Messages aux jeunes : avant de te faire injecter écoute ceci avant stp

Si tu as moins de 25 ans stp écoute mon message. (S’il vous parait utile, partagez-le, peut-être contribuerez-vous à sauver une vie…) Je t’invite à la prudence ce qui est normal quand des médecins ne sont pas d’accord entre eux, certains invitant au vax et d’autres pas du tout. C’est aussi un appel au bon sens, pourquoi se faire injecter avec un sérum expérimental alors que le risque de mourir de la C0vid est infinitésimal et qu’il existe aujourd’hui des traitements pas chers qui fonctionnent très bien sans effets secondaires ?

Quelques liens pour commencer tes recherches; deux sites indispensables de médecins chercheurs, universitaires, sans conflits d’intérêts ni corruptions: https://www.covidhub.ch/ et https://reinfocovid.fr/

  • Quelle est l’ampleur des effets secondaires des vakx1s géniques anticovid ? Une analyse très complète du Dr Nicole Delépine publiée sur le site de l’association Réaction-19. État des lieux au 8 mai 2021 sur les effets secondaires des vakx1s c0vid en Europe : 10 570 décès et 405 259 complications à la suite d’une des quatre injections expérimentales Covid-19 .. : https://www.covidhub.ch/quelle-est-la…
  • Publication de Bernard Rentier, virologue, biologiste moléculaire et ex-recteur de l’ULiège : « Scientifiquement on ne peut pas exclure des effets d’une gravité inconnue (des vakx1s à ARNm) que normalement on aurait dû vérifier avant de lancer la vakxination (…) On nous assure que cet ARN est rapidement dégradé mais, ce n’est pas compter qu’il est composé de nucléotides modifiés, le rendant plus résistant que le naturel. » « Le public n’a pas tous les éléments à propos de la vakxination pour opérer un choix libre et éclairé, comme garantit. » « Chez les jeunes, le risque de décès à cause du virus est infime, forcément inférieur aux risques absolument pas évalués du vakx1 (…) C’est pour cela que la publicité pour la vakxination des enfants est inacceptable. » « (…) la reconnaissance d’un médicament qui viendrait atténuer ou stopper la maladie serait un frein à la vakxination. D’où le sort réservé à divers traitements, dont l’Iverme*tine, utilisés dans certains pays avec des succès publiés qu’on ne veut pas voir (…) »

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« Le public n’a pas tous les éléments à propos de la vaccination pour opérer un choix libre et éclairé, comme garantit.

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Retrouvez-moi aussi sur ma chaine principale pour le partage de stratégies de santé globale et de libération mentale, émotionnelle et spirituelle : http://www.youtube.com/c/ericremacle

Eric Remacle est diplômé en psychologie appliquée, hypnothérapeute, auteur de livres et de pédagogies axés sur la maîtrise du stress et l’atteinte du bonheur intérieur. Il transmet des clés issues de ses 30 ans d’expérience en thérapie, formation, hypnose, méditation afin de vivre une vie libérée et lumineuse !

Le confinement en question : des professionnels de santé posent un regard différent

Un montage vidéo d’Eric Remacle

La preuve de l’immunité collective en quelques graphiques

Lettre Santé Corps Esprit de Xavier Bazin du 25 novembre 2020.

Cher(e) ami(e) de la Santé,
Il n’y a strictement plus aucune bonne raison de confiner, en FranceLe confinement cause des dégâts économiques majeurs et des ravages sur la santé mentale des Français.Les avantages ? Il n’y en a aucun, en ce moment.Sur LCI, le journalise David Pujadas a eu l’honnêteté de l’expliquer clairement.Regardez la vidéo, elle dure 2 minutes et en vaut la peine :https://www.youtube.com/watch?v=Po1cGksY40c
Son premier argument est celui-ci: le pic des contaminations a eu lieu le 2 novembre, soit le 4ème jour seulement du confinement. Impossible, donc, que la baisse puisse être causée par le confinement, qui prend toujours plus de temps à faire son œuvre.Il suffit de regarder ce qui s’est passé en mars-avril dernier : le confinement n’a absolument pas enrayé l’épidémie, qui a mis encore plus de 2 semaines à atteindre son pic :
Mars avril
D’ailleurs, déjà au printemps dernier, il n’y avait pas de preuve que la décrue était seulement liée au confinement. Car la Suède a aussi atteint son pic épidémique à peu près au même moment, en avril, alors qu’elle a refusé de confiner sa population ! En voici la preuve, avec le nombre de morts de mars à juillet en Suède :
Nombre de morts Suède
Donc, ce n’est pas le confinement qui explique le recul spectaculaire du nombre de cas et d’hospitalisations. Du coup, certains au gouvernement aimeraient nous faire croire que cette décrue est liée au couvre-feu. C’est assez étrange d’imaginer qu’une mesure aussi « faible » pourrait avoir un impact aussi fort. Mais si vous aviez un doute, sachez que la baisse a été la même dans les communes frappées par le couvre-feu et dans celles qui n’étaient pas concernées !
Donc, le couvre-feu n’y est pour rien. Alors pourquoi cette baisse ? D’où vient-elle ? Et d’ailleurs, pourquoi étions-nous nombreux à l’avoir anticipée, en disant que reconfiner était inutile ?
La raison tient en deux mots : immunité collective. Regardez ce qui se passe dans le grand Est et en Ile de France. Si cette deuxième épidémie ne m’a jamais inquiétée, c’est parce que j’avais les yeux rivés sur ce qui se passait en Ile de France et dans le Grand Est, les deux régions les plus touchées en mars-avril. Or depuis le début de l’automne, je vois que les chiffres sont bons, dans ces deux régions. La semaine dernière, le Canard Enchaîné a fini par publier un article sur ce phénomène :« En octobre, avant même le couvre-feu et le reconfinement, les experts avaient constaté que le nombre d’infections et d’hospitalisations augmentait moins vite en Ile de France que presque partout ailleurs sur le territoire. La capitale et sa banlieue affichaient alors des taux d’incidence du virus presque deux fois inférieurs à ceux de Lyon, des deux Savoie ou de Saint-Etienne, qui avaient été pratiquement épargnés au printemps ».
Et le journal enfonce le clou :« Le phénomène s’est révélé plus frappant encore dans Paris intra-muros, qui, avec la Seine-Saint-Denis, a été la zone francilienne la plus touchée en mars et en avril.La baisse atteignait déjà 20 % le 2 novembre, et le phénomène continue depuis dans la ville la plus dense d’Europe, terrain de jeu idéal pour le coronavirus.La diminution, en revanche, apparaît plus faible au sein de la grande couronne moins peuplée et moins atteinte au printemps. »
Sans immunité collective, Paris, dense et très peuplée, aurait dû être lourdement frappée par la deuxième épidémie. Et pourtant, ce n’est pas le cas.

A l’inverse, les départements d’Ile-de-France moins touchés par l’épidémie au printemps auraient dû être davantage épargnés… et c’est le contraire qui s’est produit !Selon le Canard enchaîné, même le Pr Delfraissy, le très pessimiste président du Conseil scientifique, commence à envisager sérieusement l’hypothèse de l’immunité collective.
Mais pour moi, c’est plus qu’une hypothèse : c’est la seule explication possible à ce qu’on observe.
Regardez bien la forme des courbes d’hospitalisations en Ile de France et le grand Est, entre mars et aujourd’hui :
A gauche, on voit le pic épidémique de mars-avril, et à droite, une vague trois fois moins haute à l’automne. C’est le signe clair que ces deux régions largement touchées au printemps sont désormais relativement protégées contre une explosion des hospitalisations. Maintenant, regardez ce qui s’est passé en Rhône-Alpes et PACA, deux régions beaucoup moins touchées au printemps : c’est l’inverse !
Dans ces deux régions épargnées au printemps, la deuxième épidémie a causé deux fois plus d’hospitalisations que la première ! On ne peut pas avoir meilleure preuve de l’immunité collective.
Et la bonne nouvelle, c’est que le virus a désormais circulé largement, partout en France. Donc si on a une troisième épidémie en janvier prochain ou en octobre 2021, l’impact à attendre dans tout le pays sera logiquement encore plus faible que celui, très modéré, qu’on observe en ce moment en Ile-de-France et dans le grand Est. Même phénomène entre la Suède et la République Tchèque.
On observe les mêmes courbes inversées entre la Suède, qui n’a jamais confiné, et la République tchèque, qui s’est barricadée en mars-avril. En Suède, la deuxième épidémie fait peu de morts en ce moment, parce que l’immunité collective a commencé à jouer.
En République tchèque, au contraire, le pays a réussi à étouffer dans l’œuf l’épidémie au printemps, en fermant radicalement ses frontières… mais n’a rien pu faire à l’automne :
Vous noterez au passage qu’en Suède comme en République tchèque, la décrue de l’automne a commencé à peu près au même moment, comme dans tous les pays européens. Alors que ces pays ont des politiques de confinement et de masque très différentes ! Confinement ou pas confinement, l’épidémie est en décrue partout en Europe.
Même chose en Belgique : là-bas, la décrue est spectaculaire, et ne peut pas être liée au confinement, qui a été décidé après le pic épidémique :
Belgique
Et on observe le même phénomène dans les grandes capitales européennes, à Londres ou Rotterdam.Conclusions : RÉ-OUVRONS LE PAYS, VITE ! Tout ceci montre deux choses assez clairement : Les mesures comme le confinement ne peuvent pas grand-chose sur la dynamique de l’épidémie. Il est donc inutile de confiner, et il faut arrêter le massacre tout de suite.
Et surtout, on peut être très optimiste pour la suite ! Avec cette deuxième épidémie, les régions françaises comme PACA et Rhône-Alpes sont désormais au moins aussi bien « protégées » que l’Ile de France ou le Grand Est ! Cela veut dire qu’en cas de recrudescence prochaine, le système hospitalier ne sera pas engorgé – comme il a bien résisté cet automne à Paris, en Seine-Saint-Denis ou en Alsace. Il n’y a donc plus AUCUNE raison de priver les Français de leurs libertés fondamentales. Et il n’y a plus AUCUNE raison de vouloir les vacciner massivement, encore moins de force. Mais évidemment, vu les milliards déjà dépensés pour les vaccins, et le lobbying de Big Pharma, cela va causer de grosses tensions dans les mois qui viennent.
On en reparle très bientôt.
Bonne santé,
Xavier Bazin

Voir aussi l’article de France Soir: Deuxième vague conséquence directe du premier confinement

Un autre montage vidéo d’Eric Remacle sur les tests PCR

L’hypothèse de la bouffée délirante collective : interview du pédopsychiatre Thierry Gourvénec

Très, très éclairante cette interview du pédopsychiatre Thierry Gourvénec par Eric Remacle pour décoder ce que nous vivons et nous aider à nous y positionner.
A visionner jusqu’au bout.

Etre un guerrier pacifique face à la folie dangereuse du C0V1D

Eric Remacle souhaite vous proposer 3 pratiques du guerrier pacifique pour résister à l’absurdité et la folie de la crise Covid.
Eric Remacle est auteur de livres et de pédagogies axés sur la maîtrise du stress et l’atteinte du bonheur intérieur. Il transmet des clés issus de ses 30 ans d’expérience en thérapie, formation, hypnose, méditation afin de vivre une vie libérée et lumineuse !