L’heure de la surveillance:  » Humains augmentés et intelligence artificielle « 

Patrick Jaulent, PhD Computer & Science Expert en cyber surveillance, ancien directeur au sein d’une des plus grandes agences de cyber surveillance, nous fait une synthèse (ou un rapprochement d’informations) qui nous permet de voir vers quel monde « ils » veulent nous emmener:

  • QR code ADN
  • Formation d’experts en reconnaissance faciale
  • Lois et projets de loi sur la surveillance en relation avec ces technologies de reconnaissance et de surveillance
  • Système de reconnaissance sur base du rythme cardiaque
  • Technologies basées sur laser infra-rouge de longue portée pour compléter la reconnaissance faciale par la reconnaissance du rythme cardiaque

Source: Radio Réveil

EN COMPLEMENT:

NTD Le modèle du contrôle chinois copié en Occident – Technologie quantique

Psychose de Masse – Comment une Population Entière Devient Mentalement Malade

La vidéo originale en anglais, très compréhensible et plus aisée à visionner (pas de sous-titres qui cachent le dessin, synchronisme entre écrit et la parole).


	

Covidisme : texte du philosophe strasbourgeois Reza Moghaddassi

Texte du philosophe strasbourgeois Reza Moghaddassi

Agrégé de philosophie, M. Reza Moghaddassi publie un texte fort, simple, limpide. Que vont-ils faire ? le traiter lui aussi de complotiste ! d’antivax ! de Gilet jaune ! Effectivement, comme démontré par une étude du MIT, un très grand nombre de personnes sceptiques sont intelligentes et diplômés contrairement à la propagande ridicule de la Doxa.



A tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner.

Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.

Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.

Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.

Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.

Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.

Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

Pardonnez-moi d’exister

Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de s’encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.

Vous avez raison le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.
Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.

Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.

Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.

Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.

C’est pour notre bien.

Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital

C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.

c’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.

c’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du doliprane et de rester à la maison.

C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du doliprane.

C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de dose de remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.
c’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires ! ), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.

C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long terme.

C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.

C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du covid.
C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.

C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.

C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.

C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.

C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.

C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.
C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme mort du covid une majorité de gens morts avec le covid.

C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les Gafam pour censurer les lanceurs d’alerte sur you tube, sur twitter, sur Facebook.

C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.

C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.
C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fou, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.
Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.

Trop bête pour comprendre

Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.

Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.

Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.

Trop bête pour comprendre

Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.

Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.

Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.

Que si une personne âgée meurt en ayant le covid, elle meurt du covid mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.

Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels mais que nous devons fermer les yeux.

Trop bête pour comprendre

Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.

Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.

Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième dose et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel.
Trop bête pour comprendre

Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.

Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.

Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.
Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.

Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.

Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.

Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.

Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.

Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.
Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.

Inversion

Je dois, en effet, comprendre que :

La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire

L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle

Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche

Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.

Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.

Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.

Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.

Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.
Merci de nous dispenser de penser.

Reza Moghaddassi, le 23 juillet 2021

La résistance au 21e siècle est-elle encore possible ?

Mika Denissot

La résistance au 21e siècle en France est-elle encore possible ?
Depuis ces deux dernières années, les mouvements de résistants ne sont pas nombreux en France (et dans d’autres pays du monde) dû à la pression politique du gouvernement, et le déploiement massif des fausses informations des médias de masse sur les réseaux sociaux qui jouent un rôle important pour empêcher toute tentative de résistance, guerre ou combat.
Chez les Français en particulier (mais aussi dans d’autres les pays du monde), y a plus de soumission que de résistance.

Alors oui, parfois on voit des débuts de résistance, une action par-ci par-là, un déploiement sur les réseaux qui donne l’impression d’un déploiement de mouvement de résistants, une sensation d’organisation puis tout s’arrête. Ce manque de résistance, de mouvement, d’organisation en réseaux, cette soumission, de mon point de vue, est fondé sur un manque de valeurs profondes et spirituelles concernant le sens de la vie. Et nous savons qu’en France le sens de la vie n’est pas forcément une question mise en avant, plaçant la spiritualité dans un rang loin derrière, empêchant in fine toute libération et déploiement de son âme.
Et plus loin, comment entrer en résistance, suivre des mouvements si au préalable je ne sais pas pourquoi je me lève chaque matin ?
À quoi correspond chaque début de journée ?
Quelles intentions va créer mon histoire aujourd’hui et mon histoire globale ? Et plus loin quel est mon rôle dans ce pays puis dans ce monde ?

Sans avoir répondu à cette question du sens, à mon avis il n’est pas possible d’avoir cette énergie de résistance face à l’oppression politique. La résistance pour moi, (résistance qui a pour intention la libération d’un point de vue holistique), au vu de la guerre silencieuse qu’il y a entre le gouvernement Français par exemple et les Français résistants ou pas, c’est cette capacité à dépasser cette peur de la mort d’un point de vue holistique. Celui qui n’a plus peur de mourir dans son ensemble, est inattaquable. Faire partie des résistants et entrer en résistance au 21e siècle, c’est avoir cette capacité à dépasser toutes ses propres « morts » dans sa vie (confort, image de soi etc.), à être prêt à mourir pour sa liberté.
Celui qui s’est affranchi de la mort devient une réelle menace pour la société, car la seule arme que les gouvernements, la seule l’armée qu’elle a sur ses esclaves, c’est la peur de la mort. Si vous habitez en France et que vous voulez entrer en résistance, il est nécessaire de rejoindre un réseau ou une organisation de résistants, de préférence en France pour pouvoir vous mettre en action dans cette guerre du peuple silencieux contre la libération de nos êtres. Seul vous n’êtes pas assez résilient et n’aurez pas assez de force de résistance face à l’armée de médias construits comme un réseau solide de contre résistants en face de vous. Seul, face à l’armée de dirigeants qui mènent une politique autoritaire pour gagner cette guerre silencieuse qui marque un nouveau virage dans notre histoire que ce soit en France ou dans les autres pays, vous n’aurez pas assez de forces physiques et mentales… Alors oui, la résistance, c’est la libération de la peur de la mort d’un point de vue holistique. La résistance c’est aussi comprendre que chacun d’entre nous à un rôle à jouer dans cette guerre sournoise. La résistance c’est créer une armée de lumière, un réseau d’hommes et de femmes de toute tradition, nation et pas seulement de Français et française, pour mettre en place un plan d’action d’un petit réseau d’abord, puis local, puis national et tout fait pour garder notre régime démocratique, pour empêcher ces règles liberticides et pour ne pas sombrer dans des régimes communistes où quel que soit tout autre régime politique qui rendrait toute la zone Europe et Française en particulier invivable. C’est cela la résistance !

Lettre ouverte aux non vakxinés » de huit scientifiques canadiens

Posted by Jean-Dominique Michel 

A l’heure où la France a basculé dans la tyrranie suite à la démission de son « Conseil constitutionnel » de remplir sa mission d’être garant des droits et libertés fondamentales, je re-publie traduite par mes soins et in extenso la lettre ouverte publiée par le Pr Denis Rancourt et sept autres scientifiques canadiens. Il paraît presque […]OLDERNEWER

A l’heure où la France a basculé dans la tyrranie suite à la démission de son « Conseil constitutionnel » de remplir sa mission d’être garant des droits et libertés fondamentales, je re-publie traduite par mes soins et in extenso la lettre ouverte publiée par le Pr Denis Rancourt et sept autres scientifiques canadiens.

Il paraît presque lointain le temps où les endoctrinés nous moquaient lorsque nous évoquions la perspective d’une société à la chinoise où les personnes et leurs corps seraient devenus la propriété des états (et des groupes qui les contrôlent). Se gaussaient avec force ricanements de la perspective d’une vakxination obligatoire avec un produit génique expérimental et d’un pass sanitaire établissant un véritable apartheid avec des citoyens de première et de seconde zone.

Nous y sommes désormais. Étant donné que cela n’a plus rien à voir avec une quelconque réalité sanitaire, il semble en effet s’agir un plan bien huilé qui se déroule au mépris de toute réalité.

Les « résistants » (oui, je continuerai à les appeler pour ce qu’ils sont face aux dirigeants et aux collaborateurs de cette dérive évidemment totalitaire) ont bien besoin de soutien, d’encouragement et de réconfort.

Les « élites » ayant vendu leur âme (cf. cette cohorte « d’éthiciens » qui viennent nous expliquer à quel point tout ceci est éthique alors que des « scientifiques » prétendent trouver que les opposants sont en quelque sort des démeurés) à nous de cultiver, entretenir et muscler la nôtre.

Oh, by the way, le Massachussets Institute of Technology (l’équivalent de l’EPFL en plus prestigieux) a mis en lumière qu’à l’inverse, les personnes sceptiques (qualité rationnelle faut-il le rappeler…) sont en moyenne plus éduquées et cultivées que ceux qui adhèrent aveuglément à des injonctions « sanitaires » de plus en plus aberrantes et liberticides. Et n’ont dans leur immense majorité aucun lien avec les théories complotistes : elles savent simplement se questionner sur la question complexe d’un rapport bénéfice – risque…

Quand il s’agira de remettre les « Corruption & Propaganda Awards », il y aura pléthore de nominés chez nous comme ailleurs.

D’ici là, veillons à rester pleinement lucides sur la réalité de ce qui se déroule, dont la trame semble (hypothèse forte) pertinemment résumée par le physicien et spécialiste de l’ « Intelligence Artificielle », Philippe Guillemant.

Le chercheur de l’OCLA, le Dr Denis Rancourt, et plusieurs collègues universitaires canadiens ont écrit une lettre ouverte pour soutenir ceux qui ont décidé de ne pas accepter le vakx1 C0VlD-19.

Le groupe insiste sur le caractère volontaire de ce traitement médical ainsi que sur la nécessité d’un consentement éclairé et d’une évaluation individuelle des risques et des bénéfices. Ils rejettent la pression exercée par les responsables de la santé publique, les médias et les médias sociaux et les concitoyens.

Le contrôle de notre intégrité corporelle pourrait bien être l’ultime frontière de la lutte pour la protection des libertés civiles.

Lettre ouverte aux non vackxinés

Tu n’es pas seul ! Au 28 juillet 2021, 29 % des Canadiens n’avaient pas reçu de vakx1 contre la COVID-19 et 14 % de plus n’avaient reçu qu’une seule injection. Aux États-Unis et dans l’Union européenne, moins de la moitié de la population est entièrement vakxinée, et même en Israël, le « laboratoire du monde » selon Pfizer, un tiers des personnes restent totalement non vakxinées. Les politiciens et les médias ont adopté un point de vue uniforme, faisant des non-vakxinés des boucs émissaires pour les difficultés qui continuent de se produire après dix-huit mois d’alarmisme et de confinement. Il est temps de remettre les pendules à l’heure.

Il est tout à fait raisonnable et légitime de dire « non » à des vakx1s insuffisamment testés pour lesquels il n’existe aucune science fiable. Vous avez le droit de faire valoir la souveraineté sur votre propre corps et de refuser les traitements médicaux si bon vous semble.

Vous avez raison de dire « non » à une atteinte à votre dignité, votre intégrité et votre autonomie corporelle. C’est votre corps, et vous avez le droit de choisir. Vous avez raison de vous battre pour vos enfants, contre leur vakxination de masse à l’école.

Vous avez raison de vous demander si un consentement libre et éclairé est possible dans les circonstances actuelles. Les effets à long terme sont inconnus. Les effets transgénérationnels sont inconnus. La dérégulation de l’immunité naturelle induite par le vakx1 est inconnue. Les dommages potentiels sont inconnus, car la déclaration des événements indésirables est retardée, incomplète et incohérente entre les territoires.

Vous êtes pris pour cible par les médias grand public, les campagnes d’ingénierie sociale du gouvernement, les règles et politiques injustes, les employeurs collaborateurs et le harcèlement sur les médias sociaux. On vous dit que vous êtes maintenant le problème et que le monde ne peut pas revenir à la normale si vous ne vous faites pas vakxiner. Vous êtes vicieusement visés en tant que bouc émissaire de la propagande et même les personnes qui vous entourent font peut-être pression sur vous. Rappelez-vous : ce n’est pas vous le problème.

Vous êtes accusé à tort d’être une usine pour les nouvelles variantes du SRAS-CoV-2, alors qu’en fait, selon des scientifiques de premier plan, votre système immunitaire naturel génère une immunité contre plusieurs composants du virus. Cela favorisera votre protection contre une vaste gamme de variants viraux et empêche toute propagation à qui que ce soit (contrairement au vakx1, NdT).

Vous avez raison d’exiger des études indépendantes évaluées par des pairs, et non financées par des sociétés pharmaceutiques multinationales. Toutes les études évaluées par des pairs sur l’innocuité et l’efficacité à court terme ont été financées, organisées, coordonnées et soutenues par ces sociétés à but lucratif ; et aucune des données d’étude n’a été rendue publique ou disponible pour les chercheurs qui ne travaillent pas pour ces entreprises.

Vous avez raison de remettre en question les résultats préliminaires des essais vakxinaux. Les valeurs élevées revendiquées d’efficacité relative reposent sur un petit nombre d’ »infections » déterminées de manière ténue. Les études n’étaient pas non plus en aveugle, où les personnes administrant les injections savaient ou pouvaient déduire si elles injectaient le vakx1 expérimental ou le placebo. Il ne s’agit pas d’une méthodologie scientifique acceptable pour les essais de vakx1s.

Vous avez raison dans vos appels à une diversité d’opinions scientifiques. Comme dans la nature, nous avons besoin d’une polyculture de l’information et de ses interprétations. Et nous n’avons pas cela en ce moment. Choisir de ne pas prendre le vakx1 laisse de la place à la raison, à la transparence et à la responsabilité. Vous avez raison de demander : « Qu’arrive-t-il ensuite lorsque nous abandonnons l’autorité sur notre propre corps ? »

Ne soyez pas intimidés. Vous faites preuve de résilience, d’intégrité et de courage. Vous vous rassemblez dans vos communautés, élaborez des plans pour vous entraider et défendez la responsabilité scientifique et la liberté d’expression, qui sont nécessaires à l’épanouissement de la société. Nous sommes parmi ceux qui sont à vos côtés.

Angela Durante, PhD

Denis Rancourt, Ph.D.

Claus Rinner, PhD

Laurent Leduc, PhD

Donald Gallois, PhD

John Zwaagstra, PhD

Jan Vrbik, PhD

Valentina Capurri, PhD

Devenir résistant et résilient quand le monde est sous le choc

Rien n’est plus comme avant et rien ne sera jamais plus comme avant, et ceci est une bonne nouvelle. Le futur, c’est nous qui le créons aujourd’hui. C’est-à-dire que ce que nous allons léguer aux futures générations dépend à 100% de choix et actions.

Et force est de constater que devenir résistant et résilient sont les maitres mots en 2021.

Être résistant, c’est rester connecté quoi qu’il arrive à ses valeurs. Et être résilient, c’est apprendre et se préparer en cas d’effondrement systémique et de décisions politiques avec des lois liberticides.

Plus que jamais, il est nécessaire d’agir dans le réel, dans sa vie privée, seul et collectivement. Et rappelez-vous l’avenir appartiendra aux résistants et aux résilients.

Telegram le canal sans censure : https://t.me/mikadenissot

Chroniques du totalitarisme 1 – La mise au pas du 12 juillet 2021

Source: Anne Bilhéran

Article prévu pour parution dans l’Antipresse, abonnez-vous !
Autorisation exceptionnelle donné pour une parution avant l’heure ici, au vu de l’actualité. Un immense merci à Slobodan Despot et à l’Antipresse, pour faire vivre le contradictoire, et tracer l’étroit sentier de vérité des témoins.

« Nous avons poussé si loin la logique dans la libération des êtres humains des entraves de l’exploitation industrielle, que nous avons envoyé environ dix millions de personnes aux travaux forcés dans les régions arctiques et dans les forêts orientales, dans des conditions analogues à celles des galériens de l’Antiquité. Nous avons poussé si loin la logique, que pour régler une divergence d’opinions, nous ne connaissons qu’un seul argument : la mort. »

Koestler, A. Le Zéro et l’Infini.

« Nous avons poussé si loin la logique dans notre politique sanitaire au nom de la santé pour tous, que nous persécutons les soignants, médecins et infirmiers, et les malades. Notre nouvelle définition de la santé est l’indifférence au consentement, le refus des soins adaptés et de la prescription par les médecins. Nous soignons les bien-portants (nous nommons malades des gens qui ne le sont pas) et délaissons les vrais malades. Le corps de chaque citoyen appartient désormais à l’État qui peut en jouir comme bon lui semble pour ses expérimentations médicales, et celui qui ne s’y soumettra pas, nous le négligerons, le maltraiterons puis le tuerons, qu’il s’agisse d’un malade qui désirait être soigné, ou d’un soignant qui désirait travailler », pourra tout aussi bien dire un haut cadre repentant du nouveau parti du totalitarisme sanitaire actuel.

Le discours d’Emmanuel Macron du 12 juillet 2021 a opéré comme un coup de semonce dans la société française. Le pouvoir s’y est exprimé de façon tyrannique, clivant la société en deux catégories : les bons citoyens obéissants, et les autres. Sur les autres, la coercition sera exercée ; le pouvoir entend « soumettre ou démettre ». Nous nageons en plein harcèlement de masse, et je rappellerai la définition que j’en avais donné en 2006 : « Le harcèlement est un phénomène politique lié à l’histoire de l’humanité. Il « vise la destruction progressive d’un individu ou d’un groupe par un autre individu ou un groupe, au moyen de pressions réitérées destinées à obtenir de force de l’individu quelque chose contre son gré et, ce faisant, à susciter et entretenir chez l’individu un état de terreur » (Bilheran, 2006). Mode d’expression de l’abus de pouvoir, de l’autoritarisme, de la tyrannie, il s’oppose à l’autorité comme le pouvoir injuste s’oppose au pouvoir juste. Il est la méthode parfaite d’asservissement utilisée par les paranoïaques dont je dis souvent qu’il est le « chef-d’œuvre »[1]. »

Bien entendu, un tel discours est traumatique et sidérant. Revendiquer le « choix de la liberté » en imposant de telles contraintes, avec une telle violence (chantage, menace etc.), sur les vies, serait un paradoxe risible, si cela n’entraînait pas des conséquences tragiques.

Que cherche le harcèlement ?[2] Conduire à l’autodestruction. Cette autodestruction débute par l’inflammation émotionnelle suscitée par les harceleurs : peur, colère, rage, impuissance, tristesse etc. Maîtrisons nos émotions. Qu’elles soient des guides, mais ne commandent pas. Car si les émotions commandent, elles nourrissent le sadisme des harceleurs. Elles font leur jouissance.

Que craignent les harceleurs ? Que nous les envisagions tels qu’ils sont : des fous, des pervers ou des paranoïaques qui font des crises de tyrannie car ils n’ont pas grandi, et demeurent psychiquement immatures, sans capacité de maîtriser leurs pulsions de transgression et de meurtre. Et que nous puissions leur opposer notre indifférence, celle du parent qui ne cèdera pas au caprice. Les peuples doivent éduquer leurs gouvernants, et non le contraire. Les ministres sont étymologiquement, les serviteurs du peuple. Un gouvernement qui prétend éduquer son peuple bascule aisément en tyrannie.

Pour cela il faut bien réfléchir : sur quels pans de nos vies les harceleurs ont-ils une prise ? Il est inutile de crier sa colère à un harceleur : il s’en délectera. Certains s’imaginent qu’en éliminant le pouvoir harceleur, avec des méthodes révolutionnaires, le problème sera solutionné ! Rien n’est moins sûr, car le venin de la paranoïa s’est immiscé dans le corps social, la méfiance de tous contre tous, le clivage et la persécution des jugés « non-essentiels », inutiles, dangereux ou mauvais. Ce n’est pas nécessairement parce que l’on élimine le gourou de la secte que la secte s’arrête. Parfois, la tête du gourou repousse. Et même, ce peut être en pire.

En revanche, ne plus donner rien de soi, ceci est un long processus qui demande un travail de distanciation interne, mais nécessaire. Nous avons l’illusion de nous connaître. Nous croyons naïvement que si l’on nous supprimait nos repères, nous ne saurions pas faire face. Le totalitarisme risque de pousser de nombreuses personnes au fond de leurs retranchements, dans ce lieu de leur être où elles toucheront l’expérience de l’amour inconditionnel, de la transcendance, de la pulsion de vie, de l’énergie spirituelle comme le nommait Bergson, ce qui en retour leur donnera la foi, la force, le courage et la détermination.

L’heure de la persécution paranoïaque a sonné. Les ennemis semblent désignés, mais ne nous y trompons pas. Il ne faut jamais croire le langage de la perversion. Elle vous assure que, si vous consentez à faire ce que vous ne souhaitez pas faire, alors vous serez tranquille et tout ira bien pour vous. Elle exige que vous renonciez à un petit bout de territoire de vous-même. Puis, la boîte de Pandore étant ouverte, il vous sera toujours demandé plus, et encore plus. C’est le fonctionnement même de l’emprise perverse, de la mise en esclavage psychique et physique.

Alors, peut-être qu’aujourd’hui certains se rassurent, en se disant que, s’ils sont des citoyens obéissants, ils seront épargnés, puisque la vindicte désigne une catégorie d’individus en particulier dans un corps social désormais considéré malade, et qu’il conviendrait d’amputer. C’est une erreur.

Dans les systèmes harceleurs, tous ceux qui se soumettent docilement et font du zèle, espérant passer entre les gouttes, finissent par être persécutés puis exécutés.

Car la paranoïa est une folie raisonnante ; il faut entendre qu’elle n’a rien de rationnel et ne s’embarrasse pas de contradictions. Au diable la logique ! La logique devient ce que l’angoisse psychotique exige : de la persécution, du sang, des morts, pour se calmer, toujours temporairement. Aussi, cela procède à l’arbitraire, et par vagues. Tous les totalitarismes ont agi ainsi.

Soljenitsyne nota bien l’incrédulité des gens ; ils pensaient être de bons citoyens bolchéviques, n’avoir rien à se reprocher et pourtant, les rafles ne les épargnaient pas ! Cette incrédulité leur donnait ainsi l’illusion que quelqu’un s’apercevrait bien de leur innocence… mais rien n’est plus faux car leur erreur était la croyance aveugle en l’existence d’une rationalité, dans ce qui n’était qu’une folie empruntant de façon frauduleuse l’apparence de la raison.

Ne pas comprendre qu’il s’agit d’une folie au sens propre, d’une psychose paranoïaque qui perfuse sa contagion délirante dans le collectif, rend vulnérable.

L’individu perd du temps à tenter de justifier une logique rationnelle et raisonnable à ce qui n’est que langage infatué d’un délire ne s’embarrassant pas du principe de non-contradiction ! Ne pas se préparer psychologiquement au déferlement de la violence est une erreur, aussi. Car la paranoïa fait régresser les individus psychologiquement fragiles, et ils sont nombreux, dans la « banalité du mal »[3], celle que la charge traumatique du discours d’Emmanuel Macron a autorisée cette semaine en France. J’ai recueilli plusieurs témoignages de refus de soins d’êtres humains dans des hôpitaux ou cliniques car ils n’étaient pas « vaccinés »., notamment celui d’un chantage aux soins pulmonaires contre obligation vaccinale à un jeune non-vacciné, ou encore le refus de soins dentaires à un retraité non-vacciné, ou encore un ultimatum donné à une personne diabétique avec blessure : elle ne serait plus reçue, même en urgence, sans test ou sans ce que le pouvoir a convenu d’appeler un « vaccin ».

Le peuple français est harcelé, et certains, pensant atténuer la violence du harcèlement sur leur personne, font du zèle pour devenir les instruments de persécution des autres. Ils n’ont vraisemblablement eux non plus pas compris comment cela fonctionne… L’arbitraire, la logique de quotas, la recherche du mouvement éternel permettant d’assurer un contrôle des masses sont les ressorts des passages à l’acte du pouvoir totalitaire. Combien de maltraitances, combien de détresse, combien de souffrances, combien de persécutions, combien de morts, ce nouveau régime laissera-t-il dans l’Histoire ? Ce qui est sûr, c’est qu’il ne s’arrêtera pas en si mauvais chemin.

La psychose paranoïaque s’engage toujours au bout du déferlement totalitaire, avant d’agoniser en un râle exsangue, dans les mares de sang qu’elle a elle-même provoquées.

Puisque, depuis plus d’un an, nous ne parlons plus que de maladies et de morts, l’heure est venue pour ce type de questionnements métaphysiques : au moment de ma mort, aurai-je été en accord avec ma conscience concernant mon passé, mes actes, mes paroles ? Car il n’y aura rien d’autre que nous emporterons avec nous, que le scrupule moral dont notre conscience est le maître, et qu’elle nous oppose dans son miroir. « L’œil était dans la tombe et regardait Caïn »[4]… est-ce cela que l’on désire pour soi-même ?

Le totalitarisme accule à un choix, le non-choix devenant un choix par défaut : soit accepter de se faire avaler dans la pieuvre géante, en renonçant à son intimité et à tout ce qui constitue son individualité (le sacrifice total exigé par la paranoïa), soit déclarer sacré l’être humain en tant que régi, non pas par les nouvelles lois de la nouvelle normalité totalitaire, mais par des lois transcendantes et immuables (ne pas tuer, ne pas transgresser).

Nous voici encore et toujours revenus à Créon et Antigone.

Où placer le sacré dans notre existence ?

« Il n’y a que deux conceptions de la morale humaine, et elles sont à des pôles opposés. L’une d’elles est chrétienne et humanitaire, elle déclare l’individu sacré, et affirme que les règles de l’arithmétique ne doivent pas s’appliquer aux unités humaines – qui, dans notre équation, représentent soit zéro, soit l’infini. L’autre conception part du principe fondamental qu’une fin collective justifie tous les moyens, et non seulement permet mais exige que l’individu soit en toute façon subordonné et sacrifié à la communauté – laquelle peut disposer de lui soit comme d’un cobaye qui sert à une expérience, soit comme de l’agneau que l’on offre en sacrifice. »[5]

Seule la Littérature est capable de restituer l’expérience totalitaire, car elle invite à retourner dans l’intime, cet intime que le pouvoir paranoïaque veut dévorer, de façon cannibale, en bloquant les issues de secours à l’incorporation, l’intime des sentiments, les états d’âme, la vibration de l’être en proie à ses doutes, à ses errances, à son désespoir mais également à sa volonté, à ses aspirations, à ses décisions, à ses convictions. Dans le cadre des ateliers « Littérature et Totalitarisme », qui auront lieu à partir du 12 août 2021, je mettrai notamment au travail l’œuvre de Koestler, Le Zéro et l’Infini[6].

Un dernier mot : nous ne sommes que de passage… dans ce « theatrum mundi », où nous jouons tous des rôles, desquels nous sommes plus ou moins dupes, où les uns et les autres se jugent (de mauvais citoyens mettant en danger les autres en n’acceptant pas les contraintes imposées par le gouvernement, de mauvais citoyens contribuant à la perte des libertés etc.), je suggère de revenir en ce moment à la méthode phénoménologique de Husserl dont je perçois de plus en plus qu’elle a été conceptualisée en réaction à l’idéologie totalitaire nazie : l’épochè.
Qu’est-ce que l’épochè ?
C’est la suspension du jugement, un antidote salutaire face à la surinterprétation paranoïaque qui a contaminé l’espace social. Suspendre son jugement face au délire, ne pas tenter d’y rentrer ni de le comprendre à tout prix, suspendre son jugement face à la surexposition des signes et des interprétations données. Suspendre son jugement et s’en distancer, pour ne pas sombrer dans les effets projectifs en miroir (que l’on voit si souvent dans les phénomènes harceleurs), et notamment, ne surtout pas sombrer dans « la fin justifie les moyens », adage politique selon lequel, pour se libérer du tyran, et au nom d’un autre idéal tyrannique (liberté et abolition de l’oppresseur « à tout prix »), il devient permis de devenir tyran à son tour en utilisant des méthodes similaires.

Ataraxie (suspension des émotions – absence de troubles émotionnels) et épochè (suspension du jugement) sont des outils de la philosophie, qui peuvent aider au témoignage, car c’est bien le témoin qui en définitive humanisera toute cette affaire, en ce qu’il inscrira les traces et la mémoire, et fera vivre l’adage latin « Homo sum humani a me nihil alienum puto »[7].

Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme.

[1] « Le harcèlement, chef-d’œuvre de la paranoïa », article paru dans Santé mentale n° 243, décembre 2019. https://www.arianebilheran.com/post/le-harcelement-chef-d-œuvre-de-la-paranoia
[2] Pour ceux qui souhaitent approfondir les mécanismes du harcèlement, je renvoie à ma somme sur le sujet : https://www.arianebilheran.com/product-page/harcelement-psychologie-et-psychopathologie
[3] Pour reprendre l’expression d’Hannah Arendt.
[4] Poème « La Conscience » de Victor Hugo.
[5] Koestler, A. Le Zéro et l’Infini.
[6] https://www.arianebilheran.com/service-page/atelier-littérature-et-totalitarisme
[7] Terence repris par Montaigne dans le célèbre « je suis un homme, et rien d’humain ne m’est étranger ».

Macron: sortir du jeu pervers

Si vous ne connaissez pas votre cerveau, ils s’en occuperont pour vous.

3 points à comprendre absolument, quitter la scène de la manipulation perverse, payer le prix de ses choix.

Accéder aux bons outils pour se poser les bonnes questions permet d’agir au lieu de réagir. Si vous ne faites pas partie de la solution, vous faites partie du problème.

https://qactus.fr/2021/07/14/q-videos-ek-macron-france-sortir-du-jeu-pervers/

Lien alternatif: https://lbry.tv/@emakrusi:5/La-Voix-d-Ema-Macron-Poker-perversion-et-guerre-psychologique:7

Manifeste de Kokopelli : Pour une insurrection fertile

Source: Kokopelli

Nous ne sommes pas une organisation politique ; nous ne sommes adhérents d’aucun parti, d’aucun dogme scientifique, d’aucune théorie farfelue. Nous sommes simplement une association œuvrant depuis plus de 20 ans à la protection de la biodiversité, dans un contexte de criminalisation de nos activités, de harcèlement judiciaire, mais aussi d’instrumentalisation des institutions et de la législation par une industrie agrochimique toute puissante.

L’Association Kokopelli est forte, à ce titre, d’une longue expérience de défense de l’intérêt général et de lutte contre la tyrannie des intérêts commerciaux prenant les habits de la République. De ces longs et multiples combats nous avons tiré un enseignement fondamental : le gouvernement et les règles qu’il édicte sont rarement le reflet du bien commun. Au contraire, l’intervention du pouvoir exécutif n’est généralement dictée que par des intérêts mercantiles, eux-mêmes représentés par telle ou telle industrie, et ce risque est d’autant plus important que les intérêts financiers en jeu sont grands, comme c’est le cas, hélas, en matière de santé et de maladie.

Aujourd’hui, comme tous les Français, nous tentons de survivre à la crise actuelle sous une férule administrative et policière qui ne cesse de se durcir et qui prend chaque jour davantage le visage du terrifiant roman d’anticipation de George Orwell, 1984.

Aussi nous prenons la plume pour donner l’alerte et appeler à une insurrection fertile, avant qu’il ne soit trop tard et que la tyrannie sanitaire, qui se matérialise sous nos yeux chaque jour un peu plus, ne devienne une réalité irréversible.

Pourquoi sommes-nous aussi inquiets alors que certains croient qu’il s’agit seulement d’un mauvais moment à passer et que les choses reviendront à la normale « lorsque nous en aurons fini » avec ce vilain virus ?

  1. Tout d’abord parce que les mesures restrictives mises en place lors des périodes de crises ne sont jamais retirées complètement par la suite (1). D’ailleurs, le gouvernement a déjà tenté de faire entrer dans le droit commun un grand nombre de ces mesures (2) et de les muer ainsi en instruments banals de contrôle et de répression que le pouvoir exécutif pourra actionner à sa discrétion ;
  2. Parce que, dans un contexte d’évolution constante du virus (3) et de la très faible mortalité qui lui est attachée (4) (0,15 % en moyenne (5)— y compris les très nombreux décès « avec COVID ») — bien loin des 3,4 % estimés initialement par l’OMS (6), nous croyons qu’il est extravagant de prétendre vouloir « éradiquer » un organisme désormais dans notre écosystème, aux côtés de centaines de milliers d’autres, sous le seul prétexte qu’il est nouveau. Cela nous conduira immanquablement à d’autres scenarios excessifs comme celui que nous vivons actuellement. L’OMS (7)et l’industrie pharmaceutique (8) ont d’ailleurs annoncé il y a des mois que ce coronavirus allait devenir endémique sur toute la planète et que nous allions devoir vivre avec lui « pour toujours » ;
  3. Ensuite, parce que le lot de mesures incroyablement liberticides qui accompagne les annonces contradictoires et singulièrement arbitraires de l’exécutif (9) nous est imposé sans le moindre respect du processus démocratique (10), dans un contexte de destitution du Parlement (11) et d’abus (12) sans précédent des habilitations à légiférer par ordonnances(12) ;
  4. Parce que la stratégie gouvernementale de lutte contre la “pandémie” s’appuie sur les opinions technico-médicales (13) exprimées par une poignées de personnalités scientifiques, non dépourvues de conflits d’intérêts (14) , dont les décisions impactent dramatiquement tous les domaines de la vie sociale et économique du pays (15). Ainsi, les médecins sont loin d’être les seuls concernés et ne devraient donc pas être les seuls consultés(14) ;
  5. Parce que les fondements statistiques et scientifiques des décisions qui sont prises, s’ils étaient maigres et incertains au début de la crise, sont aujourd’hui très largement contestés par la communauté scientifique (16) elle-même, lorsqu’ils ne sont pas tout simplement inexistants (17)  ;
  6. Parce que malgré cela les mesures les plus infantilisantes (18), dégradantes, voire délétères sont maintenues et même durcies : le port du masque toute la journée et dans tous les lieux de vie, y compris pour nos enfants de plus de 12 ans puis de seulement 6 ans, les « bulles » de fréquentations privées, les couvre-feux, les interdictions de visites de nos aînés, les attestations auto-remplies pour nos déplacements essentiels ou encore les rayons de déplacement tolérés, à des distances parfaitement arbitraires de 20 km, 2 km, 1  km… ;
  7. Parce qu’il est aujourd’hui évident que lapléthore de mesures autoritaires prises par l’exécutif n’a eu aucun effet sur l’augmentation ou la diminution des contaminations, voire aurait provoqué l’inverse des effets attendus (19) (ce qu’à encore confirmé une étude publiée par l’université de Stanford, sous la direction du très renommé Prof. d’épidémiologie John Ioannidis (18)) ; et ce alors qu’elle a effectivement eu des conséquences dramatiques (20) sur les moyens de subsistance et les conditions de vie de millions de personnes dans notre pays ;
  8. Parce que la mauvaise foi du gouvernement est évidente lorsqu’il est question d’éviter l’implosion des hôpitaux, alors que dans le même temps le nombre de lits et les ressources disponibles sont encore et toujours diminués (21) ;
  9. Parce que toute la communication gouvernementale (22) et médiatique (23) vise manifestement à alimenter la peur et à conditionner la population en vue de lui faire accepter les vexations qui lui sont imposées, de même que le vakx1, comme seule solution à la crise ;
  10. Parce qu’au contraire, des traitements existent (24) et que nous en avons été tenus soigneusement éloignés, y compris par le biais d’articles scientifiques scandaleusement frauduleux (25) ou d’interdiction pure et simple de prescrire (26) ; 
  11. Parce que nous avons été très choqués par la cabale organiséecontre les promoteurs de ces traitements, allant des menaces de mort (27) aux procédures disciplinaires en Conseil national de l’Ordre des médecins (28), en passant par le lynchage médiatique, les procédures judiciaires et la privation des médicaments utiliséspar le blocage des livraisons attendues (29) ;
  12. Parce que nous sommes atterrés par la censure qui sévitdans la Presse (30)et sur les réseaux sociaux (31) à l’encontre de toute pensée dissidente, de tout esprit critique et de toute tentative de démêler le vrai du faux et de comprendre ou donner à comprendre, en dehors des sentiers balisés par le gouvernement et les médias mainstream, les tenants et les aboutissants de la crise ;
  13. Parce que, fondamentalement, nous craignons que les gigantesques intérêts commerciaux liés à cette « pandémie » (32) aient fortement influencé les décisions prises par le gouvernement, comme c’est manifestement le cas concernant le Remdesivir (33), pourtant non recommandé par l’OMS (34), et comme il est probable que ce soit le cas concernant les vakx1s et les contrats de vente aux montants colossaux passés avec leurs fabricants (35). Tout cela au plus grand détriment de notre santé, de notre système de santé et de son budget ainsi que de la dette colossale que nous devrons payer pendant les prochaines décennies (36);
  14. Parce que ces vakx1s fabriqués en 10 mois et testés en 3 mois et demi seulement — en lieu et place des 7 à 10 années minimum — sont déjà à l’origine d’un nombre très inquiétant de morts soudaines (37) (24h post-vakxination) ou suspectes (délai plus long), qui touchent l’ensemble des classes d’âge et sont entre 60 (Pfizer, AstraZeneca) et 400 fois (Moderna) supérieures à celles qui suivent le vakx1 contre la grippe, sans parler des effets indésirables graves qui ont également explosé dans des proportions jamais atteintes par ce même vakx1 contre la grippe ;
  15. Parce qu’il résulte de ces constatations précoces qu’il est autant probable, pour les 18-44 ans, de décéder du vakx1 Covid-19 que du virus lui-même, lorsqu’il s’agit des vakx1s Pfizer et AstraZeneca, et 7 fois plus probable de mourir du vakx1 Moderna que du Covid-19 (37), et que malgré cela les autorités sanitaires semblent vouloir, à tout prix, vakxiner tout le monde ;
  16. Parce que ces signaux alarmants ont conduit 57 scientifiques et médecins de premier plan à demander l’arrêt immédiat de tous les programmes de vakxination Covid-19 (38) ;
  17. Parce qu’au contraire des déclarations du gouvernement et de nos agences de santé, qui prétendent à l’envi que les vakx1s seraient efficaces et sûrs, les contrats signés avec les fabricants de vakx1s prévoient expressément que ni l’efficacité ni la sécurité des vakx1s ne sont garanties (39) et qu’il ne pourra en découler pour ces fabricants aucune responsabilité ;
  18. Parce que nous ne sommes pas amnésiques et que nous nous rappelons des dégâts causés par le vakx1 contre la grippe H1N1 (40) largement promu par les autorités, mais terriblement délétère pour un grand nombre d’Européens, désormais condamnés à vivre avec les symptômes invalidants de la narcolepsie ;
  19. Parce que, comme l’ont déjà dit certains : « bien pire qu’un méchant virus, ce serait un mauvais vakx1 », injecté à des millions, voire des milliards de personnes en parfaite santé, et qui pourrait causer des dommages majeurs et irréversibles dans la population, à une échelle jamais atteinte jusqu’à présent ;
  20. Parce que nous refusons fermement ce passeport sanitaire, imposé par le gouvernement, qui nous conduira vers une société d’apartheid où les personnes non vakxinées n’auront plus aucun droit et feront l’objet, partout, d’une ségrégation inadmissible ;
  21. Parce que c’est bien la liberté qui est au cœur de notre mission, qu’il s’agisse de liberté de semer ou de liberté de circuler, de liberté d’entreprendre ou de travailler, de liberté de manifester ou de se réunir, de liberté d’expression ou de conscience, etc. ; en somme, de toutes les libertés qui sont inscrites dans nos constitutions depuis la Révolution française et même avant, et qui sont actuellement réduites à néant ;
  22. Parce que nous sommes bien décidés à faire fonctionner notre outil de travail, malgré les mesures insensées qui nous sont imposées, afin de poursuivre la distribution, le plus largement possible, de nos semences d’émancipation et de dissidence, et ainsi défendre nos valeurs et nos idéaux.

Pour toutes ces raisons, nous appelons à l’insoumission, dans les esprits et dans les cœurs, par le refus collectif de se soumettre aux folles injonctions de ceux qui croient être nos maîtres, et par la proclamation de notre droit à l’autodétermination.

Les alternatives aux dérives de cette société malade sont déjà là. Elles naissent, chaque jour, sous forme de collectifs, d’éco-lieux, de projets agroécologiques, d’écoles alternatives, d’économies locales et circulaires, etc. D’excellents scientifiques et médecins proposent une nouvelle vision de la médecine (41) avec comme réels objectifs le soin et la prévention. Initions, participons et soutenons ces étincelles d’espoir et de renouveau afin d’accueillir nos enfants, et ceux qui viendront après eux, dans un monde de liberté, de solidarité vraie, de respect mutuel et de partage.

Certaines sources peuvent avoir fait l’objet de censure entre la rédaction de ce manifeste et sa publication.

Des médecins à travers le monde mettent en garde contre les « vakx1s » C0VlD19

De nombreux médecins à travers le monde témoignent de leur engagement et leur conviction par rapport à cette fausse pandémie, les tests et les vakx1s.
A partager largement.

https://odysee.com/@Miniver:4/meds:1

Michel Maffesoli: « L’ère des soulèvements »

Interview par André Bercoff du sociologue Michel Maffesoli à l’occasion de la sortie de son livre: « L’ère des soulèvements » (à paraître le 6 mai aux Editions Du Cerf).
Une analyse toujours brillante.

L'ère des soulèvements par [Michel Maffesoli, Helene Strohl]

Trente ans après son mythique Temps des tribus, le grand sociologue de l’imaginaire lance une nouvelle annonce prophétique. Reprenant un à un les récents séismes qui ont ébranlé nos représentations, il montre comment l’avènement d’un totalitarisme doux marque, par réaction, l’Ère des révoltes. Un essai indispensable pour comprendre ce que sera notre monde demain.

Dès les années 1980, Michel Maffesoli se fait l’observateur averti et implacable des temps postmodernes. Il annonce un effondrement social porteur d’un paradoxal retour des tribus, ce que prouveront les décennies suivantes. Il pronostique également que, profitant de la fin des idéologies, les élites au pouvoir entendent instaurer un ordre nouveau qu’il qualifie de totalitarisme doux. Ce que démontre l’actualité récente.

De l’éruption des gilets jaunes devenus un phénomène international à la contestation globale de la gestion de la pandémie, des grèves émeutières pour contrecarrer le libéralisme mondialisé à la vague d’émotion planétaire suscitée par l’incendie de Notre-Dame, le sociologue du quotidien et de l’imaginaire traque, de son oeil inégalé, le changement de paradigme que nous vivons.

Le règne de la rationalité, de la technicité et de l’individualité agonise convulsivement sous nos yeux. Pour le meilleur et pour le pire, l’ère des révoltes a commencé et ne cessera pas avant longtemps.

Cet essai flamboyant dit pourquoi et comment le peuple a raison de se rebeller.

Vous refusez de vous faire vakxiner, mais êtes-vous prêt à devenir un paria ?

par Mike Withney.

Supposons un instant que la campagne de vakxination soit menée par des personnes qui souhaitent sincèrement mettre fin à la crise actuelle et ramener le pays à la « normale ». Supposons également qu’ils pensent que la vakxination de masse est le meilleur moyen d’atteindre cet objectif parce que cela empêche la propagation du virus et, du coup, réduit le nombre de décès. Est-ce une justification suffisante pour faire taire les détracteurs de la vakxination et mener une opération de lavage de cerveau à l’échelle nationale visant à contrôler l’opinion publique ?

Non, ce ne devrait pas être le cas. Les gens ont besoin d’entendre les deux versions de l’histoire ; en fait, c’est la seule façon pour eux de prendre une décision éclairée sur la façon dont ils souhaitent procéder. Les médias n’ont pas le droit de réquisitionner les ondes et de contrôler ce que les gens entendent et voient. Ils n’ont pas non plus le droit d’exclure délibérément les professionnels de la santé et autres experts dont les opinions sont en contradiction avec le discours officiel. La seule façon pour les gens de donner leur consentement éclairé à la vakxination est d’être capables de peser eux-mêmes les risques et les avantages. Mais cela n’est possible que s’ils ont accès à de nombreuses sources d’information diverses, ce qui n’est pas le cas actuellement. De plus en plus, le seul message que la plupart des gens entendent est celui qui est fourni par le gouvernement en collaboration avec les patrons de l’industrie et autres élites. Traditionnellement, ce type de médias d’État est appelé « propagande », un terme qui s’applique certainement ici.

Il n’est pas nécessaire d’être un génie pour comprendre comment cela a affecté le débat sur les vakx1s, surtout qu’il n’y en a pas. Les sceptiques sont rejetés comme des cinglés membres d’un gang anti-vaxx alors qu’un tout nouveau type de vakx1s, encore au stade expérimental, est loué comme un « médicament miracle ». Dans le même temps, le gouvernement – qui s’est aligné sur l’industrie alors qu’il est censé la réglementer – fait tout ce qui est en son pouvoir pour faire pression sur les gens afin qu’ils se fassent vakxiner. Nous assistons au plus extravagant « lancement de produit » de Madison Avenue en 245 ans d’histoire de l’Amérique, et il nous arrive dessus à toute vitesse, de tous les côtés. Il est pratiquement impossible d’allumer la télévision ou la radio sans être submergé par une annonce émotive après l’autre, toutes visant à promouvoir la vakxination. En quoi cela respecte-t-il le droit de l’individu à prendre sa propre décision en connaissance de cause, sans contrainte gouvernementale ?

En rien. Il s’agit d’un endoctrinement flagrant et pourtant personne n’en parle. C’est choquant. Avez-vous remarqué comment les détracteurs des vakx1s à ARNm ont été empêchés d’exprimer leur opinion dans les médias ? Avez-vous remarqué que les médecins, les scientifiques, les virologues, les épidémiologistes et les experts en santé publique ont tous été empêchés d’apparaître sur les chaînes d’information câblées ou exclus des principaux journaux nationaux ? Avez-vous remarqué comment ces critiques ont été attaqués sur les médias sociaux, censurés sur Facebook et retirés de Twitter ? Avez-vous remarqué les efforts déployés par les médias pour éliminer toute contestation du « récit officiel » et pour dénoncer, ridiculiser ou mettre sur liste noire toute personne qui ose offrir une opinion contradictoire ?

Pourquoi ? Pourquoi les médias empêchent-ils ces experts d’exprimer directement leurs réserves au peuple américain ?

C’est évident, n’est-ce pas ? C’est parce que les personnes qui gèrent cette campagne ne veulent rien qui s’écarte du « récit officiel ». Ils ne veulent pas que les gens pensent par eux-mêmes, ils ne veulent pas que les gens recherchent des sites Internet alternatifs qui remettent en question la nouvelle doctrine dominante sur les vakx1s, ils ne veulent pas que les gens lisent les détails des essais, les journaux médicaux ou les documents de recherche. Ils ne veulent pas que vous vous interrogiez sur leurs motivations, ou que vous pesiez les risques et les avantages de la vakxination. Ils ne veulent pas que vous remarquiez que leur vakx1 n’a jamais terminé les essais à long terme ni satisfait aux normes normales de sécurité des produits. Ils ne veulent pas que vous considériez le fait que l’ARNm est une technologie relativement nouvelle avec un passé mouvementé qui inclut des essais sur animaux très inquiétants dans lesquels tous les animaux sont morts. Ils ne veulent pas que vous réfléchissiez à tout cela. Ils veulent que vous vous taisiez, que vous fassiez la queue, que vous éteigniez votre cerveau et que vous releviez votre manche. Et quiconque n’est pas d’accord avec ce sentiment est censuré.

Suis-je injuste ?

Ce n’est pas mon intention. Et – croyez-le ou non – mon intention n’est pas de critiquer les vakx1s eux-mêmes, mais la manière dont on nous les fait avaler. Je m’y oppose fermement car cela viole le droit des gens à un consentement éclairé. Un blitz de relations publiques à l’échelle nationale qui glorifie sans relâche les vakx1s tout en excluant délibérément la moindre critique de la part de professionnels respectés, ne respecte pas les droits des personnes. C’est un lavage de cerveau, pur et simple.

Et pourquoi des psychologues comportementaux ont-ils été employés par le gouvernement pour promouvoir cette campagne de vakxination ? Pourquoi ont-ils concocté une stratégie visant à « modifier les croyances et les sentiments des gens à l’égard de la vakxination », à informer « les gens des avantages prosociaux de la vakxination » et à « intervenir directement sur le comportement », ce qui signifie qu’on vous donne un rendez-vous et qu’on vous dit que vous serez vackxiné à la fin de la séance. Les psychologues appellent cela une « recommandation présomptive » qui élimine effectivement l’élément de choix personnel en créant un scénario dans lequel se faire vakxiner est un fait accompli. En quoi cela n’est-il pas de la coercition ?

C’est de la coercition, une coercition subconsciente. Le médecin force le patient à se faire vakxiner en faisant croire que c’est une procédure standard. Cela met la pression sur le patient pour qu’il suive la voie de moindre résistance, celui de la conformité. C’est une tactique intelligente, mais c’est aussi une manipulation évidente.

Les psychologues comportementaux qui ont contribué à façonner la politique du gouvernement estiment que l’accent doit être mis sur la « sécurité et l’efficacité » des vakx1s. C’est la pierre angulaire pour obtenir le soutien du public. Dans le même temps, ils ne montrent aucun intérêt à fournir des preuves pour étayer leurs affirmations, ce qui suggère que « sûr et efficace » n’est rien d’autre qu’un slogan sans signification invoqué pour duper les moutons et les inciter à se faire vakxiner.

Vous avez peut-être aussi entendu le terme « hésitation vakxinale » utilisé pour décrire les personnes qui ont décidé de ne pas se faire vakxiner. Ce surnom vise clairement à dénigrer les sceptiques de la vakxination en suggérant qu’ils souffrent d’une maladie mentale, comme la schizophrénie paranoïde. C’est un moyen efficace de discréditer ses ennemis, mais cela montre aussi la faiblesse flagrante de la position des pro-vakx1s. Si les partisans de la vakxination avaient quelque chose de concret à offrir, ils s’appuieraient sur des faits et des données plutôt que sur des attaques ad hominen. En l’occurrence, les faits ne soutiennent pas leur position. Car « l’hésitation à se faire vakxiner » n’est pas un défaut de caractère ou un trouble mental, c’est le signe de quelqu’un qui a pris la responsabilité de sa propre santé et de son bien-être. Posez-vous la question suivante : Pourquoi une personne normale et rationnelle serait-elle désireuse de se faire injecter un cocktail expérimental dans le sang, risquant de déclencher toutes sortes d’affections à long terme ou la mort ? Est-ce là le choix qu’une personne normale ferait ?

Pour autant que je sache, les psychologues comportementaux jouent un rôle essentiel dans cette campagne de vakxination de masse. Selon un rapport publié par les Instituts nationaux de la santé, il semble qu’une équipe de réponse rapide ait été formée pour attaquer les opinions des personnes qui remettent en cause le « récit officiel ».
Regardez ce passage du rapport intitulé « vakxination COVID-19 : Communication : Application des sciences comportementales et sociales pour lutter contre l’hésitation vakxinale et favoriser la confiance dans les vakx1s » :

Contre-balancer l’impact de la désinformation liée à la COVID-19…
La diffusion de fausses informations liées à la santé était un problème de santé publique important bien avant la pandémie de la COVID-19. Au cours de la dernière décennie, le discours en ligne sur les vakx1s et dans les médias a été marqué par la désinformation. Les groupes anti-vakx1s ont exploité les divisions politiques et sociales pour diminuer la confiance dans les vakx1s, ont fait passer de faux récits mettant en doute la sécurité et l’efficacité des vakx1s, ont diffusé de fausses allégations sur les effets indésirables et ont minimisé les risques de la maladie contre laquelle les vakx1s protègent.

Les efforts de communication sur les vakx1s pour la COVID-19 ne peuvent ignorer la désinformation et doivent prendre des mesures, fondées sur la recherche en comportement et en communication, pour identifier les rumeurs émergentes et y répondre d’une manière qui s’appuie sur les sciences du comportement. Une surveillance en temps réel, agile et évolutive du discours concernant la vakxination COVID-19 – y compris les théories du complot, les rumeurs et les mythes – peut permettre de développer et de mettre en œuvre une réponse rapide. Les efforts de « surveillance de la désinformation » devraient permettre d’identifier les sources les plus importantes de désinformation, les tactiques utilisées et les groupes les plus susceptibles d’être exposés aux rumeurs et influencés par elles. Ces informations, ainsi que les données relatives à la dynamique et aux modèles de diffusion de la désinformation, pourraient contribuer à définir la réponse appropriée et les meilleures cibles pour les efforts d’intervention.

Corriger les fausses affirmations contenue dans le message, exposer les tactiques utilisées par les agents de désinformation et susciter le scepticisme en mettant en évidence les arrière-pensées de ces acteurs sont autant de stratégies potentiellement efficaces pour atténuer l’impact de la désinformation
.

Je répète : « surveillance de la désinformation »… « agents de désinformation »… « les arrière-pensées de ces acteurs » ?

Vraiment ? Maintenant, qui a l’air paranoïaque ?

C’est un truc très effrayant. Les agents de l’État identifient maintenant les critiques du vax1s Covid comme des ennemis mortels. Comment en est-on arrivé là ? Et comment en est-on arrivé au point où le gouvernement cible les gens qui ne sont pas d’accord avec lui ? C’est bien au-delà d’Orwell. Nous sommes entrés dans un univers alternatif effrayant.

Voici plus d’informations sur le sujet, extraites d’une déclaration d’Arthur C. Evans Jr, PhD, PDG de l’American Psychological Association, en réponse à l’approbation par un panel consultatif de la Food and Drug Administration d’un vakx1 contre le COVID-19 :

« Nous reconnaissons qu’il existe des poches de résistance aux vakx1s, de méfiance à l’égard du corps médical et de désinformation sur les vakx1s en général… Certaines populations sont naturellement moins susceptibles d’accepter les vakxinations en raison d’un héritage de méfiance enraciné dans des pratiques de santé publique non éthiques …

« Il est essentiel que les dirigeants de tout l’éventail politique s’unissent derrière les messages de sécurité et de transparence des vakx1s » …

Engagez des portes-parole crédibles qui peuvent se connecter avec diverses communautés, en particulier celles où la méfiance et le scepticisme sont élevés. Lorsque les dirigeants considèrent les vakx1s comme des pratiques standard, et non comme des options, les gens sont plus susceptibles de les accepter. Les recherches montrent que l’instauration de la confiance et la fourniture d’informations claires sur les vakx1s peuvent améliorer les taux d’acceptation de la vakxination. Il est essentiel que les dirigeants de tout l’éventail politique s’unissent pour soutenir la sécurité et la transparence des vakx1s, en expliquant clairement ce que contient le vakx1 et ce qu’il fait et ne fait pas dans le corps …

Tenez compte de la grande variété de facteurs qui motivent le comportement humain. La science du comportement indique que les gens sont plus susceptibles d’adhérer aux recommandations relatives aux vakx1s lorsqu’ils pensent être susceptibles de contracter la maladie, lorsqu’ils veulent protéger les autres, lorsqu’ils pensent que le vakx1s est sûr ou du moins plus sûr que la maladie, et lorsque leurs préoccupations et leurs questions sont traitées avec respect par les médecins et les experts ».

Est-il vraiment éthique pour l’APA d’être impliqué dans une campagne de vakxination de masse ? Est-ce le rôle qu’une organisation comme celle-ci devrait jouer dans une société démocratique ? L’APA devrait-elle utiliser sa compréhension unique du comportement humain pour persuader les gens au nom du gouvernement et des grandes entreprises pharmaceutiques ? Et, plus important encore, si les psychologues comportementaux ont contribué à façonner la stratégie du gouvernement en matière de vakxination de masse, alors dans quelles autres politiques ont-ils été impliqués ? Étaient-ils les « professionnels » qui ont imaginé les restrictions liées à la pandémie ? Les masques, la distanciation sociale et les confinements étaient-ils tous promus par des « experts » comme moyen de saper les relations humaines normales et d’infliger une douleur psychologique maximale au peuple américain ? L’intention était-elle de créer une population faible et soumise qui accepterait volontiers le démantèlement des institutions démocratiques, la restructuration spectaculaire de l’économie et l’imposition d’un nouvel ordre politique ?

Il faut répondre à ces questions.

Étonnamment, la résistance à la vakxination est presque aussi forte aujourd’hui qu’il y a un an. Selon le PEW Research :

« (seulement) « 69% du public a l’intention de se faire vakxiner – ou l’a déjà fait …

Ceux qui n’ont pas l’intention de se faire vakxiner (30% du public) invoquent toute une série de raisons. La majorité citent les préoccupations concernant les effets secondaires (72%), le sentiment que les vakx1s ont été développés et testés trop rapidement (67%) et le désir d’en savoir plus sur leur efficacité (61%) comme principales raisons pour lesquelles ils n’ont pas l’intention de se faire vakxiner …

Une plus faible proportion de ceux qui n’ont pas l’intention de se faire vakxiner déclarent que les erreurs passées du système de soins médicaux (46%) ou le sentiment de ne pas en avoir besoin (42%) sont les principales raisons pour lesquelles ils n’ont pas l’intention de se faire vakxiner ; 36% de ce groupe (11% de tous les adultes américains) déclarent que l’une des principales raisons pour lesquelles ils ne recevraient pas le vakx1 contre le coronavirus est qu’ils ne se font en général pas vakxiner ».

Cette nouvelle enquête nationale du Pew Research Center a été menée du 16 au 21 février auprès de 10 121 adultes américains.

Ainsi, malgré la campagne de propagande ininterrompue, une partie importante de la population n’est pas convaincue, n’est pas impressionnée et reste inébranlable. Vous comprenez ? Bien sûr, ce n’est que le premier round. Bientôt, la persuasion se transformera en coercition, et la coercition en force pure et simple. Il est d’ores et déjà évident que les voyages aériens nécessiteront des passeports vakxinaux, et que les transports en commun, les concerts, les bibliothèques, les restaurants et, peut-être même, les épiceries pourraient suivre. La vakxination semble être la question déterminante des prochaines années au moins. Et ceux qui résistent aux édits de l’État se retrouveront de plus en plus rejetés, considérés comme des parias dans leur propre pays.

source : https://www.unz.com/mwhitney

traduit par Wayan, relu par Hervé pour le Saker Francophone

via https://lesakerfrancophone.fr

De l’art de la manipulation, de la pensée unique… et de l’usage du mot « complotiste »

par Alain Tortosa.

Concernant l’utilisation répétée et généralisée du mot « complotiste« 

Celui-ci ne fait qu’apporter la preuve indirecte que ledit « complotiste » énonce des propos qui sont, sinon justes, tout du moins dignes d’intérêt.

En effet, le terme « complotiste » a une visée double :
– Celui de discréditer en amont les opinions divergentes mais aussi et surtout
– Décharger autrui de l’obligation morale de lecture et de réflexion pour construire sa propre opinion.

Et donc faire passer le message :
« Je t’annonce que les propos suivants ne sont que délires et que tu n’as pas à les lire ».
Mais pire encore :
« Tu ne devrais pas les lire, car tu pourrais être manipulé et induit en erreur. Tu es donc dédouané du devoir de t’informer avant de juger pour construire ta propre opinion ».

Ceci constitue une preuve que l’intention manipulatrice vient, non pas du prétendu « complotiste », mais de celui qui utilise le terme pour discréditer toute hypothèse alternative.

Cela peut se résumer autrement en disant que si les propos dudit « complotiste » n’étaient que « délire », il suffirait de le laisser s’exprimer librement et toute personne censée en prendrait conscience et ce serait terminé, le soufflet retomberait.

Une autre « justification » de l’usage reviendrait de fait à affirmer que le peuple est trop stupide pour comprendre, qu’il faut donc le mettre sous tutelle et le protéger malgré lui. Il faut donc l’empêcher de réfléchir, ce qu’il ne sait pas faire, par nature, et donc l’empêcher de construire sa propre opinion qui ne pourrait qu’être erronée. Nous déduisons qu’il faut évidemment lui retirer toute prérogative et il serait logique en premier lieu de lui supprimer le droit de vote. Ce qu’a fait en gros la 5ème République…

Donc tout journaliste qui traite autrui de « complotiste » est en train de dire indirectement que les propos dudit complotiste sont pour partie vrais (et donc subversifs) ou d’affirmer que la démocratie ne saurait exister pour un peuple incapable d’avoir les « bonnes » pensées et de faire les « bons » choix.

La vérité serait statistique ou issue des autorités de pouvoir ou reconnues

La théorie voudrait que « plus c’est répété, plus c’est vrai ». Un mensonge dit par une personne seule est un mensonge, mais s’il est répété par des milliers de personnes il devient une Vérité. Cela est concomitant avec une autre croyance qui dirait que plus l’information est issue d’une autorité reconnue et plus elle est au-dessus de tout soupçon.

De fait, quand par exemple l’OMS, l’Agence européenne du Médicament ou l’INSERM diffusent le même conte, cette uniformité de discours en fait une Vérité incontournable. Or le devoir de tout journaliste ou de tout scientifique est de douter de la vérité et enquêter sans a priori.

Un autre point qu’il ne faut pas négliger est le conformisme et le besoin d’appartenance. Si l’OMS le dit et que j’ai la croyance que c’est une entité respectable, alors j’aurai naturellement tendance à penser qu’ils émettent une Vérité. Commencer à penser ou dire le contraire me placerait en porte-à-faux et dans une position inconfortable sans compter le risque de dénigrement ou d’excommunication…

Nous assistons de fait au décès de la science.

Et pourtant, la seule démarche scientifique face à un chercheur qui affirmerait que la Terre est plate serait d’écouter ses arguments et de lui demander d’apporter les éléments de preuve qui lui permettent d’avancer cette théorie.

Si d’aventure son hypothèse était totalement ridicule, il ne serait pas difficile d’exposer les contre-arguments et l’auteur de la théorie de la Terre plate serait discrédité.

À propos des institutions au-delà de tout soupçon.

Prenons l’exemple de l’OMS

Quiconque s’est un peu penché sur le sujet sait que l’OMS pose problème.

  • La fondation Bill et Melinda Gates est un des plus grands contributeurs, plus que la plupart des états membres. Fondation elle-même soutenue et financée par l’industrie pharmaceutique et le Gavi qui est un lobby mondial pour la vaccination.
  • Les laboratoires pharmaceutiques sont représentés dans les instances décisionnelles.

Le sous-financement de l’OMS la rend directement dépendante des lobbies. Il serait donc déraisonnable, voire irresponsable, de s’appuyer sur son seul nom pour en déduire la véracité scientifique et objective de ses discours.

L’Union européenne

Ici encore le lobbying dans l’Union est un secret de polichinelle. Les milliards des lobbyistes coulent à flots et nous assistons à un jeu de chaises musicales entre les postes dans l’industrie et les postes au sein de la commission. Nous avons eu la preuve de l’absence totale d’indépendance pour l’autorisation de mise sur le marché des thérapies dites « vaccinales ». Thérapies qui ont pu bénéficier d’une autorisation temporaire parce qu’il n’existe, officiellement, aucun traitement contre le Covid. Qui dit « traitement » dit donc adieu aux « vaccins » ou en tous les cas, retarde leur arrivée de plusieurs années du fait de l’interdiction de court-circuiter toutes les sécurités. Ne nous étonnons donc pas de l’absence de traitement proclamée dès le début de l’épidémie et de l’annonce que « seuls les vaccins nous permettront d’éradiquer le fléau ».

Comment ne pas se questionner aussi dès lors que les autorisations de mise sur le marché des dits produits ont été accordées sur les seules données des industries pharmaceutiques.

L’industrie pharmaceutique

Les scandales se succèdent d’année en année et les milliards de dollars d’amendes aussi bien pour falsification de données, mensonges, publicité mensongère et corruption massive de politiques ou de médecins.

Dès lors que cette industrie pèse sur l’OMS et est en capacité de faire autoriser ses produits expérimentaux sur simple présentation de ses données, comment ne pas s’interroger ?

Les scientifiques et la recherche (INSERM, Pasteur,…)

La survie financière et la possibilité pour des scientifiques de faire des recherches sont rendues quasi impossibles sans un partenariat public/privé du fait du désengagement progressif de la force publique. Seules les études qui peuvent avoir une rentabilité commerciale sont menées.

Existe-t-il encore une science ? Combien d’études sont publiées sans que les auteurs aient reçu une rémunération directe ou indirecte de l’industrie pharmaceutique ? Qui pourrait ainsi croire que le financeur ou le « mécène » n’est pas celui qui insuffle la ligne directrice et donc la Vérité ?

Bref ! tout ceci pour affirmer ou rappeler qu’il faudrait être fou ou corrompu pour s’appuyer sur le seul nom d’une institution pour en déduire la véracité de ses propos.

Le dénigrement par le consensus, le doute et le dévoiement du principe de précaution

La dictature sanitaire utilise à la fois le consensus et le doute pour mettre à mort la science.

D’un côté, le consensus :

Le discours est à ce point biaisé que lors d’un débat entre une personne qui adhère à la doxa et un scientifique qui doute, le message passé par le Ministère de la Vérité sera par exemple : « Il y a un consensus sur l’efficacité du port du masque » alors même que la seule existence de celui qui critique constitue une preuve de l’absence de consensus.

La Vérité imposée par les autorités sanitaires et leurs complices médiatiques est qu’il y a « consensus » parmi les scientifiques qui ont accès aux médias nationaux et puis c’est tout ! Tous les autres sont donc naturellement qualifiés de « complotistes » et il est de fait inutile, voire dangereux, de les intégrer comme pensée divergente. Ainsi le « consensus » n’est pas brisé étant donné que seules les opinions conformes sont crédibles.

De l’autre côté, le doute :

Toute affirmation qui n’irait pas dans le sens de la Vérité imposée sera dénaturée par une introduction perverse du doute.

Cette méthode est d’autant plus perverse que le doute est LA démarche de base de la science. Prenons l’exemple de l’Ivermectine. De nombreuses études issues de scientifiques indépendants au-delà de tout soupçon arrivent à la conclusion que le produit est efficace pour lutter contre le Covid et qu’il faut donc l’intégrer dans l’arsenal des mesures possibles.

(Je vous rappelle que s’ils étaient efficaces les « vaccins » n’auraient pas pu bénéficier d’une AMM)

Que font celles et ceux qui voient les « vaccins » comme étant des sauveurs ou plutôt une manne financière ? Ils inondent la presse scientifique « d’études » qui concluent que le médicament est inefficace ou dangereux. Il y a donc un doute que l’on peut naïvement croire légitime qui s’installe… Au point que si les études (bidons) deviennent majoritaires, le doute disparaît et la « preuve » que le produit est finalement inefficace et dangereux s’impose. Mais est-ce un doute raisonnable et honnête ou un doute biaisé induit par des chercheurs qui auraient des conflits d’intérêts ou même carrément véreux ?

Abordons maintenant le dévoiement du principe de précaution

Le « Primum non nocere » [d’abord, ne pas nuire] est parti aux oubliettes.

Si celui-ci était de mise alors nous n’aurions connu :

  • Ni confinement.
  • Ni masques obligatoires.
  • Ni commerces ou loisirs fermés.
  • Ni maltraitances envers les enfants.
  • Ni Remdesivir.
    Etc.
  • Ni « vaccins ».

Il y aurait eu une évaluation préalable de chaque mesure et certainement pas un déploiement à l’échelle de nombreux pays… Une partie de la population aurait été confinée, mais pas l’autre et nous aurions pu évaluer l’efficacité de la mesure et éventuellement prendre la décision de l’étendre ou pas. De même que pour les masques, les traitements et les « vaccins »…

Il y aurait eu aussi débat sur le fait de savoir si « la fin justifie les moyens » et si au nom d’une efficacité nous pouvons nous asseoir sur les droits de l’homme !

Mais ici l’industrie pharmaceutique a décidé unilatéralement l’inverse !

Le principe de précaution a été dévoyé en arguant que nous étions face à la peste noire.

« Les masques ne servent peut-être à rien, ils sont peut-être dangereux, mais par précaution il faut les porter ! »

« Les vaccins sont expérimentaux, ils sont peut-être dangereux, nous ne connaissons pas les effets à long terme, mais par précaution il faut les injecter, même à une population qui ne craint strictement rien du virus ! »

En revanche, un traitement avec des molécules quasi gratuites qui existent depuis plus de 50 ans, dont les effets à court et long terme n’ont aucun doute doivent, elles, être découragées et interdites au nom du principe de précaution ! Imaginez que l’on puisse sauver gratuitement des vies, quelle horreur !

Deux poids, deux mesures !

La manipulation par détournement des chiffres

Prenons par exemple l’âge médian des décès de 85 ans et considérons que cette donnée gouvernementale est réelle quand bien même des décès autres, par exemple de cancer, sont attribués au Covid. Il est possible de dire que cette donnée constitue une preuve que le Covid ne peut entraîner une hécatombe chez les jeunes… sinon l’âge médian serait bien inférieur !

Mais il est aussi possible d’utiliser cette donnée pour faire peur et ainsi dire que le Covid tue aussi des personnes jeunes ! Si cette affirmation largement usitée dans les médias demeure exacte, elle en devient pour le moins une manipulation de la réalité. Santé publique France indique que seuls 2% des décès concernent des personnes de moins de 65 ans et sans pathologies graves connues. Cela représenterait moins de 2 000 décès !

Mais ici encore la manipulation est possible en disant « et si c’était vous ou vos enfants ? » oubliant par exemple de préciser qu’il y a plus de risque de décéder en s’étouffant ou frappé par la foudre pour une personne en bonne santé que de décéder du Covid.

C’est de même nature que d’énoncer tous les jours le nombre de décès du Covid sans les mettre en perspective par rapport au nombre total de morts journaliers, de décès par maladie, de suicides…

Je pourrais aussi citer les réanimations dont le taux de réanimation qui est fourni est un faux, car il divise le nombre total de personnes en soin critique (19 000 lits) par le nombre de lits de réanimation (5 400 lits). Ou ignorer le fait que ces fameuses saturations sont systémiques et qu’elles n’ont strictement rien à voir avec le Covid. Et d’autant plus que les chefs de service DOIVENT remplir leur lit de réanimation afin de conserver des budgets ou réclamer de nouveaux lits.

En conclusion

Se faire traiter de « complotiste » est aujourd’hui une récompense. Il n’est ni plus ni moins que la confirmation que vous êtes une personne qui se pose des questions qu’il ne faut surtout pas écouter.

S’il faut tout faire pour que le « peuple des inutiles » écoute le moins possible les « complotistes », c’est la preuve que le pouvoir est terrorisé par le réveil du peuple. La censure grandissante et les calomnies prouvent que la dictature est de plus en plus inquiète de voir le peuple découvrir qu’on lui ment, comme jamais, depuis plus d’un an.

L’épidémie de Covid n’est pas plus grave que les épidémies d’infections respiratoires aiguës des années précédentes et elle l’est d’autant moins dans les pays qui n’ont pas INTERDIT les traitements. Le masque porté dans une population générale n’a jamais limité une épidémie alors que ses contre-indications pour la santé physique, psychique et sociétale sont bien réelles. Il n’est là que pour terroriser, tester la capacité d’un peuple à tout gober par la peur et rendre visible une épidémie dont nous ignorerions l’existence sans les médias et les mesures dictatoriales.

« Tiens, elle a été un peu rude la grippe cette année ! »

Les confinements d’une population générale sont totalement inefficaces et contre-productifs comme nous le savons depuis des siècles.

La lutte contre un virus ne se résume pas à prendre du paracétamol ! On n’enferme pas les gens, on ne les prive pas de contacts, sauf si on veut les détruire physiquement ou psychiquement.

Et manipuler le peuple pour lui faire croire qu’un vaccin pourrait être efficace contre un virus qui ne fait que muter…

« Vaccin » qui favorise en toute logique les mutations en bloquant principalement la souche d’origine.

« Vaccins » qui ont pu être commercialisés en échappant aux mesures de sécurité face à « l’urgence ».

« Vaccins » que l’on ose nommer ainsi alors même qu’ils n’empêchent ni de tomber malade, ni les contaminations.

Le pire est que :

  • L’on ose parler de vaccination solidaire alors que la preuve n’est toujours pas là pour dire qu’ils protègent autrui
  • L’on ose parler de rapport bénéfice/risque favorable pour une population en bonne santé pour laquelle le risque de décès est statistiquement NUL
  • L’on ose aujourd’hui parler de vacciner des enfants alors que 0 enfant en bonne santé est décédé de cette gentille grippe, gentille, car à la différence de la vraie grippe qui tue chaque année en France des dizaines d’enfants, le gentil Covid les a totalement épargnés.

Et des personnes qui se prétendent « journalistes » n’ont pour seul argument que de traiter de complotiste toute personne qui réfléchit, qui regarde les chiffres, analyse ce qu’il se passe dans d’autres pays et lit des études scientifiques indépendantes !

Mais profitez donc de la controverse, écoutez celles et ceux qui ne sont pas hypnotisés ou corrompus et nourrissez-vous de leur savoir !

Vous, « journalistes », n’avez-vous plus aucune conscience ni courage ? Aucune déontologie ? Aucune soif d’enquêter ? Aucune soif de réfléchir et faire réfléchir ? Aucune soif de vérité ?

Comment vivez-vous le fait de n’être que des photocopieurs branchés sur l’AFP ? Méprisable !

source : https://nouveau-monde.ca et Réseau International

50 minutes de paroles libres sur l’actualité de la vie covidienne des Belges.

La Belgique est sens dessus dessous depuis l’ordonnance en référé du 31 mars condamnant l’Etat belge à mettre ses mesures liberticides en conformité avec la loi. Quoi ?
Les mesures sanitaires que les habitants du royaume subissent depuis un an seraient illégales?
La loi pandémie en discussion au Parlement ne serait-elle qu’un prétexte pour entériner sans les évaluer des mesures autoritaires qui n’ont, apparemment, produit que des résultats sanitaires délétères?
Pour nous éclairer sur les conséquences de l’ordonnance du Tribunal de 1ère instance de Bruxelles et du vote à venir de la loi pandémie, BAM! a invité LUC HENNART, Président honoraire du tribunal de 1ère instance de Bruxelles.
Il ne mâche pas ses mots pour dénoncer l’infamie de cette loi liberticide, en l’état.

Les chroniqueurs de BAM!:
– SANDRA FERRETTI, politologue, décortique ce projet de loi et met le doigt sur ce qui ne va pas de soi. Bref, ce qui menace nos libertés fondamentales, voire la démocratie même.
– MARC-HENRI WOUTERS, lit une lettre à envoyer aux députés que tout un chacun peut s’approprier. C’est un appel à l’action! Les jeunes fêtards du Bois de la Cambre le 1er avril, eux, ne se sont toujours pas remis de la répression policière très dure à coup de canon à eau, de matraques, de gaz lacrymogène et de police montée à cheval, qui n’ont pas hésité à provoquer la foule pacifique et à faire couler le sang de jeunes citoyens.
– ALEX LE COMPLOTISTE y était. Il raconte ce qu’il a vu, ce qu’il a subi et met en demeure les responsables politiques d’arrêter la répression violente d’une jeunesse à bout.
– Animateur : HUGHES BELIN, journaliste freelance.

A voir absolument et ne pas oublier d’envoyer la lettre à vos députés.

Ce qui est irresponsable … (Ingrid Courrèges)

Il y aura des gens parmi vos amis, votre famille, des personnes que vous ne connaîtraient pas sur des plateaux télé qui vous diront vous êtes irresponsables parce que vous n’avez pas porté votre masque en plein air  aujourd’hui lors d’un rassemblement, alors qu’il n’y a aucune étude sérieuse qui démontre son efficacité en extérieur. 

Vous serez pourtant à leurs yeux des irresponsables, mais vous pourrez leur répondre ceci :

« Ce qui est irresponsable… »

Ce qui n’est pas responsable, c’est de nous avoir dit que l’épidémie n’avait aucune chance d’arriver en France et de ne pas s’y être préparé. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est d’avoir laissé l’hôpital sans moyens depuis des années et de faire porter sur les soignants le poids des erreurs politiques manifestes et répétés répétés. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de penser qu’il n’y a que la vaccination qui pourra nous sortir de cette situation. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de croire sur parole les labos pharmaceutiques et d’accepter de tester à grande échelle un prototype de vaccin expérimental. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de ne pas écouter des spécialistes réputés en économie, en médecine, en droit, en biologie, en psychiatrie, sous prétexte qu’ils ne vont pas dans le sens de la pensée gouvernementale. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de dire à des gens qu’ils ne sont rien, rien, rien, qu’ils ne sont pas utiles à la société, qu’ils sont non essentiels. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de mettre au ban de la société les fiertés de notre nation que sont la gastronomie, la culture et le sport. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de fermer des lieux culturels alors qu’aucun cluster n’a été identifié dans ces lieux et de priver les Français du droit fondamental à l’éveil. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de ne pas promouvoir les bienfaits de l’activité physique, du soleil, du grand air et d’interdire la promenade, la baignade et le sport. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de voir ces dizaines d’enfants entrer en psychiatrie pour des tentatives ou des envies de suicide et de ne rien faire. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de laisser nos étudiants dans leur cité universitaire comme dans une prison sans lien social

Ce qui n’est pas responsable, c’est de continuer à considérer les Français comme des enfants et de leur demander de se comporter en adulte. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de punir à 18h05 des automobilistes piégés dans des bouchons créés par les contrôles eux mêmes. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est embourber les Français dans des mesures absurdes et de perdre la confiance de son peuple.

Ce qui n’est pas responsable, c’est de couler l’économie en endettant les Français sur plusieurs générations

Ce qui n’est pas responsable, c’est de ne pas voir que les dégâts causés par les mesures sanitaires ont dépassé ceux causés par le virus lui même. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de faire peser le poids des erreurs politiques sur le dos d’un Français qui a retiré son masque le temps d’un après midi ensoleillé en extérieur. 

Voilà ce que vous pourrez répondre avoir enlevé votre masque. Aujourd’hui, ce n’est pas irresponsable, c’est réfléchi. Montrez votre visage dignement, le temps d’une manifestation ou le temps d’une revendication, c’est un acte ponctuel de désobéissance civile et de contestation. 

Ce n’est pas un acte irresponsable, c’est un acte citoyen.

Questions à poser si on veut vous vakxiner.

Pour calmer ceux qui voudraient nous vakxiner, voici une lettre de réponse à se faire vakxiner :

Madame, Monsieur,

J’ai bien reçu l’invitation pour recevoir un vakx1 ARNm contre le SRAS-CoV-2 et vous en remercie.

Avant de prendre une quelconque décision y étant relative j’aimerais que vous m’informiez (1) en me répondant par écrit (2) sur les points suivants qui me semblent fondamentaux :

1- Me donner la liste complète des ingrédients des vakx1s mis en circulation actuellement dans notre pays;

2- Me certifier que le vakx1 que vous projetez de m’injecter ne contient pas de MRC5 (des cellules de fœtus avortés ou traces d’ADN humains), ce qui irait à l’encontre de mes convictions religieuses ;

3- Me certifier qu’il n’y a aucun risque de réactions iatrogènes ;

4- M’informer de toutes les contre-indications et de tous les effets secondaires potentiels, réparables ou irréparables, à court, moyen et long termes ;

5- Me certifier de façon sans équivoque et de bonne foi, dans le respect de l’article 13 de la Convention d’Oviedo (3), que cette technologie n’a pas le potentiel de modifier l’ADN humain grâce à ce que l’on appelle la transcriptase inverse, qui permet explicitement le transfert d’informations de l’ARNm à l’ADN

6- Me certifier que ce vakx1 ne contient pas d’inserts du virus VIH

7- Me certifier que le vakx1 ne contient pas de puce ’Identification par Radiofréquence (Rfid) ou de nano technologie se présentant sous une forme quelconque

8- Me certifier que tous les paramètres médicaux concernant les essais et les études requis ont été satisfaits ;

9- Me préciser quels sont les autres traitements possibles pour lutter contre le SRAS-CoV-2 en détaillant les avantages et les inconvénients de chaque traitement, au sens de l’article 2 du Code de Nuremberg (4).

De plus, je vous prie de bien vouloir me répondre simplement, par oui ou par non, aux questions suivantes:

1. Si je me fais vakxiner, puis-je arrêter de porter un masque ?

2. Si je me fais vakxiner, puis-je arrêter la distanciation sociale ?

3. Si je me fais vakxiner, dois-je encore respecter le couvre-feu ?

4. Si mes parents, mes grands-parents et moi-même sommes tous vakxinés, pouvons-nous nous étreindre à nouveau ?

5. Si je me fais vakxiner, serai-je résistant à la Covid et à ses nombreux variants et pour combien de temps ?

6. Si je me fais vakxiner, est-ce que j’éviterai les formes graves avec hospitalisation, ainsi que la mort ?

7. Si je me fais vakxiner, serai-je contagieux pour les autres ?

8. Si j’éprouve une réaction indésirable grave, des effets à long terme (encore inconnus) entraînant même la mort, serai-je (ou ma famille) indemnisé ?

D’autre part, outre vos réponses, je compte m’informer de façon contradictoire par les indications données par les laboratoires et les experts officiels du Gouvernement, mais aussi par des scientifiques indépendants et des témoignages de personnes ayant déjà été vakxinées : ce n’est que lorsque j’aurai recueilli toutes ces informations que je serai à même de vous remettre mon consentement libre et éclairé (5), après avoir évalué objectivement la balance bénéfice/risque.

Le cas échéant, je reviendrai vers vous, en ayant éventuellement sélectionné le vakx1 qui me conviendrait le mieux.

Je suis en parfaite santé et n’ai nullement l’intention de voyager, ce qui me permet de prendre un peu de recul afin de prendre une décision réfléchie et responsable, ayant toujours en mémoire le serment d’Hippocrate qui reste la pierre fondatrice de notre médecine : « primum non nocere ».

Recevez, Madame, Monsieur, l’assurance de ma meilleure considération.

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Références légales :

(1) « J’informerai correctement les personnes qui font appel à mes soins ». Serment d’Hippocrate, version adaptée par le Conseil national de l’Ordre des médecins (juillet 2011)

(2) Loi du 22 août 2002 relative aux Droits du patient– article 7 §2 :

« La communication avec le patient se déroule dans une langue claire. Le patient peut demander que les informations soient confirmées par écrit ».

En complément pour les Belges qui ne savent pas comment réagir à l’invitation à se faire vacciner et qui sont au courant des risques de ce choix.

Retransmission d’un message reçu concernant l’invitation que l’on reçoit par la poste ou sms.

Au sujet de ‘l’invitation » à se faire vacciner à laquelle il est demandé de répondre (oui ou non), voici une réponse qui fut donnée par l’avocat lors du zoom de Droits et Libertés samedi dernier pour ceux qui ne veulent pas du vaccin :

1) ne pas répondre au courrier pour ne pas être repris sur une liste. (le choix que je fais ne concerne que moi et relève de la vie privée)

2) Si appel d’insistance ou courrier harcelant ou remarques d’un supérieur dans le cadre du travail, voici ce qui peut être répondu : J’ai consulté un professionnel qui m’a indiqué que l’article 10 de la loi du 22 août 2002 prévoit que toutes les informations qui concernent la santé du patient relèvent de la vie privée

Dans les cas extrêmes d’insistances/chantages/menaces de licenciements ou d’autres conséquences discriminatoires, il devient nécessaire de dire : soit vous cessez les pressions, soit je dépose une plainte pénale chez vous pour violation des droits fondamentaux, ici, le droit à la vie privée. 

Le simple fait de connaître le choix vaccinal d’une personne est une atteinte à la vie privée. 

Ils sont en infraction car ils violent la loi de 2002. Donc, ne pas répondre est parfaitement légal et évite de tomber dans le piège de chercher à répondre correctement à leurs questions, au fait, illégales. 

D’après l’avocat, cela stoppe toute insistance.

Michel Weber: Penser le totalitarisme sanitaire (2)

Dans cette deuxième interview, Michel Weber, philosophe, aborde la question de la croissance infinie dans un monde fini, l’étude des pathologies du pouvoir, indispensable pour saisir qui nous gouverne, revient sur le « Great reset » et le Forum économique mondial… Indispensable pour comprendre le monde actuel.

Lien vers l’article et la vidéo de sa précédente intervention

Appel à la résistance civile et à un réveil des consciences

Copié du blog de Jean-Dominique Michel

J’ai pris connaissance avec surprise -mais surtout reconnaissance- de l’appel qui suit, porté par un collectif de voix parmi les plus intéressantes qui se soient données à entendre au cours des mois écoulés. Ce d’autant plus qu’elles viennent de milieux forts différents, incluant bien sûr la médecine et les soins mais aussi par exemple la psychologie, le droit, l’histoire, les mathématiques, le journalisme, les arts et même les forces de l’ordre !

Le propos est remarquablement pertinent et ciblé, à tel point qu’à quelques nuances près (je pense notamment à la référence à 1793, qui ne semble pas très heureuse) je souscris à la quasi-totalité de ce qui est dit.

Particulièrement judicieuse me semble cette interpellation adressée à différents corps de métier et corps intermédiaires de la République, actuellement pris dans un effroyable conflit de loyauté. C’est-à-dire engagés à un devoir de réserve et de soumission vis-à-vis de leur hiérarchie ; mais conduits par-là même à devoir s’asseoir sur leur déontologie et même leur l’éthique, ce qui bien sûr est rédhibitoirement problématiqe.

Ces corps étant pour certains d’entre eux devenus les chevilles ouvrières d’une dérive à laquelle ils devraient simplement refuser de participer s’ils écoutaient leur dignité et leur conscience.

C’est le premier Appel de cette nature que je lis ou entends et franchement cela faisait un moment que j’attendais d’en voir circuler un…

C’est donc sans réserves et avec une sincère appréciation pour cette démarche citoyenne forte, assertive et en quelque sorte solennelle que je partage cet Appel ici en pleine convergence de valeurs et d’intention avec ses auteurs !

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Lien vers le texte et la vidéo de l’Appel : cliquer ici.

PRÉAMBULE

L’Assemblée nationale et le Sénat ont rendu leur rapport d’enquête sur la gestion de l’épidémie de Covid-19 en France et ils sont évidemment sévères. Ils mettent en lumière l’impréparation et la gestion chaotique de l’État, avec de multiples retards et des incohérences sans fin, et la mise sur la touche des médecins généralistes, privés du droit de soigner !

Des mois et des mois plus tard, le gouvernement persiste dans les mêmes erreurs, multipliant les mesures hasardeuses et arbitraires, avec la même attitude infantilisante, abusive, et souvent même méprisante envers la population. Et quelle maltraitance que de masquer les enfants !

Il porte atteinte au passage, de plus gravement, aux droits constitutionnels et fondamentaux ainsi qu’aux libertés privées et publiques, conduisant le pays à la ruine en détruisant le gagne-pain de millions de citoyennes et de citoyens.

En tolérant des conflits d’intérêts majeurs, en confiant même des responsabilités publiques à des serviteurs de l’industrie pharmaco-vaccinale, il trahit les intérêts et la confiance du peuple français.

On nous présente maintenant un « vaccin » qui n’en est pas un, mais constitue une véritable « thérapie » génique expérimentale, mis précipitamment sur le marché alors qu’il présente des risques potentiellement majeurs pour la santé de la population. Tandis que les autres vaccins annoncés affichent des effets indésirables conséquents pour une infection respiratoire équivalente à la grippe.

Ce projet est tellement contraire au droit, à l’éthique ainsi qu’aux bonnes pratiques médicales que nous devons nous opposer corps et âme à ce que l’État joue ainsi à la roulette russe avec la santé des Français, en dilapidant l’argent public.

Le désastre en cours est symptomatique d’une société à bout de souffle, qui a perdu ses repères, prise dans une bouffée délirante collective malheureusement entretenue au fil des mois par nos gouvernants.

Il est temps de reprendre nos esprits et de revenir sereinement dans la réalité : la létalité réelle du Covid-19 est celle d’une grippe moyenne, avec un âge médian des décès supérieur à l’espérance de vie. Nous disposons en outre de traitements efficaces.

En Suède la vie est normale, sans masques, sans tests, sans confinement, sans mesures humiliantes de contrôle… et sans plus de victimes.

Nous pouvons vivre sans avoir à nous terrer ou à nous déshumaniser.

Et nous devons tous retrouver ensemble le chemin de la sérénité et de la raison, en mettant un coup d’arrêt à la fuite en avant de nos gouvernants.

Chacun d’entre nous comme chaque corps constitué a sa part d’action à faire et son rôle à jouer dans ce processus urgent de restauration de la raison et des libertés.

C’est le sens de l’Appel que nous lançons aujourd’hui pour la résistance civile et le réveil des consciences, afin de préserver la lumière de l’avenir.

APPEL À LA RÉSISTANCE CIVILE ET AU RÉVEIL DES CONSCIENCES
  • Nous invitons notre président ou premier ministre
    • à tirer les conclusions de la longue suite d’errances et de défaillances de sa politique sanitaire, à tirer les conclusions de l’état d’affolement, de confusion et de sidération dans lequel il a plongé le peuple français, et bien d’autres peuples, avec des données fausses et anxiogènes, et enfin à tirer les conclusions de son instrumentalisation de la peur à des fins de neutralisation de la contestation, ainsi qu’à des fins idéologiques de démantèlement de l’économie et des intérêts nationaux au profit des grands groupes mondiaux.
    • Nous l’appelons à œuvrer pour la santé réelle des Français, et non pour le profit de l’industrie pharmaceutique,
    • à dissoudre immédiatement le Conseil Scientifique et à le remplacer par un collège des meilleurs experts libres de tous conflits d’intérêt,
    • à cesser de convoquer le Conseil de défense : on ne fait pas la guerre à un virus ;
    • à RÉTABLIR LES LIBERTÉS FONDAMENTALES : la liberté d’expression et d’opinion, la liberté de vivre, d’être en liens, et de respirer,
    • à supprimer l’usage des tests inutiles en population générale, et à les rétablir comme outil diagnostic dans la main des seuls médecins,
    • à décréter un moratoire sur toute thérapie génique, appelée à tort vaccinale, autrement dit : à faire abroger la loi d’état d’urgence sanitaire, en particulier son intolérable article 4ter alinéa 3 (*).
  •  Nous appelons les parlementaires français
    • à rester fidèles à la démocratie et à la Constitution,  à rester fidèles à leur mandat de représentation du peuple et à refuser avec courage tous les textes de loi et dispositions portant atteinte aux intérêts, à la dignité et à l’intégrité (physique, psychique, économique, culturelle, politique et sociale) du peuple.
  • Nous appelons les constitutionnalistes et les professeurs de droit
    • à dénoncer haut et fort les innombrables mesures anticonstitutionnelles qui nous sont imposées et les lois d’exception totalitaires.
  • Nous appelons les avocats et les juristes
    • à multiplier les actions en justice, ainsi qu’à offrir leurs services en pro bono ou avec l’aide juridictionnelle à des particuliers ou des collectifs ayant intérêt à agir pour intenter de telles actions.
  • Nous appelons le conseil national de l’ordre des médecins
    • à ne pas sombrer dans l’indignité en condamnant des médecins faisant honneur à leur profession, à protéger sans concession la liberté de prescription, et les médecins lanceurs d’alerte.
  • Nous appelons les forces de l’ordre
    • à servir non pas un gouvernement autoritaire, mais le peuple, et à renoncer à faire usage de toute violence à l’encontre des protestations légitimes de la population.
  • Nous appelons les fonctionnaires
    • à refuser d’appliquer les mesures liberticides.
  • Nous appelons les chercheurs et les scientifiques
    • à dénoncer les ravages de la corruption systémique produite singulièrement par l’industrie pharmaceutique, et à participer à mettre en échec l’instrumentalisation frauduleuse de la recherche au profit d’intérêts privés.
  • Nous appelons les soignants de psychiatrie, les psychosociologues et les sociologues
    • à neutraliser par leur éclairage la bouffée délirante collective dans laquelle est plongée une grande partie de la population mondiale de manière très inquiétante depuis un an.
  • Nous appelons les médecins
    • à rejeter les diktats contraires au serment d’Hippocrate en s’engageant à user de leur liberté de prescription, et à traiter les malades de la meilleure façon, en particulier dans la phase précoce de la Covid-19.
  • Nous appelons les experts de santé publique
    • à exiger qu’une balance bénéfices/risques rigoureuse soit faite au sujet de toutes les mesures non strictement médicales potentiellement destructrices pour les personnes et la société.
  • Nous appelons les pharmaciens
    • à lever tout obstacle dans la remise de prescriptions hors-AMM.
  • Nous appelons les responsables de résidences pour personnes âgées
    • à tenir impérativement compte de la volonté de leurs pensionnaires dans un processus décisionnel impliquant leur consentement éclairé ou celui de personnes de confiance concernées, à toutes mesures les impliquant.
  • Nous appelons tous les professionnels de la naissance, tous les professionnels de la petite enfance
    • à veiller au respect de la dignité et des intérêts des tout-petits et de leurs parents.
  • Nous appelons les enseignants et l’éducation nationale
    • à protéger les enfants et les adolescents en refusant le port du masque, à leur donner des informations sur les conséquences, graves, de la bouffée délirante collective, ainsi que leur enseigner les bases de ce qui génère et protège réellement la santé.
  • Nous appelons les milieux économiques
    • à s’opposer de toutes leurs forces et de toute leur influence à des décisions absurdes et inutiles qui précipitent vers la faillite et la ruine les forces vives de notre économie réelle au profit des multinationales et des grands groupes mondiaux.
  • Nous appelons les journalistes
    • à se désaliéner de leur tutelle économique, à rejeter la politique du buzz, à respecter la Charte des journalistes aujourd’hui bafouée et à remplir pleinement leur rôle et leur mission envers la population en tant que quatrième pouvoir essentiel à la démocratie, en délivrant une information honnête, et en enquêtant sur les dérives en cours.
  • Nous appelons les artistes
    • à véhiculer et populariser sous toutes les formes que ce soit l’esprit de résistance civile et le réveil des consciences qui animent cet appel.
  • Nous appelons les citoyennes et les citoyens
    • à exercer notre droit et notre devoir, sans supporter aucun chantage à l’exclusion sociale, de refuser une vaccination inutile, risquée servant plus les profits de l’industrie pharmaceutique que la santé, en obtenant au besoin la tenue d’un référendum (d’initiative partagée en France) sur l’intégration au bloc constitutionnel de l’article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793, lequel énonce :
      • « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »
  • car si un gouvernement persiste dans une dérive autoritaire, irresponsable et mortifère, quelle autre alternative laisse-t-il à ses concitoyens sinon celle de résister en masse, et si possible pacifiquement, jusqu’à ce que les gouvernants reprennent raison ou leur remettent leur pouvoir ?

Lien :

Rumble — APPEL A LA RÉSISTANCE CIVILE ET AU RÉVEIL DES CONSCIENCES

0.00-3.12 Préambule
3.13-10.38 Appel à la résistance civile et à l’éveil des consciences
10.40-13.40 Générique et chanson

Texte collectif de et avec 

Louis Fouché, Tristan Edelman, Virginie de Araujo-Recchia, Thierry Gourvénec, Médecin anonyme, Ronald Guillaumont, Vincent Pavan, Pascal Sacré, Éric Remacle, Nathalie Derivaux, Pierre Chazal, Sébastien Recchia, Alexandre Gerbi, Ingrid Courrèges, Ashani, Albéric et Cindy, Géraldine, Jean-Paul, Jeff, Julie, Martine, Sébastien G, Sandrine, Isabelle, Claudia et Ernesto, Joël, Dominique….