On a parlé de PCR avec le professeur Greub du CHUV. Constat d’un nouveau biais statistique.

 Le blog de Liliane Held-Khawam il y a 12 heures

Les statistiques sont des points de repère dans un monde de plus en plus complexe. Elles donnent à l’Etat démocratique moderne des éléments objectifs pour guider la politique. Elle permettent de ramener sur le terrain du réel des débats politiques souvent empreints d’émotions. L’opinion publique est traversée de perceptions collectives parfois biaisées ou influencées par des événements anecdotiques. Les informations produites par la statistique publique indépendante peuvent avoir un effet correcteur et ramener les choses à leur juste proportion. 

https://www.bfs.admin.ch/bfs/fr/home/ofs/statistique-publique.html

La question de la fiabilité de la Statistique publique est fondamentale dans le cadre de la gestion de n’importe quel projet public. Elle devient essentielle par temps de crise existentielle qui mène entre autres à la faillite de l’économie, à la destructuration de l’environnement des enfants, et qui introduit des nouveautés non désirées par la vaste majorité de la population.

Afin d’alimenter les statistiques publiques, il existe un tas de jalons le long des processus de prise en charge des personnes saines et infectées. Typiquement, le fait de décider d’introduire la PCR, de définir le seuil de ses cycles d’amplification, de comptabiliser un cas positif asymptomatique dans le cadre des hospitalisations C0VlD, etc. Cette série de décisions qui détermine ce que l’on prend en compte ou pas introduit des biais potentiels qui vont fausser l’état des lieux. Les décisions qui vont en découler seront obligatoirement biaisées elles aussi.

Alors que les rumeurs enflent au sujet d’un éventuel abandon par le CDC américain du diagnostic basé sur la PCR suite à leur annonce faite en juillet, je me suis adressée au CHUV de Lausanne pour avoir plus d’informations sur la méthode qu’ils utilisent pour diagnostiquer la C0VlD-19.

Lab Alert: Changes to CDC RT-PCR for SARS-CoV-2 Testing 
https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html

Il y a presque un an, j’avais interviewé le professeur Greub, Chef de Service et Directeur de l’Institut de Microbiologie du CHUV (Lausanne), Médecin chef des laboratoires de microbiologie diagnostique, Institut de microbiologie de l’Université de Lausanne Département des laboratoires, au sujet du test PCR dans le cadre de la détection du SARS CoV2.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/10/04/rt-pcr-le-professeur-greub-du-chuv-de-lausanne-repond-a-nos-questions-interview/

Voici les questions posées au professeur qui accepte volontiers d’éclairer nos lanternes et que je remercie vivement de prendre le temps de répondre de manière très précise.

Interview du Professeur Gilbert Greub

LHK: Professeur Greub, vous m’aviez indiqué il y a quelques mois que le cycle d’amplifications du test PCR était de 45à 50 selon le produit. Pourriez-vous me confirmer que cette référence est toujours d’actualité au CHUV ?

GG: Oui, c’est toujours d’actualité, et ceci fait partie des bonnes pratiques, pour (i) s’assurer que la sonde fonctionne bien et ne fait pas de signal inapproprié, (i.e nous n’avons aucun positif entre 45 et 50 cycles, si un signal survient, c’est qu’on a un problème technique) et (ii) avoir une excellente sensibilité. La  sensibilité des tests est très importante puisque nous avons montré dans une analyse lors de la 1ere vague que les 3 premiers cas définissant un cluster avaient tous une charge virale faible parmi 20 clusters documentés dans le canton de Vaud entre le 1er mars et fin juin 2020 (Ladoy et al 2021, référence ci-dessous); ces 20 clusters avaient lors du tests des charges virales trop basses pour pouvoir être détectés par un tests antigène. Ainsi, si vous utilisez un test pas sensible, soit en faisant pas assez de cycles de PCR, soit en utilisant les test antigènes, vous ne détecterez le cluster que lorsqu’un des cas aura une forte charge virale, sera très contagieux, avec le risque de large clusters. Dans ce même travail nous avons démontré la relation entre charge virale élevée et taille des clusters ; certains clusters comportaient plus de 30 cas.

Le variant delta a aujourd’hui remplacé le variant alpha qui lui-même avait remplacé les variants initiaux et ce parce que le variant alpha était plus contagieux que les variants initiaux et que le variant delta est sans aucun doute encore plus contagieux. Avec un variant encore beaucoup plus contagieux comme le variant delta, il est indispensable d’utiliser des tests sensibles, pour détecter toute personne qui vient se faire tester en raison de symptômes ou parce qu’elle est « contact » d’une personne positive. Sinon, le risque est de faire faussement croire à cette personne qu’elle n’a pas le C0VlD et que son rhume ou ses symptômes quelles qu’ils soient sont dus à un autre virus.

Size and duration of C0VlD-19 clusters go along with a high SARS-CoV-2 viral load: A spatio-temporal investigation in Vaud state, Switzerland.

Ladoy A, Opota O, Carron PN, Guessous I, Vuilleumier S, Joost S, Greub G.

Sci Total Environ. 2021 Sep 15;787:147483.

Open access : 
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0048969721025547?via%3Dihub

LHK: Pourriez-vous m’indiquer le niveau du cycle Ct appliqué à une personne vakxinée ? Le CDC demandait à ses partenaires de ne soumettre  que des échantillons avec une valeur de Ct ≤ 28  au CDC pour séquençage. Est-ce aussi le cas au CHUV  ?

GG Techniquement, il est difficile de séquencer le génome du SARS-CoV-2 lorsque les valeurs de CT sont élevées, i.e lorsqu’il y a moins d’ARN viral dans l’échantillon. Nous avons d’ailleurs montré que la qualité des séquences est mauvaise en-dessous d’un certain seuil (Kubik et al 2020, Clinical Microbiology and Infection).  Séquencer que les cas avec un Ct <= 28 peut amener un biais, car vous n’aurez pas de séquences pour des cas avec < 100’000 copies.  A Lausanne, nous séquençons  tous les cas positifs avec plus de 10’000 copies soit un CT <= à 32 cycles. Et nous avons un succès avec le séquençage pour > 95% des séquences effectuées. Un contrôle qualité vérifie la qualité des séquences obtenues, cf notre article publié en juillet 2021  (Jacot et al 2021).

Recommendations for accurate genotyping of SARS-CoV-2 using amplicon-based sequencing of clinical samples.

Kubik S, Marques AC, Xing X, Silvery J, Bertelli C, De Maio F, Pournaras S, Burr T, Duffourd Y, Siemens H, Alloui C, Song L, Wenger Y, Saitta A, Macheret M, Smith EW, Menu P, Brayer M, Steinmetz LM, Si-Mohammed A, Chuisseu J, Stevens R, Constantoulakis P, Sali M, Greub G, Tiemann C, Pelechano V, Willig A, Xu Z.

Clin Microbiol Infect. 2021 Jul;27(7):1036.e1-1036.e8.

Jacot D, Pillonel T, Greub G, Bertelli C

Assessment of SARS-CoV-2 genome sequencing: quality criteria and low frequency variants.

J Clin Microbiol. 2021 Jul 28:JCM0094421.

LHK: Est-ce à dire que le Ct de la PCR d’un vakxiné est inférieur ou égal à 32 à Lausanne? 

GG: Non. Nous testons les échantillons des patients SANS savoir s’ils sont vakxinés ou non. Donc, TOUS (vakxinés et non-vakxinés) sont testés par PCR pour un total de 45 ou 50 cycles selon la technique utilisée. Tous les échantillons positifs (vakxinés et non-vakxinés) sont ensuite séquencés si le CT est < 32 (soit > 10’000 copies/ml).  

Malheureusement, il y a encore certains centres de dépistage qui utilisent des tests antigènes, y compris pour des personnes symptomatiques vakxinées. Les tests antigènes étant très peu sensibles, on a le risque de manqué des cas qui auraient été détectés par RT-PCR. La sensibilité des tests de dépistage est très importante, et particulièrement avec les variants alpha, et surtout delta qui se caractérisent par une grande contagiosité (encore plus fort pour le delta).

LHK: Un résident suisse qui a reçu sa 2ème dose et qui développe plus de 14 jours plus tard des symptômes de rhume/grippe/ ou autre sera-t-il examiné en tant que porteur potentiel de C0VlD ?

Oui, bien sûr. En cas de symptômes, il faut se faire tester (qu’on soit vakxiné ou non).

LHK: Quels sont les critères qui amènent un médecin soignant/établissement hospitalier à demander un PCR lorsqu’ils ont affaire à une personne vakxinée ?

GG: Les mêmes critères que pour une personne non vakxiné, i.e des signes/symptômes compatibles avec une infection par le virus SARS-CoV-2.

LHK: Si, dans le cadre du tracking, une personne-contact est une personne vakxinée, devra-t-elle aller se faire dépister au même titre qu’un non-vakxiné ?

Oui.

LHK: Mes interrogations faisaient suite à cet article d’un site US très connu. ICI Il y avait ce passage qui m’avait intriguée : « Lorsque le CDC dit aux autorités sanitaires de l’État qu’il « aimerait caractériser les lignées SARS-CoV-2 responsables d’infections de percée », et avertit à son tour que « seuls les spécimens avec une valeur Ct 28 au CDC conviennent au séquençage », ils ne sont pas littéralement en train de leur ordonner d’effectuer le tests à moins de 28 cycles, mais ils laissent certainement comprendre qu’ils devraient le faire et garantissent que certains le feront. Cela aura alors pour effet d’enregistrer moins d’ »infections de percées » (chez les vakxinés) seront officiellement enregistrées. »

De son côté, le CDC écrit ceci: « Depuis le 1er mai 2021, les CDC passent de la surveillance de tous les cas signalés de percée vakxinale pour se concentrer sur l’identification et l’enquête uniquement sur des cas hospitalisés ou mortels, quelle qu’en soit la cause. Ce changement contribuera à maximiser la qualité des données recueillies sur les cas les plus importants sur le plan clinique et de santé publique. » (Source ICI)

LHK: Que pensez-vous de ces 2 infos ?

GG: Pour avoir des séquences de qualité, il faut avoir suffisamment de virus au niveau de l’échantillon.  Un seuil de 32 (10’000 copies/ml) convient à notre laboratoire en terme qualité et ceci est aussi le cas pour les autres laboratoires de Suisse. Il est possible que selon l’approche utilisée, il faille un peu plus de virus (< 28 cycles) par échantillon pour obtenir une bonne qualité de séquence. De choisir un seuil légèrement différent, i.e. 28 cycles est peut-être une manière de sélectionner de manière « uniforme » les cas à séquencer. Cependant, ceci ne veut pas dire que les cas d’infection survenant chez des vakxinés ne puissent être recensés : On peut très bien documenter l’infection par RT-PCR sans effectuer la séquence du virus. Le but du séquençage n’est pas de fournir des statistiques globales, mais plutôt d’identifier d’éventuels variants qui échapperaient au vakx1.

Il me semble adéquat de s’intéresser en priorité aux personnes hospitalisées, car (i) ce sont elles qui souffrent le plus et (ii) ce sont elles qui lors de vague épidémique surchargent le système de santé et c’est cette surcharge qui a entrainé les mesures drastiques prises dans les divers pays. C’est un message rassurant et encourageant que le vakx1 protège non seulement contre l’infection, mais aussi contre des formes sévères. 

LHK: Pratiquez-vous des tests collectifs qui seraient en vigueur aux Etats-Unis ? Si oui, pourriez-vous m’expliquer en quoi cela consiste au juste ?

GG: Le « pooling » des échantillons est une approche qui n’a comme seul but d’économiser des reactifs de PCR. Il est possible de le faire lorsque la probabilité pré-test est basse de < 1%, car alors si vous poolez 10 échantillons, et que le résultat est négatif, vous pouvez rassurer les 10 personnes à l’aide d’une seule PCR. Le résultat est alors rendu par SMS si négatif, d’emblée. En cas de positif, il faut alors tester individuellement les 10 échantillons pour identifier le ou les positifs dans le lot. Cette approche a deux inconvénients :

  • Un risque de contamination lors du pooling, car ça génère une manipulation de plus
  • Un risque d’erreur, d’inversion d’échantillon

Ainsi, le pooling ne doit être effectué que par des laboratoires très habitués à la PCR et qui ont mis en place des pratiques permettant de mitiger ces risques. L’automatisation du processus de pooling peut réduire ces risques, si le robot ne génère pas d’aérosols. L’autre problème du pooling est une perte de sensibilité par dilution (10x si pool de 10). Mais ceci n’est pas un problème car la PCR est très sensible. Nous avons considéré le pooling uniquement pour la surveillance des personnes asymptomatiques et ce par des PCRs effectuant sur frottis de bouche (PCR sur la salive). 

LHK: Est-ce que les vakxinés admis au CHUV subissent un test PCR systématiquement à leur arrivée au même titre que les non-vakxinés?

GG: Non, il n’y a pas de dépistage de routine, chez des personnes sans symptômes C0VlD.

Commentaire LHK

Les hospitalisés vakxinés positif au C0VlD mais asymptomatiques ne sont ni détectés, ni comptabilisés. Contrairement aux non-vakxinés.

Il y a quelques mois j’avais posé la question au CHUV au sujet du dépistage systématique de patients admis à l’hôpital (fin de vie/accidents graves/infarctus massif/etc.). Il s’était avéré que le test positif de patients qui vont probablement décéder d’autre chose était comptabilisé en tant que patients C0VlD.

En termes purement statistiques, les données sont faussées à cause de la comptabilisation de ces décès en lien et non à cause du C0VlD. L’information arrive au public en laissant sous-entendre que les patients C0VlD+ sont hospitalisés à cause du virus. Ca participe à accroître l’ambiance anxiogène.

Depuis cet échange avec le CHUV, la variable « patient vakxiné/non-vakxiné » admis à l’hôpital est venue se rajouter.

Ce qui est valable au CHUV, l’est ailleurs. Or, il s’avère que les vakxinés ne sont pas testés au C0VlD lors de leur admission à l’hôpital, contrairement aux non-vakxinés qui le sont systématiquement.

Cela signifie en clair qu’il existe dans la Statistique publique qui compare le taux d’hospitalisation par catégorie vakxiné ou pas comporte un biais si important que cette comparaison enfreint très certainement la Charte de Statistique publique dont les pays européens sont signataireshttps://lilianeheldkhawam.com/2021/01/25/la-charte-de-la-statistique-publique-bafouee/

https://www.ouest-france.fr/bretagne/covid-19-en-bretagne-les-non-vaccines-representent-75-des-nouvelles-entrees-a-l-hopital-c4ff9c7e-035c-11ec-8926-48613f7d5af4

Le taux des hospitalisés non-vakxinés intègrent l’effectif inconnu de « cas » asymptomatiques, alors que les vakxinés sont exclusivement constitués de la catégorie extrême de personnes symptomatiques nécessitant une hospitalisation. Souvenez-vous de ce que nous avons écrit plus haut au sujet du CDC qui dit clairement avoir décidé qu’à partir du 1er mai 2021, les CDC vont passer de la surveillance de tous les cas signalés de percée vakxinale pour se concentrer et enquêter uniquement sur des cas hospitalisés ou mortels, quelle qu’en soit la cause.

Le protocole qui s’applique aux vakxinés n’est pas le même que celui dédié aux non-vakxinés. Cela fausse les statistiques publiques, mais améliore la « performance » des vakx1s.

Or, l’information que nous découvrons qui consiste à épargner les vakxinés du dépistage de routine lors des admissions implique qu’il existe 2 protocoles clairement différenciés. Le référentiel d’admission n’étant pas le même, on ne peut comparer les populations, vakxinées et non-vakxinées, hospitalisées. Du coup, les 2 populations ne peuvent être comparées car ne sont pas mesurées de manière équivalente. Or, quand on dit qu’il y a x % des vakxinés hospitalisés et y% de non-vakxinés comme le font les médias officiels, on compare des patates et des bananes. Dans le cas des vakxinés (X), nous avons exclusivement des personnes positives avec des symptômes lourds, alors que dans l’autre (y) nous avons tous les asymptomatiques hospitalisés pour tout autre chose que le C0VlD.

La décision de ne pas dépister systématiquement les admis vakxinés, crée des biais qui viennent se rajouter à ceux que nous avions déjà relevés durant cette crise C0VlD en matière de Statistique publique. Utiliser 2 procédures au niveau de 2 populations distinctes, puis franchir le pas de les comparer est dommageable en matière de fiabilité statistique. Et donc de l’information.

Je rappelle que les autorités sanitaires ne nous donnent pas la ventilation des résultats des positifs par rapport au seuil de cycles d’amplification. Les statistiques traitent de manière équivalente l’individu positif pour un cycle de 40 et celui qui a l’est avec un cycle de 20!

Il est donc faux d’écrire une phrase du genre « A population égale, le nombre d’hospitalisations liées au C0VlD-19 de personnes entièrement vakxinées en Suisse s’avère environ 12 fois inférieur à celui des non-vakxinés, d’après une analyse de la RTS basée sur la période allant du 1er juillet au 15 août. » https://www.rts.ch/info/suisse/12426042-douze-fois-moins-dhospitalisations-dues-au-covid-chez-les-vaccines-en-suisse.html.

https://www.ouest-france.fr/bretagne/covid-19-en-bretagne-les-non-vaccines-representent-75-des-nouvelles-entrees-a-l-hopital-c4ff9c7e-035c-11ec-8926-48613f7d5af4

Plus important, ces chiffres peuvent être le résultat d’un cas pratique où dans un hôpital A nous avons 6 vakxinés qui développent un C0VlD sévère avec un Ct de 20, et 60 non-vakxinés qui se trouvent en orthopédie avec un Ct de 40. Le média va dire que le nombre des hospitalisés non-vakxinés de l’hôpital A est 10 fois inférieur. Par conséquent, le vakx1 est efficace. Tout le monde comprendra que dans ce cas, caricaturé à l’extrême, nous serions face à une imposture qui relève plus du marketing pro-vakxinale que de la science médicale. Voilà pourquoi, soit les protocoles doivent être rigoureusement identiques, soit on s’interdit de comparer les patates et les bananes.

Le Pass sanitaire participe à l’amplification des biais.

En introduisant le Pass, les vakxinés peuvent circuler librement sans devoir présenter un résultat de test, mais on force les réfractaires au vakx1 à aller se faire dépister. On amplifie donc le nombre de tests de manière artificielle, et avec lui le nombre de non-vakxinés positifs mais non contagieux.

Pendant ce temps, les vakxinés contaminés et contaminants vont pouvoir circuler en toute liberté et contaminer vakxinés et non-vakxinés (y compris au sein de l’hôpital!) aussi longtemps qu’ils n’ont pas décidé de se rendre d’eux-mêmes à l’hôpital pour causes de symptômes graves, voire mortels.

Les vakxinés asymptomatiques , mais aussi symptomatiques non médicalisés, vont régulièrement passer entre les mailles du filet. Cela aura pour conséquence de voir des gouvernants vanter les mérites des vakx1s, et mettre la pression sociale et la responsabilité de la contamination sur les épaules des non-vakxinés.

Faire parler les vrais chiffres pour comprendre la réalité de cette crise

Extrait de la réunion publique du Conseil Scientifique Indépendant n° 10, au-cours de laquelle Pierre de la chaîne YT « Décoder l’éco » nous indique comment choisir et aller chercher les chiffres notamment de la mortalité, les analyser pour comprendre la réalité de cette crise.

Cet extrait ne reprend que l’analyse que lui-même a réalisée sur les chiffres de la mortalité et de leurs causes notamment en terme de pays, de politique de confinement, de type de population touchée et autres événements.


Une analyse super intéressante à ne pas rater et qui permet vraiment de voir clair dans ce que nous avons vécu.

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/Analyse-des-vrais-chiffres-de-la-gestion-de-la-crise:0

Pour retrouver l’émission complète du CSI:
– sur la chaîne Odysee de RéinfoCovid
– avec un complément sur Crowdbunker pour éviter la censure de YT sur le sujet de la protéine Spike.

Depuis qu’on vakxine, la mortalité moyenne quotidienne a augmenté dans 13 pays sur 14

par FredericGobert (son site)

Dans tous les pays suivants : SEYCHELLES, ISRAEL, UK, MONGOLIE, EMIRATS AU, BAHREIN, HONGRIE, Etats-Unis, CANADA, France, SUISSE, BRESIL, INDE, on meurt tous les jours en moyenne davantage depuis que la vakxination a commencé.

Ainsi, à la date du 17/05/21, au Brésil (17% de la population ayant reçu au moins une dose), la mortalité moyenne quotidienne est multipliée par TROIS ; en Hongrie par CINQ (48% de la population ayant reçu au moins une dose) ; en France par plus de 1,5 (30% de la population ayant reçu au moins une dose)…

Auteurs : Gabriel Faugloire et Frédéric Gobert

Date du calcul – 17/05/2021
PAYSPOPU-LATION TOTALEDébut vakxi-nationDécès/J avant vakxi-nationMoyenne décès/jour/
million d’habitants AVANT Vakxination
Décès/J après VMoyenne décès/jour/
million d’habi-tants APRES Vakxination
% de la popu-lation
vakxinée
à la date
du 17/05/21 
Balance favorable
à la vakxi-nation (OUI/ NON)
SEYCH-ELLES9900010/01/20210,0030,030,242,4771%NON
ISRAEL879000019/12/202010,491,1922,192,5263%NON
UK6820700008/12/2020220,323,23411,356,0354%NON
MONG-OLIE332900025/02/20210,010,002,620,7954%NON
EMIRATS AU999100010/01/20212,250,227,270,7351%NON
BAHREIN174800023/12/20201,180,672,731,5649%NON
HONGRIE963400026/12/202029,843,10142,6914,8148%NON
ETATS-UNIS33291500020/12/20201098,333,301777,455,3447%NON
CANADA3806800006/01/202153,181,4063,851,6845%NON
BELGIQUE1163200028/12/202063,695,4839,213,3734%OUI
FRANCE6542600027/12/2020208,863,19319,904,8930%NON
SUISSE871500023/12/202023,672,7225,522,9327%NON
BRESIL21399300019/01/2021652,753,051900,518,8817%NON
INDE139340900025/01/2021465,420,331078,600,7710%NON

Lecture de ce tableau avec l’exemple d’ISRAEL : du 1er mars 2020 au 19/12/2020 (début de la campagne de vakxination en ISRAEL), soit durant 293 jours, la mortalité moyenne quotidienne est de 1,19 décès par million d’habitants. Du 19/12/2020 au 17/05/2021, soit 149 jours, la mortalité moyenne quotidienne est de 2,52 décès par million d’habitant, soit plus de deux fois supérieur.

Comment les chiffres ci-dessus ont-ils été calculés ?

Toutes les données sont issues du site « ourworldindata » et arrêtées à la date du 17/05/21 ; les 14 pays ont été choisis de telle sorte qu’il y ait un maximum d’hétérogénéité, à la fois au niveau des caractéristiques intrinsèques mais aussi du taux de vakxination de chaque pays. L’idée initiale était de confirmer des informations transmises par Jean-Jacques Crèvecœur à plus petite échelle. Ils montrent en effet que la mortalité moyenne quotidienne COVID-19 a augmenté dans presque tous les pays étudiés depuis le début des campagnes de vakxination ; seule la Belgique fait exception.

Même si le lien direct avec la vakxination semble un raccourci rapide, on peut honnêtement se demander ce qui pourrait l’expliquer autrement… Il faudrait connaître, pour le confirmer ou l’infirmer, le nombre de personnes décédées COVID ayant été vakxinées. En attendant, on constate que le cas des Seychelles et de la Mongolie est énorme (respectivement 1 et 2 décès avant, 31 et 212 après !), celui du Brésil est impressionnant et celui de la Hongrie est tout simplement ahurissant. On voit aussi que l’Inde, dont les médias ont fait de la dernière épidémie une catastrophe, détient des taux de décès bien inférieurs aux nôtres (il faut dire que de nombreux états utilisent depuis longtemps l’Ivermectine !).

JPEG

Ci-dessus le graphe correspondant, plus visuel : il représente les moyennes de décès/jour/million d’habitants avant (bâtonnet bleu) et après vakxination (bâtonnet orange), trié de gauche à droite du pays qui a le % de population vakxinée le plus fort (Les Seychelles) au moins fort (l’Inde). Le % de population vakxinée (courbe grise) se lit sur l’échelle de droite ; la moyenne de décès quotidienne (bâtonnets bleu et orange) sur l’échelle de gauche.

Le rôle des « grands » médias et de la plupart des sites de « factchecking » doit encore et toujours être interrogé ; leur responsabilité dans les mensonges et les inepties qui circulent et que la population prend pour vraies est énorme :
– la plus grande gravité de la mortalité due au covid en Inde par rapport à la France : mensonge ;
– la gravité exceptionnelle de l’épidémie de covid : mensonge ;
– l’innocuité des « vakx1s » ou le meilleur rapport « bénéfices/risques » : mensonge ;
– l’intérêt vital du port du masque en extérieur : mensonge ;
– le caractère démocratique et respectueux des libertés du pass sanitaire : mensonge ;
– l’affirmation selon laquelle la prévention contre le covid est inutile : mensonge ;
– l’affirmation qu’il n’existe aucun traitement contre le covid : mensonge ;
– l’affirmation que le « vakx1 » est l’unique solution : mensonge ;
– la non-remise en cause systématique des inepties de la politique « sanitaire » du gouvernement : on oscille entre l’aveuglement dû à la peur, la psychose collective, la compromission et la lâcheté ; etc.
Mais toujours, depuis mars 2020, le prix de la faillite des médias dominants se paie en vies humaines.

La largeur de la page ne permettant pas de proposer un tableau comprenant de nombreuses colonnes, il a été scindé en deux. Voici les autres données permettant de comprendre les chiffres proposés dans le premier tableau, situé au début de l’article.

Date du calcul – 17/05/2021
PAYSDébut vakxinationDécès avant vakxinationPériode avant vakxination (depuis mars 2020) – en jDécès total à ce jourDécès après vakxinationPériode après vakxination (jusqu’à E1) – en j
SEYCHELLES10/01/20211315,003231,00127,00
ISRAEL19/12/20203074293,0063813307,00149,00
UK08/12/202062130282,0012794665816,00160,00
MONGOLIE25/02/20212361,00214212,0081,00
EMIRATS AU10/01/2021708315,001631923,00127,00
BAHREIN23/12/2020350297,00746396,00145,00
HONGRIE26/12/20208951300,002921320262,00142,00
ETATS-UNIS20/12/2020322908294,00585970263062,00148,00
CANADA06/01/202116539311,00249048365,00131,00
BELGIQUE28/12/202019234302,00247235489,00140,00
FRANCE27/12/202062867301,0010797345106,00141,00
SUISSE23/12/20207029297,00107303701,00145,00
BRESIL19/01/2021211491324,00435751224260,00118,00
INDE25/01/2021153587330,00274390120803,00112,00

Dr Mike Yeadon (ex Pfizer) déclare que les décès post-vakx1s ne sont pas des coïncidences

L’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, a qualifié aujourd’hui de «mensonge» la présomption de coïncidence concernant la mort suite à la vakxination contre le C0VlD.

«Bien que la vakxination contre le C0VlD implique beaucoup de gens, nous vakxinons tellement de personnes, contre tant d’agents pathogènes, qu’il est impossible de rendre compte de l’augmentation du nombre de décès signalés au VAERS après le C0VlD uniquement sur la base du nombre de vakxinés, » a-t-il dit.

«Ceux qui contestent les près de 4.000 décès après la vakxination contre le C0VlD aux États-Unis, disent généralement que ces rapports ne prétendent pas être causaux. Ce serait juste une coïncidence », a déclaré Yeadon.

«Le contraire à ce mensonge est que, s’il s’agissait d’une simple coïncidence, c’est-à-dire que les gens meurent et si vous vakxcinez suffisamment de gens, vous aurez un certain nombre de décès dû au hasard.

« Eh bien, oui, c’est vrai. Mais ce qui n’est pas vrai, c’est que cette très forte augmentation des décès suite à la vakxination contre le C0VlD soit une simple coïncidence. Si c’était le cas, alors le nombre de décès resterait dans la même proportion dans la population vakxinée, et serait inscrite dans VAERS.

« Et ce n’est PAS ce que VAERS nous montre. Au lieu de cela, presque TOUS les décès signalés peu de temps après la vakxination le sont après la vakxination C0VlD. »

Yeadon poursuit: «La statistique choquante est que près de 99% des décès signalés au VAERS après la vakxination sont survenus après la vakxination C0VlD

« Les 1% d’équilibrage concernaient TOUS LES AUTRES VAKX1S COMBINÉS.

« Quiconque refuse cela est donc un « théoricien de la coïncidence ». »

http://

Vakx1s, l’esclavage perpétuel avec les passeports sanitaires

Yeadon a poursuivi en mettant en garde contre les implications du «passeport vert», le qualifiant d ‘«apartheid médical illégal»: «Il est très important que les gens comprennent ce qui se passe ici.

« L’intention est d’introduire des passeports vaKXinaux partout. Mais c’est un déguisement. Il s’agit du premier système d’identification numérique et interopérable à l’échelle mondiale, avec un indicateur de santé modifiable (vakxiné, O ou N) ».

« Cela ne rend personne plus en sécurité. Si vous êtes vakxiné, vous êtes protégé et n’êtes pas rendu plus sûr en connaissant le statut immunitaire des autres.« 

« Comme en Israël, vous serez obligé de présenter un VaxPass valide afin d’accéder à des installations définies ou d’accéder à des services. Sans VaxPass, vous êtes refusé. »

«Ce système n’a besoin que de 50% de la population adulte pour démarrer, en raison de son énorme pouvoir coercitif sur les non vakxinés.« 

«C’est un apartheid médical illégal.« 

«S’ils réussissent, cela ne vous aidera pas à refuser; ils passeront à autre chose, laissant la minorité derrière.« 

«Un système VaxPass comme celui-ci donnera à ceux qui contrôlent la base de données et ses algorithmes un CONTRÔLE TOTALITAIRE TYRANNIQUE sur nous tous.« 

«La SEULE façon d’arrêter ce cauchemar de biosécurité est de NE PAS SE FAIRE VAKXINER POUR DES RAISONS NON MÉDICALES !!!

« Je crains que, si nos adversaires obtiennent ce contrôle absolu, ils l’utiliseront pour nuire à la population. Il n’y a pas de limite au mal qui découlera de cet objectif stratégique. »

L’ancien directeur scientifique de Pfizer a conclu par un plaidoyer: «NE PAS PERMETTRE À CE SYSTÈME DE DÉMARRER, car il est ensuite imparable.

« Un exemple : votre VaxPass émet un bip, vous demandant d’assister à votre 3e, 4e ou 5e vakx1 de rappel ou variante. Sinon, votre VaxPass expirera et vous deviendrez une personne externe, incapable d’accéder à votre propre vie. « .

«Combien de choix avez-vous?« 

« Ce n’est aucun. Vous êtes contrôlé. Pour toujours. »

Source‍

Le CDC modifie les règles de comptabilisation des cas de C0VlD, car de + en + de personnes entièrement vakxinées présentent des résultats positifs

8 Mai 2021, 06:06am

Les CDC modifient les règles de comptabilisation des cas de Covid, car de plus en plus de personnes entièrement vaccinées présentent des résultats positifs

Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (Centers for Disease Control and Prevention) ne signaleront plus que les cas d’infection ayant entraîné une hospitalisation ou un décès. L’agence a également abaissé le seuil de dépistage, mais uniquement pour les personnes entièrement vakxinées.Megan Redshaw – Le 7 mai 2021

Alors que de plus en plus de rapports font état de nouveaux cas de C0VlD, aux États-Unis et ailleurs, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont annoncé aujourd’hui qu’ils allaient modifier la manière dont les nouveaux cas seront signalés, à compter du 14 mai.

Selon un communiqué publié sur le site internet des CDC, l’agence a déclaré que pour aider à « maximiser la qualité des données recueillies sur les cas de la plus grande importance clinique et de santé publique », elle cessera de signaler les cas hebdomadaires d’infection au C0VlD, sauf s’ils entraînent une hospitalisation ou un décès.

Cette nouvelle fait suite à un autre changement, annoncé à la fin du mois dernier, concernant la manière dont les tests PCR doivent être administrés aux personnes entièrement vakxinées.

Ces deux changements entraîneront une diminution du nombre total de notifications de cas de C0VlD aux États-Unis.

Un cas de C0VlD est enregistré si une personne est testée positive pour le SRAS-Cov-2 deux semaines après avoir reçu la dose unique du vakx1 Johnson & Johnson (J&J) ou après avoir reçu les deux doses du vakx1 Moderna ou Pfizer.

Pourquoi les changements sont importants

En avril, les CDC ont publié de nouvelles directives à l’intention des laboratoires recommandant de réduire la valeur de la CT RT-PCR à 28 cycles – mais uniquement pour les personnes entièrement vakxinées qui sont testées pour le C0VlD.

Dans un test RT-PCR – l’étalon-or pour la détection du SRAS-CoV-2 – l’ARN est extrait de l’écouvillon prélevé sur le patient. Il est ensuite converti en ADN, qui est ensuite amplifié.
Le CT, ou seuil de cycle, est une valeur qui apparaît au cours des tests RT-PCR. Une valeur CT correspond au nombre de cycles nécessaires pour amplifier l’ARN viral afin d’atteindre un niveau détectable.

Selon l’Indian Council of Medical Research, un patient est considéré comme positif pour le C0VlD si la valeur CT est inférieure à 35. En d’autres termes, si le virus est détectable après 35 cycles ou avant, le patient est considéré comme positif.

Le Dr Anthony Fauci recommande une valeur CT de 35. À l’échelle mondiale, le seuil accepté pour la valeur CT du C0VlD se situe entre 35 et 40, selon les instructions des fabricants d’équipements de test.

« Si le point de référence devait être abaissé à 24, cela signifierait que les valeurs CT comprises entre 25 et 34 ne seraient pas considérées comme positives« , selon le Conseil indien de la recherche médicale, comme le rapporte The Indian Express. « Un seuil de référence de 35 signifie donc que davantage de patients seraient considérés comme positifs que si le seuil de référence était de 24. »

En d’autres termes, l’abaissement du paramètre seuil de CT peut conduire à l’oubli de personnes infectieuses.

Les CDC ne communiqueront pas de nouveaux chiffres sur les percées cette semaine étant donné que le changement dans la façon dont les CDC signalent les cas de C0VlD est toujours en cours de mise en œuvre et ne prendra pas effet avant le 14 mai, les CDC n’ont pas communiqué de nouveaux chiffres cette semaine.

Selon les derniers chiffres disponibles, au 26 avril, les CDC ont signalé que 9 245 personnes avaient été testées positives au C0VlD au moins deux semaines après avoir reçu leur dernier vakx1 C0VlD. Environ 9 %, soit 835 personnes, ont dû être hospitalisées et 132 sont décédées.

Parmi les patients hospitalisés, 241 étaient asymptomatiques ou souffraient d’une maladie non liée au C0VlD, et 20 décès ont été signalés comme étant asymptomatiques ou non liés à la maladie.

Les derniers chiffres proviennent de 46 États et territoires des États-Unis. On ne sait pas quels sont les quatre États qui n’ont pas soumis de chiffres sur les cas de percée aux CDC.

« Ces données de surveillance sont un instantané et aident à identifier les tendances et à rechercher des signaux parmi les cas de percée vakxinale« , a déclaré le CDC dans un communiqué du 27 avril. « Au fur et à mesure que les CDC et les départements de santé des États se concentrent uniquement sur l’investigation des cas de C0VlD postvakxinal qui entraînent une hospitalisation ou un décès, ces données seront régulièrement mises à jour et affichées chaque vendredi. »

Selon les CDC, le nombre réel de cas de C0VlD post-vakxinal est probablement plus élevé car le système de surveillance est passif et repose sur la déclaration volontaire des départements de santé des États et peut ne pas être complet. En outre, certains cas de C0VlD post- vakxinal ne seront pas identifiés en raison de l’absence de tests. Cela est particulièrement vrai dans les cas de maladie asymptomatique ou légère, ont ajouté les CDC.

Le CDC a déclaré que les vakx1s sont toujours efficaces, notant que les nouveaux cas ne représentent qu’un faible pourcentage de ceux qui ont été vakxinés.

Le pays le plus vakxiné revient à l’isolement, alors que les cas se multiplient.
L’île des Seychelles, qui a entièrement vakxiné la plus grande partie de sa population contre le C0VlD que n’importe quel autre pays du monde, a remis en place des mesures de confinement similaires à celles imposées en 2020, face à la recrudescence des infections.
Selon Bloomberg, 62,2 % de la population adulte de l’île a reçu deux doses de vakx1s C0VlD. Ce chiffre est à comparer aux 55,9 % d’Israël, deuxième nation la plus vakxinée. Sinopharm et Covishield d’AstraZeneca sont les deux vakx1s administrés aux Seychelles.
Lors d’une conférence de presse, les responsables ont donné peu de détails sur ce qui pourrait être à l’origine de la recrudescence des infections, si ce n’est que les gens prennent moins de précautions contre le virus qu’auparavant et que la recrudescence pourrait être due aux célébrations après Pâques.

La Californie connaît des milliers de nouveaux cas de C0VlD
Entre le 1er janvier et le 28 avril, les responsables de la santé publique de Californie ont enregistré 3 084 nouveaux cas de C0VlD, selon le Sacramento Bee.
« À mesure que le temps passe et que davantage de personnes sont entièrement vakxinées, il est probable que d’autres cas post-vakxination se produisent« , a déclaré le département de la santé publique de Californie dans un communiqué.

Les cas post-vakxination sont enregistrés si une personne est testée positive pour le SRAS-Cov-2 deux semaines après avoir reçu le vakxin J&J ou avoir complété la vakxination Moderna ou Pfizer à deux doses.
Le département de la santé de l’État ne disposait pas d’informations sur les hospitalisations et les décès attribués aux cas de.
Le Defender a précédemment fait état de cas de C0VlD post-vakxinal dans les États de Washington, de Floride, de Caroline du Sud, du Texas, de New-York et du Minnesota.

Données réelles de circulation du virus en France, Belgique et Allemagne

Ceci est un extrait de la réunion publique du Conseil Scientifique Indépendant français du 15 avril 2021.
Présentation par Hélène Banoun qui a récolté les données officielles des remontées de médecine de terrain sur les réels cas des syndromes respiratoires et leurs natures diverses et réelles. Cela montre des différences énormes avec les chiffres gouvernementaux, que le virus Sars-Cov2 est tout-à-fait minoritaire et que le rhume commun devient l’élément principal. Très instructif sur l’absence d’épidémie, la manipulation des chiffres et les faux résultats des tests PCR.

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/Conseil-scientifique-inde%CC%81pendant-(CSI)-du-15_04_2021-Donne%CC%81es-e%CC%81pide%CC%81miques-officielles:7

Vidéo complète de la réunion publique du CSI du 15 avril 2021.

Les morts du C0VlD, un mensonge d’Etat ?

Christophe De Brouwer scrute depuis un an les chiffres du C0VlD. L’interview publiée ici est une exclusivité. Il est – malheureusement – le seul à faire ce travail. Dites vous toutefois, et surtout, que si ses conclusions avaient été pensées, réfléchies, débattues, nous ne serions pas là où nous en sommes – même si le monde tournait déjà mal bien avant. Pendant ce temps, des gens meurent de leurs politiques. C’est cela l’essentiel que nous devons retenir, pensons-nous.

Voici la version courte:

Lien alternatif en cas de censure YT:

https://odysee.com/@David19:7/Brouwer:d

Sur le même sujet, voir aussi la Réunion publique du Conseil scientifique indépendant (CSI) du 15/04/2021

Etat d’urgence sanitaire : le scandaleux déni du Conseil d’Etat !

Le 6 mars dernier, le mathématicien Vincent PAVAN représenté par son avocat Clarisse SAND a déposé un recours devant le Conseil d’Etat pour qu’il examine si la situation actuelle peut légitimement être qualifiée de « catastrophe sanitaire » et donc justifier un état d’urgence sanitaire. Cette demande a fait l’objet d’une réponse affligeante du gouvernement puis d’un rejet scandaleux de la part du Conseil d’Etat.
Encore une excellente analyse de Décoder l’Eco.

Pour le dossier plus complet, voir l’article du média citoyen Agora Vox

Il n’y a plus aucune raison de croire à une pandémie

Un collectif de citoyens Allemand, prenant conscience de l’impact insignifiant du Covid 19 sur la mortalité et la démographie du pays, matérialise les données et chiffres véritables de façon originale et c’est alors qu’apparaît les mensonges criminels du gouvernement. Qu’en est-il pour la France ? Sensiblement la même chose…

https://odysee.com/@LiBERTY_VOICE:b/2021-03-29_Quantumleap—IL-N-apos-Y-A-PLUS-AUCUNE-RAISON-DE-CROIRE-%C3%80-UNE-PAND%C3%89MIE_720:6

Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !

Article de Jean-Dominique Michel sur son propre blog

Je n’irai pas par quatre chemins : l’article que je m’apprête à partager avec vous est aussi remarquable qu’explosif ! Il figure au rang de ce que j’ai lu de plus perspicace, rigoureux et éclairant au cours de l’année écoulée.

A partir de sa maîtrise des statistiques ainsi que d’une éthique personnelle et scientifique évidentes, l’auteur extrait des données disponibles certains tenants et aboutissants fondamentaux et occultés de la « crise sanitaire » que nous vivons depuis une année. Et, cela étonnera sans doute peu les lectrices et lecteurs de ce blog, les conclusions de son analyse de haut vol atterrissent à des années-lumière du narratif officiel.

L’auteur est mathématicien et non pas médecin ou chercheur en santé publique. Dans notre mouchoir de poche suisse romand, Fabien Balli Frantz (lui aussi inscrit dans ce domaine d’expertise) a pareillement découvert à partir de sa maîtrise des statistiques des motifs fondamentaux de l’épidémie. Qu’il a fait connaître dans différents articles publiés dans Bon pour la tête, hélas aucunement repris par les médias « mainstream » dont la priorité obsessionnelle paraît être d’affoler la population à tout prix.

….

L’auteur a souhaité rester anonyme, choix que je respecte évidemment. Son article est bien sûr plus ardu que ce dont on a l’habitude, mais reste remarquablement agréable à lire. C’est un autre talent, lui aussi rare, que de savoir restituer clairement le fruit d’analyses complexes. Le résultat, ici,  est ô combien décoiffant. Et rappelle accessoirement l’importance fondamentale de faire bon usage des données et statistiques.
….

Lire la suite de l’article sur le blog de Jean-Dominique Michel

Fin de l’article:

Après avoir présenté les conclusions comparables de l’étude récente de Ioannidis et Battacharya, l’auteur conclut que :

«  (…) d’un point de vue purement épidémiologique, le confinement semble donc inutile. Mais d’un point de vue politique, il répond aux angoisses habituelles des pouvoirs inquiets. Les techniques efficaces pour contrôler les maladies infectieuses sont toutes fondées sur la séparation des personnes saines et des malades. Le but est de diluer le virus et non pas de le concentrer, ce que font les méthodes agrégatives que sont le confinement et le couvre-feu. Le confinement concentre spatialement les personnes dans leur domicile et le couvre-feu concentre temporellement l’activité dans des tranches horaires rigides. Dans les deux cas, ces démarches concentrent le virus en plaçant les populations dans des situations de promiscuité. Elles répondent à un désir de contrôle politique des populations en soumettant les activités individuelles à l’autorité de l’État ; mais elles n’ont ni a priori, ni a posteriori un quelconque rapport avec la médecine. »

Une analyse, donc, remarquable, et dont les conclusions doivent impérativement être reprises et discutées. Certes, l’auteur me l’a indiqué dans notre échange, il serait possible en reproduisant ses calculs de trouver des chiffres différents en raison des variations induites par les techniques d’interpolation et d’extrapolation des données, mais sans que cela ne change quoi que ce soit dans l’analyse qualitative.

De tels questionnements, avec des propositions d’interprétation divergentes, font et doivent naturellement faire partie du débat scientifique. Or ce qu’il y a de tragique à l’heure actuelle, c’est  d’une part que nous faisons bel et bien face à ce qu’il faut bien appeler une prostitution scientifique massive conduisant des chercheurs à produire des résultats à la demande, comme le diagnostic en a été posé de longue date par les éditeurs de revue scientifique eux-mêmes et comme nous en avons vu à nouveau d’innombrables exemples ; d’autre part qu’il y a actuellement une véritable suppression du débat scientifique, avec des autorités (comme le Conseil scientifique en France ou la Task Force en Suisse) qui édictent des dogmes fumeux et ne reposant sur aucune science solide, qui influencent pourtant mécaniquement les politiques et sont repris comme « vérité » absolue par des médias qui débunkeront ensuite de manière forcenée tout ce qui s’éloigne de cette doxa… J’ai eu l’occasion de le relever à de nombreuses reprises : si un pareil fonctionnement s’était maintenu au cours des siècles écoulés, nous en serions restés à la certitude que la Terre est plate !

La Task Force ose ainsi asséner que le confinement a sauvé des milliers de vies ou que la moitié des contaminations sont le fait de porteurs asymptomatiques sans que cela repose sur quoi que ce soit de sérieux, de solide ou de probant. Ce sont des croyances, à fortes connotations superstitieuses, mais qui constituent une imposture évidente dès lors qu’elles sont assénées comme constituant une réalité « scientifique ».

Ce qui nous ramène, sinon à la prostitution, en tout cas à une dérive très grave et aux conséquences désastreuses sur l’ensemble de la population dont il est essentiel qu’elles trouvent tôt ou tard une traduction pénale.

Pour l’instant c’est avec une joie profonde et une vigoureuse gratitude envers son auteur que je rends disponible sont article en fichier pdf, à télécharger ici.

J.D. Michel

En complément une petite vidéo sur le chiffres, plus simple et percutante:

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/Les-chiffres-réels

Le gouvernement allemand a commandé à des scientifiques des projections alarmistes pour justifier des mesures répressives !

 PAR POLÉMIA | 7 FÉVRIER 2021 

Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia, Die Welt, le grand journal allemand, vient de jeter un pavé dans la mare au Covid-19. Il apporte la preuve que le ministère de l’Intérieur allemand avait commandé à des scientifiques des projections de mortalité alarmistes (jusqu’ 1 million de morts, à comparer aux 400 000 de Macron à l’automne dernier…) pour justifier « des mesures préventives et répressives » (sic).
Projections « secrètes » que le ministère a opportunément fait fuiter vers la presse pour apeurer la population.
La révélation du scandale pourrait bouleverser la politique sanitaire allemande et conduire à une levée de nombreuses restrictions au plus tard avant Pâques et non pas au plus tôt après Pâques. Pour beaucoup d’observateurs, cette révélation serait due à la révolte croissante de l’industrie allemande du Mittelstand (entreprises territorialisées et enracinées) contre les menées du capitalisme de Davos et des GAFA, bénéficiaires des mesures de restrictions. Affaire à suivre !
Les lecteurs trouveront ci-dessous la traduction de l’article paru dans le Die Welt du dimanche 7 février.

Covid-19. Le gouvernement allemand a commandé à des scientifiques des projections alarmistes pour justifier des mesures répressives !

Traduction de l’article de Die Welt : https://www.welt.de/politik/deutschland/article225864597/Interner-E-Mail-Verkehr-Innenministerium-spannte-Wissenschaftler-ein.html

Le ministère de l’Intérieur a utilisé des scientifiques pour justifier les mesures liées au Covid-19

Selon un abondant échange de courriels dont dispose l’édition du dimanche de Die Welt, l’administration du ministre de l’Intérieur Seehofer a impliqué des chercheurs dans la première phase brûlante de la pandémie. Lesquels ont livré en réponse les résultats destinés à alimenter un dramatique « document secret » du ministère.

Lors de la première vague de la pandémie, en mars 2020, le ministère fédéral de l’Intérieur a mis à contribution plusieurs instituts de recherche et d’écoles supérieures dans un but politique. Il a chargé des chercheurs du Robert-Koch-Institut et d’autres établissements de mettre au point un modèle mathématique, sur la base duquel l’administration du ministre de l’Intérieur Horst Seehofer (CSU) voulait justifier de sévères mesures Corona.

C’est ce qui ressort d’une intense correspondance électronique de plus de 200 pages entre la direction du ministère de l’Intérieur et les scientifiques que l’édition du dimanche de Die Welt détient. Un groupe de juristes a réussi à obtenir cette correspondance auprès du Robert-Koch-Institut suite à une bataille juridique de plusieurs mois.

Dans un échange de courriel, le secrétaire d’État Markus Kerber demande, par exemple, au scientifique auquel il s’adresse d’élaborer un modèle sur la base duquel des « mesures de nature préventive et répressive » pourraient être planifiées [souligné par le traducteur].

Selon cette correspondance, les scientifiques ont élaboré en seulement quatre jours, en étroite concertation avec le ministère, le contenu d’un document que l’on a déclaré « secret » et que l’on a diffusé dans les jours qui ont suivi par le canal de différents médias.

Dans ce document, on présentait les résultats d’un « Scénario du pire », selon lequel, si la vie sociale se poursuivait en Allemagne comme avant la pandémie, plus d’un million de personnes mourraient.

Die Welt
07/01/2021

Traduction de François Stecher, correspondant de Polémia en Allemagne

Une excellente analyse de la mortalité en 2020 (avec mise-à-jour au 16/1/21)

Cela fait maintenant 1 an que l’on entend parler quotidiennement du coronavirus. Cela fait bientôt 9 mois que toute la vie politique et économique vit au rythme des décisions prises uniquement pour répondre à la peur de ce virus. Depuis le début du crise, de nombreuses voix dénoncent l’excessivité des mesures prises au regard des épidémies que l’on vit chaque année. Toutes ces voix sont désormais cataloguées dans le camp bien pratique des complotistes. Autrefois, l’inquisition faisait taire tout ceux qui osaient contredire le clergé. Aujourd’hui la société entière organise la censure de ceux qui sortent qui discours bien établi.
Dans cette vidéo, on va voir que depuis mars dernier, on ne constate absolument aucune surmortalité pour les moins de 50 ans.
Je vous montrerai où aller chercher toutes les données des décès en France et comment faire les calculs pour que vous puissiez le faire vous-même si vous voulez et vérifier que je n’invente absolument rien. J’exploite uniquement des données de l’état civil français.
On verra ensuite les effets du coronavirus sur la mortalité des plus âgés et je ferai la comparaison avec la grippe pour que vous puissiez faire vos conclusions. La mienne est simple : au regard des chiffres officiels des décès, il n’y a absolument aucune raison objective de mettre en place un confinement généralisé ou même d’imposer à toute la population n’importe quelle règle. On peut en revanche comprendre l’intérêt d’avertir les français des risques et en particulier les plus âgés pour qu’ils puissent faire leur choix et prendre les précautions qu’ils souhaitent. Mais même dans ce cas, il faut se poser la question de pourquoi ce n’était pas fait avant, puisque quand on regarde les chiffres, on se rend compte que des épidémies mortelles, on en a tous les ans, tous les hivers.

Voir sur ce même sujet:
Covid-19 – Quand les médias Mainstream publient les chiffres de la mortalité en France
L’année 2020 connaît la plus faible incidence d’infections respiratoires aiguës depuis 1984 (Covid-19 inclus)
Décès en France en 2020

Mise à jour et complément (au 16/1/2021):

Même si la plupart des personnes regardant ma vidéo ont eu des critiques positives, j’ai regardé en détail ce que disaient les commentaires. En l’occurrence, 2 internautes, au milieu de leurs insultes me reprochent de mettre trop de poids au phénomène démographique. Ils disent que les 30 000 décès montrés comme liés au C0VlD-19 en mars-avril sont une preuve irréfutable que la C0VlD-19 est extrêmement dangereuse et mortelle.
J’ai donc creusé la question et d’étudié en détail les chiffres de décès par âge. Pour ça, j’ai comparé l’épisode de grippe de 2017 à l’épisode de C0VlD-19.
Je vous avoue que je ne m’attendais absolument à ce que j’ai découvert.
J’étais complètement scotché.
En faisant cette comparaison vous allez voir qu’il ne faut plus dire que la C0VlD-19 est un peu plus mortel qu’une grippe. La C0VlD-19 est en fait moins mortel qu’une grippe. La seule raison pour laquelle nous avons eu une surmortalité plus forte en 2020 qu’en 2017, c’est uniquement que parce que les gens sont plus vieux. Préparez-vous à tomber de votre chaise, on y va.

Alexandra Henrion-Caude: origine du Sars-cov-2, brevet/scoop, actu 2e vague covid-19 & traitements.

Une analyse pour Nexus, d’Alexandra Henrion-Caude, en termes de mise-au-point d’une série de sujets occultés à propos de cette « épidémie ». Notamment des éléments d’analyse du virus en relation avec des brevets déposés, qui tendent à privilégier l’hypothèse d’une origine artificielle de celui-ci.

Sources :

Lien vers le brevet : https://patentimages.storage.googleap…

« La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement », article CNRS : https://lejournal.cnrs.fr/articles/la…