Rapport Pfizer : la bombe dont vous ne deviez pas entendre parler

Source: Lettre du Dr Schmitz

C’est officiel : Pfizer est l’entreprise qui produit le seul vakx1 disponible en France contre la pandémie.

Un vakx1 qui est en fait un médicament (1), comme l’a reconnu Jean-François Delfraissy, président du Conseil Scientifique.

Un médicament tellement efficace d’ailleurs, que le système informatique de santé a été calibré pour prévoir jusqu’à 10 doses par patient (2).

Pas de mauvais esprit : avec un potentiel de 10 doses achetées par Français, n’allez pas croire que Pfizer voit la France seulement comme un marché juteux…

C’est seulement l’occasion, pour cette noble entreprise, de démontrer que son médicament, qu’ils ont prétendu immédiatement efficace à 90% (3), doit quand même être administré 10 fois de suite…

N’en doutez pas : Pfizer vous aime


Je ne me permettrais pas de douter de la bienveillance de cette entreprise d’intérêt public, malgré la lenteur qu’elle a mis à publier le rapport des expériences préliminaires concernant son « vakx1 » ARN.

Et quand je parle de « lenteur », c’est qu’elle comptait terminer la publication de son rapport en 2096.

Hélas, ce n’est pas une plaisanterie (4).

Chère lectrice, cher lecteur, n’y voyez aucune malice ! Une telle lenteur se comprenait, évidemment.

C’était par souci de ne causer de migraines chez personne, surtout pas chez les journalistes subventionnés, qui préfèrent s’égosiller sur d’autres sujets.

Or Mark Pittman, un juge texan certainement complotiste, a trouvé que Pfizer se moquait du monde.

Le 6 janvier 2022, il a sommé l’entreprise de publier l’entièreté du rapport de ses expériences préliminaires au plus vite (5).

C’est désormais chose faite.

« Pfizer savait que son vakx1 tuait(6)»


Un fait important ressort de ce rapport (7) :

Sur les 42 086 personnes malades suivies dans le cadre de l’expérience préliminaire Pfizer, 1 223 sont très officiellement mortes.

Ce qui fait environ 3% de mortalité.

C’est beaucoup pour une maladie qui, selon les calculs des autorités françaises, tuait 0,7% des personnes infectées au sommet de sa virulence (8).

Doit-on en conclure que le vakx1 est plus dangereux que la maladie contre laquelle il devait protéger ?

Il se trouve que des défenseurs acharnés des vakx1s ne trouvent pas la corrélation pertinente (9).

Sous-entendent-ils que sur ces 1 223 personnes malades, certainement confinées, une bonne partie d’entre elles devait s’amuser le week-end à faire des courses de voiture ou à prendre l’autoroute à contresens ?

Car prendre dans cette étude des personnes gravement malades, qui auraient pu mourir d’autre chose que de la pandémie ou du « vakx1 », aurait représenté une faute méthodologique rédhibitoire.

Donc, une fois la bêtise des « fact-checkers » mise à part, l’étude elle-même admet que les 1 223 morts ne correspondent qu’à la moitié des patients suivis.

De l’autre moitié, on ne sait pas grand-chose : on ne sait pas si ces patients ont guéri, avec des séquelles ou pas. Pire encore, pour près du quart des personnes de l’étude, on ne sait rien (9 400) – donc rien ne les exclut a priori d’être ajoutés aux personnes décédées.

On voudrait nous prendre pour des idiots qu’on ne s’y prendrait pas autrement !

Qui y a-t-il dans la cohorte inconnue ?


Si l’on compte 1 223 personnes décédées pour seulement la partie du panel dont le destin est connu – soit la moitié – on peut se demander s’il n’y a pas eu, au moins, le double de morts : donc une mortalité de 6%.

Mais cette mortalité de 6% impliquerait que la partie « obscure » du panel est au moins aussi fiable que la partie la mieux connue.

Or un fort soupçon pèse sur une étude aussi peu scientifique, où le destin du quart du panel est textuellement « inconnu ».

A-t-on dissimulé les pires effets indésirables et un plus grand nombre de morts dans cette catégorie dont l’étude dit qu’elle ne sait pas comment leur maladie s’est terminée ?

Une multitude de cas létaux ou de handicaps à vie a-t-elle été passée sous silence ?

De plus, l’expérience nous a depuis enseigné que même les cas classés comme « guéris » peuvent dissimuler des séquelles du vakx1 à moyen ou à long terme – parfois mortelles.

Toute spéculation mise à part, cette étude montre qu’il n’aurait fallu, pour rien au monde, toucher à ce « médicament ».

Au moins cela car une question subsiste :

Où sont passées les règles des femmes ?


Des dizaines de milliers de femmes en âge de procréer, dont des adolescentes, commencent à se demander pourquoi elles n’ont plus leurs règles, suite à leur vakxination.

Une association commence à faire du bruit à ce propos : « Où est mon cycle ? » (10)

Nous avons été les premiers, dans la sphère francophone, à alerter le public sur ces effets secondaires du vakx1.

Car les spicules propres au virus (les protéines spike), également produites en masse par l’ARN messager des vakx1s, s’incrustent dans les ovaires, causant possiblement des dommages irréversibles.

C’était ce qu’avait établi Byram Bridle, à partir des données exigées par le Japon, et soigneusement corroboré Robert Malone, inventeur de la technologie ARN (11).

Ces dommages causés par les spicules semblent l’explication la plus probante au fait que tant de femmes en âge de procréer n’aient plus leurs règles après vakxination.

Je ne reviendrai pas ici, comme je l’ai déjà fait, sur les trop nombreuses études qui montrent bien hâtivement que le vakx1 ne réduit pas la fertilité.

Etudes souvent faites sur des panels ridiculement petits (12), sans compter les articles dans la presse sans mention scientifique (13)…

Surtout, aucune de ces études ne prend le temps nécessaire, et elles ont toutes pour point commun d’être trop catégoriques sur leur résultat pour être scientifiquement solides.

En fait, elles servent surtout à dédouaner l’industrie vakxinale.

États, CDC, Dr Fauci : cette responsabilité dont personne ne veut!
Donc le vakx1 ARN Pfizer consiste à faire reproduire à votre corps la spicule, le « bec du virus », afin que votre système immunitaire le reconnaisse et le détruise avec le virus.

Or si cette spicule peut endommager les ovaires (ou les testicules), ce vakx1 est possiblement très dangereux pour la fertilité humaine, surtout si on prévoit de vous l’inoculer 10 fois.

Mais le virus dont sont issues les spicules l’est tout autant. Car l’origine de la spicule (ou protéine spike), est vraisemblablement d’origine artificielle.

Car l’enquête sur le caractère artificiel du virus arrive peu à peu à son terme (14), avec la mise en cause du Dr. Anthony Fauci, inamovible directeur de la santé publique aux États-Unis.

Celui-ci aurait directement financé les recherches qui ont donné naissance à la spicule et au virus de la pandémie.

D’après le sénateur Rand Paul, le Dr. Fauci serait donc directement responsable de la pandémie et de ses conséquences. Et on se demande même, aux États-Unis, si la fuite du virus n’était pas délibérée…

En tout cas, depuis 3 mois, le Dr. Fauci est en demeure de répondre à des questions dont les réponses pourraient le faire comparaître devant un tribunal international, et il refuse de s’y soumettre (15).

Mais il y a une certitude : les pouvoirs publics sont plus acharnés à écouler leurs vakx1s que soucieux du cycle des femmes, et ceci doit vous interroger plutôt deux fois qu’une.

Surtout avec un rapport préliminaire de Pfizer aussi peu rassurant.

La démographie, hantise des puissants ?

La civilisation humaine connaît aujourd’hui un problème de ressources.

C’est aussi vrai pour les récoltes – qui ne sortent de terre qu’avec de l’azote, du phosphore et du potassium – que pour les carburants fossiles.

Ce n’est pas qu’une question de mode de vie, c’est aussi une question de nombre. Il y a, soyons en sûrs, un « choc démographique » à l’œuvre.

Mais sans surprise, ce sont toujours les puissants qui s’octroient le droit de déterminer qui doit vivre et qui doit mourir, et même qui doit naître.

Il va sans dire que les politiques « eugénistes », c’est-à-dire de stérilisation sélective, ont été nombreuses au cours de l’histoire.

Il y en a eu dans presque tous les pays germaniques (Autriche, Allemagne, Suisse et Scandinavie) et anglo-saxons (Royaume-Uni, Canada, Etats-Unis, Australie) ainsi qu’au Pérou, en Inde et en Chine (16).

En régime nazi, cette doctrine avait même son journal, le « Nouveau Peuple », qui militait ouvertement pour l’élimination des handicapés (17).

Aujourd’hui, certains médecins osent avancer que la sélection des naissances est indispensable si l’on veut faire concurrence aux enfants asiatiques, bientôt « améliorés » par des puces dans le cerveau (18)…

Et il y a une autre forme d’eugénisme qui a le vent en poupe en ce moment.

Ainsi, au Colorado, une loi votée en Avril permet aux femmes d’avorter à n’importe quel moment de leur grossesse (19).

Derrière l’idée de faire de cet Etat un sanctuaire de l’avortement, les détracteurs y voient le retour de la vieille politique malthusienne, qui consiste à réduire les naissances dans les classes les plus pauvres (20).

Car c’est statistiquement prouvé, notamment par l’administration française (21): l’avortement reste plus fréquent chez les femmes les moins aisées.

Elles sont moins bien informées sur la contraception, ou elles ne peuvent se permettre financièrement une autre méthode que la pilule, tombée en désaffection (22).

Toutefois, la décision du Colorado, dans les termes du droit français, où le délai d’IVG est pourtant passé de 12 à 14 semaines (23), consiste à remettre en question la formation d’un être à part entière dès la gestation.

Force est donc de constater qu’il y a rupture du consensus sur la question du commencement de la vie.

Il semble que ce soit cette tendance qui ait conduit l’administration fédérale américaine à ne plus légaliser unilatéralement l’avortement, mais à laisser aux Etats la liberté de décider de cette question (24).

Or, dans cet Occident qui s’écharpe, je doute que les futures mères puissent se fier aux politiques publiques. Il est désormais impossible d’affirmer qu’elles veulent tout à fait leur bien.

Dr. Thierry Schmitz

(1) https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html

(2) https://www.leparisien.fr/societe/sante/vaccin-anti-covid-non-il-nest-pas-prevu-de-recevoir-jusqua-dix-doses-de-rappel-17-05-2022-S2KTN27HHBGIVBFW3WIXNRQ6BE.php


(3) https://www.lefigaro.fr/flash-actu/covid-19-le-vaccin-pfizer/biontech-efficace-a-95-selon-des-resultats-complets-de-l-essai-clinique-20201118

(4) https://news.bloomberglaw.com/health-law-and-business/why-a-judge-ordered-fda-to-release-covid-19-vaccine-data-pronto

(5) https://www.sirillp.com/wp-content/uploads/2022/01/ORDER_2022_01_06-9e24e298ae561d16d68a3950ab57077b.pdf

(6) Titre utilisé par un journal irlandais, the Lightpaper : https://irishlightpaper.com

(7) https://perma.cc/6W69-9WFT

(8) https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/coronavirus-quel-est-vraiment-le-taux-de-letalite-du-covid-19-6882368

(9) https://www.aap.com.au/factcheck/anti-vaxxers-misrepresent-pfizer-report-to-say-1200-died-in-the-first-months-of-rollout/

(10) https://www.marieclaire.fr/ou-est-mon-cycle-face-aux-institutions-un-collectif-questionne-les-effets-secondaires-du-vaccin-anti-covid-sur-les-regles,1427821.asp

(11) https://covidvaccinesideeffects.com/joe-rogan-interview-with-dr-robert-malone-transcript/ (à 1.35.54)

(12) https://www.fertstert.org/article/S0015-0282(21)01968-3/fulltext

(13) https://www.jpost.com/israel-news/coronavirus-vaccine-has-no-impact-on-fertility-israeli-study-shows-665523

(14) https://www.latimes.com/science/story/2021-07-24/fauci-theres-no-way-the-coronavirus-was-made-with-u-s-research-funds-heres-why

(15) https://www.foxnews.com/politics/rand-paul-says-fauci-stonewalling-gain-of-function-questions

(16) https://fr.wikipedia.org/wiki/Stérilisation_contrainte

(17) https://fr.wikipedia.org/wiki/Neues_Volk

(18) https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/genetique-laurent-alexandre-fait-polemique-trois-scientifiques-lui-repondent_1992053.html

(19) https://www.coloradopolitics.com/opinion/colorado-springs-gazette-barbaric-new-bill-allows-postnatal-abortion-rights/article_e250f652-9f00-11ec-834d-7f6a316450e7.html

(20) https://fr.wikipedia.org/wiki/Malthusianisme

(21) https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/communique-de-presse/232-200-interruptions-volontaires-de-grossesse-en-2019-un-taux-de-recours-qui

(22) https://www.20minutes.fr/sante/1373673-20140513-contraception-crise-pilule-fait-progresser-autres-methodes

(23) https://www.gouvernement.fr/actualite/le-delai-legal-de-livg-passe-de-12-a-14-semaines

(24) https://www.politico.com/news/2022/05/02/supreme-court-abortion-draft-opinion-00029473

Compilation de 1000 articles scientifiques revus par les pairs sur les effets secondaires de vakx1s

Peer Reviewed Medical Papers Submitted To Various Medical Journals, Evidencing A Multitude Of Adverse Events In Covid-19 Vaccine Recipients.


Myocarditis 

Includes terms: Inflammatory Heart Reactions & Myocardial. Inflammation of the heart muscle (myocardium). The inflammation can reduce the heart’s ability to pump and cause rapid or irregular heart rhythms (arrhythmias). Signs and symptoms of myocarditis include chest pain, fatigue, shortness of breath, and rapid or irregular heartbeats. In a small percentage of cases persons with myocarditis can be at risk of sudden death following strenuous activity. Some sufferers of myocarditis may require heart surgery or a heart transplant later in life.

  1. Myocarditis after mRNA vaccination against SARS-CoV-2, a case series: https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2666602221000409
  2. Myocarditis after immunization with COVID-19 mRNA vaccines in members of the US military. This article reports that in “23 male patients, including 22 previously healthy military members, myocarditis was identified within 4 days after receipt of the vaccine”:  https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/fullarticle/2781601
  3. Association of myocarditis with the BNT162b2 messenger RNA COVID-19 vaccine in a case series of children:  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34374740/
  4. Acute symptomatic myocarditis in seven adolescents after Pfizer-BioNTech COVID-19 vaccination:  https://pediatrics.aappublications.org/content/early/2021/06/04/peds.2021-052478
  5. Myocarditis and pericarditis after vaccination with COVID-19 mRNA: practical considerations for care providers:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0828282X21006243
  6. Myocarditis, pericarditis and cardiomyopathy after COVID-19 vaccination:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1443950621011562
  7. Myocarditis with COVID-19 mRNA vaccines:  https://www.ahajournals.org/doi/pdf/10.1161/CIRCULATIONAHA.121.056135
  8. Myocarditis and pericarditis after COVID-19 vaccination:  https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2782900
  9. Myocarditis temporally associated with COVID-19 vaccination:  https://www.ahajournals.org/doi/pdf/10.1161/CIRCULATIONAHA.121.055891.
  10. COVID-19 Vaccination Associated with Myocarditis in Adolescents:  https://pediatrics.aappublications.org/content/pediatrics/early/2021/08/12/peds.2021-053427.full.pdf
  11. Acute myocarditis after administration of BNT162b2 vaccine against COVID-19:  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33994339/
  12. Temporal association between COVID-19 vaccine Ad26.COV2.S and acute myocarditis: case report and review of the literature:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1553838921005789
  13. COVID-19 vaccine-induced myocarditis: a case report with review of the literature:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1871402121002253
  14. Potential association between COVID-19 vaccine and myocarditis: clinical and CMR findings:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1936878X2100485X
  15. Recurrence of acute myocarditis temporally associated with receipt of coronavirus mRNA disease vaccine 2019 (COVID-19) in a male adolescent:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S002234762100617X
  16. Fulminant myocarditis and systemic hyper inflammation temporally associated with BNT162b2 COVID-19 mRNA vaccination in two patients:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0167527321012286.
  17. Acute myocarditis after administration of BNT162b2 vaccine:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2214250921001530
  18. Lymphohistocytic myocarditis after vaccination with COVID-19 Ad26.COV2.S viral vector:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352906721001573
  19. Myocarditis following vaccination with BNT162b2 in a healthy male:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0735675721005362
  20. Acute myocarditis after Comirnaty (Pfizer) vaccination in a healthy male with previous SARS-CoV-2 infection:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1930043321005549
  21. Acute myocarditis after vaccination with SARS-CoV-2 mRNA-1273 mRNA:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2589790X21001931
  22. Acute myocarditis after SARS-CoV-2 vaccination in a 24-year-old man:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0870255121003243
  23. A series of patients with myocarditis after vaccination against SARS-CoV-2 with mRNA-1279 and BNT162b2:  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1936878X21004861
  24. COVID-19 mRNA vaccination and myocarditis:  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34268277/
  25. COVID-19 vaccine and myocarditis:  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34399967/
  26. Epidemiology and clinical features of myocarditis/pericarditis before the introduction of COVID-19 mRNA vaccine in Korean children: a multicenter study 
    https://search.bvsalud.org/global-literature-on-novel-coronavirus-2019-ncov/resourc e/en/covidwho-1360706.
  27. COVID-19 vaccines and myocarditis:  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34246566/
  28. Myocarditis and other cardiovascular complications of COVID-19 mRNA-based COVID-19 vaccines
    https://www.cureus.com/articles/61030-myocarditis-and-other-cardiovascular-complications-of-the-mrna-based-covid-19-vaccines
  29. Myocarditis and other cardiovascular complications of COVID-19 mRNA-based COVID-19 vaccines https://www.cureus.com/articles/61030-myocarditis-and-other-cardiovascular-complications-of-the-mrna-based-covid-19-vaccines
  30. Myocarditis, pericarditis, and cardiomyopathy after COVID-19 vaccination:  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34340927/
  31. Myocarditis with covid-19 mRNA vaccines:  https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCULATIONAHA.121.056135

Voir les 970 autres articles

“Ils ont déjà préparé la prochaine pandémie Marburg”

Arnaud de Brienne

Qui ne constate qu’il y a beaucoup plus de cas d’infection cette année, avec près de 90% de « vaccinés » qu’il y a un an sans « vaccin » ? Cela n’interpelle personne ? Pas de problème, vraiment ? Mais ce n’est pas tout, Bill Gates l’avait laissé entendre il y a quelques mois, avec un petit sourire entendu et inquiétant : nous allons vraisemblablement vers une autre épidémie autrement redoutable, l’épidémie Marburg. Comme le suggère ce chercheur, Kieran Morrissey, ne ricanons pas comme les crétins qui en sont encore à la fable du mangeur de chauve-souris ou d’un virus échappé malencontreusement d’un laboratoire négligent mais faisons plutôt nos recherches et croisons les informations. Nous ne sommes qu’au début d’un processus….(NDLA)

“Bonjour je m’appelle Kieran Morrissey. Je suis un ingénieur de 61 ans et j’ai travaillé ces 22 dernières années dans un grand hôpital universitaire de Dublin, où j’ai acquis une connaissance approfondie du fonctionnement du système de santé irlandais.

Au cours de mes récentes études sur l’immunologie et la virologie pour essayer de mieux comprendre ce qui se passe avec les virus et les vaccins qu’ils promeuvent, j’ai découvert un article écrit en 2017, par deux chercheurs italiens, le couple Gatti et Montanari, qui testent des vaccins depuis 2004. Ils en ont examiné 44 au total et ont découvert que ces vaccins sont contaminés avec des nanoparticules inorganiques, y compris toutes sortes de substances telles que les métaux lourds, le plomb, etc.

Cela m’amène à penser que les vaccins provoquent des réactions immunitaires depuis de nombreuses années qui peuvent se présenter comme des grippes et d’autres maladies. Plus les symptômes apparaissent, plus on administre de vaccins pour tenter de les prévenir… Il y a une sorte de boucle sans fin entre les vaccins et les maladies.

Donc les vaccins provoquent des maladies qui exigent plus de vaccins…

Mais au cours de l’enquête, j’ai découvert quelque chose d’encore plus inquiétant.

En avril 2021, Bill Gates/GAVI a publié un article sur son site web dans lequel il affirmait que Marburg était la prochaine grande pandémie dont nous devions nous inquiéter. Marburg est une fièvre hémorragique relativement rare. Nous n’avons eu que 16 cas depuis 2005.

Que savent donc Bill Gates et GAVI que nous ne savons pas ? Pourquoi est-ce une menace ? Pourquoi l’OMS et les médias conventionnels ne publient-ils pas des articles sur cette maladie rare ?

J’ai fait des recherches plus approfondies et j’ai découvert qu’ils avaient déjà développé un test PCR spécial pour cela. C’est très inquiétant, car maintenant ils peuvent prouver que n’importe qui pourrait avoir le Marburg grâce à un “test”, aussi fantaisiste que le test PCR covid. Mais comme ce test PCR actuel, il sera difficile de le réfuter.

J’ai aussi trouvé qu’ils ont publié des articles  affirmant que la maladie de Marburg se transmet par les chauves-souris de façon asymptomatique, ce qui a été réfuté pendant la pandémie du Covid. Si vous n’avez pas de symptômes, vous n’avez pas de virus, et vous ne pouvez pas le transmettre asymptomatiquement. La propagation asymptomatique d’un virus n’existe pas. Bien que ceci ait été largement admis, des articles qui disent le contraire sont publiés !

La nouveauté la plus inquiétante que j’ai découverte, c’est qu’on est en train de développer très rapidement un nouveau vaccin pour Marburg appelé RIVAX, qui contient de la RICINE, une substance hyper toxique qui a été utilisée dans les attentats terroristes du métro de Tokyo et qui a tué un grand nombre de gens. Pourquoi ont-ils mis une toxine si dangereuse dans un vaccin ? C’est très étrange et inquiétant.

Mais comment pourraient-ils initialiser cette pandémie de Marburg sans la propager ? Très simple : en fait ils l’ont déjà initialisée. Les lésions causées par les vaccins Covid comprennent des hémorragies et des caillots, qui sont très semblables à celles de la fièvre hémorragique. En administrant les vaccins de rappel aux prisonniers, dans les maisons de retraites et les hôpitaux, ainsi qu’aux enfants en contact étroit dans les écoles, ils provoquent davantage d’hémorragies et de caillots qu’ils appellent “fièvre hémorragique”.

Ils feront le test avec le nouveau test PCR et diront que c’est le Marburg.

Cela expliquerait le nombre excessif de morts que nous voyons dans les hôpitaux, ce sera une couverture. Ils diront que les décès ne sont pas dus à des lésions causées par le vaccin Covid, mais au Marburg. Il y aura une soudaine et très grande panique. Il y aura une hystérie de masse jamais vue auparavant. Les gens feront tout pour obtenir quelque chose qui les protège. Le vaccin Rivax sera lancé rapidement et administré “à titre expérimental”, comme ça s’est passé avec le vaccin Covid.

Cependant, une grande différence avec le vaccin à la ricine, c’est que l’infrastructure est en marche et les ressources sont déjà en place pour la développer et la gérer dans un laps de temps très court. Ils pourraient atteindre une couverture de 100% de la population en un temps record. La ricine contenue dans le vaccin va pouvoir tuer des milliards de personnes très rapidement. Il n’y a aucun moyen connu de l’arrêter une fois que c’est commencé.

Arrêter de se faire vacciner contre le Covid est le seul moyen d’arrêter cette épidémie de Marburg, annoncée par Bill Gates, GAVI, l’OMS, etc.

Nous devons convaincre nos amis, notre famille et tout le monde que la vaccination est une erreur qui les rendra encore plus malades !

Vous devez compter sur votre immunité naturelle et la renforcer avec de la vitamine C et de la vitamine D, du zinc et tous les autres minéraux nécessaires. Si vous êtes atteint de Covid, l’Ivermectine et l’hydroxychloroquine sont très efficaces. Nous n’avons pas besoin d’un vaccin qui provoque des symptômes de fièvre hémorragique. Nous devons arrêter cela immédiatement. Si nous ne le faisons pas, nous serons confrontés à une prétendue pandémie de Marburg, qui sera le prétexte pour lancer le vaccin à base de ricine qui tuera des milliards de personnes.

Veuillez faire connaître cette vidéo à tout le monde. J’ai publié toutes les recherches dont j’ai parlé ici sur www.lewrockwell.com  S’il vous plaît, lisez-les.

S’il vous plaît, faites vos propres recherches. Vous verrez que ce que je dis est vrai. Vous vous rendrez également compte que je ne gagne rien à dire tout cela, je perds plutôt. Je suis sûr que mon travail à l’hôpital est en danger, et Dieu sait quoi d’autre.

Michel Dogna

C0VlD-19 les chiffres: «Contrairement aux promesses maintes fois répétées par les exécutifs et les promoteurs du vakx1, celui-ci n’a rendu à personne sa vie d’avant »

Breizh-info 15/02/2022

La forte hausse du nombre des décès COVlD déclarés depuis le 1er janvier 2022 au niveau planétaire montre que le variant delta n’a pas dit son dernier mot.

En Israël, l’expérimentation vakxinale tourne au fiasco si l’on s’en tient à l’évolution des 5 dernières semaines.
Multiplication des cas par 122 et des décès par 66. Tous les records sont battus. Au vu de ce qui se passe en Israël, et pour la première fois, je commence à m’inquiéter pour mes proches qui se sont soumis, sous la contrainte, aux injections vakxinales.

Avant propos : « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » (lorsqu’ils ne sont pas mensongers, bien sûr) Propagande gouvernementale reprise inlassablement en Octobre et Novembre par la « meute » des médias mainstream français…

Il est donc temps de commencer à faire parler les chiffres déclarés par les États eux-mêmes.

Observations :

1 – Avec le variant Omicron très contagieux mais très peu létal, surtout et y compris dans les pays très peu vakxinés d’Afrique ou d’Asie, le nombre de nouveaux cas déclarés (pour la plupart Omicron) a augmenté sensiblement sur la planète en janvier passant de 25 à 100 millions de tests positifs pour 5 semaines. Le nombre de décès ( lié au variant delta et à l’hiver) a augmenté dans le même temps passant de 200 000 à près de 300 000 pour la même période. En clair, l’apparition du variant Omicron pourrait bien être une véritable bénédiction pour la planète, puisque celui ci constitue un véritable vakx1 naturel en raison de sa faible létalité. En revanche, le variant delta n’a pas dit son dernier mot et la fin de l’épidémie n’est pas encore en vue, surtout si elle repart dans l’hémisphère sud, ce qui semble être le cas.

2 – Malgré une vakxination de masse menée «tambours battants» depuis début décembre 2020, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020 (contamination et nombre de décès) sur l’ensemble de la planète. La vakxination n’a donc pas fait reculer l’épidémie partout où elle a été appliquée en 2021 et les chiffres ne sont guère encourageants pour les 5 premières semaines de Janvier. Les pays en développement les moins vakxinés d’Afrique et d’Asie s’en sont, d’ailleurs, beaucoup mieux sortis que les pays développés les plus vakxinés: c’est un fait.

3 – Alors même que l’efficacité du virus et de ses variants s’atténue avec le temps et que de nouveaux traitements précoces efficaces ont été découverts, la létalité de cette épidémie aurait dû reculer nettement avec l’apport de 10,2 milliards d’injections vakxinales pour une population de 7,9 milliardsd’habitants ; injections vakxinales «vendues» par Big Pharma pour une efficacité de 90 à 95% sur les formes graves. Ca n’a manifestement pas été le cas au cours de l’année 2021 et des cinq premières semaines de 2022.

4 – Contrairement aux promesses maintes fois répétées par les exécutifs et leurs relais médiatiques promoteurs du vakx1s, celui ci n’a rendu à personne «sa vie d’avant». Jamais les contraintes n’ont été aussi fortes pour un résultat aussi nul.

5 – Et pourtant, comme toutes les autres épidémies avant elle, nouveaux variants ou pas, l’épidémie COVlD-19 devrait régresser naturellement sous l’effet de plusieurs facteurs :

– La prolifération des variants rend chacun d’entre eux moins létal au fil du temps. C’est le cas du Omicron.

– Le réservoir de personnes fragiles et atteintes de comorbidité, donc susceptibles de faire des formes graves de la COVlD s’est progressivement « vidé » par décès des plus fragiles. On ne meurt pas deux fois …..

– Dans de nombreux pays, l’apparition et l’application de nouveaux traitements précoces pour les personnes atteintes de la COVlD y réduisent considérablement la mortalité liée à ce virus.

– L’immunisation naturelle d’une partie croissante de la population mondiale qui, testée ou non, a contracté la maladie et en a guéri, devrait également contribuer à la baisse de la létalité. A cet égard, le variant Omicron, très contagieux mais très peu létal, joue le rôle d’un véritable vakx1 naturel pour ceux qui contractent la maladie, sans être porteurs de multiples facteurs de co-morbidité.

Aujourd’hui les politiques et les médias de certains pays occidentaux, dont la France, s’agitent toujours, jusqu’à l’hystérie, autour du variant Omicron signalé par l’Afrique du Sud le 24 novembre dernier, mais déjà été identifié en Irlande et au Pays Bas dès le 20 novembre 2021.

A ce jour, ce nouveau virus n’a pas encore tué grand monde, que ce soit en Afrique ou en Europe. Si le monde occidental doit paniquer et s’arrêter de vivre à chaque apparition de nouveau virus sur notre planète, sans même savoir s’il est vraiment dangereux ou s’il tue beaucoup, alors le retour à la vie d’avant n’est pas envisageable avant très, très longtemps. Si la population de ce monde occidental doit faire confiance à des politiques, des scientifiques et à leurs relais médiatiques, largement corrompus par des lobbies transnationaux et mondialistes qui imposent leur stratégie et leur agenda, alors nous entrons dans une ère nouvelle de contrôle total des populations et de l’opinion, par des minorités riches, puissantes, surfant sur la peur et jouant sur les chaos et les divisions qu’elles créent de toute pièce, et utilisant la corruption, le mensonge et la manipulation pour régner.*

Vidéos et documents « alternatifs » et intéressants sur la vakxination et la gestion de la crise sanitaire

1 – Sur la « Pandémie » :

Article du professeur Christian Perronne qu’on ne présente plus.

Docteur Laurent Toubiana : une autre vision de l’épidémie

2 – Sur les effets secondaires des vakx1s :

Une audition intéressante aux USA sur les effets secondaires des vakx1s dans l’Armée. Elle a l’avantage d’être sous titrée sur ce site. Mais je l’ai retrouvée sur plusieurs sites mainstream américains, hélas non sous titrée en français.

3 – Sur le vax1s, la vakxination et le pass vakxinal

Sur le vakx1 :

Sur le Pass vakxinal :

Le docteur Gérar Kierzek, médecin de plateau TV mainstream s’exprime sur le pass vakxinal

Après les camionneurs canadiens, un convoi de la liberté français et européen présenté par son initiateur.

4 – Sur la gestion de la crise sanitaire

Point de situation provisoire des décisions récentes prises par des états face à la crise sanitaire

Bulletin mensuel de situation COVlD planétaire du 5 février 2022 GMT

Quels sont, jusqu’à présent, les résultats planétaires de l’expérimentation vakxinale de masse ?

Source : Our World in Data:

61,4% de la population mondiale aurait reçu au moins une dose d’un vakx1s COVlD-19 et 53% seulement seraient complètement vakxiné, représentant près de 4,2 milliards d’h.

10,2 milliards de doses auraient été administrées dans le monde et 17,75 millions seraient encore injectées chaque jour, en utilisant trop souvent des mesures coercitives, dans des pays occidentaux notamment, qui voudraient se poser en modèle pour le reste du monde en multipliant les doses, alors qu’ils on failli, depuis le début, dans la gestion de l’épidémie, en multipliant les  erreurs d’appréciation.

10 % seulement des habitants des pays à faible revenu auraient reçu au moins une dose. Ils ont, il est vrai, et parce qu’ils sont plus jeunes, une mortalité COVlD encore très inférieure aux pays les plus vakxinés ….

Extrait d’un point de situation vakxinal planétaire au 4 février 2022

A l’échelle planétaire, aucune amélioration significative de la situation n’est encore vraiment perceptible, bien au contraire, puisqu’il y aura eu deux fois plus de décès COVlD en 2021 qu’en 2020 alors même qu’il y a consensus scientifique pour admettre que le variant delta a été  moins létal que ses prédécesseurs. Sur les 5 premières semaines de 2022, le nombre de décès de la COVlD (variant delta) n’a cessé de croître pour atteindre le niveau du pic d’août 2021. Un vakx1 est, par définition, un outil visant à éradiquer une épidémie ou à la faire reculer. C’est très loin d’être le cas après 14 mois de campagne de vakxination de masse. Qu’on le veuille ou non, il va falloir vivre avec ….

Toutefois le dernier variant Omicron, très contagieux mais très peu létal pourrait bien être, en 2022, le vakx1 naturel attendu.

On me rétorquera que la situation serait bien pire si l’on avait adopté d’autres stratégies de lutte contre la « pandémie ». C’est une affirmation commode et gratuite qui est, malheureusement, démentie par les faits  (« On peut débattre de tout sauf des chiffres » nous répètent inlassablement les médias, relayant le discours du gouvernement français.) Eh bien parlons chiffres !

1 – L’augmentation de la mortalité COVlD a été générale sur la planète. Il n’y a aucune corrélation entre le taux de vakxination et le taux de mortalité des différents continents. 5 à 6 fois moins vakxinée que l’Amérique latine, ou que l’Europe, l’Afrique déclare un taux de mortalité de 13 à 15 fois moindre.

2 – En Suède, aucune des prédictions apocalyptiques des experts autoproclamés ne s’est réalisée.  96 000 décès en  un seul  mois prévus par les « experts » en mars 2020 ?  Dans la vraie vie: 16 143 décès en deux ans, bilan réalisé sans aucune des mesures folles que la France a connues. La Suède, plus contaminée, plus âgée et moins vakxinée, que la France est quasiment sortie de l’épidémie depuis six mois, dans la sérénité, alors même que la France continue d’y patauger. Son taux de mortalité est de 30 % inférieur à celui de la France et de la moyenne européenne.

3 – En Islande, en Israël, au Royaume Uni, aux États-Unis, à Singapour, (…. etc) pays supposés être parmi les plus immunisés ou protégés au monde  par le vakx1 ou par la guérison de la maladie (entre 75 % et 95%), la contamination et/ou la mortalité prennent de l’ampleur parmi les doubles vakxinés (voire, en Israël, parmi les vakxinés à trois ou quatre doses).

Ainsi,  à Singapour (6 millions d’habitants vakxinés à 88%), la mortalité a augmenté très fortement sur les trois dernier mois montrant les limites de l’efficacité vakxinale

Situation de la mortalité COVlD à Singapour aujourd’hui vakxinée à 90%: « On peut débattre de tout sauf des chiffres » « tous vakxinés, tous protégés »  qu’ils disaient sur toutes les télés françaises

En Israël, la contamination et les décès explosent. Entre le 14 décembre 2021 et le 26 janvier 2022, le nombre de nouveaux cas est passé de 595 à 72 014/jour (Moyenne sur 7 jours) soit une multiplication par 121 en 6 semaines

Entre le 30 décembre 2021 et le 5 février 2022, le nombre de décès en Israël est passé de 1 à 66 décès/jour (Moyenne sur 7 j). Le record absolu du nombre de décès est battu dans un pays vakxiné à 72 % (mais beaucoup plus pour les personnes fragiles) et dans lequel 33,36% des habitants ont déjà été testés positifs et devraient donc avoir une immunité naturelle. 18 millions de doses ont été déjà été injectées à une population de 9,3 millions d’habitants

Avec le nombre de cas critique actuel (1 134), Israël a encore beaucoup de soucis à se faire pour les jours à venir. Une forte majorité des hospitalisations concernent aujourd’hui des personnes âgées double ou triple vakxinées ……

Au Royaume Uni, entre le 28 décembre 2021 et le 4 février 2022, en 5 semaines, le nombre de décès (moyenne sur 7 jours) a été multiplié par 2,5 , passant de 86 à 256 décès/jour malgré la multiplication des injections vakxinales ….???? La proportion de vakxinés et de non vakxinés dans les hospitalisations est la même que dans la population générale. Constatant que la stratégie du tout vakxinal et des mesures contraignantes et liberticides ne porte pas le moindre fruit, le gouvernement britannique y a renoncé en abandonnant toutes les mesures qu’il avait prise et en adoptant  la stratégie du «vivre avec».

4 – Curieusement, et c’est une autre exception française, il n’y avait, selon les déclarations officielles, que des non vakxinés dans les réanimations et dans les décès enregistrés en France (80 % selon la propagande officielle…..). Ces proportions ont été revues fortement à la baisse. Curieusement aussi, aucun des nombreux effets secondaires recensés dans d’autres pays  ne semble apparaître en France et leur nombre, largement sous évalué, n’est plus vraiment porté à la connaissance  du public par les médias depuis juillet dernier 2021

Les chiffres de mortalité COVlD et l’omerta sur les effets secondaires étant ce qu’ils sont, il devient légitime de s’interroger sur l’absence d’efficacité et de miracle vakxinal. « Le vakx1 ne tue-t-il pas, in fine, plus qu’il ne protège ? »

En clair, le spot TV français « On peut débattre de tout sauf des chiffres » relève de la manipulation grossière dans la mesure où le chiffre annoncé (80 % de non vakxinés dans les réanimations) était faux. Et ce chiffre était faux parce qu’il était très loin d’être  cohérent avec ceux qui nous venaient du monde entier  en provenance de pays qui connaissaient la même situation que nous.

En clair aussi, le slogan répété inlassablement par les politiques et leurs relais médiatiques : «Tous vakxinés, tous protégés» apparaît chaque jour un peu plus mensonger et contre productif.

Mensonger parce que ça n’est manifestement pas vrai à l’échelle mondiale, si l’on en croit  l’évolution actuelle de l’épidémie dans les pays les plus vakxinés. Les vakx1s actuels, élaborés à la hâte, et toujours en expérimentation, ont été conçus pour contrer le virus souche de Wuhan. Ils ne semblent pas adaptés ni très efficaces pour contrer les nouveaux variants et peut être ceux qui pourraient encore apparaître.

Contre-productif parce que les plus crédules des vakxinés se croient « immunisés » par un QR code de pass sanitaire ou vakxinal et ne respectent plus les gestes barrières et les précautions élémentaires nécessaires en cas d’épidémie. Ces gens là deviennent, avec les encouragements et la bénédiction des autorités politiques et de santé, de véritables dangers publics pour la santé de la population, vakxinée ou non.

Avec l’apparition du variant Omicron très contagieux mais peu létal, qui se comporte pour l’énorme majorité des contaminés comme un « vakx1 naturel » avec peu d’effets secondaires graves, la possibilité existe d’une « fuite en avant vakxinale » avec des « rappels » tous les trois mois, avec des vakx1s qui auront toujours une ou deux guerres de retard sur des variants, beaucoup plus malins que nos gouvernants, nos journalistes et nos autorités de santé.

La vakxination va-t-elle devenir obligatoire tous les trimestres ? tous les mois ? Au plus grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques, …. , des hommes politiques et des médias qui bénéficient de leurs largesses ? Ou finira-t-on par se rabattre sur le «vivre avec» comme les britanniques, les espagnols les danois ou les tchèques et beaucoup d’autres, en utilisant des traitements précoces qui ont fait leurs preuves et rendra-t-on aux praticiens l’entière liberté de prescrire ? L’avenir nous le dira.

Il est recommandé aux vakxinolâtres les plus inquiets de remplacer le QR code du Pass sanitaire bientôt, à moins que cette épidémie, comme toutes les grandes épidémies du passé, ne finisse par s’éteindre naturellement. N’ayez aucune illusion, Big Pharma, politiques et médias vous expliqueront que c’est grâce aux vakx1s COVlD et vous serez sommés de le croire.

*

Rapport de situation planétaire COVlD du 5 février 2022 0h00 GMT

Observations factuelles : En ce début d’année 2022, à l’échelle planétaire, la contamination COVlD (variant O-micron) a explosé et la mortalité mensuelle COVlD (variant delta) a fortement augmenté. Janvier 2022 aura donc été l’un des pires de l’épidémie en terme de mortalité déclarée: 290 000 décès en 5 semaines après 10,2 milliards de doses de vakx1s injectées. Ce nombre reste très supérieur à la moyenne mensuelle des décès de 2020 sans vakxination, qui n’était que de 150 000 décès/mois et proche de la moyenne mensuelle de 2021 avec vakx1 qui a été de 300 000 décès/mois. On réalise toute «l’efficacité» (???) des campagnes vakxinales qui auraient dû faire reculer le virus et combattre les formes graves de la maladie ….. On peut débattre de tout, sauf des chiffres .….

Les pays les plus pauvres, dont 10 % seulement de la population seraient vakxinés, sont ceux qui affichent les taux de mortalités COVlD les plus faibles ( inférieurs à 1, mais le plus souvent à 0,5 pour mille). «On peut débattre de tout sauf des chiffres»…..

Les pays les plus riches, les plus « avancés », les plus vakxinés (de 75% à 98%), les plus assistés médicalement, mais aussi les plus âgés, les plus fragiles, les plus touchés par le surpoids et l’obésité, sont ceux qui continuent d’afficher les taux de mortalité les plus élevés au monde. (supérieurs à 1,5 et jusqu’à 4 pour mille). « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » ….

Après 2 ans d’épidémie, le taux de mortalité COVlD planétaire reste dérisoire (0,74 pour mille habitants), comparé à d’autres maladies plus ou moins difficilement curables (cancer, sida et surtout «famines»……) . La population terrestre continue donc d’augmenter, malgré la COVlD au rythme élevé de 70 à 73 millions d’habitants par an. « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » ….

En plus de 2 ans d’épidémie, 5,74 millions d’individus, très âgés, fragiles et souvent déjà malades sont décédés « avec la COVlD » alors que près de 125 millions d’individus sont décédés dans le monde, de bien d’autres causes….

On notera avec intérêt le comportement paradoxal de l’être humain qui accepte, en 2021, de réaliser 42,7 millions d’avortements sur la planète, et qui, « en même temps » et « quoiqu’il en coûte » à l’économie et à la vie sociale prend mesures sur mesures draconiennes pour tenter, trop souvent en vain, de prolonger de quelques mois l’espérance de vie de quelques millions de vieillards (dont je fais partie), vieillards qui ont, pour la plupart, dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et dont certains ont usé et abusé des bonnes choses de la vie. Ainsi, 1,7 milliards de terriens seraient en surpoids et 800 millions seraient classés obèses en 2021…(Source : Worldometer)

Il faut donc RE…LA…TI…VI…SER, apprendre à « vivre avec », ce que font désormais un grand nombre de pays dont le Royaume Uni, l’Espagne, le Danemark, la Suède, la Biélorussie, la Russie, la république Tchèque et même Israël ; et «traiter précocement» pour limiter la mortalité, comme on l’a déjà fait dans le passé pour nombre de maladies. Il faut aussi, en Europe, cesser de supprimer des lits d’hospitalisation, en pleine épidémie, au nom de la «rentabilité», alors que notre population vieillit et donc se fragilise, et faire semblant de s’étonner (pour nos politiques et leurs «conseils scientifiques» sponsorisés par «Big Pharma»), que nos structures hospitalières soient saturées, ce qu’elles sont, chaque hiver, depuis bien longtemps.

En Europe, la gestion suédoise de l’épidémie qui a donné, depuis le début, des résultats bien meilleurs que les nôtres, devrait désormais être prise en exemple, en palliant ses faiblesses dans la prise en charge et le traitement des personnes âgées en établissements hospitaliers.

Le dernier pic épidémique planétaire du «variant delta» ayant été franchi dans les derniers jours d’août avec 10 329 décès/jour (moyenne sur 7 jours), la situation s’est améliorée progressivement jusqu’à la fin de l’année 2021 (5 958 décès/J, moyenne sur 7 jours, en dépit de l’arrivée du variant Omicron. Avec l’entrée en hiver de l’hémisphère Nord, elle s’est logiquement détériorée en Janvier 2022, comme chaque année à la même époque pour retrouver le niveau du Pic d’Août 2021 à plus de 10 300 décès/jour (moyenne sur 7 j)

Cette évolution reste très contrastée d’un pays à l’autre. La situation reste bonne en Afrique (très peu vakxinée). Elle est quasi-stable en Europe, mais se détériore partout ailleurs. L’épicentre de l’épidémie rebascule à nouveau progressivement vers le sous continent nord américain malgré un taux de vakxination déjà élevé de 75 %, une multiplication des « boosters » qui s’avère inefficace, et une immunité naturelle en hausse rapide (23 % de la population US ont déjà été testés positifs et ont guéri de la COVlD). Le surpoids et l’état cardio-vasculaire des individus, liés à la malbouffe générale sur le continent, et la surmortalité hivernale traditionnelle y sont probablement pour quelque chose …..

En Europe, l’Est se remet très vite du pic qu’elle a connu en décembre. L’Ouest où la contamination galope grâce au variant Omicron, semble atteindre, peu à peu, une immunité naturelle plus solide et durable que la très hypothétique « immunité vakxinale » qui est très loin d’avoir fait ses preuves.

Présentation des courbes de contamination et de décès planétaires,

A noter que l’arrivée de la vakxination n’a pas changé grand-chose, à ce jour. Aujourd’hui, 10,2 milliards de doses de vakx1 auraient été injectées, plus de 61 % des habitants de la planète «auraient» reçu au moins une dose de vakx1. 525 millions de doses de vakx1 sont désormais injectées chaque mois pour un résultat toujours aussi peu probant sur l’évolution de la contamination et de la mortalité.

Les taux de guérison sont très rassurants, sur 391 millions de personnes déclarées positives à la COVlD depuis le début de l’épidémie, plus de 310 millions ont été déclarés guéris, soit près de 80%. 75 millions seraient encore en cours de soin, dont 91 500 (en baisse) en situation critique, 5,74 millions seraient décédés « avec la COVlD » en 2 ans et, pour l’énorme majorité de ces derniers, des personnes déjà très âgées, atteintes de comorbidités et ayant dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine.

Ces taux de guérison varient d’un continent à l’autre en fonction de l’âge des population concernées et surtout de la gestion plus ou moins efficace de l’épidémie. Mais il est aujourd’hui presque partout proche de 80% à l’exception des pays les plus affectés du moment.

*

Point de situation du Samedi 5 février 2022 0h00 GMT

Depuis le début de l’épidémie :

223 pays ou territoires ont été affectés par le virus, pour 391 millions de tests positifs, 5,74 millions de décès, 310 millions de guérisons75,4 millions de cas «actifs» dont 90 667 en état critique (stable).

29 pays ont déclaré plus de 30 000 décès depuis le début de l’épidémie et comptent 89% des décès avec, dans l’ordre des pertes: (USA, Brésil, Inde, Russie, Mexique, Pérou, Royaume UniItalie, IndonésieColombie, IranFranceArgentine, Allemagne, PologneUkraineAfrique du Sud, Espagne, Turquie, Roumanie, Philippines, Hongrie, Chili, Vietnam, République Tchèque, Équateur, Canada, Bulgarie, Malaisie.

A l’échelle de la planète, la mortalité liée à la pandémie est en hausse depuis début janvier 2022 et atteint désormais les 10 307 décès/jour (moyenne sur 7 j), c’est à dire au dessus du niveau du dernier pic planétaire du 25 août dernier.

A la lecture du tableau qui suit, on réalise à quel point, malgré l’apparition du variant O-Micron, la mortalité reste faible mais en très légère hausse en Afrique ; stable en Europe ; plus forte et en hausse sensible en Asie (Inde) et en Amérique latine (Brésil, Mexique), plus élevée encore mais quasi stable en Amérique septentrionale et en Océanie. L’Europe ne devrait plus rester longtemps l’épicentre de l’épidémie. L’Amérique du Nord pourrait bientôt prendre la relève. Le rôle de l’hiver, de la fragilité des populations en surpoids et surtout l’échec de l’expérimentation vakxinale aux USA peuvent expliquer cette évolution. La stratégie « atlantiste » (UE-OTAN) et mondialiste de gestion de la crise sanitaire est prise en défaut. Elle (l’OTAN) cumule désormais plus de 36% des pertes mondiales pour 12% de la population. C’est un échec cinglant de la stratégie du tout vakxinal …

Ci après, un tableau rappelant l’évolution de l’épidémie sur les 6 derniers mois (en vert l’amélioration hebdomadaire, en rouge la détérioration)

Bilan au 5 février 2022 0h00 GMT du nombre de cas et de décès par grande région du monde classées par taux de mortalité

Les bilans les plus lourds de la journée d’hier ont été, dans l’ordre, ceux des USA, du Brésil et de l’Inde. Ces trois pays ont déclaré, à eux seuls, près de 42 % des nouveaux décès de la planète.

L’Océanie, l’Afrique et l’Asie enregistrent une part des pertes mondiales de 27% alors qu’elles regroupent 77,5% de la population. L’Europe et le continent américain (Nord et Sud) enregistrent 73% des pertes pour 22,5% de la population mondiale. La part de l’hémisphère Nord continue d’augmenter avec l’effet hivernal, malgré le taux de vakxination le plus élevé au monde, et celle de l’Afrique pourtant sept fois moins vakxinée, continue de se réduire.

Pour relativiser, encore et toujours, cette crise sanitaire, voici la comparaison avec les épidémies du siècle dernier: On est encore très très loin de la grippe espagnole ….

Au delà des nombres évoqués ci dessus, il faut aussi souligner qu’une très forte majorité (88%) des décédés de cette épidémie avait déjà dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et souffraient de multiples comorbidités …. ce qui n’était pas le cas lors des grandes épidémies précédentes où les jeunes mourraient par millions.

A noter aussi que les statistiques dites « officielles » des gouvernements sont toutes sujettes à caution, chacun pouvant les manipuler à sa guise pour des objectifs politiques (entre autres).

*

Situation par continents, sous continents, et pays les plus affectés 

1 – LEurope

Épicentre de l’épidémie depuis la mi-octobre 2021, l’Europe a vu sa situation s’améliorer très sensiblement, puis se stabiliser. En dépit de l’hystérie politique et médiatique autour de la hausse du «taux d’incidence» du virus peu létal O-micron, le nombre de décès déclarés COVlD, seul indicateur pertinent, pour peu que les nombres déclarés soient justes, est stable presque partout alors que l’Europe est au coeur de l’hiver. Les politiques, les autorités de santé et les médias agissent pourtant comme s’ils voulaient continuer à générer la peur pour pousser les récalcitrants vers la seringue. Dans les faits, ce sont la Russie, l’Italie, la France et le Royaume Uni qui totalisent, à eux seuls, 51% des décès européens de la semaine écoulée.

1-1 – La Russie et l’Italie sont les seuls pays européens à avoir enregistré plus de 2 000 décès en 7 jours.

La Russie déclare encore, à elle seule, 21% des décès européens, mais le nombre des décès y poursuit sa baisse sensible (voir courbe ci dessous).

1-2 – Situation du Royaume Uni:

La situation s’est détériorée sensiblement en Janvier 2022 avec un doublement du nombre des décès quotidiens: 256 décès/J (moyenne sur 7 jours) dont une forte majorité de double ou triple vakxinésAvec l’arrivée du Omicron, jugé peu létal, le Royaume Uni a abandonné toutes les mesures coercitives et décidé de reprendre sa vie d’avant et de «vivre avec». Tenant compte des faits observés, le Royaume Uni n’a jamais tenté d’ostraciser les non vakxinés en tentant de les rendre responsables de l’échec planétaire de l’expérimentation vakxinale.

Le bilan total des pertes COVlD du Royaume Uni (158 000 décès «déclarés») suit désormais celui de la Russie (334 000) mais pour une population deux fois moins nombreuse. La vakxination de masse a débuté au début de décembre 2020 et 77% de la population auraient reçu une première injection; 71% auraient reçu la 2ème, la 3ème ou la 4ème … et 25,7%, ayant été déclarés positif, seraient immunisés naturellement. Le bilan continue d’être étrangement lourd pour une population présumée très protégée des formes graves par un vakx1 déclaré par Big pharma efficace à plus de 95% (????), d’autant que la proportion des personnes fragiles (ou à risque) vakxinées est bien supérieure aux données présentées ci dessus …..

1-3 – Après la forte hausse des tests positifs COVlD déclarée début janvier, la situation de l’Italie s’améliore (- 27% de tests positifs en 1 sem).

Le nombre des décès (du variant delta) est encore élevé, mais quasi stable. (+8% seulement en 1 sem). Il devrait baisser en février malgré l’effet «conditions hivernales». L’Italie restera probablement à la troisième place pour le nombre des décès en Europe. Notons que l’explosion du «taux d’incidence» n’est plus un indice pertinent, avec un virus tel que le O micron qui, grâce à sa faible virulence, se comporte comme un vakx1, bien meilleur que ceux proposés par Big Pharma.

1-4 – La situation de la France est comparable à celle de l’Italie.

Le nombre de testés positifs (indice peu pertinent) a fortement et très vite augmenté début janvier 2022. Mais il baisse désormais tout aussi vite (-23% en 1 sem). Celui des décès (du variant delta) plafonne sous la barre des 2000 décès/semaine malgré la période hivernale propice aux pathologies respiratoires. Celui des cas critiques semble stable (3 641), ce qui reste dérisoire pour la saison. Vraiment pas de quoi paniquer ….

A ce jour, 79,8% des français, sous la pression de mesures coercitives pour une large part, auraient reçu une dose de vakx1, 76% en auraient reçu deux (en 13 mois de campagne) et 31% ayant contracté le virus (dont plus de la moitié, o-micron, en Janvier 2022), seraient immunisés naturellement. Les résultats attendus de la vakxination expérimentale ne sont donc pas au rendez vous, comme partout ailleurs dans le monde. Une forte majorité des vakxinés admet s’être fait vakxinée sous les pressions des mesures prises par le gouvernement pour interdire aux non vakxinés de vivre et de travailler normalement. Mais beaucoup renoncent aujourd’hui à la 3ème ou à la 4ème doses de rappel, comprenant qu’ils entrent dans un cycle sans fin de vakxinations quadrimestrielles sans aucun bénéfice pour leur santé, d’autant que le nombre et la gravité des effets secondaires des vakx1s commencent à être connus et documentés. On est très loin, en France, du consentement «libre et éclairé» requis dans ce genre d’acte médical «expérimental», surtout lorsque l’expérimentation n’est pas une réussite. Le retour à la vie d’avant n’est donc pas pour demain, si le pays garde au pouvoir, dans deux mois, les «pieds nickelés» qui le gouvernent aujourd’hui. L’exemple des électeurs israéliens qui ont su chasser du pouvoir «Netanyahu-Vakxinator» inspirera peut être les électeurs français. Notons que Netanyahu est aujourd’hui traduit en justice pour des affaires de corruption et de conflits d’intérêt….

A noter que la proportion de vakxinés n’est plus celle annoncée par les autorités dans la mesure où un part importante d’entre eux refusent d’entrer dans le cycle infernal des injections bientôt trimestrielles imposées par l’exécutif en acceptant les 3ème ou 4ème injection. Ces vakxinés sont donc repassés sous statut de non vakxinés et n’ont plus droit au sésame vakxinal. Certains regrettent déjà d’avoir cru aux promesses de janvier 2021 du retour à la vie d’avant contre deux injections vakxinales …..

Ces chiffres français sont d’ailleurs peu fiables car ils émanent des autorités sanitaires et politiques françaises qui ont déjà beaucoup, beaucoup trop menti depuis le début de cette épidémie …..

Peut être devraient-elles regretter de ne pas avoir utilisé toute la palette des traitements précoces existant sur le marché et d’avoir interdit aux médecins de ville de soigner et de prescrire des molécules jugées efficaces presque partout ailleurs dans le monde……. Bien sûr, elles rendront les nouveaux variants, plus malins qu’eux, et les non vakxinés responsables de l’échec de leur stratégie …. sans jamais se poser la question qui tue: Les vakx1s expérimentaux anti COVlDélaborés à la va-vite, ont-ils ou non l’efficacité qu’on leur prête?

Pour le nombre des décès, la France a franchi la barre des 132 000 déclarés en ce début de février.

Chacun notera avec intérêt que le pic de mortalité (variant delta) de février 2022 est bien plus sévère que celui d’août 2021. Autrement dit, plus on vakxine en France et moins la population fragile, pourtant très vakxinée, semble protégée des formes graves. Ce constat devrait interroger sérieusement le conseil dit « scientifique » et les politiques qui devraient se rendre à l’évidence. Plus que le virus COVlD, c’est l’hiver et les comorbidités qui tuent. Et il n’existe pas de vakx1 contre l’hiver ……

Le taux de mortalité COVlD français reste, à ce jour, près de 3 fois supérieur à la moyenne mondiale avec 2,02 décès pour mille habitants en 2 ans, pour une moyenne mondiale de 0,74 pour mille.

Pour le nombre des décès, la France reste à la quatrième place européenne (sur 48 pays ou territoires) derrière la Russie, le Royaume Uni et l’Italie. Merci aux autorités de santé et à l’exécutif qui ont interdit aux médecins de prescrire les traitements précoces efficaces, avec le consentement éclairé de leurs patients …. Pour le taux de mortalité de l’épidémie, la France fait désormais, et pour la première fois, pire que l’Espagne …. (2,018 décès/1000h contre 2,014/1000h)

1-5- La situation de l’Espagne, pays latin vakxiné à 85%, ressemble à celle de l’Italie et de la France.

Le nombre des décès s’inscrit en hausse sur les 7 derniers jours (+ 4%). Depuis qu’elle a levé toutes les mesures coercitives, la situation de l’Espagne se détériore moins vite que celle de la France ….

1-6- La situation de l’Allemagne poursuit son amélioration :

Si le nombre de cas hebdomadaires Omicron déclarés augmente (+ 27% en 1 sem), celui des décès (variant delta) diminue progressivement (- 3%) malgré l’effet hivernal. L’Allemagne aurait vakxiné d’une première dose, à ce jour, 75% de sa population, 74% auraient reçu les deux doses et 12,8% ayant contracté et guéri de la maladie seraient immunisés naturellement. Pas besoin d’être sorti de Polytechnique pour réaliser qu’en 2021 la vakxination n’aura servi strictement à rien en Allemagne. L’évolution de la courbe en janvier nous répète que, comme ailleurs, c’est l’hiver qui tue. Et il n’existe pas de vakx1 contre l’hiver.

1-7- Avec un taux de mortalité de 2,5 décès par millier d’habitant, la Belgique, siège des institutions européennes, pays de brassage et de passage, restera un pays «cluster».

2- L’Amérique septentrionale

Le nombre hebdomadaire de cas déclarés et de décès a explosé en Janvier aux USA, champions du monde de la malbouffe et de l’obésité, et dans le peloton de tête de la gestion calamiteuse du « tout vakxinal ».

75% des citoyens US auraient reçu une première dose de vakx1, 64% auraient reçu les deux. Les citoyens US seraient donc plus vakxino-sceptiques que les français, ou peut être plus fermes dans leurs convictions. Il est vrai que toute la panoplie des mesures contraignantes appliquées en France n’a pas pu l’être aux USA pour des raisons constitutionnelles ….

Courbe des tests positifs US déclarés au cours de l’épidémie

L’épidémie est loin d’être éradiquée aux USA. Bien pire que prévu en 2021, le nombre des décès a passe le cap des 924 500 au 5 février 2022 (200 fois les pertes déclarées par la Chine), malgré le vakx1 …

En 2020, année COVlD gérée par l’administration Trump, le nombre des décès US avait été de 370 000 pour 20,5 millions de cas déclarés (sans vakx1s). Trump avait été lynché par la meute médiatique occidentale, contrôlée par l’état profond US et ses relais en UE, pour sa gestion jugée calamiteuse de l’épidémie. En 2021-2022, années COVlD gérées par l’administration Biden, le nombre des décès US a très largement dépassé celui de 2020 pour s’établir à 925 000 décès, donc + 51% de décès pour la gestion Biden en 2021-22. Ce triste bilan est obtenu alors que 542 millions de doses de vakx1 ont déjà été injectées à la population US (334 Millions d’h) en 2021-22 par l’administration Biden …..

Le lecteur aurait-il entendu les médias critiquer Biden pour les résultats de sa gestion de l’épidémie bien plus désastreux que ceux de Trump ? Aurait il entendu dire que l’efficacité du vakx1 n’est pas du tout celle annoncée par Big Pharma ?

«On peut débattre de tout sauf des chiffres»: de tels résultats d’une campagne de vakxination de masse avec un vakx1 vendu pour une efficacité de plus de 95% devrait interroger les responsables politiques du monde entier d’autant que les pays les moins vakxinés d’Asie et d’Afrique sont très loin d’afficher des résultats aussi calamiteux ….. et que les personnes à risque sont beaucoup plus vakxinées que les autres …. ce qui devrait entraîner une baisse rapide des décès si les vakx1s étaient efficaces.

Au Canada, les nombres de nouveaux cas et de décès ont suivi la courbe US. Forte crue fin décembre-début janvier, décrue rapide depuis le 7 janvier Le taux de mortalité COVlD déclaré par les canadiens (0,9/1000h) reste inférieur de plus de moitié à celui de l’Europe (2,18/1000h) et de plus des deux tiers à celui de son voisin US (2,77/1000 h).

3 – L’Asie

Rapportée à la population, la mortalité y reste dérisoire, très inférieure à la moyenne mondiale. La situation s’est détériorée sensiblement en janvier 2022.

L’Asie de l’Est et du Sud-Est (Chine, Japon, Vietnam, les deux Corées, Taïwan, Philippines, Indonésie, Laos, Cambodge, Malaisie, Birmanie …) reste donc toujours très peu touchée par la pandémie comparée au reste de l’Asie et du monde. La situation s’y détériore légèrement quasiment partout à l’exception du Myanmar, du Vietnam, des Philippines, de la Malaisie et de la Corée où la situation s’améliore.

L’Indonésie, actuellement pays le plus touché d’Asie de l’Est, enregistre un taux de mortalité encore dérisoire de 0,519 décès/1 000 h (inférieur à la moyenne mondiale de 0,737). Taïwan, pays parmi les moins touchés et qui n’a jamais adopté de confinement national, déclare un taux de mortalité de 0,036 décès pour mille h (851 décès de la COVlD en 2 ans pour 24 millions d’h). Le Japon, quant à lui, déclare 19 039 décès pour 126 millions d’h soit 0,151 décès /mille h.

C’est donc l’Asie de l’Ouest (Inde, Iran et pays voisins du Moyen-Orient), qui a enregistré l’essentiel des pertes en Asie. Ces pertes restent très limitées si on les rapporte au nombre d’habitants. Le taux de mortalité COVlD déclaré par l’Inde (0,358 décès pour 1000 h) reste dérisoire comparé à la moyenne mondiale (0,737 /1000h) ou à celle de l’ Europe (2,18 pour 1000h).

S’agissant de l’Iran, ce pays est toujours un pays sous sanctions économiques «maximales» de la part des USA (au profit d’Israël) et enregistre le 3 ème taux de mortalité le plus élevé d’Asie (1,548 décès/millier d’h), derrière la Géorgie, et l’Arménie qui a cumulé la guerre et la COVlD.

La contamination a explosé en Janvier en Israël, l’un des meilleurs élèves de la classe «tous vakxinés-tous protégès». En six semaines, du 14 décembre 2021 (595 cas/jour, moyenne sur 7j) au 23 janvier 2022 (72 913 cas/jour, moyenne sur 7 jours), le nombre de contaminés a été multiplié par 122Le nombre de décès est passé de 1 décès/jour le 31 décembre 2021 à 66 décès/j moyenne sur 7 jours, le 4 février 2022. Pour le pays phare de l’expérimentation vakxinale, le résultat est tout simplement un immense fiasco, quoi que puissent en dire les médias mainstream payés pour minimiser l’échec.

L’épidémie est donc très loin d’être éradiquée en Israël. Les hospitalisations d’aujourd’hui sont en majorité des doubles, triples ou quadruples vakxinés. On y est donc très loin du retour à la vie d’avant promis l’année dernière à la même époque par les promoteurs du vakx1 ….. même si Israël a renoncé à toutes les mesures liberticides qu’il avait adoptées.

Israël avait déclaré 3 325 décès en 2020, sans vakx1. Elle en était à 8 243 décès le 31 décembre 2021 soit 8 243 – 3 325 = 4 918 pour l’année 2021 avec le vakx1. L’année 2022 est bien partie pour être pire encore puisque Israël à déclaré 868 décès pour les 5 premières semaines de l’année 2022. Le vakx1 n’est donc pas aussi efficace qu’annoncé par Big pharma, puisque la situation continue de se détériorer en 2022, malgré la multiplication des injections vakxinales sur les personnes les plus fragiles …..

Cette mortalité asiatique, y compris celle de l’Inde et de l’Iran, reste aujourd’hui très inférieure à celle des continents américain et européen.

Tableau présentant la situation du 5 février 2022 des 20 pays d’Asie ayant dépassé les 9 000 décès (95 % des pertes en Asie)

4 – L’Amérique latine 

Avec plus de 1,6 millions de décès déclarés, l’Amérique latine n’est plus la région du monde la plus affectée par l’épidémie à ce jour, ni pour le taux de mortalité (remplacée par l’Amérique du Nord, ni pour le nombre des décès (remplacée par l’Europe). Sous continent le plus vakxiné au monde, l’Amérique latine a vu sa situation se détériorer très fortement en Janvier 2022.

En Amérique latine, les pertes humaines hebdomadaires déclarées sont en hausse très sensible à 15 154 décès déclarés. La situation se détériore quasiment partout. Elle ne s’améliore qu’en Équateur , en Bolivie, au Surinam et en Guyana (ces 3 derniers pays étant, curieusement, les moins vakxinés du sous continent). La situation est stable en Colombie.

Le bilan brésilien reste le plus lourd avec un tiers des pertes «latinos» de la semaine passée. Le nombre des décès hebdomadaire (du variant delta) s’y inscrit en forte hausse (732 décès/jour (moyenne des 7 derniers j).

Les décès se concentrent dans huit États qui déclarent près de 95 % des décès et plus de 21 000 décès chacun. Les autres pays des Caraïbes et d’Amérique du Sud restent encore relativement épargnés par l’épidémie.

Au Mexique, le nombre hebdomadaire de décès est, lui aussi, en nette hausse (+ 45% sur la moyenne des 7 derniers jours).

Tableau présentant la situation du 5 février 2022 des huit pays d’Amérique latine ayant dépassé les 21 000 décès (93 % des pertes)

5 – L’Afrique

Continent le moins vakxiné, se porte toujours très bien (comparé au reste du monde) :

La mortalité liée au COVlD y reste dérisoire. Elle est en hausse en Afrique du Sud, pays qui a révélé le variant Omicron il y a deux mois. L’Afrique du Sud, sur le podium de la vakxination africaine, compte à elle seule 37,5 des décès du continent pour 4,3 % de sa population.

Avec la Tunisie, l’Égypte, le Maroc, l’Éthiopie, et l’Algérie, seuls autres pays d’Afrique à dépasser les 6 100 décès COVlD déclarés depuis janvier 2020, elle regroupe 73 % des décès africains de la COVlD.

La fermeture des frontières avec l’Afrique à l’initiative des Européens pour éviter la contamination COVlD prêtait à sourire. Ce sont les Africains qui devraient se protéger de l’immense cluster qu’est devenue l’Europe vakxinée, toujours épicentre de l’épidémie, qui compte encore aujourd’hui 30 % des décès COVlD de la planète. La semaine dernière 207 457 nouveaux cas pour toute l’Afrique, 10,2 millions en Europe …. Sans commentaire.

Par ailleurs le lecteur notera que les deux pays africains qui ont choisi une stratégie « à l’occidentale» de gestion de la crise sanitaire (Rejet du traitement précoce à la chloroquine, stratégie du tout vakxinal): L’Afrique du Sud et la Tunisie totalisent 51% des pertes africaines alors qu’ils ne représentent que 5% de la population.

Si le lecteur n’en conclue pas que la gestion à l’occidentale ne tient pas la route et ne doit surtout pas être imitée, il a de gros souci à se faire pour ses capacités cognitives…

6 – L’Océanie

En Janvier 2022, la COVlD-19 a explosé sur ce continent malgré un taux de vakxination de 65%. L’Australie qui compte 62% de la population du continent Océanien, déclare 63% des pertes en dépit des mesures liberticides les plus draconiennes au monde et un taux de vakxination de 84%, très supérieur à celui de ses voisins. On y cherche, en vain, le miracle vakxinal (On peut débattre de tout, sauf des chiffres)

Sur 43,5 millions d’habitants, l’Océanie a déclaré, à ce jour, 2,88 millions de cas, dont 2,32 millions en Janvier 2022, en plein été austral; 2,54 millions auraient déjà été guéris et 6 487 seraient décédés (dont 1 984 depuis le 1er Janvier 2022). Le nombre de cas critiques est passé de 172 au 1er Janvier à 372 au 5 février 2022….. . Le continent océanien a déclaré 623 décès (moyenne sur 7j) la semaine dernière. Il en déclarait 62 (dix fois moins) en dernière semaine de décembre. Son taux de mortalité COVlD de 0,15 décès pour mille habitants, depuis le début, reste toutefois dérisoire (France: 2,018), et très inférieur au nombre de décès liés à la circulation routière sur le continent océanien.

*

Nombre de décès déclarés pour 1 000 habitants des 34 pays de la planète qui ont déclaré plus de 24 000 décès.

Commentaires sur le tableau ci dessus :

1 – Onze pays de l’OTAN, dont les puissances majeures, se situent dans les 20 premières places de ce triste classement mondial, alors même qu’ils sont les plus vakxinés au monde. Les autres pays membres de l’OTAN ne sont d’ailleurs pas très loin: Grande fragilité des populations âgées et en surpoids? Faillite des systèmes de santé ? Très faible efficacité des vakx1s? Ou incompétence des gouvernances ? Quelles que soient les réponses à ces questions, elles n’augurent rien de bon en cas de conflit majeur impliquant tout ou partie de l’OTAN … contre un adversaire potentiel eurasiatique (Chine, Russie, Iran) ….

Rappelons que les 30 pays de l’OTAN qui ont adopté la stratégie du «tout vakxinal», en parfaite imitation de leur maître états-uniens, regroupent 955 millions d’habitants, soit 12% de la population mondiale. Ils ont déclaré un total de 2,15 millions de décès soit 37,4% des pertes totales de la pandémie et un taux de mortalité de 2,25 décès pour 1000 habitants. Le reste du monde, qui compte 6,97 milliards d’habitants a donc déclaré 3,60 millions de décès pour 88% de la population mondiale, soit un taux de mortalité de 0,52 pour 1000 habitants, plus de 4 fois inférieur à celui des pays de l’OTAN. Dans la « guerre à la COVlD 19 », la stratégie otanienne et mondialiste du « tout vakxinal » a donc été un échec puisque les pertes ont été «massives», comparées au reste du monde, sans préjuger d’ailleurs des pertes collatérales liées aux effets secondaires des vakx1s. L’avenir proche nous éclairera toujours plus sur les bilans comparés des différentes parties du monde «multipolaire» selon les stratégies appliquées. On peut débattre de tout sauf des chiffres surtout lorsque le rapport est de 1 à 4 …..

En raison des conséquences de l’affaiblissement économique de l’occident et des bascules de puissance en cours de réalisation, l’OTAN devra revoir sa politique d’ingérence tous azimuts et ses ambitions à la baisse, y compris en Ukraine ….. Les retraits occidentaux d’Afghanistan et du Mali en 2021 en ont été les premiers signes tangibles…. Il y en aura d’autres en 2022 …

2 – Les donneurs de leçons anglo-saxons (USA, UK) et, à un moindre degré, l’Allemagne et la France, pays qui tiennent encore le haut du pavé dans les institutions internationales (OMS, ONU, FMI, Banque mondiale, UE, OTAN), sont désormais assez mal placés pour prodiguer leurs conseils, avec condescendance, au reste du monde, et pour ramener leur «science» à tout propos. Les pays du tiers monde ont observé avec intérêt la gestion «à l’occidentale» de la crise sanitaire. Ils sauront, au fil du temps, se rallier aux partenaires les plus fiables du moment …. accélérant ainsi le déclin en cours de ceux qui ont failli.

3 – Quant à l’Inde qui a fait l’objet de l’hystérie des médias «covidistes» en juin 2020, force est de reconnaître que, rapporté à sa population, son taux de mortalité déclaré depuis le début de l’épidémie reste encore près de 5 fois inférieur à celui de notre pays. Les États de la fédération indienne sont des États qui ont très majoritairement fait le choix des traitement précoces efficaces et peu onéreux (ivermectine, chloroquine, azytromycine), choix que les pays occidentaux ont refusé de faire pour privilégier un vakx1 qui est aujourd’hui en situation d’échec face aux nouveaux variants du virus en Israël, aux USA, au Royaume Uni, à Singapour, aux Emirats… et ailleurs… 

4 – La Chine ne figure pas dans ce triste palmarès parce qu’elle n’a déclaré que 4 636 décès depuis début 2020 et aucun décès en 2021. On me rétorquera, bien sûr, le slogan habituel bien connu: « La Chine ment ». Si c’était le cas, la vérité aurait forcément filtré via nos représentations diplomatiques, les nombreux binationaux vivant sur place, les espions occidentaux infiltrés, l’OMS, les ONG ….etc. L’économie chinoise ne tournerait pas à plein régime. Toute argumentation de mauvais perdant ne tient donc pas la route. Les occidentaux ne devraient-ils pas, pour une fois, faire preuve d’humilité et demander quelques conseils de nature sanitaire aux chinois ? Rappelons, pour la forme, que le vakx1 n’est pas obligatoire en Chine…

*

Un tableau présente ci après les bilans du 5 février 2022 0h00 GMT des 61 pays ayant déclaré plus de 9 000 décès (96% des pertes)

*

Tableau de données concernant l’Europe (et l’UE) face à l’épidémie le 5 février 2022 0h00 GMT

Rappel : taux de mortalité COVlD mondial en 2 ans: 0,74 décès /mille h et européen: 2,18 décès/mille h

Nombre de décès COVlD déclarés par millier d’habitants et depuis février 2020, des 34 pays européens de plus de 1,5 million d’habitants affectés par l’épidémie (au 5 février 2022 0h00 GMT)

Commentaires sur les deux tableaux ci dessus :

1 – Les pays du Nord de l’Europe ont beaucoup mieux géré cette épidémie que les autres.

2 – Sans confinements, ni mesures contraignantes, voire répressives, la Suède a fait mieux que la plupart des grands (et moins grands) pays européens, et son taux de mortalité (1,583/1000h) est nettement inférieur au taux moyen européen (2,18/1000h) alors même que sa population, jamais confinée, plus âgée, moins vakxinée que la notre, a été l’une des plus «contaminée» au monde: 22,4% de la population suédoise ont été testés positifs.

Il y a eu manifestement, en Suède, une prise en charge et des traitements précoces des patients, meilleurs que dans d’autres pays ….. Les faits ont montré que les «experts» qui prévoyaient 96 000 décès en Suède pour la fin d’avril 2020 se trompaient très lourdement; et que les médias et les politiques qui relayaient bêtement les délires des «experts», jusqu’à prophétiser, pour certains, 400 000 décès pour la France à l’automne 2020 se trompaient aussi… Aucun d’entre eux n’a jamais reconnu ses erreurs …… ni présenté d’excuses pour avoir paniqué (délibérément?) les populations en relayant des «fake» prévisions …

3 – La Suède, dont la stratégie et la ténacité ont payé, est sortie du groupe des 55 pays les plus touchés au monde. Si l’on en croit sa courbe de décès, la Suède est quasiment sortie d’affaire depuis près de six mois, même si elle a connu, comme les autres pays européens, un épisode Omicron en Janvier 2022 s’ajoutant au delta. Elle a compté jusqu’à 36 décès/jour (moyenne sur 7j) le 26 janvier, mais en une semaine le nombre de décès a déjà diminué de moitié. Elle s’en sortira donc avant beaucoup d’autres pays européens …. et avec beaucoup moins de casse ….. Son taux de mortalité COVlD (1,58 pour 1000h) est très inférieur à la moyenne européenne (2,18 pour 1000h) et à celui de la France (2,02 pour 1000). Elle n’aura connu que 2 vagues significatives et une «vaguelette hivernale » en janvier 2022 et ne délire pas aujourd’hui sur la 5ème vague. Comme c’est curieux, on n’entend plus les journalistes, les professeurs de plateaux TV et les politiques français, donner des leçons à la Suède ……

5 – Quant à la Biélorussie, non confinée, peu vakxinée (45 % seulement ont reçu deux doses), objet de sanctions occidentales visant à déstabiliser sa gouvernance pour « emmerder » la Russie; pays qui recevait des exhortations de l’OMS, des pressions du FMI, des conseils de confinement du président français, grand spécialiste de la chose, et des torrents de critiques des politiques et des médias mainstream occidentaux qui voulaient «ramener leur science» et voir ce pays singer les décisions débiles de leurs gouvernances dans la gestion de la crise sanitaire, il s’en sort avec un taux de mortalité de 3 à 5 fois inférieur à celui des donneurs de leçons: l’un des meilleurs d’Europe (0,648 pour mille habitants). Il est vrai que ce pays n’a pas été une destination touristique très prisée des occidentaux, principaux porteurs et vecteurs d’infection et surtout de chaos et de guerre sur la planète, aujourd’hui comme hier.

*

Enfin, pour ceux qui s’intéressent aux résultats de la vakxination en Europe, voici un tableau d’évolution de la mortalité entre les années 2020 (sans vakx1) et 2021 (avec vakx1). Chacun pourra l’interpréter à sa manière …. en n’oubliant pas que, les personnes à risque ayant été vakxinées en priorité, les résultats sur la baisse de la mortalité auraient dû se percevoir très vite au cours de l’année 2021….. ce qui n’a pas été le cas, bien au contraire……

Les quelques pays qui ont enregistré moins de décès en 2021 qu’en 2020 sont parfois les pays qui avaient tellement mal démarré la gestion de la crise en 2020, qu’ils pouvaient difficilement faire pire en 2021 (C’est le cas de la France et de l’Italie).

Dominique Delawarde

Photo d’illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Overdose. Le documentaire à partager.

Overdose de perversion, d’injustice et de mensonge dans la stratégie sanitaire et vakxinale.
À quoi sert le pass ?
Pourquoi déjà 3 millions d’effets dits « secondaires » ont été déclarés à travers le monde ?
Pourquoi observe-t-on des rechutes de cancer, des maladies neurodégénératives rares et de telles perturbations du système immunitaire ?

Pour comprendre, Renard Buté, pour la première fois en binôme avec Belette Rusée, vous emmène faire un petit tour, avec la protéine Spike, à l’intérieur des cellules.

A partager sans modération

https://odysee.com/@RenardBute:3/Overdose:1

Témoignages des effets indésirables des vakx1s Covid :

https://t.me/temoignagesdangerVaccincovid

Pharmacovigilance française : https://ansm.sante.fr/
Pharmacovigilance européenne : https://www.adrreports.eu/
Pharmacovigilance américaine : https://vaers.hhs.gov/

Hospitalisations :

Décoder l’éco : « Non, les non-vakxinés ne saturent pas les réanimations ! »
https://www.youtube.com/watch?v=Or5KmoQhkdM

DRESS : https://data.drees.solidarites-sante.gouv.fr/pages/accueil/

Études et autopsies sur les effets secondaires : Dr John B.


https://t.me/DrJohnB

Pathologies cardio-vasculaires :

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33440640/ https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCRESAHA.121.318902 https://www.ahajournals.org/doi/full/10.1161/CIRCULATIONAHA.121.056135 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34664804/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34866122/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205194/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32887634/ https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.12.21.423721v1 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33872783/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34591186/

Cancer :

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8538446/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34696455/

Maladies neurodégénératives :

https://scivisionpub.com/pdfs/covid19-rna-based-vaccines-and-the-risk-of-prion-disease-1503.pdf
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22718614/ https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2211034821005885 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8006515/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32681865/

Echappement immunitaire

https://www.voiceforscienceandsolidarity.org/videos-and-interviews/second-call-to-who-please-dont-vaccinate-against-omicron

ADE :


https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34579572/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32908214/

Immunodéficience :


https://childrenshealthdefense.org/defender/covid-vaccines-suppress-immune-system/
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2021.656700/full
https://www.nature.com/articles/s41418-022-00936-x

Maladies auto-immunes :


https://www.nature.com/articles/s41418-022-00936-x
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.08.11.455921v1.full.pdf
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0008382

Comment les vakx1s C0VlD suppriment votre système immunitaire

Mohamed Tahiri

 Mohamed Tahiri

Les vakx1s peuvent offrir une protection spécifique, mais des études suggèrent qu’ils peuvent avoir des conséquences involontaires sur notre système immunitaire.

Dans un article de recherche non évalué par des pairs publié cette semaine, Stephanie Seneff, Ph.D., décrit un mécanisme des injections de C0VlD qui entraîne la suppression de votre système immunitaire inné . Pour ce faire, il inhibe la voie de l’interféron de type 1.

Dans cette interview, l’invitée de retour Stephanie Seneff, Ph.D., chercheuse principale au MIT qui travaille au MIT depuis plus de cinq décennies, discute de son dernier article, « Innate Immune Suppression by SARS-CoV-2 mRNA Vakxinations ». Le rôle des G-quadruplexes, des exosomes et des microARN », co-écrit avec le Dr Peter McCullough, ainsi que deux autres auteurs, le Dr Greg Nigh et le Dr Anthony Kyriakopoulos.

Auparavant, Nigh et Seneff ont co-écrit un article entier détaillant les différences entre la protéine de pointe et la protéine de pointe C0VlD jab. Dans un article de recherche non évalué par des pairs publié cette semaine sur le service de pré-impression authorea , eux et leurs autres co-auteurs approfondissent les mécanismes des clichés C0VlD, montrant comment ils ne façonnent absolument, en aucun cas. , sont sûrs ou efficaces. Les injections suppriment en fait votre système immunitaire inné.

« Je pense que McCullough est fantastique et je suis tellement heureux qu’il collabore avec moi », a déclaré Seneff. « J’espère vraiment que nous pourrons trouver une revue qui acceptera de le publier. Nous devrons peut-être chercher une sorte de média alternatif pour le faire publier.

C’est vraiment incroyable la quantité de censure qui se passe en ce moment. Je suis tout le temps en état de choc. Je n’arrête pas de penser que ça ne va pas s’aggraver, et ça va vraiment s’améliorer, et ça semble continuer à empirer.

Je ne sais pas où est la fin. C’est très décourageant… Pharma a tellement d’argent derrière [eux] et ils ont tout mis en place pour s’assurer que rien ne les échappe…

Nous espérons le mettre en place en tant que prépublication, mais … remarquablement, ils peuvent également le rejeter au niveau de la prépublication. Nous travaillons sur cet angle, mais ce n’est pas facile. Lorsque vous écrivez quelque chose d’aussi radical, ils se battent vraiment pour le garder hors du Web.

Le 16 janvier 2022, le service de prépublication Authorea a publié cet article sur son site Web, lui attribuant un DOI, le rendant ainsi officiel.

Signaux de sécurité exceptionnellement puissants

Comme l’a noté Seneff, lorsque vous examinez les différentes bases de données pour les effets indésirables, vous pouvez voir un signal de sécurité exceptionnellement fort – et les développeurs de plans C0VlD le savent. « Les chiffres sont hors de vue », dit Seneff, et cela vaut pour tous les niveaux d’effets secondaires, de légers à catastrophiques.

Seneff a examiné les données sur le cancer, par exemple, et en moyenne, il y a deux fois plus de cas de cancer signalés après les injections C0VlD par rapport à tous les autres vakx1s combinés au cours des 31 dernières années.

« C’est tout simplement incroyable, car c’est globalement deux fois [supérieur]. Le cancer du sein, par exemple, est trois fois [plus élevé] pour ces vakx1s en un an, comme pour tous les autres vakx1s depuis 31 ans. C’est un signal extrêmement fort », dit Seneff.

«Le lymphome apparaît également beaucoup plus fréquemment avec ces [C0VlD shots]. Il y a juste un signal incroyable là-bas dans le VAERS [le système américain de notification des événements indésirables liés aux vakx1s]. »

Le fait que le signal soit aussi fort est encore plus remarquable si l’on considère que la plupart des gens ne pensent pas que le vakx1 C0VlD pourrait être une variable dans l’émergence de leur cancer, ils ne le signalent donc jamais. « Cela me laisse perplexe qu’ils soient prêts à faire de tels dégâts à la santé de toute la population du monde. Je ne comprends pas ce degré de méchanceté », dit Seneff.

Perturbation de l’interféron de type 1

Les injections suppriment votre système immunitaire inné en inhibant l’interféron de type 1. L’une des premières études à informer Seneff et McCullough à ce sujet était une étude indienne, dans laquelle des cellules humaines cultivées dans une culture ont été exposées aux nanoparticules d’ADN qui leur ordonnent de fabriquer la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, un peu comme les injections C0VlD faire.

La souche cellulaire est appelée HEK-293. Ce sont des cellules qui ont été prélevées dans les reins d’un fœtus avorté dans les années 1980 et qui sont fréquemment utilisées dans la recherche. Bien qu’elles proviennent des reins, ces cellules ont des propriétés semblables à celles des neurones. Lorsqu’elles sont programmées pour fabriquer des protéines de pointe, ces cellules libèrent cette protéine de pointe à l’intérieur des exosomes – des nanoparticules lipidiques à l’intérieur desquelles la protéine de pointe est emballée.

Les exosomes agissent comme un réseau de communication pour les cellules. Lorsqu’une cellule est stressée, elle libère des exosomes contenant certaines des molécules qui la stressent. Ainsi, dans le cas des injections C0VlD, les exosomes contiennent des protéines de pointe et des microARN. Les microARN sont des molécules de signalisation capables d’influencer la fonction cellulaire. Ils amènent la cellule à modifier son comportement ou son métabolisme. En règle générale, ils le font en supprimant certaines enzymes.

L’étude indienne a trouvé deux microARN spécifiques à l’intérieur des exosomes libérés par ces cellules de type neurone : miR-148a et miR-590. Les chercheurs ont ensuite exposé la microglie (cellules immunitaires de votre cerveau) à ces exosomes. Ainsi, comme l’a expliqué Seneff, vous avez des neurones dans votre cerveau qui produisent des protéines de pointe, ou absorbent des protéines de pointe qui sont en circulation, et réagissent en libérant des exosomes.

Les exosomes sont ensuite captés par la microglie, les cellules immunitaires de votre cerveau. Lorsque les cellules immunitaires reçoivent ces exosomes, elles déclenchent une réponse inflammatoire. Il s’agit principalement d’une réponse à ces microARN, les miR-148a et miR-590. Bien sûr, vous avez également la protéine de pointe toxique là-bas.

Combinés, ils provoquent une inflammation du cerveau, qui endommage les neurones. Cette inflammation, à son tour, peut contribuer à un certain nombre de troubles cérébraux dégénératifs. Les particules lipidiques du vakx1 C0VlD, qui contiennent l’ARNm, sont similaires aux exosomes, mais pas identiques. Ils sont également très similaires aux particules de lipides de faible densité (LDL).

« Je pense que les exosomes sont probablement un peu plus petits. Les particules de vakx1 sont plus grosses. Ils ressemblent plus à une particule de LDL. Les particules de vakx1 contiennent du cholestérol dans leur membrane et des lipoprotéines. Ainsi, ils sont faits pour ressembler à une particule de LDL.

Mais ensuite, ils ajoutent ce lipide cationique, qui est vraiment, vraiment toxique – un lipide cationique synthétique qui le rend chargé positivement. Expérimentalement, ils ont découvert que ce lipide, lorsque la particule est absorbée par la cellule, est libéré dans le cytoplasme, [où] cet ARNm produit ensuite une protéine de pointe.

[The C0VlD shots] sont très intelligemment conçus, à la fois pour protéger l’ARN contre la C0VlD et pour rendre l’ARN très efficace pour fabriquer des protéines de pointe. C’est très différent de l’ARNm que le virus fabrique, même s’il code pour la même protéine.

Seneff a écrit un article entier détaillant les différences entre la protéine de pointe virale et la protéine de pointe C0VlD jab, avec Greg Nigh, qui a été publié dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice and Research en mai 2021. Il sert essentiellement d’amorce pour comprendre ce dont nous discutons ici.Deux microARN, miR-148a et miR-590, excrétés dans les exosomes avec la protéine de pointe, perturbent de manière significative la réponse à l’interféron de type 1 dans n’importe quelle cellule, y compris les cellules immunitaires.

Pour en revenir à l’article indien cité ci-dessus, ils ont découvert que la microglie finissait par produire une inflammation dans le cerveau et que les deux microARN jouaient un rôle central dans ce processus. Le miR-148a et le miR-590 ont été placés dans ces exosomes avec la protéine de pointe, et ces deux microARN sont capables de perturber de manière significative la réponse à l’interféron de type 1 dans n’importe quelle cellule, y compris les cellules immunitaires.

L’interféron de type 1 contrôle également les virus latents comme l’herpès et la varicelle (qui cause le zona), donc si votre voie d’interféron est supprimée, ces virus latents peuvent également commencer à émerger. La base de données VAERS révèle que beaucoup de personnes qui ont été piquées signalent ce type d’infections. L’interféron supprimé augmente également votre risque de cancer et de maladies cardiovasculaires.

La réponse à l’interféron de type 1 est cruciale dans les infections virales

Comme l’a expliqué Seneff, la réponse à l’interféron de type 1 est absolument cruciale en tant que première étape de la réponse à une infection virale. Lorsqu’une cellule est envahie par un virus, elle libère de l’interféron alpha de type 1 et de l’interféron bêta de type 1. Ils agissent comme des molécules de signalisation qui indiquent à la cellule qu’elle a été infectée.

Cela, à son tour, lance la réponse immunitaire et la fait démarrer au début de l’infection virale. Il a été démontré que les personnes qui se retrouvent avec une infection grave par le SRAS-CoV-2 ont une réponse compromise à l’interféron de type 1. Comme l’a noté Seneff :

«Il est ironique que les vakx1s soient administrés pour vous protéger du C0VlD, mais ils produisent une situation dans laquelle vos cellules immunitaires sont mal équipées pour combattre le SRAS-CoV-2 s’il pénètre dans la cellule. Le truc, c’est que le vakx1 produit une énorme réponse anticorps, et c’est typique d’une maladie grave.

Ainsi, le [C0VlD shot] trompe votre système immunitaire en lui faisant croire que vous avez eu un cas grave de C0VlD. C’est vraiment intéressant de cette façon, parce que ça a traversé la barrière muqueuse des poumons, ça a traversé la barrière vasculaire du sang, dans le muscle. De plus, il a été déguisé.

L’ARN ne ressemble pas à un ARN viral, il ressemble à une molécule d’ARN humain. Une partie des modifications [apportées à l’ARNm dans le jab] visait à le rendre très solide, afin qu’il ne puisse pas être décomposé. C’est aussi très bon pour rendre la protéine [spike] rapide, ce qui a aussi un problème car cela conduit à beaucoup d’erreurs, ce qui est un autre problème…

Les cellules immunitaires captent les nanoparticules et les transportent à travers le système lymphatique jusqu’à la rate. De multiples études ont montré qu’il se retrouve dans la rate… les ovaires, le foie, la moelle osseuse… La rate, bien sûr, est très importante pour la production d’anticorps.

Il est important de noter que la réponse en anticorps que vous obtenez du vakx1 C0VlD est exponentiellement plus élevée que celle que vous obtenez d’une infection naturelle, et la recherche a montré que le niveau de réponse en anticorps augmente avec la gravité de la maladie. Ainsi, le tir imite essentiellement une infection grave. Dans le cas d’une infection bénigne, il se peut que vous ne produisiez aucun anticorps, car les cellules immunitaires innées sont suffisamment puissantes pour combattre l’infection sans elles.

C’est lorsque votre système immunitaire inné est faible que vous avez des ennuis, et une partie de cette faiblesse est une réponse supprimée à l’interféron de type 1. Si votre réponse à l’interféron de type 1 est déficiente, vos cellules immunitaires ne sont pas très capables d’arrêter la propagation du virus dans votre corps.

Selon Seneff, la raison pour laquelle la supplémentation en interféron de type 1 n’a pas été recommandée jusqu’à présent est qu’il faut la chronométrer parfaitement pour que la cascade immunitaire fonctionne correctement. L’interféron de type 1 ne joue un rôle définitif qu’au stade le plus précoce de l’infection. Une fois que vous êtes entré dans une phase d’infection modérée ou sévère, il est trop tard pour l’utiliser.

Les injections C0VlD confondent votre système immunitaire

Comme l’a noté Seneff, les injections C0VlD sont si peu naturelles que votre système immunitaire ne sait plus trop quoi faire.

« J’ai l’impression que les cellules immunitaires ne savent pas ce qui se passe. Il y a cette protéine toxique produite en quantités massives par les cellules immunitaires. C’est extrêmement inhabituel. Il n’y a aucun signe d’infection virale car ces ARN ressemblent à des ARN humains.

C’est comme si les cellules immunitaires humaines décidaient soudainement de fabriquer une protéine vraiment toxique et d’en fabriquer beaucoup – c’est exactement ce qu’elles font – et le système immunitaire en est complètement déconcerté. Les cellules immunitaires ne savent pas quoi en faire.

Bien sûr, ces cellules immunitaires qui sont surchargées avec toutes ces protéines de pointe, elles disent : « Je dois me débarrasser de ce truc », alors elles l’expédient sous forme d’exosomes. Les microARN [dans les exosomes] pensent que les cellules réceptrices vont avoir besoin de ces molécules de signalisation particulières pour les aider à faire tout ce qu’elles doivent faire pour faire face à cette charge toxique.

Donc, vous répandez la protéine de pointe dans le reste du corps, juste pour dissiper la toxicité à laquelle vous faites face dans la rate, je pense. Ces exosomes sont également très bons pour former des anticorps. Il y avait un bel article qui montrait que les exosomes libérés [avaient] une protéine de pointe dans leur membrane, l’extérieur de l’exosome.

C’est plutôt cool que la protéine de pointe y soit affichée, car cela permet aux cellules immunitaires – les cellules B et les cellules T qui doivent s’en approcher de près – de comprendre comment façonner leurs anticorps. Les anticorps sont façonnés pour correspondre à la protéine toxique qui est exposée à la surface des exosomes.

Après quelque chose comme 14 jours du deuxième [jab], les exosomes ont induit une réponse anticorps. [Les chercheurs] ont estimé que les exosomes jouaient un rôle essentiel dans cette réponse anticorps extrême produite par les lymphocytes B et les lymphocytes T, le système immunitaire adaptatif.

Mais je pense que la façon dont le vakx1 fonctionne est qu’il n’y a pas de jeu que vous puissiez choisir autre que de fabriquer des anticorps. C’est la seule façon de lutter contre ça. C’est une protéine toxique qui est produite et libérée par ces cellules immunitaires, et la seule chose que vous pouvez faire pour l’arrêter est de fabriquer des anticorps.

Ils essaient de fabriquer de très nombreux anticorps qui se colleront sur ces protéines de pointe toxiques et les empêcheront de pénétrer par le récepteur ACE2. C’est le travail des anticorps. Ils s’en sortent bien, au début… C’est vrai qu’ils vous protègent des maladies. Malheureusement, les niveaux d’anticorps chutent de façon assez spectaculaire, assez rapidement.

Il existe également des anticorps qui renforcent la maladie plutôt que de la combattre, et le niveau de ces anticorps diminue à un rythme plus lent que celui des anticorps protecteurs. Ainsi, après plusieurs mois, vous vous retrouvez avec une réponse immunitaire NÉGATIVE. En d’autres termes, vous êtes maintenant plus sujet aux infections que jamais auparavant. Comme l’explique Seneff :

«Il y a un point de croisement auquel les anticorps stimulants peuvent être plus forts que les anticorps protecteurs, et c’est à ce moment-là que vous pouvez obtenir cette amélioration dépendante des anticorps (ADE) que les gens ont vue dans le passé avec [d’autres] vakx1s contre le coronavirus. Nous essayons toujours de voir si c’est le cas avec [the C0VlD jabs]. Il y a des preuves ici et là, mais ce n’est pas encore concluant. »

L’importance des cellules T cytotoxiques

Après que l’étude indienne ait informé Seneff et McCullough du problème de l’interféron, ils sont tombés sur une étude chinoise qui a suivi l’effet du vakx1 C0VlD sur le système immunitaire au fil du temps. Ici, ils ont découvert que l’infection provoquait une augmentation des lymphocytes T CD8+, d’importants lymphocytes T cytotoxiques qui éliminent en fait les cellules infectées.

Comme l’a noté Seneff, les cellules CD8+ sont une partie importante de la défense contre le SARS-CoV-2. Fait important, les lymphocytes T CD8 + ont été améliorés en réponse à une infection naturelle, mais pas en réponse au vakx1 C0VlD. Eux aussi ont trouvé la suppression de l’interféron de type 1 après l’injection. Ainsi, à la suite du vakx1, non seulement votre réponse de première ligne est déprimée – la réponse à l’interféron de type 1 – mais vous manquez également la partie de la réponse immunitaire qui nettoie les cellules infectées.

Le microARN qui influence le risque de myocardite

Un troisième microARN (ARNm) créé par une infection naturelle par le SRAS-CoV-2 est miR-155, et il joue un rôle important dans la santé cardiaque. Au début de la pandémie, des cas de C0VlD-19 causant des problèmes cardiaques ont été signalés.

Seneff soupçonne que les exosomes contenant miR-155 peuvent également être présents après l’injection et peuvent jouer un rôle dans les lésions cardiaques signalées. Plus précisément, miR-155 est associé à la myocardite. Comme mentionné précédemment, le microARN supprime certaines protéines qui provoquent alors une réponse en cascade compliquée. Lorsqu’une protéine particulière qui est un acteur critique est supprimée par un microARN, une cascade complètement différente se produit.

Pourquoi des problèmes auto-immuns peuvent survenir après le vakx1

Les anticorps produits par le jab contiennent également plusieurs courtes séquences peptidiques qui ont déjà été trouvées dans plusieurs cellules humaines liées à une maladie auto-immune. Senef explique :

« Kanduc a beaucoup écrit à ce sujet. C’est une experte de ces anticorps… La protéine de pointe [SARS-CoV-2] est très superposée à la protéine humaine. Cela signifie que lorsque vous construisez une réponse anticorps très forte à la protéine de pointe, ces anticorps peuvent se confondre et ils peuvent attaquer une protéine humaine qui a une séquence similaire.

C’est une forme classique de maladie auto-immune. C’est ce qu’on appelle le mimétisme moléculaire. Il y avait beaucoup de protéines différentes qui correspondaient. C’était assez surprenant… Il semble être très bien conçu pour induire une maladie auto-immune, si vous produisez des anticorps contre ces séquences dans la protéine de pointe.

Problèmes neurologiques chez les femmes

Les injections sont également étroitement associées à des problèmes neurologiques tels que des tremblements et des secousses incontrôlables. Curieusement, cet effet secondaire touche de manière disproportionnée les femmes. Le mécanisme fait ici encore intervenir les exosomes. Senef explique :

«Je pense qu’il y a un signal très fort pour l’idée, que je pousse, que vous avez ces cellules immunitaires dans la rate qui fabriquent des protéines de pointe et les libèrent dans des exosomes. Il a été démontré dans des études sur la maladie de Parkinson que ces exosomes voyagent le long des fibres nerveuses.

Ils iront le long du nerf splanchnique, ils se raccorderont au nerf vague, ils monteront jusqu’au cerveau et pénétreront dans tous ces différents nerfs du cerveau. Lorsque vous regardez la base de données VAERS, vous voyez des signaux énormes pour toutes sortes de choses qui suggèrent que différents nerfs sont enflammés.

Par exemple, il y a 12 000 cas d’acouphènes associés au vakx1 C0VlD-19, et c’est seulement ce qui est rapporté. Les acouphènes sont un signal fort. L’acouphène va être une inflammation du nerf auditif. Cela signifie que vous devez aller de la rate jusqu’au nerf vague, puis vous connecter au nerf auditif pour provoquer des acouphènes.

Ensuite, vous avez la paralysie de Bell, qui est une inflammation du nerf facial. Vous avez des migraines. Il existe plus de 8 000 cas de migraines, qui sont liées à une inflammation du nerf trijumeau.

Cela va probablement aussi, je suppose, le long des fibres nerveuses de la colonne vertébrale, ce qui peut être à l’origine de certains de ces cas où ils trouvent une paralysie. Les gens ont beaucoup de problèmes de mobilité liés à ces vakx1s.

Je vois la possibilité de causer beaucoup de perturbations à la gaine de myéline, et nous en parlons dans l’article. Cela implique, encore une fois, une signalisation complexe. Vous pouvez accéder au problème de la gaine de myéline par la perturbation de l’interféron de type 1.

Cela, encore une fois, implique quelque chose appelé facteur de réponse à l’interféron 9 IRF9. Cette protéine déclenche la production de sulfatide dans le foie, et cette protéine est supprimée par ces microARN que j’ai mentionnés plus tôt.

Le sulfatide, un important transporteur de lipides, est le seul lipide sulfoné du corps humain. Votre foie fabrique la majeure partie du sulfatide, qui est ensuite transporté par vos plaquettes (cellules sanguines) vers d’autres zones de votre corps. La gaine de myéline contient de grandes quantités de sulfatide. Cela fait partie de ce qui protège la gaine de myéline. Dans les maladies démyélinisantes, ce sulfatide s’érode, permettant finalement à la myéline d’être attaquée.

Seneff pense que le vakx1 C0VlD entraîne des dommages importants à la myéline, grâce à ces exosomes inflammatoires. Ces dommages ne se manifestent pas nécessairement tout de suite, bien que certains destinataires du jab subissent des effets extrêmement dévastateurs. Cela peut prendre 10 ans ou plus avant qu’une maladie démyélinisante ne s’installe.

« Je pense que nous allons voir des gens contracter ces maladies neurodégénératives de plus en plus tôt dans leur vie » , déclare Seneff, « et je pense que toute personne déjà atteinte de l’une de ces maladies connaîtra une progression accélérée ».

Nous pourrions bientôt voir une explosion des cas de Parkinson

Fait troublant, la perte de l’odorat et la dysphagie, l’incapacité à avaler, sont toutes deux des signes de la maladie de Parkinson, et ces deux affections sont signalées par milliers après l’injection. Ainsi, dans les années à venir, nous pourrions assister à une explosion de la maladie de Parkinson.

« Les études de Parkinson ont montré que vous pouvez attraper des agents pathogènes dans l’intestin qui produisent une protéine de type prion, ce qu’est la protéine de pointe. Les cellules immunitaires le récupèrent ensuite et l’amènent à la rate. Ceci, bien sûr, cause du stress.

Une cellule immunitaire stressée dans la rate régule positivement et produit plus d’alpha-synucléine. L’alpha-synucléine est une molécule qui combat l’infection, et c’est la molécule qui se replie mal en association avec la maladie de Parkinson.

Je suis fasciné par toutes ces molécules qui ressemblent à des prions. Il y a la protéine prion elle-même, qui est associée à la MCJ, la maladie de Creutzfeldt-Jakob, mais il y a aussi l’alpha-synucléine et la bêta-amyloïde, il y a le TDP-43, qui est associé à la SLA.

Toutes ces maladies sont surreprésentées dans la base de données VAERS pour les injections C0VlD, par rapport à tous les autres vakx1s combinés sur 31 ans. C’est juste complètement hors sujet.

Il y a 58 cas d’Alzheimer en association avec les vakx1s v, et 13 en association avec tous les autres vakx1s sur 31 ans. C’est plusieurs fois plus – 58 C0VlD 13.

La MCJ est également beaucoup plus fréquente. C’est presque sept fois plus fréquent dans les cas de vakx1 C0VlD . La MCJ est une terrible maladie. Vous devenez très paralysé et mourez après quelques années. C’est la protéine prion classique [maladie]. C’est extrêmement rare. Seulement 1 personne sur 1 million contracte la MCJ.

Il y avait une personne qui m’a contacté de France dont la femme a attrapé la MCJ quelques semaines seulement après le deuxième vakx1. Il était absolument convaincu que le vakx1 en était la cause. Il y a en fait 27 cas [of CJD] signalés dans VAERS pour les vakx1s C0VlD-19, contre seulement quatre cas sur toute l’histoire de tous les autres vakx1s combinés.

Problèmes de santé que nous pouvons nous attendre à voir plus

Avec le temps, Seneff prédit que nous verrons une augmentation spectaculaire des infections et des cancers de tous types, des maladies auto-immunes, des maladies neurodégénératives et des problèmes de reproduction. Comme mentionné, la recherche a démontré que la protéine de pointe s’accumule dans la rate et les ovaires des femmes.

Sans aucun doute, l’inflammation des ovaires n’est pas une bonne chose. Les hommes signalent également des testicules enflés, ce qui pourrait également indiquer une inflammation. Les données préliminaires montrent que les femmes qui reçoivent le jab dans les 20 premières semaines de grossesse ont un taux de fausse couche de 82% à 91%. Il existe également des rapports du VAERS décrivant des lésions fœtales. Bien sûr, cela pourrait également nuire à la fertilité future.

Comme décrit précédemment, certains anticorps produits par le jab peuvent réagir aux protéines humaines. Une protéine similaire à la protéine de pointe que les anticorps attaquent est la syncytine, qui est essentielle à la fécondation de l’ovule. Le problème est que les anticorps pourraient attaquer et détruire la syncytine, perturbant et empêchant ainsi l’implantation dans le placenta.

Omicron—Une bénédiction déguisée ?

Les piqûres perpétuent également le C0VlD, avec des variantes toujours nouvelles du virus.

« Dans le premier article que Greg et moi avons écrit, nous avions prédit que les vakx1s provoqueraient une émergence accrue de variantes de la protéine de pointe, des versions modifiées du virus, sous la pression du vakx1 », déclare Seneff.

« En effet, il me semble que c’est ce qui se passe. Mais j’ai vraiment bon espoir avec Omicron, car Omicron ressemble à un virus plus doux, mais incroyablement infectieux. Cela va traverser la population et donner à tout le monde, essentiellement, un vakx1. C’est un peu comme un vakx1 naturel, je pense.

[La recherche] a montré que… ayant eu Omicron, vous étiez protégé, dans une certaine mesure, de Delta. Delta disparaît de toute façon, parce qu’Omicron le chasse. C’est vraiment super. Je pense qu’Omicron est un cadeau divin du ciel.

Cette bénédiction peut cependant être annulée chez ceux qui ont reçu plusieurs injections C0VlD. Chaque dose érode votre réponse immunitaire, de sorte qu’elle devient de plus en plus compromise à chaque piqûre. Encore une fois, cela a à voir avec la suppression de l’interféron de type 1, discuté plus tôt.

Qu’est-ce qui catalyse les dommages chez les athlètes ?

Plus de 400 cas de problèmes cardiaques graves et de décès ont également été signalés chez des athlètes professionnels, qui comptent parmi les personnes les plus en santé de la planète. Quel mécanisme peut expliquer ce phénomène ? Comment se fait-il que les jabs C0VlD puissent causer suffisamment de dégâts pour éliminer les jeunes avec une biologie optimisée ?

Seneff soupçonne qu’être en forme pourrait vous amener à avoir plus de récepteurs ACE2 dans le cœur, et la partie S1 de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2. Elle pense que la protéine de pointe est délivrée au cœur via des exosomes, via le nerf vague, et, encore une fois, l’exosome miR-155 est associé à des problèmes cardiaques.

De plus, lorsque la protéine de pointe S1 se lie au récepteur ACE2, elle désactive le récepteur. Lorsque vous désactivez l’ACE2, vous obtenez une augmentation de l’ACE, ce qui provoque une hypertension artérielle et élève l’angiotensine 2. Lorsque l’angiotensine 2 est surexprimée, vous pouvez avoir une inflammation intense du cœur. Si vous vous engagez dans un effort intense et que votre cœur est enflammé, vous pouvez déclencher un arrêt cardiaque, ce que nous voyons dans de nombreux cas d’athlètes. Ils s’effondrent sur le terrain.

G-Quadruplex

Un autre objectif de l’article de Seneff et McCullough est quelque chose appelé G4 ou G-quadruplexes.

« Les G-quadruplex sont vraiment fascinants, et je ne les maîtrise pas du tout », déclare Seneff. « C’est de la biologie difficile, encore plus difficile que beaucoup d’autres choses que j’ai lues…

Les G4 sont essentiellement un arrangement de [guanines]. Les guanines sont l’un des quatre nucléotides qui composent l’ADN ou l’ARN. La guanine est le G dans le G4. Ce qui se passe, c’est qu’une séquence de nucléotides sur une chaîne d’ADN ou d’ARN peut se replier sur elle-même et former des G-quadruplexes. Ce sont quatre guanines, à différents endroits sur la protéine, qui s’enroulent et collent ensemble.

Il y a un métal au milieu – souvent du potassium ou du calcium – qui aide à stabiliser ces G4. Ce qui est intéressant à leur sujet, c’est qu’ils structurent l’eau qui les entoure. Ils fabriquent de l’eau gélifiée [c’est-à-dire de l’eau de zone d’exclusion (EZ)]…

Ces G4 peuvent se former dans l’ADN, ce qui l’empêche en fait de devenir actif. [L’ADN] n’est pas converti en ARN, et il ne produit pas de protéines s’il contient ces G4. Probablement, l’eau EZ ne permet à rien de s’approcher. Pensez-y comme étant coincé dans un gel.

Il y a beaucoup de G4 dans les régions promotrices de ces séquences d’ADN, et il y a beaucoup de protéines qui ont ces G4 dans leur région promotrice. Fait intéressant, certaines protéines peuvent les démêler. Il existe des protéines qui peuvent s’y lier et provoquer l’annulation du G4, et qui activent ou permettent l’expression de la protéine.

C’est un élément régulateur qui contrôle quelles protéines sont exprimées à partir de l’ADN. Bon nombre des protéines qui ont ces G4 dans leur promoteur sont des oncogènes du cancer. Tant qu’ils restent gélifiés, ils sont inactifs, mais s’ils deviennent non gélifiés, ils deviennent actifs.

Il s’avère que les protéines prions… [sont] fabriquées à partir d’ARN, et l’ARN a ces G4. La protéine peut se lier aux G4 de l’ARN et les deux réagissent. La théorie est que la protéine devient prion-like. Ces protéines prions ont deux façons d’être, l’une est sûre et l’autre non sûre, et les G4 augmentent le risque de mauvais repliement des protéines prions.

La présence de ces G4 et la rencontre avec ces G4 augmentent le risque de mauvais repliement dans la configuration de type prion. 9 La chose intéressante à ce sujet est que la protéine de pointe est une protéine de type prion. L’ARN qu’ils ont construit pour le [C0VlD jab], ils ont fait ce qu’on appelle l’optimisation des codons, qui impliquait de mettre beaucoup plus de guanines dans l’ARN que [trouvé] dans le [virus] d’origine. Ils ont amélioré la guanine.

Améliorer la guanine signifie augmenter le nombre de G4, ce qui signifie augmenter le risque de mauvais repliement de la protéine de pointe en une protéine de type prion. Je pense que les G4 augmentent le risque, le danger que la protéine de pointe [agisse] comme une protéine de type prion.

Mais nous ne savons pas vraiment quelle sera la conséquence d’avoir tous ces ARN G4 dans le cytoplasme. Nous avons un grand nombre de ces ARN assis là avec leurs G4. Qu’est-ce que cela va faire pour le reste du processus réglementaire du G4? Nous ne savons pas. Personne ne sait. Personne n’a la moindre idée.

Résumé

Pour résumer le point central du dernier article de Seneff, le jab C0VlD provoque la suppression de l’interféron alpha, ce qui affaiblit votre système immunitaire. En effet, les régulateurs de l’Union européenne avertissent désormais que des injections répétées de C0VlD peuvent affaiblir l’immunité globale.

Le principal mécanisme est l’altération de la réponse de l’interféron alpha, qui est essentielle à la bonne activation de votre système immunitaire inné, de votre immunité cellulaire, principalement de vos lymphocytes T et de vos cellules tueuses. Lorsqu’elle fonctionne correctement, la cellule lance la réponse à l’interféron de type 1 dès qu’elle est infectée par un virus.

Il déclenche l’entrée des cellules immunitaires, tue le virus et élimine les débris. Cela active la composante humorale de votre système immunitaire, la production d’anticorps, qui prend plus de temps. (C’est pourquoi ils disent que vous n’êtes pas protégé jusqu’à 14 jours après l’injection.)

Comment l’interféron de type 1 est-il supprimé par le jab ? Il est supprimé car l’interféron de type 1 répond à l’ARN viral et l’ARN viral n’est pas présent dans le vakx1 C0VlD. L’ARN est modifié pour ressembler à la molécule d’ARN humaine, de sorte que la voie de l’interféron n’est pas déclenchée. Pire encore, la voie de l’interféron est activement supprimée par le grand nombre de protéines de pointe produites à partir de l’ARNm dans le tir, et par les microARN dans les exosomes libérés par les cellules immunitaires stressées.

Références

L’hypnose vakxinale de masse expliquée par le professeur Mattias Desmet

par Lucia Gangale (son site)

 Mattias Desmet est professeur de psychologie clinique à l’Université de Gand en Belgique. Il donne des cours de psychothérapie psychanalyse individuelle et aussi de psychologie de la foule. Il est expert en tyrannie, totalitarisme et hypnose de masse.

JPEG

 Dans un podcast publié en ligne, dans des articles et des interviews (par exemple ici), le professeur Desmet explique comment se forme l’hypnose de masse. Lorsque cette période dystopique finira dans les livres d’histoire, nous nous demanderons comment tout cela a pu se produire, mais l’analyse de Desmet nous donne déjà aujourd’hui des indications précises sur ce qui se déroule aujourd’hui sous nos yeux. Comment, c’est-à-dire, il est possible que la vie humaine se soit réduite à être enchaînée et asservie par un QR Code, avec la liberté accordée par les gouvernants à l’échéance des différentes piqûres vakxinales. Comment il a été possible d’échanger sa liberté contre un spritz au bar et de diviser la société entre si-vax et no-vax. Comment notre vie s’est réduite à être scannée par une application, comme si c’était un aliment acheté au comptoir du supermarché. Comment a-t-il été possible de justifier cette dérive au nom d’une urgence permanente, avec un État chantage qui, tout en se protégeant de toute responsabilité pénale et civile, nous dit quoi faire de notre corps au nom de prétendues exigences collectives et de la protection de la santé. Comment il a été possible d’ériger la science en religion et le totem vakxinal en panacée de tous les maux de l’humanité. Comment, tout cela a été possible, entre autres, dans une nation comme la France, au mépris de sa splendide Constitution, de son passé des Lumières et de ses saints principes de Liberté, d’Égalité, de Fraternité.

 Surtout, comme en seulement deux ans il a été possible d’effacer des décennies de luttes et de sang versé pour affirmer les libertés qui nous reviennent en tant qu’êtres humains.

 Le chercheur belge s’interroge depuis longtemps sur l’hypnose collective qui s’opère, même face à des mesures gouvernementales gouvernementales démentes et contradictoires. Une hypnose qui conduit les individus à sacrifier volontairement leur liberté, même maintenant que la variante Omicron, très contagieuse mais non mortelle, semble marquer le tournant vers la fin de la pandémie de Covid 19.

 Selon Desmet, il y a quatre conditions de base pour que la société soit vulnérable à l’hypnose de masse :

 1) Le manque de liens sociaux, l’isolement et la peur qui en résulte ;

 2) Ne pas concevoir un sens ou un but dans sa vie ;

 3) L’anxiété fluctuante (il suffit de voir le nombre de médicaments contre l’anxiété et la dépression prescrits chaque année) ;

 4) Niveaux élevés de frustration et d’agressivité.

 Des mensonges et des contradictions alimentés par le courant dominant ont été crus vrais par les masses, sans cesse tendues par un récit inspiré de la peur du virus et de la haine envers les réticents au vakx1 ou envers ceux qui se posent des questions contraires aux décisions gouvernementales. Ces derniers, considérés comme des parias dont il faut se moquer et qui sont exclus de la société, même s’ils sont médecins, scientifiques et des prix Nobel.

 Desmet dit : « Les parents qui font piquer si avidement leurs enfants entrent dans la conscience de la foule qu’on appelle « formation de masse ». Ce changement social se produit quand il y a ou il y a eu une période de peur fluctuante, et c’est un pas sur la route vers un état totalitaire. Le totalitarisme commence toujours par une formation de masse au sein de la population.

 Ce n’est pas la même chose qu’une dictature. Dans une dictature, les gens obéissent par crainte fondamentale du dictateur au sommet, mais le totalitarisme est le contraire. Les gens sont hypnotisés pour obéir « au bien de la collectivité ». (…) Ils ne sont plus rationnels ou critiques comme autrefois, ils ne suivent plus la logique ».

 La raison pour laquelle tant de gens sont disposés à participer à ce délire collectif, « est que dans ce récit ils trouvent un nouveau lien social. La science, la logique et l’équité n’ont rien à voir avec tout cela ».

 Desmet met en évidence la différence entre une dictature montante et le totalitarisme : « En règle générale, dans une dictature classique, le dictateur devient plus doux et moins agressif une fois que les voix dissidentes, son opposition, sont réduites au silence. Une fois qu’il a pris le pouvoir complet, il n’a plus besoin d’être agressif et peut recourir à d’autres moyens pour garder le contrôle. Dans un état totalitaire, c’est le contraire qui se produit. Cela est fondamental à comprendre, parce que dans une société totalitaire, une fois que l’opposition est réduite au silence, c’est alors que l’État commet ses atrocités les plus grandes et les plus cruelles ».

 Ces deux dernières années, les idées dissidentes sur le Covid et les vakx1s ont été ponctuellement réduites au silence. On se demande alors quand la science est devenue définitive et incontestable et lorsqu’elle est fermée à tout dialogue. Et pourquoi, après deux ans, la propagande martele-t-elle de plus en plus sur le vakx1 unique pour tous, en arrivant à de véritables formes de persécution à l’égard de personnes saines, coupables seulement de refuser un traitement médical imposé ? Comment se fait-il qu’après ses années, on compte le plus grand nombre de contaminations parmi les détenteurs du pass sanitaire, puisque les non vakxinés ont été, de fait, empêchés même de vivre et de se déplacer librement ? Où est la logique de toutes ces mesures qui sont politiques et, bien sûr, non sanitaires ?

 De fait, aujourd’hui, la politique s’est emparée de la vie biologique. Le fameux code de Nuremberg et le « consentement éclairé » naquirent précisément comme défense de l’individu face à certaines extensions dangereuses du pouvoir politique.

 L’histoire nous enseigne que les masses ont toujours cru au dictateur de quart et que l’erreur a duré jusqu’à ce que les nations soient plongées dans l’abîme des guerres et de la spoliation des droits fondamentaux des peuples.

 Aujourd’hui, à l’époque numérique, nous vivons une forme inédite de coup d’État déguisé en politique sanitaire, entre des décrets sortis en un court laps de temps et une inoculation perpétuelle érigée en nouvelle forme de foi salvifique. Le tout assailli par la hâte et l’arrogance du Léviathan sanitaire, toujours plus nerveux et toujours plus dévorant les vies de chacun, vakxinés ou non vakxinés, désormais plus “humains”. L’histoire nous apprend que même les sorts se cassent, peu importe le temps que ça prend. C’est une période de vigilance que d’attendre que le rideau tombe sur cette comédie de l’absurde, avec tous ses tristes personnages, et que la Vie qui, malgré toute la violence à laquelle elle se heurte cycliquement, gagne sur tout, alors que cette fausse bonne gouvernance finit par se dévorer elle-même. 


Sur le même thème

Du Covid à la formation psychotique des masses
6 millions de non-vakxinés: le seul parti politique qui décidera de l’élection présidentielle de 2022
2022, on dystopie ou on dit stop?
Nous sommes sous hypnose : la preuve par le nucléaire !
Le miracle Pfizer, ou comment envoyer discrètement et massivement les vakxinés au Paradis

Pfizer – La plus grande escroquerie mondiale détricotée !

Voici les preuves implacables, dans une présentation brillante qui démontre, de façon très simple et accessible à tous, à quel point les études de Pfizer sont truquées du début à la fin, avec la complicité des autorités sanitaires, politiques et des médias.
Cet exposé d’une association de 500 docteurs, chercheurs et praticiens de la santé Canadiens, doit devenir viral à l’heure des discussions sur le pass vaccinal. Le monde entier doit connaître la vérité !

Par @ExcaliburTraduction

blob:https://odysee.com/b79660b9-cec5-4bc4-a431-a677e052ea40

Il n’y a pas de mot pour qualifier ce scandale, l’enquête est canadienne mais, comme tout le monde est susceptible d’être injectés, nous devons prendre en compte cette enquête. Nous devons demander l’arrêt immédiat de ces injections toxiques. Partagez !

Version PDF de la présentation :
https://www.canadiancovidcarealliance.org/wp-content/uploads/2021/12/The-COVID-19-Inoculations-More-Harm-Than-Good-REV-Dec-16-2021.pdf

Vidéo originale sur le site de Canadian Covid Care Alliance :
https://www.canadiancovidcarealliance.org/

Vidéo sur les sportifs :
https://rumble.com/vpnxkr-are-these-side-effects-extremely-rare.html

Article sur les sportifs décédés ou malades suite aux injections :
https://report24.news/ab-13-jahren-lange-liste-ploetzlich-verstorbener-oder-schwerkranker-sportler/

Source ExcaliburTraduction:
https://odysee.com/@ExcaliburTraduction:4/Pfizer-inoculation-Do-More-Harm-Than-Good-doubl%C3%A9e:d

Technologies des nano-circuits dans le corps humain

Très belle présentation synthétique mais néanmoins très documentée de Chloé Frammery dans le cadre de l’Info en questions n° 82 sur les technologies de nano-circuits destinés à être injectés dans le corps humain et peut-être déjà expérimentées dans les injections actuelles.

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/NanoCircuitsVaccins:1
Documents relatifs à la présentation:

Présentation « Nanocircuits dans les vaccins » :
http://gerardscheller.ch/Presentation-IEQ82-Nanocircuits_dans_les_vaccins.pptx
PDF : http://gerardscheller.ch/Presentation-IEQ82-Nanocircuits_dans_les_vaccins.pdf
• Le Dr. Pablo Campra a observé des nano-circuits dans les 4 injections permettant : contrôle neuronal, détection bluetooth : https://rumble.com/vrsxi6-du-graphne-dans-les-injections-.html
• L’expérience interdite (détection bluetooth des injectés) : https://crowdbunker.com/v/frlM4D1haF
• Publication de Dr Pablo Campra – 29.11.21 téléchargeable ici : https://www.researchgate.net/publication/356507702_MICROSTRUCTURES_IN_COVID_VACCINES_inorganic_crystals_or_Wireless_Nanosensors_Network
• Analyse de l’analyse du Dr Pablo Campra, en français : http://gerardscheller.ch/Nano-reseau-etude_de_la_publication_de_Dr_Pablo_Campra_29-11-21.pdf
• Article de Liliane Held-Khawam : https://lilianeheldkhawam.com/2021/12/16/co-ro-na-pour-systeme-de-coordonnees-et-de-routage-pour-les-nanoreseaux/
• Présentation de Mik Andersen (en Anglais) : https://lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2021/12/12-intracorporal_nanonetwork.pdf
• Transistor, page Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Transistor

Etude de 2013 sur les nanorouteurs : https://doi.org/10.1109/JSAC.2013.SUP2.12130015
• Etude de 2018 sur les réseaux de nanocommunication pour le corps humain : https://www.ianakyildiz.com/bwn/papers/2014/j18.pdf
• Publication de 2010 : https://ieeexplore.ieee.org/abstract/document/5505714 => Analyse de Mik Andersen (2010) : https://corona2inspect.blogspot.com/2021/09/redes-nanocomunicacion-inalambrica-nanotecnologia-cuerpo-humano.html
• Publication de 2018 : http://dx.doi.org/10.1049/htl.2017.0034 => Analyse de Mik Andersen (2018) : https://corona2inspect.blogspot.com/2021/12/encontrada-evidencia-que-confirmaria-la.html

Analyse de vaccins – la 2ème vidéo [35:07] révèle des structures métalliques anguleuses : https://pathologie-konferenz.de/fr/

Article CORONA (2015) : https://dl.acm.org/doi/10.1145/2800795.28008

• Les magazines de Graphene Flagship sont téléchargeables ici : https://graphene-flagship.eu/graphene/graphene-magazine/

VIdéo de Ricardo Delgado, Quinta Columna : https://www.brighteon.com/cf03d0b1-a6ca-4741-b484-9ed90d818d23

Cette même vidéo doublée en français: Les « vaccins », leur contenu et leur objectif final (FR)

La distribution contrôlée des lots de vakx1s selon la toxicité de leurs doses ?

Une vidéo de présentation d’un rapport d’un britannique qui met en évidence les différentes toxicité des vax en fonction des lots sur base des effets secondaires enregistrés dans le système américain du VAERS. Elle dévoile aussi une potentielle ingénierie concertée entre tous les acteurs du cartel des empoisonneurs.
Interpellant ?
A quand une étude similaire sur l’Europe ?
(34 337 décès 3 120 439 blessures suite à des injections COVID dans la base de données européenne)

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/Deploiement-lots-vax:5

Sur les vakx1s C0VlD : pourquoi ils ne peuvent pas fonctionner et preuves irréfutables de leur rôle causal dans les décès après vakxination

Posted le 26 décembre 2021 par mirastnews

Ce texte est un résumé écrit des présentations du Dr Bhakdi et du Dr Burkhardt au symposium Doctors for COVID Ethics qui a été diffusé en direct par UKColumn le 10 décembre 2021. Les deux présentations peuvent être visionnées au tout début de l’enregistrement vidéo du colloque.

Les auteurs

Le Dr Bhakdi a passé sa vie à pratiquer, enseigner et faire des recherches sur la microbiologie médicale et les maladies infectieuses. Il a présidé l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’université Johannes Gutenberg de Mayence, en Allemagne, de 1990 jusqu’à sa retraite en 2012. Il a publié plus de 300 articles de recherche dans les domaines de l’immunologie, de la bactériologie, de la virologie et de la parasitologie, et a servi de 1990 à 2012 en tant que rédacteur en chef de Medical Microbiology and Immunology, l’une des premières revues scientifiques de ce domaine fondée par Robert Koch en 1887.

Le Dr Arne Burkhardt est un pathologiste qui a enseigné dans les universités de Hambourg, Berne et Tübingen. Il a été invité pour des postes de professeur invité/visites d’étude au Japon (Université Nihon), aux États-Unis (Brookhaven National Institute), en Corée, en Suède, en Malaisie et en Turquie. Il a dirigé l’Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans. Par la suite, il a travaillé comme pathologiste indépendant avec des contrats de consultation avec des laboratoires aux États-Unis. Burkhardt a publié plus de 150 articles scientifiques dans des revues scientifiques allemandes et internationales ainsi que des contributions à des manuels en allemand, anglais et japonais. Pendant de nombreuses années, il a audité et certifié des instituts de pathologie en Allemagne.

La preuve

Nous présentons ici des preuves scientifiques qui appellent à un arrêt immédiat de l’utilisation des vakx1s COVID-19 basés sur les gènes. Nous expliquons d’abord pourquoi les agents ne peuvent pas protéger contre l’infection virale. Bien qu’aucun effet positif ne soit attendu, nous montrons que les vakx1s peuvent déclencher des processus autodestructeurs qui conduisent à des maladies débilitantes et à la mort.

Pourquoi les vakx1s ne peuvent pas protéger contre l’infection

Une erreur fondamentale sous-jacente au développement des vakx1s COVID-19 a été de négliger la distinction fonctionnelle entre les deux grandes catégories d’anticorps que le corps produit afin de se protéger des microbes pathogènes.

La première catégorie (IgA sécrétoire) est produite par les cellules immunitaires (lymphocytes) qui sont situées directement sous les muqueuses qui tapissent les voies respiratoires et intestinales. Les anticorps produits par ces lymphocytes sont sécrétés à travers et à la surface des muqueuses. Ces anticorps sont donc sur place pour rencontrer les virus aéroportés, et ils peuvent être capables d’empêcher la liaison virale et l’infection des cellules.

La deuxième catégorie d’anticorps (IgG et IgA circulantes) se produit dans la circulation sanguine. Ces anticorps protègent les organes internes du corps contre les agents infectieux qui tentent de se propager par la circulation sanguine.

Les vakx1s qui sont injectés dans le muscle, c’est-à-dire à l’intérieur du corps, n’induisent que des IgG et des IgA circulantes, et non des IgA sécrétoires. De tels anticorps ne peuvent pas et ne protégeront pas efficacement les muqueuses de l’infection par le SRAS-CoV-2. Ainsi, les « infections révolutionnaires » actuellement observées chez les individus vakxinés ne font que confirmer les défauts fondamentaux de conception des vakx1s. Les mesures des anticorps dans le sang ne peuvent jamais fournir aucune information sur le véritable statut de l’immunité contre l’infection des voies respiratoires.

L’incapacité des anticorps induits par le vakx1 à prévenir les infections à coronavirus a été rapportée dans des publications scientifiques récentes.

Les vakx1s peuvent déclencher l’autodestruction

Une infection naturelle par le SRAS-CoV-2 (coronavirus) restera chez la plupart des individus localisée dans les voies respiratoires. En revanche, les vakx1s amènent les cellules situées profondément à l’intérieur de notre corps à exprimer la protéine de pointe virale, ce qu’ils n’ont jamais été censés faire par nature. Toute cellule qui exprime cet antigène étranger sera attaquée par le système immunitaire, qui impliquera à la fois des anticorps IgG et des lymphocytes T cytotoxiques. Cela peut se produire dans n’importe quel organe. Nous voyons maintenant que le cœur est touché chez de nombreux jeunes, entraînant une myocardite ou même un arrêt cardiaque soudain et la mort. Comment et pourquoi de telles tragédies pourraient être liées de manière causale à la vakxination est restée une question de conjecture, car les preuves scientifiques ont fait défaut. Cette situation est désormais rectifiée.

Études histopathologiques : les patients

Des analyses histopathologiques ont été réalisées sur les organes de 15 personnes décédées après vakxination. L’âge, le sexe, le carnet de vakxination et l’heure du décès après injection de chaque patient sont indiqués dans le tableau de la page suivante. Les points suivants sont de la plus haute importance :

  • Avant le décès, seuls 4 des 15 patients avaient été traités en soins intensifs pendant plus de 2 jours. La majorité n’a jamais été hospitalisée et est décédée à domicile (5), dans la rue (1), au travail (1), dans la voiture (1) ou dans des établissements de soins à domicile (1). Par conséquent, dans la plupart des cas, il est peu probable que l’intervention thérapeutique ait influencé de manière significative les résultats post-mortem.
  • Pas un seul décès n’a été associé à la vakxination par le coroner ou le procureur de la République ; cette association n’a été établie que par nos résultats d’autopsie.
  • Les autopsies conventionnelles initialement réalisées n’ont pas non plus révélé d’indices évidents sur un rôle possible de la vakxination, puisque l’aspect macroscopique des organes était globalement banal. Dans la plupart des cas, « l’insuffisance cardiaque rythmogène » a été postulée comme cause de décès.

Mais nos analyses histopathologiques ultérieures ont alors provoqué un revirement complet. Un résumé des conclusions fondamentales suit.

Case #GenderAge (years)Vaccine (injections)Time of death after last injection
1female82Moderna (1. and 2.)37 days
2male72Pfizer (1.)31 days
3female95Moderna (1. and 2.)68 days
4female73Pfizer (1.)unknown
5male54Janssen (1.)65 days
6female55Pfizer (1. and 2.)11 days
7male56Pfizer (1. and 2.)8 days
8male80Pfizer (1. and 2.)37 days
9female89Unknown (1. and 2.)6 months
10female81Unknown (1. and 2.)unknown
11male64AstraZeneca (1. and 2.)7 days
12female71Pfizer (1. and 2.)20 days
13male28AstraZeneca (1.), Pfizer (2.)4 weeks
14male78Pfizer (1. and 2.)65 days
15female60Pfizer (1.)23 days

Études histopathologiques : résultats

Des résultats histopathologiques de nature similaire ont été détectés dans les organes de 14 des 15 personnes décédées. Les plus fréquemment atteints étaient le cœur (14 cas sur 15) et le poumon (13 cas sur 15). Des altérations pathologiques ont en outre été observées dans le foie (2 cas), la glande thyroïde (thyroïdite de Hashimoto, 2 cas), les glandes salivaires (syndrome de Sjögren ; 2 cas) et le cerveau (2 cas).

Un certain nombre d’aspects saillants dominaient dans tous les tissus affectés de tous les cas :

  1. événements inflammatoires dans les petits vaisseaux sanguins (endothélite), caractérisés par une abondance de lymphocytes T et de cellules endothéliales mortes séquestrées dans la lumière du vaisseau ;
  2. l’accumulation périvasculaire étendue de lymphocytes T;
  3. une infiltration lymphocytaire massive d’organes ou de tissus non lymphatiques environnants avec des lymphocytes T.

Une infiltration lymphocytaire s’est parfois produite en association avec une activation lymphocytaire intense et la formation de follicules. Lorsqu’elles étaient présentes, elles s’accompagnaient généralement d’une destruction des tissus.

Cette combinaison de pathologie multifocale dominée par les lymphocytes T qui reflète clairement le processus d’auto-attaque immunologique est sans précédent. Parce que la vakxination était le seul dénominateur commun entre tous les cas, il ne fait aucun doute qu’elle a été le déclencheur de l’autodestruction chez ces individus décédés.

Conclusion

L’analyse histopathologique montre des preuves claires d’une pathologie de type auto-immune induite par le vakx1 dans plusieurs organes. Il va de soi qu’une myriade d’événements indésirables dérivant de tels processus d’auto-attaque doivent se produire très fréquemment chez tous les individus, en particulier à la suite d’injections de rappel.

Sans aucun doute, l’injection de vakx1s à base de gènes COVID-19 place des vies sous la menace de la maladie et de la mort. Nous notons que les vakx1s à base d’ARNm et de vecteurs sont représentés parmi ces cas, tout comme les quatre principaux fabricants.

Opération Extermination. Le plan pour décimer le système immunitaire humain avec un agent pathogène généré en laboratoire

Publié le  par Wayan


Par Mike Whitney − 8 décembre 2021 − Source Unz Review

« Si quelqu’un souhaitait tuer une partie importante de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettraient. » Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer.

« Or, c’est là l’esprit de l’antéchrist, dont vous avez appris la venue, et qui est déjà dans ce monde. »  1 Jean 4:2-3

Question– Le vakx1 contre le Covid-19 endommage-t-il le système immunitaire ?

Réponse– Oui. Il diminue la capacité de l’organisme à combattre les infections, les virus et les maladies.

Question– Si c’est vrai, alors pourquoi n’y a-t-il pas plus de personnes qui sont mortes après avoir été vakxinées ?

Réponse– Je ne suis pas sûr de ce que vous voulez dire ? Le vakx1 a tué plus de personnes que n’importe quel autre vakx1 dans l’histoire. « Jusqu’à présent, aux États-Unis, le nombre de décès est trois fois plus élevé que le total de tous les vakx1s au cours des 35 dernières années. » C’est tout simplement stupéfiant. Nous avons également constaté une augmentation constante de la mortalité toutes causes confondues et de la surmortalité dans les pays qui ont lancé des campagnes de vakxination de masse plus tôt dans l’année. Parfois, l’augmentation atteint 20 % par rapport à la moyenne sur cinq ans. Il s’agit d’un pic massif de décès, qui est en grande partie imputable au vakx1. Alors, que voulez-vous dire quand vous dites « Pourquoi n’y a-t-il pas eu plus de morts » ? Vous attendiez-vous à voir des gens se serrer le cœur et tomber raide mort après avoir été vakxinés ? C’est une compréhension très naïve du fonctionnement de l’injection. (Voir : « COVID Deaths Before and After Vaccination Programs », You Tube ; 2 minutes)

Question– Tout ce que je dis, c’est que le pourcentage de personnes qui sont mortes est très faible par rapport aux dizaines de millions de personnes qui ont été vakxinées.

Réponse– Et tout ce que je dis, c’est que si le vakx1 est un agent pathogène généré en laboratoire – et je pense que c’est le cas – alors il n’a certainement pas été conçu pour tuer les gens sur le champ. Il a été conçu pour produire une réaction retardée qui érode progressivement mais inexorablement la santé de la personne vakxinée. En d’autres termes, le plein impact des caillots sanguins, des hémorragies, des problèmes d’auto-immunité et autres blessures générées par le vakx1 ne se fera sentir qu’à une date ultérieure, par le biais d’une augmentation des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des maladies vasculaires et même des cancers. (Consultez la dernière tendance des interventions cardiaques par le Scottish Ambulance Service – ce chiffre est « excessivement » supérieur à la norme 2018/19. Un énorme pic en été, 500 appels d’ambulance par semaine au-dessus de la normale, principalement des 15-64 ans. Cela s’est calmé, puis pic à nouveau depuis fin octobre. Scottish Unity – Groupe d’Edimbourg)

interventions cardiaques par le Scottish Ambulance Service. excès d’interventions par rapport à 2018/19

Réponse– Le graphique ci-dessus montre pourquoi les problèmes cardiaques ont suscité beaucoup d’attention ces derniers temps, mais les dommages causés au système immunitaire sont encore plus préoccupants.

Question– Pouvez-vous expliquer ce que vous voulez dire sans entrer dans les détails ?

Réponse– Je peux faire mieux que cela. Je peux vous donner un court extrait d’un article qui couvre les dernières recherches. Consultez-le :

Une étude de laboratoire suédoise (intitulée « SARS-CoV-2 Spike gêne la réparation de l’ADN et empêche la recombinaison V(D)J in vitro », NIH) publiée à la mi-octobre révèle que la protéine spike… pénètre dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages subis par l’ADN, compromettant ainsi l’immunité adaptative d’une personne et favorisant peut-être la formation de cellules cancéreuses…

 

« Sur le plan mécaniste, nous avons constaté que la protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des dommages subis par l’ADN », écrivent-ils. « Nos résultats révèlent un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et soulignent les effets secondaires potentiels des vakx1s à base de spike pleine longueur. » (« La protéine spike du virus COVID et des vakx1s affaiblit le système immunitaire et pourrait être liée au cancer : étude suédoise », Lifesite News)

Les chercheurs ont découvert que la protéine spike bloque la production d’enzymes nécessaires à la réparation de l’ADN brisé, ce qui empêche la « prolifération » des cellules B et T nécessaires pour combattre l’infection.

Question– Pouvez-vous expliquer cela en langage clair ?

Réponse– Bien sûr. Cela signifie que le vakx1 court-circuite votre système immunitaire, ce qui ouvre la voie à l’infection, à la maladie et à une mort précoce. Vous pensez peut-être que vous pouvez avoir une vie longue et heureuse avec un système immunitaire dysfonctionnel, mais je pense que vous avez tort. Le système immunitaire est le bouclier qui vous protège contre toutes sortes de virus, bactéries et infections potentiellement mortelles. Ce n’est pas seulement la première ligne de défense, c’est la seule. Sans la protection complète des cellules B et T pour combattre les intrus étrangers, les chances de survie sont, au mieux, minuscules.

Pour souligner ce point, regardez cette vidéo du directeur de pompes funèbres britannique, John O’Looney, qui fait régulièrement le point sur ce qu’il voit sur le terrain 10 mois après le lancement de la vakxination. C’est un compte rendu inquiétant de la catastrophe qui se déroule sous nos yeux :

(à 30 secondes) « Ce que nous voyons, c’est un nombre anormalement élevé de décès dus à des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des anévrismes, qui sont tous le résultat de thromboses… Des embolies dans les poumons, les jambes, à différents endroits qui causent ces décès bien documentés par les coroners locaux et bien documentés dans tout le pays. Et personne ne semble se préoccuper de l’augmentation alarmante des (caillots sanguins). J’en ai vu plus cette année qu’au cours des 14 dernières années…..

 

C’est un des genres de décès que nous voyons, l’autre est celui des personnes qui tombent malades maintenant que leur système immunitaire a fini par lâcher. Ils ont été vakxinés il y a 6 ou 8 mois, leur système immunitaire a été rongé et ils luttent maintenant contre des maladies comme le rhume. Donc, nous sommes en hiver et il y a des rhumes et des grippes autour et ces gens ne peuvent pas les combattre. Le gouvernement est très prompt à étiqueter cela « Omicron »… mais ils sont malades du rhume. Leur système immunitaire est décimé. C’est un peu comme un malade du cancer qui subit une chimiothérapie et dont le système immunitaire est décimé. Et ils doivent faire très attention parce qu’un simple rhume ou une grippe peut les tuer. Et c’est ce que nous voyons maintenant…

 

Cela fait presque 12 mois que les premiers vakx1s ont été administrés, alors leur système immunitaire s’effondre ; c’est la réalité et c’est ce que je vois… et ils ne peuvent plus supporter un rhume. … Lorsque je suis allé à la réunion de Westminster en septembre, le scientifique a prédit que c’est ce qui allait se passer et, voilà, c’est ce qui se passe. Les gens tombent malades et meurent…… C’est effrayant. » (« Omicron, c’est une ‘blessure par vakx1’ ; ce n’est rien de plus que ça. » John Looney, Rumble)

A-t-il raison ? L’augmentation du nombre de décès n’est-elle PAS une autre vague de Covid mais les effets d’une injection cytotoxique qui cible le système immunitaire, laissant des millions de personnes sans défense contre les infections et les maladies courantes ?

Cela semble possible et correspond certainement au programme de dépopulation qui nécessite un produit biologique hybride qui ne tue pas complètement sa cible mais démantèle les systèmes de défense critiques qui rendent la survie humaine possible. En déguisant une « protéine tueuse » sous la forme d’un antigène inoffensif, nos responsables de la lutte contre les pandémies ont pu accéder aux flux sanguins de millions de personnes, ce qui leur a permis d’insérer une bombe à retardement qui ravage les populations cruciales de lymphocytes T et B, laissant les victimes vulnérables à tout microbe circulant dans la population. Comme le note Looney, des scientifiques ont mis en garde contre ce résultat lorsque la vakxination de masse a été proposée pour la première fois. Naturellement, les opinions contraires ont été ignorées et censurées. Voici d’autres informations tirées d’un document de recherche pré-imprimé sur le serveur medRxiv. Il permet d’expliquer l’impact du vakx1 sur le système immunitaire :

« Des chercheurs des Pays-Bas et d’Allemagne ont averti que le vakx1 … (COVID-19) de Pfizer-BioNTech induit une reprogrammation complexe des réponses immunitaires innées qui devrait être prise en compte dans le développement et l’utilisation de vakx1s à base d’ARNm….. Après la vakxination, les cellules de l’immunité innée présentaient une réponse réduite aux récepteurs TLR4 (toll-like receptor 4), TLR7 et TLR8 – tous des ligands qui jouent un rôle important dans la réponse immunitaire aux infections virales…..

 

De multiples études ont montré que les réponses immunitaires innées à long terme peuvent être soit augmentées (immunité entraînée), soit régulées à la baisse (tolérance immunitaire innée) après certains vakx1s ou infections….

 

Ces résultats démontrent collectivement que les effets du vakx1 BNT162b2 vont au-delà du système immunitaire adaptatif…. Le vakx1 BNT162b2 induit également une reprogrammation des réponses immunitaires innées, ce qui doit être pris en compte. »… (« Des recherches suggèrent que le vakx1 Pfizer-BioNTech COVID-19 reprogramme les réponses immunitaires innées », New-Medical net)

Combien de personnes se seraient fait vakxiner si elles avaient su que le vakx1 reprogrammerait leur système immunitaire ?

Probablement personne, et c’est pourquoi nos responsables de la santé publique n’abordent jamais le sujet. Tout ce qui s’écarte, même légèrement, du discours « les vakx1s sont bons pour vous » est omis de la couverture médiatique et effacé sur les médias sociaux. Mais les gens n’ont-ils pas le droit de savoir ce qui se passe, ce que l’on injecte dans leur corps, et quel impact cela aura sur leur vie et leur santé ? N’est-ce pas ce que l’on entend par « consentement éclairé » ou est-ce une autre victime de la ruée vers l’inoculation des habitants de la planète Terre ? Voici un extrait d’une courte interview du Dr Ryan Cole, pathologiste :

« Lorsque nous faisons ces injections, nous pouvons voir les types de globules blancs dans le corps… et vous avez un large éventail de cellules immunitaires qui travaillent ensemble pour combattre les virus et garder les cancers en échec. Nous observons déjà en laboratoire les signes d’une diminution des lymphocytes T essentiels dont vous avez besoin… dans votre système immunitaire inné. Ce sont les soldats de votre corps, qui combattent les virus et les cancers….. Mais ce que nous observons en laboratoire après que les gens ont reçu ces injections, c’est un profil bas et verrouillé très inquiétant de ces importantes cellules T tueuses dont vous avez besoin dans votre corps. (cellules CD8) Et ce qu’elles font, c’est de garder tous les autres virus en échec.

 

Qu’est-ce que je vois dans le laboratoire ? J’observe une recrudescence des virus de la famille de l’herpès, du zona, de la mononucléose, une énorme recrudescence du virus du papillome humain… Nous affaiblissons littéralement le système immunitaire de ces personnes.

 

Le plus inquiétant, c’est qu’il y a un modèle de ces types de cellules immunitaires dans le corps qui gardent le cancer en échec. Depuis le 1er janvier, (dans le laboratoire) j’ai vu une augmentation par 20 du cancer de l’endomètre par rapport à ce que je vois sur une base annuelle. » (« Le pathologiste Ryan N Cole de la clinique Mayo parle de ce qu’il voit dans les résultats de laboratoire », Rumble ; 2 minutes)

« Herpès, zona, mononucléose, et même cancer ! » Mais qu’est-ce qui se passe ? Cela ne peut pas être vrai, n’est-ce pas ?

Si, c’est vrai ; l’immunodépression entraîne toutes sortes de conséquences terribles pour la santé. Certains lecteurs se souviendront peut-être que le Dr Byram Bridle, vakxinologue canadien, a fait des déclarations similaires dans une interview il y a quelques semaines. Voici ce qu’il a dit :

« Ce que j’ai vu, bien trop souvent, ce sont des personnes dont le cancer était en rémission ou bien contrôlé ; leur cancer est devenu complètement incontrôlable après avoir reçu ce vakx1. Et nous savons que le vakx1 provoque une baisse du nombre de lymphocytes T, et ces lymphocytes T font partie de notre système immunitaire et font partie des armes essentielles dont dispose notre système immunitaire pour combattre les cellules cancéreuses ; il y a donc là un mécanisme potentiel. Tout ce que je peux dire, c’est que trop de personnes m’ont contacté avec ces rapports pour que je me sente à l’aise. Je dirais que c’est ma dernière préoccupation majeure en matière de sécurité, et c’est aussi celle qui sera la moins signalée dans la base de données des effets indésirables, parce que si quelqu’un a eu un cancer avant le vakx1, il n’y a aucune chance que les responsables de la santé publique établissent un lien avec le vakx1. (« Le Dr Byram Bridle parle », Bitchute, 55eme seconde)

Une fois encore, combien de personnes auraient décidé de se faire vakxiner si elles avaient su que cela pouvait déclencher une poussée de virus dormants ou de cancers en rémission ? Qui prendrait ce risque ?

Mais ils ne savent pas qu’ils prennent un risque, n’est-ce pas, parce qu’on ne leur a pas dit la vérité. Et la raison pour laquelle on ne leur a pas dit la vérité est qu’ils sont une cible dans une guerre d’extermination qui leur est menée. Il est parfois très difficile pour les gens d’admettre ce qu’ils savent être la vérité, pourtant la vérité est évidente. Les gestionnaires de la pandémie et leurs fantassins des médias, de la santé publique et du gouvernement veulent nous faire du mal, nous injecter une substance mystérieuse qui fera des ravages dans notre système immunitaire et raccourcira notre vie. Ce n’est pas seulement une lutte pour la liberté personnelle ou l’autonomie corporelle, c’est une bataille pour la survie. Nous défendons notre droit à la vie. Voici ce que dit le Dr Jessica Rose, immunologiste virale :

« Des études sont en train d’être publiées, et les données sur les effets indésirables montrent amplement que ces produits (vakx1s Covid) non seulement immuno-modulent le système immunitaire et provoquent une hyperinflammation, mais aussi qu’ils ont un effet très négatif sur les populations de cellules T CD8. Pour ceux qui ne le savent pas, c’est une très mauvaise nouvelle. Il ne s’agit que de quelques personnes pour l’instant, mais les données ne semblent pas bonnes jusqu’à présent. Ces cellules T sont les soi-disant « cellules tueuses ». Leur travail… est de tuer les cellules infectées par le virus qui présentent des marqueurs étrangers à leur surface. Donc, si ces populations sont épuisées, c’est une très mauvaise nouvelle, car nous ne disposons pas d’une population de cellules dans le système immunitaire acquis pour éliminer les cellules infectées par le virus…..

 

Il y a des signes clairs qui commencent à émerger, qu’un « syndrome d’immunité déficiente » apparaît à la suite de ces produits (vakx1s). En raison de l’hyper-stimulation… les cellules T étant (diminuées), et la présence constante d’injections répétées d’une protéine cytotoxique… Je ne recommanderais jamais, jamais, à une personne immunodéprimée de s’approcher de ces choses, parce que je peux presque vous garantir que votre état va s’aggraver. Une autre chose que nous voyons dans le VAERS, ce sont des cancers qui sortent de rémission et beaucoup de médecins le rapportent sur le terrain. Et, soit dit en passant, cela ne s’est jamais produit auparavant, pas à cette échelle, loin de là… Il y a donc quelque chose qui se passe ici et qui justifie une enquête plus approfondie, et cela ne semble pas bon.  » (« Le Dr Jessica Rose, immunologiste virale, explique les informations inquiétantes qui émergent sur l’immunité compromise des vakxinés », Odysee)

Vous voyez déjà le schéma ? Vous voyez qu’ils disent tous la même chose ? Pourquoi, à votre avis ?

Parce que c’est la vérité, la vérité pure, sans fard.

Le point que nous essayons de faire ne peut être exagéré : Le vakx1 est une arme biologique fabriquée par l’homme, générée en laboratoire, qui désactive le système de défense critique du corps, ce qui augmente la fragilité d’une personne face à la maladie de plusieurs ordres de grandeur. Avec chaque injection supplémentaire, on est moins capable d’organiser une réponse suffisante aux infections, grippes ou virus de routine. Cela va conduire à un tsunami de maladies qui va probablement submerger notre système de santé publique et plonger le pays plus profondément dans la crise. Est-ce là le plan ? Est-ce que nos maîtres globalistes nous réservent ?

Nous verrons bien. Maintenant, regardez ce dernier extrait de la vidéo du vakxinologue, Geert Vanden Bossche :

« La première chose que je voudrais souligner est que le Covid-19 n’est pas une maladie de personnes en bonne santé. Les personnes en bonne santé ont un système immunitaire inné sain qui peut faire face à un certain nombre de virus respiratoires sans aucun problème. Ces personnes sont non seulement protégées contre la maladie mais peuvent même, dans de nombreux cas, prévenir l’infection. Ce sont des personnes qui peuvent contribuer à l’immunité stérilisante et à l’immunité collective, ce qui est très, très important. Alors, écoutez : Ne laissez jamais, au grand jamais, quelqu’un ou quelque chose interférer ou supprimer votre système immunitaire inné. Vous pouvez faire un mauvais travail vous-même en menant une vie malsaine, ce qui va supprimer votre immunité innée, mais ce qui est encore pire, ce sont les anticorps induits par le vakx1 qui suppriment votre immunité innée. Et ces anticorps vakxinaux ne peuvent pas la remplacer car ils perdent leur efficacité contre le virus, et deviennent de moins en moins efficaces. Contrairement aux anticorps innés, ils ne peuvent pas empêcher l’infection, ils ne peuvent pas stériliser le virus. Ils ne contribuent donc pas à l’immunité collective…..

 

Si nous supprimons ces anticorps innés chez les enfants, cela pourrait entraîner des maladies auto-immunes. C’est une interdiction absolue. Nous ne pouvons pas vakxiner nos enfants avec ces vakx1s. La suppression de l’immunité innée est déjà un problème chez les vakxinés, et ils vont effectivement avoir du mal à contrôler un certain nombre de maladies, pas seulement le Covid-19, mais d’autres maladies aussi … et il faudra un changement très radical dans les stratégies pour aider les vakxinés – et je suis de tout cœur avec eux – parce qu’ils auront besoin d’un traitement intensif dans de nombreux cas …

 

… Les stimuler – ce qui signifie leur donner une troisième dose – est absolument insensé, car cela aura pour effet d’augmenter la pression immunitaire des anticorps vakxinaux sur leur immunité innée. Le renforcement est donc une absurdité absolue ; il est dangereux et ne devrait pas être pratiqué…..

 

Alors, que nous dit la science ? Elle nous dit que c’est l’immunité innée qui nous protégera, pas le vakx1. » (« Geert Vanden Bossche sur les vakx1s et la suppression de l’immunité innée », Rumble)

Ainsi, nous savons maintenant qu’en plus des caillots sanguins, des hémorragies, des crises cardiaques, des accidents vasculaires et neurologiques, le vakx1 est également conçu pour éviscérer le système qui nous protège de la maladie et de la mort, le système immunitaire. Il faut être plongé dans le déni pour ne pas voir le mal qui est maintenant parmi nous.

Voir aussi : Dr. Nathan Thompson- Le vakx1 Covid et l’auto-immunité, Odysee

Et ceci : Vaccine Acquired Immune Deficiency Syndrome (VAIDS) : ‘Nous devrions nous attendre à voir plus fréquemment cette érosion immunitaire’ ». Americas Frontline Doctors

Mike Whitney

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone

G. Vanden Bossche nous explique le non-sens scientifique de cette gestion d’épidémie par la vakxination.

Dans cette interview exclusive pour BAM!, en personne et en français, le vaccinologue belge Geert Vanden Bossche explique ses réticences sur la vaccination massive pendant la pandémie et pourquoi la fameuse « immunité de groupe » ne pourra jamais être atteinte, bien au contraire ! Il met en garde contre la vaccination des enfants et explique le rôle bénéfique des non-vaccinés dans le contrôle de la circulation du coronavirus. Une interview-choc qui offre une perspective à contre-courant sur l’actuelle politique sanitaire de nos gouvernements.

Omicron : Nous vous avions prévenu que la farce C0VlD ne se terminerait jamais

par Brandon Smith.

Vous vous souvenez quand Anthony Fauci et d’autres « professionnels » de la santé payés par le gouvernement ont déclaré que les Américains devaient porter un masquer et rester à la maison pendant deux semaines pour « aplanir la courbe » de la pandémie de Covid ? Rappelez-vous quand ils sont revenus deux semaines plus tard pour dire qu’il fallait encore deux semaines de plus ? Vous vous rappelez qu’ils ont un peu relâché les mesures de confinement et qu’ils sont revenus à la charge pour en demander davantage ? Rappelez-vous en 2019 quand les gens ne se recroquevillaient pas chez eux et derrière des masques à cause d’un virus dont le taux de mortalité par infection (IFR) moyen n’était que de 0,27% ? Vous vous en souvenez ?

Au tout début de la réponse à la pandémie, moi et beaucoup d’autres personnes dans les médias alternatifs avons averti que les obligations et les confinements n’allaient jamais prendre fin ; ils sont censés durer éternellement. J’ai prédit cela en me basant sur les déclarations des globalistes et des institutions qui élaborent la politique de réponse à la pandémie pour les gouvernements nationaux. Dans mon article « Vagues de mutilation : La tyrannie médicale et la société sans cash » publié en avril 2020, j’ai souligné les commentaires du globaliste Gideon Lichfield du MIT gravés sur des livres blancs publiés par l’Imperial College de Londres. Dans l’article intitulé « We’re Not Going Back To Normal », il décrit l’avenir du monde sous la tyrannie médicale Covid :

Pour arrêter le coronavirus, nous devrons changer radicalement presque tout ce que nous faisons : notre façon de travailler, de faire de l’exercice, de socialiser, de faire du shopping, de gérer notre santé, d’éduquer nos enfants, de prendre soin des membres de notre famille.

Nous voulons tous que les choses reviennent rapidement à la normale. Mais ce que la plupart d’entre nous n’ont probablement pas encore réalisé – mais le feront bientôt – c’est que les choses ne reviendront pas à la normale au bout de quelques semaines, ni même de quelques mois. Certaines choses ne reviendront jamais.

Il poursuit :

Tant que quelqu’un dans le monde est porteur du virus, les épidémies peuvent et vont continuer à se reproduire sans contrôles rigoureux pour les contenir. Dans un rapport publié hier, des chercheurs de l’Imperial College London ont proposé un moyen d’y parvenir : imposer des mesures de distanciation sociale plus extrêmes chaque fois que les admissions dans les unités de soins intensifs (USI) commencent à monter en flèche, et les assouplir chaque fois que les admissions diminuent…

Lichfield argumente :

En fin de compte, cependant, je prédis que nous restaurerons la capacité de socialiser en toute sécurité en développant des moyens plus sophistiqués d’identifier qui est un risque de maladie et qui ne l’est pas, et de discriminer légalement ceux qui le sont.

…on peut imaginer un monde dans lequel, pour prendre un vol, il faudra peut-être s’inscrire à un service qui suit vos déplacements via votre téléphone. La compagnie aérienne ne serait pas en mesure de voir où vous êtes allé, mais elle serait alertée si vous avez été à proximité de personnes infectées ou de foyers de maladie connus. Des exigences similaires s’appliqueraient à l’entrée des grandes salles de spectacle, des bâtiments publics ou des plates-formes de transport public. Il y aurait des scanners de température partout, et votre lieu de travail pourrait vous demander de porter un moniteur qui suit votre température ou d’autres signes vitaux. Là où les boîtes de nuit demandent une preuve d’âge, elles pourraient à l’avenir demander une preuve d’immunité – une carte d’identité ou une sorte de vérification numérique via votre téléphone, montrant que vous avez déjà récupéré ou été vakxiné contre les dernières souches de virus.

Deux ans plus tard (au lieu de deux semaines), la farce Covid continue. Par farce, j’entends que le virus n’est pas une menace pour la santé de la grande majorité de la population, mais que les gouvernements et les médias continuent de semer la peur autour de son existence, tout en essayant de forcer les gens à accepter des vakx1s expérimentaux dont l’innocuité n’est pas prouvée par des tests à long terme. Dans presque tous les pays où les gens ont été en grande partie désarmés ou dans tous les pays où le risque d’émeute est minime, les totalitaires Covid se précipitent pour s’emparer de chaque once de pouvoir qu’ils peuvent avant que la population ne réalise ce qui se passe.

Je pourrais continuer à exposer la montagne de faits et de preuves scientifiques qui démystifient complètement la panique suscitée par la Covid-19, mais je l’ai déjà fait dans plusieurs articles. Je pourrais parler du fait que 99,7% ou plus des gens ne sont pas en danger de mort à cause de la Covid et que seul un infime pourcentage des personnes hospitalisées à cause de la Covid ont des effets secondaires à plus long terme. Je pourrais mentionner le fait que les pays ayant des taux de vakxination élevés comme Israël ou l’Irlande ont également les taux d’infection les plus élevés et de nombreux décès de personnes entièrement vakxinées. Je pourrais aussi mentionner que l’immunité naturelle a été prouvée par des études menées dans des pays majoritairement vakxinés et qu’elle est supérieure en tous points à la vakxination. Les autoritaires ne veulent pas l’entendre.

En Nouvelle-Zélande et en Australie, autrefois bastions supposés de la démocratie et de la liberté occidentales, les citoyens sont désormais enfermés selon les caprices des bureaucrates au premier signe d’un test PCR positif. Je dis depuis des mois que si vous voulez voir l’avenir que l’establishment réserve aux Américains, il suffit de jeter un coup d’œil à des pays comme l’Australie, où l’on construit actuellement des camps de prisonniers Covid gérés par l’armée. Des gens ont même été arrêtés en essayant de s’échapper de ces camps. Non, ce n’est pas une théorie du complot, c’est un fait.

Dans ces camps, vous êtes sous le contrôle total du gouvernement. Comme dans n’importe quelle prison, ils vous nourrissent quand ils le veulent, ils limitent vos mouvements, ils vous isolent de vos amis et de votre famille, etc. Votre séjour dans les camps peut même être « prolongé » par les administrateurs sans contrôle s’ils estiment que vous vous êtes « mal comporté ». C’est vrai, il ne s’agit pas de savoir si vous êtes contagieux, il ne s’agit pas de science, il s’agit de savoir si vous êtes soumis.

Et vraiment, c’est tout ce que la réponse à la pandémie de Covid a toujours été.

Regardez une nation comme l’Autriche, qui a 65% de vakxination et des taux d’infection en constante augmentation. Ils ont décidé que les personnes non-vakxinées étaient à blâmer, donc ils ont ordonné à toute personne sans preuve de vakxination de se soumettre à des mesures de confinement. Après cela, les infections et les décès ont augmenté encore plus. Donc, au lieu d’admettre la conclusion évidente et logique (que les vakx1s ne fonctionnent pas, ou au moins, que les confinements ne fonctionnent pas), ils ont ordonné un confinement pour TOUT LE MONDE. Pourquoi ? Pour cacher le fait que les non-vakxinés ne sont pas le problème.

Pour être clair, le pic initial qui a déclenché les mesures de confinement en Autriche s’est élevé à environ 300 décès, dont la grande majorité chez les personnes âgées. En Autriche, les patients des maisons de retraite représentent environ 36 % de tous les décès dus à la Covid-19. Pour être clair, ils éliminent les libertés de 9 millions de personnes et étranglent leur économie pour un pic de 300 décès. Les gens meurent chaque jour en grand nombre d’une foule de maladies transmissibles. C’est une réalité, ce n’est pas quelque chose qui doit être utilisé comme une arme politique et sociale.

Pour aller plus loin, l’Autriche menace également d’adopter un projet de loi sur la vakxination obligatoire qui prévoit des amendes et des peines de prison pour les non-vakxinés. Le statut vakxinal sera déterminé par le gouvernement et des rappels pourront être exigés à tout moment. Ce n’est pas parce que vous êtes entièrement vakxiné aujourd’hui que vous serez considéré comme entièrement vakxiné demain. Cela ne s’arrêtera jamais.

Les données montrent que la vakxination ne fait rien ou presque pour ralentir les taux d’infection ou les décès réels ; il y a eu plus de décès Covid en 2021 qu’en 2020 malgré la prolifération des vakx1s cette année. Autrement dit, les vakx1s ont été introduits cette année et pourtant il y a eu plus de décès Covid que l’année dernière. N’est-ce pas étrange ?

Les médias grand public prétendent qu’il s’agit maintenant d’une « pandémie de non-vakxination ». Je suppose qu’ils devraient dire cela aux milliers de personnes entièrement vakxinées qui ont été infectées et aux centaines de personnes qui sont mortes dans des États comme le Massachusetts, où l’on suit réellement les cas d’épidémie. Bien sûr, les médias continuent de chanter les louanges des vakx1s malgré ces petits contretemps.

Si les vakx1s fonctionnaient réellement, il n’y aurait pas besoin de vakxinations obligatoires. Les personnes vakxinées seraient protégées et les personnes non-vakxinées assumeraient les risques individuels. La secte Covid ne semble pas saisir la logique ici – Soit les vakx1s sont efficaces et il n’est pas nécessaire de les rendre obligatoires, soit ils ne sont pas efficaces, ce qui signifie que les rendre obligatoires est inutile.

Mais encore une fois, la logique et la science ne sont pas le sujet – Le contrôle est le sujet. C’est un raisonnement sans fin pour un contrôle infini. Cela ne finira jamais.

La réalité est que l’agenda Covid n’a pas été si efficace que ça si l’on regarde la situation dans son ensemble. Si l’objectif est la vakxination à 100 % et le contrôle perpétuel des passeports de vakxination en utilisant des rappels réguliers comme mécanisme de domination à long terme (tyrannie médicale), alors jusqu’à présent le plan a échoué. Certains pays sont tombés dans le long hiver Covid, mais beaucoup d’autres ne l’ont pas fait. Presque tous les États conservateurs des États-Unis défient totalement les obligations vakxinales et les tribunaux fédéraux ont bloqué les tentatives de Joe Biden de contourner la constitution. Si les États rouges d’Amérique tiennent bon, cela donne de l’espoir aux autres. Alors, que reste-t-il à faire pour les tenants du pouvoir de l’establishment ?

C’est facile… ils font simplement plus de la même chose.

C’est là qu’intervient le variant Omicron, ce dont nous, les « théoriciens de la conspiration », avons averti ces deux dernières années. C’est la beauté du récit de la pandémie lorsqu’il s’agit de construire un régime autoritaire mondial ; les virus changent constamment et de nouveaux virus peuvent même être créés si nécessaire. Il y a donc toujours une nouvelle menace pour effrayer le public et toujours une nouvelle raison de l’enfermer chez lui ou de lui demander de renoncer à ses libertés. C’est un cycle vampirique sans fin qui draine lentement la liberté d’une population.

Mettons de côté le fait que les médecins qui ont découvert Omicron en Afrique du Sud l’ont étiqueté comme un variant léger de la Covid et non comme une menace significative pour le public. C’est parfaitement logique. Dans la grande majorité des scénarios de pandémie, les virus ont tendance à évoluer vers des versions légèrement plus infectieuses mais beaucoup moins mortelles que l’original. Mais cela n’empêche pas les médias et les scientifiques du gouvernement de hurler au meurtre à propos d’Omicron et même de suggérer que cette fois, la Covid « pourrait » évoluer pour devenir plus mortel plutôt que moins.

Cela doit être fait. Ils n’ont plus rien et s’ils perdent la Covid, ils perdent l’une des meilleures opportunités qu’ils aient jamais eues pour contrôler de manière centralisée presque tous les individus sur Terre.

La peur de la Covid s’estompe. Des centaines de millions de personnes ne sont pas prêtes à renoncer à leurs libertés pour une pandémie exagérée et farfelue avec un IFR de 0,27%. De nombreuses personnes vakxinées se battent contre les obligations aux côtés des non-vakxinés. La plupart d’entre nous ne sont pas obèses. La plupart d’entre nous n’ont pas 80 ans et ne sont pas dans une maison de retraite. La plupart d’entre nous n’ont pas de conditions préexistantes. Ce sont tous des facteurs qui constituent la majorité des décès dus à la Covid-19. Beaucoup d’entre nous ont déjà eu la Covid et y ont facilement survécu, ce qui signifie que nous avons une immunité naturelle qui est 13 à 27 fois plus efficace pour arrêter les infections futures que les vakx1s. Sans plus de battage et plus de variants, la fête s’arrête pour les globalistes, et ils n’aiment pas du tout cette idée.

Si le public est autorisé à sortir un instant de la brume de la propagande et à retrouver ses repères, il pourrait se rendre compte qu’il a été la cible d’une campagne de terreur massive. Il pourrait se mettre en colère. Ils pourraient exiger des enquêtes. Ils pourraient même exiger que des têtes de globalistes tombent. Préparez-vous donc à ce qu’Omicron fasse la une des journaux pendant des mois, puis à la prochaine mutation, à la suivante et à celle d’après. Les globalistes et les opportunistes politiques continueront à jouer la comédie jusqu’à ce qu’ils obtiennent ce qu’ils veulent, ou jusqu’à ce qu’ils soient complètement éliminés de l’équation. Cela ne finira jamais, à moins qu’ils ne finissent eux.

source : https://alt-market.us
traduction Hervé
via https://lesakerfrancophone.fr

La Criminelle Arnaque du C0VlD-19: Des scientifiques du monde entier analysent la composition des vakx1s

 ~ MICHEL DUCHAINE

Il semblerait que tous les ingrédients introduits dans les injections contre le virus SARS-cov-2 ne soient pas mentionnés dans les notices destinées aux soignants qui pratiquent les injections sur la population. De nombreux médecins, chercheurs et scientifiques du monde entier ont cherché à vérifier si la composition des flacons de vakx1 était strictement conforme à l’énoncé des substances mentionnées dans les notices.

En Allemagne par exemple des médecins se sont  réunis pour faire le point et échanger autour de ce qu’ils ont analysé et trouvé dans les vakx1s :

Analyse des contenus des vakx1s par des médecins allemands

Ailleurs, le docteur Carrie Madej dresse un état des lieux de ce qu’elle a trouvé dans le liquide vakxinal après analyse au microscope et avec différentes technique de pointe :

  (Docteur Carrie Madej examine le vakx1 au microscope)

Le docteur Carrie Madej examine le vakx1 au microscope

Un rapport écrit très détaillé et comportant de nombreuses images  réalisé par le docteur Robert Young a été obtenu par Maitre Brusa, avocat, et publié sur son site :

Sur ce lien: Site de Maître Brusa

Vous pourrez télécharger vous-même le rapport spectométrique des vakx1s ARNm du docteur Young qui est un document PDF de 24 pages traduit en français depuis le site de maitre Brusa :

140921 – Composition des pseudo-vakx1s – Dr Robert YOUNG

Je vais m’efforcer ci dessous de vous en extraire ce qui est compréhensible à l’entendement des néophytes que nous sommes, en vous faisant  grâce des termes scientifiques compréhensibles uniquement par les seuls scientifiques qui en manient  le langage ! Que cela toutefois ne vous donne surtout pas le sentiment de ne pouvoir comprendre l’essentiel de ce qu’il faut retenir et conclure à propos de ces injections que l’on veut vous inoculer de force alors qu’à aucun moment votre consentement n’a été éclairé ni même obtenu concernant les substances ultra nocives de ces injections pour la santé humaine et l’espérance de vie !

Ce n’est pas parce que vous n’appartenez pas au cénacle très fermé des   » sachants  » autoproclamés qui envahissent les plateaux télé que vous n’avez pas votre mot à dire sur cette scandaleuse obligation vakxinale que l’on veut vous administrer de force et qui omet à dessein de vous révéler les conséquences néfastes de toutes les substances qui ne vont pas vous protéger du virus, mais au contraire altérer gravement votre santé !

Ci-dessous donc des extraits compréhensibles du rapport du Docteur Young :

La microscopie à contraste de phase, la microscopie électronique à transmission et à balayage et la spectroscopie à rayons X à dispersion d’énergie révèlent les ingrédients des vakx1s contre le CoV-19.

Il existe actuellement quatre grandes sociétés pharmaceutiques qui fabriquent un vakx1 contre le SRAS-CoV-2, maintenant  appelé SRAS-CoV-19.  Ces fabricants et leurs vakx1s sont :

  • Pfizer– le vakx1 ARNm BioNTech,
  • Moderna-  le vakx1 ARNm Lonza -1273, Serum Institute-
  • le vakx1 Oxford Astrazeneca
  • le vakx1 Covid-19 Janssen, fabriqué par Janssen Biotech Inc, une société pharmaceutique Janssen de Johnson & Johnson, un adénovirus recombinant, inapte à la réplication, exprimant la protéine de pointe du SRAS-CoV-2.

L’objectif ( affiché ) de ces vakx1s est de conférer une immunité contre le nouveau coronavirus infectieux ou SARS-CoV-2, désormais appelé SARS-CoV-19. Ces quatre sociétés pharmaceutiques n’ont pas fourni de divulgation complète à la FDA ( Food and Drug Administration  américaine ) sur leur boîte de vakx1, leur fiche d’information ou leur étiquette.

Le but de cet article de recherche est d’identifier les ingrédients majeurs et mineurs spécifiques contenus dans le vakx1 Pfizer, le vakx1 Moderna, le vakx1 Astrazeneca et le vakx1 Janssen en utilisant divers tests scientifiques anatomiques, physiologiques et fonctionnels pour chaque vakx1 SRAS-COV-2-19.

En tant que droits de l’homme, régis en vertu du droit international par le Code de Nuremberg de 1947, l’information sur les ingrédients spécifiques du vakx1 est essentielle, requise et nécessaire à connaître pour que tout être humain de n’importe quel pays au monde puisse prendre une décision éclairée quant à son consentement ou non à l’inoculation du SRAS-CoV-2-19.

Nous avons effectué les tests scientifiques sur chaque vakx1s et avons identifié plusieurs ingrédients ou adjuvants non divulgués qui sont contenus dans ces quatre vakx1s contre le SRAS-CoV-2-19. Actuellement, ces vakx1s sont administrés à des millions d’êtres humains dans le monde entier en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) délivrée par chaque pays sans que tous les ingrédients soient divulgués et, dans certains cas, à la demande de gouvernements ou d’employeurs, ce qui constitue une violation des droits de l’homme en vertu du Code de Nuremberg de 1947.

Explications sur la méthodologie et les techniques employées par le Docteur Young

Quatre “vakx1s” ont été analysés, à savoir le vakx1 Pfizer-BioNtech, Moderna-Lonza mRNA-1273, Vaxzevria d’Astrazeneca, Janssen de Johnson & Johnson, en utilisant différents instruments et protocoles de préparation selon les nouvelles approches technologiques des nanoparticules. Les différents instruments comprennent la microscopie optique, la microscopie à champ clair, la microscopie à contraste de pHase, la microscopie à champ sombre, l’absorbance UV et la spectroscopie de fluorescence, la microscopie électronique à balayage, la microscopie électronique à transmission, la spectroscopie à dispersion d’énergie, le diffractomètre à rayons X et les instruments de résonance magnétique nucléaire, qui ont été utilisés pour vérifier la morphologie et le contenu des “ vakx1s ”. Pour les mesures de haute technologie et le soin de l’enquête, tous les contrôles ont été activés et les mesures de référence adoptées afin d’obtenir des résultats validés.

Ci dessous image de sang humain après inoculation du vakx1ss. Micrographie d’un amas de carbone d’oxyde de graphène réduit (rGO).  » Notez que les globules rouges s’agglomèrent dans et autour du cristal rGO dans une condition connue sous le nom de Rouleau ! Un mot français qui signifie “empiler”  analyse le docteur Young.

Quels sont les ingrédients non divulgués contenus dans les vakx1s  Pfizer, Moderna, Astrazeneca et  Janssen ?

Pour répondre à cette question, une fraction aqueuse des vakx1s Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen a été prélevée dans chaque flacon, puis examinée séparément, sous microscope, montrant des preuves anatomiques de particules d’oxyde de graphène réduit (rGO).

Les ingrédients non divulgués du “ vakx1 ” de Pfizer :

Les observations en microscopie du produit vakxinal de Pfizer, ainsi que des produits vakxinaux de Moderna, Astrazeneca et Janssen ont révélé certaines entités qui peuvent être des bandes de graphène, comme le montre l’image ci dessous  :

Ci- dessous Images d’oxyde de graphène sous différents aspects et en plus gros plans :

Ci-dessous image de la capside du liposome contenant le rGO ( Oxyde de Graphène réduit ) que Pfizer utilise pour véhiculer l’oxyde de graphène de son produit en attachant la capside du liposome à des molécules d’ARNm spécifiques pour conduire le contenu du liposome de rGO vers des organes, des glandes et des tissus spécifiques, à savoir les ovaires et les testicules, la moelle osseuse, le cœur et le cerveau.

L’identification définitive de l’oxyde de graphène par microscopie TEM est présente dans les 4 vakx1s CoV-2-19 ! En utilisant la microscopie électronique à transmission (MET), nous avons observé une matrice ou un maillage complexe de feuilles de rGO ( = oxyde de graphène réduit )  flexibles, translucides et pliées, avec un mélange d’agglomérations multicouches plus sombres et de monocouches dépliées de couleur plus claire, comme le montre l’image ci-dessous :

L’image ci-dessus montre un amas de nanoparticules de graphène dans un vakx1 Pfizer. Elles semblent être agrégées comme le montre les images ci dessous :

La diffractométrie des rayons X révèle leur nature de nanoparticules cristallines de rGO à base de carbone.  Le contenu chimique et élémentaire de la fraction liquide du vakx1 Pfizer a ensuite été analysé par spectroscopie à rayons X  à dispersion d’énergie (EDS). Le spectre EDS a montré la présence de carbone, d’oxygène, vérifiant les éléments rGO, ainsi que de sodium et de chlorure.

L’image ci-dessus montre des débris de 20 microns de longueur identifiés dans le soi-disant “ vakx1 ” Pfizer contenant du carbone, de l’oxygène, du chrome, du soufre, de l’aluminium, du chlorure et de l’azote.

Les images suivantes ci-dessous montrent une micrographie de différentes micro et nanoparticules qui ont été identifiées dans les vakx1s Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen et analysées au microscope électronique à balayage (MEB) couplé à une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie (SDE) qui révèle la taille des particules, la distribution de la composition et la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

Un corps allongé de 50 microns est une présence mystérieuse et nette dans le vakx1  Pfizer. Il apparaît et est identifié anatomiquement comme un parasite Trypanosoma cruzi dont plusieurs variantes sont létales et constituent l’une des nombreuses causes du syndrome d’immunodéficience acquise ou SIDA.

L’image ci-dessus identifie une composition de nanoparticules et confirme donc la présence d’un parasite Trypanosoma d’environ 20 microns de long trouvé dans le soi-disant “ vakx1 ” Pfizer. Il est composé de carbone, d’oxygène, de chrome, de soufre, d’aluminium, de chlorure et d’azote.

Parasite Trypanosoma cruzi vivant dans du sang  inoculé par le vakx1 et détecté grâce à une micrographie par microscopie à contraste de phase. l’image identifie une composition de nanoparticules comprenant du carbone, de l’oxygène, du chrome, du soufre, de l’aluminium, du chlorure et de l’azote, que l’on retrouve également dans les “vakx1s” CoV-19.

Les images suivantes montrent une micrographie de différentes micro et nanoparticules qui ont été identifiées et analysées sous un microscope électronique à balayage (MEB) environnemental couplé à une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie (SDE) qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées et leur morphologie.

L’image ci-dessus montre les particules de taille nanométrique et micronique identifiées dans le “vakx1 ” Pfizer. La particule blanche de 2 microns de long est composée de bismuth, carbone, oxygène, aluminium, sodium, cuivre et azote.

l’image ci-dessus  montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d’aluminium incorporées dans le “vakx1 ” Pfizer.

Les ingrédients non divulgués du “vakx1” d’Astrazeneca :

L’image ci-dessous montre un agrégat de fer, de chrome et de nickel, également connu sous le nom d’acier inoxydable, composé de micro et nanoparticules incorporées et identifiées dans le “ vakx1 ” d’Astrazeneca, observé au microscope électronique à transmission (MET) et quantifié à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées et leur morphologie.

L’instrument XRF (X-ray fluorescence) a été utilisé pour évaluer les adjuvants du “ vakx1 ” Astrazeneca, ce qui a permis d’identifier les molécules suivantes : histidine, saccharose, polyéthylène glycol (PEG) et alcool éthylénique, également contenues dans les “vakx1s” Pfizer et Moderna.

Le PEG et l’alcool éthylénique sont tous deux connus pour être cancérigènes et génotoxiques. Le PEG était le seul adjuvant déclaré sur la fiche technique énumérant les ingrédients du “ vakx1 ” Astrazeneca, mais contenu également dans les “ vakx1s ” Pfizer et Moderna.

Les ingrédients non divulgués du “vakx1” de Janssen :

L’image suivante montre un agrégat organique-inorganique identifié dans le “vakx1” de Janssen. Les particules sont composées d’acier inoxydable et sont collées ensemble avec une “ colle à base de carbone ” d’oxyde de graphène réduit. Cet agrégat est hautement magnétique et peut déclencher une coagulation sanguine pathologique et “ l’effet Corona ” ou “ l’effet protéine en pointe ” créé par la dégénérescence de la membrane cellulaire due aux interactions avec d’autres dipôles. Cet agrégat d’acier inoxydable est composé de carbone, d’oxygène, de fer et de nickel, maintenu par de l’oxyde de graphène.

L’image ci dessous montre des éléments de carbone, d’oxygène, de fer et de nickel réunis par de l’oxyde de graphène. L’ effet  » Corona ” et la ” protéine de pointe ” créés de manière endogène sont causés par un empoisonnement chimique et radiologique dû à l’oxyde de graphène réduit et aux rayonnements micro-ondes !

Ci-dessous image de“L’effet Corona” et de la création endogène d’exosomes due à l’empoisonnement chimique et radiologique des fluides vasculaires et interstitiels de l’interstium.

L’image qui suit montre “ l’effet Corona ” et la naissance endogène de pics de protéines S1 causés par les radiations et l’empoisonnement chimique ou ce que le docteur Robert Young appelle “ l’effet de pic de protéines ”.

La micrographie ci-dessus montre la création endogène des “pics de protéines” comme une infection. Les images précédentes montrent “L’EFFET CORONA” sur les globules rouges montre “L’EFFET PROTÉINE SPIKE”, tous deux causés par une acidose décompensée des fluides interstitiels et vasculaires provenant d’un mode de vie acide et plus particulièrement d’une exposition à des champs électromagnétiques pulsés toxiques à 2,4 GHz ou plus, d’un empoisonnement chimique provenant de la nourriture et de l’eau ingérées, d’une pollution atmosphérique acide toxique, de chemtrails  et, pour couronner le tout, d’une inoculation de CoV-19 à base de nano particules chargées de produits chimiques !

Docteur Robert Young  :   » S’il vous plaît, laissez vos sentiments et vos fausses croyances à la porte avant que VOUS ne vous fassiez du mal prématurément « 

Les ingrédients non divulgués du “ vakx1 ” Moderna  : 

L’étude a identifié une entité mixte de matières organiques et inorganiques contenue dans le “vakx1” Moderna. La microscopie électronique à transmission (TMS) et la quantification à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à  dispersion d’énergie (EDS) ont révélé la nature chimique des micro et nanoparticules observées. Le “vakx1” Moderna est un substrat d’oxyde de graphène réduit à base de carbone dans lequel sont incorporées des nanoparticules. Ces nanoparticules sont composées de carbone, d’azote, d’oxygène, d’aluminium, de cuivre, de fer et de chlore.

L’image ci-dessus révèle la présence de nanoparticules cytotoxiques intégrées. Les micro et nano particules observées sont de nature chimique. De nombreux corps étrangers ont été identifiés avec une morphologie sphérique avec quelques cavités en forme de bulles.

L’image ci-dessous montre qu’ils sont composés de carbone, d’azote, d’oxygène, de silicium, de plomb, de cadmium et de sélénium. Cette  composition de nanoparticules hautement toxiques sont des points quantiques de séléniure de cadmium qui sont cytotoxiques et génotoxiques.

L’image suivante montre les nano-points dans l’oxyde de graphène trouvé dans le “ vakx1 ” Moderna.

L’image ci-dessous révèle la composition cytotoxique et génotoxique des nanoparticules d’oxyde de graphène trouvées dans le “ vakx1 ” Moderna.  le “vakx1” Moderna  révèlent un symplaste de 100 microns de composite de nanoparticules d’oxyde de graphène réduit. Le rGO est composé de carbone et d’oxygène avec une contamination de nanoparticules d’azote, de silicium, de phosphore et de chlore.

Les deux images accolées ci-dessous montrent des entités d’oxyde de graphène réduit à base de carbone dans le “ vakx1 ” Moderna, mélangées à des agrégats remplis de nanoparticules de silicate d’aluminium.

Conclusions du Docteur Robert Young après l’étude de la composition des quatre vakx1s  :

La pandémie de SRAS-CoVid-2-19 a incité les industries pharmaceutiques à développer de nouveaux médicaments qu’elles ont appelés vakx1s.

Le mécanisme d’action de ces nouveaux médicaments, tel qu’il est déclaré par l’industrie pharmaceutique, associé à ce qui est indiqué dans la fiche technique des vakx1s, n’est PAS clair pour les savants médicaux actuels qui comprennent que ces nouveaux médicaments produits par

  • Pfizer – le vakx1 ARNm BioNTech,
  • le vakx1 ARNm-1273 Moderna-Lonza,
  • le vakx1 Serum Institute Oxford Astrazeneca et
  • le vakx1 Janssen COVID -19, fabriqué par Janssen Biotech Inc, une société pharmaceutique Janssen de Johnson & Johnson,

ne sont PAS des vakx1s mais des médicaments nanotechnologiques fonctionnant comme une thérapie génétique.

Le nom “vakx1” est probablement un escamotage (ruse) utilisé pour des raisons bureaucratiques et technocratiques afin de recevoir une approbation d’urgence, en ignorant toutes les règles normales nécessaires pour les nouveaux médicaments, en particulier pour ceux qui impliquent de nouveaux mécanismes nanotechnologiques qui n’ont jamais été développés ni expérimentés par l’homme, où que ce soit, à n’importe quel moment de l’histoire du monde.

Tous ces soi-disant “ vakx1s ” sont brevetés et leur contenu réel est donc tenu secret, même pour les acheteurs, qui, bien sûr, utilisent l’argent des contribuables. Ainsi, les consommateurs (les contribuables) n’ont aucune information sur ce qu’ils reçoivent dans leur corps par inoculation.

L’humanité est maintenue dans l’ignorance en ce qui concerne les processus technologiques de nanoparticules impliqués, les effets négatifs sur les cellules du corps, mais surtout l’effet possible de la nano-bio-interaction magnétotoxique, cytotoxique et génotoxique sur le sang et les cellules du corps.

Cette étude actuelle, qui consiste en une analyse directe des soi-disant “vakx1s” susmentionnés à l’aide d’instruments technologiques à nanoparticules, révèle des informations troublantes et susceptibles de changer la vie des personnes concernées, concernant la vérité sur le contenu acide toxique réel de ces soi-disant vakx1s.

Les médicaments Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ne sont PAS des “vakx1s” mais des agrégats complexes de nanoparticules d’oxyde de graphène composés de divers nano-éléments fixés à des acides nucléiques génétiquement modifiés d’ARNm provenant de cellules animales et de cellules fœtales humaines avortées, comme nous l’avons vu et décrit ci-dessus.

Une fois de plus, les ingrédients de ces soi-disant vakx1s sont hautement magnétotoxiques, cytotoxiques et génotoxiques pour les membranes cellulaires des plantes, des insectes, des oiseaux, des animaux et des humains, ainsi que pour leur génétique, ce qui a déjà entraîné de graves accidents (estimés à plus de 500 millions) et/ou la mort (estimée à plus de 35 millions).

Les soi-disant “experts” ou “savants médicaux” VOUS disent que les vakx1s contre le CoV -2 – 19 sont le SEUL moyen d’arrêter la propagation du CoV-19… même lorsqu’il n’y a AUCUNE PREUVE de son existence et AUCUNE PREUVE de sa propagation telle que déterminée par la méthode scientifique des postulats de Koch ou de Rivers !

Ces même experts affirment qu’ils sont sûrs – malgré les preuves documentées du contraire….. qu’ils sont efficaces – même si des millions de personnes “doublement piquées” tombent malades, s’exposent théoriquement à un VIRUS NON EXISTANT appelé CoV – 19, et meurent, non pas d’une infection virale fantôme mais de la PEUR ou de fausses preuves semblant réelles, et du contenu acide toxique de l’oxyde de graphène réduit délivré via l’ARNm génétiquement modifié à des organes cibles spécifiques du corps humain entraînant une coagulation sanguine pathologique, un manque d’oxygène, une hypercapnie, une hypoxie et ensuite la mort par suffocation.

Docteur Robert Young   :   » Ces experts affirment que VOUS DEVEZ recevoir au moins deux injections PLUS des “rappels” pour vivre une “vie normale”…  Et bientôt, ils vous diront que VOUS n’avez pas d’autre choix que de vous conformer à TOUTES leurs OBLIGATIONS ! « 

NE LAISSEZ PERSONNE VOUS ENLEVER VOTRE LIBERTÉ DE SANTÉ !

« C’est VOTRE corps, VOTRE vie et VOTRE choix ! La connaissance est le pouvoir. Et c’est la clé pour comprendre pourquoi les vakx1s expérimentaux CoV -19 sont si dangereux – malgré le récit officiel des médias aux ordres qui suppriment et censurent quiconque ose s’exprimer. Vous avez le contrôle de votre propre santé. Ne soyez pas victime des gouvernements et des bureaucrates mondiaux qui poussent tout le monde à se faire vakxiner. Le “philanthrope” milliardaire Bill Gates et les activistes milliardaires de Big Tech pensent savoir ce qui est le mieux pour vous et votre famille. Vous devez être libre de décider ce qui est bon pour vous. Ne laissez PAS les gouvernements et les employeurs vous forcer à vous faire “vaxxer” “pour votre bien”.  Et ne laissez jamais la culture de la censure vous rendre trop effrayé pour défendre vos droits !  » 

Ce rapport d’études effectué par le Docteur Young révèle tout ce qui n’est pas divulgué dans les notices des laboratoires ! La composition des  » vakx1s  » dont l’appellation est impropre puisqu’il s’agit de thérapie génique présente des quantités importantes de substances très toxiques pour la santé humaine qui n’ont rien à faire dans ces injections. Et c’est bien parce que les laboratoires savent que leurs ingrédients endommagent les cellules humaines qu’ils ne les mentionnent pas dans leurs notices ! N’y-a-t-il pas là une volonté manifeste de nuire et de tromper tous ceux qui subissent leurs injections toxiques ? Et les dirigeants qui imposent cette vakxination de force ne se rendent-ils pas délibérément coupables d’un génocide en cours sous l’alibi fallacieux de protéger la santé publique ? N’est-ce pas une immense imposture et une monumentale tromperie dont les peuples endureront les dommages, voire mourront ?

Un acte médical non consenti imposé par la force, le chantage et des mesures coercitives est illégal et ne peut-être que l’œuvre de charlatans malveillants et de psychopathes qui ont vendu leur âme au diable ! Cette vakxination obligatoire est un acte criminel et cela est déjà démontrable !


Publié par Michel Duchaine

Born in 1953,I am the founder of the Defenders of the Earth in October 10 ,2007. We try to proposed an alternative of the New World Order and a new vision of life. We consider that the Humanity must live in harmony with all forms of life and abolish the neoliberalism for preserve the human life and continue the Earthlians adventure. We consider that we are not alone and we will receive an ultimatum in few time. Voir tous les articles par Michel Duchaine

La protéine spike augmenterait les crises cardiaques et détruirait le système immunitaire ?

par Mike Whitney (RéseauInternational.net)

« Il s’agit vraiment d’une technologie conçue pour empoisonner les gens, il n’y a vraiment pas deux voies possibles » ~ Dr Michael Palmer sur les vakx1s à ARNm

Question : Le vakx1 contre le Covid-19 provoque-t-il des crises cardiaques ?

Réponse : Oui, et les chercheurs sont sur le point de comprendre le mécanisme qui déclenche ces événements.

Q : Comment puis-je être sûr que vous dites la vérité ?

R :  Eh bien, pour commencer, il y a un article de recherche paru récemment dans le prestigieux magazine Circulation qui tire la même conclusion. Voici un extrait de l’article :

« Nous concluons que les vakx1s à ARNm augmentent considérablement l’inflammation de l’endothélium (couche de cellules qui tapisse les vaisseaux sanguins) et l’infiltration des cellules T dans le muscle cardiaque et peuvent expliquer les observations d’une augmentation des thromboses (coagulation), de la cardiomyopathie (un groupe de maladies qui affectent le muscle cardiaque) et d’autres événements vasculaires après la vakxination »1.

Il est en fait assez rare que des chercheurs soient aussi directs dans leur analyse, mais la voici, noir sur blanc. Comme vous pouvez le constater, ils n’ont pas mâché leurs mots. Voici comment Alex Berenson résume la situation sur son blog à Substack :

« Une nouvelle étude portant sur 566 patients ayant reçu les vakx1s Pfizer ou Moderna montre que les signes de dommages cardiovasculaires ont augmenté après les injections. Le risque de crise cardiaque ou d’autres problèmes coronariens graves a plus que doublé plusieurs mois après l’administration des vakx1s, d’après les modifications des marqueurs d’inflammation et d’autres dommages cellulaires. Les patients avaient un risque sur quatre de problèmes graves après les vakx1s, contre un sur neuf avant »2.

« Doublé » ? « Le risque de crise cardiaque… a plus que doublé » après la vakxination ?

Apparemment, oui. Pas étonnant que le cardiologue Dr. Aseem Malhotra soit si sidéré. Voici ce qu’il a dit dans une récente interview :

« Extraordinaire, inquiétant et bouleversant. Nous avons maintenant la preuve d’un mécanisme biologique plausible de la façon dont le vakx1 à ARNm peut contribuer à l’augmentation des événements cardiaques. Le résumé est publié dans la revue de cardiologie la plus influente, nous devons donc prendre ces résultats très au sérieux ».

En effet, nous devons, mais nos experts en santé publique continuent de prétendre que rien n’a changé, même si de plus en plus de professionnels continuent de s’exprimer. Voici encore Malhotra :

« J’ai beaucoup d’interactions avec la communauté cardiologique à travers le Royaume-Uni, et de manière anecdotique, des collègues m’ont dit qu’ils voyaient des personnes de plus en plus jeunes arriver avec des crises cardiaques… Depuis juillet, il y a eu au moins 10 000 décès non-covid, dont la plupart sont dus à des maladies circulatoires, c’est-à-dire des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux. Et il y a eu une augmentation de 30% des décès à domicile, souvent dus à un arrêt cardiaque… (Et je pense qu’il est grand temps que les décideurs politiques du monde entier mettent fin aux mandats, car si ce signal est correct, l’histoire ne sera pas de leur côté et le public ne le leur pardonnera pas »3.

Choquant, non ? Et ce qui est encore plus choquant, c’est la réaction des médias qui vise à dissimuler le fait que ces injections toxiques constituent une menace évidente pour la vie de millions de personnes. Est-ce que c’est exagéré ?

Non, pas du tout.

Alors, quelles conclusions pouvons-nous tirer de cette nouvelle recherche ? Que nous dit la science ?

Elle nous dit que le vakx1 peut réduire le flux sanguin vers le cœur, endommager le tissu cardiaque et augmenter considérablement le risque de crise cardiaque. Les auteurs disent carrément aux lecteurs que le vakx1 peut soit les tuer, soit les blesser gravement. Pouvez-vous voir cela ?

Q : Je ne peux pas le dire. Je n’ai pas lu le rapport.

R : Non, vous ne l’avez pas lu, et vous ne le lirez probablement pas non plus, puisque les grands organismes de presse et les géants des médias sociaux vont s’assurer qu’il ne verra jamais la lumière du jour. Mais relisez ce paragraphe et essayez de comprendre ce que disent les auteurs. Ils disent que de nombreuses personnes qui choisissent de se faire vakxiner mourront ou verront leur vie raccourcie de plusieurs années. Et, rappelez-vous, ce n’est pas un article d’opinion. C’est de la science. Il s’agit également d’un rejet direct d’une campagne de vakxination de masse qui tue manifestement des gens.

Q : Vous exagérez toujours. Ce n’est qu’un rapport d’un groupe de chercheurs. Je pourrais facilement vous fournir des recherches qui réfutent votre théorie.

R : Je suis sûr que vous le pourriez, en fait, il y a une petite armée de propagandistes employés par l’industrie (alias « vérificateurs de faits ») qui passent toutes leurs heures à bricoler des histoires de fausses nouvelles qui ne font que cela : discréditer la science qui s’écarte même légèrement du récit officiel. La vérité est que la campagne de désinformation pro-vakx1 a été beaucoup plus efficace que le vakx1 lui-même. Je ne pense pas que même vous soyez en désaccord avec cela.

Q : Je ne suis pas d’accord avec cela, et je n’apprécie pas que vous qualifiez le soutien généralisé à ces procédures essentielles de « désinformation pro-vakx1 ». C’est une déclaration extrêmement biaisée et ignorante.

R : Vraiment ? Au cours des dernières semaines, nous avons produit des preuves tangibles qu’un grand nombre de personnes qui sont mortes après avoir été vakxinées sont mortes à cause de la vakxination. Nous avons montré, par exemple, que deux professeurs allemands de pathologie, Arne Burkhardt et Walter Lang, ont constaté que dans cinq des dix autopsies, « les deux médecins jugent le lien entre le décès et la vakxination très probable, dans deux cas probable ». Ces mêmes médecins ont constaté que « la myocardite lymphocytaire, le diagnostic le plus courant… (avec) les phénomènes auto-immuns, la réduction de la capacité immunitaire, l’accélération de la croissance du cancer, les dommages vasculaires « endothélitis », la vascularite, la périvasculite et « l’agglutination » des érythrocytes… En d’autres termes, tout le « catalogue » des maladies qui ont été liées à la “piqûre de poison mortelle” »4.

Ces mêmes pathologistes ont trouvé des preuves d’une « émeute lymphocytaire », potentiellement dans tous les tissus et organes. (Note : Les lymphocytes sont des globules blancs du système immunitaire qui entrent en action pour combattre les envahisseurs ou les cellules infectées par des pathogènes. Une « émeute lymphocytaire » suggère que le système immunitaire est devenu fou en essayant de contrer les effets de milliards de protéines spike situées dans les cellules de la circulation sanguine. Au fur et à mesure que les lymphocytes sont épuisés, le corps devient plus sensible à d’autres infections, ce qui peut expliquer pourquoi un grand nombre de personnes contractent maintenant des virus respiratoires à la fin de l’été).

Les autopsies fournissent des preuves tangibles que les vakx1s causent effectivement des dommages importants aux tissus. Voici donc la question que je vous pose : Comment écarter la preuve solide comme le roc que les vakx1s infligent des lésions importantes aux personnes qui se les font injecter ? Avez-vous besoin d’examiner vous-même les cadavres calomniés avant de changer d’avis et d’admettre que vous avez tort ?

Q : Rien ne peut être déduit de seulement 10 autopsies. Plus d’un milliard de personnes ont été vakxinées jusqu’à présent, et les décès restent dans une fourchette acceptable compte tenu de la gravité de la maladie.

R : « La sévérité de la maladie » ? Vous voulez dire un virus auquel survivent plus de 99,98% des personnes qui l’attrapent ? Vous parlez d’une infection qui, selon les derniers chiffres de Johns Hopkins, a tué 351 000 personnes aux États-Unis en 2020, soit environ la moitié du nombre de personnes qui meurent chaque année d’une maladie cardiaque ? Et quand vous dites : « Rien ne peut être déduit de seulement 10 autopsies », vous vous trompez lourdement. Vous pouvez détecter un modèle de maladie générée par le vakx1, produit par l’injection d’une substance toxique (protéine spike) qui provoque des saignements, la coagulation et l’auto-immunité, même chez les personnes qui survivent. « Survivre » ne signifie pas être indemne. Oh, non. Et quiconque a vu les nombreuses vidéos d’athlètes en bonne santé tombant morts sur le terrain de jeu des mois après avoir été piqué, devrait comprendre que « C’est là que je vais, mais par la grâce de Dieu ». En résumé : Si vous vous faites piquer, vous ne saurez jamais si vous ne serez pas frappé sans avertissement par un événement de type cardio similaire5.

Pensez-vous que si ces athlètes avaient su qu’ils pouvaient mourir à cause du vakx1, ils auraient fait le choix qu’ils ont fait ?

Q : Vous êtes trop dramatique. Naturellement, tout le monde ne réagit pas de la même manière à un médicament utilisé en urgence, mais, tout compte fait, les vakx1s ont atténué l’impact d’une pandémie mortelle comme nous n’en avons pas vu depuis plus d’un siècle.

R : Vous le croyez vraiment, n’est-ce pas ? Tout comme vous croyez vraiment que le Covid-19 est un virus totalement unique et « nouveau ». Si vous vous documentez un peu, vous saurez que cette théorie a été complètement démystifiée. Le coronavirus n’est pas nouveau, c’est une itération de nombreuses autres infections qui se sont répandues dans la population depuis au moins deux décennies. Jetez un coup d’œil à cet extrait d’un document de recherche de Doctors for Covid Ethics et vous verrez de quoi je parle :

« Plusieurs études ont démontré que les anticorps IgG et IgA circulants spécifiques du SRAS-CoV-2 sont devenus détectables dans les 1 à 2 semaines suivant l’application des vakx1s à ARNm… La production rapide d’IgG et d’IgA indique toujours une réponse secondaire, de type mémoriel, qui est suscitée par la re-stimulation de cellules immunitaires préexistantes… Il est toutefois important de noter que les IgG ont augmenté plus rapidement que les IgM, ce qui confirme que la réponse des IgG précoce était bien de type mémoire. Cette réponse de type mémoire indique une immunité préexistante, à réaction croisée, due à une infection antérieure par des souches ordinaires de coronavirus humains respiratoires…

Des réponses mémorielles ont également été documentées en ce qui concerne l’immunité médiée par les lymphocytes T. Dans l’ensemble, ces résultats indiquent que notre système immunitaire reconnaît efficacement le SRAS-CoV-2 comme « connu », même au premier contact. Les cas graves de la maladie ne peuvent donc pas être attribués à un manque d’immunité. Au contraire, les cas graves pourraient très bien être causés ou aggravés par une immunité préexistante par le biais d’un renforcement dépendant des anticorps.

Cette étude confirme l’affirmation ci-dessus selon laquelle la réponse immunitaire au contact initial avec le SRAS-CoV-2 est de type mémoire. En outre, elle montre que cette réaction se produit chez presque tous les individus, et notamment aussi chez ceux qui ne présentent aucun symptôme clinique manifeste.

Conclusion : Les résultats collectifs discutés ci-dessus montrent clairement que les avantages de la vakxination sont très douteux. En revanche, les dommages causés par les vakx1s sont très bien documentés, avec plus de 15 000 décès associés à la vakxination enregistrés dans la base de données européenne sur les effets indésirables des médicaments (EudraVigilance), et plus de 7000 décès supplémentaires au Royaume-Uni et aux États-Unis »6.

Je répète : si la grande majorité des gens ont déjà une immunité robuste et préexistante, « alors les avantages de la vakxination sont très douteux ».

Est-ce une conclusion raisonnable « fondée sur des preuves » ? Et, si c’est le cas, n’aurait-il pas dû y avoir un débat sur cette question avant que plus d’un milliard de personnes ne soient inoculées avec une substance expérimentale qui provoque des hémorragies, la coagulation, l’auto-immunité, des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques ? Et comment pourrait-il en être autrement, après tout, s’il n’y avait pas d’immunité préexistante dans une population américaine de 330 millions de personnes, alors le nombre de décès serait exponentiellement plus élevé. Au lieu de cela, après deux années complètes d’exposition, le pourcentage de décès aux États-Unis est toujours inférieur à un tiers de 1%, une véritable goutte d’eau dans l’océan. Cela serait-il possible avec un « nouveau » virus vraiment super-contagieux ?

Non, ce ne serait pas possible, ce qui signifie que Fauci et Cie ont menti. Et s’ils ont menti, c’est pour convaincre les gens qu’ils sont plus vulnérables qu’ils ne le sont en réalité. Ce n’est qu’une des nombreuses escroqueries alarmistes qu’ils ont utilisées pour promouvoir le vakx1 : « Faites-vous vakxiner ou mourez », tel était le message.

Cela ne vous dérange pas ? Cela ne vous dérange pas de savoir que le gouvernement et les autorités de santé publique ont déformé la vérité afin de vous convaincre de subir une procédure médicale invasive et potentiellement mortelle ?

Q : Je pense que nos responsables de la santé publique ont fait du mieux qu’ils pouvaient compte tenu des circonstances.

R : Je pense que vous avez tort à ce sujet. Je pense qu’ils ont menti à plusieurs reprises afin de faire avancer un programme principalement politique. Mais, supposons que vous ayez raison pendant une minute. Alors pourquoi continuent-ils à ignorer les recherches révolutionnaires qui vont à l’encontre de leurs objectifs politiques ? Avez-vous réfléchi à cette question ? J’ai déjà mentionné le rapport choquant ci-dessus qui indique que le vakx1 réduit le flux de sang vers le cœur et augmente le risque de crise cardiaque. Avez-vous entendu un seul mot de Fauci ou Walensky à propos de ce rapport ?

Non, pas un mot.

Pourquoi pensez-vous ? On pourrait penser que si Fauci avait nos meilleurs intérêts à l’esprit, il utiliserait son influence sur les médias pour faire passer le mot à tout le monde. Mais, non. Il n’a fait aucun effort pour confirmer ce que la recherche indique ; qu’il y a un lien clair entre la production de la protéine spike et les dommages cardiovasculaires. Il n’a pas levé le petit doigt à cet égard, et ça se voit. La flambée des décès et la forte augmentation de la surmortalité dans le grand nombre de pays qui ont lancé des campagnes de vakxination de masse au début de l’année, sont principalement des décès d’origine circulatoire, c’est-à-dire des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et autres. Le dernier exemple en date de ce phénomène est celui des Pays-Bas, qui ont enregistré une hausse de 20% des décès par rapport à l’année précédente :

« La semaine dernière, le nombre de décès a été supérieur de plus de 20% à la normale pour cette période de l’année. Le Bureau central néerlandais des Statistiques (CBS) a fait état de 3750 décès, soit près de 850 de plus que prévu. Selon l’office statistique, la hausse de la mortalité s’observe dans tous les groupes d’âge.

Aux Pays-Bas, 85% des personnes âgées de plus de 18 ans sont entièrement vakxinées, et beaucoup d’entre elles n’ont été vakxinées que récemment … Les autorités néerlandaises ont commencé à injecter les rappels à ces 85% jeudi, soit plusieurs semaines plus tôt que prévu…

D’après les données hebdomadaires de l’Office of National Statistics (ONS) au Royaume-Uni, les personnes vakxinées de moins de 60 ans ont deux fois plus de chances de mourir que les personnes non vakxinées. Et le nombre total de décès en Grande-Bretagne est bien supérieur à la normale.

Comme en Allemagne, les Suédois semblent également mourir à des taux supérieurs de 20% ou plus à la normale pendant les semaines qui suivent leur deuxième injection de vakx1 anti-covid, selon les données d’une étude suédoise »7.

Et cela ne se passe pas seulement aux Pays-Bas et en Allemagne. Cela se produit partout où des campagnes de vakxination de masse ont été lancées plus tôt dans l’année. Aujourd’hui, tous ces pays connaissent une forte augmentation des arrêts cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des lésions vasculaires et des caillots sanguins. Pourquoi ? Qu’avons-nous fait différemment en 2021 par rapport aux années précédentes ?

Q : Où voulez-vous en venir ? J’ai l’impression que vous me tendez un piège ?

R : C’est le cas. Je veux que vous admettiez que les données plaident maintenant en faveur de l’arrêt immédiat de la campagne de vakxination. C’est mon objectif principal, convaincre les gens que nous sommes sur la mauvaise voie et que nous devons arrêter cette folie avant que d’autres personnes ne meurent.

Saviez-vous que les vakx1s endommagent également le système immunitaire ?

C’est vrai, les injections sont immuno-suppressives, ce qui signifie que le corps est moins capable de combattre les infections, les virus et les maladies. Réfléchissez-y un instant. Le vakx1 était censé protéger ses bénéficiaires de la maladie et de la mort, mais il fait exactement le contraire. Il empêche les cellules de produire les anticorps nécessaires pour éviter les infections. Le Dr David Bauer, de l’Institut Francis Crick, explique ce qui se passe dans ce court texte :

« Ainsi, le message clé de notre découverte est que, nous avons constaté que les bénéficiaires du vakx1 Pfizer – ceux qui ont reçu deux doses – ont des anticorps neutralisants cinq à six fois plus faibles. Il s’agit des anticorps de sécurité privée « de référence » de votre système immunitaire, qui empêchent le virus de pénétrer dans vos cellules. Nous avons donc constaté que ce taux était inférieur chez les personnes ayant reçu deux doses. Nous avons également constaté que les personnes ayant reçu une seule dose du vakx1 Pfizer sont moins susceptibles de présenter des taux élevés de ces anticorps dans le sang. Et, ce qui est peut-être le plus important, nous constatons que plus vous êtes âgé, plus vos taux sont susceptibles d’être faibles, et que plus le temps passe depuis que vous avez reçu votre deuxième vakx1, plus vos taux sont susceptibles d’être faibles. Cela nous indique donc qu’il faudra probablement donner la priorité aux rappels pour les personnes plus âgées et plus vulnérables, et ce prochainement, surtout si ce nouveau variant se propage »8.

https://www.bitchute.com/embed/cK9XuSb8Pz25/?feature=oembed#?secret=sfSnpi9Tqv

6 fois moins d’anticorps neutralisants ?

Ouaip. Comme nous l’avons dit, le vakx1 affaiblit le système immunitaire, ce qui ouvre la voie aux infections. Voici comment Alex Berenson résume la situation dans un article qu’il a posté récemment sur Substack :

« Ce que les Britanniques disent, c’est qu’ils découvrent maintenant que le vakx1 interfère avec la capacité innée de votre corps, après l’infection, à produire des anticorps contre non seulement la protéine spike mais aussi d’autres parties du virus…

Cela signifie que les personnes vakxinées seront beaucoup plus vulnérables aux mutations de la protéine spike MÊME APRÈS AVOIR ÉTÉ INFECTÉES ET S’ÊTRE RASSURÉES UNE FOIS…

… c’est probablement une preuve supplémentaire que les vakx1s peuvent interférer avec le développement d’une immunité robuste à long terme après l’infection »9.

Mais comment cela est-il possible ? Comment le gouvernement, l’establishment de le santé publique et les compagnies pharmaceutiques peuvent-ils promouvoir un vakx1 qui rend les gens plus vulnérables à la maladie ? Cela n’a aucun sens, n’est-ce pas ? À moins, bien sûr, que l’objectif soit de rendre les gens plus malades et plus susceptibles de mourir ? Est-ce là ce qui se passe ?

En fait, oui exactement. Voici ce qu’en dit un dénonciateur de Pfizer :

« Un ancien employé de Pfizer, qui travaille aujourd’hui comme expert en marketing pharmaceutique et analyste en biotechnologie, a fourni des preuves lors d’une réunion publique en septembre, suggérant que Pfizer est conscient que ces vakx1s peuvent rendre les personnes vakxinées plus enclines à contracter le COVID-19 et des infections.

Selon la dénonciatrice Karen Kingston : “Ainsi, lorsqu’ils n’étaient pas injectés, leur taux d’infection était de 1,3% et lorsqu’ils étaient injectés, il était de 4,34%. Il a augmenté de plus de 300%. Ils avaient moins d’infections quand ils n’avaient pas de protection. Donc, c’est un problème” »10.

Pourquoi cela ne fait-il pas la une des journaux ? Pourquoi la science est-elle ignorée ? Pourquoi les affirmations de professionnels crédibles sont-elles balayées sous le tapis, censurées sur les médias sociaux et écartées par nos responsables de la santé publique ?

La seule explication raisonnable est que les auteurs de la campagne de vakxination de masse veulent dissimuler les dangers du vakx1 au public, car ce qui les intéresse vraiment, c’est la vakxination universelle, c’est-à-dire s’assurer que les 7 milliards d’habitants de la planète Terre soient vakxinés quoi qu’il arrive. Comme vous pouvez le constater, la science ne les a pas du tout découragés. Ils sont tout aussi déterminés à mettre en œuvre leur plan qu’au premier jour, voire plus.

Regardez cet extrait d’un article explosif qui montre comment la protéine spike pénètre dans le noyau de nos cellules et cause des dommages incalculables au système immunitaire. Cette recherche de pointe a provoqué un tollé dans la communauté scientifique.

« Le SRAS-CoV-2 a conduit à la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19), affectant gravement la santé publique et l’économie mondiale. L’immunité adaptative joue un rôle crucial dans la lutte contre l’infection par le SRAS-CoV-2 et influence directement les résultats cliniques des patients. Des études cliniques ont indiqué que les patients atteints de COVID-19 sévère présentent des réponses immunitaires adaptatives retardées et faibles ; cependant, le mécanisme par lequel le SRAS-CoV-2 entrave l’immunité adaptative reste obscur. En utilisant une lignée cellulaire in vitro, nous rapportons ici que la protéine spike du SRAS-CoV-2 inhibe de manière significative la réparation des dommages à l’ADN, qui est nécessaire pour une recombinaison V(D)J efficace dans l’immunité adaptative.

D’un point de vue mécanique, nous avons découvert que la protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des lésions de l’ADN en empêchant le recrutement des protéines clés de réparation de l’ADN BRCA1 et 53BP1 au site de la lésion. Nos résultats révèlent un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et soulignent les effets secondaires potentiels des vakx1s à base de spike »11.

Qu’est-ce que cela signifie ?

Cela signifie que la protéine spike pénètre dans le noyau de nos cellules et endommage notre ADN. Ce n’était pas censé se produire. Le vakx1 n’était pas censé pénétrer dans le sanctuaire intérieur où est stocké notre matériel génétique. Une fois qu’elle a atteint le noyau, la protéine spike empêche la réparation de l’ADN endommagé, ce qui a un impact sur la prolifération des cellules B et T, essentielles à la lutte contre l’infection. (Note : La protéine spike affecte également des gènes spécifiques qui sont hautement « prédisposés au développement du cancer… il s’agit donc clairement d’une nouvelle de grande importance qui ne doit pas être prise à la légère »12.

Voici comment le Dr Mobeen Syed explique les effets de la protéine spike sur le système immunitaire : (J’ai transcrit cela moi-même et je m’excuse pour les erreurs éventuelles).

« La protéine spike entre dans le noyau, et non seulement la protéine spike mais aussi les protéines non structurelles se retrouvent dans le noyau également. Elles ne se contentent pas de contaminer l’ADN, mais interfèrent également avec la machinerie et la réparation de l’ADN… Lorsque nos cellules se divisent, il existe des mécanismes stricts pour s’assurer que l’ADN est correctement réparé, et correctement copié, sinon la cellule deviendra une cellule cancéreuse. Nous disposons d’un mécanisme élaboré pour réparer l’ADN… Il y a plusieurs mécanismes de réparation de l’ADN, parce qu’il y a plusieurs types de réparation… Ces deux mécanismes sont importants, parce que ces deux mécanismes de réparation sont altérés par la présence des protéines spike… Lorsqu’une infection se produit, les cellules B et les cellules T prolifèrent. Augmenter en nombre, signifie faire des copies de l’ADN… La prolifération elle-même est une réponse immunitaire importante. La création des anticorps nécessite un ADN fonctionnel…

Ce que j’explique ici, c’est que la rupture et la réparation de l’ADN peuvent également être effectuées dans les cellules immunitaires de manière intentionnelle pour le fonctionnement normal du système immunitaire. Chaque cellule B et T a besoin d’une mire de liaison variable pour s’attacher à l’antigène, et pour créer cette variation, il faut que l’ADN se restructure de façon aléatoire, ce qui nécessite une cassure et une réparation de l’ADN… Imaginez qu’il y ait des enzymes de réparation dans notre corps qui vont vers l’ADN cassé et le réparent. Imaginons maintenant que ces enzymes de réparation ne se rendent plus sur le site de l’ADN cassé ou qu’elles ne sont même plus produites ? Les chercheurs ont découvert que lorsque les protéines non structurelles sont attirées dans le noyau, il se produit alors une réduction de la prolifération des cellules (B et T)… et notre capacité à répondre aux infections ne sera pas bonne »13.

Imaginez que quelqu’un ou un groupe d’élites puissantes veuille réduire la population mondiale de plusieurs milliards de personnes. Et ils ont pensé que le meilleur moyen d’atteindre cet objectif serait d’injecter aux gens un mystérieux agent pathogène développé secrètement dans des laboratoires étrangers depuis plus de dix ans. Imaginez que cet antigène mortel ne déclenche pas seulement des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des lésions vasculaires catastrophiques, mais qu’il mette également hors d’état de nuire le système de défense critique (immunitaire) de l’organisme, augmentant ainsi de plusieurs ordres de grandeur la vulnérabilité d’une personne aux infections, aux virus et aux maladies. Imaginez que nous voyions des signes indiquant que ce plan se déroule sous nos yeux, de la montagne de cadavres criblés de lymphocytes tueurs à la forte augmentation de la surmortalité et de la mortalité toutes causes confondues, en passant par l’augmentation inexpliquée des arrêts cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, de l’auto-immunité, des hémorragies, de la coagulation, des maux de tête, des contusions, des inflammations, des problèmes de valves cardiaques, des hémorragies cérébrales, des maladies vasculaires, neurologiques et respiratoires, tous liés de manière suspecte au lancement d’une campagne de vakxination de masse.

Une telle chose pourrait-elle se produire à notre époque ? Quelqu’un pourrait-il être assez audacieux pour lancer une guerre contre l’humanité ? Quelqu’un est-il capable d’un tel mal ?

Oui.

source : https://www.unz.com
traduit par Réseau International

Les opinions exprimées dans ce contenu n’engagent que la responsabilité de leur auteur

  1. « Abstract 10712 : Les vakx1s COVID à ARNm augmentent de façon spectaculaire les marqueurs inflammatoires endothéliaux et le risque de SCA tel que mesuré par le test cardiaque PULS : un avertissement », Circulation
  2. « Si vous aimez les problèmes cardiaques, vous adorerez les vakx1s Pfizer et Moderna Covid », Alex Berenson, Substack
  3. « Le Dr Aseem Malhotra révèle une augmentation du risque de crise cardiaque suite au vakx1 COVID à ARNm », Bitchute, Minute-1:35
  4. Voir le rapport complet ici ; « Émeute lymphocytaire : Des pathologistes enquêtent sur les décès survenus après la vakxination contre le coronavirus », Free West Media
  5. Voir « Au moins 69 athlètes s’effondrent en un mois, beaucoup sont morts », freewestmedia.co
  6. « Lettre aux médecins : Quatre nouvelles découvertes scientifiques concernant l’immunité et les vakx1s contre le COVID-19 – Implications pour la sécurité et l’efficacité », Doctors for Covid Ethics
  7. « Les décès aux Pays-Bas sont supérieurs de plus de 20% à ceux de l’année précédente », Free West Media
  8. « Le Dr David LV Bauer de l’institut Francis Crick détruit le système immunitaire », Bitchute, 1 minute
  9. « Urgent : Les vakx1s Covid vous empêcheront d’acquérir une immunité complète même si vous avez été infecté et êtes rétabli », Alex Berenson, Substack
  10. « Vidéo : Un ancien employé de Pfizer affirme que le vakx1 contre Covid-19 rend les personnes qui le reçoivent plus sensibles au virus », Gateway Pundit
  11. « La protéine spike du SRAS-CoV-2 nuit à la réparation des dommages causés à l’ADN et inhibe la recombinaison V(D)J in vitro », mdpi.com
  12. Voir « La protéine spike à l’intérieur du noyau renforce les dommages à l’ADN ? – vakx1s à ARNm COVID-19 mise à jour 1 », YouTube, 12 minutes
  13. « La protéine spike va dans le noyau et nuit à la réparation de l’ADN », YouTube

Sur la mauvaise interprétation du concept d’anticorps

par Corona Fakten (reseauinternational.net).

Il est plus important que jamais d’examiner de près les anticorps ! Après avoir démontré dans mes autres articles qu’il n’existe aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène, puisqu’aucun des prétendus virus pathogènes n’a satisfait aux postulats de Koch, les partisans de la vakxination jouent la carte des « anticorps ».

Leur affirmation (qui a été enfoncée dans la tête des gens pendant des décennies) selon laquelle ils sont la preuve indirecte d’un agent pathogène, ou offrent une protection contre un agent pathogène X, est basée sur une erreur. Cette affirmation a été démontrée à plusieurs reprises comme étant fausse. Comme on me demande sans cesse ce que sont ces anticorps, je voudrais montrer dans cet article que les anticorps ne sont pas une preuve de protection, ni qu’ils fonctionnent spécifiquement comme le modèle clef-serrure.

L’autorisation des vakx1s se limite uniquement à la « séroconversion ».

Tous les vakx1s destinés à l’Europe sont autorisés par l’EMA (European Medicines Agency) à Londres [avant 2019]. Leur exigence en matière de preuve d’efficacité se limite uniquement à ce que l’on appelle la séroconversion. Cette séroconversion décrit la formation d’anticorps mesurables dans le sang des personnes vakxinées, qui sont assimilés à un effet protecteur.

Lors de l’évaluation de l’immunité après une vakxination ou de son efficacité, cette contrainte décisive est toutefois relativisée par le fait que (presque) tous les vakx1s actuels tirent leur efficacité en premier lieu de la formation d’anticorps : « Bien que les réponses immunitaires des muqueuses et des cellules soient clairement importantes pour la protection par certains vakx1s, la plupart des vakx1s autorisés aujourd’hui dépendent des anticorps sériques pour leur efficacité » (Plotkin 20101 et 20012).

Cela est également important pour le développement et l’autorisation des vakx1s, car ceux-ci doivent prouver leur efficacité – ce qui se fait sans exception (et dans de nombreux cas exclusivement !) par la détermination des anticorps produits.

Même les membres de longue date de la STIKO [commission permanente sur la vakxination à l’Institut Robert Koch] ne semblent pas toujours avoir conscience de ce lien lorsqu’ils remettent en question le bien-fondé de la détermination des titres après les vakxinations – la preuve de l’efficacité des différents vakx1s repose précisément sur la détection de ces titres d’anticorps.

Ainsi, selon le professeur Heininger :

« Pour aucun des vakx1s dits de base généralement recommandés, un contrôle du succès de la vakxination n’est prévu ou même conseillé de manière routinière ». (Heininger 2017)3 ou l’affirmation globale concernant la vakxination contre la rougeole, qu’« un résultat de laboratoire positif n’atteste pas d’une protection » (Heininger 2016)4 – si c’était le cas, on n’aurait pas pu attester de l’efficacité du vakx1 dans le cadre de l’autorisation de mise sur le marché…

Pourtant, en médecine, nous savons depuis de nombreuses décennies que les anticorps circulants ne sont pas synonymes de protection contre une maladie, ce que même le profane peut comprendre à l’aide de brefs exemples.

Si les anticorps reflètent l’indice de protection, comment les déclarations suivantes du RKI, de la STIKO et du programme de pharmacovigilance s’inscrivent-elles dans ce contexte ?

Dans le Magazine Arznei-Telegramm d’avril 2001, on peut lire ceci : « Les augmentations de titres induites par les vakx1s sont également des substituts peu fiables de l’efficacité. Le bénéfice ou le préjudice que la personne vakxinée peut espérer ne peut être déduit de ces résultats ».

Le RKI (Robert-Koch-Institut) écrit : « Pour certaines maladies évitables par la vakxination (par exemple la coqueluche), il n’existe pas de corrélation sérologique sûre qui conviendrait comme marqueur de substitution d’une immunité existante. De plus, la concentration d’anticorps ne permet pas de conclure à une éventuelle immunité cellulaire existante ».

Le professeur Heininger, membre de longue date de la STIKO (commission permanente sur la vakxination), écrit à ce sujet5 « Il n’est ni nécessaire ni utile de déterminer l’efficacité d’une vakxination par une prise de sang et une détermination des anticorps après l’avoir effectuée. D’une part, même la détermination des anticorps ne permet pas de se prononcer de manière fiable sur la présence ou l’absence de protection vakxinale, d’autre part, c’est tout simplement trop cher ».

Malade malgré la vakxination ? On peut citer l’exemple d’un garçon de 14 ans qui avait reçu une immunisation de base suffisante dans son enfance et qui avait reçu un rappel contre le tétanos six mois plus tôt, lorsqu’il a développé le tétanos. L’examen de laboratoire a révélé un taux d’anticorps si élevé qu’il aurait dû être protégé selon la définition du titre d’anticorps. Mais il ne l’était pas ! Cet exemple montre que la théorie des anticorps comme « boules magiques protectrices » ne tient pas la route. Le RKI [Institut Robert-Koch] a alors inventé le terme d’anticorps non protecteurs.

Heininger – STIKO (2017) : « Le plus important pour commencer : pour aucune des vakxinations dites de base généralement recommandées, un contrôle du succès de la vakxination n’est prévu ou même conseillé de manière routinière ».

Heininger – STIKO (2016) : « … il n’y a pas que des résultats d’anticorps IgG faussement négatifs (qui ne nous dérangeraient pas plus que ça si, par conséquent, l’enfant recevait une vakxination ROR), mais aussi, malheureusement, des résultats faussement positifs. Il faut le dire aux parents pour qu’ils comprennent qu’un résultat de laboratoire positif n’atteste pas d’une protection et qu’ils sont bien mieux orientés en donnant une 2ème dose de ROR à leur enfant ».

Remarque : il s’agit là encore d’une confirmation qu’un résultat de laboratoire positif n’a aucune valeur. La question qui se pose toujours est la suivante : comment sait-on que les anticorps circulants offrent une protection, alors que les plus hautes instances disent elles-mêmes que l’augmentation du titre ne peut pas indiquer s’il y a une protection. Lorsque des personnes présentent des taux d’anticorps élevés et tombent malgré tout malades ? Si personne ne peut dire exactement à quelle valeur de titre il y a vraiment une protection, pourquoi l’autorisation d’un vakx1s repose-t-elle précisément sur cette indication ? Personnellement, cela me laisse plus que perplexe.

Les points suivants sont d’une importance décisive dans cette discussion :

Premièrement, nous ne pouvons pas clarifier avec certitude la question de l’immunité par la détermination des anticorps pour chaque vakxination (voir ci-dessous).

Deuxièmement, les anticorps que nous déterminons lors des examens de routine ne sont pas automatiquement ceux qui assurent la protection (et qui constituent donc le corrélat de l’immunité), mais parfois seulement ceux qui indiquent qu’en plus des anticorps mesurés non déterminants pour l’immunité, des anticorps protecteurs non mesurés ont certainement été produits (les anticorps mesurés sont alors ce que l’on appelle un paramètre de substitution de l’immunité). Cette situation compliquée s’explique d’une part par le fait que de nombreux anticorps différents aux fonctions diverses sont produits dans le cadre de la réponse immunitaire et d’autre part par le fait que la détermination des anticorps réellement décisifs pour certaines vakxinations serait trop compliquée pour un diagnostic de routine. (Ou, pour le dire simplement, le lien entre anticorps et immunité est imaginaire).

Troisièmement, toute immunité n’est jamais qu’une déclaration statistique et donc relative, qu’elle protège ou non dans un cas particulier. Les véritables causes de l’état du corps lorsqu’il est « sans symptôme » sont inhérentes à d’autres justifications.

« La protection est donc un concept statistique. Lorsque nous disons qu’un titre particulier d’anticorps est protecteur, nous voulons dire dans les circonstances habituelles d’exposition, avec une dose moyenne et en l’absence de facteurs négatifs de l’hôte ».

Quatrièmement, dans ce contexte, la question de savoir ce que l’on entend exactement par protection du point de vue de la médecine conventionnelle est également décisive. On prétend ainsi que, dans le cas du HiB et de la rougeole, des taux d’anticorps beaucoup plus faibles protègent contre la maladie (protection contre la maladie) que ce qui est nécessaire pour empêcher la transmission à d’autres personnes (protection contre l’infection).

Remarque : étant donné qu’il n’existe à ce jour aucune preuve scientifique de l’existence du virus de la rougeole, on peut évidemment se demander comment on en arrive à affirmer que les anticorps protègent contre la rougeole alors que l’agent pathogène n’a pas été détecté à ce jour. Un raisonnement fallacieux. On met donc ici la charrue avant les bœufs. Je mesure quelque chose appelé « anticorps », donc j’affirme indirectement avoir un agent pathogène.

Les titres d’anticorps mesurables après les vakxinations montrent uniquement la confrontation du système immunitaire avec les antigènes généralement liés aux adjuvants. Sans ces adjuvants, il n’y aurait pas de formation d’anticorps. On constate ici que le système immunitaire a une structure beaucoup plus complexe et qu’il ne fonctionne pas exclusivement par la production d’anticorps.

Les personnes atteintes d’herpès développent des anticorps circulants contre le virus de l’herpès. Néanmoins, l’herpès peut toujours réapparaître en raison de l’affaiblissement du système immunitaire. Et ce, même si les anticorps de l’herpès sont détectables. La personne séropositive ne se réjouit pas non plus d’avoir des anticorps circulants contre le VIH.

Le modèle des anticorps ne fonctionne pas du tout. Si ceux-ci peuvent offrir une protection, comment se fait-il que des personnes présentant un titre suffisant tombent tout de même malades. Comment se fait-il que la logique des anticorps ait été inversée à 180 degrés dans le cas du VIH, où des anticorps élevés sont contre-productifs ?

« Si deux vakxinations contre la rougeole sont documentées, on peut supposer avec une grande probabilité une protection contre la rougeole même en l’absence d’anticorps ou en cas de taux d’anticorps limite. Une troisième vakxination contre la rougeole n’est pas nécessaire. La protection conférée par une double vakxination est susceptible de durer toute la vie ».

• rki.de/Réponses aux questions fréquemment posées sur la vakxination contre la rougeole. [Institut Robert Koch]

Il n’y a pas besoin d’anticorps, on part toujours du principe que la vakxination protège, sans fournir de preuves. Le concept est toujours supposé, on ne veut même pas penser à d’autres possibilités ! Ce n’est pas scientifique.

Pour prétendre à un « anticorps », il faut un « corps »

Comme je l’ai déjà montré dans mes autres articles, les virus prétendument pathogènes n’ont toujours pas été prouvés [virus de la rougeole] | [SRAS]. Donc, si je n’ai pas de preuve pour le corps, comment puis-je prétendre avoir défini des anticorps spécifiques et surtout, comment puis-je les tester ? Vous connaissez la réponse : c’est tout simplement impossible.

Que signifie tout cela pour les personnes vakxinées ?

Comme il n’existe pas d’études scientifiques sur la fréquence de ce phénomène, à savoir que les personnes vakxinées développent des anticorps non protecteurs, la possibilité d’une maladie reste présente pour chaque individu vakxiné. Un carnet de vakxination complet et même la détection de titres d’anticorps, comme c’est souvent le cas pour la rubéole ou l’hépatite B par exemple, ne donnent aucune garantie.

Les anticorps non protecteurs inventés de toutes pièces pourraient-ils expliquer la situation dans laquelle, après avoir été vakxiné (par exemple contre la rougeole, les oreillons, la rubéole ou la coqueluche, etc.), le vakxiné présente certes des anticorps, mais peut quand même tomber malade (de la rougeole, des oreillons, de la rubéole ou de la coqueluche, etc.).

Les anticorps circulants à eux seuls ne confèrent donc pas une protection sûre, c’est ce que la médecine conventionnelle sait depuis de nombreuses décennies. En revanche, la preuve de l’efficacité lors de l’autorisation des vakx1s repose uniquement sur la preuve du titre d’anticorps prétendument (parfois ?) protecteur.

lire la suite : https://cv19.fr

  1. Plotkin SA. 2010. « Clinical and Vaccine Immunology ». July 2010, p. 1055–1065
  2. Plotkin SA. 2001. The Pediatric Infectious Disease Journal. 20(1):63–75
  3. Heininger U. 2017. Ars medici. 2017(4):172-75
  4. Heininger U. 2016. Kinder- und Jugendarzt. 47(4):227
  5. U.Heininger « Manuel de vakxination des enfants Manuel de vakxination des enfants : l’aide compétente à la décision pour les parents 2004

COMPLEMENTS:

Le fabricant et les autorités européennes de santé ont outrepassé tout principe de précaution pour cette toute nouvelle technologie de vakx1.

par Collectif Reinfocovid.

Point sur les études précliniques et le « risk management plan » montrant que le fabricant et les autorités européennes de santé ont outrepassé tout principe de précaution pour cette toute nouvelle technologie de vakx1.

Point sur le « risque management plan » qui a permis la commercialisation du vakx1 Pfizer

À Retenir

  • Les injections ont démarré sur des populations entières fin 2020/début 2021 avant même que les résultats des études précliniques sur animaux ne soient terminées.
  • Il n’y a eu aucune étude de pharmacocinétique (adsorption, distribution, métabolisme et excrétion) de faite sur la protéine Spike produite.
  • La plupart des sujets de la cohorte placebo ont été vakxinés avant 6 mois après la deuxième dose, par conséquent il n’existe plus de groupe placebo pour la comparaison des données de sécurité ce qui va rendre impossible l’étude des effets chroniques de ce nouveau vakx1.
  • La suppression du groupe placebo dans l’essai clinique pivot met à mal tous les grands principes de l’Evidence Based Medicine et son sacrosaint Essai Clinique Randomisé Double Aveugle.
  • Le fabricant et les autorités européennes de santé ont outrepassé tout principe de précaution pour cette toute nouvelle technologie de vakx1.
Qu’est ce que les études précliniques ?

Les études précliniques sont une étape essentielle du développement des vakx1s chez l’Homme et s’inscrivent dans une stratégie de tests en plusieurs étapes, expliquées ici. Cette phase évalue l’efficacité et l’innocuité du vakx1 sur des modèles animaux et cellulaires (In vitro) avant de passer aux essais sur l’Homme.

Cependant, ces modèles animaux ne sont pas parfaits et ne parviennent souvent pas à prédire l’immunogénicité (capacité à développer une immunité) et l’efficacité chez l’Homme qui ne sera évaluée que dans les essais cliniques ultérieurs. Par ailleurs l’absence de toxicité détectable dans les études animales ne signifie pas qu’un vakx1 sera sans danger pour l’homme.

Les études de toxicité doivent porter sur le potentiel du produit à provoquer des réactions de type :

  • inflammatoires locales et les effets possibles sur les ganglions lymphatiques,
  • la toxicité systémique (effets sur les différents organes) et
  • sur le système immunitaire.

Les études de pharmacocinétique étudient la distribution du produit après injection dans les différents organes, son métabolisme et son élimination. Cette phase peut être complétée par des études sur le développement et la fertilité, ainsi que des études sur la génotoxicité, la carcinogénicité. La mutagénicité est également envisagée en cas d’adjuvants ou d’additifs nouveaux.

Cette phase préclinique est importante car elle va décider des indicateurs à suivre dans les futurs essais cliniques chez l’Homme.

Qu’est ce qu’un « Risk Management Plan »  ?

La mise sur le marché européen d’un médicament ou d’un vakx1 exige de la part des entreprises un plan de gestion des risques (Risk Management Plan – RMP) soumis à l’Agence européenne des Médicaments (EMA). Les RMP comprennent des informations sur l’efficacité et la sécurité. Dans l’Union européenne (UE), les entreprises doivent soumettre un RMP à l’Agence au moment de la demande d’autorisation de mise sur le marché et pour toute demande de renouvellement ou de modification. Au niveau national, toute autorité compétente (ANSM pour la France) peut demander un RMP chaque fois qu’il existe une préoccupation. Ce plan a été déposé pour le vakx1 Comirnaty de Pfizer BioNTech le 17/12/20. Les versions ultérieures concernent les essais cliniques uniquement.

Que dit l’OMS dans ses lignes directrices concernant le développement des vakx1s, la détermination de son efficacité et de son innocuité pour sa mise sur le marché ?

Le document de référence discuté ici est le RMP de PFIZER/BIONTECH (COMIRNATY) : le fabricant y justifie de la stratégie de tests et des certains exemptions et évitements de test en s’appuyant sur le guide technique de l’OMS de 2005. Ce document précise que pour démontrer l’efficacité et l’innocuité d’un vakx1 il faut prendre en considération les antigènes produits in vivo chez l’hôte vakxiné après administration d’un vecteur vivant ou d’un acide nucléique ou d’antigènes produit par synthèse chimique in vitro. (NB : Les antigènes peuvent être dans leur état natif, tronqués ou modifiés à la suite introduction de mutations, détoxifiées par des moyens chimiques ou physiques et/ou agrégées, polymérisées ou conjugué à un support pour augmenter l’immunogénicité. Les antigènes peuvent être présentés seuls ou en association avec un adjuvant, ou en combinaison avec d’autres antigènes, additifs et autres excipients.)

Pourtant ce document de l’OMS n’est clairement pas adapté au vakx1 à ARNm. C’est d’ailleurs ce qui a conduit  le 71ème meeting du Comité d’experts pour la standardisation biologique de l’OMS Expert Committee on Biological Standardization (ECBS) à se réunir en urgence du 24 au 28 Août 2020. Dans son document, l’ECBS écrit « Bien qu’aucun vakx1 à base d’ARN n’ait encore été approuvé pour un usage humain, cette technologie a le potentiel de faciliter le développement rapide de vakx1s contre les pathogènes dans les urgences de santé publique. Notamment les vakx1s à ARNm qui ont été les 1ers candidats pour entrer dans le développement clinique pendant la pandémie actuelle de COVID-19 suscitant des demandes d’orientations réglementaires ».

L’ECBS a soutenu l’élaboration d’un document séparé des autres guides techniques existants en raison de la manière différente dont sont produits et évalués ces vakx1s à ANRm par rapport aux vakx1s à plasmide ADN.

L’ECBS a identifié aussi dans ce document le besoin de standardisation pour normaliser les dosages d’anticorps anti SARS-COV-2 ainsi que des réponses immunitaires cellulaires, ainsi que pour diagnostiquer des expositions sur les cibles antigéniques utilisés pour les tests ELISA et un besoin urgent de préparations antigéniques standard. Il précise enfin que, malgré l’absence de preuve à ce jour que les vakx1 candidats contre le SARS-CoV-2 provoquent une facilitation de la maladie respiratoire (ADE), un effet analogue a été rapporté dans un modèle de souris SARS-CoV-1 et une évaluation rigoureuse serait nécessaire.

Ce meeting a donc donné lieu à la rédaction d’un document sorti le 25 Novembre 2020 : en préambule de ce texte , parmi les 10 principes généraux, point 6 page 6 « Points à considérer pour assurer la qualité, la sécurité et l’efficacité de l’ARN vakx1s (en cours de développement) »ce qui signifie que fin novembre 2020, il n’y a pas de ligne directrice pour la qualité, la sécurité et l’efficacité des vakx1 à ARNm.

Ce document demande des données précliniques concernant les nouveaux adjuvants, insiste sur l’importance de modèle animaux (rongeurs, primates) pour étudier le potentiel d’ADE, exige aussi que les études incluent les dosages normalisés des Anticorps neutralisants/non neutralisants, le profil des lymphocytes TH1/Th2, et l’histopathogie pulmonaire et autres potentielles complications, les réponses CD8+ et CD4+. On note qu’à aucun moment l’ECBS n’exige de pharmacocinétique de la protéine SPIKE produite.

Le 6 Octobre 2020, le Comité des Médicaments à Usage Humain (CHMP) de l’Agence européenne du Médicament commence sa seconde rolling review. Cet examen continu est un outil réglementaire pour accélérer l’évaluation d’un médicament/vakx1 lors d’une urgence de santé publique ; le CHMP examine les études au fur et à mesure qu’elles deviennent disponibles. Cette seconde rolling review est publiée le 30 Novembre 2020. À ce moment, il n’y a pas encore de données cliniques. Il s’agit donc d’évaluer les données non cliniques de sécurité, d’efficacité et de qualité.

Toxicité générale et paramètres à suivre

Le fabricant a donc suivi les recommandations d’évaluation de l’efficacité et de la sécurité du guide technique de 2005. Celui-ci précise que pour un produit pour lequel il n’y a pas d’expérience non clinique et clinique préalable, les tests non cliniques devraient être plus approfondis que pour les vakx1s précédemment autorisé et utilisé chez l’homme. Pourtant les injections ont démarré sur des populations entières fin 2020/début 2021 avant même que les résultats des études précliniques sur animaux ne soient terminées (reprotoxicité).

Pour les nanoliposomes utilisés comme adjuvants, si ceux-ci ont été déjà utilisés dans une technologie similaire précédente, le régulateur peut se contenter de ces études et ne pas en exiger d’autres. Dans le RMP, le fabricant se contente de citer une seule publication de 2018 concernant des nanoliposomes similaires (sans que la similarité ne soit justifiée) sur une cinquantaine de Singes, mais sans l’ARNm.

Suivant les recommandations du Guide de l’OMS 2005, le vakx1 Pfizer a été testé sur des rats à raison de trois doses de 100 µg, sur une durée de 17 jours avec trois semaines d’observations. L’étude montre que les NanoParticules de Lipides (LNP) se distribuent principalement dans le muscle au niveau du site d’injection ainsi que dans le foie. Une réaction inflammatoire (réponse immunitaire) est observée mais l’étude révèle également que « les changements secondaires à l’inflammation comprenaient une réduction légère et transitoire du poids corporel et une réduction transitoire des paramètres de masse des réticulocytes, des plaquettes et des globules rouges. Une diminution des réticulocytes a été signalée chez les rats traités avec le LNP-siRNA autorisé dans le médicament Onpattro™ mais n’ont pas été observés chez les humains traités par cette thérapie génique suggérant qu’il s’agit d’un effet spécifique à l’espèce. Une diminution des plaquettes a été notée après administration répétée, mais de faible amplitude et probablement liés à l’inflammation, et non associés à d’autres altérations de l’hémostase ».

Le Guide de l’OMS précise de plus que, dans certains cas, pour les études de toxicité, il peut également être utile d’évaluer les paramètres de coagulation. Les données doivent être collectées non seulement pendant le traitement, mais aussi après la phase de récupération (par exemple deux semaines ou plus après la dernière dose) pour déterminer la persistance et examiner l’exacerbation et/ou la réversibilité des effets indésirables potentiels.

Le RMP conclut néanmoins que l’administration du vakx1 à ARNm COVID-19 a le potentiel de diminuer temporairement les plaquettes et les paramètres de masse des globules rouges. Ces légères diminutions ne sont pas susceptibles d’être cliniquement significatives en raison de leur faible amplitude. Les RMP ultérieurs, mis à jour des données cliniques (comme celui du 29 avril 2021), ne discutent pas ces observations et conclusions en perspective des données actualisées de la pharmacovigilance.

Informations complémentaires à fournir en termes de toxicologie

Les consignes de l’OMS sur le sujet sont claires : « Dans certains cas, les résultats des évaluations de la réponse immunitaire à partir d’études non cliniques et cliniques, ou à partir de données sur les maladies naturelles, peut indiquer des aspects immunologiques de la toxicité, par ex. précipitation de complexes immuns, réponse immunitaire humorale ou à médiation cellulaire contre les déterminants antigéniques de l’hôte lui-même en raison de mimétisme moléculaire ou exacerbation de la maladie (par ex. vakx1 contre la rougeole). Dans de tels cas, des études supplémentaires pour étudier le mécanisme de l’effet observé pourraient être nécessaire. Une grande similitude des déterminants vakxinaux et des molécules hôtes pourrait provoquer des réactions auto-immunes induites par le mimétisme moléculaire. Par conséquent, tout antigène vakcinal dont les caractéristiques pourraient imiter ceux d’un antigène hôte doit être traité avec prudence. (…) Le besoin d’études spécifiques doit être envisagée au cas par cas (par ex. lors de l’utilisation de nouveaux adjuvants ou d’autres voies d’administration) et peut inclure des études de dépôt local qui évalueraient la rétention du composant vakxinal au site d’injection et sa distribution (par exemple vers les ganglions lymphatiques drainants). Les études de diffusion doivent être envisagées dans le cas de nouvelles formulations, de nouveaux adjuvants ».

Dans le cas présent, il n’y a eu aucune étude de pharmacocinétique (adsorption, distribution, métabolisme et excrétion) de faite sur la protéine Spike produite.

Les études de Cancérogénicité, Mutagénicité et Reprotoxicité (CMR)

Le RMP précise que ces études n’ont pas été réalisées, conformément aux exemptions de tests détaillés dans le guide technique de l’OMS, annexe 1 (2005) sur les essais non-cliniques pour l’évaluation des vakx1s. Or le guide indique que les études de génotoxicité ne sont normalement pas nécessaires pour le vakx1 final. Cependant, ils peuvent être requis pour un vakx1 particulier tels que contenant de nouveaux adjuvants et additifs. Si nécessaire, des tests in vitro pour les mutations et les dommages chromosomiques doivent être effectués avant la première exposition humaine. La batterie complète de tests de génotoxicité peut être réalisé en parallèle des essais cliniques.

Puis au sujet de la reprotoxicité : « Les études de toxicité pour le développement ne sont généralement pas nécessaires pour les vakx1s incluant l’immunisation des enfants. Cependant, si la population cible pour le vakx1 comprend des femmes enceintes et les femmes pouvant procréer, des études de toxicité pour le développement devraient être considéré, à moins qu’un argument scientifique et cliniquement solide ne soit avancé par le fabricant pour montrer que la réalisation de telles études est inutile. Pour un vakx1 préventif, évaluer la toxicité pour la reproduction sont généralement limités au développement prénatal et postnatal ».

Aucune de ces études n’ont été réalisées dans le cadre des études pré-cliniques au regard de cette nouvelle technologie vakxinale. Compte tenu de la présence de nanoliposomes nouveaux (ALC-0315 et ALC-0159) une étude de génotoxicité aurait dû être faite en application du guide technique cité par le fabricant. Le fabricant justifie l’exemption de test dans son RMP du 29/4/21 ainsi, p 26 : les composants de la construction vakxinale sont des lipides et de l’ARN et ne devraient pas avoir de potentiel cancérigène ou génotoxique, ce qui est pour le moins léger comme argument au regard des mécanismes connus de la cancerogénèse (non pris en compte des mécanismes épigénétiques, promoteurs de tumeurs..) et même à l’opposé de ce que précise l’OMS sur le sujet des nouveaux composants d’un vakx1.

Étude complémentaires spécifiques pour des types particuliers de vakx1s

Le guide de l’OMS 2005 indique que « des études peuvent être nécessaires pour traiter des problèmes de sécurité spécifiques associés à des types de produits particuliers en utilisant des méthodes in vitro et in vivo appropriées ». Cela signifie que pour la nouvelle technologie de vakx1 prophylactique à ARNm, une attention particulière en ce qui concerne la pharmacologie et la toxicologie de la protéine génétiquement modifiée Spike aurait dû être envisagée dans les études précliniques, d’autant que le fabricant ne justifie pas l’évitement des tests et que les lignes directrices que le fabricant cite en référence ne font pas mention précisément des nouveaux vakx1s à ARNm par CRISPR-CAS9 produisant un antigène protéique génétiquement modifié chez l’hôte, le seul document approchant cité dans le document de 2005 est un document de 1998.

Les essais cliniques

La phase 1 de l’étude comprenait des évaluations concernant le niveau de dose des deux candidats vakx1s. Les doses testées ont d’abord été administrés à une cohorte d’âge de 18 à 55 ans puis à une cohorte d’âge de 65 à 85 ans. Une dose de 30 μg a été finalement sélectionnée et administrée à la cohorte élargie de phases 2/3 afin d’évaluer son efficacité et son innocuité et les données d’immunogénicité pour les 360 premiers participants (180 du groupe vakx1 actif et 180 du groupe placebo, chaque groupe étant divisé entre les plus jeunes et les plus âgés cohortes) entrant dans l’étude après la fin de la phase 1. La phase 3 de l’étude (encore en cours) évalue l’efficacité et l’innocuité dans tous les participants (y compris les 360 premiers participants de la phase 2). Elle introduit des participants de 16 à 17 ans, évalue la cohorte des 18 à 55 ans et ajoute une cohorte de 12 à 15 ans afin de produire et évaluer les données d’immunogénicité. Les participants à l’étude devaient initialement être suivis jusqu’à 24 mois afin d’évaluer le potentiel d’effets indésirables tardifs. Après avoir terminé l’analyse d’efficacité finale avec le vakx1 et avoir déterminé l’efficacité à 95% et obtenu une autorisation réglementaire pour vakxiner dans de nombreux pays, la société Pfizer-BioNTech a commencé à ouvrir la vakxination à tous les participants. À ce jour, le RMP révèle de manière surprenante que la plupart des sujets de la cohorte placebo ont été vakxinés avant 6 mois après la deuxième dose, par conséquent il n’existe plus de groupe placebo pour la comparaison des données de sécurité ce qui va rendre impossible l’étude des effets chroniques de ce nouveau vakx1.

Conclusion

L’analyse des documents réglementaires de référence et des documents du fabricant consultables – particulièrement pour l’évaluation de l’efficacité et de la sécurité préclinique (données non humaines) du vakx1 à ARNm de Pfizer/Biontech – montrent clairement la précipitation et l’impréparation de l’évaluation de cette nouvelle technologie. Le fabricant et les autorités européennes de santé ont outrepassé tout principe de précaution pour cette toute nouvelle technologie de vakx1. Le caractère d’urgence pouvait à la limite se justifier en novembre 2020, mais il n’est pas acceptable, au regard des nombreux signaux d’alerte de la pharmacovigilance post-marché, que le fabricant et/ou les autorités n’aient pas cherché depuis 12 mois déjà à compléter les données manquantes pour assurer la sécurité comme le risque de thrombose, le risque CMR, la dérégulation des cycles menstruels ou la pharmacocinétique de la protéine Spike produite qui a tout d’une toxine systémique. De plus la suppression du groupe placebo dans l’essai clinique pivot met à mal tous les grands principes de l’Evidence Based Medicine et son sacrosaint Essai Clinique Randomisé Double Aveugle. Il ne peut s’en suivre qu’une perte de confiance, une défiance envers la capacité des Autorités à protéger les citoyens européens de vakx1s reposant sur une technologie entièrement nouvelle imposée de manière répétée sous la contrainte, la menace et le chantage. Au temps de la précipitation devrait logiquement succéder le temps de la réflexion et de l’exigence de sécurité. Il reste 2 ans pour cela.

_____________

Bibliographie

• WHO Technical Report Series, No. 927, 2005, Annex 1 « WHO guidelines on nonclinical evaluation of vaccines »
• « Main outcomes of the meeting of the WHO Expert Committee on Biological Standardization held from 24 to 28 August 2020 »
• « Considerations for evaluation of Covid-19 vaccines, Points to consider for manufacturers of COVID19 vaccines », 25 Novembre 2020.
• « Quality rolling review CHMP overview and list of questions, COVID-19 mRNA Vaccine BioNTech BNT162b2, 5’capped mRNA encoding full length SARS-CoV-2 Spike protein », Procedure No. EMEA/H/C/005735/RR/02, 30/11/20.
• « DRAFT Prepared by the SAGE Working Group on COVID-19 Vaccines 22 December 2020, mRNA vaccines against COVID-19 : Pfizer-BioNTech COVID-19 vaccine BNT162b2 » Prepared by the Strategic Advisory Group of Experts (SAGE) on Immunization Working Group on COVID-19 vaccines, 22 December 2020
• « Risk Management Plan du 29 April 2021 de COMIRNATY (PFIZER) ».

source : https://reinfocovid.fr

Pourquoi je pourrais un jour me faire vakxiner.

Extrait d’un très bel article de Slobodan Despot dans sa revue l’Antipresse à laquelle j’invite à s’abonner.

RAISONS DU NON, JURIDIQUES ET MÉDICALES


I. Je suis adulte et dûment vacciné comme mon carnet jaune de l’OMS en atteste. Toutes les vaccinations que j’ai prises ont été longuement testées au préalable et jamais, pour aucune, le médecin ou l’Etat ne m’avait fait signer une décharge de responsabilité. Si on m’avait jamais mis un tel papier sous le nez, je me serais passé de l’injection, quoi qu’il m’en coûtât.


II. Servir de cobaye non rémunéré à une expérience biologique dont nul ne sait les retombées à terme, ce pour pallier une maladie à moins de 1% de létalité, me semble d’une témérité incompréhensible. Quelque chose comme, en 1912, le saut de Franz Reichelt de la tour Eiffel avec son prototype de parachute. Il n’avait pourtant pas un gorille enragé aux trousses… Que n’a-t-il d’abord balancé un mannequin? se dirait tout esprit sensé.


III. Accorder une décharge de responsabilité à l’Etat qui patronne cette expérimentation et aux compagnies privées qui s’enrichissent démesurément en la fournissant ajoute l’idiotie à la témérité. Quiconque est piqué aujourd’hui s’est privé du droit de reprocher à qui que ce soit les éventuelles retombées. Si cet acte le protège, il s’en réjouira avec les autorités. S’il lui cause du mal, il en souffrira seul.


IV. Le même Etat qui refuse d’assumer la responsabilité de cette expérimentation montre du doigt les réfractaires en les accusant d’irresponsabilité sociale. L’irresponsabilité sociale incombe en premier lieu à celui qui impose à autrui une cause sans en assumer les effets.


V. Les relations sur les effets secondaires enflent, appuyées du reste par des statistiques non contestées, indiquant des couacs beaucoup plus fréquents qu’avec toutes les vaccinations précédentes. On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, certes, mais quand il y a davantage d’oeufs sur la cuisinière que dans la poêle, il est permis de douter du cuistot. Ce sujet reste brumeux, j’en
ai longuement parlé avec des statisticiens et il est difficile — malgré les données publiquement disponibles de tirer une quelconque loi des cas
isolés. La fréquence des jeunes sportifs qui s’effondrent sur les terrains
m’incline tout de même à la réserve, comme elle a refroidi Novak Djoković et une bonne part des joueurs du circuit ATP.


VI. Si le sirop était efficace, on pourrait passer sur la gueule de bois. Or, d’Israël à Singapour en passant par la Mongolie, les zones rouges des sursauts d’infection se recoupent avec les zones «vertes» de la couverture vaccinale, qui va pourtant jusqu’à des 96-99%. Pour en arriver à cette conclusion candidement confessée par le patron de Moderna: cette vaccination sera
un abonnement renouvelable d’année en année ou de semestre en
semestre. Et l’ausweis social qui l’accompagne de même. Mais les raisinés ne s’étonnent même plus d’être aussi contagieux, et aussi vulnérables, que ceux qui ne le sont pas. Une fois qu’on leur a collé les semelles au plafond, les moutons se contentent de rentrer la cravate sous le gilet pour ne pas l’avoir dans les yeux et continuent de vaquer comme si de rien n’était.


VII. On pourrait croire, ô miracle!, que trois ou quatre shots amèneraient l’efficacité voulue. Or les réserves déjà commandées par les Etats — la
Suisse du moins — laissent peu de place à la Providence. Il suffit de diviser les précommandes par le nombre d’habitants pour connaître l’agenda.


RAISONS DU NON: PHILOSOPHIQUES ET MORALES


On pourrait ajouter à cette liste bien des points encore. Rappeler le scandale des études frelatées de Pfizer, invoquer la suspension subite de certains vaccins selon les pays, claironner le mensonge désormais établi du fameux Dr Fauci au
sujet des études en gain de fonction menées à Wuhan, se demander
comment certains ont pu déposer des brevets sur le virus… Tout cela
est sujet à polémiques et «théories du complot». Un point, toutefois, échappant à toute extrapolation «complotiste», est que les mêmes gouvernements qui invoquent une menace sanitaire absolue et contraignent les citoyens à une vaccination payée par leurs propres impôts ne veulent même pas entendre parler d’une levée des brevets sur ces produits censés garantir la survie de l’espèce.


VIII. Peut-on admettre un seul instant que la survie de l’humanité
puisse dépendre des intérêts commerciaux de quelques entreprises cotées
en bourse? A quoi nous servent nos «autorités politiques» si elles ne peuvent mettre fin à ce chantage vénal dont nos vies elles-mêmes seraient l’enjeu?
Et à quoi ressemble une société où tout se vend et tout s’achète, «l’honneur et même la sainteté», et où «Les États se muent en cachette/En anonymes sociétés» sinon à une caricature de la chanson du Diable de Jacques Brel?
Cette raison seule nous dispense des sept précédentes. Même s’il n’y
avait aucun autre problème lié à la vaccination covid, cet assujettissement féodal, indigne d’une société de gens libres, serait assez humiliant pour qu’on se passe des protections qu’il procure.
Qu’est donc cette marque sur votre épaule?, dirait aujourd’hui le loup sauvage de La Fontaine au chien enchaîné.
Que vaut une société où la santé et la vie de ses membres sont à la merci
des intérêts boursiers de quelques-uns?
Que valent des êtres pour qui la simple survie physique justifie une telle dépendance?
Et pourquoi cette humanité, qui a survécu à tant de maux bien pires sans autre aide que son immunité naturelle, devrait-elle soudain devenir dépendante d’une perfusion comme un scaphandrier au fond de la mer?
Allons-nous bientôt porter des masques à oxygène à l’air libre de la planète Terre?
Sommes-nous devenus fous?
Mais ce n’est pas tout.


IX. A ce stade déjà, toute âme encore vivante frémit de colère. Mais lorsqu’on voit ensuite par quelle vile verroterie les pouvoirs s’efforcent
d’appâter les réfractaires, la colère se transforme en dégoût. Pour qui
les autorités suisses tenaient-elles leurs concitoyens lorsqu’elles ont
imaginé de leur donner 50 balles pour «parrainer» de nouveaux raisinés? Ou lorsqu’elles leur offrent des billets de concerts auxquels ils ne se rendent même pas? Ou des virées en char Piranha ou avec la brigade des chiens, dans la république covidomilitariste de Genève? (Auprès de quoi l’initiative des coupons de réduction» de ce bordel viennois en manque de chalands apparaît presque… audiardienne.)


X. A ce racolage de misère — motivé par quelle cuisante
urgence ou quelle sinistre obligation? — répond une identique déshumanité dans la contrainte.
Qu’on puisse conditionner les études des étudiants par l’ausweis sanitaire
et organiser des descentes dans les amphithéâtres est une immonde goujaterie, mais moindre encore que celle de cet hôpital lucernois qui envisage tranquillement de séparer les mères sans pass de leurs bébés à peine nés.
Ici encore, les deux dernières raisons libèrent la précédente, qui déjà déclassait les sept autres. Ces comportements ne sont pas dignes, quelque «bonne raison» qu’on puisse invoquer pour les justifier.
Imagine-t-on Churchill distribuant des cigares ou des revues cochonnes aux Londoniens pour les faire descendre aux abris sous la pluie de bombes allemandes? D’abord, il n’en aurait pas eu besoin, car la menace ne se lisait
pas dans des fichiers Excel. Ensuite, il les aurait laissés se faire tuer ou
les aurait internés de force. Il n’aurait pas joué à la pute. C’est dégradant. Les êtres droits n’acceptent ni les cadeaux offerts de cette façon, ni les contraintes aussi hypocritement imposées. Encore une fois: même s’il n’y avait aucun problème et même si nous avions affaire à Ebola ou à la peste, le conditionnement comportemental est inacceptable. L’être humain commence là où il pose son «non». Lui soustraire la possibilité même du choix, le pousser dans la cage par microcontraintes, c’est offenser sa dignité même. C’est le traiter comme du bétail.
Il n’y a pas de «solidarité» qui puisse vous lier à une société transformée en
parc à chiens de Pavlov par ses autorités mêmes. Je ne vois plus chez ces
autorités devenues colporteurs pharmaceutiques que le rictus faux du
bonimenteur ou la morgue cynique du dresseur. C’est, d’un côté, une révélation libératrice. Pour la première fois de ma vie, je sens que je leur dois rien. Je ne leur rendrai que le strict nécessaire pour qu’elles ne mordent pas, comme on jette un os aux chiens errants. Voilà à quoi on en est arrivé auprès de millions de citoyens ordinaires et respectueux des lois.
Un sondage publié en Allemagne auprès du tiers non encore raisiné
de la population a donné un résultat qui fait réfléchir: sur ce tiers, 2%
seulement sont encore décidés à se laisser piquer, et 10% hésitent. Les autres ne le feront que sous une contrainte sociale (et non sanitaire!), ou résisteront jusqu’au bout. Quel est ce bout? L’obligation ou la prison. Un pays dont un habitant sur dix ou sur vingt est un détenu, cela n’a jamais existé. Même l’URSS au plus fort du Goulag n’avait que 2 à 3% de déportés.
Aurons-nous donc la guerre civile?
Sans doute n’en serait-on pas arrivé là si l’on avait proclamé la vaccination obligatoire d’emblée, comme au Tadjikistan. Comme pour la variole. Il y a une vilaine maladie, nous avons le remède, tout le monde doit jouer le jeu et la science en répond. Point! Mais en ce cas, les autorités auraient été responsables.
Elles n’auraient pu prétendre que chacun y allait de son libre choix. Or elles fuient leurs responsabilités comme la peste, se cachant derrière des groupes d’«experts» que personne n’a élus ou des formulaires de décharge. Leur lâcheté est sans bornes, elle nous libère d’une illusion supplémentaire: que nos «représentants» puissent nous protéger contre quoi ce que soit. Au contraire, nous leur servons de boucliers humains.


MAIS S’IL FALLAIT QUAND MÊME…

Tout cela étant dit, j’en viens à la raison qui pourrait me pousser, en dernière extrémité, à me faire raisiner. L’argument tient en un poème. Que dis-je: en un vers. Il est de la plus grande poétesse serbe, Desanka Maksimović. Dans le «Conte sanglant», un poème que tous les élèves de Serbie apprenaient après
la guerre, elle chante le martyre des lycéens de Kragujevac, exécutés comme otages par la Wehrmacht.
Les 20 et 21 octobre 1941, appliquant la loi des «cent Serbes ou Juifs exécutés pour un soldat allemand tué», le gouverneur militaire de la Serbie occupée, Franz Böhme, fit fusiller entre 2300 et 5000 civils de Kragujevac et des alentours, comprenant une soixantaine de lycéens et leurs professeurs. Ce crime monstrueux fut accompli avec une froideur clinique par des exécutants scrupuleux, selon un barême fixé d’avance. Ce n’était pas la SS, mais l’armée régulière allemande. Ce n’étaient pas des chiens de guerre, mais des «hommes ordinaires», comme les décrira l’historien Christopher Browning. «Il importe de mentionner le fait que les soldats de la Wehrmacht en
Serbie étaient généralement du troisième appel, donc des gens qui en temps de paix étaient des pères de famille, des ouvriers ou même des enseignants, comme le commandant Kœning qui était professeur de théologie, ou le capitaine Fiedler, qui était directeur de la Haute école de sciences techniques.»
Le massacre de Kragujevac rappelle à jamais combien mince est la membrane qui sépare le bon citoyen d’un Etat moderne de l’automate sans âme ni conscience. C’est pourquoi vous n’en avez jamais entendu parler.

Cela se passait sur une terre de paysans
Dans les rocailleux Balkans
D’une mort de martyrs mourut
Une compagnie d’étudiants
En une seule journée

C’est au douzième vers, toujours, que je sens le noyau d’avocat se coincer dans ma gorge:
Tous étaient nés La même année,
A l’identique leurs écoles s’écoulaient,
Ensemble aux mêmes fêtes On les avait emmenés,
Des mêmes maladies on les avait vaccinés,
Et tous sont morts la même journée.


La vaccination, au temps où les peuples existaient, était un sceau de la communauté. Elle protégeait les jeunes générations et aidait à combler les ravages de la maladie, mais aussi des guerres. Tous, nés en Yougoslavie, nous portons un petit cratère à l’épaule gauche. Cela ne se discute même pas.
Je me suis souvent demandé:
comment se sont sentis, à Kragujevac, ceux qui ont échappé au sort commun, qui sont arrivés en retard à l’école ou se sont cachés à la cave, quand toute leur génération avait disparu? La question n’ouvre que d’autres questions, comme: à quoi sert-il de survivre seul?
Ne tombons pas dans le pathos.
Je ne crains pas un programme de dépopulation, je ne crains que l’infinie force de gravité (au sens physique) du conformisme et de la bêtise, ces deux trous noirs de la galaxie humaine. Et je ne crains pas tant la mort que la servitude — du moins, je crois. Si, par hypothèse, tous autour de moi étaient enchaînés, mes enfants et mes proches, où pourrais-je me cacher? Si tous tombaient malades, comment me sentirais-je en pleine santé?
Voilà la seule raison qui pourrait me pousser un jour à montrer mon bras gauche: pour ne pas échapper au sort de ceux que j’aime, bon ou mauvais.
En mémoire des lycéens de Kragujevac.
Encore, je ne prendrais pas n’importe quoi! J’irais avec les miens me
faire baptiser au Sputnik V. Non par romantisme slave, mais par précaution. Ce vaccin est produit par un institut d’Etat, non par une multinationale assoiffée de profit. Ledit Etat est le seul en Europe à avoir inscrit la définition traditionnelle de la famille dans sa Constitution, et il investit énormément dans la natalité.
On n’est jamais à l’abri des illusions, mais je le verrais mal, cet Etat si préoccupé de la survie de son peuple, lui injecter des saloperies.
Mais s’il devait s’agir d’un poison, si l’appât du gain et le fanatisme technologique ont envahi même la médecine russe, quelle raison nous resterait-il de continuer à vivre et quel débarcadère en ce monde ne serait pas une planche pourrie? Je partagerais simplement le sort d’un grand peuple, étendu d’ici à l’Alaska, et dont les guides spirituels ont pris sur eux les conséquences du tatouage.
Car, comme je l’ai déjà écrit, la haute hiérarchie orthodoxe russe insiste sur la vaccination, à tort ou à raison. Elle sait qu’elle en assumera les conséquences, sinon dans ce monde du moins dans l’autre. Absurde consolation aux yeux des athées, ce point est capital pour les croyants. Autant que la décharge de
responsabilité pour les apparatchiks occidentaux.
Les jeunes martyrs de Kragujevac, leurs profs et leurs pères, avaient été doublement vaccinés: la première
fois à la seringue, la deuxième fois au plomb d’Hitler.
Cette vaccination-là était fiable à 100%: elle leur a ouvert la vie éternelle. A tout prendre, qu’est-ce qu’on risque dans la vie quand la mort n’existe pas?


POST SCRIPTUM. CONTE SANGLANT


Cela se passait sur une terre de paysans
Dans les rocailleux Balkans,
D’une mort de martyrs mourut
Une compagnie d’étudiants
En une seule journée.
Tous étaient nés
La même année,
A l’identique leurs écoles s’écoulaient,
Ensemble aux mêmes fêtes
On les avait emmenés,
Des mêmes maladies on les avait vaccinés,
Et tous sont morts la même journée.
Cela se passait sur une terre de paysans
Dans les rocailleux Balkans,
D’une mort de martyrs mourut
Une compagnie d’étudiants
En une seule journ
ée.
Or cinquante et cinq minutes
Avant le mortel instant
Siégeait encore dans ses bancs
La petite compagnie.
Sur les mêmes problèmes l’on planchait:
Quel temps fera le voyageur
S’il se déplace à pied…
Et ainsi de suite.
Les mêmes chiffres
Leur occupaient les pensées
Et dans leurs cahiers, au fond des serviettes
Gisaient nombreuses, insensées
Les notes, nulles ou parfaites.
Des poignées de rêves identiques,
Et d’identiques secrets,
Amoureux ou patriotiques,
S’entassaient au fond des poches.
Et il semblait à chacun
Que longtemps
Que très longtemps,
Il courrait sous la voûte ronde
Jusqu’à ce qu’il ait terminé
Tous les devoirs de ce monde.
Cela se passait sur une terre de paysans
Dans les rocailleux Balkans
D’une mort héroïque mourut
Une compagnie d’étudiants
En une seule journée.
Des garçons par files entières
Se prirent par la main
Et de leur dernière heure de classe
Ils partirent vers l’exécution
Comme si la mort n’était rien.
Des copains par files entières
Au même instant s’élevèrent

Jusqu’à leur demeure éternelle.


R D. M., Krvava Bajka. Traduit du
serbe par Slobodan Despot.

L’analyse très pédagogique du Dr Vanden Bossche sur les dangers de la vakxination massive

Le Dr Vanden Bossche, expert en virologie et immunologie, ancien employé de divers fabricants de vakx1s et de Gavi, avait déjà alerté en mars dernier sur les dangers d’une campagne de vakxination massive en pleine circulation de l’épidémie.
La situation actuelle lui donne raison et il appelle à l’arrêt urgent de cette campagne et la nécessité des traitements préventifs et curatifs (Hydroxychl… et Ivermect… par ex) pour juguler cette épidémie.
Pour lui la situation n’est déjà plus sous contrôle et que des dégâts importants vont se développer. Il est urgent que tout le monde soit bien informé pour que chacun puisse se protéger individuellement selon sa propre situation.

Deux vidéos de qualité pédagogique remarquable à visionner (et re-visionner) absolument.

https://odysee.com/@MediainfociteTV:6/ICTV-Le-rapport-Vanden-Bossche-FB:f
https://odysee.com/@MediainfociteTV:6/Seconde-partie-de-l’entrevue-du-Dr-Vanden-Bossche:8