Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif

PAR JEMINFORMETV 0

Aujourd’hui, après un an de dictature sanitaire et de mascarade généralisée, c’est bien d’un dernier appel dont il s’agit ici. Avant qu’il ne soit trop tard. Un dernier appel avant embarquement pour suicide collectif.

Par Jean-Michel Grau

Cet appel, on pourrait même le qualifier d’alerte rouge, tellement il devient pressant, urgent de se bouger, de s’insurger, de se révolter pour se libérer. À l’heure où tout le monde reste encore bien sagement claquemuré chez soi en attendant le déluge.

Face à l’apathie générale et au renoncement de se battre pour s’extraire des griffes de la finance mondialiste afin de sauver nos libertés, qu’attendons-nous encore avant de nous révolter ?

Qu’il ne reste plus un seul commerce indépendant ouvert, ni une seule petite entreprise encore en état de fonctionner avant que toute notre économie soit définitivement parterre ?

Les financiers du Grand Reset du Forum de Davos qui n’ont d’autre but que de nous asservir, n’attendent plus qu’une chose : que nous soyons tous piqués comme des poulets OGM afin de tous nous contrôler pour mieux nous voler nos biens, une fois ruinés par l’arrêt total de l’économie, et nous exclamer béatement, selon le slogan cynique de leur film de propagande [1] :

« Vous ne posséderez plus rien, et vous serez heureux. »

Formidable, non ? Alors, qu’espérer encore ?
Un sursis ? Un malheureux sursis ? Et après ?

« Encore quelques minutes, Monsieur le bourreau ! » Mais non, il n’y aura pas de sursis ! À part pour les quelques restaurateurs naïfs qui croient encore que les maigres subsides de l’État vont leur permettre de survivre. Mais pour combien de temps ? Car c’est bien un gigantesque suicide collectif de toute la classe moyenne qui se prépare, avec la complicité des États et de l’Union européenne à la solde de l’oligarchie financière mondialiste, orchestrée par les partenaires illuminés du Forum Économique Mondial, Klaus Schwab, Bill Gates et Jacques Attali, dont Macron, Merkel et von der Leyen ne sont que des marionnettes.

À gauche : Bill Gates, partenaire contributeur du Forum Économique Mondial :
À droite : Peter Sellers dans Docteur Folamour, film du génial Stanley Kubrick décrivant un monde corrompu où toute dignité humaine est enterrée sous une pseudo-nécessité de survie, avec la volonté clairement affichée des dirigeants de préserver leur pouvoir pour se livrer ouvertement à leurs magouilles politiques, leur brutalité, leurs perversions et leurs instincts bestiaux sous l’excuse qu’ils agissent pour l’humanité. Le slogan des militaires américains « La paix est notre profession » résume assez bien l’hypocrisie générale des décideurs qui baigne ce film.

« Les vaccins Covid19 ADN devraient nous donner un contrôle extrême sur toute la population mondiale. »

« Nos tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. »
La Boétie

Car il faut vraiment être à genoux pour accepter de voir l’œuvre de toute une vie ruinée par la fermeture de son commerce, de son restaurant, de son entreprise. À genoux aussi pour accepter la fermeture de tout ce qui fait le sel de la vie : théâtres, cinémas, opéras, salles de sport, bars, discothèques… Et combien d’autres rideaux qui se baissent jour après jour sur nos loisirs ?

Car il faut vraiment être à genoux, ensuite pour accepter sans broncher d’être bâillonnés du matin au soir, de s’asphyxier à petit feu en respirant toute la journée son propre gaz carbonique, y compris à l’extérieur, même au bord de la mer ou encore en forêt ! C’est hallucinant !

Il faut vraiment être à genoux pour accepter cet enfermement quasi permanent fait de confinements, de reconfinements et de couvre-feux, comme si nous étions en état de guerre. Mais nous ne sommes pas en guerre ! Qui peut croire encore que l’on peut faire la guerre à un virus ? Qui peut croire encore ces propos délirants de psychopathe ?

Mais le pire n’est même pas là.

Comment peut-on accepter de voir tous ces écoliers dès l’âge de 6 ans, bâillonnés avec ces abominables muselières qui ne sont rien d’autre qu’un plan machiavélique d’ingénierie sociale pour nous apprendre à devenir tous des esclaves dès le plus jeune âge ?

Qui sont ces parents assez fous, assez criminels pour accepter que leurs propres enfants s’asphyxient huit heures par jour à l’école avec ces bâillons mortifères ?

Sont-ils incapables à ce point de créer des collectifs de parents d’élèves résistants pour forcer ce gouvernement criminel à plier en retirant massivement leurs enfants de l’école et cesser du même coup d’être les victimes d’un chantage aberrant : le masque ou l’exclusion ?

Et qui sont tous ces profs pour accepter eux aussi cette mascarade mortifère ? Où sont les syndicats d’enseignants et de parents d’élèves pour défendre la bonne santé des écoliers et des élèves face à la pandémie imaginaire d’un virus dont la létalité de 0,05 % frappe principalement la population des Ephad à comorbidité âgée de plus de 80 ans ? [2]

Ne savent-ils pas que non seulement ces masques ne protègent pas des virus (c’est écrit sur la boîte), mais en plus sont de véritables nids à miasmes, surtout si on les porte 8 heures par jour, a fortiori toute la semaine ? Tous ceux qui vous diront le contraire vous mentent. Ces masques n’ont pas été conçus pour l’usage que les pouvoirs occidentaux nous imposent, mais pour le personnel médical.

Ces parents et ces profs ont-ils perdu à ce point tout bon sens, pire : tout sentiment d’humanité, à force de lavages et rinçages de cerveaux successifs administrés par les infos anxiogènes débitées H24 par toutes les chaînes d’info continue pour leur dire quoi penser ?

Ont-ils peur à ce point de l’amende de 135 euros que le sinistre de l’intérieur ne manque jamais une occasion de leur rappeler ? Se sont-ils jamais posé la question de ne pas la payer parce qu’elle est totalement injustifiée, car le port du masque ne repose sur aucun fondement scientifique et qu’il a été décidé uniquement par un conseil qui n’a de scientifique que le nom ?

Savent-ils seulement qu’il y a pléthore d’avocats prêts à plaider leur cause via les collectifs citoyens initiés par des avocats tels Maître Brusa, Maître Di Vizio, Maître Jean-Pierre Joseph ou encore Maître de Araujo-Vecchia, pour ne citer que ceux-là ? [3]

N’ont-ils pas encore compris que ce pouvoir inique qui nous enferme ne tient plus que par notre peur du virus pour nous imposer le chantage des masques et des vaccins pour mieux nous asservir ?

Sont-ils devenus à ce point des robots, incapables d’autre chose qu’obéir servilement sans réfléchir, à la moindre directive liberticide aussi absurde que criminelle, que le gouvernement et l’Union européenne tentent de nous imposer depuis maintenant un an?

N’ont-ils toujours pas compris qu’il est vital d’éteindre définitivement son téléviseur pour allumer enfin son cerveau afin de découvrir sur les médias alternatifs d’internet vers quelle abomination l’UE et nos gouvernants nous mènent à marche forcée ?

Quant à ces parents qui livrent leurs enfants aux mains des labos pharmaceutiques, tel Moderna aux USA, pour qu’ils servent de cobayes à des « vaccins » qui ne sont rien d’autre que des expériences géniques, ont-ils seulement entendu parler du Dr Mengele d’Auschwitz et de ses « expériences » sur les prisonniers ? Pourquoi a-t-on établi un code de Nuremberg en 1947 ? Pour des souris de laboratoire ? À l’heure où les déboires du vaccin Astra-Zeneca s’accumulent malgré l’autorisation provisoire de mise sur le marché de l’Agence Européenne du Médicament, [4] le jour où l’UE nous intimera de piquer à notre tour nos enfants pour remplacer les souris, l’accepterons-nous bien docilement ?

« C’est parce qu’il y a des moutons qu’il y a des loups. »

C’est ainsi que Rainer Werner Fassbinder résumait son film « Le droit du plus fort ». Si le grand réalisateur allemand décédé il y a bientôt 40 ans revenait maintenant parmi nous, on pourrait aisément imaginer son effarement en constatant jusqu’à quel point la société d’aujourd’hui qui affiche un égalitarisme sans vergogne, est devenue paradoxalement la plus inégalitaire qui soit, à savoir l’incarnation même de sa mise en garde du siècle dernier !

Dans cette société soudainement devenue folle sous la pression d’une clique de mondialistes corrompus, il appartient à chacun d’entre nous de chasser dès maintenant par tous les moyens, les loups du pouvoir. Après tout, ils ne sont qu’une meute affamée de pouvoir et d’argent. Le jour où nous cesserons de leur donner nos vies à manger, ils mourront.

Appel à un mouvement de révolte générale pour le 22 avril prochain

Article publié dans Le Lancet par des membres du comité scientifique français plaidant pour une révision des stratégies sanitaires

Les lignes sont peut-être en train de bouger (sans que ce ne soit encore tout-à-fait satisfaisant) !
Voici la traduction (informatique) de l’article publié dans Le Lancet par Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy, membres du comité scientifique conseillant le gouvernement français!

Les avantages collectifs de l’immunité de groupe sont devenus semblables à un mantra dans les stratégies de vaccination de masse, répété par les gouvernements et les chercheurs. Toutefois, la place prépondérante de l’immunité collective, présentée comme une solution à la pandémie, pourrait être sur le point de changer avec l’émergence de l’évasion immunitaire, un changement de jeu virologique aussi important que l’arrivée des variantes du CoV-2 du SRAS. La lutte contre l’évasion immunitaire nécessitera une réévaluation des stratégies de santé publique et la création d’un nouveau contrat social fondé sur des preuves.
Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du CoV-2 du SRAS sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus antérieurs (de type sauvage), voire à un vaccin1, 2 . Cette évolution, associée à l’émergence de mutants d’évasion immunitaire, n’a pas seulement été observée avec le CoV-2 du SRAS, mais aussi avec d’autres virus3. L’arrivée rapide de variantes du CoV-2 du SRAS, telles que celles qui ont été identifiées pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil, suggère une « évasion immunitaire naturelle »2 . En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression importante sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant à transmissibilité accrue.

En cas d’évasion immunitaire importante, les vaccins actuels sont susceptibles d’offrir encore certains avantages aux individus. Au niveau de la population, cependant, ils pourraient induire une sélection virale et une évasion, rendant la perspective d’obtenir une immunité collective de plus en plus éloignée.
Ce changement de jeu virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être sans cesse repoussée, à mesure que de nouveaux variants apparaissent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme.
Il est donc temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, qui reposent sur un confinement généralisé, apparemment aléatoire, de type stop-start, comme principale réponse à la pandémie ; des approches qui attendent des citoyens qu’ils attendent patiemment que les unités de soins intensifs soient renforcées, qu’une vaccination complète soit réalisée et qu’une immunité collective soit atteinte.
Jusqu’à présent, les populations ont été relativement complaisantes, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles dans les mouvements de protestation dans plusieurs pays. L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, et le pire est encore à venir en termes de taux de chômage et de dette nationale.4, 5 Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient peu exposées au risque de morbidité et de mortalité lié à l’infection par le SRAS-CoV-2.
Pour garantir au mieux le succès de la vaccination de masse – quel que soit l’impact escompté sur la transmission – et pour ralentir l’émergence de nouveaux variants, tout en évitant le confinement général, les gouvernements doivent intégrer et appliquer les mesures disponibles d’une manière beaucoup plus ciblée sur les différents groupes générationnels. Les différents groupes d’âge ne sont pas touchés de la même manière par le virus ; de mars à juin 2020, 96 % des décès supplémentaires liés à la COVID-19 en Europe sont survenus chez des patients âgés de plus de 70 ans6, 7 .
Il est essentiel que la nouvelle approche soit fondée sur un contrat social clair et transparent, ancré dans les données disponibles et appliqué avec précision à l’ensemble des générations visées. En vertu de ce contrat social, les jeunes générations pourraient accepter la contrainte de mesures de prévention (par exemple, masques, éloignement physique) à condition que les groupes plus âgés et plus vulnérables adoptent non seulement ces mesures, mais aussi des mesures plus spécifiques (par exemple, auto-isolement volontaire selon des critères de vulnérabilité) pour réduire leur risque d’infection. Les mesures visant à encourager l’adhésion des groupes vulnérables à des mesures spécifiques doivent être promues de manière cohérente et appliquées de manière équitable. La mise en œuvre d’une telle approche doit se faire de manière sensible et en conjonction avec le déploiement de la vaccination auprès des différentes cibles de la population, y compris toutes les générations de la société.
Il n’est plus possible d’utiliser le confinement général stop-start comme principale réponse à la pandémie de COVID-19. Bien qu’il soit attrayant pour de nombreux scientifiques et qu’il constitue une mesure par défaut pour les dirigeants politiques qui craignent d’être tenus pour légalement responsables de la lenteur ou de l’indécision des réponses nationales, son utilisation doit être revue, mais uniquement en dernier recours.
Nous, scientifiques qui travaillons contre COVID-19, devons avoir le courage de nous adresser à ceux qui sont au pouvoir, qui portent la responsabilité ultime des politiques choisies et de leurs conséquences. Si cette responsabilité est éludée ou retardée, le jour inévitable du jugement pourrait être terrible.
Nous sommes membres du Conseil scientifique français de COVID-19.

Traduit avec http://www.DeepL.com/Translator

References:

Voir dans l’article original

En complément voir aussi l’article de Réseau International:
https://reseauinternational.net/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/

Nouveau point de la situation et alerte de Alexandra Henrion-Caude

Alexandra Henrion-Caude, généticienne et spécialiste de l’ARN, a tenu à faire un nouveau point de la situation pour la chaîne TV Libertés. Particulièrement intéressant à partir de la 40ème minute où elle dénonce la folie d’administrer des vakx1s à ARN à des individus sains, compte tenu de la connaissance scientifique actuelle.

https://lbry.tv/@Patriotfraf:a/le-samedi-politique-covid-vaccin-la-geneticienne-alexandra-henrion-caude-nous-dit-tout:a

Article CNRS sur l’origine du Covid du 27 octobre 2020 : https://lejournal.cnrs.fr/articles/la…

Communiqué de presse de l’Académie de Médecine du 11 janvier 2021 : https://www.academie-medecine.fr/wp-c…

Déclaration de Great Barrington le 4 octobre 2020 : https://gbdeclaration.org/la-declarat…

Le caractère asymptomatique dans le Covid 19 en Chine : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33219…

Particules infectieuses de grippe chez les vakxinés contre la grippe : https://www.pnas.org/content/115/5/1081

Pharmacovigilance sur le site de l’ANSM : https://www.ansm.sante.fr/Dossiers/CO…

Etude Consentement éclairé sur les risques de formes graves de Covid 19 induit par la vakxination: https://onlinelibrary.wiley.com/doi/e…

L’ARN peut-elle se transformer en ADN ? https://www.francetvinfo.fr/sante/mal…

Protocole Pfizer (146 pages) : https://pfe-pfizercom-d8-prod.s3.amaz…

Effets secondaires du vakx1 Pfizer recensés par la FDA https://www.fda.gov/media/143557

Protestations en Afrique du Sud contre le vakx1 Covid-19 : Bloomberg : https://www.youtube.com/watch?v=fCgbU…

Reuters : https://www.youtube.com/watch?v=09PAS…

Article d’Alexandra Henrion-Caude sur le projet de loi bioéthique https://www.valeursactuelles.com/club…

La brillante et percutante analyse par le Professeur Dolores Cahill, de la gestion de cette crise

Entrevue à ne pas rater et à visualiser dans son entièreté.

Le professeur Dolores Cahill de formation en biologie moléculaire et en immunologie, est professeur en recherche de transfert de découvertes scientifiques du domaine de la santé dans la société pour aider les gouvernements à définir des politiques. Elle a une expérience de plus de 25 ans notamment au sein de l’Institut Max Planck de Berlin et a été conseillère et coordinatrice au niveau de l’UE sur les aspects de la recherche et de l’innovation et leur implications sur les politiques.
C’est sans concession qu’elle analyse la gestion de tous les aspects de cette crise, au niveau des réelles responsabilités tant du point de vue scientifique que politique.

Quelques extraits parmi beaucoup d’autres très percutants:

… une proportion énorme, significative des publications étaient incorrectes et qu’il y avait de la résistance à l’intérieur de la communauté scientifique et de chercheurs à corriger cela.

Il y a 20 ans j’ai conseillé des gouvernements et j’ai constaté qu’un grand nombre de papiers étaient incorrects et que cela conduisait à des décisions gouvernementales incorrectes.

Il n’y a pas besoin de confinement, de distanciation physique ni de masques alors que des traitements efficaces étaient connus depuis le début.

Pour chaque mois de confinement, chaque personne perd un mois de vie.

Les test PCR devraient être séquencés … et qu’un test PCR positif ne veut rien dire et ne contient probablement pas le Sars Cov2 mais d’autres virus circulant.

En tant que Premier Ministre, vous ne pouvez pas déléguer la décision à un expert. Vous avez un job à faire en tant que 1er ministre et vous avez été élu pour analyser objectivement la situation et prendre toutes les décisions que ce soit le confinement que le port du masque par les enfants et assumer toutes les conséquences de ces décisions.

Mise à jour des données scientifiques récentes concernant la politique C0VlD-19

Pour ceux qui ont besoin d’arguments scientifiques sérieux et crédibles

Les mesures de confinement n’empêchent pas les décès, la transmission ne se fait pas par contact, les masques n’apportent aucun bénéfice, les vakx1s sont intrinsèquement dangereux.


Par Denis G. Rancourt – Le 28 décembre 2020 – Source Research Gate

Denis Rancourt.JPG

Les mesures sans précédent de confinement universel, de confinement institutionnel strict des maisons de soins, de masquage universel de la population, d’obsession hygiénique des surfaces et des mains et de déploiement accéléré des vakx1s sont contraires à la science connue et aux récentes études de référence. Le gouvernement a fait preuve d’imprudence par action et de négligence par omission. Des mesures institutionnelles sont nécessaires depuis longtemps pour endiguer la corruption dans le domaine de la médecine et de la politique de santé publique.

  • Contenu de l’article complet à consulter sur le Saker Francophone:
    • Introduction – Pandémie iatrogène de panique
    • La rigueur des mesures n’a aucun effet sur le nombre total de décès attribués à la COVID-19
    • La corruption de la science est mise à nue – Masques et PCR
    • La transmission ne se fait pas par contact
    • Le port du masque dans la population générale n’apporte aucun bénéfice détectable
    • Les vakx1 sont intrinsèquement dangereux

Denis Rancourt, Chercheur, Association des libertés civiles de l’Ontario

L’auteur présente ci dessous ses compétences pour examiner les données scientifiques sur la COVID-19

Je suis retraité et ancien professeur titulaire de physique à l’université d’Ottawa. Le poste de professeur titulaire est le plus haut grade universitaire. Au cours de mes 23 ans de carrière en tant que professeur d’université, j’ai développé de nouveaux cours et j’ai enseigné à plus de 2000 étudiants universitaires, à tous les niveaux, et dans trois facultés différentes (sciences, ingénierie, arts). J’ai supervisé plus de 80 stages de recherche ou diplômes à tous les niveaux, du post-doctorant aux étudiants de troisième cycle en passant par les chercheurs de premier cycle du CRSNG. J’ai dirigé un laboratoire de recherche interdisciplinaire de renommée internationale, et j’ai attiré d’importants fonds de recherche pendant deux décennies.

J’ai été invité une quarantaine de fois à participer à des conférences scientifiques majeures, que ce soit en séance plénière, en tant que conférencier principal ou en session spéciale. J’ai publié plus de 100 articles de recherche dans des revues scientifiques de premier plan évaluées par des pairs, dans les domaines de la physique, de la chimie, de la géologie, de la bio-géochimie, de la science des mesures, de la science du sol et de la science environnementale.

Mon facteur d’impact de l’indice H scientifique est de 40, et mes articles ont été cités plus de 5 000 fois dans des revues scientifiques à comité de lecture (profil sur Google Scholar).

Mes connaissances personnelles et ma capacité à évaluer les faits présentés dans cet article sont fondées sur mon éducation, ma recherche, ma formation et mon expérience, comme suit :

  1. En ce qui concerne les nanoparticules environnementales. Les maladies respiratoires virales sont transmises par la plus petite fraction de taille des particules d’aérosols chargées de virions, qui sont des nanoparticules environnementales réactives. Par conséquent, les stabilités chimiques et physiques et les propriétés de transport de ces particules d’aérosol sont à la base du mécanisme dominant de contagion par l’air. Mes travaux approfondis sur les nanoparticules environnementales réactives sont reconnus au niveau international et portent sur les aspects suivants : précipitation et croissance, réactivité de surface, agglomération, charge de surface, transformation de phase, décantation et sédimentation, et dissolution réactive. En outre, j’ai enseigné la dynamique des fluides (l’air est un fluide compressible) et la sédimentation gravitationnelle au niveau universitaire, et j’ai effectué des recherches sur les applications industrielles de la technologie de filtration (les masques faciaux sont des filtres).
  2. En ce qui concerne la science moléculaire, la dynamique moléculaire et la complexation de surface. Je suis un expert en structures, réactions et dynamiques moléculaires, y compris la complexation moléculaire des surfaces biotiques et abiotiques. Ces processus sont à la base de la fixation des virus, de la fixation des antigènes, de la réplication moléculaire, de la fixation aux fibres des masques, de la charge des particules, de la perte et de la croissance des particules d’aérosol, et de tous ces phénomènes impliqués dans la transmission et l’infection virale, et dans les mesures de protection. J’ai enseigné pendant de nombreuses années la mécanique quantique au niveau universitaire avancé, qui est la théorie fondamentale des atomes, des molécules et des substances ; et dans mes recherches publiées, j’ai développé la théorie et la méthodologie de la diffraction des rayons X pour la caractérisation des petites particules de matériaux.
  3. En ce qui concerne les méthodes d’analyse statistique. L’analyse statistique des études scientifiques, y compris l’analyse robuste de la propagation des erreurs et les estimations robustes des biais, fixe la limite de ce qui peut être déduit de manière fiable de toute étude d’observation, y compris les essais contrôlés randomisés en médecine, et y compris les mesures sur le terrain pendant les épidémies. Je suis un expert en analyse d’erreurs et en analyse statistique de données complexes, au niveau de la recherche dans de nombreux domaines scientifiques. Les méthodes d’analyse statistique sont à la base de la recherche médicale.
  4. En ce qui concerne la modélisation mathématique. Une grande partie de l’épidémiologie est basée sur des modèles mathématiques de transmission et d’évolution des maladies dans la population. J’ai des connaissances et une expérience au niveau de la recherche en matière de modèles mathématiques prédictifs et exploratoires et de méthodes de simulation. J’ai des connaissances d’expert liées aux incertitudes des paramètres et aux dépendances des paramètres dans ces modèles. J’ai réalisé des simulations approfondies de la dynamique épidémiologique, en utilisant des modèles compartimentaux standard (SIR, MSIR) et de nouveaux modèles.
  5. En ce qui concerne les méthodes de mesure. En science, il existe cinq grandes catégories de méthodes de mesure : (1) la spectroscopie (y compris la spectroscopie nucléaire, électronique et vibratoire), (2) l’imagerie (y compris la microscopie optique et électronique, et l’imagerie par résonance), (3) la diffraction (y compris la diffraction des rayons X et des neutrons, utilisée pour élaborer des structures moléculaires, des défauts et des structures magnétiques), (4) les mesures de transport (y compris les taux de réaction, les transferts d’énergie et les conductivités), et (5) les mesures des propriétés physiques (y compris la densité spécifique, les capacités thermiques, la réponse aux contraintes, la fatigue des matériaux…). J’ai enseigné ces méthodes de mesure dans un cours interdisciplinaire de troisième cycle que j’ai développé et donné à des étudiants de troisième cycle (M.Sc. et Ph.D.) en physique, biologie, chimie, géologie et ingénierie pendant de nombreuses années. J’ai fait des découvertes et des progrès fondamentaux dans les domaines de la spectroscopie, de la diffraction, de la magnétométrie et de la microscopie, qui ont été publiés dans des revues scientifiques de premier plan et présentés lors de conférences internationales. Je connais la science des mesures, la base de toutes les sciences, au plus haut niveau.

La « Double Ruine » et ses soubassements

La tactique de Macron pour détruire la France et asservir le peuple français.

Ce qui va être décrit ici est à la fois simple et monstrueux. Les faits sont tellement accablants qu’ils devraient suffire à provoquer, dans une République digne de ce nom, un électrochoc et un renversement. Encore cet article ne prétend-il pas épuiser la liste des scandales ni élucider tous les dessous de l’opération… Tandis que les contre-pouvoirs sont complices ou neutralisés, que les gros médias sont transformés en outils de propagande, le peuple manipulé est-il encore capable de réaction ? L’heure est bien trop grave pour se perdre en conjectures. Il s’agit simplement de mettre en évidence l’effroyable machination qui s’accomplit actuellement. De sorte que le jour du douloureux réveil, quand le Pays sera changé en champ de ruines, personne ne pourra dire à ses enfants et à ses petits-enfants qu’il ne savait pas.

Avertissement : En temps ordinaire, un article s’inscrit dans un débat d’idées au long cours. On argumente, on ergote, on a tout le temps. La situation actuelle est totalement différente. Nous sommes dans une course contre la montre. Chaque jour qui passe, multipliant les mensonges et les subterfuges, Macron pousse plus loin sa logique de destruction de la France. Sous prétexte de lutter contre un virus dont le taux de létalité plafonne de son aveu même à 0,6 %, les libertés publiques sont piétinées et l’économie essuie des coups d’une violence inouïe. Il ne suffit donc pas d’écrire un article, de le discuter, ni même de le diffuser. Il faut, au plus vite, une prise de conscience collective. La politique macronienne, au mieux insensée et destructrice, au pire retorse et criminelle, doit être interrompue DE TOUTE URGENCE. Ses dégâts sont déjà immenses. A attendre encore, ils seront irréparables. Et le Pays pourrait ne jamais s’en relever. Français, réveillez-vous vite ! Car il sera bientôt trop tard.

Lire la suite de l’article sur le site de Mediazone

Alexandre Gerbi
Ancien professeur au Lycée Lyautey de Casablanca, ancien journaliste, Alexandre Gerbi est l’auteur de Histoire occultée de la décolonisation franco-africaine, Imposture, refoulements et névroses (L’Harmattan, 2006), de La République inversée, Affaire algérienne (1958-1962) et démantèlement franco-africain (avec Raphaël Tribeca, L’Harmattan, 2011), de Histoire inavouable de la Ve (…)

Quand de grands médecins dénoncent les politiciens jouant au docteur

Le Dr Roger Hodkinson, professeur de médecine et actif dans un laboratoire vendant des tests intervient dans une assemblée publique au Canada pour dénoncer l’absurdité des mesures politiques de port du masque, de distanciation physique, de confinement et de destruction de l’économie etc … totalement disproportionnées par rapport à l’aspect peu dangereux de ce virus.

Un autre grand médecin s’exprime sur le même sujet.

Selon une étude scientifique, le confinement et les mesures sanitaires strictes n’auraient aucun impact sur la mortalité du virus.

L’étude publiée le 19 novembre, sur Frontier in Public Health sur la mortalité du Covid19 dans 188 pays, confirme peut-être ce que beaucoup pensent tout bas : il n’existerait aucun lien entre le confinement, des mesures sanitaires strictes et la mortalité du virus.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont notamment étudié, pour chaque pays :
– l’espérance de vie ;
– le nombre de décès liés au cancer, aux maladies cardiovasculaires, chroniques et infectieuses ;
– les taux d’obésité, d’inactivité et de sédentarité ;
– la richesse économique ;
la sévérité des mesures anti-covid des gouvernements ; 

 Deux types de pays ont alors émergé  :
Les pays dits « riches », avec des taux élevés de maladies chroniques et cardiovasculaires et une population vieillissante et sédentaire : ils se situent en Amérique du Nord, en Europe et dans une partie de l’Asie ;
Les pays moins riches, avec des populations plus jeunes et des taux élevés de maladies infectieuses (dengue, malaria, etc.), plutôt localisés en Afrique, en Amérique du Sud et en Asie du Sud-Est. 

Et voici ce que conclut l’étude : les pays les plus riches ont payé le plus lourd tribut face au virus, sans lien avec la sévérité des mesures imposées.

Dans les pays riches, nous avons tendance à vivre plus longtemps mais aussi à être moins actifs que dans les pays moins développés.
Or, la sédentarité est une cause majeure de comorbidités : hypertension, diabète et troubles cardiovasculaires pour les principales. 

La mortalité élevée du virus dans nos sociétés est donc surtout liée à la vieillesse de la population, et à notre mode de vie.

Et les chiffres donnent raison aux chercheurs :

En France, depuis le 1er mars 2020,
– 91,7 % des décès du Covid avaient plus de 65 ans, avec un âge médian de 84 ans [i] ;
– 65 % des morts du virus souffraient d’une co-morbidité (une hypertension artérielle dans 24 % des cas, une pathologie cardiaque pour 35%) ;
– 44 % de ces décès ont eu lieu en maison de retraite, une proportion atteignant 59 % en Norvège et 72 % en Espagne[iii].

Au 5 novembre 2020, le taux de mortalité était de 0,05 %. Vous aviez donc 1 risque sur 2000 de mourir du virus… et 99,05 de chance d’y survivre!

À titre de comparaison, au cours de sa vie, une personne à 1 risque sur 6 de mourir d’un accident cardiovasculaire. Et cela ne nous empêche pas de vivre !

Le problème, c’est que l’incertitude dans laquelle nous plonge cette pandémie nous fait surestimer les risques.

Et les médias ou le gouvernement en profitent pour imposer des mesures de plus en plus décriées et pesantes pour beaucoup d’entre nous.

Abstract de l’étude:

Contexte

Les territoires de développement humain ont été sévèrement limités par la pandémie Covid-19. Une dynamique commune a été observée, mais sa propagation n’a pas été homogène sur chaque continent. Nous visions à caractériser les paramètres non viraux les plus associés au taux de mortalité.

Méthodes

Nous avons testé les principaux indices de cinq domaines (démographie, santé publique, économie, politique, environnement) et leurs associations potentielles avec la mortalité de Covid-19 au cours des 8 premiers mois de 2020, à travers une analyse en composantes principales et une matrice de corrélation avec un test Pearson de corrélation. Les données de tous les pays ou états des pays fédéraux, indiquant au moins 10 cas de décès, ont été extraites des sites publics officiels. Pour les pays qui n’ont pas encore terminé la première phase épidémique, un modèle prospectif a été calculé pour fournir des options d’évolution des taux de mortalité.

Résultats

Des taux de mortalité Covid plus élevés sont observés dans la latitude [25/65 °] et dans les plages de longitude [−35 / −125 °].
Les critères nationaux les plus associés au taux de mortalité sont l’espérance de vie et son ralentissement, le contexte de santé publique (charge des maladies métaboliques et non transmissibles (MNT) par rapport à la prévalence des maladies infectieuses), l’économie (croissance du produit national, soutien financier) et l’environnement (température , indice ultraviolet).
La rigueur des mesures prises pour lutter contre la pandémie, y compris le verrouillage, ne semble pas liée au taux de mortalité.

Conclusion

Les pays qui ont déjà connu une stagnation ou une régression de l’espérance de vie, avec des revenus élevés et des taux de MNT, avaient le prix le plus élevé à payer. Ce fardeau n’a pas été allégé par des décisions publiques plus strictes.
Des facteurs inhérents ont prédéterminé la mortalité Covid-19: leur compréhension peut améliorer les stratégies de prévention en augmentant la résilience de la population grâce à une meilleure forme physique et une meilleure immunité.

Le confinement en question : des professionnels de santé posent un regard différent

Un montage vidéo d’Eric Remacle

La preuve de l’immunité collective en quelques graphiques

Lettre Santé Corps Esprit de Xavier Bazin du 25 novembre 2020.

Cher(e) ami(e) de la Santé,
Il n’y a strictement plus aucune bonne raison de confiner, en FranceLe confinement cause des dégâts économiques majeurs et des ravages sur la santé mentale des Français.Les avantages ? Il n’y en a aucun, en ce moment.Sur LCI, le journalise David Pujadas a eu l’honnêteté de l’expliquer clairement.Regardez la vidéo, elle dure 2 minutes et en vaut la peine :https://www.youtube.com/watch?v=Po1cGksY40c
Son premier argument est celui-ci: le pic des contaminations a eu lieu le 2 novembre, soit le 4ème jour seulement du confinement. Impossible, donc, que la baisse puisse être causée par le confinement, qui prend toujours plus de temps à faire son œuvre.Il suffit de regarder ce qui s’est passé en mars-avril dernier : le confinement n’a absolument pas enrayé l’épidémie, qui a mis encore plus de 2 semaines à atteindre son pic :
Mars avril
D’ailleurs, déjà au printemps dernier, il n’y avait pas de preuve que la décrue était seulement liée au confinement. Car la Suède a aussi atteint son pic épidémique à peu près au même moment, en avril, alors qu’elle a refusé de confiner sa population ! En voici la preuve, avec le nombre de morts de mars à juillet en Suède :
Nombre de morts Suède
Donc, ce n’est pas le confinement qui explique le recul spectaculaire du nombre de cas et d’hospitalisations. Du coup, certains au gouvernement aimeraient nous faire croire que cette décrue est liée au couvre-feu. C’est assez étrange d’imaginer qu’une mesure aussi « faible » pourrait avoir un impact aussi fort. Mais si vous aviez un doute, sachez que la baisse a été la même dans les communes frappées par le couvre-feu et dans celles qui n’étaient pas concernées !
Donc, le couvre-feu n’y est pour rien. Alors pourquoi cette baisse ? D’où vient-elle ? Et d’ailleurs, pourquoi étions-nous nombreux à l’avoir anticipée, en disant que reconfiner était inutile ?
La raison tient en deux mots : immunité collective. Regardez ce qui se passe dans le grand Est et en Ile de France. Si cette deuxième épidémie ne m’a jamais inquiétée, c’est parce que j’avais les yeux rivés sur ce qui se passait en Ile de France et dans le Grand Est, les deux régions les plus touchées en mars-avril. Or depuis le début de l’automne, je vois que les chiffres sont bons, dans ces deux régions. La semaine dernière, le Canard Enchaîné a fini par publier un article sur ce phénomène :« En octobre, avant même le couvre-feu et le reconfinement, les experts avaient constaté que le nombre d’infections et d’hospitalisations augmentait moins vite en Ile de France que presque partout ailleurs sur le territoire. La capitale et sa banlieue affichaient alors des taux d’incidence du virus presque deux fois inférieurs à ceux de Lyon, des deux Savoie ou de Saint-Etienne, qui avaient été pratiquement épargnés au printemps ».
Et le journal enfonce le clou :« Le phénomène s’est révélé plus frappant encore dans Paris intra-muros, qui, avec la Seine-Saint-Denis, a été la zone francilienne la plus touchée en mars et en avril.La baisse atteignait déjà 20 % le 2 novembre, et le phénomène continue depuis dans la ville la plus dense d’Europe, terrain de jeu idéal pour le coronavirus.La diminution, en revanche, apparaît plus faible au sein de la grande couronne moins peuplée et moins atteinte au printemps. »
Sans immunité collective, Paris, dense et très peuplée, aurait dû être lourdement frappée par la deuxième épidémie. Et pourtant, ce n’est pas le cas.

A l’inverse, les départements d’Ile-de-France moins touchés par l’épidémie au printemps auraient dû être davantage épargnés… et c’est le contraire qui s’est produit !Selon le Canard enchaîné, même le Pr Delfraissy, le très pessimiste président du Conseil scientifique, commence à envisager sérieusement l’hypothèse de l’immunité collective.
Mais pour moi, c’est plus qu’une hypothèse : c’est la seule explication possible à ce qu’on observe.
Regardez bien la forme des courbes d’hospitalisations en Ile de France et le grand Est, entre mars et aujourd’hui :
A gauche, on voit le pic épidémique de mars-avril, et à droite, une vague trois fois moins haute à l’automne. C’est le signe clair que ces deux régions largement touchées au printemps sont désormais relativement protégées contre une explosion des hospitalisations. Maintenant, regardez ce qui s’est passé en Rhône-Alpes et PACA, deux régions beaucoup moins touchées au printemps : c’est l’inverse !
Dans ces deux régions épargnées au printemps, la deuxième épidémie a causé deux fois plus d’hospitalisations que la première ! On ne peut pas avoir meilleure preuve de l’immunité collective.
Et la bonne nouvelle, c’est que le virus a désormais circulé largement, partout en France. Donc si on a une troisième épidémie en janvier prochain ou en octobre 2021, l’impact à attendre dans tout le pays sera logiquement encore plus faible que celui, très modéré, qu’on observe en ce moment en Ile-de-France et dans le grand Est. Même phénomène entre la Suède et la République Tchèque.
On observe les mêmes courbes inversées entre la Suède, qui n’a jamais confiné, et la République tchèque, qui s’est barricadée en mars-avril. En Suède, la deuxième épidémie fait peu de morts en ce moment, parce que l’immunité collective a commencé à jouer.
En République tchèque, au contraire, le pays a réussi à étouffer dans l’œuf l’épidémie au printemps, en fermant radicalement ses frontières… mais n’a rien pu faire à l’automne :
Vous noterez au passage qu’en Suède comme en République tchèque, la décrue de l’automne a commencé à peu près au même moment, comme dans tous les pays européens. Alors que ces pays ont des politiques de confinement et de masque très différentes ! Confinement ou pas confinement, l’épidémie est en décrue partout en Europe.
Même chose en Belgique : là-bas, la décrue est spectaculaire, et ne peut pas être liée au confinement, qui a été décidé après le pic épidémique :
Belgique
Et on observe le même phénomène dans les grandes capitales européennes, à Londres ou Rotterdam.Conclusions : RÉ-OUVRONS LE PAYS, VITE ! Tout ceci montre deux choses assez clairement : Les mesures comme le confinement ne peuvent pas grand-chose sur la dynamique de l’épidémie. Il est donc inutile de confiner, et il faut arrêter le massacre tout de suite.
Et surtout, on peut être très optimiste pour la suite ! Avec cette deuxième épidémie, les régions françaises comme PACA et Rhône-Alpes sont désormais au moins aussi bien « protégées » que l’Ile de France ou le Grand Est ! Cela veut dire qu’en cas de recrudescence prochaine, le système hospitalier ne sera pas engorgé – comme il a bien résisté cet automne à Paris, en Seine-Saint-Denis ou en Alsace. Il n’y a donc plus AUCUNE raison de priver les Français de leurs libertés fondamentales. Et il n’y a plus AUCUNE raison de vouloir les vacciner massivement, encore moins de force. Mais évidemment, vu les milliards déjà dépensés pour les vaccins, et le lobbying de Big Pharma, cela va causer de grosses tensions dans les mois qui viennent.
On en reparle très bientôt.
Bonne santé,
Xavier Bazin

Voir aussi l’article de France Soir: Deuxième vague conséquence directe du premier confinement

Un autre montage vidéo d’Eric Remacle sur les tests PCR

Très belle lettre ouverte au ministre belge de la santé.

Ce courrier a été envoyé ce 17 novembre par Annes Bouria au ministre de la Santé et également transmis à Éliane Tillieux, présidente de la Chambre des représentants.

« Monsieur le Ministre fédéral en charge de la santé publique,

Dans le cadre d’une interpellation purement citoyenne, permettez-moi de vous solliciter en vue d’obtenir des réponses aux questions relatives aux articles en annexe à la présente et concernant la mise en perspective des chiffres sur la covid en Belgique.

  1. Qu’ont concrètement mis en place les autorités fédérales en ce qui concerne les moyens hospitaliers pour faire face à la situation de “2eme vague” qu’elles redoutaient tant depuis plus de 6 mois ?
  2. Pourquoi n’existe-t-il absolument aucune politique de prise en charge des patients atteints de la covid en ambulatoire (hors hospitalisation) ? Cette politique de non prise en charge ne serait-elle pas, entre autres, à l’origine de la sur-fréquentation hospitalière covid, et à fortiori de la surmortalité covid ?
  3. Au vu de la fiabilité discutable en terme diagnostic des tests PCR de détection du SARS-Cov2, des patients admis et répertoriés « covid », sont-ils tous malades à cause d’une infection au SARS-COV2, ou certains sont-ils victimes d’autres infections respiratoires tout en étant porteurs du SARS-COV2 sans que ce dernier soit la cause majeure de leur état clinique ? Idem pour les décès classés “covid”, peut- on affirmer avec certitude que les décès “covid” ont bien tous pour origine majeure une infection au Sars-Cov2 ?
  4. S’il est communément admis qu’il s’écoule généralement un délai de 10 à 15 jours entre des mesures sanitaires prises pour limiter la propagation du Sars-Cov2 et ses effets escomptés, comment prouver l’efficacité de ce nouveau confinement sur l’évolution de l’épidémie sachant que, comme il est démontré dans l’article, le pic de cet épisode épidémique fut atteint aux alentours du 25 octobre ? Quelles sont les preuves scientifiques en terme d’efficacité des mesures de confinement sur la mortalité générale ? Pourquoi n’avoir jamais évalué sérieusement la balance risque/bénéfice de la stratégie de confinement, tant en matière médicale que socio-économique ?
  5. S’il semble très probable que le SARS-Cov2 prenne une tendance à la saisonnalité et qu’une variante particulière du SARS-Cov2 (le variant4) soit à l’origine de ce pic épidémique d’automne, pourquoi maintenir une dialectique de culpabilisation du citoyen rendant ce dernier principalement responsable, par ses comportements, de la situation, alors que cet épisode automnal traduit une évolution classique, identifiable et quantifiable de la dynamique d’une épidémie virale ? Pourquoi maintenir la même politique sanitaire pour une infection virale qui a vu son taux de létalité apparent divisé par 5 au cours des 6 derniers mois dans notre pays (15,7 % au 31 Mai 2020 contre 2,8 % à ce jour) ?
  6. Dans le cadre des éventuelles futures campagnes de vaccination que votre législature semble pressée d’engager, pouvez-vous garantir à chaque citoyen le droit au consentement éclairé ainsi qu’au refus de se voir administrer ce vaccin à la technologie inédite, et ce, en vertu de la loi sur les droits des patients du 22 aout 2002, du respect de l’article 23 de la constitution et du code de Nuremberg ?
  7. Enfin, quelle est la légitimité constitutionnelle des mesures sanitaires prises récemment ? Les membres de votre gouvernement sont-ils conscients des conséquences lourdes sur le plan des libertés fondamentales ainsi que sur la pérennité d’un état de droit démocratique ?

Dans l’attente de vous lire, je vous remercie d’avance pour l’attention que vous porterez à cette requête et vous prie d’accepter, Monsieur le Ministre, l’expression de ma haute considération.

Annes Bouria – Pharmacien
Membre du Collectif interprofessionnel Transparence-Coronavirus pour l’objectivité de l’information et la liberté thérapeutique. »

Source: journal KAIROS, journal belge antiproductiviste et pour une société décente

Alexandra Henrion-Caude: origine du Sars-cov-2, brevet/scoop, actu 2e vague covid-19 & traitements.

Une analyse pour Nexus, d’Alexandra Henrion-Caude, en termes de mise-au-point d’une série de sujets occultés à propos de cette « épidémie ». Notamment des éléments d’analyse du virus en relation avec des brevets déposés, qui tendent à privilégier l’hypothèse d’une origine artificielle de celui-ci.

Sources :

Lien vers le brevet : https://patentimages.storage.googleap…

« La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement », article CNRS : https://lejournal.cnrs.fr/articles/la…

200 avocats appellent « au déconfinement et à défendre la vie sous tous ses aspects »

Ci-dessous la tribune de ces avocats.

Alors qu’il y a quelques jours encore il n’était « pas question de reconfiner », Emmanuel Macron a finalement annoncé ce que beaucoup craignaient : la mise en place d’un nouveau confinement général et forcé.

Nous, avocats et juristes de toutes spécialités et de tous territoires de France, exerçant notre libre arbitre et notre liberté d’expression, manifestons notre indignation face à l’injustice de cette mesure.

Après la sidération passée du premier confinement, nous pensons qu’un tel consentement aux violations de nos libertés et de nos modes de vies n’est ni viable ni légitime et que cette mise sous cloche de l’ensemble des Français aura des effets collatéraux majeurs qui seront plus délétères que le virus lui-même.

Ayant tout autant à cœur de défendre la vie que les thuriféraires du confinement, nous refusons le mauvais rôle qui nous est assigné et la fausse morale que l’on nous oppose.

Nous rejoignons bien sûr l’avis du Président de la République qui a déclaré que rien n’était « plus important que la vie humaine », mais nous pensons que le confinement général relève d’une approche réduite à la seule biologie de la vie qui oublie que la santé est également, selon la définition de l’OMS, « un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Protéger la vie implique donc de prendre en compte l’ensemble de ses aspects qui sont tout aussi sociaux, culturels, spirituels, politiques et économiques que sanitaires.

Nous comprenons la colère et les inquiétudes des médecins et personnels de santé et demandons au Gouvernement de leur apporter les moyens nécessaires à l’exercice de leurs professions. Alors que le soutien aux hôpitaux aurait dû être la priorité de l’exécutif ces six derniers mois, ce dernier s’est laissé déborder et préfère brandir la menace d’un effondrement du système de santé lui permettant d’imposer des mesures qu’il qualifie arbitrairement d’ultime recours pour ne pas avoir à étudier d’autres options, qui existent pourtant. C’est ainsi faire offense aux médecins et aux Français en laissant croire qu’ils ne sont pas en mesure de gérer la crise que nous traversons.

Par la mise à l’arrêt d’une bonne partie du pays, le Gouvernement sacrifie les plus courageux d’entre les nôtres : les entrepreneurs, les indépendants, les artisans ceux qui ont pris des risques pour investir et créer, donnant à ce pays couleur et vie, ainsi que leurs salariés. Pourtant la misère humaine et sociale qui découlera de ce reconfinement (faillites, dépressions, suicides, pauvreté, troubles psychologiques, renoncements aux soins) entrainera elle aussi de nombreux morts, mais forcément moins visibles à court terme… Si des mesures de soutien ont bien été annoncées, ces dernières ont été prises au prix d’un endettement inédit de notre pays, qui ruinera, demain, et nos enfants et les marges de manœuvres politiques de notre Nation.

Si nous sommes en guerre comme l’a déclaré maintes fois l’exécutif, c’est de courage dont nous avons besoin et non d’une gouvernance par la peur qui nous pousse à la culpabilisation moralisatrice et à l’acceptation du pire par la crainte. Cette crainte étant d’ailleurs souvent irrationnelle : rappelons que l’âge médian des décès est de 84 ans selon les dernières statistiques de Santé Publique France. Contraindre à l’inactivité la majeure partie de la population, empêcher tout effort de guerre, tout sursaut est une bien curieuse manière de mener un combat !

Nous nous inquiétons ainsi du devenir de cette société du risque zéro qui serait prête à ne plus vivre pour ne pas mourir et sacrifier pratiquement tout, ses conditions normales de vie, les rapports sociaux, le travail, et même les amitiés, les affects et les convictions politiques et religieuses, à la menace de se contaminer.

En tant que juristes nous alertons également tout particulièrement sur la torsion du droit que justifierait la lutte contre la pandémie. Tout état d’exception, même justifié par une situation sanitaire exceptionnelle, implique un risque de dérive. Ainsi notre droit est désormais soumis à l’injonction technico-scientifique des médecins et du Conseil scientifique qui imposent leur vision de spécialistes au détriment d’une vision politique plus globale qui se doit de mettre en balance différents intérêts. Et la santé de devenir une obligation juridique à remplir à tout prix…

Rappelant que l’OMS a souligné les effets délétères du confinement et nous fondant notamment sur les travaux de l’Institut des droits de l’homme des avocats européens et l’Institut des droits de l’homme du barreau de Paris, nous estimons que le confinement forcé général est disproportionné dans son atteinte à nos libertés publiques, injuste, contraire au bien commun et donc illégal. Le Gouvernement se doit d’adapter ses mesures pour protéger les personnes fragiles et celles exposées aux formes les plus graves de la pandémie sans sacrifier l’ensemble des citoyens qui permettent aux pays de survivre.  

Nous joignant à de nombreux entrepreneurs et maires de communes ayant tiré la sonnette d’alarme, nous demandons donc à l’exécutif de permettre le déconfinement des forces vives de notre pays et aux élites de tous bords de faire entendre leurs voix pour protester contre ces mesures qui toucheront le plus durement nos plus humbles concitoyens.

Vous aussi signer cette tribune en cliquant ICI

Ont signé cette tribune :

Thibault Mercier, Avocat, Président du Cercle Droit & Liberté
René Boustany, Avocat, Vice-Président du Cercle Droit & Liberté
Ivan Aubert, Juriste, Secrétaire Général du Cercle Droit & Liberté
Henri-Louis Delsol, Avocat
Georges Sauveur, Avocat
Jean-Pierre Martel, Avocat
Carbon de Seze, Avocat, ancien Secrétaire de la Conférence, ancien membre du Conseil de l’Ordre
Jacques Trémolet de Villers, Avocat, ancien Secrétaire de la Conférence
Diane Lamarche, Avocat
Damien Challamel, Avocat
Guillaume Rougier-Brierre, Avocat
Bruno Ducoulombier, Avocat
Elizabeth Oster, Avocat, Ancien Membre du Conseil National des Barreaux
Xavier Delsol, Avocat
Jean-Philippe Delsol, Avocat
Jean-Baptiste de Varax, Avocat, Secrétaire de la Conférence du barreau des Hauts-de-Seine
Bernard Carayon, Avocat, ancien député, maire de Lavaur (81)
Dominique Bompoint, Avocat
Olivier Matuchansky, Avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation
Etienne Boursican, Avocat
Dan Benguigui, Avocat
Ludovic Malgrain, Avocat
Charles Rouvier, Avocat
Geoffroy de Vries, Avocat
Nathalie Dubois, Avocat
Ruben Koslar  Avocat
Pierre Delicata, Avocat
Thomas Mitteau, Avocat
Nathalie Deleuze, Avocat
Valentin Le Dily, Avocat
Laurent Frölich, Avocat
Morgane Pages, Avocat
Alexandre Jaurett, Avocat
Caroline Mecary, Avocate, ancien membre du Conseil de l’Ordre
Olivier de Maison Rouge, Avocat
Pascale de Calbiac, Avocat
Jean-Eudes Delsol, Avocat
Valérie Tandeau de Marsac, Avocate
Pierre Gentillet, Avocat
Lionel Devic, Avocat
Benoit de Lapasse, Avocat
Olivia Chiron, Avocate
Claire Allavena, Avocat
Grégoire Belmont, Avocat
Claire Perret, Avocat
Harold Turot, Avocat
Jérôme Triomphe, Avocat
Mathilde Haas, Avocat
Alexis Marraud des Grottes, Avocat
Franck De Vita, Avocat
Alice d’Anthoüard, Avocat
Anne-Laure Grasset, Avocat
Arthur de Dieuleveult  , Avocat
Benoit Pardigon, Avocat
Thierry D’Ornano, Avocat
Marianne Leloup, Avocat
Marielle Lorcy, Avocat
Edith Delbreil Sikorzinki, Avocat
Éric Cusas, Avocat
Jochen Bauerreis, Avocat
Thomas de Wailly, Avocat
Veronique Moissinac, Avocat
Nicole Foulquier, Avocat
Leïli Chahid-Nouraï, Avocat
Martine Ruffier, Avocat
Delphine Driguez, Avocat
Françoise Besson, Avocat
Francois-Xavier Guerin, Avocat
André Bonnet, Avocat
Jean-Marc Le Gars, Avocat
Benoit Sevillia, Avocat
David Wolff, Avocat
Diane Granboulan, Avocat
Isabelle Quenet, Avocat
François-Régis Boulloche, Avocat au conseil d’Etat et à la cour de cassation
Blanche Magarinos-Rey, Avocat
Eric Barateau, Batonnier du barreau de Périgueux
Eric Quentin, Avocat
Paulin de Moustier, Avocat
Nicolas Fady, Avocat
David Dassa-Le Deist, Avocat
Alexandre Giorgi-Vigo, Avocat
Clélie de Lesquen-Jonas, Avocate
Juliette Bissière, Avocat
Michaël Neuman, Avocat
Neubauer Cathy, Avocat
Ariane Bourgeois, Avocat
Marc Gateau Leblanc, Avocat
Jason Benizri, Avocat
Yannick Le Port, Avocat
Vianney de Bagneaux, Avocat
Emmanuel Avramesco, Avocat
Aurore Chasseloup Léauté, Avocat
Cyrille Dutheil de la Rochere , Avocat
Pierre François, Avocat
François Derouet, Avocat
Pauline Remy-Corlay, Avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation
Louis Renucci, Avocat
Charles Nairac, Avocat
Bertrand Liard, Avocat
Loic Heron, Avocat
Agnes Roux, Avocat
Helene Daher, Avocat
Anaïs Cruveiller, Avocat
Jean de Bazelaire, Avocat
Bruno Le Griel, Avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation
Camille de Rambures , Avocat
Sébastien Cottignies, Avocat
Tanneguy de Bellescize, Avocat
Cyprien Feilhes, Avocat
Loïc Lerate, Avocat
Victoria Hogard, Avocat
Catherine Rouvier, Professeur de droit, avocat
Sara Ladjevardi, Avocat
Viraj Bhide, Avocat
Théo Armbruster, Avocat
Jean Leroy, Avocat
Louis-François Gueret, Avocat
Jérôme Chomel de Varagnes, Avocat
Emilie Ronchard, Avocat
Emilie Lucas-Barthes, Avocat
Aude Bronner Bardet, Avocat
Gabrielle Perrin, Avocat
Chloé Zylberbogen, Avocat
Marie de Drouas, Avocat
Thomas Hermetet, Avocat
Jean-Jacques Pujol, Avocat
Marine de Brem, Avocat
Lorenzo Barresi, Avocat
Pauline du Fayet, Avocat
Joël Heslaut, Avocat
Anne-Cécile Bloch, Avocat
Edith Lagarde-Bellec, Avocat
Valentine Donnadieu, Avocat
Coralie Morineaux, Avocat, Mayeul de Saint-Seine, Avocat
Constance Le Vert, Avocat
Vanessa Landais, Avocat
Louis Neret, Avocat
Adeline le Gouvello, Avocat
Pierre-Vincent Lambert, Avocat
Audray Launay, Avocat
Sendegul Aras, Avocat
Fabienne Aubry, Avocat
Marion Borghi, Avocat
Capucine Augustin, Avocat
Louis Aliot, Avocat
Alain Chevalier Jehan de Johannis, Avocat
Isabelle Minard, Avocat
Virginie de Mecquenem, Avocat
Benoît Monin, Avocat
Charles-Philippe Letellier, Avocat
Gaspard Lindon, Avocat
Tristan Herrera, Avocat
Florian de Mascureau, Avocat
Lorraine Bertagna, Avocat
Santiago Muzio de Place, Avocat aux Barreaux de Lyon et de Buenos Aires
Philippe Marion, Avocat
Amaury de Saint-Amand, Avocat
Marguerite Vauban, Avocat
Thaïs Lambert, Avocat
Thierry Bouclier, Avocat
Pierre Pic, Avocat
Steeve Batot, Avocat, Docteur en Droit public
Valentine Billot-Villey, Avocat
Armelle Josseran, Avocat
Philippe Couturier, Avocat
Sophie Guillaud, Avocat
Edmon Geneau, Avocat
Martin Noire, Avocat
Marie-Liesse Buet, Avocat
Sophie Grouberman, Avocat
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Anne-Marie Chaix, Avocat
Diane Pasturel, Avocat
Anne Morineaux-de Martel, Avocat honoraire
Jacques-Louis Colombani, Avocat
Olivier Pasturel, Avocat
Jean-Marie Algoud, Avocat
Joy Benjamin, Avocate
Sylvie Dupraz, Avocat
Gilles Moreau, Avocat
Flavie De Meerleer, Avocat
Olivier d’Aligny, Avocat
Amandine Burattini, Avocat
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Henri Brandford Griffith, Avocat
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Tanguy Barthouil, Avocat
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Valérie Heron Estour, Avocat
Benoît de Boysson, Avocat, Docteur en droit
Frederic Pichon, Avocat
Corine Ruimy, Avocat
Bernard Rineau, Avocat
Caroline Lyannaz, Avocat
Xavier Filet, Avocat
Maria Carrière, Avocat
Aude Ducret, Avocat
Nicolas Lisimachio, Avocat
Beatrice des Rotours, Avocat
Jean et Hélène, Gautier de la Plaine, Avocats
Simon Martin-Gousset, Avocat (en attente de prestation de serment)
Jean-Pierre Gasnier, Avocat honoraire, ancien professeur associé Aix Marseille Université
Jacques Lafond, Avocat honoraire
Laurent Faugerolas, Ancien Avocat
Jean-Louis Harouel, Professeur émérite d’histoire du droit à l’Université Panthéon-Assas
Guillaume Drago, professeur agrégé des Facultés de droit
Guillaume Bernard, Historien du droit
Nicolas Sild, Professeur de droit public à l’Université Toulouse 1 Capitole
Alexandre Deroche, Professeur à l’Université de Tours
Aude Mirkovic, maître de conférences en droit privé
Laurent Hecketsweiler, Professeur de droit
Joël Hautebart, Professeur d’histoire du droit
Bertrand Pauvert, Maître de conférences
Pierre-Louis Boyer, Maître de conférences
Philippe Pichot, Maître de conférences HDR en histoire du droit
Elise Frelon, Maître de Conférences HDR en Droit
Gilles   Lebreton, Professeur de droit
Olivier Tournafond, Professeur Agrégé des Facultés de Droit
Suzanne Hovasse, Professeur honoraire des facultés de Droit
Stéphane Caporal-Greco, Professeur de droit
Claude Guibert, Expert judiciaire
Catherine Hamet, Mandataire judiciaire
Clémence Robert, Mandataire judiciaire à la protection des majeurs
Caroline Delorme, Directrice juridique
Ambroise Chartier, Notaire
Lucie Cabaner, Notaire
Antoine Delsol, Notaire
Jean Dupont-Cariot, Notaire
Pierre-Antoine de Bouvet, Notaire
Martin Bretagne, Notaire
Jean-Philippe  Camus, Notaire
Cédric Milhat, Docteur en droit, Chargé d’enseignement à Paris XIII
Claire de La Hougue, Docteur en droit
Pascaline Leroy, Docteur en droit
Guillaume Bricker, Docteur en droit
Victor Fouquet, Doctorant en droit
Aïda Manouguian, Doctorante en droit
Stanislas de Hauteclocque, Doctorant
Alexandre Lacroix, Enseignant-Chercheur (droit)
Hélène Terrom, Enseignant-chercheur
Nicolas Bauer, juriste et doctorant en droit
Guillaume Louis-Calixte, Juriste
Estelle-Marguerite Devisme, Juriste
Anne-Laure de la Forest Divonne, Juriste
Corinne Bourhis, Juriste
Sylvain Casubolo, Juriste
Clément Bazin, Juriste
Raphaël Kaufmann, Juriste
Nathalie Roux, Juriste
Delphine Loiseau, Juriste diplômé avocat
Antoine Broquaire, Juriste
Lolie Garcia, Juriste
Peggy Jaccotet, Juriste
Géraldine van den Broek, Juriste
Louise Lefebvre, Juriste
Jean-Marie Hupel, Juriste
Lucie Lourdelle, Juriste
Julien Grall, Juriste
Corentin Pecqueur, Juriste
Alexandra Mulon, Juriste
Cédric Salguero, Juriste
Alexandre Brunelat, Juriste
Anaïs Titah-Zerizer, Juriste
Alix Desies, Juriste
Aymeric Chaignot, Juriste
Sophie Bellais, Juriste
Matthieu le Tourneur, Juriste
Benoit Pontoizeau, Juriste
Paul Souchon, Juriste
Anne-Claire Tillard, Juriste titulaire du CAPA
Magali Le Pape, Juriste d’entreprise, Doctorante en droit privée
Doris de Thibault, Juriste
Lucie de Gayardon, Juriste
Paul Lacoste, Juriste
Camille Note, Ancien avocat et juriste en entreprise
Arnaud de Solminihac, Juriste
Olivia Sarton, Juriste
Milena Koleva, Juriste
Aissata Kaba, Juriste
Baptiste Ferraud, Juriste
Balthasar van Roosendaal, Juriste
Francesco Biuso, Juriste et Doctorant en Philosophie du Droit
Sabine Le Conte, Juriste
Fabrice Bodin, Juriste
Berenice Levy Tournafond, Juriste
Helene Lavoissiere, Juriste
Marie Lasserre, Juriste
Alexandra Sebban, Juriste
Fanélie Thibauf, Juriste
Raphaelle Paillat, Juriste
Colin Crombac, Juriste
Magali Dudel, Juriste
Damien Girault, Juriste
Guillaume Delteil, Juriste
Thibaut Durox, Juriste, ancien avocat
Alexandra Gatault, Clerc d’huissier de justice
Hugo Kerbib, Élève-avocat
Maxime Thiébaut, Docteur en droit, élève-avocat
Lorène Aujames, Étudiante en droit
Alexandre Auriol, Étudiant en droit
Robin Cherigie, Étudiant en droit
Jeanne Peron, Etudiante en Droit
Gwladys Dessemon, Etudiante en Droit

Y’ a-t-il eu une première vague de COVID-19?

Entretien avec le chercheur Denis Rancourt (déjà auteur de l’étude sur l’inefficacité des masques) sur les conséquences des mesures pour contrer le Covid-19. Ce sont ces mesures elles-mêmes qui semblent expliquer les pics particuliers de mortalité de mars, sans que la mortalité générale n’en ait été affectée. Analyse aussi sur les causes géo-politiques de cette pandémie de propagande.

Analyse brillante d’Idriss Aberkane sur l’obligation du port du masque

Après avoir vigoureusement découragé le port du masque notre gouvernement le rend peu à peu obligatoire en tout temps et en tous lieux. Dans cette vidéo Idriss Aberkane vous propose une analyse des réels enjeux sous-jacents..

00:00:00 Introduction

00:00:13 Le port du masque en France

00:02:15 L’histoire d’Ignace Philippe Semmelweis

00:03:15 Le scandale du charnier de Paris-Descartes

00:04:19 Le port du masque obligatoire, fausse bonne idée ?

00:13:18 Parité vs Vérité

00:17:19 Les phénomènes de cour

00:20:35 Les données et la sciences

00:23:02 Conclusion