Science : plus de preuves pour l’ivermec**tine que pour les vakx1s

Source: Revue Santé Corps Esprit

Pour nos autorités et « grands pontes de la médecine », les vakx1s sont « validés scientifiquement ».
Résultat : on a très vite commencé à vakxiner la terre entière, y compris les femmes enceintes et les enfants de 12 ans.
Problème : ce sont les mêmes « autorités » qui vous disent qu’il n’y a « pas de preuve scientifique concluante » en faveur de l’ivermec**tine.

Et c’est tout simplement absurde.

L’ivermec**tine est un vieux médicament antiparasitaire dont je vous montre depuis des mois l’efficacité hors du commun contre la Covid-19.

  • Mais pour l’establishment médical occidental : 
    • Les seraient validés scientifiquement ;
    • L’ivermec**tine ne serait pas validée scientifiquement.

C’est un énorme mensonge.

Dans cette lettre, je vais vous expliquer pourquoi il y a 10 fois plus de preuves scientifiques en faveur de l’ivermec**tine que des vakx1s contre la Covid-19.
Ce sera un peu technique par moment, mais il est très important de démonter ce « mythe », en détail :

Nombre d’essais randomisés : 1 pour P*fizer contre 31 pour l’ivermec**tine !

Vous vous souvenez du reproche de nos « grands scientifiques » contre l’hydroxychloroquine du Pr Raoult : « Il n’a pas fait d’essai randomisé contre placebo »[1].

En pleine épidémie, cette objection se discute, mais une chose est exacte : l’avantage des essais randomisés contre placebo est qu’ils apportent généralement un excellent niveau de preuve scientifique.

Alors, combien y a-t-il eu d’essais cliniques randomisés pour tester le vakx1 P*fizer ? 
Un seul ! Contre plus de 30 pour l’ivermec**tine !

Bien sûr, si cet essai était « parfait », ce ne serait pas forcément un problème.
Mais ce n’est pas du tout le cas : au contraire, l’essai clinique P*fizer comporte énormément de problèmes méthodologiques !

D’abord, l’essai n’a pas été réalisé « en double aveugle ».
Cela veut dire que les infirmières, les techniciens et les vakxinés pouvaient voir à l’œil nu si la seringue contenait le vakx1 (opaque) ou du sérum physiologique placebo (transparent). 
De plus, ceux qui ont reçu le vakx1 plutôt que le placebo ont eu beaucoup d’effets indésirables (fièvre, maux de tête, fatigue, courbatures…).

Ils en ont forcément conclu qu’ils avaient bien reçu le vakx1, plutôt que le sérum physiologique placebo.

Cela biaise fortement l’étude, car comme l’explique le Dr de Lorgeril, « la Covid-19 est (en général et en particulier dans ces deux essais) une maladie bénigne et brève (3-4 jours de malaise) et donc la maladie idéale pour bénéficier à plein d’un effet placebo ! ».
Autrement dit, il est probable que certains vakxinés ne se sont pas plaints de leurs symptômes Covid, parce qu’ils étaient persuadés d’être protégés par le vakx1. Cela peut conduire à omettre de diagnostiquer certains cas Covid chez les vakxinés, et donc de surestimer l’efficacité du vakx1.

Deuxième problème énorme : l’essai clinique a été arrêté au bout de 2 mois, dès que le laboratoire a pu communiquer son taux de 95 % d’efficacité… alors que l’essai était prévu sur 2 ans !
« Un arrêt prématuré d’un essai clinique est une faute majeure pour un scientifique », explique le Dr Michel de Lorgeril, spécialiste des vakx1s et de la méthodologie des essais cliniques.
Pour P*fizer, cela avait l’avantage de masquer la chute très rapide du nombre d’anticorps vakxinaux en quelques semaines, qui chute de 80 % en 3 mois[2] ! 

Troisième problème : le nombre total de « malades » de la Covid-19 était ridiculement faible.

Certes, l’essai P*fizer a été mené sur plus de 40 000 personnes, ce qui peut paraître impressionnant.
Mais sur ces 40 000 personnes en bonne santé, moins de 200 ont été testés « positifs » à la Covid-19, après avoir développé des symptômes : 
– 8 dans le groupe vakxiné ;
– 162 dans le groupe placebo.

Ces chiffres, s’ils sont exacts, permettent de conclure avec certitude que le vakx1 est très efficace « pour éviter les formes symptomatiques » de la Covid-19 – c’est à dire pour s’éviter un mauvais rhume.

Mais en aucun cas, ces chiffres ne permettent de conclure scientifiquement :
– Que le vakx1 diminue le risque de « formes sévères » (il n’y en a eu que 4 au total, 3 dans le groupe placebo, 1 dans le groupe vakxiné !) ;
 – Ou que le vakx1 diminue le risque de mourir de la Covid-19 : il n’y a pas eu un seul mort de la Covid-19 sur les 200 personnes testées positives !

Donc, nos grands « puristes de la méthodologie scientifique » devraient reconnaître que l’efficacité du vakx1 sur les formes graves n’a pas été prouvée formellement – et encore moins sur les plus de 85 ans, pourtant les plus vulnérables, mais qui ne faisaient pas partie de l’étude.

Et pourtant, ils font le contraire, en affichant une certitude absolue que le vakx1 est efficace pour éviter les hospitalisations et les morts.

Sur la base de quoi ? De quels chiffres ? 

Eh bien, comme ils ne peuvent pas s’appuyer sur l’essai clinique randomisé, ils fondent leur certitude sur des analyses statistiques réalisées en Israël et en Grande-Bretagne. 
Mais ce sont des données « observationnelles », ce qui est un niveau de preuve théoriquement assez faible !

Donc, toute la campagne vakxinale mondiale s’appuie sur des données observationnelles et un seul un essai clinique qui ne peut conclure à la moindre efficacité sur les formes graves.

Et le pire, c’est que ce seul essai clinique est lui-même probablement manipulé !

L’essai P*fizer : un conflit d’intérêts gros comme une maison !!

Car il faut savoir que l’essai clinique randomisé a été entièrement organisé par P*fizer, avec des salariés du laboratoire !

« Il n’y a pas de conflit d’intérêts plus énorme puisque les salaires et les primes des employés (sous forme de milliards de dollars pour les dirigeants) en dépendent », explique Michel de Lorgeril.

Il y a donc des incitations énormes à manipuler les résultats !

Par exemple, des employés de P*fizer ont pu choisir de faire moins de tests PCR chez les vakxinés que chez les non-vakxinés.

Ce serait une manière très simple de faire en sorte qu’il y ait plus de cas « positifs » chez les non-vakxinés !

Cette manipulation était réalisable en pratique, puisqu’il était relativement facile de « deviner » qui a eu le vakx1 et qui ne l’a pas eu, sur la base des effets indésirables.

Ensuite, même si les données de terrain ont été recueillies de façon honnête, il est possible qu’elles aient été « manipulées » par les grands pontes qui ont rédigé l’étude finale.

« Quand on regarde la liste des auteurs et coauteurs, on voit qu’ils appartiennent tous à P*fizer », explique le Dr de Lorgeril. 

Tout ça pour vous dire que cet essai clinique unique sur le vakx1 P*fizer est TRÈS fragile !

Conclusion du Dr de Lorgeril : « les règles élémentaires de l’essai clinique telles qu’elles ont été élaborées au cours des 30 ou 40 dernières années n’ont pas été respectées. On fait tout ce qu’il ne fallait pas faire ».

Et ne me dites pas qu’il est inimaginable de soupçonner P*fizer d’être capable de trafiquer ses chiffres. Depuis 20 ans, P*fizer a été condamné à plusieurs reprises par la Justice américaine pour fausses déclarations, pots-de-vin et autres pratiques de corruption[3].

En 2009, P*fizer a même dû payer une amende de 2,4 milliards de dollars, un record mondial, pour « pratiques commerciales frauduleuses »[4], notamment des commissions occultes versées à des médecins.

Voilà pourquoi il faut exiger la plus grande rigueur scientifique quand on laisse des laboratoires pharmaceutiques comme P*fizer conduire ou financer leurs propres essais cliniques.

Maintenant, il me faut préciser un point capital.

Personnellement, je ne fais pas partie des « puristes » de la méthodologie scientifique.

Je pense qu’il faut utiliser son bon sens, regarder toutes les informations, et se faire une opinion sans toujours attendre la « preuve parfaite ».

S’agissant du vakx1 P*fizer, et sur la base de tout ce que j’ai lu et observé, il me paraît raisonnable de penser qu’il a très probablement une certaine efficacité pour éviter les formes graves de la Covid-19 (ce qui ne veut pas dire que son « bénéfice-risque » est positif pour autant, car il a beaucoup d’effets indésirables).

Mais il est évident que le niveau de preuve scientifique en faveur de cette efficacité est très imparfait : à savoir un seul essai clinique mal conduit, organisé par le fabricant, avec très peu de malades, ainsi que des données observationnelles de terrain.

Le plus choquant, c’est qu’il y a là un « deux poids, deux mesures » évident avec l’ivermec**tine (et l’hydroxychloroquine, mais je n’en parlerai pas ici).

Car avec l’ivermec**tine, pour les « puristes » de la méthodologie scientifique, il est exact qu’on n’a pas la preuve parfaite de son efficacité. 

Mais on ne l’a pas non plus pour les vakx1s, comme on l’a vu !

Et quand on regarde bien les données scientifiques, on voit au contraire qu’il y a beaucoup plus de preuves d’efficacité de l’ivermec**tine que des vakx1s !

Ivermec**tine : un nombre d’études randomisées favorables impressionnant !

Le bon sens permet de comprendre que 10 essais imparfaits, menés sans préjugés et sans conflit d’intérêts, valent mieux qu’un seul essai, fût-il « parfait » en apparence.

Si vous avez un seul essai clinique, vous avez toujours le risque qu’il ait été manipulé à votre insu… ou même que son résultat soit dû au hasard (même si la probabilité est très faible quand les résultats sont significatifs).

A l’inverse, quand vous avez des chercheurs aux quatre coins du monde, qui font des essais cliniques sur l’ivermec**tine de façon désintéressée, avec des méthodes différentes, sur des patients différents, le fait qu’ils arrivent à la même conclusion d’efficacité est une preuve forte en faveur de cette molécule !

C’est le cas pour l’ivermec**tine, dont voici la liste des 31 essais cliniques randomisés :

Liste des 31 RCT effectués sur l’ivermec**tine, en traitement précoce (« early »), tardif (« late ») et en prophylaxie

TOUTES ces études (sauf une) donnent des résultats très favorables à l’ivermec**tine, que ce soit sur le nombre d’infections, la charge virale, le nombre d’hospitalisations et le nombre de morts.

Certes, aucun de ces essais cliniques n’est parfait, loin s’en faut, selon les règles des puristes.

Mais ces essais cliniques ont un énorme avantage : ils ont été conduits par des médecins et chercheurs qui n’ont aucune incitation à manipuler leurs résultats !

Aucun d’entre eux n’aurait gagné le moindre centime à montrer que l’ivermec**tine fonctionne.

C’est pour cela que ces essais cliniques sont extrêmement convaincants : ils vont tous dans le même sens, alors que personne n’avait rien à gagner à aboutir à ces résultats positifs !

C’est une preuve extrêmement puissante d’efficacité !

Car il vaut mieux 31 essais imparfaits mais sans conflit d’intérêts plutôt qu’un essai « parfait » (ce qui n’est pas du tout le cas de l’essai P*fizer) organisé par le fabricant !

Et en plus, il y a beaucoup plus de vrais malades dans ces études sur l’ivermec**tine que dans l’essai P*fizer !!

Je rappelle qu’il y a eu 0 mort dans l’essai P*fizer.

Dans les 31 essais sur l’ivermec**tine, il y en a environ 70 – avec au moins 62 % de mortalité en moins dans les groupes traités avec l’ivermec**tine[5]

Dans l’essai P*fizer, il y avait 2 hospitalisations au total. Dans les 31 essais sur l’ivermec**tine, il y en a plusieurs centaines.

C’est beaucoup plus significatif !

Même sur le nombre d’infections évitées, on en a plus dans les études sur l’ivermec**tine !

Prenez l’étude la plus célèbre en prévention sur l’ivermec**tine, réalisée en Argentine.

Je tiens à vous en dire un mot, car j’estime que cette étude, à elle-seule, est plus convaincante que l’essai P*fizer : 

  • 800 soignants ont pris, en prévention, de l’ivermec**tine en gélule, ainsi qu’un spray nasal à base d’une algue rouge antivirale (iota-carrageenan) ;
     
  • 400 soignants n’ont pas souhaité participer à l’étude, et n’ont donc pris ni ivermec**tine , ni spray nasal.

Et le résultat est tout simplement EXTRAORDINAIRE : 

  • Parmi les 800 soignants traités à l’ivermect**tine + spray nasal, il n’y a pas eu une seule infection, pas un seul test PCR positif ;
     
  • Parmi les 400 soignants non traités, au contraire, il y a eu plus de 230 tests PCR positifs, soit 58 % d’infectés !

Notez bien que 230 tests PCR positifs au total, c’est un peu plus que le nombre de cas positifs de l’essai clinique P*fizer.

Certes, P*fizer a vakxiné 40 000 personnes, mais ce n’étaient pas des soignants en première ligne, c’était des gens qui avaient peu de chances d’attraper la Covid.

Au total, le résultat est donc plus impressionnant pour l’ivermec**tine. Dans le groupe vakxiné, il y a eu une dizaine d’infections, alors que dans le groupe traité par ivermec**tine + spray nasal, il n’y a pas eu la moindre infection !

0 infection sur 800, alors qu’un groupe comparable a eu 230 infections sur 400, c’est un résultat extraordinaire, qui prouve à lui seul l’efficacité du traitement (une coïncidence est impossible). 

Et il est très peu plausible que ces chiffres puissent être frauduleux, car le Dr Carvallo qui a réalisé cet essai est un grand médecin honnête, qui n’a rien à gagner à ces résultats ! 

Certes, cet essai argentin n’est pas « parfait » selon les puristes de la méthodologie. 

Peut-être que s’il avait été parfait, on n’aurait pas eu une efficacité de 100 %, mais « seulement » de 90 %.

Mais dans tous les cas, il est certain que l’efficacité de l’ivermec**tine est très élevée !

Et il ne s’agit que d’un seul essai clinique, sur 31 !!

Vous voyez qu’il y a une mauvaise foi INOUÏE à dire que la SCIENCE conclut à l’efficacité du vakx1 et à l’absence de preuve probante pour l’ivermec**tine !

Surtout que ces 31 essais cliniques apportent encore une autre preuve probante.

Car on discerne clairement dans ces essais un « effet-dose » : les essais cliniques dans lesquels on a donné une dose plus importante d’ivermec**tine obtiennent de meilleurs résultats.

Bref, ces 31 études randomisées apportent un niveau de preuve très élevé, si tant est qu’on utilise son bon sens plutôt qu’un méthodologisme borné. 

Et il n’y a pas que ces essais randomisés.

Les autres niveaux de preuves en faveur de l’ivermec**tine – études observationnelles et expériences en vie réelle – sont tout aussi convaincantes :

Les études « en vie réelle » sur l’ivermec**tine ? La cerise sur le gâteau !

Au Panama, en Slovaquie ou dans la région Alto Parana au Paraguay : partout où l’ivermec**tine a été distribuée de façon massive, l’épidémie a été terrassée en quelques semaines[6].

C’est ce qui s’est passé en Inde également : les États qui ont utilisé l’ivermec**tine ont écrasé l’épidémie du variant Delta plus rapidement que les autres.

Mais le meilleur exemple est celui de la ville de Mexico (près de 20 millions d’habitants), qui a décidé de donner de l’ivermec**tine à tous les cas positifs, en traitement précoce.

Le résultat a été immédiat, et spectaculaire sur le nombre de morts (à gauche) ou d’hospitalisations (à droite) :

Des chercheurs mexicains ont examiné ce miracle et ont conclu, avec une étude observationnelle (quasi-randomisée) sur plus de 200 000 patients que l’ivermec**tine a permis de réduire le nombre d’hospitalisations de 52 à 76 %[7].

Ce n’est peut-être pas une « grande étude randomisée » en bonne et due forme, mais cela a de la valeur pour ceux qui savent regardent les faits en face !

Et surtout, cela a au moins autant de valeur que la plupart des études en faveur du vakx1 P*fizer, qui, il faut le dire et le répéter, sont essentiellement observationnelles elles aussi !

D’ailleurs, aux dernières nouvelles en Israël et en Grande-Bretagne, le nombre de cas repartait à la hausse sous l’effet du « variant delta »… alors que l’ivermec**tine, elle, est efficace contre tous les variants !

Voilà encore un point favorable à l’ivermec**tine contre le vakx1 P*fizer, qui a de forts risques d’être moins efficace face aux variants.

Et bien sûr, je n’ai rien dit ici des effets indésirables graves : 

  • 0 pour l’ivermec**tine, une molécule connue depuis plus de 30 ans et donnée à des milliards de patients dans le monde ;
     
  • Énormément d’effets indésirables rapportés à la pharmacovigilance pour P*fizer, qui est une technologie totalement expérimentale, testée sur quelques mois seulement et sur laquelle nous n’avons aucun recul !

Le « deux poids, deux mesures » est aveuglant pour qui a les yeux ouverts.

Vous vous souvenez que le ministre Olivier Véran a interdit l’hydroxychloroquine, en pleine épidémie, au prétexte d’un risque très rare de ce médicament sur le rythme cardiaque ?

Eh bien les autorités israéliennes, américaines et françaises ont eu beau reconnaître noir sur blanc que le vakx1 P*fizer peut causer une maladie cardiaque (myocardites), cela n’a rien changé à leurs recommandations !

Pourtant, ne vous paraît-il pas évident

  • Qu’il est acceptable de prendre un risque minime quand on donne un médicament comme l’hydroxychloroquine à une personne malade de la Covid-19, surtout lorsque cette personne est à haut risque de mourir parce qu’elle a plus de 70 ans et des comorbidités ;
     
  • Et qu’il est inacceptable de prendre le moindre risque quand on vakxine des bien-portants de 15 à 25 ans qui n’ont aucun risque en cas d’infection à la Covid-19 !

Et pourtant, on a interdit l’hydroxychloroquine sans raison valable et on recommande en ce moment le vakx1 P*fizer aux jeunes de 18 ans, alors qu’il cause de myocardites.

Pour l’ivermec**tine, c’est encore plus « gros », car elle ne présente même pas de risque « rare », et son efficacité est encore plus probante que l’hydroxychloroquine !

Vous comprenez maintenant qu’on marche sur la tête ?

Transférez cette lettre à votre médecin ou à toute personne qui prétend que les vakx1s sont « scientifiques », et que l’ivermec**tine ne l’est pas.

Bonne santé,

Xavier Bazin

Sources:

[2] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.04.19.21255714v2.full

[1] https://michel.delorgeril.info/sante-publique/essais-cliniques-testant-les-vaccins-anticovid-arn-messager-pas-de-double-aveugle-effet-placebo-garanti/

[3] https://www.arguments-vakx1s.com/argument-53-je-nai-pas-confiance-dans-le-laboratoire-p*fizer/

[4] https://www.france24.com/fr/20090903-le-laboratoire-p*fizer-ecope-dune-amende-23%C2%A0milliards-dollars-

[5] https://journals.lww.com/americantherapeutics/Abstract/9000/Ivermectin_for_Prevention_and_Treatment_of.98040.aspx

[6] https://www.sante-corps-esprit.com/malgre-la-flambee-du-virus-linde-reste-la-preuve-que-les-traitements-precoces-sont-efficaces/

[7] https://osf.io/preprints/socarxiv/r93g4/

Peter Mc Cullough – 85% de décès/malade en moins quand les patients sont traités précocement par un cocktail de médicaments.

Peter Mc Cullough, un des plus grands spécialistes dans ce qui concerne le coeur et les reins, professeur de médecine dans une université au Texas, fait un déclaration devant le sénat du Texas sur le traitement de la maladie et surtout les censures et les comportements des médias sur tout ce qui relève des traitements au profit d’une vakxination inutile et dangereuse.

https://odysee.com/@Covidbel:5/72bf22:f

« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid »

« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid » – C’est sous ce titre que vient de paraître un article assez long dans le quotidien roumain Național, vendu dans tout le pays.
Le secret de cette femme médecin d’Oradea ?
Pour guérir ses patients, elle n’applique pas le protocole médical dont l’usage est devenu obligatoire presque partout. Nos confrères du Visegrad Post ont traduit l’article, disponible ci-dessous.

L’entretien publié par le Național a aussi été mis en ligne en langue hongroise sur ce site, qui reprend, concernant l’épidémie, diverses nouvelles alternatives que la presse de grand chemin refuse de publier. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier la crédibilité des matériaux souvent touffus que reprend le site, mais nous pouvons, en revanche, évaluer celle de la traduction hongroise de l’entretien : le contenu de la traduction hongroise correspond bien à l’original. Voici donc cette traduction, à laquelle nous n’avons ajouté que d’infimes améliorations stylistiques :

« Le portail d’informations national.ro vient de publier un entretien intéressant, dans lequel une pneumologue d’Oradea nous explique que, décidant de ne pas tenir compte du protocole Covid officiellement en vigueur [en Roumanie], elle a préféré se baser sur sa propre expérience de la pneumologie pour traiter de façon traditionnelle ceux de ses patients atteints de pneumonie suite à une infection virale – y compris ceux qu’on dit « souffrant du Covid », méthode débouchant sur un succès impressionnant : pratiquement 100% de ses patients ont guéri sans le moindre soin hospitalier. D’après ce médecin, c’est en réalité le protocole Covid actuellement appliqué que tue les patients dans les hôpitaux.

Capture d’écran de l’article du Național en date du 17 mars 2021.

Le docteur Flavia Groșan, pneumologue à Oradea (département du Bihor). Elle est l’un de ces médecins qui ne sont pas d’accord avec le protocole de guérison actuellement prescrit par le ministère [roumain] de la Santé, et en fonction duquel sont censés être traités les malades infectés par le Covid-19. Laissant de côté cette prescription, elle guérit les patients infectés avec ses propres méthodes, en partant des connaissances qu’elle doit à son expérience de médecin, et tout semble indiquer qu’elle s’y prend très bien : son traitement a été appliqué à presque mille patients arrivant chez elle à des stades différents de la maladie causée par le SarS-CoV-2. 100% de ses patients ont guéri, sans la moindre prise en charge hospitalière.

Le docteur Groșan traite les conséquences de l’infection par le virus SARS-CoV-2 comme une pneumonie atypique. Elle a aussi déclaré que les hôpitaux commettent d’énormes erreurs, et que c’est en réalité le protocole Covid qui tue les patients.

« Le Covid est une pneumonie – certes atypique, mais une pneumonie – et doit être traité comme tel » – a-t-elle affirmé.

« Dès l’annonce de la pandémie, mon but a été qu’aucun patient ne finisse intubé, car c’est un procédé qui entraîne la mort. J’applique mes traitement classiques, médicamenteux, qui incluent la clarithromycine, un antibiotique de la famille des macrolides. Cette famille ne compte que trois antibiotiques : l’érythromycine, que tout le monde connaît, l’azithromycine et la clarithromycine. Je n’aime pas trop l’azithromycine, qui est une copie affaiblie de la clarithromycine. J’ai participé à des recherches cliniques très intéressantes sur les pneumonies, au cours desquelles j’ai pu constater le pouvoir qu’a la clarithromycine de réduire l’inflammation comme aucun autre antibiotique ne sait le faire. »

La pneumologue fait remarquer que les surdoses d’oxygène administrées en milieu hospitalier provoquent des œdèmes cérébraux, qui constituent l’une des causes de mortalité des patients.

À ce sujet, elle a tenu les propos suivants :

« Au-dessus de 80% de saturation, je n’administre que de très petites doses d’oxygène à mes patients, de l’ordre de 2-3 litres par minute, sous la forme d’administrations quotidiennes courtes, de 4 à 5 heures tout au plus. Il faut en effet savoir qu’un excès d’oxygène inhibe le cerveau, car en général, c’est le cerveau qui contrôle notre corps, et non un appareil. Sur ce point, j’ai été en total désaccord avec le protocole Covid en vigueur : les fortes doses d’oxygène qu’il prescrit, de l’ordre de 20 litres, conduisent à l’acidose, provoquant des œdèmes cérébraux chez les patients… lesquels, à leur tour, conduisent bien entendu à leur décès. »

Flavia Groșan voit comme une lourde erreur l’administration aux malades de Covid de Kaletra et de codéine, qui ne peuvent qu’aggraver les symptômes de la maladie.

« Heureusement, il y a eu quelques infirmières – celles que je considère comme de vraies héroïnes – qui ont observé les malades, et les ont avertis, leur conseillant de ne pas avaler le Kaletra et de jeter les médicaments. Après quoi, les médecins venant procéder à leur contrôle s’étonnaient de l’absence de diarrhée, et du fait qu’ils se sentent bien. La raison en était qu’ils n’avaient pas pris les médicaments prescrits par le protocole. C’est ainsi que ces soignantes ont véritablement sauvé la vie de leurs patients. »

« En cas d’utilisation de la codéine, la toux étant bloquée, le malade ne peut pas cracher les sécrétions qui se forment dans les poumons, et ce sont ces sécrétions qui l’étouffent – pas les caillots sanguins, mais l’accumulation des sécrétions. Arrivés à ce point, les malades, comme on pouvait s’y attendre, entrent en état de panique, car ils n’arrivent plus à respirer : du coup, on leur administre des calmants et on les place sur respirateur – à partir de là, il n’y a plus que la miséricorde divine pour les sauver ! »

Cette méthode couronnée de succès et cette attitude intrépide ont aussitôt assuré à cette pneumologue d’Oradea une popularité nationale. D’innombrables organes de presse ont rendu compte de la méthode qu’elle applique. Sur cette vidéo, elle répond aux questions d’une chaîne nationale basée à Bucarest, dont les journalistes adoptent à son égard un ton plutôt hostile et accusatoire, mais madame le docteur reste inébranlable. Voici un résumé de l’entretien télévisé :

https://www.youtube.com/embed/JgYvMYoMADg?feature=oembed Flavia Groşan

La pneumologue applique son propre protocole. Elle consulte en ligne, et traite ses patients en partant du principe qu’ils souffrent d’une pneumonie atypique. Elle a par exemple guéri les cinq membres d’une même famille, dont les âges allaient de 37 à 97 ans ; le traitement a eu tant de succès que cette famille a déjà pu fêter Noël réunie. Les malades ont très peur – affirme-t-elle –, tout le monde veut être hospitalisé, alors qu’on peut guérir en restant chez soi et en prenant des médicaments. Elle a déjà été dénoncée par l’un de ses collègues pour ne pas suivre le protocole prescrit, mais cela la laisse indifférente, car elle voit que le protocole prescrit n’est pas correct, et que son protocole à elle, en revanche, est le bon – le principe de ce dernier étant que, dès l’apparition des premiers symptômes, même avec une température de 37.1°, elle place ses patients sous clarithromycine. Elle se déclare perplexe en voyant les sommités médicales se succéder à la télévision pour effrayer la population, car pour elle il était clair d’entrée de jeu qu’elle a à faire à une pneumonie, et que c’est cette constatation qui doit aussi déterminer la mise au point du traitement.

Source: Breizh Info du 23/3/21

Contre la C0VlD, on dispose désormais d’un nombre extravagant de traitements qui marchent !

Extraits de la Lettre de Santé de Xavier Bazin

Comme l’a reconnu le Pr Caumes récemment, « c’était une erreur stratégique de tout miser sur les vakx1s. Je pense qu’on a complètement négligé le traitement » [5].

Parmi les traitements efficaces, figurez-vous qu’on trouve même un banal antidépresseur !

Cet anti-dépresseur marche contre la Covid, il a fait la UNE de l’émission phare « 60 minutes » aux États-Unis !

Je ne suis pas un fan des médicaments contre la dépression, car leur efficacité est au mieux très modeste, et leurs effets indésirables sérieux quand ils sont pris sur une longue période.

Mais pour une personne vulnérable, malade de la Covid-19, prendre un antidépresseur pendant 15 jours comporte un risque infime.
Donc si cela peut lui éviter une hospitalisation et lui sauver la vie, cela en vaut la peine !

C’est ce qui a été prouvé scientifiquement pour l’antidépresseur fluvoxamine.
On sait depuis novembre dernier que c’est un médicament à l’efficacité potentiellement incroyable contre la Covid-19.

Récemment, un grand média américain a fini par s’y intéresser, l’émission 60 minutes sur CBS News.
Dans leur reportage, ils racontent comment une simple pédopsychiatre s’est intéressée à la fluvoxamine en plein début de Covid-19, en mars 2020.

Cette médecin se souvenait avoir lu une étude qui montrait l’efficacité de la fluvoxamine sur la septicémie, un état de « tempête immunitaire » comparable à celle de la Covid. Elle l’a signalé à un collègue, qui a fait une première étude avec les moyens du bord (20 000 dollars pris sur les fonds de son université).  

Les premiers résultats furent spectaculaires, si bien qu’un milliardaire lui a donné plusieurs centaines de milliers de dollars pour élargir l’étude.
(Notez bien que le gouvernement américain ne les a pas aidés. Il était trop occupé à donner à Big Pharma des milliards pour la recherche sur les vakx1s, et des millions pour des « traitements innovants » hors de prix…
…un peu comme en France, où l’Institut Pasteur de Lille a dû compter sur une donation de la Fondation LVMH, plutôt que sur les fonds du ministère de la santé d’Olivier Véran, pour faire des études sur une vieille molécule très prometteuse contre la Covid-19).

  • En août 2020, l’étude sur la fluvoxamine est finalisée et les résultats sont incroyables : 
    • Dans le groupe de 80 patients qui ont reçu de la fluvoxamine en traitement précoce, aucun n’a vu son état se détériorer, aucun n’est allé à l’hôpital ;
    • Dans le groupe qui a reçu le placebo, 6 sur 72 ont dû être hospitalisés, soit 8 % de l’échantillon.

Comme vous l’imaginez, les auteurs de l’étude avaient envie de crier leur découverte sur les toits ! Mais personne ne les a écoutés, ou presque. 

En novembre, les auteurs ont cru qu’ils allaient enfin réussir à percer le mur du silence. Car ils avaient réussi l’exploit de publier leur étude dans un journal médical « de référence », le Journal of the American Medical Association (JAMA) [6].
Mais cela n’a pas suffi. Toujours aucune réaction.

  • Dans un monde normal, dès la publication de ces résultats, les autorités de santé du monde entier auraient dû :
    • Conseiller de traiter les malades les plus à risque avec cette molécule, 
    • Et lancer parallèlement d’autres essais cliniques pour confirmer cet effet.

En France, le ministre Olivier Véran est particulièrement coupable de n’avoir rien fait.
Car ce sont des chercheurs français de l’AP-HP et de l’INSERM qui ont rendu public, dès le mois d’août 2020, une étude observationnelle française pointant l’efficacité des antidépresseurs de la famille de la fluvoxamine contre la Covid-19 [7] !

Il était évident que la balance « bénéfice-risque » de ce médicament était favorable, pour les personnes vulnérables les plus à risque d’hospitalisation.
Mais à l’automne-hiver, quasiment aucun patient n’a reçu cette molécule potentiellement salvatrice.

  • Pendant ce temps-là, les autorités n’ont vu aucun problème à :
    • Injecter du remdésivir en perfusion à des malades de la Covid-19, sans la moindre preuve d’efficacité ;
    • Puis injecter à des personnes en bonne santé des vakx1s utilisant une technologie totalement nouvelle.

En revanche, par « prudence », elles ont refusé de donner à des malades à haut risque, pendant 15 jours, une molécule aussi connue que la fluvoxamine !!

C’est le même drame pour le protocole Raoult : le rapport bénéfice/risque était ÉVIDEMMENT favorable pour la plupart des malades, mais on l’a diabolisé, puis passé aux oubliettes.

Et je ne parle pas de la vitamine D ou de l’ivermectine, où le risque est de 0,00 %, et le bénéfice potentiellement énorme !
Et c’est le cas, également, d’un geste d’hygiène simple et peu coûteux :

Un simple spray nasal & bain de bouche, arme fatale contre la Covid-19 ??
  • Une large part de l’épidémie aurait pu être évitée si on avait conseillé :
    • D’utiliser tous les jours un simple spray nasal, disponible pour quelques euros en pharmacie ;
    • De faire matin et soir un bain de bouche antiseptique, avec de la bétadine.

Cela paraît fou, encore une fois, mais c’est ce que montrent les études scientifiques.

Commençons par le spray nasal.

On sait depuis au moins 10 ans qu’un extrait d’algue rouge, appelé carraghénane (ou iota-carraghénane), a une efficacité contre les infections respiratoires, en spray nasal [8].

Avant même d’avoir la moindre étude, il aurait été malin de le donner aux personnes à risque, en prévention de la Covid-19. Risque : 0. Bénéfice : prometteur.
Puis, quand les études sont tombées, il n’y avait plus de doute possible.
A l’été 2020, des chercheurs ont confirmé que cette molécule toute simple était efficace contre le coronavirus, in vitro [9].

Tout récemment, une étude argentine randomisée, contre placebo, menée sur 400 personnes a prouvé son efficacité in vivo : en prévention, un simple spray nasal à base de iota-carraghénane a réduit de 80 % le risque d’infection [10] !
Ce n’est pas un une étude « accidentelle » ou une « coïncidence ». Car plusieurs études ont trouvé des résultats exceptionnels, en associant un spray nasal à des bains de bouche.

C’est logique, car le coronavirus commence par se multiplier dans le nez et la gorge avant de descendre dans les poumons. Si on le neutralise dès le début, on évite les cas graves – on pouvait s’en douter, mais cela a été prouvé.

Dans une étude indienne, une simple solution saline en spray et bain de bouche a suffi à obtenir d’excellents effets [11].

D’autres études ont obtenu d’excellents résultats des sprays et bains de bouche à base de bétadine, un antiseptique. 
Dans une étude randomisée sur plus de 1 000 patients, ces gestes simples ont permis une réduction de 84 % du risque d’hospitalisation, et de 88 % du risque de décès [12] !

En France, une entreprise intelligente a fini par mettre au point un spray nasal, à partir d’une substance qui neutralise le coronavirus in vitro [13].
Il devait être commercialisé en ce début du mois de mars… mais l’Agence du Médicament a refusé au dernier moment [14].
Pourquoi ?
Je ne veux pas être complotiste, mais il est tout de même étrange de voir que nos « experts » ont jugé qu’un banal lavage de nez était beaucoup plus risqué qu’une injection, dans le muscle, d’un ARN messager entouré de nanoparticules (Pfizer, Moderna), ou d’un adénovirus génétiquement modifié (AstraZeneca). 

Et ce n’est pas tout.

Et encore des dizaines d’autres molécules efficaces !

Je vous ai déjà parlé de la colchicine, cette substance naturelle issue du colchique. Plusieurs petits essais cliniques avaient pointé son efficacité contre la Covid-19, dès l’automne dernier.

  • En janvier, une grande étude canadienne randomisée [15], menée sur plus de 4 000 patients a montré que la colchicine a permis : 
    • Une réduction de 25 % du risque d’hospitalisation ;
    • Et une réduction des décès de 44 % !

Mais ces très bons résultats ont été oubliés aussitôt publiés [16].
Peut-être que la colchicine n’est « pas assez chère ».

  • Et on a la même omerta sur une classe de médicaments extrêmement intéressante, les anti-androgènes.
    Très vite, des chercheurs ont perçu l’intérêt de ces médicaments contre la Covid-19. Car on a vu que la Covid-19 était plus grave pour les hommes que pour les femmes. Et dès le mois de mai 2020, des chercheurs italiens remarquent que des patients sous anti-androgène s’en sortent beaucoup mieux face à la Covid-19 que les autres [17]. L’effet viendrait du blocage d’une enzyme clé dans l’infection à coronavirus, la TMPRSS2.
  • Or plusieurs médicaments ont un effet favorable sur la TMPRSS2, comme :
    • Un simple antitussif, la bromhexine, qui a obtenu dès juillet 2020 un effet spectaculaire dans une étude iranienne [18] ;
    • La spironolactone, qui associée à la bromhexine a montré une efficacité dans une étude russe [19] ;
    • La finastéride, qui a obtenu 75 % mortalité en moins (non significatif) dans un petit essai randomisé iranien [20] ;
    • Et la dutastéride, efficace selon un essai randomisé brésilien [21].

Et pour mettre tout le monde d’accord, un grand essai clinique brésilien vient de prouver l’efficacité spectaculaire d’un médicament (nouveau) de la même classe, le Proxalutamide.

Tenez-vous bien : il s’agit d’une étude randomisée, contre placebo, en double aveugle et multicentrique, sur 600 patients hospitalisés – bref, tout ce que nos « méthodologues » adorent.
Résultat : 92 % de mortalité en moins dans le groupe traité, par rapport au placebo [22] !!!
La durée médiane d’hospitalisation était de 5 jours dans le groupe traité… contre 14 jours dans le groupe placebo !

Bref, avec une telle efficacité sur des malades hospitalisés, on n’aurait plus aucun problème de surencombrement des hôpitaux.
Et ce n’est qu’une des molécules efficaces parmi d’autres.

Parmi les médicaments prometteurs, les anti-asmathiques simples pourraient avoir une réelle efficacité [23], de même que les anti-histaminiques  (médicaments courants contre les allergies) [24].

La metformine, une molécule ancienne, d’origine naturelle, pourrait aussi avoir des effets majeurs et va être bientôt testée dans un grand essai clinique international, à côté de la fluvoxamine et de l’ivermectine [25].

Et il y a aussi quantité de molécules naturelles, sans le moindre danger, qui ont montré d’excellents signaux d’efficacité, comme la vitamine C [26], le zinc [27], la mélatonine [28], la quercétine [29], la propolis [30] ou les huiles essentielles [31].

Même une substance dont personne ne parle, l’huile de nigelle, a obtenu des résultats spectaculaires dans une étude randomisée pakistanaise menée sur 300 patients [32], avec une réduction de 80 % de la mortalité !

Pourquoi ce silence CRIMINEL ? La réponse est simple, hélas

Vous le voyez, le Pr Raoult avait raison : la Covid-19 est « probablement l’infection respiratoire la plus facile à traiter de toutes ».

Si l’Occident avait fait preuve de « pragmatisme » en testant massivement des molécules « anciennes » et « immédiatement disponibles sur le marché », les dégâts de l’épidémie auraient été minimisés dès l’été 2020.

Des centaines de milliers de morts dans le monde auraient été évitées, ainsi que des confinements qui ont causé des catastrophes économiques, sanitaires et sociales.

Alors, pourquoi la plupart des pays occidentaux ont refusé de le faire… et se sont précipités sur le remdesivir (inefficace) et les vakx1s (qui ne pouvaient qu’arriver trop tard) ?

A cause du poids gigantesque de Big Pharma sur nos systèmes de santé.

Comprenez bien que ce qui est en jeu, ce n’est pas simplement les profits de l’industrie pharmaceutique sur cette épidémie-là.

Ce qui est en en jeu, pour Big Pharma, c’est la préservation de ses 500 milliards de chiffres d’affaires et ses 100 milliards de bénéfices annuels.

Pour le comprendre, il faut revenir à ce que disait le Pr Raoult, au printemps dernier :

« Tout notre modèle scientifique et économique est basé sur le développement de nouvelles molécules. C’est une affaire financière et culturelle : l’idée qu’on va répondre à chaque fois avec une molécule extrêmement chère. » (BFM TV)

« Si vous dites maintenant, alors qu’on dépense des centaines et des centaines de millions pour trouver des nouvelles molécules, qu’il suffit de recycler des molécules anciennes qui sont génériquées et qui ne coûtent rien, vous sciez toute une branche de la science qui s’est développée depuis 20 ans et donc vous avez les plus grandes difficultés à trouver des gens qui regardent cela avec un œil favorable ». (i24 News)

C’est le modèle économique global de notre système de santé qui est en jeu : 

« Si, ce qui est possible, l’hydroxychloroquine est un médicament relativement général pour les infections virales respiratoires, cela veut dire qu’on avait quelque chose sous la main depuis 70 ans qu’on n’a pas testé. 
Il est possible qu’il y en ait d’autres, de molécules aussi banales, qu’on n’a jamais testé, et qu’on n’a pas testé des molécules qui marchaient. » (i24 News)

Si vous lisez Santé Corps Esprit, vous savez déjà que pour beaucoup de maladies, il existe des méthodes et traitements naturels qui marchent aussi bien, voire mieux que les médicaments. Leur seul « tort » est de ne pas avoir été testé dans des grandes études randomisées menées sur plus de 1 000 patients – parce que personne n’a intérêt à mettre de l’argent pour réaliser de telles études.

Mais l’épidémie a conduit beaucoup de pays à mener des petites études sur des traitements de la Covid-19… et les résultats obtenus sont la preuve qu’on trouve des « petits miracles » quand on cherche dans les vieilles molécules, notamment naturelles.

Problème : si cela vient à se savoir, ce sont les profits de Big Pharma, mais aussi des milliards d’euros donnés aux chercheurs chaque année qui pourraient être remis en cause.

Car d’immenses progrès de la médecine sont à portée de main, en repositionnant des molécules anciennes.
Exemple : saviez-vous que l’hydroxychloroquine est un anticancéreux très prometteur [33]  ?

De même, l’ivermectine a probablement bien d’autres propriétés que son effet anti-parasitaire et anti-viral… une étude récente a montré son intérêt contre le cancer du sein [34] !

Et je ne parle pas de la vitamine D, qui remplace avantageusement le vakx1 contre la grippe chez les seniors [35] (vakx1s qui représente 2 milliards de chiffre d’affaires pour Sanofi chaque année)…
… et dont une étude récente a montré qu’elle réduit de 17 % le risque de cancers mortels [36].

Des myriades de molécules déjà connues, qui ne coûtent rien, pourraient faire progresser la médecine et les soins de façon spectaculaire. Mais cela signifierait la fin des méga-profits de Big Pharma.

Alors on ne les teste pas. On refuse de les mentionner. On va jusqu’à censurer ceux qui en parlent.

Sources

[1] https://www.youtube.com/watch?v=8L6ehRif-v82

[2] https://hcqmeta.com/

[3] www.sante-corps-esprit.com/professeur-raoult-chloroquine-pourquoi-tant-de-haine/

[4] www.sante-corps-esprit.com/plus-aucun-doute-possible-les-traitements-naturels-marchent/

[5] https://www.publicsenat.fr/article/politique/pr-eric-caumes-dire-qu-on-ne-manque-pas-de-doses-est-un-gros-mensonge-187552

[6] https://jamanetwork.com/journals/jama/article-abstract/2773108

[7] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.07.09.20143339v2

[8] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20696083/

[9] https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.08.19.225854v1.full.pdf

[10] https://milstein.conicet.gov.ar/la-eficacia-del-spray-nasal-con-carragenina-para-la-prevencion-del-covid-19-ha-dado-resultados-positivos/

[11] https://www.researchsquare.com/article/rs-153598/v1

[12] http://www.bioresearchcommunications.com/index.php/brc/article/view/176/159

[13] https://www.midilibre.fr/2021/02/13/covid-19-pharma-beauty-sapprete-a-commercialiser-un-spray-nasal-capable-deliminer-99-du-virus-9371697.php

[14] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-la-commercialisation-du-spray-nasal-cov-defense-suspendue-par-l-agence-du-medicament_4307965.html

[15] https://www.icm-mhi.org/en/pressroom/news/colchicine-reduces-risk-covid-19-related-complications

[16] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.01.26.21250494v1

[17] https://www.eurekalert.org/pub_releases/2020-05/esfm-atf050520.php

[18] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7502909/

[19] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33487145/

[20] https://www.researchgate.net/publication/350042826_Finasteride_in_hospitalized_adult_males_with_COVID-19_A_risk_factor_for_severity_of_the_disease_or_an_adjunct_treatment_A_randomized_controlled_clinical_trial

[21] https://www.researchgate.net/publication/345950792_Dutasteride_Reduces_Time_to_Remission_in_COVID-19_Results_From_a_Randomized_Double_Blind_Placebo_Controlled_Interventional_Trial_The_DUTA_AndroCoV-Trial

[22] https://www.biospace.com/article/releases/kintor-pharmaceutical-announces-results-from-investigator-initiated-brazil-trial-demonstrating-92-percent-reduction-in-mortality-in-hospitalized-covid-19-patients/

[23] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.02.04.21251134v1.full.pdf

[24] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1094553921000018

[25] https://www.eurekalert.org/pub_releases/2021-02/mu-nst020921.php

[26] https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fmed.2020.559811/full

[27] https://www.mdpi.com/2072-6643/13/2/562

[28] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1

[29] www.sante-corps-esprit.com/un-gachis-ces-remedes-contre-le-covid-19-quon-vous-cache/

[30] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.01.08.20248932v1

[31] https://www.researchsquare.com/article/rs-119568/v1

[32] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.30.20217364v2

[33] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5718030/

[34] https://www.nature.com/articles/s41523-021-00229-5

[35] www.sante-corps-esprit.com/eviter-vaccin-grippe/

[36] https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2773074

Un regard approfondi sur la vérité qui se cache derrière les vakx1s C0VlD par le Dr Simone Gold

Conférence brillante de Dr Simone Gold de americasfrontlinedoctors.com sur la vérité qui se cache derrière les vakx1 C0VlD (en 3 vidéos de ±20 min).

Le Dr Simone Gold, MD, JD, est un médecin urgentiste certifiée. Elle a obtenu son diplôme de la faculté de médecine de Chicago avant de suivre des cours à la faculté de droit de l’université de Stanford pour obtenir son diplôme de docteur en droit (Juris Doctorate). Elle a effectué son internat en médecine d’urgence à l’hôpital universitaire de Stony Brook à New York. Le Dr Gold a travaillé à Washington D.C. pour le « Surgeon General »(12), ainsi que pour le président de la commission du travail et des ressources humaines. Elle travaille comme médecin urgentiste de front, qu’il y ait ou non une pandémie. Son travail clinique est au service de tous les Américains : des citadins, des quartiers et des Amérindiens. Son travail juridique se concentre sur les questions politiques liées au droit et à la médecine.

Partie 1 (22 min)

https://lbry.tv/@Miniver:4/firstone:0

Partie 2 (18 min)

https://lbry.tv/@Information:54/-VOSTFR–Un-regard-approfondi-sur-la-v%C3%A9rit%C3%A9-qui-se-cache-derri%C3%A8re-le-vaccin-COVID-19-Partie-2_3-(720p):0

Partie 3 (17 min)

https://lbry.tv/@Miniver:4/third:c

pétition à signer: stopmedicaldiscrimination/

Une combinaison de médicaments en phase précoce fonctionne (hydroxychloroquine, ivermectine). Nouvelle étude

Extrait d’un article de France Soir

Une étude revue par les pairs et publiée dans la Revue de Maladie Cardiovasculaire (Reviews of Cardiovascular Medecine) ce 30 décembre 2020 par un groupement de 57 médecins, dont le Pr Peter McCullough et Harvey Risch, qui ont traité en phase précoce reprend tous les éléments pour montrer qu’il n’existe pas un traitement contre la Covid-19, mais qu’une combinaison de médicaments et autres suppléments permet de réduire de manière significative les risques d’aggravation de la maladie.  Ceci entraine en sus une diminution des besoins en hospitalisation réduisant ainsi la pression sur l’usage des lits de soin intensifs ou réanimation. La question du bénéfice risque pour la nécessité d’un vaccin se pose donc.

Le résumé de l’étude fait état : Le virus du SRAS-CoV-2 qui se propage à travers le monde a entraîné des pics épidémiques de maladie COVID-19, des hospitalisations et des décès. La physiopathologie complexe et multiforme de la maladie COVID-19 entraine un danger sur la vie des personnes infectées (y compris des dommages aux organes servant à la médiation du virus, la tempête de cytokines et la thrombose). Cela justifie donc des interventions précoces pour traiter toutes les facettes de la maladie. Dans les pays où le nihilisme thérapeutique est répandu, les patients subissent une escalade des symptômes et sans traitement précoce, les patients peuvent succomber aux complications liées au retard d’hospitalisation, entrainant la mort. L’initiation précoce et rapide de la polythérapie séquencée (SMDT) est une solution largement et actuellement disponible pour endiguer la vague d’hospitalisations et de décès

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