Le « remède » vous rend-t-il malade ?!

Extrait de la lettre de santé du Docteur Willem

Selon l’OMS, 80 % des maladies chroniques peuvent être causées, directement ou indirectement, par la pollution environnementale.
Ce chiffre est exorbitant.

Parmi les polluants les plus dangereux se trouvent d’une part les fameux métaux lourds (tels que l’aluminium, le mercure, le cadmium, le plomb, l’arsenic et le nickel), et d’autre part les xénobiotiques (tels les médicaments et les vakx1s qui sont les plus iatrogènes).

L’accumulation de substances toxiques dans l’organisme est influencée par l’exposition de plus en plus fréquente à ces composés « malsains ».
Cela entraîne en cascade de nombreuses anomalies dans le métabolisme général et par voie de conséquence aussi, sur les anticorps de notre système immunitaire.

Les molécules chimiques étrangères à l’organisme que l’on qualifie de xénobiotiques, forment un cocktail polluant permanent et inévitable.
Certaines d’entre elles sont très difficiles à éliminer à cause de leur caractère lipophile. Ces molécules se regroupent sous l’acronyme «POP» pour Polluants Organiques Persistants.

Ces polluants qui s’accumulent dans l’organisme créent de l’inflammation et perturbe l’homéostasie de systèmes essentiels comme le système endocrinien.

Ils sont un facteur important de l’explosion des maladies chroniques comme le diabète de type II, l’obésité, les maladies auto-immunes, les dérèglements de la thyroïde, l’infertilité galopante, etc…

Il est aujourd’hui indispensable de soutenir l’ensemble des mécanismes qui participent à la détoxification de l’organisme, car, trop sollicité, celui-ci a de plus en plus de mal à faire face à cette invasion de polluants.

Parmi les polluants notoires : l’aluminium des vakx1s.
Le rôle de ce métal présent dans les vakx1s est de booster l’immunité pour atteindre 70 à 80%.
En tant que corps étranger, il attire les cellules « éboueurs » de l’organisme.
C’est la réaction primaire destinée à multiplier les effets du vakx1.

Un début à l’aveuglette…

Au départ, on a procédé aux vakxination sans connaître les mécanismes des microbes, des bactéries, des virus et encore moins du système immunitaire.
Malgré cette absence de connaissances, la vakxination était très vite généralisée dans la pratique médicale.

Convaincus que la vakxination était une panacée, les tenants de cette pratique l’ont imposée dans le monde entier sous forme de campagnes vakxinales, de calen­driers vakxinaux, de programmes élargis de vakxinations, de lois d’obligation vakxinale, etc.
 

8 idées à déconstruire sur le vakx1

La vakxination est ainsi devenue culturelle, telle une idéologie pour laquelle on doit être prêt à immoler un petit nombre afin de sauvegarder le groupe.
Solution de facilité, approche sécurisante, la vakxination offre une alternative commode que nulle autre pratique médi­cale ne possède.

Certes, sa mise au point nécessite un investissement chiffrable important, mais qui est vite amorti par des bénéfices alléchants, lesquels poussent à une surenchère commerciale incessante.
L’intérêt majeur du vakx1 est de bloquer -en partie seulement- l’invasion virale.

Analysons le revers de la médaille : des risques considérables pour un bénéfice illusoire.

  1. Les désordres immunitaires

Les vakxinations empêchent le système immunitaire de fonctionner normalement. Celui-ci, surchargé, finit par faire n’importe quoi, ne comprenant plus les messages qu’il reçoit.
Il peut notamment fonctionner à l’envers et générer des mala­dies auto-immunes, maladies qui étaient extrêmement rares avant l’ère de la vakxination.
Leur augmentation, aujourd’hui, est considérable.
On substitue à notre système de défense des artifices et une pseudo-protection moins efficace et non durable (il faut faire des rappels).
On oblige l’enfant à faire plusieurs maladies à la fois (avec les vakx1s multiples) alors que, naturellement, le corps ne fait jamais plusieurs maladies en même temps.

  1. Les maladies virales et les maladies chroniques

Les vakxinations nous aident à changer de maladie.
Les vakx1s à virus (variole, rougeole, oreillons, rubéole, hépatite A et B, fièvre jaune, rage, varicelle, polio, grippe) nous ont entraînés vers l’émergence de maladies virales aujourd’hui innombrables alors que, auparavant, les maladies bacté­riennes prédominaient. Celles-ci étaient plus spectaculaires (forte fièvre, éruption, etc.), mais on en sortait vainqueur la plupart du temps, à moins d’une vulnérabilité particulière.

Les maladies virales sont très difficiles à soigner et prennent des formes sournoises difficiles à diagnostiquer.
Elles accen­tuent la dégradation du terrain.
Le plus grave, c’est l’installation dans les populations de maladies chroniques dégénératives de pronostic grave (maladies auto-immunes, myélopathie, Guillain-Barré, Sclérose en plaques, cancer…) à cause du pouvoir transformant des virus vakxinaux et de l’effondrement du système immunitaire.

  1. Les maladies génétiques

Les virus vakxinaux, en pénétrant dans le génome des cellules, peuvent engendrer des altérations chromosomiques ou d’autres effets plus subtils qui peuvent être hérités par les générations suivantes.
Ainsi, les petits-enfants sont susceptibles d’hériter de leurs grands-parents d’une maladie dite génétique, appelée ainsi parce qu’on ne sait pas expliquer son origine.
Aujourd’hui, une soixantaine de maladies orphelines sont répertoriées et la liste s’allongera.
Les atteintes des vakxinations sont bien loin de se limiter à celles qui se produisent dans les heures et les jours qui suivent l’inoculation.
Il faut se préoccuper des effets sur le long terme, qui sont hélas, comme on le voit, souvent irréversibles.

  1. La dégradation des fonctions du cerveau

La plupart des virus ont une affinité pour le système nerveux et vont s’y loger directement, à l’abri des anticorps.
Et c’est là qu’ils font le plus de dégâts (encéphalite, méningite, atteinte de la myéline, tumeur…).
Les bactéries et les toxines, qui sont infectées brutalement dans l’organisme, ne sont pas en reste ; elles suivent le même tracé.

La vakxination crée un état de choc entraînant irrémédia­blement des lésions et des altérations cognitives ainsi que des troubles caractériels dont la société entière paie les consé­quences.
Combien d’enfants handicapés après vakxination se retrouvent en institution ?
Combien de familles sont anéanties par le handicap d’un ou de plusieurs enfants ?
Une chape de plomb recouvre ce problème, c’est la loi du silence qui règne.

  1. La facilitation du franchissement de la barrière des espèces

Depuis le premier vakx1 (antivariolique), des cellules animales ont été introduites dans le corps humain, créant une passerelle entre l’homme et l’animal.
Certes, des microorga­nismes cohabitent chez plusieurs espèces et peuvent parfois provoquer des zoonoses (maladies transmises de l’animal à l’homme).
Mais avec les vakxinations, ce n’est pas le même processus : l’homme « s’animalise ».
Problème suffisamment inquiétant pour que l’Académie des sciences et l’Académie de médecine se soient penchées sur le lien entre maladies humaines et maladies animales à l’Institut de France en juin 2004.

  1. La fausse sécurité

En laissant croire que vakxination rime avec protection, que se vakxiner, les gens pensent qu’ils peuvent tout faire.
La vakxination leur enlève la notion de responsabilité et les pousse vers des conduites à risque.
On aboutit exactement à l’inverse de ce que devrait être une vraie prévention.
Résultat, les maladies sexuellement transmissibles sont en expansion avec réapparition de la syphilis. Et ce n’est qu’un exemple.

L’homme moderne ne se rend pas compte du chantage : croire à la vakxination, sinon c’est l’enfer.
La vakxination balaie la peur et installe la foi, voire le fanatisme dans ses formes extrêmes.
Pourtant, il ne s’agit pas de religion, mais de méde­cine.
On aboutit exactement à l’inverse de ce que devrait être une vraie science.

Résultat, on continue à nier les pathologies consécutives au vakx1 contre l’hépatite B, pourtant patentes, parce que l’on est dans la croyance.

  1. La dépendance

La vakxinologie est la plus extraordinaire machine à condi­tionner les individus.
Nous sommes devenus complètement dépendants du système.
Notre corps a été obligé de recevoir des injections répétées de produits non naturels et il est devenu permissif à tout.
Des cellules animales, des métaux lourds, des toxiques avérés, de l’ADN trafiqué, etc., tout ce qui se trouve dans un vakx1 ouvre la porte à l’acceptation des autres cocktails nocifs.

  1. La désinformation

Depuis Pasteur, le mensonge a fait son entrée officielle en science. Il n’y a pas de domaine où le mensonge soit plus flagrant qu’en vakxinologie.

Le jour où Pasteur a approu­vé l’imposture de son complice Brouardel, nous avons été embarqués dans un système de supercherie, de faux-semblants, de tromperie, de fraude, d’improbité sans nous en rendre compte.
Après la mort d’un enfant des suites de la vakxination prati­quée par Pasteur, le professeur Brouardel, son ami, porte un faux témoignage devant la justice pour dissimuler la vérité.

Et cela dure depuis plus d’un siècle.
Tous les acteurs du scénario vakxinal sont englués dans la désinformation, dont ils sont eux-mêmes victimes, tout autant que le public qu’ils maintiennent volontairement dans l’ignorance.

Nier les accidents vakxinaux, ne publier que ce qui est favorable aux vakxinations, biaiser les résultats des études, être juge et partie dans les questions litigieuses, falsifier les rapports d’expertise, faire du chantage pour que règne la loi du silence, tel est le tableau que l’on peut dresser lorsque l’on évoque le domaine de la vakxination.
Avouez que cela fait tache sur la haute idée que l’on se faisait de la science !

Nombreux sont les médecins qui ont constaté que ce sont les enfants non vakxinés qui se portent le mieux, surtout parmi les populations bien nourries et qui vivent dans de bonnes conditions d’hygiène.

Dans le cas de la grippe saisonnière, le calendrier vakxinal préconise même la vakxination des nourrissons de quelques jours à 6 mois, lorsqu’ils présentent des facteurs de risque (notamment chez les prématurés).

Quand on sait qu’un nourrisson a un système immuni­taire immature, a-t-on bien réfléchi aux conséquences d’une telle initiative ravageuse ?

Pour l’ « après-vakx1 » !

Voici un protocole en 3 étapes pour ceux et celles qui se seraient fait vakxiner mais craindraient les effets secondaires du vakx1 et/ou de la présence d’aluminium.

  1. La chélation

La chlorella, le glutathion ou la N-acétyle-cystéine, le malate de magnésium, l’acide alpha-lipoïque ou encore les acides aminés soufrés aident à la chélation des métaux lourds.

  1. La détoxification

Parce que l’essentiel du processus de détoxification se passe dans le foie, il est indispensable de soutenir et de protéger la fonction hépatique, les membranes des hépatocytes et leur capacité à produire des antioxydants endogènes.
SILYDIUM (HE Carotte cultivée, Chardon-marie), 2 fois 2 gélules, Labo Phyt-Inov.

L’étape de détoxification hépatique comprend 3 phases :

– La phase de biotransformation : permet de transformer les substances toxiques par oxydation en métabolites intermédiaires. Cette phase 1 fait intervenir les enzymes cytochromes P450 qui neutralisent les substances étrangères.

– La phase de conjugaison (ou inactivation) : permet d’inactiver les métabolites intermédiaires toxiques et les rendre soluble dans l’eau afin de pouvoir les éliminer plus facilement.

Les actifs qui agissent à ce niveau sont le brocoli, le glutathion ou la N-acétyle-cystéine, la taurine, la méthionine, le zinc, le sélénium et des vitamines du groupe B.

– La phase d’élimination : permet d’évacuer les toxines inactivées et solubles par les reins ou par les intestins via la vésicule biliaire. Les actifs qui agissent à ce niveau sont le chardon-Marie, le bouleau, le potassium et le pissenlit.

Une fois les toxines transformées, rendues hydrophiles, elles poursuivent leur chemin en vue d’être éliminées soit par la voie rénale, soit par la voie biliaire : il est essentiel de les stimuler si l’on veut se débarrasser efficacement des xénobiotiques !

  1. Protection et renforcement du terrain

Une fois débarrassé des substances toxiques (métaux lourds et xénobiotiques), il convient de rétablir le bon fonctionnement du métabolisme afin de renforcer le terrain (immunité, capacité antioxydante, vitalité, système nerveux…) grâce à des minéraux comme le zinc et le magnésium et des vitamines du groupe B.

On peut trouver ces différents compléments alimentaires dans 2 produits :DETOXIK et DETOXINAT au Labo Copmed : 05 49 28 01 36.
 

Deux approches en plus

Dans toutes mes missions humanitaires relatives à des épidémies (Ebola, Chikungunya, Dengue, SRAS, MERS…) j’ai emporté du chlorure de magnésium en sachets.

Le chlorure de magnésium :

  • Immunostimulant, il aide à la formation des anticorps ;
  • Anti-infectieux, il stimule la phagocytose ;
  • Restaurateur de terrain, il bloque la prolifération des germes ;
  • Régulateur nerveux, il normalise l’excitabilité des nerfs ;
  • Stimulant général de l’organisme, il augmente la résistance et l’activité des cellules.
  • Restaure le transit (constipation)
  • Sédatif naturel et antidépresseur ;

Mettre 1 sachet ou 2 dans une bouteille d’eau. Boire 2 verres

Traitement homéopathique lors de la vakxination

  • La veille : Thuya occidentalis 9CH : une dose
  • Le jour même : Thuya occidentalis 5CH, 3 granulés trois fois par jour et Isothérapiques du vakx1 5CH, 1 dose le matin.

Immédiatement après la vakxination pour éviter la fièvre et toute inflammation (locale ou méningée) : Belladonna 30CH, une dose.

  • Silicea 5CH, 3 granules 2 fois par jour.
  • Le 2e jour : Thuya occidentalis 9CH, une dose le matin à jeun, pour éviter que le terrain de l’enfant ne devienne sycotique (blocage de l’immunité et installation d’une maladie chronique comme des rhumatismes), et pour éviter de faire ressortir une maladie familiale comme l’eczéma et l’asthme.
  • Le 3e jour : Thuya occidentalis 15CH le matin à jeun.
  • Le 4e jour : Thuya occidentalis 30CH, une dose le matin à jeun.
  • Le 5e jour : Isothérapie du vakx1 injecté en 30CH, 1 dose le 5e et le 20e jour (le matin à jeun), pour éliminer les effets spécifiques du vakx1 injecté ce jour-là.

Je vous recommande mon livre « Pollution et santé ». Ed. Dangles (en librairie).
Bonne lecture !

Jean-Pierre Willem

Serait-il imaginable que l’élite globale ait déclaré la guerre à l’humanité?

Source Liliane Held hawam

Deloitte ne met pas au conditionnel le modèle de la nouvelle médecine. Il vous l’affirme en invitant ses clients à se mettre à jour avec ce qui s’en vient. Ecoutez plutôt. (Comme ce genre de vidéos n’est pas censuré, profitez de la traduction offerte par Youtube)

Deloitte, en champion des cabinets de conseil, qui couvre le secteur de la santé, nous offre cette vidéo qui remonte à mars 2019. Bien avant les histoires covidiennes donc.

Dans ce document, nous démontrons que l’individu sain devient, par une volonté de mettre en place une autre forme de médecine, un malade qui s’ignore et que les appareils vont prédire ces maladies avant même que les symptômes apparaissent. Pour ce faire, le personnel de santé est invité à faire évoluer ses compétences pour être capable de répondre à la demande. Le contrôle sera sévère, n’en doutons pas.

Ainsi, les populations humaines sont sommées à accepter un nouveau paradigme techno-médico-sanitaire qui doit changer en profondeur leur identité, leur droit à disposer de leur corps, ET de leur intimité. Sont-elles consentantes ou pas est le dernier des soucis de ces individus qui s’acharnent à modifier la nature humaine afin de réaliser leur rêve, au minimum centenaire: contrôler la vie sur terre par la technologie.

Dans une étude sur la surveillance sanitaire permanente d’un individu connecté, les auteurs ont eu un sursaut d’inquiétude au niveau éthique. Ils y soulignent en passant les problèmes que poseraient la collecte massive de données. « Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée. « 

https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/08/complements-dinfos-sur-les-vaccins-a-base-de-graphene-la-conductivite-electronique-et-les-telecommunications-a-vous-de-voir/

Dans la même étude, on a une représentation d’un individu infiltré de capteurs à base de graphène qui permettent la surveillance permanente de la santé.

… Voici en écho une représentation compatible de l’humain posé sur un téléphone portable qui semble scanné et dont les données sont numérisées et donc récupérées par le Big data.

Regardez cette image incroyable publiée début 2019 par le numéro1 des consultants (secteur de santé inclus). L’individu est représenté sur son cellulaire avec une lumière qui sert à décoder les informations sur sa santé qui sont par la suite numérisée et transmise à un centre de gestion (envie d’écrire plutôt commandement) sanitaire. Vous constaterez le biocapteur au niveau du front. Image déjà présente en mai 2019

the-future-of-health-deloitte-us Télécharger

Une étude de Nature confirme que la technologie et son Big Data est une donnée incontournable de la Nouvelle médecine (envoyée 7 avril 2020)

Fig. 1: The interconnected digital technologies used in the public-health response to COVID-19.

En avril 2020, ce schéma était prêt avec tout le protocole que nous connaissons aujourd’hui! Bluetooth du smartphone au centre du processus. Comme sur l’image de Deloitte d’avant 2019!

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L’élite globalisée livre sa guerre contre le virus

Larry Summers, président du pannel de hauts responsables (comprenez de délégués de la Planète finance) pour la prévention des pandémies, appelle la communauté internationale à investir 15 milliards de dollars par an dans des fonds supplémentaires et pour une refonte majeure de l’infrastructure mondiale de gouvernance de la santé.

« C’est un moment profond dans les relations internationales et dans la politique étrangère« , a déclaré Summers plus tôt cette semaine. « Pour la première fois dans l’histoire, la sécurité de la plupart des peuples du monde dépendra moins de la résistance aux adversaires étrangers et de l’équilibre des pouvoirs que de la réponse à des menaces communes et de la promotion de la coopération
https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/22/devinez-qui-dicte-les-ordres-a-vos-autorites-sanitaires/

On voit la terminologie liée à la sécurité, ou à la résistance aux adversaires. Et même si elle n’est utilisée que dans un but rhétorique, elle interpelle et renvoie à cette phrase du président Macron qui avait dit «Nous sommes en guerre face à un ennemi invisible».

Et maintenant, regardez cette présentation de Bill Gates qui use de visuel digne des militaires. Sauf que dans son cas, il a remplacé les soldats de plomb en miniatures en blouse blanche. La nouvelle armée du Nouveau Monde.

Les soldats ont été remplacés par le personnel de santé pour faire face à une promesse de pandémies à répétition.

L’Onu a entendu les responsables des cordons de la bourse sans lesquels les salaires onusiens risqueraient d’avoir quelques petits soucis. Ainsi en mai 2021, le chef de l’ONU lança lui aussi un: « Nous sommes en guerre » contre le C0VlD. Et de préciser: le monde est « en guerre » contre le C0VlD-19,appelant la communauté internationale à aller au-delà de la solidarité et à entrer en « économie de guerre » pour stopper le virus. 
https://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/nous-sommes-en-guerre-contre-le-covid-dit-le-chef-de-l-onu_2151430.html

Gates mandate les consultants dans le cadre de sa guerre sanitaire

Gates mandate des consultants que l’on retrouve en train de coacher des gouvernants, voire plus si entente. 
https://lilianeheldkhawam.com/2021/08/09/jusquou-va-linfluence-de-la-firme-mckinsey-en-france-dans-la-promotion-du-vaccin-et-de-la-mise-en-place-du-pass/

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A noter que McKinsey ne pointe qu’à la 6ème place dans le classement Gartner. Deloitte est le numéro 1
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Et en bon généraux, les gouvernants se chargent du terrain

Afin de réaliser sur le terrain la formation d’une armée de personnel médical soumis aux ordres, il va falloir restreindre les libertés individuelles par un contrôle piloté par l’Etat. Tout comme le sont les soldats militaires. Les médecins et autres infirmiers doivent devenir des gens qui appliquent des protocoles/règlements/procédures/etc. sans trop se poser de questions. Mais ils doivent aussi s’adapter à la médecine personnalisée et prédictive hautement connectée comme vu ci-dessus dans la vidéo de Deloitte.

Les médecins contemporains et autres intervenants dans le domaine médical doivent se former et s’adapter à la techno-médecine, ou disparaître.https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/25/nanosante-le-metier-de-medecin-voue-a-disparaitre-changement-du-paradigme-medical/.

C’est à cela que servira le Conseil national de certification. A faire changer les mentalités des médecins qui veulent encore soigner avec des molécules. Ils doivent passer à la technologie. Et c’est un ordre.

Ainsi, en France, sous le titre de Conseil national de certification, le Conseil des ministres du 19 juillet 2021 a ordonné la mise en place d’une Certification périodique de certains professionnels de santé. Et voici en quoi elle consiste:

Le ministre des solidarités et de la santé a présenté une ordonnance relative à la certification périodique de certains professionnels de santé. L’article 5 de la loi n° 2019-774 du 24 juillet 2019 relative à l’organisation et à la transformation du système de santé habilite le Gouvernement à prendre par ordonnance toute mesure relevant du domaine de la loi afin, d’une part, de créer une procédure de certification indépendante de tout lien d’intérêt permettant, à échéances régulières au cours de la vie professionnelle, de garantir le maintien des compétences, la qualité des pratiques professionnelles, l’actualisation et le niveau des connaissances, et, d’autre part, de déterminer les professionnels concernés par cette procédure de certification, les conditions de sa mise en oeuvre et de son contrôle, les organismes qui en sont chargés, les conséquences de la méconnaissance de cette procédure ou de l’échec à celle-ci, ainsi que les voies de recours ouvertes à l’encontre de ces conséquences.
L’ordonnance détermine les principes structurants applicables à la certification périodique, dont les modalités d’application seront largement définies par voie réglementaire après concertation avec l’ensemble des parties prenantes.

Elle complète le titre II du livre préliminaire de la quatrième partie du code de la santé publique consacré au « Développement professionnel continu ». Un chapitre II relatif à la certification périodique des professionnels de santé est ainsi ajouté :

https://www.vie-publique.fr/discours/280808-conseil-des-ministres19072021-certification-periodique-professions-sante

  • il définit les objectifs de la certification périodique, le champ des actions qui participent à celle-ci (actualisation des connaissances et des compétences, amélioration de la qualité des pratiques professionnelles et de la relation avec le patient, prise en compte de la santé individuelle du praticien), la périodicité de l’obligation (tous les six ans), ainsi que les sept professions qui sont assujetties à l’obligation de certification (médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes, pharmaciens, infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes et pédicures-podologues) ;
  • il crée un Conseil national de la certification périodique chargé de définir la stratégie, la promotion, le déploiement ainsi que les orientations scientifiques de la certification périodique ;
  •  il prévoit que les actions de certification sont librement choisies par le professionnel de santé, le cas échéant en lien avec son employeur, parmi une liste figurant dans un référentiel national de certification périodique ;
  • les référentiels sont élaborés par les conseils nationaux professionnels, sur la base d’une méthode arrêtée par le ministre chargé de la santé sur proposition de la Haute Autorité de santé et après avis du Conseil national de la certification périodique. Ces référentiels sont approuvés par arrêté du ministre chargé de la santé, qui peut saisir au préalable pour avis la Haute Autorité de santé ;
  • il confie le contrôle du respect de l’obligation de certification périodique aux ordres professionnels ;
  •  il instaure, au bénéfice de chaque professionnel, des comptes individuels qui retracent les actions de certification périodique suivies. Il prévoit que ces comptes seront gérés par une autorité administrative qui sera désignée par voie réglementaire. (lire la suite sur le site de vie-publique.fr)

Un cabinet d’avocat traduit cette décision. Ainsi, le texte définit la notion de certification, crée une instance nationale de pilotage, prévoit la création de référentiels et institue un dispositif de contrôle. 
https://accens-avocats.com/blog/2021/07/22/professions-de-sante-creation-dun-dispositif-obligatoire-de-certification-individuelle-periodique-des-competences/

Cette décision a amené le site « Observatoire du mensonge » à publier un article qui est devenu viral et qui est combattu par les médias du système:

https://observatoiredumensonge.com/2021/07/26/haro-sur-les-medecins-non-alignes-derriere-letat-macron/

Bref, nous retiendrons 2 données incompressibles. D’abord, l’élite se sent en guerre, ensuite le nouveau paradigme qui change la pratique médico-sanitaire doit changer la nature humaine, la vie en société, en famille, ainsi que l’intrusion dans la sphère intime du couple, des toilettes, etc.

Ce changement de paradigme, s’il était expliqué clairement serait probablement rejeté par tout un chacun.
Alors comment le mettre en place sans faire la guerre aux populations?

Liliane Held-Khawam

Interview de Zach Bush par Robert F. Kennedy, Jr. (FRENCH): « Nous devons nous éloigner du paradigme Santé Big Pharma »

Dans le dernier épisode de la deuxième saison de « TRUTH » avec Robert F. Kennedy Jr, ce dernier a interviewé le Dr Zach Bush, de renommée internationale.

Kennedy et Bush abordent un large éventail de sujets, notamment :

– le rôle crucial de l’inflammation dans la maladie
– comment le glyphosate perturbe le microbiome intestinal
– l’histoire largement incomprise du virus de la polio
– la prise de contrôle par l’industrie pharmaceutique du système de réglementation de la santé
– Bill Gates et ses amis scientifiques qui jouent sur un échiquier en 2 dimensions alors que notre microbiome est un système tridimensionnel
– la C0VlD-19

Zach Bush MD est un médecin spécialisé en médecine interne, en endocrinologie et en soins palliatifs. C’est un éducateur de renommée internationale et un leader d’opinion sur le microbiome en relation avec la santé, la maladie et les systèmes alimentaires. Le Dr Zach Bush a fondé le *Seraphic Group et l’organisation à but non lucratif Farmer’s Footprint afin de développer des solutions pour la santé humaine et écologique. Sa passion pour l’éducation touche de nombreuses disciplines, notamment des sujets tels que le rôle des écosystèmes du sol et de l’eau dans la génomique humaine, l’immunité et la santé intestinale et cérébrale. Son enseignement a mis en évidence la nécessité de s’écarter radicalement de l’agriculture et de la pharmacie chimiques, et ses efforts continus ouvrent la voie aux consommateurs, aux agriculteurs et aux méga-industries pour travailler ensemble à un avenir sain pour les personnes et la planète.

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Covid-19: politisation, «corruption» et suppression de la science

Editorial publié dans sa propre revue par Kamran Abbasi, rédacteur en chef de la revue scientifique BMJ (British Medical Journal)

Quand la bonne science est supprimée par le complexe médico-politique, les gens meurent.

Les politiciens et les gouvernements suppriment la science. Ils le font dans l’intérêt public, disent-ils, pour accélérer la disponibilité des diagnostics et des traitements. Ils le font pour soutenir l’innovation, pour mettre des produits sur le marché à une vitesse sans précédent. Ces deux raisons sont en partie plausibles; les plus grandes déceptions sont fondées sur un grain de vérité. Mais le comportement sous-jacent est troublant.

La science est supprimée à des fins politiques et financières. Covid-19 a déclenché la corruption de l’État à grande échelle et est néfaste pour la santé publique.  Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement de fonds opportuniste. Il en va de même pour les scientifiques et les experts en santé. La pandémie a révélé comment le complexe médico-politique peut être manipulé en cas d’urgence – un moment où il est encore plus important de sauvegarder la science.

La réponse pandémique du Royaume-Uni fournit au moins quatre exemples de suppression de la science ou des scientifiques.
Premièrement, la composition, la recherche et les délibérations du Groupe consultatif scientifique pour les urgences (SAGE) étaient initialement secrètes jusqu’à ce qu’une fuite de presse force la transparence.  La fuite a révélé l’ interférence des conseillers gouvernementaux dans SAGE, tout en exposant la sous-représentation de la santé publique, les soins cliniques, les femmes et les minorités ethniques. En effet, le gouvernement a également reçu récemment l’ordre de publier un rapport de 2016 sur les lacunes de la préparation à une pandémie, l’opération Cygnus, à la suite d’un verdict du bureau du commissaire à l’information. 

Ensuite, un rapport de Public Health England sur la covid-19 et les inégalités. La publication du rapport a été retardée par le ministère de la Santé d’Angleterre; une section sur les minorités ethniques a été initialement suspendue puis, à la suite d’un tollé général, a été publiée dans le cadre d’un rapport de suivi.  Les auteurs de Public Health England ont reçu pour instruction de ne pas parler aux médias.

Troisièmement, le 15 octobre, le rédacteur en chef du Lancet s’est plaint qu’un auteur d’un article de recherche, un scientifique du gouvernement britannique, a été empêché par le gouvernement de parler aux médias en raison d’un «paysage politique difficile». 

Maintenant, un nouvel exemple concerne la controverse sur les tests d’anticorps au point de service pour la covid-19.  L’opération Moonshot du Premier ministre dépend de la disponibilité immédiate et généralisée de tests de diagnostic rapide précis.  Il dépend aussi de la logique douteuse de dépistage en masse à l’essai à Liverpool avec un suboptimal test PCR. 

L’incident est lié à une recherche publiée cette semaine par le BMJ , qui révèle que le gouvernement a acheté un test d’anticorps qui, dans les tests du monde réel, est bien en deçà des déclarations de performance faites par ses fabricants. Des chercheurs de Public Health England et des institutions collaboratrices ont raisonnablement poussé à publier les résultats de leur étude avant que le gouvernement ne s’engage à acheter un million de ces tests, mais ont été bloqués par le ministère de la Santé et le bureau du Premier ministre.  Pourquoi était-il important de se procurer ce produit sans examen minutieux? La publication préalable de recherches sur un serveur de pré-impression ou sur un site Web gouvernemental est compatible avec le politique de publication de BMJ. Comme pour prouver un point, Public Health England a ensuite tenté en vain de bloquer le communiqué de presse du BMJ concernant le document de recherche.

Les politiciens prétendent souvent suivre la science, mais c’est une simplification excessive trompeuse. La science est rarement absolue. Cela s’applique rarement à tous les milieux ou à toutes les populations. Cela n’a pas de sens de suivre servilement la science ou les preuves. Une meilleure approche consiste pour les politiciens, les décideurs nommés publiquement, à être informés et guidés par la science lorsqu’ils décident des politiques pour leur public. Mais même cette approche ne retient la confiance du public et des professionnels que si la science est disponible pour examen et sans ingérence politique, et si le système est transparent et n’est pas compromis par des conflits d’intérêts.

La répression de la science et des scientifiques n’est ni nouvelle ni un phénomène particulièrement britannique. Aux États-Unis, le gouvernement du président Trump a manipulé la Food and Drug Administration pour approuver à la hâte des médicaments non prouvés tels que l’hydroxychloroquine et le remdesivir. Globalement, les gens, les politiques et les marchés sont corrompus par les agendas politiques et commerciaux. 

La réponse du Royaume-Uni à la pandémie repose trop fortement sur des scientifiques et d’autres personnes nommées par le gouvernement aux intérêts concurrents inquiétants, y compris des participations dans des entreprises qui fabriquent des tests de diagnostic, des traitements et des vaccins covid-19.  nommées par le gouvernement sont en mesure d’ignorer ou de faire des choix scientifiques spécieux une autre forme d’abus et se livrer à des pratiques anticoncurrentielles qui favorisent leurs propres produits et ceux des amis et associés. 

Comment la science pourrait-elle être sauvegardée en ces temps exceptionnels? La première étape est la divulgation complète des intérêts concurrents du gouvernement, des politiciens, des conseillers scientifiques et des personnes nommées, tels que les responsables des tests et du traçage, de l’approvisionnement en tests diagnostiques et de la livraison des vaccins. La prochaine étape est la transparence totale des systèmes de prise de décision, des processus et de savoir qui est responsable de quoi.

Une fois que la transparence et la responsabilité sont établies en tant que normes, les personnes employées par le gouvernement ne devraient idéalement travailler que dans des domaines sans rapport avec leurs intérêts concurrents. L’expertise est possible sans intérêts concurrents. Si une règle aussi stricte devient irréalisable, la bonne pratique minimale est que les personnes ayant des intérêts concurrents ne doivent pas être associées aux décisions relatives aux produits et aux politiques dans lesquelles elles ont un intérêt financier.

Les gouvernements et l’industrie doivent également cesser d’annoncer une politique scientifique critique par communiqué de presse. De telles mesures mal jugées laissent la science, les médias et les marchés boursiers vulnérables à la manipulation. Une publication claire, ouverte et préalable des bases scientifiques de la politique, des achats et des médicaments miracles est une exigence fondamentale. 

Les enjeux sont élevés pour les politiciens, les conseillers scientifiques et les personnes nommées par le gouvernement. Leur carrière et leurs soldes bancaires peuvent dépendre des décisions qu’ils prennent. Mais ils ont une responsabilité et un devoir plus élevés envers le public. La science est un bien public. Il n’est pas nécessaire de le suivre aveuglément, mais il faut en tenir compte de manière équitable. Il est important de noter que la suppression de la science, que ce soit en retardant la publication, en sélectionnant des recherches favorables ou en bâillonnant les scientifiques, est un danger pour la santé publique, causant des décès en exposant les gens à des interventions dangereuses ou inefficaces et en les empêchant de bénéficier de meilleures. Lorsqu’il est mêlé à des décisions commerciales, il s’agit également d’une mauvaise administration de l’argent des contribuables.

La politisation de la science a été déployée avec enthousiasme par certains des pires autocrates et dictateurs de l’histoire, et elle est malheureusement courante dans les démocraties.  Le complexe médico-politique tend vers la suppression de la science pour agrandir et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Et, à mesure que les puissants gagnent en succès, s’enrichissent et s’enivrent davantage de pouvoir, les vérités peu pratiques de la science sont supprimées. Lorsque la bonne science est supprimée, les gens meurent.

Lien vers l’article en anglais avec toutes les références

Un autre médicament efficace pour le Covid revendiqué par un médecin belge

Une lettre ouverte de Marc Wathelet, docteur en Sciences, virologue, spécialiste des coronavirus.

Monsieur le ministre de la Santé publique,

Dans ces temps difficiles, je voudrais attirer votre attention sur un traitement qui pourrait faire une différence énorme pour la santé des personnes qui se retrouvent infectées par le nouveau coronavirus en Belgique.

Il s’agit de l’ivermectine, un médicament bien connu et bien compris, découvert en 1975 et qui est repris sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS. Il est utilisé chez l’homme pour traiter des infections par de nombreux types de parasites et présente également une action antivirale. C’est un médicament qui aurait justifié de bénéficier d’essais cliniques pour tester son efficacité contre le Covid-19, comme je l’avais suggéré en avril dernier. Pourtant, il a été écarté chez nous comme il a été ignoré dans le reste de l’Europe !

Mais, plus loin, ce médicament a été pris en considération : voici qu’une étude qui nous vient d’Égypte, pas encore publiée dans sa forme consolidée (preprint), s’est attachée à comparer les effets de l’ivermectine à ceux de l’hydroxychloroquine. Et les résultats sont spectaculaires!

Le traitement standard du Covid-19 dans plusieurs pays d’Afrique, dont l’Égypte, est la combinaison « hydroxychloroquine, azithromycine et Zinc ». L’étude en question compare ce traitement avec la combinaison « ivermectine, azithromycine et Zinc ». Elle comporte quatre bras de 100 individus chacun, où les formes modérées et les formes sévères de la maladie sont traitées avec l’une ou l’autre de ces deux combinaisons de médicaments.

Dans cette étude les chercheurs mesurent le pourcentage d’amélioration des symptômes couplée à une diminution de la charge virale, d’une part, et le nombre de décès (qui revient à un pourcentage puisqu’il y a 100 patients par bras), d’autre part.


Voici le résumé des résultats obtenus :

Hydroxychloroquine, formes modérées: 74% amélioration, 4 décès
Ivermectine, formes modérées: 99% amélioration, 0 décès
Hydroxychloroquine, formes sévères: 50% amélioration, 20 décès
Ivermectine, formes sévères: 94% amélioration, 2 décès

Avec des résultats aussi clairs, c’est le moment de faire preuve de vision !

Je compte sur les experts qui vous conseillent pour vous confirmer que le rapport bénéfices/risques de cette approche thérapeutique est largement en faveur de son utilisation pour les formes sévères de la maladie. Il est indispensable que ce traitement devienne disponible immédiatement dans les hôpitaux belges pour traiter les formes sévères du Covid-19.

Il ne s’agit pas de vérifier cette étude avec de nouvelles études avant de prendre cette décision, alors que nous avons une moyenne de quelque 200 décès quotidiens dus au Covid-19 en Belgique sur la dernière semaine, et donc une surmortalité d’environ 65% en ce moment. Nous n’en avons pas le temps !

Un « game-changer »

S’agissant des formes modérées de la maladie, l’ivermectine, bien que nécessitant à leur sujet une étude de confirmation, devrait également être disponible pour sa prescription par le personnel de première ligne quand le suivi médical peut être assuré de manière à en surveiller les effets secondaires potentiels.

Malheureusement, pour l’heure, ce médicament n’est disponible dans notre pays que dans sa formulation pour application topique, sous forme d’une crème (Soolantra®). Il est toutefois possible d’obtenir la formulation nécessaire, des comprimés de 3 ou 6 mg pour administration par voie orale, en utilisant la dénomination commune internationale, mais nos pharmacies n’en sont pas approvisionnées.

Je vous recommande dès lors 1) d’autoriser la forme orale de l’ivermectine dans notre pays ; 2) d’assurer l’approvisionnement de nos pharmacies avec ce médicament essentiel ; 3) d’assurer la transmission de cette information aux hôpitaux ; et 4) de faire organiser les essais nécessaires pour confirmer ou infirmer son utilité en première ligne pour les formes modérées.

Il faut avoir la lucidité de reconnaître qu’il s’agit d’un « game-changer » et qu’une réponse très rapide du gouvernement à cet égard permettrait de limiter les conséquences néfastes de la gestion par ailleurs mauvaise de la crise sanitaire dont souffre notre pays.

Je vous rappelle qu’aucun des vaccins en cours de développement n’est conçu pour induire une immunité mucosale, la seule qui soit potentiellement stérilisante et, donc, susceptible d’avoir un effet sur la transmission du virus.

De plus, les critères d’évaluation de ces candidats vaccins sont limités à la question de la réduction des symptômes, sans vérifier leur impact en termes de réduction des décès et de transmission du virus : ainsi la barre est-elle placée très bas pour assurer leur approbation. La réduction des symptômes, si elle peut être obtenue sans effets secondaires sérieux, est certes désirable, mais elle risque fort, dans le même temps, de promouvoir la transmission du virus car c’est bien l’apparition de symptômes qui incite le changement de comportement individuel susceptible de limiter la transmission.

L’importance de la vitamine D

Par ailleurs, les études s’accumulent qui indiquent qu’une carence en vitamine D favorise le développement de la forme sévère de la maladie : il s’agit, dès lors, de mettre en place, sans plus tarder, une large campagne d’information recommandant à chacun de supplémenter son alimentation avec de la vitamine D.

C’est là une mesure très simple et bon marché, qui peut avoir un effet très substantiel sur la morbidité et la mortalité associées au Covid-19. Rappelons que les séquelles inhérentes au Covid-19 sont conséquentes non seulement pour les individus concernés et leurs familles, mais aussi pour le budget public des soins de santé. Qu’attendons-nous alors pour prendre cette mesure simple ? Avons-nous oublié qu’il est plus facile de prévenir que de guérir ?

Agissez, Monsieur le ministre, agissez dès aujourd’hui, ne nourrissez pas la complainte narrative suivant laquelle le gouvernement n’aurait pas à cœur l’intérêt de sa population, mais seulement les desiderata des lobbies !

Je reste à votre disposition.

Marc Wathelet, docteur en Sciences

Voir l’article reprenant la lettre ouverte sur le site web du journal La Libre

Mise-à-jour du 23/12/2020: voir aussi l’article de France Soir consacré à la polémique sur ce médicament

Un entretien plein de richesses avec le Dr Louis Fouché

Un entretien très riche du Dr Louis Fouché interviewé par Louis Vidal (Putsch Live). Louis Fouché un médecin anesthésiste-réanimateur en première ligne avec les malades hospitalisés du Covid mais aussi un homme très cultivé et très intelligent qui s’exprime très librement et avec beaucoup de lucidité et de bon sens sur tous les aspects de cette crise du Covid.
Vraiment à recommander. 57 minutes qui décoiffent.

Le site de réinfo covid.

Virus et immunité: questions de vibrations ?

  • Le virus covid a une vibration de 5,5hz et meurt au-dessus de 25,5hz.
    Pour les humains ayant une vibration plus élevée, l’infection virale est un irritant mineur qui disparaîtra bientôt !
  • Les raisons pour lesquelles il n’y a pas de vibration élevée pourraient être :
    • Fatigue
    • Peur
    • Tension nerveuse.
    • Rage
    • Haine
  • Nous devons vibrer à haute fréquence pour que la fréquence ne diminue pas notre système immunitaire.
  • La fréquence de la terre aujourd’hui est de 27.4hz. mais il y a des endroits qui vibrent très bas comme :
    • Hôpitaux
    • Centres d’assistance.
    • Prisons
    • Métro, etc.
  • C’est là que la vibration tombe à 20hz ou moins.
    Pour les humains à faible vibration, le virus devient dangereux.
    • Douleur 0,1 à 2hz.
    • Peur 0,2 à 2,2hz.
    • Irritation 0,9 à 6,8hz.
    • Bruit 0,6 à 2,2hz.
    • Fierté 0,8hz.
    • Supériorité 1,9 hz.
  • Une vibration plus élevée, en revanche, est le résultat du comportement suivant:
    • Générosité 95hz
    • Gratitude 150 hz
    • Compassion 150 hz ou plus.
    • Amour et compassion pour tous les êtres vivants 150 Hz et plus.
    • Amour inconditionnel et universel à partir de 205hz
  • Qu’est-ce qui nous aide à vibrer plus haut ?
    • Aimer, sourire, bénir, remercier, jouer, peindre, chanter, danser, méditer, faire du yoga, du tai-chi, marcher au soleil, faire de l’exercice, profiter de la nature.
    • Manger les aliments que la Terre nous donne : graines – céréales – légumineuses -fruits et légumes – l’eau potable.
  • Ils nous aident à vibrer haut.
    La vibration d’une seule prière passe de 120 à 350hz
    Alors chantez, riez, aimez, méditez, jouez, remerciez et vivez !

    La source originale de cette information est tirée du livre Power Vs Force.

Basé sur la thèse de doctorat de M.David R. Hawkins

Message d’alerte international de professionnels de la santé aux gouvernements et citoyens du monde