Si tu as moins de 25 ans stp écoute mon message. (S’il vous parait utile, partagez-le, peut-être contribuerez-vous à sauver une vie…) Je t’invite à la prudence ce qui est normal quand des médecins ne sont pas d’accord entre eux, certains invitant au vax et d’autres pas du tout. C’est aussi un appel au bon sens, pourquoi se faire injecter avec un sérum expérimental alors que le risque de mourir de la C0vid est infinitésimal et qu’il existe aujourd’hui des traitements pas chers qui fonctionnent très bien sans effets secondaires ?
Quelques liens pour commencer tes recherches; deux sites indispensables de médecins chercheurs, universitaires, sans conflits d’intérêts ni corruptions: https://www.covidhub.ch/ et https://reinfocovid.fr/
Quelle est l’ampleur des effets secondaires des vakx1s géniques anticovid ? Une analyse très complète du Dr Nicole Delépine publiée sur le site de l’association Réaction-19. État des lieux au 8 mai 2021 sur les effets secondaires des vakx1s c0vid en Europe : 10 570 décès et 405 259 complications à la suite d’une des quatre injections expérimentales Covid-19 .. : https://www.covidhub.ch/quelle-est-la…
Publication de Bernard Rentier, virologue, biologiste moléculaire et ex-recteur de l’ULiège : « Scientifiquement on ne peut pas exclure des effets d’une gravité inconnue (des vakx1s à ARNm) que normalement on aurait dû vérifier avant de lancer la vakxination (…) On nous assure que cet ARN est rapidement dégradé mais, ce n’est pas compter qu’il est composé de nucléotides modifiés, le rendant plus résistant que le naturel. » « Le public n’a pas tous les éléments à propos de la vakxination pour opérer un choix libre et éclairé, comme garantit. » « Chez les jeunes, le risque de décès à cause du virus est infime, forcément inférieur aux risques absolument pas évalués du vakx1 (…) C’est pour cela que la publicité pour la vakxination des enfants est inacceptable. » « (…) la reconnaissance d’un médicament qui viendrait atténuer ou stopper la maladie serait un frein à la vakxination. D’où le sort réservé à divers traitements, dont l’Iverme*tine, utilisés dans certains pays avec des succès publiés qu’on ne veut pas voir (…) »
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« Le public n’a pas tous les éléments à propos de la vaccination pour opérer un choix libre et éclairé, comme garantit.
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Eric Remacle est diplômé en psychologie appliquée, hypnothérapeute, auteur de livres et de pédagogies axés sur la maîtrise du stress et l’atteinte du bonheur intérieur. Il transmet des clés issues de ses 30 ans d’expérience en thérapie, formation, hypnose, méditation afin de vivre une vie libérée et lumineuse !
Senta Depuydt interroge Catherine Austin Fitts et Valérie Bugault.
Alors que la question de savoir si la pandémie pourrait servir un agenda global était considérée comme une hérésie et une théorie du complot il y a à peine un an, elle est maintenant ouvertement abordée comme » une merveilleuse opportunité » de procéder à « une grande réinitialisation » menée par un effort conjoint des Nations Unies et du Forum économique mondial.
Ce ‘grand reset’, également appelée « quatrième révolution industrielle », est censé conduire notre monde vers une société centralisée et numérique, contrôlée par l’intelligence artificielle, afin d’atteindre les objectifs du développement durable de l’Agenda 2030, le tout dans un bel emballage écologique.
Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial de Davos, le dit lui-même : « Cela devrait nous mener à une fusion de notre identité physique, numérique et biologique », autrement dit réaliser le rêve transhumaniste d’une élite mondiale. Pour atteindre les objectifs de « leur » société meilleure, ils doivent d’abord installer un système de surveillance complet pour contrôler l’humanité. C’est là que le ‘passeport vert’ ou certificat vert numérique et la réinitialisation financière entrent en jeu.
Entretien de Senta Depuydt, journaliste indépendante belge et fondatrice de Children’s Health Defense en Europe avec deux femmes extraordinaires : Catherine Austin Fitts et Valérie Bugault.
Catherine Austin Fitts est une analyste financière et une conseillère en investissement qui a cartographié la fraude américaine et internationale dans les institutions financières et gouvernementales alors qu’elle occupait un poste public en tant que secrétaire adjointe du département au logement du gouvernement américain. Catherine détaille la gouvernance mondiale et l’agenda de l’argent dans ses célèbres » rapports Solari « , sur son site Internet et dans de nombreuses vidéos. Elle nous met actuellement en garde contre la dérive totalitaire de cette » pas si grande réinitialisation « .
Mme Valérie Bugault est docteur en droit de l’université de la Sorbonne à Paris et a travaillé comme avocat fiscaliste avant de se focaliser sur l’analyse géopolitique de notre système monétaire, bien sûr avec une perspective sur les politiques nationales et internationales.
Aujourd’hui, nous discutons des trois questions suivantes. Comment le programme de réponse à la pandémie est-il lié à une réinitialisation financière opérée par les banques centrales ? Comment le Passeport Vert est-il un instrument pour prendre le contrôle sur les personnes et au niveau individuel et national ? Et que pouvons-nous faire pour changer cela?
Senta D.:
Tout d’abord, nous avons toutes les trois quelque chose en commun : nous savions qu’une grande crise et une » grande remise à zéro » étaient prévues pour 2020. En dehors de la question de la nature de la maladie ou de l’origine du virus, je m’attendais à ce qu’une pandémie soit déclarée au début de la campagne électorale américaine. C’était logique si l’on considère la progression en faveur d’une vaccination mondiale utilisant les arguments de l’agenda de sécurité sanitaire mondiale (Global Health Security Agenda) et de la « menace sanitaire » pour empiéter sur les droits constitutionnels partout dans le monde. Catherine et Valérie, vous l’avez toutes deux vu arriver en observant la déroute totale du système économique actuel et de la bulle financière qui est en train de nous conduire à la » fin des monnaies » et aux plans pour un coup d’État économique international avec un système de crypto-monnaies géré directement par les banques centrales.
Valérie B. :
Oui, le système économique actuel basé sur la création de la dette a permis aux banquiers centraux de voler l’argent de notre nation avec la complicité de nos gouvernements. Cela a été opéré par les banquiers de « la City » à Londres et aussi par la Réserve Fédérale aux Etats-Unis. La tendance actuelle est d’installer une monnaie numérique centralisée contrôlée par la Banque centrale européenne et d’imposer encore davantage leurs politiques à nos nations.
La France, l’Allemagne et l’Italie et leurs chefs d’État, en particulier Macron et Merkel, prennent leurs ordres directement de cette élite financière mondialiste. Macron a une ancienne carrière à la banque Rothschild, et Mario Draghi le nouveau premier ministre italien est l’ancien directeur de la Banque centrale européenne.
Senta D. : Dans l’UE, différentes mesures ont été prises dans le sens de cette » réinitialisation mondiale » en réponse à la pandémie. En avril, l’accélérateur ACT proposé par l’OMS, l’UE, la France et la fondation Bill et Melinda Gates a été voté par le Parlement européen et a donné des « pouvoirs spéciaux » à la Commission européenne afin d’accélérer la législation et le financement des vaccins Covid-19 et des solutions numériques. Cet instrument de législation en urgence a, par exemple, permis de voter une dérogation à l’évaluation des risques de la réglementation sur les OGM pour les vaccins Covid-19 ou encore de signer des contrats sans aucune transparence permettant une exonération complète de responsabilité pour les fabricants de vaccins. De plus, le Conseil de l’UE a autorisé la Commission à faire un énorme emprunt au nom des États membres sur les marchés des capitaux, pour un plan de relance de 750 milliards d’euros appelé « Next Generation EU ».
Le prêt est assorti de conditions relatives aux politiques numériques et « vertes » et à l’intention de l’UE d’obtenir des ressources propres et un pouvoir d’imposition directe sur les citoyens ou les entreprises de l’Union. En parallèle, la Banque centrale européenne a commencé à se préparer à un euro numérique.
Valérie B.:
Absolument, mais d’un autre côté, il y a un mouvement de résistance qui se développe en Allemagne. Beaucoup se souviennent de ce qui s’est passé sous le régime de Weimar, lorsqu’une impression similaire de monnaie a provoqué une inflation incontrôlable et un grand effondrement économique qui a finalement conduit à la montée du nazisme. Un certain nombre d’industriels allemands ne veulent pas que l’histoire se répète et ils combattent ce coup d’État mondial au niveau des institutions européennes. Un tribunal de Karlsruhe a bloqué l’approbation du prêt « Nextgeneration EU » de 750 milliards, le jugeant inconstitutionnel. Et une douzaine d’autres pays ne l’ont pas encore ratifié. Il reste donc une marge d’action et une possibilité de bloquer ou du moins de ralentir ce mouvement. En théorie, il leur faut une approbation unanime de tous les États membres. Aujourd’hui, ils sont retardés dans le paiement des vaccins et des programmes de soutien.
Malheureusement, nous ne voyons pas la même chose en France, les gens pensent toujours qu’ils recevront une aide financière du gouvernement et ils discutent également de l’introduction d’un système de revenu universel. Ils n’ont pas la même conscience que les Allemands, ils ne réalisent pas qu’ils devront payer pour cette énorme dette, d’une manière ou d’une autre.
Catherine A.F.:
Nous avons vu les mêmes tactiques utilisées aux États-Unis où le gouvernement fédéral crée des dettes pour les États et inonde le pays de dollars pendant que la Réserve fédérale travaille à la mise en place d’un système de monnaie numérique.
Tout l’objectif du Passeport Vert ou le Certificat Numérique Vert, c’est d’avoir un moyen de contrôler les gens et de créer une gouvernance totalitaire directe de l’humanité. Bien sûr, l’argent est un instrument parfait contraindre les gens. Un système de contrôle direct n’aurait plus besoin de banques, de forces de police ou de tribunaux. C’est en fait ce qui se passe déjà en Chine, par exemple avec leur « système de crédit social » dans lequel la façon dont vous vous comportez ou ce que vous dites conditionne votre accès aux voyages ou à l’achat de certains biens ou votre capacité à faire un prêt, etc.
Au niveau mondial, il s’agit de l’agenda ID2020 qui relie l’identité, les données bancaires, les données de santé et un système de suivi pour une surveillance permanente de chaque individu 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
Remarque : ce système est actuellement mis en œuvre en Inde avec le système Aadhar utilisé pour la banque numérique, qui stocke désormais également les dossiers de vaccination. Et si certains politiciens de l’UE ont « mis en garde » contre une éventuelle perte des libertés fondamentales lorsqu’ils ont discuté du passeport vert en public ou sur les médias sociaux, ils ont en même temps approuvé son accélération. (Guy Verhofstad par exemple)
Senta D. :
Les informations dont nous disposons de la part d’initiés de l’UE confirment nos inquiétudes quant aux implications du Pass Vert. Apparemment, le Conseil de l’UE et la Commission ont pour objectif d’imposer les vaccins Covid-19 à l’ensemble de la population européenne d’ici 2023. Après l’acceptation du certificat numérique vert, les autres « options » telles que le test PCR et la preuve d’immunité, qui sont censées « respecter » les droits individuels de ne pas être vacciné, seront supprimées, probablement par un acte délégué. Tout le monde recevrait des vaccins ARNm une ou deux fois par an et bien sûr cela renforcerait l’utilisation du laissez-passer vert.
Catherine A.F.:
Nous devons savoir ce qu’il y a dans ces fioles. Nous devrions obtenir des échantillons de vaccins Covid-19 du monde entier, créer un dépôt et les analyser pour voir ce qu’il y a dedans. Le scientifique en chef de Moderna a ouvertement déclaré que leurs vaccins « pirataient le logiciel de la vie » et il a comparé l’injection de leur technologie ARNm au téléchargement d’un nouveau système d’exploitation dans un ordinateur. Pour le reste, nous ne savons pas s’ils insèrent une sorte de puce, mais nous n’avons aucune garantie qu’ils ne le font pas non plus. Il y a quelques années, une équipe italienne a effectué une analyse indépendante de plusieurs vaccins et a trouvé de nombreuses nanoparticules qui n’étaient pas censées être là. Nous devons poser ces questions.
Senta D.:
C’est le travail effectué par Gatti et Montanari de Nanodiagnostics avec un puissant microscope électronique. Ils ont identifié des nanoparticules d’origine métallique dans différents vaccins au cours d’une enquête qui a débuté après la mort de militaires italiens envoyés en mission à l’étranger. Leurs résultats ont montré la toxicité associée à ces nanoparticules et un risque élevé de cancer et de décès. Ces nanoparticules sont différentes des nanoparticules PEG ou polyéthylène glycol utilisées dans les vaccins Covid-19 comme « plateformes » pour délivrer les codes génétiques ARNm à l’intérieur des cellules humaines. Les deux peuvent être préjudiciables et endommager nos cellules, mais les nanoparticules PEG « enrobées de lipides » et les vaccins Covid-19 devraient également être analysés avec d’autres instruments qu’un microscope électronique, par exemple ils pourraient subir un séquençage génomique profond de « nouvelle génération ».
Note : Dans une récente émission de NBC « 60 minutes », Matt Hepburn, un colonel à la retraite du programme militaire DARPA, a expliqué qu’ils envisageaient d’utiliser une micropuce à insérer sous la peau pour détecter « les réactions chimiques à l’intérieur du corps et signaler les signes précoces de Covid-19 ». Selon lui, cela utilise un gel semblable à un tissu qui surveille et teste en permanence le sang d’un individu. Contrairement à d’autres vaccins, les vaccins Covid-19 ou plutôt les injections de l’opération warp speed ont été conçus comme une opération militaire dirigée par la DARPA, échappant en grande partie au contrôle des services de santé américains et ne sont pas éligibles pour une demande de Freedom Of Information Act.
Senta D.:
Il est presque impossible d’obtenir une analyse indépendante des vaccins. Le protocole élaboré par le Département de la Défense et Interpol demande de collecter tous les flacons vides et de les stocker dans un récipient fermé à clé après utilisation. En Belgique, mon pays, les gens ne sont même pas autorisés à demander à l’avance quel vaccin ils vont recevoir et parfois ils ne savent pas avec quoi on les a vaccinés. Alors comment peut-on même parler de consentement éclairé ? Comment signaler une blessure due à un vaccin ? Comment obtenir quelque chose d’une assurance ? C’est incroyable.
Valérie B. :
Pour le moment, ils ne sont pas encore prêts avec la technologie pour mettre en œuvre cette surveillance numérique dans un système de contrôle centralisé, mais les gens doivent être conscients de toutes les différentes expériences qui sont faites sur eux à tous les niveaux, au niveau du corps, au niveau social, au niveau économique. La crypto-monnaie est une expérience, les vaccins ARNm sont une autre expérience et les combiner ensemble est encore une nouvelle expérience.
Remarque : il est frappant de constater qu’IBM travaille avec Moderna pour créer un passeport numérique pour la santé. Pendant la Seconde Guerre mondiale, IBM était chargé d’établir des dossiers d’identification individuels comprenant des données sur la santé, la race et autres. L’entreprise a organisé la discrimination des personnes « essentielles » en bonne santé par rapport aux individus anormaux, faibles et, plus tard, aux juifs à « neutraliser » (voir les interviews de Vera Sharav et Naomi Wolfe). Alphabet, la société qui finance Google, finance également le développement de vaccins. En Israël, Pfizer a négocié l’accès à toutes les données relatives aux vaccinations. En Europe, Microsoft gérera les « centres de données sur la santé » qui centraliseront les dossiers médicaux nationaux. Microsoft a également déposé une demande de brevet reliant les signaux d’activité biologique et physique à un système de crypto-monnaie. Dans un scénario dystopique, un algorithme imposé par Gates et sa clique de « philanthropes » pourrait par exemple contrôler la manière de récompenser ou de sanctionner l’activité professionnelle, la consommation de drogues ou de médicaments, la fréquence, la distance ou le type de contact physique avec d’autres personnes, et ce 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, même à la maison.
Valérie B. :
Si la dépopulation est à l’ordre du jour, cela faciliterait certainement ce coup d’état mondial car il faut encore une énorme infrastructure pour mettre tout cela en place et ce serait plus facile s’il y a moins de personnes à contrôler. Ici, vous devez vous demander qui fait tout cela. Je dis qu’il faut regarder ceux qui contrôlent le transport maritime et les axes des flux économiques. Encore une fois, nous pouvons penser à la ‘city’ de Londres. Bien que, comme Catherine l’a également souligné dans ses rapports, cela s’étende maintenant au contrôle de l’espace et des réseaux de satellites pour la communication numérique. Ici, nous avons une bataille en cours entre les Etats-Unis et la Chine.
Catherine A.F. :
Quand on cherche à savoir qui se cache derrière toutes ces initiatives, on s’aperçoit que ce sont toujours les mêmes acteurs. Une équipe néerlandaise a réalisé une vidéo intéressante intitulée « Monopoly – Follow The Money » sur la Grande Réinitialisation. Ils ont examiné comment une poignée de grandes entreprises dominent tous les aspects de nos vies, la nourriture, les produits technologiques, l’énergie, les médicaments, les transports, les sociétés d’information, les banques, etc. Toutes mènent aux mêmes sociétés d’investissement géantes telles que Vanguard, Blackrock, Warren Buffet ou la Fondation Gates. D’une certaine manière, ils possèdent déjà tout, mais ils veulent maintenant aller plus loin et prendre le contrôle permanent de nos vies. Donc ils créent des problèmes, ils fournissent des solutions et ils changent les règles.
Senta D. : Alors que pouvons-nous faire pour les arrêter ? Comment pouvons-nous reprendre notre pouvoir ?
Valérie B. :
Et bien je pense qu’il y a une fenêtre d’opportunité en ce moment. Ils ont besoin de tout pousser très vite mais ils ont été ralentis par différentes formes de résistance auxquelles ils ne s’attendaient probablement pas. Il y a un sérieuse opposition à cela en Russie et en Chine. Ces gouvernements sont infiltrés par le réseau de l’élite mondiale et, par exemple, des gens comme Jack Ma, propriétaire d’Ali Baba, l’Amazon chinois, se joignent à eux, mais une partie d’entre eux résiste également. La même bataille entre les mondialistes et les nationalistes se déroule dans les deux pays. C’est probablement la raison pour laquelle l’administration Biden pousse maintenant les choses dans la région du Donbass et une possible guerre entre l’Ukraine et la Russie.
En Europe, le programme de vaccination échoue, l’adoption est faible et lente dans différents pays, les gens ne font pas confiance aux vaccins, il y a les problèmes avec Astra Zeneca, etc. Et le fait que le tribunal de Karlsruhe s’oppose à la ratification du prêt européen est énorme. Si d’autres pays suivent cet exemple, cela portera un coup dur à leur plan. Cette décision a été poussée par le cœur de l’économie allemande, les industries nationales, les entreprises et les banques locales qui réalisent toutes où cela mène, à savoir de plus en plus de dettes. Ils doivent montrer l’exemple. Dans le sud de l’Europe également, la population est dans une situation critique. En Italie ou en Grèce, les gens ne peuvent plus subvenir aux besoins de leurs familles. Ils ne peuvent pas attendre plus, nous sommes au bord de la guerre civile. Les pays et les institutions de l’UE pourraient s’effondrer.
Senta D.:
Oui, mais les institutions européennes et l’ONU vont essayer de saisir l’occasion pour mettre en place une gouvernance européenne centralisée. La Commission européenne discute actuellement d’une proposition d’ »Union européenne de la santé » afin d’avoir une « réponse commune aux menaces sanitaires ». Les Nations unies, l’OMS et l’UE attribuent le désastre actuel au comportement « égoïste » des différentes nations et au manque de coordination entre les États membres de l’UE. Ils veulent donc centraliser les recommandations telles que les masques, le confinement, la distanciation sociale, les systèmes de surveillance et les programmes de vaccination, et ils veulent que ces recommandations soient contraignantes pour les États membres. Ils veulent également une nouvelle agence européenne appelée HERA (Health Emergency Response Agency) et la possibilité d’un pouvoir d’exécution, peut-être avec une sorte de « police sanitaire » européenne. L’autre étape du contrôle central est l’appel de Charles Michel, président du Conseil de l’UE, et des dirigeants mondiaux à élaborer des traités sur les pandémies afin d’ »harmoniser les mesures » au niveau international, sous la gouvernance des Nations unies et de l’OMS.
(Charles Michel a commencé sa carrière politique en tant que maire d’une petite ville belge, Wavre, siège de GSK vaccins, l’un des plus grands sites de production de vaccins de la planète).
Et en Allemagne, Angela Merkel essaie maintenant de centraliser le pouvoir dans les mains du gouvernement fédéral en demandant de supprimer l’autonomie des différents landers ou « états ». C’est proche de ce qui s’est passé avant la guerre, les mêmes mécanismes. Nous sommes donc vraiment au milieu de cette bataille pour la démocratie contre le pouvoir central.
Catherine A.F.:
Nous devons nous décentraliser. Les gens doivent reprendre leur argent, le retirer des grandes banques. Fuir les banques mondiales, fuir les banquiers mondiaux. Si vous êtes à un dîner avec le PDG de Morgan Chase, levez-vous et quittez la table ! J’ai plusieurs investisseurs qui se sont regroupés dans des petites banques qui semblent dignes de confiance.
L’autre chose importante est d’investir dans une économie qui soutient la vie. Investissez dans la production alimentaire locale, l’approvisionnement en eau et en énergie, les restaurants, les petites et moyennes entreprises, les technologies innovantes, les soins de santé. Reconstruisez votre communauté et défendez les grandes entreprises. Nous devons également continuer à utiliser l’argent liquide, le système de cryptographie n’est pas sûr.
Et un autre grand problème est la fiscalité. Nos impôts sont utilisés pour nous mettre en faillite, nous ne pouvons plus continuer comme ça.
Valérie B.:
J’ai rédigé une nouvelle proposition de réforme complète du système fiscal et je serai heureuse de la partager et d’en discuter avec vous. Mais à mon avis, le problème principal est le contrôle de la création monétaire. Nous avons besoin d’un contrôle citoyen sur ce point. Vous savez certainement que JF Kennedy a essayé de changer cela et de rendre le contrôle de la création monétaire aux mains du Congrès en signant l’Executive Order 11110 peu avant son assassinat.
Catherine A.F :
Bien sûr, retour aux sources. C’est ce dont nous avons également discuté à Bâle, l’autre capitale financière qui accueille la Banque des règlements internationaux, la « banque des banques centrales ». Nous avons eu une réunion avec plusieurs groupes et experts autour de cette question et la World Freedom Alliance a même décidé de l’inclure dans sa charte des droits de l’homme en tant que « liberté économique hors des systèmes de crédit coercitifs et exploitants ».
Certains nouveaux partis politiques, comme JFK21 au Danemark, en font également une question centrale.
Valérie B. :
A mon avis, les élections et les partis politiques ne fonctionnent pas, ils ne changent rien.
C’est l’absence d’un véritable contrôle démocratique dans l’organisation politique qui est problématique. La représentation au sein de notre Assemblée parlementaire et l’actuelle séparation des pouvoirs ne le permettent tout simplement pas. Elle a été conçue comme une fraude dès le départ, en prenant le pire des systèmes britannique et français pour permettre aux banques de garder le contrôle des choses tout en donnant une illusion de démocratie au peuple.
Senta D.:
Vous faites référence au mouvement des Gilets Jaunes et au Référendum d’Initiative Citoyenne qui vise à réécrire la constitution et à avoir une vraie forme de démocratie. Il est vrai qu’à l’heure actuelle, il n’existe aucun moyen de sanctionner les élus qui trahissent leurs électeurs et s’en sortent en faisant tout simplement le contraire de ce qu’ils ont promis. C’est la même chose pour les personnes qui occupent des fonctions publiques.
Catherine A.F. :
Oui, nous discutions justement de la question de la responsabilité lors d’une réunion précédente aujourd’hui. Comment pouvons-nous rendre ces décideurs responsables ? Pour revenir sur le passeport vert on voit que des citoyens, des politiques, des médecins, des scientifiques (par exemple Covid4ethics) toute une partie de la société civile est maintenant prête à confronter ces acteurs aux conséquences de leurs décisions. Ainsi, certains envoient des significations ou des mises en demeure par courrier recommandé aux députés européens et autres politiques pour les avertir que si des personnes meurent à cause des vaccins, cela pourrait engager leur responsabilité personnelle et entraîner des poursuites au civil et au pénal.
Senta D.:
Cela promet des développements passionnants et c’est lié aux initiatives de Reiner Fuellmich, l’avocat allemand qui dirige le « comité d’enquête sur la gestion de la pandémie ». Il demande aux gens du monde entier de rassembler des preuves et de constituer des dossiers sur les personnes responsables pour les « procès de Nuremberg » post-Covid. Comment réformer notre système politique et rendre les gens responsables ? Je pense que ce sont des questions parfaites pour nos prochaines interviews !
Catherine A.F.:
Oui, c’est vraiment le sujet que nous devons aborder partout en ce moment.
Senta D. :
Absolument ! Merci beaucoup Catherine Austin Fitts et Valérie Bugault, je me réjouis de nos prochaines discussions.
Selon l’Agence suédoise de santé publique, la technologie PCR ne peut pas faire la distinction entre les virus capables d’infecter les cellules et les virus qui ont été neutralisés par le système immunitaire. Par conséquent, ces tests “ne peuvent pas être utilisés pour déterminer si une personne est contagieuse ou non”. Ils soulignent ce que de nombreux autres experts du domaine ont souligné pendant toute la pandémie, à savoir;
“L’ARN du virus peut souvent être détecté pendant des semaines (parfois des mois) après la maladie, mais cela ne signifie pas que vous êtes toujours contagieux. Il existe également plusieurs études scientifiques qui suggèrent que la contagion du COVID-19 est la plus forte au moment de la maladie.”
Même si l’ARN est détecté à tout moment, cela ne signifie pas que vous êtes contagieux et capable d’infecter d’autres personnes.
Les tests PCR peuvent être positifs jusqu’à 100 jours après une exposition au virus. Les tests PCR ne font rien d’autre que confirmer la présence de fragments d’ARN viral du virus cible du SARS-CoV-2 dans le nez d’une personne. Alors qu’une personne atteinte de COVID-19 est infectieuse pendant une période d’une à deux semaines, les fragments non viables (inoffensifs) du virus du SARS-CoV-2 restent dans le nez et peuvent être détectés par un test PCR jusqu’à 100 jours après l’exposition.
Un article récent publié dans la revue médicale The Lancet explique que les tests PCR peuvent être “positifs” jusqu’à cinq fois plus longtemps que la durée pendant laquelle une personne infectée est réellement infectieuse. Ils expliquent que jusqu’à 75 % des personnes “positives” sont très probablement post-infectieuses.
En conséquence, le gouvernement suédois recommande d’évaluer les infections par COVID et l’absence d’infection,
“sur la base d’une amélioration clinique stable, sans fièvre depuis au moins deux jours, et d’un délai d’au moins sept jours depuis l’apparition des symptômes. Pour ceux qui ont eu des symptômes plus prononcés, au moins 14 jours après la maladie et pour les plus malades, évaluation individuelle par le médecin traitant.”
Même quand l’ARN du virus est détecté, ce que le test PCR fait assez bien, le fait qu’un échantillon soit réellement infectieux (contenant un virus viable, capable de se répliquer) doit être confirmé par une culture en laboratoire. Selon le Dr Jared Bullard, spécialiste des maladies infectieuses pédiatriques et témoin actuel du gouvernement du Manitoba, seuls 44 % des échantillons “positifs” utilisant un Ct de 18 ont donné lieu à une culture de laboratoire viable. Le gouvernement du Manitoba est poursuivi pour les mesures qu’il a prises pour combattre le COVID.
Qu’est-ce que le Ct ? Il s’agit du seuil de cycle. Les tests PCR ne sont pas conçus pour détecter et identifier une maladie infectieuse active. Ils identifient plutôt le matériel génétique, qu’il soit partiel, vivant ou même mort. La PCR amplifie ce matériel dans les échantillons pour trouver des traces du COVID-19. Si l’échantillon prélevé sur un écouvillon nasal contient une grande quantité de virus, il réagira positivement après seulement quelques cycles d’amplification, tandis qu’un échantillon plus petit contenant de petites quantités de matériel génétique nécessitera plus de cycles pour amplifier suffisamment de matériel génétique pour obtenir un résultat positif. Étant donné que le test PCR amplifie les traces du COVID-19 au fil des cycles, un nombre inférieur de cycles nécessaires pour obtenir un résultat positif suggère la présence d’une charge virale plus élevée chez la personne testée et donc un potentiel de contagion plus important.
Un article publié dans la revue Clinical Infectious Diseases a révélé que parmi les échantillons positifs du test PCR avec un nombre de cycles supérieur à 35, seuls 3 % des échantillons présentaient une réplication virale. Cela peut être interprété comme suit : si une personne est testée positive par PCR lorsqu’un Ct de 35 ou plus est utilisé, la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 %, et la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 %. Dans ce cas, un faux positif signifie qu’une personne n’est pas infectieuse ou capable de transmettre le virus à d’autres personnes. (source)
Le Dr Anthony Fauci lui-même a déclaré à This Week in Virology en juillet 2020 : “Si vous obtenez un seuil de cycle égal à 35 ou plus … les chances qu’il soit compétent pour la réplication sont minuscules.” Pourquoi alors notre norme nationale de test n’a-t-elle jamais reflété cela ? Les fournisseurs de PCR devraient travailler avec d’autres laboratoires pour effectuer une culture virale aléatoire, comme l’a mentionné Bullard ci-dessus, sur les personnes ayant reçu des résultats positifs, afin de valider leurs tests en termes d’indicateur d’infectiosité.
Il y a beaucoup de questions à se poser ici. Les laboratoires ne fournissent pas les informations Ct associées à chaque test. Dans certains cas, les laboratoires devraient-ils compter les résultats “positifs” comme des “cas” lorsqu’ils proviennent d’un nombre de Ct élevé ? Nous venons de découvrir qu’un Ct élevé, autour de 30+, peut souvent être non infectieux ou incapable de propager le virus, cette nuance est importante si l’on considère que la politique de santé publique est décidée sur la base des seuls cas.
Quel pourcentage de cas a résulté d’un seuil de cycle plus bas, disons inférieur à 20 ? Ce sont ces cas, du moins certains d’entre eux, qui permettraient d’identifier plus précisément une personne réellement infectieuse. Si ces tests, comme le dit le gouvernement suédois, ne peuvent être utilisés correctement pour identifier une personne infectieuse, même à un faible Ct, pourquoi n’avons-nous pas simplement mis en place des mesures qui s’appliquent aux personnes symptomatiquement malades ?
Le Manitoba a confirmé qu’il utilise des Ct allant jusqu’à 40, et même 45 dans certains cas. C’est une question importante étant donné que la politique de santé a été basée sur le nombre de cas présents dans une région.
Ici, en Ontario, au Canada, les aménagements extérieurs comme les terrains de golf, les terrains de basket-ball, les courts de tennis, les parcs et autres ont été fermés en fonction du nombre de cas, même si la propagation du COVID à l’extérieur est extrêmement improbable.
À l’intérieur, les personnes infectées qui sont asymptomatiques sont plus d’un ordre de grandeur moins susceptibles de propager la maladie que les patients symptomatiques du COVID-19. Une méta-analyse de 54 études réalisées dans le monde entier a révélé qu’au sein des foyers – où aucune des mesures de protection que les restaurants sont tenus d’appliquer ne l’est généralement – les patients symptomatiques ont transmis la maladie aux membres du foyer dans18 % des cas, tandis que les patients asymptomatiques l’ont transmise aux membres du foyer dans 0,7 % des cas.
C’est pourquoi de nombreux universitaires ont exhorté les autorités à cesser de tester les personnes asymptomatiques. Si l’on combine ce fait avec le fait que les chances de propagation asymptomatique sont faibles, et avec le fait qu’il y a un manque de clarté autour du test PCR, on comprend pourquoi les médecins soulèvent la question.
La politique de santé a été guidée et dictée par le nombre de “cas”. C’est la raison pour laquelle les confinements et les mandats de masques ont été mis en place sans tenir compte des dommages qu’ils causent et ont causé. Et si la majorité des cas “positifs” durant cette pandémie étaient des personnes qui ne sont pas capables de propager la maladie – qui ne sont même pas malades ? Cela représenterait une erreur astronomique de la part de plusieurs gouvernements et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ne devrions-nous pas nous concentrer sur la possibilité de limiter la propagation par les personnes symptomatiques, au lieu de punir et de restreindre les droits et libertés des personnes qui ne sont pas malades ?
Cette question se pose depuis longtemps. En 2007, Gina Kolata a publié un article dans le New York Times expliquant que la déclaration de pandémies virales sur la base de tests PCR peut se solder par un désastre. L’article était intitulé Faith in Quick Test Leads to Epidemic That Wasn’t. Vous pouvez lire l’article complet ici si le lien précédent ne fonctionne pas.
D’où viennent les variants? C’est très simple, ils viennent des vakx1s. Mais scientifiquement plus complexe à expliquer. Ce que Montagnier tente de faire. Les faits semblent en train de lui donner raison.
Un groupe de 57 scientifiques, médecins et experts politiques de premier plan a publié un rapport appelant à remettre en question la sécurité et l’efficacité des « vakx1s » C0VlD-19 actuels et réclame maintenant la fin immédiate de tous les programmes de vaccination – parmi eux la généticienne Alexandra Henrion-Caude.
Les thérapies utilisées appelés « vakx1s » ne répondent pas à la définition du mot vakx1 et il serait plus approprié de les nommer thérapies géniques ou thérapies à vecteurs vakxinaux.
Il existe deux certitudes concernant la distribution mondiale de ces thérapies C0VlD :
La première est que les gouvernements et la grande majorité des médias grand public mettent toutes leurs forces pour que ces médicaments expérimentaux s’adressent au plus grand nombre de personnes possible.
La deuxième est que ceux qui sont prêts à affronter le mépris qui accompagne le fait de poser des questions sérieuses sur les vakx1s sont des acteurs essentiels dans nos efforts continus pour répandre la vérité.
Vous pouvez lire ce manuscrit en pré-impression ci-dessous. Il a été préparé par près de soixante médecins, scientifiques et experts en politiques publiques du monde entier pour être envoyé de toute urgence aux dirigeants mondiaux ainsi qu’à tous ceux qui sont associés à la production et à la distribution des différents vakx1s C0vlD 19 en circulation.
Il y a encore beaucoup trop de questions sans réponse concernant l’innocuité, l’efficacité et la nécessité de ces thérapies C0vlD 19.
Cette étude est une bombe qui devrait être lue par tout le monde, quel que soit son point de vue sur les thérapies géniques ou vakx1s. Il n’y a pas assez de citoyens qui posent des questions. La plupart des gens suivent simplement les ordres des gouvernements mondiaux, comme s’ils avaient gagné notre entière confiance. Ce n’est pas le cas. Ce manuscrit est un pas en avant en termes de responsabilité et de libre circulation de l’information sur ce sujet crucial. Veuillez prendre le temps de le lire et de le partager largement.
Vakxination de masse contre le SRAS-CoV-2 : questions urgentes sur la sécurité des vakx1s qui exigent des réponses des agences internationales de santé, des autorités réglementaires, des gouvernements et des développeurs de vakx1s
Résumé
Depuis le début de l’épidémie de C0VlD_19, la course au test de nouvelles plates-formes conçues pour conférer une immunité contre le SRAS-CoV-2, a été endémique et sans précédent, conduisant à l’autorisation d’urgence de divers vakx1s. Malgré les progrès de la polychimiothérapie précoce pour les patients atteints de C0VlD_19, le mandat actuel est de vakxiner la population mondiale le plus rapidement possible. Le manque de tests approfondis sur les animaux avant les essais cliniques et l’autorisation basée sur les données de sécurité générées lors des essais qui ont duré moins de 3,5 mois, soulèvent des questions concernant la sécurité de ces vakx1s. Le rôle récemment identifié du pic de glycoprotéine du SRAS-CoV-2 qui peut induire des lésions endothéliales caractéristiques du C0VlD_19, même en l’absence d’infection, est extrêmement pertinent étant donné que la plupart des vakx1s autorisés induisent la production de glycoprotéine Spike chez les receveurs. Compte tenu du taux élevé d’occurrence des effets indésirables et du large éventail de types d’effets indésirables signalés à ce jour, ainsi que du potentiel d’amélioration de la maladie due au vakx1, de l’immunopathologie Th2, de l’auto-immunité et de l’évasion immunitaire, il y a la nécessité d’une meilleure compréhension des bénéfices et des risques de la vakxination de masse, en particulier dans les groupes exclus des essais cliniques. Malgré les appels à la prudence, les risques de vakxination contre le SRAS-CoV-2 ont été minimisés ou ignorés par les organisations de santé et les autorités gouvernementales. Nous appelons à la nécessité d’un dialogue pluraliste dans le cadre des politiques de santé.
Prenant de plus en plus au sérieux ces risques spécifiques de cette fausse vakxination, je me décide enfin à publier la version FR de la déclaration du Dr Vernon Coleman prédisant que les vakxinés mourront lorsqu’il seront en contact avec le virus lors de l’automne et l’hiver prochains. Il y dénonce également le danger de génération et de propagation par les vakxinés d’autres virus plus dangereux (voire même de la protéine « S » elle-même). Je pense que cette campagne d’injections est tout sauf nette d’intentions frauduleuses et que chacun doit pouvoir être confrontés à toutes les sources d’information avant de prendre sa décision.
L’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, a qualifié aujourd’hui de «mensonge» la présomption de coïncidence concernant la mort suite à la vakxination contre le C0VlD.
«Bien que la vakxination contre le C0VlD implique beaucoup de gens, nous vakxinons tellement de personnes, contre tant d’agents pathogènes, qu’il est impossible de rendre compte de l’augmentation du nombre de décès signalés au VAERS après le C0VlD uniquement sur la base du nombre de vakxinés, » a-t-il dit.
«Ceux qui contestent les près de 4.000 décès après la vakxination contre le C0VlD aux États-Unis, disent généralement que ces rapports ne prétendent pas être causaux. Ce serait juste une coïncidence », a déclaré Yeadon.
«Le contraire à ce mensonge est que, s’il s’agissait d’une simple coïncidence, c’est-à-dire que les gens meurent et si vous vakxcinez suffisamment de gens, vous aurez un certain nombre de décès dû au hasard.
« Eh bien, oui, c’est vrai. Mais ce qui n’est pas vrai, c’est que cette très forte augmentation des décès suite à la vakxination contre le C0VlDsoit une simple coïncidence. Si c’était le cas, alors le nombre de décès resterait dans la même proportion dans la population vakxinée, et serait inscrite dans VAERS.
« Et ce n’est PAS ce que VAERS nous montre. Au lieu de cela, presque TOUS les décès signalés peu de temps après la vakxination le sont après la vakxination C0VlD. »
Yeadon poursuit: «La statistique choquante est que près de 99% des décès signalés au VAERS après la vakxination sont survenus après la vakxination C0VlD
« Les 1% d’équilibrage concernaient TOUS LES AUTRES VAKX1S COMBINÉS.
« Quiconque refuse cela est donc un « théoricien de la coïncidence ». »
Vakx1s, l’esclavage perpétuel avec les passeports sanitaires
Yeadon a poursuivi en mettant en garde contre les implications du «passeport vert», le qualifiant d ‘«apartheid médical illégal»: «Il est très important que les gens comprennent ce qui se passe ici.
« L’intention est d’introduire des passeports vaKXinaux partout. Mais c’est un déguisement. Il s’agit du premier système d’identification numérique et interopérable à l’échelle mondiale, avec un indicateur de santé modifiable (vakxiné, O ou N) ».
« Cela ne rend personne plus en sécurité. Si vous êtes vakxiné, vous êtes protégé et n’êtes pas rendu plus sûr en connaissant le statut immunitaire des autres.«
« Comme en Israël, vous serez obligé de présenter un VaxPass valide afin d’accéder à des installations définies ou d’accéder à des services. Sans VaxPass, vous êtes refusé. »
«Ce système n’a besoin que de 50% de la population adulte pour démarrer, en raison de son énorme pouvoir coercitif sur les non vakxinés.«
«C’est un apartheid médical illégal.«
«S’ils réussissent, cela ne vous aidera pas à refuser; ils passeront à autre chose, laissant la minorité derrière.«
«Un système VaxPass comme celui-ci donnera à ceux qui contrôlent la base de données et ses algorithmes un CONTRÔLE TOTALITAIRE TYRANNIQUE sur nous tous.«
«La SEULE façon d’arrêter ce cauchemar de biosécurité est de NE PAS SE FAIRE VAKXINER POUR DES RAISONS NON MÉDICALES !!!
« Je crains que, si nos adversaires obtiennent ce contrôle absolu, ils l’utiliseront pour nuire à la population. Il n’y a pas de limite au mal qui découlera de cet objectif stratégique. »
L’ancien directeur scientifique de Pfizer a conclu par un plaidoyer: «NE PAS PERMETTRE À CE SYSTÈME DE DÉMARRER, car il est ensuite imparable.
« Un exemple : votre VaxPass émet un bip, vous demandant d’assister à votre 3e, 4e ou 5e vakx1 de rappel ou variante. Sinon, votre VaxPass expirera et vous deviendrez une personne externe, incapable d’accéder à votre propre vie. « .
«Combien de choix avez-vous?«
« Ce n’est aucun. Vous êtes contrôlé. Pour toujours. »
Le Dr Larry Pavleski partage ses réflexions et ses observations sur le fait que le vaccin ARNm est une véritable arme biologique qui présente un danger réel pour les personnes non vaccinées. Cette vidéo est le troisième extrait doublé de cet échange entre 5 médecins le 22 avril 2021 autour des conséquences de la vaccination ARNm sur les personnes non vaccinées.
L’article de France Soir dans lequel vous pourrez visionner l’interview du dr Bhakdi en anglais ou en doublée en français (comme ci-dessous).
Le Dr Sucharit Bhakdi, médecin spécialiste en infectiologie et microbiologiste, a travaillé en tant qu’enseignant-chercheur pendant de nombreuses années, notamment au « Max Plank Institute », avant de prendre sa retraite. Depuis le début de la crise sanitaire, il appelle à l’éthique de la part des médecins et dénonce les mensonges de l’EMA (Agence européenne du médicament) et de la FDA (Federal drug agency).
En mars 2020, il écrit le livre « Corona fausse alerte ? », où il s’interroge sur le bien-fondé des mesures sanitaires et notamment du confinement. Il y évoque la crise, les tests PCR, le dosage d’hydroxychloroquine et son surdosage dans certaines études. Il parle aussi de la vaccination de masse et des risques liés aux effets secondaires pris par les autorités. Pour lui, les faux tests PCR ont engendré des décisions de politiques sanitaires erronées.
« Nous sommes actuellement au milieu de la pandémie de COVID-19 (SARS-CoV-2), une catastrophe mondiale, apparemment causée par un nouveau virus mortel. Le monde entier tente d’y faire face depuis l’avertissement de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), selon laquelle la maladie provoquerait une mortalité de 3,4%. D’un autre côté, trois éminents spécialistes des maladies infectieuses, Wolfgang Wodarg, Sucharit Bhakdi et John PA Ioannidis, affirment que nous interprétons mal les statistiques et que, par ailleurs, nous sommes confrontés à une campagne de désinformation et non à un nouveau virus dangereux. L’OMS compte mal les décès, ignore la nature des personnes infectées et fait fi de tout ce que nous savons sur le coronavirus, de toutes les statistiques sur le rhume et la grippe, auxquelles nous avons accès, en plus des statistiques sur la mortalité de la population. Nous sommes aussi face à la création d’une « fausse image » d’une pandémie mortelle. Malheureusement, les politiciens du monde entier ont réagi à la campagne de l’OMS comme si elle était vraie, créant une peur massive de la population, qui en vient à croire que nous combattons une autre infection mortelle. La peur généralisée augmente considérablement les symptômes des patients de Corona chez l’individu sensible, pour des raisons psychosomatiques : si vous pensez que vous avez une infection mortelle et que tout le monde, y compris votre propre médecin et l’hôpital, réaffirme cette croyance, il est naturel que vous vous sentiez mal. Si vous vous sentez mal à l’hôpital, vous recevrez un traitement. L’hospitalisation et les médicaments peuvent provoquer des infections à l’hôpital, des effets secondaires et augmenter la mortalité en soi. De cette manière, le monde s’est affirmé dans l’illusion d’une pandémie mortelle, qui en premier lieu n’existe même pas. Le COVID-19 a un taux de mortalité d’environ 0,01%, selon les statistiques de décès de nombreux pays. » Le Dr Bakhdi a créé l’association « Doctor4CovidEthics », constituée de plusieurs centaines de scientifiques et médecins, qui se battent contre les expérimentations sur les vaccins faites par l’Agence européenne du médicament (EMA). Ils ont alerté sur le risque de thrombose et expliquent pourquoi l’EMA ne peut pas continuer à faire prendre de tels risques aux personnes avec cette vaccination. Il explique que pour des motifs qui dépassent la science, ces risques sont inacceptables.
A partager de manière urgente et le plus largement possible
Courrier que le Dr.Thierry Medynski, adresse ce 23 avril au président de son ordre départemental démontrant l’ineptie des instances sanitaires qui permet à tout médecin d’être en contradiction avec les articles R.4127-13 -14 -15 -39 du code de déontologie médicale, et de ce fait avec sa pratique et son éthique médicale. Ce courrier est fondamental car il est une parfaite synthèse de la nature pour le minimum « aberrante » de cette campagne de vakxination.
Madame, Monsieur le Président de l’Ordre Départemental des Médecins,
Je vous adresse cette lettre pour bien comprendre la campagne de vakxination contre la Covid 19 car il me semble que je me heurte à des propos contradictoires, raison pour laquelle je sollicite votre éclairage et des réponses à mes questions.
Ce qu’a dit le Pr. Alain Fisher (le “Monsieur Vakx1” du gouvernement) le 3 décembre 2020 (voir sur ce lien) :
les données ne sont pas encore complètes pour savoir jusqu’à quel point ces
vakx1s sont efficaces chez les personnes les plus à risque, on ne dispose que de communiqués de presse de la part des industriels, et on manque de publications scientifiques
on ne sait pas si le vakx1 protège l’individu vakxiné contre l’infection grave
on ne sait pas si le vakx1 protège contre la transmission ce qui permettrait de briser la chaîne de transmission
Ce qu’a dit le président du Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) début avril 2021
Le président du CNOM a incité les médecins à pleinement s’engager dans la campagne vakxinale avec les vakx1 à ARN/ADN. « Il faut convaincre l’ensemble des professionnels, comme la population, que la vakxination sauve des vies » a-t-il déclaré le 2 avril 2021 dans le Quotidien du médecin (voir sur ce lien).
Ce que dit la science au sujet des vakx1s début avril 2021
il y a une incertitude (voir sur ce lien) concernant la prévention des formes sévères avec hospitalisation, la prévention des formes mortelles, la protection contre les futurs variants du virus, la prévention de la transmission du virus
on découvre les effets indésirables précoces, et, selon l’ANSM, dans environ 24 % des cas d’effets indésirables, ces effets indésirables sont graves (voir sur ce lien).
on ne connaît pas les effets de ces vakx1s à moyen et long terme, en particulier sur le risque d’apparition de virus recombinants, de maladie aggravée chez les personnes vakxinées (voir ce lien) ou encore sur les risques liés à la perte d’intégrité de l’ARN (on ne connait pas le devenir des ARN tronqués)
selon l’avis même du président du conseil scientifique (voir sur ce lien), les nouveaux variants et l’évasion immunitaire pourraient réduire l’efficacité de la vakxination à court et moyen terme
il s’agit de traitements insuffisamment éprouvés, dans le monde entier, tant au niveau de l’efficacité qu’au niveau de la sécurité d’utilisation. De ce fait, ces vakx1s à ARN / ADN disposent d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle (voir sur ce lien) d’une année, renouvelable en fonction des données fournies par les laboratoires.
Ce qu’a dit le ministre des solidarités et de la santé en février et mars 2021
Les vakx1s à ARN / ADN vont-ils permette le retour une vie normale ? Selon l’édition du 30 mars 2021 d’Europe 1 (voir sur ce lien), le ministre de la Santé a estimé qu’il est prématuré en l’état des connaissances scientifiques de différencier les « règles relatives aux limitations de circulation selon que les personnes ont reçu ou non des doses des vakx1s ». Olivier Véran invoque quatre arguments :
l’efficacité partielle des vakx1s
le fait que l’efficacité des vakx1s est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants
les personnes vakxinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vakx1 ou de réinfection post-vakxinale ou de la virulence d’un variant
le vakx1 n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vakxination sur la propagation du virus n’est pas encore connu
Le ministre des solidarités et de la santé avait déjà tenu des propos similaires dans une conférence de presse le 18 février 2021 (voir sur ce lien) en disant qu’aucun pays européen ne dispose de données publiées fiables prouvant que les vakx1s à ARN / ADN permettent d’éviter les formes graves et les hospitalisations.
Ce que dit l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM)
La publicité en faveur d’un médicament disposant d’une AMM conditionnelle doit préciser le caractère conditionnel (voir sur ce lien)
Ce que dit le code de déontologie médicale L’Article R.4127-14 du code de déontologie précise : « Les médecins ne doivent pas divulguer dans les milieux médicaux un procédé nouveau de diagnostic ou de traitement insuffisamment éprouvé sans accompagner leur communication des réserves qui s’imposent. Ils ne doivent pas faire une telle divulgation dans le public non médical ». Si je comprends bien cet article, toute communication sur les vakx1s à ARN / ADN doit donc être accompagnée des réserves qui s’imposent. Mais la phrase suivante « Ils ne doivent pas faire une telle divulgation dans le public non médical » ne me paraît pas très claire : que ne doit-on pas divulguer dans le cas précis ?
J’ai ensuite une interrogation sur les deux articles suivants :
L’Article R.4127-39 du code de déontologie précise : « Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé ».
L’Article R.4127-40 indique également : « Le médecin doit s’interdire, dans les investigations et interventions qu’il pratique comme dans les thérapeutiques qu’il prescrit, de faire courir au patient un risque injustifié »
Etant donné que les vakx1s à ARN / ADN disposent d’une AMM conditionnelle et sont insuffisamment éprouvés, peut-on malgré tout les présenter comme un remède salutaire qui va sauver des vies ? L’Article R.4127-35 du code de déontologie indique : « Le médecin doit à la personne qu’il examine, qu’il soigne ou qu’il conseille une information loyale, claire et appropriée sur son état, les investigations et les soins qu’il lui propose ». Cela semble signifier que toute personne qui désire recevoir ce type de vakx1 à ARN / ADN devrait être informée :
que ce type de vakx1 ne dispose que d’une AMM conditionnelle
que la balance bénéfices risques ne sera réellement connue qu’en 2022 ou en 2024 selon les vakx1s
que l’injection du vakx1 à ARN / ADN peut être suivie d’effets secondaires graves
Comme il n’y a pas de notice papier indiquant les effets indésirables, doit-on fournir aux personnes qui souhaitent se faire vakxiner les liens pour en prendre connaissance : la base de données de l’ANSM (à partir de ce lien), la base de données de l’agence européenne du médicament (à partir de ce lien) et la base de données de l’OMS (à partir de ce lien) ?
A propos des questions posées sur la possibilité de traitements précoces
Suite aux propos du ministre des solidarités et de la santé et à la découverte d’effets secondaires graves précoces, de nombreuses personnes s’interrogent sur la balance bénéfices / risques des vakx1s à ARN / ADN. Puisque le fait d’être vakxiné n’apporte pas de garanties, ils s’interrogent sur la possibilité de pouvoir disposer des traitements pour les formes précoces de la maladie et mentionnent des traitements utilisés dans un certain nombre de pays à l’étranger comme l’ivermectine, l’azithromycine, ou l’hydroxychloroquine.
En France, ces traitements sont, comme les vakx1s à ARN / ADN, insuffisamment éprouvés au niveau de leur efficacité. Par contre, ces traitements ont fait la preuve de leur sécurité d’utilisation puisqu’ils disposent depuis longtemps d’une véritable AMM.
Comment faut-il expliquer à ces personnes
que les médecins peuvent déroger au code de déontologie médicale pour des vakx1s à ARN / ADN qui présentent une efficacité incertaine et la possibilité d’effets secondaires potentiellement graves alors qu’on ne dispose que d’un recul de quelques semaines sur leur utilisation,
mais qu’ils ne peuvent pas déroger au code de déontologie pour ces anciennes molécules utilisées dans nombre de pays, qui présentent une efficacité également incertaine mais très peu d’effets secondaires après une utilisation de plusieurs années ?
En espérant que vous pourrez apporter des réponses à l’ensemble de ces questions, je vous prie d’agréer l’expression de mes sentiments confraternels.
Note du blog:ceci n’est pas valable qu’en France, la situation est identique aussi en Belgique et dans la majorité des pays.
Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer dont il fut scientifique en chef pour les allergies et les voies respiratoires, a passé 32 ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le poste de recherche le plus élevé» en son domaine. Il a accordé un entretien d’une grande importance au site américain LifeSiteNews.
Il y dénonce la propagande des gouvernements au sujet du COVID-19, y compris le «mensonge» de variants dangereux, l’aspect totalitaire des «passeports vakxinaux» et la forte possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait conduire à quelque chose de bien pire que les guerres et les massacres du 20e siècle.
Ses principaux arguments :
Il n’y a «aucune possibilité» que les variants actuels du COVID-19 échappent à l’immunité. C’est «juste un mensonge».
Nous assistons non seulement à un «opportunisme convergent», mais à une «conspiration». Pendant ce temps, les médias et les plateformes Big Tech sont engagés dans la même propagande et la même censure de la vérité.
Les sociétés pharmaceutiques ont déjà commencé à développer des vakx1s de «complément» («de rappel») inutiles pour les «variants». Les entreprises prévoient de fabriquer des milliards de flacons, en plus de la campagne expérimentale actuelle de « vakx1 » COVID-19 .
Les agences de régulation telles que la Food and Drug Administration des États-Unis et l’Agence européenne des médicaments ont annoncé que, puisque ces vakx1s «d’appoint» seront si similaires aux injections précédentes qui ont été approuvées pour une autorisation d’utilisation d’urgence, les sociétés pharmaceutiques ne seront pas tenues d’” effectuer des études de sécurité clinique ».
Ainsi, cela signifie pratiquement que la conception et la mise en œuvre de vakx1s à ARNm répétés et forcés aboutiront à l’injection d’une séquence génétique superflue sans justification.
Pourquoi font-ils cela? L’utilisation de passeports vakxinaux et d’une «réinitialisation bancaire» pourraient aboutir à un totalitarisme sans précédent. Le «dépeuplement massif» reste une issue logique.
Tout le monde doit combattre ce totalitarisme.
Le Dr Yeadon se présente volontiers comme étant simplement un «gars ennuyeux» qui est allé «travailler pour une grande société pharmaceutique… »
«Mais l’année dernière, j’ai réalisé que mon gouvernement et ses conseillers mentaient au peuple britannique sur tout ce qui avait trait à ce coronavirus. Absolument tout. C’est faux, cette idée de transmission asymptomatique et que vous n’avez pas de symptômes, mais que vous êtes une source de virus. Que les confinements fonctionnent, que les masques ont une valeur protectrice pour vous ou pour quelqu’un d’autre, et que les variants sont effrayants et que nous devons même fermer les frontières internationales pour empêcher ces variants étrangers désagréables d’entrer.
«Ou, qu’en plus de la liste actuelle des vakx1s génétiques que nous avons miraculeusement fabriqués, il faudra des vakx1s «complémentaires» pour faire face aux variants.
«Chacune de ces choses est manifestement fausse. Mais toute notre politique nationale est basée sur le fait que toutes ces choses sont globalement justes, même si elles sont toutes fausses. »
Conspiration et pas seulement opportunisme convergent
«Mais ce que j’aimerais faire, c’est parler de ce qui, je pense, est probablement une conspiration. L’année dernière, je pensais que c’était ce que j’appelais «l’opportunisme convergent», c’est-à-dire qu’un groupe de différents parties prenantes a réussi à bondir sur un monde en plein chaos pour nous pousser dans une direction particulière. Il semblait donc que c’était un peu lié, mais j’étais prêt à dire que c’était juste une convergence. »
«Je pense maintenant que c’est naïf. Il ne fait plus aucun doute dans mon esprit que des organismes très importants dans le monde avaient soit prévu de profiter de la prochaine pandémie, soit ont créé la pandémie. La preuve est que des dizaines et des dizaines de gouvernements disent tous les mêmes mensonges et font les mêmes choses inefficaces qui coûtent manifestement des vies.
«Et ils parlent tous du même genre de script futur qui est, «Nous ne voulons pas que vous vous déplaciez à cause de ces «variants»» et ils disent tous «ne vous inquiétez pas, il y aura des vakx1s «d’appoint». Ils disent tous cela alors que c’est manifestement absurde.
«Chaque individu sur la planète aura une identification numérique mondiale et un indicateur d’état de santé qui indiquera vakxiné ou pas… et cette sorte de base de données unique, exploitable de manière centralisée, applicable partout pour contrôler, fournira en quelque sorte un privilège, celui de pouvoir ou non effectuer telle transaction particulière selon ce que les contrôleurs de cette base de données de la population humaine mondiale décident. Et je pense que c’est de cela qu’il s’agit, car une fois que vous avez cela, nous devenons des jouets et le monde peut être comme le veulent les contrôleurs de cette base de données.
“Par exemple, vous constaterez peut-être qu’après une réinitialisation bancaire, vous ne pourrez dépenser qu’en utilisant une application reliée à cette base de données, avec votre identifiant, votre nom et votre indicateur d’état de santé.”
«Franchir une frontière internationale est certainement l’utilisation la plus évidente de ces passeports vakxinaux, comme on les appelle, mais ils pourraient être nécessaires pour que vous puissiez entrer dans des espaces publics fermés. Je m’attends à ce que s’ils le veulent, vous ne puissiez plus quitter votre maison à l’avenir sans une autorisation accordée sur votre application.
«Même si ce n’est pas avec certitude la vraie intention de la campagne de vakxination, peu importe, le fait que cela puisse être vrai signifie que tout le monde lisant cela devrait se battre comme un fou pour s’assurer que le système de passeport vakxinal ne se réalise jamais .
«Avec un tel système, c’est ce qu’ils pourraient en faire, et je pense que c’est ce qu’ils vont faire.
«Imaginez l’invention d’une histoire sur un virus et ses variations, ses mutations au fil du temps. Une l’histoire relayée à travers les médias soumis, une histoire que personne ne peut mettre en doute grâce à la censure des sources alternatives. Une histoire qui est un mensonge.
«Mais, néanmoins, il vous est répété que c’est vrai, et que nous avons le remède, avec un vakx1 complémentaire. Vous recevrez un message, par l’intermédiaire du système d’identification global : «Bing! Dr. Yeadon, l’heure de votre vakx1 complémentaire. Et, en passant, il ajoutera que vos privilèges immunitaires existants restent valables pendant quatre semaines. Mais si vous ne recevez pas votre vakx1 complémentaire pendant cette période, vous serez malheureusement une «personne bannie», et vous ne le voulez pas, n’est-ce pas ? C’est comme ça que ça fonctionnera, et les gens vont simplement marcher et ils recevront leur vakx1 complémentaire.
Le gouvernement ment, Big Pharma va de l’avant. Bientôt un dépeuplement de masse ?
«Je ne sais pas de quoi parle Vanden Bossche. Il n’y a aucune possibilité du tout, sur la base de tous les variants qui sont connus, environ 4000, qu’un d’entre eux devienne plus dangereux.
«Néanmoins, les politiciens et les conseillers en santé (de nombreux gouvernements) disent qu’ils le sont. Ils mentent. Eh bien, pourquoi ?
«Voici l’autre chose : les sociétés pharmaceutiques affirment qu’il sera assez facile d’ajuster leurs vakx1s génétiques.
«Et voici la partie vraiment effrayante, les régulateurs mondiaux des médicaments comme [la Food and Drug Administration] FDA, l’agence japonaise des médicaments, l’Agence européenne des médicaments, se sont réunis et ont annoncé… puisque les vakx1s complémentaires seront considérés comme si similaires à ceux déjà approuvés par une autorisation d’utilisation d’urgence, que les sociétés pharmaceutiques n’auront plus à réaliser des études d’innocuité clinique.
«Donc, vous avez d’une part, les gouvernements et leurs conseillers qui vous mentent sur les variants et prétendent que, même si vous êtes immunisé ou vakxiné, vous êtes un risque et vous devrez revenir recevoir un vakx1 complémentaire. Et, d’autre part, vous avez des sociétés pharmaceutiques qui vont fabriquer des vakx1s complémentaires sans contrôle. Et si Yeadon a raison, et je suis sûr d’avoir raison ou je ne vous dirais pas cela, on va injecter aux bras de centaines de millions de personnes une séquence génétique superflue dont il n’y a absolument aucun besoin ni justification.
«Et s’ils veulent introduire une caractéristique qui pourrait être nocive et pourrait même être mortelle, ils peuvent même l’ajuster pour la mettre dans un gène qui causera des lésions hépatiques sur une période de neuf mois, ou pour que vos reins se détériorent progressivement. La biotechnologie vous offre des moyens illimités, franchement, d’invalider ou de tuer des milliards de personnes.
«Et cette possibilité sera utilisée pour le dépeuplement massif, car je ne peux penser à aucune autre explication bénigne.»
Peter Mc Cullough, un des plus grands spécialistes dans ce qui concerne le coeur et les reins, professeur de médecine dans une université au Texas, fait un déclaration devant le sénat du Texas sur le traitement de la maladie et surtout les censures et les comportements des médias sur tout ce qui relève des traitements au profit d’une vakxination inutile et dangereuse.
Le combat se mène désormais sur tous les fronts concernant la mise en accusation des gouvernements locaux et responsables de la « gestion » pitoyable et criminelle de la crise de coronavirus, dont le plan diabolique (tout le monde le sait) est d’abattre l’ancien monde (individus, familles, entreprises, économie, etc.) afin d’instaurer une « Nouvelle Normalité » par l’intermédiaire de la Grande Réinitialisation (Great Reset), promue par le machiavélique Klaus Schwab, fondateur et actuel directeur exécutif du Forum économique mondial. Plusieurs avocats déposent des requêtes devant les tribunaux de leurs pays pour s’opposer au port du masque, à la distanciation, au confinement, au couvre-feu, etc., par contre, comme je l’écrivais dans mes précédents articles : « À mon humble avis, aucun tribunal “local” ne nous défendra contre la dictature sanitaire actuelle, puisque le but des gouvernements “locaux” — associés au gouvernement mondial — est justement de nous détruire tous (individus, familles, entreprises, etc.) et de nous soumettre à l’esclavage contrôlé par l’intelligence artificielle. » Nous devons maintenant frapper plus haut et plus fort.
Donc, voilà que le magistrat italien Angelo Giorgianni vient de déposer à son tour une plainte pour “crimes contre l’humanité” devant la Cour pénale internationale. Cette plainte du fondateur de l’Organisation mondiale de la vie (Organizzazione Mondiale della Vita) s’ajoute aux recours qui ont été déposés devant le Tribunal de La Haye et la Cour suprême d’Israël, pour violations du code de Nuremberg et crimes contre l’humanité, par les deux avocats israéliens Ruth Machnes Suchovolsky et Arie Suchowolsky, du cabinet A. Suchovolsky & Co.
« Le verrouillage et toutes les mesures connexes – ces dernières si elles sont adoptées pour des périodes prolongées et indéfinies, bien au-delà de la phase d’urgence sanitaire, afin de risquer de dénaturer l’essence même des sociétés, et c’est le cas – sont un crime contre l’humanité en tant qu’ils constituent des crimes d’emprisonnement, de torture et sont des actes causant de grandes souffrances pour la santé mentale et physique. » (Article 7 du Statut de Rome)
C’est l’une des phrases les plus perturbantes de la plainte explosive signée par le magistrat italien et adressée il y a trois jours, mercredi 24 mars, au procureur de la CPI Mme Fatou Bensouda. « Nous vous demandons instamment d’envisager de déclarer les verrouillages et toutes les mesures connexes (mandat de masque, distanciation sociale, fermetures en cours d’écoles, d’entreprises, de bars, de restaurants, de gymnases, de musées, de théâtres et plus) comme un crime contre l’humanité. Les coûts économiques, humains, psychologiques et sociaux de ces politiques sont considérablement plus élevés que leur efficacité à sauver des vies et à réduire la propagation du virus », a écrit dans la plainte au tribunal de La Haye le Dr Giorgianni, juge civil sicilien, en tant que secrétaire général de l’Organisation mondiale de la vie.
Comme l’écrit mon collègue italien Fabio Giuseppe Carlo Carisio : « Grâce à une collaboration croissante entre le webmedia Gospa News, un portail d’information journalistique chrétien, et WLO News, la plateforme d’information de l’Organisation mondiale de la vie elle-même, nous sommes les premiers à pouvoir révéler le contenu de la plainte déjà anticipée par Gorgianni lui-même dans certaines vidéos comme “Nuremberg 2”, basée sur la violation des codes de Nuremberg qui, lors du procès historique tenu à l’automne 1946 dans la ville allemande, a coûté la peine de mort à des responsables nazis accusés de crimes contre l’humanité (24 condamnations à mort, 20 condamnations à perpétuité, 98 peines de 18 mois à 25 ans de prison). La plainte à la Cour pénale internationale est un livre blanc sur les tragédies causées par la pandémie de Covid-19, c’est un recueil statistique précis, basé sur des sources faisant autorité et internationales, des horreurs sociales dérivant des impositions des gouvernements nationaux. »
PANDÉMIE: CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ AU CRÉPUSCULE DE LA SCIENCE
En tant que secrétaire général de l’Organisation mondiale de la vie et président de l’association L’Eretico, j’annonce qu’une déclaration officielle sera bientôt publiée sur la plainte présentée à la Cour pénale internationale en relation avec des crimes contre l’humanité qui, à notre avis, seraient commis par différents gouvernements nationaux et aussi par le gouvernement italien.
Nous avions jugé prudent et respectueux de la part de l’Institution Judiciaire de garder le document confidentiel car il vient d’être déposé auprès du Procureur Général du Tribunal de La Haye, mais l’attaque médiatique dont nous avons été l’objet le lendemain de l’envoi de la plainte par courrier électronique PEC, à ce stade, il est indispensable que quiconque connaît son contenu se forge sa propre idée sur la question très sérieuse et délicate.
Nos avocats évaluent les actions en justice à engager contre ceux qui nous ont définis de manière offensive, fausse et tendancieuse comme « no vax » et « négationnistes », en relation avec le livre “Massacres d’État” (Stragi di Stato), écrit par moi avec le Dr Pasquale Bacco, où le danger du virus n’est pas nié mais au contraire, il est souligné que sa mortalité était élevée en raison de décès attribués superficiellement au Covid-19 sans même autopsies, erreurs diagnostiques et thérapeutiques, un manque de prévention correcte dans l’urgence épidémiologique (problème aujourd’hui examiné par le parquet de Bergame) et des thérapies efficaces ignorées pendant des mois.
Les négationnistes de ces preuves macroscopiques aiment nous appeler « théoriciens du complot » même si nous préférerions être définis avec notre vrai nom. Parce que nous étudions et dénonçons l’entrelacement des parcelles de diverses institutions nationales et internationales qui ont rendu la pandémie dévastatrice, notamment du fait de l’alarme médiatique, sociale et économique suite aux verrouillages continus sans réelle motivation scientifique et faisant souvent fi des indications des établissements de santé, responsables de l’évaluation.
En octobre dernier également, le virologue réputé Giorgio Palù, récemment nommé président de l’AIFA, avait souligné ce même concept avec des mots sans équivoque : « La létalité du SRAS-Cov-2 oscille entre 0,3 et 0,6% tandis que pour le SRAS (2003 ed) était de 10% et MERS 36%, deux coronavirus qui se sont éteints en un an. Cela devrait nous rassurer un peu de cette Infodémie, c’est-à-dire cette information devenue pandémique, cette peur de la contagion, la peur de la mort : c’est devenu virulent et contagieux. Nous avons perdu le bon sens, le caractère raisonnable, la capacité critique d’évaluer les données pour ce qu’elles sont. Nous sommes à l’automne de la raison ».
Je crois que nous sommes déjà dans le plus sombre hiver de la science auquel nous ne pouvons échapper que si le printemps lumineux de la vérité commence. Nous sommes occupés sur ce front … et cela nous agace évidemment. Mais nous ne serons pas intimidés et avancerons avec détermination.
À propos du juge italien Angelo Giorgianni
Le magistrat et homme politique italien Angelo Giorgianni est diplômé en droit de l’Université de Messine en 1975. Il est magistrat depuis 1977 et travaille dans les bureaux des procureurs d’abord à Caltagirone puis à Reggio de Calabre jusqu’en 1985, date à laquelle il retourne à Messine, où il devient ensuite procureur adjoint.
En 1996, il a été élu au Sénat pour le renouveau italien au collège de Fano. Il a été nommé sous-secrétaire à l’intérieur du gouvernement Prodi I jusqu’au 13 mars 1998, date à laquelle il a démissionné à cause du « verminaio Messina ». Il quitte les dinians pour le Parti populaire italien pendant un an pour passer à l’UDEUR. En 2001, il est retourné à la magistrature, devenant plus tard président de section à la cour d’appel de Messine. En 2010, il a été nommé par le ministre Angelo Alfano comme l’un des trois présidents de l’Organe indépendant d’évaluation (OIV), un organisme qui évalue les gestionnaires du ministère de la Justice. À ce jour, en plus du rôle de président de section à la cour d’appel, il occupe le rôle de président de la commission régionale des impôts.
À partir de certaines enquêtes journalistiques, qui se sont par la suite révélées infondées, la commission parlementaire anti-mafia a dénoncé en 1998 le soi-disant « verminaio Messina », un mélange de professeurs d’université, d’entrepreneurs et de magistrats, ce qui a conduit à de nombreuses arrestations et aussi à la démission du sous-secrétaire Angelo Giorgianni, pour ses relations, en tant que magistrat, avec des entrepreneurs discutés. La procédure dirigée contre lui devant le Conseil supérieur de la magistrature a été bloquée par une résolution du Sénat de la République du 29 juillet 1999 sur la base des opinions incontestables exprimées par les parlementaires. Cette résolution a été annulée par la Cour constitutionnelle trois ans plus tard, mais tant les investigations menées dans les services judiciaires compétents que la procédure disciplinaire devant le Conseil supérieur de la magistrature ont montré le non-fondement des constatations faites à Giorgianni.
Le juge Angelo Giorgianni a récemment fondé l’«Organizzazione Mondiale della Vita» (Organisation mondiale de la vie), qui fait appel à un grand comité scientifique comprenant le célèbre virologue italien Giulio Tarro et le psychiatre bien connu Alessandro Meluzzi (ancien parlementaire comme Giorgianni), devenu populaire dans le monde de la contre-information à la fois en tant que franc-maçon repentant et pour son engagement religieux à défendre les valeurs chrétiennes en tant qu’évêque de l’Église orthodoxe.
« Personnellement, je considère ces vaccins comme une véritable atteinte à la santé des citoyens. Ils ont été étudiés sur un virus Sars-Cov2 d’avril / mai 2020, un virus qui en pratique n’existe plus, compte tenu du nombre énorme de mutations. C’est également la première fois dans l’histoire humaine que la technologie de l’ARNm est utilisée dans un virus aussi mutable. »
Ce sont les propos lapidaires du Dr Pasquale Bacco, devenu l’un des leaders des protestataires des vaccins expérimentaux et des risques d’implications génétiques grâce à sa blague caustique « Ils sont des eaux usées » lors de l’émission Piazza Pulita de LA7. Le coroner a assumé une visibilité nationale pour les batailles médiatiques menées avec l’Association L’Eretico (des hérétiques) qu’il a fondée avec le magistrat Angelo Giorgianni, qui en est le président, et avec qui il a donné naissance au projet international Organisation mondiale pour la vie (OMV).
La vidéo censurée de la rédactrice en chef du magazine Wochenblick fait le tour du monde : «La vakxination est la vraie « pandémie » Cette vidéo fait le tour du monde : la semaine dernière, la rédactrice en chef de Wochenblick, Elsa Mittmannsgruber, a incité les gens à prendre conscience de ses craintes concernant les vakxinations corona. Avec sa vidéo, elle a réussi à faire connaître la thèse du Dr Geert Vanden Bossche, que les statistiques internationales suggèrent depuis longtemps : seules les vakxinations déclenchent vraiment le virus corona ! La vidéo de Mme Mittmannsgruber a déjà été visionnée des millions de fois, partagée d’innombrables fois sur différentes plateformes et traduite dans plus de dix langues.
Pas de fin à la pandémie: la vakxination libère le virus
Cela a longtemps été considéré comme une loi d’airain : les mesures totalitaires sont absolument hors de proportion avec le danger posé par le coronavirus. Cela continue de s’appliquer comme ceci : le virus est un bouc émissaire bienvenu pour ceux qui sont au pouvoir pour augmenter la surveillance des citoyens à l’extrême et restreindre arbitrairement leurs droits et libertés fondamentaux. Cependant, il y a de plus en plus de preuves que Corona n’a pas « perdu son horreur » dans les mois qui ont suivi le début de la vakxination — mais pourrait seulement devenir vraiment dangereuse.
La thèse selon laquelle les campagnes de vakxination dans de nombreux pays conduisent Corona à devenir progressivement un « monstre » n’a été suggérée par personne la semaine précédente. Comme l’a rapporté Wochenblick, ce n’est nul autre que l’initié de Gates Geert Vandenbossche qui a mis en garde contre la vakxination contre une pandémie. Et en fait, Covid-19 affecte soudainement des patients de plus en plus jeunes, qui se plaignent également de plus en plus de progrès sévères. Dans un message vidéo, la rédactrice en chef de Wochenblick, Elsa Mittmannsgruber, a commenté la question de savoir en quoi consistaient ces premiers signes.
La vakxination n’est pas une clé de la liberté – bien au contraire
La Haute-Autriche avertit les citoyens de mettre trop d’espoir dans la promesse de Kurz & Co. que la vakxination est la clé de la liberté. « Espérez-vous que la vakxination sera bientôt terminée ? Ensuite, je dois les décevoir. Ça s’empire. La soi-disant pandémie est maintenue en vie artificiellement et n’aura vraiment d’impact que cet automne / hiver – précisément à cause de la vakxination … ».
Le gouvernement a déjà agi de manière arbitraire et sans logique, rejetant les avertissements de nombreux scientifiques ainsi que les protestations des citoyens. Cela se produit parce que les dirigeants « n’ont aucun intérêt à mettre fin à l’état d’urgence » — à savoir, parce qu’ils veulent gagner avec ce temps. Le fouillis de règles, de cas, d’incidences et de chiffres confondent et accablent les gens — et les mesures de plus en plus strictes conduisent, selon Mme Mittmannsgruber, à « la résignation et un sentiment d’impuissance » pour beaucoup.
Les élites tyranniques ont besoin de moutons orientables
Cette perte de stabilité et d’orientation est voulue par ceux qui sont au pouvoir. Parce qu’ils avaient besoin de « personnes affaiblies et désorientées pour reconstruire la société dans l’esprit de la Grande Réinitialisation sans résistance. » Ce n’est que par l’isolement social, la dégradation et le sentiment d’impuissance que les gens se briseraient et deviendraient plus faciles à diriger. Mais ce n’est pas la seule raison du long état d’urgence.
Car, comme le rappelle le sociologue : « Puisque les humains sont des créatures d’habitude, il y a aussi un effet d’accoutumance à cet égard. Il s’habitue à un régime tyrannique et de contrôle sur lequel on peut bâtir à l’avenir. » Les tests, les masques et les vakxinations créent des dépendances qui rendent impossible une vie libre et autodéterminée. Quiconque ne participe pas sera marginalisé : pour les élites, cela a l’avantage que les têtus sont éliminés.
La vakxination fait-elle vraiment du virus un monstre?
Un danger ici n’est pas seulement la censure et les mesures difficiles contre les manifestations, mais aussi le nombre croissant de vakxinations. Si Covid-19 ne devient un danger tangible que par la vakxination, alors « la vraie pandémie est juste devant ». Des experts comme l’immunologiste et biologiste moléculaire irlandais, le professeur Dr. Dolores Cahill avertit, par exemple, que son propre système immunitaire combat le corps si la personne vakxinée entre en contact avec des coronavirus sauvages.
Les conséquences peuvent parfois être fatales. Et le non-vakxiné est menacé par ce que Vanden Bossche a mis en garde : un virus réellement inoffensif devient un « monstre incontrôlable ». Cela devient de plus en plus contagieux, plus agressif et rend également les jeunes plus souvent malades. Surtout les chiffres d’Israël, le pays avec le taux de vakxination le plus élevé, indiquent que les deux théories sont plus que plausibles.
Le virus « a changé de nature en quelques semaines »
Selon Mme Mittmannsgruber, il apparaît que « le virus a changé de nature en quelques semaines à peine après les vakxinations de masse ». Du coup, cela n’affecterait plus seulement les personnes âgées ayant des maladies antérieures, mais aussi chez les garçons jusqu’aux nouveau-nés, une augmentation massive des cours critiques de Covid-19 a été observée depuis lors. Et : « Plus nous vakxinerons, plus cela nous arrivera en Autriche ou en Allemagne. »
C’est pourquoi les personnes qui sont maintenant vakxinées contre Covid-19 « sans besoin, mais purement par pression des pairs, par complaisance ou par besoin de liberté, ne sont pas des héros — elles sont seulement abandonnées à la propagande ». Cela ne contribuerait pas à mettre fin à la pandémie — bien au contraire. Même l’OMS et le Forum économique mondial admettraient que la vakxination n’empêchera pas le virus de se propager. Au lieu de l’immunité naturelle du troupeau, on va avec vue sur une « spirale sans fin de dépendance aux conséquences dévastatrices pour notre liberté et notre santé ».
Conseil: résistez à la propagande vakxinale et à la pression!
Une majorité en Autriche est encore sceptique quant aux vakxinations corona. Mais tout serait fait pour changer cela. En fait, « avec une propagande incroyable et une pression psychologique ». Le gouvernement loue le « Green Pass » comme un ticket pour la liberté, et il y a un risque qu’il change les esprits de nombreuses personnes. Wochenblick a déjà expliqué quels autres dangers existent.
Mme Mittmannsgruber, d’autre part, indique clairement qu’elle ne sera pas attirée par ces promesses creuses. Concrètement, cela signifie : « Pour ma part, je le dis avec une clarté absolue : je ne serai certainement pas vakxiné! » Avec cela, elle espère également envoyer le signal que les Autrichiens se demandent davantage ce que le gouvernement leur sert. (Wochenblick, 18 mars 2021)
« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid » – C’est sous ce titre que vient de paraître un article assez long dans le quotidien roumain Național, vendu dans tout le pays. Le secret de cette femme médecin d’Oradea ? Pour guérir ses patients, elle n’applique pas le protocole médical dont l’usage est devenu obligatoire presque partout. Nos confrères du Visegrad Post ont traduit l’article, disponible ci-dessous.
L’entretien publié par le Național a aussi été mis en ligne en langue hongroise sur ce site, qui reprend, concernant l’épidémie, diverses nouvelles alternatives que la presse de grand chemin refuse de publier. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier la crédibilité des matériaux souvent touffus que reprend le site, mais nous pouvons, en revanche, évaluer celle de la traduction hongroise de l’entretien : le contenu de la traduction hongroise correspond bien à l’original. Voici donc cette traduction, à laquelle nous n’avons ajouté que d’infimes améliorations stylistiques :
« Le portail d’informations national.ro vient de publier un entretien intéressant, dans lequel une pneumologue d’Oradea nous explique que, décidant de ne pas tenir compte du protocole Covid officiellement en vigueur [en Roumanie], elle a préféré se baser sur sa propre expérience de la pneumologie pour traiter de façon traditionnelle ceux de ses patients atteints de pneumonie suite à une infection virale – y compris ceux qu’on dit « souffrant du Covid », méthode débouchant sur un succès impressionnant : pratiquement 100% de ses patients ont guéri sans le moindre soin hospitalier. D’après ce médecin, c’est en réalité le protocole Covid actuellement appliqué que tue les patients dans les hôpitaux.
Capture d’écran de l’article du Național en date du 17 mars 2021.
Le docteur Flavia Groșan, pneumologue à Oradea (département du Bihor). Elle est l’un de ces médecins qui ne sont pas d’accord avec le protocole de guérison actuellement prescrit par le ministère [roumain] de la Santé, et en fonction duquel sont censés être traités les malades infectés par le Covid-19. Laissant de côté cette prescription, elle guérit les patients infectés avec ses propres méthodes, en partant des connaissances qu’elle doit à son expérience de médecin, et tout semble indiquer qu’elle s’y prend très bien : son traitement a été appliqué à presque mille patients arrivant chez elle à des stades différents de la maladie causée par le SarS-CoV-2. 100% de ses patients ont guéri, sans la moindre prise en charge hospitalière.
Le docteur Groșan traite les conséquences de l’infection par le virus SARS-CoV-2 comme une pneumonie atypique. Elle a aussi déclaré que les hôpitaux commettent d’énormes erreurs, et que c’est en réalité le protocole Covid qui tue les patients.
« Le Covid est une pneumonie – certes atypique, mais une pneumonie – et doit être traité comme tel » – a-t-elle affirmé.
« Dès l’annonce de la pandémie, mon but a été qu’aucun patient ne finisse intubé, car c’est un procédé qui entraîne la mort. J’applique mes traitement classiques, médicamenteux, qui incluent la clarithromycine, un antibiotique de la famille des macrolides. Cette famille ne compte que trois antibiotiques : l’érythromycine, que tout le monde connaît, l’azithromycine et la clarithromycine. Je n’aime pas trop l’azithromycine, qui est une copie affaiblie de la clarithromycine. J’ai participé à des recherches cliniques très intéressantes sur les pneumonies, au cours desquelles j’ai pu constater le pouvoir qu’a la clarithromycine de réduire l’inflammation comme aucun autre antibiotique ne sait le faire. »
La pneumologue fait remarquer que les surdoses d’oxygène administrées en milieu hospitalier provoquent des œdèmes cérébraux, qui constituent l’une des causes de mortalité des patients.
À ce sujet, elle a tenu les propos suivants :
« Au-dessus de 80% de saturation, je n’administre que de très petites doses d’oxygène à mes patients, de l’ordre de 2-3 litres par minute, sous la forme d’administrations quotidiennes courtes, de 4 à 5 heures tout au plus. Il faut en effet savoir qu’un excès d’oxygène inhibe le cerveau, car en général, c’est le cerveau qui contrôle notre corps, et non un appareil. Sur ce point, j’ai été en total désaccord avec le protocole Covid en vigueur : les fortes doses d’oxygène qu’il prescrit, de l’ordre de 20 litres, conduisent à l’acidose, provoquant des œdèmes cérébraux chez les patients… lesquels, à leur tour, conduisent bien entendu à leur décès. »
Flavia Groșan voit comme une lourde erreur l’administration aux malades de Covid de Kaletra et de codéine, qui ne peuvent qu’aggraver les symptômes de la maladie.
« Heureusement, il y a eu quelques infirmières – celles que je considère comme de vraies héroïnes – qui ont observé les malades, et les ont avertis, leur conseillant de ne pas avaler le Kaletra et de jeter les médicaments. Après quoi, les médecins venant procéder à leur contrôle s’étonnaient de l’absence de diarrhée, et du fait qu’ils se sentent bien. La raison en était qu’ils n’avaient pas pris les médicaments prescrits par le protocole. C’est ainsi que ces soignantes ont véritablement sauvé la vie de leurs patients. »
« En cas d’utilisation de la codéine, la toux étant bloquée, le malade ne peut pas cracher les sécrétions qui se forment dans les poumons, et ce sont ces sécrétions qui l’étouffent – pas les caillots sanguins, mais l’accumulation des sécrétions. Arrivés à ce point, les malades, comme on pouvait s’y attendre, entrent en état de panique, car ils n’arrivent plus à respirer : du coup, on leur administre des calmants et on les place sur respirateur – à partir de là, il n’y a plus que la miséricorde divine pour les sauver ! »
Cette méthode couronnée de succès et cette attitude intrépide ont aussitôt assuré à cette pneumologue d’Oradea une popularité nationale. D’innombrables organes de presse ont rendu compte de la méthode qu’elle applique. Sur cette vidéo, elle répond aux questions d’une chaîne nationale basée à Bucarest, dont les journalistes adoptent à son égard un ton plutôt hostile et accusatoire, mais madame le docteur reste inébranlable. Voici un résumé de l’entretien télévisé :
La pneumologue applique son propre protocole. Elle consulte en ligne, et traite ses patients en partant du principe qu’ils souffrent d’une pneumonie atypique. Elle a par exemple guéri les cinq membres d’une même famille, dont les âges allaient de 37 à 97 ans ; le traitement a eu tant de succès que cette famille a déjà pu fêter Noël réunie. Les malades ont très peur – affirme-t-elle –, tout le monde veut être hospitalisé, alors qu’on peut guérir en restant chez soi et en prenant des médicaments. Elle a déjà été dénoncée par l’un de ses collègues pour ne pas suivre le protocole prescrit, mais cela la laisse indifférente, car elle voit que le protocole prescrit n’est pas correct, et que son protocole à elle, en revanche, est le bon – le principe de ce dernier étant que, dès l’apparition des premiers symptômes, même avec une température de 37.1°, elle place ses patients sous clarithromycine. Elle se déclare perplexe en voyant les sommités médicales se succéder à la télévision pour effrayer la population, car pour elle il était clair d’entrée de jeu qu’elle a à faire à une pneumonie, et que c’est cette constatation qui doit aussi déterminer la mise au point du traitement.
Ndlr : cette tribune est probablement le document le plus important à lire de ces derniers jours. Elle appelle l’attention de la population générale, des autorités de santé et des scientifiques. France Soir a décidé de la republier car elle liste certains points qui sont essentiels à évoquer, encore plus après la campagne de vackxination massive en Israël et la suspension du vakx1 AstraZeneca par précaution.
A toutes les autorités, scientifiques et experts de la planète, ainsi qu’à la population mondiale.
Je suis tout sauf un antivakx1. En tant que scientifique je n’utilise habituellement pas de plateformes de ce type pour prendre positions sur un sujet lié aux vakx1s. En tant que virologue et expert des vakx1s je fais une exception uniquement lorsque les autorités de santé approuvent l’administration de vakx1s d’une façon qui menace la santé publique, plus précisément lorsque les données scientifiques sont ignorées. La situation actuelle, extrêmement critique, me pousse à diffuser cet appel d’urgence. Etant donné l’ampleur sans précèdent des interventions humaines dans la pandémie de covid 19 qui risquent d’entrainer une catastrophe mondiale sans égal cet appel ne pourra donc pas être assez fort.
Comme je l’ai dit, je ne suis pas contre la vakxination. Au contraire, je peux vous assurer que chacun des vakx1s actuels a été conçu, développé et fabriqué par des scientifiques brillants et compétents. Cependant, ce type de vakx1s prophylactiques sont complètement inappropriés, et même très dangereux, lorsqu’ils sont utilisés dans des campagnes de vakxination de masse pendant une pandémie virale. Les vakxinologues, les scientifiques et les cliniciens sont aveuglés par les effets positifs à court terme des brevets individuels, mais ne semblent pas s’inquiéter des conséquences désastreuses pour la santé mondiale.
À moins que je ne me trompe scientifiquement, il est difficile de comprendre comment les interventions humaines actuelles empêcheront les variants circulants de se transformer en monstre sauvage.
Dans une course contre la montre, je termine mon manuscrit scientifique, dont la publication est malheureusement susceptible de venir trop tard étant donnée la menace sans cesse croissante de propagation rapide des variants hautement infectieux. C’est pourquoi j’ai décidé de poster un résumé de mes conclusions ainsi que mon discours d’ouverture lors du récent Sommet sur les vakx1s dans l’Ohio sur LinkedIn. Lundi dernier, j’ai fourni aux organisations internationales de santé, y compris l’OMS, mon analyse de la pandémie actuelle sur la base d’informations scientifiquement documentées sur la biologie immunitaire du Covid-19. Compte tenu du niveau d’urgence, je les ai exhortés à prendre en considération mes préoccupations et à lancer un débat sur les conséquences néfastes d’une nouvelle « évasion immunitaire virale ». Pour ceux qui ne sont pas des experts dans ce domaine j’attache une version plus accessible et compréhensible des faits scientifiques derrière ce phénomène insidieux.
Bien qu’il n’y ait pas de temps à perdre, je n’ai pas eu de retour jusqu’à présent. Les experts et les politiciens sont restés silencieux tout en étant manifestement toujours désireux de parler de l’assouplissement des règles de prévention des infections et des liberté printanière.
Mes déclarations ne sont basées que sur la science. Elles ne seront contredites que par la science.
Alors que l’on peut à peine faire des déclarations scientifiques incorrectes sans être critiqué par ses pairs, il semble que l’élite des scientifiques qui conseillent actuellement nos dirigeants mondiaux préfèrent garder le silence. Des preuves scientifiques suffisantes ont été mises sur la table. Malheureusement, elles restent ignorées par ceux qui ont le pouvoir d’agir. Combien de temps peut-on ignorer le problème alors qu’il existe actuellement des preuves massives que l’évasion immunitaire virale menace maintenant l’humanité ? Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas – ou n’avions pas été avertis.
Dans cette lettre angoissante, j’ai mis en jeu toute ma réputation et ma crédibilité. J’attends de vous, gardiens de l’humanité, du moins la même chose. C’est de la plus haute urgence. Ouvrez le débat.
Il faut inverser la tendance par tous les moyens !
URGENCE DE SANTÉ PUBLIQUE D’INTÉRÊT INTERNATIONAL
Pourquoi la vakxination de masse au milieu d’une pandémie crée un monstre irrépressible
La question clé est la suivante : pourquoi personne ne semble s’inquiéter de l’évasion immunitaire virale ? Permettez-moi d’essayer d’expliquer cela au moyen d’un phénomène plus facile à comprendre: la résistance aux antimicrobiens. On peut facilement extrapoler ce fléau à la résistance à nos « antibiotiques antiviraux » self-made. En effet, les anticorps (ANTICORPS) produits par notre propre système immunitaire peuvent être considérés comme des antibiotiques antiviraux auto-fabriqués, qu’ils font partie de notre système immunitaire inné (ANTICORPS dits « naturels ») ou obtenus en réponse à des agents pathogènes spécifiques (entraînant ce qu’on appelle ANTICORPS « acquis »). Les anticorps naturels ne sont pas spécifiques aux germes alors que les ANTICORPS acquis sont vakx1s dirigés vers l’agent pathogène envahisseur. À la naissance, notre système immunitaire inné est « inexpérimenté » mais bien établi. Il nous protège d’une multitude d’agents pathogènes, empêchant ainsi ces agents pathogènes de causer des maladies. Comme le système immunitaire inné ne se souvient pas des agents pathogènes qu’il a rencontrés (l’immunité innée n’a pas de soi-disant « mémoire immunologique »), nous ne pouvons continuer à compter sur elle à condition que nous le gardons « formé » assez bien. La formation est obtenue par une exposition régulière à une myriade d’agents environnementaux, y compris des agents pathogènes. Cependant, à mesure que nous vieillissons, nous serons de plus en plus confrontés à des situations où notre immunité innée (souvent appelée « première ligne de défense immunitaire ») n’est pas assez forte pour arrêter l’agent pathogène au portail d’entrée (principalement des barrières muqueales comme l’épithélie respiratoire ou intestinale). Lorsque cela se produit, le système immunitaire doit compter sur des molécules effectrices plus spécialisés de notre système immunitaire pour combattre l’agent pathogène. Ainsi, à mesure que nous grandissons, nous montons de plus en plus l’immunité spécifique aux pathogènes, y compris les ANTICORPS très spécifiques. Comme ceux-ci ont une affinité plus forte pour l’agent pathogène (par exemple, le virus) et peuvent atteindre des concentrations élevées, ils peuvent très facilement surpasser nos anticorps naturels pour se lier à l’agent pathogène / virus. C’est précisément ce type d’Anticorps hautement spécifique et de haute affinité que les vakx1s Covid-19 actuels induisent. Bien sûr, le noble but de ces Anticorps est de nous protéger contre Covid-19. Alors, pourquoi devrait-il y avoir une préoccupation majeure en utilisant ces vakx1s pour lutter contre Covid-19 ?
Eh bien, à l’image des règles applicables aux antibiotiques antimicrobiens classiques, il est primordial que nos « antibiotiques antiviraux » auto-fabriqués soient disponibles en concentration suffisante et soient adaptés aux caractéristiques spécifiques de notre ennemi. C’est pourquoi, en cas de maladie bactérienne, il est essentiel non seulement de choisir le bon type d’antibiotique (basé sur les résultats d’un antibiogramme), mais aussi de prendre l’antibiotique assez longtemps (selon la prescription). Le non-respect des exigences risque d’accorder aux microbes une chance de survivre et, par conséquent, peut provoquer la reprise de la maladie. Un mécanisme très similaire peut également s’appliquer aux virus, en particulier aux virus qui peuvent facilement et rapidement muter (ce qui est, par exemple, le cas des coronavirus); lorsque la pression exercée par l’armée de défense immunitaire (lire : la population) commence à menacer la réplication et la transmission virales, le virus prendra une autre apparence afin qu’il ne puisse plus être facilement reconnu et, par conséquent, attaqué par le système immunitaire hôte. Le virus est maintenant en mesure d’échapper à l’immunité (soi-disant: « évasion immunitaire »). Cependant, le virus ne peut compter sur cette stratégie qu’à condition d’avoir assez de place pour se répliquer. Les virus, contrairement à la majorité des bactéries, doivent compter sur les cellules hôtes vivantes pour se répliquer. C’est pourquoi l’apparition de « mutants d’évasion » n’est pas trop inquiétant tant que la probabilité pour ces variantes de trouver rapidement un autre hôte est assez éloignée. Cependant, ce n’est pas particulièrement le cas lors d’une pandémie virale! Au cours d’une pandémie, le virus se propage partout dans le monde avec de nombreux sujets excrétant et transmettant le virus (y compris les « porteurs » asymptomatiques). Plus la charge virale est élevée, plus la probabilité que le virus rencontre des sujets qui n’ont pas encore été infectés ou qui ont été infectés mais qui n’ont pas développé de symptômes est élevée. À moins qu’ils ne soient suffisamment protégés par leur défense immunitaire innée (par ANTICORPS naturels), ils attraperont la maladie covid-19 car ils ne peuvent pas compter sur les ANTICORPS acquis. Il a été largement rapporté, en effet, que l’augmentation de S (spike) spécifiques ANTICORPS chez les personnes infectées asymptomatiquement est plutôt limitée et seulement de courte durée. En outre, ces ANTICORPS n’ont pas atteint la pleine maturité. La combinaison de l’infection virale sur fond de maturité et de concentration sous-optimales d’anticorps permet au virus de sélectionner des mutations lui permettant d’échapper à la pression immunitaire. La sélection de ces mutations se produit de préférence dans la protéine S car il s’agit de la protéine virale responsable de l’infectiosité virale. Au fur et à mesure que les mutations sélectionnées confèrent au virus une capacité infectieuse accrue, il devient maintenant beaucoup plus facile pour le virus de causer des maladies graves chez les sujets infectés. Plus les gens développent une maladie symptomatique, plus le virus peut sécuriser sa propagation et se répliquer (les personnes qui développent une maladie grave va répliquer plus de virus et pour une plus longue période de temps que les sujets infectés mais asymptomatiques).
Malheureusement, l’augmentation de courte durée de ANTICORPS S-specifique ne suffit pas à contourner les gens ayant des anticorps naturels et innés . C’est-à-dire qu’avec un taux croissant d’infection dans la population, le nombre de sujets qui sont infectés tout en éprouvant une augmentation momentanée des S-ANTICORPS spécifiques augmentera régulièrement. Par conséquent, le nombre de sujets qui sont infectés tout en éprouvant une diminution momentané de leur immunité innée augmentera. Par conséquent, un nombre sans cesse croissant de sujets deviendront plus susceptibles de contracter une maladie grave au lieu de ne présenter que des symptômes bénins (c.-à-d. limités aux voies respiratoires supérieures) ou aucun symptôme. Au cours d’une pandémie, en particulier les jeunes seront touchés par cette évolution que leurs anticorps naturels ne sont pas encore largement supprimés par une panoplie d’ « acquis ». Les ANTICORPS naturels, et l’immunité naturelle en général, jouent un rôle essentiel dans la protection contre les agents pathogènes car ils constituent notre première ligne de défense immunitaire. Contrairement à l’immunité acquise, les réponses immunitaires innées protègent contre un large spectre d’agents pathogènes (alors ne compromettez pas ou ne sacrifiez pas votre défense immunitaire innée!). Étant donné que les anticorps naturels et les cellules immunitaires innées reconnaissent un spectre diversifié d’agents étrangers (c.-à-d. non autonomes) (dont seulement certains ont un potentiel pathogène), il est important, en effet, de le maintenir suffisamment exposé aux défis environnementaux. En gardant le système immunitaire inné (qui, malheureusement, n’a pas de mémoire!) ENTRAINES, nous pouvons résister beaucoup plus facilement aux germes qui ont un réel potentiel pathogène. Il a, par exemple, été rapporté et scientifiquement prouvé que l’exposition à d’autres coronavirus tout à fait inoffensifs causant un « rhume » peut fournir une protection, bien que de courte durée, contre Covid-19 et ses fidèles sbires (c.-à-d. les variantes les plus infectieuses).
La suppression de l’immunité naturelle, en particulier dans les groupes d’âge plus jeunes, peut donc devenir très problématique. Il ne fait aucun doute que le manque d’exposition dû à des mesures de confinement rigoureuses mises en œuvre dès le début de la pandémie n’a pas été bénéfique pour maintenir le système immunitaire inné des gens bien formé. Comme si cela ne compromettait pas déjà fortement la défense immunitaire innée dans ce segment de population, il y a une autre force en jeu qui améliorera considérablement les taux de morbidité et de mortalité dans les groupes d’âge plus jeunes : LA VAKXINATION DE MASSE des PERSONNES ÂGÉES. Plus le groupe d’âge ultérieur sera vakxiné et, par conséquent, protégé, plus le virus est forcé de continuer à causer des maladies dans les groupes d’âge plus jeunes. Cela ne sera possible que s’il s’échappe vers les ANTICORPS spécifiques à S qui sont momentanément élevés chez des sujets précédemment asymptomatiquement infectés. Si le virus parvient à le faire, il peut bénéficier de l’immunité innée (momentanément) supprimée, causant ainsi la maladie chez un nombre croissant de ces sujets et assurant sa propre propagation. Choisir des mutations ciblées dans la protéine S est donc la voie à suivre pour que le virus améliore son infectiosité chez les candidats qui sont enclins à obtenir la maladie en raison d’une faiblesse transitoire de leur défense immunitaire innée.
Mais en attendant, nous sommes également confrontés à un énorme problème chez les personnes vakxinées car elles sont de plus en plus confrontées à des variantes infectieuses affichant un type de protéine S de plus en plus différent de l’édition S du vakx1 (l’édition ultérieure provient de la souche originale, beaucoup moins infectieuse au début de la pandémie). Plus les variantes deviennent infectieuses (c.-à-d. en raison du blocage de l’accès du virus au segment vakxiné de la population), moins le vakx1 protégera. Déjà aujourd’hui, le manque de protection conduit à l’excrétion virale et à la transmission chez les receveurs de vakx1s qui sont exposés à ces souches plus infectieuses (qui, soit dit en passant, dominent de plus en plus le domaine). C’est ainsi que nous transformons actuellement les vakx1s en porteurs asymptomatiques qui excrètent des variantes infectieuses.
À un moment donné, dans un avenir probablement très proche, il va devenir plus rentable (en termes de « retour sur investissement de sélection ») pour le virus d’ajouter quelques autres mutations (peut-être juste une ou deux) à la protéine S de variantes virales (déjà doté de mutations multiples améliorant l’infectiosité) dans une tentative de renforcer encore sa liaison au récepteur (ACE-2) exprimée à la surface des cellules épithéliales permissives. Cela permettra maintenant à la nouvelle variante de surpasser les ANTICORPS vakxinaux pour se lier au récepteur ACE. C’est-à-dire qu’à ce stade, il ne faudrait que très peu de mutations ciblées supplémentaires dans le domaine de la liaison des récepteurs viraux pour résister pleinement aux anticorps spécifique Covid-19, que ce soit obtenu par le vakx1 ou par une infection naturelle. À ce stade, le virus aura, en effet, réussi à accéder à un énorme réservoir de sujets qui sont maintenant devenus très sensibles à la maladie que leurs ANTICORPS spécifiques sont maintenant devenus inutiles en termes de protection, mais parviennent encore à assurer la suppression à long terme de leur immunité innée (c’est-à-dire, infection naturelle, et surtout la vakxination). Le réservoir sensible comprend à la fois les personnes vakxinées et celles qui se sont laissées avec suffisamment d’ANTICORPS spécifiques à S en raison de la maladie covid-19 précédente). Ainsi, MISSION ACCOMPLIE pour Covid-19, mais une SITUATION DÉSASTREUSE pour tous les sujets vakxinés et covid-19 personnes séropositives comme ils ont maintenant perdu à la fois, leur défense immunitaire acquise et innée contre Covid-19 (tandis que les souches hautement infectieuses circulent!). C’est « un petit pas pour le virus, une catastrophe géante pour l’humanité », c’est-à-dire que nous aurons fouetté le virus dans la population plus jeune jusqu’à un niveau qu’il faut maintenant peu d’efforts pour Covid-19 pour se transformer en un virus hautement infectieux qui ignore complètement à la fois le bras inné de notre système immunitaire ainsi que l’adaptatif / acquis. L’effort pour le virus devient maintenant encore plus négligeable étant donné que de nombreux receveurs de vakx1s sont maintenant exposés à des variantes virales hautement infectieuses tout en n’ayant reçu qu’un seul vakx1. Par conséquent, ils sont dotés d’ANTICORPS qui n’ont pas encore acquis des fonctionnalités optimales. Il n’est pas nécessaire d’expliquer que cela va juste améliorer encore l’évasion immunitaire. Fondamentalement, nous serons très bientôt confrontés à un virus super-infectieux qui résiste complètement à notre mécanisme de défense le plus précieux: le système immunitaire humain.
De tout ce qui précède, il devient de plus en plus difficile d’imaginer comment les conséquences de l’intervention humaine étendue et erronée dans cette pandémie ne vont pas anéantir une grande partie de notre population humaine. On ne pouvait penser qu’à très peu d’autres stratégies pour atteindre le même niveau d’efficacité en transformant un virus relativement inoffensif en une arme biologique de destruction massive.
Il est certainement également intéressant de mentionner que les mutations de la protéine S (c’est-à-dire exactement la même protéine qui est sujette à la sélection des mutations d’évasion) sont connues pour permettre aux coronavirus de franchir les barrières des espèces. C’est-à-dire que le risque d’évasion immunitaire médicamenteuse pourrait permettre au virus de passer à d’autres espèces animales, en particulier le bétail industriel (p. ex., élevages porcins et avicoles), n’est pas négligeable. Ces espèces sont déjà connues pour accueillir plusieurs coronavirus différents et sont généralement logées dans des fermes à forte densité de stockage. semblable a la situation du virus de la grippe, ces espèces pourraient servir de réservoir supplémentaire pour le virus du COVID-19.
En raison de l’intervention humaine, le cours de cette pandémie a été complètement perturbé dès le début. Des mesures de prévention des infections généralisées et rigoureuses, combinées à des campagnes de vakxination de masse utilisant des vakx1s inadéquats, mèneront sans aucun doute à une situation où la pandémie devient de plus en plus « hors de contrôle ».
Paradoxalement, la seule intervention qui pourrait offrir une perspective pour mettre fin à cette pandémie (autre que de la laisser courir son cours désastreux) est … la vakxination. Bien sûr, le type de vakx1s à utiliser serait complètement différent des vakx1s conventionnels en ce sens qu’ils n’induisent pas les suspects habituels, c’est-à-dire les cellules B et T, mais les cellules NK. Il existe, en effet, des preuves scientifiques convaincantes que ces cellules jouent un rôle clé dans la facilitation de l’élimination complète de Covid-19 à un stade précoce de l’infection chez les sujets asymptomatiquement infectés. Les cellules NK font partie du bras cellulaire de notre système immunitaire inné et, à l’état d’ANTICORPS naturel, elles sont capables de reconnaître et d’attaquer un large éventail diversifié d’agents pathogènes. Il existe une solide justification scientifique pour supposer qu’il est possible d’ « éduquer» les cellules NK de manière à reconnaître et à tuer les coronavirus en général (y compris toutes leurs variantes) à un stade précoce de l’infection. Les cellules NK ont de plus en plus été décrites comme étant dotées de la capacité d’acquérir la mémoire immunologique. En éduquant ces cellules de manière à leur permettre de reconnaître et de cibler durablement les cellules, notre système immunitaire pourrait être parfaitement armé pour une attaque ciblée dans l’univers des coronavirus avant l’exposition. Comme la défense immunitaire à base de cellules NK fournit l’immunité stérilisante et permet une protection à large spectre et rapide, il est raisonnable de supposer que l’exploitation de nos cellules immunitaires innées va être le seul type d’intervention humaine restante pour arrêter la propagation dangereuse des variantes covid-19 hautement infectieuses.
Si nous, les êtres humains, nous engageons à perpétuer notre espèce, nous n’avons plus d’autre choix que d’éradiquer ces variantes virales hautement infectieuses. Cela nécessitera en effet de grandes campagnes de vkxcination. Toutefois, les vakx1s à base de cellules NK permettront principalement à notre immunité naturelle d’être mieux préparées (mémoire!) et d’induire l’immunité du corps (ce qui est exactement le contraire de ce que font actuellement les vakx1s Covid-19, car ceux qui transforment de plus en plus les receveurs de vakx1s en porteurs asymptomatiques qui excrètent le virus). Il ne reste donc pas une seconde pour que les engrenages soient modifiés et pour remplacer les vakx1s tueurs actuels par des vakx1s vitaux.
J’appelle l’OMS et toutes les parties prenantes concernées, quelle que soit leur conviction, à déclarer immédiatement des mesures telles que L’URGENCE DE SANTÉ PUBLIQUE LA PLUS IMPORTANTE DANS L’INTÉRÊT INTERNATIONAL.
In this open letter I am appealing to the @WHO and all stakeholders involved, no matter their conviction, to immediately declare such action as THE SINGLE MOST IMPORTANT PUBLIC HEALTH EMERGENCY OF INTERNATIONAL CONCERN. Please read and share: https://t.co/0Fupw9JInP#COVID19pic.twitter.com/I24mSjpVKM
Vous allez peut-être trouver que j’insiste beaucoup sur le faux concept de virus. Mais comme constaté à travers mes autres articles sur ce sujet, je ne peux cacher que je suis assez convaincu de cette approche. Voici cette fois une vidéo courte, percutante et sous-titrée en français dans laquelle le Dr Cowan explique l’origine de cette maladie appelée C0VlD.
En complément vous trouverez ci-dessous un lien de téléchargement vers le livre du Dr Cowan Le Mythe de la Contagion (disponible librement sur le net en anglais) et que j’ai traduit en français pour son intérêt.
La non-existence du virus établie, voici les preuves: Les dernières expériences de contrôle du Dr Stefan Lanka sur l’ECP (effet cytopatique) dans le SRAS-CoV-2 sont disponibles et réfutent les affirmations des virologues. La première nouvelle sensationnelle est ici. Les tests de contrôle, commandés par le Dr Stefan Lanka dans un laboratoire, confirment que l’effet cytopatique revendiqué par tous les virologistes comme preuve d’ une isolation du virus et considéré comme une preuve du SRAS-CoV-2, est réfuté. Le laboratoire a confirmé que cet effet n’est pas spécifique d’un virus et qu’il ne peut et ne doit donc pas être revendiqué comme une preuve de la présence d’un virus pathogène. L’effet central, la mort des cellules tissulaires dans le tube à essai, nous l’obtenons de la même manière, sans aucun matériel infecté. C’est une HONTE que tous les virologues ignorent et ne réalisent pas ces expériences de contrôle jusqu’à aujourd’hui. https://odysee.com/@DeansDanes:1/cpe-english:f
Je suis en deuil car ce qui est le plus important à mes yeux sur terre est en train de se mourir. Je suis en deuil car ce qui reste de l’humanité disparaît.
Je suis en deuil quand je vois des êtres humains vivre dans la peur, ne penser qu’à leur bien-être personnel, à leur individualité au détriment de leur liberté d’âme et de la vie de tous les vivants sur terre.
Je suis en deuil quand j’entends des amis et des gens de ma propre famille me montrer du doigt car je ne parle pas avec les mots qui vont dans le sens de la pensée unique.
Je suis en deuil quand je vois que ceux qui défendent nos libertés se font censurer et éliminer petit à petit. Même France Soir vient de se faire supprimer sa chaine sur YouTube car Jean-Marie Bigard a dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas. C’est un symbole de l’expression libre qui vient de sauter. La censure, la répression, la dictature, l’oppression est présente partout et nous devrions dire OUI ? NON, Je dis NON !
Alors oui je le répète. Et pour tous ceux que ça choque, je vous demande de dégager de mes réseaux. Je n’ai pas besoin de vous. Mon message ne s’adresse pas à vous, mais à ceux qui cherchent un moyen de reprendre leur souveraineté. Car pour les autres, malheureusement il est trop tard.
Je ne me ferai jamais vacciner, même si je ne devais plus jamais revoir aucun ami ou personne de ma famille. Je ne suivrai pas de dogme infâme qui tente encore et toujours de réduire les libertés des humains comme l’ont fait les grandes religions du monde et comme Big Pharma et certains politiciens voudraient le faire maintenant.
Je ne suis pas votre jouet. Je ne vous appartiens pas.
Je ne me ferai pas tatouer, d’aucun de vos code-barres ou autres QR codes, je ne suis pas un produit qu’on étiquette.
Je prendrai aucune application pour révéler l’état de ma santé. Celle-ci m’appartient et n’appartient à personne d’autre.
Si vous croyez que me priver de restaurant, de voyages, de spectacles, que de supprimer mes sites comme de me censurer sur mes réseaux, de me menacer ou de tenter de supprimer toute autre activité qui selon vous permet à l’être humain d’être heureux va me faire plier à vos désirs, alors, je vous le dis : VOUS VOUS TROMPEZ !
Je ne suis pas un pitbull, je suis un aigle qui peut regarder le soleil droit dans les yeux sans devenir aveugle. J’ai trouvé le bonheur au fond de moi et à côté de moi, et ce ne sont pas vos restrictions infantiles et matérielles qui viendront me perturber. Je ne ferai rien qui me sera imposé sous prétexte pseudo sanitaire d’un virus qui tue moins qu’une mouche Tsé Tsé, sous prétexte de ne pas revenir à un monde d’avant, car je sais pertinemment et je le crie de nouveau haut et fort : RIEN NE SERA JAMAIS COMME AVANT !
Mesdames, messieurs, je ne crois à aucun de vos mensonges.
Le monde se divise, et j’accepte cette division. J’ai choisi mon camp depuis bien longtemps et RIEN NI PERSONNE, ni même l’être que j’aime le plus au monde ne me fera passer de l’autre côté.
Si tu veux garder ta souveraineté, rester un être libre dans ton essence, alors médite là-dessus :
Nous sommes dans un état de transition, où la pensée dogmatique qui t’a été imposée depuis ta naissance par ton éducation, ta famille, ta religion, tes banquiers, tes médecins, tes politiciens, tes chaines de télévisions, etc. doivent exploser.
Dans cet état transitoire, tu perds tous tes repères et c’est normal. Comment pourrait-il en être autrement ?Tu n’as vécu qu’avec ces dogmes. Aujourd’hui, tu t’aperçois que tout autour de toi s’effondre et ton cerveau est en état de sidération et a peur. Il a peur car tu ne vois pas le bout du tunnel ni la sortie de secours. Il a peur car tu n’as jamais appris à vivre autrement.
Alors reviens sur ce qui est le plus élevé en toi, fais table rase de tout ce qu’on t’a enseigné avant, et accepte d’avancer dans un espace où la seule loi qui fait référence, C’EST LA TIENNE.
Peu importe ce que disent ou pensent les autres de toi. On te juge, on t’agresse, It’s OK … Cela vient de ton partenaire, dis-lui au revoir, de tes parents idem, de tes enfants, idem, de tes amis ou pseudo amis idem, de ton curé, de ton rabbin ou de ton chef spirituel idem, de ton artiste préféré idem, de tes clients, de ton patron idem.
Ne laisse plus personne prendre le contrôle sur toi, JAMAIS !
Le jour où tu partiras de ce monde, tu partiras SEUL.
Prends tes propres décisions même si tu t’aperçois que tu es la seule personne sur terre qui est allée à gauche alors que tout le monde va à droite.
Je t’invite à reprendre ton humanité, à reprendre en main ta responsabilité. À sortir de l’état de victimisation. « ON » ne t’a pas pris ta vie. « ON » ne t’a pas enlevé ta liberté. « ON » ne t’a pas enlevé tes rêves. « ON » ne t’a pas enlevé la joie de vivre. « TU » l’as accepté. « TU » as donné ton accord en acquiesçant intérieurement et en te pliant à des incantations extérieures.
Quand tu passeras cette étape de la peur de l’inconnu, tu seras surpris de la libération que tu vas ressentir, et aussi du nombre de belles âmes que tu rencontreras.
Dans le monde libre, les âmes sont belles car la peur ne voile pas leurs yeux.
Je suis en deuil. Alors demain pour le jour du Nyepi, le jour du silence ici à Bali, avec l’être qui partage ma vie, cet être lumineux et empli de force intérieure, nous allons nous aussi entrer en silence pour méditer et prier pendant ces 24h pour cette humanité qui disparaît au profit d’un esclavage moderne.
Demain se joue aujourd’hui. Si tu acceptes l’inacceptable aujourd’hui, alors demain tu devras juste te taire pour le reste de ta vie car tu auras contribué à l’enfer sur terre.
J’ai pris connaissance avec surprise -mais surtout reconnaissance- de l’appel qui suit, porté par un collectif de voix parmi les plus intéressantes qui se soient données à entendre au cours des mois écoulés. Ce d’autant plus qu’elles viennent de milieux forts différents, incluant bien sûr la médecine et les soins mais aussi par exemple la psychologie, le droit, l’histoire, les mathématiques, le journalisme, les arts et même les forces de l’ordre !
Le propos est remarquablement pertinent et ciblé, à tel point qu’à quelques nuances près (je pense notamment à la référence à 1793, qui ne semble pas très heureuse) je souscris à la quasi-totalité de ce qui est dit.
Particulièrement judicieuse me semble cette interpellation adressée à différents corps de métier et corps intermédiaires de la République, actuellement pris dans un effroyable conflit de loyauté. C’est-à-dire engagés à un devoir de réserve et de soumission vis-à-vis de leur hiérarchie ; mais conduits par-là même à devoir s’asseoir sur leur déontologie et même leur l’éthique, ce qui bien sûr est rédhibitoirement problématiqe.
Ces corps étant pour certains d’entre eux devenus les chevilles ouvrières d’une dérive à laquelle ils devraient simplement refuser de participer s’ils écoutaient leur dignité et leur conscience.
C’est le premier Appel de cette nature que je lis ou entends et franchement cela faisait un moment que j’attendais d’en voir circuler un…
C’est donc sans réserves et avec une sincère appréciation pour cette démarche citoyenne forte, assertive et en quelque sorte solennelle que je partage cet Appel ici en pleine convergence de valeurs et d’intention avec ses auteurs !
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Lien vers le texte et la vidéo de l’Appel : cliquer ici.
PRÉAMBULE
L’Assemblée nationale et le Sénat ont rendu leur rapport d’enquête sur la gestion de l’épidémie de Covid-19 en France et ils sont évidemment sévères. Ils mettent en lumière l’impréparation et la gestion chaotique de l’État, avec de multiples retards et des incohérences sans fin, et la mise sur la touche des médecins généralistes, privés du droit de soigner !
Des mois et des mois plus tard, le gouvernement persiste dans les mêmes erreurs, multipliant les mesures hasardeuses et arbitraires, avec la même attitude infantilisante, abusive, et souvent même méprisante envers la population. Et quelle maltraitance que de masquer les enfants !
Il porte atteinte au passage, de plus gravement, aux droits constitutionnels et fondamentaux ainsi qu’aux libertés privées et publiques, conduisant le pays à la ruine en détruisant le gagne-pain de millions de citoyennes et de citoyens.
En tolérant des conflits d’intérêts majeurs, en confiant même des responsabilités publiques à des serviteurs de l’industrie pharmaco-vaccinale, il trahit les intérêts et la confiance du peuple français.
On nous présente maintenant un « vaccin » qui n’en est pas un, mais constitue une véritable « thérapie » génique expérimentale, mis précipitamment sur le marché alors qu’il présente des risques potentiellement majeurs pour la santé de la population. Tandis que les autres vaccins annoncés affichent des effets indésirables conséquents pour une infection respiratoire équivalente à la grippe.
Ce projet est tellement contraire au droit, à l’éthique ainsi qu’aux bonnes pratiques médicales que nous devons nous opposer corps et âme à ce que l’État joue ainsi à la roulette russe avec la santé des Français, en dilapidant l’argent public.
Le désastre en cours est symptomatique d’une société à bout de souffle, qui a perdu ses repères, prise dans une bouffée délirante collective malheureusement entretenue au fil des mois par nos gouvernants.
Il est temps de reprendre nos esprits et de revenir sereinement dans la réalité : la létalité réelle du Covid-19 est celle d’une grippe moyenne, avec un âge médian des décès supérieur à l’espérance de vie. Nous disposons en outre de traitements efficaces.
En Suède la vie est normale, sans masques, sans tests, sans confinement, sans mesures humiliantes de contrôle… et sans plus de victimes.
Nous pouvons vivre sans avoir à nous terrer ou à nous déshumaniser.
Et nous devons tous retrouver ensemble le chemin de la sérénité et de la raison, en mettant un coup d’arrêt à la fuite en avant de nos gouvernants.
Chacun d’entre nous comme chaque corps constitué a sa part d’action à faire et son rôle à jouer dans ce processus urgent de restauration de la raison et des libertés.
C’est le sens de l’Appel que nous lançons aujourd’hui pour la résistance civile et le réveil des consciences, afin de préserver la lumière de l’avenir.
APPEL À LA RÉSISTANCE CIVILE ET AU RÉVEIL DES CONSCIENCES
Nous invitons notre président ou premier ministre
à tirer les conclusions de la longue suite d’errances et de défaillances de sa politique sanitaire, à tirer les conclusions de l’état d’affolement, de confusion et de sidération dans lequel il a plongé le peuple français, et bien d’autres peuples, avec des données fausses et anxiogènes, et enfin à tirer les conclusions de son instrumentalisation de la peur à des fins de neutralisation de la contestation, ainsi qu’à des fins idéologiques de démantèlement de l’économie et des intérêts nationaux au profit des grands groupes mondiaux.
Nous l’appelons à œuvrer pour la santé réelle des Français, et non pour le profit de l’industrie pharmaceutique,
à dissoudre immédiatement le Conseil Scientifique et à le remplacer par un collège des meilleurs experts libres de tous conflits d’intérêt,
à cesser de convoquer le Conseil de défense : on ne fait pas la guerre à un virus ;
à RÉTABLIR LES LIBERTÉS FONDAMENTALES : la liberté d’expression et d’opinion, la liberté de vivre, d’être en liens, et de respirer,
à supprimer l’usage des tests inutiles en population générale, et à les rétablir comme outil diagnostic dans la main des seuls médecins,
à décréter un moratoire sur toute thérapie génique, appelée à tort vaccinale, autrement dit : à faire abroger la loi d’état d’urgence sanitaire, en particulier son intolérable article 4ter alinéa 3 (*).
Nous appelons les parlementaires français
à rester fidèles à la démocratie et à la Constitution, à rester fidèles à leur mandat de représentation du peuple et à refuser avec courage tous les textes de loi et dispositions portant atteinte aux intérêts, à la dignité et à l’intégrité (physique, psychique, économique, culturelle, politique et sociale) du peuple.
Nous appelons les constitutionnalistes et les professeurs de droit
à dénoncer haut et fort les innombrables mesures anticonstitutionnelles qui nous sont imposées et les lois d’exception totalitaires.
Nous appelons les avocats et les juristes
à multiplier les actions en justice, ainsi qu’à offrir leurs services en pro bono ou avec l’aide juridictionnelle à des particuliers ou des collectifs ayant intérêt à agir pour intenter de telles actions.
Nous appelons le conseil national de l’ordre des médecins
à ne pas sombrer dans l’indignité en condamnant des médecins faisant honneur à leur profession, à protéger sans concession la liberté de prescription, et les médecins lanceurs d’alerte.
Nous appelons les forces de l’ordre
à servir non pas un gouvernement autoritaire, mais le peuple, et à renoncer à faire usage de toute violence à l’encontre des protestations légitimes de la population.
Nous appelons les fonctionnaires
à refuser d’appliquer les mesures liberticides.
Nous appelons les chercheurs et les scientifiques
à dénoncer les ravages de la corruption systémique produite singulièrement par l’industrie pharmaceutique, et à participer à mettre en échec l’instrumentalisation frauduleuse de la recherche au profit d’intérêts privés.
Nous appelons les soignants de psychiatrie, les psychosociologues et les sociologues
à neutraliser par leur éclairage la bouffée délirante collective dans laquelle est plongée une grande partie de la population mondiale de manière très inquiétante depuis un an.
Nous appelons les médecins
à rejeter les diktats contraires au serment d’Hippocrate en s’engageant à user de leur liberté de prescription, et à traiter les malades de la meilleure façon, en particulier dans la phase précoce de la Covid-19.
Nous appelons les experts de santé publique
à exiger qu’une balance bénéfices/risques rigoureuse soit faite au sujet de toutes les mesures non strictement médicales potentiellement destructrices pour les personnes et la société.
Nous appelons les pharmaciens
à lever tout obstacle dans la remise de prescriptions hors-AMM.
Nous appelons les responsables de résidences pour personnes âgées
à tenir impérativement compte de la volonté de leurs pensionnaires dans un processus décisionnel impliquant leur consentement éclairé ou celui de personnes de confiance concernées, à toutes mesures les impliquant.
Nous appelons tous les professionnels de la naissance, tous les professionnels de la petite enfance
à veiller au respect de la dignité et des intérêts des tout-petits et de leurs parents.
Nous appelons les enseignants et l’éducation nationale
à protéger les enfants et les adolescents en refusant le port du masque, à leur donner des informations sur les conséquences, graves, de la bouffée délirante collective, ainsi que leur enseigner les bases de ce qui génère et protège réellement la santé.
Nous appelons les milieux économiques
à s’opposer de toutes leurs forces et de toute leur influence à des décisions absurdes et inutiles qui précipitent vers la faillite et la ruine les forces vives de notre économie réelle au profit des multinationales et des grands groupes mondiaux.
Nous appelons les journalistes
à se désaliéner de leur tutelle économique, à rejeter la politique du buzz, à respecter la Charte des journalistes aujourd’hui bafouée et à remplir pleinement leur rôle et leur mission envers la population en tant que quatrième pouvoir essentiel à la démocratie, en délivrant une information honnête, et en enquêtant sur les dérives en cours.
Nous appelons les artistes
à véhiculer et populariser sous toutes les formes que ce soit l’esprit de résistance civile et le réveil des consciences qui animent cet appel.
Nous appelons les citoyennes et les citoyens
à exercer notre droit et notre devoir, sans supporter aucun chantage à l’exclusion sociale, de refuser une vaccination inutile, risquée servant plus les profits de l’industrie pharmaceutique que la santé, en obtenant au besoin la tenue d’un référendum (d’initiative partagée en France) sur l’intégration au bloc constitutionnel de l’article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793, lequel énonce :
« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »
car si un gouvernement persiste dans une dérive autoritaire, irresponsable et mortifère, quelle autre alternative laisse-t-il à ses concitoyens sinon celle de résister en masse, et si possible pacifiquement, jusqu’à ce que les gouvernants reprennent raison ou leur remettent leur pouvoir ?
Maxi rente assurée avec des cobayes en permanence et la complicité des états via le passeport vaccinal !
Malgré la prétendue efficacité de 95% du vakx1 Pfizer-BioNTech C0VlD-19, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a annoncé jeudi que le fabricant de vakx1 testait une troisième dose de son vakx1 en prévision des rappels annuels.
Dans un communiqué de presse , Pfizer a déclaré que son objectif était de comprendre l’effet d’un rappel sur l’immunité contre le C0VlD causé par les variantes en circulation et nouvellement émergentes du SRAS-CoV-2 et d’engager des discussions en cours avec la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis. et l’Agence européenne des médicaments concernant un essai clinique visant à tester un vakx1 à ARNm modifié .
Le directeur et membre du conseil d’administration de Pfizer, Scott Gottlieb, qui a également été l’ ancien commissaire de la FDA chargé de l’approbation des vakx1, a déclaré à CNBC que le fabricant de vaccins explorait deux voies pour renforcer l’efficacité du vakx1 C0VlD.
La première étude donnera à 144 participants de l’essai clinique de phase 1 mené en mai dernier un troisième dosage inférieur de la formulation actuelle à deux doses. La deuxième étude consiste à tester une version modifiée du vakx1 existant conçue pour fournir une large défense contre une gamme de mutations C0VlD .
Pfizer espère se préparer à une adoption rapide potentielle du vakx1 pour traiter de nouvelles variantes qui permettront le développement de vakx1 de rappel en quelques semaines. Cette «voie réglementaire» est déjà établie pour d’autres maladies infectieuses comme la grippe, a déclaré le fabricant du vakx1.
Le PDG de Pfizer espère qu’une troisième dose stimulera encore plus la réponse immunitaire ou offrira une protection contre les variantes C0VlD.
«Chaque année, vous devez aller vous faire vakxiner contre la grippe », a déclaré Bourla. «Ce sera la même chose avec C0VlD. Dans un an, vous devrez aller chercher votre photo annuelle pour que C0VlD soit protégé », a déclaré Bourla à NBC News.
Le vakx1 Pfizer-BioNTech C0VlD n’est pas encore homologué par la FDA mais a obtenu une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) pour empêcher l’utilisation du C0VlD-19 chez les 16 ans et plus. L’utilisation d’urgence de ce vakx1 n’est autorisée que dans la mesure où «des circonstances justifient l’autorisation de l’utilisation d’urgence».
La FDA a déclaré qu’elle était disposée à autoriser les injections de rappel sur la base de petits essais cliniques, en acceptant les données sur la façon dont les vakx1 améliorent le système immunitaire plutôt que de s’attendre à des résultats de sécurité et d’efficacité à long terme sur la protection contre le C0VlD-19.
Moderna renforce également sa capacité de fabrication mondiale en prévision d’une demande soutenue de boosters C0VlD-19 dans les années à venir. La société prévoit de tester des doses supplémentaires de son vakx1, des injections de rappel et un nouveau vakx1 associé à son vakx1 actuel dès que les régulateurs donneront le feu vert.
Comme The Defender l’a rapporté la semaine dernière, Bill Gates a également déclaré qu’un «troisième coup» pourrait être nécessaire pour combattre le C0VlD.