L’avertissement de Vera Sharav survivante de l’holocauste

Vera Sharav

Vera Sharav avait trois ans lorsqu’elle et sa famille ont été déportées dans un camp de concentration. Elle a survécu à l’Holocauste et s’engage depuis de nombreuses années en faveur des personnes qui sont utilisées, consciemment ou non, dans des expérimentations médicales, avec des conséquences dramatiques. Dans cette interview, Vera Sharav parle de son inquiétude : l’Holocauste peut se répéter parce que l’esprit de l’eugénisme perdure et que la participation du corps médical est à nouveau acquise.
Vera Sharav parle d’un « crime contre l’humanité » qui se répète sous nos yeux. Beaucoup y participent volontairement…

Son témoignage, qu’elle devait prononcer à Bruxelles lors du rassemblement à l’issue de la manifestation brutalement interrompue (sabotée?) par l’action de (volontairement?) orientée de la police, est remplacé par cette interview qu’elle a accordé à Richard Boutry et à BAM à Bruxelles.

https://www.laminutedericardo.com/LMDR/vera-charave-rescapee-dauschwitz-entretien-exclusif/

Une autre interview de Vera Sharav par Uwe Alschner, pour un magazine allemand, avec la traduction en français dans le texte plus bas.

Uwe Alschner : Merci beaucoup, Vera Sharav. C’est un grand honneur de vous avoir dans ce numéro de Klartext. Vous êtes une survivante des périodes les plus sombres, les plus sinistres de l’histoire allemande, et par là je veux dire l’Holocauste. Je suis historien, c’est donc une situation très particulière. Il n’est pas facile pour moi d’avoir cette conversation, mais je sais qu’il est important que nous en parlions parce que la situation actuelle présente certaines analogies avec ce que nous savons de l’histoire.
Mais avant cela, ayez l’amabilité de nous donner un bref aperçu de qui vous êtes et de ce qui vous a conduit à devenir un défenseur des droits des personnes confrontées à la recherche médicale. Si je peux me permettre.

Vera Sharav : Oui, je suis une enfant qui a survécu à l’Holocauste. J’avais trois ans et demi lorsque ma famille en Roumanie a été chassée de notre patrie et déportée dans un camp de concentration. Mon père y est mort d’une maladie infectieuse, probablement la typhoïde. J’ai passé trois ans et demi dans ce camp et, bien qu’il ne s’agisse pas d’un camp de la mort, la mort était toujours présente, notamment parce qu’il pouvait arriver chaque jour que l’on soit transféré dans un camp de la mort. Notre camp était un camp où la famine a emporté la plupart des détenus. J’ai appris ce qu’est la vie dans de telles circonstances et ce que c’est que d’être un paria méprisé. Les enfants perçoivent beaucoup plus que les adultes ne le pensent. Les enfants voient beaucoup plus de choses que ce que beaucoup d’adultes croient ne pas remarquer.
À un moment donné, j’ai fait quelque chose que j’ai appris à l’âge de six ans : désobéir aux autorités. Je pense que c’est quelque chose que j’ai bien fait en tant que défenseur du public face à l’establishment très puissant. L’expérimentation médicale est l’une de ces zones d’ombre. L’un des sujets que les gens ne se posent pas vraiment est le suivant : à qui appartiennent les enfants qu’ils utilisent comme sujets humains pour tester de nouveaux médicaments et vaccins ? Quels parents lucides mettraient leur enfant à la disposition d’un cobaye pour quelque chose qui peut être très dangereux ?

Personne ne se le demande. Mais ce sont les enfants de ceux qui sont méprisés par la société comme une sous-classe. En effectuant de nombreuses recherches en tant qu’adulte, j’ai appris que tant que nous ne considérerons pas les autres et l’humanité dans son ensemble, l’Holocauste peut se répéter ! La différence entre l’Holocauste et les autres génocides est la participation active de l’establishment médical. C’est la grande différence. Cela en fait un crime complètement différent et, à mon avis, bien pire ! Certains médecins ont d’ailleurs été condamnés pour crimes contre l’humanité. Mais il est vraiment effrayant de voir que la mentalité de l’establishment médical allemand n’a jamais vraiment changé.

Elle a infecté la profession médicale, en particulier les institutions. Nous assistons actuellement à une utilisation de la médecine pour nous priver de nos droits humains et de notre liberté. Les responsables de la santé publique peuvent avoir une formation médicale. Ils ne sont pas pour autant des médecins généralistes. Un médecin a prêté serment de ne pas nuire au patient, avant tout. Les responsables de la santé publique sont des agents du gouvernement. Ce sur quoi ils sont censés se concentrer s’appelle le « bien commun ». Le problème est le suivant : qu’est-ce que le bien commun ? Qui décide de ce qu’est le bien commun ? Et que se passe-t-il s’ils ont tort et que cela nuit à l’individu ? Les droits civils résultent de la reconnaissance que les gens ont des droits qui ne sont pas accordés par la grâce des gouvernements. Ces droits sont fondés sur notre humanité. Et lorsque les scientifiques médicaux commencent à considérer les gens comme une simple matière biologique, ils sont assurés de causer beaucoup de dommages parce qu’ils ne respectent pas l’individu.

L’eugénisme a été la source principale de l’holocauste nazi. L’eugénisme n’a jamais été éradiqué. Il continue à se répandre et à affecter l’establishment académique en particulier. Je sais que c’est très difficile à comprendre, mais après l’Holocauste, après les procès médicaux de Nuremberg, une nouvelle espèce est apparue, les « bioéthiciens », les bioéthiciens et la bioéthique sont nés dans les institutions eugénistes… En fait, la société eugénique américaine est le terreau de la « bioéthique ». Les bioéthiciens sont essentiellement les hommes de main du gouvernement et de l’industrie médicale. Ils donnent leur bénédiction à des expériences non éthiques et à la politique de santé. Ils sont à l’avant-garde de cette pandémie, ce sont eux qui aident à formuler les politiques qui nous ont été imposées.

La science est utilisée comme si elle était « sacrée ». Il n’y a rien de « sacré » dans la science ! La science n’est pas plus sacrée que les droits individuels de l’homme. Bien au contraire ! En fait, la science est aujourd’hui très gravement corrompue par des groupes d’intérêt, des groupes d’intérêt très puissants.

Cela inclut les journaux scientifiques et les médias en général. Cela a commencé il y a longtemps, probablement il y a 30 ou 40 ans, mais c’est pleinement développé aujourd’hui.

La Fondation Bill [et Melinda] Gates exerce une influence considérable sur les grands médias et les maisons d’édition du New England Journal [of Medicine] ou du Lancet. Les meilleures revues scientifiques deviennent essentiellement des porte-voix du type de politique que Bill Gates souhaiterait. Bill Gates a même déclaré publiquement que la « solution finale », … il a utilisé ce mot exact [solution finale], [qui a également été utilisé par les nazis pour la solution finale de la question juive], la solution finale pour la pandémie de Covid serait un vaccin, et un vaccin seulement.

Eh bien, Bill Gates est un homme qui utilise ce terme en pleine connaissance de sa signification. Il est monté sur la scène publique lors d’une des conférences TED et a expliqué exactement comment la population humaine dans le monde peut être réduite de 10 à 15 % grâce à nos nouveaux vaccins et au contrôle des naissances ! Gates a de grands projets pour éradiquer une partie de la population. Mais je ne crois pas que ceux qu’il a en tête en seront informés afin de donner ensuite leur consentement sans être  conscients des conséquences.

Uwe Alschner : Laissez-moi, Vera, vous décrire l’image de soi d’une grande partie de la société allemande : L’Allemagne moderne est très fière que le pays soit devenu une démocratie modèle. C’était vraiment l’image de soi et ça l’est toujours. L’Allemagne est donc consciente de son héritage et de sa responsabilité lorsqu’il s’agit de l’Holocauste et de la guerre, ou des deux guerres et de la destruction qui en a découlé. C’est pourquoi les Allemands ont été pacifiques pendant longtemps, même si l’Allemagne est maintenant largement impliquée militairement. Néanmoins, il est vrai que l’Allemagne se tient fermement aux côtés d’Israël et défend le droit à l’existence de l’État d’Israël. L’antisémitisme est donc un interdit absolu dans la société allemande ! Il est même devenu une sorte d’arme politique.
Récemment, cela a également été utilisé contre les critiques des mesures Corona, qui ont été qualifiées d’ »antisémites ». Pour une grande partie de la population allemande, il s’agissait d’une sorte de moyen de dissuasion pour ne pas s’attaquer aux protestations, aux mesures Corona ou à la vaccination. Que pensez-vous de cela, Vera ?

Vera Sharav : Eh bien, il a fallu trois générations pour que le peuple allemand comprenne. N’oublions pas que seuls 23 professionnels de la santé ont été traduits en justice à Nuremberg, alors que des milliers de personnes étaient impliquées. Et ils sont retournés directement à leurs postes dans les universités et les laboratoires. Il a même été possible qu’un médecin nazi prenne la tête de l’Organisation médicale mondiale.

Il n’y avait aucune volonté réelle de prendre conscience de la monstruosité du nombre de personnes impliquées dans les machinations du régime nazi. Ce n’était pas seulement une affaire militaire. La population civile était impliquée, même si beaucoup prétendaient ne pas le savoir. Mais je pense que dans la mesure où les postes les plus élevés ont été repris par la génération suivante, puis par la génération suivante, d’abord les collègues des principaux responsables, par des personnes de la même génération. Il était alors clair qu’ils ne porteraient pas plainte. Mais leurs élèves, la deuxième génération, non plus. Ce n’est qu’avec l’arrivée de la troisième génération – j’ai lu de nombreux ouvrages de recherche allemands sur lesquels les recherches ont vraiment fleuri – que beaucoup plus d’informations ont été traitées sur le rôle des médecins et de la science dans la réalisation de l’Holocauste. De nombreux historiens ont fait des recherches à ce sujet. Il est donc clair que les Allemands, les jeunes Allemands, n’ont rien à voir avec l’Holocauste.

Et une partie de ce que je voudrais vous dire – et qui ne s’adresse pas tellement à l’Allemagne, mais surtout à l’adresse du public israélien : Quelle sera votre réponse lorsque vos petits-enfants vous demanderont un jour : « Où étais-tu alors ? ? … De quel côté étiez-vous ? « Parce que ce n’est pas encore fini. Nous ne savons pas ce que le vaccin va réellement faire. C’est une question qui se pose pour les vaccins, et il s’agit d’une technologie expérimentale qui n’a jamais été appliquée aux humains auparavant. Mais d’après les quelques recherches effectuées sur les animaux, nous savons que les animaux ne se sont pas bien comportés lorsqu’ils ont été exposés au véritable virus. Le vaccin ne les dérangeait pas, ils allaient bien. Mais quand ils ont été exposés au vrai virus…

C’est en effet un énorme crime contre l’humanité qui se déroule sous nos yeux ! L’Holocauste n’est pas non plus apparu du jour au lendemain. Il a commencé avec l’ »Opération T4″ (programme d’euthanasie), et je n’accepte pas que quelqu’un prétende ne pas voir la ressemblance avec le carnage actuellement perpétré sur les personnes âgées, en particulier celles qui se trouvent dans des centres de soins de longue durée et des maisons de retraite. Il s’agissait d’ordonnances et de lois des gouvernements des pays industriels les plus riches et les plus développés du monde occidental. Ce sont ces pays qui tentent aujourd’hui de vider leurs maisons, comme l’a fait Hitler. Il a commencé par les bébés et les jeunes enfants, les handicapés. Mais peu après, il a ciblé les résidents des maisons de retraite. On les appelait les « mangeurs inutiles ».

Les gens ! Cela se produit à nouveau aujourd’hui. C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui ! Et ce qui est vraiment incroyable : cela se passe dans les pays les plus avancés. C’est donc un grand pas. C’est un signal. Quel est l’objectif ? A quoi cela se résume-t-il ? Bill Gates et Klaus Schwab, ils décrivent la fin du jeu ! C’est un monde totalement dystopique dans lequel à mon avis aucun d’entre nous ne veut vivre !

Le moment est venu pour les gens d’enlever leurs œillères et de regarder les choses en face ! Je trouve révélateur que les moins instruits, ceux qui ont des emplois manuels, semblent comprendre ce qui se passe. Ils ont compris, ils n’ont pas d’illusions, ils n’ont pas subi de lavage de cerveau !

Le fait que la majorité du public israélien ne se rebelle pas contre la vente de leur terre comme laboratoire d’essai qui transforme la population en cobayes humains est… De toute façon, la peur et la propagande ont prévalu. Les nazis ont également utilisé la peur et la propagande, chaque régime totalitaire utilise plus ou moins de propagande pour forcer les gens à faire ce qu’on leur demande. Le fait que les gens aient su – et il y a eu de nombreuses révélations sur les pratiques commerciales sans scrupules de l’industrie pharmaceutique et des gouvernements aussi – [rend la chose si incroyable].

Alors comment se fait-il que la plupart des gens ne soient pas disposés à au moins s’interroger et à dire « Stop ! Pouvez-vous vraiment faire confiance à cela ? « … La peur est l’état qui permet d’éteindre tout jugement. C’est le travail des adultes de prendre des décisions raisonnables. Une démocratie est construite sur des adultes qui remettent les choses en question et sont d’accord ou non avant qu’une mesure ne soit conçue. Aujourd’hui, nous avons un État où la politique se fait à huis clos, sans aucune transparence. Et ensuite, les mesures nous sont simplement annoncées et nous devons les suivre.
La ligne directrice qui a conduit au meurtre des personnes âgées est précisément la politique de triage qui a été formulée par des bioéthiciens et qui a ensuite été simplement adoptée.
Andrew Cuomo, le gouverneur de New York, a même déclaré qu’il savait exactement ce que cela allait donner. Il a donné des instructions pour que les personnes âgées des maisons de retraite ne soient pas traitées dans les hôpitaux, qu’elles soient transférées dans les maisons de retraite, qui bien sûr n’étaient absolument pas préparées à une telle chose. Et il a dit que le virus dans les maisons de retraite était comme un feu dans une herbe sèche. Je pense que ça ne pourrait pas être plus imagé : « Un feu dans l’herbe sèche ». Et c’est exactement ce qu’il a fait.

Le fait que cela se soit produit dans tous les pays occidentaux signifie que c’était coordonné. Quelqu’un l’a fait, derrière des portes closes bien sûr, en secret, mais tout le monde s’est impliqué : Canada, États-Unis, Grande-Bretagne, Espagne, Italie, partout, Israël aussi… C’était un effort concerté pour se débarrasser du bagage économique.

Suite de l’interview par Uwe Alschner

Vera Sharav milite depuis longtemps en faveur des droits de l’homme dans le contexte des expérimentations médicales. Elle est la fondatrice et la présidente de l’Alliance for Human Research Protection. Elle y défend les intérêts des personnes qui participent à des expériences médicales contre leur gré ou à leur insu.
L’une de ces expériences est la vaccination contre le virus SRAS-COV2, explique Vera Sharav. Plus encore, la militante des droits de l’homme place la crise actuelle dans le contexte des notions idéologiques d’eugénisme et de contrôle de la population. Les principaux représentants de la « Grande Réinitialisation » ont – comme le fondateur du WEF, Klaus Schwab – des liens familiaux avec le national-socialisme ou, comme Bill Gates, des brevets sur des techniques de marquage indélébile de données personnelles sous la peau (« Quantum Dot Tattoo »). Lorsque le débat sur ces questions n’est pas ouvert mais supprimé, il est clair, selon Vera Sharav, que la vérité est dissimulée.

Vera Sharav : Le fait que cela se soit produit dans tous les pays occidentaux signifie que cela a été coordonné ! Quelqu’un a organisé cela, bien sûr, encore une fois derrière des portes closes, en secret. Mais tout le monde a suivi le mouvement : Canada, États-Unis, Grande-Bretagne, Espagne, Italie, partout où cela a été fait. En Israël aussi… C’était une action concertée pour se débarrasser évidemment du lest économique.

Les gens ne doivent pas se leurrer : ce n’est que le premier pas. Après, ce sera le tour de qui ? J’ai entendu dire qu’il y a des ordres de ne pas réanimer les enfants handicapés en cas d’arrêt cardiaque.
Si, en tant que citoyens, nous permettons à cet agenda et à son calendrier de se poursuivre, l’espèce humaine sera perdue. Ceux qui dirigent cet agenda l’envisagent de manière globale.
Ici, aux États-Unis, une part disproportionnée des décès dus à la Covid19, en plus du groupe des gens âgés à risque, provient des groupes noirs et latinos.
Donc, quand on dit « Black Lives Matter », cela ne s’applique pas à la santé publique ! La politique de santé publique est raciste ! Elle est biaisée et unilatérale. Il y a un racisme institutionnalisé dans la santé publique. Et ce, depuis des décennies.
Avec l’Alliance pour la protection de la recherche humaine [Alliance for Human Research Protection] que j’ai fondée, et dans mon travail avant cela, j’ai….

Laissez-moi le dire autrement :

J’ai surmonté l’horreur de l’Holocauste et je suis venue aux États-Unis à l’âge de onze ans.
L’une des premières questions que je me suis posées est la suivante : Où étaient tous ces gens [quand nous avions besoin d’eux] ? Comment ont-ils pu laisser cela arriver [à nous] ? Pourquoi mon père devait-il mourir ? J’étais hors de moi, en colère.

Parce que ce que je voyais, c’était une vie très confortable, New York était assez luxueux à cette époque. Je ne pouvais pas comprendre cela. Comment cela avait-il pu arriver ?

Bien sûr, avec le temps et l’âge, j’ai appris comment va la vie : de mauvaises choses arrivent, mais la vie continue ailleurs. Mais il y avait aussi un autre côté de la médaille : beaucoup de gens gagnaient magnifiquement leur vie grâce à la guerre. Chaque guerre a ses profiteurs de guerre.

J’ai sans doute compris alors que je ne pouvais pas devenir, que je ne pouvais pas devenir le même. Si j’étais si indigné par l’indifférence des gens, il était clair pour moi que je ne devais pas détourner le regard lorsque l’injustice se produisait.

C’est ainsi que, depuis de nombreuses années, je garde un œil critique sur la recherche médicale. Et je continuerai à le faire. Aussi parce que les vaccins prennent de plus en plus d’importance.
Il faut le savoir :
En médecine, il y a deux domaines où la coercition est acceptée. L’un est la psychiatrie, et c’est comme ça que ça se passait dans l’Allemagne nazie à l’époque : après les bébés venaient les malades mentaux, ils étaient médicamentés de force. Une personne atteinte d’une maladie mentale est désavantagée car elle ne peut pas témoigner devant un tribunal pour cause de démence.

Je me suis donc concentré sur ce domaine parce que j’ai découvert un grand nombre d’études destinées à prouver que les jeunes enfants noirs deviennent des délinquants violents. Quel genre de « science » est-ce là ?

Les institutions scientifiques, comme l’Institut national de la santé mentale, ont parrainé de telles expériences, qui visaient à confirmer l’idéologie eugéniste. Oui, on a administré à des bébés noirs un vaccin qui n’est pas autorisé aux États-Unis et qui s’était déjà révélé dangereux aux Philippines, surtout pour les jeunes garçons, mais on l’a quand même fait à Los Angeles. Et des bébés noirs ont également été maltraités lors d’essais de vaccins et de médicaments contre le sida.
C’est évident : en matière de santé publique, les vies noires ne comptent pas. Elles sont consommables.

Grâce à mon expérience, cependant, j’ai développé des antennes très fines. Si cela a pu m’arriver à moi, alors cela peut arriver à n’importe qui d’autre. C’est ainsi que je l’ai interprété. Il est malheureusement vrai que la plupart des gens se sentent plus en sécurité lorsqu’ils ont la même opinion que leurs collègues et amis.

C’est une attitude très dangereuse car elle ouvre la porte aux tyrans criminels. L’un des problèmes avec Pfizer, par exemple, est que cette société possède désormais les informations médicales de toute la population israélienne, ce qui est en soi extrêmement extraordinaire, car Israël a toujours été confronté à des menaces existentielles et a donc toujours essayé de protéger sa population. Comment diable pouvez-vous remettre les données médicales de la population à une société qui possède un tel catalogue de casiers judiciaires ? Celui de l’Amérique du Sud… L’Argentine y a résisté aux demandes de la société.

Les demandes comprenaient la mise en gage des actifs du pays, y compris ses bases militaires, comme garantie. Une garantie qui protège absolument Pfizer de toute poursuite en justice pour les dommages causés par le vaccin.

Ma première pensée à ce sujet a été : en dehors de la méthode commerciale scandaleuse d’une revendication aussi effrontée, la question vraiment intrigante est la suivante :
Quelles informations doivent-ils avoir sur leur propre vaccin pour exiger une protection aussi étendue ? Cela devrait certainement déclencher une sonnette d’alarme pour tout le monde ! Ils savent mieux que quiconque à quel point le risque est élevé, car ils connaissent toutes les données. Ce n’est pas notre cas ! Si je vivais en Israël, j’exigerais des informations sur ce que le [chef du gouvernement] Netanyahou a reçu pour cet accord.

Même si vous ne soupçonnez pas que quelque chose puisse être fait avec les données médicales, la valeur économique des informations sur les problèmes de santé de la population israélienne est incommensurable pour une entreprise pharmaceutique. Sur cette base, on peut imaginer toutes sortes de recherches qui ouvriront un incroyable flux de revenus. Nous parlons de huit millions de personnes, avec les enfants, qui seront aussi bientôt en ligne de mire, bientôt neuf millions de personnes.

Il y a tellement de questions qu’il est impératif de se poser :
Je ne suis pas un scientifique, les vrais scientifiques peuvent très bien expliquer les choses dans leur contexte. Ils n’ont pas vraiment besoin de ce jargon. Et la signification statistique n’est pas le seul facteur en médecine.
Ce qui compte, c’est l’effet clinique d’un produit. Ce qu’il fait chez les gens. Et c’est pourquoi le serment d’Hippocrate est si important et si juste ! Si vous considérez les gens comme un troupeau, alors vous êtes à côté de la plaque !

Et vous ne pouvez même pas empêcher la science de conduire à la fraude scientifique sur une telle base. Les individus forment ensemble la société. Il n’est pas vrai que la société est autre chose et que l’individu ne compte pas. Le bien commun n’a jamais été spécifiquement nommé. Qu’est-ce que le bien commun ? Qui le définit ?

Je voudrais aborder une autre question : j’ai parlé de Klaus Schwab.

Uwe Alschner : S’il vous plaît, continuez !

Vera Sharav : Jusqu’à présent, il n’y avait absolument aucune information sur Internet, ou dans les encyclopédies, « Who’s Who » ou autres, sur Klaus Schwab avant 1970. Rien du tout ! Il est né à Ravensburg en 1938.

Aujourd’hui, le 20 février dernier, un journaliste d’investigation a documenté ce qui n’a pas été mentionné jusqu’à présent : je ne peux que recommander à tout le monde de lire ce rapport. Il explique ce que je soupçonnais depuis longtemps, mais pour lequel je n’avais aucune preuve. Le rapport s’intitule « Schwab Family Values ». On peut le lire en ligne dès maintenant. Le rapport contient les réponses qui indiquent que cela pourrait être le début d’un « Quatrième Reich » !

Il y a une continuité qui est incroyable ! Je ne veux même pas… Tout est là. Il est aussi question de son père, Eugen Schwab, qui dirigeait la branche de Ravensburg d’une entreprise suisse qui produisait toutes sortes d’armements pour les nazis. Une médaille nazie a également été décernée pour cela, pour services exceptionnels rendus aux nazis, voyons si je peux trouver quelle était la désignation… [National Socialist Muster Betrieb].

Je reviens maintenant à l’actualité.

Les Cartes Vertes de Vaccination… Israël a été le premier pays à en annoncer l’introduction. Cela m’a bien sûr choqué ! Pourquoi ? Eh bien, qu’est-ce que cela signifie vraiment ? Cela signifie l’apartheid !

Cela signifie la division des citoyens entre ceux qui méritent et ceux qui sont dégradés. Ceux qui ne méritent pas et ceux qui devraient être récompensés. C’est l’abolition de l’égalité démocratique. La vaccination obligatoire par la porte de derrière !

Et c’est un vaccin entièrement expérimental !
Nous parlons donc d’une énorme expérience, 8 millions…, une expérience sur 8 millions de personnes qui sont prêtes … c’est-à-dire : si elles sont vraiment prêtes, à mettre en place un système d’apartheid à deux vitesses. S’il vous plaît, que quelqu’un arrête cela !

Il est également ironique qu’une partie importante de la résistance vienne des Juifs ultra-orthodoxes. Ils se sont opposés au confinement parce qu’il a empêché la pratique du culte.

J’ai vérifié :
Même à l’époque de la grippe espagnole en 1918, on n’a pas fermé les lieux de culte. On n’a certainement pas fermé toute la société. Les vrais scientifiques qui étudient la propagation des maladies infectieuses ont prévenu : il n’est pas nécessaire de fermer la société. Il ne faut jamais isoler les personnes en bonne santé. Il faut seulement isoler les malades ! Vous devez isoler les malades en quarantaine et vous devez les traiter. Dans ce cas, il faut les traiter tôt.

Mais pas tous les autres ! Ne fermez pas l’économie locale ! La plupart d’entre elles ne seront pas en mesure de rouvrir.
Elles feront faillite, sauf les très grandes, Amazon et toutes les autres sociétés de vente par correspondance sur Internet, où il n’y a aucun contact humain avec le client. Mais bien sûr, ils ont des milliers d’employés, mais ça n’a pas d’importance là-bas.

Tout cela fait partie de ce que Klaus Schwab appelle la « Grande Réinitialisation ». Il en a écrit les instructions. Comment cela doit être fait. Les gens deviennent du « capital humain ». Je pense que nous avons atteint un point où nous devons réfléchir sérieusement :
Comment arrêter l’émergence du 4ème Reich ? Parce que nous avons déjà cédé tellement de contrôle à ceux qui sont sérieux ! Ils s’y préparent depuis très longtemps !

Bill Gates a déjà… il a financé des recherches que le M.I.T. a faites pour lui. Il y a fait développer un tatouage qui, au lieu d’une carte d’identité imprimée, stocke des informations dans la peau qui peuvent être lues avec un iPhone. Que pensez-vous de cela ?

Je pense que… bon, cela va paraître absurde, et certaines personnes vont penser « la vieille dame est un peu perdue ».
Mais je pense que les gens sont devenus dépendants de la technologie. Et c’est ce qui causera leur perte ! Parce que si vous n’étiez pas aussi accro à l’iPhone et à tous les autres jouets numériques, alors ils ne vous suivraient pas si facilement. Mais les gens ne voient pas comment ces « grandes choses » pourraient être utilisées pour exercer un contrôle sur eux. Contre leur gré !

Les gens sont… C’était une manipulation psychologique qu’ils n’ont pas remarquée.
Et c’est ce qui se passe maintenant aussi avec le verrouillage. Chaque État, chaque pays le fait à sa manière, toujours légèrement différente. Comment pouvez-vous sérieusement dire que c’est scientifiquement fondé ? C’est du pur arbitraire ! Il y a maintenant 16 États américains sans masquage obligatoire. Je ne vois pas de grandes épidémies. C’est un gigantesque… lavage de cerveau.

J’aimerais que l’Allemagne prenne le leadership sur cette question ! Parce que nous ne devons pas nous retrouver dans une situation où nos petits-enfants nous regardent dans les yeux en se demandant : « Qu’est-ce qui n’allait pas chez toi ? Comment as-tu pu être aussi stupide pour laisser cela se reproduire ? »
Comment dire… Je comprends que j’ai l’air très dur. Et ça peut ne pas être bien perçu. C’est juste que : Je vois juste les dangers si clairement dans mon esprit ! Et petit à petit, une autre pierre s’ajoute à la mosaïque.

Comment ils ont « joué » avec les restaurateurs, par exemple. C’est vraiment absurde ! A l’extérieur. 1,50 mètres. Distance. Les restaurants de New York qui peuvent se le permettre – ce sont généralement ceux qui ont déjà une petite chaîne, ils ont pu se construire un peu plus – ont installé des tentes sur le trottoir. Pouvez-vous m’expliquer quelle différence cela fait qu’une table soit à l’intérieur, ou entourée de plexiglas ou de toile ? C’est absurde ! Tout cela n’a aucun sens ! Mais c’est le monde dans lequel nous vivons !
Ou la terrible décision de fermer toutes les institutions culturelles !
Et le fait de priver les enfants de leur éducation. C’est le deuxième plus grand crime après les expériences médicales. Priver une génération entière de son droit à l’éducation. C’est tout simplement inconcevable !

Et les enfants. Oui, ils aiment appeler les enfants des virus. « Même s’ils n’ont aucun symptôme, ils répandent le virus partout ! » Ceux qui disent cela n’ont aucune preuve pour cette affirmation ! Les dictats n’ont pas besoin de preuves ! C’est si incroyablement triste ! Croyez-moi, je n’ai jamais pensé que j’aurais à revivre une telle expérience. Avoir peur une fois de plus.

Laissez-moi vous parler du vaccin : Je n’ai pas l’intention de me faire vacciner ! Et c’est pourquoi j’y ai déjà pensé : que se passerait-il s’ils sonnaient à ma porte ? Les médecins et la police. J’ai entendu dire que c’est exactement ce qui s’est passé dans une maison de retraite en Allemagne. C’est exactement comme ça que le GESTAPO a fait. Eh bien, qu’est-ce que je peux faire alors ? Je vais réveiller la petite fille de six ans qui est en moi, développer une tête de défi et crier pour ma vie. Qu’est-ce que je peux faire d’autre ?

Nous sommes vraiment … à un carrefour important ! Soit la société va s’en sortir et survivre, soit elle ne survivra pas !
Il y avait tellement de signes significatifs. La Chine a été louée comme un modèle. Quelle personne saine d’esprit voudrait vivre dans la Chine communiste ? C’est comme vivre dans un état STASI ! Mais les gens auraient pu remarquer qu’un troupeau obéissant est le but. Un peuple qui dit « oui » et « amen » à tout.
Ce qui est drôle, c’est qu’il y avait une mentalité parmi le peuple américain, et aussi parmi les Israéliens, qui croyait en leur propre force. « Nous sommes assez forts et nous pouvons le faire. » Où est passée cette attitude ? La croyance en soi, où est-elle ?

Uwe Alschner : Vera, merci beaucoup pour cet aperçu très précieux et important sur la comparabilité des événements terribles du passé et des événements actuels, qui pourraient encore évoluer vers un monde beaucoup plus sombre. Vous avez dit que nous étions à la croisée des chemins. Je suis d’accord avec vous. Nous sommes à la croisée des chemins.
Beaucoup d’entre nous n’ont pas encore été capables de réfléchir et de réaliser ce qui se passe. Les Warner ont été accusés de ne rien faire de bon. C’est le contraire qui est vrai !
C’est pourquoi il était important que vous, en tant que survivants de l’Holocauste, souligniez les similitudes. Vous êtes appelés à faire ces comparaisons. De même, la comparaison entre la carte verte de vaccination et l’apartheid.
Ce sont des mots forts que je trouve très utiles. Ils peuvent être utilisés pour faire comprendre aux gens que nous n’avons pas seulement besoin de l’aide divine, mais que nous devons aussi redécouvrir notre dignité humaine et notre intelligence pour réaliser ce qui doit être fait maintenant. A savoir : résister pacifiquement mais résolument à la propagande, mais aussi aux mesures qui ont été prises et qui sont aussi injustes qu’inhumaines.

Vera Sharav : Permettez-moi d’ajouter, s’il vous plaît, au sujet de l’étoile juive :
J’ai suggéré d’utiliser ce symbole. Mais je comprends que d’autres personnes qui n’ont pas été personnellement touchées l’utilisent comme une attaque. Ils vous dépeignent comme l’ennemi et l’arriéré. On prétend que les détracteurs veulent revenir à l’histoire. En fait, porter l’étoile de David signifie un signe :
l’étoile a marqué le début, bien avant les déportations ! Ceux qui suppriment le débat, empêchent la discussion, l’échange d’idées, même les réunions.

Il est tout à fait normal de se disputer ! C’est bien aussi d’avoir un débat animé. Quand ils censurent et traitent les dissidents de « théoriciens de la conspiration », c’est un signal d’alarme : il y a une dissimulation en cours ! Ils dissimulent ce qui ne doit pas être discuté et évoqué par les gens et ce qui ne doit pas être connu ! C’est ce qui se cache derrière les mesures de censure. C’est un réflexe de défense.

Oh, et les « théories du complot »… S’il ne s’agissait que de théories, il n’y aurait pas besoin de les censurer.
Il n’y aurait pas besoin de persécuter et de supprimer tous ceux qui disent quelque chose de différent du récit officiel. Ce serait complètement inutile. Ils le font uniquement parce que la propagande est un mensonge. Et ils veulent vendre ce mensonge comme la seule vérité.

Uwe Alschner : Vera Sharav, merci beaucoup pour le temps que vous nous avez accordé ! C’était un grand honneur !
Je vous souhaite le meilleur ! Je souhaite pour nous que votre courage et votre détermination grandissent de façon exponentielle et nous inspirent tous ! Car nous devons prendre courage et prendre position ! Merci beaucoup !

Vera Sharav: Merci !

Originellement publié par le Blog allemand  Vitalstoff.Blog

Pfizer – La plus grande escroquerie mondiale détricotée !

Voici les preuves implacables, dans une présentation brillante qui démontre, de façon très simple et accessible à tous, à quel point les études de Pfizer sont truquées du début à la fin, avec la complicité des autorités sanitaires, politiques et des médias.
Cet exposé d’une association de 500 docteurs, chercheurs et praticiens de la santé Canadiens, doit devenir viral à l’heure des discussions sur le pass vaccinal. Le monde entier doit connaître la vérité !

Par @ExcaliburTraduction

blob:https://odysee.com/b79660b9-cec5-4bc4-a431-a677e052ea40

Il n’y a pas de mot pour qualifier ce scandale, l’enquête est canadienne mais, comme tout le monde est susceptible d’être injectés, nous devons prendre en compte cette enquête. Nous devons demander l’arrêt immédiat de ces injections toxiques. Partagez !

Version PDF de la présentation :
https://www.canadiancovidcarealliance.org/wp-content/uploads/2021/12/The-COVID-19-Inoculations-More-Harm-Than-Good-REV-Dec-16-2021.pdf

Vidéo originale sur le site de Canadian Covid Care Alliance :
https://www.canadiancovidcarealliance.org/

Vidéo sur les sportifs :
https://rumble.com/vpnxkr-are-these-side-effects-extremely-rare.html

Article sur les sportifs décédés ou malades suite aux injections :
https://report24.news/ab-13-jahren-lange-liste-ploetzlich-verstorbener-oder-schwerkranker-sportler/

Source ExcaliburTraduction:
https://odysee.com/@ExcaliburTraduction:4/Pfizer-inoculation-Do-More-Harm-Than-Good-doubl%C3%A9e:d

Lettre ouverte de Mehdi Belhaj Kacem : « Nous vivons la première guerre civile mondiale, un génocide non conventionnel »

by APAR.TV3 novembre 2021 
Temps de lecture: 22 mins

Voici une très belle lettre à lire absolument et à diffuser largement autour de vous …

Cher Monsieur le maire de Turenne, Yves Gary du nom,

Un ami m’a envoyé hier soir votre lettre (voir ci-dessous) intitulée « le mot du maire ». Je me suis esclaffé en la lisant. Je ne suis manifestement pas le seul, car, dès le lendemain matin, je me suis aperçu que votre lettre circulait énormément sur les réseaux. Il est donc de mon devoir de vous l’apprendre : vous êtes d’ores et déjà la risée de centaines de milliers de français.

Je me présente d’abord à vous. Je réside à Turenne depuis près de vingt-cinq ans maintenant, dans une maison qui est un héritage familial. Je suis écrivain et philosophe de mon état, j’ai publié plus d’une trentaine d’ouvrages, dont une bonne partie chez de grands éditeurs (Gallimard, Grasset, Fayard, Stock…). Mon troisième roman, Vies et morts d’Irène Lepic, écrit à vingt-et-un ans, est considéré aujourd’hui par des milliers de personnes comme l’un des meilleurs romans des années quatre-vingt dix. Michel Houellebecq, devant un parterre de VIP de l’art contemporain, a dit que j’étais le seul écrivain de sa génération aussi bon que lui. J’ai été le premier philosophe à avoir droit à un colloque à 39 ans à l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm, qui a produit 90% des grands philosophes en France depuis deux siècles, alors que je suis un parfait autodidacte (bac+0). Alain Badiou m’a publiquement présenté il y a quinze ans comme l’un des deux philosophes les plus doués de ma génération, et l’anthropologue de renommée internationale David Graeber, mort prématurément l’année dernière à Venise, disait partout autour de lui que j’étais le plus grand philosophe vivant, et beaucoup de monde pense comme lui. Un grand poète américain, Steve Light, a écrit qu’on n’avait jamais vu, de toute l’histoire de la philosophie, un tel ratio entre invention conceptuelle systématique, et autodidactisme. Je pourrais continuer comme ça pendant des pages et des pages. Comme le dit un très grand médecin lanceur d’alerte sur la situation, le Dr Roger Hodkinson, dont vous devriez prendre de la graine : « I am proud of my fuckin C.V. ».

Je m’excuse donc de me faire mousser de la sorte; ce n’est pas très élégant. Mais, quand je m’adresse à des personnes comme vous, je me sens obligé de le faire, pour que l’interlocuteur comprenne qu’il n’a pas exactement affaire à celui que le bon peuple appelle « Joe le clodo ». Vous parlez de votre lettre de « compétence », sans nous en dire davantage (doux euphémisme); je suis donc obligé, en préambule aux discussions avec les personnes comme vous, d’avancer mes titres de noblesse sous ce rapport, c’est-à-dire des capacités d’analyse et de réflexion que toutes les personnes, à point nommé, compétentes, reconnaissent à mon sujet.

On se demande d’abord, à la lecture de votre lettre, quel est le vôtre, de titre de « compétence ». Si celui-ci repose sur le fait d’ouvrir les grands quotidiens, d’écouter France-ceci ou France- cela, ou de regarder BFMTV ou France 2, vous êtes effectivement mal parti. En 2021, ce n’est pas comme cela que l’on s’informe, mais en allant à la source; croire qu’on apprend quoi que ce soit en consommant les médias de masse, c’est comme être, en termes d’information, un néandertalien quand apparaissent les Cro-magnons, ou se battre avec un gourdin quand on vient d’inventer les armes à feu.

C’est l’explication la plus plausible : cela fait plus d’un an et demi que la majorité de nos concitoyens sont coupés de toutes leurs capacités cognitives par la propagande incessante dont les inondent les médias de masse, subventionnés par l’État et détenus par les huit familles les plus riches de France. Ces médias, et depuis longtemps, n’ont plus pour fonction d’informer les gens, mais simplement de se faire les porte-voix du gouvernement. Toutes les considérations dont vous gratifiez votre public reposent donc sur le crédit que vous accordez à ce que raconte celui-ci. Vous supposez, en somme, qu’il dit, depuis un an et demi, la vérité. Or, c’est le contraire. Ce gouvernement a menti sur absolument tout. Ce gouvernement n’est plus qu’à son tour qu’un outil au service d’institutions supranationales comme l’OMS, ou de multinationales, comme Pfizer. Saviez-vous que notre président de la République avait négocié, du temps où il travaillait pour la banque Rothschild, un contrat à hauteur de 10.000.000.000 de dollars entre Nestlé et… Pfizer (vous avez dit « compte offshore »?)? Saviez-vous que son épouse détenait quantité d’actions dans la même entreprise? Saviez-vous que c’était Pfizer qui alimentait le compte Suisse de Cahuzac, et probablement de nombre de membres du Parti Socialiste, celui qui veut nous pousser à la vaccination obligatoire? Saviez- vous que Pfizer est l’entreprise pharmaceutique la plus corrompue et la plus condamnée en justice de tous les temps (plus de quarante verdicts négatifs, plus de 5.000.000.000 de dollars de dommages et intérêts versés en tout)?

Vous commencez votre lettre en disant que nous espérions, au printemps, que le covid 19, si vous me passez l’expression, nous lâcherait un peu la grappe. Las! Dites-vous : il y a eu la quatrième vague. Désolé de vous détromper : il n’y a pas eu de quatrième vague, parce qu’il n’y en a pas eu de troisième, qu’il n’y en a pas eu de deuxième, qu’il n’y en a pas eu de première; et que, en réalité, il n’y a jamais eu de « pandémie » du tout, sauf dans quelques cerveaux malades, notamment ceux qui dirigent l’OMS, probablement l’organisation politique la plus criminelle de tous les temps.

Il n’y a pas eu de « pandémie », et ce sont les chiffres officiels qui le disent. Tapez « morts covid » sur Google, vous tomberez sur le chiffre, au jour où je vous écrit, de 4.800.000 de la population mondiale, c’est-à-dire environ 0,04% de celle-ci, ce qui est dérisoire. C’est d’autant plus dérisoire quand on connaît la moyenne d’âge des victimes : 84 ans. C’est-à-dire des gens qui ont largement dépassé leur espérance de vie. Je dis « largement », car chez nous, pays occidentaux (France, Italie…), l’espérance de vie est de 82 ans, et c’est pourquoi nous avons pris plus « cher » (0,14/0,15%) que beaucoup de pays plus pauvres, où l’espérance de vie est, bien sûr, beaucoup plus courte.

Ceci pour simplement vous faire réaliser que, depuis un an et demi, beaucoup de monde, à commencer par les médias de masse centralisés, et vous à leur suite, « raisonnent » sur une chimère sémantique pure et simple : « il existe un virus dévastateur qui atteint la planète entière, tuant 0,04% de sa population, essentiellement des personnes ayant dépassé de très loin leur espérance de vie. » C’est une phrase littéralement vide de sens, et pourtant c’est sur elle que se fondent tous les « discours » du type de celui que vous tenez dans votre lettre, et dont on nous harcèle depuis plus d’un an et demi. Tout étudiant en philosophie de première année sait que, si la prémisse est fausse, le reste du discours est faux aussi.

La chose, en réalité, va beaucoup plus loin, dans ce qui est la plus grande et la plus grave manipulation politique de masse qui ait jamais été perpétrée dans notre histoire. Là encore, ce sont les documents officiels qui le disent. Je me permets de vous renvoyer à ce lien : https://bit.ly/3GETZ5t

Il s’agit du compte-rendu détaillé de Santé Publique France sur la crise-du-covid entre mars 2020 et mars 2021. Je vous conseille de lire les 68 pages en entier, mais si le temps vous manque, vous pouvez vous contenter de « sauter » à la page 43. Vous y découvrirez ce chiffre ahurissant : sur la centaine de milliers de supposés morts-du-covid, seuls 14471 sont véritablement morts du seul covid. Les autres, en réalité, sont morts d’autre chose : cancer, leucémie, diabète, insuffisance cardiaque, etc. Donc : les 0,04% de morts du terrible virus sont, en réalité, plus proche de 0,004% : autant dire rien. Car les chiffres officiels des autres pays disent strictement la même chose : par exemple du CDC aux Etats-Unis, qui ont pareillement établi que, sur tous les morts officiellement déclarés du covid, seuls 6% d’entre eux étaient « sans comorbidités », c’est-à-dire que 94% d’entre eux sont morts de tout à fait autre chose.

Aussi, au niveau de la « compétence » et de la rigueur argumentative, est-il très malvenu de votre part de comparer la situation présente avec la diphtérie, la tuberculose, la rougeole ou la poliomyélite : ces maladies étaient, de fait, massivement létales; le covid 19, en réalité, ne tue quasiment personne, mais porte l’estocade à des personnes qui avaient déjà dépassé leur espérance de vie.

Vous dites ensuite, sur cette fausse base, que seule la vaccination de masse permettra d’acquérir « l’immunité collective » (notion dénuée de toute pertinence scientifique, comme le savent les gens réellement compétents). Hélas pour vous, tous les pays qui ont massivement vacciné, comme Israël ou Gibraltar, ont vu leurs taux de mortalité décoller verticalement, ainsi que leurs taux d’infection au covid (la seule solution? Une troisième dose, après que les deux premières aient si bien marché! Et une quatrième, une cinquième, une sixième…). Aussi vous trompez-vous quand vous dites que seule la vaccination de masse permettra de sortir de la pandémie : d’abord, il n’y a jamais eu de pandémie, sinon une pandémie de mensonge, de terreur, d’abrutissement et de manipulation; ensuite, les « vaccins », qui ne méritent même pas ce nom, sont non seulement inefficaces, mais dangereux. Je vous le démontre plus loin, chiffres officiels à l’appui, contre votre négationnisme bravache à ce sujet.

Vous demandez, ce qui prouve en tout cas que vos yeux, eux, n’ont pas attrapé le covid : « comment peut-on sérieusement continuer à parler d’un vaccin expérimental alors qu’il a été injecté à près de la moitié de la population mondiale sans ou presque d’effets secondaires? » Comment, en effet? Eh bien, très simple : en lisant ce qu’écrivent les gens d’Astrazeneca, Pfizer, Moderna et Johnson sur leurs sites respectifs : que les vaccins sont en phase 3 (rats de laboratoire habituellement), et que ces expérimentations prendront fin en 2022 ou en 2023, c’est selon. Les gens de Moderna vont jusqu’à écrire : « notre vaccin est un système d’exploitation somatique, dont le but est de pirater vos fonctions biologiques », sic. Que la moitié de la population mondiale se soit faite injecter, le plus souvent sous le chantage et la contrainte à peine détournée, vous empêche de vous rendre à la terrible évidence : nous assistons en effet à la plus gigantesque expérimentation médicale jamais tentée sur l’humanité. Tôt ou tard, la finalité réelle de cette expérimentation ne pourra que sauter à vos yeux si éclairés. Comme le disait Coluche : « Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison ».

Mais la phrase, de toute votre lettre, qui m’a le plus fait pouffer, c’est celle qui dit : « sans ou presque d’effets secondaires ». Ah booooon? Là encore, il suffit de se fier aux chiffres officiels, et à rien d’autre. Eudravigilance, le site européen de pharmacovigilance, avançait, début octobre, les chiffres suivants : 27.222 morts, près de 2.300.000 d’effets secondaires, dont la moitié graves (et, soyons clairs : « graves », en pharmacovigilance, signifie : « handicap à vie »). On peut dire que l’adverbe de votre phrase prend tout son sel à la lumière de ces chiffres dûment sourcés… vous avez dit « compétence »?

Mais ce n’est pas tout. Car tous les spécialistes d’enquêtes de pharmacovigilance vous diront que seuls 1 à 10% des effets secondaires sont réellement rapportés; en sorte qu’il faut au moins multiplier les chiffres obtenus officiellement par dix pour s’approcher, et seulement s’approcher, de la vérité. Nous avons donc les plus solides raisons rationnelles de penser que, dans les pays de l’U.E. (Angleterre non comprise donc, où les chiffres officiels sont terrifiants aussi), il y a eu au minimum 270.000 morts, et 21.000.000 millions de handicapés à vie. C’est-à-dire, d’ores et déjà, dans la seule Europe, beaucoup plus de victimes des vaccins que du malheureux covid 19 dans le monde entier. Je me permets à ce sujet de vous renvoyer à ce lien, une petite vidéo que j’ai faite avec une amie, devant cette organisation criminelle qu’est l’Ordre des médecins, qui persécute les médecins qui osent soigner leurs patients et dire la vérité sur ce qui nous arrive depuis un an et demi :
https://odysee.com/@belhajkacem.mehdi:8/t_file6034928538396658340:1

Mais, au fait, ces effets secondaires, quels sont-ils? Comme le dit le très courageux Dr Ochs, le risque du vaccin est 40 fois plus élevé pour les moins de cinquante ans que le covid lui-même. Que dire de nos adolescents, qu’on vaccine en masse depuis la rentrée, contre une maladie pour laquelle ils ne risquent rien? Que dire de nos enfants, à qui on s’apprête de faire la même chose (le même dr Ochs en tire la conclusion qui s’impose : « infanticide »)? Vous êtes bien sûr de votre adverbe? N’y a-t-il pas une petite puce qui commence à vous démanger l’oreille?

Car voici en quoi consistent ces effets secondaires : des AVC; des myocardites (en particulier chez les jeunes et les adolescents, ce qui est aberrant); des péricardites; des thromboses; des troubles neurologiques graves; des troubles gastro- entériques graves; des troubles neurologiques graves; la paralysie de Bell; le syndrome de Guillain-Barré; des convulsion violentes; des fausses couches (une fois sur huit…); des épilepsies; des nécroses; des zonas; des cécités; des surdités; et la liste est loin d’être exhaustive… Je peux vous envoyer des listes kilométriques de sportifs de haut niveau décédés suite à des complications cardiaques, ou dont la carrière est finie suite aux injections. Je ne sais pas comment vous faites pour ne pas entendre parler de ce phénomène « étrange » que rapportent toutes les presses régionales : le nombre inusité d’adolescents qui font des malaises cardiaques pendant qu’ils font du sport au collège ou au lycée.

Mais même si je m’écarte des données officielles édifiantes, et que je regarde simplement autour de moi, où l’enthousiasme pour le « vaccin » n’est pas de mise, j’ai constaté : un homme de 42 ans, père de trois enfants, mort d’un arrêt cardiaque après l’injection; un militaire de 25 ans, un athlète qui ni ne fumait ni ne buvait, qui a subi un AVC après l’injection, et dont la carrière est finie; une femme de la soixante, qui développe depuis l’injection un asthme très brutal et persistant; un ami qui a subi une diarrhée virale très pénible après l’injection. Mais l’effet secondaire le plus systématique et répandu, qui donne d’innombrables témoignages sur les réseaux, c’est la grave perturbation des cycles menstruels chez les jeunes femmes et les adolescentes. J’ai discuté avec une jeune femme de 25 ans (non vaccinée), qui m’a confirmé que toutes ses amies vaccinées avaient de gros problèmes de règles. Et j’ai aussi échangé avec une adolescente (non vaccinée), qui m’a dit elle aussi que toutes ses amies vaccinées avaient de gros soucis de « ragnagnas », comme elle dit dans son langage fleuri. Dans les pays où on a commencé à vacciner les enfants, comme les Etats-Unis, on rapporte des cas de saignements vaginaux chez des fillettes, ou même des nourrissons de sexe féminin. (A raison inverse, on mentionne de nombreux cas de femmes ménopausées depuis des années… et qui ont recommencé à avoir leurs règles.) Il n’y a pas besoin d’être madame Irma pour savoir ce que les conséquences, en termes de fertilité, représenteront pour toute une génération. Je suis sûr que vous avez des fils et/ou des filles, voire des petits enfants. J’espère que votre enthousiasme vaccinal s’arrêtera à temps pour que vous sauviez votre lignée. De même, et puisque vous avez une confiance si aveugle dans les « vaccins », et que vous êtes donc plus que probablement injecté, pourquoi ne pas faire les tests suivants : le test de d-dimère (qui mesurera les taux de micro- caillots sanguins que vous avez dans le sang); le test de sérologie (pour regarder voir où en est votre système immunitaire); et un test d’électro- magnétisme (si, si, ce n’est pas une thèse « complotiste », de nombreuses études scientifiques ont démontré que les vaccinés étaient « magnétisés »). Je le répète : puisque vous êtes si confiant dans ces « vaccins », pourquoi ne pas faire ces trois tests? Mais je préfère être honnête avec vous : il est presque impossible que vous n’ayiez pas une très mauvaise surprise au moins en les faisant tous les trois…

Aussi, à vous qui n’avez pas froid aux yeux pour colporter les énormités des médias et d’un gouvernement criminel, mensonger et corrompu, je tiens à vous prévenir que je n’ai pas ma langue dans ma poche. Le Dr Michael Yeadon, rien moins que l’ancien vice-directeur de Pfizer, et scientifique de haut niveau (biologie), parle depuis un an et demi déjà de « troisième guerre mondiale »; j’ai lancé, dans un entretien donné il y a huit mois au journal Times of Israël, l’expression « première guerre civile mondiale », qui a été depuis reprise par des centaines de milliers de personnes; et, depuis quelques mois, je ne recule plus devant l’expression suivante : « génocide non conventionnel », comme on parle de « guerre non conventionnelle ». C’est-à-dire qu’il n’y a plus besoin d’utiliser des mitrailleuses, des chambres à gaz ou des machettes; il suffit d’imposer des confinements, des masques et des « vaccins ». Les confinements ont d’ores et déjà détruit les vies de milliards de personnes dans le monde (dont une qui m’était extrêmement proche, qui s’est suicidée à cause du premier), alors qu’ils n’ont aucune utilité sanitaire avérée; les masques, inefficaces et toxiques lorsque portés trop longtemps, ont d’ores et déjà traumatisé une génération entière d’enfants et d’adolescents; enfin, les vaccins ont d’ores et déjà fait, dans le monde entier, incommensurablement plus de victimes que le misérable, et à la vérité presque inoffensif, virus qu’ils sont censés combattre.

Génocide, oui, et le plus grand, peut-être, de tous les temps, dans la mesure où, s’il s’avérait que le « vaccin » avait pour fonction de modifier le génome humain, non seulement il serait le plus grand en quantité, mais il le serait aussi en qualité : il serait le génocide le plus littéral qui fut jamais. Exagération? Pourquoi est-ce que de nombreux survivants de la Shoah (Véra Sharav, Rabbi Hillel Handler, Hagar Schafrir, Sorin Shapira, Mascha Orel, Morry Krispijn, Shimon Yanowitz, Hila Moscovich, Tamir Turgal, Amira Segal, Jacqueline Ingehoes, Andrea Dresher, Edgar Siemund, etc.) disent-ils la même chose que moi, que des millions de français, et des centaines de millions de personnes dans le monde?

Votre lettre se termine, sans doute pour caresser votre belle âme, par les compliments de rigueur aux soignantes et aux soignants. Pourquoi n’avez-vous pas un seul mot pour les 350.000 mille d’entre elles et eux qui ont perdu leur emploi depuis le 15 septembre, sans indemnités ni chômage, bref qui sont littéralement jeté(e)s à la rue, au seul prétexte d’avoir refusé de se faire vacciner? Comment pouvez-vous, sans mourir de honte, vous féliciter de ce que fait l’hôpital public français, alors qu’on est, très sciemment, en train de le démembrer et de le détruire à petit feu (ça a commencé il y a des décennies en réalité)?

Aussi, me permettrai-je d’arroser l’arroseur que vous êtes : ce qui est « délétère et irresponsable », ce ne sont certainement pas les lanceurs d’alerte dans mon genre, qui dénoncent, avec le grand avocat allemand Reiner Fuellmich, le « plus grand crime contre l’humanité jamais commis », mais des gens irréfléchis et mal informés dans votre genre. Faire preuve d’humilité, admettre qu’on s’est trompé (parce qu’on a été trompé), présenter des excuses, ouvrir les yeux : voilà une petite quantité de choses que vous pourriez faire pour ne pas rester, aux yeux de l’histoire, comme le sont restés les responsables politiques de 1939-45 en France sous l’occupation allemande et le gouvernement de Vichy : ce qui se passe en ce moment est en tous points homothétique à ce qui s’est passé à cette époque là, sauf qu’aujourd’hui c’est à bien plus grande échelle (ce que disent tous les survivants de la Shoah que je vous ai mentionnés plus haut). De nous deux, c’est moi qui suis pleinement responsable, en risquant ma réputation et peut-être ma vie pour réveiller le maximum de gens sur la réalité de ce qui est en train de se passer à échelle mondiale, et dont la présente lettre ne vous délivre qu’un petit bout de l’iceberg. Il faut que vous sachiez que je suis si horrifié par la situation que nous vivons dans le monde entier depuis deux ans, que je passe littéralement douze heures par jour à m’informer et me documenter sur la situation. Si, donc, vous voulez vous éveiller de votre « sommeil dogmatique », comme disait Kant, je me tiens à votre entière disposition : j’habite à seulement une centaine de mètres de la mairie.

Mehdi Belhaj Kacem

P.S. : je suis désargenté en ce moment, mais, dans dix jours, je n’hésiterai pas à faire des centaines d’impressions de la présente lettre pour la distribuer dans tout le village. Certaines de mes vidéos ont fait plus de 500.000 vues chacune sur les réseaux, donc réveillez-vous avant que je ne vous fasse une trop grande publicité, déjà que votre lettre a involontairement fait de vous une star sur les réseaux, sans doute dans votre ignorance la plus complète. Je ne désespère pas de vous réveiller complètement, et de faire que Turenne se transforme en village d’Astérix, qui résiste à l’Empire… vous verrez que la comparaison est tout sauf exagérée…

Lire aussi la lettre ouverte aux non-vaccinés.


Notes :

1. Voici la lettre du maire en question :

​Après l’espérance au printemps d’un retour progressif mais rapide à une vie sans covid-19 ce dernier ne semble pas avoir abdiqué.

Las, la quatrième vague et bien là qui se déverse sur le pays à très grande vi​​tesse, jetant le trouble sur la période estivale au cours de laquelle beaucoup d’entre nous pensaient pouvoir oublier plus d’un an de difficultés et vivre ou revivre normalement, tout simplement.

Il faudra encore attendre un peu. Et peut-être plus encore pour peu que les anti-vax associés aux « anti-tout » continuent à diffuser leurs messages délétères et irresponsables.

Le vaccin et la capacité à atterrir l’immunité collective par un taux de vaccination de l’ordre de 80 à 90 % de la population adulte est la seule issue possible pour mettre un terme à cette pandémie. Tout autre discours n’est que baliverne.

Comment les maladies infantiles telles que la variole, la diphtérie, la tuberculose, la rougeole ou plus près de nous la poliomyélite – qui n’y a il n’y a pas si longtemps encore décimait nos populations – ont-elles été éradiquées si ce n’est pas la vaccination ?

Comment peut-on sérieusement continuer à parler d’un vaccin expérimental alors qu’il a été injecter après de la moitié de la population mondiale sans ou presque, d’effets secondaires.

Le parallèle est osé, j’en conviens volontiers, mais comment ne pas penser au taux d’abstention record lors des récente élection départementale et régionale même si cette tendance est à la baisse est enclenchée depuis longtemps.

Méconnaissances des compétences de ces institutions, ignorance des enjeux de ses scrutins ou encore perte de confiance dans les élus, et cetera

Mauvais alibi que tout cela : car alors, comment expliquer que c’est même citoyen ignorant de tout le dimanche, sache parfaitement à qui s’adresser le lundi matin pour faire valoir « leurs droits ».

Non, la réponse est ailleurs : elle est plus vraisemblablement la matérialisation d’une lente mais profonde transformation de notre société vers un individualisme conquérant au dépend d’un sens citoyen civique désormais suranné.

À l’heure de l’anonymat qui permet de déverser impunément toutes sortes d’un sanité sur les réseaux sociaux, à l’heure du règne du selfie qui glorifie le mois triomphant, qu’importe l’autre.

Que les institutions doivent évoluer pour mieux prendre en compte les évolutions technologiques et s’adapter changement de comportement des personnes est une évidence. Mais elle ne pourrons pas être efficace sans une nouvelle impplication citoyenne.

Mais le pire n’est jamais sûr, n’est-ce pas ? À la fin du mois de septembre, plus de 80 % de la population française est vaccinée, l’ensemble des personnel soignants est toujours sur le pont et continue à faire un travail admirable, et dans la vie quotidienne les comportements et gestes altruistes de nombre de nos concitoyens incitent à l’optimisme.

Yves Gary
Maire de Turenne

COMPLEMENTS:

Entretien « Un nouveau totalitarisme est en train de se mettre en place » sur France Soir du 15/12/21

Lettre à l’Académie de Médecine France Soir du 10/2/22

Pourquoi je pourrais un jour me faire vakxiner.

Extrait d’un très bel article de Slobodan Despot dans sa revue l’Antipresse à laquelle j’invite à s’abonner.

RAISONS DU NON, JURIDIQUES ET MÉDICALES


I. Je suis adulte et dûment vacciné comme mon carnet jaune de l’OMS en atteste. Toutes les vaccinations que j’ai prises ont été longuement testées au préalable et jamais, pour aucune, le médecin ou l’Etat ne m’avait fait signer une décharge de responsabilité. Si on m’avait jamais mis un tel papier sous le nez, je me serais passé de l’injection, quoi qu’il m’en coûtât.


II. Servir de cobaye non rémunéré à une expérience biologique dont nul ne sait les retombées à terme, ce pour pallier une maladie à moins de 1% de létalité, me semble d’une témérité incompréhensible. Quelque chose comme, en 1912, le saut de Franz Reichelt de la tour Eiffel avec son prototype de parachute. Il n’avait pourtant pas un gorille enragé aux trousses… Que n’a-t-il d’abord balancé un mannequin? se dirait tout esprit sensé.


III. Accorder une décharge de responsabilité à l’Etat qui patronne cette expérimentation et aux compagnies privées qui s’enrichissent démesurément en la fournissant ajoute l’idiotie à la témérité. Quiconque est piqué aujourd’hui s’est privé du droit de reprocher à qui que ce soit les éventuelles retombées. Si cet acte le protège, il s’en réjouira avec les autorités. S’il lui cause du mal, il en souffrira seul.


IV. Le même Etat qui refuse d’assumer la responsabilité de cette expérimentation montre du doigt les réfractaires en les accusant d’irresponsabilité sociale. L’irresponsabilité sociale incombe en premier lieu à celui qui impose à autrui une cause sans en assumer les effets.


V. Les relations sur les effets secondaires enflent, appuyées du reste par des statistiques non contestées, indiquant des couacs beaucoup plus fréquents qu’avec toutes les vaccinations précédentes. On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, certes, mais quand il y a davantage d’oeufs sur la cuisinière que dans la poêle, il est permis de douter du cuistot. Ce sujet reste brumeux, j’en
ai longuement parlé avec des statisticiens et il est difficile — malgré les données publiquement disponibles de tirer une quelconque loi des cas
isolés. La fréquence des jeunes sportifs qui s’effondrent sur les terrains
m’incline tout de même à la réserve, comme elle a refroidi Novak Djoković et une bonne part des joueurs du circuit ATP.


VI. Si le sirop était efficace, on pourrait passer sur la gueule de bois. Or, d’Israël à Singapour en passant par la Mongolie, les zones rouges des sursauts d’infection se recoupent avec les zones «vertes» de la couverture vaccinale, qui va pourtant jusqu’à des 96-99%. Pour en arriver à cette conclusion candidement confessée par le patron de Moderna: cette vaccination sera
un abonnement renouvelable d’année en année ou de semestre en
semestre. Et l’ausweis social qui l’accompagne de même. Mais les raisinés ne s’étonnent même plus d’être aussi contagieux, et aussi vulnérables, que ceux qui ne le sont pas. Une fois qu’on leur a collé les semelles au plafond, les moutons se contentent de rentrer la cravate sous le gilet pour ne pas l’avoir dans les yeux et continuent de vaquer comme si de rien n’était.


VII. On pourrait croire, ô miracle!, que trois ou quatre shots amèneraient l’efficacité voulue. Or les réserves déjà commandées par les Etats — la
Suisse du moins — laissent peu de place à la Providence. Il suffit de diviser les précommandes par le nombre d’habitants pour connaître l’agenda.


RAISONS DU NON: PHILOSOPHIQUES ET MORALES


On pourrait ajouter à cette liste bien des points encore. Rappeler le scandale des études frelatées de Pfizer, invoquer la suspension subite de certains vaccins selon les pays, claironner le mensonge désormais établi du fameux Dr Fauci au
sujet des études en gain de fonction menées à Wuhan, se demander
comment certains ont pu déposer des brevets sur le virus… Tout cela
est sujet à polémiques et «théories du complot». Un point, toutefois, échappant à toute extrapolation «complotiste», est que les mêmes gouvernements qui invoquent une menace sanitaire absolue et contraignent les citoyens à une vaccination payée par leurs propres impôts ne veulent même pas entendre parler d’une levée des brevets sur ces produits censés garantir la survie de l’espèce.


VIII. Peut-on admettre un seul instant que la survie de l’humanité
puisse dépendre des intérêts commerciaux de quelques entreprises cotées
en bourse? A quoi nous servent nos «autorités politiques» si elles ne peuvent mettre fin à ce chantage vénal dont nos vies elles-mêmes seraient l’enjeu?
Et à quoi ressemble une société où tout se vend et tout s’achète, «l’honneur et même la sainteté», et où «Les États se muent en cachette/En anonymes sociétés» sinon à une caricature de la chanson du Diable de Jacques Brel?
Cette raison seule nous dispense des sept précédentes. Même s’il n’y
avait aucun autre problème lié à la vaccination covid, cet assujettissement féodal, indigne d’une société de gens libres, serait assez humiliant pour qu’on se passe des protections qu’il procure.
Qu’est donc cette marque sur votre épaule?, dirait aujourd’hui le loup sauvage de La Fontaine au chien enchaîné.
Que vaut une société où la santé et la vie de ses membres sont à la merci
des intérêts boursiers de quelques-uns?
Que valent des êtres pour qui la simple survie physique justifie une telle dépendance?
Et pourquoi cette humanité, qui a survécu à tant de maux bien pires sans autre aide que son immunité naturelle, devrait-elle soudain devenir dépendante d’une perfusion comme un scaphandrier au fond de la mer?
Allons-nous bientôt porter des masques à oxygène à l’air libre de la planète Terre?
Sommes-nous devenus fous?
Mais ce n’est pas tout.


IX. A ce stade déjà, toute âme encore vivante frémit de colère. Mais lorsqu’on voit ensuite par quelle vile verroterie les pouvoirs s’efforcent
d’appâter les réfractaires, la colère se transforme en dégoût. Pour qui
les autorités suisses tenaient-elles leurs concitoyens lorsqu’elles ont
imaginé de leur donner 50 balles pour «parrainer» de nouveaux raisinés? Ou lorsqu’elles leur offrent des billets de concerts auxquels ils ne se rendent même pas? Ou des virées en char Piranha ou avec la brigade des chiens, dans la république covidomilitariste de Genève? (Auprès de quoi l’initiative des coupons de réduction» de ce bordel viennois en manque de chalands apparaît presque… audiardienne.)


X. A ce racolage de misère — motivé par quelle cuisante
urgence ou quelle sinistre obligation? — répond une identique déshumanité dans la contrainte.
Qu’on puisse conditionner les études des étudiants par l’ausweis sanitaire
et organiser des descentes dans les amphithéâtres est une immonde goujaterie, mais moindre encore que celle de cet hôpital lucernois qui envisage tranquillement de séparer les mères sans pass de leurs bébés à peine nés.
Ici encore, les deux dernières raisons libèrent la précédente, qui déjà déclassait les sept autres. Ces comportements ne sont pas dignes, quelque «bonne raison» qu’on puisse invoquer pour les justifier.
Imagine-t-on Churchill distribuant des cigares ou des revues cochonnes aux Londoniens pour les faire descendre aux abris sous la pluie de bombes allemandes? D’abord, il n’en aurait pas eu besoin, car la menace ne se lisait
pas dans des fichiers Excel. Ensuite, il les aurait laissés se faire tuer ou
les aurait internés de force. Il n’aurait pas joué à la pute. C’est dégradant. Les êtres droits n’acceptent ni les cadeaux offerts de cette façon, ni les contraintes aussi hypocritement imposées. Encore une fois: même s’il n’y avait aucun problème et même si nous avions affaire à Ebola ou à la peste, le conditionnement comportemental est inacceptable. L’être humain commence là où il pose son «non». Lui soustraire la possibilité même du choix, le pousser dans la cage par microcontraintes, c’est offenser sa dignité même. C’est le traiter comme du bétail.
Il n’y a pas de «solidarité» qui puisse vous lier à une société transformée en
parc à chiens de Pavlov par ses autorités mêmes. Je ne vois plus chez ces
autorités devenues colporteurs pharmaceutiques que le rictus faux du
bonimenteur ou la morgue cynique du dresseur. C’est, d’un côté, une révélation libératrice. Pour la première fois de ma vie, je sens que je leur dois rien. Je ne leur rendrai que le strict nécessaire pour qu’elles ne mordent pas, comme on jette un os aux chiens errants. Voilà à quoi on en est arrivé auprès de millions de citoyens ordinaires et respectueux des lois.
Un sondage publié en Allemagne auprès du tiers non encore raisiné
de la population a donné un résultat qui fait réfléchir: sur ce tiers, 2%
seulement sont encore décidés à se laisser piquer, et 10% hésitent. Les autres ne le feront que sous une contrainte sociale (et non sanitaire!), ou résisteront jusqu’au bout. Quel est ce bout? L’obligation ou la prison. Un pays dont un habitant sur dix ou sur vingt est un détenu, cela n’a jamais existé. Même l’URSS au plus fort du Goulag n’avait que 2 à 3% de déportés.
Aurons-nous donc la guerre civile?
Sans doute n’en serait-on pas arrivé là si l’on avait proclamé la vaccination obligatoire d’emblée, comme au Tadjikistan. Comme pour la variole. Il y a une vilaine maladie, nous avons le remède, tout le monde doit jouer le jeu et la science en répond. Point! Mais en ce cas, les autorités auraient été responsables.
Elles n’auraient pu prétendre que chacun y allait de son libre choix. Or elles fuient leurs responsabilités comme la peste, se cachant derrière des groupes d’«experts» que personne n’a élus ou des formulaires de décharge. Leur lâcheté est sans bornes, elle nous libère d’une illusion supplémentaire: que nos «représentants» puissent nous protéger contre quoi ce que soit. Au contraire, nous leur servons de boucliers humains.


MAIS S’IL FALLAIT QUAND MÊME…

Tout cela étant dit, j’en viens à la raison qui pourrait me pousser, en dernière extrémité, à me faire raisiner. L’argument tient en un poème. Que dis-je: en un vers. Il est de la plus grande poétesse serbe, Desanka Maksimović. Dans le «Conte sanglant», un poème que tous les élèves de Serbie apprenaient après
la guerre, elle chante le martyre des lycéens de Kragujevac, exécutés comme otages par la Wehrmacht.
Les 20 et 21 octobre 1941, appliquant la loi des «cent Serbes ou Juifs exécutés pour un soldat allemand tué», le gouverneur militaire de la Serbie occupée, Franz Böhme, fit fusiller entre 2300 et 5000 civils de Kragujevac et des alentours, comprenant une soixantaine de lycéens et leurs professeurs. Ce crime monstrueux fut accompli avec une froideur clinique par des exécutants scrupuleux, selon un barême fixé d’avance. Ce n’était pas la SS, mais l’armée régulière allemande. Ce n’étaient pas des chiens de guerre, mais des «hommes ordinaires», comme les décrira l’historien Christopher Browning. «Il importe de mentionner le fait que les soldats de la Wehrmacht en
Serbie étaient généralement du troisième appel, donc des gens qui en temps de paix étaient des pères de famille, des ouvriers ou même des enseignants, comme le commandant Kœning qui était professeur de théologie, ou le capitaine Fiedler, qui était directeur de la Haute école de sciences techniques.»
Le massacre de Kragujevac rappelle à jamais combien mince est la membrane qui sépare le bon citoyen d’un Etat moderne de l’automate sans âme ni conscience. C’est pourquoi vous n’en avez jamais entendu parler.

Cela se passait sur une terre de paysans
Dans les rocailleux Balkans
D’une mort de martyrs mourut
Une compagnie d’étudiants
En une seule journée

C’est au douzième vers, toujours, que je sens le noyau d’avocat se coincer dans ma gorge:
Tous étaient nés La même année,
A l’identique leurs écoles s’écoulaient,
Ensemble aux mêmes fêtes On les avait emmenés,
Des mêmes maladies on les avait vaccinés,
Et tous sont morts la même journée.


La vaccination, au temps où les peuples existaient, était un sceau de la communauté. Elle protégeait les jeunes générations et aidait à combler les ravages de la maladie, mais aussi des guerres. Tous, nés en Yougoslavie, nous portons un petit cratère à l’épaule gauche. Cela ne se discute même pas.
Je me suis souvent demandé:
comment se sont sentis, à Kragujevac, ceux qui ont échappé au sort commun, qui sont arrivés en retard à l’école ou se sont cachés à la cave, quand toute leur génération avait disparu? La question n’ouvre que d’autres questions, comme: à quoi sert-il de survivre seul?
Ne tombons pas dans le pathos.
Je ne crains pas un programme de dépopulation, je ne crains que l’infinie force de gravité (au sens physique) du conformisme et de la bêtise, ces deux trous noirs de la galaxie humaine. Et je ne crains pas tant la mort que la servitude — du moins, je crois. Si, par hypothèse, tous autour de moi étaient enchaînés, mes enfants et mes proches, où pourrais-je me cacher? Si tous tombaient malades, comment me sentirais-je en pleine santé?
Voilà la seule raison qui pourrait me pousser un jour à montrer mon bras gauche: pour ne pas échapper au sort de ceux que j’aime, bon ou mauvais.
En mémoire des lycéens de Kragujevac.
Encore, je ne prendrais pas n’importe quoi! J’irais avec les miens me
faire baptiser au Sputnik V. Non par romantisme slave, mais par précaution. Ce vaccin est produit par un institut d’Etat, non par une multinationale assoiffée de profit. Ledit Etat est le seul en Europe à avoir inscrit la définition traditionnelle de la famille dans sa Constitution, et il investit énormément dans la natalité.
On n’est jamais à l’abri des illusions, mais je le verrais mal, cet Etat si préoccupé de la survie de son peuple, lui injecter des saloperies.
Mais s’il devait s’agir d’un poison, si l’appât du gain et le fanatisme technologique ont envahi même la médecine russe, quelle raison nous resterait-il de continuer à vivre et quel débarcadère en ce monde ne serait pas une planche pourrie? Je partagerais simplement le sort d’un grand peuple, étendu d’ici à l’Alaska, et dont les guides spirituels ont pris sur eux les conséquences du tatouage.
Car, comme je l’ai déjà écrit, la haute hiérarchie orthodoxe russe insiste sur la vaccination, à tort ou à raison. Elle sait qu’elle en assumera les conséquences, sinon dans ce monde du moins dans l’autre. Absurde consolation aux yeux des athées, ce point est capital pour les croyants. Autant que la décharge de
responsabilité pour les apparatchiks occidentaux.
Les jeunes martyrs de Kragujevac, leurs profs et leurs pères, avaient été doublement vaccinés: la première
fois à la seringue, la deuxième fois au plomb d’Hitler.
Cette vaccination-là était fiable à 100%: elle leur a ouvert la vie éternelle. A tout prendre, qu’est-ce qu’on risque dans la vie quand la mort n’existe pas?


POST SCRIPTUM. CONTE SANGLANT


Cela se passait sur une terre de paysans
Dans les rocailleux Balkans,
D’une mort de martyrs mourut
Une compagnie d’étudiants
En une seule journée.
Tous étaient nés
La même année,
A l’identique leurs écoles s’écoulaient,
Ensemble aux mêmes fêtes
On les avait emmenés,
Des mêmes maladies on les avait vaccinés,
Et tous sont morts la même journée.
Cela se passait sur une terre de paysans
Dans les rocailleux Balkans,
D’une mort de martyrs mourut
Une compagnie d’étudiants
En une seule journ
ée.
Or cinquante et cinq minutes
Avant le mortel instant
Siégeait encore dans ses bancs
La petite compagnie.
Sur les mêmes problèmes l’on planchait:
Quel temps fera le voyageur
S’il se déplace à pied…
Et ainsi de suite.
Les mêmes chiffres
Leur occupaient les pensées
Et dans leurs cahiers, au fond des serviettes
Gisaient nombreuses, insensées
Les notes, nulles ou parfaites.
Des poignées de rêves identiques,
Et d’identiques secrets,
Amoureux ou patriotiques,
S’entassaient au fond des poches.
Et il semblait à chacun
Que longtemps
Que très longtemps,
Il courrait sous la voûte ronde
Jusqu’à ce qu’il ait terminé
Tous les devoirs de ce monde.
Cela se passait sur une terre de paysans
Dans les rocailleux Balkans
D’une mort héroïque mourut
Une compagnie d’étudiants
En une seule journée.
Des garçons par files entières
Se prirent par la main
Et de leur dernière heure de classe
Ils partirent vers l’exécution
Comme si la mort n’était rien.
Des copains par files entières
Au même instant s’élevèrent

Jusqu’à leur demeure éternelle.


R D. M., Krvava Bajka. Traduit du
serbe par Slobodan Despot.

Mais pourquoi donc refusent-ils de se faire vakxiner ?

Une carte blanche de Jean-Michel Longneaux, philosophe, chargé de cours à l’université de Namur, que la presse n’a pas voulu publier.

La vakxination généralisée garantit l’immunité collective ; elle ne présente aucun danger et elle est la seule solution envisageable. Ce n’est pas très compliqué à comprendre.

Alors pourquoi certains s’obstinent-ils à refuser les vakx1s ?

La seule explication plausible, c’est que ce sont tous des ignares [1] – ils n’entendent rien aux évidences de la vraie science – et des égoïstes [2] – ils préfèrent leur petite liberté à la solidarité. Puisque discuter avec de tels individus se révèle inutile, que faire d’autre sinon les culpabiliser par tous les moyens [3], leur rendre la vie impossible [4] en les pourchassant jusque dans les écoles, sur les campus, dans les grandes surfaces et sur leur lieu de travail, et en étendant l’usage du Covid safe Ticket afin de les priver de vie sociale ? Et s’ils résistent encore, certains songent à suspendre leurs droits fondamentaux au nom du bien commun, afin de disposer de leurs corps pour les vakxiner de force.

Pourtant, en discutant avec certains d’entre eux, je constate tout d’abord qu’ils sont une majorité à n’être ni « antivax » ni complotistes. Ils ne sont pas non plus mal informés, mais au contraire plus informés que la moyenne sur les publications scientifiques.

Et tout comme d’ailleurs de nombreux vakxinés, ils font le constat que sur certaines questions essentielles, les virologues, les épidémiologistes ou les médecins – c’est-à-dire ceux qui sont qualifiés pour prendre la parole – ne sont en réalité pas d’accord entre eux. Parmi les plus éminents, il s’en trouve de plus en plus qui soutiennent qu’étant donné ce qu’est un virus, et vu la baisse d’efficacité des vakx1s actuels en termes de propagation face au variant Delta, l’immunité collective est un horizon qui recule au fur et à mesure que le nombre de vakxinés avance [5].

En commandant 23 millions de doses pour 2022 et 2023, il semble que même le gouvernement et les experts qui le conseillent se résignent à voir le virus circuler encore longtemps [6].

Beaucoup se montrent aussi très réservés par rapport aux risques encourus à moyen et long terme par une vakxination massive. Selon eux, ceux qui les nient catégoriquement et ceux qui prophétisent des hécatombes parlent sans savoir [7].

De cette ignorance, ils en déduisent un minimum de prudence. Enfin, parmi ces experts, ils sont de plus en plus nombreux à promouvoir l’existence de traitements préventifs et précoces scientifiquement documentés [8], à partir de molécules déjà connues, et dont certaines, manifestement, limitent la propagation du virus [9].

Alors, ces non-vakxinés s’interrogent (avec d’ailleurs de nombreux vakxinés) : les scientifiques et médecins qui développent pareilles études sont-ils tous des imposteurs ou des incompétents ?

Pourquoi les experts officiels (spécialistes en vakxination mais sans aucune qualification pour juger des autres voies possibles) et nos autorités ne jurent-ils que par la vakxination de masse et évitent soigneusement tout débat scientifique ?

Même nos universités, qui devraient être des lieux de réflexion et de recherche, se taisent.

J’observe aussi que les non-vakxinés avec lesquels je discute ne sont pas les égoïstes que l’on dit. Au contraire, leurs prises de position leur attirent de plus en plus d’ennuis. S’ils ne pensaient qu’à préserver leur zone de confort, leurs habitudes et leur petite liberté, ils se feraient vakxiner.

Je constate que pour eux, la solidarité est une valeur qu’ils tiennent en haute estime. Mais ils l’envisagent de façon réfléchie :

Premièrement, puisqu’à défaut d’empêcher la transmission du virus, les vakx1s protègent des formes graves de la maladie, continuer à proposer la vakxination à toutes les personnes pour qui la balance coût/bénéfice penche clairement en faveur des bénéfices.

Deuxièmement, pour tous les autres, qui restent de toute façon libres de préférer la vakxination, mettre à leur disposition les traitements préventifs scientifiquement documentés. Cette stratégie utilisant des molécules connues, elle permettrait de surcroît de faire de sérieuses économies – ce qui est une autre façon de se soucier aussi du bien commun.
Seraient notamment concernés les soignants des hôpitaux qui ne veulent pas se faire vakxiner, ainsi que tous les métiers de contact, en y incluant les établissements scolaires. On peut faire l’hypothèse que les communautés (bruxelloises) réticentes aux vakx1s seraient aussi plus enclines à accepter ces alternatives.

Troisièmement, organiser une prise en charge précoce des symptômes en impliquant les médecins généralistes.

Enfin, au nom d’un principe élémentaire de solidarité, une grande partie des 23 millions de doses de vakx1s réservées par la Belgique pourrait être rendue disponible pour les populations à risques des pays pauvres. Tout l’inverse de l’égoïsme national dont font actuellement preuve les pays riches, malgré quelques gestes symboliques consentis dans le cadre du programme Covax, pour se donner bonne conscience.

En vérité, pour mes interlocuteurs, refuser de se faire vakxiner, c’est défendre une solidarité intelligente, qui ne sacrifie ni le respect dû à chacun, ni les avancées de la science, ni la protection des plus vulnérables. Est-il absurde de privilégier une diversité de stratégies pour lutter contre ce virus, plutôt que d’en imposer une seule qui montre ses limites ?

Bien sûr que non. Ce n’est pas très compliqué à comprendre.

Alors pourquoi nos autorités s’obstinent-elles au point de préférer diaboliser pour mieux les soumettre celles et ceux qui pourraient devenir de précieux alliés ?

[1] Par exemple : Vakxination à Bruxelles: «Les gens viennent parfois avec des mythes, nous, on répond avec des faits» – Le Soir Plus

[2] Cfr entre mille : Conner Rousseau estime que les non-vakxinés sont des « égoïstes » (rtbf.be)

[3] Cfr « Di Rupo appelle les non vakxinés à faire leur examen de conscience », La Libre Belgique, le 19 septembre 2021. A la suite d’Alexandre De Croo, il explique que l’épidémie perdure à cause des non vakxinés. Ce qui sera fort heureusement démenti par Y. Coppieters qui s’en tient aux données scientifiques ; cfr La libre Belgique, du 18 septembre 2021 : « Alexandre De Croo se trompe quand il dit que ce sont les non vakxinés qui sont responsables de l’épidémie ». Mais le mal est fait, nos responsables politiques désignent à la foule les coupables tout trouvés d’une situation qui pourtant s’améliore.

[4] Marc Noppen, « Il faut rendre la vie des non-vakxinés aussi difficile que possible » in La Meuse.Sudinfo, le 12 août 2021

[5] Il faut aussi tenir compte du retard pris par les pays pauvres, et le fait que le virus peut muter par l’intermédiaire de certains animaux comme les visons, avant de revenir chez l’homme. Faudra-t-il vakxiner tous les vivants ? Cfr en guise de porte d’entrée pour accéder facilement aux débats et à certains articles scientifiques : « vakx1 et variants : seulement 66% d’efficacité face au variant Delta », sur le site de lintern@ute, le 25 août 2021.

[6] Coronavirus : la Belgique a commandé 23 millions de doses pour une troisième injection (rtbf.be) A la lecture de ce titre, deux possibilités s’offrent à nous : soit on nous avait caché qu’il y a en vérité 23 millions d’habitants en Belgique ; soit nos autorités prévoient déjà une quatrième dose.

[7] On ne le répètera jamais assez, pour savoir si des complications apparaitront dans 5 ou 10 ans, il faut attendre 5 ou 10 ans. Cfr Le Soir du 24/08/2021 « Des non-vakxinés confrontés à des experts ». A la question qui leur est adressée de promettre qu’il ne peut y avoir de conséquences à long terme avec les vakx1s, aussi bien Muriel Moser immunologue à l’ULB que Jean-Michel Dogné, professeur à l’université de Namur, pro-vakx1s, répondent qu’ils ne peuvent évidemment rien garantir : « un scientifique ne peut jamais dire jamais. » Quant à la pharmacovigilance censée relever les effets à court terme, on lui fait dire tout et son contraire : il est actuellement impossible d’avoir la moindre certitude en la matière.

[8] FLCCC, I-MASK+ Prevention & Early Outpatient Treatment Protocol for COVID-19 https://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/i-mask-plus-protocol/. Il semble par ailleurs que l’Europe va bientôt autoriser des traitements précoces.

[9] Cfr par exemple : « Une étude israélienne affirme que l’Ivermectine pourrait réduire drastiquement la transmission du Covid-19 », in Le Figaro du 15 juillet 2021, mis à jour le 04 août 2021.

Le Seigneur des « vakx1 » par le Dr Pascal Sacré

Par Dr Pascal Sacré pour Mondialisation.ca

Je ne suis pas pratiquant, au sens habituel du terme, d’une religion ou d’un courant ésotérique.

Par contre, j’ai beaucoup lu, étudié, réfléchi, curieux de tout, ouvert à priori à tout. 

Je n’exclus rien, je vais partout, surtout si une autorité me dit, sans autre argument que son « autorité », de ne pas y aller.

Grâce à cette qualité (considérée comme un danger par certains), je continue à apprendre, inlassablement.

Médecin « orthodoxe » issu d’une université belge et d’un cursus classique, j’ai longtemps suivi le chemin balisé, marché dans les clous et traversé lorsque le feu passe au vert, presque toujours.

La curiosité, défaut incurable chez moi, m’a amené sur des chemins de traverse, là où vous rencontrez des personnes, foulez des sols, dénichez des trésors qualifiés par ceux qui tracent les routes et balisent les passages pour piétons, de sources corrompues (expression moderne : « fake news »), d’enseignants infréquentables.

Je ne suis pas un gourou, pas plus qu’Alexander De Croo, Young Global Leader 2015, Alexander De Croo devient Young Global Leader | Focus on Belgium, pas plus qu’Edouard Philippe et le président Macron, Young Global Leaders respectivement en 2011 et 2012, ou Olivier Véran en 2019, Emmanuel Macron et Edouard Philippe, ces « young leaders » qui nous gouvernent – Gala

Vérifiez par vous-même, tous les chefs ou sous-chefs des gouvernements ayant appliqué la feuille de route en 2020,  le plan établi par le cartel des véritables gourous, ont été des Young Global Leaders, la « secte du forum économique mondial du Great Reset »

Non, je ne suis pas un gourou, pas plus ou moins que Bill Gates ou Tedros Adhanom Ghebreyesus (chef de l’OMS-Organisation Mondiale de la Santé) qui eux, pourtant, sans être soignant ni médecin, entraînent le monde dans leur idéologie terroriste sanitaire.

Par contre, oui, je suis médecin depuis 25 ans, anesthésiste-réanimateur depuis 17 ans (quelqu’un qui endort et réveille les gens, les endort pour leur éviter la souffrance et les réveille pour leur rendre leur autonomie).

Fort de ma curiosité, de mes apprentissages et de mon ouverture à tout ce qui peut aider l’humanité, sans tabous ni censures, je dis à l’humanité entière de stopper cette course vers la mort.

Descendez du train fou en marche. 

Je sais, cela fait peur, cela peut faire mal, et en même temps, tant que vous sentez la douleur, c’est que vous êtes vivant.

Reprenez votre autonomie physique et intellectuelle et protégez vos enfants.

Ces Young Global leader devenus « Leaders » (gourous) tout courts ne vous veulent pas du bien.

Sous couvert de ces injections mortelles (immédiatement ou à distance par stérilisation), autant de chevaux de Troie de la mort dans votre corps, dans votre esprit et dans votre âme, ils vous font croire qu’ils veulent vous sauver.

C’est faux. C’est convaincant, bien présenté, mais c’est faux.

S’ils voulaient vous sauver, ils vous diraient depuis longtemps de bouger davantage, de mieux manger (vraiment, pas des produits lights qui vous empoisonnent autant que les produits « lourds », Reévaluer les risques de l’aspartame. Nouvelles données expérimentales et épidémiologiques), de gérer votre stress au quotidien, de prendre soin de votre microbiote, de prendre des compléments alimentaires, certains toute l’année dans un pays comme la Belgique (vitamine D).

Cela n’est possible, malheureusement, que grâce à la complicité de certaines personnes qui dirigent les institutions censées nous protéger et les médias principaux censés nous informer. 

Comme le dit le professeur Nagarra au procureur Henry Volney (Yves Montand) dans I comme Icare, le film d’Henri Verneuil, il suffit de morceler les responsabilités : 

« Un tyran a besoin avant tout d’un état-tyran, alors il va utiliser un million de petits tyrans fonctionnaires qui ont chacun une tâche banale à exécuter, et chacun va exécuter cette tâche avec compétence, et sans remords, et personne ne se rendra compte qu’il est le millionième maillon de l’acte final. Les uns vont arrêter les victimes, ils n’auront commis que de simples arrestations, d’autres vont conduire ces victimes dans des camps. Ils n’auront fait que leur métier de mécanicien de locomotive, et le directeur de prison ouvrant ses portes n’aura fait que son devoir de directeur de prison. Bien entendu les chefs-tyrans utilisent les individus les plus cruels dans la violence finale, mais à tous les maillons de la chaîne, on a rendu l’obéissance confortable. » © Henri Verneuil, I comme Icare, 1979.

Cela vous rappelle quelque chose ? 

Délation encouragée, violence sur des citoyens sans défense banalisée, justifiée même, citoyens exclus des hôpitaux pour le seul « crime » de ne pas être « encore » injecté par un produit expérimental, ce vendeur dans un magasin d’électro-ménager qui vous ordonne de mettre votre masque correctement, le tenancier de bar transformé à la fois en policier et en médecin puisque vous devez dorénavant lui montrer votre état de santé.

Où croyez-vous que cela nous mène ?

Le dire maintenant, ce qui est considéré comme choquant par les mêmes qui vous disent que tout va bien, est la seule chance de ne pas franchir le seuil au-delà duquel tout espoir d’éviter la répétition de l’Histoire sera définitivement perdu.

Qui est Pfizer pour être aussi « puissant », à la fin ? 

Malgré le total de décès dus à la vakxination, même ce chiffre officiel de 15 937 morts issu du programme de surveillance des États-Unis (VAERS)-période du 14 décembre 2020 au 24 septembre 2021), dont on sait qu’il est largement sous-estimé, Pfizer, au casier judiciaire lourdement chargé, continue, reste en lice (Le casier judiciaire de Pfizer et son « vakx1 » tueur (reseauinternational.net) 

Pfizer s’attaque à présent aux femmes enceintes sur toute la durée de leur grossesse, aux femmes ayant accouché malgré 1444 fausses couches déclarées (en réalité bien plus) ou naissances prématurées, malformées.

Certaines femmes font pression pour résister, appeler à l’aide ou alerter (« La main sur le berceau », Big Pharma étend ses injections aux femmes enceintes et aux enfants — Les Maîtres du Monde — Sott.net) mais c’est la pression de Pfizer qui l’emporte, systématiquement.

Alors, logiquement puisque nous les laissons faire, Pfizer s’attaque aux enfants de 5 à 11 ans, avec une demande d’autorisation en urgence pour leur produit toxique, alors que 21 jeunes de 12 à 17 ans sont décédés récemment aux États-Unis.

La seule chose de nouvelle dans leur vie ? Avoir accepté le produit toxique de Pfizer. 

Sérieusement, faut-il faire des autopsies pour vous convaincre ?

Alors que presqu’aucun jeune de moins de 30 ans, à moins d’une maladie débilitante préalable, n’est mort du COVID-19 ou n’a fait la moindre forme grave.

Qui est Pfizer ? 

Qui est « Big Pharma » ? 

Derrière ces firmes se trouvent des personnes, des noms, des responsables autorisés. 

Dorénavant, citons ces noms qui servent le Système, appelé Sauron dans le Seigneur des Anneaux.

Nous pourrions appeler le Système actuel, le Seigneur des ‘vakx1s’, avec à sa tête Sauron, à son service des Balrogs, des serviteurs zélés, des « idiots » utiles (cf. I comme Icare), des traîtres (Saroumane), des gens qui regardent et d’autres qui attendent.

Ne riez pas. 

L’analogie est réaliste.

Les mots sont importants ! 

Ils activent à notre insu des concepts profondément ancrés dans nos inconscients individuel et collectif : les archétypes chers à Carl Jung.

Malgré l’évidence, les preuves de plus en plus solides et les témoignages de plus en plus convaincants, les ‘vakx1s’, même avant le Covid, ne sont pas les bienfaiteurs de l’humanité (Enquête Choc — Les vakx1s ont-ils vraiment sauvé l’humanité ? — Santé et Bien-être — Sott.net), mais il faut du temps pour tirer un archétype de son piédestal doré.

Aujourd’hui, le concept de ‘vakx1’ utilisé comme cheval de Troie, permet à une firme frappée de la plus grosse amende fédérale de l’histoire des États-Unis, associée à BioNTech, et à d’autres firmes aussi peu recommandables d’entraîner la partie de l’humanité qui les dérange (vous et moi) vers une extinction qui ne devra rien au hasard, avec la complicité d’escrocs aux dents blanches et au costume parfait.

Certains y vont gaiement, en chantant, en suivant le joueur de flûte. 

D’autres y vont car ils se sentent coupable d’être vivant : les gourous criminels ont réussi à leur faire croire qu’ils sont les responsables-coupables du dérèglement climatique, du racisme à l’égard des gens de couleur (le blanc est une couleur), du terrorisme, des inégalités, des crises et aujourd’hui, des pandémies.

Oui, pour « Sauron le système », nous ne nous laverons jamais assez les mains, nous ne mettrons jamais assez bien notre masque et nous n’accepterons jamais assez de leurs produits (faussement appelés vakx1s) dans notre corps meurtri.

Certains, les pires, y vont sciemment, soit pour y gratter quelque avantage, soit pour y briller telle une lumière d’Udûn*.

Faites attention aux mots. N’utilisez plus ceux de l’Ennemi. 

Bannissez le mot qui commence par v et se termine par n ! Et les mots comme ‘obligatoire’, ‘confinement’, ‘masque’, ‘lavage des mains’, ‘distanciation sociale’…, leurs mots, leurs expressions utilisées à dessein pour envelopper leurs poisons dans un concept archétypal puissant et salvateur (perçu comme tel par la majorité de l’humanité), pour mieux les faire accepter à une population de plus « hypnotisée » via la peur, la répétition, la confusion et les ruptures de pattern (outils utilisés pour plonger à son insu une personne en hypnose, état de conscience caractérisé par une hypersuggestibilité, une sensibilité exagérée à l’influence).

Utilisez les mots réels  qui désignent ce que ces choses sont vraiment :

  • V…n = injection transgénique
  • Masque = obstacle respiratoire
  • Lavage des mains = trouble hygiénique compulsif
  • Distanciation sociale = isolement social

Ce sont des propositions. 

Le plus important est d’avoir compris la raison pour laquelle ces considérations sémantiques sont capitales dans le combat que nous menons contre l’idéologie transgénique actuelle.

Je m’adresse particulièrement à tous ceux qui ont compris, qui ont ouvert les yeux sur tout cela aujourd’hui.

Dans ce passage particulièrement sombre du premier volet du Seigneur des Anneaux (« La Communauté de l’Anneau), dans la Moria, les caves de Khazad-dûm, le spectateur-lecteur voit deux feux s’affronter.

Gandalf contre le Balrog. Anor contre Udûn. La Flamme peut servir le Bien, elle peut servir le Mal. La Flamme peut vous réchauffer, comme elle peut vous brûler.

Quel fabuleux message d’espoir à toute la planète encore libre et vivace.

Udûn ne passera pas, grâce à chacun d’entre vous, petites et grandes flammes d’Anor.

Dr Pascal Sacré

Que veut dire Gandalf par « Feu secret », « Flamme d’Anor » et « Flamme d’Udûn » ? (askfrance.me)  Anor est un nom pour le Soleil en Terre du Milieu, tandis qu’Udûn (qui se traduit par enfer) est le nom de l’un des premiers repaires de Morgoth, le Maître de Sauron. « J’ai le pouvoir du bien de mon côté, vous avez le pouvoir du mal ».

Image en vedette : Photo du film : Le Seigneur des anneaux : la communauté de l’anneau

Dr Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995. Il a entamé une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs (critical care) en 2003. Il travaille en milieu hospitalier depuis cette date, en soins intensifs, avec un passage de 2,5 ans dans un centre pour grands brûlés (l’hopital militaire Reine Astrid HMRA à Bruxelles) entre 2009 et 2011. Depuis 2011, il travaille dans un centre de soins intensifs médico-chirurgical à Charleroi, Belgique. Il est formé en hypnothérapie en milieu médical depuis 2014 et à ce titre, il est responsable de formations en gestion du stress pour le personnel de son hôpital. Il collabore pour le Centre de recherche sur la Mondialisation depuis 2009.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021

Denis Rancourt : lettre aux vakxinés

Denis Rancourt : lettre aux vakxinés

Denis Rancourt :  lettre aux vaccinés

Dr Angela Durante, Prof. Denis Rancourt, et al. Global Research, 30 août 2021

https://www.globalresearch.ca/letter-vaccinated/5754379


Après leur « Lettre ouverte aux non-vakxinés », un groupe de plus en plus important d’universitaires canadiens a écrit une lettre destinée aux « vakxinés ».

Les auteurs exposent le caractère diviseur du statut de la vakxination et dénoncent le fossé qui en résulte dans la société.

Renoncer aux libertés civiles en échange d’un faux sentiment de sécurité est futile. Nous ne devons pas accepter une descente vers l’apartheid médical au Canada et dans le monde.

La lettre s’adresse à la fois à ceux qui ont choisi de se faire vakxiner et à ceux qui y ont été contraints. Elle réfléchit aux implications plus larges de nos actions dans le but de collaborer à une voie constructive pour l’avenir.
 


Lettre ouverte aux personnes vakxinées


Le premier ministre Trudeau a récemment averti qu' »il y aura des conséquences » si les employés fédéraux ne se conforment pas aux obligations de vakxination. C’est une voix de la tyrannie qui a réverbéré la peur et augmenté l’agitation à travers notre pays. Elle a plongé notre nation dans une profonde division autour de la vakxination de masse et a fait basculer notre rétablissement collectif face à cette pandémie.

En fait, cela nous oblige, en tant que pays, à nous demander enfin : en effet, quelles sont ces conséquences ?

Quelles sont les conséquences sociétales d’une division en fonction du statut vakxinal ? Quelles sont les conséquences de rendre obligatoire une intervention médicale aussi peu testée ? Comment tout cela est-il censé bien se terminer ?
Les conséquences seront terribles, c’est certain. Et les conséquences nous affecteront tous, les vakxinés comme les non-vakxinés.

Au cours des six derniers mois, beaucoup d’entre nous ont pris la décision d’accepter le vakx1 en toute bonne foi – en faisant ce qu’il fallait pour pouvoir travailler, voyager et rendre visite aux personnes que nous aimons.

Malheureusement, certains d’entre nous ont subi des pressions ou des contraintes. Et maintenant, des preuves de plus en plus nombreuses dans le monde entier montrent que ces vakx1s ne peuvent pas arrêter la transmission du virus et de ses variants, et pourtant les obligations de vakxination se poursuivent.

Pendant ce temps, les sociétés pharmaceutiques gagnent des milliards de dollars d’argent public et font pression pour accélérer l’approbation des vakx1s, sans procédure régulière ni débat public. Il est tout à fait clair que lorsque l’argent et la politique s’entremêlent, la science et l’éthique passent au second plan.

Peut-être avez-vous déjà reproché à ceux qui hésitaient à se faire vakxiner de ne pas faire leur part du travail, mais il est peut-être temps de considérer que nous sommes tous devenus les passagers d’un même train en marche.

La signification de « pleinement vakxiné » évolue rapidement, car les dirigeants exigent le prochain rappel et menacent de nous évincer des espaces publics si nous n’obtempérons pas. Ainsi, si vous faites partie des « pleinement vakxinés » aujourd’hui, demain vous ferez peut-être partie des « insuffisamment vakxinés » et serez contraints de vous faire vakxiner à nouveau.

Si l’on en croit l’histoire, cela ne se limitera pas à interdire l’accès aux concerts ou aux bars. Lorsque vous ne pourrez plus acheter de nourriture, accéder aux services bancaires, voter en personne ou traverser une frontière provinciale, il sera clair comme de l’eau de roche que les mêmes pratiques discriminatoires que vous espérez abolir seront de plus en plus fermement établies. Les conséquences réelles nous attendent tous.

Vous avez peut-être déjà reçu toutes les doses et vous vous demandez maintenant si vous devez continuer à le faire, compte tenu du nombre alarmant d’infections parmi les personnes vakxinées. Ou peut-être connaissez-vous quelqu’un qui a subi les effets secondaires d’un vakx1 ou êtes-vous préoccupé par le nombre croissant de décès liés aux vakxinations.

Nous nous demandons sans cesse : « Pourquoi les données ne peuvent-elles pas être examinées et pourquoi les experts indépendants sont-ils censurés s’ils tentent de le faire ? » Il est incompréhensible, et décidément non canadien, de voir des médecins et des scientifiques de la santé très réputés être réduits au silence dans notre pays et dans le monde entier.


L’histoire nous a appris que les arguments unilatéraux et l’interdiction de la dissidence sont les signes d’un totalitarisme qui guette au seuil de la porte. Bientôt, poser des questions fera de vous un ennemi de l’État. Rendre les vakx1s obligatoires est un point de rupture.  » Mon corps, mon choix  » a été l’une des caractéristiques d’une société libre et démocratique, mais cela est en train de changer. Les canadiens sont privés de la possibilité de prendre des décisions personnelles.

Avec des fermetures déjà programmées pour l’automne et des amplificateurs prêts à intervenir, nous entrons dans un moment décisif. Sommes-nous tous prêts à continuer à recevoir des injections indéfiniment ? Dans les provinces canadiennes et dans le monde entier, les passeports vakxinaux témoignent de notre nouvelle relation à long terme avec la coercition médicale en échange de libertés fondamentales. Jusqu’à présent, on a promis que chaque traitement serait le dernier, mais il est clair qu’il n’y a pas de fin en vue.
Et maintenant, ils s’en prennent à nos enfants.

Avec un risque extrêmement faible de tomber malade et pratiquement aucun risque de mourir du C0VlD-19, la vakxination massive des enfants et des adolescents reste injustifiée.

La mise en attente de nos enfants en bonne santé pour un traitement médical n’a jamais fait partie de l’accord. Le plus inquiétant, c’est que l’on nous prépare à des campagnes de vakxination de masse dans nos écoles qui ne nécessitent pas le consentement des parents. Le gouvernement décide-t-il de ce qui est le mieux pour nos enfants ? Sans aucun doute, les liens familiaux qui nous unissent sont en train de se défaire. À juste titre, les parents sont consternés par cet excès sans précédent et envisagent de retirer leurs enfants des écoles.

Malgré nos meilleures intentions, les familles sont meurtries, les amis sont divisés et les partenaires sont en désaccord les uns avec les autres. Nous avons été affaiblis par nos divisions et manipulés par la peur.

Jusqu’où allons-nous permettre que cela aille ? Certains d’entre nous déclarent « jusqu’au bout« . Mais « jusqu’au bout » est un endroit que nous n’atteindrons jamais. Nous devons mettre un terme à cette catastrophe médicale et regarder la vérité en face : il ne s’agit pas de notre santé, mais de politique et de contrôle.

Les conséquences de suivre les ordres actuels du premier ministre Trudeau sont plus importantes que les conséquences dont il nous a menacés. Nous nous sommes engagés dans cette voie les uns pour les autres, pas pour nos politiciens. Nous avons fait ce que nous estimions devoir faire, et maintenant nous devons dire : « C’est assez, c’est terminé ! »


Angela Durante, PhD
Denis Rancourt, PhD
Jan Vrbik, PhD
Laurent Leduc, PhD
Valentina Capurri, PhD
Amanda Euringer, Journaliste
Claus Rinner, PhD
Maximilian C. Forte, PhD
Julie Ponesse, PhD
Michael Owen, PhD
Donald G. Welsh, PhD

Une conférence inspirante de Louis Fouché: « La joie au temps du corona »

Conférence de Louis Fouché – Le 11 Août 2021 à 19h00 – Aux Ateliers de la Côte (en Suisse), co-animé par la journaliste Isabelle Alexandrine Bourgeois et l’ingénieur et arboriculteur Matthias Faeh.
Quelle soirée! Inoubliable, vraie, intense, bouleversante! Personne n’en est ressorti sans un supplément d’âme que seul l’extraordinaire Louis Fouché sait insuffler à son entourage, ses lecteurs et auditeurs. Tout n’était que bienveillance et simplicité dans la salle des Ateliers de la Côtes.
Homme de paroles, au propre comme au figuré, Louis Fouché est l’un des êtres les plus inspirants révélé autour de la crise actuelle.
Après le célèbre roman « L’ Amour aux temps du choléra » du Colombien Gabriel García Márquez, prix Nobel de littérature, voici une conférence offerte par le médecin humaniste Louis Fouché sur « la joie au temps du Corona », le thème au coeur de la vie de la journaliste nomade Isabelle Alexandrine Bourgeois. Cet anesthésiste et réanimateur français, ambassadeur de l’affirmation de l’éthique en soi, de la protection du vivant par la non-violence et par la solidarité, ce réanimateur des réseaux humains par le bon sens et la sagesse, cet amoureux du collectif intelligent, pourrait lui aussi recevoir, et sans rougir, un Prix Nobel pour la Paix.
Le Dr. Louis Fouché est, à sa manière, la plus belle incarnation de cet « homme nouveau » qui naît aujourd’hui sur notre planète. Il est aussi encadré par Matthias Faeh, agriculteur, arboriculteur et ingénieur qui s’engage depuis des années par un retour de la conscience dans le monde agricole et au-delà. *** Avec ma caméra, mon micro et mes crayons, je pars en reportages autour du monde partager la joie de ceux qui positivent et cultivent l’enthousiasme. Je donne également des ateliers « Trace ta route de la joie » pour petits et grands, dans les écoles, les maisons de jeunes ou de retraite. Je projette mon film « La route de la joie » dans tout espace public, suivi d’une conférence.

Suivez mes aventures sur mon blog: www.joyfortheplanet.org Joy for the Planet est une association à but non-lucratif qui propose de partager, sous forme journalistique ou autre, le meilleur de l’homme.
Le film « La route de la joie » que j’ai réalisé en 2018 est mis gratuitement à disposition des écoles. Je donne également des ateliers dans les écoles intitulés « Trace ta route de la joie » pour les enfants et les adolescents.

La route de la joie: https://youtu.be/WNIEbVThVBw http://www.joyfortheplanet.org https://www.lesateliersdelacote.ch/ta… https://reinfocovid.fr/ https://unnotremonde.fr/ https://lalettreinfinie.ch/
Merci de sauter l’entre acte de 30 minutes. Si vous n’êtes pas intéressés par la prise de parole du public qui dure 1 heure, replacez-vous à la minute 3:19:50 pour les dernières 10 minutes.

2 témoignages vidéos de médecins qui prennent le risque de bien résumer la situation

La première provient d’Israel et d’un médecin américain, le Docteur Zelenko qui a soigné des centaines de patients du C0VlD et qui parle très clairement (version sous-titrée en français):

La seconde provient de France Soir. Il s’agit de l’intervention du Dr Hodkinson du Canada qui alerte également de manière très claire sur ce qui se passe maintenant (version avec traduction audio en français).

Covidisme : texte du philosophe strasbourgeois Reza Moghaddassi

Texte du philosophe strasbourgeois Reza Moghaddassi

Agrégé de philosophie, M. Reza Moghaddassi publie un texte fort, simple, limpide. Que vont-ils faire ? le traiter lui aussi de complotiste ! d’antivax ! de Gilet jaune ! Effectivement, comme démontré par une étude du MIT, un très grand nombre de personnes sceptiques sont intelligentes et diplômés contrairement à la propagande ridicule de la Doxa.



A tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner.

Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.

Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.

Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.

Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.

Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.

Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

Pardonnez-moi d’exister

Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de s’encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.

Vous avez raison le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.
Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.

Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.

Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.

Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.

C’est pour notre bien.

Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital

C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.

c’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.

c’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du doliprane et de rester à la maison.

C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du doliprane.

C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de dose de remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.
c’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires ! ), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.

C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long terme.

C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.

C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du covid.
C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.

C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.

C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.

C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.

C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.

C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.
C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme mort du covid une majorité de gens morts avec le covid.

C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les Gafam pour censurer les lanceurs d’alerte sur you tube, sur twitter, sur Facebook.

C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.

C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.
C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fou, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.
Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.

Trop bête pour comprendre

Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.

Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.

Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.

Trop bête pour comprendre

Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.

Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.

Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.

Que si une personne âgée meurt en ayant le covid, elle meurt du covid mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.

Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels mais que nous devons fermer les yeux.

Trop bête pour comprendre

Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.

Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.

Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième dose et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel.
Trop bête pour comprendre

Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.

Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.

Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.
Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.

Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.

Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.

Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.

Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.

Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.
Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.

Inversion

Je dois, en effet, comprendre que :

La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire

L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle

Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche

Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.

Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.

Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.

Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.

Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.
Merci de nous dispenser de penser.

Reza Moghaddassi, le 23 juillet 2021

Lettre ouverte aux non vakxinés » de huit scientifiques canadiens

Posted by Jean-Dominique Michel 

A l’heure où la France a basculé dans la tyrranie suite à la démission de son « Conseil constitutionnel » de remplir sa mission d’être garant des droits et libertés fondamentales, je re-publie traduite par mes soins et in extenso la lettre ouverte publiée par le Pr Denis Rancourt et sept autres scientifiques canadiens. Il paraît presque […]OLDERNEWER

A l’heure où la France a basculé dans la tyrranie suite à la démission de son « Conseil constitutionnel » de remplir sa mission d’être garant des droits et libertés fondamentales, je re-publie traduite par mes soins et in extenso la lettre ouverte publiée par le Pr Denis Rancourt et sept autres scientifiques canadiens.

Il paraît presque lointain le temps où les endoctrinés nous moquaient lorsque nous évoquions la perspective d’une société à la chinoise où les personnes et leurs corps seraient devenus la propriété des états (et des groupes qui les contrôlent). Se gaussaient avec force ricanements de la perspective d’une vakxination obligatoire avec un produit génique expérimental et d’un pass sanitaire établissant un véritable apartheid avec des citoyens de première et de seconde zone.

Nous y sommes désormais. Étant donné que cela n’a plus rien à voir avec une quelconque réalité sanitaire, il semble en effet s’agir un plan bien huilé qui se déroule au mépris de toute réalité.

Les « résistants » (oui, je continuerai à les appeler pour ce qu’ils sont face aux dirigeants et aux collaborateurs de cette dérive évidemment totalitaire) ont bien besoin de soutien, d’encouragement et de réconfort.

Les « élites » ayant vendu leur âme (cf. cette cohorte « d’éthiciens » qui viennent nous expliquer à quel point tout ceci est éthique alors que des « scientifiques » prétendent trouver que les opposants sont en quelque sort des démeurés) à nous de cultiver, entretenir et muscler la nôtre.

Oh, by the way, le Massachussets Institute of Technology (l’équivalent de l’EPFL en plus prestigieux) a mis en lumière qu’à l’inverse, les personnes sceptiques (qualité rationnelle faut-il le rappeler…) sont en moyenne plus éduquées et cultivées que ceux qui adhèrent aveuglément à des injonctions « sanitaires » de plus en plus aberrantes et liberticides. Et n’ont dans leur immense majorité aucun lien avec les théories complotistes : elles savent simplement se questionner sur la question complexe d’un rapport bénéfice – risque…

Quand il s’agira de remettre les « Corruption & Propaganda Awards », il y aura pléthore de nominés chez nous comme ailleurs.

D’ici là, veillons à rester pleinement lucides sur la réalité de ce qui se déroule, dont la trame semble (hypothèse forte) pertinemment résumée par le physicien et spécialiste de l’ « Intelligence Artificielle », Philippe Guillemant.

Le chercheur de l’OCLA, le Dr Denis Rancourt, et plusieurs collègues universitaires canadiens ont écrit une lettre ouverte pour soutenir ceux qui ont décidé de ne pas accepter le vakx1 C0VlD-19.

Le groupe insiste sur le caractère volontaire de ce traitement médical ainsi que sur la nécessité d’un consentement éclairé et d’une évaluation individuelle des risques et des bénéfices. Ils rejettent la pression exercée par les responsables de la santé publique, les médias et les médias sociaux et les concitoyens.

Le contrôle de notre intégrité corporelle pourrait bien être l’ultime frontière de la lutte pour la protection des libertés civiles.

Lettre ouverte aux non vackxinés

Tu n’es pas seul ! Au 28 juillet 2021, 29 % des Canadiens n’avaient pas reçu de vakx1 contre la COVID-19 et 14 % de plus n’avaient reçu qu’une seule injection. Aux États-Unis et dans l’Union européenne, moins de la moitié de la population est entièrement vakxinée, et même en Israël, le « laboratoire du monde » selon Pfizer, un tiers des personnes restent totalement non vakxinées. Les politiciens et les médias ont adopté un point de vue uniforme, faisant des non-vakxinés des boucs émissaires pour les difficultés qui continuent de se produire après dix-huit mois d’alarmisme et de confinement. Il est temps de remettre les pendules à l’heure.

Il est tout à fait raisonnable et légitime de dire « non » à des vakx1s insuffisamment testés pour lesquels il n’existe aucune science fiable. Vous avez le droit de faire valoir la souveraineté sur votre propre corps et de refuser les traitements médicaux si bon vous semble.

Vous avez raison de dire « non » à une atteinte à votre dignité, votre intégrité et votre autonomie corporelle. C’est votre corps, et vous avez le droit de choisir. Vous avez raison de vous battre pour vos enfants, contre leur vakxination de masse à l’école.

Vous avez raison de vous demander si un consentement libre et éclairé est possible dans les circonstances actuelles. Les effets à long terme sont inconnus. Les effets transgénérationnels sont inconnus. La dérégulation de l’immunité naturelle induite par le vakx1 est inconnue. Les dommages potentiels sont inconnus, car la déclaration des événements indésirables est retardée, incomplète et incohérente entre les territoires.

Vous êtes pris pour cible par les médias grand public, les campagnes d’ingénierie sociale du gouvernement, les règles et politiques injustes, les employeurs collaborateurs et le harcèlement sur les médias sociaux. On vous dit que vous êtes maintenant le problème et que le monde ne peut pas revenir à la normale si vous ne vous faites pas vakxiner. Vous êtes vicieusement visés en tant que bouc émissaire de la propagande et même les personnes qui vous entourent font peut-être pression sur vous. Rappelez-vous : ce n’est pas vous le problème.

Vous êtes accusé à tort d’être une usine pour les nouvelles variantes du SRAS-CoV-2, alors qu’en fait, selon des scientifiques de premier plan, votre système immunitaire naturel génère une immunité contre plusieurs composants du virus. Cela favorisera votre protection contre une vaste gamme de variants viraux et empêche toute propagation à qui que ce soit (contrairement au vakx1, NdT).

Vous avez raison d’exiger des études indépendantes évaluées par des pairs, et non financées par des sociétés pharmaceutiques multinationales. Toutes les études évaluées par des pairs sur l’innocuité et l’efficacité à court terme ont été financées, organisées, coordonnées et soutenues par ces sociétés à but lucratif ; et aucune des données d’étude n’a été rendue publique ou disponible pour les chercheurs qui ne travaillent pas pour ces entreprises.

Vous avez raison de remettre en question les résultats préliminaires des essais vakxinaux. Les valeurs élevées revendiquées d’efficacité relative reposent sur un petit nombre d’ »infections » déterminées de manière ténue. Les études n’étaient pas non plus en aveugle, où les personnes administrant les injections savaient ou pouvaient déduire si elles injectaient le vakx1 expérimental ou le placebo. Il ne s’agit pas d’une méthodologie scientifique acceptable pour les essais de vakx1s.

Vous avez raison dans vos appels à une diversité d’opinions scientifiques. Comme dans la nature, nous avons besoin d’une polyculture de l’information et de ses interprétations. Et nous n’avons pas cela en ce moment. Choisir de ne pas prendre le vakx1 laisse de la place à la raison, à la transparence et à la responsabilité. Vous avez raison de demander : « Qu’arrive-t-il ensuite lorsque nous abandonnons l’autorité sur notre propre corps ? »

Ne soyez pas intimidés. Vous faites preuve de résilience, d’intégrité et de courage. Vous vous rassemblez dans vos communautés, élaborez des plans pour vous entraider et défendez la responsabilité scientifique et la liberté d’expression, qui sont nécessaires à l’épanouissement de la société. Nous sommes parmi ceux qui sont à vos côtés.

Angela Durante, PhD

Denis Rancourt, Ph.D.

Claus Rinner, PhD

Laurent Leduc, PhD

Donald Gallois, PhD

John Zwaagstra, PhD

Jan Vrbik, PhD

Valentina Capurri, PhD

De quelle société voulons-nous ?

Ne nous trompons pas d’“ennemis”
Plus dangereux que le C0VlD, le virus de la division


Dans quel camp êtes-vous ? Êtes-vous pour ou contre le vaccin ? Pour ou contre le Pass sanitaire ? Qui sont vos alliés, et qui vos ennemis ?


Depuis bientôt un an et demi, la société se clive de plus en plus. Chaque camp projette le diable sur l’autre. Depuis le 12 juillet, la situation est encore pire. Dans les familles, dans les entreprises, les associations, partout, les gens commencent à se regarder de travers selon que l’autre est ou non du même bord que soi.
Un virus bien plus dangereux que le C0VlD est en train de détruire la société sous nos yeux : celui de la division, celui de l’étiquetage mutuel, du jugement, de la haine et de l’exclusion.
Si nous le laissons proliférer, dans quel monde allons-nous vivre demain ? Allons-nous laisser la société se couper en deux, avec une ligne de partage qui traversera chaque famille, chaque ville ou village, chaque commerce, chaque parti, chaque association ?
Un tel clivage ne peut avoir aucun gagnant. Peu importe le camp qui l’emporterait, ce serait l’esprit de division qui aurait triomphé et qui, demain, créerait de nouvelles lignes de fractures et poursuivrait sans fin le morcellement ainsi amorcé. Jusqu’à ce que tout le tissu social ne soit plus qu’un champ de ruines.
L’unité, seul remède à la division – que certains responsables politiques invoquent sans vraiment savoir de quoi ils parlent – ne peut exister qu’entre personnes ayant des convictions, des croyances, des pratiques différentes, mais sachant néanmoins se respecter mutuellement et vivre ensemble. Lorsque ces différences ne sont plus tolérées, comme actuellement, ce n’est pas l’unité qui règne, mais l’uniformité qui en est l’exact contraire, puisqu’elle détruit la diversité indispensable au vivant.
Si nous voulons trouver de véritables “ennemis” à combattre, mais cette fois pour rester unis et ne pas nous tromper de cibles, en voici quelques-uns, dont vous constaterez qu’aucun n’est une personne ni un groupe d’individus :
– L’esprit binaire vient en tête de liste, bien sûr, car il nous conduit à réduire la complexité des choses, des gens et des problèmes à des dualités simplistes, pour/contre, gentil/méchant, bon/mauvais, qu’on répartit en camps adverses. C’est lui qui donne naissance à l’esprit de division.
– La peur vient en second, qui a envahi la société depuis un an et demi : sa vibration émotionnelle toxique empêche de penser correctement, sans compter qu’elle empoisonne nos cellules et affaiblit notre immunité.
– Le besoin d’avoir raison suit juste après : la conviction d’être seuls détenteurs d’une vérité, sans accorder le moindre crédit à qui pense différemment. Le mental humain étant capable de justifier toutes les croyances, sans exception, les plus pertinentes comme les plus fausses, avoir raison ne prouve jamais qu’on soit dans le vrai. La vérité est plus vaste qu’aucun raisonnement.
– L’étiquetage qui parasite depuis un an le journalisme : étiqueter quelqu’un (complotiste, rassuriste, alarmiste…) permet de disqualifier cette personne sans même s’intéresser à ce qui motive son point de vue. Une fois étiquetée, elle en perd d’ailleurs son statut de personne à part entière : elle est réduite à une opinion, forcément erronée.
– La diabolisation du camp adverse, qui en découle naturellement : si l’autre ne pense pas comme moi, c’est qu’il est mauvais, qu’il a tort, qu’il est nuisible à moi-même et aux autres. Rapidement, on ne le voit plus vraiment comme un être humain d’ailleurs, plutôt comme un monstre, un ennemi à neutraliser.
– La conviction de faire ce qui est bon pour les autres, déjà dénoncée autrefois par Alice Miller1 dans son fameux livre C’est pour ton bien. Un proverbe touareg enseigne avec sagesse que « Ce qu’on fait pour les autres, sans les autres, c’est contre les autres ». Autrement dit, le « bien commun » ne peut résulter que d’un cheminement collectif.
– L’exclusion, qui est la conséquence logique de tout ce qui précède. Celui de l’autre bord a tort, il est mauvais, d’ailleurs il ou elle est …… (choisir son étiquette). Je sais mieux que lui ce qui est bon pour lui. Et s’il ne veut pas s’y plier, il ne reste qu’à l’exclure. Il ou elle l’aura bien cherché.


On pourrait certainement en trouver d’autres, mais nos véritables “ennemis” sont là, ils sont en nous. Il s’agit d’attitudes, de comportements que chacun de nous est susceptible d’arborer, quel que soit son camp, et qui sont une véritable gangrène pour le corps social que nous formons ensemble. Ces “ennemis”-là – ces poisons-là devrait-on dire – nous ne pouvons les guérir qu’avec ces antidotes à (re)découvrir que sont :
– Le dialogue, et en particulier la capacité à converser en bonne intelligence avec ceux et celles qui pensent autrement que nous, à nous ouvrir à leurs sources d’information, à leur expérience personnelle, leur parcours de vie, à tout ce qui les conduit à avoir aujourd’hui telle opinion, différente de la nôtre.
– La capacité à se remettre en question, à accepter que nul ne détient toute la vérité, la volonté d’aller examiner d’autres points de vue que le sien. Voire, celle de reconnaître que l’on avait en partie tort…
– L’acceptation de la complexité, car le monde n’est pas binaire, noir/blanc. Aucun problème ne peut se résumer à des 0 et des 1 : il y a d’infinies combinaisons, d’infinies nuances de gris.
– L’esprit d’inclusion, enfin, car l’autre, quelles que soient les opinions qu’il cultive, est un être humain comme moi, possédant les mêmes besoins fondamentaux, les mêmes aspirations essentielles, quelqu’un de bien moins différent de moi que nos idées ou croyances divergentes ne le laissent supposer en apparence.


Alors, qu’allons-nous combattre, au final ?
D’illusoires ennemis extérieurs, qui sont en réalité nos frères et sœurs en humanité, quitte à imposer à notre société l’une des divisions les plus profondes et les plus lourdes de conséquences de son histoire ?

Allons-nous laisser apparaître une guerre civile, des émeutes un peu partout, ou encore une nouvelle guerre de religion, opposant cette fois des croyances médicales2 à d’autres ?
Ou allons-nous plutôt nous occuper de nos propres ennemis intérieurs, nos peurs, nos vieux réflexes claniques, nos jugements, nos rejets ?

Surtout : quelle société nos choix vont-ils produire demain ?
Une société coupée en deux, déchirée d’un bout à l’autre par une fracture traversant toutes les couches sociales, les catégories professionnelles, les appartenances ? Un tissu social en lambeaux, traversé par la peur, le ressentiment, la haine, la honte ?
Ou une société aspirant à l’unité malgré ses différences et ses désaccords, recherchant ensemble, dans la diversité et le pluralisme retrouvés, des solutions aux défis actuels, sans exclure ni rejeter personne ?


Nous sommes à un tournant majeur de notre histoire. Ne nous méprenons pas sur ce qui est réellement en jeu ici, bien au-delà de seules questions sanitaires (ou politiques). C’est de notre avenir commun dont il est véritablement question, de la manière dont nous allons choisir notre façon de vivre ensemble, les uns avec (ou contre) les autres.
Certaines décisions ne sont pas de notre ressort, elles sont dans les mains de ceux qui nous dirigent, pour le meilleur ou pour le pire.


D’autres, en revanche, ne dépendent que de nous, individuellement et collectivement. Personne ne peut nous contraindre à étiqueter, à juger, à rejeter, à haïr ou à exclure. Personne. Tous et toutes nous pouvons faire le choix du dialogue, de la rencontre, de l’ouverture à celles et ceux qui pensent autrement, qui ont d’autres convictions, d’autres pratiques. Nous pouvons refuser la division, refuser l’exclusion, être solidaires les uns des autres, par delà nos opinions divergentes.


Il n’y a pas des vaccinés d’un côté et des non-vaccinés de l’autre. Il y a seulement des êtres humains, hommes, femmes et enfants, qui aspirent tous à vivre en bonne intelligence les uns avec les autres, à cultiver et préserver leur santé, grâce à la multitude de médecines et thérapies complémentaires qui existent pour cela, et à affronter ensemble, dans le respect de leur diversité, les défis majeurs que nous présente notre époque. Nous n’y parviendrons qu’ensemble, tous ensemble, en nous appuyant sur la multitude de connaissances et d’expériences disponibles, dans toute leur richesse et leur complémentarité, sans plus en exclure aucune.

— Olivier Clerc
1 Cf. C’est pour ton bien, d’Alice Miller, Editions Aubier, 1984.
2 Cf. mon livre Médecine, religion et peur : l’influence cachée des croyances, Editions Trois Fontaines, 1998.

Analyse des assertions scientifiques d’Emmanuel Macron par le Pr Peter McCullough

 Publié le 14/07/2021 à 12:34

Lors de son allocution en date du 12 juillet 2021, le président Macron a fait état d’un certain nombre d’assertions scientifiques : « le variant Delta est trois fois plus contagieux que la première souche » ; « les vakx1s divisent par 12 le pouvoir de contamination et évitent 95 % des formes graves » ; pourtant il faut « vivre avec le virus »… Toutes avaient pour objectif d’établir sa décision de rendre la vakxination obligatoire pour les soignants, ainsi que la mise en place d’un passe sanitaire, qui correspond peu ou prou à une obligation vakxinale. En effet, les Francais non vakxinés ont de grandes chances – sous réserve de votes – de se voir interdire l’accès aux restaurants, bars, commerces, voyages, etc. Une des mesures les plus coercitives d’Europe.

Voir aussi : « Propagande est le mot qui me vient pour qualifier la politique de vakxination » Dr McCullough

Pour autant, la charge de la preuve incombe à celui qui énonce un fait scientifique, mais Emmanuel Macron n’a pas eu le temps d’étayer son propos dans le cadre de son discours.

Nous avons donc demandé à un spécialiste, le Dr McCullough, qui a témoigné sous serment devant le Sénat américain de revoir chacune de ces assertions et de les commenter.

C’est ce qu’il fait au cours de ce debriefing :

https://videas.fr/embed/eb76ff54-46bd-4185-8b6e-2daeebccbcf9/

Conclusion : aucune assertion n’est fondée.

Le professeur McCullough va plus loin et déclare que l’obligation vakxinale et le passe vakxinal ne sont pas nécessaires étant donné l’état de l’épidémie, y compris pour le variant Delta. Par ailleurs, il se tient à disposition des parlementaires français pour venir témoigner de son expertise de manière factuelle et rigoureuse.

Auteur(s): FranceSoir

Voir aussi: https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/passe-sanitaire-labolition-de-la-declaration-des-droits-de-lhomme-et-du-citoyen

Lettre ouverte à mes amis et ma famille concernant la vakxination contre la C0VlD-19

Source: Agora Vox Jacques Pollini

Quelques mois sont passés depuis mon dernier post sur la C0VlD-19. Je me suis recentré sur d’autres sujets et considère que nombreux sont les spécialistes prenant la parole sur le sujet, donc je n’avais pas vraiment grand chose à ajouter. Toutefois, j’ai maintenu une communication avec famille et amis pour partager mes questionnements et observations. Ci-dessous la dernière lettre que j’ai fait circuler au sein de mon réseau personnel. Suite à la déclaration de guerre de Macron face aux non-vakxinés, démarche irresponsable qui va ouvrir de nouvelles fractures sociales, j’ai pensé bon de partager ce texte. J’espère qu’il inspirera les lecteurs à faire de même et à partager leurs critiques avec leurs proches. Les algorithmes censurent, mais les courriels sont encore un moyen d’expression qui fonctionne. Bon courage à tous et tenez bon malgré le chantage à la vakxination.

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Je vous en conjure ! (English version below)

Je vous écris cette lettre sur la C0VlD-19 car cette histoire n’est pas finie ! Je l’ai rédigée avant le discours de Macron, qui ne fait qu’augmenter la nécessité de la partager, et elle s’ajoute aux autres, pour ceux qui étaient déjà dans mes destinataires (NB : dites-moi si vous ne voulez plus rien recevoir). Des mutants apparaissent, de nouvelles vagues se préparent, et on continuera de parler des traitements et des vakx1s C0VlD-19, avec des 3eme, 4eme injections, etc… Ce débat continuera, sur fonds de censure et campagnes anti-sciences (BMJ 2020), d’auditions publiques inévitablement politisées, avec des biais croissants du fait des actions en justice en cours ou en préparation, en France, en Inde et au niveau international.

Je vous ai inclus dans mes destinataires tout simplement parce que je vous aime, ou ai de l’amitié ou de la sympathie pour vous, et mon devoir est de toucher le plus de gens possible. Si vous avez aussi de la sympathie ou de l’amour pour moi, ou tout simplement de l’estime, faites s’il vous plaît l’effort de lire ce texte la tête froide. Je sais d’avance que cela va provoquer irritation et jugement à mon encontre, au détriment des mes relations sociales et professionnelles, et du stress pour certains d’entre vous, mais cela ne compte pas face aux enjeux. Je suis désolé de provoquer ce sentiment d’irritation mais ce n’est pas mon intention. Certains vont dire que je suis têtu, obsédé, que je rumine en boucle, que je veux satisfaire mon ego. Rien de tout cela. Je me soucie de vous tous et me sens coupable, ne peux dormir correctement face à ce sentiment d’échec et d’impuissance à vous faire percevoir un danger très grave. Je ne demande qu’à voir les faits et publications scientifiques qui me feraient changer d’avis. J’ai passé ma vie à apprendre, à être ouvert aux idées des autres, et à changer d’avis car je les écoute. Mais les publications qui s’opposeraient à ce qu’une communauté croissante de chercheurs dit et pense sur cette maladie, contre la doxa gouvernementale et les politiques qui en découlent, n’existent pratiquement pas. Montrez moi simplement que je me trompe. Envoyez-moi des publications qui réfutent les arguments exposés ici. Mais pas des avis d’experts ou de journalistes ne s’appuyant sur aucune donnée. Inutile aussi de parler de ma psychologie ou de celle des autres contestataires, en tout cas pour l’instant. Car avant d’expliquer pourquoi et comment je suis biaisé, ce qui est tout à fait légitime si c’est le cas, vous devez d’abord établir que ce que je dis est faux.

Certains d’entre vous connaissent déjà certains de mes arguments mais je vais les répéter en m’appuyant sur des publications récentes. Le premier, qui est la base de tout, et que je vous demande de réfuter si vous le pouvez, car alors tout mon raisonnement s’effondrerait et le stress que je provoque sur vous tous et sur moi même disparaîtrait, c’est que la C0VlD-19 se traite, à condition de soigner précocement, moins de 5 jours après l’apparition des symptômes. J’ai déjà partagé la liste des publications qui montrent cela (https://c19early.com/) mais lisez au moins les méta-analyses portant sur l’efficacité de l’ivermectine, par Kory et al (2021)Hill (2021), et Bryant et al (2021), et cette parution récente (Cadegiani et al 2021), à propos du « protocole Raoult » de l’IHU de Marseille et d’autres traitements utilisant l’antibiotique azithromycine. Elle confirme ce que l’on sait depuis plus d’un an. Si on traite la C0VlD-19 dès l’apparition des symptômes, on ne va pas à l’hôpital et on ne meurt pas, sauf si on est très âgé et/ou qu’on a des comorbidités. Et on développe rarement les symptômes dit “C0VlD long”. La C0VlD devient alors une maladie bénigne, pas plus grave qu’une grippe. Cela n’est pas une négation de l’existence de victimes. C’est simplement la reconnaissance que les victimes s’expliquent par le fait que la maladie est nouvelle et qu’on a empêché les médecins de faire leur travail en essayant diverses approches pour la traiter, sur la base de leurs connaissance médicales et des recherches préliminaires réalisées en Chine dès février 2020 (Chen et al 2020Gao et al 2020), puis en France et partout dans le monde. Ce que je dis ici n’est pas mon opinion. Il s’agit de faits énoncés par les scientifiques et les médecins qui ont traité des patients C0VlD en ambulatoire, que chacun peut tenter de réfuter, et que personne n’a pourtant réfutés. Ce que l’on observe depuis plus d’un an, dans les médias et au sein des comités d’experts, c’est le déni de ces faits (Pollini 2020). C’est une inquisition qui cloue au pilori, sans référence crédible, les médecins et chercheurs qui avancent ces conclusions. Les études qui soit-disant réfutent ces faits sont réalisées sur des patients hospitalisés et ayant des symptômes C0VlD depuis plus de 5 jours, ce qui les rend hors sujet s’il s’agit d’évaluer les traitements précoces, ou sur des effectif réduits de patients jeunes et en bonne santé, ce qui les rend inaptes à détecter un effet significatif, sauf quand on les agrège en faisant des méta-analyses. Garcia-Albéniz et al (2020) et Ladapo et al (2020) ont fait de telles méta-analyses, montrant ainsi des effets positifs significatifs à partir d’études concluant qu’il n’y a pas d’effet. On observe également des fraudes, au moins dans le cas de l’article de Mehra et al (2020) publié par The Lancet. Vous pouvez vérifier tout cela par vous même, en lisant les articles plutôt que les écrits de ceux qui les invoquent pour justifier leur vision ou leur agenda.

Le deuxième point, c’est que dès lors que l’on reconnaît que la C0VlD-19 se traite, le confinement et la vakxination généralisée deviennent inutiles sans ambiguïté. Il suffirait de confiner, voire de vakxiner, les gens vulnérables, ceux qui décèdent malgré les traitements précoces, parce qu’ils sont âgés et fragiles ou ont des comorbidités, et les autres pourraient continuer leurs occupations, permettant à l’économie de fonctionner et à l’immunité de groupe de se former. C’est ce qu’ont déclaré les scientifiques signataires de la déclaration de Barrington. On pourrait aussi se lancer dans une réflexion sur les causes des comorbidités et voir que les causes des décès sont des maladie chroniques s’expliquant par la dégradation de notre hygiène de vie, du fait d’une mauvaise alimentation et du manque d’exercice, voire du fait des pollutions, comme l’affirme le généticien Christian Vélot. Les grandes épidémies dans l’histoire ont généralement eu lieu pendant des périodes où la population était faible, du fait d’une alimentation pauvre (Mazoyer et Roudart 1996). Nous avons toujours fait face à des pandémies causées par de nouveaux virus ou variants, en 1889191819571968. Si nous sommes plus vulnérables face à la C0VlD-19, la cause pourrait être le manque d’exercice, la mauvaise alimentation, voire la déprime et l’isolement pour ceux qui ont une vie sociale réduite. Le confinement, en plus d’avoir une efficacité probablement très faible pour réduire l’épidémie (Bendavid et al 2021), ne fait qu’accentuer cette dégradation de l’hygiène de vie, tandis que le vakx1 ne résoudra pas le problème, car il continuera d’y avoir des virus et des gens vulnérables. Nous avons été conditionnés à ne pas pouvoir envisager cette réalité. Nous sommes maintenant en droit de nous demander d’où vient ce conditionnement. Pourquoi le seul point de vue accepté, exprimé dans les médias et par les experts, c’est que la seule solution face à la C0VlD-19, c’est la vakxination de masse, alors que cette approche est contestée par des experts ou collectifs de médecins aux USA (voir aussi Seneff et Nigh 2021), CanadaRoyaume Uni, en France, en Allemagne ou au Japon ?

Le troisième point, évoqué dans plusieurs des sources ci-dessus et qui m’a forcé à écrire ces lignes, c’est que le vakx1 est toxique. L’élément, ou un des éléments toxiques dans la C0VlD-19, est la protéine spike, qui attaque les vaisseaux sanguins notamment au niveau du cœur (Avolio et al 2021). Or les vakx1s à ARN et à adénovirus, qui dominent le marché, font fabriquer cette protéine par notre organisme. Le principe des vakx1s traditionnels, c’est d’injecter des virus atténués, bénins. Or les vakx1s C0VlD-19 font fabriquer par notre organisme une protéine du virus qui est une des causes de sa létalité. Il n’est donc pas surprenant que les effets secondaires et les décès rapportés liés au vakx1s C0VlD soient en beaucoup plus grand nombre que pour tout autre vakx1s (Réinfo Santé Suisse 2021). On nous dit que ces effets secondaires et décès ne s’expliquent pas forcément par le vakx1. C’est vrai. Corrélation n’est pas causalité. Quand on vakxine des millions de gens, il y en a forcément qui meurent de toutes sortes de pathologies juste après la vakxination, par coïncidence. Nous ne sommes pas idiots. Nous pouvons comprendre cela. Mais les effets reportés s’accordent avec ce que la science dit à propos des effets de la protéine spike. Celle-ci crée des lésions dans les vaisseaux sanguins qui sont cause de coagulation et de thromboses, expliquant les myocardites et accidents vasculaires cérébraux. Et ces décès et accidents surviennent en grand nombre chez des personnes vakxinées jeunes et en bonne santé. On nous dit également que les ARN restent dans la zone d’injection, dans le muscle deltoïde. Mais sur quels éléments se base-t-on vu que les études sur les vakx1s ne comportent pas d’analyses pharmacocinétiques ? En fait, on sait maintenant que les ARN des vakx1s, protégés de notre système immunitaire par les nanoparticules lipidiques, passent dans la circulation sanguine et atteignent divers organes. Une étude réalisée au Japon, malheureusement non traduite mais dont les graphiques peuvent être consultés, montre qu’ils s’accumulent dans la moelle et les ovaires des femmes. On en trouve également des traces dans d’autres parties du corps, y compris le cerveau, plus vulnérable car les neurones ne peuvent se régénérer et les lésions provoquées par la protéine spike seront irréversibles.

Quatrièmement, cette toxicité de la protéine spike pourrait n’être que la partie émergée de l’iceberg, car d’autres effets secondaires, déjà considérés comme possibles, pourraient être révélés dans le long terme. Les vakx1s contre les coronavirus sont notoirement difficiles à mettre au point et certaines recherches à leur sujet (sur d’autres coronavirus) ont été arrêtées car ils ont provoqué la mort de souris (Tseng et al. 2012). Ils immunisent les souris mais quand celles-ci sont mises en contact avec le virus contre lequel elles ont été vakxinées, elles décèdent alors que les non vakxinées survivent. Ce phénomène mal connu, mais rencontré également dans le cas du vakx1 contre la dengue (Normile 2017), est appelé la facilitation de l’infection par les anticorps (Lee et al 2020). Quelles garanties avons nous qu’il ne va pas se produire avec les vakx1s C0VlD ? D’autre part, on a vu que les ARN des vakx1s s’accumulent dans les ovaires. Cela est préoccupant car on y on trouve des cellules germinales. Que se passerait-il si le gène de la protéine spike était intégré à notre génome ? On nous dit que c’est impossible. C’est faux. On sait déjà que le gène du virus de la C0VlD-19 peut s’intégrer au génome humain. C’est déjà arrivé (Zhang et al 2020). Il suffit que la cellule dispose de transcriptase reverse, permettant de rétro-transcrire un ARN en ADN, et d’autres enzymes, qui peuvent etre fournies par des rétrovirus endogènes, permettant d’intégrer cet ADN au génome. Nos gènes comportent des tas de fragments de gènes de virus acquis durant les millions d’années de notre évolution. Les questions pertinentes à poser sont donc : quelle est la fréquence ou probabilité de ces inclusions dans notre génome ? La délivrance des gènes des vakx1s dans les cellules par les nanoparticules, qui les protègent de notre système immunitaire, va-t-elle augmenter la fréquence de cet évènement ? On ne connaît pas la réponse. On ne peut qu’observer et mesurer ces effets sur les sujets expérimentaux que sont les vakxinés.

Autre point important : les vakx1s sélectionnent des variants (Martin et al 2021Van Egeren et al 2021). Une étude récente (Niesen et al 2021) dit que la vakxination de masse diminue au contraire les variants mais elle a déjà été commentée et critiquée par Vanden Bossche (2021), qui argumente que si la vakxination réduit bien la diversité des mutations, elle les oriente dans une direction spécifique, ce qui conduit à l’échappement immunitaire. Cet échappement est logique pour tout biologiste darwiniste. Les vakx1s permettent de produire des anticorps contre la protéine spike. Donc si un mutant apparaît, le vakx1 lui laisse le champ libre en éliminant tous les virus à protéine spike non mutée. Vu que la protéine spike est un des éléments pathogènes du virus (l’élément pathogène principal ?), ces mutations ne seront pas anodines car des mutants plus ou moins pathogènes apparaîtront. La structure de la protéine spike présente des similarités avec celle de certaines protéines humaines notamment placentaires (Wodarg and Yeadon 2020). Si elle mute d’une manière qui la rapproche encore de la structure de protéines humaines, alors les réponses auto-immunes face à la C0VlD-19 et ses vakx1s pourraient être accentuées. L’immunité naturelle, d’un autre côté, porte sur l’ensemble du virus, sur plusieurs de ses protéines, pas seulement la spike. Elle réduirait donc les risques de prolifération des mutants car si la spike mutait, le virus pourrait toujours être neutralisé par des anticorps se fixant sur d’autres protéines. En outre, selon Vanden Bossche (2020), la vakxination réduirait les chances d’acquérir cette immunité à spectre large, à cause d’une compétition entre les réponses immunitaires innées, qui sont moins spécifiques et mobilisée lors d’un contact naturel avec le virus, et les réponses immunitaires acquises, qui sont plus spécifiques et déclenchées par la vackxination. Noorchasm (2021), cependant, reconnaît l’existence de l’échappement immunitaire mais argumente que la seule manière de l’empêcher serait de vakxiner tout le monde très vite afin d’acquérir l’immunité collective avant que les variants apparaissent.

Enfin, les vakx1s à ARN sont une nouveauté et toute une série d’autres problèmes, inconnus ou mal connus, pourraient apparaître. A ce propos, il faut écouter les virologues les plus avancés, tel Luc Montagnier, prix Nobel et co-découvreur du virus du SIDA. Il parle d’activation de rétrovirus endogènes, de maladies à prion, et de phénomènes épigénétiques, c’est-à- dire de maladies qui se transmettent à la descendance sans impliquer une modification de notre ADN. Nous sommes là aux frontières de nos connaissances en biologie mais on sait que les prions sont la cause de nombreuses maladies neurodégénératives. Nous sommes sans réponses sur le niveau de ces risques mais le minimum que nous sommes en droit d’exiger, c’est que ce débat ait lieu, et que l’on donne la parole à nos plus grands scientifiques, afin d’avoir accès à cette information avant de se faire vakxiner. Et si la fonction de cette vakxination de masse était justement de faire reculer les frontières de la science grâce à une expérimentation massive impliquant des milliards de sujets ? Je sais que cela sonne comme une théorie complotiste mais les théories complotistes sont comme toute théorie : elles méritent d’être testées dès lors qu’elles pourraient expliquer ce qui ne l’est pas encore et que certains indices conduisent vers elles. Les vakx1s C0VlD-19 font appel à des méthodes employées en thérapie génique, et la thérapie génique est un secteur en pleine expansion. Elle a des applications militaires et sera source de profits immenses dans un proche avenir. Elle est un des piliers de l’agenda transhumaniste soutenu par les grandes sociétés technologiques, telles google et facebook, qui justement censurent la circulation de l’information et empêchent le débat sur les traitements précoces et les effets secondaires de la vakxination d’avoir lieu. Cette marche forcée vers la vakxination pourrait s’expliquer par la volonté des transhumanistes de conduire cette expérimentation planétaire (Medicalveritas 2020), plutôt que par les profits immédiats engrangés par l’industrie pharmaceutique.

On nous répondra que les coûts ou risques liés à la vakxination doivent être acceptés car ils sont moindre que les bénéfices. On nous dit que le vakx1 réduit de 95% le risque de contamination, mais cela est également controversé. Les données brutes ne sont pas rendues publiques car elles sont protégées par le secret industriel, donc personne ne peut vérifier quel groupe de population exactement a ce niveau de bénéfice. Les études de Pfizer comprennent des cas de personnes ayant des symptômes C0VlD non vérifiés par un test PCR. Si ces personnes avaient la C0VlD, alors la réduction du risque d’infection pourrait n’être de de 19% (Doshi 2020). En outre, l’analyse des coûts et bénéfices se fait en considérant que la C0VlD-19 ne se traite pas, ce qui est faux. Et elle ne considère pas les coûts à long terme puisque ces coûts ne sont pas connus. Faut-il rappeler que les vakx1s sont en phase expérimentale ? Ils ne bénéficient que d’une utilisation d’urgence car les expérimentations ne se termineront qu’en 2022 ou 2023 (Réinfo Santé Suisse 2021). En se faisant vakxiner, on s’inclut donc dans un protocole expérimental qui déterminera le niveau de risques, ce dont on n’est généralement pas clairement informé. La vakxination ne peut donc être imposée, car ce serait contraire au code de Nuremberg sur l’expérimentation sur des sujets humains, et aux accords d’Helsinki sur l’éthique en expérimentation médicale. Il faut rappeler aussi qu’en cas de problèmes, les industriels qui produisent les vakx1s ne sont pas tenus de prendre en charge les coûts. C’est aux gouvernements, donc aux contribuables, de payer. Aux USA, ou 9,048 décès 41,015 effets secondaires graves sont suspectés d’etre causés par la vakxination, des victimes de la vakxination prennent le risque d’être en banqueroute et doivent faire appel à la générosité du public pour être prises en charge.

Voilà, j’ai dit l’essentiel de ce que je voulais dire. Je n’ai pas d’autre intention que de susciter un débat que les autorités médicales, les médias, et les sociétés qui hébergent les réseaux sociaux tentent de museler, en faisant passer ceux qui contestent les politiques sanitaires pour des complotistes délirants, des frustrés, des égocentriques, ou des égoïstes, démarche qui rappelle plus l’inquisition que l’idéal scientifique. Notre avenir à tous dépend de ce qui sortira de ce débat. J’espère que tous ceux qui comme moi tentent d’alerter l’opinion publique et leurs proches se trompent. Mais il ne serait pas raisonnable, voire il serait suicidaire, d’exclure la possibilité qu’ils aient raison. J’espère que vous aurez le courage d’explorer cette possibilité en vous basant sur les faits, les publications scientifiques, et l’expérience des médecins qui ont soigné des patients C0VlD-19 en ambulatoire. Ils sont nombreux et on peut trouver leurs témoignages et leurs publications malgré les efforts de censure de google, youtube ou facebook. On les trouve aux USA, en France, au Canada, en Italie, etc… et ils arrivent tous aux mêmes conclusions. J’espère que vous me pardonnerez votre irritation si vous êtes convaincu de mon erreur, qui serait en fait l’erreur de milliers de scientifiques et médecins de haut niveau dont Robert Malone (voir aussi cette interview), inventeur des vakx1s a ARN, et plusieurs prix nobel : Luc Montagnier, déjà mentionné, mais également Satoshi Ömura, découvreur de l’Ivermectine, et Michael Levitt, Professeur à l’université Stanford. Mon point de vue, basé sur l’écoute de ces personnes et d’autres qui sont aux premières lignes de la science et de la médecine C0VlD-19, c’est qu’en vous vakxinant, vous vous administrez un poison inutile, et que vous en reprendrez une dose à chaque nouvelle vague de C0VlD-19. Et il y aura de nouvelles vagues, à cause de, et non pas malgré la vakxination, et à cause du refus des traitements précoces et de l’empêchement de l’immunité groupe naturelle du fait du confinement généralisé. Si vous faites l’effort d’examiner mon point de vue, comme l’anthropologie nous apprend à le faire, alors vous réaliserez que c’est seulement si je n’avais pas écrit ces lignes que vous auriez dû me blâmer, même si tout ce que je dis ici est faux.

Avec toute ma sincérité,

Jacques 

D’éminents experts ont comparé le « variant Delta » au rhume des foins et au rhume classique.

Selon divers rapports, des experts britanniques ont comparé les symptômes « Variant Delta » du C0VlD-19 à ceux du rhume des foins et du rhume ordinaire. La nouvelle souche serait à l’origine de 99 % de tous les nouveaux cas de C0VlD-19 au Royaume-Uni. « Les principaux symptômes du C0VlD-19 semblent avoir changé, les maux de tête et de gorge étant désormais plus fréquents que la fièvre et la toux, selon une mise en garde des experts britanniques », note le New York Post.

« Les personnes souffrant d’allergies peuvent ressentir certains des mêmes symptômes que celles atteintes de C0VlD, ce qui peut provoquer d’énormes niveaux d’anxiété », a déclaré le Dr Connor Bryant, cofondateur de la technologie de l’air pur MedicAir, selon le Mirror
« Le C0VlD agit différemment maintenant, c’est plus comme un rhume », a déclaré Tim Spector, professeur d’épidémiologie génétique. « Tous ces symptômes ne sont pas les anciens symptômes classiques. »

Le Dr Fauci continue d’affirmer que « le variant Delta est actuellement la plus grande menace aux États-Unis pour notre tentative d’éliminer le C0VlD-19 », qui aurait représenté 20 % de tous les nouveaux cas de C0VlD-19 aux États-Unis. Fauci maintient que les vakx1s contre le C0VlD-19 peuvent protéger les gens contre le « variant Delta », ajoutant que les jeunes non vakxinés sont « plus vulnérables que jamais ».

Cependant, de nombreux Américains sont sceptiques quant aux vakx1s contre le C0VlD-19 qu’ils ont reçus, car on rapporte que le « variant Delta » infecte des personnes alors qu’elles ont été entièrement vakxinées. Comme l’a rapporté le Wall Street Journal« Environ la moitié des adultes infectés lors d’une épidémie du variant Delta du C0VlD-19 en Israël avaient été entièrement vakxinés avec le vakx1 Pfizer Inc., ce qui a incité le gouvernement à réimposer l’obligation de porter un masque à l’intérieur et d’autres mesures pour contenir la souche hautement transmissible. »

Le 13 mai, Joe Biden a dit à l’Amérique de « se faire vakxiner ou de porter un masque jusqu’à ce que ce soit le cas », ce qui a incité des centaines de millions d’Américains à recevoir leur vakx1s contre le C0VlD-19.

L’Organisation mondiale de la santé exhorte maintenant les personnes entièrement vakxinées à continuer à porter des masques, à prendre leurs distances socialement et à appliquer les mesures de sécurité du C0VlD-19. « Le vakx1s ne suffira pas à stopper la transmission communautaire », a déclaré le Dr Mariangela Simao, sous-directrice générale de l’OMS pour l’accès aux médicaments et aux produits de santé. 
« Les gens doivent continuer à utiliser systématiquement des masques, à se trouver dans des espaces ventilés, à se laver les mains… la distance physique, éviter la promiscuité. Cela continue à être extrêmement important, même si vous êtes vakxiné lorsque vous avez une transmission communautaire en cours. »

EN COMPLEMENT:

10/7/21: Article de Nicole Délépine sur France Soir: Rien à craindre du variant Delta : il donne le rhume, curable par traitements précoces

Les vakx1s anti-C0VlD-19 pourraient être à l’origine de variants, selon des experts israéliens et européens

PAR LAWRENCE SOLOMON sur Epoch Times 3 juillet 2021 Mis à jour: 4 juillet 2021

En janvier, un rapport du service de renseignement des forces de défense israéliennes (pdf) mettait en garde contre le fait que le programme de vakxination de masse en Israël pourrait créer une mutation résistante aux vakx1s C0VlD-19. Préparé pour le Centre national d’information et de connaissances sur le coronavirus, le rapport indiquait que « la campagne de vakxination de masse qui se déroule parallèlement à l’épidémie active en Israël peut ‘pousser le virus à évoluer’ ».

En mai, Luc Montagnier de l’Institut Pasteur, le virologue dont la découverte du VIH lui a valu un prix Nobel en 2008, a averti que les vakx1s C0VlD-19 suscitent des variants plus mortels. « Je fais des expériences à l’Institut avec des patients qui sont tombés malades du coronavirus après avoir été vakxinés. Je vais vous montrer qu’ils sont en train de créer des variants résistants au vakxin », a-t-il déclaré lors d’une interview en France. « Ce sont les anticorps produits par le virus qui permettent à une infection de se renforcer. […] Il est clair que les nouveaux variants sont créés […] grâce à la vakxination. »

Bien que d’autres ne soient pas d’accord, le fait qu’une vakxination de masse au milieu d’une pandémie puisse créer des variants relève de la science fondamentale, a déclaré le Dr Geert Vanden Bossche, virologue belge, dont les références dans l’industrie des vakx1s incluent des postes chez GSK Biologicals, Novartis Vaccines, l’Alliance mondiale pour les vakx1s et la vakxination (GAVI) ainsi que la Fondation Bill et Melinda Gates.

Dans un discours-programme prononcé lors du Sommet sur les vakx1s aux États-Unis et dans une lettre adressée à l’Organisation mondiale de la santé (pdf), le Dr Bossche a exposé le danger. Comme les vakx1s contre le C0VlD-19 sont incapables d’éliminer rapidement le virus C0VlD-19, ils créent un terrain propice à l’apparition de variants, un peu comme cela se produit avec les bactéries qui ne sont pas éliminées lorsque les patients ne prennent pas un traitement complet d’antibiotiques. Le virus a alors le temps de s’adapter et de muter – ce qui ne le tue pas rapidement rend sa progéniture plus forte – ce qui a donné lieu à cette suite interminable de variants que nous observons actuellement.

Selon le Dr Bossche, le danger de cette « évasion immunitaire » est considérablement accru par les confinements, qui empêchent le système immunitaire inné de l’organisme d’être suffisamment sollicité par des agents pathogènes aléatoires et d’autres agents environnementaux pour qu’il reste entraîné et en forme, un peu comme le déconditionnement qui se produit lorsque nous ne faisons pas suffisamment d’exercice physique pour maintenir notre cœur, nos poumons et nos autres muscles en forme.

La tempête parfaite d’un système immunitaire inné inapte et de vakx1s C0VlD-19 inefficaces contre des virus mutants de plus en plus virulents de leur propre fabrication verra les personnes précédemment infectées par le C0VlD-19 et les vakxinés eux-mêmes succomber à l’infection par les variants, a affirmé le Dr Bossche, qui a ajouté que les vakxinés courent un risque particulier, car les anticorps spécifiques à longue durée de vie produits par la vakxination ont particulièrement tendance à neutraliser les anticorps généraux du corps (pdf).

La théorie selon laquelle les vakx1s ne sont pas aussi efficaces contre les variants a été étayée par une étude non évaluée par des pairs réalisée en mai par 14 chercheurs de cinq écoles de médecine et universités allemandes, qui ont découvert que le variant Delta (indien) B.1.617 hautement transmissible – l’un des quatre variants classés par l’OMS comme « variant préoccupant au niveau mondial«  – est plus à même que le virus original d’infecter des patients qui ont été précédemment vakxinés ou infectés.

Les auteurs ont conclu que la capacité du variant Delta à échapper aux anticorps spécifiques du C0VlD-19 « peut contribuer à la propagation rapide de ce variant », ajoutant que « dans les populations présentant un pourcentage élevé de personnes ayant des réponses immunitaires préexistantes contre le SRAS-CoV-2[alias C0VlD-19], les variants viraux qui peuvent échapper au contrôle immunitaire ont un avantage sélectif ». Ils ont noté qu’un phénomène similaire a pu se produire avec le variant sud-africain, B.1.351, et une mutation brésilienne appelée P.1, qui semblent également prospérer dans les populations ayant acquis une immunité contre le C0VlD-19.

En d’autres termes, les personnes immunisées contre le C0VlD-19 pourraient être encore vulnérables à des variants plus transmissibles et/ou mortels du virus.

Une autre étude non évaluée par des pairs qui étaye cette théorie a été réalisée par les services de santé israéliens Clalit et l’université de Tel Aviv. Elle a analysé 800 personnes qui avaient été infectées par le C0VlD-19 – 400 d’entre elles avaient été préalablement vakxinées et 400 n’avaient pas été vakxinées – pour découvrir que celles qui avaient été entièrement vakxinées par deux injections Pfizer avaient contracté le variant sud-africain à un taux huit fois supérieur à celui des personnes non vakxinées (bien que la taille de l’échantillon soit très petite). L’étude, qui a comparé les deux groupes en fonction de données démographiques telles que l’âge et le sexe, a également révélé que les personnes ayant reçu une injection Pfizer ont plus souvent contracté le variant britannique que celles qui n’en ont reçu aucune.

Deux nouvelles inquiétudes ont été exprimées dans un article paru dans Science au début de l’année, intitulé « New mutations raise specter of ‘immune escape’ » (le phénomène des nouvelles mutations soulève la question de l’ « évasion immunitaire »), qui décrivait comment des mutations plus mortelles pouvaient apprendre à échapper à la réponse immunitaire chez des personnes précédemment guéries ou vakxinées, ce qui conférait à la mutation un avantage dans les populations à forte immunité. Dans un exemple, Jesse Bloom, biologiste évolutionniste au Fred Hutchinson Cancer Research Center, a montré que E484K, une mutation d’un variant sud-africain inquiétant appelé 501Y.V2, réduisait la puissance d’anticorps spécifiques d’un facteur pouvant atteindre 10.

Pour lutter contre les vagues de mutations provoquées par le C0VlD-19, de nombreux experts insistent sur la nécessité de créer de nouveaux vakx1s. Mais si ces vakx1s sont administrés pendant une pandémie, d’autres avertissent qu’ils pourraient simplement perpétuer un cercle vicieux où de nouvelles variantes engendrent le besoin de nouveaux vakx1s engendrant de nouvelles variantes.

Lawrence Solomon est chroniqueur à Epoch Times, auteur et directeur exécutif du Consumer Policy Institute, basé à Toronto. LawrenceSolomon@nextcity.com @LSolomonTweets

Des médecins à travers le monde mettent en garde contre les « vakx1s » C0VlD19

De nombreux médecins à travers le monde témoignent de leur engagement et leur conviction par rapport à cette fausse pandémie, les tests et les vakx1s.
A partager largement.

https://odysee.com/@Miniver:4/meds:1

Affaire Fauci , « False flag » selon Reiner Fuellmich

Reiner Fuellmich, révèle le réel plan derrière l’affaire Fauci révélée par ses mails.

https://odysee.com/@LeFrexit:3/False-flag-fauci:e

EN COMPLEMENT: Révélations de Patrick Jaulent, docteur en électronique, lanceur d’alerte et auteur (qui vient de publier « Un monde de menteurs : la cybersurveillance au service de la vérité ») qui a été au coeur de l’acquisition et de l’analyse de ces mails de Fauci et qui en exposent les faits dans
cet extrait de l’Info En Question n°53 du 17 juin 2021 où il était invité.

Autre interview de Patrick Jaulent sur France Soir en avril 2021:

Interview choc : vakxination, un Holocauste mondial !

Holocauste 2.0, une interview choc de Vera Sharav diffusée par Reiner Fuellmich dans le cadre de l’enquête pour le procès Nuremberg 2.

Avec son témoignage émouvant et son expérience de militante médicale à la tête de l’Alliance for Human Research Protection, elle alerte sur les similitudes de la situation actuelle avec le règne de la terreur nazi.

Un témoignage très fort, dû à son expérience et une remise en contexte de la situation actuelle avec les similarités de l’holocauste nazi. Les mêmes acteurs, les mêmes cartels bancaires, les mêmes multinationales et les gouvernements corrompus collaborent pour éliminer une grande partie de l’humanité.

Ecoutez car cette interview c’est une bombe atomique !

https://mediazone.zonefr.com/videos/interview-choc-vaccination-un-holocauste-mondial-346

Voici l’enquête en anglais dont Vera parle:
https://unlimitedhangout.com/2021/02/investigative-reports/schwab-family-values/