par Pascal Sacré (Titre original: Vers le contrôle de l’humanité entière ?).
Je ne suis pas médium, je ne suis pas devin. Il faut d’ailleurs faire attention à ce que l’on dit, car cela peut influencer autrui dans un mauvais sens pour lui, ou même faire advenir ce que nous redoutions, cela s’appelle « prophétie auto-réalisatrice ». Cette connaissance pourrait induire un genre de paralysie : ne plus oser rien dire, rien faire, autre facette du même mal.
Les gens disent qu’il faut des leaders parce qu’il y a des suiveurs. Je dis que s’il n’y avait pas de leaders, il n’y aurait plus de suiveurs. Cette idée : « leaders sont nécessaires », est le mensonge injecté dans la tête des gens pour que les premiers gardent leur domination sur les seconds.
Je pense qu’il y a une intuition pure au plus profond de chacun d’entre nous, un peu comme un diamant indestructible.
Tout est fait, depuis que des personnes tentent de contrôler l’humanité entière, et cela fait longtemps, en particulier en ces temps de folie normalisée, pour que nous soyons déconnectés de cette intuition qui nous tient éveillé, raisonné et lié à la Vérité, sans besoin de personne d’autre pour savoir ce qu’il faut faire, quand et comment.
Pour cela, « Ils » (masculin et féminin) utilisent à un niveau jamais égalé, car mondialisé, la peur, la confusion, la colère, la culpabilité, la bêtise et tous les biais cognitifs possibles.
Et oui, la complexité du cerveau humain implique également sa fragilité, un peu à la manière du Titanic, réputé insubmersible et pourtant… C’est justement cette certitude qui l’a amené à sa perte, lui faisant baisser sa garde, perdre toute notion du Réel.
Le Réel est le Réel, qu’importent tous les « fact-checkers », tous les experts asservis au Pouvoir, toutes les émissions de debunking du monde, le Réel est le Réel et il est un fait que des milliers de « modifiés » meurent en ce moment, dans le monde, des suites de leur « modification ».
Tout le monde peut le nier comme une femme trompée peut longtemps nier que son mari la trompe, le Réel reste qu’elle est trompée.
Le Réel est que modifier des enfants qui n’ont rien à craindre de ce qui est utilisé pour justifier leur modification, dans le but de protéger des gens que la modification seule devrait protéger, est SACRIFIER la jeunesse sur l’autel d’un despotisme qui n’a rien d’éclairé.
Encore une fois, on peut longtemps nier la réalité (Titanic), elle se rappelle brutalement à nous, que nous le voulions ou non.
Mettre des lunettes de soleil ne fait pas disparaître le soleil.
Bref, je ne suis pas un médium, ni un devin.
Je tente juste de rester connecté à mon intuition pure et vraie, malgré le brouillard, la fumée et le bruit de plus en plus fort et cacophonique de ceux qui veulent nous entraîner dans la guerre (civile ou autre) et leur folie.
Et je vous dis :
Ne comptez sur personne d’autre que vous.
Les diamants s’uniront, se reconnaîtront et s’allieront sans besoin d’intermédiaire ni de leader.
Connectez-vous à votre intuition intérieure, encore pure si vous avez résisté à la « modification ».
Dans ce bocal placé sur plaque chauffante, soyez le poisson à l’écart, qui regarde toute cette agitation de ses yeux mi-clos, se concentre sur sa respiration et sur son calme intérieur.
Soyez comme l’archer qui bande doucement ses muscles et ne tire qu’au moment le plus parfait.
Ne vous laissez pas entraîner, par personne, surtout pas ces leaders qui séparent et vous chauffent, utilisent la colère et la frustration pour vous entraîner.
Tout en bouillonnant, restez calme.
Centré.
Connecté.
Les diamants se reconnaitront.
Et quand ce sera le moment, d’une énergie accumulée de l’intérieur de vous et de vous seul, vous agirez.
Le IoNT est l’Internet des Nano objets. Les nanoparticules dont on vous bombarde finissent par parler pour vous. Dans cette illustration, un scientifique de très haut niveau a rédigé un document très professionnel et très détaillé qui positionne l’humain injecté dans le circuit des IoNT. Si cette planche est définitivement validée, nous pouvons conclure qu’un certain nombre d’injectés (pas forcément tous) sont en cours de mutation pour devenir des transhumains. On peut supposer que pour atteindre l’étape finale du modèle, il faut plusieurs doses.
Avertissement. Le dossier transmis ici est exceptionnellement documenté et précis. Je le reprends pour enrichir la réflexion et l’hypothèse de travail autour de la transhumanisation des peuples. Toutefois, aussi longtemps que nos autorités sanitaires refuseront de faire procéder à des analyses indépendantes du contenu de fioles contenant les produits à injecter, nous serons incapables d’affirmer si, et dans quelle mesure, la liste des éléments indésirables listés dans ce document ont pollué la production industrielle des injections réalisées depuis une année.
Un scientifique de premier plan a transmis au Net des planches détaillées de ce que pourraient être les divers éléments non identifiables découverts dans les fioles de produits à injecter et/ou dans les échantillons sanguins étudiés. Un autre scientifique tout aussi fiable m’a transmis son travail.
Bien que n’ayant pas l’identité de l’auteur, je ne peux qu’apprécier la précision avec laquelle les différents éléments que nous mettons au jour depuis des mois (pour ne pas dire des années) sont agencés et intégrés dans sa présentation.
Ce diagramme montre tous les composants qui sont introduits avec les diverses inoculations. Ensemble, ils agissent comme un réseau de surveillance du corps humain. (traduction ci-dessous)Traduction effectuée par Chantal Attia. Avec mes remerciements à elle.
Composants du nanoréseau au plan intracorporel
1. Nanotubes de carbone et dérivés CNT, SWCNT, MWCNT
2. Nanocapteurs (circuits de nanotubes, nanofeuillets de graphène)
3. Nanocontrôleurs (circuits de nanorouteurs QCA)
4. Nanointerface (circuits QCA nanoCODEC)
5. => Communication avec l’extérieur =>
La présence de points quantiques d’oxyde de graphène.
La présence de points quantiques d’oxyde de graphène. – Les points quantiques de graphène sont des morceaux de graphène ou d’oxyde de graphène à l’échelle micro-nanométrique avec des formes circulaires, hexagonales, triangulaires… qui résultent de la décomposition ou de l’oxydation de nanofeuillets de graphène. – Les GQD, loin d’être un défaut du réseau, jouent un rôle fondamental, puisque leur taille leur permet de fonctionner ou d’opérer comme des nano-antennes. De plus, ils circulent à travers le système circulatoire, les artères, les veines, capillaires, servant de marqueurs électriques, mais aussi biologique, car ils adsorbent les protéines et autres composants présents dans le sang.
L’interface humain-machine avec transmission de données
La nanointerface est un circuit QCA plus complexe, qui contient un nanoantenne pour émettre et recevoir des signaux TS-OOK. Avec une forte probabilité, il dispose d’un CODEC pour crypter les paquets de données et les retransmettre à l’extérieur
Nanocapteurs et nanorouters
– Lorsque le nanorouteur reçoit les signaux, il parvient à les encoder dans TS-OOK et à les acheminer sous forme de paquets de données à transmettre. le Les signaux TS-OOK ont un modèle binaire facile à interpréter et à transmettre, ce qui augmente la capacité de transmission de données et la bande passante pouvant être prise en charge dans le nanoréseau. – Le nanorouteur n’a pas besoin de processeur pour fonctionner, car l’architecture QCA (point quantique) lui permet de fonctionner à une fréquence d’horloge, tout comme le ferait un processeur d’ordinateur. – De cette façon, les signaux sont transmis au nanorouteur le plus proche afin d’optimiser le nanoréseau et d’éviter la saturation du signal. Pour cette raison, plusieurs de ces composants sont prévu, assis grâce à l’hydrogel.Traduction effectuée par Chantal Attia. Avec mes remerciements à elle.
Avec ce document, nous entrons donc de plain pied dans le processus d’intégration homme-machine. Nous voyons sur cette planche d’ensemble que le résultat correspond à la convergence NBIC. L’auteur de ces planches sait avec précision de quoi il en retourne. De fait, très peu de scientifiques ont une vision d’ensemble de ce que peut être le transhumanisme.
7 ans après la votation, les différents axes qui paraissaient martiens à l’époque deviennent subitement plus réelles…
Une carte blanche de Jean-Michel Longneaux, philosophe, chargé de cours à l’université de Namur, que la presse n’a pas voulu publier.
La vakxination généralisée garantit l’immunité collective ; elle ne présente aucun danger et elle est la seule solution envisageable. Ce n’est pas très compliqué à comprendre.
Alors pourquoi certains s’obstinent-ils à refuser les vakx1s ?
La seule explication plausible, c’est que ce sont tous des ignares [1] – ils n’entendent rien aux évidences de la vraie science – et des égoïstes [2] – ils préfèrent leur petite liberté à la solidarité. Puisque discuter avec de tels individus se révèle inutile, que faire d’autre sinon les culpabiliser par tous les moyens [3], leur rendre la vie impossible [4] en les pourchassant jusque dans les écoles, sur les campus, dans les grandes surfaces et sur leur lieu de travail, et en étendant l’usage du Covid safe Ticket afin de les priver de vie sociale ? Et s’ils résistent encore, certains songent à suspendre leurs droits fondamentaux au nom du bien commun, afin de disposer de leurs corps pour les vakxiner de force.
Pourtant, en discutant avec certains d’entre eux, je constate tout d’abord qu’ils sont une majorité à n’être ni « antivax » ni complotistes. Ils ne sont pas non plus mal informés, mais au contraire plus informés que la moyenne sur les publications scientifiques.
Et tout comme d’ailleurs de nombreux vakxinés, ils font le constat que sur certaines questions essentielles, les virologues, les épidémiologistes ou les médecins – c’est-à-dire ceux qui sont qualifiés pour prendre la parole – ne sont en réalité pas d’accord entre eux. Parmi les plus éminents, il s’en trouve de plus en plus qui soutiennent qu’étant donné ce qu’est un virus, et vu la baisse d’efficacité des vakx1s actuels en termes de propagation face au variant Delta, l’immunité collective est un horizon qui recule au fur et à mesure que le nombre de vakxinés avance [5].
En commandant 23 millions de doses pour 2022 et 2023, il semble que même le gouvernement et les experts qui le conseillent se résignent à voir le virus circuler encore longtemps [6].
Beaucoup se montrent aussi très réservés par rapport aux risques encourus à moyen et long terme par une vakxination massive. Selon eux, ceux qui les nient catégoriquement et ceux qui prophétisent des hécatombes parlent sans savoir [7].
De cette ignorance, ils en déduisent un minimum de prudence. Enfin, parmi ces experts, ils sont de plus en plus nombreux à promouvoir l’existence de traitements préventifs et précoces scientifiquement documentés [8], à partir de molécules déjà connues, et dont certaines, manifestement, limitent la propagation du virus [9].
Alors, ces non-vakxinés s’interrogent (avec d’ailleurs de nombreux vakxinés) : les scientifiques et médecins qui développent pareilles études sont-ils tous des imposteurs ou des incompétents ?
Pourquoi les experts officiels (spécialistes en vakxination mais sans aucune qualification pour juger des autres voies possibles) et nos autorités ne jurent-ils que par la vakxination de masse et évitent soigneusement tout débat scientifique ?
Même nos universités, qui devraient être des lieux de réflexion et de recherche, se taisent.
J’observe aussi que les non-vakxinés avec lesquels je discute ne sont pas les égoïstes que l’on dit. Au contraire, leurs prises de position leur attirent de plus en plus d’ennuis. S’ils ne pensaient qu’à préserver leur zone de confort, leurs habitudes et leur petite liberté, ils se feraient vakxiner.
Je constate que pour eux, la solidarité est une valeur qu’ils tiennent en haute estime. Mais ils l’envisagent de façon réfléchie :
Premièrement, puisqu’à défaut d’empêcher la transmission du virus, les vakx1s protègent des formes graves de la maladie, continuer à proposer la vakxination à toutes les personnes pour qui la balance coût/bénéfice penche clairement en faveur des bénéfices.
Deuxièmement, pour tous les autres, qui restent de toute façon libres de préférer la vakxination, mettre à leur disposition les traitements préventifs scientifiquement documentés. Cette stratégie utilisant des molécules connues, elle permettrait de surcroît de faire de sérieuses économies – ce qui est une autre façon de se soucier aussi du bien commun. Seraient notamment concernés les soignants des hôpitaux qui ne veulent pas se faire vakxiner, ainsi que tous les métiers de contact, en y incluant les établissements scolaires. On peut faire l’hypothèse que les communautés (bruxelloises) réticentes aux vakx1s seraient aussi plus enclines à accepter ces alternatives.
Troisièmement, organiser une prise en charge précoce des symptômes en impliquant les médecins généralistes.
Enfin, au nom d’un principe élémentaire de solidarité, une grande partie des 23 millions de doses de vakx1s réservées par la Belgique pourrait être rendue disponible pour les populations à risques des pays pauvres. Tout l’inverse de l’égoïsme national dont font actuellement preuve les pays riches, malgré quelques gestes symboliques consentis dans le cadre du programme Covax, pour se donner bonne conscience.
En vérité, pour mes interlocuteurs, refuser de se faire vakxiner, c’est défendre une solidarité intelligente, qui ne sacrifie ni le respect dû à chacun, ni les avancées de la science, ni la protection des plus vulnérables. Est-il absurde de privilégier une diversité de stratégies pour lutter contre ce virus, plutôt que d’en imposer une seule qui montre ses limites ?
Bien sûr que non. Ce n’est pas très compliqué à comprendre.
Alors pourquoi nos autorités s’obstinent-elles au point de préférer diaboliser pour mieux les soumettre celles et ceux qui pourraient devenir de précieux alliés ?
[1] Par exemple : Vakxination à Bruxelles: «Les gens viennent parfois avec des mythes, nous, on répond avec des faits» – Le Soir Plus
[2] Cfr entre mille : Conner Rousseau estime que les non-vakxinés sont des « égoïstes » (rtbf.be)
[3] Cfr « Di Rupo appelle les non vakxinés à faire leur examen de conscience », La Libre Belgique, le 19 septembre 2021. A la suite d’Alexandre De Croo, il explique que l’épidémie perdure à cause des non vakxinés. Ce qui sera fort heureusement démenti par Y. Coppieters qui s’en tient aux données scientifiques ; cfr La libre Belgique, du 18 septembre 2021 : « Alexandre De Croo se trompe quand il dit que ce sont les non vakxinés qui sont responsables de l’épidémie ». Mais le mal est fait, nos responsables politiques désignent à la foule les coupables tout trouvés d’une situation qui pourtant s’améliore.
[4] Marc Noppen, « Il faut rendre la vie des non-vakxinés aussi difficile que possible » in La Meuse.Sudinfo, le 12 août 2021
[5] Il faut aussi tenir compte du retard pris par les pays pauvres, et le fait que le virus peut muter par l’intermédiaire de certains animaux comme les visons, avant de revenir chez l’homme. Faudra-t-il vakxiner tous les vivants ? Cfr en guise de porte d’entrée pour accéder facilement aux débats et à certains articles scientifiques : « vakx1 et variants : seulement 66% d’efficacité face au variant Delta », sur le site de lintern@ute, le 25 août 2021.
[6] Coronavirus : la Belgique a commandé 23 millions de doses pour une troisième injection (rtbf.be) A la lecture de ce titre, deux possibilités s’offrent à nous : soit on nous avait caché qu’il y a en vérité 23 millions d’habitants en Belgique ; soit nos autorités prévoient déjà une quatrième dose.
[7] On ne le répètera jamais assez, pour savoir si des complications apparaitront dans 5 ou 10 ans, il faut attendre 5 ou 10 ans. Cfr Le Soir du 24/08/2021 « Des non-vakxinés confrontés à des experts ». A la question qui leur est adressée de promettre qu’il ne peut y avoir de conséquences à long terme avec les vakx1s, aussi bien Muriel Moser immunologue à l’ULB que Jean-Michel Dogné, professeur à l’université de Namur, pro-vakx1s, répondent qu’ils ne peuvent évidemment rien garantir : « un scientifique ne peut jamais dire jamais. » Quant à la pharmacovigilance censée relever les effets à court terme, on lui fait dire tout et son contraire : il est actuellement impossible d’avoir la moindre certitude en la matière.
[9] Cfr par exemple : « Une étude israélienne affirme que l’Ivermectine pourrait réduire drastiquement la transmission du Covid-19 », in Le Figaro du 15 juillet 2021, mis à jour le 04 août 2021.
Je ne suis pas pratiquant, au sens habituel du terme, d’une religion ou d’un courant ésotérique.
Par contre, j’ai beaucoup lu, étudié, réfléchi, curieux de tout, ouvert à priori à tout.
Je n’exclus rien, je vais partout, surtout si une autorité me dit, sans autre argument que son « autorité », de ne pas y aller.
Grâce à cette qualité (considérée comme un danger par certains), je continue à apprendre, inlassablement.
Médecin « orthodoxe » issu d’une université belge et d’un cursus classique, j’ai longtemps suivi le chemin balisé, marché dans les clous et traversé lorsque le feu passe au vert, presque toujours.
La curiosité, défaut incurable chez moi, m’a amené sur des chemins de traverse, là où vous rencontrez des personnes, foulez des sols, dénichez des trésors qualifiés par ceux qui tracent les routes et balisent les passages pour piétons, de sources corrompues (expression moderne : « fake news »), d’enseignants infréquentables.
Vérifiez par vous-même, tous les chefs ou sous-chefs des gouvernements ayant appliqué la feuille de route en 2020, le plan établi par le cartel des véritables gourous, ont été des Young Global Leaders, la « secte du forum économique mondial du Great Reset ».
Non, je ne suis pas un gourou, pas plus ou moins que Bill Gates ou Tedros Adhanom Ghebreyesus (chef de l’OMS-Organisation Mondiale de la Santé) qui eux, pourtant, sans être soignant ni médecin, entraînent le monde dans leur idéologie terroriste sanitaire.
Par contre, oui, je suis médecin depuis 25 ans, anesthésiste-réanimateur depuis 17 ans (quelqu’un qui endort et réveille les gens, les endort pour leur éviter la souffrance et les réveille pour leur rendre leur autonomie).
Fort de ma curiosité, de mes apprentissages et de mon ouverture à tout ce qui peut aider l’humanité, sans tabous ni censures, je dis à l’humanité entière de stopper cette course vers la mort.
Descendez du train fou en marche.
Je sais, cela fait peur, cela peut faire mal, et en même temps, tant que vous sentez la douleur, c’est que vous êtes vivant.
Reprenez votre autonomie physique et intellectuelle et protégez vos enfants.
Ces Young Global leader devenus « Leaders » (gourous) tout courts ne vous veulent pas du bien.
Sous couvert de ces injections mortelles (immédiatement ou à distance par stérilisation), autant de chevaux de Troie de la mort dans votre corps, dans votre esprit et dans votre âme, ils vous font croire qu’ils veulent vous sauver.
C’est faux. C’est convaincant, bien présenté, mais c’est faux.
S’ils voulaient vous sauver, ils vous diraient depuis longtemps de bouger davantage, de mieux manger (vraiment, pas des produits lights qui vous empoisonnent autant que les produits « lourds », Reévaluer les risques de l’aspartame. Nouvelles données expérimentales et épidémiologiques), de gérer votre stress au quotidien, de prendre soin de votre microbiote, de prendre des compléments alimentaires, certains toute l’année dans un pays comme la Belgique (vitamine D).
Cela n’est possible, malheureusement, que grâce à la complicité de certaines personnes qui dirigent les institutions censées nous protéger et les médias principaux censés nous informer.
Comme le dit le professeur Nagarra au procureur Henry Volney (Yves Montand) dans I comme Icare, le film d’Henri Verneuil, il suffit de morceler les responsabilités :
Délation encouragée, violence sur des citoyens sans défense banalisée, justifiée même, citoyens exclus des hôpitaux pour le seul « crime » de ne pas être « encore » injecté par un produit expérimental, ce vendeur dans un magasin d’électro-ménager qui vous ordonne de mettre votre masque correctement, le tenancier de bar transformé à la fois en policier et en médecin puisque vous devez dorénavant lui montrer votre état de santé.
Où croyez-vous que cela nous mène ?
Le dire maintenant, ce qui est considéré comme choquant par les mêmes qui vous disent que tout va bien, est la seule chance de ne pas franchir le seuil au-delà duquel tout espoir d’éviter la répétition de l’Histoire sera définitivement perdu.
Qui est Pfizer pour être aussi « puissant », à la fin ?
Malgré le total de décès dus à la vakxination, même ce chiffre officiel de 15 937 morts issu du programme de surveillance des États-Unis (VAERS)-période du 14 décembre 2020 au 24 septembre 2021), dont on sait qu’il est largement sous-estimé, Pfizer, au casier judiciaire lourdement chargé, continue, reste en lice (Le casier judiciaire de Pfizer et son « vakx1 » tueur (reseauinternational.net)
Pfizer s’attaque à présent aux femmes enceintes sur toute la durée de leur grossesse, aux femmes ayant accouché malgré 1444 fausses couches déclarées (en réalité bien plus) ou naissances prématurées, malformées.
Alors, logiquement puisque nous les laissons faire, Pfizer s’attaque aux enfants de 5 à 11 ans, avec une demande d’autorisation en urgence pour leur produit toxique, alors que 21 jeunes de 12 à 17 ans sont décédés récemment aux États-Unis.
La seule chose de nouvelle dans leur vie ? Avoir accepté le produit toxique de Pfizer.
Sérieusement, faut-il faire des autopsies pour vous convaincre ?
Alors que presqu’aucun jeune de moins de 30 ans, à moins d’une maladie débilitante préalable, n’est mort du COVID-19 ou n’a fait la moindre forme grave.
Qui est Pfizer ?
Qui est « Big Pharma » ?
Derrière ces firmes se trouvent des personnes, des noms, des responsables autorisés.
Dorénavant, citons ces noms qui servent le Système, appelé Sauron dans le Seigneur des Anneaux.
Nous pourrions appeler le Système actuel, le Seigneur des ‘vakx1s’, avec à sa tête Sauron, à son service des Balrogs, des serviteurs zélés, des « idiots » utiles (cf. I comme Icare), des traîtres (Saroumane), des gens qui regardent et d’autres qui attendent.
Ne riez pas.
L’analogie est réaliste.
Les mots sont importants !
Ils activent à notre insu des concepts profondément ancrés dans nos inconscients individuel et collectif : les archétypes chers à Carl Jung.
Aujourd’hui, le concept de ‘vakx1’ utilisé comme cheval de Troie, permet à une firme frappée de la plus grosse amende fédérale de l’histoire des États-Unis, associée à BioNTech, et à d’autres firmes aussi peu recommandables d’entraîner la partie de l’humanité qui les dérange (vous et moi) vers une extinction qui ne devra rien au hasard, avec la complicité d’escrocs aux dents blanches et au costume parfait.
Certains y vont gaiement, en chantant, en suivant le joueur de flûte.
D’autres y vont car ils se sentent coupable d’être vivant : les gourous criminels ont réussi à leur faire croire qu’ils sont les responsables-coupables du dérèglement climatique, du racisme à l’égard des gens de couleur (le blanc est une couleur), du terrorisme, des inégalités, des crises et aujourd’hui, des pandémies.
Oui, pour « Sauron le système », nous ne nous laverons jamais assez les mains, nous ne mettrons jamais assez bien notre masque et nous n’accepterons jamais assez de leurs produits (faussement appelés vakx1s) dans notre corps meurtri.
Certains, les pires, y vont sciemment, soit pour y gratter quelque avantage, soit pour y briller telle une lumière d’Udûn*.
Faites attention aux mots. N’utilisez plus ceux de l’Ennemi.
Bannissez le mot qui commence par v et se termine par n ! Et les mots comme ‘obligatoire’, ‘confinement’, ‘masque’, ‘lavage des mains’, ‘distanciation sociale’…, leurs mots, leurs expressions utilisées à dessein pour envelopper leurs poisons dans un concept archétypal puissant et salvateur (perçu comme tel par la majorité de l’humanité), pour mieux les faire accepter à une population de plus « hypnotisée » via la peur, la répétition, la confusion et les ruptures de pattern (outils utilisés pour plonger à son insu une personne en hypnose, état de conscience caractérisé par une hypersuggestibilité, une sensibilité exagérée à l’influence).
Utilisez les mots réels qui désignent ce que ces choses sont vraiment :
V…n = injection transgénique
Masque = obstacle respiratoire
Lavage des mains = trouble hygiénique compulsif
Distanciation sociale = isolement social
Ce sont des propositions.
Le plus important est d’avoir compris la raison pour laquelle ces considérations sémantiques sont capitales dans le combat que nous menons contre l’idéologie transgénique actuelle.
Je m’adresse particulièrement à tous ceux qui ont compris, qui ont ouvert les yeux sur tout cela aujourd’hui.
Dans ce passage particulièrement sombre du premier volet du Seigneur des Anneaux (« La Communauté de l’Anneau), dans la Moria, les caves de Khazad-dûm, le spectateur-lecteur voit deux feux s’affronter.
Gandalf contre le Balrog. Anor contre Udûn. La Flamme peut servir le Bien, elle peut servir le Mal. La Flamme peut vous réchauffer, comme elle peut vous brûler.
Quel fabuleux message d’espoir à toute la planète encore libre et vivace.
Udûn ne passera pas, grâce à chacun d’entre vous, petites et grandes flammes d’Anor.
Image en vedette : Photo du film : Le Seigneur des anneaux : la communauté de l’anneau
Dr Pascal Sacréest diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995. Il a entamé une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs (critical care) en 2003. Il travaille en milieu hospitalier depuis cette date, en soins intensifs, avec un passage de 2,5 ans dans un centre pour grands brûlés (l’hopital militaire Reine Astrid HMRA à Bruxelles) entre 2009 et 2011. Depuis 2011, il travaille dans un centre de soins intensifs médico-chirurgical à Charleroi, Belgique. Il est formé en hypnothérapie en milieu médical depuis 2014 et à ce titre, il est responsable de formations en gestion du stress pour le personnel de son hôpital. Il collabore pour le Centre de recherche sur la Mondialisation depuis 2009.
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
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Vidéo essentielle de Mika Denissot (classée dans le blog du Grand Réveil) à méditer !
Combien parmi vous pouvez définir exactement le monde qu’il souhaite là maintenant ? C’est-à-dire de la manière dont les gens vivent, les enfants, les ados, les adultes, les personnes âgées ? Comment les gens s’organisent entre eux ? Comment les richesses sont distribuées ? Comment fonctionne la justice et comment se gère la criminalité ? Ce à quoi nous assistons aujourd’hui n’est pas une révolte contre un pass ou quelques règles liberticides, mais un vrai changement de fond sur nos sociétés et surtout sur la définition de notre place dans le monde en tant qu’êtres humains. Mais comment mener à bien une marche si nous ne savons pas où nous voulons aller ?
Conférence de Louis Fouché – Le 11 Août 2021 à 19h00 – Aux Ateliers de la Côte (en Suisse), co-animé par la journaliste Isabelle Alexandrine Bourgeois et l’ingénieur et arboriculteur Matthias Faeh. Quelle soirée! Inoubliable, vraie, intense, bouleversante! Personne n’en est ressorti sans un supplément d’âme que seul l’extraordinaire Louis Fouché sait insuffler à son entourage, ses lecteurs et auditeurs. Tout n’était que bienveillance et simplicité dans la salle des Ateliers de la Côtes. Homme de paroles, au propre comme au figuré, Louis Fouché est l’un des êtres les plus inspirants révélé autour de la crise actuelle. Après le célèbre roman « L’ Amour aux temps du choléra » du Colombien Gabriel García Márquez, prix Nobel de littérature, voici une conférence offerte par le médecin humaniste Louis Fouché sur « la joie au temps du Corona », le thème au coeur de la vie de la journaliste nomade Isabelle Alexandrine Bourgeois. Cet anesthésiste et réanimateur français, ambassadeur de l’affirmation de l’éthique en soi, de la protection du vivant par la non-violence et par la solidarité, ce réanimateur des réseaux humains par le bon sens et la sagesse, cet amoureux du collectif intelligent, pourrait lui aussi recevoir, et sans rougir, un Prix Nobel pour la Paix. Le Dr. Louis Fouché est, à sa manière, la plus belle incarnation de cet « homme nouveau » qui naît aujourd’hui sur notre planète. Il est aussi encadré par Matthias Faeh, agriculteur, arboriculteur et ingénieur qui s’engage depuis des années par un retour de la conscience dans le monde agricole et au-delà. *** Avec ma caméra, mon micro et mes crayons, je pars en reportages autour du monde partager la joie de ceux qui positivent et cultivent l’enthousiasme. Je donne également des ateliers « Trace ta route de la joie » pour petits et grands, dans les écoles, les maisons de jeunes ou de retraite. Je projette mon film « La route de la joie » dans tout espace public, suivi d’une conférence.
Suivez mes aventures sur mon blog: www.joyfortheplanet.org Joy for the Planet est une association à but non-lucratif qui propose de partager, sous forme journalistique ou autre, le meilleur de l’homme. Le film « La route de la joie » que j’ai réalisé en 2018 est mis gratuitement à disposition des écoles. Je donne également des ateliers dans les écoles intitulés « Trace ta route de la joie » pour les enfants et les adolescents.
Agrégé de philosophie, M. Reza Moghaddassi publie un texte fort, simple, limpide. Que vont-ils faire ? le traiter lui aussi de complotiste ! d’antivax ! de Gilet jaune ! Effectivement, comme démontré par une étude du MIT, un très grand nombre de personnes sceptiques sont intelligentes et diplômés contrairement à la propagande ridicule de la Doxa.
A tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner.
Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.
Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.
Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.
Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.
Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale. Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.
Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.
Pardonnez-moi d’exister
Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de s’encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.
Vous avez raison le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir. Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.
Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.
Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.
Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.
C’est pour notre bien.
Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital
C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.
c’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.
c’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du doliprane et de rester à la maison.
C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du doliprane.
C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de dose de remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène. c’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires ! ), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.
C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long terme.
C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.
C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du covid. C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.
C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.
C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.
C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.
C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence. C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme mort du covid une majorité de gens morts avec le covid.
C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les Gafam pour censurer les lanceurs d’alerte sur you tube, sur twitter, sur Facebook.
C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.
C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants. C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fou, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements. Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.
Trop bête pour comprendre
Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.
Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.
Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.
Trop bête pour comprendre
Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.
Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.
Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.
Que si une personne âgée meurt en ayant le covid, elle meurt du covid mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.
Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels mais que nous devons fermer les yeux.
Trop bête pour comprendre
Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.
Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.
Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième dose et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel. Trop bête pour comprendre
Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.
Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.
Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés. Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.
Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.
Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.
Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.
Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.
Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête. Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.
Inversion
Je dois, en effet, comprendre que :
La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire
L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle
Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche
Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.
Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.
Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.
Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.
Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous. Merci de nous dispenser de penser.
La résistance au 21e siècle en France est-elle encore possible ? Depuis ces deux dernières années, les mouvements de résistants ne sont pas nombreux en France (et dans d’autres pays du monde) dû à la pression politique du gouvernement, et le déploiement massif des fausses informations des médias de masse sur les réseaux sociaux qui jouent un rôle important pour empêcher toute tentative de résistance, guerre ou combat. Chez les Français en particulier (mais aussi dans d’autres les pays du monde), y a plus de soumission que de résistance.
Alors oui, parfois on voit des débuts de résistance, une action par-ci par-là, un déploiement sur les réseaux qui donne l’impression d’un déploiement de mouvement de résistants, une sensation d’organisation puis tout s’arrête. Ce manque de résistance, de mouvement, d’organisation en réseaux, cette soumission, de mon point de vue, est fondé sur un manque de valeurs profondes et spirituelles concernant le sens de la vie. Et nous savons qu’en France le sens de la vie n’est pas forcément une question mise en avant, plaçant la spiritualité dans un rang loin derrière, empêchant in fine toute libération et déploiement de son âme. Et plus loin, comment entrer en résistance, suivre des mouvements si au préalable je ne sais pas pourquoi je me lève chaque matin ? À quoi correspond chaque début de journée ? Quelles intentions va créer mon histoire aujourd’hui et mon histoire globale ? Et plus loin quel est mon rôle dans ce pays puis dans ce monde ?
Sans avoir répondu à cette question du sens, à mon avis il n’est pas possible d’avoir cette énergie de résistance face à l’oppression politique. La résistance pour moi, (résistance qui a pour intention la libération d’un point de vue holistique), au vu de la guerre silencieuse qu’il y a entre le gouvernement Français par exemple et les Français résistants ou pas, c’est cette capacité à dépasser cette peur de la mort d’un point de vue holistique. Celui qui n’a plus peur de mourir dans son ensemble, est inattaquable. Faire partie des résistants et entrer en résistance au 21e siècle, c’est avoir cette capacité à dépasser toutes ses propres « morts » dans sa vie (confort, image de soi etc.), à être prêt à mourir pour sa liberté. Celui qui s’est affranchi de la mort devient une réelle menace pour la société, car la seule arme que les gouvernements, la seule l’armée qu’elle a sur ses esclaves, c’est la peur de la mort. Si vous habitez en France et que vous voulez entrer en résistance, il est nécessaire de rejoindre un réseau ou une organisation de résistants, de préférence en France pour pouvoir vous mettre en action dans cette guerre du peuple silencieux contre la libération de nos êtres. Seul vous n’êtes pas assez résilient et n’aurez pas assez de force de résistance face à l’armée de médias construits comme un réseau solide de contre résistants en face de vous. Seul, face à l’armée de dirigeants qui mènent une politique autoritaire pour gagner cette guerre silencieuse qui marque un nouveau virage dans notre histoire que ce soit en France ou dans les autres pays, vous n’aurez pas assez de forces physiques et mentales… Alors oui, la résistance, c’est la libération de la peur de la mort d’un point de vue holistique. La résistance c’est aussi comprendre que chacun d’entre nous à un rôle à jouer dans cette guerre sournoise. La résistance c’est créer une armée de lumière, un réseau d’hommes et de femmes de toute tradition, nation et pas seulement de Français et française, pour mettre en place un plan d’action d’un petit réseau d’abord, puis local, puis national et tout fait pour garder notre régime démocratique, pour empêcher ces règles liberticides et pour ne pas sombrer dans des régimes communistes où quel que soit tout autre régime politique qui rendrait toute la zone Europe et Française en particulier invivable. C’est cela la résistance !
Ne nous trompons pas d’“ennemis” Plus dangereux que le C0VlD, le virus de la division
Dans quel camp êtes-vous ? Êtes-vous pour ou contre le vaccin ? Pour ou contre le Pass sanitaire ? Qui sont vos alliés, et qui vos ennemis ?
Depuis bientôt un an et demi, la société se clive de plus en plus. Chaque camp projette le diable sur l’autre. Depuis le 12 juillet, la situation est encore pire. Dans les familles, dans les entreprises, les associations, partout, les gens commencent à se regarder de travers selon que l’autre est ou non du même bord que soi. Un virus bien plus dangereux que le C0VlD est en train de détruire la société sous nos yeux : celui de la division, celui de l’étiquetage mutuel, du jugement, de la haine et de l’exclusion. Si nous le laissons proliférer, dans quel monde allons-nous vivre demain ? Allons-nous laisser la société se couper en deux, avec une ligne de partage qui traversera chaque famille, chaque ville ou village, chaque commerce, chaque parti, chaque association ? Un tel clivage ne peut avoir aucun gagnant. Peu importe le camp qui l’emporterait, ce serait l’esprit de division qui aurait triomphé et qui, demain, créerait de nouvelles lignes de fractures et poursuivrait sans fin le morcellement ainsi amorcé. Jusqu’à ce que tout le tissu social ne soit plus qu’un champ de ruines. L’unité, seul remède à la division – que certains responsables politiques invoquent sans vraiment savoir de quoi ils parlent – ne peut exister qu’entre personnes ayant des convictions, des croyances, des pratiques différentes, mais sachant néanmoins se respecter mutuellement et vivre ensemble. Lorsque ces différences ne sont plus tolérées, comme actuellement, ce n’est pas l’unité qui règne, mais l’uniformité qui en est l’exact contraire, puisqu’elle détruit la diversité indispensable au vivant. Si nous voulons trouver de véritables “ennemis” à combattre, mais cette fois pour rester unis et ne pas nous tromper de cibles, en voici quelques-uns, dont vous constaterez qu’aucun n’est une personne ni un groupe d’individus : – L’esprit binaire vient en tête de liste, bien sûr, car il nous conduit à réduire la complexité des choses, des gens et des problèmes à des dualités simplistes, pour/contre, gentil/méchant, bon/mauvais, qu’on répartit en camps adverses. C’est lui qui donne naissance à l’esprit de division. – La peur vient en second, qui a envahi la société depuis un an et demi : sa vibration émotionnelle toxique empêche de penser correctement, sans compter qu’elle empoisonne nos cellules et affaiblit notre immunité. – Le besoin d’avoir raison suit juste après : la conviction d’être seuls détenteurs d’une vérité, sans accorder le moindre crédit à qui pense différemment. Le mental humain étant capable de justifier toutes les croyances, sans exception, les plus pertinentes comme les plus fausses, avoir raison ne prouve jamais qu’on soit dans le vrai. La vérité est plus vaste qu’aucun raisonnement. – L’étiquetage qui parasite depuis un an le journalisme : étiqueter quelqu’un (complotiste, rassuriste, alarmiste…) permet de disqualifier cette personne sans même s’intéresser à ce qui motive son point de vue. Une fois étiquetée, elle en perd d’ailleurs son statut de personne à part entière : elle est réduite à une opinion, forcément erronée. – La diabolisation du camp adverse, qui en découle naturellement : si l’autre ne pense pas comme moi, c’est qu’il est mauvais, qu’il a tort, qu’il est nuisible à moi-même et aux autres. Rapidement, on ne le voit plus vraiment comme un être humain d’ailleurs, plutôt comme un monstre, un ennemi à neutraliser. – La conviction de faire ce qui est bon pour les autres, déjà dénoncée autrefois par Alice Miller1 dans son fameux livre C’est pour ton bien. Un proverbe touareg enseigne avec sagesse que « Ce qu’on fait pour les autres, sans les autres, c’est contre les autres ». Autrement dit, le « bien commun » ne peut résulter que d’un cheminement collectif. – L’exclusion, qui est la conséquence logique de tout ce qui précède. Celui de l’autre bord a tort, il est mauvais, d’ailleurs il ou elle est …… (choisir son étiquette). Je sais mieux que lui ce qui est bon pour lui. Et s’il ne veut pas s’y plier, il ne reste qu’à l’exclure. Il ou elle l’aura bien cherché.
On pourrait certainement en trouver d’autres, mais nos véritables “ennemis” sont là, ils sont en nous. Il s’agit d’attitudes, de comportements que chacun de nous est susceptible d’arborer, quel que soit son camp, et qui sont une véritable gangrène pour le corps social que nous formons ensemble. Ces “ennemis”-là – ces poisons-là devrait-on dire – nous ne pouvons les guérir qu’avec ces antidotes à (re)découvrir que sont : – Le dialogue, et en particulier la capacité à converser en bonne intelligence avec ceux et celles qui pensent autrement que nous, à nous ouvrir à leurs sources d’information, à leur expérience personnelle, leur parcours de vie, à tout ce qui les conduit à avoir aujourd’hui telle opinion, différente de la nôtre. – La capacité à se remettre en question, à accepter que nul ne détient toute la vérité, la volonté d’aller examiner d’autres points de vue que le sien. Voire, celle de reconnaître que l’on avait en partie tort… – L’acceptation de la complexité, car le monde n’est pas binaire, noir/blanc. Aucun problème ne peut se résumer à des 0 et des 1 : il y a d’infinies combinaisons, d’infinies nuances de gris. – L’esprit d’inclusion, enfin, car l’autre, quelles que soient les opinions qu’il cultive, est un être humain comme moi, possédant les mêmes besoins fondamentaux, les mêmes aspirations essentielles, quelqu’un de bien moins différent de moi que nos idées ou croyances divergentes ne le laissent supposer en apparence.
Alors, qu’allons-nous combattre, au final ? D’illusoires ennemis extérieurs, qui sont en réalité nos frères et sœurs en humanité, quitte à imposer à notre société l’une des divisions les plus profondes et les plus lourdes de conséquences de son histoire ? Allons-nous laisser apparaître une guerre civile, des émeutes un peu partout, ou encore une nouvelle guerre de religion, opposant cette fois des croyances médicales2 à d’autres ? Ou allons-nous plutôt nous occuper de nos propres ennemis intérieurs, nos peurs, nos vieux réflexes claniques, nos jugements, nos rejets ?
Surtout : quelle société nos choix vont-ils produire demain ? Une société coupée en deux, déchirée d’un bout à l’autre par une fracture traversant toutes les couches sociales, les catégories professionnelles, les appartenances ? Un tissu social en lambeaux, traversé par la peur, le ressentiment, la haine, la honte ? Ou une société aspirant à l’unité malgré ses différences et ses désaccords, recherchant ensemble, dans la diversité et le pluralisme retrouvés, des solutions aux défis actuels, sans exclure ni rejeter personne ?
Nous sommes à un tournant majeur de notre histoire. Ne nous méprenons pas sur ce qui est réellement en jeu ici, bien au-delà de seules questions sanitaires (ou politiques). C’est de notre avenir commun dont il est véritablement question, de la manière dont nous allons choisir notre façon de vivre ensemble, les uns avec (ou contre) les autres. Certaines décisions ne sont pas de notre ressort, elles sont dans les mains de ceux qui nous dirigent, pour le meilleur ou pour le pire.
D’autres, en revanche, ne dépendent que de nous, individuellement et collectivement. Personne ne peut nous contraindre à étiqueter, à juger, à rejeter, à haïr ou à exclure. Personne. Tous et toutes nous pouvons faire le choix du dialogue, de la rencontre, de l’ouverture à celles et ceux qui pensent autrement, qui ont d’autres convictions, d’autres pratiques. Nous pouvons refuser la division, refuser l’exclusion, être solidaires les uns des autres, par delà nos opinions divergentes.
Il n’y a pas des vaccinés d’un côté et des non-vaccinés de l’autre. Il y a seulement des êtres humains, hommes, femmes et enfants, qui aspirent tous à vivre en bonne intelligence les uns avec les autres, à cultiver et préserver leur santé, grâce à la multitude de médecines et thérapies complémentaires qui existent pour cela, et à affronter ensemble, dans le respect de leur diversité, les défis majeurs que nous présente notre époque. Nous n’y parviendrons qu’ensemble, tous ensemble, en nous appuyant sur la multitude de connaissances et d’expériences disponibles, dans toute leur richesse et leur complémentarité, sans plus en exclure aucune.
— Olivier Clerc 1 Cf. C’est pour ton bien, d’Alice Miller, Editions Aubier, 1984. 2 Cf. mon livre Médecine, religion et peur : l’influence cachée des croyances, Editions Trois Fontaines, 1998.
Tout le génie de la démocratie occidentale contemporaine est de parvenir à rendre son totalitarisme imperceptible à la grande masse de ses concitoyens et à lui donner des qualités acceptables, agréables et désirables.
Un totalitarisme sans nom, passant inaperçu, comme une idéologie furtive, sans visage bien identifiable et dont seuls quelques énergumènes complotistes impuissants, et égarés dans les abysses reculés du net, arrivent à caractériser la nature profonde, complexe et ambigüe.
Le totalitarisme de grand-père, c’est fini. Celui du Goulag, des Killing Fields, des camps d’internement et de concentration, c’est dépassé. Plus besoin d’enlever des gens en masse pour les exécuter sommairement dans une fosse commune qu’il faudra remblayer. Inutile de se salir les mains à creuser des trous et des tranchées ou d’ouvrir des salles de tortures dans les sous-sols humides et mal éclairés de bâtiments sinistres gardés par tout une soldatesque ignare qu’il faut nourrir, saouler, loger et payer. Nul besoin de réclamer des aveux dont il faudrait faire un rapport que plus personne n’a le temps ni de lire ni d’archiver. Toutes ces vieilles méthodes sont contre-productives, anciennes, désuètes et sentent bon le 20ième siècle et ses technologies aujourd’hui dépassées.
Le totalitarisme de grand-père est obsolète et ne fait plus rêver. Il faut évoluer avec son temps. Il faut s’adapter aux nouvelles technologies. L’ancien totalitarisme était grossier, pataud, visible, revendiqué. Il venait avec ses gros sabots ; il s’imposait par la force ; il martelait son crédo à coup de crosses sur la tête des récalcitrants ; sa violence était visible, bruyante, sale et puante. Sa visibilité le rendait vulnérable ; il pouvait susciter une réaction, un sursaut, un cri du corps et de l’esprit.
Le totalitarisme moderne doit être affable, subtile, doux, consenti, woke, branché, cool, innovant, disruptif, responsable, durable et écologique. Il doit nous faire aimer la peur qu’il nous inspire.
Grand-mère ne sera pas abattue à bout portant devant une caméra pour éduquer les masses. On lui offrira gentiment la primeur d’un vakx1 expérimental qui lui aura été administré gratuitement et avec les égards que l’on doit à son âge. Elle sourira devant la caméra et tout un staff médical l’applaudira pour la remercier d’avoir été si gentille et obéissante. C’est grand-mère qui aura montré l’exemple ; la victime se faisant complice de son mauvais sort.
La crise sanitaire a été l’occasion, pour nos Princes de Davos et leurs affidés bureaucrates, de montrer toute l’étendue de leur savoir-faire dans ce totalitarisme en mode start-up qui définira notre régime politique pour les années à venir si nous nous abstenons de réagir.
Nous sommes entrés dans l’ère du C0VlD Démocratique, mélange subtile d’innovations technologiques et de progressisme social au service de la prison digitale universelle. Ce totalitarisme a pu s’épandre sur la terre meuble de l’Occident sans résistance et sans obstacle majeurs, parce que nos bourgeois cultivés sont incapables de penser le mal en démocratie. Pour eux, le visage du mal sera toujours celui de Joseph ou d’Adolf, ou, quand ils se targuent d’un peu plus de culture, celui de cet étrange étranger qui, sous les tropiques africaines ou dans les confins asiatiques, maintient ses peuples sous sa férule autocrate et sauvage. Ne pouvant penser le mal en démocratie, le bourgeois cultivé ne peut attribuer à ses représentants la moindre intention mortifère, ni le souffle nauséabond d’une pensée malfaisante.
Ainsi, quoi qu’il fasse, l’État démocratique est absous par ses sujets ; sa nature même le disculpe par avance de toute intention criminelle ; il ne peut mal faire en son empire. Ses crimes sont des progrès. Ses meurtres, des manifestations de justice ou d’équité, et, pourquoi pas, l’incarnation de son génie technologique et innovant. Penser autrement, ce serait montrer du dégoût pour la démocratie, du mépris pour nos institutions.
Hésiter à s’injecter dans les veines le miracle technologique de la start-up Moderna, ce serait refuser les Lumières occidentales.
Quelques erreurs entremêlées éventuellement d’un peu d’incompétence peuvent être imputées de temps à autres à nos Princes démocrates. Au-delà, nous entrerions sur le territoire du complotisme, c’est-à-dire dans les eaux troubles de cette curieuse secte qui marigote dans le scepticisme le plus abjecte, qui croit à la volonté humaine et à la possibilité du mal au sein même des zones démocratiques délimitées par les lignes de démarcation progressistes.
Moins les crimes des démocraties occidentales sont imaginables pour nos bourgeois cultivés, plus ils sont réels. Car plus on se refuse à croire possible le mal commis, plus il se commet aisément et sans frein et se répète à l’envi.
Le Pouvoir, qui reste le Pouvoir quel que soit le régime sous lequel il s’épanouit (démocratique ou non), c’est-à-dire une Métaphysique de la Domination et une Physique de la Contrainte, cherche sur le terrain qu’il s’est choisi à persévérer dans son être, autrement-dit à accroitre sa puissance et sa gloire. Il n’est ni bien ni mal, mais s’exprime pas sa capacité à abuser en permanence de son hubris. Le Pouvoir est par nature l’abus de Pouvoir.
Le Pouvoir a compris l’avantage qu’il avait à tenter sa chance sur le champ démocratique pour étendre son domaine sans culpabilité ni gêne. La Démocratie occidentale lui offre un terrain de chasse où il prend moins de risques et rencontre moins d’obstacles, puisque les sujets sur lesquels il s’exerce ne parviennent pas à concevoir sa nature profonde, à en saisir les contours, à en voir les finalités, à en percevoir le côté sombre.
Pour le Pouvoir, la Démocratie sert d’alibi à sa nature abusive. Le Pouvoir le sait et en profite pour avancer et se renforcer sur ce terreau poreux qu’est l’Occident démocratique. Il sait que son crime restera invisible à la masse de ses victimes qui iront jusqu’à consentir à leurs souffrances.
Les démocraties occidentales ont ainsi pu commettre le plus vaste et le plus subtil des crimes de l’histoire humaine, par :
Le nombre des auteurs engagés (les délinquants et criminels sanitaires, politiques, médiatiques, conscients de leurs méfaits et souvent profiteurs de cette guerre menée contre les peuples),
La quantité des complices enrôlés (les milliers de petites mains sales, plus ou moins impliquées, plus ou moins volontaires et lucides, profitant rarement de leur propres bassesses),
L’étendue du champ géographique de son emprise,
La cohérence de leurs délires incohérents,
La maîtrise méthodique et technologique de leurs folies.
L’ensemble de ces caractéristiques forment l’originalité de ce crime contre l’humanité qui n’est visible que pour les quelques esprits libres qui ont le courage de voir le réel en face : les « Complotistes ».
Deux éléments qui rendront le crime difficile à combattre :
Le Dogme de l’Infaillibilité Démocratique évoqué plus haut : « En démocratie, le crime est impossible ». Peu nombreux sont ceux qui ont une parfaite conscience du crime, de son ampleur et de ses caractéristiques propres ;
Si ce dogme fini par être ébranlé cependant, les coupables espèrent pouvoir compter sur le nombre incommensurable de leurs complices afin d’échapper à la vindicte des peuples et à la sévérité de la justice.
Le miracle totalitaire du C0VlD-19 est, en effet, d’avoir réussi à brouiller les lignes entre la culpabilité des uns et l’innocence des autres. Un crime dont chacun porte une part d’abîme. Qui oserait dénoncer un tel crime alors qu’il a été à la fois son exécuteur et sa victime, son volontaire sadique et son damné consentant ? Certes, certains ont été plus bourreaux que d’autres, mais une dose significative de culpabilité a été acceptée par la masse absurde et amorphe des foules démocratiques.
Il eut suffi pourtant de lever le museau, de ne pas consentir totalement, de désobéir même à petite dose, pour que le miracle totalitaire ne se produisit pas. Il a fallu consentir à notre misère pour qu’il advienne et s’installe dans notre quotidien et dans nos lendemains déchantés pour une éternité sans horizon.
Face à ce totalitarisme, de quelle utilité peut être la désobéissance civile ?
La désobéissance civile, c’est le renoncement qui se pare des vertus de la révolte. C’est brandir une pancarte de protestation devant les portes de l’enfer et dire au bourreau qui y traîne ses victimes : « Je ne suis pas d’accord avec ton choix, mais je ne t’empêcherai pas d’accomplir ta besogne. Je te respecte dans ta différence ».
Face à ce totalitarisme, peut-on se contenter de chanter son opposition à l’air putride du temps, offrir un spectacle de rue en guise de protestation ?
Le calvaire devient ainsi aisément supportable. La colère est dressée, la rage se fait douce et polie. L’inhumain montre un visage affable et familier. Tout devient festif, donc insignifiant. Tout est spectacle, donc inoffensif.
Pour le bourgeois cultivé, seuls les vakx1s russes et chinois sont douteux ; car ils ne sont ni démocratiques, ni innovants, ni progressistes.
Louis XIV avait réussi à enfermer un seul individu dans un masque de fer et il fut le symbole de l’absolutisme.
L’État démocratique est parvenu à masquer tous ses sujets dans des tissus de papier et on l’a dit protecteur. Les sujets démocrates se sont laissé momifier sans résistance aucune, sans regret, sans conscience d’avoir fauté. Ils ont même chéri ces fichus qu’il eut été aisé de déchirer ou de brûler. Mais non, ils ont tenu à s’en faire un uniforme pour le restant de leurs jours.
Sous le régime du C0VlD Démocratique épris de modernité :
La propagande se fait marketing ;
Le dogme devient communiqué de presse ;
Le sceptique est un « complotiste » ;
Les miradors sont digitalisés ;
L’autodafé est remplacé par la censure digitale ;
Vous ne disparaissez plus (nécessairement) physiquement, mais socialement et les algorithmes se chargent de votre liquidation numérique. Une sorte d’exécution à bits portants ;
On ne va plus écouter le petit père du peuple ou le Führer dans un grand stade à l’esthétique virile et populaire ; on préfère s’empresse d’aller applaudir un conférencier de la Silicon Valley dans une réunion TED, assis dans un fauteuil capitonné. Si l’on se lève, c’est pour aller partager quelques anecdotes inoffensives et petits fours délicats avec d’autres bourgeois cultivés. Ou aller pisser.
Le Mal dégénère et devient méconnaissable pour un quidam démocrate. Il a perdu son apparence sombre et terrifiante ; il s’est adapté à chaque segment du marché des foules démocratiques qui en ont fait l’objet de leur appétence consumériste. Sa violence est diffuse. Elle n’est plus frontale ; elle n’a plus la couleur écarlate du sang répandu, ni l’odeur âcre des corps triturés par des instruments de torture. Le Mal a perdu ses formes rugueuses sur lesquelles venaient se fracasser les espérances populaires ; il s’est apprêté d’atours aimables et séduisants pour attirer à lui ses clients.
L’algorithme a remplacé le bâton et la matraque. Vous rentrerez dans le rand subrepticement, par le moyen technique, sans vous en rendre compte. Le mouchard que vous portez sur vous, s’immiscera bientôt dans vos neurones sans prévenir. Au bout du chemin de ce totalitarisme en mode start-up, vous serez enchaînés à vos données[1]. Tous incubés. Confinés. Intubés. Vakxinés.
Les vakxinés sous thérapie génique ne sont pas vus comme des cobayes ; ils sont célébrés par les médias et les marchés comme des Early Adopters, des pionniers à l’avant-garde de l’innovation qu’il nous faut admirer et imiter. Ils sont montés dans le train du progrès sans se demander quelle était la destination finale.
Les autres (nous, en sommes), des fâchés qui ne comprennent rien au sens de ce progrès. L’espoir, c’est le prochain iPhone. Le prochain vakx1 Moderna. On veut être le premier à les tester. À les subir.
L’espoir est incarné par un objet ; ce n’est plus une idée ou une vertu théologale. L’espoir est un produit innovant.
Tester son produit auprès de ses consommateurs, avant même qu’il ne soit au point, est au cœur de la logique start-up.
Nos techno-tyrans ont donné un nom savant à ce produit inachevé[2] déjà mis en vente : le MVP, le Minimum Viable Product[3]
Les rats et les souris de laboratoires n’étant pas leurs clients, Moderna et Pfizer ont donc testé sur les peuples dociles leur produit (MVP) en cours d’élaboration (sans passer par la cage animale).
Ce qui compte ce n’est pas la perfection du produit, mais l’acte d’achat.
Pour savoir si un test est réussi, on ne s’intéresse guère à la qualité intrinsèque du produit, mais à la réussite de son business model : s’achète-t-il ? Qu’importe si le vakx1 n’est pas au point, puisqu’il s’écoule. Qu’importe s’il tue, puisqu’il rapporte. L’argent qu’il génère est la preuve de son efficacité et de son innocuité. L’espèce humaine comme MVP.
Tester jusqu’à l’humain.
Si l’humain n’apporte pas satisfaction on le remplace. Satisfait ou recyclé. Bill Gates fut notre Big Brother des temps modernes ; notre premier tyran planétaire 2.0. Hélas, nous n’avons pas eu de Charlot pour se moquer de lui !
La logique start-up est une logique révolutionnaire qui asservit l’humain à ses fins technologiques. Elle le traite en produit pour s’en servir, puis en déchet pour s’en débarrasser.
Le C0VlD-19 est l’aboutissement du totalitarisme (démocratique) en mode start-up. Pour assurer son succès il fallait l’alliance du progressisme et de l’innovation[4].
C’est le rôle du progressisme de rendre la marchandise séduisante.
Le miracle totalitaire du C0VlD-19 n’aurait jamais pu avoir lieu sur un terreau conservateur. Pour un progressiste, la liberté est un obstacle à l’accomplissement de ses rêves d’égalité et de progrès. Il faut donc rendre le vakx1 obligatoire, sans discrimination aucune (afin que nul ne puisse y échapper). L’obligation vakxinale pour tous est un signe d’égalité.
Aux États-Unis, plus on était un gouverneur Démocrate et progressiste et plus on réprimait les libertés et imposait des confinements longs, durs et cruels. Observez par vous-mêmes la Californie (Démocrate) et la Floride (Républicaine). Écoutez les réactions d’hystéries libérales dès que le Texas et l’Iowa eurent décidé de lever les principales restrictions aux libertés en début d’année 2021.
Se faire vakxiner contre le C0VlD-19, c’est cool, woke, féministe et pourquoi pas anti-raciste. En tous cas, c’est progressiste. On se vakxine ainsi par solidarité et non en raison du risque encouru ou de l’intérêt médical. S’injecter une thérapie génique sur laquelle nous n’avons aucun recul, cela ne peut pas faire de mal, puisque l’Innovation c’est le Bien.
La victime est extatique devant son piqueur. Elle en tomberait presque amoureuse. Elle a la servitude béate et la souffrance heureuse. Puisque sa mort est remboursée par la sécurité sociale, elle l’accepte avec un bonheur serein. Sa mort est innovante, alors pourquoi s’en plaindre ? Elle mourra la tronche en selfie ; pas le temps de faire la moue au moment de sa mort vakxinale ; toute sa vie aura été un cliché Instagram. Une vie influencée. Une vie d’inoculée.
Face à ce totalitarisme, pas un fonctionnaire qui ait moufté. Pas un intellectuel qui ait gesticulé. Pas un citoyen qui ait beuglé. Ou à peine. Tous à la niche et bons spectateurs de leur propre déchéance et de leur crasse morale.
« Car c’en fut un de spectacle, et même un des pas tristes, des pas dénués de moyens, avec tout le décor et la tragédie qui va avec ; du concentré d’enculés jusqu’au bout de la nuit ! ; du sadisme, de la morgue, de la picouse ; du mijoté de saltimbanques et, au final, beaucoup de pognon quand même pour un quarteron d’ordures et un petit carré d’enflures ».
Guillaume de Rouville
À suivre …
*
« Non une dictature, ça n’est pas ça. C’est pas un endroit où toutes vos libertés sont maintenues, où on a maintenu tout le cycle électoral, (…), où vous pouvez exercer de vos droits, où on rembourse tous vos tests, où le vakx1 est gratuit,(…) ça s’appelle pas une dictature, je pense que les mots ont un sens. »
_____ [1] Ce ne sont d’ailleurs point les vôtres : votre identité est une marchandise digitale monétisée avec votre propre argent. Vous n’êtes qu’un personaedans l’étude de marché global qui teste en permanence votre rentabilité. [2] Qui achèvera bien ses consommateurs. [3] Produit Minimum Viable. [4] Nous reviendrons sur ce sujet important et, notamment, sur le rôle joué par BLM et les Antifas aux États-Unis pour faire tomber Donald J. Trump lors du premier épisode de la première saison du C0VlD-19.
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Épisode 3. Contagion délirante et alliances psychiques, sortie du délire
Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme.
« La liberté est ce qu’il y a de plus intime, et c’est à partir d’elle que s’élève tout l’édifice du monde de l’Esprit ».
Hegel, Principes de la philosophie du droit, « Cours de philosophie du droit de 1831 ».
Pour entrevoir une issue au totalitarisme, il nous faut comprendre comment les esprits ont été emprisonnés dans la folie paranoïaque. Cela suppose de rendre intelligible le phénomène de contagion délirante[1], et de mettre en lumière les interactions psychiques inconscientes qui s’allient pour promouvoir l’idéologie.
La paranoïa est une pathologie contagieuse, qui érode les liens traditionnels[2] pour soumettre les psychismes à de nouveaux liens, ceux de l’idéologie[3].
Il faut d’abord comprendre (et je ne pourrai rentrer ici dans le détail d’un processus psychique fort complexe) que le psychisme tend à se défendre face à la violence du harcèlement, de la propagande médiatique et de la terreur. Pour cela, il érige des remparts qui lui permettent de tolérer une réalité insoutenable, parmi lesquels : le déni, le refoulement, la banalisation, l’idéalisation, le clivage, la projection, la radicalisation, l’interprétation, l’isolation, la décharge dans le passage à l’acte, l’automatisation des faits et des gestes, l’anesthésie affective, le désinvestissement[4]… Ces « mécanismes de défense » érodent la lucidité de l’individu. En particulier, le déni est une impossibilité absolue de se représenter la violence de ce qui se passe, jusqu’à rendre hermétique à toute argumentation ou évidence des faits. Je précise que ce processus psychique n’a rien à voir avec l’intelligence, mais concerne les « plus fragiles » psychologiquement, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas les ressources internes suffisantes pour résister à une telle distorsion interprétative du monde : la majorité des êtres humains. Car il faut une force psychique hors du commun pour parvenir à garder un raisonnement sain dans un monde qui devient fou, où les repères sont inversés, la vérité travestie en mensonge, et les innocents désignés comme coupables, tandis que les coupables exercent une terreur indécente, au nom du bien du peuple, et de jolis idéaux tels que « la santé pour tous » ou « la protection de nos aînés. » La contagion délirante opère à partir de ces remparts, rendant l’individu perméable à l’idéologie, et désormais adepte inconditionnel de la secte totalitaire.
Il existe une hiérarchie des profils psychiques dans l’accès aux fonctions structurantes de civilisation que sont la symbolisation et la sublimation[5]. Nous pouvons déjà distinguer ceux qui ont structurellement intégré les tabous fondamentaux de l’interdit du meurtre et de l’inceste (et leurs dérivés : calomnie, envie, transgressions sexuelles etc.), et les autres. Ces derniers, qui ne sont plus tenus par une structure extérieure, sont alors « activés » par le délire paranoïaque, qui les autorise désormais à passer à l’acte, sans plus aucune répression légale, pourvu que l’action mortifère et transgressive s’inscrive dans la lignée dogmatique de l’idéologie. C’est ainsi que, sous propagande, des profils pervers peuvent torturer impunément (cf. Klaus Barbie), des profils paranoïaques peuvent disséminer la terreur[6], et des psychopathes, être utilisés comme des mercenaires du régime.
Les névroses ordinaires[7] sont fragilisées, c’est-à-dire qu’en temps « normal », des personnes se comportant de façon respectueuse des interdits fondamentaux, peuvent, à la faveur d’une idéologie totalitaire, régresser, et notamment sur un mode pervers. En clair, le système totalitaire, par sa dimension délirante massive, fait décompenser des pervers en paranoïa, et régresser des profils névrosés, en perversion, la perversion étant une sorte d’ultime digue psychique pour ne pas sombrer dans le délire (cf. Racamier). Le déploiement du système totalitaire entraîne donc la survenue de nombreux abus de pouvoir et actes sadiques, commis par des chefaillons qui se révèlent. Et l’on se demande alors comment ce bon père de famille, d’ordinaire si agréable, et connu depuis si longtemps, est devenu capable de tant d’atrocités… Je rappelle que la perversion[8] est l’exécutante consciencieuse et habile de la folie paranoïaque.
Le paranoïaque définit la stratégie, quand le pervers déploie la tactique.
Les autres profils névrosés, plus rares, sont tout de même fragilisés, jusqu’à nourrir des dépressions et des idées suicidaires, ou encore convertir leur angoisse en névrose obsessionnelle grave : l’individu fonctionne sur un mode automatisé, par des attitudes ritualisées, qui l’empêchent de penser sa fonction dans l’ensemble du système, comme Eichmann qui ne faisait que s’occuper de ce que les trains arrivent à l’heure. L’individu préfère en effet être entraîné dans la régression psychique collective, plutôt que d’affronter l’épreuve de la solitude, de la perte et de la séparation (épreuve à laquelle le philosophe traditionnel est généralement aguerri). Ainsi, dans des situations incitatives, hors normes, les auteurs d’actes barbares sont aussi des « honnêtes gens », aux profils obéissants.
Seuls trois types de profils résistent au déferlement totalitaire :
Des « anti-sociaux », déjà habitués à ne pas se soumettre aux règles du monde qu’ils interrogent toujours avec une grande vitalité,
Des personnes ancrées sur terre avec un bon sens paysan qui les vaccine contre toute idéologie hors sol
Quelques intellectuels et artistes.
Tous disposent d’une profondeur émotionnelle intérieure, d’une autonomie interne, et de références morales à l’autorité transcendante, suffisantes pour arrimer l’affirmation d’eux-mêmes dans une filiation temporelle verticale (anciens maîtres, généalogie, ancêtres…), ce qui les affranchit de l’adhésion horizontale au groupe et du collage à l’idéologie. Parmi ces profils, l’on peut trouver (mais pas obligatoirement), des personnes aux hautes valeurs morales, d’une grande intégrité, et d’autres (ou les mêmes), avec une forte sensibilité aux processus liberticides
Les rares qui ont compris dès les premiers signaux d’alerte, et n’ont pas besoin de l’expérience de la désolation pour mesurer le danger de la construction mentale délirante, incarnent le chemin étroit de la vérité et les résistants de la première heure.
Ils appellent à la désobéissance face à l’abus de pouvoir, et invoquent un idéal humain de liberté, contre le règne absolu de la contrainte. Il faudra néanmoins attendre le réveil des masses, pour que le totalitarisme s’effondre, ces masses qui réagissent favorablement à la suggestion hypnotique, et se laissent facilement séduire, par le cadeau empoisonné de l’idéologie et son apparente cohérence : la fuite d’une réalité vécue comme désagréable. La propagande totalitaire fonctionne, car elle promet de transformer radicalement un monde dont les masses ne veulent plus, parce qu’elles n’y trouvent plus leur place. Bien entendu, ce sentiment d’être perdu, sans racine, le totalitarisme a pu lui-même en être à l’origine, avant d’en tirer profit. La globalisation offerte par l’idéologie totalitaire rassure ; elle donne l’illusion de la prise en charge totale, peu importe que cette prise en charge soit le fruit d’une mère omnipotente qui peut changer d’humeur à n’importe quel moment, jusqu’à tuer sa progéniture si cela lui chante.
Les masses doivent cesser de collaborer et, partant, de croire. Et c’est inéluctable : l’expérience de la réalité totalitaire se chargera elle-même de la désillusion.
Les masses, en éprouvant le fait totalitaire dans leur chair, dans leurs familles, dans leurs individualités, confrontées à l’action mortifère de la secte, finiront par ouvrir les yeux. Il est donc essentiel que cette alliance provisoire entre les propagateurs politiques de l’idéologie (décideurs politiques et économiques/propagandistes et intellectuels collaborant à l’idéologie) et une grande partie du peuple cesse. La diffusion de l’information, ainsi que le bouche-à-oreille de ceux qui témoignent à ceux qui les relaient, est également un facteur essentiel dans la désillusion des masses.
Désobéir est vital. Faire partie des hérétiques au sens propre, de ceux qui font le choix de ne pas se plier à la croyance religieuse de l’idéologie totalitaire. Il y a autant de désobéissances que de spontanéités individuelles. L’artiste qui ne suit pas l’art totalitaire désobéit, et fait de la liberté sa foi. « L’initiative intellectuelle, spirituelle et artistique est aussi dangereuse pour le totalitarisme que l’initiative criminelle de la populace, et l’une et l’autre sont plus dangereuses que la simple opposition politique. La persécution systématique de toutes les formes supérieures d’activité intellectuelle par les nouveaux dirigeants de masse a des raisons plus profondes que leur ressentiment naturel pour tout ce qu’ils ne peuvent comprendre. La domination totale ne tolère la libre initiative dans aucun domaine de l’existence ; elle ne tolère aucune activité qui ne soit pas entièrement prévisible. Le totalitarisme, une fois au pouvoir, remplace invariablement tous les vrais talents, quelles que soient leurs sympathies, par ces illuminés et ces imbéciles dont le manque d’intelligence et de créativité reste la meilleure garantie de leur loyauté. »[9]
Ne pas se soumettre au dogme, l’interroger et conserver son esprit critique, créer en-dehors de ce qui est permis, emprunter les sentiers de traverse, mais aussi archiver, conserver cet ancien que le pouvoir totalitaire désire détruire, informer, tout ceci fait partie de la résistance. Le totalitarisme craint le primat de la subjectivité, la texture unique du témoin qui transcrit ses émotions, sa sensibilité, sa vie psychique et son humanité ; il redoute cette liberté de l’esprit contre la rigueur de la lettre, l’ironie ou « le trait d’esprit », le rire contagieux qui le détrône de sa toute-puissance. Penser est dangereux, mais « ne pas penser est encore plus dangereux. »[10]
Que nous reste-t-il lorsque tout est perdu ? Devenir, pour reprendre le titre du livre d’Imre Kertész, un « être sans destin ».
Cet auteur, déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, et libéré du camp de Buchenwald en 1945, pose la question de savoir ce qu’il advient, lorsqu’un homme est privé de tout destin : « S’il y a un destin, la liberté n’est pas possible ; […] si la liberté existe, alors il n’y a pas de destin […], c’est-à-dire qu’alors nous sommes nous-mêmes le destin. » Peut-être devons-nous simplement accepter d’être dans la non-maîtrise des événements, et reprendre à l’inverse la devise de l’Abbaye de Thélème : « fais ce que dois ». Accomplir notre devoir humain, jusqu’au bout de ce dont nous avons la maîtrise, et au-delà, embrasser les affres de notre expérience humaine. Le ballon du délire paranoïaque collectif se dégonfle lorsque le langage trafiqué de l’idéologie perd de son charme envoûtant. C’est pourquoi notre liberté se conquiert dans le Verbe, qui nomme avec justesse l’expérience humaine, et ce fut depuis toujours le rôle des Humanités. Le « philosophe-médecin »[11] doit diagnostiquer, nommer le délire, et le caractériser.
Irrespectueux des lois du vivant, qui sont immuables, destructeur des lois transcendantes régissant la condition humaine, le système totalitaire est par essence voué à l’effondrement[12]. Il s’engraisse et survit par la collaboration de nombreux individus, la compromission des esprits et du langage, un renoncement à la vérité, et donc à la justice, le primat de la peur, donc de la haine. Je clôturerai ces trois épisodes avec Kertész : « […] je ne pense pas me leurrer en le disant, je me suis efforcé d’effectuer le travail existentiel, la tâche que m’a imposée le fait d’avoir survécu à Auschwitz. Je sais très bien à quel point j’ai été privilégié : j’ai vu le véritable visage de ce siècle monstrueux, j’ai regardé la Gorgone dans les yeux et j’ai survécu. Mais j’ai su dès lors que je ne me libèrerais jamais de ce spectacle, j’ai su que ce visage me garderait éternellement sous son emprise. […] Et, si vous me demandez maintenant ce qui me maintient en vie sur cette terre, je vous répondrai sans hésiter: l’amour. »[13]
Notes: [1] Bilheran, A. 2019. « Contagion délirante et mélancolie dans la paranoïa », Revue Santé Mentale.Article en accès libre sur ce site. [2] Collectif transgressé, clivage, division, délation, apartheid. [3] Il est à souligner que tout ce qui contribuera à rompre les liens de l’idéologie contribuera à affaiblir le totalitarisme ; en ce sens la corruption traditionnelle au sens des petits arrangements entre des fonctionnaires et la population, par exemple, sera une épine dans l’ambition de domination totale du système totalitaire. [4] Bilheran, A. 2017. Harcèlement. Psychologie et psychopathologie, Amazon. En vente sur ce site au format Pdf. [5] Bilheran, A. 2020. Psychopathologie de l’autorité, Paris, Dunod. [6] Bilheran, A. 2017. « Terrorisme, jeunesse, idéaux et paranoïa », Paris, Revue Soins, Elsevier. Article en accès libre sur ce site. [7] Je rappelle que nous sommes tous a minima névrosés, car nous avons dû tous opérer un refoulement sur nos pulsions primaires agressives, ce qui est plutôt une bonne chose pour parvenir à vivre ensemble. [8] La perversion est une pathologie du narcissisme, qui instrumentalise à son propre intérêt. La jouissance obtenue n’est ni partagée ni créatrice pour chacun : elle est sadique et destructrice. Le pervers prend tout et ne partage pas. Il capture ce qui est sain et constructif, pour le dévier, le détourner, le salir et le détruire. Cf. Bilheran, A. 2019. Psychopathologie de la paranoïa, Paris, Dunod. [9] Le totalitarisme, Chapitre XI. [10] H. Arendt, entretien du 06 juillet 1974. https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000001722/hannah-arendt-sur-la-liberte.html [11] Terme emprunté à Nietzsche. [12] Cela ne présage pas de sa durée, ni de l’ampleur des destructions. [13] Kertész, I. 2000. « Discours prononcé au Renaissance-Theater de Berlin », in L’Holocauste comme culture, Paris, Actes Sud, 2009.
Épisode 2. Méthodes, étapes, objectif du projet totalitaire
Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme.
« Pour combattre le totalitarisme, il suffit de comprendre ceci : il représente la négation la plus absolue de la liberté. » H. Arendt La nature du totalitarisme, 1953.
« Celui qui n’est pas intérieurement préparé à la violence est toujours plus faible que celui qui l’exerce. » A.I. Soljenitsyne, L’archipel du goulag, 1973.
« Vaccination-évacuation », vaccinodrome d’Annecy et quais de Paris.
Le régime totalitaire vise « la domination totale » (H. Arendt), c’est-à-dire s’immisce dans la totalité des sphères sociales, privées et intimes, jusqu’au psychisme des individus. Pour y voir clair, il me semble impératif là encore de convoquer la psychopathologie. Un individu, ou un groupe d’individus, peut représenter et cristalliser l’expression de la paranoïa collective, dont l’essence est contagieuse, comme dans les sectes[1].
L’instrument clé de la mise en place du pouvoir totalitaire est d’abord le harcèlement des esprits qui doivent devenir perméables à l’idéologie. Il faut que la propagande médiatique obtienne la division du collectif, des clans traditionnels (familles, classes sociales, clans politiques) selon le clivage paranoïaque entre les « bons » et les « méchants » ; la ligne de désignation peut évoluer selon l’idéologie caméléon. Intervient rapidement la terreur, par la désignation de l’ennemi (ici, au départ, l’ennemi est un virus affreux qui entend décimer l’espèce humaine, et contre lequel « nous sommes en guerre », puis les ennemis deviennent les désobéissants qui ne veulent pas respecter les mesures dites sanitaires imposées par le champ politique). La propagande, souvent masquée derrière de subtiles manipulations (« c’est pour votre bien »), jubile à créer des chocs traumatiques collectifs (par exemple, la comptabilité mortifère répétée quotidiennement), qui lui permettront ensuite d’étendre tout son contrôle sur la population sidérée et terrorisée, laquelle, sous l’effet des injonctions paradoxales et de l’usure, appellera le pouvoir tortionnaire en sauveur, ignorant, pour son plus grand malheur, que ce prétendu sauveur est dans le même temps le persécuteur. La propagande se fera le reflet de l’ambition de « l’homme nouveau », niant le passé, les origines, les anciens repères, et toute forme d’altérité, par d’innombrables mensonges, paradoxes, incohérences et absurdités. L’idéologie, origine et principe de l’action totalitaire, doit annihiler l’existence du réel et les retours d’expérience. Hannah Arendt note que, dans le régime stalinien, « tous les faits qui ne concordaient pas ou qui étaient susceptibles de ne pas concorder, avec la fiction officielle – données sur les révoltes, la criminalité, les véritables incidences des activités « contre-révolutionnaires » par opposition aux ultérieures conspirations fictives – étaient traités comme irréels » (p. 18). C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui, et je renvoie aux travaux de Vincent Pavan[2], ou encore aux alertes régulières de Jean-Dominique Michel, pour mesurer le grand écart entre la réalité de l’expérience et de l’analyse, et le narratif officiel.
La terreur glisse rapidement sur les opposants qu’il s’agit de persécuter, à savoir ceux qui ne croient pas à l’idéologie, la mettent en doute, ou encore dénoncent les manipulations de masse. C’est la première phase, celle de la mise au pas par l’élimination des opposants. Mais le déferlement totalitaire se déchaîne bien davantage ensuite : la décompensation paranoïaque devient aveugle, et se cherche des ennemis potentiels (coupables en puissance, et non en acte), puisqu’il n’y a plus d’opposants réels. Pour soumettre les masses, tous les moyens sont permis, en particulier celui de la terreur par l’arbitraire. Tout allait « bien », en effet, lorsque les masses pouvaient se rassurer quant au harcèlement des opposants visibles, finalement, ils l’avaient bien cherché puisqu’ils n’obéissaient pas ! Il est indispensable ensuite que les représailles du pouvoir totalitaire tombent au hasard, afin d’assurer le contrôle total. L’arbitraire suscite l’incompréhension et la sidération (paralysie du psychisme et de la pensée). Croyant ainsi se couvrir, beaucoup deviennent délateurs, et sont encouragés à l’être par le délire de persécution paranoïaque : il s’agit de reconnaître l’ennemi, « si bien masqué soit-il »[3].
Le modus operandi du totalitarisme est le harcèlement. Il s’agit moins de détruire que de conduire à l’autodestruction[4], jusqu’au suicide, par les traumatismes réitérés sur la durée, engendrés dans la terreur et la violence. Les régimes politiques fonctionnant à l’idéologie utilisent la violence extrême, car il s’agit de transformer l’expérience du réel, de gré ou de force, pour faire régner l’idéologie, quoi qu’il en coûte. Ceux qui diffusent l’idéologie et l’organisent savent-ils que l’idéologie est fausse ? Ce n’est pas sûr, si l’on continue l’analyse sous l’angle de la psychopathologie. Ils peuvent y croire, et sont sans doute d’autant plus dangereux qu’ils y croient, d’une croyance religieuse transformée en fanatisme du dogme. Certains d’entre eux sont sans doute plus cyniques ; nous le voyons aujourd’hui avec les scandales d’hommes riches et/ou politiques, qui s’exonèrent des mesures sanitaires qu’ils imposent au peuple. Dans ce cas, l’illusion idéologique, elle est pour les autres, et non pour eux. D’ailleurs, pour H. Arendt, la force de l’idéologie ne tient pas à son contenu (lutte des classes, lutte des races, vaccinés contre non vaccinés, comploteurs contre « complotistes » etc.) mais à sa forme logique. Pour manipuler au mieux les individus, il faut les isoler. Le pervers ne fait pas autrement, lorsqu’il entend exercer son emprise sur sa proie : il l’isole. N’est-ce pas de ce tour de passe-passe dont il s’agit en prônant la nécessité des multiples confinements, dont le grand expert mondial en épidémiologie, John Ioannidis, récuse les bienfaits ? Le totalitarisme enlève aux individus les rapports sociaux, ou plutôt, il ne leur tolérera que certains rapports sociaux, ceux qui seront politisés par l’idéologie (par exemple, s’entasser dans le métro pour aller travailler, ne pouvoir voyager que pour des « motifs impérieux » dont le travail fait partie, mais pas la maladie d’un proche, ni la naissance d’un petit-fils etc.). Les liens familiaux sont attaqués, par la désunion que crée le fanatisme idéologique.
Le totalitarisme exige une loyauté « à la vie, à la mort » de l’individu, jusqu’à son sacrifice ultime. Pour cela, il faut capturer l’individu par une série de gestes obsessionnels aliénant le psychisme, comme dans les clans mafieux ou encore les sociétés secrètes : quiconque n’est pas inclus, est exclu ; le pouvoir totalitaire convoque l’utilisation de rituels, l’absence de factions, la suppression des opinions dissidentes, la centralisation absolue du commandement, l’exigence d’une loyauté totale, la promesse d’une protection et de davantage de quelque chose (bonheur, pouvoir, argent, liberté de mouvement, loisirs…) qui ferait de l’initié un privilégié. N’est-ce pas exactement ce dont il s’agit à propos du passeport sanitaire, qui est en tout point similaire au passeport aryen de 1933 quant aux prérogatives conférées (musées, théâtres etc.) : une communauté de privilégiés ? L’écrivain hongrois, déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, Imre Kertész, dans son livre L’Holocauste comme culture indique que le totalitarisme ne peut exister sans la stigmatisation de certaines populations qu’il se donne pour mission idéologique de persécuter : « Au procès de Jérusalem, Eichmann affirmait n’avoir jamais été antisémite et, bien que la salle ait alors éclaté de rire, je ne trouve pas impossible qu’il ait dit vrai. […] Nous devons nous dire clairement qu’aucun totalitarisme de parti ou d’État n’est possible sans discrimination, or la forme totalitaire de la discrimination est nécessairement le massacre, la tuerie de masse. »
Ajoutons que la logique concentrationnaire est indissociable du totalitarisme, car elle est inséparable de l’enfermement psychique de la paranoïa. Depuis quelques mois, j’entends des murmures sur la création ou l’existence des camps de mises en quarantaine, dans différents pays[5]. Si l’idéologie n’est pas stoppée net (et elle ne le sera pas), par une incrédulité de masse, la logique concentrationnaire se déploiera, car elle est l’aboutissement du projet totalitaire : dans le camp ; la liberté n’est qu’un lointain souvenir, la liberté de se mouvoir, d’entreprendre, et la Loi comme protection de l’individu n’est plus opérante. Il faut nous souvenir que, pour le paranoïaque, la Loi c’est lui, selon son bon vouloir ; elle n’est plus l’expression de ce qui fait tiers entre les individus, pour protéger leur intégrité, mais devient un instrument de persécution des opposants et des plus vulnérables. Dans le camp, l’on perd son nom, son identité (l’on devient au mieux un numéro), ses racines, ses liens, voire toute forme de socialisation ; l’on perd toute représentation du temps ; c’est la négation de l’humain, le corps est soumis aux agressions, à la faim, au froid, aux maladies, aux maltraitances sexuelles, à la déshumanisation (par exemple, les femmes sont tondues, les hommes rasés, on récupère des bouts de corps…). L’objectif totalitaire de la domination totale est atteint par les camps de concentration. Dans la psychose paranoïaque, le sujet est psychiquement enfermé, et s’enferme sans cesse toujours davantage ; il existe une fuite en avant pour toujours davantage de contrôle, avant d’aboutir à l’extermination.
Pour Hannah Arendt, « le prisonnier d’un camp n’a pas de prix puisqu’on peut le remplacer »[6]. La logique concentrationnaire du totalitarisme en ce sens est pire que l’esclavage, parce que l’esclave possède une valeur marchande : il peut être vendu au marché aux esclaves. La valeur marchande sur le corps humain relève de la perversion : instrumentaliser à outrance ce qui en saurait l’être. Rappelons-nous que la perversion est l’instrument du déploiement du totalitarisme, mais elle n’en est pas le but : le but n’est plus l’aliénation (soumission) mais l’annihilation (la réduction au rien) du sujet humain, c’est un cap supplémentaire qui est franchi. La valeur marchande sur le corps humain peut encore conférer un statut de personnalité juridique mineure, bien sûr sous un mode pervers. Mais dans l’apogée du totalitarisme les corps sont remplaçables, interchangeables, n’ont plus aucune valeur sacrée, et plus aucune valeur, tout court, même matérielle ou marchande. La personne morale est détruite. Hannah Arendt appelle cela « l’assassinat de l’individualité ». Elle ajoute[7] : « Le dessein des idéologies totalitaires n’est donc pas de transformer le monde extérieur, ni d’opérer une transmutation révolutionnaire de la société, mais de transformer la nature humaine elle-même ». Mais encore, « Les États totalitaires s’efforcent sans cesse de démontrer que l’homme est superflu ». Le totalitarisme est quant à lui et par essence génocidaire : il n’a plus besoin de l’humain, ou plutôt, il prétend le créer de nouveau, à partir de zéro. C’est le projet de « l’homme nouveau » ; il faut à la fois supprimer la liberté humaine, et l’humain dans toutes ses aspérités, pour faire régner la notion de pureté. N’est-ce pas là le projet en cours du Grand Reset, et du transhumanisme qui l’accompagne ? Les privilégiés auront une « valeur marchande » et pourront continuer de vivre dans le monde marchand (voyager, consommer etc.). Quant aux autres ? La paranoïa fonctionne sur un mode binaire : les purs et les impurs, les forts et les faibles, les utiles et les inutiles, les essentiels et les non-essentiels… Et c’est cette notion de pureté qui la fait parquer dans des camps les éléments jugés indésirables car ces dits impurs ne sauraient venir souiller « l’espace vital ». La pureté est déjà présente dans l’idéologie sanitaire, où l’on fumige à tout va, y compris au Leclerc d’Ajaccio[8], comme si nous étions des cafards. Les populations nomades, apatrides, marginales, et pauvres sont toujours visées, car elles ne se laissent pas assujettir au contrôle. Il est fort à parier que c’est ce qui guette une partie de la population ; attendons de voir qui sera l’ennemi désigné : pour l’instant, l’on suppose qu’il s’agira des non-vaccinés, mais cela peut tout aussi bien s’étendre aux « islamo-gauchistes » (néologisme flou), à toute population désignée comme « terroriste » (sur quels critères ?), mais aussi pourquoi pas aux vaccinés estimés porteurs de variants, car l’ennemi désigné peut mouvoir, au gré de l’idéologie caméléon.
Conclusion
Le totalitarisme est international dans son organisation, universel dans sa visée idéologique, et planétaire dans ses aspirations politiques. Il poursuit « l’expérience de domination totale. »[9]Le but est la disparition totale de toute spontanéité. Pour y parvenir, il faut à la fois l’endoctrinement idéologique (nous y sommes déjà), la terreur arbitraire et l’ambition concentrationnaire (c’est en route) pour briser ce que hait la paranoïa : toute forme de spontanéité. Les camps sont le lieu d’achèvement du processus de déshumanisation et de spoliation de la personne, par la soumission des corps incarnés, après la brisure des esprits.Hannah Arendt parle de désolation pour nommer cette épreuve d’une perte radicale des moyens de faire l’expérience du monde. Le mal est radical : à la racine. Dans un prochain et dernier épisode, j’analyserai la contagion délirante et les alliances psychiques inconscientes dans le collectif et les issues envisageables.
Si tu as moins de 25 ans stp écoute mon message. (S’il vous parait utile, partagez-le, peut-être contribuerez-vous à sauver une vie…) Je t’invite à la prudence ce qui est normal quand des médecins ne sont pas d’accord entre eux, certains invitant au vax et d’autres pas du tout. C’est aussi un appel au bon sens, pourquoi se faire injecter avec un sérum expérimental alors que le risque de mourir de la C0vid est infinitésimal et qu’il existe aujourd’hui des traitements pas chers qui fonctionnent très bien sans effets secondaires ?
Quelques liens pour commencer tes recherches; deux sites indispensables de médecins chercheurs, universitaires, sans conflits d’intérêts ni corruptions: https://www.covidhub.ch/ et https://reinfocovid.fr/
Quelle est l’ampleur des effets secondaires des vakx1s géniques anticovid ? Une analyse très complète du Dr Nicole Delépine publiée sur le site de l’association Réaction-19. État des lieux au 8 mai 2021 sur les effets secondaires des vakx1s c0vid en Europe : 10 570 décès et 405 259 complications à la suite d’une des quatre injections expérimentales Covid-19 .. : https://www.covidhub.ch/quelle-est-la…
Publication de Bernard Rentier, virologue, biologiste moléculaire et ex-recteur de l’ULiège : « Scientifiquement on ne peut pas exclure des effets d’une gravité inconnue (des vakx1s à ARNm) que normalement on aurait dû vérifier avant de lancer la vakxination (…) On nous assure que cet ARN est rapidement dégradé mais, ce n’est pas compter qu’il est composé de nucléotides modifiés, le rendant plus résistant que le naturel. » « Le public n’a pas tous les éléments à propos de la vakxination pour opérer un choix libre et éclairé, comme garantit. » « Chez les jeunes, le risque de décès à cause du virus est infime, forcément inférieur aux risques absolument pas évalués du vakx1 (…) C’est pour cela que la publicité pour la vakxination des enfants est inacceptable. » « (…) la reconnaissance d’un médicament qui viendrait atténuer ou stopper la maladie serait un frein à la vakxination. D’où le sort réservé à divers traitements, dont l’Iverme*tine, utilisés dans certains pays avec des succès publiés qu’on ne veut pas voir (…) »
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« Le public n’a pas tous les éléments à propos de la vaccination pour opérer un choix libre et éclairé, comme garantit.
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Eric Remacle est diplômé en psychologie appliquée, hypnothérapeute, auteur de livres et de pédagogies axés sur la maîtrise du stress et l’atteinte du bonheur intérieur. Il transmet des clés issues de ses 30 ans d’expérience en thérapie, formation, hypnose, méditation afin de vivre une vie libérée et lumineuse !
Épisode 1. La structure totalitaire : le délire paranoïaque
Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme.
« Bien des gens affirment qu’on ne saurait combattre le totalitarisme sans le comprendre. Ce n’est heureusement pas vrai car, autrement, notre situation serait sans espoir. »
H. Arendt La nature du totalitarisme, 1953.
En 2020, je suis intervenue trois fois pour alerter sur l’émergence du totalitarisme actuel, au prétexte sanitaire : le 13 mai, avec « Totalitarisme sanitaire : « C’est pour ton bien… Le mal radical »[1], le 30 août, avec « Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave »[2], et le 30 décembre, à Radio Canada[3], entrevue au cours de laquelle j’ai affirmé que ce que nous vivions n’était pas autoritaire, mais totalitaire, en examinant la certitude délirante de la psychose paranoïaque. Ces interventions m’ont valu railleries, quolibets et insultes en tout genre, de la part de ceux qui ne peuvent pas entendre ce qui se passe (ou n’y ont pas intérêt), prétendant que j’exagère ou que je souffrirais moi-même de paranoïa.
Pourtant, en un an, nos libertés, conquises de haute lutte durant des siècles, au prix du sang de nos ancêtres, se sont évaporées en fumée, jusqu’à la survenue de ce « passeport sanitaire », jugé impensable par la majorité des gens il y a quelques mois encore. Afin d’élaborer un tel diagnostic précoce de délire collectif, je me suis appuyée sur ma longue expérience professionnelle d’observations des groupes, des institutions et des entreprises, lorsqu’ils se transforment en îlots totalitaires. En avril 2020, bien que certains signes eussent pu paraître insignifiants aux yeux du plus grand nombre, ils étaient suffisants pour caractériser l’entrée dans une psychose paranoïaque collective, en particulier le déni de réalité, le mensonge, le clivage, la projection[4], l’interprétation, la persécution (ici, d’un virus, ennemi invisible, qui autorise la persécution des individus en tant qu’organismes porteurs d’une multiplicité de virus), la manipulation des masses (terreur, culpabilité et chantage), l’idéologie sanitaire (et la propagande qui la soutient), mais aussi la survenue d’une nouvelle langue pour décrire une « nouvelle normalité » ou une « nouvelle réalité » faisant table rase de l’ancien. Rappelons les critères politiques du totalitarisme, qui ne saurait se réduire à une dictature, un despotisme, ou encore, une tyrannie : monopole des médias de masse et du corps policier, direction centrale de l’économie, persécution des opposants et de toute critique, système de surveillance d’individus, encouragement aux délations, logique concentrationnaire orchestrée sur la terreur, politique de la table rase, idéologie mouvante construite sur le clivage entre bons citoyens et mauvais citoyens, sur l’ennemi (visible ou invisible) et la pureté.
Les individus s’organisent selon des structures psychiques (certains préfèreront le terme organisation, moins rigide), qui traduisent leur rapport à la réalité, à l’expérience, à l’autre, à la Loi, aux pulsions, à la rationalité. Ces structures sont évolutives à la faveur des événements, en particulier des charges traumatiques lourdes, et c’est ce qui explique qu’en temps « normal », des individus respectant des tabous moraux fondamentaux (notamment, ne pas transgresser ni tuer), se désinhibent en temps totalitaire (ou plutôt régressent psychiquement), l’idéologie de masse permettant de justifier la levée des interdits anthropologiques du meurtre et de l’inceste (et de leurs dérivés) qui fondent une civilisation. Ce que l’on sait moins, c’est que ces structures psychiques concernent aussi les collectifs. Il existe des personnalités psychiques au niveau des groupes, des institutions, des entreprises… J’ai longuement étudié la nature des groupes que j’ai appelés « régressés », lorsqu’ils basculent sur un mode pervers ou pire, paranoïaque. Les pathologies narcissiques graves ont en effet ce talent de créer une unité pathologique dans les groupes, avec des interactions inconscientes. C’est dire à quel point l’individu est pris dans un système, où le tout est d’une autre nature que la somme de ses parties. Ce système contraint le psychisme individuel, qui en retour nourrira le délire collectif. Voilà expliqué en peu de mots le phénomène sectaire et fanatique.
Le totalitarisme correspond à un délire psychotique, celui de la paranoïa. Il s’agit d’une psychose, qui s’articule sur le déni de réalité (la réalité et l’expérience n’existent pas, ne servent pas de boucles de rétroaction pour qualifier la pensée délirante dogmatique), un délire interprétatif (un ennemi extérieur ou intérieur, visible ou invisible, nous veut du mal) avec des idéologies dédiés (mégalomanie, pseudo-idéaux humanitaires, hypocondrie, persécution…), la projection, la méfiance, le clivage, l’hyper-contrôle. Cette folie présente l’apparence de la raison, du discours argumenté, tout en s’organisant sur un délire de persécution justifiant la persécution d’autrui. Elle ne nie pas la Loi, elle l’interprète à son avantage et, si elle en a le pouvoir, elle l’instrumentalise pour persécuter les individus, et non plus les protéger. « Para » (παρά), dans le grec ancien παράνοια, est un préfixe qui signifie tout à la fois « à côté », « en parallèle », comme dans « parapharmacie », ou « contre », comme dans « parapluie ». De même que le parapluie agit contre la pluie, le paranoïaque agit contre l’esprit (νοῦς), contre l’intelligence, contre la logique. Et, pour ce faire, il subvertit l’esprit, l’intelligence, la logique, et leur fait la guerre.
Peu importe le contenu du délire, à savoir son décor théâtralisé, car la paranoïa, « folie raisonnante » comme l’ont nommé les psychiatres Sérieux et Capgras, obéit toujours à une même structuration des processus psychiques. Nourrie par la haine et la manipulation érotisée des institutions, elle peut être dangereusement collective et psychiquement contagieuse, « pour notre bien ». Il convient d’accuser l’ennemi désigné comme persécuteur, et si possible, de le personnifier. Un virus « pris en tenailles » (cf. discours d’E. Macron du 31 mars 2021) est l’ennemi parfait, car il est invisible, en perpétuelle transformation (« variants »). L’interprétation (déduction à partir d’une opinion subjective) est au centre du dispositif : ce virus est si dangereux qu’il en va de la survie de l’espèce humaine (postulat implicite, qui permet de justifier la destruction de l’économie, des libertés et du droit fondamental) ; l’interprétation est à la fois exogène (le virus tueur est à l’extérieur de nous) et endogène (à l’intérieur de nous).
Osons une question blasphématoire : un virus aurait-il l’intention de nous tuer ? Les virus sont inscrits dans notre ADN ; nous en touchons des centaines de millions chaque jour. Curtis Suttle, virologue à l’Université de la Colombie-Britannique au Canada, indique dans une étude de 2018, que plus de 800 millions de virus se déposent sur chaque mètre carré de terre chaque jour. Dans une cuillère à soupe d’eau de mer, il a plus de virus que d’habitants en Europe ! « Nous avalons plus d’un milliard de virus chaque fois que nous allons nager (…). Nous sommes inondés de virus. » Un article de 2011 publié dans Nature Microbiology estime qu’il y a plus d’un quintillion (1 suivi de 30 zéros) de virus sur terre !!! Environ 8% du génome humain est d’origine virale, et les virus ont été présents bien avant l’espèce humaine sur terre, ils ont contribué à donner naissance à la vie cellulaire[5]. Partir en guerre[6] contre un virus, est-on sérieux ? C’est pourtant ce que propose l’hypocondrie délirante de la paranoïa collective, dans laquelle le corps devient étranger à soi-même et persécuteur. Il faut donc persécuter le corps, dans un Syndrome de Münchhausen de masse, qui consiste à surmédicaliser de façon inadaptée (interdiction de remèdes, couplée à des vaccins expérimentaux, dont les études qui visent à prouver la qualité, la sécurité et l’efficacité ne sont pas achevées[7]) une maladie virale commune (qui mériterait des soins appropriés et précoces), et dont ceux qui en sont gravement atteints (entre autres, décideurs politiques, des lobbies et leurs relais médiatiques) dénient la tempérance et l’expérience des experts, et créent davantage de problèmes et de souffrances qu’ils n’en résolvent.
L’idéalisation est un mécanisme de défense très puissant, de l’ordre du fanatisme de l’idéal inatteignable. Cet idéal en soi devient persécuteur, car nul ne peut jamais être à la hauteur. La suggestion de l’idéal sanitaire tyrannique est forte depuis le départ : la santé est conçue comme absence de maladie potentielle (d’où la confusion entre les cas et les malades), et il faut éradiquer le virus. Avec ce chantage de fond : pas de retour aux temps anciens avant l’éradication du virus. La sophistique change selon les circonstances. Car le « vaccin », présenté dès le départ comme objet fétiche et talisman magique contre le virus, semble ne pas fonctionner à la mesure des ambitions initiales, voire présenter de graves et sérieux problèmes. Insuffisant (il faudrait continuer les mesures sanitaires contraignantes[8]), insatisfaisant (il n’empêche pas les contaminations[9], et serait même à l’origine des variants[10]), éventuellement dangereux[11] (cf. des effets secondaires graves, que certaines compagnies d’assurance ne prendront pas en charge[12], et pour d’autres, il sera fort compliqué de démontrer le lien de cause à effet !).
Devant cet échec vaccinal, l’on peut s’attendre à ce que la persécution se renforce : il faudra, pour répondre à l’idéal inatteignable d’éradication du virus, éliminer les individus qui sont supposés potentiellement porteurs du virus (en puissance, toute l’espèce humaine est visée). D’ores et déjà, des troupeaux entiers d’animaux ont été disséminés selon la même logique nazie d’un virus étranger qu’il convient d’éradiquer. Goebbels notait dans son Journal : « Dans le ghetto de Varsovie, on a noté une certaine montée du typhus. Mais on a pris des mesures pour qu’on ne les fasse pas sortir du ghetto. Après tout, les Juifs ont toujours été des vecteurs de maladies contagieuses. Il faut ou bien les entasser dans un ghetto et les abandonner à eux-mêmes, ou bien les liquider ; sinon, ils contamineront toujours la population saine des États civilisés. » Les non-vaccinés seront-ils persécutés puis éliminés pour camoufler l’échec vaccinal à répondre à l’idéal inatteignable ? Abdiquer l’idéal tyrannique serait renoncer au délire, et signifierait l’effondrement, la chute devant l’ennemi, la mort, la plongée dans le trou noir. La réalité de l’expérience doit donc être tordue et asservie, pour coïncider avec l’idéal archaïque et sadique, qui la disqualifie.
« La scientificité de la propagande totalitaire se caractérise par l’accent qu’elle met presque exclusivement sur la prophétie scientifique, par opposition à la référence plus traditionnelle au passé »[13], et je renvoie aux travaux du mathématicien Vincent Pavan. La confusion entre la fiction et la réalité de l’expérience règne, appuyée sur un déni des experts, et la certitude délirante, niant toute objection et doute. Il est même hérétique d’avoir une opinion sur la propagande totalitaire ; elle « n’est plus un problème objectif à propos duquel les gens peuvent avoir une opinion, mais est devenue dans leur vie un élément aussi réel et intangible que les règles de l’arithmétique. »[14] Elle place l’atteinte de ses buts dans un futur qui est toujours lointain, une sorte de promesse finale, un paradis, la fin du calvaire, la pureté de la race, le territoire purifié de la maladie, le retour au monde d’avant etc. Il s’agit de fédérer la masse contre un ennemi commun, censé incarner l’opposition à la réalisation de ce but. L’ennemi, autant extérieur qu’intérieur, sera susceptible de changer, suivant l’interprétation à l’instant T, pourvu que demeure ce que je nomme « la xénophobie dans la pensée », à savoir la notion d’un « étranger organique qui serait un « non-soi » menaçant le soi, au lieu que le « soi » soit « capable de se reconnaître porteur du « non-soi » et donc de pouvoir l’assimiler. »[15] Pour faire vivre cette xénophobie sanitaire, il faut opérer une « gigantesque opération de falsification de la vérité »[16], traduisant tout à la fois une confusion mentale et un défaut d’intégrité. La scientificité idéologique et sa technique prédictive ne cessent de se mouvoir ; leur dimension « caméléon » les fait perdurer au pouvoir.
En conclusion, la psychose paranoïaque est un délire d’enfermement collectif menant à un destin concentrationnaire, un projet destructeur de « la vie nue » (Giorgio Agamben), du « simple fait de vivre », et dont le rôle des Humanités nous rappelle qu’il est sacré. La paranoïa pose une relation d’objet narcissique paradoxale : « vivre ensemble tue et se séparer est mortel »[17] est bien le leitmotiv de l’idéologie sanitaire actuelle qui, si elle est menacée dans sa subsistance hypnotique, conduira inévitablement à des passages à l’acte meurtriers et transgressifs sur les peuples désobéissants, ce que l’on voit d’ailleurs poindre à différents endroits de la planète. Dans les deux prochains billets consacrés à la psychopathologie du totalitarisme, j’analyserai les méthodes, les étapes et l’objectif, puis la contagion délirante, les alliances psychiques et les conditions de sortie du délire collectif.
[13] Arendt, H. Les origines du totalitarisme. [14] Arendt, H. Le totalitarisme, Chapitre XI. [15] Annick de Souzenelle, Le baiser de Dieu, Paris, Albin Michel, 2007. [16] Agamben, G. 2020. Traduction (Florence Balique), à partir du texte italien publié le 28 avril 2020 sur le site Quodlibet : https://www.quodlibet.it/giorgio-agamben-sul-vero-e-sul-falso [17] Caillot, J.P. 1982. Thérapie familiale psychanalytique et paradoxalité, Paris, Clancier-Guénaud.
Les thèmes abordés dans cette vidéo : – Le cerce social : a-t-on choisi le meilleur pour nous ? – Le piège de la bonté et de l’altruisme – Quand l’autre ira bien, j’irai bien – Les 2 mondes – Le bruit vs le calme – La scène de vie
Je suis prête à renoncer à aller voir des spectacles, même des artistes pour qui j’ai une grande admiration. Je suis prête à ne plus aller ni au restaurant, ni au café, ni aux bars. Je suis prête à renoncer à voyager, même si c’est quelque chose qui m’appelle énormément. Je suis prête à renoncer à magasiner sur place. Je ne céderai pas au chantage du pass sanitaire. Une liberté sous conditions n’est pas une liberté. Mes valeurs et mes convictions ne sont pas achetables ou marchandisables. Je suis prête à renoncer à tout ce qui était la vie d’avant, parce que pour moi elle est déjà terminée depuis longtemps.
La vie d’avant ne m’intéresse plus, c’est celle d’après qui m’intéresse. Retrouver la vie d’avant pour retrouver son petit confort et ses petits plaisirs dans une vie où une poignée de milliardaires décident de qui doit vivre ou mourir ? Où des pays entiers meurent de faim à chaque jour? Où des millions d’enfants disparaissent pis c’est banal ? Où la maladie est plus rentable que la santé ? Où la corruption est telle que les pédophiles finissent toujours par s’en sortir ? Où la manipulation est telle que beaucoup sont juste absolument incapables de voir ce qu’il se passe réellement parce que la vérité est bien plus horrible que tout ce qu’ils peuvent s’imaginer ? Où ceux qui osent parler VRAI sont montrés du doigt, dénigrés, enfermés parce que ça ne correspond pas à la pensée unique ?
C’est vraiment ce monde d’avant là que vous avez hâte de retrouver ? Tout ça pour pouvoir aller voir un show cet été ou aller boire un p’tit kir en terrasse? Ça en vaut vraiment la peine ?
Si vous ne voyez pas le rapport, je ne peux rien faire pour vous. Je refuserai tous les endroits qui imposeront un pass sanitaire ou une piqure. Le chantage ne fonctionnera pas sur moi.
CONSTAT DÉSARMANT ! Concernant la France, rappelons-nous que 28% des électeurs inscrits sur les listes électorales avaient voté aux présidentielles de 2017 pour Emmanuel Macron ! La magistrale manipulation médiatique allait ensuite faire le reste pour que cet homme, sans profil de chef d’État, se retrouve à la présidence française !
Il y a une foule de personnes très intelligentes, brillantes, douées même, avec du talent, qui pourtant adhèrent étrangement au discours narratif de la propagande du pouvoir, cette dernière manipulant de manière sidérante, les personnes paraissant placées sous hypnose par le jeu dangereux du psittacisme médiatique…
Commentaire : Définition de psittacisme médiatique :
Fait de répéter quelque chose comme un perroquet en raisonnant sans comprendre le sens des mots que l’on utilise; en partic., récitation mécanique de mots, de phrases, de notions dont le sens n’a pas été compris ou a été mal assimilé (d’apr. Aur.-Weil 1981). C’est à se demander si l’évolution de l’homme, si sa culture n’a pas entraîné la faune à sa suite, et si l’art du chant ne s’est pas développé chez les oiseaux de nos pays par une sorte de contagion (j’allais dire : par psittacisme) (Gide, Journal,1938, p. 1302). Le discours concret implique d’une part le radotage, le psittacisme, les formules toutes faites, et d’autre part l’intuition qui propulse cette phraséologie et lui donne un sens (Jankél., Je-ne-sais-quoi,1957, p. 253).
On est spontanément enclin à penser a priori qu’un être intelligent se pose des questions de bon sens, face à l’incohérence, face à une absence de logique, face aux signes objectifs d’un délire collectif, ou face à des éléments probants indiquant d’évidents « conflits d’intérêts » qui devraient en soi alerter toute conscience et toute intelligence même a minima !
Toute personne intelligente devrait se demander : Pourquoi l’OMS a-t-elle organisé en 2005, la signature d’une charte, d’un règlement sanitaire, indiquant que « tous les membres adhérents et signataires de la charte devraient impérativement se conformer aux directives du Conseil Mondial de la Santé, à partir du moment où il y aurait des critères de pandémie retenus par l’OMS » ?
Le Docteur Louis Fouché recommande souvent, pour une bonne compréhension de ce qui se passe, autour de cette « crise coronavirus », de « suivre l’argent » ! Celui qui paie est aussi celui qui commande ! Celui qui est le premier contributeur de l’OMS est aussi celui qui décide de ce qui se passe à l’OMS.
Or, dans le Top 20 des plus gros contributeurs de l’OMS, nous pouvons tous vérifier et découvrir, si cela n’est pas déjà fait, que c’est La Fondation Gates et l’Alliance GAVI qui arrivent en tête des plus gros contributeurs de l’OMS. (Cf., Traitements génétiques anti-c0vid, par le Dr Vincent Reliquet, le 3 mai 2021, dans ReinfoC0vid)
Une personne rationnelle, intelligente, cultivée, qui a du bon sens, et qui devrait être bien informée, devrait aussi logiquement se poser naturellement la question de savoir pourquoi ce milliardaire informaticien, fondateur de Microsoft, s’intéresse-t-il d’aussi près à un secteur d’activités qui ne relève pas de sa compétence : le domaine de la Santé Mondiale ?
Pourquoi des puissances d’argent financent-elles des campagnes de propagande utilisant le chantage, les mesures liberticides, les incohérences multiples de la répression « sanitaire » pour terrifier les populations des pays riches en les acculant peu à peu à l’acceptation « consentie » de la « vakxination » de masse ?
Le journal d’information du 12 mai, en Espagne, expliquait qu’une personne âgée était morte dans une maison de retraite par la « faute » de personnels soignants ayant refusé la « vakxination ». Les personnels qui avaient pu constater cette malheureuse « conséquence », ajoutait l’odieuse et scandaleuse propagande, s’étaient laissés convaincre de se faire « vakxiner » ! Le bon sens est capable en temps normal de se dire que rien de tout cela ne peut être prouvé ! Il est absolument révoltant que l’on puisse prendre en considération une telle perversion prise pour une conscience « responsable ».
Il est grave de se mettre à croire sans sourciller à une telle moralisation et culpabilisation privée de tout fondement sérieux. L’obscurantisme le plus détestable est revenu en Espagne et ce peuple hautement manipulé par une propagande acharnée, a basculé dans une « croyance » à la limite d’une arriération mentale collective… En écoutant ce genre de chose, il y a de quoi rester sans voix, tellement le délire collectif peut être sidérant et particulièrement désarmant ! A travers de telles déclarations, on entend à nouveau les anciennes accusations faites par les inquisiteurs s’adressant aux femmes qu’ils martyrisaient par le feu des bûchers en les accusant d’avoir copuler avec le diable ! Je ne vois pas la différence qu’il pourrait y avoir entre ce que la nouvelle de ce jour, faite en Espagne, nous apprend sur la « faute » des non « vakxinés » et ce qui pouvait se passer au Moyen-Age dans le contexte de la chasse aux sorcières !
Maintenant, nous pouvons aussi nous demander pourquoi les pays pauvres n’ont-ils pas été aussi convoités et harcelés par la propagande que les pays riches ? Il est notoire que les pays pauvres aient beaucoup moins de moyens sanitaires à leur disposition que les pays riches ! Pourquoi, dans ce cas, ce sont pourtant les pays pauvres qui ont été les moins concernés par la « pandémie », notamment les pays Africains ?
Pourquoi les chiffres, dans leur ensemble, concernant cette « pandémie » théorique, ont-ils été falsifiés pour les pays développés, comme cela est incontestable pour les honnêtes gens et parce que cela a été largement démontré ? On peut revoir les nombreuses sources déjà publiées dans plusieurs articles précédents traitant de la crise « coronavirus » sur www.mondialisation.ca
Pourquoi la propagande continue-t-elle de nous mentir sur ce qui se passe en Inde, au Brésil, aux USA, alors que des informations vérifiées nous permettent de savoir que le mensonge est largement diffusé de manière ininterrompue sur les Médias collabos ? Pourquoi ces médias sont-ils mobilisés en permanence dans le but de retenir les personnes et les groupes de personnes dans une « croyance » aveugle au bien-fondé des mesures « barrières » qui sont anachroniquement maintenues ? Pourquoi peut-on encore observer dans tout l’Occident, ce but apparemment destiné à nourrir la « peur » permettant de parvenir à une « vakxination » globale de toutes les populations trop habituées à la contestation, comme les Gilets jaunes ou aujourd’hui les militaires français, dont la culture révolutionnaire a renforcé le réflexe d’insoumission ?
On peut aussi se demander pourquoi les télévisions du monde occidental se prêtent-elles avec autant d’intérêt à une collaboration acharnée, loyale, avec le système qui veut avantageusement contrôler les populations ? Elles sont bien entendu en soi, l’expression même d’un pouvoir inouï sur les opinions publiques ! Les télévisions étant aux mains de milliardaires participant à la grande puissance financière mondialisée et parce que ces gens-là font partie du club fermé des « Forum Économique Mondial » de Davos, et autres Clubs prestigieux, il va de soi que leurs services très appréciés entrent dans les plans de ce Nouvel Ordre Mondial se cachant derrière les grandes Institutions comme l’OMS.
Pourquoi des médecins et des hôpitaux ont-ils été grassement payés pour faire gonfler les chiffres des morts « par coronavirus », comme cela a été révélé peu à peu dans le courant de l’année passée ? On peut consulter les sources dans les nombreux articles qui ont été publiés sur ce sujet dans www.mondialisation.ca tout au long de l’année 2020. Pourquoi des hôpitaux ont-ils accepté de faire de la mise en scène des morts à profusion, montrant des malades dont il n’était pas possible de voir les visages ? Où sont passés les malades encombrant par centaines les couloirs saturés d’hôpitaux débordés ? Qui sont ces médecins qui ont été placés dans l’obligation de choisir qui allait vivre et qui allait mourir, faute de places? Pourquoi la manipulation, le mensonge, la falsification des chiffres, des statistiques, des études dites « scientifiques » ont-ils déversé à profusion leur désinformation sur les populations désabusées par le moyen des médias les plus consultés ?
Comment les États sont-ils parvenus à faire porter le masque à toute personne sensée, au grand air, dans les bois, sur les plages désertes, sur les chemins isolés de randonnées, en pleine nature largement ventée, sans qu’aucune preuve ne soit jamais apportée d’une utilité́ réelle du port de ce masque, qui d’ailleurs est clairement déclaré, par leurs fabricants, comme n’étant pas destiné ni approprié à une protection anti virale ? De nombreuses études scientifiques, largement documentées, ont été publiées depuis plus d’un an maintenant sur ces questions des « barrières » imposées par des « Conseils scientifiques » largement contestés pour « conflits d’intérêts » … On peut se reporter aux publications de ReinfoC0vid qui renvoient à ces sources nombreuses sur toutes ces questions.
Comment les « autorités » sont-elles parvenues à évoquer le principe d’un « passeport vakxinal » pour un virus qui s’est montré très peu létal, (comme les statistiques contrôlées le prouvent,) enclin à la mutation permanente, menaçant essentiellement des personnes de plus de 80 ans et déjà concernées par des « comorbidités » bien connues aujourd’hui ?
Comment peut-on expliquer le fait que toutes ces aberrations n’aient pas provoqué chez des personnes douées d’intelligence, des réactions critiques majeures et les questions relevant d’un simple bon sens ?
Nous allons analyser ces faits révélateurs de ce qui se passe pour comprendre comment des gens intelligents ont-ils pu se mettre à radoter les inepties entendues en boucle sur les TV du monde Occidental et comment ces gens ont pu adhérer à ce mensonge sans réagir rationnellement.
LE MÉCANISME DE L’ABÊTISSEMENT
Grâce à l’importance qu’ont les télévisions de la société dite « évoluée », une pratique de la manipulation va permettre de répandre à grande échelle une propagande permanente visant à modifier les références cognitives habituelles des personnes ainsi que leurs repères comportementaux donnés par la culture scientifique et historique. Puis, par ce tour de passe-passe, la manipulation parvient à remplacer ces références et ces repères, par des normes sorties d’on ne sait quel chapeau et sans qu’à aucun moment la supercherie ne soit soupçonnée ! C’est parfaitement sidérant !
Des comportementalistes ont démontré, comme chacun devrait désormais le savoir, qu’après une minute d’écoute, l’activité́ cérébrale du téléspectateur se modifie. Ils ont observé que la pensée logique et critique s’amenuisent et glissent vers une sorte de lâcher-prise comparable à celui que l’on obtient en hypnose. Nous sommes nombreux à pouvoir dire comment on se retrouve souvent endormi devant la télé ! La propagande utilise tout bonnement cette qualité hypnotique du téléviseur d’autant plus qu’il est présent partout, même sur les lieux de travail !
Le psittacisme informationnel pratiqué en boucle, répétant sans cesse les mêmes informations manipulées, sur des cerveaux en état hypnotique, va réussir à convaincre les personnes qu’elles sont réellement informées tout en entrant dans une croyance qui n’a aucun rapport avec un savoir en tant que tel ! C’est le secret de la pensée unique et du politiquement correct qui a créé une intolérance spectaculaire au sein de la société ne supportant plus le moindre écart d’une pensée non alignée… Peu à peu un nouveau modèle social s’est construit à partir de la pensée unique dominante et chaque individu a cherché dès lors à lui correspondre. Puis, le réflexe grégaire du peuple, bien connu des comportementalistes, allait entraîner une soumission de chacun comme de tous à des règles aberrantes persuadant tout citoyen qu’il est le gardien de l’ordre établi. Le mouton allait de lui-même à l’abattoir sans que personne n’ait plus à l’y conduire de force et en étant de plus persuadé que c’est là son bien, son bonheur, sa félicité…
La procédure est simple à comprendre : les programmes de télévision proposent un mixte quasi permanent entre les informations alarmistes, destinées à alimenter la peur, et des émissions de divertissements particulièrement débiles pour ne pas dire aliénantes, afin de provoquer l’endormissement de la vigilance intellectuelle des personnes. Ce genre d’émissions de télévision pullulent en Espagne plus qu’ailleurs en Europe ! La censure est à la fête sur tous les médias collabos du système et elle sévit à longueur de temps dès qu’un mot de travers est repéré par les surveillants algorithmes ! La lecture ou l’audition d’un débat ne permettent pas la manipulation hypnotique des personnes. Il n’y a donc pas de débats mais des campagnes de propagande partisane à sens unique et on ne laisse pas de temps aux gens pour lire des livres qui pourraient les informer en profondeur. D’ailleurs toute la publicité pour ces études, ces expertises, les informations scientifiques non grevées par les « conflits d’intérêts », est systématiquement censurée ! « L’imprimatur et le Nihil obstat » de la censure ecclésiastique pratiquée par l’Inquisition est aujourd’hui de retour dans le monde de l’édition. La société a spectaculairement régressé pour être étouffée dans sa soif de liberté !
Dans un autre article, nous avons déjà évoqué « La stratégie du choc » de Naomi Klein. Cette stratégie a pour but d’initier et de maintenir un « chaos social ». La technique du choc permet de créer par une annonce, une image ou un commentaire, un état de sidération. On pense aussitôt aux images des attentats, même celles qui ont été carrément truquées ; on pense aux images d’hôpitaux submergés dans l’Est de la France ou en Italie, de malades évacués par TGV, par hélicoptères militaires, par bateaux de la marine nationale ou par bus aménagés, on pense aux commentaires anxiogènes sur le nombre de morts à venir… Les populations terrifiées, ont ensuite attendu dans la peur le choc suivant qui serait aménagé par les prises de parole de l’exécutif dirigeant un « Conseil de défense » aux commandes d’un « état d’urgence sanitaire » !
Tous ces chocs successifs avaient pour but de faire « croire » que les sacrifices consentis étaient certes pénibles à supporter mais nécessaires et que, grâce à ces sacrifices inouïs, la vie reprendrait ses droits en retrouvant le bien être d’une existence sauvée par eux ! Le narratif officiel s’est ainsi imposé à tous, via essentiellement une infantilisation exceptionnelle développée à cette occasion !
On repense en premier lieu à cette manipulation par infantilisation qui consiste à rédiger un document s’autorisant à soi-même un déplacement à moins d’un kilomètre de son domicile, pour une durée limitée et à condition de porter un masque… Comment imaginer plus destructeur que ce genre d’ineptie humiliante acceptée sans broncher par des gens intelligents ?
Peu à peu, les libertés publiques et privées ont été éliminées. On a imposé des tests, on a menacé de rendre la « vakxination » obligatoire. On a agité les épouvantails à crétins sans la moindre hésitation ! On a fait des « cadeaux » en annonçant qu’il n’y aurait pas de nouvelles mesures coercitives de privation de liberté, comme si le droit naturel de respirer devait être autorisé par l’État ! Au moment où le confinement n’était plus supportable pour de multiples raisons, on allait inventer le « couvre-feu sanitaire » ! Les autorités ont manié la carotte et le bâton en infantilisant au maximum les citoyens, sans que l’ombre d’une rébellion n’apparaisse chez le grand nombre !
On a entendu parler de « cluster » signifiant danger extrême, menace de mort ! Les « cluster » avaient la particularité de se multiplier à la vitesse de la lumière… On ne pouvait pas les contrôler, sauf si la docilité des personnes et des groupes se montrait irréprochable. Tous les récalcitrants aux mesures « barrières » seraient implicitement mis en accusation par les dociles et bons citoyens exemplaires… Les problèmes viendraient désormais des rétifs et insoumis à la dictature sanitaire, comme nous venons de le découvrir aujourd’hui en Espagne. La peur commandait tout cela. On parlait du patient Zéro recherché comme un criminel ou l’ennemi public numéro un. Les tests PCR seraient une évidence, alors qu’on sait aujourd’hui à quel point ils n’étaient pas fiables et comment ils ont fait partie d’une exécrable manipulation. Puis les courbes en cloche ou en plateaux comme les « variants », participeraient tous d’un langage pseudo scientifique abusant le grand public sur tous les plans !
Puis arrivait sur le devant de la scène, le nouveau concept de l’après catastrophe, le « Great Reset », comme si ce qui arrivait ne permettrait plus même d’envisager la vie comme « avant » ; il faudrait désormais « vivre avec le virus », comme si cela était quelque chose d’incroyable, alors que l’humanité a toujours vécu avec toutes sortes de virus qui étaient là bien avant elle ! Les traitements étaient « inexistants » ou brutalement « interdits » sans aucune explication cohérente, en France comme dans plusieurs pays de l’Union Européenne. Il n’y avait plus que le « vakx1 » messianique.
En balançant son concept « Objectif zéro C0VlD », Macron, chef de guerre, annonçait implicitement que nous ne pourrions donc jamais sortir de la crise, puisque le virus sera toujours là, qu’on le veuille ou non ! Cet objectif étant irréalisable, il allait de soi qu’une seule conclusion s’imposait : le « vakx1 » est la solution obligatoire et avec ce « vakx1 », le plan sous-jacent non affiché aux yeux des gens abusés, mais que l’on commence peu à peu à comprendre par les nombreuses publications sur les problèmes majeurs qui apparaissent un peu partout dans le monde Occidental suite aux « vakxinations » …
Bien entendu, les médias collabos ne veulent même pas entendre parler de ces « rumeurs complotistes » et font l’impasse sur ces questions réellement préoccupantes !
La « vakxination » coupe court à toute question de bon sens sur les traitements à utiliser avant d’en arriver là. On ne pouvait pas non plus se poser de questions sur les conditions de la réalisation de ces « vakx1s ». Tout de suite pointait la menace des restrictions de déplacements. Seule la « vakxination » permettrait de se déplacer et de se rendre partout ! Un grand nombre allait se laisser convaincre et c’est de cette manière qu’une telle mesure insensée allait pouvoir être organisée. Sans « vakxination » massive, la mise en place d’un passeport sanitaire n’était pas possible ! La fabrique du consentement a merveilleusement bien fonctionné et ceux qui sont restés lucides seront désormais les parias de la société, alors qu’ils étaient son âme, sa force, sa lumière, sa conscience, traités misérablement de « complotistes » faute d’arguments sérieux à leur opposer ! On les brûlera sur les bûchers du lynchage médiatique en les accusant d’avoir « copulé avec le diable » ! Nous sommes à nouveau dans la même croyance, dans la même superstition, dans la même arriération mentale, dans le même fanatisme et dans la même ignorance crasse !
Il devenait impossible de poser quelque question de bon sens que ce soit. Comment faisait-on avant, lorsque nous étions assaillis par une pandémie ? Pourquoi parler d’un « Great Reset », du monde d’après, de « guerre » contre un virus ? Pourquoi des traitements qui marchent, comme de nombreuses études l’ont démontré, ont-ils été interdits ? (Cf. articles précédents sur mondialisation.ca) Pourquoi les autopsies sur les nombreux soi-disant morts « du coronavirus » étaient-elles interdites ? On allait passer de la peur d’être malade à la peur d’être « positif », puis de la peur d’être « cas contact » repéré par les brigades du harcèlement sanitaire et obligé d’entrer en « isolement » … La soi-disant protection des « plus fragiles » allait faire admettre le massacre impitoyable du grand nombre à travers le délabrement de l’économie, les faillites, les dépressions majeures, les suicides, le retard dans les prises en charge des autres malades ; L’hypnose médiatique allait faire croire que tout cela était bien et nécessaire. Le chaos social a été sciemment organisé par ce « Conseil de défense » bidon, travaillant dans la non transparence absolue. Tout a été arbitraire, depuis le saccage des libertés jusqu’au rejet brutal des arguments scientifiques contraires à ce qui était imposé par ce « Conseil de tyrans » au service de la destruction volontaire de la société. Les voix compétentes ont été étouffées, sanctionnées, ignorées, combattues, condamnées, harcelées, réprimées, anéanties !
CONCLUSION
Désormais il n’est plus possible de revenir en arrière. Les masses ont été terrorisées et formatées par la peur.
C’est la peur qui commande désormais et non pas la raison. Maintenant le pouvoir peut faire ce qu’il veut avec le peuple dressé à l’amour de sa soumission. Désormais il apparaît qu’il est nécessaire de se protéger de tout parce que la menace de mort est une obsession occidentale ; parce que la mort est anachronique dans sa mentalité culturelle. Les occidentaux ne savent pas combattre la douleur : tout est dirigé obsessionnellement contre la mort ! La douleur n’est pas naturelle, elle est le symptôme d’une rupture d’harmonie, d’un déséquilibre survenu dans un être vivant. La mort en revanche est naturelle, elle est même essentielle à l’existence de la vie. « Vivre de mort et mourir de vie » (Héraclite)
Parce qu’il faut se « protéger de tout », il est donc devenu nécessaire d’anéantir les libertés. C’est la suite du programme, c’est le « monde d’après ». Des comportements inacceptables hier seront désormais la règle. La population dressée par la manipulation médiatique va penser que c’est elle-même qui a décidé son nouveau comportement aberrant ! Comprenons comment des gens victimes de cette manipulation magistrale continuent de porter un masque partout, même là où il n’est pas obligatoire et même là où il est clairement insensé, voire contre-indiqué ?!
La technique qui a été utilisée dans cette histoire aberrante d’une « pandémie de la C0VlD-19 », est celle qu’utilisent prioritairement les parents maltraitants, les sectes, les pouvoirs totalitaires, les tortionnaires, les pervers et les salauds.
L’un des avantages potentiels de toute la débâcle de C0VlD-19 est que nous avons appris énormément de choses sur la société dans laquelle nous vivons. Ce sera crucial si nous parvenons à éviter une descente dans un avenir cauchemardesque d’esclavage techno-fasciste.
Nous aurons une nouvelle compréhension de ce que notre monde est devenu et de ce que nous aimerions qu’il soit dans les décennies et les siècles à venir. Et «nous» signifie nous. Si la majorité n’a apparemment rien appris de ce qui s’est passé, elle finira par rattraper son retard.
Il est impossible que les connaissances acquises par 15 ou 20% de la population très éveillée ne soient pas partagées par presque tout le monde. Une fois que la vérité est révélée, elle a tendance à rester en dehors. Comme HR Haldeman l’a si bien dit, «vous ne pouvez pas remettre le dentifrice dans le tube».
Voici dix choses que nous avons apprises pendant le coup d’État de Covid .
1. Notre système politique est désespérément corrompu. Pratiquement tous les politiciens sont désespérément corrompus. Aucun parti politique ne peut faire confiance. Ils peuvent tous être et ont été achetés.
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2La démocratie est une imposture. C’est une imposture depuis très longtemps. Il n’y aura jamais de vraie démocratie lorsque l’argent et le pouvoir reviendront au même.
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3Le système ne reculera devant rien pour conserver sa puissance et, si possible, augmenter ses niveaux de contrôle et d’exploitation. Il n’a aucun scrupule. Aucun mensonge n’est trop scandaleux, aucune hypocrisie trop nauséabonde, aucun sacrifice humain n’est trop grand.
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4 Les mouvements dits radicaux ne sont généralement rien de ce genre. Quelle que soit la direction par laquelle ils prétendent attaquer le système, ils prétendent simplement le faire et servent à canaliser le mécontentement dans des directions qui sont inoffensives pour la clique du pouvoir et même utiles à ses agendas.
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5 Toute voix «dissidente» dont vous avez déjà entendu parler dans les médias d’entreprise est probablement une fausse. Le système ne distribue pas de publicité gratuite à ses véritables ennemis.
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6 La plupart des gens de notre société sont des lâches. Ils abandonneront toutes les belles valeurs et principes dont ils se sont vantés toute leur vie simplement pour éviter la moindre chance de critique publique, d’inconvénients ou même de pertes financières mineures.
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7 Les médias grand public ne sont rien d’autre qu’une machine de propagande pour le système et les journalistes qui y travaillent ont vendu leur âme désolée, plaçant leurs compétences rédactionnelles (souvent minimes) entièrement à la disposition de Pouvoir.
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8 Les policiers ne sont pas des serviteurs du public mais des serviteurs d’une minorité puissante et extrêmement riche qui cherche à contrôler et à exploiter le public pour ses propres intérêts étroits et cupides.
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9 On ne peut pas faire confiance aux scientifiques. Ils utiliseront le pouvoir hypnotique de leurs blouses blanches et leur statut d’autorité au profit de quiconque finance leur travail et leur style de vie. Celui qui paie le joueur de cornemuse appelle la mélodie.