Dans son dernier livre, Le grand virage de l’humanité, publié aux éditions Guy Trédaniel, Philippe Guillemant revient sur la crise sanitaire et sur ses conséquences à l’échelle planétaire en proposant un éclairage original et inspirant à travers le prisme de la physique de l’information. S’appuyant notamment sur la théorie du temps dont il est l’auteur et qui postule que notre futur est déjà réalisé mais pas de façon définitive, fluctuant en permanence en fonction de notre état de conscience, Philippe Guillemant analyse la crise sanitaire comme une opportunité de basculer vers un éveil de la conscience collective et de rejeter le futur transhumaniste qui nous était promis. Selon Philippe Guillemant, l’épidémie a en effet agi comme un révélateur en faisant « la démonstration magistrale du diktat des multinationales sur nos médias, nos gouvernements et nos modes de vie », ce qui a permis d’amener « le peuple à s’informer par lui-même et à mieux comprendre ce qui est en jeu ». Pour Philippe Guillemant, l’irruption de cette crise sanitaire sonne le glas du système matérialiste sur lequel repose le transhumanisme et doit permettre à l’humanité de faire le choix d’un autre avenir en constituant le point de départ d’un nouveau futur : plus juste, plus solidaire, plus respectueux, où l’homme retrouvera toute sa dignité et tout son potentiel en se reliant à sa véritable nature profonde et spirituelle.
Traçage numérique, transhumanisme, intelligence artificielle… L’ingénieur physicien Philippe Guillemant explique comment la crise sanitaire a accéléré certains bouleversements sociétaux.
Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des informaticiens en virologues. 🙂
Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide.
Il y a deux cas à considérer :
– Port d’identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main… – Port d’identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique…
Dans le second cas il sera impossible, sauf opération chirurgicale, de se débarrasser de son identité.
Dans un premier temps seul le premier cas est à considérer sérieusement. Ce n’est que lorsque l’usage d’une identité numérique sera normalisé par l’habitude (de vivre autrement) que le second cas s’imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l’usage.
Aujourd’hui ce port d’identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n’en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l’application StopCovid. Tout le monde a le droit d’entrer dans n’importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d’avoir un portable. D’autre part le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa précision étant comprise entre 1 et 10 mètres. On peut considérer que pour l’instant, avoir un portable est inoffensif.
Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G. En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.
Le port non lié au corps d’identité numérique, dans un environnement peuplé d’objets connectés (maisons, voitures, routes, villes…) permettrait les recueils de données suivants par une I.A. :
– Vérification d’autorisation d’accès pour les vaccinés – Contrôle de vitesse et stationnement (voiture connectée) – Identification de toutes sortes d’infractions à la conduite – Identification des personnes avec qui l’on déjeune – Mémorisation de tous les déplacements – Calcul de temps de travail ou temps de présence… – Détection de déplacement inhabituel… – Etc.
Il convient de préciser qu’aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage. Toutefois, il serait extrêmement difficile de détecter qu’un tel usage n’est pas effectué. Seule son exploitation pourrait être rendue visible, mais cela laisse une grande place à une exploitation inavouée, par exemple par une société d’assurance où le calcul des droits est déjà réalisé de façon informatique.
Considérons maintenant le deuxième cas, et allongeons la liste précédente :
– Maison intelligente (interactions, commandes, dialogues…) – Analyse d’activités privées (dormir, lire, faire l’amour…) – Surveillance de l’activité des enfants – Analyse des interactions familiales – Analyse de situation (repos, activité, chute…) – Analyse de comportement (geste brusque, activité sportive…) – Détection et mémorisation des habitudes. – Etc.
J’en oublie certainement, sachant qu’il est difficile d’imaginer d’avance tout ce que la quatrième révolution industrielle pourrait nous inventer. Je ne parle ici que d’un transhumanisme très doux, presque acceptable, sans faire référence à quoi que ce soit d’intrusif comme une puce dans le cerveau, des nanorobots dans nos veines ou une vision artificielle et connectée. Mais il va de soi que l’acceptation de ces technologies intrusives est conditionnée à l’acceptation de l’usage d’identité numérique.
La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Il est en effet peu probable que l’on oblige chaque citoyen à porter une identité numérique lors de ses déplacements si 50% de la population n’est pas vaccinée, car on ne va pas limiter à ce point la liberté de circulation. Par contre, si seulement 5% de la population n’est pas vaccinée, il est fort probable qu’on entrera dans ce nouveau monde.
La réalité sera évidemment bien plus complexe que cette simplification binaire, qui n’a d’autre but que d’éveiller aux véritables enjeux.
Donc, je le répète, nous ne sommes pas confrontés à un problème sanitaire avec le virus. Ce problème-là est pinuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.
C’est cela qui explique la dictature sanitaire qui de façon rationnelle n’a aucune autre raison d’être.
Pour ceux qui se sont déjà initiés aux théories physiques de la conscience développées par Philippe Guillemant, à travers ses ouvrages La Route du Temps, La physique de la conscience ou Le Pic de l’esprit. La crise du Covid examinée à la lumière de cette physique peut nous dire que le futur du trans-humanisme n’existe déjà plus. Cela fait du bien à entendre et nous invite à nous déconditionner pour développer notre conscience et faire émerger un nouveau futur positif. L’intervention de Ph. Guillemant commence à 22 min et 30 sec.
BILLET D’HUMEUR : Philippe Guillemant, Docteur en Physique, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS, nous met en garde. Selon lui, avec le masque obligatoire, nous sommes actuellement sur la marche numéro trois de l’escalier menant à l’humain robotisé. A nous de voir si nous choisirons collectivement un autre chemin qui nous fera changer de destination finale.
Philippe Guillemant : nous sommes sur un escalier menant au transhumanisme – Nexus
Pour ceux qui doutent encore des objectifs « masqués » de la manipulation à l’origine du pétage de plomb de nos médias et gouvernement, voici simplement la première des 23 mutations profondes anticipées par Klaus Schwab, le président du forum économique mondial, dans son livre La quatrième révolution industrielle paru en 2017 :
MUTATION 1 : Les technologies implantables
Le premier téléphone implantable commercialisé est prévu pour 2025. Au programme, géolocalisation, suivi du comportement de santé, tatouage intelligent ou puce électronique et lecture d’onde cérébrale c’est à dire de la pensée.
Il y a aussi les « smart dust » ou poussières intelligentes qui pourront agir dans le corps et stocker vos informations corporelles via votre nanoréseau personnel.
En 2020, nous avons déjà gravi les trois premières marches vers le transhumanisme que j’ai déjà évoqué plusieurs fois.
(1) 2020 = Confinement pour éviter l’infection
(2) 2020 = Déconfinement pour éviter l’effondrement
(3) 2020 = Port du masque obligatoire pour éviter le reconfinement
Nous pouvons maintenant anticiper une possible montée linéaire des marches suivantes :
(4) 2021 = Vaccination obligatoire pour éviter le port du masque (5) 2022 = Micro puce implantée (contrôle de vaccination) (6) 2023 = Monnaie numérique mondiale (grâce à la micro-puce) (7) 2024 = Traçage humain (identification du comportement) (8) 2025 = Interfaçage numérique de l’humain (même du cerveau !) (9) 2026 = Transhumanisme (humain cuit, connexion âme détruite)
Et voilà le programme, qui fort heureusement est en train de disparaître car le pétage de plomb depuis le confinement est bien trop voyant et il en résulte que nous les grenouilles subissons une cuisson bien trop rapide.
Cela dit, pour ce qui me concerne j’ai déjà sauté en dehors de la casserole depuis 14 ans.
Et ne venez pas me dire que d’anticiper (5), c’est à dire l’implantation de la micro-puce, soit délirant, car si je vous avais prédit l’année dernière que (3) arriverait en 2020, c’est à dire qu’on nous obligerait à porter un masque en l’absence de pandémie et d’une façon complètement sidérante (assis non, debout oui) vous m’auriez pris pour un cinglé.
Résultat : Aujourd’hui, à chaque fois que nous allons travailler ou conduire nos enfants à l’école, nous entrons dans un asile de fous.
Alors, et je parle seulement à ceux qui portent le masque par peur de l’amende et sans même croire à son utilité (et non pas à ceux qui croient à sa fonction protectrice, ce que je respecte totalement), vous allez continuer à collaborer combien de temps à ce programme ?
S’il ne devait subsister qu’une seule théorie du complot qui soit juste, ce serait celle-ci : ILS veulent nous conduire jusqu’au transhumanisme.
Leurs motifs : conquérir un très grand marché et organiser une société gérée par des I.A. selon l’idéologie transhumaniste, fondée sur l’ignorance (enfermement dans le parc de la pensée).
Comme je crois en cette théorie, il est légitime de me considérer comme un complotiste.
Maintenant, le non complotisme et la niaiserie risquent de devenir synonymes.