On a parlé de PCR avec le professeur Greub du CHUV. Constat d’un nouveau biais statistique.

 Le blog de Liliane Held-Khawam il y a 12 heures

Les statistiques sont des points de repère dans un monde de plus en plus complexe. Elles donnent à l’Etat démocratique moderne des éléments objectifs pour guider la politique. Elle permettent de ramener sur le terrain du réel des débats politiques souvent empreints d’émotions. L’opinion publique est traversée de perceptions collectives parfois biaisées ou influencées par des événements anecdotiques. Les informations produites par la statistique publique indépendante peuvent avoir un effet correcteur et ramener les choses à leur juste proportion. 

https://www.bfs.admin.ch/bfs/fr/home/ofs/statistique-publique.html

La question de la fiabilité de la Statistique publique est fondamentale dans le cadre de la gestion de n’importe quel projet public. Elle devient essentielle par temps de crise existentielle qui mène entre autres à la faillite de l’économie, à la destructuration de l’environnement des enfants, et qui introduit des nouveautés non désirées par la vaste majorité de la population.

Afin d’alimenter les statistiques publiques, il existe un tas de jalons le long des processus de prise en charge des personnes saines et infectées. Typiquement, le fait de décider d’introduire la PCR, de définir le seuil de ses cycles d’amplification, de comptabiliser un cas positif asymptomatique dans le cadre des hospitalisations C0VlD, etc. Cette série de décisions qui détermine ce que l’on prend en compte ou pas introduit des biais potentiels qui vont fausser l’état des lieux. Les décisions qui vont en découler seront obligatoirement biaisées elles aussi.

Alors que les rumeurs enflent au sujet d’un éventuel abandon par le CDC américain du diagnostic basé sur la PCR suite à leur annonce faite en juillet, je me suis adressée au CHUV de Lausanne pour avoir plus d’informations sur la méthode qu’ils utilisent pour diagnostiquer la C0VlD-19.

Lab Alert: Changes to CDC RT-PCR for SARS-CoV-2 Testing 
https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html

Il y a presque un an, j’avais interviewé le professeur Greub, Chef de Service et Directeur de l’Institut de Microbiologie du CHUV (Lausanne), Médecin chef des laboratoires de microbiologie diagnostique, Institut de microbiologie de l’Université de Lausanne Département des laboratoires, au sujet du test PCR dans le cadre de la détection du SARS CoV2.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/10/04/rt-pcr-le-professeur-greub-du-chuv-de-lausanne-repond-a-nos-questions-interview/

Voici les questions posées au professeur qui accepte volontiers d’éclairer nos lanternes et que je remercie vivement de prendre le temps de répondre de manière très précise.

Interview du Professeur Gilbert Greub

LHK: Professeur Greub, vous m’aviez indiqué il y a quelques mois que le cycle d’amplifications du test PCR était de 45à 50 selon le produit. Pourriez-vous me confirmer que cette référence est toujours d’actualité au CHUV ?

GG: Oui, c’est toujours d’actualité, et ceci fait partie des bonnes pratiques, pour (i) s’assurer que la sonde fonctionne bien et ne fait pas de signal inapproprié, (i.e nous n’avons aucun positif entre 45 et 50 cycles, si un signal survient, c’est qu’on a un problème technique) et (ii) avoir une excellente sensibilité. La  sensibilité des tests est très importante puisque nous avons montré dans une analyse lors de la 1ere vague que les 3 premiers cas définissant un cluster avaient tous une charge virale faible parmi 20 clusters documentés dans le canton de Vaud entre le 1er mars et fin juin 2020 (Ladoy et al 2021, référence ci-dessous); ces 20 clusters avaient lors du tests des charges virales trop basses pour pouvoir être détectés par un tests antigène. Ainsi, si vous utilisez un test pas sensible, soit en faisant pas assez de cycles de PCR, soit en utilisant les test antigènes, vous ne détecterez le cluster que lorsqu’un des cas aura une forte charge virale, sera très contagieux, avec le risque de large clusters. Dans ce même travail nous avons démontré la relation entre charge virale élevée et taille des clusters ; certains clusters comportaient plus de 30 cas.

Le variant delta a aujourd’hui remplacé le variant alpha qui lui-même avait remplacé les variants initiaux et ce parce que le variant alpha était plus contagieux que les variants initiaux et que le variant delta est sans aucun doute encore plus contagieux. Avec un variant encore beaucoup plus contagieux comme le variant delta, il est indispensable d’utiliser des tests sensibles, pour détecter toute personne qui vient se faire tester en raison de symptômes ou parce qu’elle est « contact » d’une personne positive. Sinon, le risque est de faire faussement croire à cette personne qu’elle n’a pas le C0VlD et que son rhume ou ses symptômes quelles qu’ils soient sont dus à un autre virus.

Size and duration of C0VlD-19 clusters go along with a high SARS-CoV-2 viral load: A spatio-temporal investigation in Vaud state, Switzerland.

Ladoy A, Opota O, Carron PN, Guessous I, Vuilleumier S, Joost S, Greub G.

Sci Total Environ. 2021 Sep 15;787:147483.

Open access : 
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0048969721025547?via%3Dihub

LHK: Pourriez-vous m’indiquer le niveau du cycle Ct appliqué à une personne vakxinée ? Le CDC demandait à ses partenaires de ne soumettre  que des échantillons avec une valeur de Ct ≤ 28  au CDC pour séquençage. Est-ce aussi le cas au CHUV  ?

GG Techniquement, il est difficile de séquencer le génome du SARS-CoV-2 lorsque les valeurs de CT sont élevées, i.e lorsqu’il y a moins d’ARN viral dans l’échantillon. Nous avons d’ailleurs montré que la qualité des séquences est mauvaise en-dessous d’un certain seuil (Kubik et al 2020, Clinical Microbiology and Infection).  Séquencer que les cas avec un Ct <= 28 peut amener un biais, car vous n’aurez pas de séquences pour des cas avec < 100’000 copies.  A Lausanne, nous séquençons  tous les cas positifs avec plus de 10’000 copies soit un CT <= à 32 cycles. Et nous avons un succès avec le séquençage pour > 95% des séquences effectuées. Un contrôle qualité vérifie la qualité des séquences obtenues, cf notre article publié en juillet 2021  (Jacot et al 2021).

Recommendations for accurate genotyping of SARS-CoV-2 using amplicon-based sequencing of clinical samples.

Kubik S, Marques AC, Xing X, Silvery J, Bertelli C, De Maio F, Pournaras S, Burr T, Duffourd Y, Siemens H, Alloui C, Song L, Wenger Y, Saitta A, Macheret M, Smith EW, Menu P, Brayer M, Steinmetz LM, Si-Mohammed A, Chuisseu J, Stevens R, Constantoulakis P, Sali M, Greub G, Tiemann C, Pelechano V, Willig A, Xu Z.

Clin Microbiol Infect. 2021 Jul;27(7):1036.e1-1036.e8.

Jacot D, Pillonel T, Greub G, Bertelli C

Assessment of SARS-CoV-2 genome sequencing: quality criteria and low frequency variants.

J Clin Microbiol. 2021 Jul 28:JCM0094421.

LHK: Est-ce à dire que le Ct de la PCR d’un vakxiné est inférieur ou égal à 32 à Lausanne? 

GG: Non. Nous testons les échantillons des patients SANS savoir s’ils sont vakxinés ou non. Donc, TOUS (vakxinés et non-vakxinés) sont testés par PCR pour un total de 45 ou 50 cycles selon la technique utilisée. Tous les échantillons positifs (vakxinés et non-vakxinés) sont ensuite séquencés si le CT est < 32 (soit > 10’000 copies/ml).  

Malheureusement, il y a encore certains centres de dépistage qui utilisent des tests antigènes, y compris pour des personnes symptomatiques vakxinées. Les tests antigènes étant très peu sensibles, on a le risque de manqué des cas qui auraient été détectés par RT-PCR. La sensibilité des tests de dépistage est très importante, et particulièrement avec les variants alpha, et surtout delta qui se caractérisent par une grande contagiosité (encore plus fort pour le delta).

LHK: Un résident suisse qui a reçu sa 2ème dose et qui développe plus de 14 jours plus tard des symptômes de rhume/grippe/ ou autre sera-t-il examiné en tant que porteur potentiel de C0VlD ?

Oui, bien sûr. En cas de symptômes, il faut se faire tester (qu’on soit vakxiné ou non).

LHK: Quels sont les critères qui amènent un médecin soignant/établissement hospitalier à demander un PCR lorsqu’ils ont affaire à une personne vakxinée ?

GG: Les mêmes critères que pour une personne non vakxiné, i.e des signes/symptômes compatibles avec une infection par le virus SARS-CoV-2.

LHK: Si, dans le cadre du tracking, une personne-contact est une personne vakxinée, devra-t-elle aller se faire dépister au même titre qu’un non-vakxiné ?

Oui.

LHK: Mes interrogations faisaient suite à cet article d’un site US très connu. ICI Il y avait ce passage qui m’avait intriguée : « Lorsque le CDC dit aux autorités sanitaires de l’État qu’il « aimerait caractériser les lignées SARS-CoV-2 responsables d’infections de percée », et avertit à son tour que « seuls les spécimens avec une valeur Ct 28 au CDC conviennent au séquençage », ils ne sont pas littéralement en train de leur ordonner d’effectuer le tests à moins de 28 cycles, mais ils laissent certainement comprendre qu’ils devraient le faire et garantissent que certains le feront. Cela aura alors pour effet d’enregistrer moins d’ »infections de percées » (chez les vakxinés) seront officiellement enregistrées. »

De son côté, le CDC écrit ceci: « Depuis le 1er mai 2021, les CDC passent de la surveillance de tous les cas signalés de percée vakxinale pour se concentrer sur l’identification et l’enquête uniquement sur des cas hospitalisés ou mortels, quelle qu’en soit la cause. Ce changement contribuera à maximiser la qualité des données recueillies sur les cas les plus importants sur le plan clinique et de santé publique. » (Source ICI)

LHK: Que pensez-vous de ces 2 infos ?

GG: Pour avoir des séquences de qualité, il faut avoir suffisamment de virus au niveau de l’échantillon.  Un seuil de 32 (10’000 copies/ml) convient à notre laboratoire en terme qualité et ceci est aussi le cas pour les autres laboratoires de Suisse. Il est possible que selon l’approche utilisée, il faille un peu plus de virus (< 28 cycles) par échantillon pour obtenir une bonne qualité de séquence. De choisir un seuil légèrement différent, i.e. 28 cycles est peut-être une manière de sélectionner de manière « uniforme » les cas à séquencer. Cependant, ceci ne veut pas dire que les cas d’infection survenant chez des vakxinés ne puissent être recensés : On peut très bien documenter l’infection par RT-PCR sans effectuer la séquence du virus. Le but du séquençage n’est pas de fournir des statistiques globales, mais plutôt d’identifier d’éventuels variants qui échapperaient au vakx1.

Il me semble adéquat de s’intéresser en priorité aux personnes hospitalisées, car (i) ce sont elles qui souffrent le plus et (ii) ce sont elles qui lors de vague épidémique surchargent le système de santé et c’est cette surcharge qui a entrainé les mesures drastiques prises dans les divers pays. C’est un message rassurant et encourageant que le vakx1 protège non seulement contre l’infection, mais aussi contre des formes sévères. 

LHK: Pratiquez-vous des tests collectifs qui seraient en vigueur aux Etats-Unis ? Si oui, pourriez-vous m’expliquer en quoi cela consiste au juste ?

GG: Le « pooling » des échantillons est une approche qui n’a comme seul but d’économiser des reactifs de PCR. Il est possible de le faire lorsque la probabilité pré-test est basse de < 1%, car alors si vous poolez 10 échantillons, et que le résultat est négatif, vous pouvez rassurer les 10 personnes à l’aide d’une seule PCR. Le résultat est alors rendu par SMS si négatif, d’emblée. En cas de positif, il faut alors tester individuellement les 10 échantillons pour identifier le ou les positifs dans le lot. Cette approche a deux inconvénients :

  • Un risque de contamination lors du pooling, car ça génère une manipulation de plus
  • Un risque d’erreur, d’inversion d’échantillon

Ainsi, le pooling ne doit être effectué que par des laboratoires très habitués à la PCR et qui ont mis en place des pratiques permettant de mitiger ces risques. L’automatisation du processus de pooling peut réduire ces risques, si le robot ne génère pas d’aérosols. L’autre problème du pooling est une perte de sensibilité par dilution (10x si pool de 10). Mais ceci n’est pas un problème car la PCR est très sensible. Nous avons considéré le pooling uniquement pour la surveillance des personnes asymptomatiques et ce par des PCRs effectuant sur frottis de bouche (PCR sur la salive). 

LHK: Est-ce que les vakxinés admis au CHUV subissent un test PCR systématiquement à leur arrivée au même titre que les non-vakxinés?

GG: Non, il n’y a pas de dépistage de routine, chez des personnes sans symptômes C0VlD.

Commentaire LHK

Les hospitalisés vakxinés positif au C0VlD mais asymptomatiques ne sont ni détectés, ni comptabilisés. Contrairement aux non-vakxinés.

Il y a quelques mois j’avais posé la question au CHUV au sujet du dépistage systématique de patients admis à l’hôpital (fin de vie/accidents graves/infarctus massif/etc.). Il s’était avéré que le test positif de patients qui vont probablement décéder d’autre chose était comptabilisé en tant que patients C0VlD.

En termes purement statistiques, les données sont faussées à cause de la comptabilisation de ces décès en lien et non à cause du C0VlD. L’information arrive au public en laissant sous-entendre que les patients C0VlD+ sont hospitalisés à cause du virus. Ca participe à accroître l’ambiance anxiogène.

Depuis cet échange avec le CHUV, la variable « patient vakxiné/non-vakxiné » admis à l’hôpital est venue se rajouter.

Ce qui est valable au CHUV, l’est ailleurs. Or, il s’avère que les vakxinés ne sont pas testés au C0VlD lors de leur admission à l’hôpital, contrairement aux non-vakxinés qui le sont systématiquement.

Cela signifie en clair qu’il existe dans la Statistique publique qui compare le taux d’hospitalisation par catégorie vakxiné ou pas comporte un biais si important que cette comparaison enfreint très certainement la Charte de Statistique publique dont les pays européens sont signataireshttps://lilianeheldkhawam.com/2021/01/25/la-charte-de-la-statistique-publique-bafouee/

https://www.ouest-france.fr/bretagne/covid-19-en-bretagne-les-non-vaccines-representent-75-des-nouvelles-entrees-a-l-hopital-c4ff9c7e-035c-11ec-8926-48613f7d5af4

Le taux des hospitalisés non-vakxinés intègrent l’effectif inconnu de « cas » asymptomatiques, alors que les vakxinés sont exclusivement constitués de la catégorie extrême de personnes symptomatiques nécessitant une hospitalisation. Souvenez-vous de ce que nous avons écrit plus haut au sujet du CDC qui dit clairement avoir décidé qu’à partir du 1er mai 2021, les CDC vont passer de la surveillance de tous les cas signalés de percée vakxinale pour se concentrer et enquêter uniquement sur des cas hospitalisés ou mortels, quelle qu’en soit la cause.

Le protocole qui s’applique aux vakxinés n’est pas le même que celui dédié aux non-vakxinés. Cela fausse les statistiques publiques, mais améliore la « performance » des vakx1s.

Or, l’information que nous découvrons qui consiste à épargner les vakxinés du dépistage de routine lors des admissions implique qu’il existe 2 protocoles clairement différenciés. Le référentiel d’admission n’étant pas le même, on ne peut comparer les populations, vakxinées et non-vakxinées, hospitalisées. Du coup, les 2 populations ne peuvent être comparées car ne sont pas mesurées de manière équivalente. Or, quand on dit qu’il y a x % des vakxinés hospitalisés et y% de non-vakxinés comme le font les médias officiels, on compare des patates et des bananes. Dans le cas des vakxinés (X), nous avons exclusivement des personnes positives avec des symptômes lourds, alors que dans l’autre (y) nous avons tous les asymptomatiques hospitalisés pour tout autre chose que le C0VlD.

La décision de ne pas dépister systématiquement les admis vakxinés, crée des biais qui viennent se rajouter à ceux que nous avions déjà relevés durant cette crise C0VlD en matière de Statistique publique. Utiliser 2 procédures au niveau de 2 populations distinctes, puis franchir le pas de les comparer est dommageable en matière de fiabilité statistique. Et donc de l’information.

Je rappelle que les autorités sanitaires ne nous donnent pas la ventilation des résultats des positifs par rapport au seuil de cycles d’amplification. Les statistiques traitent de manière équivalente l’individu positif pour un cycle de 40 et celui qui a l’est avec un cycle de 20!

Il est donc faux d’écrire une phrase du genre « A population égale, le nombre d’hospitalisations liées au C0VlD-19 de personnes entièrement vakxinées en Suisse s’avère environ 12 fois inférieur à celui des non-vakxinés, d’après une analyse de la RTS basée sur la période allant du 1er juillet au 15 août. » https://www.rts.ch/info/suisse/12426042-douze-fois-moins-dhospitalisations-dues-au-covid-chez-les-vaccines-en-suisse.html.

https://www.ouest-france.fr/bretagne/covid-19-en-bretagne-les-non-vaccines-representent-75-des-nouvelles-entrees-a-l-hopital-c4ff9c7e-035c-11ec-8926-48613f7d5af4

Plus important, ces chiffres peuvent être le résultat d’un cas pratique où dans un hôpital A nous avons 6 vakxinés qui développent un C0VlD sévère avec un Ct de 20, et 60 non-vakxinés qui se trouvent en orthopédie avec un Ct de 40. Le média va dire que le nombre des hospitalisés non-vakxinés de l’hôpital A est 10 fois inférieur. Par conséquent, le vakx1 est efficace. Tout le monde comprendra que dans ce cas, caricaturé à l’extrême, nous serions face à une imposture qui relève plus du marketing pro-vakxinale que de la science médicale. Voilà pourquoi, soit les protocoles doivent être rigoureusement identiques, soit on s’interdit de comparer les patates et les bananes.

Le Pass sanitaire participe à l’amplification des biais.

En introduisant le Pass, les vakxinés peuvent circuler librement sans devoir présenter un résultat de test, mais on force les réfractaires au vakx1 à aller se faire dépister. On amplifie donc le nombre de tests de manière artificielle, et avec lui le nombre de non-vakxinés positifs mais non contagieux.

Pendant ce temps, les vakxinés contaminés et contaminants vont pouvoir circuler en toute liberté et contaminer vakxinés et non-vakxinés (y compris au sein de l’hôpital!) aussi longtemps qu’ils n’ont pas décidé de se rendre d’eux-mêmes à l’hôpital pour causes de symptômes graves, voire mortels.

Les vakxinés asymptomatiques , mais aussi symptomatiques non médicalisés, vont régulièrement passer entre les mailles du filet. Cela aura pour conséquence de voir des gouvernants vanter les mérites des vakx1s, et mettre la pression sociale et la responsabilité de la contamination sur les épaules des non-vakxinés.

Variant Delta, tests PCR et dissonance cognitive

par F. William Engdahl. (sur Réseau International)

Pour paraphraser une célèbre boutade de Bill Clinton, alors candidat à la présidence, lors d’un débat avec son adversaire républicain en 1992, « C’est le vaccin, idiot ! » Le récit quotidien des médias grand public et du gouvernement dont nous sommes inondés dans le monde entier est déroutant pour la plupart, et c’est un euphémisme. Le variant dit Delta ou « indien » se propage comme la varicelle, nous dit-on, mais sans préciser ce que signifie cette « propagation ». Les personnes non vaccinées sont accusées de transmettre le C0VlD-19 à celles qui sont censées être vaccinées. Les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Union européenne sont à la tête de ce récit confus et mortel.

Des responsables politiques disent aux enfants de se faire vacciner malgré les recommandations officielles de l’OMS et des autorités médicales nationales, comme le STIKO en Allemagne, qui préconisent d’attendre. Les tests PCR qui définissent la politique, mais qui ne disent rien sur la présence d’un virus spécifique chez une personne, sont traités comme un « Gold Standard » de l’infection.

Pourtant, à ce jour, aucun laboratoire n’a réussi à isoler des échantillons purifiés du prétendu virus SRAS-CoV-2 qui serait à l’origine de la maladie C0VlD-19. Comment les tests PCR peuvent-ils être calibrés si l’agent pathogène revendiqué n’est pas clair ? Si nous prenons un peu de recul, il apparaît clairement que nous sommes soumis à une opération mondiale délibérée de dissonance cognitive dont les conséquences prévues pour l’avenir de notre civilisation ne nous sont pas révélées.

Résoudre la dissonance

La dissonance cognitive est un terme utilisé en psychologie pour désigner l’expérience d’une personne qui vit deux expériences contradictoires ou incohérentes dont l’incohérence lui cause un grand stress. Le stress est résolu dans le cerveau par la personne se jouant des tours inconscients pour résoudre la contradiction. Le syndrome de Stockholm vient à l’esprit.

Dans le cas présent, il s’agit de la confiance traditionnelle dans les autorités – gouvernements, OMS, CDC, Institut Robert-Koch, Bill Gates et autres experts épidémiologiques autoproclamés, souvent sans diplôme médical. Ces autorités imposent des mesures draconiennes de confinement, de masquage et de restriction des déplacements et ce qui devient rapidement une vakxination forcée de facto avec des vakx1s non testés dont les effets indésirables se comptent désormais par millions dans l’UE et aux États-Unis.

Le cerveau ordinaire se dit : « Pourquoi les autorités voudraient-elles nous faire du mal ? Ne veulent-elles pas le meilleur pour nous et pour le pays ou le monde ? » Les expériences réelles des 18 derniers mois, depuis que l’Organisation mondiale de la Santé a déclaré une pandémie à cause d’un prétendu virus annoncé pour la première fois à Wuhan, en Chine, suggèrent que soit les politiciens et les responsables de la santé du monde entier ont perdu la tête, soit ils sont délibérément mauvais, soit ils sont volontairement destructeurs, soit ils sont tout simplement corrompus.

Pour résoudre cette effrayante contradiction, des millions d’entre nous prennent une concoction expérimentale connue sous le nom de substance génétiquement modifiée ARNm en supposant qu’ils sont alors protégés contre l’infection ou la maladie grave d’un prétendu pathogène mortel appelé C0VlD-19. Certains attaquent même ceux qui, autour d’eux, voient la dissonance différemment et qui refusent un vakx1 par méfiance et prudence.

Pourtant, même le Dr Fauci, omniprésent à Washington, admet que les nouveaux vakx1s à ARNm n’empêchent pas de contracter la prétendue maladie ou d’être infectieux, mais qu’ils contribuent peut-être à en atténuer l’impact. Ce n’est pas un vakx1, mais plutôt quelque chose d’autre.

Variant Delta ?

À ce stade, il est utile d’examiner plusieurs faits avérés concernant ce coronavirus et ses « variants » apparemment illimités. La crainte actuelle au Royaume-Uni, dans l’Union européenne et aux États-Unis concerne un variant dit Delta du coronavirus. Le seul problème est que les autorités compétentes ne nous disent rien d’utile sur ce variant.

Étant donné que le prétendu variant Delta d’un nouveau coronavirus prétendu mais nulle part scientifiquement prouvé, est utilisée pour justifier une nouvelle série de mesures draconiennes de confinement et de pressions en faveur de la vakxination, il est utile d’examiner le test permettant de déterminer si un variant Delta est présent chez une personne testée à l’aide du test PCR standard recommandé par l’OMS.

En mai dernier, le variant Delta était initialement appelé variant indien. Il a rapidement été accusé d’être à l’origine de jusqu’à 90% des nouveaux tests positifs au C0VlD-19 au Royaume-Uni, qui compte également une importante population indienne. Ce que l’on ne dit pas, c’est qu’en deux mois seulement, les prétendus positifs au variant Delta en Inde ont chuté de façon spectaculaire, passant de 400 000 par jour en mai à 40 000 en juillet. Les symptômes ressemblant étrangement à ceux du rhume des foins ordinaire, l’OMS s’est empressée de le rebaptiser variant Delta selon l’alphabet grec, afin de brouiller davantage les pistes.

Des baisses similaires du variant Delta ont été observées au Royaume-Uni. Les « experts » ont prétendu que c’était parce que les Indiens terrifiés étaient restés chez eux, car seul un petit 1-3% de la population avait été vakxiné. Au Royaume-Uni, les experts ont prétendu que c’était parce que tant de gens avaient été vakxinés que les cas Delta avaient chuté. Si vous avez l’impression qu’ils inventent des explications pour alimenter le discours sur les vakx1s, vous n’êtes pas les seuls.

Et ce n’est pas tout. Pratiquement personne au Royaume-Uni, en Inde, dans l’Union européenne ou aux États-Unis, dont on prétend qu’il a été testé positif au variant Delta, n’a subi un test spécifique au variant Delta, car un tel test direct de variant n’existe pas. Des tests complexes et très coûteux sont censés exister, mais aucune preuve n’est apportée qu’ils sont utilisés pour affirmer des choses telles que « 90% des cas britanniques sont des ces Delta… ».

Les laboratoires du monde entier se contentent d’effectuer les tests PCR standard, très imprécis, et les autorités sanitaires déclarent qu’il s’agit du « Delta ». Il n’existe pas de test simple pour le Delta ou tout autre variant. Si ce n’était pas vrai, le CDC ou l’OMS ou d’autres instituts de santé devraient expliquer en détail ces tests. Ils ne l’ont pas fait. Demandez aux « experts » de la santé concernés comment ils prouvent la présence d’un variant Delta du virus. Ils ne le peuvent pas.
Les laboratoires d’analyse aux États-Unis admettent qu’ils ne testent pas les variants.

Tests PCR sans valeur

Le test PCR lui-même ne permet pas de détecter un virus ou une maladie. Le scientifique qui a obtenu un prix Nobel pour avoir inventé le test PCR, le Dr Kary Mullis, est passé à la télévision pour attaquer nommément le chef du NIAID, Tony Fauci, en le qualifiant d’incompétent pour avoir prétendu que les tests PCR pouvaient détecter n’importe quel agent pathogène ou maladie. Il n’a pas été conçu pour cela, mais plutôt comme un outil d’analyse de laboratoire pour la recherche. Les tests PCR ne peuvent pas déterminer une infection aiguë, une infectiosité continue, ni une maladie réelle. Le test PCR n’est pas réellement conçu pour identifier une maladie infectieuse active, il identifie plutôt du matériel génétique, qu’il soit partiel, vivant ou même mort.

Un article publié le 21 janvier 2020 par deux Allemands, Corman et Drosten, a été utilisé pour créer le test PCR immédiatement adopté par l’OMS comme norme mondiale pour détecter les cas de coronavirus. À ce moment-là, six personnes seulement avaient été identifiées comme porteuses du nouveau coronavirus. En novembre 2020, un groupe de pairs scientifiques externes a examiné l’article de Drosten et a découvert un nombre incroyable de failles scientifiques majeures ainsi qu’un conflit d’intérêts flagrant de la part de Drosten et de ses collègues.

Les scientifiques ont noté que le modèle de PCR de Drosten et l’article souffraient de « nombreuses erreurs techniques et scientifiques, notamment une conception insuffisante des amorces, un protocole RT-qPCR problématique et insuffisant, et l’absence d’une validation précise du test. Ni le test présenté ni le manuscrit lui-même ne remplissent les conditions d’une publication scientifique acceptable. En outre, les graves conflits d’intérêts des auteurs ne sont pas mentionnés. Enfin… un processus systématique d’examen par les pairs n’a pas été effectué ici, ou alors il était de mauvaise qualité ».

Pourtant, le modèle PCR de Drosten a été immédiatement recommandé par l’OMS comme le test mondial du coronavirus.

La PCR amplifie le matériel génétique en utilisant des cycles d’amplification jusqu’à ce qu’elle atteigne ce que l’on appelle le seuil de cycle (Ct), le nombre d’amplifications permettant de détecter le matériel génétique avant que l’échantillon ne devienne sans valeur. Mullis a dit un jour que si l’on amplifie par un nombre suffisant de cycles, on peut trouver n’importe quoi chez n’importe qui, car notre corps est porteur d’un grand nombre de virus et de bactéries différents, la plupart inoffensifs.

Même le Dr Fauci, dans une interview de 2020, a déclaré qu’un Ct à 35 ou plus n’a aucune valeur. Pourtant, le CDC recommanderait aux laboratoires de tests d’utiliser un Ct de 37 à 40 ! À ce niveau, peut-être 97% des C0VlD positifs sont probablement faux.

Ni le CDC ni l’OMS ne rendent publiques leurs recommandations en matière de Ct, mais on rapporte que le CDC recommande désormais un seuil de Ct plus bas pour les tests des personnes vakxinées, de manière à minimiser les C0VlD positifs chez les personnes vakxinées, tout en recommandant un Ct supérieur à 35 pour les personnes non vakxinées, une manipulation criminelle si elle est avérée.

Pour ceux qui s’intéressent à l’évolution de la perversion des tests PCR pour soi-disant diagnostiquer la présence spécifique d’une maladie, il faut se pencher sur l’histoire sordide qui a commencé dans les années 1980 lorsque Fauci et son subordonné de l’époque, le Dr Robert Gallo, au NIAID, ont utilisé la technologie PCR de Mullis pour affirmer à tort qu’une personne était séropositive, une entreprise criminelle qui a entraîné la mort inutile de dizaines ou de centaines de milliers de personnes.

Notamment, presque tous les défenseurs éminents du vakx1 anti-C0VlD, de Fauci au chef de l’OMS Tedros, sont sortis du marécage du VIH/SIDA et de ses faux tests PCR. Toutes les mesures de panique imposées depuis 2020 dans le monde entier sont basées sur la fausse prémisse que le test RT-PCR « positif » signifie que l’on est malade ou infecté par le C0VlD.

La peur du C0VlD-19 qui a émané de Wuhan, en Chine, en décembre 2019, est une pandémie de tests comme l’ont souligné de nombreux médecins. Il n’y a aucune preuve qu’un virus pathogène est détecté par le test. Il n’y a pas non plus de valeur de référence prouvée, ou « étalon-or » pour déterminer la positivité. C’est purement arbitraire. Faites les recherches nécessaires et vous le constaterez.

Promouvoir des vakx1s expérimentaux

Si nous avons gaspillé des milliers de milliards de dollars dans l’économie mondiale depuis le début de l’année 2020 et ruiné d’innombrables vies sur la base de tests PCR sans valeur et que maintenant la même fraude étend la folie à un prétendu variant Delta, la conclusion évidente est que certains acteurs très influents utilisent cette peur pour promouvoir des vakx1s génétiques expérimentaux qui n’ont jamais été testés sur des humains ni sur des animaux.

Pourtant, le nombre officiel de décès liés aux vakx1s dans l’UE et aux États-Unis continue de battre des records. À l’heure où nous écrivons ces lignes, selon la base de données officielle de l’UE pour l’enregistrement des blessures liées aux vakx1s, EudraVigilance, à la date du 2 août, un total de 20 595 décès avaient été signalés chez des personnes ayant déjà reçu les vaccins génétiques expérimentaux à ARNm ! De tels chiffres n’ont jamais été observés auparavant.

En outre, 1 960 607 effets indésirables ont été signalés, dont 50% sont graves, notamment des caillots sanguins, des crises cardiaques, des irrégularités menstruelles, des paralysies, toutes consécutives à des injections d’ARNm. Les données américaines de la base de données VAERS des CDC sont ouvertement manipulées, mais même, elles montrent plus de 11 000 décès post-vakx1s ARNm. Les grands médias n’en parlent jamais.

Les autorités et les politiciens répondent qu’il n’y a aucune preuve que les décès ou les blessures étaient liés aux vakx1s. Mais ils ne peuvent pas prouver qu’ils ne l’étaient pas parce qu’ils interdisent aux médecins de pratiquer toute autopsie. Si l’on nous dit de suivre la science, pourquoi les autorités sanitaires disent-elles aux médecins de ne pas faire d’autopsie sur les patients qui sont morts APRÈS avoir reçu deux vaccins à ARNm ?

Après des milliers de décès liés aux vakx1s, une seule autopsie a été pratiquée, en Allemagne, et les conclusions étaient terribles. La protéine Spike s’était répandue dans tout le corps. Le CDC a cessé de surveiller les cas non graves de C0VlD-19 chez les personnes vakxinées en mai. Cela cache le nombre alarmant de vakxinés qui tombent gravement malades.

Quelque chose ne va pas du tout lorsque des experts médicaux expérimentés et respectés sont bannis pour avoir suggéré des hypothèses alternatives à l’ensemble du drame du C0VlD.

Lorsque d’autres scientifiques adhérant à la ligne officielle réagissent à toute critique de Tony Fauci ou d’autres médecins traditionnels du C0VlD, ils doivent être désignés comme auteurs d’un « crime de haine ». Ou lorsque des remèdes bon marché et éprouvés sont interdits en faveur des vakx1s à ARNm coûteux et mortels dans lesquels le NIAID de Fauci détient un intérêt financier.

Les défenseurs des vakx1s tels que Fauci parlent déjà de la nécessité d’injections de rappel d’ARNm et mettent en garde contre l’apparition d’un nouveau « variant Lambda ». Comment vont-ils le tester ? Ou devons-nous le croire sur parole parce qu’il ou elle est considéré(e) par CNN ou la BBC comme une « autorité respectée » ? Jusqu’où des citoyens sains d’esprit vont-ils permettre à cette dissonance cognitive de détruire nos vies ?


source : https://journal-neo.org

traduit par Réseau International

Suède – Les tests PCR “ne peuvent pas être utilisés pour déterminer si une personne est contagieuse »

Selon l’Agence suédoise de santé publique, la technologie PCR ne peut pas faire la distinction entre les virus capables d’infecter les cellules et les virus qui ont été neutralisés par le système immunitaire. Par conséquent, ces tests “ne peuvent pas être utilisés pour déterminer si une personne est contagieuse ou non”. Ils soulignent ce que de nombreux autres experts du domaine ont souligné pendant toute la pandémie, à savoir;

“L’ARN du virus peut souvent être détecté pendant des semaines (parfois des mois) après la maladie, mais cela ne signifie pas que vous êtes toujours contagieux. Il existe également plusieurs études scientifiques qui suggèrent que la contagion du COVID-19 est la plus forte au moment de la maladie.”

Même si l’ARN est détecté à tout moment, cela ne signifie pas que vous êtes contagieux et capable d’infecter d’autres personnes.

Les tests PCR peuvent être positifs jusqu’à 100 jours après une exposition au virus. Les tests PCR ne font rien d’autre que confirmer la présence de fragments d’ARN viral du virus cible du SARS-CoV-2 dans le nez d’une personne. Alors qu’une personne atteinte de COVID-19 est infectieuse pendant une période d’une à deux semaines, les fragments non viables (inoffensifs) du virus du SARS-CoV-2 restent dans le nez et peuvent être détectés par un test PCR jusqu’à 100 jours après l’exposition.

Un article récent publié dans la revue médicale The Lancet explique que les tests PCR peuvent être “positifs” jusqu’à cinq fois plus longtemps que la durée pendant laquelle une personne infectée est réellement infectieuse. Ils expliquent que jusqu’à 75 % des personnes “positives” sont très probablement post-infectieuses.

En conséquence, le gouvernement suédois recommande d’évaluer les infections par COVID et l’absence d’infection,

“sur la base d’une amélioration clinique stable, sans fièvre depuis au moins deux jours, et d’un délai d’au moins sept jours depuis l’apparition des symptômes. Pour ceux qui ont eu des symptômes plus prononcés, au moins 14 jours après la maladie et pour les plus malades, évaluation individuelle par le médecin traitant.”

Même quand l’ARN du virus est détecté, ce que le test PCR fait assez bien, le fait qu’un échantillon soit réellement infectieux (contenant un virus viable, capable de se répliquer) doit être confirmé par une culture en laboratoire. Selon le Dr Jared Bullard, spécialiste des maladies infectieuses pédiatriques et témoin actuel du gouvernement du Manitoba, seuls 44 % des échantillons “positifs” utilisant un Ct de 18 ont donné lieu à une culture de laboratoire viable. Le gouvernement du Manitoba est poursuivi pour les mesures qu’il a prises pour combattre le COVID.

Qu’est-ce que le Ct ? Il s’agit du seuil de cycle. Les tests PCR ne sont pas conçus pour détecter et identifier une maladie infectieuse active. Ils identifient plutôt le matériel génétique, qu’il soit partiel, vivant ou même mort. La PCR amplifie ce matériel dans les échantillons pour trouver des traces du COVID-19. Si l’échantillon prélevé sur un écouvillon nasal contient une grande quantité de virus, il réagira positivement après seulement quelques cycles d’amplification, tandis qu’un échantillon plus petit contenant de petites quantités de matériel génétique nécessitera plus de cycles pour amplifier suffisamment de matériel génétique pour obtenir un résultat positif. Étant donné que le test PCR amplifie les traces du COVID-19 au fil des cycles, un nombre inférieur de cycles nécessaires pour obtenir un résultat positif suggère la présence d’une charge virale plus élevée chez la personne testée et donc un potentiel de contagion plus important.

Un article publié dans la revue Clinical Infectious Diseases a révélé que parmi les échantillons positifs du test PCR avec un nombre de cycles supérieur à 35, seuls 3 % des échantillons présentaient une réplication virale. Cela peut être interprété comme suit : si une personne est testée positive par PCR lorsqu’un Ct de 35 ou plus est utilisé, la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 %, et la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 %. Dans ce cas, un faux positif signifie qu’une personne n’est pas infectieuse ou capable de transmettre le virus à d’autres personnes. (source)

Le Dr Anthony Fauci lui-même a déclaré à This Week in Virology en juillet 2020 : “Si vous obtenez un seuil de cycle égal à 35 ou plus … les chances qu’il soit compétent pour la réplication sont minuscules.” Pourquoi alors notre norme nationale de test n’a-t-elle jamais reflété cela ? Les fournisseurs de PCR devraient travailler avec d’autres laboratoires pour effectuer une culture virale aléatoire, comme l’a mentionné Bullard ci-dessus, sur les personnes ayant reçu des résultats positifs, afin de valider leurs tests en termes d’indicateur d’infectiosité.

Il y a beaucoup de questions à se poser ici. Les laboratoires ne fournissent pas les informations Ct associées à chaque test. Dans certains cas, les laboratoires devraient-ils compter les résultats “positifs” comme des “cas” lorsqu’ils proviennent d’un nombre de Ct élevé ? Nous venons de découvrir qu’un Ct élevé, autour de 30+, peut souvent être non infectieux ou incapable de propager le virus, cette nuance est importante si l’on considère que la politique de santé publique est décidée sur la base des seuls cas.

Quel pourcentage de cas a résulté d’un seuil de cycle plus bas, disons inférieur à 20 ? Ce sont ces cas, du moins certains d’entre eux, qui permettraient d’identifier plus précisément une personne réellement infectieuse. Si ces tests, comme le dit le gouvernement suédois, ne peuvent être utilisés correctement pour identifier une personne infectieuse, même à un faible Ct, pourquoi n’avons-nous pas simplement mis en place des mesures qui s’appliquent aux personnes symptomatiquement malades ?

Le Manitoba a confirmé qu’il utilise des Ct allant jusqu’à 40, et même 45 dans certains cas. C’est une question importante étant donné que la politique de santé a été basée sur le nombre de cas présents dans une région.

Ici, en Ontario, au Canada, les aménagements extérieurs comme les terrains de golf, les terrains de basket-ball, les courts de tennis, les parcs et autres ont été fermés en fonction du nombre de cas, même si la propagation du COVID à l’extérieur est extrêmement improbable.

À l’intérieur, les personnes infectées qui sont asymptomatiques sont plus d’un ordre de grandeur moins susceptibles de propager la maladie que les patients symptomatiques du COVID-19. Une méta-analyse de 54 études réalisées dans le monde entier a révélé qu’au sein des foyers – où aucune des mesures de protection que les restaurants sont tenus d’appliquer ne l’est généralement – les patients symptomatiques ont transmis la maladie aux membres du foyer dans18 % des cas, tandis que les patients asymptomatiques l’ont transmise aux membres du foyer dans 0,7 % des cas.

C’est pourquoi de nombreux universitaires ont exhorté les autorités à cesser de tester les personnes asymptomatiques. Si l’on combine ce fait avec le fait que les chances de propagation asymptomatique sont faibles, et avec le fait qu’il y a un manque de clarté autour du test PCR, on comprend pourquoi les médecins soulèvent la question.

La politique de santé a été guidée et dictée par le nombre de “cas”. C’est la raison pour laquelle les confinements et les mandats de masques ont été mis en place sans tenir compte des dommages qu’ils causent et ont causé. Et si la majorité des cas “positifs” durant cette pandémie étaient des personnes qui ne sont pas capables de propager la maladie – qui ne sont même pas malades ? Cela représenterait une erreur astronomique de la part de plusieurs gouvernements et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ne devrions-nous pas nous concentrer sur la possibilité de limiter la propagation par les personnes symptomatiques, au lieu de punir et de restreindre les droits et libertés des personnes qui ne sont pas malades ?

Cette question se pose depuis longtemps. En 2007, Gina Kolata a publié un article dans le New York Times expliquant que la déclaration de pandémies virales sur la base de tests PCR peut se solder par un désastre. L’article était intitulé Faith in Quick Test Leads to Epidemic That Wasn’t. Vous pouvez lire l’article complet ici si le lien précédent ne fonctionne pas.

Comment le CDC manipule les données pour renforcer «l’efficacité des vakx1s»

Les nouvelles politiques permettront de dégonfler artificiellement les «infections révolutionnaires» chez les vakxinés, tandis que les anciennes règles continueront de gonfler le nombre de cas chez les non vakxinés.
Kit Knightly (traduit du Off-Guardian du 18/5)

Le Center for Disease Control (CDC) des États-Unis modifie ses pratiques d’enregistrement des données et de test du «Covid19» afin de donner l’impression que les «vakx1s» expérimentaux de thérapie génique sont efficaces pour prévenir la maladie présumée.

Ils n’ont pas caché cela, annonçant les changements de politique sur leur site Web fin avril / début mai (bien que naturellement sans admettre la motivation assez évidente derrière le changement).

L’astuce consiste à signaler ce qu’ils appellent des «infections par rupture» – c’est-à-dire des personnes qui sont entièrement «vakxinées» contre l’infection Sars-Cov-2, mais qui sont quand-même infectées.

Essentiellement, il a longtemps été démontré que Covid19 – à ceux qui sont prêts à y prêter attention – était un récit de pandémie entièrement créé, basé sur deux facteurs clés:

  1. Tests faussement positifs. Le test PCR non fiable peut être manipulé pour signaler un nombre élevé de faux positifs en modifiant le seuil de cycle (valeur CT)
  2. Nombre de cas gonflé. La définition incroyablement large de «cas Covid», utilisée partout dans le monde, répertorie toute personne qui reçoit un test positif comme «cas Covid19», même si elle n’a jamais éprouvé de symptômes .

Sans ces deux politiques, il n’y aurait jamais eu de pandémie appréciable du tout , et maintenant le CDC a adopté deux changements de politique qui signifient qu’ils ne s’appliquent plus aux personnes vakxinées.

Premièrement, ils abaissent leur valeur CT lorsqu’ils testent des échantillons provenant d ‘«infections par rupture» présumées.

Extrait des instructions du CDC destinées aux autorités sanitaires de l’État sur la gestion des «infections de rupture possibles» (téléchargées sur leur site Web fin avril):

Pour les cas avec une valeur de seuil (Ct) de cycle de RT-PCR connue, ne soumettre que des échantillons avec une valeur de Ct ≤ 28 au CDC pour séquençage. (Le séquençage n’est pas possible avec des valeurs Ct plus élevées.)

Tout au long de la pandémie, les valeurs CT supérieures à 35 ont été la norme, avec des laboratoires du monde entier dans les années 40.

Essentiellement, les laboratoires exécutaient autant de cycles que nécessaire pour obtenir un résultat positif, bien que les experts aient averti que cela était inutile (même Fauci lui-même a dit que tout ce qui dépassait 35 cycles n’avait aucun sens).

Mais MAINTENANT, et uniquement pour les personnes entièrement vakxinées, le CDC n’acceptera que les échantillons obtenus à partir de 28 cycles ou moins. Cela ne peut être qu’une décision délibérée afin de réduire le nombre d ‘«infections par rupture» officiellement enregistrées.

Deuxièmement, les infections asymptomatiques ou légères ne seront plus enregistrées comme «cas de C0ViD».

C’est exact. Même si un échantillon prélevé à la faible valeur CT de 28 peut être séquencé dans le virus supposé être à l’origine de C0ViD19, le CDC ne conservera plus de registres des infections par percées qui n’entraînent pas d’hospitalisation ou de décès .

Depuis leur site Web :

À compter du 1er mai 2021, les CDC sont passés de la surveillance de tous les cas de percée vakxinale signalés à se concentrer sur l’identification et l’enquête uniquement sur les cas hospitalisés ou mortels, quelle qu’en soit la cause. Ce changement contribuera à maximiser la qualité des données recueillies sur les cas de la plus grande importance clinique et de santé publique. Les décomptes de cas précédents, qui ont été mis à jour pour la dernière fois le 26 avril 2021, sont disponibles à titre indicatif uniquement et ne seront pas mis à jour à l’avenir.

Juste comme ça, être asymptomatique – ou n’avoir que des symptômes mineurs – ne comptera plus comme un «cas de C0ViD» mais seulement si vous avez été vakxiné.

Le CDC a mis en place de nouvelles politiques qui ont effectivement créé un système de diagnostic à plusieurs niveaux. Cela signifie qu’à partir de maintenant, les personnes non vakxinées auront beaucoup plus de facilité à être diagnostiquées avec C0ViD19 que les personnes vakxinées.

Considérer…

La personne A n’a pas été vakxinée. Ils sont testés positifs pour Covid en utilisant un test PCR à 40 cycles et, malgré l’absence de symptômes, ils sont officiellement un «cas de covid».

La personne B a été vakxinée. Ils sont testés positifs à 28 cycles et passent six semaines alités avec une forte fièvre. Parce qu’ils ne sont jamais allés à l’hôpital et ne sont pas morts, ils ne sont PAS un cas C0ViD.

La personne C , également vakxinée, est décédée. Après des semaines d’hospitalisation avec une forte fièvre et des problèmes respiratoires. Seul leur test PCR positif était de 29 cycles, donc ils ne sont pas non plus officiellement un cas C0ViD.

Le CDC démontre la beauté d’avoir une «maladie» qui peut apparaître ou disparaître selon la façon dont vous la mesurez.

Pour être clair: si ces nouvelles politiques avaient été l’ approche globale de «C0ViD» depuis décembre 2019, il n’y aurait jamais eu de pandémie du tout.

Si vous les appliquez uniquement aux vakxinés, mais que vous gardez les anciennes règles pour les non vakxinés, le seul résultat possible peut être que les registres officiels montrent que «C0ViD» est beaucoup plus répandu chez ces derniers que chez les premiers.

Il s’agit d’une politique conçue pour gonfler continuellement un chiffre et minimiser systématiquement l’autre.

Qu’est-ce que c’est sinon un acte de tromperie évident et délibéré?

Le CDC modifie les règles de comptabilisation des cas de C0VlD, car de + en + de personnes entièrement vakxinées présentent des résultats positifs

8 Mai 2021, 06:06am

Les CDC modifient les règles de comptabilisation des cas de Covid, car de plus en plus de personnes entièrement vaccinées présentent des résultats positifs

Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (Centers for Disease Control and Prevention) ne signaleront plus que les cas d’infection ayant entraîné une hospitalisation ou un décès. L’agence a également abaissé le seuil de dépistage, mais uniquement pour les personnes entièrement vakxinées.Megan Redshaw – Le 7 mai 2021

Alors que de plus en plus de rapports font état de nouveaux cas de C0VlD, aux États-Unis et ailleurs, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont annoncé aujourd’hui qu’ils allaient modifier la manière dont les nouveaux cas seront signalés, à compter du 14 mai.

Selon un communiqué publié sur le site internet des CDC, l’agence a déclaré que pour aider à « maximiser la qualité des données recueillies sur les cas de la plus grande importance clinique et de santé publique », elle cessera de signaler les cas hebdomadaires d’infection au C0VlD, sauf s’ils entraînent une hospitalisation ou un décès.

Cette nouvelle fait suite à un autre changement, annoncé à la fin du mois dernier, concernant la manière dont les tests PCR doivent être administrés aux personnes entièrement vakxinées.

Ces deux changements entraîneront une diminution du nombre total de notifications de cas de C0VlD aux États-Unis.

Un cas de C0VlD est enregistré si une personne est testée positive pour le SRAS-Cov-2 deux semaines après avoir reçu la dose unique du vakx1 Johnson & Johnson (J&J) ou après avoir reçu les deux doses du vakx1 Moderna ou Pfizer.

Pourquoi les changements sont importants

En avril, les CDC ont publié de nouvelles directives à l’intention des laboratoires recommandant de réduire la valeur de la CT RT-PCR à 28 cycles – mais uniquement pour les personnes entièrement vakxinées qui sont testées pour le C0VlD.

Dans un test RT-PCR – l’étalon-or pour la détection du SRAS-CoV-2 – l’ARN est extrait de l’écouvillon prélevé sur le patient. Il est ensuite converti en ADN, qui est ensuite amplifié.
Le CT, ou seuil de cycle, est une valeur qui apparaît au cours des tests RT-PCR. Une valeur CT correspond au nombre de cycles nécessaires pour amplifier l’ARN viral afin d’atteindre un niveau détectable.

Selon l’Indian Council of Medical Research, un patient est considéré comme positif pour le C0VlD si la valeur CT est inférieure à 35. En d’autres termes, si le virus est détectable après 35 cycles ou avant, le patient est considéré comme positif.

Le Dr Anthony Fauci recommande une valeur CT de 35. À l’échelle mondiale, le seuil accepté pour la valeur CT du C0VlD se situe entre 35 et 40, selon les instructions des fabricants d’équipements de test.

« Si le point de référence devait être abaissé à 24, cela signifierait que les valeurs CT comprises entre 25 et 34 ne seraient pas considérées comme positives« , selon le Conseil indien de la recherche médicale, comme le rapporte The Indian Express. « Un seuil de référence de 35 signifie donc que davantage de patients seraient considérés comme positifs que si le seuil de référence était de 24. »

En d’autres termes, l’abaissement du paramètre seuil de CT peut conduire à l’oubli de personnes infectieuses.

Les CDC ne communiqueront pas de nouveaux chiffres sur les percées cette semaine étant donné que le changement dans la façon dont les CDC signalent les cas de C0VlD est toujours en cours de mise en œuvre et ne prendra pas effet avant le 14 mai, les CDC n’ont pas communiqué de nouveaux chiffres cette semaine.

Selon les derniers chiffres disponibles, au 26 avril, les CDC ont signalé que 9 245 personnes avaient été testées positives au C0VlD au moins deux semaines après avoir reçu leur dernier vakx1 C0VlD. Environ 9 %, soit 835 personnes, ont dû être hospitalisées et 132 sont décédées.

Parmi les patients hospitalisés, 241 étaient asymptomatiques ou souffraient d’une maladie non liée au C0VlD, et 20 décès ont été signalés comme étant asymptomatiques ou non liés à la maladie.

Les derniers chiffres proviennent de 46 États et territoires des États-Unis. On ne sait pas quels sont les quatre États qui n’ont pas soumis de chiffres sur les cas de percée aux CDC.

« Ces données de surveillance sont un instantané et aident à identifier les tendances et à rechercher des signaux parmi les cas de percée vakxinale« , a déclaré le CDC dans un communiqué du 27 avril. « Au fur et à mesure que les CDC et les départements de santé des États se concentrent uniquement sur l’investigation des cas de C0VlD postvakxinal qui entraînent une hospitalisation ou un décès, ces données seront régulièrement mises à jour et affichées chaque vendredi. »

Selon les CDC, le nombre réel de cas de C0VlD post-vakxinal est probablement plus élevé car le système de surveillance est passif et repose sur la déclaration volontaire des départements de santé des États et peut ne pas être complet. En outre, certains cas de C0VlD post- vakxinal ne seront pas identifiés en raison de l’absence de tests. Cela est particulièrement vrai dans les cas de maladie asymptomatique ou légère, ont ajouté les CDC.

Le CDC a déclaré que les vakx1s sont toujours efficaces, notant que les nouveaux cas ne représentent qu’un faible pourcentage de ceux qui ont été vakxinés.

Le pays le plus vakxiné revient à l’isolement, alors que les cas se multiplient.
L’île des Seychelles, qui a entièrement vakxiné la plus grande partie de sa population contre le C0VlD que n’importe quel autre pays du monde, a remis en place des mesures de confinement similaires à celles imposées en 2020, face à la recrudescence des infections.
Selon Bloomberg, 62,2 % de la population adulte de l’île a reçu deux doses de vakx1s C0VlD. Ce chiffre est à comparer aux 55,9 % d’Israël, deuxième nation la plus vakxinée. Sinopharm et Covishield d’AstraZeneca sont les deux vakx1s administrés aux Seychelles.
Lors d’une conférence de presse, les responsables ont donné peu de détails sur ce qui pourrait être à l’origine de la recrudescence des infections, si ce n’est que les gens prennent moins de précautions contre le virus qu’auparavant et que la recrudescence pourrait être due aux célébrations après Pâques.

La Californie connaît des milliers de nouveaux cas de C0VlD
Entre le 1er janvier et le 28 avril, les responsables de la santé publique de Californie ont enregistré 3 084 nouveaux cas de C0VlD, selon le Sacramento Bee.
« À mesure que le temps passe et que davantage de personnes sont entièrement vakxinées, il est probable que d’autres cas post-vakxination se produisent« , a déclaré le département de la santé publique de Californie dans un communiqué.

Les cas post-vakxination sont enregistrés si une personne est testée positive pour le SRAS-Cov-2 deux semaines après avoir reçu le vakxin J&J ou avoir complété la vakxination Moderna ou Pfizer à deux doses.
Le département de la santé de l’État ne disposait pas d’informations sur les hospitalisations et les décès attribués aux cas de.
Le Defender a précédemment fait état de cas de C0VlD post-vakxinal dans les États de Washington, de Floride, de Caroline du Sud, du Texas, de New-York et du Minnesota.

Les écouvillons des tests PCR, seraient-ils conçus pour implanter l’Hydrogel DARPA dans votre corps ???

A prendre avec prudence mais aussi avec attention: Des nouvelles très inquiétantes de la Slovaquie, où le personnel de l’hôpital de Bratislava a mené une enquête sur les tests PCR. Ils ont conclu que les tests de coton-tige, qui sont insérés par le nez jusqu’au cerveau, sont conçus pour implanter le DARPA Hydrogel dans votre corps.

Au vu de toutes les références évoquées sur les recherches de la DARPA* (militaires US) il y a en tous cas, lieu d’être inquiet sur ce que ces fous aux moyens financiers énormes ont comme projets !

L’analyse a été réalisée au cours des mois de novembre 2020 à mars 2021 sur des écouvillons de test en sets: SD Biosensor, Abbott et Nadal, dans un laboratoire hospitalier sans nom à Bratislava, en Slovaquie, pour des raisons de sécurité. Voici le lien vers l’étude complète et approfondie au format PDF. Même un profane comme moi peut le comprendre.

Et quiconque possède au moins un microscope scolaire standard et un microscope de test peut vérifier les informations concernant les écouvillons de test publiés ici. Toutes les informations sur les bâtonnets de test, l’hydrogel DARPA et le lithium sont accessibles au public dans les travaux scientifiques et commerciaux. Voir les liens au bas du document PDF et au bas de cet article.

Il ressort clairement de ces informations que les bâtons de test sont un outil criminel pour le génocide du peuple slovaque. Cependant, il s’agit d’un événement global, réfléchi et soigneusement préparé!

Fibres de nylon creuses à la fin des tests PCR

Écouvillon de test PCR teint à l'iode montre des fibres creuses de nylon sous microscope

Ces extrémités de fibres de forme cassée ont pour tâche de perturber l’épithélium, la couche superficielle de vos muqueuses. En raison de leur cassure à la pointe et de la lixiviation** et de la perte de leur teneur en fibres – c’est DARPA Hydrogel et Lithium – ces substances se retrouvent dans votre corps… près du cerveau! Ces fibres ou fils creux sont brevetés par, vous l’aurez deviné, DARPA.

** Lixiviation: opération qui consiste à faire passer lentement un solvant à travers un produit convenablement pulvérisé et déposé en couche épaisse, pour en extraire un ou plusieurs constituants solubles (parfums, alcaloïdes, etc.).

Fibre ouverte longitudinalement avec extrémité cassée et billes contenant du Darpa Hydrogel

Cette image montre une fibre ouverte longitudinalement avec une extrémité cassée et montre des billes d’hydrogel DARPA. Voir également les autres images dans le PDF pour plus de précisions.
Ce «matériau» reste maintenant après vidange à l’arrière de votre cavité nasale!
Après contact du DARPA Hydrogel avec vos liquides organiques, tels que la salive, ils commencent à former des structures cristallines rectangulaires en quelques minutes . Ceux-ci grandissent et se multiplient. Voir le résultat après 24 heures dans le PDF!

Cible principale: votre glande pinéale

Ces «  cristaux  » d’hydrogel DARPA créent une structure 3D spatiale et se développent à travers les tissus de votre corps.
Les cristaux de DARPA Hydrogel se sont développés sous le microscope dans la direction du champ magnétique… Cela signifie qu’il se développe dans la cavité nasale vers la glande pinéale. La glande pinéale crée un champ magnétique localement plus fort que le champ magnétique externe de la terre.

Vous devez comprendre que la cristallisation naturelle de la salive, sans DARPA Hydrogel, crée des cristaux qui ne forment pas de modèles spatiaux 3D ou de structures rectangulaires; ils ne poussent pas non plus de manière fractale, ils se multiplient donc.

Ivermectine utilisée comme test …

Comme une sorte de test, l’ivermectine a été ajoutée à la cristallisation non naturelle. Cela a provoqué une disparition immédiate, complète et permanente des structures cristallines de l’hydrogel DARPA. L’ivermectine a donc un effet incroyablement fort contre ce que DARPA Hydrogel produit dans nos organismes! L’ivermectine est un médicament antiparasitaire efficace contre la plupart des vers intestinaux, des acariens parasites et des poux.

L’effet de DARPA Hydrogel sur les cellules sanguines humaines

L’ajout de DARPA Hydrogel à partir du bâtonnet de test PCR a entraîné, ne vous inquiétez pas, un massacre total de globules rouges! De plus, DARPA Hydrogel forme des caillots sanguins en quelques secondes. Ces caillots endommagent et obstruent les vaisseaux sanguins!

Résumé

Après avoir délibérément dilaté un mélange de fragments de fibres de nylon dans votre nez, DARPA Hydrogel avec du lithium reste sur la muqueuse nasale, sous les glandes pituitaire et pinéale. Ce mélange réagit immédiatement avec les structures vivantes pour former des cristaux qui ciblent la glande pinéale, qui possède son propre champ électromagnétique. Après tout, l’homme est un être bioélectrique. La forme des cristaux en dit long sur le type d’hydrogel utilisé. Les cristaux sont conducteurs, à cause du lithium qu’ils contiennent! Les cristaux peuvent recevoir le signal de l’émetteur vers la cellule et inversement, envoyer des signaux de la cellule vers l’émetteur.
Ce sont donc en fait des nano-antennes !

Le lithium est un élément (référence au Li) qui n’est pas naturellement présent chez l’homme. Il est hautement toxique pour l’influence de notre glande pinéale! À faibles doses, il bloque la glande pinéale et à des doses plus élevées, il peut la détruire complètement.

L’aluminium et le mercure ont également des effets toxiques sur la glande pinéale, qui sont largement utilisés dans les vaccins. La glande pinéale produit de la sérotonine, également appelée «hormone du bonheur», et elle contrôle le biorythme humain. Cette glande dans notre cerveau est cruciale pour une activité cérébrale plus élevée (créativité, prévoyance) et pour les interactions sociales humaines. Il joue même un rôle dans la santé de notre système immunitaire!

DARPA Hydrogel est une substance artificielle qui crée un transducteur entre le signal électromagnétique et les cellules, tissus et organes vivants. Il convertit un signal électromagnétique d’un émetteur en un signal qu’une cellule vivante comprend et auquel répond.

Pourquoi une photo d’un scarabée?

Dans une expérience DARPA, DARPA Hydrogel a été injecté dans ses structures nerveuses, et le coléoptère est devenu radiocommandable. L’hydrogel et le lithium DARPA bloquent et détruisent la glande pinéale, transformant la personne pensante en un bio-robot contrôlable!

Les vaccins contiennent de l’hydrogel DARPA, du lithium et des informations génétiques

Un hydrogel est un porteur d’une substance active, pour amener cette substance à un endroit précédemment souhaité dans le corps. Les vaccins contiennent de l’hydrogel DARPA, du lithium et des informations génétiques exclusives. L’ARN messager ou l’ARNm n’est pas une nouveauté non testée! Dans l’élevage et pour les sportifs de haut niveau, ce type est utilisé comme dopage depuis des années. Pour les sportifs de haut niveau, ce type de dopage raccourcit considérablement la durée de vie.

Les informations génétiques contenues dans le vaccin conduisent à la création d’un mutant breveté. En d’autres termes, en tant qu’être humain, vous êtes alors breveté et votre ADN est progressivement modifié après la vaccination. Le rêve des forces obscures entourant Bill Gates est de forcer ces mutants à se mettre à niveau régulièrement, tout comme un programme informatique. Et cela se fait, par exemple, grâce à des vaccinations régulières.

PS: L’analyse se termine par:

Par exemple, les fibres de nylon creuses de DARPA Hydrogel remplissent également les bouchons en plastique de la norme FFP2. Cet hydrogel DARPA maintenant, avec des additifs, est lentement libéré de ces masques. Et en respirant, il pénètre dans les voies respiratoires humaines.
Les cotons-tiges utilisés pour les tests PCR sont également composés de fibres de nylon creuses avec DARPA Hydrogel.

Technologies et capacités DARPA | DARPA.mil

* DARPA est la Defense Advanced Research Projects Agency, une agence de recherche et développement du département américain de la Défense. La DARPA est responsable du développement des technologies émergentes destinées aux militaires. Initialement connue sous le nom d’Advanced Research Projects Agency, l’agence a été fondée le 7 février 1958 par le président Dwight D. Eisenhower, États-Unis.

1  https://www.copan.com

2  https://www.DARPA.mil/work-with-us/covid-19

https://www.forbes.com/sites/forbestechcouncil/2020/05/18/technology-in-a-time-of-crisis-how-darpa-and-ai-are-shaping-the-future/?sh = 61f4d3a14e47

https://www.nature.com/articles/s41598-019-48874-y

http://techfinder.stanford.edu/technologies/S18-354_nanoparticle-hydrogels-for

https://asymmetricd.wordpress.com/2018/04/17/7-ambitious-darpa-projects-that-will-help-out-the-military-of-the-future-4/

https://www.inverse.com/article/22675-DARPA-cyborg-insects

https://www.forbes.com/sites/kelseyatherton/2020/08/25/locust-bomb-sniffers-just-the-latest-military-insect-cyborg/?sh=6ca80ccb3efa

https://journalbipolardisorders.springeropen.com/articles/10.1186/s40345-020-00191-4

https://www.thelancet.com/journals/lanpsy/article/PIIS2215-0366(20)30564-2/fulltext

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7307055/

3  Ochorenia endokrinného systému Ochorenia endokrinného systému

https://link.springer.com/chapter/10.1007/978-1-4612-3524-8_27

https://www.semanticscholar.org/paper/PINEAL-RESPONSE-TO-LITHIUM1-DeviRao/b7238dc6e7574492ca62a44b13b36fac4ce7f76b

4  https://www.antidoping.sk/data/files/511_zoznam-zakazanych-latok-2020.pdf

 https://tech.sme.sk/c/4289532/kobylky-ficia-na-droge-stastia.html

La source:

Source : Eindtijdnieuws.com    

Here is a link to full study in PDF format.

Références complémentaires:

Profusa, Inc. Awarded $7.5M DARPA Grant to Develop Tissue-integrated Biosensors for Continuous Monitoring of Multiple Body Chemistries

Injectable Body Sensors Take Personal Chemistry to a Cell Phone Closer to Reality

https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1/Test–PCR-DrButtar:c

Amazing Polly nous fait part de quelques recherches sur le contrôle mental, la magnétosphère, l’optogénétique, la magnetofection, la magnétite, la magnétogénétique et leur utilisation.

Mensonge des autorités sanitaires : l’appel urgent du Dr Bhakdi

L’article de France Soir dans lequel vous pourrez visionner l’interview du dr Bhakdi en anglais ou en doublée en français (comme ci-dessous).

Le Dr Sucharit Bhakdi, médecin spécialiste en infectiologie et microbiologiste, a travaillé en tant qu’enseignant-chercheur pendant de nombreuses années, notamment au « Max Plank Institute », avant de prendre sa retraite. Depuis le début de la crise sanitaire, il appelle à l’éthique de la part des médecins et dénonce les mensonges de l’EMA (Agence européenne du médicament) et de la FDA (Federal drug agency).

En mars 2020, il écrit le livre « Corona fausse alerte ? », où il s’interroge sur le bien-fondé des mesures sanitaires et notamment du confinement. Il y évoque la crise, les tests PCR, le dosage d’hydroxychloroquine et son surdosage dans certaines études. Il parle aussi de la vaccination de masse et des risques liés aux effets secondaires pris par les autorités. Pour lui, les faux tests PCR ont engendré des décisions de politiques sanitaires erronées.

https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/BhakdiFS:8

Le site de Doctor4CovidEthics où vous pourrez trouver d’autres vidéos mais aussi la lettre adressée à l’EMA

Un des écrits du Dr Bhakdi:

« Nous sommes actuellement au milieu de la pandémie de COVID-19 (SARS-CoV-2), une catastrophe mondiale, apparemment causée par un nouveau virus mortel. Le monde entier tente d’y faire face depuis l’avertissement de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), selon laquelle la maladie provoquerait une mortalité de 3,4%. D’un autre côté, trois éminents spécialistes des maladies infectieuses, Wolfgang Wodarg, Sucharit Bhakdi et John PA Ioannidis, affirment que nous interprétons mal les statistiques et que, par ailleurs, nous sommes confrontés à une campagne de désinformation et non à un nouveau virus dangereux. L’OMS compte mal les décès, ignore la nature des personnes infectées et fait fi de tout ce que nous savons sur le coronavirus, de toutes les statistiques sur le rhume et la grippe, auxquelles nous avons accès, en plus des statistiques sur la mortalité de la population. Nous sommes aussi face à la création d’une « fausse image » d’une pandémie mortelle. Malheureusement, les politiciens du monde entier ont réagi à la campagne de l’OMS comme si elle était vraie, créant une peur massive de la population, qui en vient à croire que nous combattons une autre infection mortelle. La peur généralisée augmente considérablement les symptômes des patients de Corona chez l’individu sensible, pour des raisons psychosomatiques : si vous pensez que vous avez une infection mortelle et que tout le monde, y compris votre propre médecin et l’hôpital, réaffirme cette croyance, il est naturel que vous vous sentiez mal. Si vous vous sentez mal à l’hôpital, vous recevrez un traitement. L’hospitalisation et les médicaments peuvent provoquer des infections à l’hôpital, des effets secondaires et augmenter la mortalité en soi. De cette manière, le monde s’est affirmé dans l’illusion d’une pandémie mortelle, qui en premier lieu n’existe même pas. Le COVID-19 a un taux de mortalité d’environ 0,01%, selon les statistiques de décès de nombreux pays. » Le Dr Bakhdi a créé l’association « Doctor4CovidEthics », constituée de plusieurs centaines de scientifiques et médecins, qui se battent contre les expérimentations sur les vaccins faites par l’Agence européenne du médicament (EMA). Ils ont alerté sur le risque de thrombose et expliquent pourquoi l’EMA ne peut pas continuer à faire prendre de tels risques aux personnes avec cette vaccination. Il explique que pour des motifs qui dépassent la science, ces risques sont inacceptables.

A partager de manière urgente et le plus largement possible

Le scandale des tests PCR encore démontré

Ricardo révèle que des tests belges de la société Medakit (sérologie en 5 minutes, antigène en 30 secondes) ont été validés par toute une série d’organismes officiels. Il ne coûte presque rien mais hélas il ne rapporte rien à l’état, aux labos, …. Le directeur de cette société a été arrêté plusieurs fois !

https://laminutedericardo.com/LMDR/scoop-scandale-autour-des-tests-pcr/

L’interview complète du directeur de Medikit, Frédéric Baugniet

Questions sur les écouvillons des tests PCR ?

Est-on en droit de se poser la question sur la nature réelle de ces soi-disant prélèvements de matériel viral ? Il faut garder un esprit critique mais aussi ne pas fuir toute une série d’interrogations légitimes.
Alors ces types de prélèvements nécessaires non seulement pour prélever du matériel viral,
– ou déposer des nanoparticules et dans quel but ?,
– ou faire un relevé massif d’ADN pour constituer des bases de données de génômes humains avec des visées eugéniques ?
– ou vakxiner ?
– ou … ?

https://odysee.com/@EspritQritique:2/le-test-pcr-dr-buttar:3

La dictature des tests

Cette vidéo très pédagogique revient sur ce qu’est réellement un test. On va voir qu’un test ne permet jamais d’avoir la certitude qu’une personne est saine ou malade. Un test est juste un indice qui fait partie de l’ensemble du diagnostic. Regarder uniquement le résultat d’un test RT-PCR ne permet pas de savoir si une personne est malade ou non, ni même de savoir si une personne est contagieuse ou non.
Sachant cela, on verra qu’il est impossible de se servir des résultats de tests RT-PCR pour savoir ce qu’il se passe dans le pays. Au mieux, ça donne une petite idée des tendances. Dans tous les cas, baser les décisions de mesures aussi radicales que le confinement là-dessus, c’est soit une incompréhension totale de ce chiffre, soit une excuse bidon. Les tests sont un élément pour mieux soigner individuellement les gens.
S’en servir de socle pour un politique générale, c’est stupide et dangereux.

La brillante et percutante analyse par le Professeur Dolores Cahill, de la gestion de cette crise

Entrevue à ne pas rater et à visualiser dans son entièreté.

Le professeur Dolores Cahill de formation en biologie moléculaire et en immunologie, est professeur en recherche de transfert de découvertes scientifiques du domaine de la santé dans la société pour aider les gouvernements à définir des politiques. Elle a une expérience de plus de 25 ans notamment au sein de l’Institut Max Planck de Berlin et a été conseillère et coordinatrice au niveau de l’UE sur les aspects de la recherche et de l’innovation et leur implications sur les politiques.
C’est sans concession qu’elle analyse la gestion de tous les aspects de cette crise, au niveau des réelles responsabilités tant du point de vue scientifique que politique.

Quelques extraits parmi beaucoup d’autres très percutants:

… une proportion énorme, significative des publications étaient incorrectes et qu’il y avait de la résistance à l’intérieur de la communauté scientifique et de chercheurs à corriger cela.

Il y a 20 ans j’ai conseillé des gouvernements et j’ai constaté qu’un grand nombre de papiers étaient incorrects et que cela conduisait à des décisions gouvernementales incorrectes.

Il n’y a pas besoin de confinement, de distanciation physique ni de masques alors que des traitements efficaces étaient connus depuis le début.

Pour chaque mois de confinement, chaque personne perd un mois de vie.

Les test PCR devraient être séquencés … et qu’un test PCR positif ne veut rien dire et ne contient probablement pas le Sars Cov2 mais d’autres virus circulant.

En tant que Premier Ministre, vous ne pouvez pas déléguer la décision à un expert. Vous avez un job à faire en tant que 1er ministre et vous avez été élu pour analyser objectivement la situation et prendre toutes les décisions que ce soit le confinement que le port du masque par les enfants et assumer toutes les conséquences de ces décisions.

Reiner Fuellmich, avocats et médecins contre l’arnaque du Covid-19

A ne pas rater!
Reiner Fuellmich, avocat exerçant en Allemagne et aux Etats-Unis et ayant notamment dirigé l’action contre la fraude des moteurs diesel de Volkswagen et dénonçant les fraudes de grands groupes internationaux comme la Deustche Bank. Il dénonce ici la grande fraude de cette épidémie du C0VlD à travers les faux tests PCR, les faux scientifiques, le vakx1 et les actions de grands groupes internationaux contre les institutions nationales.
Voir aussi la vidéo publiée précédemment sur ce blog et annonçant l’action juridique internationale pour crime contre l’humanité qu’il intente.

https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/reiner:9

Add-on: interview de Dr Fuellmich par France Soir ce 21/12/2020

Voir aussi: Allemagne : démission du Pr Aigner, en désaccord avec la science pratiquée

Jusqu’à présent, il n’était pas possible de différencier de manière fiable les virus de la grippe et le SRAS-Cov-2 dans les procédures de test !

Un article du journal autrichien Wochenblick révèle que les tests PCR actuels ne savent pas différencier le Covid de la grippe !!!
Cela confirme d’autres articles de ce blog révélant que cette crise est basée sur du vent de chiffres faux.

En voici la traduction:

Pas possible jusqu’à présent? Un nouveau test devrait différencier le corona de la grippe

il y a 2 jours

La société française de diagnostic Biomerieux est fière d’avoir reçu la certification pour de nouveaux tests corona. Cela devrait bientôt permettre de différencier le virus corona de la grippe, rapporte l’ORF . Cela soulève la question: jusqu’à présent, n’avons-nous même pas été en mesure de distinguer corona des virus de la grippe?

Vous avez bien entendu: jusqu’à présent, il n’était pas possible de différencier de manière fiable les virus du rhume et le SRAS-Cov-2 dans les procédures de test. Déjà le 24 avril, le gourou controversé de la couronne allemande et maintenant playboy Dr. Christian Drosten dans un podcast sur les réactions croisées qui pourraient rendre une telle distinction impossible.

Les virus prédécesseurs provoquent des réactions croisées

En raison des virus prédécesseurs du virus corona, qui circulent depuis longtemps, de nombreuses personnes devraient déjà avoir des cellules immunitaires contre lui. Dans une étude, Drosten a constaté que « 34 pour cent des patients ont des cellules T réactives [contre le SRAS-CoV-2 ], même si ces patients n’ont jamais eu de contact avec le virus du SRAS-2 ».

Apparemment, il n’a pas été possible pour la médecine de différencier le virus corona de la grippe conventionnelle (grippe). Sinon, le nouveau test de la société française ne serait pas une nouveauté.

L’entreprise promet des diagnostics meilleurs et plus rapides

Le directeur de la recherche de la société, François Lacoste, a déclaré que les tests « joueraient un rôle clé dans le début de l’hiver et de la saison grippale » . Parce que le test enregistre également d’autres maladies respiratoires avec des symptômes similaires.  À l’avenir, le test devrait être disponible dans tous les pays qui reconnaissent la certification «CE».

À l’aide d’un écouvillon nasal, les kits de test peuvent détecter les types de grippe A et B, Covid-19 et deux autres maladies virales.

Un nouveau test soulève des questions sur les tests de masse

Si, jusqu’à présent, les possibilités de différenciation entre les virus grippaux et corona n’ont pas été suffisantes, la question se pose de savoir ce qui a été déterminé dans les tests de masse (qui sont devenus le programme minoritaire) et si le nombre extrêmement petit de personnes qui ont été testées vraiment positives étaient réellement positives pour corona et n’a pas été testé pour les virus grippaux.

A rapprocher de l’article publié dans ce blog déjà le 5 septembre dernier intitulé Le laboratoire Roche crée un test antigénique pour différencier la grippe et le coronavirus/. Il s’agit probablement du même test ?

Toujours à propos de la non fiabilité des tests PCR, voir aussi un article de France Soir évoquant  qu’un tribunal portugais a jugé le 11 novembre dernier que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (totalement boycotté par la presse !).

Le scandale du coronavirus éclate en Allemagne. Faux positifs et test PCR Drosten

Un article de GlobalResearch de William Engdahl traduit pour France Soir challenge l’approche allemande de la gestion de la crise.

Voici la copie de cet article:

Le modèle allemand largement salué du régime d’Angela Merkel pour faire face à la pandémie de COVID-19 est maintenant englouti dans une série de scandales potentiellement dévastateurs allant au cœur même des tests et des conseils médicaux utilisés pour déclarer des fermetures économiques draconiennes et ensuite, vaccinations obligatoires de facto. Les scandales impliquent un professeur au cœur du groupe consultatif corona de Merkel. Les implications vont bien au-delà des frontières allemandes jusqu’à l’OMS elle-même et ses recommandations mondiales.

L’ensemble des arguments en faveur du confinement d’urgence mandaté par l’OMS des entreprises, des écoles, des églises et d’autres arènes sociales dans le monde repose sur un test introduit, étonnamment tôt, dans la saga des coronavirus de Wuhan, en Chine.

Le 23 janvier 2020, dans la revue scientifique Eurosurveillance , du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, le Dr Christian Drosten, ainsi que plusieurs collègues de l’Institut de virologie de Berlin à l’hôpital Charite, ainsi que le chef d’une petite société de biotechnologie berlinoise , TIB Molbiol Syntheselabor GmbH, a publié une étude affirmant avoir développé le premier test efficace pour détecter si une personne est infectée par le nouveau coronavirus identifié les premiers jours à peine à Wuhan. L’article de Drosten était intitulé «Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel» (Eurosurveillance 25 (8) 2020).

La nouvelle a été immédiatement approuvée par le directeur général corrompu de l’OMS, Tedros Adhanom , le premier médecin non médical à diriger l’OMS. Depuis lors, le test de dépistage du virus soutenu par Drosten, appelé test en temps réel ou RT-PCR, s’est propagé via l’OMS dans le monde entier, en tant que protocole de test le plus utilisé pour déterminer si une personne pourrait avoir le COVID-19, la maladie.

Le 27 novembre, un groupe très respecté de 23 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à  Eurosurveillance  pour retirer l’article de Drosten du 23 janvier 2020. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable «examen par les pairs».

Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique «fatale» et de failles dans la promotion de leur test.

Pour commencer, comme le révèlent les scientifiques critiques, le document qui a établi le test Drosten PCR pour la souche de coronavirus de Wuhan qui a ensuite été adopté avec une hâte indécente par le gouvernement Merkel avec l’OMS pour une utilisation mondiale – ce qui a entraîné de graves confinements dans le monde et une catastrophe économique et sociale – n’a jamais fait l’objet d’un examen par les pairs avant sa publication par la revue Eurosurveillance. Les critiques soulignent que :

«L’article de Corman-Drosten a été soumis à  Eurosurveillance  le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne.»

Plus incroyable, le protocole de test Drosten, qu’il avait déjà envoyé à l’OMS à Genève le 17 janvier, a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan, avant même que l’article ne soit publié .

Comme le soulignent les auteurs critiques, pour un sujet si complexe et important pour la santé et la sécurité dans le monde, un «examen par les pairs» sérieux de 24 heures par au moins deux experts dans le domaine n’est pas possible. Les critiques soulignent que Drosten et son co-auteur, le Dr Chantal Reusken, n’ont pas révélé de conflit d’intérêts flagrant. Tous deux étaient également membres du comité de rédaction d’Eurosurveillance. Plus loin, comme le rapportent la BBC et Google Statistics, le 21 janvier, il y avait un total mondial de 6 décès attribués au virus de Wuhan. Ils demandent : «Pourquoi les auteurs ont-ils assumé un défi pour les laboratoires de santé publique alors qu’il n’y avait aucune preuve substantielle à ce moment-là pour indiquer que l’épidémie était plus répandue qu’on ne le pensait initialement ?» Un autre co-auteur de l’article Drosten qui a donné une couverture de crédibilité scientifique apparente à la procédure de PCR Drosten était le chef de la société qui a développé le test commercialisé aujourd’hui, avec la bénédiction de l’OMS, par centaines de millions, Olfert Landt, de tib-MOLBIOL à Berlin, mais Landt n’a pas révélé ce fait pertinent dans le document Drosten.

Certainement rien de suspect ou d’incorrect jusqu’ici.  Il serait pertinent de savoir si Drosten, le conseiller scientifique en chef de Merkel pour COVID-19, le «Tony Fauci» allemand de facto, obtient un pourcentage sur les ventes de chaque test vendu par Tib-Molbiol dans leur accord de marketing mondial avec Roche.

Faux positifs ?

Depuis fin janvier 2020, les médias grand public du monde nous inondent tous de mises à jour effrayantes toutes les heures sur «le nombre total de coronavirus infectés». Habituellement, ils ajoutent simplement chaque augmentation quotidienne à un total mondial de «cas confirmés», actuellement plus de 66 millions. Alarmant, mais pour le fait que, comme le soulignent Pieter Borger et ses collègues collaborateurs scientifiques, les «cas confirmés» sont un nombre insensé. Pourquoi ?

L’examen externe par des pairs du test RT-PCR pour détecter le SRAS-CoV-2 révèle 10 failles scientifiques majeures au niveau moléculaire et méthodologique : conséquences des faux résultats positifs

Le rapport Borger identifie ce qu’ils appellent «dix problèmes mortels» dans le journal Drosten de janvier dernier. Nous reprenons ici le plus flagrant qui puisse être facilement saisi par la plupart des profanes.

Drosten & co. a donné des séquences d’amorce et de sonde non spécifiées déroutantes. Les critiques notent : «Ce nombre élevé de variantes est non seulement inhabituel, mais il est également très déroutant pour les laboratoires. Ces six positions non spécifiées pourraient facilement aboutir à la conception de plusieurs séquences d’amorces alternatives différentes qui ne se rapportent pas au SARS-CoV-2. la description confuse et non spécifique dans l’article de Corman-Drosten ne convient pas comme protocole opérationnel standard. Ces positions non précisées auraient dû être conçues sans équivoque. » Ils ajoutent que : 

«La RT-PCR n’est pas recommandée pour le diagnostic primaire de l’infection. C’est pourquoi le test RT-PCR utilisé en routine clinique pour la détection du COVID-19 n’est pas indiqué pour le diagnostic du COVID-19 sur une base réglementaire  . »

Cycles d’amplification

Mais ce qui est encore plus accablant pour Drosten, c’est le fait qu’il n’a mentionné nulle part qu’un test soit positif ou négatif, ni ce qui définit un résultat positif ou négatif ! Le rapport Borger note :

«Ces types de tests de diagnostic virologique doivent être basés sur un SOP (Standard Operational Protocol), comprenant un nombre validé et fixe de cycles PCR (valeur Ct) après lequel un échantillon est jugé positif ou négatif. 

La  valeur  Ct maximale raisonnablement fiable est de 30 cycles. Au-dessus d’un Ct de 35 cycles, il faut s’attendre à un nombre rapidement croissant de faux positifs. Des études scientifiques montrent que seuls les virus non infectieux (morts) sont détectés avec des valeurs de Ct de 35. » .

L’OMS et Drosten recommandent un Ct de 45 cycles et, semble-t-il, actuellement, les responsables de la Santé allemands le font également. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les «positifs» PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles il ne reste plus que 3% de vrai positifs ! Ils notent, «un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 est  scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30). Tout cela doit être communiqué très clairement.

C’est une erreur importante que l’article de Corman-Drosten ne mentionne pas la valeur Ct maximale à laquelle un échantillon peut être considéré sans ambiguïté comme un résultat de test positif ou négatif. Cette limite de seuil de cycle importante n’est pas non plus spécifiée dans les soumissions de suivi à ce jour. Les auteurs ajoutent :

«Le fait que ces produits de PCR n’aient pas été validés au niveau moléculaire est une autre erreur frappante du protocole, rendant  tout test basé sur celui-ci inutile en tant qu’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2. »  

En clair, tout l’édifice de la fondation Gates, du gouvernement Merkel, de l’OMS et du WEF ainsi que le cas des vaccins de facto forcés non testés, repose sur les résultats d’un test PCR pour le coronavirus qui ne vaut pas une « cacahouète ». Le test de Drosten et de l’OMS est plus ou moins de la merde scientifique.

Une absence de preuve de son doctorat ?

Cette critique dévastatrice de vingt-trois scientifiques de premier plan, y compris des scientifiques titulaires de brevets liés à la PCR, à l’isolement et au séquençage de l’ADN, et d’un ancien scientifique en chef de Pfizer, est accablante, mais ce n’est pas le seul problème auquel le professeur Christian Drosten est confronté aujourd’hui. Lui et les fonctionnaires de l’Université Goethe de Francfort, où il affirme avoir obtenu son doctorat en médecine en 2003, sont accusés de fraude au diplôme.

Selon le Dr Markus Kühbacher, un spécialiste enquêtant sur la fraude scientifique telle que le plagiat de thèse, la thèse de doctorat du Dr Drosten devait être déposée à une certaine date auprès des autorités académiques de son université, qui signent ensuite un formulaire juridique, « Revisionsschein », avec une signature authentique, un cachet de l’Université et la date, avec le titre de la thèse et l’auteur, afin qu’elle soit envoyée aux archives de l’Université. Trois exemplaires originaux de la thèse devraient y être déposés.

Kühbacher accuse l’Université de Goethe d’être coupable de dissimulation en affirmant, à tort, que le Revisionsschein  (formulaire juridique) de Drosten  étaient au dossier. Le porte-parole de l’université a ensuite été contraint d’admettre qu’il n’avait pas été déposé, du moins pas localisable par eux. De plus, sur les trois copies de dossier obligatoires de sa thèse de doctorat, très pertinent compte tenu de l’importance mondiale du rôle de Drosten dans la gestion de la crise de coronavirus, deux copies ont «disparu» et la copie unique restante est endommagée par l’eau. Kühbacher dit que Drosten va probablement faire face à des poursuites judiciaires un titre de doctorat frauduleux.

De plus, le médecin allemand bien connu et critique, Dr Wolfgang Wodarg a engagé une procédure judiciaire pour calomnie et diffamation contre deux personnes responsables du site de média allemand, Volksverpetzer.de. Le Dr Wodard demande 250 000 € de dommages et intérêts pour diffamation au site ainsi qu’à d’autres médias allemands, affirmant qu’ils ont vicieusement et sans preuve, diffamé Wodarg, le qualifiant de « covid-denier », le qualifiant à tort d’extrémiste de droite (il est un ancien député du Parti social-démocrate depuis toujours) et de nombreuses autres accusations fausses et  préjudiciables .

L’avocat du Dr Wodarg est le Dr Reiner Fuellmich avocat germano-américain bien connu. Dans ses accusations contre la partie adverse, Fuellmich cite intégralement les accusations portées contre le test Drosten pour le coronavirus du Dr Pieter Borger et al notées ci-dessus. Cela oblige en fait les défendeurs à réfuter l’article de Borger. C’est une étape majeure sur la voie de la réfutation de toute la fraude au test PCR COVID-19 de l’OMS. Déjà une cour d’appel à Lisbonne, au Portugal, a statué le 11 novembre que le test PCR de Drosten et de l’OMS n’était pas valide pour détecter une infection à coronavirus et qu’il n’était pas fondé d’ordonner des verrouillages partiels ou à l’échelle nationale.

Si l’enjeu n’était pas si mortel pour l’humanité, tout serait de nature à être considéré comme une comédie absurde.  Le tsar de la santé mondiale, le chef de l’OMS (Organisation mondiale de la Santé) Tedros n’est pas un médecin mais i conseille le gouvernement Merkel sur les mesures COVID-19. L’OMS est pour sa part financée en grande partie par la fondation Gates.

Le gouvernement Merkel utilise le test PCR de Drosten et Drosten comme un expert «avec beaucoup de sagesse» pour justifier d’imposer des mesures aux conséquences économiques les plus draconiennes hors temps de guerre. Son ministre de la Santé, Jens Spahn, est un ancien banquier qui n’a pas de diplôme de médecine, seulement un passage en tant que lobbyiste pour Big Pharma. Le chef du CDC allemand, appelé Institut Robert Koch, Lothar Wieler, n’est pas un virologue, mais un médecin animalier, Tierarzt. 

Avec cette équipe, les Allemands voient leur vie détruite par des confinements et des mesures sociales jamais imaginés auparavant. Il y a la science et puis il y a la science. Cependant, toute la «science» n’est pas valable.

Les Allemands avec 3 fois moins de décès que la France, sont bien plus critiques de la gestion de la crise que ne le sont les Français.  Un reveil attendu en France ?

Quel rôle l’Institut Pasteur a-t-il joué dans le contrôle de l’épidémie en France ?

Une analyse très documentée de France Soir sur le rôle de l’Institut Pasteur depuis le début de cette crise.
A mettre en relation avec les analyses du Professeur Fourtillan qui a déposé plainte contre l’institut Pasteur, suite à laquelle il a été interné de force dans un hôpital psychiatrique (affaire à suivre).

Début de l’article:

Lorsque les chercheurs de l’Institut Pasteur ont été questionnés sur la possibilité que le SARS-Cov2 soit un virus manipulé, ils ont répondu que si c’était le cas des vestiges de manipulations devraient se retrouver dans le génome. Ils entendaient par-là que, dans le cas d’un accident non intentionnel de laboratoire, la présence de sites de clivage d’enzymes de restriction devrait révéler la manipulation. Cependant, comme nous l’avons montré dans la première partie de ce chapitre qu’il est tout à fait possible depuis le début des années 2000 de manipuler des coronavirus entiers sans laisser de trace. Ils sont restés très discrets également sur la nouvelle technique de manipulation génétique CRISPR-Cas9. Elle permet ce que l’on appelle à présent l’édition de génome, tant la comparaison avec les logiciels qui permettent la modification rapide et simple d’un texte est tentante. Ils ne pouvaient pas l’ignorer. D’ailleurs, notons qu’ Emmanuelle Charpentier est un peu l’enfant prodige de l’Institut Pasteur puisqu’elle y a poursuivi des recherches doctorales entre 1992 et 1995.

Tout un chacun a pu constater le silence assourdissant de l’Institut Pasteur depuis le début de l’épidémie et les quelques réponses éparses obtenues sur la nature et l’origine du virus n’ont été que trop évasives et passablement trompeuses. Par exemple, l’affirmation que le virus SARSCov2 était très distinct du SARS-Cov est de toute évidence une contre-vérité sur le plan de la structure de son génome, de son organisation spatiale et de son mode de fonctionnement.

Il n’est pas concevable, qu’étant donné son rôle dans la détection et la prévention des épidémies, l’Institut Pasteur n’ait pas été au courant très tôt, dès les mois de décembre et janvier, du danger de cette épidémie. Pourquoi les gens de Pasteur n’ont-ils pas alerté les autorités françaises ou tenu une conférence de presse publique dès le courant janvier ?

Selon son site internet, l’Institut Pasteur abrite la « Cellule d’Intervention Biologique d’Urgence (CIBU), été créée fin 2002 sous l’impulsion du Directeur Général de la Santé (DGS) et du Directeur Général de l’Institut Pasteur, afin de répondre aux « urgences biologiques spécialisées ». Ces urgences peuvent être des épidémies, des accidents ou une utilisation potentielle d’armes d’origine biologique, toutes mettant en péril la santé publique. » Les missions de la CIBU incluent :

– mobiliser à l’international de l’expertise en cas d’urgence représentant une menace pour la sécurité sanitaire en France ;
– informer sans délai l’InVS en cas de détection de tout phénomène inhabituel susceptible d’avoir un impact sur la santé publique.

Que faisait son directeur, Jean-Claude Manuguerra, au cours du mois de janvier 2020, quand il a été mis au courant de la situation à Wuhan ? On l’a malheureusement vu déclaré le 21 janvier 2020 sur Euronews à propos de l’épidémie en Chine : «… c’est quelque chose de nouveau mais qui pour l’instant n’est pas plus préoccupante que ça. Il faut juste ne pas louper le coche pour endiguer ce phénomène épidémique …». S’il y avait une personne en France qui connaissait le danger de laisser pénétrer en France le SARS-Cov2 c’était bien lui.  La séquence du premier isolat WH-Human 1 du coronavirus (appelée aussi 2019-nCoV) et son génome complet  (29,903 nt) avait été déposé le 14 janvier 2020 dans GenBank, sous code d’accession MN908947 avec la définition « Génome complet de l’isolat du virus WH-Human 1 de pneumonie du marché aux fruits de mer de Wuhan ». Donc, la séquence du  virus avait forcément été analysée par les équipes de l’Institut Pasteur. Elles savaient à quel point le motif de liaison (RBM) de la protéine S était proche de celui du SARS-Cov de 2002-2003 ainsi que sa polymérase RdRp (96,5% d’identité) signant la dangerosité du virus. De plus, les autorités chinoises annonçaient le caractère contagieux du virus le 20 janvier, avec 1 mois de retard, alors que les autorités de Wuhan connaissaient le caractère contagieux depuis la mi-décembre (chapitre 1). Le 24 janvier il était publié dans le Lancet que le virus était transmissible de personne à personne. Le directeur de la CIBU savait donc le 21 janvier, lors de son interview sur Euronews, que ce nouveau virus était de type SARS-Cov avec tout ce que cela implique. Qu’a-t-il fait pour informer et alerter les pouvoirs publiques avec conviction durant la dernière semaine de janvier et tout le mois de février ?

Dans la section qui suit nous découvrons, qu’en compagnie de 15 autres chercheurs à l’Institut Pasteur, il est co-inventeur d’un brevet sur les vakx1s contre les virus du type SARS-Cov. Ce brevet prouve que Pasteur s’était préparé depuis 2003 à l’éventualité de la ré-émergence d’un virus similaire au SARS-Cov. Ils ont procédé à des milliers d’expériences pour comprendre comment faire des tests de dépistage et des vakx1s contre ce type de virus émergeant. Ils ont breveté le résultat de toutes ces expériences pour être en mesure, le cas échéant, de tirer les bénéfices financiers potentiels d’une épidémie de SARS-Cov qui ne serait pas maîtrisée à temps, nécessitant dépistage et vaccination massive. Cela, les dispensait-il de leur rôle d’alerte des pouvoirs publiques ?

Les brevets de portée mondiale de l’Institut Pasteur

L’Institut Pasteur détient depuis 2005 des brevets de portée mondiale (EP 1 694 829 B1 et US 2007/0128224 A1) sur les coronavirus à SARS. Ces brevets qui courent au moins jusqu’en 2027 ont pour but d’explorer et de décrire le maximum de caractéristiques de façon à établir des vakx1s ou des tests de dépistage sur des coronavirus de type SARS-Cov. Ces brevets se basent sur le séquençage d’un isolat complet du virus du SARS-Cov récupéré à la Clinique Française de Hanoï en février 2003. Cela était parfaitement légitime pour étudier la confection de vaccin contre l’éventualité d’une épidémie de coronavirus à SARS du type de celle de 2002-2003 dans les années à venir. Cependant, soyons clairs, le seul but d’un brevet est l’argent qui est le facteur numéro 1 de survie pour les instituts de recherche. Mais cela amène une grande confusion, et permet d’introduire le biais du conflit d’intérêt dans un domaine particulier de la santé publique (les épidémies) qui devrait en être intégralement exempt

Lire la suite de l’article complet sur France Soir

Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’arrêt de toutes les études sur la vaccination contre la corona et appellent à cosigner la pétition

Le Dr Michael Yeadon, ancien chef du département de recherche sur les maladies respiratoires chez Pfizer, et le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue et ancien chef du département de santé publique, ont déposé le 1er décembre 2020 auprès de l’EMA, l’Agence européenne des médicaments responsable de l’approbation des médicaments à l’échelle de l’UE, une demande de suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin CoV-2 contre le SRAS, en particulier l’étude BioNtech/Pfizer sur le BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42).

Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent que, pour la protection de la vie et de la santé des volontaires, les études ne soient pas poursuivies tant que l’on ne disposera pas d’un plan d’étude adapté pour répondre aux préoccupations importantes en matière de sécurité exprimées par un nombre croissant de scientifiques de renom à l’encontre du vaccin et du plan d’étude.

D’une part, les pétitionnaires demandent qu’en raison du manque connu de précision du test PCR, une étude sérieuse doit utiliser un séquençage dit de Sanger. C’est la seule façon de faire des déclarations fiables sur l’efficacité d’un vaccin contre le Covid-19. Sur la base des nombreux tests PCR de qualité très différente, ni le risque de maladie ni un éventuel bénéfice du vaccin ne peuvent être déterminés avec la certitude nécessaire, c’est pourquoi tester le vaccin sur l’homme est en soi contraire à l’éthique.

En outre, ils exigent qu’il soit exclu, par exemple par le biais de l’expérimentation animale, que des risques déjà connus par des études antérieures, qui découlent en partie de la nature des virus corona, puissent être réalisés. Les préoccupations portent notamment sur les points suivants:

La formation d’anticorps dits “non neutralisants” peut entraîner une réaction immunitaire exagérée, surtout lorsque la personne testée est confrontée au vrai virus “sauvage” après la vaccination. Cette amplification dite dépendante des anticorps, l’ADE, est connue depuis longtemps grâce à des expériences sur les vaccins corona chez les chats, par exemple. Au cours de ces études, tous les chats qui avaient initialement bien toléré la vaccination sont morts après avoir attrapé le virus sauvage.

Les vaccinations devraient produire des anticorps contre les protéines de pointe du SRAS-CoV-2. Cependant, les protéines de pointe contiennent également des protéines homologues de la syncytine, qui sont essentielles à la formation du placenta chez les mammifères tels que l’homme. Il doit être absolument exclu qu’un vaccin contre le SRAS-CoV-2 déclenche une réaction immunitaire contre la syncytine 1, car sinon une stérilité de durée indéterminée pourrait entraîner la vaccination des femmes.

Les vaccins à ARNm de BioNTech/Pfizer contiennent du polyéthylène glycol (PEG). 70% des personnes développent des anticorps contre cette substance – cela signifie que de nombreuses personnes peuvent développer des réactions allergiques, potentiellement mortelles, à la vaccination.

La durée beaucoup trop courte de l’étude ne permet pas une estimation réaliste des effets tardifs. Comme pour les cas de narcolepsie après la vaccination contre la grippe porcine, des millions de personnes en bonne santé seraient exposées à un risque inacceptable si une autorisation d’urgence était accordée et la possibilité d’observer les effets tardifs seulement à ce moment-là.Néanmoins, BioNTech/Pfizer a apparemment soumis une demande d’autorisation d’urgence le 1er décembre 2020.

APPEL À L’AIDE : le Dr Wodarg et le Dr Yeadon demandent au plus grand nombre possible de citoyens de l’UE de cosigner leur pétition en envoyant le courriel préparé ici à l’EMA.

Nachtrag: Wegen teilweiser Überlastung der Server hier der Inhalt der E-Mail und die Kontaktadressen zum späteren Selbst-Versenden: 

An: press@ema.europa.eu; petitionEMA@corona-ausschuss.com

Betreff: Co-signing the petition of Dr. Wodarg, Germany, and Dr. Yeadon, UK (submitted on 1-Dec-2020)

Dear Sir or Madam, I am hereby co-signing the petition of Dr. Wodarg and Dr. Yeadon to support their urgent request to stay the Phase III clinical trial(s) of BNT162b (EudraCT Number 2020-002641-42) and other clinical trials. The full text of the petition of Dr. Wodarg and Dr. Yeadon can be found here: https://2020news.de/wp-content/uploads/2020/12/Wodarg_Yeadon_EMA_Petition_Pfizer_Trial_FINAL_01DEC2020_EN_unsigned_with_Exhibits.pdf I hereby respectfully request that EMA act on the petition of Dr. Wodarg and Dr. Yeadon immediately. Regards 

Pour lire l’article sur le site 2020News.de…

Le Dr Pascal Sacré livre son analyse en toute liberté.

Le Dr Pascal Sacré, licencié pour s’être exprimé sur la non fiabilité des tests PCR notamment, livre toutes ses opinions lors d’une interview pour Kairos Presse. Il s’y exprime sur la gestion générale de la médecine, les tests, la fausse épidémie du Covid, les vaks1, la corruption de la médecine et des gouvernants, ….

Suite à cet interview, le Docteur Sacré a lancé un appel à la désobéissance civile dans la vidéo Facebook suivante:

https://fb.watch/23Qab48cZL/

Le confinement en question : des professionnels de santé posent un regard différent

Un montage vidéo d’Eric Remacle

La preuve de l’immunité collective en quelques graphiques

Lettre Santé Corps Esprit de Xavier Bazin du 25 novembre 2020.

Cher(e) ami(e) de la Santé,
Il n’y a strictement plus aucune bonne raison de confiner, en FranceLe confinement cause des dégâts économiques majeurs et des ravages sur la santé mentale des Français.Les avantages ? Il n’y en a aucun, en ce moment.Sur LCI, le journalise David Pujadas a eu l’honnêteté de l’expliquer clairement.Regardez la vidéo, elle dure 2 minutes et en vaut la peine :https://www.youtube.com/watch?v=Po1cGksY40c
Son premier argument est celui-ci: le pic des contaminations a eu lieu le 2 novembre, soit le 4ème jour seulement du confinement. Impossible, donc, que la baisse puisse être causée par le confinement, qui prend toujours plus de temps à faire son œuvre.Il suffit de regarder ce qui s’est passé en mars-avril dernier : le confinement n’a absolument pas enrayé l’épidémie, qui a mis encore plus de 2 semaines à atteindre son pic :
Mars avril
D’ailleurs, déjà au printemps dernier, il n’y avait pas de preuve que la décrue était seulement liée au confinement. Car la Suède a aussi atteint son pic épidémique à peu près au même moment, en avril, alors qu’elle a refusé de confiner sa population ! En voici la preuve, avec le nombre de morts de mars à juillet en Suède :
Nombre de morts Suède
Donc, ce n’est pas le confinement qui explique le recul spectaculaire du nombre de cas et d’hospitalisations. Du coup, certains au gouvernement aimeraient nous faire croire que cette décrue est liée au couvre-feu. C’est assez étrange d’imaginer qu’une mesure aussi « faible » pourrait avoir un impact aussi fort. Mais si vous aviez un doute, sachez que la baisse a été la même dans les communes frappées par le couvre-feu et dans celles qui n’étaient pas concernées !
Donc, le couvre-feu n’y est pour rien. Alors pourquoi cette baisse ? D’où vient-elle ? Et d’ailleurs, pourquoi étions-nous nombreux à l’avoir anticipée, en disant que reconfiner était inutile ?
La raison tient en deux mots : immunité collective. Regardez ce qui se passe dans le grand Est et en Ile de France. Si cette deuxième épidémie ne m’a jamais inquiétée, c’est parce que j’avais les yeux rivés sur ce qui se passait en Ile de France et dans le Grand Est, les deux régions les plus touchées en mars-avril. Or depuis le début de l’automne, je vois que les chiffres sont bons, dans ces deux régions. La semaine dernière, le Canard Enchaîné a fini par publier un article sur ce phénomène :« En octobre, avant même le couvre-feu et le reconfinement, les experts avaient constaté que le nombre d’infections et d’hospitalisations augmentait moins vite en Ile de France que presque partout ailleurs sur le territoire. La capitale et sa banlieue affichaient alors des taux d’incidence du virus presque deux fois inférieurs à ceux de Lyon, des deux Savoie ou de Saint-Etienne, qui avaient été pratiquement épargnés au printemps ».
Et le journal enfonce le clou :« Le phénomène s’est révélé plus frappant encore dans Paris intra-muros, qui, avec la Seine-Saint-Denis, a été la zone francilienne la plus touchée en mars et en avril.La baisse atteignait déjà 20 % le 2 novembre, et le phénomène continue depuis dans la ville la plus dense d’Europe, terrain de jeu idéal pour le coronavirus.La diminution, en revanche, apparaît plus faible au sein de la grande couronne moins peuplée et moins atteinte au printemps. »
Sans immunité collective, Paris, dense et très peuplée, aurait dû être lourdement frappée par la deuxième épidémie. Et pourtant, ce n’est pas le cas.

A l’inverse, les départements d’Ile-de-France moins touchés par l’épidémie au printemps auraient dû être davantage épargnés… et c’est le contraire qui s’est produit !Selon le Canard enchaîné, même le Pr Delfraissy, le très pessimiste président du Conseil scientifique, commence à envisager sérieusement l’hypothèse de l’immunité collective.
Mais pour moi, c’est plus qu’une hypothèse : c’est la seule explication possible à ce qu’on observe.
Regardez bien la forme des courbes d’hospitalisations en Ile de France et le grand Est, entre mars et aujourd’hui :
A gauche, on voit le pic épidémique de mars-avril, et à droite, une vague trois fois moins haute à l’automne. C’est le signe clair que ces deux régions largement touchées au printemps sont désormais relativement protégées contre une explosion des hospitalisations. Maintenant, regardez ce qui s’est passé en Rhône-Alpes et PACA, deux régions beaucoup moins touchées au printemps : c’est l’inverse !
Dans ces deux régions épargnées au printemps, la deuxième épidémie a causé deux fois plus d’hospitalisations que la première ! On ne peut pas avoir meilleure preuve de l’immunité collective.
Et la bonne nouvelle, c’est que le virus a désormais circulé largement, partout en France. Donc si on a une troisième épidémie en janvier prochain ou en octobre 2021, l’impact à attendre dans tout le pays sera logiquement encore plus faible que celui, très modéré, qu’on observe en ce moment en Ile-de-France et dans le grand Est. Même phénomène entre la Suède et la République Tchèque.
On observe les mêmes courbes inversées entre la Suède, qui n’a jamais confiné, et la République tchèque, qui s’est barricadée en mars-avril. En Suède, la deuxième épidémie fait peu de morts en ce moment, parce que l’immunité collective a commencé à jouer.
En République tchèque, au contraire, le pays a réussi à étouffer dans l’œuf l’épidémie au printemps, en fermant radicalement ses frontières… mais n’a rien pu faire à l’automne :
Vous noterez au passage qu’en Suède comme en République tchèque, la décrue de l’automne a commencé à peu près au même moment, comme dans tous les pays européens. Alors que ces pays ont des politiques de confinement et de masque très différentes ! Confinement ou pas confinement, l’épidémie est en décrue partout en Europe.
Même chose en Belgique : là-bas, la décrue est spectaculaire, et ne peut pas être liée au confinement, qui a été décidé après le pic épidémique :
Belgique
Et on observe le même phénomène dans les grandes capitales européennes, à Londres ou Rotterdam.Conclusions : RÉ-OUVRONS LE PAYS, VITE ! Tout ceci montre deux choses assez clairement : Les mesures comme le confinement ne peuvent pas grand-chose sur la dynamique de l’épidémie. Il est donc inutile de confiner, et il faut arrêter le massacre tout de suite.
Et surtout, on peut être très optimiste pour la suite ! Avec cette deuxième épidémie, les régions françaises comme PACA et Rhône-Alpes sont désormais au moins aussi bien « protégées » que l’Ile de France ou le Grand Est ! Cela veut dire qu’en cas de recrudescence prochaine, le système hospitalier ne sera pas engorgé – comme il a bien résisté cet automne à Paris, en Seine-Saint-Denis ou en Alsace. Il n’y a donc plus AUCUNE raison de priver les Français de leurs libertés fondamentales. Et il n’y a plus AUCUNE raison de vouloir les vacciner massivement, encore moins de force. Mais évidemment, vu les milliards déjà dépensés pour les vaccins, et le lobbying de Big Pharma, cela va causer de grosses tensions dans les mois qui viennent.
On en reparle très bientôt.
Bonne santé,
Xavier Bazin

Voir aussi l’article de France Soir: Deuxième vague conséquence directe du premier confinement

Un autre montage vidéo d’Eric Remacle sur les tests PCR

COVID19 – Preuve d’une fraude mondiale !

Lien vers l’article original du site OffGuardian.org avec tous les liens

Iain Davis

Le COVID 19 et les réponses gouvernementales ultérieures semblent faire partie d’un complot international en vue de commettre une fraude. Il semble qu’il n’y ait aucune preuve qu’un virus appelé SARS-CoV-2 provoque une maladie appelée COVID 19.

Parfois, vous devez suivre votre instinct. Je ne suis pas un expert en génétique et, comme toujours, je dois être corrigé. Cependant, mon attention a été attirée sur certaines recherches publiées par la revue médicale espagnole D-Salud-Discovery. Leur  conseil consultatif, composé  de médecins et de scientifiques éminemment qualifiés, confère une crédibilité supplémentaire à leurs recherches. Leur affirmation est stupéfiante.

Les amorces et sondes génétiques utilisées dans les tests RT-PCR pour identifier le SRAS-CoV-2 ne ciblent rien de spécifique. J’ai suivi les techniques de recherche décrites dans cette traduction en anglais (voir le précédent article de eveilinfo.org avec la traduction en français )  de leur rapport et je  peux corroborer l’exactitude de leurs affirmations concernant les séquences nucléotidiques répertoriées dans les protocoles de l’Organisation mondiale de la santé. Vous pouvez faire la même chose.

D-Salud-Discovery indique qu’il n’y a pas de tests capables d’identifier le SRAS-CoV-2. Par conséquent, toutes les allégations concernant l’impact présumé du COVID 19 sur la santé de la population sont sans fondement.

L’ensemble du récit officiel de COVID 19 est une tromperie. Apparemment, il n’y a aucun fondement scientifique pour aucune partie de celui-ci.

Si ces affirmations sont exactes, nous pouvons affirmer qu’il n’y a aucune preuve d’une pandémie, simplement l’illusion d’une pandémie. Nous avons subi des pertes incalculables sans raison évidente, autre que les ambitions de despotes sans scrupules qui souhaitent transformer l’économie mondiale et notre société en fonction de leurs objectifs.

Ce faisant, cette  «classe de parasites»  a potentiellement commis d’innombrables crimes. Ces crimes peuvent et doivent faire l’objet d’enquêtes et de poursuites devant un tribunal.

IDENTIFICATION DE QUOI EXACTEMENT?

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a  classé le COVID-19  (COronaVIrus Disease 2019). Ils ont déclaré une pandémie mondiale de COVID 19 le 11 mars 2019.

Les directives de l’OMS sur les  analyses de laboratoire  stipulent:

L’agent étiologique [causalité de la maladie] responsable du groupe de cas de pneumonie à Wuhan a été identifié comme un nouveau bêtacoronavirus, (dans la même famille que le SRAS-CoV et le MERS-CoV) via le séquençage de nouvelle génération (NGS) à partir du virus de culture ou directement à partir d’échantillons reçus de plusieurs patients atteints de pneumonie. »

L’OMS affirme que le virus SRAS-CoV-2  provoque la maladie COVID-19. Ils affirment également que ce virus a été clairement identifié par des chercheurs de Wuhan.

Dans le rapport de situation 1 sur le nouveau coronavirus 2019-nCov de l’OMS  , ils déclarent:

Les autorités chinoises ont identifié un nouveau type de coronavirus, qui a été isolé le 7 janvier 2020 …… Le 12 janvier 2020, la Chine a partagé la séquence génétique du nouveau coronavirus pour que les pays l’utilisent dans le développement de kits de diagnostic spécifiques.

Ces deux déclarations de l’OMS suggèrent clairement que le virus SRAS-CoV-2 a été isolé (c’est-à-dire purifié pour étude), puis des séquences génétiques ont été  identifiées à  partir de l’échantillon isolé. À partir de là, des kits de diagnostic ont été développés et distribués dans le monde entier pour tester le virus dans les villes et les communautés du monde entier. Selon l’OMS et des chercheurs chinois, ces tests permettront de trouver le virus responsable du COVID 19.

Pourtant, l’OMS déclare également:

Travaillant directement à partir des informations de séquence, l’équipe a développé une série de tests d’amplification génétique (PCR) utilisés par les laboratoires. »

Les scientifiques de Wuhan ont développé leurs tests d’amplification génétique à partir des  «informations de séquence»  car il n’y avait pas d’échantillon isolé et purifié du virus dit SARS-CoV-2. Ils ont également montré des images au microscope électronique des virions nouvellement découverts (la boule de protéines hérissée contenant l’ARN viral).

Cependant, ces structures protéiques ne sont  pas uniques . Ils ressemblent à d’autres vésicules rondes, telles que les vésicules endocytaires et les exosomes.

Les virologues affirment qu’il n’est pas possible d ‘  «isoler»  un virus car ils ne se répliquent qu’à l’intérieur des cellules hôtes. Ils ajoutent que  les postulats de Koch  ne s’appliquent pas parce qu’ils concernent des bactéries (qui sont des organismes vivants). Au lieu de cela, les virologues observent les effets cytopathogènes (CPE) du virus, provoquant la mutation et la dégradation des cellules, dans les cultures cellulaires.

Lorsque les chercheurs chinois ont  séquencé pour  la première fois le génome complet du SRAS-CoV-2, ils ont observé le CPE dans les cellules Vero E6 et Huh7. Vero E6 est une lignée cellulaire de singe immortalisée et Huh7 sont des cellules cancéreuses immortalisées (tumorigènes). Cela signifie qu’ils ont été maintenus in vitro (dans des cultures de boîtes de Pétri) pendant de nombreuses années.

Au cœur de l’histoire officielle du SRAS-CoV-2 est l’idée qu’il s’agit d’un virus zoonotique, capable de combler le fossé des espèces entre les animaux et les humains. Lorsque des  scientifiques du CDC américain ont  «infecté»  diverses cellules avec le nouveau virus, ils ont noté ce qui suit:

Nous avons examiné la capacité du SRAS-CoV-2 à infecter et à se répliquer dans plusieurs lignées cellulaires de primates et humaines communes, y compris les cellules d’adénocarcinome humain (A549) [cellules pulmonaires], les cellules hépatiques humaines (HUH7.0) et les cellules rénales embryonnaires humaines ( HEK-293T), en plus de Vero E6 et Vero CCL81 [cellules de singe]… Aucun effet cytopathique n’a été observé dans aucune des lignées cellulaires sauf dans les cellules Vero [cellules de singe]… Les cellules HUH7.0 et 293T n’ont montré qu’une réplication virale modeste et Les cellules A549 [cellules du tissu pulmonaire humain] étaient incompatibles avec l’infection par le SRAS-CoV-2. »

Le CDC n’a observé aucun CPE dans les cellules humaines. Ils n’ont vu aucune preuve que ce prétendu virus ait causé une maladie humaine. Ce supposé virus humain n’a pas non plus montré de réplication notable dans les cellules humaines, suggérant qu’une infection d’un humain à l’autre serait impossible.

Notant ce problème, une équipe de scientifiques polonais a introduit ce «virus» séquencé   dans  les cellules de l’épithélium humain (voies respiratoires) . Ils ont observé les effets sur ces cultures d’AOH pendant 5 jours. Ils ont noté une réplication beaucoup plus grande que les scientifiques du CDC, mais ont finalement déclaré:

«Nous n’avons observé aucune libération du virus du côté basolatéral de la culture d’AOH.»

Cela signifie qu’ils n’ont vu aucune preuve des virions supposés rompant la membrane de la paroi cellulaire. Encore une fois, suggérant que ce soi-disant virus n’est pas infectieux chez l’homme.

Il n’est pas certain que le SRAS-CoV-2 soit un virus humain capable de provoquer des maladies. Cela peut même ne pas exister physiquement. N’est-ce rien d’autre qu’un concept basé sur   des séquences génétiques prédictives ?

VOYAGE DE DÉCOUVERTE

Le Centre de contrôle et de prévention des maladies de Wuhan et le Centre clinique de santé publique de Shanghai ont publié le  premier génome complet du SRAS-CoV-2  (MN908947.1). Cela a été mis à jour plusieurs fois. Cependant, MN908947.1 était la première séquence génétique décrivant l’ agent étiologique présumé du COVID 19   (SARS-CoV-2).

Toutes les déclarations, tests, traitements, statistiques, développement de vaccins et politiques qui en résultent sont basés sur cette séquence. Si les tests pour ce  nouveau  virus n’identifient rien de capable de provoquer des maladies chez les êtres humains, tout le récit du COVID 19 n’est rien d’autre qu’une mascarade.

Les  chercheurs de WUHAN ont déclaré  qu’ils avaient effectivement reconstitué la séquence génétique du SRAS-CoV-2 en faisant correspondre des fragments trouvés dans des échantillons avec d’autres séquences génétiques, découvertes précédemment. À partir du matériel recueilli, ils ont trouvé une correspondance de 87,1% avec le coronavirus du SRAS (SARS-Cov). Ils ont utilisé un  assemblage de novo  et une PCR ciblée et ont trouvé 29 891 paires de bases partageant une correspondance de séquence de 79,6% avec le SARS-CoV.

Ils ont dû utiliser l’  assemblage de novo  parce qu’ils n’avaient aucune  connaissance a  priori de la séquence ou de l’ordre corrects de ces fragments. Tout simplement, la déclaration de l’OMS selon laquelle des chercheurs chinois ont  isolé  le virus le 7 janvier est fausse.

L’équipe de Wuhan a utilisé 40 cycles d’amplification RT-qPCR pour faire correspondre des fragments d’ADNc (ADN complémentaire construit à partir de fragments d’ARN échantillonnés) avec le génome du coronavirus du SRAS publié (SARS-CoV). Malheureusement, la précision du génome original du SRAS-CoV n’est pas non plus claire.

En 2003, une équipe de  chercheurs de Hong Kong a  étudié 50 patients atteints du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Ils ont prélevé des échantillons de 2 de ces patients et ont développé une culture dans des cellules hépatiques de singe foetal.

Ils ont créé 30 clones du matériel génétique qu’ils ont trouvé. Incapables de trouver des preuves d’un autre virus connu, ils ont trouvé dans un seul de ces échantillons clonés des séquences génétiques  «d’origine inconnue».

En examinant ces séquences d’ARN inconnues, ils ont trouvé 57% de correspondance avec le coronavirus bovin et le virus de l’hépatite murine et en ont déduit qu’il appartenait à la famille des Coronaviridae. Considérant que ces séquences suggéraient un virus SARS-CoV nouvellement découvert (les nouvelles découvertes étant l’ambroisie pour les scientifiques), ils ont conçu des amorces RT-PCR pour tester ce nouveau virus. Les chercheurs ont déclaré:

Les amorces de détection du nouveau virus ont été conçues pour la détection par RT-PCR de ce génome de coronavirus humain associé à la pneumonie dans des échantillons cliniques. Sur les 44 échantillons de nasopharynx disponibles auprès des 50 patients atteints du SRAS, 22 présentaient des preuves d’ARN de coronavirus humain associé à la pneumonie.

La moitié des patients testés, qui présentaient tous les mêmes symptômes, ont été testés positifs pour ce nouveau virus présumé. Personne ne sait pourquoi l’autre moitié a été testée négative pour ce  nouveau  virus SRAS-CoV. La question n’a pas été posée.

Ce virus supposé n’avait qu’une correspondance de séquence de 57% avec le coronavirus prétendument connu. Les 43% restants étaient simplement  «là».  Les données séquencées ont été produites et enregistrées en tant que nouveau génome sous le numéro d’ accès GenBank  AY274119 .

Les chercheurs de Wuhan ont ensuite trouvé une correspondance de séquence de 79,6% avec AY274119 et l’ont donc appelée une nouvelle souche de SARS-CoV (2019-nCoV – finalement renommée SARS-CoV-2). Personne, à aucun stade de ce processus, n’avait produit d’échantillon isolé et purifié de quelque virus que ce soit. Tout ce qu’ils avaient était des correspondances de séquence de pourcentage avec d’autres correspondances de séquence de pourcentage.

N’ISOLER RIEN

Les scientifiques sont très ennuyés car ils n’arrêtent pas de dire que le virus a été isolé mais personne ne les croit. C’est parce que, pour l’instant, personne n’a fourni un seul échantillon purifié du virus SARS-CoV-2. Ce que nous avons à la place est un génome complet et, comme nous sommes sur le point de le découvrir, ce n’est pas particulièrement convaincant.

Les journalistes d’investigation Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter ont demandé à certains des scientifiques qui ont déclaré avoir des images de virions du SRAS-C0V-2 de confirmer qu’il s’agissait d’images d’un virus isolé et purifié. Aucun d’eux ne le pouvait .

En Australie, des scientifiques du  Doherty Institute ont annoncé avoir  isolé  le virus SARS-CoV-2 . Lorsqu’on leur a demandé de clarifier les choses, les scientifiques ont déclaré:

«Nous avons des séquences courtes (ARN) du test de diagnostic qui peuvent être utilisées dans les tests de diagnostic»

Cela explique pourquoi le  gouvernement australien  déclare:

La fiabilité des tests COVID-19 est incertaine en raison de la base de preuves limitée… Il existe des preuves limitées disponibles pour évaluer l’exactitude et l’utilité clinique des tests COVID-19 disponibles.

Au Royaume-Uni, en juillet, un groupe d’universitaires inquiets a  écrit une lettre  au Premier ministre britannique Boris Johnson dans laquelle ils lui ont demandé de:

Produire des preuves scientifiques examinées par des pairs de manière indépendante prouvant que le virus Covid-19 a été isolé. »

À ce jour, ils n’ont pas reçu de réponse.

De même, le chercheur britannique  Andrew Johnson a  adressé une demande d’accès à l’information à Public Health England (PHE). Il leur a demandé de lui fournir leurs dossiers décrivant l’isolement d’un virus SRAS-COV-2. À quoi  ils ont répondu :

PHE peut confirmer qu’il ne contient pas d’informations de la manière suggérée par votre demande. « 

La chercheuse canadienne Christine Massey a fait une demande similaire d’accès à l’information, demandant la même chose au gouvernement canadien. À quoi le  gouvernement canadien a répondu :

Après avoir effectué une recherche approfondie, nous avons le regret de vous informer que nous n’avons pu localiser aucun document répondant à votre demande. »

Aux États-Unis, le panneau de diagnostic RT-PCR du Center for Disease Control (CDC)   indique:

… Aucun isolat viral quantifié du 2019-nCoV n’est actuellement disponible …… .. La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques. »

Dernière mise à jour le 13 juillet 2020, les CDC n’ont pas encore obtenu d’échantillon viral pur de tout patient déclaré atteint de la maladie du COVID-19. Ils admettent ouvertement que leurs tests ne montrent pas nécessairement si le SRAS-CoV-2 est présent ou provoque le COVID 19.

On nous dit que rien de tout cela n’a d’importance. Que nous sommes ignorants et ne comprenons tout simplement pas la virologie. Par conséquent, nous devons accepter des images de choses dont nous savons qu’elles pourraient être autre chose et des séquences génétiques (qui pourraient être n’importe quoi d’autre) comme preuve concluante que ce virus, et la maladie qu’il est censé causer, sont réels.

Voir aussi: Dr. Tom Cowan w/ Jon Rappoport: SARS-CoV-2 Has Never Been Isolated, Is Only an Imaginary or Theoretical Virus, and, Therefore, No Test Can Detect It

TESTER POUR RIEN

L’OMS, et chaque gouvernement, groupe de réflexion, comité directeur des politiques, conseiller scientifique du gouvernement, institutions supranationales et autres qui promeuvent le récit officiel du COVID 19, affirment que le SRAS-CoV-2 cause le COVID 19.

Bien que personne n’ait jamais produit un échantillon de ce supposé virus, le génome présumé du SRAS-CoV-2  a été publié . C’est dans le domaine public.

On dit que les séquences génétiques clés  du génome du SRAS-CoV-2 ont des fonctions spécifiques. Ce sont les protéines cibles que les scientifiques testent pour  identifier  la présence du  «virus» . 

  • Ceux-ci incluent:
    • Gène ARN-polymérase (Rd-Rp) – Cela permet à l’ARN du SARS-CoV-2 de se répliquer à l’intérieur du cytoplasme des cellules épithéliales atteintes de COVID 19.
    • Gène S (Orf2) – cette glycoprotéine forme le pic sur la surface du virion du SRAS-CoV-2 qui est censé faciliter la liaison du SRAS-CoV-2 aux récepteurs ACE2 sur les cellules, permettant à l’ARN à l’intérieur de l’enveloppe de la protéine du virion (capside) de passer dans la  cellule maintenant  infectée .
    • Gène E (Orf1ab) – petite protéine membranaire utilisée dans l’assemblage viral
    • Gène N (Orf9a) – le gène de la nucléocapside qui lie l’ARN dans la formation de la capside

L’OMS tient un  registre accessible au public  des amorces et sondes RT-PCR utilisées pour tester le SRAS-CoV-2. Les amorces sont des séquences nucléotidiques spécifiques qui se lient (s’hybrident) aux brins antisens et sens de l’ADNc synthétisé (appelées respectivement amorces sens et inverse).

Les brins d’ADNc se séparent lorsqu’ils sont chauffés et se reforment lorsqu’ils sont refroidis. Avant le refroidissement, des séquences nucléotidiques appelées sondes sont introduites pour s’hybrider à des régions cibles spécifiques du génome viral suspecté. Lors de l’amplification, lorsque les régions entre les amorces s’allongent, lorsqu’une amorce frappe une sonde, la sonde se désintègre en libérant un fluorescent ou un colorant qui peut ensuite être lu par les chercheurs.

C’est l’identification de ces marqueurs que les scientifiques prétendent prouver la présence du SRAS-CoV-2 dans un échantillon.

L’ outil de recherche d’alignement local de base  (BLAST) est un autre élément accessible au public  . Cela permet à quiconque de comparer les séquences nucléotidiques publiées avec toutes celles stockées par la base de données génétique des National Institutes of Health (NIH) des États-Unis appelée GenBank. Par conséquent, nous pouvons BLASTER les amorces, sondes et séquences de gènes cibles du SRAS-CoV-2 revendiquées.

Les protocoles d’amorces et de sondes sens et inverses de l’OMS pour le génome viral présumé du SRAS-CoV-2 sont basés sur les profils de gènes RdRp, Orf1, N et E. N’importe qui peut les exécuter via BLAST pour voir ce que nous trouvons.

La séquence nucléotidique vitale RdRP, utilisée comme amorce sens est – ATGAGCTTAGTCCTGTTG. Si nous exécutons un nucléotide BLAST, celui-ci est enregistré comme un isolat  complet de SARS-CoV-2  avec une identité de séquence à 100%. De même, la séquence d’amorce du gène E inverse – ATATTGCAGCAGTACGCACACA – révèle la présence de la séquence Orf1ab qui  identifie également  SARS-CoV-2.

Cependant, BLAST nous permet également de rechercher les séquences nucléotidiques des génomes microbiens et humains. Si nous recherchons la séquence RdRp SARS-CoV-2, elle révèle 99 chromosomes humains avec une correspondance d’identité de séquence à 100%. L’Orf1ab (gène E) renvoie 90 avec une correspondance d’identité de séquence de 100% avec les chromosomes humains.

Faire de même pour ces séquences avec une recherche microbienne trouve 92 microbes avec une correspondance à 100% avec le gène SARS-CoV-2 E et 100 microbes correspondants, avec une identité de séquence à 100%, avec le gène vital SARS-CoV-2 RdRp.

Chaque fois que nous vérifions les marqueurs génétiques dits uniques du SRAS-CoV-2, enregistrés dans les protocoles de l’OMS, nous trouvons des correspondances complètes ou à pourcentage élevé avec divers fragments du génome humain. Cela suggère que les séquences génétiques, censées identifier le SRAS-CoV-2, ne sont pas uniques. Il peut s’agir de n’importe quoi, des séquences microbiennes aux fragments de chromosomes humains.

Les  soi- disant  vérificateurs de faits , comme le  projet Health Feedback de Reuters  , ont rapidement rejeté les affirmations de  ceux qui ont remarqué le manque apparent de spécificité dans le génome supposé du SRAS-CoV-2.

En utilisant une multitude d’arguments d’homme de paille comme,  «cette affirmation suggère que chaque test devrait être positif»  (ce qui n’est pas le cas), leur   tentative de  démystification exécute quelque chose comme ceci :

Les amorces sont conçues pour se lier à des séquences nucléotidiques spécifiques qui sont uniques au virus. L’amorce sens peut se lier à un chromosome particulier, mais l’amorce inverse ne se lie pas au même chromosome et le chromosome n’est donc pas présent dans le virus SARS-CoV-2. De plus, parce que les amorces sens et pervers enveloppent la séquence à amplifier, la séquence cDMA entre les amorces est unique au virus.

Cela semble délibérément déformer la signification de ces conclusions en transmettant un argument que personne, à part les vérificateurs de faits eux-mêmes, ne fait valoir. Les recherches BLAST montrent que ces séquences cibles ne sont pas uniques au SARS-CoV-2. Il n’est pas non plus nécessaire de trouver toutes les cibles pour qu’un résultat soit jugé positif.

Des chercheurs marocains ont  enquêté sur l’épidémiologie  des cas présumés marocains   de SRAS-CoV-2. Neuf pour cent étaient positifs pour trois gènes, dix-huit pour cent étaient positifs pour deux gènes et soixante-treize pour cent pour un seul. Comme nous venons de le dire, beaucoup peuvent avoir été positifs pour aucun.

Ceci est entièrement conforme aux  directives de test de l’OMS . Ils déclarent:

«Un diagnostic optimal consiste en un NAAT [test d’amplification d’acide nucléique] avec au moins deux cibles indépendantes du génome du SRAS-CoV-2; cependant, dans les régions où la transmission est répandue, un algorithme simple à cible unique peut être utilisé… Un ou plusieurs résultats négatifs n’excluent pas nécessairement l’infection par le SRAS-CoV-2. »

Indépendamment des arguments fallacieux des vérificateurs de faits bien financés  ,  si les amorces avant et arrière identifient des indésirables, peut-être l’un étant le fragment d’un chromosome et l’autre une séquence microbienne, alors la région amplifiée entre eux est probablement également indésirable.

L’argument selon lequel la RT-PCR ne trouve que l’ARN est spécieux. La transcription naturelle (la séparation des brins d’ADN) se produit pendant l’expression génique. Personne ne dit que des chromosomes entiers ou des microbes sont séquencés dans le génome présumé du SRAS-CoV-2. Bien qu’ils puissent, pour tout ce que nous savons. Ils disent que les marqueurs présumés, utilisés pour tester ce supposé virus, ne sont pas adaptés.

Les tests RT-PCR ne séquencent pas le génome entier. Ils recherchent des incidents de fluorescence de sonde spécifique pour indiquer la présence de séquences dites exister. Ces séquences sont définies par MN908947.1 et les mises à jour ultérieures. Ces amorces et sondes ne pouvaient rien révéler d’autre que des correspondances d’ARN extraites d’  ADN non codant, parfois appelé  «indésirable», ADN (ADNc).

Par exemple, le  gène SARS-CoV-2 S  est censé être hautement spécifique du génome du virus SARS-CoV-2. La séquence cible est – TTGGCAAAATTCAAGACTCACTTTC. Une recherche microbienne BLAST renvoie 97 correspondances microbiennes avec une correspondance de séquence d’identité à 100%. La correspondance de pourcentage d’identité la plus faible, parmi les 100 premiers, est de 95%. Un BLAST du génome humain trouve également une correspondance de séquence à 100% avec 86 fragments de chromosomes humains.

Peu importe où vous regardez dans le génome supposé du SRAS-CoV-2, il n’y a rien dans les protocoles de test de l’OMS qui identifie clairement ce que c’est. Le génome entier pourrait être faux. Les tests ne prouvent pas l’existence du SRAS-CoV-2. Tout ce qu’ils révèlent est une soupe de matériel génétique non spécifié.

Si tel est le cas, comme il n’y a pas d’isolats ou d’échantillons purifiés du virus, sans test viable, il n’y a aucune preuve que le SRAS-CoV-2 existe. Par conséquent, il n’y a pas non plus de preuve qu’une maladie appelée COVID 19 existe.

Cela signifie qu’il n’y a aucune base scientifique pour toute allégation concernant le nombre de cas de COVID 19, les admissions à l’hôpital ou les chiffres de mortalité. Toutes les mesures prises pour  lutter contre  ce  virus mortel  sont très probablement fondées sur rien.

FRAUDE CONCLUANTE

La fraude est un acte criminel. La  définition juridique  de la fraude est:

«Une pratique frauduleuse ou un acte délibéré, auquel on a eu recours avec l’intention de priver un autre de ses droits ou, d’une manière ou d’une autre, de lui causer des blessures.»

La définition légale d’un complot est:

« Une combinaison ou une confédération entre deux ou plusieurs personnes constituées en vue de commettre, par leurs efforts conjoints, un acte illégal ou criminel »

Il semble que ceux qui prétendent que nous sommes confrontés à une pandémie n’ont fourni aucune preuve pour montrer qu’un virus appelé SRAS-CoV-2 provoque une maladie appelée COVID 19. Toutes les informations suggérant fortement cette possibilité sont facilement disponibles dans le domaine public. Tout le monde peut le lire.

Pour qu’il y ait fraude, la tromperie doit être volontaire. L’intention doit être de priver délibérément autrui de ses droits ou de lui porter atteinte d’une autre manière. S’il existe des preuves de collusion entre des individus et / ou des organisations pour commettre une fraude, il s’agit alors d’un complot (dans les juridictions de common law) ou d’une  entreprise criminelle commune  (ECC) en vertu du droit international.

Il semble que COVID 19 a été délibérément utilisé comme  casus belli  pour faire la guerre à l’humanité. Nous avons été emprisonnés dans nos propres maisons, notre liberté d’errer restreinte, la liberté de parole et d’expression érodée, les droits de manifester restreints, séparés de nos proches, nos entreprises détruites, psychologiquement bombardées, muselées et terrorisées.

Pire encore, bien qu’il n’y ait  aucune preuve  de   mortalité toutes causes sans précédent , il y a eu des pics de décès non saisonniers. Celles-ci  correspondent précisément aux mesures de verrouillage  qui ont vu le retrait des services de santé pour lesquels nous payons et une réorientation des services de santé publique pour traiter une maladie présumée à l’exclusion de toutes les autres.

En outre, ceux qui ont transmis l’histoire du COVID 19 proposent que cette prétendue maladie justifie la restructuration complète de l’économie mondiale, de nos systèmes politiques, de nos sociétés, de nos cultures et de l’  humanité elle-même .

Pour être  autorisés  à participer à leur soi-disant  «nouvelle normalité»,  qui est la transformation globale de toute notre société sans notre consentement, ils insistent pour que nous nous soumettions à leurs conditions.

Celles-ci incluent, mais sans s’y limiter, la surveillance bio-métrique de tout le monde, le contrôle et la surveillance centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives et une revendication effective que nous n’avons pas droit à la souveraineté sur nos propres organes. Ceci constitue la  condition de l’esclavage .

Il ne fait aucun doute que nous avons été privés de nos droits et lésés. Dans les juridictions de common law, l’innocence est présumée, mais la preuve qu’un préjudice a été délibérément causé par un complot international est accablante. Les politiques destructrices, adoptées par les gouvernements du monde entier, sont clairement nées des groupes de réflexion mondialistes et des institutions supranationales bien avant l’émergence de cette pandémie inexistante.

Dans les juridictions du Code Napoléon, la culpabilité est présumée. Pour que les conspirateurs accusés puissent prouver leur innocence, ils doivent montrer que, malgré leurs ressources incommensurables, ils ont collectivement été incapables d’accéder ou de comprendre l’une des preuves librement disponibles suggérant que le COVID 19 est un mythe.

Les responsables du crime de complot en vue de commettre une fraude mondiale devraient être jugés. S’ils sont reconnus coupables, ils devraient être emprisonnés pendant que nous autres essayons de réparer les dommages qu’ils ont déjà infligés.

Article complémentaire montrant que le virus n’a jamais été isolé.

Encore un article de Réseau International sur le même sujet

Et si le virus n’existait pas ?

Selon l’étude (en anglais) que vous pouvez télécharger ci-dessous, le test PCR ne détecte pas le SRAS-COV2 !

Extraits traduits:

Les séquences génétiques utilisées dans les PCR pour détecter une suspicion de SRAS-CoV-2 et pour diagnostiquer des cas de maladie et de décès attribués au Covid-19 sont présents dans des dizaines de séquences du génome humain lui-même et dans ceux d’une centaine de microbes.
Et cela inclut les initiateurs ou amorces, les fragments les plus étendus pris au hasard de leur supposé « génome » et même les soi-disant « gènes cibles » prétendument spécifiques au « nouveau coronavirus « . Le test est sans valeur et tous les résultats » positifs « obtenus jusqu’à présent devraient être scientifiquement invalidés et communiqués aux personnes concernées; et s’ils sont décédés, leurs proches.
Stephen Bustin, l’un des plus grands experts mondiaux de la PCR, dit en fait que sous certaines conditions, tout le monde peut être testé positif!

En conclusion: La conséquence de tout ce que nous venons d’expliquer est claire et immédiate: IL N’Y A PAS DE TEST VALIDE POUR DÉTECTER LE SARS-COV-2, ni tests d’anticorps ou d’antigènes ni RT-PCR. Et nous avons inclus ceux basés sur le gène supposé qui code pour la protéine S1 ou spike. Et cela signifie que TOUS LES NOMBRES DE «CAS», «INFECTÉ», «MALADE», «Asymptomatique» OU «MORT DUE POUR COVID-19 « MANQUE DE BASE SCIENTIFIQUE ET TOUS LES » POSITIFS « SONT FAUX POSITIFS, quelque chose qui devrait être communiqué immédiatement aux personnes concernées et aux autorités responsables qui devraient en être tenues pour responsables.

Au vu des développements aberrants des mesures prises pour soi-disant lutter contre ce virus, ses deuxième, troisième, … pseudo vagues tous basés sur ce test PCR, je commence sérieusement à me dire que ce virus n’existe pas.

Dans ce sens, il me semble opportun de reprendre ici une vidéo de Jean-Jacques Crèvecoeur du mois de juillet, où il étudiait l’hypothèse que ce virus n’existe pas.

Voir aussi la vidéo de David Icke sur le même thème.