Le masque, l’une des plus grandes impostures de la pandémie.

Extraits de la tribune de François Pesty, pour FranceSoir

Principes de physique élémentaire pour comprendre les raisons de l’inefficacité des masques sur les virus respiratoires :

Très simples, et je pense bien expliqués à la fin de ma chronique N°49 qui décortiquait ce qui se cache dans les normes AFNOR applicables aux masques. Pour faire plus court ici :

– Les masques chirurgicaux ne sont pas testés sur des virus respiratoires, mais sur des aérosols (suspension dans l’air) de staphylocoques dorés, une bactérie dont le diamètre est de 17 à 27 fois plus grand que celui du SARS-COV-2. La norme est de ne pas laisser passer plus de 5% des staphylocoques présents dans l’échantillon testé.

– Les masques en tissus lavables et réutilisables de catégorie 1, ne sont pas non plus testés (toujours par l’AFNOR) sur des virus respiratoires, mais sur des particules de chlorure de sodium de 3 micromètres de diamètre, soit 50 fois plus grosses que le C0VlD. Idem, il ne faut pas que plus de 5% des particules traversent le matériau dans lequel est fabriqué ce type de masque. Imaginez quel serait le résultat avec des virus 50 fois plus petit !

La médecine fondée sur les preuves contredit par deux fois le physicien :

Prenons-donc le problème par le bon côté. Pour savoir si le masque chirurgical protège des nouvelles contaminations virales, il est nécessaire de réaliser des études randomisées (les participants sont tirés au sort pour être inclus dans un groupe masqué ou dans un groupe de contrôle ou groupe de comparaison, non masqué. Pour savoir si le masque FFP2 protège mieux des contaminations que le masque chirurgical, il faut également randomiser en deux groupes, l’un porte le masque FFP2, l’autre le masque chirurgical…)

Quand on dispose des résultats de plusieurs études cliniques, c’est encore mieux, car il est alors possible de réaliser ce que l’on appelle une méta-analyse d’essais cliniques randomisés. Les données de tous les essais sont « poolées » (mises en commun) et analysées ensemble. Ce qui permet d’avoir des conclusions plus robustes. C’est précisément ce qu’a fait et publié à 4 reprises (réactualisation au fur et à mesure des nouvelles études) la Collaboration Cochrane, une organisation internationale d’experts médicaux indépendants des firmes de la santé. La dernière version revue par les pairs a été publiée le 20 novembre 2020.

Méta-analyse des études randomisées ayant comparé le port du masque FFP2 (N95 en langue anglaise) au port du masque chirurgical, sur la totalité des participants inclus (soignants et grand public) :

Méta-analyse des études randomisées ayant comparé le port du masque FFP2 (N95 en langue anglaise) au port du masque chirurgical, chez les seuls soignants :

La conclusion générale de la Cochrane sur ces deux méta-analyses est que le port du masque FFP2 (N95) ne fait pas ou peu de différence avec le port du masque chirurgical pour réduire la transmission d’infections respiratoires virales, jugées sur les symptômes cliniques ou la positivité des tests de laboratoire.

Méta-analyse des études randomisées ayant comparé le port du masque chirurgical à l’absence de port, sur la totalité des participants inclus (soignants et grand public) :

Méta-analyse deux études randomisées ayant comparé le port du masque chirurgical à l’absence de port, chez les soignants :

La conclusion générale de la Cochrane sur ces deux méta-analyses est que le port du masque chirurgical ne fait pas ou peu de différence avec l’absence de port de masque pour réduire la transmission d’infections respiratoires virales (ici, grippales), jugées sur les symptômes cliniques ou la positivité des tests de laboratoire.

Conclusion : Je considère personnellement qu’avoir rendu le port du masque obligatoire, alors que les meilleurs niveaux de preuves scientifiques attestent de son inefficacité contre les virus respiratoires, est la plus grande imposture et l’archétype des mesures inutiles, délétères et liberticides prises dans la gestion de cette pandémie !

EN COMPLEMENT:

Une maman réalise une étude d’impact du port du masque à l’école auprès de 1826 enfants

10 faits ahurissants sur les masques

Extrait de la lettre du Dr Schmitz.

Au moment où je vous écris, 23 États sur les 51 que comptent les États-Unis ont levé les restrictions concernant les masques – presque tous ont levé celles sur les rassemblements et les autres restrictions (1).
Le calendrier du gouvernement français, lui, soumet la fin de cette obligation à l’instauration d’un « pass sanitaire »(2), au contraire du gouvernement américain.
D’un côté donc, il y a une société libre, qui refuse le masque obligatoire, dont l’efficacité en extérieur n’est prouvée par AUCUNE ETUDE
De l’autre, une société totalitaire – la nôtre – où aucune restriction de liberté ne garantit un vrai retour à la normale.
Car c’est un fait : l’instauration du pass sanitaire ne garantit pas la réouverture des discothèques ou la fin du port du masque obligatoire.
Pire encore, il vous interdit d’activité politique et d’avoir accès à des rassemblements culturels importants.
Les 10 faits ahurissants sur les masques 
1/ L’idée que les masques ne présenteraient aucune difficulté respiratoire, ou hypoxie, avancée par l’AFP, ne repose que sur des dires de médecins étrangers, et sur AUCUNE ETUDE (7). On ne peut d’ailleurs qu’être très surpris que dans cet article d’une agence de presse française, aucun professeur français n’ait été consulté – par risque de représailles légales, sans doute.
2/ Les masques sont censés protéger de la pandémie, dont le virus fait 0,12 microns, mais ils ne sont pas capables de protéger des particules de fumée, dont la taille fait 0,4 microns. En fait, ils n’ont jamais servi qu’à éviter des infections sous-cutanées dans le cadre de la chirurgie (8).
3/ 70% des personnes infectées aux Etats-Unis portaient un masque en permanence. Seulement 7,8% des personnes infectées n’en portaient pas ou quasiment jamais (9).
4/ Il a été prouvé par 14 études recensées pour le centre de contrôle des épidémies aux Etats-Unis, le CDC, que les masques sont absolument inutiles pour empêcher la propagation d’épidémies de type grippal – telles que la « pandémie » (10).
5/ Le masque a réduit le taux d’oxygène dans le sang dans une étude effectuée sur 53 chirurgiens, qui devraient selon toute probabilité avoir « l’habitude » de porter des masques (11).
6/ Une étude effectuée sur 159 jeunes travailleurs dans le domaine de la santé, âgés de 21 à 35 ans, a montré que 81% d’entre eux avaient des maux de tête à cause de ces masques, et que cela affectait directement leur capacité à travailler (12).
7/ Le manque d’oxygène dans le sang accroît les risques d’apparition et de développement des cancers (13).
8/ Le manque d’oxygène accroît aussi très significativement les risques d’athérosclérose, donc d’AVC et d’infarctus (14).
9/ Il a été prouvé, dans une étude officielle pour le CDC américain, une baisse de la santé mentale chez 24% des enfants de 7 à 11 ans, et de 31% des enfants de 12 à 17 ans (15). Ceci n’est pas étranger au port du masque, qu’ils supportent très mal, comme l’a prouvé l’étude allemande ci-dessous
10/ Une étude allemande faite sur 25930 enfants sur toute l’Allemagne a prouvé que le masque avait un effet désastreux sur eux (16) :68 % des parents rapportent que leurs enfants portant des masques sont victimes d’impacts négatifs majeurs sur leur santé physique, psychologique et comportementale.

Dès 6 ans, on peut constater les symptômes physiques suivants :
Les maux de tête : 53,3%
Les difficultés de concentration : 49,5 %
Les malaises : 42,1 %
Les troubles de l’apprentissage : 38 %
La somnolence et la fatigue : 36,5 %
L’oppression sous le masque : 35,6 %
La sensation d’étouffement : 29,7 %
Les vertiges : 26,4 %
La gorge sèche : 22,7 %
La sensation de syncope : 20,7 %
Les démangeaisons dans le nez : 17,1 %
La nausée : 16,6 %
La sensation de faiblesse : 14,7 %
Les douleurs abdominales : 13,5 %
La respiration accélérée : 12,2 %
La sensation de maladie : 9,7 %
La sensation d’oppression dans la poitrine : 8 %

Et voici les symptômes comportementaux :
L’enfant est plus irrité : 60,4 %
L’enfant est de moins bonne humeur : 49,3 %
L’enfant ne veut plus aller à l’école ou à la maternelle : 44 % –
L’enfant est plus agité qu’à l’accoutumée : 29,2 %
L’enfant dort moins bien que d’habitude : 31,1 %
L’enfant développe des angoisses : 25,3 %
L’enfant dort plus qu’à l’accoutumée : 25 %
L’enfant est réticent à bouger et à jouer : 17,9 %

On a également recensé 269 plaintes pour aggravation des problèmes de la peau : augmentation des boutons, éruptions cutanées, phénomènes allergiques autour de la bouche et maladies fongiques dans et autour de la bouche. 
À ce niveau-là, entre l’inutilité flagrante des masques et la torture qui consiste à les faire porter aux plus jeunes, on se demande pourquoi ils sont encore préconisés. 
Le monde d’après n’en est pas un 
Jamais je n’aurais pensé que nous pourrions vivre un jour dans un monde pareil. 
Le masque a réussi à briser la société ; chacun est isolé dans sa terreur, inoculée chaque jour par les médias de masse.
Chacun a peur des autres. Nous ne sommes plus frères comme dans la devise de la République française. Votre prochain est une menace pour vous, et vous êtes une menace pour lui.Vous êtes aussi un danger potentiel pour toute personne âgée ou fragile, et donc vous devez impérativement vous abstenir de toute proximité physique.Or cela implique de laisser les aînés et les plus jeunes de souffrir de tristesse ou de solitude – jusqu’à en mourir, bien souvent.Selon le professeur en médecine Richard Delorme, les tentatives de suicide des moins de 15 ans ont doublé depuis le début de la pandémie. (17)
Finalement, le masque est devenu le symbole d’une société qui ne peut plus communiquer que par les outils numériques. Or ceux-ci sont étroitement surveillés par leurs créateurs, en ligne directe avec les pouvoirs publics, comme le montre actuellement la politique de censure très dure de Twitter, Facebook, Google, YouTube.
Devant la violence sourde de ces dispositifs, ne serait-il pas temps qu’un gouvernement, qui prétend agir par le peuple et pour le peuple, y mette un terme ?
Partagez ce message autant que possible, tant que vous le pouvez !
Dr. Thierry Schmitz
Sources:
(1)https://www.nytimes.com/interactive/2020/us/states-reopen-map-coronavirus.html
(2)https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-cinq-questions-sur-le-pass-sanitaire-qui-devrait-etre-obligatoire-pour-acceder-a-certains-rassemblements_4603995.html
(3)https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-cinq-questions-sur-le-pass-sanitaire-qui-devrait-etre-obligatoire-pour-acceder-a-certains-rassemblements_4603995.html
(4)https://www.leparisien.fr/societe/vaccins-une-clause-de-non-responsabilite-pour-les-labos-cinq-minutes-pour-comprendre-la-polemique-10-12-2020-8413532.php
(5)https://dossiers-publics.ch/une-pandemie-de-coronavirus-simulee-2-mois-et-demi-avant-le-covid-19/
(6)https://www.breizh-info.com/2021/02/04/158476/necrologie-le-doyen-de-la-bretagne-sest-eteint-4-jours-apres-setre-fait-vacciner-contre-le-covid-19/
(7)https://factuel.afp.com/covid-19-bien-porte-le-masque-nest-pas-dangereux-pour-la-sante
(8)https://redstate.com/scotthounsell/2020/09/10/the-cdc-accidentally-admits-cloth-masks-are-not-effective-n254048
(9)https://thefederalist.com/2020/10/12/cdc-study-finds-overwhelming-majority-of-people-getting-coronavirus-wore-masks/
(10)https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/26/5/19-0994_article
(11)Bader A et al. Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery. Neurocirugia 2008;19:12-126.
(12)Ong JJY et al. Headaches associated with personal protective equipment- A cross-sectional study among frontline healthcare workers during COVID-19. Headache 2020;60(5):864-877.
(13)Blaylock RL. Immunoexcitatory mechanisms in glioma proliferation, invasion and occasional metastasis. Surg Neurol Inter 2013;4:15.
(14)Savransky V et al. Chronic intermittent hypoxia induces atherosclerosis. Am J Resp Crit Care Med 2007;175:1290-1297.(15)https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/69/wr/mm6945a3.htm
(16)https://assets.researchsquare.com/files/rs-124394/v2/3c831c8c-03c2-4d1a-aa24-a92bbb272be3.pdf
(17)https://www.lejdd.fr/Societe/covid-19-les-enfants-ces-oublies-de-la-pandemie-4032996

Mise à jour des données scientifiques récentes concernant la politique C0VlD-19

Pour ceux qui ont besoin d’arguments scientifiques sérieux et crédibles

Les mesures de confinement n’empêchent pas les décès, la transmission ne se fait pas par contact, les masques n’apportent aucun bénéfice, les vakx1s sont intrinsèquement dangereux.


Par Denis G. Rancourt – Le 28 décembre 2020 – Source Research Gate

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Les mesures sans précédent de confinement universel, de confinement institutionnel strict des maisons de soins, de masquage universel de la population, d’obsession hygiénique des surfaces et des mains et de déploiement accéléré des vakx1s sont contraires à la science connue et aux récentes études de référence. Le gouvernement a fait preuve d’imprudence par action et de négligence par omission. Des mesures institutionnelles sont nécessaires depuis longtemps pour endiguer la corruption dans le domaine de la médecine et de la politique de santé publique.

  • Contenu de l’article complet à consulter sur le Saker Francophone:
    • Introduction – Pandémie iatrogène de panique
    • La rigueur des mesures n’a aucun effet sur le nombre total de décès attribués à la COVID-19
    • La corruption de la science est mise à nue – Masques et PCR
    • La transmission ne se fait pas par contact
    • Le port du masque dans la population générale n’apporte aucun bénéfice détectable
    • Les vakx1 sont intrinsèquement dangereux

Denis Rancourt, Chercheur, Association des libertés civiles de l’Ontario

L’auteur présente ci dessous ses compétences pour examiner les données scientifiques sur la COVID-19

Je suis retraité et ancien professeur titulaire de physique à l’université d’Ottawa. Le poste de professeur titulaire est le plus haut grade universitaire. Au cours de mes 23 ans de carrière en tant que professeur d’université, j’ai développé de nouveaux cours et j’ai enseigné à plus de 2000 étudiants universitaires, à tous les niveaux, et dans trois facultés différentes (sciences, ingénierie, arts). J’ai supervisé plus de 80 stages de recherche ou diplômes à tous les niveaux, du post-doctorant aux étudiants de troisième cycle en passant par les chercheurs de premier cycle du CRSNG. J’ai dirigé un laboratoire de recherche interdisciplinaire de renommée internationale, et j’ai attiré d’importants fonds de recherche pendant deux décennies.

J’ai été invité une quarantaine de fois à participer à des conférences scientifiques majeures, que ce soit en séance plénière, en tant que conférencier principal ou en session spéciale. J’ai publié plus de 100 articles de recherche dans des revues scientifiques de premier plan évaluées par des pairs, dans les domaines de la physique, de la chimie, de la géologie, de la bio-géochimie, de la science des mesures, de la science du sol et de la science environnementale.

Mon facteur d’impact de l’indice H scientifique est de 40, et mes articles ont été cités plus de 5 000 fois dans des revues scientifiques à comité de lecture (profil sur Google Scholar).

Mes connaissances personnelles et ma capacité à évaluer les faits présentés dans cet article sont fondées sur mon éducation, ma recherche, ma formation et mon expérience, comme suit :

  1. En ce qui concerne les nanoparticules environnementales. Les maladies respiratoires virales sont transmises par la plus petite fraction de taille des particules d’aérosols chargées de virions, qui sont des nanoparticules environnementales réactives. Par conséquent, les stabilités chimiques et physiques et les propriétés de transport de ces particules d’aérosol sont à la base du mécanisme dominant de contagion par l’air. Mes travaux approfondis sur les nanoparticules environnementales réactives sont reconnus au niveau international et portent sur les aspects suivants : précipitation et croissance, réactivité de surface, agglomération, charge de surface, transformation de phase, décantation et sédimentation, et dissolution réactive. En outre, j’ai enseigné la dynamique des fluides (l’air est un fluide compressible) et la sédimentation gravitationnelle au niveau universitaire, et j’ai effectué des recherches sur les applications industrielles de la technologie de filtration (les masques faciaux sont des filtres).
  2. En ce qui concerne la science moléculaire, la dynamique moléculaire et la complexation de surface. Je suis un expert en structures, réactions et dynamiques moléculaires, y compris la complexation moléculaire des surfaces biotiques et abiotiques. Ces processus sont à la base de la fixation des virus, de la fixation des antigènes, de la réplication moléculaire, de la fixation aux fibres des masques, de la charge des particules, de la perte et de la croissance des particules d’aérosol, et de tous ces phénomènes impliqués dans la transmission et l’infection virale, et dans les mesures de protection. J’ai enseigné pendant de nombreuses années la mécanique quantique au niveau universitaire avancé, qui est la théorie fondamentale des atomes, des molécules et des substances ; et dans mes recherches publiées, j’ai développé la théorie et la méthodologie de la diffraction des rayons X pour la caractérisation des petites particules de matériaux.
  3. En ce qui concerne les méthodes d’analyse statistique. L’analyse statistique des études scientifiques, y compris l’analyse robuste de la propagation des erreurs et les estimations robustes des biais, fixe la limite de ce qui peut être déduit de manière fiable de toute étude d’observation, y compris les essais contrôlés randomisés en médecine, et y compris les mesures sur le terrain pendant les épidémies. Je suis un expert en analyse d’erreurs et en analyse statistique de données complexes, au niveau de la recherche dans de nombreux domaines scientifiques. Les méthodes d’analyse statistique sont à la base de la recherche médicale.
  4. En ce qui concerne la modélisation mathématique. Une grande partie de l’épidémiologie est basée sur des modèles mathématiques de transmission et d’évolution des maladies dans la population. J’ai des connaissances et une expérience au niveau de la recherche en matière de modèles mathématiques prédictifs et exploratoires et de méthodes de simulation. J’ai des connaissances d’expert liées aux incertitudes des paramètres et aux dépendances des paramètres dans ces modèles. J’ai réalisé des simulations approfondies de la dynamique épidémiologique, en utilisant des modèles compartimentaux standard (SIR, MSIR) et de nouveaux modèles.
  5. En ce qui concerne les méthodes de mesure. En science, il existe cinq grandes catégories de méthodes de mesure : (1) la spectroscopie (y compris la spectroscopie nucléaire, électronique et vibratoire), (2) l’imagerie (y compris la microscopie optique et électronique, et l’imagerie par résonance), (3) la diffraction (y compris la diffraction des rayons X et des neutrons, utilisée pour élaborer des structures moléculaires, des défauts et des structures magnétiques), (4) les mesures de transport (y compris les taux de réaction, les transferts d’énergie et les conductivités), et (5) les mesures des propriétés physiques (y compris la densité spécifique, les capacités thermiques, la réponse aux contraintes, la fatigue des matériaux…). J’ai enseigné ces méthodes de mesure dans un cours interdisciplinaire de troisième cycle que j’ai développé et donné à des étudiants de troisième cycle (M.Sc. et Ph.D.) en physique, biologie, chimie, géologie et ingénierie pendant de nombreuses années. J’ai fait des découvertes et des progrès fondamentaux dans les domaines de la spectroscopie, de la diffraction, de la magnétométrie et de la microscopie, qui ont été publiés dans des revues scientifiques de premier plan et présentés lors de conférences internationales. Je connais la science des mesures, la base de toutes les sciences, au plus haut niveau.

Quand de grands médecins dénoncent les politiciens jouant au docteur

Le Dr Roger Hodkinson, professeur de médecine et actif dans un laboratoire vendant des tests intervient dans une assemblée publique au Canada pour dénoncer l’absurdité des mesures politiques de port du masque, de distanciation physique, de confinement et de destruction de l’économie etc … totalement disproportionnées par rapport à l’aspect peu dangereux de ce virus.

Un autre grand médecin s’exprime sur le même sujet.

Une étude scientifique danoise conclut à l’inefficacité des masques

Voir aussi en bas d’article d’autres sources et une petite vidéo d’Eric Remacle

Il semble que ceci est la première et seule étude scientifique connue concernant l’efficacité des masques dans la transmission du virus SRAS-COV-2. On ne peut pas dire que cela conforte les impositions gouvernementales de port du masque.

L’étude complète en anglais

Résumé traduit en français:

Efficacité d’ajouter une recommandation de port de masque à d’autres mesures de santé publique pour prévenir l’infection par le SRAS-CoV-2 pour des porteurs danois.


Un essai contrôlé randomisé
Henning Bundgaard, DMSc, Johan Skov Bundgaard, BSc, … Voir tous les auteurs
Auteur, article et divulgation d’informations
https://doi.org/10.7326/M20-6817

Contexte :
Les observations courantes suggèrent que le port du masque atténue la transmission du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2). Il n’est pas certain que cette association observée soit due à la protection des porteurs non infectés (effet protecteur), à la réduction de la transmission par les porteurs de masques infectés (contrôle à la source), ou aux deux.

Objectif :
Évaluer si le fait de recommander l’utilisation de masques chirurgicaux en dehors du domicile réduit le risque d’infection par le CoV-2 du SRAS chez les porteurs dans un contexte où les masques étaient peu courants et ne faisaient pas partie des mesures de santé publique recommandées.

Conception :
Essai contrôlé randomisé (DANMASK-19 [étude danoise pour évaluer les masques de protection contre l’infection par COVID-19]). (ClinicalTrials.gov : NCT04337541)

Le réglage :
Danemark, avril et mai 2020.

Participants :
Adultes passant plus de 3 heures par jour en dehors de la maison sans utiliser de masque professionnel.

Intervention :
Encouragement à suivre les mesures de distanciation sociale pour la maladie à coronavirus 2019, plus soit une recommandation de ne pas porter de masque, soit une recommandation de porter un masque en dehors de la maison parmi d’autres personnes, ainsi qu’une fourniture de 50 masques chirurgicaux et des instructions pour une utilisation correcte.

Mesures :
Le principal résultat est l’infection par le CoV-2 du SRAS chez le porteur du masque à 1 mois par un test d’anticorps, une réaction en chaîne de la polymérase (PCR) ou un diagnostic à l’hôpital. Le résultat secondaire était la positivité de la PCR pour d’autres virus respiratoires.

Résultats :
Au total, 3030 participants ont été assignés au hasard à la recommandation de porter un masque, et 2994 ont été assignés au contrôle ; 4862 ont terminé l’étude.
L’infection par le CoV-2 du SRAS s’est produite chez 42 participants à qui l’on avait recommandé de porter un masque (1,8 %) et chez 53 participants du groupe témoin (2,1 %). La différence entre les groupes était de -0,3 point de pourcentage (IC à 95%, -1,2 à 0,4 point de pourcentage ; P = 0,38) (rapport de cotes, 0,82 [IC, 0,54 à 1,23] ; P = 0,33). L’imputation multiple tenant compte de la perte au suivi a donné des résultats similaires. Bien que la différence observée ne soit pas statistiquement significative, les IC de 95% sont compatibles avec une réduction de 46% à une augmentation de 23% de l’infection.

Limitation :
Résultats non concluants, données manquantes, adhésion variable, résultats des tests à domicile rapportés par les patients, pas d’aveuglement et pas d’évaluation de la capacité des masques à réduire la transmission des maladies des porteurs de masque aux autres.

Conclusion :
La recommandation de porter des masques chirurgicaux en complément d’autres mesures de santé publique n’a pas réduit le taux d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs de masque de plus de 50 % dans une communauté où les taux d’infection sont modestes, où il existe un certain degré de distanciation sociale et où l’utilisation générale des masques est peu courante. Les données étaient compatibles avec un degré moindre d’autoprotection.

Principale source de financement :
Les Fondations Salling.

Traduit avec http://www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Un autre article américain (en anglais) montrant que les masques n’ont pas d’incidence sur les statistiques du covid.

Et encore un autre article en anglais …

Un montage vidéo de Eric Remacle sur les avis de professionnels de santé à propos du port du masque

La dialectique simpliste qu’on nous impose sépare et attise les tensions

La dialectique simpliste qu’on nous impose sépare et attise les tensions. Elle détricote le Nous sans vrai fondement. Pourtant nous avons tous les éléments en main pour reprendre une intelligibilité sur le réel.

Deux interventions pleines de bons sens du Dr Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur à Marseille.

Lettre ouverte d’un médecin belge spécialisé en rhinologie pédiatrique.

L e t t r e o u v e r t e
Par le Docteur Pierre Brihaye.
Bruxelles, le 13 septembre 2020.
Je suis médecin et chirurgien ORL, spécialisé en rhinologie pédiatrique. A ce titre, j’ai développé des techniques chirurgicales pour aider les nouveau-nés souffrant de malformations nasales à mieux respirer par le nez, car nous savons qu’une bonne oxygénation du corps et du cerveau est très importante pour le développement physique, psychomoteur, intellectuel et émotionnel des jeunes enfants, et que cette oxygénation est principalement dépendante d’une bonne respiration nasale. L’observation de ces petits enfants en manque de respiration nasale nous montre qu’ils entrent dans une sorte de léthargie, d’hypotonie, pour diminuer leur besoin en oxygène et ainsi diminuer leur inconfort. De même, je soigne et développe des techniques chirurgicales pour les enfants de tout âge souffrant de maladies ou de traumatismes nasals afin de leur permettre de retrouver une bonne respiration par le nez. Il est spectaculaire de voir la libération immédiate et le développement rapide des enfants qui ont récupéré une bonne respiration nasale. Ils montrent alors une avidité à découvrir le monde.
Quelle n’est pas ma surprise de découvrir que, sous des prétextes sanitaires, on muselle les enfants à l’école, les empêchant de respirer librement par le nez et diminuant ainsi l’oxygénation de leur cerveau, alors que l’école est le lieu où ils doivent utiliser leur cerveau pour apprendre et étudier.
Les masques, portés hors des salles d’opérations, ont des effets secondaires importants. Ils provoquent un déficit en oxygène pouvant causer des céphalées, de la fatigue, une baisse de concentration, des nausées, comme dans le mal des montagnes, dû à une diminution de l’oxygène dans l’air ambiant. De plus, le CO2 qui ne peut être expiré correctement, s’accumule rapidement. Après une minute de port du masque, l’air inspiré peut atteindre des valeurs de CO2 dépassant plusieurs fois les limites tolérées dans les lieux de travail (900ppm, Codex 6 du code du travail).
Le masque, porté sur le nez dans des pièces non conditionnées en température et humidité et non protégées des micro-organismes (comme l’est une salle d’opération), devient rapidement un bouillon de culture. Il en résulte que les enfants que je vois en consultation depuis la rentrée présentent de plus en plus souvent des rhinites croûteuses et/ou des infections nasales et sinusales.
Pendant une épidémie virale, il est recommandé d’éviter de « confiner » les locaux, car une aération importante prévient la concentration des virus. Il en est de même pour les nez de nos enfants, qui doivent rester ventilés pour y éviter la concentration anormale de germes en tous genres.
En plus, puisqu’un virus peut se concentrer dans le masque, lorsqu’on l’enlève le virus peut se concentrer dans les mains et ainsi se propager. D’autant plus qu’il n’y a pas de système de décontamination des masques usagés dans les écoles…
Ces différentes mesures sanitaires imposées à l’école ont aussi un impact psychologique. Le port du masque et la distanciation sociale induisent une dissolution du lien social, du contact visuel et physique si important pour le développement et l’épanouissement d’un enfant, et ainsi pour le renforcement de son système immunitaire. La respiration est la base des techniques de gestion émotionnelle. Or ce n’est pas à nos enfants de porter le poids des angoisses, des peurs de la mort des adultes.
La définition médicale d’une épidémie est « l’augmentation rapide de l’incidence d’une maladie ». Cependant, le nombre de malades, et de décès supposés liés à la covid-19, est extrêmement bas et stable depuis 3 mois (Sciensano), impliquant qu’en Belgique, médicalement parlant, l’épidémie de la covid-19 semble terminée depuis le mois de juin. Il n’y a donc plus de justification sanitaire à rendre nos enfants physiquement et psychiquement malades.
Sortis de la situation d’urgence des mois de mars et avril, ne revient-il pas aux enfants et à leurs parents de reprendre la responsabilité de leur santé, et en particulier de leur système immunitaire ? Le rôle du gouvernement en la matière ne s’est-il pas terminé avec la chute drastique du nombre de personnes malades de la covid-19 et la diminution de la gravité des cas résiduels ?
Alors que le débriefing du confinement nous fait découvrir à quel point nous avons « maltraité » nos ainés dans les maisons de repos, faut-il déjà oublier les leçons de ce passé récent et entamer la « maltraitance » de nos enfants à l’école ?
Et que dire des enseignants qui doivent porter le masque pour donner cours ? Notre confrère Desuter, laryngologue, a mis en garde contre la survenue rapide de pathologies laryngées et vocales, avec un risque grandissant d’arrêt de travail pour nombre d’entre eux.
Sans doute est-il utile de se remémorer la lettre ouverte signée en juin par les responsables de l’ensemble des services de pédiatrie du pays, expliquant que les enfants ne sont ni vecteurs ni malades de la covid-19 et qu’à ce titre ils ont droit à une scolarité normale. Ils nous rappelaient également de comparer notre situation avec celle d’autres pays, aujourd’hui les Pays-Bas et surtout la Suède, où les écoles, comme d’ailleurs toute la société, fonctionnent normalement, sans aucune restriction « sanitaire », et sans pour autant que leur nombre de malades ou de décès ne soient plus important que le nôtre.
Il est de notre responsabilité d’alerter sur l’inutilité et la dangerosité des mesures sanitaires imposées à l’école, parmi lesquelles le port du masque généralisé.
Dr Pierre Brihaye
Ps: déposez des plaintes contre ceux qui vous obligent si vous avez des séquelles !!!!
Que ce soit au travail, à l école, en rue !!
Donc gouvernement, ministre de la santé, bourgmestre, patron, direction et prof d école, crèche, direction des commerces !
A imprimer, et partager aux directeurs et autres professeurs des établissements scolaires

Stop à la propagande: 31 sources reprenant les propos de médecins et d’experts relayés par des grands médias.

Vous ne pourrez plus dire que vous n’avez pas d’argument pour contester le matraquage médiatique de cette crise. !! Et cela est tiré des grands médias.

Lecture en ligne du document listant les 31 sources

Pourquoi une deuxième vague (médiatique et politique) inévitable?

Une deuxième vague est prévue depuis des mois… sans qu’elle ne soit jamais arrivée. Pourtant elle sera là, quoi qu’on en fasse : pourquoi et comment? Je détaille cela de manière appuyée dans la vidéo en bas d’article…

Une deuxième vague du virus du Covid était prévue :

Au relâchement d’avril

Au déconfinement du 11 mai

Fête de la musique avec rassemblements Clusters sans effets

14 juillet

Manif black lives matter

Départ en vacances

Vacances sur plages

Retour travail etc ..

Mais la mortalité par rapport aux contaminés ne cessent de baisser depuis 8 semaines les infectiologues du monde entier disent que le virus perd de sa charge virale

Pourquoi une seconde vague arrivera, au moins médiatiquement ou politiquement ?

Les coronavirus circulent tous les ans… et les tests ne les différencient pas Les coronavirus humains causent principalement des infections respiratoires, allant du rhume sans gravité à des pneumopathies sévères parfois létales. Ils peuvent aussi s’accompagner de troubles digestifs tels que des gastro-entérites. Sras, Mers, Covid-19… Très contagieux, les coronavirus sont des virus qui se propagent rapidement avec des risques de mortalité élevés pour certaines personnes. Didier Raoult affirme que tous les ans la plupart des enfants contractent des virus de la famille des coronavirus, généralement sans symptôme.

Donc il y aura une flambée de tests positifs.

De même toutes les personnes ayant été ou qui seront vaccinés contre la grippe et ayant développés des anticorps seront testées positives.

En parlant de grippe l’amalgame est désormais fait : elle n’existe plus. La grippe saisonnière fait chaque année entre 290.000 et 650.000 morts dans le monde. 950.000 décès covid donc 1/3 de plus que la grippe La grippe 2020 s’annonçait pourtant particulièrement vigoureuse. Buzyn et Salomon avait d’ailleurs fait des annonces en décembre et janvier en annonçant une grippe extrêmement sévère cette saison. « bien partie pour être l’une des plus sévères depuis des décennies », indique Nature Selon les chiffres de Santé publique France arrêtés au 28 février 2020, 55 personnes sont mortes de la grippe depuis le 4 novembre 2019. + 13 000 morts en 2018 et + 14 500 en 2014-2015 sur les 3-4 mois d’hier 90% des personnes qui meurent de la grippe lors des épidémies saisonnières sont des personnes âgées de 65 ans ou plus. Comme covid. Environ 10 000 décès sont attribuables à la grippe chaque année.

Si tous ces mots sont classés Covid oui ce sera une deuxième vague qui risque d’occuper longtemps l’espace médiatique. Il n’y aura vraisemblablement pas de grippe saisonnière avec 10-15.000 morts comme tous les ans mais 10-15.000 morts du covid, avec des décès pour des personnes faibles de+65 ans. Baisse de l’immunité générale due : Stress qui fait baisser lymphocyte T4 et réponse immunitaire Moins de sport et compensation par addictions :alimentation, junk food, alcool, etc… Masques : on a moins d’oxygène et on respire plus de virus et de Co2. Fatigue, maux de tête.

On observe déjà explosion laryngite, pharyngite etc… Le masque ne serait pas entièrement inoffensif, il aurait des effets secondaires, parfois assez graves, comme l’a détaillé le Neurochirurgien Russell Blaylock. Selon Dr. Blaylock, plusieurs études ont détecté des problèmes importants liés au port du masque. Cela peut aller du mal de tête, à une résistance accrue des voies respiratoires, à l’accumulation de dioxyde de carbone, à l’hypoxie ou encore à des complications graves pouvant mettre la vie en danger. Donc : amalgames coronavirus et covid, amalgame grippe et covid, stress et baisse de l’immunité de la population, diminution de l’immunité et troubles liés au masquent ressemblant au pathologies du covid et amplification par les médias : recette par une seconde vague très turbulente et virulente où il faudra plus que jamais faire fonctionner son bon sens.

La muselière du 21ème siècle (à visionner absolument)

Ce message s’adresse à toutes celles et ceux qui portent le masque et ferment leurs yeux et leurs oreilles, par peur, par déni ou par ignorance. Ce message s’adresse à tous les résistants qui ont compris que les atteintes à nos libertés essentielles doivent être justifiées, limitées et proportionnées comme le droit administratif le dit. Quelle que soit votre position actuelle, surtout si vous avez peur, sachez que ce n’est pas une honte, ni un délit. La peur est juste une incompréhension du moment présent. Vous avez peur car vous vous projetez dans un futur qui n’existe que dans votre tête. Et dans bien des cas, cette image du futur vous a été injectée par de la propagande à des fins politiques, économiques et limite, sataniques. La seule est unique question est : quelle est votre limite à l’obéissance d’une « autorité supérieure ».

PDF port du masque du site de la médecine du travail de l’Aisne : https://www.mt02.org/_docs/Fichier/20…

-Courbe de réanimation et hospitalisation : https://www.linternaute.com/actualite…

-Le collectif de Maitre Manna et Philippot : https://noublionsrien.fr/

– Maitre Carlo Alberto Brusa réaction 19 : https://reaction19.fr/

– Scandale des femmes enceintes en Indonesie : https://m.merdeka.com/trending/kisah-… https://www.wartaekonomi.co.id/read28… https://kumparan.com/kumparannews/ibu… https://www.nusabali.com/berita/78287… https://m.cnnindonesia.com/nasional/2…

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Si vous avez des policiers dans votre entourage, faites leur voir ceci …

Les policiers doivent rester nos amis. Nous devons compter sur eux pour éviter de tomber dans le totalitarisme. Voyez cette initiative en Espagne.

Pour votre facilité, imprimer le document suivant ou chargez le sur votre smartphone. Il contient un QR code qui renvoie directement sur la vidéo.

Belgique: Que faire en cas de P.V. pour non-port du masque? (Donné par un policier révolté)

  • A diffuser un maximum merci le gentil policier qui m’a donné l’information 🙂la procédure concernant l’amende pour le non port du masque . Je connais cette procédure car je suis moi même policier ( mais révolté de cette manipulation de masse et donc contre le port de la muselière) .
  • En cas d’infraction vous avez le droit de refuser la perception immédiate de 250€. Vous pouvez alors demander la rédaction d’un procès verbal judiciaire à la place pour être auditionné en catégorie « Salduz 3 ». À ce moment vous serez convoqués et pourrez faire votre déclaration. Vous mentionnerez ce qui suit et a 99% il n’aura pas de suite car le magistrat sera dans un cas de vice de procédure ( les directives ministérielles étant illégales par rapport au loi en vigueur)
  • Ce que vous devez déclarer est ce qui suit:
  • La hiérarchie des normes:
    1. La Constitution
    2. La Loi
    3. L’arrêté royal
    4. L’arrêté ministériel
  • Une règle de droit qui est en dessous d’une autre doit respecter la règle au dessus.
  • Une règle inférieure ne peut donc violer la règle supérieure.
  • Un arrêté peut abroger un arrêté mais PAS une Loi supérieure.
  • Par contre, une loi peut abroger, modifier, ou déroger à une autre mais pas une règle inférieure comme l’arrêté.
  • Donc… La loi du 1er juin 2011 (entrée en vigueur le 23 juillet 2011 – code pénal art.543bis sur « l’interdiction de se trouver dans un lieu public le visage couvert empêchant l’identification » ne peut être abrogée par un arrêté ministériel obligeant le port du masque (dès ce 11 juillet 2020)…???
  • Non? Après vérification au Moniteur, cette loi n’a ni été modifiée ni abrogée.

Pour la France, voir l’article précédent.

En France: lancement d’une action collective contre l’obligation du port du masque

Nouvelle plate-forme juridique actions collectives https://agir-ensemble.eu/

L inscription sur la plateforme d actions en justice mutualisées est urgente
Ça coûte 10€ et ça prend 5 minutes.
Pour tous ceux qui ont envie d’agir concrètement depuis des semaines pour nos droits et nos libertés , c’est le moment de faire qq chose
Inscrivez vous aujourd’hui !
Le recours au niveau du conseil constitutionnel sera lancé jeudi, 10 septembre!!!