fantasmes d’une époque qui nous infantilise et nous noie dans les paradis artificiels.
Aiguillé par l’exigence de vérité, cet essai magistral nous donne les moyens de résister au mensonge qui ronge et liquéfie l’âme.

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

En complément: il y en avait qui avaient vu les choses venir depuis longtemps …

Réflexions lucides de juristes sur les dérives de la gestion de cette crise et l’interpellation sur nos libertés

Maître Clarisse Sand est avocate au barreau de Paris depuis une quinzaine d’années. En 2012, elle a fondé le cabinet Sand Avocats dédié au contentieux administratif, au contentieux fiscal et au droit pénal fiscal et financier. Elle préside également l’Institut du Droit pénal fiscal et financier (IDPF2). Depuis le début de la crise sanitaire, Me Clarisse Sand a pris plusieurs initiatives pour défendre les droits fondamentaux et les libertés individuelles. Elle a notamment créé, avec deux autres avocats, la plateforme Click’n’requête qui fournit gratuitement à des personnes physiques ou morales un argumentaire juridique afin qu’elles puissent saisir la justice administrative dans le cadre de contentieux de masse destinés à contester certaines des mesures restrictives de liberté prises depuis le début de l’épidémie. Me Sand a également déposé plusieurs recours devant le Conseil d’État au nom de restaurateurs, de gérants de discothèques, de gérants de salles de sport ou de particuliers qui estimaient que certaines des mesures sanitaires édictées par le gouvernement pour lutter contre l’épidémie portaient atteinte à leurs droits fondamentaux et à leurs libertés. Début mars, Me Clarisse Sand a aussi déposé un recours devant le Conseil d’État pour contester la légalité des avis rendus par le Conseil scientifique. Epoch Times a rencontré Me Sand pour recueillir son point de vue sur les aspects juridiques de la crise sanitaire.
– Quelles sont les atteintes aux libertés individuelles dont elle a été témoin ?
– Quel regard porte-t-elle sur les décisions du Conseil d’État ?
– La crise sanitaire met-elle en lumière un problème de séparation des pouvoirs ?
– Comment la France se positionne-t-elle par rapport aux mesures prises par ses voisins européens ?
– Reviendra-t-on à un état juridique équivalent à celui d’avant la crise à l’issue du régime transitoire qui prend fin le 30 septembre 2021 ?

A visionner absolument !

Saisissant, ne ratez pas non plus cet échange (1h30) entre Maître Di Vizio et des avocats de l’association VRAI en Israel pour anticiper ce qui peut nous attendre:

Dans cet échange très riche et très vif, sont croisés les regards de franco-israéliens avec celui d’un des observateurs les plus éclairés de la crise sanitaire en France.

Y sont traitées les questions suivantes:

  • le rôle des institutions politiques et judiciaires françaises et israéliennes dans l’établissement du pass vert/sanitaire
  • l’emprise des laboratoires pharmaceutiques et des grandes sociétés de conseil sur les décisions politiques
  • les dérives dans la mise en application concrète du « pass vert » en Israël et le parallèle avec la France, la remise en question de l’Etat de droit tel que nous le connaissons
  • l’opposition au pass vert en Israël (médecins, avocats, recours à la Cour Suprême…) et en France
  • les perspectives incertaines suite à la suspension du pass vert en Israël
  • comment le peuple israélien, qui aurait dû être le premier à lutter contre la mise en place d’une société discriminatoire, a si facilement accepté la mise en place du pass vert
  • les persectives française et israélienne relatives à vaccination des enfants
  • les stratégies d’opposition à la dictature sanitaire et les voies de coordination entre la France et Israël