Overdose de perversion, d’injustice et de mensonge dans la stratégie sanitaire et vakxinale. À quoi sert le pass ? Pourquoi déjà 3 millions d’effets dits « secondaires » ont été déclarés à travers le monde ? Pourquoi observe-t-on des rechutes de cancer, des maladies neurodégénératives rares et de telles perturbations du système immunitaire ?
Pour comprendre, Renard Buté, pour la première fois en binôme avec Belette Rusée, vous emmène faire un petit tour, avec la protéine Spike, à l’intérieur des cellules.
La pandémie du coronavirus proclamée à la face du monde au début de l’année 2020 a permis de mettre en lumière les grands acteurs et lobbyistes de l’industrie pharmaceutique. Avec le désormais célèbre Covid-19, les grandes firmes liées au secteur de la santé ont eu l’occasion de démontrer au grand public l’étendue de leur pouvoir corrupteur et leur capacité à mettre en œuvre diverses manipulations pour imposer un narratif favorable à leurs « actions ».
En effet, depuis maintenant deux années nous vivons sous l’égide d’une véritable dictature sanitaire mondiale. Cette pandémie pro-vakx1 était néanmoins prévue de longue date comme l’avait annoncé la revue Nexus ou comme l’avait encore « demandé » Jacques Attali dans une tribune publiée à l’occasion de la grippe H1N1 en 2009.
Évidemment attirés par les profits colossaux, les géants de la santé n’ont pas hésité à jouer un rôle fondamental dans le récit que les grands médias et les gouvernements servent aux populations depuis maintenant 24 mois. En cette époque post-démocratique d’instauration du pass vakcinal en France, il nous est quand même encore permis de nous demander en quoi ces sociétés ont eu un intérêt à collaborer à ce nouveau paradigme (qui in fine décrédibilise une grande partie de leurs activités) au-delà de la seule question du profit.
Face à la colère populaire qui monte, ne sont-elles pas en train de scier la branche sur laquelle elles sont assises ?
On le voit chaque jour, la tyrannie sanitaire amène des gens éveillés à se questionner sur leur propre santé et sur un système immunitaire naturel. Nombreux sont ceux qui se tournent vers des réflexions et des connaissances historiques plus proches de la médecine traditionnelle ou l’humain avaient encore une place centrale.
D’ailleurs cette pandémie a également révélé qui étaient les véritables médecins et soignants, jetant un grand nombre de professionnels de santé du côté de la corruption et du mépris des populations à leur égard. Alors pourquoi les sociétés pharmaceutiques, au-delà de la logique des profits colossaux engendrés, perdurent à se vautrer dans la fange des manipulations et du mensonge autour du Covid-19 ?
La réponse est simple et vous la connaissez déjà ! Big Pharma, comme tous les autres secteurs, ne peut plus être pensée comme une industrie indépendante. Elle est en réalité l’une des têtes de l’Hydre du système oligarchique qui souhaite nous imposer le projet de Nouvel ordre mondial.
La santé : un marché colossal en pleine expansion
Avant la crise du coronavirus, en 2019, d’un point de vue financier, il est vrai que le marché pharmaceutique représentait déjà presque 1 000 milliards d’euros de chiffre d’affaires.
Les cinq premiers groupes à l’échelle mondiale par le chiffre d’affaires global étaient Johnson and Johnson, Roche, Pfizer, Bayer ou encore Novartis. Ces sociétés mastodontes du secteur pharmaceutique représentaient à elles seules environ un quart du marché, et seule une vingtaine d’entreprises de ce même secteur réussissaient à atteindre les 10 milliards de chiffres d’affaires.
Mais autant vous dire que l’année 2020 (début de la pandémie) – et 2021 (année du vakx1) écoulées, ont constitué un âge d’or pour l’ensemble de ces firmes. Évidemment, l’un des cœurs de l’industrie pharmaceutique, est le secteur des vakx1s qui est particulièrement concentré. Cela s’explique par le fait que sa production nécessite des investissements considérables (notamment des flux financiers importants vers la recherche et développement, qui représente à elle seule, bien souvent jusqu’à un cinquième voire un quart des chiffres d’affaires d’une société).
Les vakx1s, une affaire rentable
Avant la pandémie, cinq laboratoires se partageaient 80% du marché : Johnson & Johnson, Pfizer, Merck, GSK et le laboratoire français Sanofi. Au total 27 milliards d’euros en 2019, représentaient le secteur du vakx1 soit 3% du marché du médicament.
En 2020 le marché du vakx1 a évidemment explosé, l’ensemble des grands laboratoires et firmes de la santé s’est lancé dans une course pour produire des vakx1s contre le nouveau coronavirus. Elles ont dû adapter leurs productions industrielles à l’échelle planétaire, par conséquent le chiffre d’affaires de ces firmes composant Big Pharma a explosé.
La firme américaine Pfizer a logiquement atteint en 2021 un chiffre d’affaires proches des 36 milliards de dollars, porté évidemment par ses ventes de vakx1s anti-Covid. Le laboratoire start-up Moderna a de son côté, vu ses ventes annuelles atteindre une somme proche de 20 milliards de dollars. Tandis que le grand groupe pharmaceutique américain Johnson & Johnson a engrangé 2,5 milliards de dollars de revenus issus de son vakx1 anti-covid.
Évidemment ces chiffres ont de quoi donner le tournis, quand avec le recul on constate une efficacité très médiocre, selon les spécialistes sans conflits d’intérêts. Bien sûr, à écouter les très crédibles Jean Castex Premier ministre et son ministre de la Santé Olivier Veran, les vakx1 à ARNm sont efficaces et ne sont pas dangereux. Il nous faut donc impérativement faire confiance à la vaccination de masse et à la «s sainte Science »…
D’ailleurs, on le constate avec les autres exécutifs des pays occidentaux (Mario Draghi, Biden, etc.), le combat contre le coronavirus (peu dangereux) n’est en réalité pas du tout l’objectif de nos dirigeants. Leur mission est relativement simple : vakxiner l’ensemble des peuples du monde avec une injection expérimentale sur plusieurs périodes répétées. Pour quels motifs me direz-vous (en dehors de la domestication des populations et des profits de Big Pharma) ? Nous ne le savons pas encore…
Ce « plan » pourrait être taxé de « complotisme », néanmoins il avait déjà été minutieusement décrypté dans une revue intitulée Nexus en avril 2019, soit quelques mois seulement avant la pseudo pandémie mondiale…
Une industrie aux nombreux scandales
Pourtant quand on s’y intéresse quelques instants, on pourrait quand même avoir quelques doutes légitimes sur les fabricants de ces injections expérimentales (contrairement à ce que dit notre Pinocchio national Oliver Véran) censées sauver le monde depuis plusieurs mois, d’une épidémie qui ne tue que peu de personnes (120 000 morts en 2 ans en France) et qui voit les cas flamber depuis la vakxination de la quasi intégralité de la population.
Dans cet article nous ne parlerons évidemment pas du scandale ayant impliqué l’entreprise pharmaceutique Johnson & Johnson accusée d’avoir favorisé la dépendance à des médicaments antidouleurs (Oxycontin) au moyen de campagnes de promotion trompeuses et qui a été déclarée coupable et condamnée par des tribunaux américains.
D’ailleurs dans cette affaire au retentissement médiatique important plusieurs laboratoires ont été poursuivis devant les juridictions US dont le célèbre Purdue Pharma, qui a dû régler quand même 270 millions de dollars avant le procès. Grâce à ce scandale, en 2019, l’opinion publique US et même Occidentale, a pris conscience de la responsabilité de l’industrie pharmaceutique dans la crise de santé publique qui a fait plus de 400 000 morts en 20 ans, selon les chiffres du centre américain de prévention des maladies (le fameux CDC du docteur Fauci).
Nous ne parlerons pas non plus du plan de faillite du laboratoire Purdue de septembre 2021 validé par la justice Américaine qui a fait que la famille Sackler, accusée d’avoir alimenté la crise des opiacés aux États-Unis, a proposé 4,3 milliards de dollars pour solder les poursuites, le plan prévoyant également d’accorder l’immunité aux membres de cette même famille.
Du côté des sociétés pharmaceutiques stars de la vakxination anti-covid-19, nous n’évoquerons pas non plus les condamnations de Pfizer qui s’est vu obligée à verser une amende record de 2,3 milliards de dollars aux autorités américaines pour avoir fait notamment la promotion abusive de plusieurs médicaments.
Ou encore une amende de 60 millions de dollars pour la corruption de médecins et de représentants de gouvernement, afin d’y accroître ses affaires et ses ventes. Ces dernières années de multiples condamnations concernant Pfizer ont été prononcées aux États-Unis, Grande-Bretagne, enquêtes portant sur des pots-de-vin en France (affaire Cahuzac-Rocard), Grande-Bretagne, Chine, République tchèque, Italie, Serbie, Bulgarie, Croatie, Kazakhstan et Russie… ce qui n’empêche pas notre gouvernement de mettre Pfizer sur un piédestal.
Pour ce qui des autres grands groupes nous ne citerons pas non plus une affaire vieille de plus de deux décennies, qui a vu en 1999, la société Hoffmann-Roche devenue Roche a plaidé coupable et a été condamnée à rembourser une amende de 500 millions de dollars pour entente illicite avec BASF et Rhône Poulenc. notamment sur les prix de diverses vitamines. Ou encore une affaire liant Roche au géant pharmaceutique Novartis, avec qui en mars 2014, elle fut condamnée par l’autorité de la concurrence italienne à des amendes de 182,5 millions d’euros également pour « entente illicite ».
Et enfin pour finir nous ne traiterons évidemment pas d’une enquête de février 2018, ou le parquet grec a lancé des poursuites pour corruption contre un dirigeant en Grèce de Novartis, et demander au Parlement d’éclaircir le rôle d’anciens ministres dans un dossier de pots de vin présumés. Ou encore le scandale Novartis-Michael Cohen sur les conflits d’intérêts et les informations autour de la politique de santé américaine de Donald Trump et son ancien avocat Michael Cohen.
Gardez néanmoins tous ces noms de firmes en mémoire car nous allons retrouver la plupart d’entre elles à l’occasion des solutions anti-covid.
Suivre l’argent : trouver les ombres
Ce qui va davantage nous intéresser ici dans cet article, plus que les activités frauduleuses de Big Pharma en elle-même, que nous subissons quotidiennement à coup de propagande, de fausses informations, de mesures coercitives et attentatoires à nos libertés fondamentales depuis maintenant presque de 2 ans, c’est de savoir qui sont les acteurs derrière ces grandes sociétés du complexe pharmaco-chimique ?
Qui tire les ficelles ? Qui donne les consignes ? Qui sont les fondés de pouvoir et les valets ?
On a déjà évoqué la famille Sackler, mais si on mène une brève enquête on s’aperçoit très rapidement que les structures qui tiennent le secteur de la santé à l’échelle mondiale, sont exactement les mêmes que celles qui contrôlent les banques, les médias, le complexe militaro-industriel ou encore les grands groupes du secteur agroalimentaire.
Et parmi ces structures on retrouve évidemment les familles historiques du capitalisme transnational. En effet, derrière cette crise du coronavirus, se trouvent encore les mêmes acteurs du capitalisme financier nomade et apatride. Au-delà de la crise sanitaire (qui serait encore plus résiduelle si les malades avaient été soignés avec les traitements précoces notamment), la pandémie qui a lancé le « Great Reset est » en vérité l’un des points de départ de la plus grande opération de spoliation de l’histoire.
Certes le vakx1 est certainement là pour éliminer en qualité et ou quantité de potentiels rivaux de l’oligarchie (concernant la consommation de ressources et richesses) mais il n’est pas l’alpha et l’oméga, malgré le fait que les lettres grecques soient en ce moment très à la mode avec les variants (Delta- triangle) et (omicron- petit o- œil).
En effet, les acteurs de la Grande réinitialisation élaborant les consignes par l’intermédiaire notamment de Davos et de son Forum économique mondial, sont les mêmes qui siègent dans les conseils d’administration des grandes sociétés financières et qui susurrent à l’oreille de nos dirigeants.
En réalité depuis 2020, les dirigeants valets, les Macron, Draghi, Biden, Johnson et Cie sont désormais tenus d’un côté par la propagande médiatique covidienne et de l’autre par la logique financière de la dette qui n’a pas terminée de s’envoler et d’exploser notamment grâce à cette pandémie (atteignant maintenant 256% du PIB mondiale en 2020). La dette véritable instrument de coercition contre les nations (comme le passe sanitaire pour les populations) devra être remboursée quoi qu’il en coûte… comme l’a encore très bien rappelé l’employée de l’hyperclasse Christine Lagarde sur France Inter, il y a quelques jours.
Les gestionnaires d’actifs ou l’autre visage de Big Pharma
Pour comprendre cette mainmise et la toute-puissance des gestionnaires d’actifs dans le secteur pharmaco-chimique il nous suffit de procéder à une vérification non exhaustive des participations des grands gestionnaires d’actifs dans les firmes de santé dans cette crise covidienne.
Les deux plus connus sont évidemment BlackRock et Vanguard, mais il est également important de citer également leurs complices, notamment State Street Funds Management, Wellington Management Company, Capital Recherche and Management, Northern Trust Investements. On va le constater ces grands groupes par l’intermédiaire de participations croisées et d’influences tacites, possèdent en réalité presque l’intégralité du secteur pharmaceutique.
Mais alors en quoi ce lien entre les plus grandes firmes financières et les sociétés pharmaceutiques géantes est-il si important ? Tout simplement parce que les géants pharmaceutiques sont les protagonistes principales du narratif hystero-sanitaire et de la réponse formulée à cette crise du Covid-19.
Depuis quelques mois, les gouvernements (à l’image de notre ministre de la Santé Véran) sont simplement devenus des VRP de ces grandes sociétés. Celles-ci sont pourtant en train de mettre en danger par la vakxination de masse, l’ensemble des populations du monde par un récit officiel mensonger autour du coronavirus. Et pour faire avancer le dévoilement de la vérité autour de cette « mascarade pandémique » et espérer un jour traduire l’ensemble des responsables devant des tribunaux, il nous faut comprendre qui sont les décisionnaires véritables, qui ont poussé, conçu, un récit frauduleux pour accroitre leurs profits (financiers et politiques).
Car bien que les grands gestionnaires d’actifs indiquent avoir une gestion passive, en réalité ils ne se privent pas du tout d’imposer leur vision et stratégies aux sociétés dans lesquelles ils détiennent des parts importantes. Prenons l’exemple de BlackRock. Si le rocher noir estime que ses positions n’ont pas été suffisamment prises en compte, il vote contre la réélection des administrateurs jugés les plus responsables de la mauvaise stratégie de la société. La firme de Larry Fink a aussi de nombreuses fois, encouragé l’élection annuelle des administrateurs. D’ailleurs l’évaluation des conseils et le respect du principe « une action-une voix », que le rocher noir considère comme « démocratique », lui donne surtout une puissance colossale dans la prise des décisions à l’intérieur de ces firmes.
Évidemment, il est nécessaire de garder en tête que les ratios d’actionnariat changent fréquemment, car les BlackRock, The Vanguard Group achètent et vendent régulièrement. C’est pourquoi il ne faut pas s’attarder sur les différents pourcentages, mais se focaliser sur la présence de ces firmes dans les « tops actionnaires ».
Dans le paragraphe qui va suivre, nous nous sommes amusés à photographier les différentes participations des gestionnaires d’actifs au sein des géants pharmaceutiques composants Big Pharma (avant ou pendant cette crise pandémique covidienne). L’essentiel à comprendre est que les gestionnaires géants comme State Street, BlackRock et Vanguard, etc. individuellement et combinés représentent, comme vous allez le constater, un pouvoir d’influence colossale sur ces groupes et sociétés de l’industrie de la santé.
Ainsi, si par exemple on se penche sur la liste des principaux actionnaires de Pfizer au 22 novembre 2020 (au tout début du lancement du vakx1) on retrouve :
The Vanguard Group – 7.74%
State Street Funds Management 5.20%
Capital Research and Management (World Ivestors) 4.66%
Wellington Management Company. 4.51%
Capital Research and Management 2.56%
BlackRock Fund Advisors 2.42%
Northern Trust Investements 1.24%
Norges Bank Investement Management 1.07%
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien du site zonebourse : PFIZER INC.
Pour ce qui est de la société AstraZeneca dont le vakx1 n’a pas connu un grand succès en Europe, car rapidement catalogué comme responsable de thromboses à répétition, voici la liste des principaux actionnaires au début de la campagne mondiale de vakxination, le 29 mars 2021 :
Wellington Management Company. 5.22%
Capital Research and Management (World Ivestors) 4.27%
BlackRock Investement Management (UK) 4.16%
The Vanguard Group – 2.70%
Norges Bank Investement Management 1,88%
BlackRock Fund Advisors 1.72%
BlackRock Advisors (UK) 1.20%
State Street Funds Management 1.06%.
Les vakx1s de cette société sont désormais envoyés de manière prioritaire au pays du tiers-monde.
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : ASTRAZENECA-PLC.
Quant à Johnsson and Johnsson, sa liste des principaux actionnaires avant même la proclamation de la crise, le 12 janvier 2020 s’établissait de la manière suivante :
The Vanguard Group – 8.45%
State Street Funds Management 5.76%
BlackRock Fund Advisors 2.53%
Northern Trust Investements 1.31%
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : JOHNSON-JOHNSON.
De son côté la société GlaxoSmithKline (GSK), longtemps accusée d’être le propriétaire réel du laboratoire P4 de Wuhan, a bien dans ces tops actionnaires les groupes BlackRock et Vanguard. Cependant le lien entre GSK et le laboratoire P4 de Wuhan a été timidement démenti, mais il n’est pas du tout impossible qu’il existe bel et bien plusieurs connexions entre cette société et le laboratoire chinois (sous tutelle de l’État) responsable officieux de la plandémie, rien qu’en matière de recherche et de flux financiers.
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : GLAXOSMITHKLINE.
Ensuite la société Merck qui était et est encore le plus gros producteur d’ivermectine (l’un des médicaments étant utilisé dans certains traitements précoces du Covid-19) bloqué par les grands gouvernements et les médias, est elle aussi sous contrôle :
Puisque la liste des principaux actionnaires de Merck au 1er novembre 2021 était composée de :
The Vanguard Group – 8.49%
Capital Research and Management (World Ivestors) 5.48%
State Street Funds Management 4.51%
BlackRock Fund Advisors 2.19%
Wellington Management Company. 1.91%
Northern Trust Investements 1.23%
Capital Research and Management (World Ivestors) 1.14%.
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : MERCK-CO.
Enfin, pour en finir avec ces listes non exhaustives des principaux actionnaires, retenons celle de la société ROCHE au 20 juillet 2021 :
Norges Bank Investement Management 2.84%
The Vanguard Group 2.63%
BlackRock Fund Advisors 1.58%
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées vous pouvez consulter ce lien : ROCHE-HOLDING-AG
Le grand public n’a peut-être pas encore entendu parler de cette société dans les médias à la différence des Pfizer, Johnson and Johnson, Moderna, etc. pourtant le rôle de l’ancienne Hoffman-Roche est fondamental car c’était tout simplement la première entreprise pharmaceutique du monde en 2020 en matière de chiffre d’affaires. Et on pourrait se dire naïvement qu’elle a loupé le coche de la course de la vakxination anti-covid.
Mais en réalité, il n’en est rien, c’est même elle, qui a décroché le premier « pactole » grâce à un autre outil de la pandémie. En effet, cette pandémie de Covid-19 ne repose concrètement que sur les tests– et les cas positifs. Ainsi pour entretenir un narratif de peur, les tests sont en réalité, l’un des éléments de base de cette crise sanitaire pilotée intégralement par Big Pharma.
À l’heure actuelle, les « tests covid » représentent une facture de plus de 6 milliards d’euros pour la France… Certains avancent même le chiffre de 10 milliards. Ainsi, au début de cette crise planifiée, en mars 2020, la division Roche Diagnostics avait déjà réalisé une étape importante avec l’approbation de son test de diagnostic du Sars-Cov-2 capable d’analyser 1 400 à 8 800 échantillons en 24 heures. Le 13 octobre 2020, Roche avait également communiqué sur le lancement d’un nouveau test antigénique, Elecsys SARS-CoV-2 Antigen, pour diagnostiquer la présence d’antigènes spécifiques à la Covid-19.
Nous ne relancerons pas le débat sur la qualité et le rôle des tests dans cette crise mais ce qui est certain c’est que tous les grands acteurs de Big Pharma étaient positionnés pour profiter de la crise. Et même s’il est vrai certaines start-up comme Moderna ou Biontech (BlackRock évidemment présent parmi leurs actionnaires) ont su tirer leurs épingles du jeu, en s’adossant à ces mastodontes., tous les poids lourds ont su se positionner.
On le constate donc tous les gestionnaires d’actifs se sont placés à l’occasion de la pandémie. Ce qui est étrange c’est de constater très souvent les mêmes noms dans l’actionnariat de Big Pharma. Dans cet article, la liste n’est évidemment pas exhaustive mais à chaque fois les mêmes noms des grands acteurs sont relativement peu nombreux et reviennent très souvent. Les grands gestionnaires d’actifs sont tous présents et ont des participations croisées dans ces sociétés.
Les grands gestionnaires d’actifs : un monopole qui ne dit pas son nom
Cependant le scandale ne s’arrête pas là. On pourrait se dire que le fait qu’il existe plusieurs grands groupes financiers qui contrôlent les laboratoires rend cet état de fait quand même acceptable et que ce n’est pas si étonnant. En réalité, il n’en est rien. Nous sommes bien devant l’un des plus gigantesques monopoles de l’Histoire de l’Humanité. La concentration financière et politique est presque totale. Même John D. Rockefeller s’il était encore de ce monde, pourrait rougir d’un tel niveau de monopolisation et d’opacité financière.
Car cette fois, à la différence du XIXème siècle, les quelques mains qui possèdent le grand capital mondial sont cachées derrière les paravents de sociétés écran, holding multiples, participations croisées entre rivaux et bénéficient du monde offshore parfaitement développé depuis les années soixante-dix. Mais n’en doutez pas, la consanguinité financière caractérise encore une fois ce grand monopole de l’ombre.
Il nous suffit d’étudier le cas du gestionnaire d’actif le plus connu, BlackRock, et sa liste des principaux actionnaires du 3 octobre 2020 pour s’en convaincre :
À la première place, on retrouve bizarrement son « grand rival » The Vanguard Group – avec 5.67%, puis en seconde position Capital Research and Management 5.27%, puis State Street Funds Management 3.34%, puis Wellington Management Company 2.95%, BlackRock Fund Advisors 1.84% ou encore Norges Bank Investement Management 1.80%
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : BLACKROCK-INC.
Quelle étrange conception de la concurrence libre et non faussée… En réalité, on comprend donc bien que toutes ces grandes firmes se tiennent entre elles, se contrôlent et s’entendent pour se partager le gâteau des richesses de l’économie mondiale. Évidemment pour ce qui est des véritables propriétaires de BlackRock, The Vanguard Group (mettons de coté la propagande qui explique que ce sont en fait Monsieur et Madame tout le monde), des indices et des articles émettent plusieurs suppositions, mais tout le monde sait d’instinct que ces firmes appartiennent et sont contrôlés par les mêmes grandes familles du capitalisme financier apatride et mondialisé dont les noms sont connus et reviennent épisodiquement sur le devant de la scène internationale depuis désormais presque 2 siècles.
Le groupe Vanguard est historiquement le principal actionnaire de BlackRock. Cependant contrairement à ce qu’on pourrait penser, Vanguard est très certainement plus important dans ce système opaque de pillage des richesses du monde. Tout simplement car cette société (qui existait bien avant BlackRock) a été la firme précurseur sur les ETF (Fonds négociés en bourse). De même que la Wellington Management Company fut historiquement le premier grand gestionnaire d’actifs.
The Vanguard Group (le groupe de l’Avant Garde) et la Wellington (du nom du bourreau de Napoléon à Waterloo) Management Company sont des « nœuds » d’un milieu que l’on pourrait désigner comme la finance de l’ombre car leurs structures et actions sont encore plus opaques que celle de BlackRock, ce qui rend difficile la lecture des liens avec les grands acteurs historiques et politiques du monde de la finance.
Cependant la plupart des experts ne se font guère d’illusions, bon nombre des familles les plus anciennes et les plus riches du monde sont concrètement liées aux fonds Vanguard ou encore State Street. Des noms dans les organigrammes des sociétés et les réunions des clubs privés trahissent parfois ces secrets de polichinelle.
Les noms Rothschild, Rockefeller, Dupont, Orsini, Medici, apparaissent quelques fois au sein des organes exécutifs de ces groupes.
Ces grandes familles n’ont évidemment pas abandonné leurs places dans les banques mais ont trouvé dans ces nouvelles structures du capitalisme parasitaire, des outils très opportuns pour mener à bien leur projet de captation d’une grande partie de l’épargne mondiale.
Avant les années 2000 et la révolution Larry Fink/BlackRock, les gestionnaires d’actifs n’étaient pas des structures attrayantes pour les businessmans aux dents longues de Wall Street ou de la City, au contraire, ces groupes étaient davantage perçus comme des sociétés aux capacités médiocres.
Ce sont la montée en puissance des ETF (fonds indiciels répliquant par exemple le SP 500 cotations boursières des 500 plus grosses entreprises américaines) et surtout la crise de 2008 qui vont avoir pour conséquence la consécration des The Vanguard Group, BlackRock, State Street…
Évidemment l’influence des gestionnaires d’actifs géants est de nos jours considérable. Non seulement ils détiennent une grande partie des actions de presque toutes les grandes entreprises du monde, mais ils possèdent aussi les actions des investisseurs de ces entreprises. Cela leur donne de facto un monopole tentaculaire sur les secteurs les plus importants de l’économie mondiale.
State Street, Blackrock, The Vangaurd Groupe et Cie, véritables paravents institutionnels sont en réalité les ombres du plus gigantesque monopole secret de l’histoire. Bloomberg écrivait deux années avant la crise du coronavirus qu’à eux deux Vanguard et BlackRock pourraient posséder 20 000 milliards de gestion en 2028. Juste pour information en ce début d’année 2022, BlackRock vient déjà de dépasser les 10 000 milliards sous gestion à lui seul !
Le rocher Noir et le groupe de l’avant-garde ont donc entre leurs mains l’ensemble des industries et des grands secteurs économiques (GAFAM/ Big Tech, Big Pharma, Automobile, Défense, agroalimentaire). Pour vous en convaincre il vous suffit de procéder de la même manière que ce qui a été transcrit plus haut dans cet article. Vous allez vite vous rendre compte que les grands gestionnaires d’actifs possèdent tout, de Facebook-Meta, à Alphabet (Youtube-Google), en passant par Microsoft, The Coca-Cola Company ou même encore Tesla.
Les State Street, Blackrock et Vanguard ont la propriété de plusieurs milliers d’entreprises américaines, européennes, françaises dont les chiffres d’affaires approchent plusieurs dizaines de milliards de dollars.
Les trois géants de la gestion d’actifs sont en réalité les plus grands propriétaires mondiaux, ils représentent près de 90 % des sociétés cotées à la bourse américaine le S&P 500. Certains diront que c’est tout à fait logique puisqu’ils sont les maitres des ETF et de la gestion passive, et que c’est leur rôle d’être présent partout, dans tous les secteurs de la vie économique, mais ce constat est fondamentalement faux.
Évidemment, nous pouvons souscrire en partie à ces arguments de bon sens, mais en l’occurrence ce n’est pas leur présence dans les grandes sociétés qui posent véritablement problème et question. C’est bel et bien leurs poids dans l’actionnariat de ces dernières et permanence de leurs poids. Leur capacité financière leur donne un rôle moteur dans notre économie mondiale, sous perfusion financière des banques centrales.
Le Big Three et la World Company
Comme on l’a déjà indiqué, c’est la crise de 2008 (qui n’est toujours pas terminée), qui a permis à ces grands gestionnaires d’actifs anglo-américains de prendre une place démesurée dans l’écosystème du capitalisme mondialisé.
Presque inconnus du grand public avant la crise des Subprimes, ces firmes financières ont ainsi capturé des pans considérables des intérêts économiques, politiques et monétaires et se trouvent désormais être le cœur nucléaire du système financier mondial.
Ces sociétés financières ont progressivement pris le pouvoir et l’influence des grandes banques depuis 2008 car elles permettent aux grands détenteurs de capitaux de contourner les règles prudentielles appliquées à ces dernières. Les banques sont loin d’avoir disparu, mais une partie de l’influence et du pouvoir financier a été concrètement transférée vers ces sombres structures.
Évidemment à force de se développer sans contraintes réglementaires et obstacles politiques, les grands gestionnaires d’actifs, BlackRock, Vanguard, ou State Street, sont certes devenus les colosses du système capitaliste parasitaire mais paradoxalement (malgré leur puissance) ces titans pourraient également être le talon d’Achille de la finance mondialisée, au regard du niveau de concentration de richesses qu’ils ont fini par atteindre en l’espace de moins de deux décennies.
Grâce au Covid-19, on l’a vu, BlackRock gère plus de 10 000 milliards de dollars depuis la fin 2021. On peut constater la même dynamique pour Vanguard (7 900 milliards en mai 2021) et State Street qui gère quant à lui plus de 3.100 milliards sous gestion officiellement. À eux seuls, les trois leaders mondiaux du secteur ont désormais entre les mains « autour de 10 % de la capitalisation boursière mondiale totale ». C’est d’ailleurs BlackRock qui avait indiqué ce chiffre délirant dans l’un de ses communiqués.
Le pouvoir de l’influence
Et comme pour Big Pharma, l’ensemble des grandes entreprises (Google, Meta, Apple, etc.) doivent se soumettre à la vision des nouveaux géants de la finance mondialisée. Cela peut aussi expliquer les vagues de censure médiatique aggravées depuis mars 2020 et la proclamation de la pandémie. Le marché et la censure sont désormais entre ces quelques mains.
BlackRock, Vanguard, State Street « ont atteint une telle taille critique, un tel degré de concentration que nulle entreprise cotée n’ose déroger aux objectifs financiers que ces fonds leur assignent », constate très justement l’économiste Olivier Passet.
La théorie et la doxa officielle concernant les grandes firmes de gestion d’actifs voudraient nous faire croire que ces géants investissent de manière minoritaire dans des entreprises par l’intermédiaire des fameux ETF (fonds indiciels), mais comme on l’a vu en raison de leur consanguinité et de leur poids colossal actuel, il n’en est rien.
Les médias spécialisés nous expliquent que BlackRock, The Vanguard Group n’interviennent quasiment pas dans la gouvernance des grandes entreprises, (la fameuse gestion passive) et les experts expliquent aussi que les gestionnaires d’actifs se « contentent de gérer leur participation comme un placement financier ».
Certains osent même analyser la montée en puissance du rocher noir en disant qu’il s’agit (comme pour Robinhood) « d’une démocratisation de l’investissement », et d’autres disent qu’il s’agit d’un « triomphe de la médiocrité ». Mais ce n’est bien évidemment, ni l’un ni l’autre. C’est une stratégie des « quelques mains » savamment mises en place et que l’on distingue plus précisément depuis 2020.
Si les State Street, Blackrock, Vanguard ne sont pas, il est vrai, techniquement propriétaires des actions qu’ils achètent, ils ont cependant un pouvoir d’ingérence et d’influence concret puisqu’ils votent en assemblée générale et sont potentiellement les interlocuteurs des états-majors des entreprises.
De plus, ces géants financiers se défendent maintenant ouvertement d’être des actionnaires passifs, en témoigne une déclaration de l’ancien patron de Vanguard, Bill McNabb en 2015 qui expliquait que : « par le passé, certains ont pu penser que notre gestion passive s’accompagnait d’une attitude passive en matière de gouvernance, mais en réalité, rien n’est plus faux ».
Désormais comme les unes The Economist pour les complotistes, la lettre annuelle de Larry Fink aux PDG des grandes entreprises mondiales est désormais scrutée analysée et décortiquée par les grands dirigeants, analystes, traders, et journalistes…
Dans les faits ce sont ces fiduciaires hyper-influentes qui dictent aux grands patrons la bonne marche à suivre d’un point de vue stratégique. N’importe quel observateur de bon sens, comprend qu’au regard de leur taille, les entreprises n’ont plus vraiment le choix. D’ailleurs, même les ETF en eux-mêmes posent des problèmes de gouvernance, de démocratie actionnariale et d’antitrust.
Pour preuve, BlackRock a triplé « les effectifs de son service de surveillance des sociétés cotées ». Ainsi, ses fonds peuvent « peser davantage par leurs votes en assemblée générale sur la stratégie et les comportements des sociétés qu’ils avaient en portefeuille ».
Covid-19 et concentration totale de l’économie mondiale
« Nous assistons à une concentration de l’actionnariat inédite depuis l’époque de John P. Morgan et John D. Rockefeller », écrivent les auteurs du rapport de 2017 « Hidden Power of the Big Three ». En réalité les acteurs de cette concentration des richesses n’ont pas changé, les mêmes grandes familles sont à la manœuvre : Rockefeller, Vanderbilt, Rothschild, Oppenheimer, Orsini, Medici … Seuls les noms sur les vitrines ont changé.
Ils sont juste représentés par leurs fondés de pouvoir (Fink, Boggle, O’Hanley, etc.) du moment, et ont à leur disposition des dizaines de grands gestionnaires d’actifs couplés au pouvoir des Bigs Banks (JP Morgan, Goldman Sachs, Morgan Stanley, Bank of America, etc.) et aussi les banques de conseil (Rothschild LCF, Lazard Frères chez nous, pour les fusions acquisitions lucratives des grandes sociétés dont ils sont actionnaires).
Pour cerner l’étendue du rôle majeur des gestionnaires d’actifs, dans l’économie mondiale, il nous suffit de décrire à nouveau la manœuvre de Blackrock à l’occasion de la pandémie débutée au début de l’année 2020.
Comme je l’ai indiqué il y plus d’un an dans mon livre Le Grand Reset en marche et dans mes articles, le 3 mars 2020 : alors que la bourse de Wall Street venait de subir une chute de 35 % en l’espace de quelques semaines, la Fed de Jérôme Powell a pris la décision de faire tapis : pour éviter le cataclysme financier qui devait logiquement se produire face à l’arrêt de l’économie réelle et les montagnes de difficultés et de dettes US et mondiales.
Ainsi, la banque centrale créée en 1913 a pris le parti de « soviétiser» complètement des pans entiers de l’économie US. Souvenons-nous, l’institution financière US a annoncé une intervention sans limite de montant ni de temps, via le rachat d’actions et d’obligations d’entreprises.
Pour simplifier la Réserve Fédérale a remplacé le « marché » (réputé libre et non faussé) pour faire remonter les cours de sociétés qui s’écroulaient. Et vous le savez bien, cette annonce a changé les cours et le cours de l’histoire comme par magie. Car, évidemment tous les cours de Bourse (qui avaient chuté de près de 30%) sont repartis à la hausse et ont même par la suite explosé leurs records.
Néanmoins pour maintenir et faire remonter les cours, l’institution de Jay Powell ne s’est pas gênée pour racheter massivement les fameux ETF des gestionnaires d’actifs, et en particulier ceux de BlackRock… Mais dans cette histoire il y a encore un plus gros scandale. Car pour racheter tous ces titres, la Réserve Fédérale a confié la responsabilité de tous ces milliards et de sa politique à Larry Fink et BlackRock…
L’ETF phare du rocher noir représentait même à la fin du mois de mai plus d’1/4 des achats de la Réserve Fédérale encadrée par le Trésor US d’après le journal les Echos. Ensuite toujours pour ne pas écrouler le système, la Réserve Fédérale a demandé à Pimco et à State Street de participer, eux aussi, à la fête. Ainsi la chose est simple les grands gestionnaires d’actifs depuis mars 2020 contrôlent réellement la politique monétaire américaine comme en témoignent les messages de BlackRock au bureau de Jay Powell et au Trésor US.
Ainsi la Réserve Fédérale a érigé en système les conflits d’intérêts colossaux de firmes financières avec les politiques monétaires. Et ce ne sont pas les nombreux scandales politico-financiers impliquant des membres de la Fed qui fleurissent ces derniers mois, qui vont nous faire changer d’avis. En réalité, l’organisation du vol, de la spoliation par la caste des 1%, est devenue « monnaie courante » au sein du Eccles Building.
La preuve avec les cas présidents des antennes régionales de la Fed de Dallas, Robert Kaplan, et de Boston, Éric Rosengren, qui ont annoncé leur démission en septembre dernier suite à des transactions boursières frauduleuses, et en ce début d’année 2022 c’est maintenant autour de Richard Clarida vice-président de l’institution de présenter sa démission !
Pour ce qui est des délits d’initiés affichés au grand jour, la Réserve Fédérale a fait très fort en 2021… Mais évidemment le contrôle de BlackRock ne s’arrête pas à la Réserve fédérale (qui reste cependant, encore pour quelques mois, la plus importante banque centrale du monde.)
Non l’influence de ces mastodontes se matérialise également en Europe, comme on l’a déjà plusieurs fois énoncé, notamment avec le rôle de la firme de Wall Street auprès de la Commission Européenne.
D’ailleurs, pour faire un lien avec le Big Pharma, dont il était question au début de cet article, il n’est pas anodin de constater que la Commission Européenne d’Ursula Von der Leyen (dont le mari médecin travaille pour Orgenesis, firme spécialisée dans la biotechnologie et plus spécifiquement les thérapies cellulaires et géniques) s’est docilement pliée aux exigences de l’industrie pharmaceutique quand ces dernières ont imposé une confidentialité quasi totale sur les aides accordées pour la recherche et sur le coût des achats de vakx1s contre le Covid-19, tout en étant conseillé par BlackRock dans plusieurs domaines.
En France, n’oublions pas, que le seul Blackrock, possède de nombreuses actions des grandes entreprises françaises, Total, Sanofi, Publicis, Danone… en gros entre 5% et 10% du CAC40, ce qui peut expliquer pourquoi Larry Fink et ses acolytes ont été invités à déjeuner à l’Élysée il y a quelques mois…
Grandes entreprises et banques centrales sous contrôle
La crise du coronavirus (An I du Nouvel ordre Mondial) n’a fait que renforcer la mainmise des gestionnaires d’actifs qui ont récolté l’épargne de leurs clients fébriles face à la conjoncture.
Désormais, « banques centrales et États marchent main dans la main pour éliminer le risque de sinistralité qui serait coûteux pour la finance. Et les fonds de gestion (…) ont plus que jamais la main sur les choix d’investissement, autrement dit sur la construction du monde de demain », comme l’a très bien résumé Olivier Passet.
Les slogans Build Back Better et le Monde d’Après prennent ainsi tous leurs sens. Passet avance même très explicitement que « c’est le contribuable des générations futures qui paiera pour l’immunité de la finance d’aujourd’hui ». En résumé, même les spécialistes « sérieux » et mainstream décrivent une prise de pouvoir réel des gestionnaires d’actifs au détriment des populations. La crise du Covid a été un colossal écran de fumée, un instrument de domestication des populations et la plus grande opération de spoliation de l’histoire (et elle n’est pas terminée).
Ces derniers mois, BlackRock a fait sauter littéralement tous les records, tout cela dans l’indifférence médiatique générale (trop occupé à vendre la propagande des injections expérimentales inefficaces). Sauf quelques rares médias se penchent actuellement sur la question soulevée par le rocher noir.
On l’a dit plusieurs fois le portefeuille de la firme de Fink dépasse désormais les 10 000 milliards de dollars. Son partenaire Vanguard va dépasser les 8 000 milliards et tous les autres gestionnaires d’actifs restent derrière à des places honorables avec plusieurs centaines de milliards de dollars chacun.
En ce début d’année 2022, la Réserve fédérale entièrement dans les mains de BlackRock et des gestionnaires d’actifs est donc en train, d’écrire le chapitre final de la grande phase monétaire et financière commencée en 1971 avec les accords de changes flottants de Nixon et la décorrélation de la création monétaire avec un système de change or.
En effet, en 2022 la Fed n’a déjà plus le choix. Elle est obligée d’écrire ce dernier chapitre. Soit elle laisse l’inflation galoper et le système financier actuel (roi Dollar) sera dévoré par l’hyperinflation. Soit elle remonte en effet ces taux et/où ralentit sa politique de tapering (rachat d’actifs) et elle provoquera la plus gigantesque contraction monétaire de l’histoire de l’humanité.
Comme d’habitude, l’institution présidée par Powell va essayer de gagner du temps comme elle l’a fait de 2008 à aujourd’hui, en essayant d’adopter des rôles différents en fonction des semaines (Good cop, Bad Cop) mais le temps s’accélère et l’heure des choix importants arrive pour l’Hyperclasse.
Quoi qu’il arrive, le retour au réel semble être acté depuis l’année 2021 (arrivée officielle de l’inflation), et les mois qui viennent risquent d’être assez mouvementés en matière d’actualité financière et monétaire.
Les prochains grands acteurs le FMI, la BRI et les CBDC attendent eux patiemment dans l’ombre pour proposer un remède (le vakx1 des monnaies numériques de banques centrales), pendant que l’avant-garde et le rocher noir écrasent et tuent les derniers restes de l’économie mondiale, comme le virus et ses variants étaient censés le faire avec les populations durant cette fausse pandémie du Covid-19.
À coup sûr, la pandémie financière arrive, et peut-être partira elle également de Chine avec la chute programmée du géant de l’immobilier Evergrande. Mais cette fois il y a fort à parier que les dégâts seront cataclysmiques.
Néanmoins cet effondrement annoncé ne doit pas une nouvelle fois nous enfoncer dans la peur, au contraire nous devons croire enfin à une sortie de crise positive pour les peuples. Face à un narratif sanitaire mensonger qui s’étiole de jour en jour, il n’est pas du tout impossible que nous transformions les quelques tremblements populaires en véritable « révolte des nations » face à la Grande réinitialisation.
Comme dirait le golem sortant Emmanuel Macron en période de campagne : « pensons Printemps ».
L’année 2022 et la bataille pour notre liberté ne font que commencer…
Une vidéo de présentation d’un rapport d’un britannique qui met en évidence les différentes toxicité des vax en fonction des lots sur base des effets secondaires enregistrés dans le système américain du VAERS. Elle dévoile aussi une potentielle ingénierie concertée entre tous les acteurs du cartel des empoisonneurs. Interpellant ? A quand une étude similaire sur l’Europe ? (34 337 décès 3 120 439 blessures suite à des injections COVID dans la base de données européenne)
L’indéboulonnable chef du NIAID, Tony Fauci, a demandé à plusieurs reprises au public de « faire confiance à la science », alors qu’il passe lui-même d’une opinion scientifique à une autre. Ce qui n’est jamais mentionné dans les grands médias occidentaux et presque partout dans le monde, c’est le bilan scientifique des principaux géants pharmaceutiques mondiaux fabricants de vakx1s. En bref, il est abyssal et alarmant à l’extrême. Ce seul fait devrait empêcher les gouvernements d’imposer à leurs populations des injections expérimentales radicales et non testées, sans avoir procédé à des tests approfondis à long terme pour garantir leur sécurité.
En avril dernier, alors que le programme de vakxination américain battait son plein, le conseiller en chef de Biden pour la Covid-19, M. Fauci, 80 ans, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) depuis 1984, annonçait que les Centres américains de contrôle des maladies (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) avaient décidé d’ordonner une « pause » dans l’administration du vakx1 Johnson & Johnson (Janssen) afin d’examiner les rapports faisant état de caillots sanguins. Il s’est avéré que six cas de caillots sanguins ont été signalés sur quelque sept millions de personnes ayant reçu le vakx1 J&J. Dans ses remarques à la presse, Fauci a déclaré : « L’une des choses qui est, je pense, si bonne dans notre système ici, c’est que nous sommes régis par la science, et non par toute autre considération. » Il y a de bonnes raisons de mettre en doute sa remarque.
Cette déclaration était censée rassurer les gens sur le fait que les autorités faisaient preuve d’une extrême prudence avec les médicaments expérimentaux contre la Covid-19 qui, après tout, n’ont jamais été testés en masse sur des humains auparavant et n’ont obtenu qu’une « autorisation d’utilisation d’urgence », une approbation provisoire de la FDA. La FDA a rapidement levé la pause lorsque J&J a accepté d’imprimer sur ses paquets que son vakx1 pouvait provoquer des caillots sanguins.
Pourtant, dans le même temps, les fabricants de vakx1s rivaux, Pfizer et Moderna, qui utilisent tous deux un traitement génétique hyper-expérimental connu sous le nom d’ARNm, n’ont pas été freinés par « la science » malgré le fait que des centaines de milliers de réactions graves alarmantes liées aux vakx1s, y compris des données officielles faisant état de plusieurs milliers de décès dus aux deux, ont été enregistrées par la base de données VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) du CDC.
Selon le CDC, ces événements « indésirables », post-vakxinaux, comprennent l’anaphylaxie, la thrombose avec syndrome de thrombocytopénie, le syndrome de Guillain-Barré, la myocardite, la péricardite et la mort. Pour la semaine du 16 juillet, le VAERS des CDC a fait état d’un nombre alarmant de 9 125 décès signalés depuis la fin décembre suite à la vakxination pour la Covid-19. Jamais dans l’histoire un nombre aussi élevé de décès n’a été associé à un vakx1, et pourtant les médias gardent un silence assourdissant à ce sujet.
Leur bilan scientifique lamentable
La formulation de Fauci est précise et délibérément manipulatrice. Elle suggère qu’il existe une chose fixe que nous pouvons appeler « la science », comme un dogme religieux du Vatican, alors que la véritable méthode scientifique est celle du questionnement continu, du renversement des hypothèses passées par de nouvelles hypothèses prouvées, de l’ajustement permanent. Pourtant, lorsqu’il s’agit de « science », la poignée de grosse compagnies fabricants de vakx1s, parfois connus sous le nom de Big Pharma, un cartel qui n’est pas sans rappeler Big Oil, ont un palmarès de fraude, de falsification délibérée de leurs propres tests, ainsi que de corruption généralisée de médecins et de responsables médicaux pour promouvoir leurs différents médicaments malgré les résultats de la « science » qui contredisent leurs affirmations de sécurité. Un regard sur les principaux géants pharmaceutiques mondiaux est instructif.
J&J
Nous commençons par la société Johnson & Johnson du New Jersey. Le 21 juillet 2021, J&J et trois autres petits fabricants de médicaments ont accepté de payer 26 milliards de dollars de dommages et intérêts à un groupe d’États américains pour leur rôle dans l’épidémie d’opioïdes en Amérique. Sur ce montant, J&J paiera 5 milliards de dollars. Le CDC estime que l’utilisation d’opioïdes hautement addictifs comme analgésiques a causé au moins 500 000 décès entre 1999 et 2019. Johnson & Johnson est accusé d’avoir poussé à l’utilisation excessive d’antidouleurs mortels et d’avoir minimisé les risques de dépendance. Ils étaient pourtant bien placés pour le connaitre.
Le même J&J est dans une énorme bataille juridique pour avoir sciemment utilisé un cancérogène dans sa célèbre poudre pour bébé. Une enquête de Reuters datant de 2018 a révélé que J&J savait depuis des décennies que l’amiante, un cancérigène connu, se cachait dans sa poudre pour bébé et d’autres produits cosmétiques à base de talc. L’entreprise envisagerait de scinder légalement sa division de poudre pour bébé en une petite société distincte qui se déclarerait ensuite en faillite pour éviter de gros versements. Le vakx1 contre la Covid-19 de J&J, contrairement à celui de Pfizer et Moderna, n’utilise pas de modification génétique de l’ARNm.
Les deux fabricants mondiaux de vakx1s contre la Covid-19, qui détiennent de loin le plus grand marché à ce jour, sont ceux dont Fauci fait personnellement la promotion. Il s’agit de Pfizer, en alliance avec la minuscule société allemande BioNTech sous le nom de Comirnaty, et de la société américaine de biotechnologie Moderna.
Pfizer
Pfizer, l’un des plus grands fabricants de vakx1s au monde en termes de ventes, a été fondé en 1849 aux États-Unis. Cette société possède également l’un des casiers judiciaires les plus chargés en matière de fraude, de corruption, de falsification et de dommages avérés. Selon une étude canadienne datant de 2010, « Pfizer a été un « délinquant chronique », s’engageant de manière persistante dans des pratiques commerciales illégales et corrompues, soudoyant des médecins et supprimant des résultats d’essais défavorables. » C’est grave. Il convient de noter que Pfizer n’a pas encore rendu publics les détails de ses études sur le vakx1 contre la Covid-19 pour un examen externe.
La liste des crimes commis par Pfizer s’est allongée depuis 2010. L’entreprise fait actuellement l’objet de poursuites judiciaires liées à des accusations selon lesquelles son médicament contre les brûlures d’estomac, le Zantac, est contaminé par une substance cancérigène. En 2009, Pfizer a reçu la plus grosse amende de l’histoire des États-Unis dans le domaine des médicaments, dans le cadre d’un accord de plaidoyer portant sur 2,3 milliards de dollars, pour avoir fait la promotion mensongère des médicaments Bextra et Celebrex et versé des pots-de-vin à des médecins complaisants. Pfizer a plaidé coupable d’avoir commercialisé quatre médicaments, dont le Bextra, « avec l’intention de frauder ou d’induire en erreur ». L’entreprise a été contrainte de retirer son antidouleur contre l’arthrite, le Bextra, aux États-Unis et dans l’Union européenne, car il provoquait des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et de graves maladies de la peau.
Dans le but évident d’augmenter ses revenus, Pfizer a illégalement versé des pots-de-vin à des médecins pour une utilisation « non indiquée sur l’étiquette » de plusieurs de ses médicaments, ce qui a entraîné des blessures ou la mort de patients. Parmi ceux-ci figuraient le Bextra (valdécoxib), le Geodon (ziprasidone HCl), un antipsychotique atypique, le Zyvox (linézolide), un antibiotique, le Lyrica (prégabaline), un médicament contre les crises d’épilepsie, son célèbre Viagra (sildénafil), un médicament contre les troubles de l’érection, et le Lipitor (atorvastatine), un médicament contre le cholestérol.
Dans un autre procès, les filiales de Pfizer ont été contraintes de payer 142 millions de dollars et de divulguer des documents de l’entreprise qui montraient qu’elle commercialisait illégalement la gabapentine pour des utilisations non indiquées sur l’étiquette. « Les données révélées dans une série de procès américains indiquent que le médicament était promu par la société pharmaceutique comme traitement de la douleur, des migraines et des troubles bipolaires – alors qu’il n’était pas efficace pour traiter ces affections et qu’il était en fait toxique dans certains cas, selon la Therapeutics Initiative, un groupe indépendant de recherche sur les médicaments de l’Université de Colombie-Britannique. Les essais ont forcé l’entreprise à publier toutes ses études sur le médicament, y compris celles qu’elle gardait cachées. »
En 2004, Warner-Lambert, filiale de Pfizer, a été contrainte de payer 430 millions de dollars pour régler les accusations criminelles et la responsabilité civile découlant de ses pratiques commerciales frauduleuses concernant le Neurontin, sa marque pour le médicament gabapentin. Développé à l’origine pour le traitement de l’épilepsie, Neurontin a fait l’objet d’une promotion illégale pour le traitement de la douleur neurologique, et en particulier pour la migraine et le trouble bipolaire, alors qu’il n’était pas efficace pour traiter ces affections et qu’il était même toxique dans certains cas. Le Neurontin pour des utilisations non approuvées a représenté environ 90 % des 2,7 milliards de dollars de ventes en 2003.
Un rapport du New York Times a révélé en 2010 que Pfizer « …a versé environ 20 millions de dollars à 4 500 médecins et autres professionnels de la santé aux États-Unis pour des consultations et pour parler en son nom au cours des six derniers mois de 2009 ». Elle a versé 15,3 millions de dollars supplémentaires à 250 centres médicaux universitaires et autres groupes de recherche pour des essais cliniques. Dans la pratique juridique américaine, il est rare que les dirigeants d’entreprise qui commettent des actes criminels soient poursuivis. Il en résulte que les amendes judiciaires sont traitées comme des « coûts commerciaux » dans ce milieu cynique. En huit ans de malversations répétées jusqu’en 2009, Pfizer a accumulé un peu moins de 3 milliards de dollars d’amendes et de sanctions civiles, soit environ un tiers de ses revenus nets annuels.
En 2020, alors que son vakx1 contre la Covid-19 était en cours de développement, Pfizer a payé 13 150 000 dollars en lobbying auprès du Congrès et de fonctionnaires à Washington, entre autres. Il faut également noter que la Fondation Bill et Melinda Gates possède des actions à la fois de Pfizer et de leur partenaire dans le principal vakx1 à ARNm, l’allemand BioNTech.
Moderna
Le troisième producteur de vakx1s contre la Covid-19 ayant reçu une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) de la FDA est Moderna, de Cambridge, Massachusetts. Contrairement à J&J ou Pfizer, il n’a pas encore été poursuivi pour pratiques illégales. Peut être parce qu’avant son EUA pour son vakx1 expérimental à ARNm il n’avait, en dix ans d’existence depuis 2010, pas réussi à obtenir l’approbation de la FDA pour commercialiser un seul médicament, malgré des tentatives répétées et infructueuses. Cependant, Moderna a un panneau au néon rouge qui indique « conflit d’intérêts » qui devrait donner à réfléchir.
Moderna et le NIAID de Fauci ont collaboré au développement de vakx1s en utilisant la plateforme ARNm de Moderna et le NIAID de Fauci sur les coronavirus, dont le MERS, depuis au moins novembre 2015. Le 13 janvier 2020, avant même que le premier cas d’un supposé « nouveau coronavirus » de Wuhan, en Chine, ne soit détecté aux États-Unis, le NIAID de Fauci et Moderna signaient un accord de coopération actualisé qui les décrivait comme copropriétaires d’un coronavirus basé sur l’ARNm et qu’ils avaient finalisé une séquence pour l’ARNm-1273, le vakx1 qui est maintenant administré à des millions de personnes pour soi-disant éviter le nouveau coronavirus. Cela signifie que le NIAID de Fauci, et peut-être Fauci personnellement (c’est autorisé aux États-Unis), allait tirer d’énormes avantages financiers de l’approbation d’urgence du vakx1 Moderna, mais Fauci n’a jamais admis publiquement ce conflit lorsqu’il était conseiller de Trump, ni lorsqu’il était conseiller de Biden.
Dix jours plus tard, le 23 janvier 2020, Moderna annonçait qu’elle avait obtenu un financement du CEPI, un fonds pour les vakx1s créé par la fondation de Bill Gates et le WEF de Davos, entre autres, pour développer un vakx1 à ARNm contre le virus de Wuhan.
Moderna a été créé par un investisseur en capital-risque, Noubar Afeyan, ainsi que par Timothy A. Springer, professeur à Harvard, et d’autres personnes. En 2011, Afeyan a recruté Stéphane Bancel, homme d’affaires français et ancien cadre d’Eli Lilly, comme PDG. Bien qu’il n’ait aucun diplôme en médecine ou en sciences, ni aucune expérience dans la gestion d’une opération de développement de médicaments, Bancel se présente comme cotitulaire d’une centaine de brevets de Moderna liés aux différents vakx1s. À partir de 2013, la petite Moderna a reçu des subventions du Pentagone pour développer sa technologie ARNm. En 2020, juste avant de recevoir l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA, 89 % des revenus de Moderna provenaient de subventions du gouvernement américain. Cette entreprise est loin d’être expérimentée, mais elle tient le destin de millions de personnes entre ses mains. Comme le dit Fauci, « faites confiance à la science ».
En février 2016, un éditorial de la revue Nature reprochait à Moderna de ne pas publier d’articles évalués par des pairs sur sa technologie, contrairement à la plupart des autres sociétés de biotechnologie émergentes ou établies. L’entreprise reste ultra-secrète. La même année, en 2016, Moderna a obtenu 20 millions de dollars de la Fondation Gates pour le développement de vakx1s utilisant l’ARNm.
Jusqu’à ce qu’elle reçoive l’approbation de l’EUA pour son produit « covid » à base d’ARNm en décembre 2020, Moderna n’avait cumulé que des pertes, depuis sa fondation. Puis, curieusement, à la suite d’une réunion personnelle en mars 2020 avec le président de l’époque, Trump, où Bancel a dit au président que Moderna pourrait avoir un vakx1 prêt en quelques mois, l’opportunité pour Moderna est à portée de main.
Le 15 mai, Trump annonçait la création de l’opération « Warp Seed » pour mettre en place un vakx1 contre la Covid-19 d’ici décembre. Le chef du groupe présidentiel était un vétéran de 30 ans de R&D de la grande firme pharmaceutique britannique GSK, Moncef Slaoui. En 2017, Slaoui avait démissionné de GSK et rejoint le conseil d’administration de nul autre que Moderna. Sous le Warp Speed de Slaoui, quelque 22 milliards de dollars de l’argent des contribuables américains ont été donnés à différents fabricants de vakx1s. Moderna en fut l’un des principaux bénéficiaires, un conflit d’intérêt flagrant, mais personne ne semblait s’en soucier. Slaoui a acheminé quelque 2 milliards de dollars de fonds publics vers son ancienne société, Moderna, pour développer le vakx1 à ARNm contre la Covid-19. Ce n’est que sous la critique publique que Slaoui a vendu ses actions dans Moderna, faisant des millions de bénéfices grâce au rôle de Moderna en tant que candidat principal pour le vakx1 contre la Covid-19. Peu de temps après sa démission à la fin de la présidence Trump, Slaoui a été licencié par son ancienne entreprise GSK suite à des accusations de harcèlement sexuel envers une employée d’une filiale de l’entreprise.
Note du Saker Francophone. C’est typique de l’ultralibéralisme. Les grosses entreprises peuvent tout se permettre sans subir de conséquences à la hauteur de la gravité de leurs actes. Un individu tue ou blesse gravement quelqu’un, même involontairement, et il passe par la case prison. Une Société Anonyme le fait et s’en tire avec une amende qui la touche à peine. Pourquoi ne pas envoyer le directeur en prison ou même la dissoudre pour de tels agissements ? Mais non c’est la politique du laisser-faire, sans limites. Si bien que les méthodes pour augmenter leurs profits vont continuer à défier de plus en plus les règles, jusqu’à destruction du tissu social si l’État n’intervient pas pour y mettre le holà. Et vu l’état dans lequel est l’État on peut en douter.
Sputnik France publie aujourd'hui un article rappelant que "Interrogé lors de son procès pour fraude fiscale au sujet des versements du laboratoire sur un compte ouvert en Suisse en 1992, M.Cahuzac [un ministre de Francois Hollande], reconnaît alors qu’en 1993 «deux versements des laboratoires Pfizer» ont été faits au profit du financement politique."
Je ne pense pas être la seule personne à l’avoir remarqué – Il y a eu un déluge soudain de propagande sur la vakxination anti-Covid et sur le passeport vakxinal – ou pass sanitaire, pass vert – au cours du mois dernier, plus que ce que nous avons vu depuis le début de l’année, je pense. Je parle des États-Unis en particulier, mais il est important de souligner qu’aux États-Unis, l’establishment réclame toujours désespérément un taux de vakxination beaucoup plus élevé. Dans des pays comme l’Europe, le Royaume-Uni et l’Australie, les taux de vakxination sont plus élevés et les gouvernements sont passés à la phase de passeport vakxinal de leur programme.
Certaines personnes peuvent être déconcertées par le fait que la plupart des pays s’engagent dans la voie des mandats et des restrictions concernant les médicaments. Comment est-il possible que presque tous les gouvernements de la planète soient d’accord sur le totalitarisme médical ? Eh bien, c’est assez facile à comprendre quand on sait que la majorité d’entre eux sont liés entre eux par des institutions mondialistes comme le Forum économique mondial, qui a qualifié à plusieurs reprises la pandémie d’ « occasion parfaite » pour faire passer ses projets de « grand reset ».
Le « Grand Reset » est une usurpation idéologique à long terme de ce qui reste de la liberté individuelle et des économies de marché, et son objectif est l’imposition d’une dictature socialiste/communiste mondiale. Les mondialistes enveloppent ces objectifs dans de jolis mots et des aspirations humanitaires, mais au fond, la « réinitialisation » vise à mettre fin à la liberté telle que nous la connaissons. Ce n’est pas une exagération, c’est la réalité ; c’est ce que ces gens désirent par-dessus tout. Mais comment atteindre un tel objectif ?
Eh bien, de manière intéressante, le FEM et la Fondation Bill Et Melinda Gates ont décrit exactement comment ils prévoyaient de le faire au cours d’une « simulation » qu’ils ont organisée en octobre 2019, appelée « Event 201 ». Au cours de cet événement, ils ont imaginé une pandémie massive de coronavirus, qui se propagerait soi-disant des animaux aux humains, ce qui faciliterait la nécessité de restrictions omniprésentes des libertés individuelles, des économies nationales ainsi que d’Internet et des médias sociaux. Je suis sûr que tout cela n’est qu’une coïncidence, mais le même scénario que les mondialistes du FEM ont joué pendant Event 201 s’est produit dans le monde réel seulement deux mois plus tard.
En tout cas, la pandémie elle-même a été une aubaine pour les mondialistes. Nous n’avons pas vu une telle prise de pouvoir des gouvernements et des entreprises depuis la montée des national-socialistes en Europe et la propagation du communisme en Russie et en Chine il y a presque un siècle. En fait, je dirais que ce à quoi l’humanité dans son ensemble est confrontée aujourd’hui est bien pire que ce que ces misérables empires ont pu produire.
Il n’y a aucun doute : les institutions mondialistes et leurs « partenaires » gouvernementaux sont les plus grands bénéficiaires de la crise du covid. Ils s’apprêtent à acquérir le pouvoir social et politique ultime si leur programme d’exploitation de la pandémie réussit.
Cela dit, il y a quelques obstacles dans leur plan, et c’est pourquoi je crois que nous assistons à une poussée de propagande agressive ces dernières semaines. Par exemple, comme je l’ai souligné avec de nombreuses preuves dans mon article « Biden’s Vakxine Strike Force Plan Stinks Of Desperation », il apparaît que le taux de vakxination, en particulier aux États-Unis, est loin d’être aussi élevé que les élites le souhaiteraient.
Alors que l’administration Biden et les CDC revendiquent un taux de vakxination global de 67 %, de nombreuses autres statistiques, dont les chiffres de la carte des États de la clinique Mayo, indiquent que seuls quatre États américains ont un taux de vakxination supérieur à 65 % (pour une dose ou plus), et que la majorité des États ont des taux de 50 % ou moins. Même les États bleus à forte population, comme la Californie et New York, ne dépassent pas la barre des 65 %, et franchement, ces chiffres ne vont nulle part car les vakxinations sont en chute libre.
Si quelqu’un ne s’est pas présenté à ce jour avec des temps d’attente nuls et des doses abondantes partout, alors il est peu probable qu’il soit un jour vakxiné.
Des statistiques contradictoires me laissent penser que Biden et les CDC gonflent leurs chiffres de vakxination pour créer l’illusion qu’une plus grande majorité d’Américains soutient le vakx1. Et si c’est le cas, cela explique pourquoi Biden, Fauci et les médias grand public gavent le public d’un battage publicitaire pro-vakx1s qui contredit systématiquement les données scientifiques réelles. Ils n’obtiennent pas la peur et la conformité du public qu’ils espéraient.
Mais pourquoi veulent-ils une vakxination à 100% ? Pourquoi veulent-ils à tout prix que chaque personne dans le monde reçoive le vakx1 à ARNm ?
Après tout, le taux de mortalité moyen (IFR) du covid est de seulement 0,26 % des personnes infectées (c’est une statistique que les médias refusent systématiquement et délibérément de mentionner au public). Cela signifie que 99,7% du public ne court AUCUN risque de contracter le covid, qu’il soit vakxiné ou non.
Les vakx1s garantissent-ils de meilleures chances ? Eh bien, selon des statistiques récentes du Massachusetts, pas nécessairement, puisqu’elles font état de plus de 5100 infections et de 80 décès de patients entièrement vakxinés. Les médias ne cessent de nous dire que seuls les non-vakxinés meurent, mais c’est un mensonge, comme tant d’autres mensonges qu’ils colportent à propos du covid. Alors, quel est l’intérêt de recevoir un vakx1 expérimental si le taux de mortalité du virus est si faible et si le vakx1 ne vous protège pas nécessairement ?
Il n’y a aucun intérêt. La science et les statistiques ne le soutiennent pas. Les vakx1s ne peuvent même pas être crédités de la baisse des infections et des décès cette année ; les chiffres ont chuté en janvier – seuls 5% de la population étaient vakxinés en février. La seule explication à cela est que la population a atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. Rappelez-vous quand les gouvernements disaient qu’ils avaient besoin d’une immunité de troupeau ou d’une vakxination de 70% pour mettre fin aux blocages et aux mandats ? Les poteaux de but ont été déplacés plusieurs fois et la « science » du gouvernement change tous les mois. Aujourd’hui, ils prétendent que l’immunité collective n’a pas d’importance et exigent une vakxination à 100 %.
Nous devons à nouveau poser la question : pourquoi le gouvernement pousse-t-il sans relâche à une saturation totale en vakx1s ? Cela ne sauve pas de vies, et les mandats restent inchangés, alors pourquoi ?
Je ne peux qu’émettre des théories basées sur les preuves disponibles, mais je pense qu’il est clair pour la plupart d’entre nous que les vakx1s n’ont PAS pour but la santé publique ni de sauver des vies. Ils ont manifestement un autre objectif…
Comme de nombreux experts en virologie et en vakx1s l’ont signalé au cours de l’année écoulée, la technologie expérimentale de l’ARNm présente un risque élevé d’effets secondaires nocifs pour la santé. Même l’un des créateurs des vakx1s à ARNm a laissé entendre qu’il était dangereux de déployer ces cocktails de manipulation génétique sans effectuer davantage de tests. Il convient de noter les préoccupations concernant les troubles à long terme tels que les troubles auto-immunes et l’infertilité.
Les médias grand public et les mondialistes soutiendront qu’il n’y a « aucune preuve » que les vakx1s à ARNm provoqueront des effets secondaires mortels ou l’infertilité. Je répondrai qu’il n’y a AUCUNE PREUVE que ces vakx1s sont sûrs. La plupart des vakx1s sont testés sur une période de 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vakx1s contre le covid ont été lâchés sur le public en quelques mois. Honnêtement, je n’ai pas l’intention de servir de cobaye pour un vakx1 non testé.
Mais que faire si les élites savent exactement quels seront les effets secondaires ? Et si les vakx1s étaient un élément central de leur « Grand Reset » ? La question de l’infertilité, en particulier, suscite le plus de critiques de la part de l’establishment, et je voudrais souligner un récit particulièrement insidieux implanté dans les médias. Chaque fois que les gens remettent en question le risque de stérilité causé par les vakx1s, les bureaucrates et les têtes parlantes des médias passent à l’attaque, puis disent : « Il n’y a aucune preuve que les vakx1s causent la stérilité, mais le Covid-19 pourrait la causer… ». Il suffit de regarder ce récent discours du gouverneur de l’Arkansas où lui et son larbin médical ont presque été chassés du podium par un public en colère pour avoir colporté la même propagande :
Et voilà le résultat. À mon avis, le décor est planté pour un événement d’infertilité de masse, et le covid sera accusé à la place des vakx1s expérimentaux. C’est pourquoi l’establishment a besoin d’un taux de vakxination de 100% ; les personnes non vakxinées seraient la preuve de leur crime. Laissez-moi vous expliquer…
Ce qui me préoccupe, c’est que le programme de Grand Reset de Klaus Schwab est impossible à appliquer de manière permanente, à moins que la population humaine ne soit fortement réduite sur une courte période (une génération ou deux). Les mondialistes parlent constamment de contrôle et de réduction de la population. Des élites comme Bill Gates sont célèbres pour cela. Faut-il s’étonner qu’ils conçoivent un plan pour l’instaurer ?
Et si, comme de nombreux experts l’ont suggéré, les effets secondaires des vakx1s créaient cette condition de diminution de la population ? Et si c’était le cas ? Nous ne le saurons pas avec certitude avant quelques années au moins, car les troubles auto-immunes et l’infertilité mettent du temps à se manifester dans une population. Le délai moyen pour diagnostiquer un trouble auto-immune est de 4,5 ans. Le diagnostic de l’infertilité peut prendre de six mois à un an.
Si des millions de personnes ne sont toujours pas vakxinées au cours des deux prochaines années, elles constitueront un groupe de contrôle important et indéniable. Un groupe témoin est un groupe de sujets qui agit comme un échantillon pur, non touché par une expérience sur un médicament ou un vakx1. Si le groupe vakxiné tombe malade ou meurt de maladies spécifiques et que le groupe témoin ne présente pas ces mêmes maladies, c’est un bon signe que votre vakx1 ou votre médicament est un poison.
La moitié des Américains et des pourcentages plus faibles dans d’autres pays constituent un groupe de contrôle pour les vakx1s expérimentaux. Si quelque chose ne va pas avec les vakx1s, nous en serons la preuve. Je soupçonne que c’est ce dont les élites ont vraiment peur.
Elles doivent nous forcer à nous faire vakxiner également – nous tous, afin qu’il n’y ait pas de groupe de contrôle et donc pas de preuve de ce qu’elles ont fait. Ils pourraient simplement imputer les troubles de santé de masse au covid lui-même, ou à un autre faux coupable.
Si les vakx1s sont un cheval de Troie qui provoque une maladie ou une stérilité généralisée, et que les mondialistes se font prendre parce qu’il existe un groupe de contrôle, alors cela signifiera pour eux une rébellion pure et simple ainsi que des cordes et des lampadaires. Leur « grand reset » s’effondrera.
Bien sûr, cela pourrait se produire de toute façon. Les passeports vakxinaux sont la ligne dans le sable pour la plupart des gens. Nous assistons même à d’importantes manifestations et émeutes dans des pays comme l’Italie, la France, le Royaume-Uni et l’Australie à cause de ce régime de passeport draconien. Mais c’est aux États-Unis que le plus gros combat aura lieu, à mon avis. Nous avons une population armée, des millions et des millions de vétérans et de civils entraînés au combat, une armée composée d’environ 70 % de conservateurs et d’indépendants et une compréhension historique de la guerre asymétrique. Comme nous l’avons vu dans des endroits comme l’Afghanistan, les chars, les avions à réaction, les missiles et les drones ne garantissent pas la victoire contre une force de guérilla.
Les passeports vakxinaux n’arriveront pas ici. Nous ne le permettrons tout simplement pas.
Les mondialistes ont mis en place une fin de partie – Cela pourrait être une fin de partie pour nous, mais cela pourrait aussi être une fin de partie pour eux. Ils ont un calendrier strict. Ils doivent obtenir des taux de vakxination proches de 100% dans les deux prochaines années ou plus tôt. Ils doivent mettre en place leurs passeports vakxinaux dans les deux prochaines années ou plus tôt. Et ils doivent instaurer des conditions de confinement permanent à court terme pour étouffer la dissidence croissante. Nous sommes maintenant dans une sorte de course dans laquelle les mondialistes doivent mettre en œuvre leur programme aussi vite que possible, tandis que nous devons résister et les retenir jusqu’à ce que la vérité devienne évidente pour les masses ; la vérité que les confinements, les mandats et les vakxins n’ont jamais eu pour but la sécurité, mais le contrôle – du contrôle social au contrôle de la population.
Pour ce 5ème numéro de « Science en Conscience » pour ReinfoCovid, Jérémie Mercier reçoit Denis Rancourt, ancien professeur de physique de l’université d’Ottawa et chercheur pour l’Association pour les Libertés Civiles de l’Ontario (Canada). Ils évoquent la question du naufrage de la science, particulièrement visible depuis le début de la « crise C0VlD », et les raisons de ce naufrage. Une vision avec beaucoup de recul de ce qu’est devenu la science.
Le biologiste JF Lesgard communique des informations capitales qui normalement devrait faire la une de la presse d’un pays libre…
Un accord de confidentialité montre que des candidats vakx1s potentiels contre le coronavirus ont été transférés de Moderna à l’Université de Caroline du Nord en 2019, dix-neuf jours avant l’émergence du prétendu virus provoquant le COVlD-19 à Wuhan, en Chine.
L’accord de confidentialité indique que les fournisseurs « Moderna » aux côtés de « l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses » (NIAID) de F*A*U*C*I ont accepté de transférer « les candidats vakx1s contre le coronavirus à ARNm » développés et détenus conjointement par le NIAID et Moderna aux destinataires « Le Université de Caroline du Nord à Chapel Hill’ le 12 décembre 2019.
Trouvé à la page 105 de l’accord
L’accord de transfert de matériel a été signé le 12 décembre 2019 par Ralph Baric, PhD, à l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, puis signé par Jacqueline Quay, directrice des licences et du soutien à l’innovation à l’Université de Caroline du Nord le 16 décembre 2019.
Ralph BARIK c’est la mafia de la création du virus : Il sait, comme son pote Daszak, que « les coronavirus ne sont pas traitables avec les anticorps monoclonaux et vous ne pouvez pas vacciner contre eux avec un vaccin »
Toutes ces signatures ont été faites avant toute connaissance de l’émergence présumée du nouveau coronavirus. Ce n’est que le 31 décembre 2019 que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a pris connaissance d’un groupe présumé de cas de pneumonie virale à Wuhan, en Chine. Mais même à ce stade, ils n’avaient pas déterminé qu’un nouveau coronavirus présumé était à blâmer, déclarant plutôt que la pneumonie était de « cause inconnue ».
Ce n’est que le 9 janvier 2020 que l’ OMS a rapporté que les autorités chinoises avaient déterminé que l’épidémie était due à un nouveau coronavirus qui est devenu plus tard connu sous le nom de SRAS-CoV-2 avec la prétendue maladie résultante surnommée COVID-19. Alors pourquoi un candidat vaccin contre le coronavirus à ARNm développé par Moderna a-t-il été transféré à l’Université de Caroline du Nord le 12 décembre 2019 ?
Qu’est-ce que Moderna savait que nous ne savions pas ? En 2019, il n’y avait aucun coronavirus singulier constituant une menace pour l’humanité qui justifierait un vaccin, et les preuves suggèrent qu’il n’y a pas eu non plus de coronavirus singulier constituant une menace pour l’humanité en 2020 et 2021.
La plupart d’entre nous n’ont entendu parler des «passeports de vakx1s» qu’après la pandémie, lorsque différents gouvernements ont commencé à insister sur l’exigence de «passeports pour les vakx1s» pour voyager dans d’autres pays ou même pour se rendre dans des lieux publics.
Cependant, la planification de l’exécution du concept de «passeport de vakx1s» a commencé 20 mois avant le déclenchement de la pandémie. Ce dont parlent ces feuilles de route, ce n’est pas seulement un document qui restreindrait votre entrée ou votre mouvement à certains endroits. Ce qu’ils envisagent est un écosystème COVID complet, un avenir où chaque aspect de votre vie est surveillé et réglementé selon les caprices et la fantaisie de ces Pharma Overlords.
La proposition initiale de «passeports de vakx1s» a été publiée pour la première fois le 26 avril 2018 par la Commission européenne. La proposition, ignorée par les médias mainstream, a été profondément enfouie dans un document (lire ci-dessous) traitant du «renforcement de la coopération contre les maladies évitables par la vakxination».
Conformément à la feuille de route initiale (publiée au début de 2019) pour mettre en œuvre la proposition de la Commission européenne, l’action principale consistait à «examiner la faisabilité de développer une carte / passeport de vakxination commun» pour les citoyens européens qui soit «compatible avec les systèmes électroniques d’information sur la vakxination et reconnu pour une utilisation au-delà des frontières».
Il était prévu de faire émettre une proposition législative d’ici 2022, en Europe.
Des termes – tels que «contrer l’hésitation à la vakxination», «flambées inattendues» – qui n’étaient pas si courants avant l’épidémie étaient également mentionnés dans la proposition.
Parmi les autres points du document de feuille de route figuraient le soutien à l’autorisation de «vakx1s innovants, y compris pour les menaces sanitaires émergentes».
Déclarant que «l’industrie de la fabrication des vakx1s» a un «rôle clé» dans la réalisation des objectifs décrits dans le document de la feuille de route, il énumère «l’amélioration de la capacité de fabrication de l’UE» et le stockage des vakx1s comme d’autres points d’action à mettre en œuvre.
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La feuille de route met également l’accent sur le renforcement des «partenariats existants» et de la «collaboration avec les acteurs et initiatives internationaux» et fait référence au Sommet mondial sur la vakxination qui s’est tenu en 2019. Les participants et l’agenda de ce sommet sont également révélateurs.
Sommet mondial de la vakxination 2019
Les 3 tables rondes
Le sommet s’est tenu le 12 septembre 2019, à Bruxelles, en Belgique, à peine 3 mois avant l’épidémie de COVID-19. Le sommet n’a pas été rapporté par la plupart des grands médias. Il a été organisé par la Commission européenne en coopération avec l’OMS.
Le sommet s’est structuré autour de trois tables rondes intitulées:
Dans les auxquels nous faisons confiance
La magie de la science
Les protègent tout le monde, partout
Membres notables du panel
Les participants à ce sommet étaient des dirigeants politiques, des représentants de haut niveau des ministères de la santé, des Nations Unies, des universitaires de premier plan, des professionnels de la santé et des scientifiques, des secteurs non gouvernementaux et privés.
Parmi les membres notables de ces tables rondes figuraient le Dr Seth Berkley, PDG de GAVI, Nanette Cocero, présidente mondiale de Pfizer Vakxines, la Global Vakxine Alliance – une organisation qui a reçu d’énormes montants de financement de la Fondation Bill & Melinda Gates; et Joe Cerrell, directeur général de la Fondation Bill & Melinda Gates pour la politique mondiale et le plaidoyer.
Lors de la 41e session du Comité d’enquête Corona, elle a déclaré que les règles en vertu desquelles les pays collaborent avec l’OMS placent pratiquement l’OMS en charge de toutes les règles et édits et annonces formels – Gates étant juste là en tant que membre du conseil exécutif comme un État membre non officiel, prendre des décisions qui affectent le monde entier.
Planification en cas de pandémie
La planification de la pandémie était clairement mise en évidence lors de cette réunion au sommet. Les principaux documents distribués aux participants comprenaient des rapports sur:
Planification de la préparation à la grippe pandémique
Un exercice de grippe pandémique pour l’Union européenne
Planification de la préparation à la grippe aviaire et à la pandémie de grippe
Préparation et planification de la riposte à la grippe pandémique
Vers une suffisance des contre la grippe pandémique dans l’UE
Un «partenariat public-privé» sur les européens contre la grippe pandémique
Dans tous ces documents, l’objectif de renforcement de la collaboration avec l’industrie pharmaceutique est souligné à maintes reprises, tout comme le message selon lequel une pandémie mondiale était désormais inévitable.
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À qui profitent réellement les passeports de vakx1s?
Le principal bénéficiaire de ces projets de passeport de vakx1s sera l’industrie pharmaceutique multinationale et non l’homme ordinaire.
En plus de cela, les gens ordinaires devront partager leurs dossiers médicaux afin de prouver qu’ils sont aptes à voyager à l’étranger ou même à regarder un film.
L’activité estimée que visent ces géants pharmaceutiques vaut 1500 milliards de dollars rien qu’en 2021.
Ce dont parlent ces feuilles de route, ce n’est pas seulement un document qui restreindrait votre entrée ou votre mouvement à certains endroits. Ce qu’ils envisagent est un écosystème COVID complet, un avenir où chaque aspect de votre vie est surveillé et réglementé selon les caprices et la fantaisie de ces Pharma Overlords.
Ci-dessous, nous mentionnons quelques projets qui vous donneraient une idée de ce à quoi ressemblerait cet avenir.
Microchip COVID du Pentagone
Les scientifiques du Pentagone ont créé une micropuce qu’ils veulent injecter dans votre corps pour détecter le coronavirus dans votre corps avant même que vous ne présentiez des symptômes. Ils ont également créé un filtre pour extraire le virus de votre sang.
Sceau de santé pour les entreprises
Après les passeports de vakx1s pour les personnes, Hollywood propose maintenant le sceau de santé COVID-19 pour les entreprises. Des célébrités comme Lady Gaga et Robert De Niro utilisent Covid-19 pour promouvoir un système coûteux de «sceau de santé» qui certifiera l’emplacement de votre entreprise comme étant exempt de COVID-19.
Ces célébrités prêchent aux gens d’acheter ce sceau de santé qui pourrait vous coûter plus de 12 000 $ et qui «ne garantit pas qu’un espace est sûr ou exempt d’agents pathogènes». La norme de construction WELL est alignée sur les Nations Unies.
Propagande vakxinale
Avec l’augmentation des cas de réactions indésirables multiples au vakx1 COVID-19, des vidéos de propagande de vakxination désormais épuisées et sans base scientifique apparaissent pour vous inciter à aimer les vakx1s et à ne poser aucune question et à continuer à injecter les vakx1s année après année après année .
Une ordonnance controversée de Pas de vakxination Pas de salaire a été émise par les autorités sanitaires de l’État indien de Jharkhand, qui a été forcée d’être retirée après la réaction des employés.
Ce n’est pas un événement aléatoire. C’est un aperçu de ce qui est à venir.
Passeports de liberté basés sur le code QR
La Grande-Bretagne pourrait bientôt déployer le Coronavirus Freedom Passport basé sur QR pour déterminer si vous êtes innocent COVID-19. Si la COVID-19 est positive, vous pouvez être interdit d’entrer dans les pubs, les écoles et les lieux de travail.
Ensemble, ils collecteront, stockeront et surveilleront vos données de santé en fonction desquelles les applications décideront si vous êtes éligible pour voyager, étudier, aller au bureau, etc.
Les chercheurs ont montré que leur nouveau colorant, constitué de nanocristaux appelés points quantiques, peut rester au moins cinq ans sous la peau, où il émet une lumière proche infrarouge qui peut être détectée par un smartphone spécialement équipé.
Dans le cadre du programme «One Nation One Health Card», les antécédents médicaux d’une personne, y compris tous les traitements et tests qu’elle a subis, seront enregistrés numériquement sur cette carte.
Les hôpitaux, les cliniques et les médecins seront tous reliés à un serveur central. Le mouvement vise à cartographier les dossiers de santé de chaque citoyen du pays dans un format numérique.
Balises électroniques pour le suivi de l’activité comportementale
Si vous tentez de quitter votre domicile, il alertera les autorités, à la suite de quoi il y aura peut-être une amende de 10 000 dollars singapouriens ou six mois de prison ou les deux.
Les tomates GM comme vakx1 comestible contre le coronavirus
Un groupe de recherche d’une université mexicaine utilise la bioinformatique et le génie génétique informatique pour identifier des antigènes candidats pour un vakx1 qui peut être exprimé dans les plants de tomates.
Manger les fruits de ces plantes conférerait alors une immunité contre la COVID-19, affirment les scientifiques.
Le programme dit «évoluer à mesure que vous évoluez» fait partie de la guerre mondiale contre l’argent liquide et a le potentiel d’un double usage à des fins de surveillance et de «police prédictive» en fonction de vos antécédents de vakxination.
Ceux qui ne souhaitent pas être vakxinés peuvent être exclus du système en fonction de leur score de confiance.
La Commission européenne a cédé aux exigences de l’industrie pharmaceutique qui lui a demandé une confidentialité quasi totale sur les aides accordées pour la recherche, et sur le coût des achats de vaccins contre le C0VlD-19.
La presse belge a révélé que le négociateur choisi par la Suède n’était autre que Richard Bergström, l’ancien directeur de l’EFPIA, le principal lobby de Big Pharma en Europe. Alors qu’il a signé une déclaration d’absence de conflit d’intérêts, le négociateur suédois serait aussi toujours l’un des propriétaires d’une entreprise pharmaceutique. La France, qui a elle aussi désigné une négociatrice, assure avoir été très vigilante sur ce sujet. Son curriculum vitae ne fait état que de postes occupés dans la fonction publique.
En janvier 2019, l’OMS a défini le nombre croissant de critiques de la vakxination comme l’une des dix plus grandes menaces pour la santé mondiale et depuis le fiasco sans précédent de la vakxination corona, le nombre de ceux qui ont refusé de vakxiner s’est littéralement multiplié. Pendant ce temps, la résistance se forme même au sein de l’établissement médical conventionnel.
Mais les cerveaux de l’OMS insistent sur une couverture vakxinale irréaliste d’au moins 70 pour cent. Divers experts et anciens journalistes grand public tels que John O’Sullivan avertissent maintenant que la campagne massive de tests PCR pourrait être un programme de vakxination déguisé par l’OMS. (voir Principia Scientific)
O’Sullivan fait référence à une nouvelle technologie développée à l’université Johns Hopkins et destinée à permettre des vakxinations secrètes à l’aide d’un test PCR. Inspirés par un ver parasite qui creuse ses dents acérées dans les intestins de son hôte, les chercheurs de Johns Hopkins ont développé de minuscules micro-dispositifs en forme d’étoile qui se fixent à la muqueuse de l’intestin et délivrent des médicaments dans le corps.
Ces minuscules appareils, connus sous le nom de «Theragrippers», sont constitués de métal et d’un film mince qui change de forme. Ils sont recouverts de cire de paraffine sensible à la chaleur et chacun n’est pas plus gros qu’une tache de poussière. (voir Fig.1)
Lorsque le revêtement de paraffine du Theragripper atteint la température corporelle, les appareils se ferment de manière autonome et se fixent à la paroi du côlon. L’action de fermeture fait que les minuscules dispositifs à six broches s’enfoncent dans la membrane muqueuse et adhèrent au côlon, où ils sont retenus et libèrent progressivement leurs charges utiles de médicaments dans le corps. Finalement, le Theragripper perd son emprise sur le tissu et est retiré de l’intestin via la fonction musculaire gastro-intestinale normale. Remarque: selon l’Université Johns Hopkins, les Theragrippers sont en fait administrés avec un écouvillon. (voir Fig.2)
Ici, nous rapportons que les pinces thérapeutiques mécanochimiques actives inspirées du parasite GI, ou theragrippers, peuvent survivre dans le tractus gastro-intestinal d’animaux vivants pendant 24 heures, en s’accrochant de manière autonome au tissu muqueux.
“Nous observons également une remarquable multiplication par six de la demi-vie d’élimination en utilisant la délivrance médiée par ripper du modèle analgésique kétorolac trométhamine. Ces résultats fournissent une preuve primordiale que les micro-dispositifs à changement de forme et autobloquants améliorent l’efficacité de l’administration prolongée de médicaments.”
figure 2
Par chance, le test PCR est désormais également effectué par voie anale en Chine car la fiabilité des résultats est meilleure et, bien sûr, cette pratique est immédiatement approuvée dans les médias grand public occidentaux. (voir Business Insider).
Remarque: Si vous ne pouvez pas imaginer que le gouvernement vous donnerait des substances toxiques contre votre volonté et sans votre consentement, vous devez vous souvenir de toutes les horribles expériences humaines qui ont été admises rétrospectivement et, selon Wikipédia, se sont bien déroulées dans les temps modernes.
En 2007, le CDC a même admis qu’entre 1955 et 1963, 10 à 30 millions de citoyens ont été infectés par le virus du cancer SV40 par le biais de la vakxination contre la polio.
Dans une conférence vidéo perspicace avec Dr. Judy Mikovits, Robert Kennedy Jr. et Dr. David Martin apprend que selon la définition légale, le vakx1 à ARNm n’est pas du tout un vakx1. On l’appelle à tort un vakx1 pour cacher le fait que le prétendu vakx1 est en fait une thérapie génique.
Le médecin et épidémiologiste expérimenté, Dr. Wolfgang Wodarg a déclaré dans une interview censurée avec Rubikon:
“En fait, ce vakx1 dit prometteur devrait être INTERDIT pour la grande majorité des gens, car il s’agit d’une manipulation génétique!”
Mary Holland, vice-présidente et avocate en chef de l’Organisation de défense de la santé des enfants, prévient:
“Les nouvelles technologies vakxinales entraîneront probablement de nouveaux types de dommages liés aux vakx1s. Puisqu’il n’y a jamais eu de vakx1 à ARNm homologué, nous ne savons vraiment pas à quoi ressembleront de tels dommages. Parce que les vakx1s ont été développés si rapidement dans des essais cliniques aussi courts, que les effets néfastes à long terme sont complètement inconnus.[…] Il est particulièrement effrayant que la plupart d’entre eux ne sachent même pas ce que fait le vakx1 ARNm dans leur corps. Ils peuvent simplement être vakxinés à l’aveugle, même si de plus en plus d’experts médicaux indépendants et même conventionnels mettent en garde contre cela.”
Dans ce contexte, il ne faut pas oublier que la société américaine modeRNA Therapeutics a été fondée en 2010 non pas en tant que fabricant de vakx1s, mais en tant que société GenTech. (voir Wikipedia) L’exemple des nombreux scandales Monsanto montre clairement que la manipulation génétique ne sert pas à protéger les espèces, mais plutôt au pouvoir.
L’agenda caché est de modifier génétiquement l’espèce afin de la breveter ou de la posséder. L’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger a dit un jour: “Celui qui contrôle les semences gouverne le monde” (Cf. Portail de presse).
Et après? Vont-ils breveter notre corps après nous avoir génétiquement modifiés avec le vakx1 à ARNm?
Dr. Carrie Madej, spécialiste en médecine interne avec plus de 19 ans d’expérience, explique que le vakx1 COVID-19 pourrait en fait être un cheval de Troie, pour breveter les gens car il change notre ADN.
Selon un article publié en janvier 2020 dans le magazine scientifique britannique Phys.org, il est confirmé que l’ARN modifié a un impact direct sur notre ADN. Le passage suivant est particulièrement alarmant :
“ Plusieurs groupes de recherche travaillent maintenant ensemble pour étudier les effets ce que cela peut avoir sur la molécule d’ADN. Nous savons déjà que les régions de la boucle R sont associées à des séquences d’ADN qui contiennent des gènes actifs, et que cela peut conduire à des cassures chromosomiques et à la perte d’informations génétiques. Le fait que les principaux fabricants de vakx1s tels que Pfizer avertissent leurs sujets de ne pas se reproduire après la vakxination est également alarmant. (cf. Pfizer, p. 132) ”
Avec cela, la société pharmaceutique confirme que le vakx1 ARNm peut avoir des effets négatifs sur la reproduction humaine et qu’il faut toujours vakxiné!
Conclusion : Quiconque connaît un peu l’histoire sait que les expériences génétiques et les expériences humaines ne sont pas nouvelles. Alors que l’eugénisme moderne a ses origines au 19ème siècle, les idées, les mesures et les justifications des interventions et influences étatiques et sociales sur la reproduction sont connues depuis l’Antiquité.
On les trouve déjà dans la Politeia de Platon, qui, cependant, se limite à la sélection de l’État et à l’éducation. Des lignes de pensée correspondantes peuvent être trouvées dans les écrits utopiques sociaux Utopia de Thomas More, Nova Atlantis de Francis Bacon et La città del Sole de Tommaso Campanella.
Il m’a semblé important de reprendre cette vidéo et cet article pour expliquer l’origine de la médecine allopathique de la maladie, du cartel pharmaceutique et de l’OMS qui nous maintiennent dans la peur de la maladie et nous empêchent de parler de santé, de médecines naturelles et traditionnelles.
Comment Rockefeller a éliminé les remèdes naturels pour créer de grandes sociétés pharmaceutiques
Vous saviez déjà que Big Oil était mauvais, mais la famille Rockefeller a également ouvert la voie à Big Pharma en détruisant de ce fait les remèdes naturels.
L’auteur Chris Kanthan a écrit un article étonnant sur la façon dont la famille Rockefeller a sapé la société moderne de multiples façons, mais ce que la plupart ne réalisent pas, c’est comment ils ont éliminé les remèdes naturels.
Le nom de famille a maintenant été lié à la suppression de la médecine naturelle pour fonder de grandes sociétés pharmaceutiques et gagner beaucoup d’argent.
Les gens de nos jours vous voient comme un excentrique lorsque vous parlez des propriétés curatives des plantes ou de toute autre pratique holistique. Comme tout le reste, il y a beaucoup de politique et d’argent derrière notre système médical moderne.
Tout commence avec John D. Rockefeller (1839 – 1937) qui était un magnat du pétrole, un magnat des voleurs, le premier milliardaire américain et un monopoleur naturel. Au début du 20e siècle, il contrôlait 90% de toutes les raffineries de pétrole aux États-Unis par l’intermédiaire de sa compagnie pétrolière, Standard Oil, qui s’est ensuite scindée pour devenir Chevron, Exxon, Mobil, etc.
Dans le même temps, vers 1900, les scientifiques ont découvert la «pétrochimie» et la capacité de créer toutes sortes de produits chimiques à partir du pétrole. Par exemple, le premier plastique, appelé bakélite, a été fabriqué à partir de pétrole en 1907.
Les scientifiques ont découvert diverses vitamines et ont supposé que de nombreux médicaments pharmaceutiques pouvaient être obtenus à partir du pétrole. C’était une merveilleuse opportunité pour Rockefeller, qui a vu la capacité de monopoliser les industries pétrolière, chimique et médicale en même temps! La meilleure chose à propos de la pétrochimie était que tout pourrait être breveté et vendu avec des bénéfices élevés.
Mais il y avait un problème avec le plan de Rockefeller pour l’industrie médicale: les médicaments naturels ou à base de plantes étaient très populaires en Amérique à l’époque. Près de la moitié des médecins et universités américains pratiquaient la médecine holistique, en utilisant les connaissances des Amérindiens et des Européens.
Rockefeller, le monopoleur, devait trouver un moyen de se débarrasser de sa plus grande concurrence. Il a donc utilisé la stratégie classique «solution-problème-réaction». Autrement dit, créez un problème et effrayez les gens, puis proposez une solution (pré-planifiée). (Semblable à la peur terroriste, suivie du «Patriot Act».) Il est allé voir son ami Andrew Carnegie, un autre ploutocrate qui a fait son argent en monopolisant l’industrie sidérurgique qui a mis au point un plan.
De la prestigieuse Fondation Carnegie, ils ont envoyé un homme du nom d‘Abraham Flexner voyager à travers le pays et rendre compte de l’état des facultés de médecine et des hôpitaux à travers le pays.
Cela a conduit au rapport Flexner, qui a donné naissance à la médecine moderne telle que nous la connaissons. Il va sans dire que le rapport parle de la nécessité de moderniser et de centraliser nos institutions médicales. D’après ce rapport, plus de la moitié de toutes les facultés de médecine ont été fermées prématurément.
L’homéopathie et les médecines naturelles ont été ridiculisées et diabolisées; Et les médecins ont même été emprisonnés.
Pour aider à la transition et changer les esprits d’autres médecins et scientifiques, Rockefeller a octroyé plus de 100 millions de dollars aux universités et aux hôpitaux et a fondé un groupe de façade philanthropique appelé «General Board of Education» (GEB). C’est l’approche classique de la carotte et du bâton.
En très peu de temps, toutes les facultés de médecine ont été modernisées et homogénéisées. Tous les étudiants apprenaient la même chose et la médecine consistait à utiliser des médicaments propriétaires.
Les scientifiques ont reçu d’énormes subventions pour étudier comment les plantes guérissent les maladies, mais leur objectif était d’abord d’identifier les produits chimiques de la plante qui étaient efficaces, puis de recréer en laboratoire un produit chimique similaire, mais pas identique, qui pourrait être breveté.
Une pilule pour une personne malade est devenue le mantra de la médecine moderne.
Et vous pensiez que les frères Koch étaient mauvais?
Alors maintenant, 100 ans plus tard, nous produisons des médecins qui ne savent rien des avantages de la nutrition ou des herbes ou de toute pratique holistique. Nous avons une société entière qui est esclave des entreprises pour son bien-être.
Les États-Unis consacrent 15% de leur PIB aux soins de santé, qui devraient vraiment être appelés «soins de santé». Il ne se concentre pas sur le remède, mais sur les symptômes, créant ainsi des clients réguliers. Dans les produits pharmaceutiques industriels, il n’existe aucun remède contre le cancer, le diabète, l’autisme, l’asthme ou même la grippe. Pourquoi y aurait-il de vrais remèdes?
C’est un système fondé par des oligarques et des ploutocrates, pas des médecins.
Voici une citation de John D. Rockefeller qui résume sa vision de l’Amérique …
Sans entrer nécessairement dans la description de projets complotistes, il semble utile de révéler quand-même l’univers glauque et criminels des recherches de l’industrie dans le domaine de l’ADN, des vakx1s et des manipulations génétiques les plus hasardeuses de ces fous. Avec un peu d’information sur les expérimentations de ces psychopathes on ne peut que refuser les vakx1 qui sortent actuellement en réponse à cette très probablement fausse pandémie. Il est temps d’interdire ces recherches, d’emprisonner ces fous dangereux et d’en revenir à une médecine naturelle.
Pour plus d’informations sourcées veuillez consulter ce site bien sourcé dont voici quelques extraits:
ALARME : UNE NOUVELLE RECHERCHE EN GÉNIE GÉNÉTIQUE
Au début, le Dr Joseph Kim a créé un partenariat avec son professeur d’université. Le professeur Weiner a été un pionnier de l’ADN génétiquement modifié. Il était également fortement impliqué dans le VIH et est un pionnier.(Il convient de noter que peu de temps après l’administration de vakx1s expérimentaux contre la polio à des dizaines de millions de personnes en Afrique, au cours des années 50 et 60, coïncide avec le début du VIH.)
Ces chercheurs ont commencé en 2000 sous le nom de VGX Pharmaceutical Inc fabriquant de l’ADN plasmidique. Ils ont échoué trois fois en trois ans. Ils ont ensuite travaillé avec Advisys qui était un laboratoire animalier. Ils ont utilisé leur nouvelle technologie d’ADN pour créer une hormone de croissance porcine synthétique pour les porcs.Cela leur a permis d’augmenter l’âge de reproduction des porcs et a rapidement été repris par l’industrie agricole.
En utilisant le PCV2 qui est le circovirus porcin, ils peuvent utiliser pour la première fois leur nouvelle technique appelée électroporation, ils ont été des pionniers dans la division de la santé animale.
Pendant ce temps, le brevet de vakx1 contre la grippe porcine a été déposé pour la première fois, en 2005, qui n’a été breveté qu’en 2009, juste 5 mois après son dépôt, la grippe porcine était en cours de déploiement en tant que prochaine pandémie.
(De nombreuses entreprises étaient impliquées et l’OMS et d’autres agences ont proclamé une pandémie à part entière alors qu’il n’en existait pas, Baxter a également été condamné à une amende pour avoir permis au virus de la grippe porcine d’être contaminé dans les vakx1.)
Le Dr Kim a déclaré ouvertement que son entreprise comptait bon nombre de ses amis et collègues au conseil scientifique et au conseil d’administration.Il était employé par Merck qui a payé son doctorat et se vante maintenant d’avoir des personnes telles que l’ancien président de Merck, Adel Mahmoud, au sein de son conseil d’administration, Morton Collins, qui a agi en tant que conseiller en politique technologique du président GHW Bush et ancien vice-président senior de Merck, Ford Hutchinson en tant que conseiller scientifique qui est également un conseiller en fiducie Wellcome et a été impliqué dans de nombreux médicaments controversés comme Gardasil et Rotateq.
L’ÉLECTROPORATION
Il s’agit d’un courant électrique pulsé appliqué aux tissus locaux pour permettre à la cellule d’avoir des trous dedans pour permettre à juste assez d’ADN synthétique d’entrer, puis l’impulsion s’arrête et la cellule se ferme, le problème ici est que selon des études, un manuscrit en Molecular thérapie avec des références de 74 articles distincts écrits en 2004, conclut que l’utilisation du transfert de gènes par électroporation ne devrait être utilisée qu’avec des anticorps humains car des problèmes pourraient survenir du cancer à la mort.
INOVIO AURAIT FABRIQUÉ LE VAKX1 EN 2 HEURES !
Nous pouvons donc voir comment les généticiens utilisant des scientifiques altèrent les éléments constitutifs de notre existence et ce qui est troublant, c’est que le professeur Wiener est un pionnier du VIH et nous savons que peu de temps après que les vakx1s contre la polio ont été administrés à des millions de personnes en Afrique, le VIH a émergé.
Ils ont perfectionné l’art d’injecter de l’ADN animal ou d’oiseau dans des chromosomes humains qui altère notre ADN et provoque des choses comme l’hémorragie, la fièvre, les cancers et même la mort.
Voici comment se passe ce con de plots et bien qu’il se répète sous différents noms, année après année (Corona, VIH, sida, SRAS, Ebola, Zika, vache folle, etc.), la plupart du public non informé réagit comme programmé, simplement parce que la peur est PROUVÉE pour déclencher un rétrécissement de l’esprit, une baisse du QI, une stimulation de l’ego de l’enfant (qui cherche un adulte pour le sauver) et une obéissance réflexive envers l’autorité perçue.
Michèle Rivasi, députée européenne, se trouve confrontée à un barrage opaque pour obtenir les contrats passés avec l’industrie pharmaceutique et les données financières, de responsabilité juridique et de production de ces vakx1. Elle menace de citer la commission devant le cour européenne de justice comme elle l’a fait avec succès pour le glyphosate. Une interview réalisée par la nouvelle chaîne BAM (Belgian Alternative Media).
Brandy Vaughan, 47 ans, ancienne employée des laboratoires Merck a été retrouvée morte ce 10 décembre, chez elle par son fils de 10 ans. Elle est morte en quelques heures, et n’a pas appelé les secours. La thèse officielle est que son décès serait lié à une pathologie chronique de la vésicule biliaire difficile à croire. Elle commence à travailler pour l’entreprise pharmaceutique Merck en 2000 en tant qu’avocate pour propulser la vente du Vioxx. Quelques années plus tard, elle quitte Merck à la suite des scandales liés au Vioxx. Brandy a passé le reste de sa vie à dénoncer l’industrie pharmaceutique, et principalement les vakx1. Voici la vidéo traduite d’une de ses récentes conférences. Hommages à elle.
Outre l’OMS, Covax, Allied International et Nehemiah Security, Mohamed Reda est également conseiller principal pour les technologies de l’information et des communications de TransnationalStrategy (https://transnationalstrategy.com/team/mohamed-reda/). «Transnational Strategy Group LLC (TSG) est un cabinet de conseil commercial, économique / politique et politique qui fournit des services aux clients du secteur privé et des gouvernements souverains» (https://transnationalstrategy.com/). Comme Allied International, TransnationalStrategy se compose d’une équipe internationale (https://transnationalstrategy.com/team/). TransnationalStrategy est un groupe dont les membres sont mandatés par la Commission européenne, les Nations Unies, le Fonds monétaire international, l’Organisation mondiale de la santé.
Une analyse très documentée de France Soir sur le rôle de l’Institut Pasteur depuis le début de cette crise. A mettre en relation avec les analyses du Professeur Fourtillan qui a déposé plainte contre l’institut Pasteur, suite à laquelle il a été interné de force dans un hôpital psychiatrique (affaire à suivre).
Début de l’article:
Lorsque les chercheurs de l’Institut Pasteur ont été questionnés sur la possibilité que le SARS-Cov2 soit un virus manipulé, ils ont répondu que si c’était le cas des vestiges de manipulations devraient se retrouver dans le génome. Ils entendaient par-là que, dans le cas d’un accident non intentionnel de laboratoire, la présence de sites de clivage d’enzymes de restriction devrait révéler la manipulation. Cependant, comme nous l’avons montré dans la première partie de ce chapitre qu’il est tout à fait possible depuis le début des années 2000 de manipuler des coronavirus entiers sans laisser de trace. Ils sont restés très discrets également sur la nouvelle technique de manipulation génétique CRISPR-Cas9. Elle permet ce que l’on appelle à présent l’édition de génome, tant la comparaison avec les logiciels qui permettent la modification rapide et simple d’un texte est tentante. Ils ne pouvaient pas l’ignorer. D’ailleurs, notons qu’ Emmanuelle Charpentier est un peu l’enfant prodige de l’Institut Pasteur puisqu’elle y a poursuivi des recherches doctorales entre 1992 et 1995.
Tout un chacun a pu constater le silence assourdissant de l’Institut Pasteur depuis le début de l’épidémie et les quelques réponses éparses obtenues sur la nature et l’origine du virus n’ont été que trop évasives et passablement trompeuses. Par exemple, l’affirmation que le virus SARSCov2 était très distinct du SARS-Cov est de toute évidence une contre-vérité sur le plan de la structure de son génome, de son organisation spatiale et de son mode de fonctionnement.
Il n’est pas concevable, qu’étant donné son rôle dans la détection et la prévention des épidémies, l’Institut Pasteur n’ait pas été au courant très tôt, dès les mois de décembre et janvier, du danger de cette épidémie. Pourquoi les gens de Pasteur n’ont-ils pas alerté les autorités françaises ou tenu une conférence de presse publique dès le courant janvier ?
Selon son site internet, l’Institut Pasteur abrite la « Cellule d’Intervention Biologique d’Urgence (CIBU), été créée fin 2002 sous l’impulsion du Directeur Général de la Santé (DGS) et du Directeur Général de l’Institut Pasteur, afin de répondre aux « urgences biologiques spécialisées ». Ces urgences peuvent être des épidémies, des accidents ou une utilisation potentielle d’armes d’origine biologique, toutes mettant en péril la santé publique. » Les missions de la CIBU incluent :
– mobiliser à l’international de l’expertise en cas d’urgence représentant une menace pour la sécurité sanitaire en France ; – informer sans délai l’InVS en cas de détection de tout phénomène inhabituel susceptible d’avoir un impact sur la santé publique.
Que faisait son directeur, Jean-Claude Manuguerra, au cours du mois de janvier 2020, quand il a été mis au courant de la situation à Wuhan ? On l’a malheureusement vu déclaré le 21 janvier 2020 sur Euronews à propos de l’épidémie en Chine : «… c’est quelque chose de nouveau mais qui pour l’instant n’est pas plus préoccupante que ça. Il faut juste ne pas louper le coche pour endiguer ce phénomène épidémique …». S’il y avait une personne en France qui connaissait le danger de laisser pénétrer en France le SARS-Cov2 c’était bien lui. La séquence du premier isolat WH-Human 1 du coronavirus (appelée aussi 2019-nCoV) et son génome complet (29,903 nt) avait été déposé le 14 janvier 2020 dans GenBank, sous code d’accession MN908947 avec la définition « Génome complet de l’isolat du virus WH-Human 1 de pneumonie du marché aux fruits de mer de Wuhan ». Donc, la séquence du virus avait forcément été analysée par les équipes de l’Institut Pasteur. Elles savaient à quel point le motif de liaison (RBM) de la protéine S était proche de celui du SARS-Cov de 2002-2003 ainsi que sa polymérase RdRp (96,5% d’identité) signant la dangerosité du virus. De plus, les autorités chinoises annonçaient le caractère contagieux du virus le 20 janvier, avec 1 mois de retard, alors que les autorités de Wuhan connaissaient le caractère contagieux depuis la mi-décembre (chapitre 1). Le 24 janvier il était publié dans le Lancet que le virus était transmissible de personne à personne. Le directeur de la CIBU savait donc le 21 janvier, lors de son interview sur Euronews, que ce nouveau virus était de type SARS-Cov avec tout ce que cela implique. Qu’a-t-il fait pour informer et alerter les pouvoirs publiques avec conviction durant la dernière semaine de janvier et tout le mois de février ?
Dans la section qui suit nous découvrons, qu’en compagnie de 15 autres chercheurs à l’Institut Pasteur, il est co-inventeur d’un brevet sur les vakx1s contre les virus du type SARS-Cov. Ce brevet prouve que Pasteur s’était préparé depuis 2003 à l’éventualité de la ré-émergence d’un virus similaire au SARS-Cov. Ils ont procédé à des milliers d’expériences pour comprendre comment faire des tests de dépistage et des vakx1s contre ce type de virus émergeant. Ils ont breveté le résultat de toutes ces expériences pour être en mesure, le cas échéant, de tirer les bénéfices financiers potentiels d’une épidémie de SARS-Cov qui ne serait pas maîtrisée à temps, nécessitant dépistage et vaccination massive. Cela, les dispensait-il de leur rôle d’alerte des pouvoirs publiques ?
Les brevets de portée mondiale de l’Institut Pasteur
L’Institut Pasteur détient depuis 2005 des brevets de portée mondiale (EP 1 694 829 B1 et US 2007/0128224 A1) sur les coronavirus à SARS. Ces brevets qui courent au moins jusqu’en 2027 ont pour but d’explorer et de décrire le maximum de caractéristiques de façon à établir des vakx1s ou des tests de dépistage sur des coronavirus de type SARS-Cov. Ces brevets se basent sur le séquençage d’un isolat complet du virus du SARS-Cov récupéré à la Clinique Française de Hanoï en février 2003. Cela était parfaitement légitime pour étudier la confection de vaccin contre l’éventualité d’une épidémie de coronavirus à SARS du type de celle de 2002-2003 dans les années à venir. Cependant, soyons clairs, le seul but d’un brevet est l’argent qui est le facteur numéro 1 de survie pour les instituts de recherche. Mais cela amène une grande confusion, et permet d’introduire le biais du conflit d’intérêt dans un domaine particulier de la santé publique (les épidémies) qui devrait en être intégralement exempt
Editorial publié dans sa propre revue par Kamran Abbasi, rédacteur en chef de la revue scientifique BMJ (British Medical Journal)
Quand la bonne science est supprimée par le complexe médico-politique, les gens meurent.
Les politiciens et les gouvernements suppriment la science. Ils le font dans l’intérêt public, disent-ils, pour accélérer la disponibilité des diagnostics et des traitements. Ils le font pour soutenir l’innovation, pour mettre des produits sur le marché à une vitesse sans précédent. Ces deux raisons sont en partie plausibles; les plus grandes déceptions sont fondées sur un grain de vérité. Mais le comportement sous-jacent est troublant.
La science est supprimée à des fins politiques et financières. Covid-19 a déclenché la corruption de l’État à grande échelle et est néfaste pour la santé publique. Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement de fonds opportuniste. Il en va de même pour les scientifiques et les experts en santé. La pandémie a révélé comment le complexe médico-politique peut être manipulé en cas d’urgence – un moment où il est encore plus important de sauvegarder la science.
La réponse pandémique du Royaume-Uni fournit au moins quatre exemples de suppression de la science ou des scientifiques. Premièrement, la composition, la recherche et les délibérations du Groupe consultatif scientifique pour les urgences (SAGE) étaient initialement secrètes jusqu’à ce qu’une fuite de presse force la transparence. La fuite a révélé l’ interférence des conseillers gouvernementaux dans SAGE, tout en exposant la sous-représentation de la santé publique, les soins cliniques, les femmes et les minorités ethniques. En effet, le gouvernement a également reçu récemment l’ordre de publier un rapport de 2016 sur les lacunes de la préparation à une pandémie, l’opération Cygnus, à la suite d’un verdict du bureau du commissaire à l’information.
Ensuite, un rapport de Public Health England sur la covid-19 et les inégalités. La publication du rapport a été retardée par le ministère de la Santé d’Angleterre; une section sur les minorités ethniques a été initialement suspendue puis, à la suite d’un tollé général, a été publiée dans le cadre d’un rapport de suivi. Les auteurs de Public Health England ont reçu pour instruction de ne pas parler aux médias.
Troisièmement, le 15 octobre, le rédacteur en chef du Lancet s’est plaint qu’un auteur d’un article de recherche, un scientifique du gouvernement britannique, a été empêché par le gouvernement de parler aux médias en raison d’un «paysage politique difficile».
Maintenant, un nouvel exemple concerne la controverse sur les tests d’anticorps au point de service pour la covid-19. L’opération Moonshot du Premier ministre dépend de la disponibilité immédiate et généralisée de tests de diagnostic rapide précis. Il dépend aussi de la logique douteuse de dépistage en masse à l’essai à Liverpool avec un suboptimal test PCR.
L’incident est lié à une recherche publiée cette semaine par le BMJ , qui révèle que le gouvernement a acheté un test d’anticorps qui, dans les tests du monde réel, est bien en deçà des déclarations de performance faites par ses fabricants. Des chercheurs de Public Health England et des institutions collaboratrices ont raisonnablement poussé à publier les résultats de leur étude avant que le gouvernement ne s’engage à acheter un million de ces tests, mais ont été bloqués par le ministère de la Santé et le bureau du Premier ministre. Pourquoi était-il important de se procurer ce produit sans examen minutieux? La publication préalable de recherches sur un serveur de pré-impression ou sur un site Web gouvernemental est compatible avec le politique de publication de BMJ. Comme pour prouver un point, Public Health England a ensuite tenté en vain de bloquer le communiqué de presse du BMJ concernant le document de recherche.
Les politiciens prétendent souvent suivre la science, mais c’est une simplification excessive trompeuse. La science est rarement absolue. Cela s’applique rarement à tous les milieux ou à toutes les populations. Cela n’a pas de sens de suivre servilement la science ou les preuves. Une meilleure approche consiste pour les politiciens, les décideurs nommés publiquement, à être informés et guidés par la science lorsqu’ils décident des politiques pour leur public. Mais même cette approche ne retient la confiance du public et des professionnels que si la science est disponible pour examen et sans ingérence politique, et si le système est transparent et n’est pas compromis par des conflits d’intérêts.
La répression de la science et des scientifiques n’est ni nouvelle ni un phénomène particulièrement britannique. Aux États-Unis, le gouvernement du président Trump a manipulé la Food and Drug Administration pour approuver à la hâte des médicaments non prouvés tels que l’hydroxychloroquine et le remdesivir. Globalement, les gens, les politiques et les marchés sont corrompus par les agendas politiques et commerciaux.
La réponse du Royaume-Uni à la pandémie repose trop fortement sur des scientifiques et d’autres personnes nommées par le gouvernement aux intérêts concurrents inquiétants, y compris des participations dans des entreprises qui fabriquent des tests de diagnostic, des traitements et des vaccins covid-19. nommées par le gouvernement sont en mesure d’ignorer ou de faire des choix scientifiques spécieux une autre forme d’abus et se livrer à des pratiques anticoncurrentielles qui favorisent leurs propres produits et ceux des amis et associés.
Comment la science pourrait-elle être sauvegardée en ces temps exceptionnels? La première étape est la divulgation complète des intérêts concurrents du gouvernement, des politiciens, des conseillers scientifiques et des personnes nommées, tels que les responsables des tests et du traçage, de l’approvisionnement en tests diagnostiques et de la livraison des vaccins. La prochaine étape est la transparence totale des systèmes de prise de décision, des processus et de savoir qui est responsable de quoi.
Une fois que la transparence et la responsabilité sont établies en tant que normes, les personnes employées par le gouvernement ne devraient idéalement travailler que dans des domaines sans rapport avec leurs intérêts concurrents. L’expertise est possible sans intérêts concurrents. Si une règle aussi stricte devient irréalisable, la bonne pratique minimale est que les personnes ayant des intérêts concurrents ne doivent pas être associées aux décisions relatives aux produits et aux politiques dans lesquelles elles ont un intérêt financier.
Les gouvernements et l’industrie doivent également cesser d’annoncer une politique scientifique critique par communiqué de presse. De telles mesures mal jugées laissent la science, les médias et les marchés boursiers vulnérables à la manipulation. Une publication claire, ouverte et préalable des bases scientifiques de la politique, des achats et des médicaments miracles est une exigence fondamentale.
Les enjeux sont élevés pour les politiciens, les conseillers scientifiques et les personnes nommées par le gouvernement. Leur carrière et leurs soldes bancaires peuvent dépendre des décisions qu’ils prennent. Mais ils ont une responsabilité et un devoir plus élevés envers le public. La science est un bien public. Il n’est pas nécessaire de le suivre aveuglément, mais il faut en tenir compte de manière équitable. Il est important de noter que la suppression de la science, que ce soit en retardant la publication, en sélectionnant des recherches favorables ou en bâillonnant les scientifiques, est un danger pour la santé publique, causant des décès en exposant les gens à des interventions dangereuses ou inefficaces et en les empêchant de bénéficier de meilleures. Lorsqu’il est mêlé à des décisions commerciales, il s’agit également d’une mauvaise administration de l’argent des contribuables.
La politisation de la science a été déployée avec enthousiasme par certains des pires autocrates et dictateurs de l’histoire, et elle est malheureusement courante dans les démocraties. Le complexe médico-politique tend vers la suppression de la science pour agrandir et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Et, à mesure que les puissants gagnent en succès, s’enrichissent et s’enivrent davantage de pouvoir, les vérités peu pratiques de la science sont supprimées. Lorsque la bonne science est supprimée, les gens meurent.
Le film Hold Up cite un rapport d’une commission d’enquête du Sénat en 2010 sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion par le gouvernement de la grippe H1N1. Geffrey a analysé ce rapport et voici la vidéo des constats qu’il en a tiré.
Nouveau message (24/10/2020) très fort de Robert F. Kennedy s’engageant dans le combat pour la liberté, la démocratie et la vérité dans ces moments historiques.