C0VlD-19 les chiffres: «Contrairement aux promesses maintes fois répétées par les exécutifs et les promoteurs du vakx1, celui-ci n’a rendu à personne sa vie d’avant »

Breizh-info 15/02/2022

La forte hausse du nombre des décès COVlD déclarés depuis le 1er janvier 2022 au niveau planétaire montre que le variant delta n’a pas dit son dernier mot.

En Israël, l’expérimentation vakxinale tourne au fiasco si l’on s’en tient à l’évolution des 5 dernières semaines.
Multiplication des cas par 122 et des décès par 66. Tous les records sont battus. Au vu de ce qui se passe en Israël, et pour la première fois, je commence à m’inquiéter pour mes proches qui se sont soumis, sous la contrainte, aux injections vakxinales.

Avant propos : « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » (lorsqu’ils ne sont pas mensongers, bien sûr) Propagande gouvernementale reprise inlassablement en Octobre et Novembre par la « meute » des médias mainstream français…

Il est donc temps de commencer à faire parler les chiffres déclarés par les États eux-mêmes.

Observations :

1 – Avec le variant Omicron très contagieux mais très peu létal, surtout et y compris dans les pays très peu vakxinés d’Afrique ou d’Asie, le nombre de nouveaux cas déclarés (pour la plupart Omicron) a augmenté sensiblement sur la planète en janvier passant de 25 à 100 millions de tests positifs pour 5 semaines. Le nombre de décès ( lié au variant delta et à l’hiver) a augmenté dans le même temps passant de 200 000 à près de 300 000 pour la même période. En clair, l’apparition du variant Omicron pourrait bien être une véritable bénédiction pour la planète, puisque celui ci constitue un véritable vakx1 naturel en raison de sa faible létalité. En revanche, le variant delta n’a pas dit son dernier mot et la fin de l’épidémie n’est pas encore en vue, surtout si elle repart dans l’hémisphère sud, ce qui semble être le cas.

2 – Malgré une vakxination de masse menée «tambours battants» depuis début décembre 2020, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020 (contamination et nombre de décès) sur l’ensemble de la planète. La vakxination n’a donc pas fait reculer l’épidémie partout où elle a été appliquée en 2021 et les chiffres ne sont guère encourageants pour les 5 premières semaines de Janvier. Les pays en développement les moins vakxinés d’Afrique et d’Asie s’en sont, d’ailleurs, beaucoup mieux sortis que les pays développés les plus vakxinés: c’est un fait.

3 – Alors même que l’efficacité du virus et de ses variants s’atténue avec le temps et que de nouveaux traitements précoces efficaces ont été découverts, la létalité de cette épidémie aurait dû reculer nettement avec l’apport de 10,2 milliards d’injections vakxinales pour une population de 7,9 milliardsd’habitants ; injections vakxinales «vendues» par Big Pharma pour une efficacité de 90 à 95% sur les formes graves. Ca n’a manifestement pas été le cas au cours de l’année 2021 et des cinq premières semaines de 2022.

4 – Contrairement aux promesses maintes fois répétées par les exécutifs et leurs relais médiatiques promoteurs du vakx1s, celui ci n’a rendu à personne «sa vie d’avant». Jamais les contraintes n’ont été aussi fortes pour un résultat aussi nul.

5 – Et pourtant, comme toutes les autres épidémies avant elle, nouveaux variants ou pas, l’épidémie COVlD-19 devrait régresser naturellement sous l’effet de plusieurs facteurs :

– La prolifération des variants rend chacun d’entre eux moins létal au fil du temps. C’est le cas du Omicron.

– Le réservoir de personnes fragiles et atteintes de comorbidité, donc susceptibles de faire des formes graves de la COVlD s’est progressivement « vidé » par décès des plus fragiles. On ne meurt pas deux fois …..

– Dans de nombreux pays, l’apparition et l’application de nouveaux traitements précoces pour les personnes atteintes de la COVlD y réduisent considérablement la mortalité liée à ce virus.

– L’immunisation naturelle d’une partie croissante de la population mondiale qui, testée ou non, a contracté la maladie et en a guéri, devrait également contribuer à la baisse de la létalité. A cet égard, le variant Omicron, très contagieux mais très peu létal, joue le rôle d’un véritable vakx1 naturel pour ceux qui contractent la maladie, sans être porteurs de multiples facteurs de co-morbidité.

Aujourd’hui les politiques et les médias de certains pays occidentaux, dont la France, s’agitent toujours, jusqu’à l’hystérie, autour du variant Omicron signalé par l’Afrique du Sud le 24 novembre dernier, mais déjà été identifié en Irlande et au Pays Bas dès le 20 novembre 2021.

A ce jour, ce nouveau virus n’a pas encore tué grand monde, que ce soit en Afrique ou en Europe. Si le monde occidental doit paniquer et s’arrêter de vivre à chaque apparition de nouveau virus sur notre planète, sans même savoir s’il est vraiment dangereux ou s’il tue beaucoup, alors le retour à la vie d’avant n’est pas envisageable avant très, très longtemps. Si la population de ce monde occidental doit faire confiance à des politiques, des scientifiques et à leurs relais médiatiques, largement corrompus par des lobbies transnationaux et mondialistes qui imposent leur stratégie et leur agenda, alors nous entrons dans une ère nouvelle de contrôle total des populations et de l’opinion, par des minorités riches, puissantes, surfant sur la peur et jouant sur les chaos et les divisions qu’elles créent de toute pièce, et utilisant la corruption, le mensonge et la manipulation pour régner.*

Vidéos et documents « alternatifs » et intéressants sur la vakxination et la gestion de la crise sanitaire

1 – Sur la « Pandémie » :

Article du professeur Christian Perronne qu’on ne présente plus.

Docteur Laurent Toubiana : une autre vision de l’épidémie

2 – Sur les effets secondaires des vakx1s :

Une audition intéressante aux USA sur les effets secondaires des vakx1s dans l’Armée. Elle a l’avantage d’être sous titrée sur ce site. Mais je l’ai retrouvée sur plusieurs sites mainstream américains, hélas non sous titrée en français.

3 – Sur le vax1s, la vakxination et le pass vakxinal

Sur le vakx1 :

Sur le Pass vakxinal :

Le docteur Gérar Kierzek, médecin de plateau TV mainstream s’exprime sur le pass vakxinal

Après les camionneurs canadiens, un convoi de la liberté français et européen présenté par son initiateur.

4 – Sur la gestion de la crise sanitaire

Point de situation provisoire des décisions récentes prises par des états face à la crise sanitaire

Bulletin mensuel de situation COVlD planétaire du 5 février 2022 GMT

Quels sont, jusqu’à présent, les résultats planétaires de l’expérimentation vakxinale de masse ?

Source : Our World in Data:

61,4% de la population mondiale aurait reçu au moins une dose d’un vakx1s COVlD-19 et 53% seulement seraient complètement vakxiné, représentant près de 4,2 milliards d’h.

10,2 milliards de doses auraient été administrées dans le monde et 17,75 millions seraient encore injectées chaque jour, en utilisant trop souvent des mesures coercitives, dans des pays occidentaux notamment, qui voudraient se poser en modèle pour le reste du monde en multipliant les doses, alors qu’ils on failli, depuis le début, dans la gestion de l’épidémie, en multipliant les  erreurs d’appréciation.

10 % seulement des habitants des pays à faible revenu auraient reçu au moins une dose. Ils ont, il est vrai, et parce qu’ils sont plus jeunes, une mortalité COVlD encore très inférieure aux pays les plus vakxinés ….

Extrait d’un point de situation vakxinal planétaire au 4 février 2022

A l’échelle planétaire, aucune amélioration significative de la situation n’est encore vraiment perceptible, bien au contraire, puisqu’il y aura eu deux fois plus de décès COVlD en 2021 qu’en 2020 alors même qu’il y a consensus scientifique pour admettre que le variant delta a été  moins létal que ses prédécesseurs. Sur les 5 premières semaines de 2022, le nombre de décès de la COVlD (variant delta) n’a cessé de croître pour atteindre le niveau du pic d’août 2021. Un vakx1 est, par définition, un outil visant à éradiquer une épidémie ou à la faire reculer. C’est très loin d’être le cas après 14 mois de campagne de vakxination de masse. Qu’on le veuille ou non, il va falloir vivre avec ….

Toutefois le dernier variant Omicron, très contagieux mais très peu létal pourrait bien être, en 2022, le vakx1 naturel attendu.

On me rétorquera que la situation serait bien pire si l’on avait adopté d’autres stratégies de lutte contre la « pandémie ». C’est une affirmation commode et gratuite qui est, malheureusement, démentie par les faits  (« On peut débattre de tout sauf des chiffres » nous répètent inlassablement les médias, relayant le discours du gouvernement français.) Eh bien parlons chiffres !

1 – L’augmentation de la mortalité COVlD a été générale sur la planète. Il n’y a aucune corrélation entre le taux de vakxination et le taux de mortalité des différents continents. 5 à 6 fois moins vakxinée que l’Amérique latine, ou que l’Europe, l’Afrique déclare un taux de mortalité de 13 à 15 fois moindre.

2 – En Suède, aucune des prédictions apocalyptiques des experts autoproclamés ne s’est réalisée.  96 000 décès en  un seul  mois prévus par les « experts » en mars 2020 ?  Dans la vraie vie: 16 143 décès en deux ans, bilan réalisé sans aucune des mesures folles que la France a connues. La Suède, plus contaminée, plus âgée et moins vakxinée, que la France est quasiment sortie de l’épidémie depuis six mois, dans la sérénité, alors même que la France continue d’y patauger. Son taux de mortalité est de 30 % inférieur à celui de la France et de la moyenne européenne.

3 – En Islande, en Israël, au Royaume Uni, aux États-Unis, à Singapour, (…. etc) pays supposés être parmi les plus immunisés ou protégés au monde  par le vakx1 ou par la guérison de la maladie (entre 75 % et 95%), la contamination et/ou la mortalité prennent de l’ampleur parmi les doubles vakxinés (voire, en Israël, parmi les vakxinés à trois ou quatre doses).

Ainsi,  à Singapour (6 millions d’habitants vakxinés à 88%), la mortalité a augmenté très fortement sur les trois dernier mois montrant les limites de l’efficacité vakxinale

Situation de la mortalité COVlD à Singapour aujourd’hui vakxinée à 90%: « On peut débattre de tout sauf des chiffres » « tous vakxinés, tous protégés »  qu’ils disaient sur toutes les télés françaises

En Israël, la contamination et les décès explosent. Entre le 14 décembre 2021 et le 26 janvier 2022, le nombre de nouveaux cas est passé de 595 à 72 014/jour (Moyenne sur 7 jours) soit une multiplication par 121 en 6 semaines

Entre le 30 décembre 2021 et le 5 février 2022, le nombre de décès en Israël est passé de 1 à 66 décès/jour (Moyenne sur 7 j). Le record absolu du nombre de décès est battu dans un pays vakxiné à 72 % (mais beaucoup plus pour les personnes fragiles) et dans lequel 33,36% des habitants ont déjà été testés positifs et devraient donc avoir une immunité naturelle. 18 millions de doses ont été déjà été injectées à une population de 9,3 millions d’habitants

Avec le nombre de cas critique actuel (1 134), Israël a encore beaucoup de soucis à se faire pour les jours à venir. Une forte majorité des hospitalisations concernent aujourd’hui des personnes âgées double ou triple vakxinées ……

Au Royaume Uni, entre le 28 décembre 2021 et le 4 février 2022, en 5 semaines, le nombre de décès (moyenne sur 7 jours) a été multiplié par 2,5 , passant de 86 à 256 décès/jour malgré la multiplication des injections vakxinales ….???? La proportion de vakxinés et de non vakxinés dans les hospitalisations est la même que dans la population générale. Constatant que la stratégie du tout vakxinal et des mesures contraignantes et liberticides ne porte pas le moindre fruit, le gouvernement britannique y a renoncé en abandonnant toutes les mesures qu’il avait prise et en adoptant  la stratégie du «vivre avec».

4 – Curieusement, et c’est une autre exception française, il n’y avait, selon les déclarations officielles, que des non vakxinés dans les réanimations et dans les décès enregistrés en France (80 % selon la propagande officielle…..). Ces proportions ont été revues fortement à la baisse. Curieusement aussi, aucun des nombreux effets secondaires recensés dans d’autres pays  ne semble apparaître en France et leur nombre, largement sous évalué, n’est plus vraiment porté à la connaissance  du public par les médias depuis juillet dernier 2021

Les chiffres de mortalité COVlD et l’omerta sur les effets secondaires étant ce qu’ils sont, il devient légitime de s’interroger sur l’absence d’efficacité et de miracle vakxinal. « Le vakx1 ne tue-t-il pas, in fine, plus qu’il ne protège ? »

En clair, le spot TV français « On peut débattre de tout sauf des chiffres » relève de la manipulation grossière dans la mesure où le chiffre annoncé (80 % de non vakxinés dans les réanimations) était faux. Et ce chiffre était faux parce qu’il était très loin d’être  cohérent avec ceux qui nous venaient du monde entier  en provenance de pays qui connaissaient la même situation que nous.

En clair aussi, le slogan répété inlassablement par les politiques et leurs relais médiatiques : «Tous vakxinés, tous protégés» apparaît chaque jour un peu plus mensonger et contre productif.

Mensonger parce que ça n’est manifestement pas vrai à l’échelle mondiale, si l’on en croit  l’évolution actuelle de l’épidémie dans les pays les plus vakxinés. Les vakx1s actuels, élaborés à la hâte, et toujours en expérimentation, ont été conçus pour contrer le virus souche de Wuhan. Ils ne semblent pas adaptés ni très efficaces pour contrer les nouveaux variants et peut être ceux qui pourraient encore apparaître.

Contre-productif parce que les plus crédules des vakxinés se croient « immunisés » par un QR code de pass sanitaire ou vakxinal et ne respectent plus les gestes barrières et les précautions élémentaires nécessaires en cas d’épidémie. Ces gens là deviennent, avec les encouragements et la bénédiction des autorités politiques et de santé, de véritables dangers publics pour la santé de la population, vakxinée ou non.

Avec l’apparition du variant Omicron très contagieux mais peu létal, qui se comporte pour l’énorme majorité des contaminés comme un « vakx1 naturel » avec peu d’effets secondaires graves, la possibilité existe d’une « fuite en avant vakxinale » avec des « rappels » tous les trois mois, avec des vakx1s qui auront toujours une ou deux guerres de retard sur des variants, beaucoup plus malins que nos gouvernants, nos journalistes et nos autorités de santé.

La vakxination va-t-elle devenir obligatoire tous les trimestres ? tous les mois ? Au plus grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques, …. , des hommes politiques et des médias qui bénéficient de leurs largesses ? Ou finira-t-on par se rabattre sur le «vivre avec» comme les britanniques, les espagnols les danois ou les tchèques et beaucoup d’autres, en utilisant des traitements précoces qui ont fait leurs preuves et rendra-t-on aux praticiens l’entière liberté de prescrire ? L’avenir nous le dira.

Il est recommandé aux vakxinolâtres les plus inquiets de remplacer le QR code du Pass sanitaire bientôt, à moins que cette épidémie, comme toutes les grandes épidémies du passé, ne finisse par s’éteindre naturellement. N’ayez aucune illusion, Big Pharma, politiques et médias vous expliqueront que c’est grâce aux vakx1s COVlD et vous serez sommés de le croire.

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Rapport de situation planétaire COVlD du 5 février 2022 0h00 GMT

Observations factuelles : En ce début d’année 2022, à l’échelle planétaire, la contamination COVlD (variant O-micron) a explosé et la mortalité mensuelle COVlD (variant delta) a fortement augmenté. Janvier 2022 aura donc été l’un des pires de l’épidémie en terme de mortalité déclarée: 290 000 décès en 5 semaines après 10,2 milliards de doses de vakx1s injectées. Ce nombre reste très supérieur à la moyenne mensuelle des décès de 2020 sans vakxination, qui n’était que de 150 000 décès/mois et proche de la moyenne mensuelle de 2021 avec vakx1 qui a été de 300 000 décès/mois. On réalise toute «l’efficacité» (???) des campagnes vakxinales qui auraient dû faire reculer le virus et combattre les formes graves de la maladie ….. On peut débattre de tout, sauf des chiffres .….

Les pays les plus pauvres, dont 10 % seulement de la population seraient vakxinés, sont ceux qui affichent les taux de mortalités COVlD les plus faibles ( inférieurs à 1, mais le plus souvent à 0,5 pour mille). «On peut débattre de tout sauf des chiffres»…..

Les pays les plus riches, les plus « avancés », les plus vakxinés (de 75% à 98%), les plus assistés médicalement, mais aussi les plus âgés, les plus fragiles, les plus touchés par le surpoids et l’obésité, sont ceux qui continuent d’afficher les taux de mortalité les plus élevés au monde. (supérieurs à 1,5 et jusqu’à 4 pour mille). « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » ….

Après 2 ans d’épidémie, le taux de mortalité COVlD planétaire reste dérisoire (0,74 pour mille habitants), comparé à d’autres maladies plus ou moins difficilement curables (cancer, sida et surtout «famines»……) . La population terrestre continue donc d’augmenter, malgré la COVlD au rythme élevé de 70 à 73 millions d’habitants par an. « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » ….

En plus de 2 ans d’épidémie, 5,74 millions d’individus, très âgés, fragiles et souvent déjà malades sont décédés « avec la COVlD » alors que près de 125 millions d’individus sont décédés dans le monde, de bien d’autres causes….

On notera avec intérêt le comportement paradoxal de l’être humain qui accepte, en 2021, de réaliser 42,7 millions d’avortements sur la planète, et qui, « en même temps » et « quoiqu’il en coûte » à l’économie et à la vie sociale prend mesures sur mesures draconiennes pour tenter, trop souvent en vain, de prolonger de quelques mois l’espérance de vie de quelques millions de vieillards (dont je fais partie), vieillards qui ont, pour la plupart, dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et dont certains ont usé et abusé des bonnes choses de la vie. Ainsi, 1,7 milliards de terriens seraient en surpoids et 800 millions seraient classés obèses en 2021…(Source : Worldometer)

Il faut donc RE…LA…TI…VI…SER, apprendre à « vivre avec », ce que font désormais un grand nombre de pays dont le Royaume Uni, l’Espagne, le Danemark, la Suède, la Biélorussie, la Russie, la république Tchèque et même Israël ; et «traiter précocement» pour limiter la mortalité, comme on l’a déjà fait dans le passé pour nombre de maladies. Il faut aussi, en Europe, cesser de supprimer des lits d’hospitalisation, en pleine épidémie, au nom de la «rentabilité», alors que notre population vieillit et donc se fragilise, et faire semblant de s’étonner (pour nos politiques et leurs «conseils scientifiques» sponsorisés par «Big Pharma»), que nos structures hospitalières soient saturées, ce qu’elles sont, chaque hiver, depuis bien longtemps.

En Europe, la gestion suédoise de l’épidémie qui a donné, depuis le début, des résultats bien meilleurs que les nôtres, devrait désormais être prise en exemple, en palliant ses faiblesses dans la prise en charge et le traitement des personnes âgées en établissements hospitaliers.

Le dernier pic épidémique planétaire du «variant delta» ayant été franchi dans les derniers jours d’août avec 10 329 décès/jour (moyenne sur 7 jours), la situation s’est améliorée progressivement jusqu’à la fin de l’année 2021 (5 958 décès/J, moyenne sur 7 jours, en dépit de l’arrivée du variant Omicron. Avec l’entrée en hiver de l’hémisphère Nord, elle s’est logiquement détériorée en Janvier 2022, comme chaque année à la même époque pour retrouver le niveau du Pic d’Août 2021 à plus de 10 300 décès/jour (moyenne sur 7 j)

Cette évolution reste très contrastée d’un pays à l’autre. La situation reste bonne en Afrique (très peu vakxinée). Elle est quasi-stable en Europe, mais se détériore partout ailleurs. L’épicentre de l’épidémie rebascule à nouveau progressivement vers le sous continent nord américain malgré un taux de vakxination déjà élevé de 75 %, une multiplication des « boosters » qui s’avère inefficace, et une immunité naturelle en hausse rapide (23 % de la population US ont déjà été testés positifs et ont guéri de la COVlD). Le surpoids et l’état cardio-vasculaire des individus, liés à la malbouffe générale sur le continent, et la surmortalité hivernale traditionnelle y sont probablement pour quelque chose …..

En Europe, l’Est se remet très vite du pic qu’elle a connu en décembre. L’Ouest où la contamination galope grâce au variant Omicron, semble atteindre, peu à peu, une immunité naturelle plus solide et durable que la très hypothétique « immunité vakxinale » qui est très loin d’avoir fait ses preuves.

Présentation des courbes de contamination et de décès planétaires,

A noter que l’arrivée de la vakxination n’a pas changé grand-chose, à ce jour. Aujourd’hui, 10,2 milliards de doses de vakx1 auraient été injectées, plus de 61 % des habitants de la planète «auraient» reçu au moins une dose de vakx1. 525 millions de doses de vakx1 sont désormais injectées chaque mois pour un résultat toujours aussi peu probant sur l’évolution de la contamination et de la mortalité.

Les taux de guérison sont très rassurants, sur 391 millions de personnes déclarées positives à la COVlD depuis le début de l’épidémie, plus de 310 millions ont été déclarés guéris, soit près de 80%. 75 millions seraient encore en cours de soin, dont 91 500 (en baisse) en situation critique, 5,74 millions seraient décédés « avec la COVlD » en 2 ans et, pour l’énorme majorité de ces derniers, des personnes déjà très âgées, atteintes de comorbidités et ayant dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine.

Ces taux de guérison varient d’un continent à l’autre en fonction de l’âge des population concernées et surtout de la gestion plus ou moins efficace de l’épidémie. Mais il est aujourd’hui presque partout proche de 80% à l’exception des pays les plus affectés du moment.

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Point de situation du Samedi 5 février 2022 0h00 GMT

Depuis le début de l’épidémie :

223 pays ou territoires ont été affectés par le virus, pour 391 millions de tests positifs, 5,74 millions de décès, 310 millions de guérisons75,4 millions de cas «actifs» dont 90 667 en état critique (stable).

29 pays ont déclaré plus de 30 000 décès depuis le début de l’épidémie et comptent 89% des décès avec, dans l’ordre des pertes: (USA, Brésil, Inde, Russie, Mexique, Pérou, Royaume UniItalie, IndonésieColombie, IranFranceArgentine, Allemagne, PologneUkraineAfrique du Sud, Espagne, Turquie, Roumanie, Philippines, Hongrie, Chili, Vietnam, République Tchèque, Équateur, Canada, Bulgarie, Malaisie.

A l’échelle de la planète, la mortalité liée à la pandémie est en hausse depuis début janvier 2022 et atteint désormais les 10 307 décès/jour (moyenne sur 7 j), c’est à dire au dessus du niveau du dernier pic planétaire du 25 août dernier.

A la lecture du tableau qui suit, on réalise à quel point, malgré l’apparition du variant O-Micron, la mortalité reste faible mais en très légère hausse en Afrique ; stable en Europe ; plus forte et en hausse sensible en Asie (Inde) et en Amérique latine (Brésil, Mexique), plus élevée encore mais quasi stable en Amérique septentrionale et en Océanie. L’Europe ne devrait plus rester longtemps l’épicentre de l’épidémie. L’Amérique du Nord pourrait bientôt prendre la relève. Le rôle de l’hiver, de la fragilité des populations en surpoids et surtout l’échec de l’expérimentation vakxinale aux USA peuvent expliquer cette évolution. La stratégie « atlantiste » (UE-OTAN) et mondialiste de gestion de la crise sanitaire est prise en défaut. Elle (l’OTAN) cumule désormais plus de 36% des pertes mondiales pour 12% de la population. C’est un échec cinglant de la stratégie du tout vakxinal …

Ci après, un tableau rappelant l’évolution de l’épidémie sur les 6 derniers mois (en vert l’amélioration hebdomadaire, en rouge la détérioration)

Bilan au 5 février 2022 0h00 GMT du nombre de cas et de décès par grande région du monde classées par taux de mortalité

Les bilans les plus lourds de la journée d’hier ont été, dans l’ordre, ceux des USA, du Brésil et de l’Inde. Ces trois pays ont déclaré, à eux seuls, près de 42 % des nouveaux décès de la planète.

L’Océanie, l’Afrique et l’Asie enregistrent une part des pertes mondiales de 27% alors qu’elles regroupent 77,5% de la population. L’Europe et le continent américain (Nord et Sud) enregistrent 73% des pertes pour 22,5% de la population mondiale. La part de l’hémisphère Nord continue d’augmenter avec l’effet hivernal, malgré le taux de vakxination le plus élevé au monde, et celle de l’Afrique pourtant sept fois moins vakxinée, continue de se réduire.

Pour relativiser, encore et toujours, cette crise sanitaire, voici la comparaison avec les épidémies du siècle dernier: On est encore très très loin de la grippe espagnole ….

Au delà des nombres évoqués ci dessus, il faut aussi souligner qu’une très forte majorité (88%) des décédés de cette épidémie avait déjà dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et souffraient de multiples comorbidités …. ce qui n’était pas le cas lors des grandes épidémies précédentes où les jeunes mourraient par millions.

A noter aussi que les statistiques dites « officielles » des gouvernements sont toutes sujettes à caution, chacun pouvant les manipuler à sa guise pour des objectifs politiques (entre autres).

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Situation par continents, sous continents, et pays les plus affectés 

1 – LEurope

Épicentre de l’épidémie depuis la mi-octobre 2021, l’Europe a vu sa situation s’améliorer très sensiblement, puis se stabiliser. En dépit de l’hystérie politique et médiatique autour de la hausse du «taux d’incidence» du virus peu létal O-micron, le nombre de décès déclarés COVlD, seul indicateur pertinent, pour peu que les nombres déclarés soient justes, est stable presque partout alors que l’Europe est au coeur de l’hiver. Les politiques, les autorités de santé et les médias agissent pourtant comme s’ils voulaient continuer à générer la peur pour pousser les récalcitrants vers la seringue. Dans les faits, ce sont la Russie, l’Italie, la France et le Royaume Uni qui totalisent, à eux seuls, 51% des décès européens de la semaine écoulée.

1-1 – La Russie et l’Italie sont les seuls pays européens à avoir enregistré plus de 2 000 décès en 7 jours.

La Russie déclare encore, à elle seule, 21% des décès européens, mais le nombre des décès y poursuit sa baisse sensible (voir courbe ci dessous).

1-2 – Situation du Royaume Uni:

La situation s’est détériorée sensiblement en Janvier 2022 avec un doublement du nombre des décès quotidiens: 256 décès/J (moyenne sur 7 jours) dont une forte majorité de double ou triple vakxinésAvec l’arrivée du Omicron, jugé peu létal, le Royaume Uni a abandonné toutes les mesures coercitives et décidé de reprendre sa vie d’avant et de «vivre avec». Tenant compte des faits observés, le Royaume Uni n’a jamais tenté d’ostraciser les non vakxinés en tentant de les rendre responsables de l’échec planétaire de l’expérimentation vakxinale.

Le bilan total des pertes COVlD du Royaume Uni (158 000 décès «déclarés») suit désormais celui de la Russie (334 000) mais pour une population deux fois moins nombreuse. La vakxination de masse a débuté au début de décembre 2020 et 77% de la population auraient reçu une première injection; 71% auraient reçu la 2ème, la 3ème ou la 4ème … et 25,7%, ayant été déclarés positif, seraient immunisés naturellement. Le bilan continue d’être étrangement lourd pour une population présumée très protégée des formes graves par un vakx1 déclaré par Big pharma efficace à plus de 95% (????), d’autant que la proportion des personnes fragiles (ou à risque) vakxinées est bien supérieure aux données présentées ci dessus …..

1-3 – Après la forte hausse des tests positifs COVlD déclarée début janvier, la situation de l’Italie s’améliore (- 27% de tests positifs en 1 sem).

Le nombre des décès (du variant delta) est encore élevé, mais quasi stable. (+8% seulement en 1 sem). Il devrait baisser en février malgré l’effet «conditions hivernales». L’Italie restera probablement à la troisième place pour le nombre des décès en Europe. Notons que l’explosion du «taux d’incidence» n’est plus un indice pertinent, avec un virus tel que le O micron qui, grâce à sa faible virulence, se comporte comme un vakx1, bien meilleur que ceux proposés par Big Pharma.

1-4 – La situation de la France est comparable à celle de l’Italie.

Le nombre de testés positifs (indice peu pertinent) a fortement et très vite augmenté début janvier 2022. Mais il baisse désormais tout aussi vite (-23% en 1 sem). Celui des décès (du variant delta) plafonne sous la barre des 2000 décès/semaine malgré la période hivernale propice aux pathologies respiratoires. Celui des cas critiques semble stable (3 641), ce qui reste dérisoire pour la saison. Vraiment pas de quoi paniquer ….

A ce jour, 79,8% des français, sous la pression de mesures coercitives pour une large part, auraient reçu une dose de vakx1, 76% en auraient reçu deux (en 13 mois de campagne) et 31% ayant contracté le virus (dont plus de la moitié, o-micron, en Janvier 2022), seraient immunisés naturellement. Les résultats attendus de la vakxination expérimentale ne sont donc pas au rendez vous, comme partout ailleurs dans le monde. Une forte majorité des vakxinés admet s’être fait vakxinée sous les pressions des mesures prises par le gouvernement pour interdire aux non vakxinés de vivre et de travailler normalement. Mais beaucoup renoncent aujourd’hui à la 3ème ou à la 4ème doses de rappel, comprenant qu’ils entrent dans un cycle sans fin de vakxinations quadrimestrielles sans aucun bénéfice pour leur santé, d’autant que le nombre et la gravité des effets secondaires des vakx1s commencent à être connus et documentés. On est très loin, en France, du consentement «libre et éclairé» requis dans ce genre d’acte médical «expérimental», surtout lorsque l’expérimentation n’est pas une réussite. Le retour à la vie d’avant n’est donc pas pour demain, si le pays garde au pouvoir, dans deux mois, les «pieds nickelés» qui le gouvernent aujourd’hui. L’exemple des électeurs israéliens qui ont su chasser du pouvoir «Netanyahu-Vakxinator» inspirera peut être les électeurs français. Notons que Netanyahu est aujourd’hui traduit en justice pour des affaires de corruption et de conflits d’intérêt….

A noter que la proportion de vakxinés n’est plus celle annoncée par les autorités dans la mesure où un part importante d’entre eux refusent d’entrer dans le cycle infernal des injections bientôt trimestrielles imposées par l’exécutif en acceptant les 3ème ou 4ème injection. Ces vakxinés sont donc repassés sous statut de non vakxinés et n’ont plus droit au sésame vakxinal. Certains regrettent déjà d’avoir cru aux promesses de janvier 2021 du retour à la vie d’avant contre deux injections vakxinales …..

Ces chiffres français sont d’ailleurs peu fiables car ils émanent des autorités sanitaires et politiques françaises qui ont déjà beaucoup, beaucoup trop menti depuis le début de cette épidémie …..

Peut être devraient-elles regretter de ne pas avoir utilisé toute la palette des traitements précoces existant sur le marché et d’avoir interdit aux médecins de ville de soigner et de prescrire des molécules jugées efficaces presque partout ailleurs dans le monde……. Bien sûr, elles rendront les nouveaux variants, plus malins qu’eux, et les non vakxinés responsables de l’échec de leur stratégie …. sans jamais se poser la question qui tue: Les vakx1s expérimentaux anti COVlDélaborés à la va-vite, ont-ils ou non l’efficacité qu’on leur prête?

Pour le nombre des décès, la France a franchi la barre des 132 000 déclarés en ce début de février.

Chacun notera avec intérêt que le pic de mortalité (variant delta) de février 2022 est bien plus sévère que celui d’août 2021. Autrement dit, plus on vakxine en France et moins la population fragile, pourtant très vakxinée, semble protégée des formes graves. Ce constat devrait interroger sérieusement le conseil dit « scientifique » et les politiques qui devraient se rendre à l’évidence. Plus que le virus COVlD, c’est l’hiver et les comorbidités qui tuent. Et il n’existe pas de vakx1 contre l’hiver ……

Le taux de mortalité COVlD français reste, à ce jour, près de 3 fois supérieur à la moyenne mondiale avec 2,02 décès pour mille habitants en 2 ans, pour une moyenne mondiale de 0,74 pour mille.

Pour le nombre des décès, la France reste à la quatrième place européenne (sur 48 pays ou territoires) derrière la Russie, le Royaume Uni et l’Italie. Merci aux autorités de santé et à l’exécutif qui ont interdit aux médecins de prescrire les traitements précoces efficaces, avec le consentement éclairé de leurs patients …. Pour le taux de mortalité de l’épidémie, la France fait désormais, et pour la première fois, pire que l’Espagne …. (2,018 décès/1000h contre 2,014/1000h)

1-5- La situation de l’Espagne, pays latin vakxiné à 85%, ressemble à celle de l’Italie et de la France.

Le nombre des décès s’inscrit en hausse sur les 7 derniers jours (+ 4%). Depuis qu’elle a levé toutes les mesures coercitives, la situation de l’Espagne se détériore moins vite que celle de la France ….

1-6- La situation de l’Allemagne poursuit son amélioration :

Si le nombre de cas hebdomadaires Omicron déclarés augmente (+ 27% en 1 sem), celui des décès (variant delta) diminue progressivement (- 3%) malgré l’effet hivernal. L’Allemagne aurait vakxiné d’une première dose, à ce jour, 75% de sa population, 74% auraient reçu les deux doses et 12,8% ayant contracté et guéri de la maladie seraient immunisés naturellement. Pas besoin d’être sorti de Polytechnique pour réaliser qu’en 2021 la vakxination n’aura servi strictement à rien en Allemagne. L’évolution de la courbe en janvier nous répète que, comme ailleurs, c’est l’hiver qui tue. Et il n’existe pas de vakx1 contre l’hiver.

1-7- Avec un taux de mortalité de 2,5 décès par millier d’habitant, la Belgique, siège des institutions européennes, pays de brassage et de passage, restera un pays «cluster».

2- L’Amérique septentrionale

Le nombre hebdomadaire de cas déclarés et de décès a explosé en Janvier aux USA, champions du monde de la malbouffe et de l’obésité, et dans le peloton de tête de la gestion calamiteuse du « tout vakxinal ».

75% des citoyens US auraient reçu une première dose de vakx1, 64% auraient reçu les deux. Les citoyens US seraient donc plus vakxino-sceptiques que les français, ou peut être plus fermes dans leurs convictions. Il est vrai que toute la panoplie des mesures contraignantes appliquées en France n’a pas pu l’être aux USA pour des raisons constitutionnelles ….

Courbe des tests positifs US déclarés au cours de l’épidémie

L’épidémie est loin d’être éradiquée aux USA. Bien pire que prévu en 2021, le nombre des décès a passe le cap des 924 500 au 5 février 2022 (200 fois les pertes déclarées par la Chine), malgré le vakx1 …

En 2020, année COVlD gérée par l’administration Trump, le nombre des décès US avait été de 370 000 pour 20,5 millions de cas déclarés (sans vakx1s). Trump avait été lynché par la meute médiatique occidentale, contrôlée par l’état profond US et ses relais en UE, pour sa gestion jugée calamiteuse de l’épidémie. En 2021-2022, années COVlD gérées par l’administration Biden, le nombre des décès US a très largement dépassé celui de 2020 pour s’établir à 925 000 décès, donc + 51% de décès pour la gestion Biden en 2021-22. Ce triste bilan est obtenu alors que 542 millions de doses de vakx1 ont déjà été injectées à la population US (334 Millions d’h) en 2021-22 par l’administration Biden …..

Le lecteur aurait-il entendu les médias critiquer Biden pour les résultats de sa gestion de l’épidémie bien plus désastreux que ceux de Trump ? Aurait il entendu dire que l’efficacité du vakx1 n’est pas du tout celle annoncée par Big Pharma ?

«On peut débattre de tout sauf des chiffres»: de tels résultats d’une campagne de vakxination de masse avec un vakx1 vendu pour une efficacité de plus de 95% devrait interroger les responsables politiques du monde entier d’autant que les pays les moins vakxinés d’Asie et d’Afrique sont très loin d’afficher des résultats aussi calamiteux ….. et que les personnes à risque sont beaucoup plus vakxinées que les autres …. ce qui devrait entraîner une baisse rapide des décès si les vakx1s étaient efficaces.

Au Canada, les nombres de nouveaux cas et de décès ont suivi la courbe US. Forte crue fin décembre-début janvier, décrue rapide depuis le 7 janvier Le taux de mortalité COVlD déclaré par les canadiens (0,9/1000h) reste inférieur de plus de moitié à celui de l’Europe (2,18/1000h) et de plus des deux tiers à celui de son voisin US (2,77/1000 h).

3 – L’Asie

Rapportée à la population, la mortalité y reste dérisoire, très inférieure à la moyenne mondiale. La situation s’est détériorée sensiblement en janvier 2022.

L’Asie de l’Est et du Sud-Est (Chine, Japon, Vietnam, les deux Corées, Taïwan, Philippines, Indonésie, Laos, Cambodge, Malaisie, Birmanie …) reste donc toujours très peu touchée par la pandémie comparée au reste de l’Asie et du monde. La situation s’y détériore légèrement quasiment partout à l’exception du Myanmar, du Vietnam, des Philippines, de la Malaisie et de la Corée où la situation s’améliore.

L’Indonésie, actuellement pays le plus touché d’Asie de l’Est, enregistre un taux de mortalité encore dérisoire de 0,519 décès/1 000 h (inférieur à la moyenne mondiale de 0,737). Taïwan, pays parmi les moins touchés et qui n’a jamais adopté de confinement national, déclare un taux de mortalité de 0,036 décès pour mille h (851 décès de la COVlD en 2 ans pour 24 millions d’h). Le Japon, quant à lui, déclare 19 039 décès pour 126 millions d’h soit 0,151 décès /mille h.

C’est donc l’Asie de l’Ouest (Inde, Iran et pays voisins du Moyen-Orient), qui a enregistré l’essentiel des pertes en Asie. Ces pertes restent très limitées si on les rapporte au nombre d’habitants. Le taux de mortalité COVlD déclaré par l’Inde (0,358 décès pour 1000 h) reste dérisoire comparé à la moyenne mondiale (0,737 /1000h) ou à celle de l’ Europe (2,18 pour 1000h).

S’agissant de l’Iran, ce pays est toujours un pays sous sanctions économiques «maximales» de la part des USA (au profit d’Israël) et enregistre le 3 ème taux de mortalité le plus élevé d’Asie (1,548 décès/millier d’h), derrière la Géorgie, et l’Arménie qui a cumulé la guerre et la COVlD.

La contamination a explosé en Janvier en Israël, l’un des meilleurs élèves de la classe «tous vakxinés-tous protégès». En six semaines, du 14 décembre 2021 (595 cas/jour, moyenne sur 7j) au 23 janvier 2022 (72 913 cas/jour, moyenne sur 7 jours), le nombre de contaminés a été multiplié par 122Le nombre de décès est passé de 1 décès/jour le 31 décembre 2021 à 66 décès/j moyenne sur 7 jours, le 4 février 2022. Pour le pays phare de l’expérimentation vakxinale, le résultat est tout simplement un immense fiasco, quoi que puissent en dire les médias mainstream payés pour minimiser l’échec.

L’épidémie est donc très loin d’être éradiquée en Israël. Les hospitalisations d’aujourd’hui sont en majorité des doubles, triples ou quadruples vakxinés. On y est donc très loin du retour à la vie d’avant promis l’année dernière à la même époque par les promoteurs du vakx1 ….. même si Israël a renoncé à toutes les mesures liberticides qu’il avait adoptées.

Israël avait déclaré 3 325 décès en 2020, sans vakx1. Elle en était à 8 243 décès le 31 décembre 2021 soit 8 243 – 3 325 = 4 918 pour l’année 2021 avec le vakx1. L’année 2022 est bien partie pour être pire encore puisque Israël à déclaré 868 décès pour les 5 premières semaines de l’année 2022. Le vakx1 n’est donc pas aussi efficace qu’annoncé par Big pharma, puisque la situation continue de se détériorer en 2022, malgré la multiplication des injections vakxinales sur les personnes les plus fragiles …..

Cette mortalité asiatique, y compris celle de l’Inde et de l’Iran, reste aujourd’hui très inférieure à celle des continents américain et européen.

Tableau présentant la situation du 5 février 2022 des 20 pays d’Asie ayant dépassé les 9 000 décès (95 % des pertes en Asie)

4 – L’Amérique latine 

Avec plus de 1,6 millions de décès déclarés, l’Amérique latine n’est plus la région du monde la plus affectée par l’épidémie à ce jour, ni pour le taux de mortalité (remplacée par l’Amérique du Nord, ni pour le nombre des décès (remplacée par l’Europe). Sous continent le plus vakxiné au monde, l’Amérique latine a vu sa situation se détériorer très fortement en Janvier 2022.

En Amérique latine, les pertes humaines hebdomadaires déclarées sont en hausse très sensible à 15 154 décès déclarés. La situation se détériore quasiment partout. Elle ne s’améliore qu’en Équateur , en Bolivie, au Surinam et en Guyana (ces 3 derniers pays étant, curieusement, les moins vakxinés du sous continent). La situation est stable en Colombie.

Le bilan brésilien reste le plus lourd avec un tiers des pertes «latinos» de la semaine passée. Le nombre des décès hebdomadaire (du variant delta) s’y inscrit en forte hausse (732 décès/jour (moyenne des 7 derniers j).

Les décès se concentrent dans huit États qui déclarent près de 95 % des décès et plus de 21 000 décès chacun. Les autres pays des Caraïbes et d’Amérique du Sud restent encore relativement épargnés par l’épidémie.

Au Mexique, le nombre hebdomadaire de décès est, lui aussi, en nette hausse (+ 45% sur la moyenne des 7 derniers jours).

Tableau présentant la situation du 5 février 2022 des huit pays d’Amérique latine ayant dépassé les 21 000 décès (93 % des pertes)

5 – L’Afrique

Continent le moins vakxiné, se porte toujours très bien (comparé au reste du monde) :

La mortalité liée au COVlD y reste dérisoire. Elle est en hausse en Afrique du Sud, pays qui a révélé le variant Omicron il y a deux mois. L’Afrique du Sud, sur le podium de la vakxination africaine, compte à elle seule 37,5 des décès du continent pour 4,3 % de sa population.

Avec la Tunisie, l’Égypte, le Maroc, l’Éthiopie, et l’Algérie, seuls autres pays d’Afrique à dépasser les 6 100 décès COVlD déclarés depuis janvier 2020, elle regroupe 73 % des décès africains de la COVlD.

La fermeture des frontières avec l’Afrique à l’initiative des Européens pour éviter la contamination COVlD prêtait à sourire. Ce sont les Africains qui devraient se protéger de l’immense cluster qu’est devenue l’Europe vakxinée, toujours épicentre de l’épidémie, qui compte encore aujourd’hui 30 % des décès COVlD de la planète. La semaine dernière 207 457 nouveaux cas pour toute l’Afrique, 10,2 millions en Europe …. Sans commentaire.

Par ailleurs le lecteur notera que les deux pays africains qui ont choisi une stratégie « à l’occidentale» de gestion de la crise sanitaire (Rejet du traitement précoce à la chloroquine, stratégie du tout vakxinal): L’Afrique du Sud et la Tunisie totalisent 51% des pertes africaines alors qu’ils ne représentent que 5% de la population.

Si le lecteur n’en conclue pas que la gestion à l’occidentale ne tient pas la route et ne doit surtout pas être imitée, il a de gros souci à se faire pour ses capacités cognitives…

6 – L’Océanie

En Janvier 2022, la COVlD-19 a explosé sur ce continent malgré un taux de vakxination de 65%. L’Australie qui compte 62% de la population du continent Océanien, déclare 63% des pertes en dépit des mesures liberticides les plus draconiennes au monde et un taux de vakxination de 84%, très supérieur à celui de ses voisins. On y cherche, en vain, le miracle vakxinal (On peut débattre de tout, sauf des chiffres)

Sur 43,5 millions d’habitants, l’Océanie a déclaré, à ce jour, 2,88 millions de cas, dont 2,32 millions en Janvier 2022, en plein été austral; 2,54 millions auraient déjà été guéris et 6 487 seraient décédés (dont 1 984 depuis le 1er Janvier 2022). Le nombre de cas critiques est passé de 172 au 1er Janvier à 372 au 5 février 2022….. . Le continent océanien a déclaré 623 décès (moyenne sur 7j) la semaine dernière. Il en déclarait 62 (dix fois moins) en dernière semaine de décembre. Son taux de mortalité COVlD de 0,15 décès pour mille habitants, depuis le début, reste toutefois dérisoire (France: 2,018), et très inférieur au nombre de décès liés à la circulation routière sur le continent océanien.

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Nombre de décès déclarés pour 1 000 habitants des 34 pays de la planète qui ont déclaré plus de 24 000 décès.

Commentaires sur le tableau ci dessus :

1 – Onze pays de l’OTAN, dont les puissances majeures, se situent dans les 20 premières places de ce triste classement mondial, alors même qu’ils sont les plus vakxinés au monde. Les autres pays membres de l’OTAN ne sont d’ailleurs pas très loin: Grande fragilité des populations âgées et en surpoids? Faillite des systèmes de santé ? Très faible efficacité des vakx1s? Ou incompétence des gouvernances ? Quelles que soient les réponses à ces questions, elles n’augurent rien de bon en cas de conflit majeur impliquant tout ou partie de l’OTAN … contre un adversaire potentiel eurasiatique (Chine, Russie, Iran) ….

Rappelons que les 30 pays de l’OTAN qui ont adopté la stratégie du «tout vakxinal», en parfaite imitation de leur maître états-uniens, regroupent 955 millions d’habitants, soit 12% de la population mondiale. Ils ont déclaré un total de 2,15 millions de décès soit 37,4% des pertes totales de la pandémie et un taux de mortalité de 2,25 décès pour 1000 habitants. Le reste du monde, qui compte 6,97 milliards d’habitants a donc déclaré 3,60 millions de décès pour 88% de la population mondiale, soit un taux de mortalité de 0,52 pour 1000 habitants, plus de 4 fois inférieur à celui des pays de l’OTAN. Dans la « guerre à la COVlD 19 », la stratégie otanienne et mondialiste du « tout vakxinal » a donc été un échec puisque les pertes ont été «massives», comparées au reste du monde, sans préjuger d’ailleurs des pertes collatérales liées aux effets secondaires des vakx1s. L’avenir proche nous éclairera toujours plus sur les bilans comparés des différentes parties du monde «multipolaire» selon les stratégies appliquées. On peut débattre de tout sauf des chiffres surtout lorsque le rapport est de 1 à 4 …..

En raison des conséquences de l’affaiblissement économique de l’occident et des bascules de puissance en cours de réalisation, l’OTAN devra revoir sa politique d’ingérence tous azimuts et ses ambitions à la baisse, y compris en Ukraine ….. Les retraits occidentaux d’Afghanistan et du Mali en 2021 en ont été les premiers signes tangibles…. Il y en aura d’autres en 2022 …

2 – Les donneurs de leçons anglo-saxons (USA, UK) et, à un moindre degré, l’Allemagne et la France, pays qui tiennent encore le haut du pavé dans les institutions internationales (OMS, ONU, FMI, Banque mondiale, UE, OTAN), sont désormais assez mal placés pour prodiguer leurs conseils, avec condescendance, au reste du monde, et pour ramener leur «science» à tout propos. Les pays du tiers monde ont observé avec intérêt la gestion «à l’occidentale» de la crise sanitaire. Ils sauront, au fil du temps, se rallier aux partenaires les plus fiables du moment …. accélérant ainsi le déclin en cours de ceux qui ont failli.

3 – Quant à l’Inde qui a fait l’objet de l’hystérie des médias «covidistes» en juin 2020, force est de reconnaître que, rapporté à sa population, son taux de mortalité déclaré depuis le début de l’épidémie reste encore près de 5 fois inférieur à celui de notre pays. Les États de la fédération indienne sont des États qui ont très majoritairement fait le choix des traitement précoces efficaces et peu onéreux (ivermectine, chloroquine, azytromycine), choix que les pays occidentaux ont refusé de faire pour privilégier un vakx1 qui est aujourd’hui en situation d’échec face aux nouveaux variants du virus en Israël, aux USA, au Royaume Uni, à Singapour, aux Emirats… et ailleurs… 

4 – La Chine ne figure pas dans ce triste palmarès parce qu’elle n’a déclaré que 4 636 décès depuis début 2020 et aucun décès en 2021. On me rétorquera, bien sûr, le slogan habituel bien connu: « La Chine ment ». Si c’était le cas, la vérité aurait forcément filtré via nos représentations diplomatiques, les nombreux binationaux vivant sur place, les espions occidentaux infiltrés, l’OMS, les ONG ….etc. L’économie chinoise ne tournerait pas à plein régime. Toute argumentation de mauvais perdant ne tient donc pas la route. Les occidentaux ne devraient-ils pas, pour une fois, faire preuve d’humilité et demander quelques conseils de nature sanitaire aux chinois ? Rappelons, pour la forme, que le vakx1 n’est pas obligatoire en Chine…

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Un tableau présente ci après les bilans du 5 février 2022 0h00 GMT des 61 pays ayant déclaré plus de 9 000 décès (96% des pertes)

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Tableau de données concernant l’Europe (et l’UE) face à l’épidémie le 5 février 2022 0h00 GMT

Rappel : taux de mortalité COVlD mondial en 2 ans: 0,74 décès /mille h et européen: 2,18 décès/mille h

Nombre de décès COVlD déclarés par millier d’habitants et depuis février 2020, des 34 pays européens de plus de 1,5 million d’habitants affectés par l’épidémie (au 5 février 2022 0h00 GMT)

Commentaires sur les deux tableaux ci dessus :

1 – Les pays du Nord de l’Europe ont beaucoup mieux géré cette épidémie que les autres.

2 – Sans confinements, ni mesures contraignantes, voire répressives, la Suède a fait mieux que la plupart des grands (et moins grands) pays européens, et son taux de mortalité (1,583/1000h) est nettement inférieur au taux moyen européen (2,18/1000h) alors même que sa population, jamais confinée, plus âgée, moins vakxinée que la notre, a été l’une des plus «contaminée» au monde: 22,4% de la population suédoise ont été testés positifs.

Il y a eu manifestement, en Suède, une prise en charge et des traitements précoces des patients, meilleurs que dans d’autres pays ….. Les faits ont montré que les «experts» qui prévoyaient 96 000 décès en Suède pour la fin d’avril 2020 se trompaient très lourdement; et que les médias et les politiques qui relayaient bêtement les délires des «experts», jusqu’à prophétiser, pour certains, 400 000 décès pour la France à l’automne 2020 se trompaient aussi… Aucun d’entre eux n’a jamais reconnu ses erreurs …… ni présenté d’excuses pour avoir paniqué (délibérément?) les populations en relayant des «fake» prévisions …

3 – La Suède, dont la stratégie et la ténacité ont payé, est sortie du groupe des 55 pays les plus touchés au monde. Si l’on en croit sa courbe de décès, la Suède est quasiment sortie d’affaire depuis près de six mois, même si elle a connu, comme les autres pays européens, un épisode Omicron en Janvier 2022 s’ajoutant au delta. Elle a compté jusqu’à 36 décès/jour (moyenne sur 7j) le 26 janvier, mais en une semaine le nombre de décès a déjà diminué de moitié. Elle s’en sortira donc avant beaucoup d’autres pays européens …. et avec beaucoup moins de casse ….. Son taux de mortalité COVlD (1,58 pour 1000h) est très inférieur à la moyenne européenne (2,18 pour 1000h) et à celui de la France (2,02 pour 1000). Elle n’aura connu que 2 vagues significatives et une «vaguelette hivernale » en janvier 2022 et ne délire pas aujourd’hui sur la 5ème vague. Comme c’est curieux, on n’entend plus les journalistes, les professeurs de plateaux TV et les politiques français, donner des leçons à la Suède ……

5 – Quant à la Biélorussie, non confinée, peu vakxinée (45 % seulement ont reçu deux doses), objet de sanctions occidentales visant à déstabiliser sa gouvernance pour « emmerder » la Russie; pays qui recevait des exhortations de l’OMS, des pressions du FMI, des conseils de confinement du président français, grand spécialiste de la chose, et des torrents de critiques des politiques et des médias mainstream occidentaux qui voulaient «ramener leur science» et voir ce pays singer les décisions débiles de leurs gouvernances dans la gestion de la crise sanitaire, il s’en sort avec un taux de mortalité de 3 à 5 fois inférieur à celui des donneurs de leçons: l’un des meilleurs d’Europe (0,648 pour mille habitants). Il est vrai que ce pays n’a pas été une destination touristique très prisée des occidentaux, principaux porteurs et vecteurs d’infection et surtout de chaos et de guerre sur la planète, aujourd’hui comme hier.

*

Enfin, pour ceux qui s’intéressent aux résultats de la vakxination en Europe, voici un tableau d’évolution de la mortalité entre les années 2020 (sans vakx1) et 2021 (avec vakx1). Chacun pourra l’interpréter à sa manière …. en n’oubliant pas que, les personnes à risque ayant été vakxinées en priorité, les résultats sur la baisse de la mortalité auraient dû se percevoir très vite au cours de l’année 2021….. ce qui n’a pas été le cas, bien au contraire……

Les quelques pays qui ont enregistré moins de décès en 2021 qu’en 2020 sont parfois les pays qui avaient tellement mal démarré la gestion de la crise en 2020, qu’ils pouvaient difficilement faire pire en 2021 (C’est le cas de la France et de l’Italie).

Dominique Delawarde

Photo d’illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Comment les vakx1s C0VlD suppriment votre système immunitaire

Mohamed Tahiri

 Mohamed Tahiri

Les vakx1s peuvent offrir une protection spécifique, mais des études suggèrent qu’ils peuvent avoir des conséquences involontaires sur notre système immunitaire.

Dans un article de recherche non évalué par des pairs publié cette semaine, Stephanie Seneff, Ph.D., décrit un mécanisme des injections de C0VlD qui entraîne la suppression de votre système immunitaire inné . Pour ce faire, il inhibe la voie de l’interféron de type 1.

Dans cette interview, l’invitée de retour Stephanie Seneff, Ph.D., chercheuse principale au MIT qui travaille au MIT depuis plus de cinq décennies, discute de son dernier article, « Innate Immune Suppression by SARS-CoV-2 mRNA Vakxinations ». Le rôle des G-quadruplexes, des exosomes et des microARN », co-écrit avec le Dr Peter McCullough, ainsi que deux autres auteurs, le Dr Greg Nigh et le Dr Anthony Kyriakopoulos.

Auparavant, Nigh et Seneff ont co-écrit un article entier détaillant les différences entre la protéine de pointe et la protéine de pointe C0VlD jab. Dans un article de recherche non évalué par des pairs publié cette semaine sur le service de pré-impression authorea , eux et leurs autres co-auteurs approfondissent les mécanismes des clichés C0VlD, montrant comment ils ne façonnent absolument, en aucun cas. , sont sûrs ou efficaces. Les injections suppriment en fait votre système immunitaire inné.

« Je pense que McCullough est fantastique et je suis tellement heureux qu’il collabore avec moi », a déclaré Seneff. « J’espère vraiment que nous pourrons trouver une revue qui acceptera de le publier. Nous devrons peut-être chercher une sorte de média alternatif pour le faire publier.

C’est vraiment incroyable la quantité de censure qui se passe en ce moment. Je suis tout le temps en état de choc. Je n’arrête pas de penser que ça ne va pas s’aggraver, et ça va vraiment s’améliorer, et ça semble continuer à empirer.

Je ne sais pas où est la fin. C’est très décourageant… Pharma a tellement d’argent derrière [eux] et ils ont tout mis en place pour s’assurer que rien ne les échappe…

Nous espérons le mettre en place en tant que prépublication, mais … remarquablement, ils peuvent également le rejeter au niveau de la prépublication. Nous travaillons sur cet angle, mais ce n’est pas facile. Lorsque vous écrivez quelque chose d’aussi radical, ils se battent vraiment pour le garder hors du Web.

Le 16 janvier 2022, le service de prépublication Authorea a publié cet article sur son site Web, lui attribuant un DOI, le rendant ainsi officiel.

Signaux de sécurité exceptionnellement puissants

Comme l’a noté Seneff, lorsque vous examinez les différentes bases de données pour les effets indésirables, vous pouvez voir un signal de sécurité exceptionnellement fort – et les développeurs de plans C0VlD le savent. « Les chiffres sont hors de vue », dit Seneff, et cela vaut pour tous les niveaux d’effets secondaires, de légers à catastrophiques.

Seneff a examiné les données sur le cancer, par exemple, et en moyenne, il y a deux fois plus de cas de cancer signalés après les injections C0VlD par rapport à tous les autres vakx1s combinés au cours des 31 dernières années.

« C’est tout simplement incroyable, car c’est globalement deux fois [supérieur]. Le cancer du sein, par exemple, est trois fois [plus élevé] pour ces vakx1s en un an, comme pour tous les autres vakx1s depuis 31 ans. C’est un signal extrêmement fort », dit Seneff.

«Le lymphome apparaît également beaucoup plus fréquemment avec ces [C0VlD shots]. Il y a juste un signal incroyable là-bas dans le VAERS [le système américain de notification des événements indésirables liés aux vakx1s]. »

Le fait que le signal soit aussi fort est encore plus remarquable si l’on considère que la plupart des gens ne pensent pas que le vakx1 C0VlD pourrait être une variable dans l’émergence de leur cancer, ils ne le signalent donc jamais. « Cela me laisse perplexe qu’ils soient prêts à faire de tels dégâts à la santé de toute la population du monde. Je ne comprends pas ce degré de méchanceté », dit Seneff.

Perturbation de l’interféron de type 1

Les injections suppriment votre système immunitaire inné en inhibant l’interféron de type 1. L’une des premières études à informer Seneff et McCullough à ce sujet était une étude indienne, dans laquelle des cellules humaines cultivées dans une culture ont été exposées aux nanoparticules d’ADN qui leur ordonnent de fabriquer la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, un peu comme les injections C0VlD faire.

La souche cellulaire est appelée HEK-293. Ce sont des cellules qui ont été prélevées dans les reins d’un fœtus avorté dans les années 1980 et qui sont fréquemment utilisées dans la recherche. Bien qu’elles proviennent des reins, ces cellules ont des propriétés semblables à celles des neurones. Lorsqu’elles sont programmées pour fabriquer des protéines de pointe, ces cellules libèrent cette protéine de pointe à l’intérieur des exosomes – des nanoparticules lipidiques à l’intérieur desquelles la protéine de pointe est emballée.

Les exosomes agissent comme un réseau de communication pour les cellules. Lorsqu’une cellule est stressée, elle libère des exosomes contenant certaines des molécules qui la stressent. Ainsi, dans le cas des injections C0VlD, les exosomes contiennent des protéines de pointe et des microARN. Les microARN sont des molécules de signalisation capables d’influencer la fonction cellulaire. Ils amènent la cellule à modifier son comportement ou son métabolisme. En règle générale, ils le font en supprimant certaines enzymes.

L’étude indienne a trouvé deux microARN spécifiques à l’intérieur des exosomes libérés par ces cellules de type neurone : miR-148a et miR-590. Les chercheurs ont ensuite exposé la microglie (cellules immunitaires de votre cerveau) à ces exosomes. Ainsi, comme l’a expliqué Seneff, vous avez des neurones dans votre cerveau qui produisent des protéines de pointe, ou absorbent des protéines de pointe qui sont en circulation, et réagissent en libérant des exosomes.

Les exosomes sont ensuite captés par la microglie, les cellules immunitaires de votre cerveau. Lorsque les cellules immunitaires reçoivent ces exosomes, elles déclenchent une réponse inflammatoire. Il s’agit principalement d’une réponse à ces microARN, les miR-148a et miR-590. Bien sûr, vous avez également la protéine de pointe toxique là-bas.

Combinés, ils provoquent une inflammation du cerveau, qui endommage les neurones. Cette inflammation, à son tour, peut contribuer à un certain nombre de troubles cérébraux dégénératifs. Les particules lipidiques du vakx1 C0VlD, qui contiennent l’ARNm, sont similaires aux exosomes, mais pas identiques. Ils sont également très similaires aux particules de lipides de faible densité (LDL).

« Je pense que les exosomes sont probablement un peu plus petits. Les particules de vakx1 sont plus grosses. Ils ressemblent plus à une particule de LDL. Les particules de vakx1 contiennent du cholestérol dans leur membrane et des lipoprotéines. Ainsi, ils sont faits pour ressembler à une particule de LDL.

Mais ensuite, ils ajoutent ce lipide cationique, qui est vraiment, vraiment toxique – un lipide cationique synthétique qui le rend chargé positivement. Expérimentalement, ils ont découvert que ce lipide, lorsque la particule est absorbée par la cellule, est libéré dans le cytoplasme, [où] cet ARNm produit ensuite une protéine de pointe.

[The C0VlD shots] sont très intelligemment conçus, à la fois pour protéger l’ARN contre la C0VlD et pour rendre l’ARN très efficace pour fabriquer des protéines de pointe. C’est très différent de l’ARNm que le virus fabrique, même s’il code pour la même protéine.

Seneff a écrit un article entier détaillant les différences entre la protéine de pointe virale et la protéine de pointe C0VlD jab, avec Greg Nigh, qui a été publié dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice and Research en mai 2021. Il sert essentiellement d’amorce pour comprendre ce dont nous discutons ici.Deux microARN, miR-148a et miR-590, excrétés dans les exosomes avec la protéine de pointe, perturbent de manière significative la réponse à l’interféron de type 1 dans n’importe quelle cellule, y compris les cellules immunitaires.

Pour en revenir à l’article indien cité ci-dessus, ils ont découvert que la microglie finissait par produire une inflammation dans le cerveau et que les deux microARN jouaient un rôle central dans ce processus. Le miR-148a et le miR-590 ont été placés dans ces exosomes avec la protéine de pointe, et ces deux microARN sont capables de perturber de manière significative la réponse à l’interféron de type 1 dans n’importe quelle cellule, y compris les cellules immunitaires.

L’interféron de type 1 contrôle également les virus latents comme l’herpès et la varicelle (qui cause le zona), donc si votre voie d’interféron est supprimée, ces virus latents peuvent également commencer à émerger. La base de données VAERS révèle que beaucoup de personnes qui ont été piquées signalent ce type d’infections. L’interféron supprimé augmente également votre risque de cancer et de maladies cardiovasculaires.

La réponse à l’interféron de type 1 est cruciale dans les infections virales

Comme l’a expliqué Seneff, la réponse à l’interféron de type 1 est absolument cruciale en tant que première étape de la réponse à une infection virale. Lorsqu’une cellule est envahie par un virus, elle libère de l’interféron alpha de type 1 et de l’interféron bêta de type 1. Ils agissent comme des molécules de signalisation qui indiquent à la cellule qu’elle a été infectée.

Cela, à son tour, lance la réponse immunitaire et la fait démarrer au début de l’infection virale. Il a été démontré que les personnes qui se retrouvent avec une infection grave par le SRAS-CoV-2 ont une réponse compromise à l’interféron de type 1. Comme l’a noté Seneff :

«Il est ironique que les vakx1s soient administrés pour vous protéger du C0VlD, mais ils produisent une situation dans laquelle vos cellules immunitaires sont mal équipées pour combattre le SRAS-CoV-2 s’il pénètre dans la cellule. Le truc, c’est que le vakx1 produit une énorme réponse anticorps, et c’est typique d’une maladie grave.

Ainsi, le [C0VlD shot] trompe votre système immunitaire en lui faisant croire que vous avez eu un cas grave de C0VlD. C’est vraiment intéressant de cette façon, parce que ça a traversé la barrière muqueuse des poumons, ça a traversé la barrière vasculaire du sang, dans le muscle. De plus, il a été déguisé.

L’ARN ne ressemble pas à un ARN viral, il ressemble à une molécule d’ARN humain. Une partie des modifications [apportées à l’ARNm dans le jab] visait à le rendre très solide, afin qu’il ne puisse pas être décomposé. C’est aussi très bon pour rendre la protéine [spike] rapide, ce qui a aussi un problème car cela conduit à beaucoup d’erreurs, ce qui est un autre problème…

Les cellules immunitaires captent les nanoparticules et les transportent à travers le système lymphatique jusqu’à la rate. De multiples études ont montré qu’il se retrouve dans la rate… les ovaires, le foie, la moelle osseuse… La rate, bien sûr, est très importante pour la production d’anticorps.

Il est important de noter que la réponse en anticorps que vous obtenez du vakx1 C0VlD est exponentiellement plus élevée que celle que vous obtenez d’une infection naturelle, et la recherche a montré que le niveau de réponse en anticorps augmente avec la gravité de la maladie. Ainsi, le tir imite essentiellement une infection grave. Dans le cas d’une infection bénigne, il se peut que vous ne produisiez aucun anticorps, car les cellules immunitaires innées sont suffisamment puissantes pour combattre l’infection sans elles.

C’est lorsque votre système immunitaire inné est faible que vous avez des ennuis, et une partie de cette faiblesse est une réponse supprimée à l’interféron de type 1. Si votre réponse à l’interféron de type 1 est déficiente, vos cellules immunitaires ne sont pas très capables d’arrêter la propagation du virus dans votre corps.

Selon Seneff, la raison pour laquelle la supplémentation en interféron de type 1 n’a pas été recommandée jusqu’à présent est qu’il faut la chronométrer parfaitement pour que la cascade immunitaire fonctionne correctement. L’interféron de type 1 ne joue un rôle définitif qu’au stade le plus précoce de l’infection. Une fois que vous êtes entré dans une phase d’infection modérée ou sévère, il est trop tard pour l’utiliser.

Les injections C0VlD confondent votre système immunitaire

Comme l’a noté Seneff, les injections C0VlD sont si peu naturelles que votre système immunitaire ne sait plus trop quoi faire.

« J’ai l’impression que les cellules immunitaires ne savent pas ce qui se passe. Il y a cette protéine toxique produite en quantités massives par les cellules immunitaires. C’est extrêmement inhabituel. Il n’y a aucun signe d’infection virale car ces ARN ressemblent à des ARN humains.

C’est comme si les cellules immunitaires humaines décidaient soudainement de fabriquer une protéine vraiment toxique et d’en fabriquer beaucoup – c’est exactement ce qu’elles font – et le système immunitaire en est complètement déconcerté. Les cellules immunitaires ne savent pas quoi en faire.

Bien sûr, ces cellules immunitaires qui sont surchargées avec toutes ces protéines de pointe, elles disent : « Je dois me débarrasser de ce truc », alors elles l’expédient sous forme d’exosomes. Les microARN [dans les exosomes] pensent que les cellules réceptrices vont avoir besoin de ces molécules de signalisation particulières pour les aider à faire tout ce qu’elles doivent faire pour faire face à cette charge toxique.

Donc, vous répandez la protéine de pointe dans le reste du corps, juste pour dissiper la toxicité à laquelle vous faites face dans la rate, je pense. Ces exosomes sont également très bons pour former des anticorps. Il y avait un bel article qui montrait que les exosomes libérés [avaient] une protéine de pointe dans leur membrane, l’extérieur de l’exosome.

C’est plutôt cool que la protéine de pointe y soit affichée, car cela permet aux cellules immunitaires – les cellules B et les cellules T qui doivent s’en approcher de près – de comprendre comment façonner leurs anticorps. Les anticorps sont façonnés pour correspondre à la protéine toxique qui est exposée à la surface des exosomes.

Après quelque chose comme 14 jours du deuxième [jab], les exosomes ont induit une réponse anticorps. [Les chercheurs] ont estimé que les exosomes jouaient un rôle essentiel dans cette réponse anticorps extrême produite par les lymphocytes B et les lymphocytes T, le système immunitaire adaptatif.

Mais je pense que la façon dont le vakx1 fonctionne est qu’il n’y a pas de jeu que vous puissiez choisir autre que de fabriquer des anticorps. C’est la seule façon de lutter contre ça. C’est une protéine toxique qui est produite et libérée par ces cellules immunitaires, et la seule chose que vous pouvez faire pour l’arrêter est de fabriquer des anticorps.

Ils essaient de fabriquer de très nombreux anticorps qui se colleront sur ces protéines de pointe toxiques et les empêcheront de pénétrer par le récepteur ACE2. C’est le travail des anticorps. Ils s’en sortent bien, au début… C’est vrai qu’ils vous protègent des maladies. Malheureusement, les niveaux d’anticorps chutent de façon assez spectaculaire, assez rapidement.

Il existe également des anticorps qui renforcent la maladie plutôt que de la combattre, et le niveau de ces anticorps diminue à un rythme plus lent que celui des anticorps protecteurs. Ainsi, après plusieurs mois, vous vous retrouvez avec une réponse immunitaire NÉGATIVE. En d’autres termes, vous êtes maintenant plus sujet aux infections que jamais auparavant. Comme l’explique Seneff :

«Il y a un point de croisement auquel les anticorps stimulants peuvent être plus forts que les anticorps protecteurs, et c’est à ce moment-là que vous pouvez obtenir cette amélioration dépendante des anticorps (ADE) que les gens ont vue dans le passé avec [d’autres] vakx1s contre le coronavirus. Nous essayons toujours de voir si c’est le cas avec [the C0VlD jabs]. Il y a des preuves ici et là, mais ce n’est pas encore concluant. »

L’importance des cellules T cytotoxiques

Après que l’étude indienne ait informé Seneff et McCullough du problème de l’interféron, ils sont tombés sur une étude chinoise qui a suivi l’effet du vakx1 C0VlD sur le système immunitaire au fil du temps. Ici, ils ont découvert que l’infection provoquait une augmentation des lymphocytes T CD8+, d’importants lymphocytes T cytotoxiques qui éliminent en fait les cellules infectées.

Comme l’a noté Seneff, les cellules CD8+ sont une partie importante de la défense contre le SARS-CoV-2. Fait important, les lymphocytes T CD8 + ont été améliorés en réponse à une infection naturelle, mais pas en réponse au vakx1 C0VlD. Eux aussi ont trouvé la suppression de l’interféron de type 1 après l’injection. Ainsi, à la suite du vakx1, non seulement votre réponse de première ligne est déprimée – la réponse à l’interféron de type 1 – mais vous manquez également la partie de la réponse immunitaire qui nettoie les cellules infectées.

Le microARN qui influence le risque de myocardite

Un troisième microARN (ARNm) créé par une infection naturelle par le SRAS-CoV-2 est miR-155, et il joue un rôle important dans la santé cardiaque. Au début de la pandémie, des cas de C0VlD-19 causant des problèmes cardiaques ont été signalés.

Seneff soupçonne que les exosomes contenant miR-155 peuvent également être présents après l’injection et peuvent jouer un rôle dans les lésions cardiaques signalées. Plus précisément, miR-155 est associé à la myocardite. Comme mentionné précédemment, le microARN supprime certaines protéines qui provoquent alors une réponse en cascade compliquée. Lorsqu’une protéine particulière qui est un acteur critique est supprimée par un microARN, une cascade complètement différente se produit.

Pourquoi des problèmes auto-immuns peuvent survenir après le vakx1

Les anticorps produits par le jab contiennent également plusieurs courtes séquences peptidiques qui ont déjà été trouvées dans plusieurs cellules humaines liées à une maladie auto-immune. Senef explique :

« Kanduc a beaucoup écrit à ce sujet. C’est une experte de ces anticorps… La protéine de pointe [SARS-CoV-2] est très superposée à la protéine humaine. Cela signifie que lorsque vous construisez une réponse anticorps très forte à la protéine de pointe, ces anticorps peuvent se confondre et ils peuvent attaquer une protéine humaine qui a une séquence similaire.

C’est une forme classique de maladie auto-immune. C’est ce qu’on appelle le mimétisme moléculaire. Il y avait beaucoup de protéines différentes qui correspondaient. C’était assez surprenant… Il semble être très bien conçu pour induire une maladie auto-immune, si vous produisez des anticorps contre ces séquences dans la protéine de pointe.

Problèmes neurologiques chez les femmes

Les injections sont également étroitement associées à des problèmes neurologiques tels que des tremblements et des secousses incontrôlables. Curieusement, cet effet secondaire touche de manière disproportionnée les femmes. Le mécanisme fait ici encore intervenir les exosomes. Senef explique :

«Je pense qu’il y a un signal très fort pour l’idée, que je pousse, que vous avez ces cellules immunitaires dans la rate qui fabriquent des protéines de pointe et les libèrent dans des exosomes. Il a été démontré dans des études sur la maladie de Parkinson que ces exosomes voyagent le long des fibres nerveuses.

Ils iront le long du nerf splanchnique, ils se raccorderont au nerf vague, ils monteront jusqu’au cerveau et pénétreront dans tous ces différents nerfs du cerveau. Lorsque vous regardez la base de données VAERS, vous voyez des signaux énormes pour toutes sortes de choses qui suggèrent que différents nerfs sont enflammés.

Par exemple, il y a 12 000 cas d’acouphènes associés au vakx1 C0VlD-19, et c’est seulement ce qui est rapporté. Les acouphènes sont un signal fort. L’acouphène va être une inflammation du nerf auditif. Cela signifie que vous devez aller de la rate jusqu’au nerf vague, puis vous connecter au nerf auditif pour provoquer des acouphènes.

Ensuite, vous avez la paralysie de Bell, qui est une inflammation du nerf facial. Vous avez des migraines. Il existe plus de 8 000 cas de migraines, qui sont liées à une inflammation du nerf trijumeau.

Cela va probablement aussi, je suppose, le long des fibres nerveuses de la colonne vertébrale, ce qui peut être à l’origine de certains de ces cas où ils trouvent une paralysie. Les gens ont beaucoup de problèmes de mobilité liés à ces vakx1s.

Je vois la possibilité de causer beaucoup de perturbations à la gaine de myéline, et nous en parlons dans l’article. Cela implique, encore une fois, une signalisation complexe. Vous pouvez accéder au problème de la gaine de myéline par la perturbation de l’interféron de type 1.

Cela, encore une fois, implique quelque chose appelé facteur de réponse à l’interféron 9 IRF9. Cette protéine déclenche la production de sulfatide dans le foie, et cette protéine est supprimée par ces microARN que j’ai mentionnés plus tôt.

Le sulfatide, un important transporteur de lipides, est le seul lipide sulfoné du corps humain. Votre foie fabrique la majeure partie du sulfatide, qui est ensuite transporté par vos plaquettes (cellules sanguines) vers d’autres zones de votre corps. La gaine de myéline contient de grandes quantités de sulfatide. Cela fait partie de ce qui protège la gaine de myéline. Dans les maladies démyélinisantes, ce sulfatide s’érode, permettant finalement à la myéline d’être attaquée.

Seneff pense que le vakx1 C0VlD entraîne des dommages importants à la myéline, grâce à ces exosomes inflammatoires. Ces dommages ne se manifestent pas nécessairement tout de suite, bien que certains destinataires du jab subissent des effets extrêmement dévastateurs. Cela peut prendre 10 ans ou plus avant qu’une maladie démyélinisante ne s’installe.

« Je pense que nous allons voir des gens contracter ces maladies neurodégénératives de plus en plus tôt dans leur vie » , déclare Seneff, « et je pense que toute personne déjà atteinte de l’une de ces maladies connaîtra une progression accélérée ».

Nous pourrions bientôt voir une explosion des cas de Parkinson

Fait troublant, la perte de l’odorat et la dysphagie, l’incapacité à avaler, sont toutes deux des signes de la maladie de Parkinson, et ces deux affections sont signalées par milliers après l’injection. Ainsi, dans les années à venir, nous pourrions assister à une explosion de la maladie de Parkinson.

« Les études de Parkinson ont montré que vous pouvez attraper des agents pathogènes dans l’intestin qui produisent une protéine de type prion, ce qu’est la protéine de pointe. Les cellules immunitaires le récupèrent ensuite et l’amènent à la rate. Ceci, bien sûr, cause du stress.

Une cellule immunitaire stressée dans la rate régule positivement et produit plus d’alpha-synucléine. L’alpha-synucléine est une molécule qui combat l’infection, et c’est la molécule qui se replie mal en association avec la maladie de Parkinson.

Je suis fasciné par toutes ces molécules qui ressemblent à des prions. Il y a la protéine prion elle-même, qui est associée à la MCJ, la maladie de Creutzfeldt-Jakob, mais il y a aussi l’alpha-synucléine et la bêta-amyloïde, il y a le TDP-43, qui est associé à la SLA.

Toutes ces maladies sont surreprésentées dans la base de données VAERS pour les injections C0VlD, par rapport à tous les autres vakx1s combinés sur 31 ans. C’est juste complètement hors sujet.

Il y a 58 cas d’Alzheimer en association avec les vakx1s v, et 13 en association avec tous les autres vakx1s sur 31 ans. C’est plusieurs fois plus – 58 C0VlD 13.

La MCJ est également beaucoup plus fréquente. C’est presque sept fois plus fréquent dans les cas de vakx1 C0VlD . La MCJ est une terrible maladie. Vous devenez très paralysé et mourez après quelques années. C’est la protéine prion classique [maladie]. C’est extrêmement rare. Seulement 1 personne sur 1 million contracte la MCJ.

Il y avait une personne qui m’a contacté de France dont la femme a attrapé la MCJ quelques semaines seulement après le deuxième vakx1. Il était absolument convaincu que le vakx1 en était la cause. Il y a en fait 27 cas [of CJD] signalés dans VAERS pour les vakx1s C0VlD-19, contre seulement quatre cas sur toute l’histoire de tous les autres vakx1s combinés.

Problèmes de santé que nous pouvons nous attendre à voir plus

Avec le temps, Seneff prédit que nous verrons une augmentation spectaculaire des infections et des cancers de tous types, des maladies auto-immunes, des maladies neurodégénératives et des problèmes de reproduction. Comme mentionné, la recherche a démontré que la protéine de pointe s’accumule dans la rate et les ovaires des femmes.

Sans aucun doute, l’inflammation des ovaires n’est pas une bonne chose. Les hommes signalent également des testicules enflés, ce qui pourrait également indiquer une inflammation. Les données préliminaires montrent que les femmes qui reçoivent le jab dans les 20 premières semaines de grossesse ont un taux de fausse couche de 82% à 91%. Il existe également des rapports du VAERS décrivant des lésions fœtales. Bien sûr, cela pourrait également nuire à la fertilité future.

Comme décrit précédemment, certains anticorps produits par le jab peuvent réagir aux protéines humaines. Une protéine similaire à la protéine de pointe que les anticorps attaquent est la syncytine, qui est essentielle à la fécondation de l’ovule. Le problème est que les anticorps pourraient attaquer et détruire la syncytine, perturbant et empêchant ainsi l’implantation dans le placenta.

Omicron—Une bénédiction déguisée ?

Les piqûres perpétuent également le C0VlD, avec des variantes toujours nouvelles du virus.

« Dans le premier article que Greg et moi avons écrit, nous avions prédit que les vakx1s provoqueraient une émergence accrue de variantes de la protéine de pointe, des versions modifiées du virus, sous la pression du vakx1 », déclare Seneff.

« En effet, il me semble que c’est ce qui se passe. Mais j’ai vraiment bon espoir avec Omicron, car Omicron ressemble à un virus plus doux, mais incroyablement infectieux. Cela va traverser la population et donner à tout le monde, essentiellement, un vakx1. C’est un peu comme un vakx1 naturel, je pense.

[La recherche] a montré que… ayant eu Omicron, vous étiez protégé, dans une certaine mesure, de Delta. Delta disparaît de toute façon, parce qu’Omicron le chasse. C’est vraiment super. Je pense qu’Omicron est un cadeau divin du ciel.

Cette bénédiction peut cependant être annulée chez ceux qui ont reçu plusieurs injections C0VlD. Chaque dose érode votre réponse immunitaire, de sorte qu’elle devient de plus en plus compromise à chaque piqûre. Encore une fois, cela a à voir avec la suppression de l’interféron de type 1, discuté plus tôt.

Qu’est-ce qui catalyse les dommages chez les athlètes ?

Plus de 400 cas de problèmes cardiaques graves et de décès ont également été signalés chez des athlètes professionnels, qui comptent parmi les personnes les plus en santé de la planète. Quel mécanisme peut expliquer ce phénomène ? Comment se fait-il que les jabs C0VlD puissent causer suffisamment de dégâts pour éliminer les jeunes avec une biologie optimisée ?

Seneff soupçonne qu’être en forme pourrait vous amener à avoir plus de récepteurs ACE2 dans le cœur, et la partie S1 de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2. Elle pense que la protéine de pointe est délivrée au cœur via des exosomes, via le nerf vague, et, encore une fois, l’exosome miR-155 est associé à des problèmes cardiaques.

De plus, lorsque la protéine de pointe S1 se lie au récepteur ACE2, elle désactive le récepteur. Lorsque vous désactivez l’ACE2, vous obtenez une augmentation de l’ACE, ce qui provoque une hypertension artérielle et élève l’angiotensine 2. Lorsque l’angiotensine 2 est surexprimée, vous pouvez avoir une inflammation intense du cœur. Si vous vous engagez dans un effort intense et que votre cœur est enflammé, vous pouvez déclencher un arrêt cardiaque, ce que nous voyons dans de nombreux cas d’athlètes. Ils s’effondrent sur le terrain.

G-Quadruplex

Un autre objectif de l’article de Seneff et McCullough est quelque chose appelé G4 ou G-quadruplexes.

« Les G-quadruplex sont vraiment fascinants, et je ne les maîtrise pas du tout », déclare Seneff. « C’est de la biologie difficile, encore plus difficile que beaucoup d’autres choses que j’ai lues…

Les G4 sont essentiellement un arrangement de [guanines]. Les guanines sont l’un des quatre nucléotides qui composent l’ADN ou l’ARN. La guanine est le G dans le G4. Ce qui se passe, c’est qu’une séquence de nucléotides sur une chaîne d’ADN ou d’ARN peut se replier sur elle-même et former des G-quadruplexes. Ce sont quatre guanines, à différents endroits sur la protéine, qui s’enroulent et collent ensemble.

Il y a un métal au milieu – souvent du potassium ou du calcium – qui aide à stabiliser ces G4. Ce qui est intéressant à leur sujet, c’est qu’ils structurent l’eau qui les entoure. Ils fabriquent de l’eau gélifiée [c’est-à-dire de l’eau de zone d’exclusion (EZ)]…

Ces G4 peuvent se former dans l’ADN, ce qui l’empêche en fait de devenir actif. [L’ADN] n’est pas converti en ARN, et il ne produit pas de protéines s’il contient ces G4. Probablement, l’eau EZ ne permet à rien de s’approcher. Pensez-y comme étant coincé dans un gel.

Il y a beaucoup de G4 dans les régions promotrices de ces séquences d’ADN, et il y a beaucoup de protéines qui ont ces G4 dans leur région promotrice. Fait intéressant, certaines protéines peuvent les démêler. Il existe des protéines qui peuvent s’y lier et provoquer l’annulation du G4, et qui activent ou permettent l’expression de la protéine.

C’est un élément régulateur qui contrôle quelles protéines sont exprimées à partir de l’ADN. Bon nombre des protéines qui ont ces G4 dans leur promoteur sont des oncogènes du cancer. Tant qu’ils restent gélifiés, ils sont inactifs, mais s’ils deviennent non gélifiés, ils deviennent actifs.

Il s’avère que les protéines prions… [sont] fabriquées à partir d’ARN, et l’ARN a ces G4. La protéine peut se lier aux G4 de l’ARN et les deux réagissent. La théorie est que la protéine devient prion-like. Ces protéines prions ont deux façons d’être, l’une est sûre et l’autre non sûre, et les G4 augmentent le risque de mauvais repliement des protéines prions.

La présence de ces G4 et la rencontre avec ces G4 augmentent le risque de mauvais repliement dans la configuration de type prion. 9 La chose intéressante à ce sujet est que la protéine de pointe est une protéine de type prion. L’ARN qu’ils ont construit pour le [C0VlD jab], ils ont fait ce qu’on appelle l’optimisation des codons, qui impliquait de mettre beaucoup plus de guanines dans l’ARN que [trouvé] dans le [virus] d’origine. Ils ont amélioré la guanine.

Améliorer la guanine signifie augmenter le nombre de G4, ce qui signifie augmenter le risque de mauvais repliement de la protéine de pointe en une protéine de type prion. Je pense que les G4 augmentent le risque, le danger que la protéine de pointe [agisse] comme une protéine de type prion.

Mais nous ne savons pas vraiment quelle sera la conséquence d’avoir tous ces ARN G4 dans le cytoplasme. Nous avons un grand nombre de ces ARN assis là avec leurs G4. Qu’est-ce que cela va faire pour le reste du processus réglementaire du G4? Nous ne savons pas. Personne ne sait. Personne n’a la moindre idée.

Résumé

Pour résumer le point central du dernier article de Seneff, le jab C0VlD provoque la suppression de l’interféron alpha, ce qui affaiblit votre système immunitaire. En effet, les régulateurs de l’Union européenne avertissent désormais que des injections répétées de C0VlD peuvent affaiblir l’immunité globale.

Le principal mécanisme est l’altération de la réponse de l’interféron alpha, qui est essentielle à la bonne activation de votre système immunitaire inné, de votre immunité cellulaire, principalement de vos lymphocytes T et de vos cellules tueuses. Lorsqu’elle fonctionne correctement, la cellule lance la réponse à l’interféron de type 1 dès qu’elle est infectée par un virus.

Il déclenche l’entrée des cellules immunitaires, tue le virus et élimine les débris. Cela active la composante humorale de votre système immunitaire, la production d’anticorps, qui prend plus de temps. (C’est pourquoi ils disent que vous n’êtes pas protégé jusqu’à 14 jours après l’injection.)

Comment l’interféron de type 1 est-il supprimé par le jab ? Il est supprimé car l’interféron de type 1 répond à l’ARN viral et l’ARN viral n’est pas présent dans le vakx1 C0VlD. L’ARN est modifié pour ressembler à la molécule d’ARN humaine, de sorte que la voie de l’interféron n’est pas déclenchée. Pire encore, la voie de l’interféron est activement supprimée par le grand nombre de protéines de pointe produites à partir de l’ARNm dans le tir, et par les microARN dans les exosomes libérés par les cellules immunitaires stressées.

Références

Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

par Dr. Mark Bailey.

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la « découverte » du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde. (Les erreurs concernant l’existence de la particule du VIH et le fait qu’elle soit à l’origine du sida sont décrites dans Virus ManiaFR. Pour ceux qui souhaitent approfondir le sujet, je recommande le magnus opus de The Perth Group sur ce sujet).

« Les virus sont de petits parasites intracellulaires obligatoires qui, par définition, contiennent un génome d’ARN ou d’ADN entouré d’une enveloppe protéique protectrice, codée par le virus » ~ Medical Microbiology, 4th edition, 1996

Le journaliste indépendant Jeremy Hammond, qui se présente comme exposant la « dangereuse propagande d’État » entourant le COVID-19 et les dangers des vaccins, a ainsi fait la curieuse déclaration suivante en 2021 :

« L’affirmation fausse selon laquelle le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé (c’est-à-dire que son existence n’a jamais été prouvée) nuit considérablement à la crédibilité du mouvement pour la liberté de la santé et repose sur une ignorance totale de la science (le virus est constamment isolé et son génome entier est séquencé par des scientifiques du monde entier) » ~ Jeremy Hammond, 9 mars 2021

Je dirais que l’ignorance est du côté de Hammond, qui semble parvenir à sa conclusion en répétant essentiellement les affirmations des virologues et en rassurant le public sur la validité de leurs méthodologies. Ces dernières semaines, nous avons également vu le Dr Joseph Mercola présenter l’interview de Hammond et le blog de Steve Kirsch (qui fait également appel à l’autorité de la virologie) comme des « preuves » de l’existence du SARS-CoV-2. Kirsch déclare s’appuyer sur « les avis des experts en qui j’ai confiance », ce qui signifie qu’il a remis l’argument entre les mains d’autres personnes plutôt que d’enquêter lui-même sur la question. Mais est-il sage pour ces combattants de la liberté sanitaire qui s’opposent aux « experts » de l’establishment COVID de ne pas également remettre en question les virologues de l’establishment ?

Le Dr Andy Kaufman a produit une réfutation point par point du soutien de Hammond à la méthodologie d’« isolement » de la virologie moderne ici, tandis que le Dr Tom Cowan a prévenu que nous ne faisions que commencer à démanteler les absurdités de la virologie ici. Le Dr Sam Bailey a publié de nombreuses vidéos sur la question de l’isolement des virus, dont la plupart ont été interdites sur YouTube mais peuvent encore être trouvées sur Odysee. En outre, dans un essai que j’ai cosigné avec le Dr John Bevan-Smith, nous décrivons le premier pilier de la fraude COVID-19FR comme l’utilisation abusive du terme « isolement » par la virologie. En résumé, comme les virologues n’ont pas été en mesure d’isoler physiquement le moindre virus au siècle dernier, ils ont simplement changé la définition du mot, de sorte que même les virologues admettent que le terme est désormais utilisé de manière vague. Une situation étrange lorsque la méthode scientifique exige une terminologie précise.

https://odysee.com/$/embed/the-truth-about-virus-isolation-VOSTFR/81fef2417f07f84638ecb324a10aa354a56062ce?r=4tW1TZg35rP5W1xQ7DYqraiR81HezCfb

J’ai observé au cours des deux dernières années que de nombreux scientifiques, médecins et journalistes sont heureux de sauter par-dessus ce gouffre de l’« isolement » et de citer les « génomes de coronavirus » déposés dans des bases de données comme preuve que le virus doit exister. Par exemple, Steve Kirsch écrit dans son blog que :

« Je sais que Sabine Hazan a vérifié que la séquence du virus obtenue auprès de l’ATCC correspondait exactement à ce qu’elle a trouvé chez les personnes atteintes du virus » ~ Steve Kirsch, 10 janvier 2022

Il cite l’article de Hazan « Detection of SARS-CoV-2 from patient fecal samples by whole genome sequencing » comme preuve de cette affirmation. Kirsch admet qu’il ne sait pas comment les génomes ont été créés, mais ses…

« amis scientifiques semblent satisfaits avec eux. À 2000 $ la dose, je ne pense pas qu’ils commercialiseraient le produit s’il était contaminé et inutile. Ai-je tort ? » ~ Steve Kirsch, 10 janvier 2022

Malheureusement, il semble avoir été dupé par la façade high-tech du génie génomique de la virologie, où des « virus » sont créés à partir de diverses séquences génétiques détectées. En fait, il arrive que les séquences ne soient pas vraiment détectées du tout, comme l’expose le Dr Stefan Lanka dans ce qui pourrait être le coup de grâce de la virologieFR.

https://odysee.com/$/embed/Stefan-phase-3-VOSTFR/ce9fef1fd9b2e54677789664a56f32134145549b?r=4tW1TZg35rP5W1xQ7DYqraiR81HezCfb

L’article de Hazan peut servir d’exemple de la méthodologie défectueuse utilisée pour créer ces « génomes de virus ». L’équipe de recherche a obtenu des échantillons de matières fécales de 14 participants et a procédé à l’examen des séquences génétiques qu’elle pouvait détecter dans ces échantillons. Le premier problème se pose dans la section « méthodes », lorsque l’équipe déclare que « le contrôle positif du SARS-CoV-2 de l’ATCC (SARS-CoV-2 inactivé par la chaleur, VR-1986HK ; souche 2019-nCoV/USA-WA1/2020) a été inclus tout au long du traitement de l’échantillon ». Comment ont-ils su que l’échantillon contenait le virus inactivé ? Parce que l’ATCC (American Type Culture Collection) l’affirme sur son site Web en déclarant que « cette souche a été isolée à l’origine d’un cas humain dans l’État de Washington et a été déposée par les Centers for Disease Control and Prevention ». Et comment les CDC ont-ils su qu’ils avaient le virus ? Parce qu’ils ont affirmé l’avoir trouvé dans cet article.

« Coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère d’un patient atteint d’une maladie à coronavirus, États-Unis »
Mais où était le virus ?

Dans le document des CDC, il est dit qu’ils ont recueilli « des spécimens cliniques d’un patient ayant contracté le COVID-19 lors d’un voyage en Chine et qui a été identifié à Washington, aux États-Unis ». Ils ont conclu que le patient avait le COVID-19 sur la base d’un résultat de PCR qui a détecté certaines séquences dites provenir du SARS-CoV-2. Mais à ce stade, ils n’avaient aucune preuve de l’existence d’un virus – tout ce qu’ils avaient, c’était quelques séquences génétiques détectées chez un patient atteint d’une infection virale présumée. Après avoir réalisé une expérience de culture tissulaire en tube à essai sur leur échantillon clinique et prétendu qu’il y avait des preuves de la présence d’un virus en raison d’effets cytopathiquesFR non spécifiques, ils ont commencé à construire leur « génome ». Ils déclarent que « nous avons utilisé 50 μL de lysat viral pour l’extraction de l’acide nucléique total pour les tests de confirmation et le séquençage ». Il s’agit d’un autre tour de passe-passe, car il n’a pas été démontré que le « lysat viral » provenait d’un virus, il s’agit simplement d’une soupe de cultures de cellules fragmentées et d’autres additifs.

L’affirmation selon laquelle ils ont « extrait l’acide nucléique des isolats » est tout aussi trompeuse. Ils ont laissé entendre qu’ils ont isolé un virus et qu’ils savent quelles séquences d’ARN proviennent de son contenu. Cependant, cela nécessiterait que les prétendues particules virales soient réellement isolées physiquement par purification, ce qu’ils n’ont pas fait. Et je dis « présumées » parce que même s’ils purifiaient les particules, il faudrait encore démontrer qu’elles répondent à la définition d’un virus – y compris le fait d’être un parasite et l’agent causal de la maladie – ce qui n’a pas été démontré par ces auteurs ni par aucun autreFR.

Dans tous les cas, comment ont-ils su quelles séquences génétiques appartenaient au « virus » en premier lieu ? Ils ont « conçu 37 paires de PCR emboîtées couvrant le génome sur la base de la séquence de référence du coronavirus (numéro d’accession GenBank NC045512) ». Et d’où vient cette « séquence de référence » ? Cela se rapporte à l’article de Fan Wu, et al décrivant l’homme de 41 ans qui a été admis à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec une pneumonie bilatérale et malgré l’absence de nouvelles caractéristiques cliniques, on a dit qu’il était atteint d’une maladie qui a ensuite été appelée « COVID-19 ».

• Voir : « La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité »

Le spécimen était constitué de lavages pulmonaires bruts, il contenait donc un mélange de cellules humaines et potentiellement toutes sortes d’autres micro-organismes et fragments génétiques. Ils ont simplement affirmé qu’il y avait un virus dans le mélange. À partir de cet échantillon mixte, ils ont généré à l’aveugle des dizaines de millions de séquences différentes, puis ont mis leur logiciel au travail pour voir comment ils pouvaient les assembler. Pour réaliser cet « ajustement », le logiciel a recherché des « contigs », c’est-à-dire des zones où différents fragments semblent avoir des séquences qui se chevauchent. Parmi les centaines de milliers de séquences hypothétiques générées de cette manière, ils ont constaté que la plus longue séquence « continue » que l’ordinateur a pu créer faisait environ 30 000 bases et ont conclu que cette création informatique devait être le génome du nouveau virus présumé.

Ils pensaient qu’il s’agissait du génome parce que leur séquence de 30 000 bases générée de manière hypothétique était similaire à 89,1% à « un isolat de coronavirus (CoV) de chauve-souris semblable au SRAS, le SL-CoVZC45 ». Le « génome » de l’« isolat » de CoV de chauve-souris a été généré en 2018 après que « 19 paires d’amorces PCR dégénérées ont été conçues par alignement multiple des séquences SARS-CoV et SL-CoV de chauve-souris disponibles déposées dans GenBank, ciblant presque toute la longueur du génome ». En d’autres termes, ils connaissaient déjà la séquence à rechercher sur la base des séquences qui avaient été précédemment déposées dans la GenBank. Mais comment les producteurs de ces séquences déjà déposées savaient-ils qu’ils avaient trouvé des génomes viraux ? Bienvenue dans le raisonnement circulaire de la virologie moderne.

Pour expliquer la boucle dans laquelle les virologues semblent être pris au piège, cet article de 2019 publié dans Virology illustre bien le problème :

« Trois méthodes principales basées sur le HTS [séquençage à haut débit] sont actuellement utilisées pour le séquençage du génome entier viral : le séquençage métagénomique, le séquençage par enrichissement de cible et le séquençage par amplicon PCR, chacune présentant des avantages et des inconvénients (Houldcroft et al., 2017). Dans le séquençage métagénomique, l’ADN (et/ou l’ARN) total d’un échantillon comprenant l’hôte mais aussi des bactéries, des virus et des champignons est extrait et séquencé. C’est une approche simple et rentable, et c’est la seule approche qui ne nécessite pas de séquences de référence. Au contraire, les deux autres approches HTS, l’enrichissement des cibles et le séquençage des amplicons, dépendent toutes deux d’informations de référence pour concevoir les appâts ou les amorces » ~ Maurier F, et al, « A complete protocol for whole-genome sequencing of virus from clinic al samples », Virology, May 2019.

On touche là à la racine du problème. Les génomes de référence « viraux » sont créés par séquençage métagénomique, mais celui-ci est effectué sur des spécimens bruts (tels que des lavages de poumons ou des cultures de tissus non purifiés) et l’on déclare ensuite que les séquences sélectionnées sont d’origine virale. Il y a donc déjà deux problèmes : premièrement, il n’y a pas eu d’étape (c’est-à-dire de purification) pour montrer que les séquences proviennent de l’intérieur de « virus » et deuxièmement, comme décrit ci-dessus, les « génomes » générés par ordinateur sont simplement des modèles hypothétiques assemblés à partir de petits fragments génétiques, et non quelque chose dont l’existence a été prouvée dans la nature comme une séquence entière de 30 000 bases. Cependant, ces modèles in silico deviennent alors effectivement le « virus » et une entité telle que le SARS-CoV-2 est créée. Une fois que la première séquence de ce type est déposée dans une base de données, le « virus » peut être « trouvé » par d’autres grâce aux mêmes techniques métagénomiques défectueuses. Ou, comme l’indique l’article de Virology, il peut être « trouvé » par enrichissement de la cible et séquençage de l’amplicon (généralement par PCR), mais cela nécessite de disposer d’une séquence de référence… c’est-à-dire d’un modèle inventé in silico par séquençage métagénomique où la provenance des fragments génétiques était inconnue.

Il n’y a aucune partie dans le processus ci-dessus qui établit soit :

1) la composition génétique de toute particule imagée ou imaginée ; ou
2) la nature biologique de ces particules, c’est-à-dire ce qu’elles font réellement.

C’est une belle nanoparticule, mais de quoi est-elle faite et que fait-elle ?

Pouvons-nous maintenant revenir à l’article de Hazan pour constater qu’il s’agit d’un exercice inutile de virologie absurde. Ils déclarent qu’avec leur « contrôle positif du SARS-CoV-2 provenant de l’ATCC », les « génomes des patients ont été comparés au génome de référence du SARS-CoV-2 Wuhan-Hu-1 (MN90847.3) ». Le numéro d’accès MN90847.3 fait référence au « génome » actualisé qui aurait été trouvé chez l’homme de 41 ans de Wuhan, comme indiqué ci-dessus dans l’article de Fan Wu et al. La boucle est bouclée : à aucun moment il n’a été démontré qu’il y avait un virus en suivant cette piste de « génomes ». L’équipe de Fan Wu n’a jamais trouvé de virus, elle a simplement affirmé que sa simulation informatique de séquence génétique était une « nouvelle souche de virus à ARN de la famille des Coronaviridae », sans prouver que la séquence existait dans la nature ou provenait de l’intérieur d’un virus. Par conséquent, il n’y a pas eu de « détection du SARS-CoV-2 à partir d’échantillons de matières fécales de patients » comme le prétend le titre de l’article de Hazan, à moins que « SARS-CoV-2 » ne signifie des séquences génétiques d’on-ne-sait-quoi provenant d’on-ne-sait-où. Peu importe où ou à quelle fréquence ces séquences sont détectées – il n’a jamais été prouvé qu’elles étaient de nature virale. Ainsi, lorsque Steve Kirsch affirme que Hazan « a vérifié que la séquence du virus obtenue de l’ATCC correspondait exactement à ce qu’elle a trouvé chez les personnes atteintes du virus », il se trompe.

De quel « virus » parle-t-il ?

source : Dr Sam Bailey
via cv19

EN COMPLEMENT:

13/2/22: Le film « Terrain » partie 1 « La grippe des cigognes »

Confinements et mesures « sanitaires » n’ont servi à rien selon le prestigieux Institut John Hopkins

Nous avons signalé au long des mois la longue liste d’études et d’articles montrant l’inutilité des mesures de contraintes dites sanitaires. A cette somme, il convient désormais d’inclure une méta-analyse publiée par l’Institut, référence en matière d’analyse scientifique aux États-Unis.

Par Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, référent en santé publique de Covidhub.ch

Les auteurs ayant retenu 32 études évaluant l’impact des « mesures de contrainte » techniquement appelées Interventions Non-Pharmaceutiques (NPI en anglais) sur la mortalité due au Covid-19, leurs conclusions sont on ne peut plus claires :

« Si cette méta-analyse conclut que les mesures de confinement n’ont eu que peu ou pas d’effets sur la santé publique, elles ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où elles ont été adoptées. En conséquence, les politiques de confinement sont mal fondées et devraient être rejetées en tant que stratégies de gestion des pandémies. »

« Les études portant sur des NPI spécifiques (confinement par rapport à l’absence de confinement, masques faciaux, fermeture d’entreprises non essentielles, fermeture des frontières, fermeture des écoles et limitation des rassemblements) ne trouvent pas non plus de preuves générales d’effets notables sur la mortalité liée au COVID-19. »

Entendons bien : les mesures de confinement, les fermetures des commerces, restaurants, entreprises et écoles, l’imposition du port du masque, les limitations des rassemblements et les fermetures des frontières n’ont eu aucun effet probant sur la santé publique tout en se montrant socialement, économiquement, culturellement et même sanitairement dévastatrices.

Devoirs des gouvernants en santé publique

Un des principes fondamentaux en santé publique est de n’appliquer des mesures produisant de potentiels effets dommageables qu’à la condition qu’elles soient :

  1. absolument nécessaires,
  2. assurément efficaces et
  3. basées sur une science solide.

Tout en affirmant à tort que c’était le cas, nos gouvernements ont transgressé chacun de ces critères en adoptant au doigt mouillé et à la louche des trains de mesure que tous les spécialistes honnêtes savaient être inutiles et nocifs

Comment une telle dérive a-t-elle été possible ?

Retour sur quelques clés de lecture

Le choc de la pandémie de mars-avril 2020 a totalement ébranlé nos sociétés.  Il s’agissait pourtant d’une épidémie « bénigne » selon les critères habituels, ainsi que l’a encore rappelé récemment l’épidémiologiste Laurent Toubiana, preuves et données à l’appui.

Paniquées par les images terrifiantes en provenance de Chine ou des hôpitaux du Nord de l’Italie, nos autorités ont oublié tous les plans « pandémie » qui avaient été élaborés au cours des dernières décennies, sur la base des connaissances et des bonnes pratiques en santé publique.

Ceux-ci contenaient tout ce dont nous aurions eu besoin pour faire face intelligemment et efficacement à l’épidémie de Sars-CoV-2.

Aucun d’entre eux ne prévoyait, évidemment, de mesures comme le confinement de la population générale ou l’imposition du port du masque à des gens en bonne santé. Pour une raison bien simple : on savait pertinemment qu’elles étaient inutiles et produisaient des dégâts majeurs sur la population.

Les vraies bonnes pratiques

Dans un article datant de 2006, le Pr Donald Henderson, sommité historique de l’épidémiologie (crédité notamment pour son rôle dans l’éradication de la variole) rappelait sans ambages la réalité des connaissances scientifiques en matière de gestion des épidémies respiratoires virales :

« Il n’existe pas d’observations historiques ou d’études scientifiques qui soutiennent le confinement par quarantaine de groupes de personnes potentiellement infectées pendant de longues périodes afin de ralentir la propagation de la grippe.

Les conséquences négatives d’une quarantaine à grande échelle sont si extrêmes (…) que cette mesure d’atténuation devrait être éliminée de toute considération sérieuse…

Les restrictions aux voyages, telles que la fermeture des aéroports et le contrôle des voyageurs aux frontières, ont toujours été inefficaces. Le groupe de rédaction de l’Organisation mondiale de la santé a conclu que « le contrôle et la mise en quarantaine des voyageurs entrant aux frontières internationales n’ont pas retardé de manière substantielle l’introduction du virus lors des pandémies passées… et seront probablement encore moins efficaces à l’ère moderne« …

Pendant les épidémies de grippe saisonnière, les manifestations publiques auxquelles on s’attendait à assister en grand nombre ont parfois été annulées ou reportées, le but étant de réduire le nombre de contacts avec les personnes susceptibles d’être contagieuses. Il n’y a cependant aucune indication certaine que ces actions aient eu un effet significatif sur la gravité ou la durée d’une épidémie. »

Il concluait son article de manière prémonitoire en rappelant (c’est nous qui soulignons) :

« L’expérience a montré que les communautés confrontées à des épidémies ou à d’autres événements indésirables réagissent mieux et avec moins d’anxiété lorsque le fonctionnement social normal de la communauté est le moins perturbé.

Une gouvernance politique et de santé publique forte pour rassurer et garantir que les services de soins médicaux nécessaires sont fournis sont des éléments essentiels.

Si l’un ou l’autre n’est pas optimal, une épidémie gérable peut se transformer en catastrophe. »

  •  Pour voir  « Mesures de contrainte, origines et conséquences » présentation au Conseil scientifique indépendant, avril 2021 : cliquer ici.

Dictature et n’importe quoi

L’imposition des confinements et mesures de contrainte depuis 2020 ressemble à un mauvais roman dystopique : alors que ces absurdités n’étaient contenues (et pour cause) dans aucun plan pandémie, elles se sont généralisées à l’échelle mondiale après que la Chine, régime totalitaire, l’ait infligé à sa population. J’ai souligné ailleurs la stupéfiante histoire de ce shift radical passant d’un paradigme sanitaire sensé et élaboré sur une science solide à celui de mesures brutales, dogmatiques et totalitaires. Cela s’est fait en quatre étapes, mais à toute vitesse :

1/ Les plans pandémie prévoyaient donc uniquement des mesures sensées et pertinentes. Par exemple aux États-Unis : « le CDC recommande l’isolement volontaire des personnes malades à domicile » et « le CDC pourrait recommander la mise en quarantaine volontaire à domicile des membres exposés de la famille dans les zones où la nouvelle grippe circule »[1].

2/ Lorsque le verrouillage de la province du Hubei a commencé, le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en Chine a fait remarquer que « tenter de contenir une ville de 11 millions d’habitants est une nouveauté scientifique… Le verrouillage de 11 millions d’habitants est sans précédent dans l’histoire de la santé publique… »[2]

3/ Quelques jours seulement après le début du blocage, et bien avant qu’il n’ait produit des résultats : « Le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom, a ajouté qu’il était personnellement « très impressionné et encouragé par la connaissance détaillée de l’épidémie par le président [Xi Jinping] » et a félicité le lendemain la Chine pour « avoir établi une nouvelle norme en matière de réponse à l’épidémie »[3].

4/ « Ce que la Chine a démontré, c’est que vous devez le faire. Si vous le faites, vous pouvez sauver des vies et prévenir des milliers de cas de ce qui est une maladie très difficile » (Bruce Aylward, directeur général adjoint de l’OMS, fin février) Deux jours plus tard, dans une interview pour la télévision centrale chinoise (CCTV), Aylward l’a dit sans détour : « Copiez la réponse de la Chine à COVID-19.»

C’est ainsi que l’Occident adopta en trois coups de cuiller à pot, contre toute science et toute raison, une politique sanitaire dictatoriale.

Eh bien non !

Deux années plus tard, nous disposons d’une somme d’études et d’articles confirmant cette réalité connue de longue date. Les experts honnêtes et compétents n’ont cessé de rappeler la gravité de cette dérive (notamment dans la Déclaration de Great Barrington). Il vient d’être révélé comment Anthony Fauci, le très douteux pilote de la politique sanitaire américaine face au Covid, a conspiré pour discréditer les scientifiques intègres à l’origine de cette initiative.

  • Pour lire « USA: 2 stars de l’épidémiologie dévoilent comment Fauci et Collins sabotent la santé publique » sur Covidhub.ch : cliquer ici.

A la liste des 161 publications montrant la dangerosité et l’inutilité des confinements, publiées en novembre 2021, par le Brownstone Institute, vient désormais s’ajouter la méta-analyse du John Hopkins Institute, qui devrait mettre un point final au délire des confinements.

  • Pour lire « Plus de 400 études scientifiques démontrent l’échec des mesures «sanitaires» contre le Covid » sur Covidhub.ch : cliquer ici.

Dont voici la conclusion (le terme « lockdown » renvoie génériquement à toutes mesures privant les personnes de leur liberté) :

« Que nous disent les données probantes sur les effets des lockdowns sur la mortalité́ ? » Nous apportons une réponse ferme à cette question : Les preuves ne confirment pas que les lockdowns ont un effet significatif sur la réduction de la mortalité́ dans la catégorie COVID-19. L’effet est faible ou nul.

L’utilisation des lockdowns est une caractéristique unique de la pandémie COVID-19. Les confinements n’ont pas été́ utilisés dans une telle mesure au cours des pandémies du siècle dernier. Cependant, les mesures de confinement prises au cours de la phase initiale de la pandémie de COVID-19 ont eu des effets dévastateurs. Ils ont contribué́ à réduire l’activité́ économique, à augmenter le chômage, à réduire la scolarisation, à provoquer des troubles politiques, à contribuer à la violence domestique et à saper la démocratie libérale. Ces coûts pour la société́ doivent être comparés aux bénéfices des confinements, dont notre méta-analyse a montré́ qu’ils sont au mieux marginaux. Un tel calcul standard des avantages et des coûts conduit à une conclusion forte : les confinements doivent être rejetés d’emblée comme instrument de politique pandémique. »

Implications politiques

Elles sont évidemment énormes. Nos autorités, emportés par un vent de panique et sous l’influence trouble des milieux médicaux génériquement vulnérables à la corruption systémique, ont remisé les bonnes pratiques et maltraité les populations. En affirmant contre toute science que les confinements étaient absolument nécessaires et inévitables.

Cette mesure a même été utilisée comme une menace envers la population : « soumettez-vous au passe sanitaire » ou « acceptez de vous faire inoculer avec une injection génique expérimentale » sinon « nous serons obligés de vous confiner à nouveau. »

Un chantage ignoble et parfaitement fallacieux.

La vérité prend l’escalier

L’analyse de cette dérive insensée prendra du temps et devra mobiliser de larges ordres de savoirs allant de la santé publique à la criminologie en passant par la sociologie, la philosophie, l’épistémologie ainsi que les sciences économiques et politiques, avec un besoin urgent d’experts compétents et indépendants.

Une piste pourra intéresser les enquêteurs : comme l’a rappelé récemment le Dr Laurent Toubiana au micro d’ Ivan Rioufol sur la chaîne CNews, le rapport du Sénat français faisant suite au scandale sanitaire de la grippe H1N1 listait tous les éléments ayant posé problème, entre autres : focalisation absurde sur des « tests » au lieu de malades, faux indicateurs, vaccination généralisée dommageable en cours d’épidémie, corruption systémique et rôle trouble de l’OMS. Avec exactement les mêmes acteurs alors qu’aujourd’hui ! Habituellement, les rapports d’enquête servent à corriger le tir. Ici, on a surtout l’impression d’une répétition générale, les mêmes ingrédients crapuleux ayant été exploités à l’identique dix ans plus tard…

  • Pour voir « Les points sur les i » avec Laurent Toubiana, émission du 30 janvier 2022″ sur CNews : cliquer ici.
  • Pour voir « Dr Philippe de Chazournes – Les non-leçons du H1N1 », Conseil scientifique indépendant, juillet 2021 : cliquer ici.

Se posera aussi il faut l’espérer la question de la responsabilité des autorités et de leurs conseillers systémiquement corrompus : si les confinements et mesures de contrainte n’ont pas eu d’effet sur l’épidémie, ils ont en revanche détruit des dizaines de milliers de vies. Nombre de commerçants, restaurateurs, indépendants, entrepreneurs, ont fait faillite comme conséquence de ces mesures qui n’auraient jamais dû leur être imposées. La santé mentale de la population a été fortement touchée, en particulier dans les groupes les plus vulnérables de la population, aînés, enfants et jeunes en premier. En l’absence de toute science digne de ce nom en faveur des confinements, tout ceci constitue une négligence grave de la part des autorités, a priori pénalement répréhensible.

Sauve qui peut ?

A mesure que toutes les informations sortent sur la gestion politique calamiteuse qui a bien, selon la sombre intuition du Pr Henderson, « transformé une épidémie gérable en catastrophe », les gouvernants commencent à couvrir leurs arrières. Comme l’a récemment fait le ministre suisse de la santé : « nous avons certainement commis des erreurs, mais y a-t-il un autre pays où vous aurait aimé vivre la pandémie plutôt qu’en Suisse ? » demandait-il au journaliste. La question n’est pas là : quand un gouvernement piétine la science et impose des mesures destructrices sans la moindre validité, il ne peut décemment prétendre éviter d’avoir à rendre des comptes.

Reste aussi bien sûr posée la question des « experts » et autres « Task force scientifique » qui n’ont cessé au long des mois de faire paniquer la population avec des projections, des données et des informations fausses, au premier rang desquelles la nécessité impérieuse des mesures de confinement.

Cette question a deux volets que nous ne ferons que mentionner ici : celui d’une part du conformisme et de la soumission d’un milieu qui devrait défendre paradigmatiquement l’esprit critique et l’intégrité intellectuelle ; et d’autre part celui de la corruption systémique avec ses dérives criminelles, dont le Pr Peter Goetzsche avait déjà posé le diagnostic en soulignant que les agissements contemporains de l’industrie pharmaceutique relèvent des mêmes méthodes que celles du crime organisé.

  • Pour lire l’article « Richard Smith: Is the pharmaceutical industry like the mafia? » sur le site du British Medical Journal (en anglais) : cliquer ici.
  • Pour voir « La corruption systémique dans le domaine de la santé », Conseil scientifique indépendant, avril 2021 : cliquer ici.

Si la population et nombre de particuliers ont beaucoup sinon tout perdu dans cette sale affaire, d’autres s’en sortent plutôt bien. Ce qui n’est le cas ni de la science, ni de la démocratie, ni de l’état de droit.

  • Pour télécharger l’étude « A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ON COVID-19 MORTALITY » (en anglais) au format pdf : cliquer ici.

[1] Noreen Quails et al., Community Mitigation Guidelines to Prevent Pandemic Influenza, United States, 2017 (Sonja A. Rasmussen et al. eds., 2017).

[2] Sinéad Baker, China extended its Wuhan coronavirus quarantine to 2 more cities, cutting off 19 million people in an unprecedented effort to stop the outbreak, Business Insider, Jan. 23, 2020

[3] World Health Organization, WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV), Jan. 30, 2020

Historique: la démystification officielle de la virologie

Au cours d’une première phase, le Dr Lanka a montré que ce que les virologues attribuent à la présence d’un virus pathogène – la mort des cellules en éprouvette – peut être obtenu sans l’utilisation d’un quelconque matériel infectieux, car la technique qu’ils utilisent tue les cellules d’elle-même. Une vidéo très détaillée et simple qui explique la première phase des expériences de contrôle peut être trouvée ici (VF disponible ci-dessous  et vidéo sur le même sujet en VOSTFR)

https://odysee.com/@olya:b/VirologyFraud:0

Dans la deuxième phase, le Dr Lanka a montré que ce que les virologues appellent un « matériel génétique viral » peut provenir d’un tissu humain sain.
Vous trouverez plus de détails sur la 2ème phase ci-dessous.

https://odysee.com/@cv19:b/Stefan-Lanka—2e-phase-des-exp%C3%A9riences-t%C3%A9moins:e

Dans la troisième phase, il montrera qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ».

https://odysee.com/@cv19:b/Stefan-phase-3-VOSTFR:c

https://odysee.com/@katie.su
Transcrit FR
via : https://cv19.fr

30 faits que vous DEVEZ connaître : Votre fiche d’information C0VlD

par Kit Knightly.

Vous l’avez demandé, alors nous l’avons fait. Une collection de tous les arguments dont vous aurez besoin.

Nous recevons beaucoup d’e-mails et de messages privés du genre « avez-vous une source pour X ? » ou « pouvez-vous m’indiquer des études sur les masques ? » ou « je sais que j’ai vu un graphique sur la mortalité, mais je ne le trouve plus ». Nous comprenons que ces 18 mois ont été longs et qu’il y a tellement de statistiques et de chiffres à essayer de garder en tête.

Alors, pour faire face à toutes ces demandes, nous avons décidé de dresser une liste par points et par sources de tous les points clés.

Voici les principaux faits et sources concernant la prétendue « pandémie », qui vous aideront à comprendre ce qui est arrivé au monde depuis janvier 2020, et à éclairer tous vos amis qui seraient encore prisonniers du brouillard de la nouvelle normalité.

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Partie I : « Morts du Covid » et mortalité

1. Le taux de survie du « Covid » est supérieur à 99%. Les experts médicaux du gouvernement ont fait tout leur possible pour souligner, dès le début de la pandémie, que la grande majorité de la population ne courait aucun danger avec le Covid.https://www.youtube.com/embed/adj8MCsZKlg

Presque toutes les études sur le taux de létalité (IFR) du Covid ont donné des résultats compris entre 0,04% et 0,5%. Ce qui signifie que le taux de survie du Covid est d’au moins 99,5%.

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2. Il n’y a eu AUCUNE surmortalité inhabituelle. La presse a qualifié l’année 2020 d’« année la plus meurtrière depuis la Seconde Guerre mondiale» au Royaume-Uni, mais cette affirmation est trompeuse car elle ne tient pas compte de l’augmentation massive de la population depuis cette époque. Une mesure statistique plus raisonnable de la mortalité est le taux de mortalité standardisé sur l’âge (TMS) :

Selon cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année pour la mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seules 9 années ont été meilleures que 2020.

De même, aux États-Unis, le TMS pour 2020 n’est qu’au niveau de 2004 :

Pour une analyse détaillée de l’impact du Covid sur la mortalité en Europe occidentale et aux États-Unis, cliquez ici. Les augmentations de la mortalité que nous avons observées pourraient être attribuées à des causes non liées au Covid [faits 7, 9 et 19].

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3. Le nombre de « décès dus au Covid » est artificiellement gonflé. Les pays du monde entier définissent le « décès dû au Covid » comme un « décès, quelle qu’en soit la cause, dans les 28/30/60 jours suivant un test positif ».

Des responsables de la santé d’Italie, d’Allemagne, du Royaume-Uni, des États-Unis, d’Irlande du Nord et d’autres pays ont tous admis cette pratique :https://www.youtube.com/embed/Tw9Ci2PZKZg

La suppression de toute distinction entre le décès dû au Covid et le décès dû à autre chose après un test positif au Covid entraînera naturellement un surdénombrement des « décès dus au Covid ». Le Dr John Lee, pathologiste britannique, a mis en garde contre cette « surestimation substantielle » dès le printemps dernier. D’autres sources grand public l’ont également signalé.

Compte tenu de l’énorme pourcentage d’infections « asymptomatiques » par le Covid [fait 14], de la prévalence bien connue de comorbidités graves [fait 4] et de la possibilité de tests faussement positifs [fait 18], le nombre de décès dus au Covid est une statistique extrêmement peu fiable.

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4. La grande majorité des morts covid avaient des comorbidités sérieuses. En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2% de leurs « décès Covid » avaient au moins une comorbidité grave.

Celles-ci comprenaient le cancer, les maladies cardiaques, la démence, la maladie d’Alzheimer, l’insuffisance rénale et le diabète (entre autres). Plus de 50% d’entre eux présentaient au moins trois pathologies graves préexistantes.

Ce schéma s’est maintenu dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une requête FOIA d’octobre 2020 auprès de l’ONS britannique a révélé que moins de 10% du décompte officiel des « décès dus au Covid » à cette époque avaient le Covid comme seule cause de décès.

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5. L’âge moyen des décès dus au Covid est supérieur à l’espérance de vie moyenne. L’âge moyen des morts « Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, il est de 86 ans. En Allemagne, 83 ans. En Suisse, 86 ans. Au Canada, 86. Aux États-Unis, 78, en Australie, 82.

Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale.

Ainsi, pour la majeure partie du monde, la « pandémie » n’a eu que peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. À titre de comparaison, la grippe espagnole a entraîné une baisse de 28% de l’espérance de vie aux États-Unis en un peu plus d’un an.

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6. La mortalité covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle. Des études statistiques menées au Royaume-Uni et en Inde ont montré que la courbe des « morts Covid » suit presque exactement la courbe de la mortalité attendue :

Le risque de décès « dû au Covid » suit, presque exactement, le risque de décès naturel en général.

La légère augmentation pour certains des groupes d’âge plus élevés peut être expliquée par d’autres facteurs [faits 7, 9 et 19].

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7. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation de NPR « illégaux ». Les organismes de surveillance et les agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des Ordres de ne pas réanimer (NPR) au cours des vingt derniers mois.

Aux États-Unis, les hôpitaux ont envisagé des « NPR universels » pour tout patient testé positif au Covid, et des infirmières dénonciatrices ont admis que le système de NPR était utilisé de manière abusive à New York.

Au Royaume-Uni, on a constaté une augmentation « sans précédent » du nombre de NPR « illégaux » pour les personnes handicapées. Les cabinets de médecins généralistes ont envoyé des lettres aux patients en fin de vie pour leur recommander de signer des Ordres de ne pas réanimer, tandis que d’autres médecins ont signé des Ordres de ne pas réanimer généraux pour des maisons de retraite entières.

Une étude réalisée par l’Université de Sheffield a révélé que plus d’un tiers de tous les patients « suspectés » de Covid avaient un NPR joint à leur dossier dans les 24 heures suivant leur admission à l’hôpital.

L’utilisation généralisée de NPR forcés ou illégaux pourrait expliquer toute augmentation de la mortalité en 2020/21 [Faits 2 & 6].

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Partie II : Confinements

8. Les confinements n’empêchent pas la propagation des maladies. Il n’y a que peu ou pas de preuves que les confinements ont un quelconque impact sur la limitation des « décès Covid ». Si l’on compare les régions qui ont procédé à un confinement à celles qui ne l’ont pas fait, on ne voit aucune tendance.

« Décès dus au covid » en Floride (pas de confinement) et en Californie (confinement).
« Décès dus au Covid » en Suède (pas de confinement) vs Royaume-Uni (confinement).

9. Les confinements tuent les gens. Il existe des preuves solides que les confinements – à travers les dommages sociaux, économiques et de santé publique – sont plus mortels que le « virus ».

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation mondiale de la Santé pour le Covid-19, a décrit les confinements comme une « catastrophe mondiale » en octobre 2020 :

« Nous, à l’Organisation mondiale de la Santé, ne préconisons pas les confinements comme principal moyen de lutte contre le virus […] il semble que nous pourrions avoir un doublement de la pauvreté mondiale d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile […] C’est une catastrophe mondiale terrible, épouvantable ».

Un rapport de l’ONU datant d’avril 2020 prévient que des centaines de milliers d’enfants seront tués par l’impact économique des confinements, tandis que des dizaines de millions d’autres risquent la pauvreté et la famine.

Le chômage, la pauvreté, le suicide, l’alcoolisme, la toxicomanie et d’autres crises sociales et de santé mentale sont en hausse dans le monde entier. Les opérations chirurgicales et les dépistages manqués ou retardés vont entraîner une augmentation de la mortalité due aux maladies cardiaques, au cancer, etc. dans un avenir proche.

L’impact du confinement expliquerait la légère augmentation de la surmortalité [Faits 2 & 6].

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10. Les hôpitaux n’ont jamais été exceptionnellement surchargés. Le principal argument utilisé pour défendre le confinement est que « l’aplatissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de santé de l’effondrement. Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été proches de l’effondrement.

En mars 2020, il a été rapporté que les hôpitaux espagnols et italiens débordaient de patients, mais cela se produit à chaque saison de grippe. En 2017, les hôpitaux espagnols étaient à 200% de leur capacité, et 2015 a vu des patients dormir dans les couloirs. Un article du JAMA de mars 2020 a révélé que les hôpitaux italiens « fonctionnent généralement à 85-90% de leur capacité pendant les mois d’hiver ».

Au Royaume-Uni, le NHS est régulièrement mis à rude épreuve pendant l’hiver.

Dans le cadre de sa politique Covid, le NHS a annoncé au printemps 2020 qu’il allait « réorganiser la capacité des hôpitaux selon de nouvelles méthodes pour traiter séparément les patients Covid et non Covid » et que « par conséquent, les hôpitaux connaîtront des pressions de capacité à des taux d’occupation globaux inférieurs à ce qui aurait été le cas auparavant ».

Cela signifie qu’ils ont supprimé des milliers de lits. Pendant une prétendue pandémie mortelle, ils ont réduit le taux d’occupation maximal des hôpitaux. Malgré cela, le NHS n’a jamais ressenti de pression au-delà de la saison de grippe typique, et a parfois eu quatre fois plus de lits vides que la normale.

Au Royaume-Uni et aux États-Unis, des millions de dollars ont été dépensés pour des hôpitaux d’urgence temporaires qui n’ont jamais été utilisés.

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Partie III : Tests PCR

11. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer les maladies. Le test RT-PCR (Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction) est décrit dans les médias comme le « standard or » pour le diagnostic Covid. Mais l’inventeur de ce procédé, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic, et l’a dit publiquement :

« La PCR n’est qu’un procédé qui vous permet de produire une grande quantité de quelque chose à partir de quelque chose. Il ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose que vous avez obtenue va vous faire du mal ou quoi que ce soit d’autre ».

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12. Les tests PCR ont un historique d’imprécision et de manque de fiabilité. Les tests PCR pour le Covid sont connus pour produire beaucoup de résultats faussement positifs, en réagissant à des matériaux d’ADN qui ne sont pas spécifiques au Sars-Cov-2.

Une étude chinoise a montré qu’un même patient pouvait obtenir deux résultats différents avec le même test le même jour. En Allemagne, on sait que des tests ont réagi à des virus du rhume. Une étude de 2006 a révélé que les tests PCR pour un virus réagissaient également à d’autres virus. En 2007, le recours aux tests PCR a entraîné une « épidémie » de coqueluche qui n’a jamais existé. Aux États-Unis, certains tests ont même réagi à l’échantillon de contrôle négatif.

L’ancien président de la Tanzanie, John Magufuli, a soumis des échantillons de chèvre, de papaye et d’huile de moteur à des tests PCR, qui se sont tous révélés positifs au virus.

Dès février 2020, les experts ont admis que le test n’était pas fiable. Le Dr Wang Cheng, président de l’Académie chinoise des Qciences médicales, a déclaré à la télévision d’État chinoise : « La précision des tests n’est que de 30 à 50% ». Sur le site web du gouvernement australien, on peut lire : « Les données disponibles pour évaluer la précision et l’utilité clinique des tests COVID-19 disponibles sont limitées ». Et un tribunal portugais a jugé que les tests PCR étaient « peu fiables » et ne devaient pas être utilisés pour le diagnostic.

Vous pouvez lire des analyses détaillées des défaillances des tests PCR iciici et ici.

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13. Les valeurs CT des tests PCR sont trop élevées. Les tests PCR sont exécutés en cycles, le nombre de cycles que vous utilisez pour obtenir votre résultat est connu comme votre « seuil de cycle » ou valeur CT. Kary Mullis a déclaré : « Si vous devez effectuer plus de 40 cycles […], il y a quelque chose qui ne va pas du tout avec votre PCR».

Les directives de la MIQE en matière de PCR sont d’accord, puisqu’elles stipulent ce qui suit : « Les valeurs de [CT] supérieures à 40 sont suspectes en raison de la faible efficacité implicite et ne doivent généralement pas être rapportées », le Dr Fauci lui-même a même admis que tout ce qui dépasse 35 cycles n’est presque jamais cultivable.

Le Dr Juliet Morrison, virologue à l’Université de Californie, Riverside, a déclaré au New York Times : « Tout test dont le seuil de cycles est supérieur à 35 est trop sensible… Je suis choquée que les gens puissent penser que 40 [cycles] puissent représenter un positif… Un seuil plus raisonnable serait de 30 à 35 ».

Dans le même article, le Dr Michael Mina, de l’école de santé publique de Harvard, a déclaré que la limite devrait être de 30. L’auteur poursuit en soulignant que la réduction du CT de 40 à 30 aurait réduit les « cas de Covid » dans certains États jusqu’à 90%.

Les propres données du CDC suggèrent qu’aucun échantillon de plus de 33 cycles ne peut être cultivé, et l’Institut Robert Koch d’Allemagne affirme que rien de plus de 30 cycles n’est susceptible d’être infectieux.

Malgré cela, on sait que presque tous les laboratoires aux États-Unis effectuent leurs tests à au moins 37 cycles et parfois jusqu’à 45. La « procédure opérationnelle standard » du NHS pour les tests PCR fixe la limite à 40 cycles.

Sur la base de ce que nous savons des valeurs CT, la majorité des résultats des tests PCR sont au mieux douteux.

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14. L’Organisation mondiale de la Santé a admis (deux fois) que les tests PCR produisaient des faux positifs. En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus de PCR indiquant aux laboratoires de se méfier des valeurs CT élevées qui entraînent des résultats faussement positifs :

« Lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir ».

Puis, en janvier 2021, l’OMS a publié un autre mémo, avertissant cette fois que les tests PCR positifs « asymptomatiques » devaient être retestés car il pouvait s’agir de faux positifs :

« Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente ».

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15. La base scientifique des tests Covid est discutable. Le génome du virus Sars-Cov-2 a soi-disant été séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (Christian Drosten et al.) auraient utilisé ce génome pour créer des essais pour les tests PCR.

Ils ont rédigé un article intitulé « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel », qui a été soumis pour publication le 21 janvier 2020, puis accepté le 22 janvier. Cela signifie que l’article a été prétendument « examiné par les pairs » en moins de 24 heures. Un processus qui prend généralement des semaines.

Depuis lors, un consortium de plus de quarante spécialistes des sciences de la vie a demandé le retrait de l’article, en rédigeant un long rapport détaillant dix erreurs majeures dans la méthodologie de l’article.

Ils ont également demandé la publication du rapport d’examen par les pairs du journal, afin de prouver que l’article a réellement été soumis au processus d’examen par les pairs. Le journal ne s’est pas encore exécuté.

Les tests de Corman-Drosten sont à la base de tous les tests PCR de Covid dans le monde. Si l’article est douteux, chaque test PCR l’est aussi.

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Partie IV : « Infection asymptomatique »

16. La majorité des infections Covid sont « asymptomatiques ». Dès mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75% des tests Covid positifs ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique datant d’août 2020 a révélé que 86% des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

Il est littéralement impossible de faire la différence entre un « cas asymptomatique » et un résultat de test faussement positif.

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17. Il existe très peu de preuves à l’appui du prétendu danger de « transmission asymptomatique ». En juin 2020, le Dr Maria Van Kerkhove, chef de l’unité des maladies émergentes et des zoonoses de l’OMS, a déclaré :

« D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette effectivement le virus à un individu secondaire ».

Une méta-analyse des études Covid, publiée par le Journal of the American Medical Association (JAMA) en décembre 2020, a révélé que les porteurs asymptomatiques avaient moins de 1% de chances d’infecter les personnes de leur foyer. Une autre étude, réalisée sur la grippe en 2009, a trouvé :

« … des preuves limitées pour suggérer l’importance de la transmission [asymptomatique]. Le rôle des personnes asymptomatiques ou présymptomatiques infectées par la grippe dans la transmission de la maladie a peut-être été surestimé… »

Étant donné les défauts connus des tests PCR, de nombreux « cas asymptomatiques » peuvent être des faux positifs [fait 14].

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Partie V : Respirateurs

18. La ventilation n’est PAS un traitement pour les virus respiratoires. La ventilation mécanique n’est pas, et n’a jamais été, un traitement recommandé pour les infections respiratoires, quelles qu’elles soient. Dans les premiers jours de la pandémie, de nombreux médecins ont remis en question l’utilisation des respirateurs pour traiter le « Covid ».

Dans The Spectator, le Dr Matt Strauss a déclaré :

« Les respirateurs ne guérissent aucune maladie. Ils peuvent remplir vos poumons d’air lorsque vous êtes incapable de le faire vous-même. Dans la conscience du public, ils sont associés aux maladies pulmonaires, mais ce n’est en fait pas leur application la plus courante ou la plus appropriée ».

Le Dr Thomas Voshaar, pneumologue allemand et président de l’Association des cliniques pneumatologiques, a déclaré :

« Nous avons lu les premières études et les premiers rapports sur le sujet : Lorsque nous avons lu les premières études et rapports en provenance de Chine et d’Italie, nous nous sommes immédiatement demandé pourquoi l’intubation y était si courante. Cela contredisait notre expérience clinique de la pneumonie virale ».

Malgré cela, l’OMS, les CDC, l’ECDC et le NHS ont tous « recommandé » de ventiler les patients atteints de Covid au lieu d’utiliser des méthodes non invasives.

Il ne s’agissait pas d’une politique médicale visant à traiter au mieux les patients, mais plutôt à réduire la propagation hypothétique du Covid en empêchant les patients d’expirer des gouttelettes d’aérosol.

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19. Les respirateurs ont tué des gens. Mettre une personne sous respirateur qui souffre de la grippe, d’une pneumonie, d’une maladie pulmonaire obstructive chronique, ou de toute autre condition qui restreint la respiration ou affecte les poumons, ne soulagera aucun de ces symptômes. En fait, il est presque certain que cela les aggravera, et que beaucoup d’entre eux en mourront.

Les tubes d’intubation sont une source potentielle d’infection connue sous le nom de « pneumonie associée au respirateur », qui, selon les études, touche jusqu’à 28% de toutes les personnes placées sous respirateur et tue 20 à 55% des personnes infectées.

La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des « lésions pulmonaires induites par le respirateur », qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie, voire entraîner la mort.

Les experts estiment que 40 à 50% des patients ventilés meurent, quelle que soit leur maladie. Dans le monde entier, entre 66 et 86% de tous les « patients Covid » placés sous respirateur sont morts.

Selon « l’infirmière sous couverture », les respirateurs étaient tellement mal utilisés à New York qu’ils détruisaient les poumons des patients :https://www.youtube.com/embed/UIDsKdeFOmQ

Cette politique était au mieux une négligence, au pire un meurtre délibéré. Cette mauvaise utilisation des respirateurs pourrait expliquer toute augmentation de la mortalité en 2020/21 [Faits 2 & 6].

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Partie VI : Les masques

20. Les masques ne fonctionnent pas. Au moins une douzaine d’études scientifiques ont montré que les masques ne font rien pour arrêter la propagation des virus respiratoires.

Une méta-analyse publiée par les CDC en mai 2020 n’a trouvé « aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques ».

Une autre étude portant sur plus de 8000 sujets a révélé que les masques « ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques ».

Il y en a littéralement trop pour les citer toutes, mais vous pouvez les lire :  [1][2][3][4][5][6][7][8][9][10], ou lire un résumé par SPR ici.

Alors que certaines études ont été faites prétendant montrer que le masque fonctionne pour le Covid, elles sont toutes sérieusement défectueuses. L’une d’entre elles s’appuyait sur des enquêtes autodéclarées comme données. Une autre était si mal conçue qu’un panel d’experts a demandé son retrait. Une troisième a été retirée après que ses prédictions se soient révélées totalement erronées.

L’OMS a commandé sa propre méta-analyse dans The Lancet, mais cette étude ne portait que sur les masques N95 et uniquement dans les hôpitaux. [Pour un compte rendu complet des mauvaises données de cette étude, cliquez ici].

En dehors des preuves scientifiques, il existe de nombreuses preuves concrètes que les masques ne font rien pour arrêter la propagation des maladies.

Par exemple, le Dakota du Nord et le Dakota du Sud ont enregistré des chiffres de cas presque identiques, bien que l’un d’entre eux ait imposé le port du masque et l’autre non :

Au Kansas, les comtés sans obligation de porter un masque ont en fait enregistré moins de « cas » de Covid que les comtés avec obligation de porter un masque. Et bien que les masques soient très courants au Japon, ce pays a connu en 2019 sa pire épidémie de grippe depuis des décennies.

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21. Les masques sont mauvais pour la santé. Porter un masque pendant de longues périodes, porter le même masque plus d’une fois, et d’autres aspects des masques en tissu peuvent être mauvais pour votre santé. Une longue étude sur les effets néfastes du port de masque a récemment été publiée par l’International Journal of Environmental Research and Public Health.

Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il constatait une augmentation des pneumonies bactériennes, des infections fongiques, des éruptions cutanées sur le visage.

Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes.

Les enfants qui portent des masques respirent par la bouche, ce qui entraîne des déformations faciales.

Des personnes du monde entier se sont évanouies en raison d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leur masque, et certains enfants en Chine ont même subi un arrêt cardiaque soudain.

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22. Les masques sont mauvais pour la planète. Des millions et des millions de masques jetables ont été utilisés chaque mois pendant plus d’un an. Un rapport de l’ONU a révélé que la pandémie de Covid-19 entraînera probablement un doublement des déchets plastiques au cours des prochaines années, et la grande majorité de ces déchets sont des masques.

Le rapport poursuit en avertissant que ces masques (et d’autres déchets médicaux) vont obstruer les systèmes d’égouts et d’irrigation, ce qui aura des répercussions sur la santé publique, l’irrigation et l’agriculture.

Une étude de l’Université de Swansea a révélé que « des métaux lourds et des fibres de plastique étaient libérés lorsque des masques jetables étaient immergés dans l’eau ». Ces matériaux sont toxiques pour les personnes et la faune.

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Partie VII : Vakx1s

23. Les « vakx1s » Covid sont totalement inédits. Avant 2020, aucun vakx1 réussi contre un coronavirus humain n’avait jamais été développé. Depuis, nous en avons prétendument fabriqué 20 en 18 mois.

Les scientifiques tentent de développer un vakx1 contre le SRAS et le MERS depuis des années, sans grand succès. Certains des vakx1s ratés contre le SRAS ont en fait provoqué une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vakxinées pouvaient potentiellement contracter la maladie plus gravement que les souris non vakxinées. Une autre tentative a provoqué des lésions hépatiques chez les furets.

Alors que les vakx1s traditionnels fonctionnent en exposant l’organisme à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vakx1s Covid sont des vakx1s à ARNm.

En théorie, les vakx1s à ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent en injectant l’ARNm viral dans l’organisme, où il se réplique à l’intérieur des cellules et encourage l’organisme à reconnaître et à fabriquer des antigènes pour les « protéines spike » du virus. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais avant 2020, aucun vakx1 à ARNm n’a jamais été autorisé.

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24. Les vakx1s ne confèrent pas d’immunité et ne préviennent pas la transmission. On admet volontiers que les « vakx1s » Covid ne confèrent pas l’immunité contre l’infection et n’empêchent pas de transmettre la maladie à d’autres. En effet, un article du British Medical Journal a souligné que les études sur les vakx1s n’étaient pas conçues pour essayer de déterminer si les « vakx1s » limitaient la transmission.

Les fabricants de vakx1s eux-mêmes, lors de la mise sur le marché des thérapies géniques à ARNm non testées, ont clairement indiqué que « l’efficacité » de leur produit était basée sur la « réduction de la gravité des symptômes ».

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25. Les vakx1s ont été fabriqués à la hâte et leurs effets à long terme sont inconnus. Le développement de vakx1s est un processus lent et laborieux. Habituellement, il faut de nombreuses années pour passer du développement à l’essai et enfin à l’approbation de l’utilisation publique. Les différents vakx1s contre le Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. Il est évident qu’il ne peut y avoir de données de sécurité à long terme sur des produits chimiques qui ont moins d’un an.

Pfizer admet même que c’est vrai dans la fuite du contrat de fourniture entre le géant pharmaceutique et le gouvernement albanais :

« Les effets à long terme et l’efficacité du vakx1 ne sont actuellement pas connus et il peut y avoir des effets indésirables du vakx1 qui ne sont actuellement pas connus ».

En outre, aucun des vakx1s n’a été soumis à des essais appropriés. Nombre d’entre eux n’ont pas fait l’objet d’essais précoces et les derniers essais sur l’homme n’ont pas été évalués par des pairs, n’ont pas publié leurs données, ne se termineront pas avant 2023 ou ont été abandonnés après des « effets indésirables graves ».

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26. Les fabricants de vakx1s se sont vu accorder une indemnité légale en cas de préjudice. Le Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP) des États-Unis accorde une immunité jusqu’en 2024 au moins.

La loi européenne sur l’homologation des produits fait de même, et l’on signale l’existence de clauses de responsabilité confidentielles dans les contrats que l’UE a signés avec les fabricants de vakx1s.

Le Royaume-Uni est allé encore plus loin, en accordant une indemnité légale permanente au gouvernement, et à tout employé de celui-ci, pour tout préjudice causé lorsqu’un patient est traité pour le Covid19 ou « suspecté d’avoir le Covid ».

Une fois encore, la fuite du contrat albanais suggère que Pfizer, au moins, a fait de cette indemnité une exigence standard de la fourniture des vakx1s Covid :

« L’acheteur accepte par la présente d’indemniser, de défendre et de dégager de toute responsabilité Pfizer […] en cas de poursuites, de réclamations, d’actions, de demandes, de pertes, de dommages, de responsabilités, de règlements, de pénalités, d’amendes, de coûts et de dépenses… »

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Partie VIII : Déception et prescience

27. L’UE préparait des « passeports vakxinaux » au moins un an avant le début de la pandémie. Les contre-mesures proposées par le COVID, présentées au public comme des mesures d’urgence improvisées, existent depuis avant l’émergence de la maladie.

Deux documents de l’UE publiés en 2018, « L’État de la confiance dans les vakx1s en 2018 » et un rapport technique intitulé « Conception et mise en œuvre d’un système d’information sur la vakxination » ont discuté de la plausibilité d’un système de surveillance de la vakxination à l’échelle de l’UE.

Ces documents ont été regroupés dans la « Feuille de route pour la vakxination » de 2019, qui (entre autres) a établi une « étude de faisabilité » sur les passeports vakxinaux devant commencer en 2019 et se terminer en 2021 :

Les conclusions finales de ce rapport ont été rendues publiques en septembre 2019, un mois seulement avant l’Événement 201 (ci-dessous).

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28. Un « exercice d’entraînement » a prédit la pandémie quelques semaines seulement avant son déclenchement. En octobre 2019, le Forum économique mondial et l’Université Johns Hopkins ont organisé l’Événement 201. Il s’agissait d’un exercice d’entraînement basé sur un coronavirus zoonotique déclenchant une pandémie mondiale. L’exercice était parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates et GAVI, l’alliance pour les vakx1s.

L’exercice a publié ses conclusions et recommandations en novembre 2019 sous la forme d’un « appel à l’action ». Un mois plus tard, la Chine a enregistré son premier cas de « Covid ».

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29. Depuis le début de l’année 2020, la grippe a « disparu ». Aux États-Unis, depuis février 2020, les cas de grippe auraient chuté de plus de 98%.

Il n’y a pas que les États-Unis, la grippe a apparemment presque totalement disparu dans le monde.

Pendant ce temps, une nouvelle maladie appelée « Covid », qui présente des symptômes identiques et un taux de mortalité similaire à celui de la grippe, affecte apparemment toutes les personnes normalement touchées par la grippe.

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30. L’élite a fait fortune pendant la pandémie. Depuis le début du verrouillage, les personnes les plus riches se sont considérablement enrichies. Forbes a rapporté que 40 nouveaux milliardaires ont été créés « en combattant le coronavirus », dont 9 sont des fabricants de vakx1s.

Selon Business Insider, « les milliardaires ont vu leur valeur nette augmenter d’un demi-billion de dollars » d’ici à octobre 2020.

Il est clair que ce chiffre sera encore plus important à l’heure actuelle.

*

Ce sont les faits essentiels de la pandémie, présentés ici comme une ressource pour aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des inconnus. Merci à tous les chercheurs qui ont rassemblé ces informations au cours des vingt derniers mois, en particulier Swiss Policy Research.

source : https://off-guardian.org
traduction Réseau International

Technologies des nano-circuits dans le corps humain

Très belle présentation synthétique mais néanmoins très documentée de Chloé Frammery dans le cadre de l’Info en questions n° 82 sur les technologies de nano-circuits destinés à être injectés dans le corps humain et peut-être déjà expérimentées dans les injections actuelles.

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/NanoCircuitsVaccins:1
Documents relatifs à la présentation:

Présentation « Nanocircuits dans les vaccins » :
http://gerardscheller.ch/Presentation-IEQ82-Nanocircuits_dans_les_vaccins.pptx
PDF : http://gerardscheller.ch/Presentation-IEQ82-Nanocircuits_dans_les_vaccins.pdf
• Le Dr. Pablo Campra a observé des nano-circuits dans les 4 injections permettant : contrôle neuronal, détection bluetooth : https://rumble.com/vrsxi6-du-graphne-dans-les-injections-.html
• L’expérience interdite (détection bluetooth des injectés) : https://crowdbunker.com/v/frlM4D1haF
• Publication de Dr Pablo Campra – 29.11.21 téléchargeable ici : https://www.researchgate.net/publication/356507702_MICROSTRUCTURES_IN_COVID_VACCINES_inorganic_crystals_or_Wireless_Nanosensors_Network
• Analyse de l’analyse du Dr Pablo Campra, en français : http://gerardscheller.ch/Nano-reseau-etude_de_la_publication_de_Dr_Pablo_Campra_29-11-21.pdf
• Article de Liliane Held-Khawam : https://lilianeheldkhawam.com/2021/12/16/co-ro-na-pour-systeme-de-coordonnees-et-de-routage-pour-les-nanoreseaux/
• Présentation de Mik Andersen (en Anglais) : https://lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2021/12/12-intracorporal_nanonetwork.pdf
• Transistor, page Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Transistor

Etude de 2013 sur les nanorouteurs : https://doi.org/10.1109/JSAC.2013.SUP2.12130015
• Etude de 2018 sur les réseaux de nanocommunication pour le corps humain : https://www.ianakyildiz.com/bwn/papers/2014/j18.pdf
• Publication de 2010 : https://ieeexplore.ieee.org/abstract/document/5505714 => Analyse de Mik Andersen (2010) : https://corona2inspect.blogspot.com/2021/09/redes-nanocomunicacion-inalambrica-nanotecnologia-cuerpo-humano.html
• Publication de 2018 : http://dx.doi.org/10.1049/htl.2017.0034 => Analyse de Mik Andersen (2018) : https://corona2inspect.blogspot.com/2021/12/encontrada-evidencia-que-confirmaria-la.html

Analyse de vaccins – la 2ème vidéo [35:07] révèle des structures métalliques anguleuses : https://pathologie-konferenz.de/fr/

Article CORONA (2015) : https://dl.acm.org/doi/10.1145/2800795.28008

• Les magazines de Graphene Flagship sont téléchargeables ici : https://graphene-flagship.eu/graphene/graphene-magazine/

VIdéo de Ricardo Delgado, Quinta Columna : https://www.brighteon.com/cf03d0b1-a6ca-4741-b484-9ed90d818d23

Cette même vidéo doublée en français: Les « vaccins », leur contenu et leur objectif final (FR)

Sur les vakx1s C0VlD : pourquoi ils ne peuvent pas fonctionner et preuves irréfutables de leur rôle causal dans les décès après vakxination

Posted le 26 décembre 2021 par mirastnews

Ce texte est un résumé écrit des présentations du Dr Bhakdi et du Dr Burkhardt au symposium Doctors for COVID Ethics qui a été diffusé en direct par UKColumn le 10 décembre 2021. Les deux présentations peuvent être visionnées au tout début de l’enregistrement vidéo du colloque.

Les auteurs

Le Dr Bhakdi a passé sa vie à pratiquer, enseigner et faire des recherches sur la microbiologie médicale et les maladies infectieuses. Il a présidé l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’université Johannes Gutenberg de Mayence, en Allemagne, de 1990 jusqu’à sa retraite en 2012. Il a publié plus de 300 articles de recherche dans les domaines de l’immunologie, de la bactériologie, de la virologie et de la parasitologie, et a servi de 1990 à 2012 en tant que rédacteur en chef de Medical Microbiology and Immunology, l’une des premières revues scientifiques de ce domaine fondée par Robert Koch en 1887.

Le Dr Arne Burkhardt est un pathologiste qui a enseigné dans les universités de Hambourg, Berne et Tübingen. Il a été invité pour des postes de professeur invité/visites d’étude au Japon (Université Nihon), aux États-Unis (Brookhaven National Institute), en Corée, en Suède, en Malaisie et en Turquie. Il a dirigé l’Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans. Par la suite, il a travaillé comme pathologiste indépendant avec des contrats de consultation avec des laboratoires aux États-Unis. Burkhardt a publié plus de 150 articles scientifiques dans des revues scientifiques allemandes et internationales ainsi que des contributions à des manuels en allemand, anglais et japonais. Pendant de nombreuses années, il a audité et certifié des instituts de pathologie en Allemagne.

La preuve

Nous présentons ici des preuves scientifiques qui appellent à un arrêt immédiat de l’utilisation des vakx1s COVID-19 basés sur les gènes. Nous expliquons d’abord pourquoi les agents ne peuvent pas protéger contre l’infection virale. Bien qu’aucun effet positif ne soit attendu, nous montrons que les vakx1s peuvent déclencher des processus autodestructeurs qui conduisent à des maladies débilitantes et à la mort.

Pourquoi les vakx1s ne peuvent pas protéger contre l’infection

Une erreur fondamentale sous-jacente au développement des vakx1s COVID-19 a été de négliger la distinction fonctionnelle entre les deux grandes catégories d’anticorps que le corps produit afin de se protéger des microbes pathogènes.

La première catégorie (IgA sécrétoire) est produite par les cellules immunitaires (lymphocytes) qui sont situées directement sous les muqueuses qui tapissent les voies respiratoires et intestinales. Les anticorps produits par ces lymphocytes sont sécrétés à travers et à la surface des muqueuses. Ces anticorps sont donc sur place pour rencontrer les virus aéroportés, et ils peuvent être capables d’empêcher la liaison virale et l’infection des cellules.

La deuxième catégorie d’anticorps (IgG et IgA circulantes) se produit dans la circulation sanguine. Ces anticorps protègent les organes internes du corps contre les agents infectieux qui tentent de se propager par la circulation sanguine.

Les vakx1s qui sont injectés dans le muscle, c’est-à-dire à l’intérieur du corps, n’induisent que des IgG et des IgA circulantes, et non des IgA sécrétoires. De tels anticorps ne peuvent pas et ne protégeront pas efficacement les muqueuses de l’infection par le SRAS-CoV-2. Ainsi, les « infections révolutionnaires » actuellement observées chez les individus vakxinés ne font que confirmer les défauts fondamentaux de conception des vakx1s. Les mesures des anticorps dans le sang ne peuvent jamais fournir aucune information sur le véritable statut de l’immunité contre l’infection des voies respiratoires.

L’incapacité des anticorps induits par le vakx1 à prévenir les infections à coronavirus a été rapportée dans des publications scientifiques récentes.

Les vakx1s peuvent déclencher l’autodestruction

Une infection naturelle par le SRAS-CoV-2 (coronavirus) restera chez la plupart des individus localisée dans les voies respiratoires. En revanche, les vakx1s amènent les cellules situées profondément à l’intérieur de notre corps à exprimer la protéine de pointe virale, ce qu’ils n’ont jamais été censés faire par nature. Toute cellule qui exprime cet antigène étranger sera attaquée par le système immunitaire, qui impliquera à la fois des anticorps IgG et des lymphocytes T cytotoxiques. Cela peut se produire dans n’importe quel organe. Nous voyons maintenant que le cœur est touché chez de nombreux jeunes, entraînant une myocardite ou même un arrêt cardiaque soudain et la mort. Comment et pourquoi de telles tragédies pourraient être liées de manière causale à la vakxination est restée une question de conjecture, car les preuves scientifiques ont fait défaut. Cette situation est désormais rectifiée.

Études histopathologiques : les patients

Des analyses histopathologiques ont été réalisées sur les organes de 15 personnes décédées après vakxination. L’âge, le sexe, le carnet de vakxination et l’heure du décès après injection de chaque patient sont indiqués dans le tableau de la page suivante. Les points suivants sont de la plus haute importance :

  • Avant le décès, seuls 4 des 15 patients avaient été traités en soins intensifs pendant plus de 2 jours. La majorité n’a jamais été hospitalisée et est décédée à domicile (5), dans la rue (1), au travail (1), dans la voiture (1) ou dans des établissements de soins à domicile (1). Par conséquent, dans la plupart des cas, il est peu probable que l’intervention thérapeutique ait influencé de manière significative les résultats post-mortem.
  • Pas un seul décès n’a été associé à la vakxination par le coroner ou le procureur de la République ; cette association n’a été établie que par nos résultats d’autopsie.
  • Les autopsies conventionnelles initialement réalisées n’ont pas non plus révélé d’indices évidents sur un rôle possible de la vakxination, puisque l’aspect macroscopique des organes était globalement banal. Dans la plupart des cas, « l’insuffisance cardiaque rythmogène » a été postulée comme cause de décès.

Mais nos analyses histopathologiques ultérieures ont alors provoqué un revirement complet. Un résumé des conclusions fondamentales suit.

Case #GenderAge (years)Vaccine (injections)Time of death after last injection
1female82Moderna (1. and 2.)37 days
2male72Pfizer (1.)31 days
3female95Moderna (1. and 2.)68 days
4female73Pfizer (1.)unknown
5male54Janssen (1.)65 days
6female55Pfizer (1. and 2.)11 days
7male56Pfizer (1. and 2.)8 days
8male80Pfizer (1. and 2.)37 days
9female89Unknown (1. and 2.)6 months
10female81Unknown (1. and 2.)unknown
11male64AstraZeneca (1. and 2.)7 days
12female71Pfizer (1. and 2.)20 days
13male28AstraZeneca (1.), Pfizer (2.)4 weeks
14male78Pfizer (1. and 2.)65 days
15female60Pfizer (1.)23 days

Études histopathologiques : résultats

Des résultats histopathologiques de nature similaire ont été détectés dans les organes de 14 des 15 personnes décédées. Les plus fréquemment atteints étaient le cœur (14 cas sur 15) et le poumon (13 cas sur 15). Des altérations pathologiques ont en outre été observées dans le foie (2 cas), la glande thyroïde (thyroïdite de Hashimoto, 2 cas), les glandes salivaires (syndrome de Sjögren ; 2 cas) et le cerveau (2 cas).

Un certain nombre d’aspects saillants dominaient dans tous les tissus affectés de tous les cas :

  1. événements inflammatoires dans les petits vaisseaux sanguins (endothélite), caractérisés par une abondance de lymphocytes T et de cellules endothéliales mortes séquestrées dans la lumière du vaisseau ;
  2. l’accumulation périvasculaire étendue de lymphocytes T;
  3. une infiltration lymphocytaire massive d’organes ou de tissus non lymphatiques environnants avec des lymphocytes T.

Une infiltration lymphocytaire s’est parfois produite en association avec une activation lymphocytaire intense et la formation de follicules. Lorsqu’elles étaient présentes, elles s’accompagnaient généralement d’une destruction des tissus.

Cette combinaison de pathologie multifocale dominée par les lymphocytes T qui reflète clairement le processus d’auto-attaque immunologique est sans précédent. Parce que la vakxination était le seul dénominateur commun entre tous les cas, il ne fait aucun doute qu’elle a été le déclencheur de l’autodestruction chez ces individus décédés.

Conclusion

L’analyse histopathologique montre des preuves claires d’une pathologie de type auto-immune induite par le vakx1 dans plusieurs organes. Il va de soi qu’une myriade d’événements indésirables dérivant de tels processus d’auto-attaque doivent se produire très fréquemment chez tous les individus, en particulier à la suite d’injections de rappel.

Sans aucun doute, l’injection de vakx1s à base de gènes COVID-19 place des vies sous la menace de la maladie et de la mort. Nous notons que les vakx1s à base d’ARNm et de vecteurs sont représentés parmi ces cas, tout comme les quatre principaux fabricants.

Opération Extermination. Le plan pour décimer le système immunitaire humain avec un agent pathogène généré en laboratoire

Publié le  par Wayan


Par Mike Whitney − 8 décembre 2021 − Source Unz Review

« Si quelqu’un souhaitait tuer une partie importante de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettraient. » Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer.

« Or, c’est là l’esprit de l’antéchrist, dont vous avez appris la venue, et qui est déjà dans ce monde. »  1 Jean 4:2-3

Question– Le vakx1 contre le Covid-19 endommage-t-il le système immunitaire ?

Réponse– Oui. Il diminue la capacité de l’organisme à combattre les infections, les virus et les maladies.

Question– Si c’est vrai, alors pourquoi n’y a-t-il pas plus de personnes qui sont mortes après avoir été vakxinées ?

Réponse– Je ne suis pas sûr de ce que vous voulez dire ? Le vakx1 a tué plus de personnes que n’importe quel autre vakx1 dans l’histoire. « Jusqu’à présent, aux États-Unis, le nombre de décès est trois fois plus élevé que le total de tous les vakx1s au cours des 35 dernières années. » C’est tout simplement stupéfiant. Nous avons également constaté une augmentation constante de la mortalité toutes causes confondues et de la surmortalité dans les pays qui ont lancé des campagnes de vakxination de masse plus tôt dans l’année. Parfois, l’augmentation atteint 20 % par rapport à la moyenne sur cinq ans. Il s’agit d’un pic massif de décès, qui est en grande partie imputable au vakx1. Alors, que voulez-vous dire quand vous dites « Pourquoi n’y a-t-il pas eu plus de morts » ? Vous attendiez-vous à voir des gens se serrer le cœur et tomber raide mort après avoir été vakxinés ? C’est une compréhension très naïve du fonctionnement de l’injection. (Voir : « COVID Deaths Before and After Vaccination Programs », You Tube ; 2 minutes)

Question– Tout ce que je dis, c’est que le pourcentage de personnes qui sont mortes est très faible par rapport aux dizaines de millions de personnes qui ont été vakxinées.

Réponse– Et tout ce que je dis, c’est que si le vakx1 est un agent pathogène généré en laboratoire – et je pense que c’est le cas – alors il n’a certainement pas été conçu pour tuer les gens sur le champ. Il a été conçu pour produire une réaction retardée qui érode progressivement mais inexorablement la santé de la personne vakxinée. En d’autres termes, le plein impact des caillots sanguins, des hémorragies, des problèmes d’auto-immunité et autres blessures générées par le vakx1 ne se fera sentir qu’à une date ultérieure, par le biais d’une augmentation des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des maladies vasculaires et même des cancers. (Consultez la dernière tendance des interventions cardiaques par le Scottish Ambulance Service – ce chiffre est « excessivement » supérieur à la norme 2018/19. Un énorme pic en été, 500 appels d’ambulance par semaine au-dessus de la normale, principalement des 15-64 ans. Cela s’est calmé, puis pic à nouveau depuis fin octobre. Scottish Unity – Groupe d’Edimbourg)

interventions cardiaques par le Scottish Ambulance Service. excès d’interventions par rapport à 2018/19

Réponse– Le graphique ci-dessus montre pourquoi les problèmes cardiaques ont suscité beaucoup d’attention ces derniers temps, mais les dommages causés au système immunitaire sont encore plus préoccupants.

Question– Pouvez-vous expliquer ce que vous voulez dire sans entrer dans les détails ?

Réponse– Je peux faire mieux que cela. Je peux vous donner un court extrait d’un article qui couvre les dernières recherches. Consultez-le :

Une étude de laboratoire suédoise (intitulée « SARS-CoV-2 Spike gêne la réparation de l’ADN et empêche la recombinaison V(D)J in vitro », NIH) publiée à la mi-octobre révèle que la protéine spike… pénètre dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages subis par l’ADN, compromettant ainsi l’immunité adaptative d’une personne et favorisant peut-être la formation de cellules cancéreuses…

 

« Sur le plan mécaniste, nous avons constaté que la protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des dommages subis par l’ADN », écrivent-ils. « Nos résultats révèlent un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et soulignent les effets secondaires potentiels des vakx1s à base de spike pleine longueur. » (« La protéine spike du virus COVID et des vakx1s affaiblit le système immunitaire et pourrait être liée au cancer : étude suédoise », Lifesite News)

Les chercheurs ont découvert que la protéine spike bloque la production d’enzymes nécessaires à la réparation de l’ADN brisé, ce qui empêche la « prolifération » des cellules B et T nécessaires pour combattre l’infection.

Question– Pouvez-vous expliquer cela en langage clair ?

Réponse– Bien sûr. Cela signifie que le vakx1 court-circuite votre système immunitaire, ce qui ouvre la voie à l’infection, à la maladie et à une mort précoce. Vous pensez peut-être que vous pouvez avoir une vie longue et heureuse avec un système immunitaire dysfonctionnel, mais je pense que vous avez tort. Le système immunitaire est le bouclier qui vous protège contre toutes sortes de virus, bactéries et infections potentiellement mortelles. Ce n’est pas seulement la première ligne de défense, c’est la seule. Sans la protection complète des cellules B et T pour combattre les intrus étrangers, les chances de survie sont, au mieux, minuscules.

Pour souligner ce point, regardez cette vidéo du directeur de pompes funèbres britannique, John O’Looney, qui fait régulièrement le point sur ce qu’il voit sur le terrain 10 mois après le lancement de la vakxination. C’est un compte rendu inquiétant de la catastrophe qui se déroule sous nos yeux :

(à 30 secondes) « Ce que nous voyons, c’est un nombre anormalement élevé de décès dus à des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des anévrismes, qui sont tous le résultat de thromboses… Des embolies dans les poumons, les jambes, à différents endroits qui causent ces décès bien documentés par les coroners locaux et bien documentés dans tout le pays. Et personne ne semble se préoccuper de l’augmentation alarmante des (caillots sanguins). J’en ai vu plus cette année qu’au cours des 14 dernières années…..

 

C’est un des genres de décès que nous voyons, l’autre est celui des personnes qui tombent malades maintenant que leur système immunitaire a fini par lâcher. Ils ont été vakxinés il y a 6 ou 8 mois, leur système immunitaire a été rongé et ils luttent maintenant contre des maladies comme le rhume. Donc, nous sommes en hiver et il y a des rhumes et des grippes autour et ces gens ne peuvent pas les combattre. Le gouvernement est très prompt à étiqueter cela « Omicron »… mais ils sont malades du rhume. Leur système immunitaire est décimé. C’est un peu comme un malade du cancer qui subit une chimiothérapie et dont le système immunitaire est décimé. Et ils doivent faire très attention parce qu’un simple rhume ou une grippe peut les tuer. Et c’est ce que nous voyons maintenant…

 

Cela fait presque 12 mois que les premiers vakx1s ont été administrés, alors leur système immunitaire s’effondre ; c’est la réalité et c’est ce que je vois… et ils ne peuvent plus supporter un rhume. … Lorsque je suis allé à la réunion de Westminster en septembre, le scientifique a prédit que c’est ce qui allait se passer et, voilà, c’est ce qui se passe. Les gens tombent malades et meurent…… C’est effrayant. » (« Omicron, c’est une ‘blessure par vakx1’ ; ce n’est rien de plus que ça. » John Looney, Rumble)

A-t-il raison ? L’augmentation du nombre de décès n’est-elle PAS une autre vague de Covid mais les effets d’une injection cytotoxique qui cible le système immunitaire, laissant des millions de personnes sans défense contre les infections et les maladies courantes ?

Cela semble possible et correspond certainement au programme de dépopulation qui nécessite un produit biologique hybride qui ne tue pas complètement sa cible mais démantèle les systèmes de défense critiques qui rendent la survie humaine possible. En déguisant une « protéine tueuse » sous la forme d’un antigène inoffensif, nos responsables de la lutte contre les pandémies ont pu accéder aux flux sanguins de millions de personnes, ce qui leur a permis d’insérer une bombe à retardement qui ravage les populations cruciales de lymphocytes T et B, laissant les victimes vulnérables à tout microbe circulant dans la population. Comme le note Looney, des scientifiques ont mis en garde contre ce résultat lorsque la vakxination de masse a été proposée pour la première fois. Naturellement, les opinions contraires ont été ignorées et censurées. Voici d’autres informations tirées d’un document de recherche pré-imprimé sur le serveur medRxiv. Il permet d’expliquer l’impact du vakx1 sur le système immunitaire :

« Des chercheurs des Pays-Bas et d’Allemagne ont averti que le vakx1 … (COVID-19) de Pfizer-BioNTech induit une reprogrammation complexe des réponses immunitaires innées qui devrait être prise en compte dans le développement et l’utilisation de vakx1s à base d’ARNm….. Après la vakxination, les cellules de l’immunité innée présentaient une réponse réduite aux récepteurs TLR4 (toll-like receptor 4), TLR7 et TLR8 – tous des ligands qui jouent un rôle important dans la réponse immunitaire aux infections virales…..

 

De multiples études ont montré que les réponses immunitaires innées à long terme peuvent être soit augmentées (immunité entraînée), soit régulées à la baisse (tolérance immunitaire innée) après certains vakx1s ou infections….

 

Ces résultats démontrent collectivement que les effets du vakx1 BNT162b2 vont au-delà du système immunitaire adaptatif…. Le vakx1 BNT162b2 induit également une reprogrammation des réponses immunitaires innées, ce qui doit être pris en compte. »… (« Des recherches suggèrent que le vakx1 Pfizer-BioNTech COVID-19 reprogramme les réponses immunitaires innées », New-Medical net)

Combien de personnes se seraient fait vakxiner si elles avaient su que le vakx1 reprogrammerait leur système immunitaire ?

Probablement personne, et c’est pourquoi nos responsables de la santé publique n’abordent jamais le sujet. Tout ce qui s’écarte, même légèrement, du discours « les vakx1s sont bons pour vous » est omis de la couverture médiatique et effacé sur les médias sociaux. Mais les gens n’ont-ils pas le droit de savoir ce qui se passe, ce que l’on injecte dans leur corps, et quel impact cela aura sur leur vie et leur santé ? N’est-ce pas ce que l’on entend par « consentement éclairé » ou est-ce une autre victime de la ruée vers l’inoculation des habitants de la planète Terre ? Voici un extrait d’une courte interview du Dr Ryan Cole, pathologiste :

« Lorsque nous faisons ces injections, nous pouvons voir les types de globules blancs dans le corps… et vous avez un large éventail de cellules immunitaires qui travaillent ensemble pour combattre les virus et garder les cancers en échec. Nous observons déjà en laboratoire les signes d’une diminution des lymphocytes T essentiels dont vous avez besoin… dans votre système immunitaire inné. Ce sont les soldats de votre corps, qui combattent les virus et les cancers….. Mais ce que nous observons en laboratoire après que les gens ont reçu ces injections, c’est un profil bas et verrouillé très inquiétant de ces importantes cellules T tueuses dont vous avez besoin dans votre corps. (cellules CD8) Et ce qu’elles font, c’est de garder tous les autres virus en échec.

 

Qu’est-ce que je vois dans le laboratoire ? J’observe une recrudescence des virus de la famille de l’herpès, du zona, de la mononucléose, une énorme recrudescence du virus du papillome humain… Nous affaiblissons littéralement le système immunitaire de ces personnes.

 

Le plus inquiétant, c’est qu’il y a un modèle de ces types de cellules immunitaires dans le corps qui gardent le cancer en échec. Depuis le 1er janvier, (dans le laboratoire) j’ai vu une augmentation par 20 du cancer de l’endomètre par rapport à ce que je vois sur une base annuelle. » (« Le pathologiste Ryan N Cole de la clinique Mayo parle de ce qu’il voit dans les résultats de laboratoire », Rumble ; 2 minutes)

« Herpès, zona, mononucléose, et même cancer ! » Mais qu’est-ce qui se passe ? Cela ne peut pas être vrai, n’est-ce pas ?

Si, c’est vrai ; l’immunodépression entraîne toutes sortes de conséquences terribles pour la santé. Certains lecteurs se souviendront peut-être que le Dr Byram Bridle, vakxinologue canadien, a fait des déclarations similaires dans une interview il y a quelques semaines. Voici ce qu’il a dit :

« Ce que j’ai vu, bien trop souvent, ce sont des personnes dont le cancer était en rémission ou bien contrôlé ; leur cancer est devenu complètement incontrôlable après avoir reçu ce vakx1. Et nous savons que le vakx1 provoque une baisse du nombre de lymphocytes T, et ces lymphocytes T font partie de notre système immunitaire et font partie des armes essentielles dont dispose notre système immunitaire pour combattre les cellules cancéreuses ; il y a donc là un mécanisme potentiel. Tout ce que je peux dire, c’est que trop de personnes m’ont contacté avec ces rapports pour que je me sente à l’aise. Je dirais que c’est ma dernière préoccupation majeure en matière de sécurité, et c’est aussi celle qui sera la moins signalée dans la base de données des effets indésirables, parce que si quelqu’un a eu un cancer avant le vakx1, il n’y a aucune chance que les responsables de la santé publique établissent un lien avec le vakx1. (« Le Dr Byram Bridle parle », Bitchute, 55eme seconde)

Une fois encore, combien de personnes auraient décidé de se faire vakxiner si elles avaient su que cela pouvait déclencher une poussée de virus dormants ou de cancers en rémission ? Qui prendrait ce risque ?

Mais ils ne savent pas qu’ils prennent un risque, n’est-ce pas, parce qu’on ne leur a pas dit la vérité. Et la raison pour laquelle on ne leur a pas dit la vérité est qu’ils sont une cible dans une guerre d’extermination qui leur est menée. Il est parfois très difficile pour les gens d’admettre ce qu’ils savent être la vérité, pourtant la vérité est évidente. Les gestionnaires de la pandémie et leurs fantassins des médias, de la santé publique et du gouvernement veulent nous faire du mal, nous injecter une substance mystérieuse qui fera des ravages dans notre système immunitaire et raccourcira notre vie. Ce n’est pas seulement une lutte pour la liberté personnelle ou l’autonomie corporelle, c’est une bataille pour la survie. Nous défendons notre droit à la vie. Voici ce que dit le Dr Jessica Rose, immunologiste virale :

« Des études sont en train d’être publiées, et les données sur les effets indésirables montrent amplement que ces produits (vakx1s Covid) non seulement immuno-modulent le système immunitaire et provoquent une hyperinflammation, mais aussi qu’ils ont un effet très négatif sur les populations de cellules T CD8. Pour ceux qui ne le savent pas, c’est une très mauvaise nouvelle. Il ne s’agit que de quelques personnes pour l’instant, mais les données ne semblent pas bonnes jusqu’à présent. Ces cellules T sont les soi-disant « cellules tueuses ». Leur travail… est de tuer les cellules infectées par le virus qui présentent des marqueurs étrangers à leur surface. Donc, si ces populations sont épuisées, c’est une très mauvaise nouvelle, car nous ne disposons pas d’une population de cellules dans le système immunitaire acquis pour éliminer les cellules infectées par le virus…..

 

Il y a des signes clairs qui commencent à émerger, qu’un « syndrome d’immunité déficiente » apparaît à la suite de ces produits (vakx1s). En raison de l’hyper-stimulation… les cellules T étant (diminuées), et la présence constante d’injections répétées d’une protéine cytotoxique… Je ne recommanderais jamais, jamais, à une personne immunodéprimée de s’approcher de ces choses, parce que je peux presque vous garantir que votre état va s’aggraver. Une autre chose que nous voyons dans le VAERS, ce sont des cancers qui sortent de rémission et beaucoup de médecins le rapportent sur le terrain. Et, soit dit en passant, cela ne s’est jamais produit auparavant, pas à cette échelle, loin de là… Il y a donc quelque chose qui se passe ici et qui justifie une enquête plus approfondie, et cela ne semble pas bon.  » (« Le Dr Jessica Rose, immunologiste virale, explique les informations inquiétantes qui émergent sur l’immunité compromise des vakxinés », Odysee)

Vous voyez déjà le schéma ? Vous voyez qu’ils disent tous la même chose ? Pourquoi, à votre avis ?

Parce que c’est la vérité, la vérité pure, sans fard.

Le point que nous essayons de faire ne peut être exagéré : Le vakx1 est une arme biologique fabriquée par l’homme, générée en laboratoire, qui désactive le système de défense critique du corps, ce qui augmente la fragilité d’une personne face à la maladie de plusieurs ordres de grandeur. Avec chaque injection supplémentaire, on est moins capable d’organiser une réponse suffisante aux infections, grippes ou virus de routine. Cela va conduire à un tsunami de maladies qui va probablement submerger notre système de santé publique et plonger le pays plus profondément dans la crise. Est-ce là le plan ? Est-ce que nos maîtres globalistes nous réservent ?

Nous verrons bien. Maintenant, regardez ce dernier extrait de la vidéo du vakxinologue, Geert Vanden Bossche :

« La première chose que je voudrais souligner est que le Covid-19 n’est pas une maladie de personnes en bonne santé. Les personnes en bonne santé ont un système immunitaire inné sain qui peut faire face à un certain nombre de virus respiratoires sans aucun problème. Ces personnes sont non seulement protégées contre la maladie mais peuvent même, dans de nombreux cas, prévenir l’infection. Ce sont des personnes qui peuvent contribuer à l’immunité stérilisante et à l’immunité collective, ce qui est très, très important. Alors, écoutez : Ne laissez jamais, au grand jamais, quelqu’un ou quelque chose interférer ou supprimer votre système immunitaire inné. Vous pouvez faire un mauvais travail vous-même en menant une vie malsaine, ce qui va supprimer votre immunité innée, mais ce qui est encore pire, ce sont les anticorps induits par le vakx1 qui suppriment votre immunité innée. Et ces anticorps vakxinaux ne peuvent pas la remplacer car ils perdent leur efficacité contre le virus, et deviennent de moins en moins efficaces. Contrairement aux anticorps innés, ils ne peuvent pas empêcher l’infection, ils ne peuvent pas stériliser le virus. Ils ne contribuent donc pas à l’immunité collective…..

 

Si nous supprimons ces anticorps innés chez les enfants, cela pourrait entraîner des maladies auto-immunes. C’est une interdiction absolue. Nous ne pouvons pas vakxiner nos enfants avec ces vakx1s. La suppression de l’immunité innée est déjà un problème chez les vakxinés, et ils vont effectivement avoir du mal à contrôler un certain nombre de maladies, pas seulement le Covid-19, mais d’autres maladies aussi … et il faudra un changement très radical dans les stratégies pour aider les vakxinés – et je suis de tout cœur avec eux – parce qu’ils auront besoin d’un traitement intensif dans de nombreux cas …

 

… Les stimuler – ce qui signifie leur donner une troisième dose – est absolument insensé, car cela aura pour effet d’augmenter la pression immunitaire des anticorps vakxinaux sur leur immunité innée. Le renforcement est donc une absurdité absolue ; il est dangereux et ne devrait pas être pratiqué…..

 

Alors, que nous dit la science ? Elle nous dit que c’est l’immunité innée qui nous protégera, pas le vakx1. » (« Geert Vanden Bossche sur les vakx1s et la suppression de l’immunité innée », Rumble)

Ainsi, nous savons maintenant qu’en plus des caillots sanguins, des hémorragies, des crises cardiaques, des accidents vasculaires et neurologiques, le vakx1 est également conçu pour éviscérer le système qui nous protège de la maladie et de la mort, le système immunitaire. Il faut être plongé dans le déni pour ne pas voir le mal qui est maintenant parmi nous.

Voir aussi : Dr. Nathan Thompson- Le vakx1 Covid et l’auto-immunité, Odysee

Et ceci : Vaccine Acquired Immune Deficiency Syndrome (VAIDS) : ‘Nous devrions nous attendre à voir plus fréquemment cette érosion immunitaire’ ». Americas Frontline Doctors

Mike Whitney

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone

La Criminelle Arnaque du C0VlD-19: Des scientifiques du monde entier analysent la composition des vakx1s

 ~ MICHEL DUCHAINE

Il semblerait que tous les ingrédients introduits dans les injections contre le virus SARS-cov-2 ne soient pas mentionnés dans les notices destinées aux soignants qui pratiquent les injections sur la population. De nombreux médecins, chercheurs et scientifiques du monde entier ont cherché à vérifier si la composition des flacons de vakx1 était strictement conforme à l’énoncé des substances mentionnées dans les notices.

En Allemagne par exemple des médecins se sont  réunis pour faire le point et échanger autour de ce qu’ils ont analysé et trouvé dans les vakx1s :

Analyse des contenus des vakx1s par des médecins allemands

Ailleurs, le docteur Carrie Madej dresse un état des lieux de ce qu’elle a trouvé dans le liquide vakxinal après analyse au microscope et avec différentes technique de pointe :

  (Docteur Carrie Madej examine le vakx1 au microscope)

Le docteur Carrie Madej examine le vakx1 au microscope

Un rapport écrit très détaillé et comportant de nombreuses images  réalisé par le docteur Robert Young a été obtenu par Maitre Brusa, avocat, et publié sur son site :

Sur ce lien: Site de Maître Brusa

Vous pourrez télécharger vous-même le rapport spectométrique des vakx1s ARNm du docteur Young qui est un document PDF de 24 pages traduit en français depuis le site de maitre Brusa :

140921 – Composition des pseudo-vakx1s – Dr Robert YOUNG

Je vais m’efforcer ci dessous de vous en extraire ce qui est compréhensible à l’entendement des néophytes que nous sommes, en vous faisant  grâce des termes scientifiques compréhensibles uniquement par les seuls scientifiques qui en manient  le langage ! Que cela toutefois ne vous donne surtout pas le sentiment de ne pouvoir comprendre l’essentiel de ce qu’il faut retenir et conclure à propos de ces injections que l’on veut vous inoculer de force alors qu’à aucun moment votre consentement n’a été éclairé ni même obtenu concernant les substances ultra nocives de ces injections pour la santé humaine et l’espérance de vie !

Ce n’est pas parce que vous n’appartenez pas au cénacle très fermé des   » sachants  » autoproclamés qui envahissent les plateaux télé que vous n’avez pas votre mot à dire sur cette scandaleuse obligation vakxinale que l’on veut vous administrer de force et qui omet à dessein de vous révéler les conséquences néfastes de toutes les substances qui ne vont pas vous protéger du virus, mais au contraire altérer gravement votre santé !

Ci-dessous donc des extraits compréhensibles du rapport du Docteur Young :

La microscopie à contraste de phase, la microscopie électronique à transmission et à balayage et la spectroscopie à rayons X à dispersion d’énergie révèlent les ingrédients des vakx1s contre le CoV-19.

Il existe actuellement quatre grandes sociétés pharmaceutiques qui fabriquent un vakx1 contre le SRAS-CoV-2, maintenant  appelé SRAS-CoV-19.  Ces fabricants et leurs vakx1s sont :

  • Pfizer– le vakx1 ARNm BioNTech,
  • Moderna-  le vakx1 ARNm Lonza -1273, Serum Institute-
  • le vakx1 Oxford Astrazeneca
  • le vakx1 Covid-19 Janssen, fabriqué par Janssen Biotech Inc, une société pharmaceutique Janssen de Johnson & Johnson, un adénovirus recombinant, inapte à la réplication, exprimant la protéine de pointe du SRAS-CoV-2.

L’objectif ( affiché ) de ces vakx1s est de conférer une immunité contre le nouveau coronavirus infectieux ou SARS-CoV-2, désormais appelé SARS-CoV-19. Ces quatre sociétés pharmaceutiques n’ont pas fourni de divulgation complète à la FDA ( Food and Drug Administration  américaine ) sur leur boîte de vakx1, leur fiche d’information ou leur étiquette.

Le but de cet article de recherche est d’identifier les ingrédients majeurs et mineurs spécifiques contenus dans le vakx1 Pfizer, le vakx1 Moderna, le vakx1 Astrazeneca et le vakx1 Janssen en utilisant divers tests scientifiques anatomiques, physiologiques et fonctionnels pour chaque vakx1 SRAS-COV-2-19.

En tant que droits de l’homme, régis en vertu du droit international par le Code de Nuremberg de 1947, l’information sur les ingrédients spécifiques du vakx1 est essentielle, requise et nécessaire à connaître pour que tout être humain de n’importe quel pays au monde puisse prendre une décision éclairée quant à son consentement ou non à l’inoculation du SRAS-CoV-2-19.

Nous avons effectué les tests scientifiques sur chaque vakx1s et avons identifié plusieurs ingrédients ou adjuvants non divulgués qui sont contenus dans ces quatre vakx1s contre le SRAS-CoV-2-19. Actuellement, ces vakx1s sont administrés à des millions d’êtres humains dans le monde entier en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) délivrée par chaque pays sans que tous les ingrédients soient divulgués et, dans certains cas, à la demande de gouvernements ou d’employeurs, ce qui constitue une violation des droits de l’homme en vertu du Code de Nuremberg de 1947.

Explications sur la méthodologie et les techniques employées par le Docteur Young

Quatre “vakx1s” ont été analysés, à savoir le vakx1 Pfizer-BioNtech, Moderna-Lonza mRNA-1273, Vaxzevria d’Astrazeneca, Janssen de Johnson & Johnson, en utilisant différents instruments et protocoles de préparation selon les nouvelles approches technologiques des nanoparticules. Les différents instruments comprennent la microscopie optique, la microscopie à champ clair, la microscopie à contraste de pHase, la microscopie à champ sombre, l’absorbance UV et la spectroscopie de fluorescence, la microscopie électronique à balayage, la microscopie électronique à transmission, la spectroscopie à dispersion d’énergie, le diffractomètre à rayons X et les instruments de résonance magnétique nucléaire, qui ont été utilisés pour vérifier la morphologie et le contenu des “ vakx1s ”. Pour les mesures de haute technologie et le soin de l’enquête, tous les contrôles ont été activés et les mesures de référence adoptées afin d’obtenir des résultats validés.

Ci dessous image de sang humain après inoculation du vakx1ss. Micrographie d’un amas de carbone d’oxyde de graphène réduit (rGO).  » Notez que les globules rouges s’agglomèrent dans et autour du cristal rGO dans une condition connue sous le nom de Rouleau ! Un mot français qui signifie “empiler”  analyse le docteur Young.

Quels sont les ingrédients non divulgués contenus dans les vakx1s  Pfizer, Moderna, Astrazeneca et  Janssen ?

Pour répondre à cette question, une fraction aqueuse des vakx1s Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen a été prélevée dans chaque flacon, puis examinée séparément, sous microscope, montrant des preuves anatomiques de particules d’oxyde de graphène réduit (rGO).

Les ingrédients non divulgués du “ vakx1 ” de Pfizer :

Les observations en microscopie du produit vakxinal de Pfizer, ainsi que des produits vakxinaux de Moderna, Astrazeneca et Janssen ont révélé certaines entités qui peuvent être des bandes de graphène, comme le montre l’image ci dessous  :

Ci- dessous Images d’oxyde de graphène sous différents aspects et en plus gros plans :

Ci-dessous image de la capside du liposome contenant le rGO ( Oxyde de Graphène réduit ) que Pfizer utilise pour véhiculer l’oxyde de graphène de son produit en attachant la capside du liposome à des molécules d’ARNm spécifiques pour conduire le contenu du liposome de rGO vers des organes, des glandes et des tissus spécifiques, à savoir les ovaires et les testicules, la moelle osseuse, le cœur et le cerveau.

L’identification définitive de l’oxyde de graphène par microscopie TEM est présente dans les 4 vakx1s CoV-2-19 ! En utilisant la microscopie électronique à transmission (MET), nous avons observé une matrice ou un maillage complexe de feuilles de rGO ( = oxyde de graphène réduit )  flexibles, translucides et pliées, avec un mélange d’agglomérations multicouches plus sombres et de monocouches dépliées de couleur plus claire, comme le montre l’image ci-dessous :

L’image ci-dessus montre un amas de nanoparticules de graphène dans un vakx1 Pfizer. Elles semblent être agrégées comme le montre les images ci dessous :

La diffractométrie des rayons X révèle leur nature de nanoparticules cristallines de rGO à base de carbone.  Le contenu chimique et élémentaire de la fraction liquide du vakx1 Pfizer a ensuite été analysé par spectroscopie à rayons X  à dispersion d’énergie (EDS). Le spectre EDS a montré la présence de carbone, d’oxygène, vérifiant les éléments rGO, ainsi que de sodium et de chlorure.

L’image ci-dessus montre des débris de 20 microns de longueur identifiés dans le soi-disant “ vakx1 ” Pfizer contenant du carbone, de l’oxygène, du chrome, du soufre, de l’aluminium, du chlorure et de l’azote.

Les images suivantes ci-dessous montrent une micrographie de différentes micro et nanoparticules qui ont été identifiées dans les vakx1s Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen et analysées au microscope électronique à balayage (MEB) couplé à une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie (SDE) qui révèle la taille des particules, la distribution de la composition et la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

Un corps allongé de 50 microns est une présence mystérieuse et nette dans le vakx1  Pfizer. Il apparaît et est identifié anatomiquement comme un parasite Trypanosoma cruzi dont plusieurs variantes sont létales et constituent l’une des nombreuses causes du syndrome d’immunodéficience acquise ou SIDA.

L’image ci-dessus identifie une composition de nanoparticules et confirme donc la présence d’un parasite Trypanosoma d’environ 20 microns de long trouvé dans le soi-disant “ vakx1 ” Pfizer. Il est composé de carbone, d’oxygène, de chrome, de soufre, d’aluminium, de chlorure et d’azote.

Parasite Trypanosoma cruzi vivant dans du sang  inoculé par le vakx1 et détecté grâce à une micrographie par microscopie à contraste de phase. l’image identifie une composition de nanoparticules comprenant du carbone, de l’oxygène, du chrome, du soufre, de l’aluminium, du chlorure et de l’azote, que l’on retrouve également dans les “vakx1s” CoV-19.

Les images suivantes montrent une micrographie de différentes micro et nanoparticules qui ont été identifiées et analysées sous un microscope électronique à balayage (MEB) environnemental couplé à une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie (SDE) qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées et leur morphologie.

L’image ci-dessus montre les particules de taille nanométrique et micronique identifiées dans le “vakx1 ” Pfizer. La particule blanche de 2 microns de long est composée de bismuth, carbone, oxygène, aluminium, sodium, cuivre et azote.

l’image ci-dessus  montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d’aluminium incorporées dans le “vakx1 ” Pfizer.

Les ingrédients non divulgués du “vakx1” d’Astrazeneca :

L’image ci-dessous montre un agrégat de fer, de chrome et de nickel, également connu sous le nom d’acier inoxydable, composé de micro et nanoparticules incorporées et identifiées dans le “ vakx1 ” d’Astrazeneca, observé au microscope électronique à transmission (MET) et quantifié à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées et leur morphologie.

L’instrument XRF (X-ray fluorescence) a été utilisé pour évaluer les adjuvants du “ vakx1 ” Astrazeneca, ce qui a permis d’identifier les molécules suivantes : histidine, saccharose, polyéthylène glycol (PEG) et alcool éthylénique, également contenues dans les “vakx1s” Pfizer et Moderna.

Le PEG et l’alcool éthylénique sont tous deux connus pour être cancérigènes et génotoxiques. Le PEG était le seul adjuvant déclaré sur la fiche technique énumérant les ingrédients du “ vakx1 ” Astrazeneca, mais contenu également dans les “ vakx1s ” Pfizer et Moderna.

Les ingrédients non divulgués du “vakx1” de Janssen :

L’image suivante montre un agrégat organique-inorganique identifié dans le “vakx1” de Janssen. Les particules sont composées d’acier inoxydable et sont collées ensemble avec une “ colle à base de carbone ” d’oxyde de graphène réduit. Cet agrégat est hautement magnétique et peut déclencher une coagulation sanguine pathologique et “ l’effet Corona ” ou “ l’effet protéine en pointe ” créé par la dégénérescence de la membrane cellulaire due aux interactions avec d’autres dipôles. Cet agrégat d’acier inoxydable est composé de carbone, d’oxygène, de fer et de nickel, maintenu par de l’oxyde de graphène.

L’image ci dessous montre des éléments de carbone, d’oxygène, de fer et de nickel réunis par de l’oxyde de graphène. L’ effet  » Corona ” et la ” protéine de pointe ” créés de manière endogène sont causés par un empoisonnement chimique et radiologique dû à l’oxyde de graphène réduit et aux rayonnements micro-ondes !

Ci-dessous image de“L’effet Corona” et de la création endogène d’exosomes due à l’empoisonnement chimique et radiologique des fluides vasculaires et interstitiels de l’interstium.

L’image qui suit montre “ l’effet Corona ” et la naissance endogène de pics de protéines S1 causés par les radiations et l’empoisonnement chimique ou ce que le docteur Robert Young appelle “ l’effet de pic de protéines ”.

La micrographie ci-dessus montre la création endogène des “pics de protéines” comme une infection. Les images précédentes montrent “L’EFFET CORONA” sur les globules rouges montre “L’EFFET PROTÉINE SPIKE”, tous deux causés par une acidose décompensée des fluides interstitiels et vasculaires provenant d’un mode de vie acide et plus particulièrement d’une exposition à des champs électromagnétiques pulsés toxiques à 2,4 GHz ou plus, d’un empoisonnement chimique provenant de la nourriture et de l’eau ingérées, d’une pollution atmosphérique acide toxique, de chemtrails  et, pour couronner le tout, d’une inoculation de CoV-19 à base de nano particules chargées de produits chimiques !

Docteur Robert Young  :   » S’il vous plaît, laissez vos sentiments et vos fausses croyances à la porte avant que VOUS ne vous fassiez du mal prématurément « 

Les ingrédients non divulgués du “ vakx1 ” Moderna  : 

L’étude a identifié une entité mixte de matières organiques et inorganiques contenue dans le “vakx1” Moderna. La microscopie électronique à transmission (TMS) et la quantification à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à  dispersion d’énergie (EDS) ont révélé la nature chimique des micro et nanoparticules observées. Le “vakx1” Moderna est un substrat d’oxyde de graphène réduit à base de carbone dans lequel sont incorporées des nanoparticules. Ces nanoparticules sont composées de carbone, d’azote, d’oxygène, d’aluminium, de cuivre, de fer et de chlore.

L’image ci-dessus révèle la présence de nanoparticules cytotoxiques intégrées. Les micro et nano particules observées sont de nature chimique. De nombreux corps étrangers ont été identifiés avec une morphologie sphérique avec quelques cavités en forme de bulles.

L’image ci-dessous montre qu’ils sont composés de carbone, d’azote, d’oxygène, de silicium, de plomb, de cadmium et de sélénium. Cette  composition de nanoparticules hautement toxiques sont des points quantiques de séléniure de cadmium qui sont cytotoxiques et génotoxiques.

L’image suivante montre les nano-points dans l’oxyde de graphène trouvé dans le “ vakx1 ” Moderna.

L’image ci-dessous révèle la composition cytotoxique et génotoxique des nanoparticules d’oxyde de graphène trouvées dans le “ vakx1 ” Moderna.  le “vakx1” Moderna  révèlent un symplaste de 100 microns de composite de nanoparticules d’oxyde de graphène réduit. Le rGO est composé de carbone et d’oxygène avec une contamination de nanoparticules d’azote, de silicium, de phosphore et de chlore.

Les deux images accolées ci-dessous montrent des entités d’oxyde de graphène réduit à base de carbone dans le “ vakx1 ” Moderna, mélangées à des agrégats remplis de nanoparticules de silicate d’aluminium.

Conclusions du Docteur Robert Young après l’étude de la composition des quatre vakx1s  :

La pandémie de SRAS-CoVid-2-19 a incité les industries pharmaceutiques à développer de nouveaux médicaments qu’elles ont appelés vakx1s.

Le mécanisme d’action de ces nouveaux médicaments, tel qu’il est déclaré par l’industrie pharmaceutique, associé à ce qui est indiqué dans la fiche technique des vakx1s, n’est PAS clair pour les savants médicaux actuels qui comprennent que ces nouveaux médicaments produits par

  • Pfizer – le vakx1 ARNm BioNTech,
  • le vakx1 ARNm-1273 Moderna-Lonza,
  • le vakx1 Serum Institute Oxford Astrazeneca et
  • le vakx1 Janssen COVID -19, fabriqué par Janssen Biotech Inc, une société pharmaceutique Janssen de Johnson & Johnson,

ne sont PAS des vakx1s mais des médicaments nanotechnologiques fonctionnant comme une thérapie génétique.

Le nom “vakx1” est probablement un escamotage (ruse) utilisé pour des raisons bureaucratiques et technocratiques afin de recevoir une approbation d’urgence, en ignorant toutes les règles normales nécessaires pour les nouveaux médicaments, en particulier pour ceux qui impliquent de nouveaux mécanismes nanotechnologiques qui n’ont jamais été développés ni expérimentés par l’homme, où que ce soit, à n’importe quel moment de l’histoire du monde.

Tous ces soi-disant “ vakx1s ” sont brevetés et leur contenu réel est donc tenu secret, même pour les acheteurs, qui, bien sûr, utilisent l’argent des contribuables. Ainsi, les consommateurs (les contribuables) n’ont aucune information sur ce qu’ils reçoivent dans leur corps par inoculation.

L’humanité est maintenue dans l’ignorance en ce qui concerne les processus technologiques de nanoparticules impliqués, les effets négatifs sur les cellules du corps, mais surtout l’effet possible de la nano-bio-interaction magnétotoxique, cytotoxique et génotoxique sur le sang et les cellules du corps.

Cette étude actuelle, qui consiste en une analyse directe des soi-disant “vakx1s” susmentionnés à l’aide d’instruments technologiques à nanoparticules, révèle des informations troublantes et susceptibles de changer la vie des personnes concernées, concernant la vérité sur le contenu acide toxique réel de ces soi-disant vakx1s.

Les médicaments Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ne sont PAS des “vakx1s” mais des agrégats complexes de nanoparticules d’oxyde de graphène composés de divers nano-éléments fixés à des acides nucléiques génétiquement modifiés d’ARNm provenant de cellules animales et de cellules fœtales humaines avortées, comme nous l’avons vu et décrit ci-dessus.

Une fois de plus, les ingrédients de ces soi-disant vakx1s sont hautement magnétotoxiques, cytotoxiques et génotoxiques pour les membranes cellulaires des plantes, des insectes, des oiseaux, des animaux et des humains, ainsi que pour leur génétique, ce qui a déjà entraîné de graves accidents (estimés à plus de 500 millions) et/ou la mort (estimée à plus de 35 millions).

Les soi-disant “experts” ou “savants médicaux” VOUS disent que les vakx1s contre le CoV -2 – 19 sont le SEUL moyen d’arrêter la propagation du CoV-19… même lorsqu’il n’y a AUCUNE PREUVE de son existence et AUCUNE PREUVE de sa propagation telle que déterminée par la méthode scientifique des postulats de Koch ou de Rivers !

Ces même experts affirment qu’ils sont sûrs – malgré les preuves documentées du contraire….. qu’ils sont efficaces – même si des millions de personnes “doublement piquées” tombent malades, s’exposent théoriquement à un VIRUS NON EXISTANT appelé CoV – 19, et meurent, non pas d’une infection virale fantôme mais de la PEUR ou de fausses preuves semblant réelles, et du contenu acide toxique de l’oxyde de graphène réduit délivré via l’ARNm génétiquement modifié à des organes cibles spécifiques du corps humain entraînant une coagulation sanguine pathologique, un manque d’oxygène, une hypercapnie, une hypoxie et ensuite la mort par suffocation.

Docteur Robert Young   :   » Ces experts affirment que VOUS DEVEZ recevoir au moins deux injections PLUS des “rappels” pour vivre une “vie normale”…  Et bientôt, ils vous diront que VOUS n’avez pas d’autre choix que de vous conformer à TOUTES leurs OBLIGATIONS ! « 

NE LAISSEZ PERSONNE VOUS ENLEVER VOTRE LIBERTÉ DE SANTÉ !

« C’est VOTRE corps, VOTRE vie et VOTRE choix ! La connaissance est le pouvoir. Et c’est la clé pour comprendre pourquoi les vakx1s expérimentaux CoV -19 sont si dangereux – malgré le récit officiel des médias aux ordres qui suppriment et censurent quiconque ose s’exprimer. Vous avez le contrôle de votre propre santé. Ne soyez pas victime des gouvernements et des bureaucrates mondiaux qui poussent tout le monde à se faire vakxiner. Le “philanthrope” milliardaire Bill Gates et les activistes milliardaires de Big Tech pensent savoir ce qui est le mieux pour vous et votre famille. Vous devez être libre de décider ce qui est bon pour vous. Ne laissez PAS les gouvernements et les employeurs vous forcer à vous faire “vaxxer” “pour votre bien”.  Et ne laissez jamais la culture de la censure vous rendre trop effrayé pour défendre vos droits !  » 

Ce rapport d’études effectué par le Docteur Young révèle tout ce qui n’est pas divulgué dans les notices des laboratoires ! La composition des  » vakx1s  » dont l’appellation est impropre puisqu’il s’agit de thérapie génique présente des quantités importantes de substances très toxiques pour la santé humaine qui n’ont rien à faire dans ces injections. Et c’est bien parce que les laboratoires savent que leurs ingrédients endommagent les cellules humaines qu’ils ne les mentionnent pas dans leurs notices ! N’y-a-t-il pas là une volonté manifeste de nuire et de tromper tous ceux qui subissent leurs injections toxiques ? Et les dirigeants qui imposent cette vakxination de force ne se rendent-ils pas délibérément coupables d’un génocide en cours sous l’alibi fallacieux de protéger la santé publique ? N’est-ce pas une immense imposture et une monumentale tromperie dont les peuples endureront les dommages, voire mourront ?

Un acte médical non consenti imposé par la force, le chantage et des mesures coercitives est illégal et ne peut-être que l’œuvre de charlatans malveillants et de psychopathes qui ont vendu leur âme au diable ! Cette vakxination obligatoire est un acte criminel et cela est déjà démontrable !


Publié par Michel Duchaine

Born in 1953,I am the founder of the Defenders of the Earth in October 10 ,2007. We try to proposed an alternative of the New World Order and a new vision of life. We consider that the Humanity must live in harmony with all forms of life and abolish the neoliberalism for preserve the human life and continue the Earthlians adventure. We consider that we are not alone and we will receive an ultimatum in few time. Voir tous les articles par Michel Duchaine

La fraude du COVlD-19 et la guerre contre l’humanité

Les docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith viennent de publier un article choc intitulé “La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité”.
Ils couvrent tout ce qui se cache derrière la fraude – y compris les acteurs, la PCR, la virologie, la modélisation et plus encore.


Contenus

Résumé

Première partie

L’agenda mondialiste
Le cheval de Troie
La double tromperie de la virologie
Les quatre piliers de la fraude COVID-19
Le premier pilier : L’isolement

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique
Le troisième pilier : La PCR
Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Troisième partie

En résumé
Conclusion
POSTSCRIPT
Crimes contre l’humanité
L’insulte finale
A propos des auteurs

Résumé

Le COVID-19 est une fraude parce que son agent causal présumé, un prétendu nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, n’a pas été prouvé comme existant dans la nature et n’a donc pas été établi comme la cause du COVID-19, la maladie et la pandémie inventées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pour la même raison, il n’y a pas de variants du “virus”, qui n’existent que de manière hypothétique dans les ordinateurs, les banques de gènes en ligne et dans l’esprit de personnes innocentes qui ont été complètement bernées par leurs gouvernements.

La fraude du COVID-19, avec ses nombreuses allégations grotesques, ne constitue rien de moins qu’une guerre contre l’humanité menée par des organisations telles qu’Anser, Fors Marsh et Palantir qui mènent l’escroquerie par l’intermédiaire de Big Pharma, avec ses soutiens et ses complices, notamment le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les conglomérats technologiques, les médias de masse, les gouvernements complices et les “pirates” du COVID tels que l’UNC Chapel Hill et l’Imperial College London, pour ne citer que quelques bénéficiaires de la fraude.

Le COVID-19 est une guerre contre l’humanité parce que les politiciens et leurs gouvernements continuent d’utiliser cette maladie imaginaire pour terroriser et emprisonner leurs citoyens, en les privant de leurs droits fondamentaux et de leurs libertés, et en violant leurs corps autrefois inviolables par des injections expérimentales et dangereuses contenant une séquence d’ARNm de protéine spike générée par ordinateur qui ordonne au corps de s’empoisonner. Ces injections infâmes, qui contiennent également des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées, affectent des millions de personnes et en tuent plusieurs milliers dans le monde entier, dont 218 Néo-Zélandais au 2 octobre 2021.[1]

Une fraude virologique est au cœur de ces crimes contre l’humanité : le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé physiquement ni démontré comme étant l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Dans cet article, les auteurs examinent le monde illusoire de la virologie pour expliquer comment un virus que personne n’a vu ni ne sait d’où il vient, dont personne ne sait ce qu’il fait ni où il va, traverse, selon les fraudeurs, les frontières et les barrières et vient vous chercher où que vous soyez. Comment se fait-il, demandent les auteurs, que cette folie fantasmagorique se soit transformée en un monde empreint de peur, dans lequel les gouvernements démocratiques ont abandonné les principes démocratiques pour s’engager dans le contrôle et la “suppression d’êtres humains”, ce qui pourrait simplement se transformer en une “variante” de la troisième guerre mondiale ?[2]

Première partie

L’agenda mondialiste

Ne vous méprenez pas, nous sommes actuellement assaillis par une fraude mondiale d’une telle ampleur et d’une telle malveillance qu’elle menace notre existence même telle que nous la connaissons sur cette planète.

L’escroquerie concerne un prétendu nouveau coronavirus, inventé et non découvert par la virologie, qui a permis à Bill Gates de prédire une pandémie unique en son genre, nécessitant des milliards de vaccins pour la combattre, ce qui lui permet d’augmenter considérablement les actifs du Bill and Melinda Gates Trust qui se trouve aux côtés de la Bill and Melinda Gates Foundation (BMGF).[3]

Un autre qui se préparait avec impatience au déploiement de ces ” vaccins ” de masse, qui ne sont pas des vaccins mais des armes biologiques, était Peter Daszak de EcoHealth Alliance. Comme il l’a déclaré en 2015, “nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité des MCM [Contre-mesures médicales], comme un vaccin pan-influenza ou pan-coronavirus. Les médias sont un facteur clé, et l’économie suit le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient des bénéfices à la fin du processus.”[4]

En septembre 2019, le Global Preparedness Monitoring Board, une création de l’OMS et de la Banque mondiale, a conseillé aux pays de se préparer à un potentiel “pathogène respiratoire mortel” en investissant dans “des vaccins et des thérapeutiques innovants, une augmentation de la capacité de fabrication, des antiviraux à large spectre et des interventions non pharmaceutiques appropriées”. [5] Ils ont également conseillé que “tous les pays doivent développer un système pour partager immédiatement les séquences génomiques de tout nouveau pathogène”.[6]

Le monde était préparé à une ” pandémie ” et le 4 décembre 2019, le Dr Anthony.
Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré que son agence ” menait et soutenait des recherches pour développer des technologies de plateforme vaccinale de pointe qui pourraient être utilisées pour développer des vaccins antigrippaux universels ainsi que pour améliorer la vitesse et l’agilité du processus de fabrication des vaccins antigrippaux “. Ces plates-formes technologiques comprennent l’ADN, l’ARN messager (ARNm), les particules de type viral, les vaccins à base de vecteurs et les nanoparticules auto-assemblées.[7] Tout était donc prêt pour libérer les technologies génétiques et les nanoparticules sur des populations sans méfiance, sous couvert d’une crise sanitaire à quelques semaines de distance. Il suffisait de remplacer la grippe, qui n’avait plus réussi à effrayer le monde depuis longtemps, par un “nouveau” coronavirus mortel imaginaire.

Les événements qui se sont déroulés au cours des 20 derniers mois auraient semblé inconcevables il y a encore deux ans, sauf dans l’esprit de personnes comme Gates et Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial.
Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui avaient déjà imaginé de détruire la démocratie de l’intérieur par une réponse autodestructrice induite par la peur d’un tel virus. Comme Schwab l’a écrit dans La Grande Réinitialisation, semant les graines de son programme mondial : “Depuis qu’il a fait son entrée sur la scène mondiale, le COVID-19 a radicalement bouleversé la façon de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de prendre part à l’économie mondiale. “[8] C’était une affirmation extraordinaire pour un coronavirus si “nouveau” que les séquences des protéines de pointe (spike) étaient déjà brevetées par leurs inventeurs et, dans le cas du brevet américain 7279327 B2, attribué à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, aux États-Unis, en 2007, et prétendument fourni à Moderna en novembre 2019, un mois avant que le COVID-19 ne fasse son entrée sur la scène mondiale à Wuhan.[9] C’est la chanson que Schwab aime chanter avec Thierry Malleret : ” La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n’a pas de parallèle dans l’histoire moderne. Nous ne pouvons pas être accusés d’hyperbole lorsque nous disons qu’elle plonge notre monde dans son ensemble et chacun d’entre nous individuellement dans les moments les plus difficiles que nous ayons connus depuis des générations. C’est un moment décisif pour nous – nous aurons à faire face à ses retombées pendant des années, et beaucoup de choses changeront à jamais”.[10] La choriste mondialiste, ancienne Premier ministre néo-zélandaise, Helen Clark, coprésidente du Groupe indépendant de l’OMS pour la préparation et la réponse à la pandémie, reprend le même refrain hyperbolique : “En moins d’un an et demi, le COVID-19 a infecté au moins 150 millions de personnes et en a tué plus de trois millions. Il s’agit de la pire crise sanitaire et socio-économique combinée de mémoire d’homme, et d’une catastrophe à tous les niveaux… Le COVID-19 est le Tchernobyl du XXIe siècle – non pas parce qu’une épidémie est comparable à un accident nucléaire, mais parce qu’il a montré si clairement la gravité de la menace qui pèse sur notre santé et notre bien-être. Elle a provoqué une crise si profonde et si étendue que les présidents, les premiers ministres et les responsables d’organismes internationaux et régionaux doivent maintenant accepter d’urgence leur responsabilité de transformer la manière dont le monde se prépare et réagit aux menaces sanitaires mondiales.”[11]

Ces affirmations absurdes et non fondées des mondialistes constituent une source de peur sur laquelle s’appuient les entreprises pharmaceutiques telles que Pfizer pour soutirer de vastes sommes d’argent aux États-nations qui vendent leur peuple pour une bouchée de pain. Cette pratique d’extorsion est à la base de l’accord de fabrication et de distribution qui a fait l’objet d’une fuite entre Pfizer et l’Albanie, en vertu duquel la première exigeait de la seconde qu’elle accepte que le “vaccin” Pfizer soit soumis à des “risques et incertitudes significatifs”, qu’il “puisse ne pas réussir pour” un large éventail de raisons, et que Pfizer n’ait “aucune responsabilité pour tout échec … dans le développement ou l’obtention de l’autorisation du produit conformément aux dates estimées décrites dans cet accord.[12]

Derrière les “leurres”, comme David Martin décrit les principaux acteurs pharmaceutiques – Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Merck Ridgeback, Gilead Sciences – se trouvent les criminels parrainés par l’État, les “corsaires” : Anser, “le plus grand contractant de toute la campagne terroriste COVID”, qui gère l’opération Warp Speed ; Fors Marsh, l’agence qui a créé le label COVID-19 et qui est chargée de veiller à ce que le message COVID-19 soit le même dans le monde entier ; Palantir, de Peter Thiels, qui vous suit par téléphone où que vous soyez grâce à Gotham Data Tracking ; et Publicis Sapient, qui coordonne toutes les données COVID-19 et dit au monde entier combien il y a de cas COVID, bien qu’il n’y ait pas de cas COVID à compter.[13] Puis il y a les pirates, parmi lesquels on peut compter : Ralph Baric et son Chimera Laboratory à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, qui a reçu plus de 100 millions de dollars depuis 1999 pour transformer en armes les particules du coronavirus, dont 28 millions de dollars du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci pour transformer en armes la protéine spike ; Vanderbilt ; Emory ; Johns Hopkins University ; University of California System ; Massachusetts Institute of Technology ; New York University Langone ; German Centre for Infection Research ; Imperial College London ; Institute for Health Metrics and Evaluation ; et Erasmus.[14]

Le bouton “go” a été poussé sur cette fraude mondialiste lorsqu’un ouvrier de 41 ans s’est présenté à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec des symptômes indiscernables des autres maladies respiratoires courantes parmi les 11 millions de résidents qui subissent une pollution asphyxiante dans la capitale de la province chinoise du Hubei. Le génome d’un virus que personne n’avait vu, et encore moins isolé et purifié, a été publié début janvier 2020, rebaptisé SRAS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus le 11 février, le jour même où le chef d’orchestre de la fraude, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (Tedros), a annoncé son compagnon conséquent : “nous avons maintenant un nom pour la maladie : COVID-19. Je vais l’épeler : C-O-V-I-D trait d’union 1 9 – COVID-19”.[15]

À la fin du mois de mars 2020, la démocratie était à genoux, le peuple en tant que peuple exclu de la vie publique, emprisonné dans ses foyers. Les camps d’exclusion étaient désormais nos maisons. Et puis l’impensable : les politiciens ont annoncé qu’ils allaient inoculer à leurs populations des injections génétiques codées hautement expérimentales, jamais utilisées auparavant sur des humains, et dont les essais cliniques, déjà tronqués et grotesques, devaient encore durer des années.[16] Nos représentants élus n’ont pas pris la peine de nous le dire. Ils ne nous ont pas dit non plus que ceux qui semblaient tolérer l’inoculation initiale pouvaient transporter dans leur corps des bombes à retardement de maladies neurodégénératives et auto-immunes potentielles ainsi que des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées.[17]

Le cheval de Troie

Tout tourne autour de ces deux concepts : absence et présence. De quoi est fait le SARS-CoV-2 : d’absence ou de présence ? Telle est la question que nous devons trancher. Car sans la présence instanciée du SARS-CoV-2, il n’y a pas de cas de COVID-19 à compter, et donc pas de motif ou de justification pour la réponse d’un gouvernement à une pandémie fantôme.

Cet assaut contre l’humanité s’appuie sur un cheval de Troie pour introduire la tromperie dans nos esprits et nos corps, rendant possible la réalisation de l’agenda mondialiste d’un réseau de contrôle de la population dans le but ultime apparent de contrôler les populations de toutes les manières possibles.[18]

Alors que les débats se poursuivent dans le monde entier sur les origines du COVID-19, le nombre de cas les plus récents, sa létalité et l’efficacité des prétendus vaccins, les participants à ces débats semblent tenir pour acquis qu’un virus existe réellement. La grande majorité du public et du corps médical ignore que le cheval de Troie est la virologie moderne et ses méthodes antiscientifiques qui affirment l’existence de virus tels que le SARS-CoV-2. La plupart seraient surpris d’apprendre que le “virus” n’a jamais été trouvé à l’intérieur d’un seul être humain et qu’il n’a jamais été démontré qu’il était la cause d’une quelconque maladie.

La double tromperie de la virologie

Le crime contre l’humanité COVID-19 exige l’absence de ce virus. Il n’existe donc aucune référence matérielle permettant de recouper le génome fictif, afin d’établir, par exemple, si les prétendues protéines du SARS-CoV-2 proviennent spécifiquement du prétendu virus.

Ce tour illusoire repose sur la double tromperie de la virologie : (a) la substitution de la signification du dictionnaire et du postulat scientifique du substantif “isolement” par son contraire ; et (b) la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (CPE) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro par la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo pour établir la causalité entre le pathogène supposé et la maladie. Cependant, même l’utilisation de lignées cellulaires “normales” ne permettrait pas d’établir la causalité selon les postulats de Koch ou tout autre postulat scientifique, puisqu’il s’agit simplement d’observations en éprouvette impliquant des virus présumés.

Cette double tromperie constitue une violation des postulats sur lesquels la communauté scientifique s’appuie depuis longtemps. Cette absence physique fait du SARS-CoV-2 une fraude sans faille, que les virologues financés par l’industrie applaudissent et que le complexe médico-pharmaceutique exploite et récompense. Cet art noir est si obscur et son langage si ardu que peu de gens dans le grand public s’arrêteraient pour le remettre en question. Même Stephen Bustin, expert en réaction en chaîne par polymérase (PCR) et créateur des protocoles MIQE conçus pour dompter le “Far West” de la RT-PCR, se laisse prendre à cette fraude virologique, comme il l’a révélé dans son interview avec Eric Coppolino :

Eric Coppolino (EFC) : Mais il y a deux définitions différentes de l’isolement qui circulent. L’une est que vous le séparez de tout le reste, et l’autre est que vous le mettez dans un bouillon et vous le trouvez.
Stephen Bustin (SB) : Oui. Eh bien, ce n’est pas vraiment mon domaine d’expertise. En ce qui me concerne, j’ai lu les articles et si c’est la façon standard d’isoler un pathogène, alors je n’ai aucun problème avec cela.
EFC : Eh bien, c’est la façon actuelle qui est utilisée, je dirais, que l’idée d’une véritable purification vous le séparez dans une centrifugeuse, et vous savez que vous avez un échantillon de seulement cela. Et c’est ce qui est séquencé et utilisé pour amorcer la PCR. Il ne semble pas que ce soit ce qui se passe…
SB : Eh bien, la façon dont la séquence a été établie, en prenant les échantillons du patient original, en cultivant quelque chose, puis en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SRAS.[19] Qui ressemblait alors de très près à un virus du SRAS de chauve-souris. Et qui était évidemment différent. Donc, ça… Eh bien, vous savez, c’est une façon standard de faire les choses, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, sauf que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de faire.[20]

Les quatre piliers de la fraude COVID-19

Si p, alors q ; maintenant q est vrai ; donc p est vrai. Par exemple : “Si les porcs ont des ailes, alors certains animaux ailés sont bons à manger ; maintenant certains animaux ailés sont bons à manger ; donc les porcs ont des ailes. Cette forme de déduction est appelée méthode scientifique. “[21] Bertrand Russell, 1946

La fraude mondiale COVID-19 repose sur quatre piliers, tous interdépendants.

Le premier pilier : L’isolement

La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”.[22] Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes … pourrait être associée au virus de la rougeole. “[23]

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai – en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique.[24] Elles ont été utilisées par les médias du monde entier pour alimenter l’imagination du public sur l’existence d’un minuscule microbe ressemblant à une mine marine qui pourrait le frapper et le couler à tout moment. Quant aux images de micrographie électronique mises en avant dans les publications scientifiques, elles montrent simplement des nanoparticules dans et autour de cellules de culture, comme décrit dans les expériences de laboratoire ci-dessus.

Schéma 1. ” Effets cytopathiques – aucun virus requis”[25]

Elles sont censées être les virus du SARS-CoV-2 sur la base de déclarations arbitraires. Par définition, un virus est une particule infectieuse qui peut provoquer une maladie chez un hôte vivant. Aucune de ces propriétés essentielles n’a été démontrée dans les expériences virologiques décrivant l’isolement et la pathogénicité prétendus.

Les virologues ont passé des décennies à tenter de le faire sans succès et, au lieu d’admettre qu’il pouvait y avoir un problème avec la théorie des virus, ils ont simplement changé le sens du mot. C’est un état de fait scandaleux. Le monde est actuellement pris en otage parce que les virologues n’isolent pas réellement les virus, ils se contentent de dire qu’ils le font, et ne semblent pas s’inquiéter du fait que l’assaut actuel contre l’humanité repose sur cette fraude scientifique évidente.

La première fraude, fondamentale, consiste à affirmer que le virus a été isolé et qu’il est l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Si cette affirmation (toujours non fondée) n’était pas acceptée, la fraude du COVID-19 imploserait, tout comme la “pandémie du siècle” de Gates. En d’autres termes, la fraude de l’isolement repose sur la violation du sens accepté pour tromper, alors que, par exemple, un “isolat” n’a pas plus été isolé que de simples pensées. Cela met en place un discours circulaire vicieux auquel il est impossible d’échapper : la prémisse de l’existence est établie par le mensonge, et par son insistance absolue, l’existence du virus est “confirmée” de manière concluante et répétée. La virologie se nourrit de cette insistance, car sans elle, il n’y a pas de virus, pas de virologie, pas de “tests” PCR “positifs”, et plus d’emplois pour les virologues qui inventent des virus que Big Pharma combat avec des “vaccins” miraculeux. C’est également la raison pour laquelle les idées qui vont à l’encontre de ce récit sont censurées par le gouvernement et par les grands médias, et pourquoi les agences de sécurité de ce pays terrorisent les personnes qu’elles prétendent protéger, en leur imposant la fraude virologique sur laquelle repose toute la mascarade. L’ensemble de l’appareil d’État est actuellement dédié à cette cause.

Fan Wu et al.[26]

Plutôt que de recourir à la méthode largement utilisée par les virologues pour affirmer l’isolement et la pathogénicité par l’induction de CPE (effet cytopathique), Fan Wu et al, les premiers inventeurs du génome du SARS-CoV-2, ont envoyé l’échantillon extrait du liquide pulmonaire du patient directement au séquençage pour deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques ou “reads”.[27] Il est important de noter que les échantillons envoyés pour le séquençage n’étaient pas des virus physiquement isolés mais des échantillons bruts contenant des millions de fragments génétiques uniques provenant du patient lui-même, d’innombrables microbes, et même de l’air que le patient avait respiré sur le chemin de l’hôpital. Plus de 56,5 millions de “reads” ont été produites à partir de cette “soupe” génétique et assemblées pour créer 384 096 contigs (longues séquences génétiques) sur Megahit, et 1,32 million de contigs sur Trinity.[28] Peut-être avec une prédisposition à prouver leur canular infondé selon lequel il existe “la capacité continue de la propagation virale de l’animal à causer une maladie grave chez les humains”, Fan Wu et al. ont choisi la plus longue (30 474 nucléotides) qui, selon eux, avait une identité de nucléotides de 89,1 % avec le génome in silico du coronavirus de la chauve-souris (SL-CoVZC45) inventé en 2018.[29] Ainsi, un “génome” aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssinien est devenu le modèle utilisé pour la conception d’amorces pour la méthode RT-PCR afin de soi-disant détecter un virus dont l’existence n’avait pas été démontrée.[30] Par la suite, il a été décidé que le génome avait besoin d’un couper-coller, peut-être pour le faire paraître encore plus proche des 29 802 nucléotides du modèle de chauve-souris SL-CoVZC45 et il a été réduit à 29 875 nucléotides dans la version suivante sur GenBank.[31] Mais les artistes n’en avaient pas fini avec leur création et un troisième et dernier modèle a été dessiné avec une séquence terminale complètement différente comportant 23 bases adénines consécutives, ce qui ressemblait davantage au modèle de chauve-souris qui comportait 26 bases adénines consécutives en queue.[32] On ne sait pas très bien comment les virologues ont pu savoir quel “génome” choisir alors que toutes les options étaient des constructions informatiques hypothétiques. Il devient donc rapidement évident que l’anti-science de la virologie et la perversion du mot “isolement” sont non seulement délirantes mais aussi très trompeuses et qu’elles ne peuvent servir de base à quoi que ce soit, et encore moins à la santé et au bien-être de populations entières.

Un an plus tard, le Dr Wu Zunyou, du CDC chinois, dans une interview avec Janis Mackey-Frayer, déclarait que l’isolement n’avait jamais eu lieu : “Ils n’ont pas isolé le virus”, a-t-il déclaré. “C’est la question [pourquoi aucune donnée n’a été partagée]. Je ne soupçonne pas que cela provienne de ce à quoi nous pensions au départ.”[33]

Cette fraude fondatrice a été récompensée par des subventions en 2020 d’un montant total de 900 000 dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates accordées aux deux institutions auxquelles 14 des 19 coauteurs de la fraude étaient affiliés : L’Université Fudan a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-006277 ” pour soutenir l’étude épidémiologique et identifier les risques élevés d’infection par le COVID-19, ce qui contribuera à la stratégie d’intervention de santé publique nationale et internationale et au développement de produits “, pour un montant total de 300 000 dollars ; et le China CDC a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-005832 ” pour soutenir la réponse d’urgence et l’évaluation, et préparer la Chine à la pandémie potentielle, ce qui contribuera non seulement à contrôler et à contenir la maladie, mais aussi à apporter l’expérience de la Chine à la santé mondiale “, pour un montant total de 600 000 dollars.[34]

Peng Zhou et al.

Des méthodes pseudo-scientifiques similaires et la même fausse revendication d’isolement se retrouvent dans l’article de Peng Zhou et al. reçu par Nature 13 jours après celui de Fan Wu et al. mais publié en ligne dans le même volume, 579, le même jour, le 3 février 2020.[35] Ces auteurs revendiquent également l’isolement réussi de ce qu’ils appellent “2019-nCoV BetaCoV/Wuhan/WIVO4/2019” (EPI_ISL_402124) mais sur la base des CPE (effets cytopathiques) qu’ils ont observés dans trois lignées cellulaires.[36] Cependant, il s’agit de substituts illégitimes de l’infection postulée d’un animal ou d’un hôte sain (non malade). Les trois lignées cellulaires utilisées étaient les suivantes : Les cellules Vero E6 (aneuploïdes) dérivées du rein d’un singe vert africain ; Huh7, une lignée cellulaire d’hépatocytes humains prélevée sur une tumeur du foie en 1982 et cultivée par la suite ; et les cellules HeLa humaines dérivées d’une femme humaine en 1951 souffrant d’un carcinome cervical et cultivées par la suite.[37] Aucune de ces lignées cellulaires ne répond au critère postulé d’un hôte sain avec lequel on peut tester la pathogénicité, mais elles sont privilégiées car elles produisent les effets recherchés, c’est-à-dire un effet cytopathique et l’apparition de vésicules extracellulaires. Aux lignées cellulaires ont été ajoutés, entre autres, des sels inorganiques, du sérum bovin fœtal pour nourrir les cellules, et un ensemble d’éléments cytotoxiques tels que l’amphotéricine B – un antifongique, la trypsine – qui hydrolyse les protéines, la pénicilline – un antibiotique, la streptomycine – un autre antibiotique, le glutaraldéhyde – un désinfectant et un fixateur, le tétroxyde d’osmium – un agent oxydant à toxicité aiguë, et la résine époxy – pour créer un substrat solide pour le découpage en tranches ultrafines.[38] Bizarrement, en se basant sur le fait qu’un ARN de provenance inconnue faisait partie de la culture dans laquelle de nombreuses cellules sont mortes à la suite d’une famine induite et d’un stress avec des ingrédients cytotoxiques, les auteurs ont affirmé qu’ils avaient réussi à isoler leur virus, 2019-nCoV BetaCov, et non que le cocktail d’ingrédients cytotoxiques avait décimé leurs lignées cellulaires anormales.

En bref, Peng Zhou et al. n’ont rempli aucun des postulats permettant d’identifier le virus ou de confirmer qu’il est à l’origine d’une quelconque maladie. Le prétendu virus n’avait même pas été physiquement isolé et purifié pour une caractérisation biochimique et restait donc entièrement théorique.

Cela n’a apparemment pas inquiété la Fondation Bill et Melinda Gates, la fondation qui fournit à l’Académie chinoise des sciences, à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19, sous le numéro INV-006377, d’un montant total de 359 820 USD, dans le but suivant : “Soutenir le développement d’une plateforme d’essais pour la sélection de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation de produits pour le contrôle de la pandémie de COVID-19”.[39]

Na Zhu et al.

Publiés dans The New England Journal of Medicine le 20 février 2020, Na Zhu et ses collaborateurs décrivent leur étude des échantillons des voies respiratoires inférieures, y compris le liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA), prélevés chez quatre patients atteints de pneumonie de cause inconnue, qui s’étaient tous rendus au Huanan Seafood Market de Wuhan peu avant leur tableau clinique.[40]

Bien qu’ils affirment avoir isolé le virus, il est clair que les auteurs n’entendent pas le terme “isolement” dans le sens du dictionnaire et du principe, mais dans le sens antonymique de la virologie et dans celui de la substitution de cellules hôtes malades à des cellules non malades pour établir la causalité entre un prétendu virus et la maladie du patient.[41] Dans ce cas, le surnageant centrifugé à partir du LBA du patient “a été inoculé sur des cellules épithéliales humaines… réséquées à partir de patients subissant une chirurgie pour un cancer du poumon”, bien que prétendument exemptes d’agents pathogènes.[42] En tout état de cause, des cellules cancéreuses seraient présentes dans ces cellules et, comme elles ont l’habitude de le faire, ces cellules produiraient une abondance d’exosomes, qui seraient visibles par le biais de la microscopie électronique à transmission.[43] Contrairement à Fan Wu et al et Peng Zhou et al, Na Zhu et al ont bien produit des images de ce qu’ils ont décrit comme des “particules de 2019-nCoV” mais sans aucune vérification de leur composition biochimique à partir d’un spécimen purifié.[44] Il est tout simplement impossible d’établir, à partir des images proposées, que les particules sont des virus (c’est-à-dire infectieux et pathogènes) ou qu’elles contiennent le prétendu génome du SARS-CoV-2.

Pourtant, malgré cette double tromperie qui hante la virologie, les virologues s’accrochent à leurs convictions et à leur métier. Car comme le disent Na Zhu et al : “Bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan.”[45] La base de cette affirmation semble être que les auteurs ont placé des pointes en forme de flèche sur des vésicules extracellulaires de composition inconnue et les ont baptisées “2019-nCoV”.

L’implication et la composition inconnue étaient toutefois suffisantes pour la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a accordé à l’Institut national de contrôle et de prévention des maladies virales, auquel 13 des 18 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19 sous le numéro INV-019121 pour un montant de 71 700 dollars US “pour aider le CDC chinois à évaluer la qualité des réactifs de diagnostic sérologique du COVID-19 en Chine et fournir des preuves de l’utilisation scientifique des réactifs dans le diagnostic clinique et l’enquête épidémiologique”.[46]

Leon Caly et al.

Leon Caly et al. ont produit leur propre version sous le titre “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia” (isolement et partage rapide du nouveau coronavirus de 2019 (SRAS-CoV-2) chez le premier patient diagnostiqué avec COVID-19 en Australie) lorsqu’ils ont fait état d’un homme de 58 ans originaire de Wuhan qui s’est “senti mal” à son arrivée à Melbourne le 19 janvier 2020.[47]

Lorsqu’ils ont affirmé que les cellules Vero “présentaient des vésicules liées à la membrane cytoplasmique contenant des particules de coronavirus”, Caly et al. n’ont pas pu trouver de “virions” avec la prétendue protéine spike, ils ont donc ajouté de la trypsine au milieu de culture cellulaire, et avant qu’ils aient pu dire “Jack Robinson”, la trypsine, dont la fonction est de digérer les protéines, avait englouti la couche protéique externe d’un “virion” sphérique de 100 nm pour révéler “la frange caractéristique en forme de couronne des protéines spike”, ce qui, ajoutent-ils sans la moindre ironie, “a immédiatement amélioré la morphologie du virion”.[48] En d’autres termes, lorsque les exosomes ne ressemblaient pas au virus qu’ils souhaitaient, ils leur ont donné un petit coup de pouce trypsinisé. Les prétendus virions n’ayant pas été purifiés, leur composition biochimique n’a pas pu être établie : le “génome” proposé a en fait été constitué après avoir généré “environ 30 000 000 de “reads”” à partir du mélange de cultures de tissus.[49] Comme pour tous les autres articles de cette nature, aucune explication n’a été fournie quant à la manière dont ces particules seraient à l’origine de maladies ou si ces mêmes particules existent dans l’organisme humain. Là encore, on ne peut parler que de vésicules extracellulaires de signification inconnue, produites à partir de cellules rénales anormales de singe dans une éprouvette. Le problème supplémentaire de savoir si les images de micrographie électronique de tissus préparés in vitro ressemblent même à celles de cellules vivantes dépasse le cadre de cet essai.

Il n’est pas nécessaire d’en dire plus sur les folies de cet article et sur les absurdités virologiques qui le sous-tendent, si ce n’est pour ajouter que le ministère néo-zélandais de la santé (MOH) déclare qu’il s’agit d’un exemple “d’isolement et de culture du virus en laboratoire”.[50]

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique

Cette tragédie mondiale a été en grande partie rendue possible par le déclin de la science ” – l’étude systématique de la nature et du comportement de l’univers matériel et physique, basée sur l’observation, l’expérience et la mesure ” – vers le scientisme, “l’application non critique des méthodes scientifiques à des domaines d’étude inappropriés “.[51] Cela est devenu un système de croyance sécularisé dont l’autorité repose sur sa propre performativité et sur la présupposition d’une préexistence phénoménologique dans laquelle les suppositions et les hypothèses sont considérées comme concluantes et les abstractions sont traitées comme des répliques du réel.

Le deuxième pilier de la fraude COVID-19 est celui du séquençage génomique.

Les virologues prétendent avoir établi la structure génétique complète de virus tels que le ” SARS-CoV-2 ” et l’avoir téléchargée dans des banques de données, comme Fan Wu, Peng Zhou, Na Zhu, Leon Caly et leurs équipes l’ont fait au début de 2020, et comme beaucoup l’ont fait depuis. Là encore, ils affirment avoir un “isolat” du virus, mais cette déclaration est faite après avoir “construit” le génome à partir de leur mélange contenant des fragments génétiques de provenance inconnue. Dans le cas de Fan Wu et al, bien qu’il n’y ait pas de chauves-souris en vente dans le marché couvert de fruits de mer où le patient travaillait, et bien que les auteurs n’aient pas été en mesure de confirmer un hôte intermédiaire ou un réservoir pour leur virus, ils ont néanmoins choisi in silico (par ordinateur) un autre coronavirus de chauve-souris comme modèle pour créer WH-Human 1 (SARS.-CoV-2).[52] Tout cela, sans doute, fait partie intégrante du besoin de validation scientifique de la virologie, qui s’exprime dans sa quête depuis 20 ans de l’eldorado des chauves-souris où, selon elle, se trouvent tous les trésors du monde en matière de coronavirus.[53] En attendant, elle continue d’inventer des virus pour nourrir Big Pharma et se maintenir à flot.

Le processus utilisé par la virologie pour prétendre à “l’isolement” peut être résumé comme suit. À partir de la “soupe” biologique prélevée dans les poumons ou les écouvillons nasaux des patients, qui contient toutes sortes de matériel provenant du sujet humain, d’innombrables microbes commensaux et de contaminants potentiels, les plates-formes d’assemblage de novo recherchent de courts fragments génétiques. Après avoir trouvé des millions de fragments uniques dans le mélange, ces logiciels assemblent un “génome” (un long morceau) en fonction des paramètres définis dans le programme. En cours de route, il y a un peu de couper-coller et si des morceaux sont “manquants”, d’autres modèles prêts à l’emploi peuvent être ajoutés pour combler les lacunes. Cependant, les algorithmes, les modèles de probabilité et les sélections arbitraires créés par l’homme ne peuvent pas répondre par “oui” ou par “non” à la question de son existence physique dans la nature, notamment parce que tout “génome” de coronavirus utilisé comme modèle dans sa production sera également propositionnel, la méthodologie n’offrant aucun lien confirmable avec l’univers matériel ou physique, faisant du nouveau membre du genre Coronavirus un simple produit supplémentaire des processus sui-référentiels de la virologie.

Une analogie pour ces processus serait que vous trouviez un million de cartes sur le sol, chacune avec des phrases partielles. Vous commencez à les arranger pour en faire des phrases complètes, puis finalement une histoire. Si certaines parties ne correspondent pas, vous les jetez, et si des parties semblent manquer, vous empruntez un paragraphe d’une autre histoire. Mais comment savoir s’il s’agit d’une histoire existante et non d’une invention de votre part ? Et pourquoi n’y aurait-il pas dix petites histoires, ou pas d’histoire du tout ? En bref, vous ne pouvez pas prétendre connaître l’histoire si vous n’avez pas accès à l’histoire complète avant de commencer. Et c’est là que réside la tromperie de la virologie – les virologues ne travaillent pas avec un génome complet parce qu’ils ne travaillent pas avec un virus complet. Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et nous disent ensuite que cela constitue la preuve d’un virus. Cependant, ceux d’entre nous qui examinent attentivement leurs expériences peuvent voir qu’il y a un problème : il n’y a aucune preuve matérielle d’un quelconque virus.

En effet, ce que l’on ne dit pas au public, c’est qu’aucun virus appelé SARS-CoV-2 n’a jamais été réellement isolé et purifié en tant que structure unique. Ce qui se passe, c’est simplement le séquençage à l’aveugle d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance inconnue. Par conséquent, il n’existe aucune preuve, pas même la plus vague garantie, que le “génome” in silico qui en résulte existe dans la nature ou a quelque chose à voir avec un “virus”. De cette façon, cependant, l’invention du “virus” est présentée comme une découverte, son faux statut étant assuré rétroactivement par l’acte de dénotation par lequel sa dénomination prétend à son existence antérieure et à sa pathogénicité.

Qu’un génome hypothétique fictif inventé par une telle anti-science soit au cœur de cet assaut contre l’humanité est un scandale scientifique et éthique. C’est cette fausse science qui a mis le monde sens dessus dessous. C’est là le caractère insidieux du crime de la virologie, une version généralisée de la fausse revendication de l’isolement qui donne aux politiciens la “permission” de violer ceux qu’ils emploient, et d’étendre leur programme systématique de violation corporelle au secteur privé, les dernières victimes étant les travailleurs du commerce au détail et de l’hôtellerie.[54]

Pour le reste, le crime s’insinue dans notre conscience sous couvert de devoir et de bienfaisance, amenant nombre d’entre nous à accepter dans notre corps le contenu inconnu de flacons que le gouvernement n’a apparemment pas pris la peine de vérifier, produits par un fabricant ayant un palmarès spectaculaire de fraude médicale criminelle, contenu qui, en outre, introduit clandestinement dans notre corps des vecteurs génétiques aux effets mal déterminés, tout cela pour le plus grand bien de la protection de la société contre une maladie mortelle qui n’existe pas.[55]

La façon dont une démocratie contemporaine a pu se laisser prendre à une telle absurdité grotesque mais mortelle dépasse le cadre de cet essai. Il suffit de dire que c’est la raison pour laquelle le gouvernement néo-zélandais n’est pas “votre unique source de vérité”, mais un pourvoyeur criminel de mensonges monumentaux qu’il utilise pour couvrir ses lâches crimes contre l’humanité, ses actes de terreur et de démocide, ainsi que le carnage socio-économique généralisé et la dislocation qu’il continue d’infliger à la population de cette whenua [terre en Maori], reproduisant les circonstances antérieures à l’établissement des pires régimes totalitaires.

Le troisième pilier : La PCR

Le troisième pilier de la fraude COVID-19 concerne la mauvaise application de la PCR (modifiée en RT-PCR, reverse-transcriptase-PCR afin de détecter l’ARN monocaténaire, car la PCR ne peut qu’amplifier l’ADN avec précision). Cette application erronée porte sur l’amplification de séquences d’ARN prélevées sur des sujets humains qui appartiendraient au SARS-CoV-2 et à une maladie appelée COVID-19. Or, la PCR ne peut confirmer ni l’un ni l’autre de ces éléments ; sa capacité se limite uniquement à l’amplification des séquences nucléotidiques sélectionnées, et non à la détermination de leur provenance ou de leur signification. Cette fraude repose donc sur l’attribution d’une signification aux séquences amplifiées, qui est fournie par : (a) la référence au génome imaginaire in silico et non à une entité physique prouvée appelée SARS-CoV-2 ; et (b) une “maladie” qui, par un raisonnement circulaire absurde, a été définie par le résultat de la PCR lui-même. Le SARS-CoV-2 n’a jamais été localisé chez un sujet humain, isolé, purifié, puis photographié et caractérisé biochimiquement comme une structure unique. Il n’a pas été prouvé qu’il existe dans la nature ; en fait, des composants clés ont été brevetés en 2007, ce qui, par définition, signifierait qu’ils sont fabriqués par l’homme.[56] En ce qui concerne les courtes séquences nucléotidiques détectées par les kits PCR utilisés, elles existent mais proviennent d’ailleurs, et non d’un virus étiqueté ” SARS-CoV-2 ” (si la PCR est mal faite ou à des nombres de cycles élevés, comme c’est le cas habituellement, la séquence cible peut même ne pas exister dans l’échantillon et un résultat ” positif ” est simplement un artefact du processus). En outre, la PCR ne peut pas diagnostiquer le statut infectieux d’un humain de manière avérée et aucun lien cohérent n’a jamais été trouvé entre un état pathologique et les résultats de la PCR. En bref, la mauvaise application de la PCR signifie que le COVID-19 est une construction scientifiquement dénuée de sens qui ne représente rien de plus qu’une illusion référentielle.

Dès le départ, le but de cette application erronée était de fournir la base statistique d’une pandémie basée sur une maladie inventée par l’OMS au profit de l’élite et de certains membres de l’industrie pharmaceutique, et non pour l’humanité. Au 3 janvier 2020, avec seulement ” 44 cas-patients atteints de pneumonie d’étiologie inconnue “, il n’y avait aucune base pour amorcer le bouton de démarrage de la pandémie que l’OMS et l’industrie pharmaceutique recherchaient désespérément ; Moderna et BioNTech, le partenaire de Pfizer, avaient par exemple perdu près d’un milliard de dollars à eux deux en 2,5 années financières entre 2016 et 2019.[57]

Dr Kary Mullis, l’inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) : “Cela ne vous dit pas que vous êtes malade.” (Photo : LA Times 13 août 2019)

Cependant, après la publication sur le site Internet de l’OMS, les 13 et 17 janvier 2020, de séquences de tests PCR non évaluées par des pairs, conçues par Christian Drosten et al. pour détecter le prétendu virus, des tests conçus, comme l’ont reconnu les auteurs, ” sans disposer de matériel viral “, le nombre de cas de COVID-19 a commencé à augmenter.[58]

Entre le 22 et le 24 janvier, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence pour suivre la situation internationale, alors que seuls 17 décès et 581 cas avaient été signalés à ce stade.[59] Cette absence de cas posait un problème aux entreprises pharmaceutiques désireuses de mettre sur le marché leurs dispositifs hautement expérimentaux de codage génétique, déguisés en vaccins, sans avoir à passer par les processus d’approbation normaux, qu’elles doutaient de pouvoir satisfaire. [60] Une urgence de santé publique pourrait être le moyen de contourner les conditions d’autorisation rigoureuses des autorités réglementaires.[61] Les “tests” RT-PCR ont atteint leur objectif, produisant suffisamment de cas pour que Tedros déclare “une urgence de santé publique de portée internationale” (PHEIC), et pour alimenter la rhétorique : “L’heure est aux faits, pas à la peur. L’heure est à la science, pas aux rumeurs. L’heure est à la solidarité et non à la stigmatisation.”[62] En effet, en sept jours seulement, à partir du 24 janvier, le nombre de cas de COVID-19 a augmenté de 1 245,61 % dans le monde, passant de 581 à 7 818, dont 98 seulement en dehors de la Chine.[63] Le lendemain, le nombre total de cas était passé à 9 826.[64] La fraude internationale était là, au grand jour, avec la croissance astronomique d’un virus fantôme qui n’avait pas été isolé et dont on n’avait pas encore démontré qu’il était à l’origine d’une quelconque maladie. Tedros recommandait d’accélérer le “développement de vaccins, de thérapies et de diagnostics”, ce qui était encore plus important que “l’urgence de santé publique de portée internationale”.[65]

L’odeur de la fraude était partout. Drosten a omis de déclarer qu’il était membre du comité éditorial d’Eurosurveillance lorsque son article et celui de ses co-auteurs ont été publiés dans Eurosurveillance le 23 janvier, deux jours après avoir été soumis.[66] Il est également apparu que Drosten serait “probablement poursuivi en justice pour détention d’un titre de doctorat frauduleux”.[67] Un autre co-auteur, Chantal Reusken, a également omis de déclarer qu’elle faisait partie du comité éditorial d’Eurosurveillance, et un autre co-auteur de Drosten, Olfert Landt, PDG de TIB Molbiol, a omis de déclarer son conflit d’intérêts jusqu’au 29 juillet 2020, alors que sa société fabriquait un kit PCR basé sur les séquences de test publiées.[68] Pour Landt, la tromperie s’est avérée très payante, comme son entreprise l’indiquera plus tard : “TIB Molbiol … fournit des kits de test PCR COVID-19 depuis début janvier 2020. Au cours des 12 derniers mois, nous avons livré plus de 60 millions de tests.”[69]

Soudain, le monde a été plongé non pas dans une pandémie virale mais dans une pandémie de PCR générant la peur dans le monde entier. Mais la peur paie et paie bien. L’institution à laquelle les créateurs les plus éminents de cet article étaient associés, l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin, a reçu une subvention 2020 du BMGF sous le numéro INV-005971 “pour développer des outils de diagnostic et de virologie permettant une réponse rapide au nouveau coronavirus 2019” pour un montant total de 249 550 dollars.[70]

La pandémie de tests PCR a maintenant soutenu la pandémie fantôme de COVID-19 pendant presque deux ans. On prétend que la PCR peut détecter un virus et une infection, mais ce n’est qu’une tromperie de plus. La méthode PCR amplifie simplement des fragments génétiques, c’est tout. Comme nous l’avons établi, personne n’a de spécimen physiquement isolé ni même prouvé l’existence du virus. C’est pourquoi les séquences des tests PCR de Drosten ont été conçues sans virus, tout comme les séquences des tests des centres américains de contrôle et de protection des maladies (CDC).[71] En d’autres termes, la PCR a été calibrée pour détecter les séquences génétiques d’un “virus” dont l’existence dans la nature n’a pas été démontrée. Au lieu de cela, elle détecte des séquences de provenance inconnue que l’on trouve chez certains humains et, semble-t-il, chez certaines chèvres, une caille et un jaquier.[72] Comme l’a souligné Kary Mullis, l’inventeur de la PCR, lauréat du prix Nobel, la PCR “ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé va vous faire du mal ou quoi que ce soit de ce genre”.[73] En effet, bien qu’il se présente comme un “flux de travail diagnostique pour le 2019-nCoV”, l’article de Drosten décrit simplement la sensibilité analytique et la spécificité de leur protocole PCR pour amplifier les séquences nucléotidiques sélectionnées, il n’établit aucune spécificité diagnostique pour une quelconque condition clinique.[74] Ainsi, bien que les autorités sanitaires affirment que la PCR est adaptée au diagnostic du COVID-19, un tribunal autrichien a confirmé le contraire en mars 2021, son jugement faisant écho à celui de Mullis : “‘un test PCR n’est pas adapté au diagnostic et ne dit donc rien en soi sur la maladie ou l’infection d’une personne’”.[75] Le partenaire complémentaire dans le crime de la PCR est la définition de l’OMS d’un cas de “COVID-19”.[76] Essentiellement, un cas confirmé peut être et sera très probablement “une personne ayant un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) positif”, c’est-à-dire un test PCR, que la personne soit malade ou non.[77] Cela a créé une situation absurde où un cas de “COVID-19” n’est rien d’autre que le résultat du test PCR d’un test qui n’en est pas un, car le test PCR n’a aucune capacité de diagnostic à cet égard, puisqu’il s’agit simplement d’un outil d’amplification. Les tests PCR “positifs” sont ensuite affichés par des organisations telles que l’Université et la Médecine John Hopkins qui présentent des statistiques dénuées de sens comme si elles étaient légitimes. En d’autres termes, aucun des 243 554 336 cas de COVID-19 affichés sur le tableau de bord du coronavirus de Johns Hopkins au 25 octobre 2021 n’existe en dehors du discours vicieusement circulaire qui repose uniquement sur la double prémisse non prouvée selon laquelle le SARS-CoV-2 a été isolé et est à l’origine du COVID-19.[78]

En conséquence, nous vivons aujourd’hui une tyrannie médicale, déconnectée du monde naturel et tellement absurde que la détection de quelques fragments génétiques chez une personne peut servir d’excuse pour enfermer une nation entière.

Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Les nombres astronomiques de cas produits par la méthode PCR sont devenus la base du nombre de reproduction (R0) qui a initialisé tous les modèles épidémiologiques du COVID-19. Pourtant, même en s’appuyant sur ces chiffres sans valeur, la modélisation des épidémies, connue depuis longtemps pour sa faillibilité prédictive, a quand même réussi à produire des prédictions spectaculairement grotesques.

Le plus grand pourvoyeur de cette absurdité spéculative est Neil Ferguson de l’Imperial College London (ICL), auteur principal du rapport 9 de l’ICL, publié sans examen par les pairs le 16 mars 2021, qui prédit que 550 000 personnes au Royaume-Uni et 2,2 millions de personnes aux États-Unis mourraient dans un délai d’environ trois mois sans intervention non pharmacologique (masque, confinement…)[79] Ses prédictions catastrophiques ont amené les gouvernements à changer de cheval à mi-chemin et ont provoqué, comme on pouvait s’y attendre, une panique généralisée parmi un public non averti, créant un environnement de peur et une volonté de se conformer aux politiques de “santé” publique dans de nombreux pays. Lorsqu’il a finalement publié les programmes du rapport 9 pour les soumettre à l’examen du public, Ferguson a constaté qu’ils étaient ridiculisés par les experts commerciaux et universitaires. Un expert commercial a estimé qu’il s’agissait d’un “désordre bogué qui ressemble plus à un bol de pâtes aux cheveux d’ange qu’à une pièce de programmation finement réglée”, tandis que des scientifiques de l’université d’Édimbourg ont signalé qu’il échouait “au test scientifique de base consistant à produire les mêmes résultats à partir du même ensemble initial de paramètres”.[80] Dix jours plus tard, Ferguson, qui estime que les modèles sont des “versions simplifiées de la réalité”, prédit, dans un autre article cosigné par l’ICL, que 40 millions de personnes pourraient mourir dans le monde à cause du COVID-19.[81]

La modélisation du chaos en Nouvelle-Zélande a été largement le domaine de trois groupes. Le premier à publier son rapport, daté du 27 février 2020, a été le groupe de modélisation commandé par le gouvernement, l’University of Otago Wellington COVID-19 Response Group (UOWCRG). Dans ce rapport, les modélisateurs “estiment que le nombre de décès probables se situe entre 12 600 et 33 600”, ce qui correspond à 0,67 % de la population néo-zélandaise et à plus de 52 millions de décès dans le monde.[82] N’ayant effectué aucun contrôle préalable sur les circonstances de l’origine du SARS-CoV-2, mais ayant recueilli diverses informations à son sujet de toutes parts, y compris ses données de reproduction (R0) provenant de quatre sources différentes et le nombre de cas d’infection en Australie, l’UOWCRG a prédit que le système hospitalier du pays serait submergé par “336 000 personnes” nécessitant une “hospitalisation”, et entre 67 000 et 79 000 patients nécessitant des unités de soins intensifs dans le pire des cas.[83]

Cependant, la fantasmagorie de mort massive sur laquelle l’état d’exception a été décidé ne repose pas sur les modélisateurs mandatés par le gouvernement, mais sur deux rapports de modélisation non mandatés et non évalués par des pairs, dont les huit auteurs, quatre pour chaque rapport, n’avaient aucune qualification en épidémiologie ni aucune expérience préalable de la modélisation d’une épidémie humaine. Leurs prédictions astronomiques n’étaient pas le fruit d’une rigueur scientifique mais d’une spéculation algorithmique fondée sur des chiffres de cas provenant du ministère de la santé pour l’un des rapports, et pour l’autre, sur des “comparaisons avec des données internationales sur les parcours des cas et des études de modélisation pour les épidémies au Royaume-Uni et aux États-Unis (Ferguson et al 2020)” afin de calibrer leur “nombre de reproduction avec contrôle (Rc)”.[84] Le premier de ces rapports provient de Wigram Capital Advisors, une petite société de conseil en macroéconomie spécialisée dans la Chine et l’Asie.[85] L’autre, Te Pūnaha Matatini (TPM), qui se décrit comme un “Centre d’excellence en recherche sur les systèmes complexes”, est rattaché à l’université d’Auckland.[86] Les modèles de Wigram ont été “exécutés autour du 22 mars” et prévoyaient 4 000 cas de COVID-19 pour le 3 avril et 10 000 pour le 9 avril.[87] C’est à la modélisation de Wigram que le gouvernement s’est référé le 23 mars quand il a affirmé : “Si la transmission dans la communauté décolle, le nombre de cas doublera tous les cinq jours.”[88] Si l’Australie avait connu le même nombre de cas le même jour, doublant tous les cinq jours, sa population de 25,5 millions d’habitants aurait été infectée à la mi-juin et, sur la même base, la population mondiale de 7,8 milliards d’habitants aurait été infectée à la fin de juillet 2020.[89]

L’auteur principal de TPM est intervenu de manière spectaculaire le dimanche 22 mars, en s’adressant aux médias avec l’affirmation alarmante que sa modélisation provisoire, réalisée sur la table de sa cuisine, suggérait que 60 000 personnes allaient mourir à moins qu’une “stratégie de suppression agressive” ne soit mise en œuvre “dès que possible”, ce qui, par miracle, permettrait de sauver 50 000 de ces vies.[90] Les modélisateurs n’avaient aucun précédent auquel se référer concernant les effets d’une telle stratégie, mais surtout, ils n’avaient aucune idée de l’existence même du virus. Comme l’a admis l’auteur principal, ces résultats ont été produits avec “beaucoup d’approximation” en se basant sur des données provenant de l’étranger, tandis que la modélisation elle-même traitait “la Nouvelle-Zélande comme une grande ville où tout le monde a la possibilité d’infecter quelqu’un d’autre”, une erreur fondamentale qui a contribué aux prévisions de mortalité grotesques du rapport.[91] Le lendemain matin, les 60 000 de TPM étaient passés à 1,67 % de la population, soit 83 500 personnes qui pourraient mourir sans aucune mesure d’intervention de “santé” publique, une histoire fantaisiste sans fondement dans la réalité mais qui a fait trembler les parlementaires et à laquelle les apprentis sorciers croient encore un an plus tard.[92] Extrapolé à la population mondiale, “le ministère de I’autopromotion de TPM” venait de prédire que 130 260 000 personnes allaient mourir dans le monde. Le petit groupe TPM a été richement récompensé par le gouvernement avec un prix de 6 millions de dollars pour l’avoir aidé à promouvoir un récit absurde et à susciter une peur sans fondement dans la population de la Nouvelle-Zélande.[93] Si TPM a remporté le prix de la prédiction la plus grotesque, l’ICL de Neil Ferguson a été le grand gagnant. Gates, qui apprécie une histoire effrayante qui confirme ses “prédictions”, qui ferme une grande partie du monde et qui décide que seuls les “vaccins” peuvent le rouvrir, a puisé dans ses réserves pour son frère d’armes de l’ICL, sortant de sa poche arrière un ensemble de subventions pour 2020 d’un montant total de 91 494 791 dollars.[94] Parmi ces subventions, citons INV-016635, d’un montant total de 1 080 771 USD, pour “évaluer l’efficacité potentielle d’un vaccin à base d’acide ribonucléique (ARN) contre le COVID-19”, INV-023013, d’un montant total de 140 041 USD, pour “modéliser l’impact potentiel des diagnostics rapides pour le COVID-19”, et INV-023210, d’un montant total de 1 487 605 USD, pour comprendre comment les impacts sociaux et autres impacts indirects du COVID-19 (distanciation sociale, quarantaine, etc.) et les perceptions du risque influencent les comportements sexuels à risque qui pourraient conduire au VIH.[95] Si l’année 2020 a été une année record pour l’ICL, M. Gates s’occupait depuis longtemps de l’ICL, la Fondation Bill et Melinda Gates lui ayant accordé des subventions depuis 2002 pour un montant total de 302 164 640 USD, soit environ 16 000 000 USD par an au cours des 19 dernières années.[96]

Alors que la confusion et le débat font rage sur ces modèles, sur les raisons pour lesquelles le “virus” se comporte si différemment selon les endroits, sur l’existence d’une surmortalité et sur l’efficacité des “vaccins”, tout cela n’est qu’une distraction. Si l’on examine l’article d’origine de Fan Wu et al. et tous ceux qui ont suivi, la vérité est que l’existence du “SARS-CoV-2” n’a pas été démontrée. Il n’y a pas de “COVID-19” en dehors d’un récit malveillant imposé à l’humanité.

Troisième partie

En-résumé

La fraude du COVID-19 est l’œuvre d’élites internationales, de l’industrie pharmaceutique et de politiciens complices travaillant à un programme mondialiste, dont l’objectif semble être l’extinction des droits de l’homme et des libertés et le démantèlement de la démocratie dans le but de contrôler les populations et d’extorquer de vastes sommes d’argent aux pays sur la base qu’une maladie, le COVID-19, inventée par l’OMS, représente une menace sérieuse pour leurs populations.

Le fondement de cet agenda est la fraude selon laquelle un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2 a été trouvé et isolé chez des sujets humains et qu’il a été démontré qu’il était la cause d’une maladie appelée COVID-19. Rien de tout cela ne s’est produit.

Le remède proposé pour ce supposé virus tueur est une protéine de pointe (spike) produite par une séquence génétique qui ne se trouve pas dans la nature mais dans un brevet américain de 2007. Les “vaccins” basés sur cette séquence ont tué plusieurs milliers de personnes dans le monde et en ont mutilé et blessé des millions d’autres.

La base statistique de cette pandémie fantôme a été déterminée par l’application erronée d’une méthode PCR qui n’a aucune spécificité diagnostique (clinique) établie. Elle n’a pas permis de diagnostiquer un seul cas d’une nouvelle maladie et n’a produit que des nombres de cas “COVID-19” sans signification.

En conséquence, le gouvernement néo-zélandais est complice de la fraude mondiale du COVID-19 et est donc accusé de crime inconsidéré, notamment de violation des droits de l’homme, de crimes contre l’humanité, de démocide, d’actes de terreur et de meurtre de masse.

Conclusion

Depuis l’entrée en vigueur, le 25 mars 2020, de l’Avis de préparation aux épidémies (COVID-19) 2020, nous vivons dans l’état d’urgence, que l’on peut décrire comme un espace liminal entre la loi et la vie, où la loi ne s’applique plus et où la force pure s’approprie l’anarchie pour se faire la loi.[97] Positionné dans une sorte de “no man’s land entre le droit public et le fait politique”, l’état d’urgence “n’est pas une dictature (qu’elle soit constitutionnelle ou inconstitutionnelle, commissariale ou souveraine) mais un espace dépourvu de droit, une zone d’anomie dans laquelle toutes les déterminations juridiques – et surtout la distinction même entre public et privé – sont désactivées.”[98] Nos maisons sont devenues des prisons, nos corps ne sont plus inviolables, la marque de l’aiguille détermine qui est inclus et qui est exclu, tout cela incarne l’état d’urgence et peut être considéré comme un signe avant-coureur de ce qui nous attend.

Pour conclure, nous espérons que cet essai pourra à la fois vous encourager et vous aider à vous préparer à ce qui nous attend. Car dans le climat actuel, dans ce contexte politique, les circonstances ne feront que continuer à se détériorer si nous ne nous soulevons pas en masse pour réclamer ce que nous avons appris qu’il est si facile de perdre mais volé par ce gouvernement en moins de deux ans, le tout sur la base d’une fraude imbécile qui a néanmoins terrorisé et divisé le peuple de Nouvelle-Zélande au point de le rendre dysfonctionnel, divisant les familles et les amis, les amants, les âmes sœurs, les collègues et les meilleurs amis.

Cet essai vise également à encourager la poursuite des recherches sur la légitimité des méthodologies employées par les virologues établis, ainsi que sur la mauvaise application de la PCR dans les diagnostics cliniques. Si ces méthodes anti-scientifiques continuent à être largement acceptées, nous risquons de voir encore plus de “pandémies” sans fondement, nécessitant encore plus de “vaccins”, se poursuivre indéfiniment dans le cadre de la “nouvelle normalité”. En fait, un fabricant a déjà fait part de son intention de “développer un vaccin combiné à ARNm “afin que les gens puissent recevoir une injection chaque automne pour une protection très efficace contre les virus respiratoires les plus problématiques”.[99]

Il n’y a rien de normal à ce que l’industrie pharmaceutique et les organisations mondialistes créent une demande de thérapies géniques inutiles par la peur et la création de pseudo-pandémies. Il n’y a rien de normal en ce qui concerne la censure sans précédent du débat scientifique et l’empêchement des praticiens médicaux de fournir un consentement éclairé à leurs communautés. Seuls les plus naïfs pourraient croire que, dans cet environnement artificiel, une cabale d’élites et une industrie ayant un bilan effroyable de préjudices et de décès font du monde un endroit plus sain pour ses habitants.

Les tyrannies naissent et disparaissent. Celle-ci, dans son ascension, est déjà en train de s’étouffer e son propre orgueil. Les façades scientifiques et idéologiques sur lesquelles cette escroquerie s’appuie entraîneront sa propre chute et, avec elle, une nouvelle ère dont nous hériterons tous. Les tyrans cachés, lorsqu’ils finissent par émerger, sont toujours nus, des vaisseaux vides remplis des idées des autres, faisant la guerre aux innocents pour se cacher de ce qui leur manque. Ils n’ont pas encore appris que le contrôle est une voie sans issue ou que ce qui fait s’élever l’esprit humain n’est rien d’autre que l’acceptation.

POSTSCRIPT

Dans le cadre du processus de reprise pacifique de ce qui appartient au peuple néo-zélandais, Heterodoxies Society Incorporated a déposé une procédure le 6 août 2021 devant la Haute Cour d’Auckland, CIV-2021-4041599. Malheureusement, depuis lors, sur la base d’un artifice juridique qui n’a aucune base statutaire apparente ou valeur juridique, l’affaire a été suspendue, c’est-à-dire confinée dans un équivalent de quarantaine juridique. Voici une partie de ce que la Cour a récemment refusé d’entendre.

Crimes contre l’humanité

“Il est question de bio-armement intentionnel de protéines de pointe à injecter aux gens pour les rendre dépendants d’un vaccin contre les ”pancoronavirus”. Cela n’a rien à voir avec un agent pathogène qui a été libéré… Il s’agit d’injecter aux gens une protéine S1 connue pour être nocive… La tragédie, c’est que nous sommes dans un monde où des centaines de millions de personnes se voient injecter une séquence informatique stimulant un agent pathogène… qui est vendue sous ce que l’office des brevets, la profession médicale et la FDA et ses propres normes cliniques ne considèrent pas comme un vaccin, mais en utilisant ce terme, nous soumettons maintenant des centaines de millions de personnes à ce que l’on savait être, en 2005, une arme biologique. ” Dr David Martin, 12 juillet 2021[100]

Le 20 septembre 2021, une conférence de presse s’est tenue à l’Institut de pathologie de Reutlingen, en Allemagne, afin de présenter, dans la première partie intitulée “Cause du décès après une vaccination Covid-19”, les conclusions des pathologistes Arne Burkhardt et Walter Lang qui avaient enquêté sur dix décès de personnes de plus de 50 ans décédées dans le contexte chronologique de l’administration de soi-disant vaccins COVID-19, dont le Comirnaty de Pfizer. Dans la deuxième partie, “Composants non déclarés des vaccins Covid-19”, les éléments non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits ont été présentés et discutés par divers participants, dont des médecins d’Allemagne et d’ailleurs.[101]

Le professeur Dr Burkhardt a enseigné pendant de nombreuses années aux universités de Hambourg, Berne et Tübingen, et a également été professeur invité/visiteur dans un certain nombre d’universités du monde entier. Il a dirigé l’Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans, après quoi il a exercé en tant que pathologiste. Il a publié plus de 150 articles dans des revues spécialisées. Le professeur Dr Walter Lang a travaillé comme pathologiste à la faculté de médecine de Hanovre de 1968 à 1985, puis a fondé un institut privé de pathologie à Hanovre où il a travaillé pendant 25 ans. De 1985 à 2020, il a effectué des examens de consultation pour la pathologie de la clinique pulmonaire de Herner. Ils étaient accompagnés dans cette présentation par le professeur Dr Werner Bergholz, ancien professeur d’électrotechnique spécialisé dans la gestion de la qualité et des risques à l’université Jacobs de Brême, qui avait travaillé pendant 17 ans dans la gestion de la production de puces chez Siemens avant cette nomination.[102]

Sur les dix personnes décédées qui ont subi un examen post mortem, Burkhardt et Lang, se fondant sur le matériel tissulaire obtenu auprès des médecins légistes qui avaient d’abord examiné les cas, ont estimé que cinq des décès étaient très probablement liés aux “vaccins” COVID-19, deux probablement, un n’était pas clair et ils ont considéré que deux n’avaient aucun lien de causalité.[103] “Dans trois cas, ils ont trouvé des maladies auto-immunes rares ; l’une d’entre elles était si rare qu’ils ne l’ont découverte qu’en regardant de près l’image numérisée. Il s’agissait de la maladie de Hashimoto, une hypothyroïdie déclenchée par une réaction auto-immune ; de la vascularite leucoclastique, une réaction inflammatoire dans les capillaires qui entraîne des saignements de la peau ; et du syndrome de Sjögren, une inflammation des glandes salivaires et lacrymales.”[104] On a observé un large éventail de maladies, certaines communes, d’autres rares. Les trouver dans un collectif de dix patients était “très extrême”, a déclaré Burkhardt.[105] Comme il le dit : “Nous sommes en présence d’un système immunitaire qui dépasse complètement les limites, qui s’attaque de lui-même à lui-même, et l’inflammation a lieu dans chaque organe, dans chaque vaisseau… et cela conduit à une forte réaction auto-immune et à des maladies. Ce sont des maladies, je dirais, qui sont de 1 pour 100 000 normalement.”[106]

Selon les pathologistes, les lymphocytes avaient afflué et causé une destruction cellulaire massive. Ils ont montré des images d’accumulations de lymphocytes dans une grande variété de tissus, du muscle cardiaque au rein, au foie, à la rate et à l’utérus”, et aussi “des images dans lesquelles le tissu a été massivement attaqué en conséquence, et toute une série de follicules lymphocytaires … au mauvais endroit, par exemple dans le tissu pulmonaire”.[107] Ils “ont également montré des détachements de cellules endothéliales – qui sont les cellules lisses qui forment la paroi des vaisseaux sanguins – des amas de globules rouges qui finissent par provoquer une thrombose, et des cellules géantes qui [s’étaient] formées autour des corps étrangers piégés”.[108] Burkhardt l’a décrit comme suit dans ce résumé paraphrasé de ses conclusions générales : “J’ai beaucoup réfléchi à ce que j’ai vu et je n’ai pu voir qu’une seule chose, à savoir des lymphocytes déchaînés (devenus fous furieux) dans tous les organes et tous les tissus. Nous assistons à une réaction immunitaire extrême, une attaque de soi-même contre soi-même (déclenchée par le vaccin). J’ai été témoin de l’hyperplasie (croissance excessive) et de l’activation des organes lymphatiques, des ganglions lymphatiques et de la rate, ainsi que de l’infiltration des lymphocytes dans les organes non lymphatiques. Le résultat (de cette tempête lymphocytaire) est la perte de la capacité et de la fonction immunitaires externes, combinée à une inflammation et une destruction des tissus causées par les lymphocytes, avec le risque d’une réaction auto-immune prolongée. Personne ne peut dire si et combien de temps il faudra à ces tissus pour se régénérer et retrouver leur état normal et sain.”[109]

Vous trouverez ci-dessous des diapositives représentatives préparées et présentées par le Dr Burkhardt lors de la conférence de presse :

Figure 2. Légende pour le cas 7 : C’est une image à plus haute résolution d’un follicule lymphatique dans le tissu alvéolaire pulmonaire. On voit également ces follicules lymphatiques autour des vaisseaux sanguins pulmonaires. Il s’agit d’une preuve évidente de dommages alvéolaires (dans les poumons). Ce qui se passe ici, c’est que l’appareil immunitaire d’une personne attaque ses propres tissus. Ainsi, les vaccins déclenchent des maladies auto-immunes qui peuvent ne pas se manifester avant plusieurs années. L’infiltration massive de lymphocytes dans les tissus cérébraux, cardiaques, pulmonaires et rénaux est un signal d’alarme pour les maladies auto-immunes et le cancer. Attendez-vous à voir les taux de cancer augmenter considérablement dans les années à venir.”
Figure 3. Légende pour le cas 2 : Cette diapositive montre des vaisseaux sanguins du tissu pulmonaire avec un amas d’érythrocytes (globules rouges).”
Figure 4. Légende : Le syncytium a englouti et tente de digérer une de ces structures non biologiques (identifiées par la flèche jaune) dans le tissu pulmonaire. Le syncytium va échouer dans sa tentative de digestion.”

Dans la deuxième partie, un large éventail d’images de corps étrangers trouvés dans les flacons des fabricants a été photographié et leurs mouvements enregistrés par vidéo. Selon les présentateurs, aucun de ces objets n’a jamais été trouvé dans les vaccins traditionnels et ne devrait se trouver dans le corps humain. Leurs formes vont de l’apparence d’une carte SIM à des filaments en forme de perles et à de grandes formes rocheuses. Ils semblent être des structures métalliques. Aucun des experts ne savait à quoi elles servaient. “Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience”, et pourtant “ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes”.[110]

Comme l’a dit Holger Fischer, avocat allemand et membre du panel, “nous n’avons pas à avoir la charge de la preuve. Si vous aviez une limonade présentant ce type de contamination, elle serait immédiatement retirée du marché.”[111] Maria Hubmer-Mogg, un médecin autrichien, a abondé dans le même sens. “Ces vaccins doivent être retirés immédiatement et leur utilisation d’urgence révoquée”.[112] Faisant référence au récit de la peur, elle a ajouté : “les gens veulent maintenant vacciner leurs enfants, même leurs tout-petits. C’est quelque chose d’inimaginable, c’est de la pure folie, et cette folie doit être arrêtée immédiatement.”[113]

Après plus de deux heures et demie, Fischer a clôturé la conférence de presse par la déclaration suivante : “Une chose est claire, quiconque persiste à poursuivre en connaissance de cause à partir d’aujourd’hui est légalement punissable ; ils ne peuvent pas dire qu’ils ne l’ont pas fait délibérément ou du moins en partie délibérément. Il s’agit d’un crime contre l’humanité que l’on appelle ” élimination d’êtres humains “, et les partis éliminent leur électorat ici … Beaucoup de gens ne savent pas à quel point ils sont malades. Beaucoup vont peut-être découvrir ce soir [qu’ils ont besoin] de se faire aider … Nous voulons sauver ce qui peut l’être chez ceux qui sont déjà vaccinés.”[114]

Vous trouverez ci-dessous une sélection d’images, présentées lors de la conférence, de nombreux objets non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits. Ces images devraient suffire à elles seules à mettre un terme immédiat au déploiement criminel du Comirnaty en Nouvelle-Zélande.

Figure 5. Légende : Le reste des diapositives montre des corps étrangers non biologiques trouvés dans les vaccins. Ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes. (Plusieurs des diapositives ont été fournies par d’autres médecins en Allemagne ou en Autriche). Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience.”
Figure 6. Légende : OVNIs trouvés dans les vaccins.”
Figure 7. Légende : (On dirait un téléphone portable pour moi !)”
Figure 8. Légende : Salamandre ?”
Figure 9. Légende : Un OVNI dans le sérum du vaccin.” Le Dr Burkhardt affirme en avoir vu des centaines dans des cellules, mais cette image est celle “d’une gouttelette de liquide vaccinal fortement agrandie par microscopie à champ sombre.”
Figure 10. Légende : Un autre filament perlé.”
Figure 11. Légende : Burkhardt remarque les rangées d’objets bleus sur la plus grande tache. Il se demande si ce ne sont pas des nanopuces en quelque sorte.” Ceci montre le corps étranger non biologique dans le liquide vaccinal.
Figure 12. Légende : “Burkhardt se demande si ceci est aussi une puce de graphène.” Est-ce qu’elle “transporte on ne sait quelle information vers l’appareil de fabrication des protéines dans les cellules.”

L’insulte finale

Alors que l’accord conclu par Pfizer avec le gouvernement néo-zélandais reste caché aux yeux du public, et que le contenu des flacons de Pfizer reste occulté par un gouvernement aveugle à sa propre perfidie, une fuite du contrat de fabrication et de fourniture de Pfizer avec l’Albanie ouvre une fenêtre sur le monde infâme dans lequel ce géant pharmaceutique exerce son pouvoir sur les Etats-nations et leur extorque de l’argent sur la base de la fraude COVID-19. Ce contrat, signé par trois fonctionnaires albanais, fait de leur gouvernement une partie au fait que “les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus.”[115] Pourtant, les énormes profits de Pfizer, qui s’élèvent à 12 dollars par flacon selon ce contrat, sont garantis même si une multitude de décès et de blessures surviennent, pour lesquels le gouvernement acheteur doit “indemniser, défendre et dégager de toute responsabilité Pfizer … contre tout procès, toute réclamation, toute action, toute demande, toute perte, tout dommage, toute responsabilité, tout règlement, toute pénalité, toute amende, tout coût et toute dépense … découlant du vaccin, s’y rapportant ou en résultant”.[116] S’agit-il du même type d’arrangement que celui auquel le ministre néo-zélandais des Finances a consenti lorsqu’il a accordé à Pfizer-BioNTech l’immunité de poursuites le 5 octobre 2020, un arrangement qui doit être notifié à la Chambre parce que l’indemnité dépasse 10 millions de dollars ?[117] Si c’est le cas, alors le gouvernement néo-zélandais est également lié par un contrat méprisable, qui sera caché au public pendant dix ans, pour l’achat d’un produit dont il sait et accepte qu’il est “sujet à des risques et des incertitudes significatifs… [et] peut ne pas être efficace”, mais qu’il n’a cessé de promouvoir comme “sûr et efficace”, qu’il a imposé à de larges pans de la population active et qu’il insiste pour que sa séquence de fabrication de poison et ses corps étrangers non déclarés soient introduits dans le corps de nos enfants.”[118]

A propos des auteurs

Dr Mark Bailey MB ChB (Bachelier en médecine et en chirurgie), PGDipMSM (Diplôme de troisième cycle en médecine musculo-squelettique), MHealSc (Maîtrise en sciences de la santé) (Otago)
Est un chercheur en microbiologie, industrie médicale et santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Dr John Bevan-Smith BA (Hons) First Class (Licence de lettres (4 ans) avec mention très bien), PhD (doctorat) (Auckland)
Est un chef d’entreprise, auteur et chercheur, qui a entrepris des recherches pour le Tribunal de Waitangi Te Rōpū Whakamana i te Tiriti o Waitangi/The Ministry of Justice Te Tāhū o te Ture.


Essai original (anglais) : https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/
Présentation vidéo de la partie 1 de l’essai par le Dr. Samantha Bailey (anglais) : The COVID-19 Fraud & War On Humanity (Part 1)
Traduction française : https://cv19.fr

Références

↑1Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Conférence de presse, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 1:27:20 : https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/ ; Au 25/9/21, un total de 2 448 262 événements indésirables et 26 041 décès avaient été signalés à l’Agence européenne des médicaments (Europe) ; au 15/9/21, un total de 1 204 555 événements indésirables et 1 662 décès avaient été signalés à Yellow Card (Royaume-Uni) ; au 1/10/21, un total de 2 826 646 événements indésirables et 16 310 décès avaient été signalés à VAERS (États-Unis). Le nombre total d’événements indésirables signalés dans ces trois régions s’élève à 6 479 563 et le nombre total de décès à 44 013. Compte tenu de la sous-déclaration connue de ces événements, il est prévu que les chiffres réels pourraient être au moins cinq fois plus élevés.
Voir : America’s Frontline Doctors et al. v Xavier Becerra, Secretary of the U.S. Department of Health and Human Services, et al., Civil Action No. 2:21-cv-00702-CLM, dépôt le 19 juillet 2021, 41 ; Citizens’ Adverse Events register.
↑2Holger Fischer, in Burkhardt et al., “Cause of death after Covid-19 vaccination”, 2:19:13.
↑3Bill Gates, “Responding to Covid-19 – A Once-in-a-Century Pandemic ?”, The New England Journal of Medicine (28 février 20) : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762#article_references ; interview de Bill Gates par Ellen DeGeneres, “Bill Gates on Finding a Vaccine for COVID-19, the Economy, and Returning to ‘Normal Life’”, YouTube (14 avril 20) : https://www.youtube.com/watch?v=5oEcxMfwJnw
↑4“Developing MCMs for Coronaviruses”, dans Rapid Medical Countermeasure Response to Infectious Diseases : Enabling Sustainable Capabilities Through Ongoing Public- and Private-Sector Partnerships : Workshop Summary (Washington DC : National Academies Press, 12 février 2021) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK349040/
↑5Global Preparedness Monitoring Board, “A World at Risk”, (Sept 2019), https://constitutionwatch.com.au/wpcontent/uploads/A-world-at-risk-WHO.pdf
↑6Ibid.
↑7Anthony S. Fauci, “The Role of the National Institutes of Health in Research Addressing Seasonal and Pandemic Influenza”, témoignage devant le House Committee on Energy and Commerce Subcommittee on Oversight and Investigations (4 déc. 2019) :
https://energycommerce.house.gov/sites/democrats.energycommerce.house.gov/files/documents/Testimony%20-%20Fauci%20%28NIH%29%2012.04.2019.pdf
↑8Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation (Forum Publishing, Genève, 2020), Couverture arrière
↑9Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No. : US 7,279,327 9 Oct 2007) ; Témoignage du Dr David Martin, “CDC Fraud”, audition de la commission d’enquête extraparlementaire German Corona (12 Jul 21) : https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/.
↑10Schwab et Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation, 11.
↑11Helen Clark et S.E. Ellen Johnson Sirleaf, coprésidentes du Groupe indépendant pour la préparation et la réponse aux pandémies, “COVID-19 : Make it the Last Pandemic”, OMS (mai 2021), 4.
↑12Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidentiel Protection Sociale, le Ministre d’Etat pour la Reconstruction et l’Institut de Santé Publique”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 7 (2.1 [b]-[d]) : http://ti-health.org/wp-content/uploads/2021/05/AlbaniaPfizer.pdf
↑13Dr David Martin, Wise Traditions Conference 2021, “Follow the Patents, Then You Will Understand Covid”, (5 Nov 21) : https://rumble.com/vov60h-dr.-david-martin-follow-the-patents-then-you-will-understand-covid.html
↑14Ibid, 25:11
↑15“Remarques du Directeur général de l’OMS lors de la réunion d’information à l’intention des médias sur 2019-nCoV le 11 février 2020”, OMS (11 févr. 20), 2/4 : https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-remarks-at-the-mediabriefing-on-2019-ncov-on-11-february-2020 ; “Pourquoi le virus et la maladie ont-ils des noms différents ?”, OMS (11 févr. 20) : https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/technical-guidance/namingthe-coronavirus-disease-(covid-2019)-et-le-virus-qui-cause-it ; Fan Wu et al, “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank : MN908947.3, GenBank (18 mars 20, soumis le 5 janvier 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947
↑16Paul D Thacker, “Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai vaccinal de Pfizer”, BMJ, 375/n2635 (2 Nov 21), 1-3 : https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635
↑17Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause de la mort après la vaccination Covid-19”, Conférence de presse Conférence, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 2:19:13.
↑18James Corbett, “Bill Gates et la grille de contrôle de la population”, The Corbett Report, (18 mai 20) :
https://odysee.com/@corbettreport:0/gatespopulation:b
↑19Remarque : Bustin s’est trompé dans ses souvenirs. Comme nous l’expliquons ci-dessous, cette étape non valide n’a pas été effectuée par les inventeurs du SARS-CoV-2.
↑20Stephen A Bustin, “Why the need for qPCR publication guidelines?-The case for MIQE”, Methods, 50 (16 Dec 2009), 218 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/ ; Interview de Stephen Bustin par Eric Coppolino, “Planet Waves FM Interview with Stephen Bustin conducted by Eric F Coppolino”, transcription par Joshua Halinen, New York 1er février 2021), 01:02:00 : https://cormandrostenreview.com/wp-content/uploads/2021/02/bustintranscript.pdf
↑21Bertrand Russell, The Basic Writings of Bertrand Russell 1903-1959 (Londres : Routledge, 1992, publié pour la première fois 1961), 200
↑22John F Enders et William C Peebles, “Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles”, Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine (PSEBM), 86 (reçu le 16 mai 1954), 277-286.
↑23Ibid., 287.
↑24https://www.qwant.com/?client=brz-brave&q=SARS-CoV-2+images&t=images
↑25La méconnaissance du virus – La rougeole comme exemple; Wissenschafftplus Magazin 01/2020; https://cv19.fr/2021/03/07/la-meconnaissance-du-virus-la-rougeole-comme-exemple/
↑26Fan Wu, ISPOR Summit (2018): https://www.ispor.org/conferences-education/conferences/past-conferences/ispor-summit-2018/program/speakers/speaker/fan-wu-md-phd
↑27Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, Nature, Vol 579 (3 Feb 20, author correction 2 Apr 20), 266, Methods page: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3
↑28Ibid. Megahit et Trinity sont les noms de deux plateformes d’assemblage de novo.
↑29bid., 265-6, Methods page.
↑30Joan Pontius et al, “Initial sequence and comparative analysis of the cat genome”, Genome Research, 17 (2007), 1680.
↑31Fan Wu et al., “Wuhan seafood market pneumonia virus isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.2, GenBank (14 Jan 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.2/ ; Dan Hu et al., “Bat SARS-like coronavirus isolate bat-SL-CoVZC45, complete genome”, GenBank : MG772933.1, GenBank (29 sept. 2020) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MG772933.
↑32Fan Wu et al., “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.3, GenBank (18 Mar 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.3.
↑33Interview par Janis Mackey-Frayer du Dr Wu Zunyou, “Wuhan maintenant un an après”, NBC Nightly News Broadcast (Full) – 23 janvier 2021 | NBC Nightly News, NBC (23 Jan 21), 13:30-13:50 : https://www.youtube.com/watch?v=TjjA-8JXzYI
↑34Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑35Peng Zhou et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 579 (12 Mar 20), 270-273 plus 16 unnumbered supplementary papers: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7.pdf
↑36Ibid., 272.
↑37Ibid, Résumé du rapport, deuxième page non numérotée.
↑38Ibid, “Methods”, première page non numérotée.
↑39Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑40Na Zhu et al., “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”, The New England Journal of Medicine, 382 (20 Feb 20, first published 24 Jan 20, updated 29 Jan 20), 728.
↑41Ibid., 728, 730-31.
↑42Ibid., 728.
↑43Ibid., 731.
↑44Ibid.*
↑45Ibid., 733. Emphasis added.
↑46Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021).
↑47Leon Caly et al., “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia”, MJA, 212/10 (1 Jun 20, received 25 Feb 20, accepted Mar 20, published 9 Mar 20), 459 : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.5694/mja2.50569.
↑48Ibid., 461-62.
↑49Ibid., Supplementary methods: https://onlinelibrary.wiley.com/action/downloadSupplement?doi=10.5694%2Fmja2.50569&file=mja250569-sup-0001-Supinfo.pdf
↑50Letter of Rebecca Drew, Group Manager, Science and Insights, COVID-19 Health System Response, undated OIA letter Ref: H202008345, Ministry of Health. https://fyi.org.nz/request/14170-request-for-records-held-by-ministry-of-health-describing-the-isolation-of-a-sars-cov-2-virus-directly-taken-from-a-symptomatic-patient-of-covid-19
↑51Jeremy Butterfield, Editorial Director, Collins Concise Dictionary Fifth Edition (Glasgow: HarperCollins, 2003), 1348.
↑52Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, 265, 268-9.
↑53David Cyranoski, “SARS outbreak linked to Chinese bat cave”, Nature, 552 (7 Dec 17), 15-16.
↑54Rahul Battharai, épidémie de Covid 19 Delta : Businesses welcome vaccine certificates for retail and hospitality ” NZ Herald (26 Oct 21) : https://www.nzherald.co.nz/business/covid-19-delta-outbreak-businesses-welcome-vaccine-certificates-for-retail-and-hospitality/WB2WIX4KHGR27ZZNS6JJXFIGKQ/
↑55“Le ministère de la Justice annonce le règlement le plus important de son histoire en matière de fraude aux soins de santé”, ministère de la Justice des États-Unis (2 septembre 2009), 2 : https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-announces-largest-health-care-fraud-settlement-its-history.
↑56Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No.: US 7,279,327 9 OcT 2007).
↑57” Novel Coronavirus (2019-nCoV) Situation Report – 1 “, OMS (21 jan 20), 1 : https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/330760/nCoVsitrep21Jan2020-eng.pdf?sequence=3&isAllowed=y . Moderna, Inc, ” United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement ” (9 nov 2018), 12, 94 ; BioNTech SE, United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement “, (sans date, supposé 2019), 5, F-7 : https://investors.biontech.de/static-files/0eb8771c-1cda-4868-bb9f-bdb22dfd29e4 . Les pertes de Moderna se sont élevées à 230 314 000 dollars pour 2016, 255 916 000 dollars pour 2017 et 243 308 000 dollars pour les neuf mois à fin septembre 2018, et auraient besoin de plus d’investissements. Bien qu’ayant levé 1,1 milliard de dollars depuis 2008 dans le cadre de placements privés de leurs actions, BioNTech a tout de même enregistré une perte avant impôts de 85 950 000 € pour 2017 et de 48 262 000 € pour 2018.
↑58Victor Corman, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Christian Drosten Charité Virology, Berlin, Germany; Olfert Landt, Tib-Molbiol, Berlin, Germany; Marion Koopmans, Erasmus MC, Rotterdam, The Netherlands; Maria Zambon, Public Health England, London. Additional advice by Malik Peiris, University of Hong Kong, “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor Corman, et al., “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor M Corman, Olfert Landt, Marco Kaiser, Richard Molenkamp, Adam Meijer, Daniel KW Chu, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Julia Schneider, Marie Luisa Schmidt, Daphne GJC Mulders, Bart L Haagmans, Bas van der Veer, Sharon van den Brink, Lisa Wijsman, Gabriel Goderski, Jean-Louis Romette, Joanna Ellis, Maria Zambon, Malik Peiris, Herman Goossens, Chantal Reusken, Marion PG Koopmans, Christian Drosten, “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23: https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045
↑59Bloomfield Affidavit, (13 Jul 20), 8; “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21): https://en.wikipedia.org/wiki.COVID-19_pandemic_cases_in_January_2020
↑60Moderna, Inc., “United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement” (9 Nov 2018), 12.
↑61James Delingpole interview of Reiner Fuellmich, The Delingpod (23 May 21): http://www.odysee.com/@JamesDelingpoleChannel:0/feullmich:8
↑62“WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20): https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-statement-on-ihr-emergency-committee-on-novel-coronavirus-(2019-ncov)
↑63“COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21); Andrew Joseph, “WHO declare coronavirus outbreak a global health emergency”, STAT (30 Jan 20).
↑64Ibid.**
↑65“WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20), 3.
↑66Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 January 2020), 23.
↑67William Engdahl, “Coronavirus Scandal Breaking in Merkel’s Germany”, (10 Dec 20): http://www.williamengdahl.com/englishNEO10Dec2020.php
↑68Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, 29.
↑69“RT-PCR test kits and VirSNiP Mutation Assays for strain surveillance”, TIB Molbiol (accessed 6 May 20): https://www.tib-molbiol.de/covid-19
↑70Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021).
↑712019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel: For Emergency Use Only Instructions for Use Catalog # 2019-nCoVEUA-01 1000 reactions”, 40: https://www.fda.gov/media/134922/download
↑72Jesús García Blanca, “The scam has been confirmed: PCR does not detect SARS-CoV-2”, D-Salud-Discovery, 242 (8 Nov 20): https://www.dsalud.com/reportajes/fraudes-y-falsedades-en-el-ambito-medico/ ; English trans.: http://philosophers-stone.info/wp-content/uploads/2020/11/The-scam-has-been-confirmed-Dsalud-
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↑73David James, “PCR Inventor: “It doesn’t tell you that you are sick”, OffGuardian (5 Oct 20): https://off-guardian.org/2020/10/05/pcr-inventor-it-doesnt-tell-you-that-you-are-sick/
↑74Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23.
↑75“Austrian Court Rules PCR Test Not Suitable For COVID-19 Diagnosis And That Lockdowns Has No Legal Basis”, GreatGameIndia (8 Apr 21): https://greatgameindia.com/austria-court-pcr-test/
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↑77Ibid.***
↑78Johns Hopkins University & Medicine Coronavirus Resource Center (accessed 25 Oct 21): https://coronavirus.jhu.edu/map.html
↑79Neil M Ferguson et al., “Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID- 19 mortality and healthcare demand”, Imperial College London (16 Mar 20), 6, 7, 13: DOI: https://doi.org/10.25561/77482
↑80Hannah Boland and Ellie Zolfagharifard, “Coding that led to lockdown was ‘totally unreliable’ and a ‘buggy mess’, say experts”, The Telegraph (16 May 20): https://www.telegraph.co.uk/technology/2020/05/16/coding-led- lockdown-totally-unreliable-buggy-mess-say-experts/ ; Ram Sagar, “The most devastating software mistake of all time. Why is the Imperial model under criticism?”, AIM (24 May 20): https://analyticsindiamag.com/the-most-devastating-software-mistake- of-all-time-why-is-the-imperial-model-under-criticism/
↑81Neil M Ferguson et al., “Report 12: The Global Impact of COVID-19 and Strategies for Mitigation and Suppression “, Imperial College London (26 Mar 20), 1: https://doi.org/10.25561/77735
↑82Lucy Barnard, Nick Wilson, Amanda Kvalsvig, Michael Baker, “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand: Revised Preliminary Report for the NZ Ministry of Health”, University of Otago Wellington (27 February 2020), 1, 5, 11, 12: https://www.health.govt.nz/publication/covid-19-modelling-reports; Bloomfield, Affidavit (13 Jul 20), 101.4.
↑83Barnard et al., “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand”, 1, 2, 5; Denis Glover, “The Magpies”, in Enter Without Knocking (Christchurch: The Pegasus Press, 1971, first published 1964), 34; “Ventilators and ICU bed capacity”, Ministry of Health (11 May 20); Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501
↑84Alex James, Shaun C Hendy, Michael J Plank, Nicholas Steyn, “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/2020/03/26/suppression-and- mitigation-strategies-for-control-of-covid-19-in-new-zealand/
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↑86“Our Story”, Te Pūnaha Matatini: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/about-us/
↑87Jaijus Pallippadan-Johny, John McDermott, Rodney Jones and Michael Duddin, “Monitoring and Forecasting the COVID-19 Pandemic in New Zealand Including the Successful Impact of the Lockdown”, Public Health Expert (22 May 20): https://blogs.otago.ac.nz/pubhealthexpert/tag/pandemic/
↑88“Post-Cabinet press conference”, Beehive (23 Mar 20), 1-3; “Prime Minister: COVID-19 Alert Level increased”, Beehive (23 Mar 20); “Post-Cabinet Press Conference 23 March 2020 on COVID19”, YouTube (23 Mar 20), 10:55.
↑89Ashley Bloomfield, “COVID-19 media update, 24 March”, Ministry of Health (24 Mar 20), 5:08: https://www.health.govt.nz/news-media/news-items/covid-19-media-update-24-march#vid
↑90Kate Newton, “The man modelling NZ’s Covid-19 spread from his kitchen table”, Radio NZ (27 Mar 20): https://www.rnz.co.nz/news/in- depth/412744/the-man-modelling-nz-s-covid-19-spread-from-his-kitchen- table; Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501 ; Nikki Macdonald, “Coronavirus: Controls could cut Kiwi deaths from 60,000 to 10,000”, Stuff (22 March 20): https://www.stuff.co.nz/national/health/coronavirus/120455106/corona virus-controls-could-cut-kiwi-deaths-from-60000-to-10000
↑91Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20).
↑92Alex James et al., “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4.
↑93New Zealand Tax Payers Union, “Why Is Sean Hendy’s Modelling Group Getting $6m For Advice Treasury Is Paying $30k For Elsewhere?”, Community.Scoop (Oct 11 2021): https://community.scoop.co.nz/2021/10/why-is-sean-hendys-modelling-group-getting-6m-for-advice-treasury-is-paying-30k-for-elsewhere/
↑94Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑95Ibid.****
↑96Ibid..
↑97Epidemic Preparedness (COVID-19) Notice 2020, New Zealand Gazette (25 March 2020).
↑98Giorgio Agamben, trans. Kevin Attell, State of Exception (Chicago: The University of Chicago Press: 2005), 1, 50.
↑99Phil Taylor, “Moderna plans triple vaccine targeting flu, COVID and RSV”, Pharmaphorum, (8 Jul 20): https://pharmaphorum.com/news/moderna-plans-triple-vaccine-targeting-flu-covid-and-rsv/
↑100Evidence of Dr David Martin, “CDC Fraud”, Hearing of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee (12 Jul 21): https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/
↑101Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑102Ibid.*****
↑103Ibib., 15:50 to 26:20; “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination” (21 Sep 21)”, 1: Source: https://de.rt.com/inland/124390-lymphozyten-laufen-amok-pathologen-untersuchen-todesfaelle-nach-impfung/. Translated from German by http://www.DeepL.com/Translator.
↑104Ibid.******
↑105bid., 27:45 on.
↑106Ibid., 53:00
↑107“‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination”, 1-2.
↑108Ibid., 2.
↑109Dr Calvin Luther Martin, “Close paraphrase of Dr Burkhardt’s overall conclusions” (accessed 13 Oct 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑110Dr Burkhardt, “Slideshow presentation”, Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21); Ibid., 1:53:
↑1112:19:13.
↑112Ibid.*******
↑113Ibid…
↑114Ibid., 2:34:30.
↑115Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 19 (5.5).
↑116Ibid., Attachment B – Delivery Schedule and Price, 22 (8.1).
↑117Ben Strang, “Government grants vaccine suppliers indemnity against claims”, Stuff via Radio NZ (25 Jan 21): https://www.rnz.co.nz/news/alert-top/435107/government-grants-vaccine-suppliers-indemnity-against-claims
↑118Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 7 (2.1 [b]-[c]); “Dr Ashley Bloomfield and MedSafe’s Chris James talk about vaccine approvals”, Ministry of Health (4 Feb 21): https://www.youtube.com/watch?v=th4U_9Ddk4s

Compléments:

La théorie des germes contre la théorie du terrain

Interview d’Urmie Ray une vraie scientifique pluraliste qui revient sur les bases dogmatique de le soi-disant existence des virus, des bases des tests PCR, …

ou sur Odysee

La protéine spike augmenterait les crises cardiaques et détruirait le système immunitaire ?

par Mike Whitney (RéseauInternational.net)

« Il s’agit vraiment d’une technologie conçue pour empoisonner les gens, il n’y a vraiment pas deux voies possibles » ~ Dr Michael Palmer sur les vakx1s à ARNm

Question : Le vakx1 contre le Covid-19 provoque-t-il des crises cardiaques ?

Réponse : Oui, et les chercheurs sont sur le point de comprendre le mécanisme qui déclenche ces événements.

Q : Comment puis-je être sûr que vous dites la vérité ?

R :  Eh bien, pour commencer, il y a un article de recherche paru récemment dans le prestigieux magazine Circulation qui tire la même conclusion. Voici un extrait de l’article :

« Nous concluons que les vakx1s à ARNm augmentent considérablement l’inflammation de l’endothélium (couche de cellules qui tapisse les vaisseaux sanguins) et l’infiltration des cellules T dans le muscle cardiaque et peuvent expliquer les observations d’une augmentation des thromboses (coagulation), de la cardiomyopathie (un groupe de maladies qui affectent le muscle cardiaque) et d’autres événements vasculaires après la vakxination »1.

Il est en fait assez rare que des chercheurs soient aussi directs dans leur analyse, mais la voici, noir sur blanc. Comme vous pouvez le constater, ils n’ont pas mâché leurs mots. Voici comment Alex Berenson résume la situation sur son blog à Substack :

« Une nouvelle étude portant sur 566 patients ayant reçu les vakx1s Pfizer ou Moderna montre que les signes de dommages cardiovasculaires ont augmenté après les injections. Le risque de crise cardiaque ou d’autres problèmes coronariens graves a plus que doublé plusieurs mois après l’administration des vakx1s, d’après les modifications des marqueurs d’inflammation et d’autres dommages cellulaires. Les patients avaient un risque sur quatre de problèmes graves après les vakx1s, contre un sur neuf avant »2.

« Doublé » ? « Le risque de crise cardiaque… a plus que doublé » après la vakxination ?

Apparemment, oui. Pas étonnant que le cardiologue Dr. Aseem Malhotra soit si sidéré. Voici ce qu’il a dit dans une récente interview :

« Extraordinaire, inquiétant et bouleversant. Nous avons maintenant la preuve d’un mécanisme biologique plausible de la façon dont le vakx1 à ARNm peut contribuer à l’augmentation des événements cardiaques. Le résumé est publié dans la revue de cardiologie la plus influente, nous devons donc prendre ces résultats très au sérieux ».

En effet, nous devons, mais nos experts en santé publique continuent de prétendre que rien n’a changé, même si de plus en plus de professionnels continuent de s’exprimer. Voici encore Malhotra :

« J’ai beaucoup d’interactions avec la communauté cardiologique à travers le Royaume-Uni, et de manière anecdotique, des collègues m’ont dit qu’ils voyaient des personnes de plus en plus jeunes arriver avec des crises cardiaques… Depuis juillet, il y a eu au moins 10 000 décès non-covid, dont la plupart sont dus à des maladies circulatoires, c’est-à-dire des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux. Et il y a eu une augmentation de 30% des décès à domicile, souvent dus à un arrêt cardiaque… (Et je pense qu’il est grand temps que les décideurs politiques du monde entier mettent fin aux mandats, car si ce signal est correct, l’histoire ne sera pas de leur côté et le public ne le leur pardonnera pas »3.

Choquant, non ? Et ce qui est encore plus choquant, c’est la réaction des médias qui vise à dissimuler le fait que ces injections toxiques constituent une menace évidente pour la vie de millions de personnes. Est-ce que c’est exagéré ?

Non, pas du tout.

Alors, quelles conclusions pouvons-nous tirer de cette nouvelle recherche ? Que nous dit la science ?

Elle nous dit que le vakx1 peut réduire le flux sanguin vers le cœur, endommager le tissu cardiaque et augmenter considérablement le risque de crise cardiaque. Les auteurs disent carrément aux lecteurs que le vakx1 peut soit les tuer, soit les blesser gravement. Pouvez-vous voir cela ?

Q : Je ne peux pas le dire. Je n’ai pas lu le rapport.

R : Non, vous ne l’avez pas lu, et vous ne le lirez probablement pas non plus, puisque les grands organismes de presse et les géants des médias sociaux vont s’assurer qu’il ne verra jamais la lumière du jour. Mais relisez ce paragraphe et essayez de comprendre ce que disent les auteurs. Ils disent que de nombreuses personnes qui choisissent de se faire vakxiner mourront ou verront leur vie raccourcie de plusieurs années. Et, rappelez-vous, ce n’est pas un article d’opinion. C’est de la science. Il s’agit également d’un rejet direct d’une campagne de vakxination de masse qui tue manifestement des gens.

Q : Vous exagérez toujours. Ce n’est qu’un rapport d’un groupe de chercheurs. Je pourrais facilement vous fournir des recherches qui réfutent votre théorie.

R : Je suis sûr que vous le pourriez, en fait, il y a une petite armée de propagandistes employés par l’industrie (alias « vérificateurs de faits ») qui passent toutes leurs heures à bricoler des histoires de fausses nouvelles qui ne font que cela : discréditer la science qui s’écarte même légèrement du récit officiel. La vérité est que la campagne de désinformation pro-vakx1 a été beaucoup plus efficace que le vakx1 lui-même. Je ne pense pas que même vous soyez en désaccord avec cela.

Q : Je ne suis pas d’accord avec cela, et je n’apprécie pas que vous qualifiez le soutien généralisé à ces procédures essentielles de « désinformation pro-vakx1 ». C’est une déclaration extrêmement biaisée et ignorante.

R : Vraiment ? Au cours des dernières semaines, nous avons produit des preuves tangibles qu’un grand nombre de personnes qui sont mortes après avoir été vakxinées sont mortes à cause de la vakxination. Nous avons montré, par exemple, que deux professeurs allemands de pathologie, Arne Burkhardt et Walter Lang, ont constaté que dans cinq des dix autopsies, « les deux médecins jugent le lien entre le décès et la vakxination très probable, dans deux cas probable ». Ces mêmes médecins ont constaté que « la myocardite lymphocytaire, le diagnostic le plus courant… (avec) les phénomènes auto-immuns, la réduction de la capacité immunitaire, l’accélération de la croissance du cancer, les dommages vasculaires « endothélitis », la vascularite, la périvasculite et « l’agglutination » des érythrocytes… En d’autres termes, tout le « catalogue » des maladies qui ont été liées à la “piqûre de poison mortelle” »4.

Ces mêmes pathologistes ont trouvé des preuves d’une « émeute lymphocytaire », potentiellement dans tous les tissus et organes. (Note : Les lymphocytes sont des globules blancs du système immunitaire qui entrent en action pour combattre les envahisseurs ou les cellules infectées par des pathogènes. Une « émeute lymphocytaire » suggère que le système immunitaire est devenu fou en essayant de contrer les effets de milliards de protéines spike situées dans les cellules de la circulation sanguine. Au fur et à mesure que les lymphocytes sont épuisés, le corps devient plus sensible à d’autres infections, ce qui peut expliquer pourquoi un grand nombre de personnes contractent maintenant des virus respiratoires à la fin de l’été).

Les autopsies fournissent des preuves tangibles que les vakx1s causent effectivement des dommages importants aux tissus. Voici donc la question que je vous pose : Comment écarter la preuve solide comme le roc que les vakx1s infligent des lésions importantes aux personnes qui se les font injecter ? Avez-vous besoin d’examiner vous-même les cadavres calomniés avant de changer d’avis et d’admettre que vous avez tort ?

Q : Rien ne peut être déduit de seulement 10 autopsies. Plus d’un milliard de personnes ont été vakxinées jusqu’à présent, et les décès restent dans une fourchette acceptable compte tenu de la gravité de la maladie.

R : « La sévérité de la maladie » ? Vous voulez dire un virus auquel survivent plus de 99,98% des personnes qui l’attrapent ? Vous parlez d’une infection qui, selon les derniers chiffres de Johns Hopkins, a tué 351 000 personnes aux États-Unis en 2020, soit environ la moitié du nombre de personnes qui meurent chaque année d’une maladie cardiaque ? Et quand vous dites : « Rien ne peut être déduit de seulement 10 autopsies », vous vous trompez lourdement. Vous pouvez détecter un modèle de maladie générée par le vakx1, produit par l’injection d’une substance toxique (protéine spike) qui provoque des saignements, la coagulation et l’auto-immunité, même chez les personnes qui survivent. « Survivre » ne signifie pas être indemne. Oh, non. Et quiconque a vu les nombreuses vidéos d’athlètes en bonne santé tombant morts sur le terrain de jeu des mois après avoir été piqué, devrait comprendre que « C’est là que je vais, mais par la grâce de Dieu ». En résumé : Si vous vous faites piquer, vous ne saurez jamais si vous ne serez pas frappé sans avertissement par un événement de type cardio similaire5.

Pensez-vous que si ces athlètes avaient su qu’ils pouvaient mourir à cause du vakx1, ils auraient fait le choix qu’ils ont fait ?

Q : Vous êtes trop dramatique. Naturellement, tout le monde ne réagit pas de la même manière à un médicament utilisé en urgence, mais, tout compte fait, les vakx1s ont atténué l’impact d’une pandémie mortelle comme nous n’en avons pas vu depuis plus d’un siècle.

R : Vous le croyez vraiment, n’est-ce pas ? Tout comme vous croyez vraiment que le Covid-19 est un virus totalement unique et « nouveau ». Si vous vous documentez un peu, vous saurez que cette théorie a été complètement démystifiée. Le coronavirus n’est pas nouveau, c’est une itération de nombreuses autres infections qui se sont répandues dans la population depuis au moins deux décennies. Jetez un coup d’œil à cet extrait d’un document de recherche de Doctors for Covid Ethics et vous verrez de quoi je parle :

« Plusieurs études ont démontré que les anticorps IgG et IgA circulants spécifiques du SRAS-CoV-2 sont devenus détectables dans les 1 à 2 semaines suivant l’application des vakx1s à ARNm… La production rapide d’IgG et d’IgA indique toujours une réponse secondaire, de type mémoriel, qui est suscitée par la re-stimulation de cellules immunitaires préexistantes… Il est toutefois important de noter que les IgG ont augmenté plus rapidement que les IgM, ce qui confirme que la réponse des IgG précoce était bien de type mémoire. Cette réponse de type mémoire indique une immunité préexistante, à réaction croisée, due à une infection antérieure par des souches ordinaires de coronavirus humains respiratoires…

Des réponses mémorielles ont également été documentées en ce qui concerne l’immunité médiée par les lymphocytes T. Dans l’ensemble, ces résultats indiquent que notre système immunitaire reconnaît efficacement le SRAS-CoV-2 comme « connu », même au premier contact. Les cas graves de la maladie ne peuvent donc pas être attribués à un manque d’immunité. Au contraire, les cas graves pourraient très bien être causés ou aggravés par une immunité préexistante par le biais d’un renforcement dépendant des anticorps.

Cette étude confirme l’affirmation ci-dessus selon laquelle la réponse immunitaire au contact initial avec le SRAS-CoV-2 est de type mémoire. En outre, elle montre que cette réaction se produit chez presque tous les individus, et notamment aussi chez ceux qui ne présentent aucun symptôme clinique manifeste.

Conclusion : Les résultats collectifs discutés ci-dessus montrent clairement que les avantages de la vakxination sont très douteux. En revanche, les dommages causés par les vakx1s sont très bien documentés, avec plus de 15 000 décès associés à la vakxination enregistrés dans la base de données européenne sur les effets indésirables des médicaments (EudraVigilance), et plus de 7000 décès supplémentaires au Royaume-Uni et aux États-Unis »6.

Je répète : si la grande majorité des gens ont déjà une immunité robuste et préexistante, « alors les avantages de la vakxination sont très douteux ».

Est-ce une conclusion raisonnable « fondée sur des preuves » ? Et, si c’est le cas, n’aurait-il pas dû y avoir un débat sur cette question avant que plus d’un milliard de personnes ne soient inoculées avec une substance expérimentale qui provoque des hémorragies, la coagulation, l’auto-immunité, des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques ? Et comment pourrait-il en être autrement, après tout, s’il n’y avait pas d’immunité préexistante dans une population américaine de 330 millions de personnes, alors le nombre de décès serait exponentiellement plus élevé. Au lieu de cela, après deux années complètes d’exposition, le pourcentage de décès aux États-Unis est toujours inférieur à un tiers de 1%, une véritable goutte d’eau dans l’océan. Cela serait-il possible avec un « nouveau » virus vraiment super-contagieux ?

Non, ce ne serait pas possible, ce qui signifie que Fauci et Cie ont menti. Et s’ils ont menti, c’est pour convaincre les gens qu’ils sont plus vulnérables qu’ils ne le sont en réalité. Ce n’est qu’une des nombreuses escroqueries alarmistes qu’ils ont utilisées pour promouvoir le vakx1 : « Faites-vous vakxiner ou mourez », tel était le message.

Cela ne vous dérange pas ? Cela ne vous dérange pas de savoir que le gouvernement et les autorités de santé publique ont déformé la vérité afin de vous convaincre de subir une procédure médicale invasive et potentiellement mortelle ?

Q : Je pense que nos responsables de la santé publique ont fait du mieux qu’ils pouvaient compte tenu des circonstances.

R : Je pense que vous avez tort à ce sujet. Je pense qu’ils ont menti à plusieurs reprises afin de faire avancer un programme principalement politique. Mais, supposons que vous ayez raison pendant une minute. Alors pourquoi continuent-ils à ignorer les recherches révolutionnaires qui vont à l’encontre de leurs objectifs politiques ? Avez-vous réfléchi à cette question ? J’ai déjà mentionné le rapport choquant ci-dessus qui indique que le vakx1 réduit le flux de sang vers le cœur et augmente le risque de crise cardiaque. Avez-vous entendu un seul mot de Fauci ou Walensky à propos de ce rapport ?

Non, pas un mot.

Pourquoi pensez-vous ? On pourrait penser que si Fauci avait nos meilleurs intérêts à l’esprit, il utiliserait son influence sur les médias pour faire passer le mot à tout le monde. Mais, non. Il n’a fait aucun effort pour confirmer ce que la recherche indique ; qu’il y a un lien clair entre la production de la protéine spike et les dommages cardiovasculaires. Il n’a pas levé le petit doigt à cet égard, et ça se voit. La flambée des décès et la forte augmentation de la surmortalité dans le grand nombre de pays qui ont lancé des campagnes de vakxination de masse au début de l’année, sont principalement des décès d’origine circulatoire, c’est-à-dire des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et autres. Le dernier exemple en date de ce phénomène est celui des Pays-Bas, qui ont enregistré une hausse de 20% des décès par rapport à l’année précédente :

« La semaine dernière, le nombre de décès a été supérieur de plus de 20% à la normale pour cette période de l’année. Le Bureau central néerlandais des Statistiques (CBS) a fait état de 3750 décès, soit près de 850 de plus que prévu. Selon l’office statistique, la hausse de la mortalité s’observe dans tous les groupes d’âge.

Aux Pays-Bas, 85% des personnes âgées de plus de 18 ans sont entièrement vakxinées, et beaucoup d’entre elles n’ont été vakxinées que récemment … Les autorités néerlandaises ont commencé à injecter les rappels à ces 85% jeudi, soit plusieurs semaines plus tôt que prévu…

D’après les données hebdomadaires de l’Office of National Statistics (ONS) au Royaume-Uni, les personnes vakxinées de moins de 60 ans ont deux fois plus de chances de mourir que les personnes non vakxinées. Et le nombre total de décès en Grande-Bretagne est bien supérieur à la normale.

Comme en Allemagne, les Suédois semblent également mourir à des taux supérieurs de 20% ou plus à la normale pendant les semaines qui suivent leur deuxième injection de vakx1 anti-covid, selon les données d’une étude suédoise »7.

Et cela ne se passe pas seulement aux Pays-Bas et en Allemagne. Cela se produit partout où des campagnes de vakxination de masse ont été lancées plus tôt dans l’année. Aujourd’hui, tous ces pays connaissent une forte augmentation des arrêts cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des lésions vasculaires et des caillots sanguins. Pourquoi ? Qu’avons-nous fait différemment en 2021 par rapport aux années précédentes ?

Q : Où voulez-vous en venir ? J’ai l’impression que vous me tendez un piège ?

R : C’est le cas. Je veux que vous admettiez que les données plaident maintenant en faveur de l’arrêt immédiat de la campagne de vakxination. C’est mon objectif principal, convaincre les gens que nous sommes sur la mauvaise voie et que nous devons arrêter cette folie avant que d’autres personnes ne meurent.

Saviez-vous que les vakx1s endommagent également le système immunitaire ?

C’est vrai, les injections sont immuno-suppressives, ce qui signifie que le corps est moins capable de combattre les infections, les virus et les maladies. Réfléchissez-y un instant. Le vakx1 était censé protéger ses bénéficiaires de la maladie et de la mort, mais il fait exactement le contraire. Il empêche les cellules de produire les anticorps nécessaires pour éviter les infections. Le Dr David Bauer, de l’Institut Francis Crick, explique ce qui se passe dans ce court texte :

« Ainsi, le message clé de notre découverte est que, nous avons constaté que les bénéficiaires du vakx1 Pfizer – ceux qui ont reçu deux doses – ont des anticorps neutralisants cinq à six fois plus faibles. Il s’agit des anticorps de sécurité privée « de référence » de votre système immunitaire, qui empêchent le virus de pénétrer dans vos cellules. Nous avons donc constaté que ce taux était inférieur chez les personnes ayant reçu deux doses. Nous avons également constaté que les personnes ayant reçu une seule dose du vakx1 Pfizer sont moins susceptibles de présenter des taux élevés de ces anticorps dans le sang. Et, ce qui est peut-être le plus important, nous constatons que plus vous êtes âgé, plus vos taux sont susceptibles d’être faibles, et que plus le temps passe depuis que vous avez reçu votre deuxième vakx1, plus vos taux sont susceptibles d’être faibles. Cela nous indique donc qu’il faudra probablement donner la priorité aux rappels pour les personnes plus âgées et plus vulnérables, et ce prochainement, surtout si ce nouveau variant se propage »8.

https://www.bitchute.com/embed/cK9XuSb8Pz25/?feature=oembed#?secret=sfSnpi9Tqv

6 fois moins d’anticorps neutralisants ?

Ouaip. Comme nous l’avons dit, le vakx1 affaiblit le système immunitaire, ce qui ouvre la voie aux infections. Voici comment Alex Berenson résume la situation dans un article qu’il a posté récemment sur Substack :

« Ce que les Britanniques disent, c’est qu’ils découvrent maintenant que le vakx1 interfère avec la capacité innée de votre corps, après l’infection, à produire des anticorps contre non seulement la protéine spike mais aussi d’autres parties du virus…

Cela signifie que les personnes vakxinées seront beaucoup plus vulnérables aux mutations de la protéine spike MÊME APRÈS AVOIR ÉTÉ INFECTÉES ET S’ÊTRE RASSURÉES UNE FOIS…

… c’est probablement une preuve supplémentaire que les vakx1s peuvent interférer avec le développement d’une immunité robuste à long terme après l’infection »9.

Mais comment cela est-il possible ? Comment le gouvernement, l’establishment de le santé publique et les compagnies pharmaceutiques peuvent-ils promouvoir un vakx1 qui rend les gens plus vulnérables à la maladie ? Cela n’a aucun sens, n’est-ce pas ? À moins, bien sûr, que l’objectif soit de rendre les gens plus malades et plus susceptibles de mourir ? Est-ce là ce qui se passe ?

En fait, oui exactement. Voici ce qu’en dit un dénonciateur de Pfizer :

« Un ancien employé de Pfizer, qui travaille aujourd’hui comme expert en marketing pharmaceutique et analyste en biotechnologie, a fourni des preuves lors d’une réunion publique en septembre, suggérant que Pfizer est conscient que ces vakx1s peuvent rendre les personnes vakxinées plus enclines à contracter le COVID-19 et des infections.

Selon la dénonciatrice Karen Kingston : “Ainsi, lorsqu’ils n’étaient pas injectés, leur taux d’infection était de 1,3% et lorsqu’ils étaient injectés, il était de 4,34%. Il a augmenté de plus de 300%. Ils avaient moins d’infections quand ils n’avaient pas de protection. Donc, c’est un problème” »10.

Pourquoi cela ne fait-il pas la une des journaux ? Pourquoi la science est-elle ignorée ? Pourquoi les affirmations de professionnels crédibles sont-elles balayées sous le tapis, censurées sur les médias sociaux et écartées par nos responsables de la santé publique ?

La seule explication raisonnable est que les auteurs de la campagne de vakxination de masse veulent dissimuler les dangers du vakx1 au public, car ce qui les intéresse vraiment, c’est la vakxination universelle, c’est-à-dire s’assurer que les 7 milliards d’habitants de la planète Terre soient vakxinés quoi qu’il arrive. Comme vous pouvez le constater, la science ne les a pas du tout découragés. Ils sont tout aussi déterminés à mettre en œuvre leur plan qu’au premier jour, voire plus.

Regardez cet extrait d’un article explosif qui montre comment la protéine spike pénètre dans le noyau de nos cellules et cause des dommages incalculables au système immunitaire. Cette recherche de pointe a provoqué un tollé dans la communauté scientifique.

« Le SRAS-CoV-2 a conduit à la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19), affectant gravement la santé publique et l’économie mondiale. L’immunité adaptative joue un rôle crucial dans la lutte contre l’infection par le SRAS-CoV-2 et influence directement les résultats cliniques des patients. Des études cliniques ont indiqué que les patients atteints de COVID-19 sévère présentent des réponses immunitaires adaptatives retardées et faibles ; cependant, le mécanisme par lequel le SRAS-CoV-2 entrave l’immunité adaptative reste obscur. En utilisant une lignée cellulaire in vitro, nous rapportons ici que la protéine spike du SRAS-CoV-2 inhibe de manière significative la réparation des dommages à l’ADN, qui est nécessaire pour une recombinaison V(D)J efficace dans l’immunité adaptative.

D’un point de vue mécanique, nous avons découvert que la protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des lésions de l’ADN en empêchant le recrutement des protéines clés de réparation de l’ADN BRCA1 et 53BP1 au site de la lésion. Nos résultats révèlent un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et soulignent les effets secondaires potentiels des vakx1s à base de spike »11.

Qu’est-ce que cela signifie ?

Cela signifie que la protéine spike pénètre dans le noyau de nos cellules et endommage notre ADN. Ce n’était pas censé se produire. Le vakx1 n’était pas censé pénétrer dans le sanctuaire intérieur où est stocké notre matériel génétique. Une fois qu’elle a atteint le noyau, la protéine spike empêche la réparation de l’ADN endommagé, ce qui a un impact sur la prolifération des cellules B et T, essentielles à la lutte contre l’infection. (Note : La protéine spike affecte également des gènes spécifiques qui sont hautement « prédisposés au développement du cancer… il s’agit donc clairement d’une nouvelle de grande importance qui ne doit pas être prise à la légère »12.

Voici comment le Dr Mobeen Syed explique les effets de la protéine spike sur le système immunitaire : (J’ai transcrit cela moi-même et je m’excuse pour les erreurs éventuelles).

« La protéine spike entre dans le noyau, et non seulement la protéine spike mais aussi les protéines non structurelles se retrouvent dans le noyau également. Elles ne se contentent pas de contaminer l’ADN, mais interfèrent également avec la machinerie et la réparation de l’ADN… Lorsque nos cellules se divisent, il existe des mécanismes stricts pour s’assurer que l’ADN est correctement réparé, et correctement copié, sinon la cellule deviendra une cellule cancéreuse. Nous disposons d’un mécanisme élaboré pour réparer l’ADN… Il y a plusieurs mécanismes de réparation de l’ADN, parce qu’il y a plusieurs types de réparation… Ces deux mécanismes sont importants, parce que ces deux mécanismes de réparation sont altérés par la présence des protéines spike… Lorsqu’une infection se produit, les cellules B et les cellules T prolifèrent. Augmenter en nombre, signifie faire des copies de l’ADN… La prolifération elle-même est une réponse immunitaire importante. La création des anticorps nécessite un ADN fonctionnel…

Ce que j’explique ici, c’est que la rupture et la réparation de l’ADN peuvent également être effectuées dans les cellules immunitaires de manière intentionnelle pour le fonctionnement normal du système immunitaire. Chaque cellule B et T a besoin d’une mire de liaison variable pour s’attacher à l’antigène, et pour créer cette variation, il faut que l’ADN se restructure de façon aléatoire, ce qui nécessite une cassure et une réparation de l’ADN… Imaginez qu’il y ait des enzymes de réparation dans notre corps qui vont vers l’ADN cassé et le réparent. Imaginons maintenant que ces enzymes de réparation ne se rendent plus sur le site de l’ADN cassé ou qu’elles ne sont même plus produites ? Les chercheurs ont découvert que lorsque les protéines non structurelles sont attirées dans le noyau, il se produit alors une réduction de la prolifération des cellules (B et T)… et notre capacité à répondre aux infections ne sera pas bonne »13.

Imaginez que quelqu’un ou un groupe d’élites puissantes veuille réduire la population mondiale de plusieurs milliards de personnes. Et ils ont pensé que le meilleur moyen d’atteindre cet objectif serait d’injecter aux gens un mystérieux agent pathogène développé secrètement dans des laboratoires étrangers depuis plus de dix ans. Imaginez que cet antigène mortel ne déclenche pas seulement des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des lésions vasculaires catastrophiques, mais qu’il mette également hors d’état de nuire le système de défense critique (immunitaire) de l’organisme, augmentant ainsi de plusieurs ordres de grandeur la vulnérabilité d’une personne aux infections, aux virus et aux maladies. Imaginez que nous voyions des signes indiquant que ce plan se déroule sous nos yeux, de la montagne de cadavres criblés de lymphocytes tueurs à la forte augmentation de la surmortalité et de la mortalité toutes causes confondues, en passant par l’augmentation inexpliquée des arrêts cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, de l’auto-immunité, des hémorragies, de la coagulation, des maux de tête, des contusions, des inflammations, des problèmes de valves cardiaques, des hémorragies cérébrales, des maladies vasculaires, neurologiques et respiratoires, tous liés de manière suspecte au lancement d’une campagne de vakxination de masse.

Une telle chose pourrait-elle se produire à notre époque ? Quelqu’un pourrait-il être assez audacieux pour lancer une guerre contre l’humanité ? Quelqu’un est-il capable d’un tel mal ?

Oui.

source : https://www.unz.com
traduit par Réseau International

Les opinions exprimées dans ce contenu n’engagent que la responsabilité de leur auteur

  1. « Abstract 10712 : Les vakx1s COVID à ARNm augmentent de façon spectaculaire les marqueurs inflammatoires endothéliaux et le risque de SCA tel que mesuré par le test cardiaque PULS : un avertissement », Circulation
  2. « Si vous aimez les problèmes cardiaques, vous adorerez les vakx1s Pfizer et Moderna Covid », Alex Berenson, Substack
  3. « Le Dr Aseem Malhotra révèle une augmentation du risque de crise cardiaque suite au vakx1 COVID à ARNm », Bitchute, Minute-1:35
  4. Voir le rapport complet ici ; « Émeute lymphocytaire : Des pathologistes enquêtent sur les décès survenus après la vakxination contre le coronavirus », Free West Media
  5. Voir « Au moins 69 athlètes s’effondrent en un mois, beaucoup sont morts », freewestmedia.co
  6. « Lettre aux médecins : Quatre nouvelles découvertes scientifiques concernant l’immunité et les vakx1s contre le COVID-19 – Implications pour la sécurité et l’efficacité », Doctors for Covid Ethics
  7. « Les décès aux Pays-Bas sont supérieurs de plus de 20% à ceux de l’année précédente », Free West Media
  8. « Le Dr David LV Bauer de l’institut Francis Crick détruit le système immunitaire », Bitchute, 1 minute
  9. « Urgent : Les vakx1s Covid vous empêcheront d’acquérir une immunité complète même si vous avez été infecté et êtes rétabli », Alex Berenson, Substack
  10. « Vidéo : Un ancien employé de Pfizer affirme que le vakx1 contre Covid-19 rend les personnes qui le reçoivent plus sensibles au virus », Gateway Pundit
  11. « La protéine spike du SRAS-CoV-2 nuit à la réparation des dommages causés à l’ADN et inhibe la recombinaison V(D)J in vitro », mdpi.com
  12. Voir « La protéine spike à l’intérieur du noyau renforce les dommages à l’ADN ? – vakx1s à ARNm COVID-19 mise à jour 1 », YouTube, 12 minutes
  13. « La protéine spike va dans le noyau et nuit à la réparation de l’ADN », YouTube

Sur la mauvaise interprétation du concept d’anticorps

par Corona Fakten (reseauinternational.net).

Il est plus important que jamais d’examiner de près les anticorps ! Après avoir démontré dans mes autres articles qu’il n’existe aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène, puisqu’aucun des prétendus virus pathogènes n’a satisfait aux postulats de Koch, les partisans de la vakxination jouent la carte des « anticorps ».

Leur affirmation (qui a été enfoncée dans la tête des gens pendant des décennies) selon laquelle ils sont la preuve indirecte d’un agent pathogène, ou offrent une protection contre un agent pathogène X, est basée sur une erreur. Cette affirmation a été démontrée à plusieurs reprises comme étant fausse. Comme on me demande sans cesse ce que sont ces anticorps, je voudrais montrer dans cet article que les anticorps ne sont pas une preuve de protection, ni qu’ils fonctionnent spécifiquement comme le modèle clef-serrure.

L’autorisation des vakx1s se limite uniquement à la « séroconversion ».

Tous les vakx1s destinés à l’Europe sont autorisés par l’EMA (European Medicines Agency) à Londres [avant 2019]. Leur exigence en matière de preuve d’efficacité se limite uniquement à ce que l’on appelle la séroconversion. Cette séroconversion décrit la formation d’anticorps mesurables dans le sang des personnes vakxinées, qui sont assimilés à un effet protecteur.

Lors de l’évaluation de l’immunité après une vakxination ou de son efficacité, cette contrainte décisive est toutefois relativisée par le fait que (presque) tous les vakx1s actuels tirent leur efficacité en premier lieu de la formation d’anticorps : « Bien que les réponses immunitaires des muqueuses et des cellules soient clairement importantes pour la protection par certains vakx1s, la plupart des vakx1s autorisés aujourd’hui dépendent des anticorps sériques pour leur efficacité » (Plotkin 20101 et 20012).

Cela est également important pour le développement et l’autorisation des vakx1s, car ceux-ci doivent prouver leur efficacité – ce qui se fait sans exception (et dans de nombreux cas exclusivement !) par la détermination des anticorps produits.

Même les membres de longue date de la STIKO [commission permanente sur la vakxination à l’Institut Robert Koch] ne semblent pas toujours avoir conscience de ce lien lorsqu’ils remettent en question le bien-fondé de la détermination des titres après les vakxinations – la preuve de l’efficacité des différents vakx1s repose précisément sur la détection de ces titres d’anticorps.

Ainsi, selon le professeur Heininger :

« Pour aucun des vakx1s dits de base généralement recommandés, un contrôle du succès de la vakxination n’est prévu ou même conseillé de manière routinière ». (Heininger 2017)3 ou l’affirmation globale concernant la vakxination contre la rougeole, qu’« un résultat de laboratoire positif n’atteste pas d’une protection » (Heininger 2016)4 – si c’était le cas, on n’aurait pas pu attester de l’efficacité du vakx1 dans le cadre de l’autorisation de mise sur le marché…

Pourtant, en médecine, nous savons depuis de nombreuses décennies que les anticorps circulants ne sont pas synonymes de protection contre une maladie, ce que même le profane peut comprendre à l’aide de brefs exemples.

Si les anticorps reflètent l’indice de protection, comment les déclarations suivantes du RKI, de la STIKO et du programme de pharmacovigilance s’inscrivent-elles dans ce contexte ?

Dans le Magazine Arznei-Telegramm d’avril 2001, on peut lire ceci : « Les augmentations de titres induites par les vakx1s sont également des substituts peu fiables de l’efficacité. Le bénéfice ou le préjudice que la personne vakxinée peut espérer ne peut être déduit de ces résultats ».

Le RKI (Robert-Koch-Institut) écrit : « Pour certaines maladies évitables par la vakxination (par exemple la coqueluche), il n’existe pas de corrélation sérologique sûre qui conviendrait comme marqueur de substitution d’une immunité existante. De plus, la concentration d’anticorps ne permet pas de conclure à une éventuelle immunité cellulaire existante ».

Le professeur Heininger, membre de longue date de la STIKO (commission permanente sur la vakxination), écrit à ce sujet5 « Il n’est ni nécessaire ni utile de déterminer l’efficacité d’une vakxination par une prise de sang et une détermination des anticorps après l’avoir effectuée. D’une part, même la détermination des anticorps ne permet pas de se prononcer de manière fiable sur la présence ou l’absence de protection vakxinale, d’autre part, c’est tout simplement trop cher ».

Malade malgré la vakxination ? On peut citer l’exemple d’un garçon de 14 ans qui avait reçu une immunisation de base suffisante dans son enfance et qui avait reçu un rappel contre le tétanos six mois plus tôt, lorsqu’il a développé le tétanos. L’examen de laboratoire a révélé un taux d’anticorps si élevé qu’il aurait dû être protégé selon la définition du titre d’anticorps. Mais il ne l’était pas ! Cet exemple montre que la théorie des anticorps comme « boules magiques protectrices » ne tient pas la route. Le RKI [Institut Robert-Koch] a alors inventé le terme d’anticorps non protecteurs.

Heininger – STIKO (2017) : « Le plus important pour commencer : pour aucune des vakxinations dites de base généralement recommandées, un contrôle du succès de la vakxination n’est prévu ou même conseillé de manière routinière ».

Heininger – STIKO (2016) : « … il n’y a pas que des résultats d’anticorps IgG faussement négatifs (qui ne nous dérangeraient pas plus que ça si, par conséquent, l’enfant recevait une vakxination ROR), mais aussi, malheureusement, des résultats faussement positifs. Il faut le dire aux parents pour qu’ils comprennent qu’un résultat de laboratoire positif n’atteste pas d’une protection et qu’ils sont bien mieux orientés en donnant une 2ème dose de ROR à leur enfant ».

Remarque : il s’agit là encore d’une confirmation qu’un résultat de laboratoire positif n’a aucune valeur. La question qui se pose toujours est la suivante : comment sait-on que les anticorps circulants offrent une protection, alors que les plus hautes instances disent elles-mêmes que l’augmentation du titre ne peut pas indiquer s’il y a une protection. Lorsque des personnes présentent des taux d’anticorps élevés et tombent malgré tout malades ? Si personne ne peut dire exactement à quelle valeur de titre il y a vraiment une protection, pourquoi l’autorisation d’un vakx1s repose-t-elle précisément sur cette indication ? Personnellement, cela me laisse plus que perplexe.

Les points suivants sont d’une importance décisive dans cette discussion :

Premièrement, nous ne pouvons pas clarifier avec certitude la question de l’immunité par la détermination des anticorps pour chaque vakxination (voir ci-dessous).

Deuxièmement, les anticorps que nous déterminons lors des examens de routine ne sont pas automatiquement ceux qui assurent la protection (et qui constituent donc le corrélat de l’immunité), mais parfois seulement ceux qui indiquent qu’en plus des anticorps mesurés non déterminants pour l’immunité, des anticorps protecteurs non mesurés ont certainement été produits (les anticorps mesurés sont alors ce que l’on appelle un paramètre de substitution de l’immunité). Cette situation compliquée s’explique d’une part par le fait que de nombreux anticorps différents aux fonctions diverses sont produits dans le cadre de la réponse immunitaire et d’autre part par le fait que la détermination des anticorps réellement décisifs pour certaines vakxinations serait trop compliquée pour un diagnostic de routine. (Ou, pour le dire simplement, le lien entre anticorps et immunité est imaginaire).

Troisièmement, toute immunité n’est jamais qu’une déclaration statistique et donc relative, qu’elle protège ou non dans un cas particulier. Les véritables causes de l’état du corps lorsqu’il est « sans symptôme » sont inhérentes à d’autres justifications.

« La protection est donc un concept statistique. Lorsque nous disons qu’un titre particulier d’anticorps est protecteur, nous voulons dire dans les circonstances habituelles d’exposition, avec une dose moyenne et en l’absence de facteurs négatifs de l’hôte ».

Quatrièmement, dans ce contexte, la question de savoir ce que l’on entend exactement par protection du point de vue de la médecine conventionnelle est également décisive. On prétend ainsi que, dans le cas du HiB et de la rougeole, des taux d’anticorps beaucoup plus faibles protègent contre la maladie (protection contre la maladie) que ce qui est nécessaire pour empêcher la transmission à d’autres personnes (protection contre l’infection).

Remarque : étant donné qu’il n’existe à ce jour aucune preuve scientifique de l’existence du virus de la rougeole, on peut évidemment se demander comment on en arrive à affirmer que les anticorps protègent contre la rougeole alors que l’agent pathogène n’a pas été détecté à ce jour. Un raisonnement fallacieux. On met donc ici la charrue avant les bœufs. Je mesure quelque chose appelé « anticorps », donc j’affirme indirectement avoir un agent pathogène.

Les titres d’anticorps mesurables après les vakxinations montrent uniquement la confrontation du système immunitaire avec les antigènes généralement liés aux adjuvants. Sans ces adjuvants, il n’y aurait pas de formation d’anticorps. On constate ici que le système immunitaire a une structure beaucoup plus complexe et qu’il ne fonctionne pas exclusivement par la production d’anticorps.

Les personnes atteintes d’herpès développent des anticorps circulants contre le virus de l’herpès. Néanmoins, l’herpès peut toujours réapparaître en raison de l’affaiblissement du système immunitaire. Et ce, même si les anticorps de l’herpès sont détectables. La personne séropositive ne se réjouit pas non plus d’avoir des anticorps circulants contre le VIH.

Le modèle des anticorps ne fonctionne pas du tout. Si ceux-ci peuvent offrir une protection, comment se fait-il que des personnes présentant un titre suffisant tombent tout de même malades. Comment se fait-il que la logique des anticorps ait été inversée à 180 degrés dans le cas du VIH, où des anticorps élevés sont contre-productifs ?

« Si deux vakxinations contre la rougeole sont documentées, on peut supposer avec une grande probabilité une protection contre la rougeole même en l’absence d’anticorps ou en cas de taux d’anticorps limite. Une troisième vakxination contre la rougeole n’est pas nécessaire. La protection conférée par une double vakxination est susceptible de durer toute la vie ».

• rki.de/Réponses aux questions fréquemment posées sur la vakxination contre la rougeole. [Institut Robert Koch]

Il n’y a pas besoin d’anticorps, on part toujours du principe que la vakxination protège, sans fournir de preuves. Le concept est toujours supposé, on ne veut même pas penser à d’autres possibilités ! Ce n’est pas scientifique.

Pour prétendre à un « anticorps », il faut un « corps »

Comme je l’ai déjà montré dans mes autres articles, les virus prétendument pathogènes n’ont toujours pas été prouvés [virus de la rougeole] | [SRAS]. Donc, si je n’ai pas de preuve pour le corps, comment puis-je prétendre avoir défini des anticorps spécifiques et surtout, comment puis-je les tester ? Vous connaissez la réponse : c’est tout simplement impossible.

Que signifie tout cela pour les personnes vakxinées ?

Comme il n’existe pas d’études scientifiques sur la fréquence de ce phénomène, à savoir que les personnes vakxinées développent des anticorps non protecteurs, la possibilité d’une maladie reste présente pour chaque individu vakxiné. Un carnet de vakxination complet et même la détection de titres d’anticorps, comme c’est souvent le cas pour la rubéole ou l’hépatite B par exemple, ne donnent aucune garantie.

Les anticorps non protecteurs inventés de toutes pièces pourraient-ils expliquer la situation dans laquelle, après avoir été vakxiné (par exemple contre la rougeole, les oreillons, la rubéole ou la coqueluche, etc.), le vakxiné présente certes des anticorps, mais peut quand même tomber malade (de la rougeole, des oreillons, de la rubéole ou de la coqueluche, etc.).

Les anticorps circulants à eux seuls ne confèrent donc pas une protection sûre, c’est ce que la médecine conventionnelle sait depuis de nombreuses décennies. En revanche, la preuve de l’efficacité lors de l’autorisation des vakx1s repose uniquement sur la preuve du titre d’anticorps prétendument (parfois ?) protecteur.

lire la suite : https://cv19.fr

  1. Plotkin SA. 2010. « Clinical and Vaccine Immunology ». July 2010, p. 1055–1065
  2. Plotkin SA. 2001. The Pediatric Infectious Disease Journal. 20(1):63–75
  3. Heininger U. 2017. Ars medici. 2017(4):172-75
  4. Heininger U. 2016. Kinder- und Jugendarzt. 47(4):227
  5. U.Heininger « Manuel de vakxination des enfants Manuel de vakxination des enfants : l’aide compétente à la décision pour les parents 2004

COMPLEMENTS:

Comment la « pandémie C0VlD-19 » bouleverse les principes scientifiques les plus basiques

par Michel de Lorgeril.

Tout scientifique raisonnable (même médiocre) travaillant dans les sciences de la vie [plus particulièrement dans les sciences médicales] ne peut qu’être étonné de ce qui se passe sous nos yeux depuis deux ans.

J’ai bientôt 50 ans de fréquentation de ces milieux, j’ai appris d’abord, pratiqué ensuite et enfin dirigé.

J’ai travaillé à temps plein dans des services de médecine prestigieux ou des unités de recherche dans plusieurs pays [en France (CNRS et INSERM), en Suisse et au Canada], j’ai collaboré avec de grandes équipes Européennes et nord-américaines, j’ai obtenu 7 contrats de la Commission Européenne et publié des centaines d’articles et rapports ; et aussi près de 20 livres destinés au grand publique.

Aujourd’hui, j’ai l’impression de vivre dans un « nouveau monde scientifique » qui m’est inconnu.

Tous les grands principes qui ont guidé mon métier et mes pratiques pendant ces 50 années sont aujourd’hui piétinés par des hordes barbares.

Tout ce qui faisait la grandeur de ce beau métier [humilité, patience, rectitude et rigueur, respect et admiration des collègues, innovation prudente, « d’abord ne pas nuire »…] est désormais méprisé, épuisé.

En l’espace de deux ans, la médecine scientifique a perdu tout repère et des cohortes d’académiciens, universitaires et praticiens se livrent à une surenchère dans la bêtise qui confine à la folie.

Si tôt ces lignes écrites, je me demande si ce n’est pas moi qui délire et qui a perdu le nord de ma boussole.

C’est dans ces circonstances alarmantes (selon moi) pour le futur de nos sociétés [Quand il n’y a plus de science, il n’y a plus de rationnel ; relire Voltaire ou Kant !], qu’un de mes fidèles compagnons de route intellectuelle (qui m’a probablement oublié) publie un article qui rejoint (presque) exactement ce que je ressens. Je ne serais donc point fou ? Ou bien, si je l’étais, je ne serais point seul ?

Lui en Californie, moi dans les Alpes françaises, nous voyons la même débandade, le mot n’est pas trop fort !

Chacun sur son continent ; mais nous voyons la même chose !

Même le plus élémentaire scepticisme n’est plus toléré par des administrations et des autorités sanitaires devenues dictatoriales, voire sadiques !

Que des médiocres médias populaires ou professionnels (médicaux) diffusent sans discontinuer une désinformation systématique n’est pas étonnant car ils sont aux ordres (et victimes) de leurs donneurs d’ordre qui évidemment exige l’ORDRE ; ce qui est incompatible avec la moindre hésitation : en rangs serrés, nous devons nous soumettre !

Que des perroquets savants répètent leurs messages n’est pas étonnant !

Que des médecins dociles mettent en pratique ces recommandations contradictoires n’est pas étonnant et ce n’est pas nouveau : beaucoup continuent aussi à prescrire des médicaments anticholestérol sans la moindre hésitation ; alors que rien ne les y oblige ; alors que ces malheureux pédiatres sont (presque) contraints à injecter 11 vaccins (probablement) inutiles à nos nourrissons… Tous ceux qui ont lu les 9 livres de la Collection Vaccins & Société apprécieront la prudence de renard dont je fais preuve avec ce « probablement »…

Mais même les comités de réaction de revues scientifiques et médicales (autrefois prestigieuses) sombrent dans la démagogie, les biais et du storytelling du niveau le plus exécrable.

Dit autrement, les sanctuaires scientifiques où nous pouvions nous abriter pour réfléchir en commun ont disparu !

Récemment un universitaire allemand appelait à cesser de stigmatiser les non-vaccinés [Kampf G. « COVID-19 : stigmatising the unvaccinated is not justified ». Lancet. 2021 Nov 20;398(10314):1871].

Les médias professionnels ont fait semblant de ne pas entendre cet universitaire ou bien se sont étonnés qu’on laisse entendre cette voix discordante.

C’était une réponse à un autre universitaire (américain celui-ci) qui appelait (implicitement) les autorités à sévir contre les non-vaccinés [Goldman E. « How the unvaccinated threaten the vaccinated for COVID-19 : A Darwinian perspective ». Proc Natl Acad Sci U S A. 2021 Sep 28;118(39):e2114279118].

Où donc a disparu la collégialité qui devrait caractériser le débat scientifique ? Comment peut-on oser appeler la police contre des collègues scientifiques sous prétexte de discordance ?

Pourtant, tous ces beaux discours souffrent d’une évidente faiblesse : aucun de ces grands hommes ne semblent avoir compris la chose la plus élémentaire qui devrait clore ces débats : les essais cliniques testant les vaccins antiCOVID n’ont pas permis de démontrer leur efficacité.

Une fois comprise cette évidence (qui sous-entend que ces vaccins n’ont pas l’efficacité proclamée), le paysage s’éclaircit et ces disputes devraient cesser. Comment de temps faudra-t-il pour en arriver là ?

En attendant, il fait bon, il est doux, d’entendre quelques voix qui, toute en sérénité…

Il est doux, il est bon, sa parole est sereine…

source : https://michel.delorgeril.info

Décoder la réalité pour organiser une résistance internationale

Regardez cette série de Akina autour de la personnalité du Dr Urmie Ray qui étudie au niveau international tous les ressorts de la gestion de cette plandémie. Il est temps d’ouvrir les yeux et la conscience pour résister à ce projet mondialiste de plus en plus clair. Des révélations stupéfiantes !

https://odysee.com/@AKINA:7/2021-10-11-SC01-Urmie-RAY-HD4:d
https://odysee.com/@AKINA:7/2021-11-03-SC3-Dr-Valentina-Kiseleva-HD4:7
https://odysee.com/@AKINA:7/2021-11-12-RI2-Urmie-Ray-De-l-Australie-a-l-Inde-HD4:1

Pour ce troisième épisode, nous allons parler des événements que nous vivons actuellement et qui s’inscrivent dans un projet de construction d’un Nouvel Ordre Mondiale. Il est nécessaire de ne pas regarder uniquement les événements séparément, individuellement, mais au contraire, il faut les inscrites dans une dynamique et une logique globale. Regarder notre monde de manière complexe, transdisciplinaire et de manière systémique est des clefs pour comprendre notre époque et le système de domination mise en place.

https://odysee.com/@AKINA:7/2021-11-19-RI3-Urmie-Ray-Etablissement-d-un-Nouvel-Ordre-Mondial-HD4:9

Pour ce cinquième épisode, nous allons parler de la Genèse de la Tragédie. Nous allons à aborder la maximisation du profit, la démocratie libérale, les partenariats privé-public systématique, le consumérisme et le contrôle, la numérisation et la bio-ingenierie, la standardisation de la médecine, les dernières préparations, le but, l’illusion fabriquée et de l’amour de la mort à la mort prématurée.

L’exposé qu’Urmie RAY nous propose aujourd’hui, nous permet de mieux comprendre l’époque actuelle en faisant un diagnostic des causses profondes et systémiques qui nous ont emmené dans cette tragédie. Et cela nous permettra aussi de rappeler les idéologies que portent les architectes oligarchiques de notre époque.

https://odysee.com/@AKINA:7/2021-11-28-R25-Urmie-Ray-La-Genese-de-la-Tragedie-HD4:6

Dr. Urmie RAY a étudié les mathématiques à l’Université de Cambridge, où elle a obtenu une licence, puis une maîtrise, et un doctorat. Après 23 ans de carrière universitaire et avoir diriger des recherches, après plusieurs articles dans des journaux scientifiques et un livre dans le domaine de l’algèbre, elle a démissionné de son poste de professeur en France – le pays de son enfance – pour se consacrer à ses centres d’intérêts depuis toujours, des questions de fond, notamment celles liées à la science.

Ce qui motive son travail est une fascination pour le concept paradoxal d’unité dans la diversité, c’est-à-dire d’universalisme par rapport aux différences culturelles. Tout d’abord, à la recherche de l’universel, elle a été attirée par les mathématiques, création la plus universelle de l’esprit humain et donc suggérant une unité sous-jacente à la diversité de la pensée. Cet universalisme découlant de l’abstraction et de l’exactitude se fait cependant au détriment de toute signification. Elle en est donc venue à réfléchir sur la question inverse de la diversité, en particulier sur la manière de résoudre les problèmes, notamment environnementaux, dans un contexte démocratique pluraliste. Cela l’a mené à une étude interculturelle de la science et à examiner son rôle dans la génération de ces problèmes.

Son deuxième livre non-mathématique, « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » sortie en décembre 2020, examine notamment pourquoi et comment la science s’est de plus en plus transformée en son exact opposé, un dogme qui prétend parler en son nom. Son étude sur ce qu’est ou n’est pas la science et comment et pourquoi celle-ci a été transformée en dogme l’ont permis de vite analyser le côté scientifique de ce qui se passe depuis 2020 avec le COVID, et avec son travail précédent sur la démocratie, à également examiner l’aspect géopolitique qui a mené à cette situation.

Elle est aussi très active à l’international, et créer des liens entre scientifiques indépendants pour une alliance internationale avec des mouvements de résistance en Inde et en Russie. Le but est bien sûr de lutter contre les mesures liberticides et en particulier la vaccination obligatoire, mais aussi de mettre sur pied des solutions à plus long terme. Elle a aussi de nombreux contacts en Australie, G.B, Allemagne, USA, mais aussi en Europe de l’Est.

Dr Urmie Ray publie régulièrement des articles sur le Média-Web anglais « Principia Scientific International », une association à but non-lucratif au Royaume-Uni, mais aussi dans le journal papier « The Light Paper », ainsi qu’en Inde et en Russie. Elle a aussi écrit plus récemment dans l’excellente revue francophone indépendante Nexus, que nous avons d’ailleurs accueillit sur le Front Médiatique, et plus récemment dans le nouveau média indépendant La Chaîne Humaine.

🧬 La série « SCIENCE EN CONSCIENCE » a la volonté de d’examiner pourquoi et comment la science s’est de plus en plus transformée en son exact opposé, un dogme qui prétend parler en son nom : le Scientisme. Cette attitude philosophique qui consiste à considérer que la connaissance ne peut être atteinte que par la science, et que la connaissance scientifique suffit à résoudre tous les problèmes philosophiques.

🔗 Retrouvez Urmie Ray sur la toile :
✅ Blog du Dr. Urmie : https://urmieray.com/
✅ Site La Chaine Humaine : https://www.lachainehumaine.com/author/urmie/
✅ Livre : De la democratie et de la survie de l’homme : 2014
✅ Livre : On Science: Concepts, Cultures, and Limits : 2020

✅ Blog du Dr. Urmie : https://urmieray.com/

🔎 Sources :

✅ Parasitic Worms Wiggle into Modern Medicine – Scientific American Blog Network
https://blogs.scientificamerican.com/guest-blog/parasitic-worms-wiggle-into-modern-medicine-q-amp-a/

✅ World Business Council For Sustainable Development (WBCSD)
https://www.wbcsd.org/

✅ About – We Mean Business Coalition
https://www.wemeanbusinesscoalition.org/about/

✅ EB148/32 – B148_32-fr.pdf
https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/EB148/B148_32-fr.pdf

✅ HOME | Governing Pandemics
https://www.governingpandemics.org/

✅ One Earth Future
https://oneearthfuture.org/

✅ Global COVID-19 Summit: Ending the Pandemic and Building Back Better | The White House
https://www.whitehouse.gov/briefing-room/statements-releases/2021/09/24/global-covid-19-summit-ending-the-pandemic-and-building-back-better/

✅ Joint Research Centre and World Health Organization join forces to use behavioural insights for public health
https://www.who.int/news/item/12-11-2021-joint-research-centre-and-world-health-organization-join-forces-to-use-behavioural-insights-for-public-health

✅ Infodemic
https://www.who.int/health-topics/infodemic#tab=tab_1

✅ Joint Research Centre | European Commission
https://ec.europa.eu/info/departments/joint-research-centre_en

✅ La guerre cognitive contre les peuples
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/James-Giordano:7

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Évaluer l’immunité naturelle anti-Covid : sérologie, immunité cellulaire

par Emma Kahn | 24 Oct 2021 | sur le site de l’AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante) issue du Comité Scientifique Indépendant

Évaluer l’immunité naturelle anti-Covid : sérologie, immunité cellulaire

Le sujet est passionnant, qui d’entre nous s’est vraiment immunisé contre SARS-CoV-2, qui peut donc en documenter une preuve de guérison? Quel crédit accorder aux sérologies réalisées en routine, sont elles fiables et nous montrent-elles une trace certaine de non contamination en cas de négativité? Peut-on bâtir une recommandation vaccinale sur ces seules données? Réponse nette et sans fioriture de notre spécialiste préférée, Hélène Banoun, qui a longtemps écrit dans nos colonnes sous son pseudonyme de Emma Kahn. Une politique sanitaire peut-elle se décider de manière parfaitement inadaptée au seul motif « qu’il faut bien faire quelque chose »… Bonne lecture. 

Résumé
– Il est important d’évaluer l’immunité naturelle contre la Covid-19 : elle est plus solide, plus durable et de meilleure qualité que l’immunité vaccinale
Seule l’immunité adaptative humorale (anticorps) ou cellulaire peut être évaluée ; l’immunité innée n’est pas mesurable. La sérologie est seule pratiquée en routine, c’est la mesure du taux d’anticorps. La mesure du taux d’anticorps conduit à une sous estimation de la séroprévalence qui est pourtant déjà élevée et supérieure à 50% de la population dans la plupart des pays. Les tests sont conçus par rapport à la souche isolée en 2019 en Chine et l’étalonnage se fait par rapport à du sang de convalescents prélevé avant juin 2020.

Il existe une grande hétérogénéité des tests commerciaux disponibles. Un pourcentage important de la population infectée peut présenter une sérologie négative dans les mois suivant l’infection. La recherche de l’immunité cellulaire pourrait éliminer ces faux négatifs mais elle n’est pas applicable en routine et coûte cher.

Introduction

J’ai récemment montré que l’immunité naturelle à la Covid-19 (suite à une infection) était plus solide, plus durable et de meilleure qualité que l’immunité vaccinale (1) Les raisons en ont été exposées récemment par Sonigo et al (2). Avant l’introduction de la 3è dose, les autorités françaises conseillaient une seule dose de vaccin pour les personnes déjà immunisées naturellement (3). Pour l’instant la HAS ne prend pas position sur la nécessité d’une seconde dose chez les personnes ayant déjà été infectées par la Covid  (4) Il est donc important d’évaluer les méthodes de mesure de l’immunité naturelle acquise après infection. Mais les personnes en bonne santé peuvent aussi éliminer un virus grâce à leur immunité innée non spécifique : on ne sait pas évaluer cette immunité et il se peut que chez ces personnes aucune trace de leur rencontre avec le virus ne soit facilement détectable. Dans la Covid, l’infection naturelle commence par les muqueuses du naso-pharynx qui sont un sanctuaire immunitaire (2). L’immunité innée à ce niveau peut suffire à éliminer les virus sans intervention importante de l’immunité adaptative et donc sans production importante d’anticorps spécifiques. De plus l’infection peut être combattue grâce à l’immunité croisée déjà acquise contre les coronavirus de rhume banal (5). L’immunité spécifique (adaptative) peut être évaluée par la mesure des anticorps circulants anti-SARS-CoV-2 et par la mesure de la mémoire cellulaire immune.

Rappel sur Immunité innée et immunité acquise

1- Immunité innée

Une revue récente expose l’immunité innée face aux infections virales (6).

 Ricci D et al., 2021, https://www.mdpi.com/1422-0067/22/13/7017 , Innate Immune Response to SARS-CoV-2 Infection: From Cells to Soluble Mediators

La première ligne de défense contre un virus est l’immunité innée non spécifique qui se manifeste par la sécrétion de molécules antivirales et pro-inflammatoires. Les cellules reconnaissent le virus par des motifs protéiques et d’acides nucléiques qui déclenchent cette immunité innée. En particulier l’ARN naturel du virus, différent d’un ARN humain est détecté par les Toll-like récepteurs (contrairement à l’ARNm vaccinal). La reconnaissance du virus comme un pathogène à éliminer entraîne une cascade d’évènements métaboliques qui peut suffire à éliminer le virus. Des cellules de l’immunité innée contribuent aussi à éliminer le virus : neutrophiles, macrophages, cellules tueuses, etc…

Ricci D et al., 2021, https://www.mdpi.com/1422-0067/22/13/7017 , Innate Immune Response to SARS-CoV-2 Infection: From Cells to Soluble Mediators

2- Immunité adaptative

Extraits d’une revue (7) : Le système immunitaire adaptatif prend le relais si le système immunitaire inné ne parvient pas à détruire les germes. Il cible spécifiquement le type de germe à l’origine de l’infection. Mais pour ce faire, il doit d’abord identifier le germe. Cela signifie qu’il est plus lent à réagir que le système immunitaire inné, mais lorsqu’il le fait, il est plus précis. Il a également l’avantage de pouvoir se « souvenir » des germes, de sorte que la prochaine fois qu’un germe connu est rencontré, le système immunitaire adaptatif peut réagir plus rapidement.

Grâce à cette mémoire, certaines maladies ne peuvent être contractées qu’une seule fois dans la vie : Le système immunitaire adaptatif met quelques jours (maximum 14 jours concernant la Covid) à réagir la première fois qu’il entre en contact avec le germe, mais la fois suivante, le corps peut réagir immédiatement. La deuxième infection n’est alors généralement même pas remarquée, ou du moins elle est moins grave.

Le système immunitaire adaptatif repose sur les lymphocytes T, les lymphocytes B et les anticorps présents dans le sang et les autres fluides corporels.

Les cellules de l’immunité innée et de l’immunité adaptative

-Les lymphocytes T ( appelés T car ils ont été découverts dans le thymus) sont produits dans la moelle osseuse, puis se déplacent vers le thymus par la circulation sanguine, où ils arrivent à maturité.

Les cellules T ont trois fonctions principales :
Elles utilisent des molécules pour activer d’autres cellules du système immunitaire qui vont lancer le système immunitaire adaptatif (cellules T auxiliaires).
Elles détectent les cellules infectées par des virus ou les cellules tumorales et les détruisent (cellules T cytotoxiques).
Certaines cellules T auxiliaires deviennent des cellules T à mémoire après que l’infection a été vaincue. Elles peuvent « se souvenir » des germes qui ont été vaincus et sont alors prêtes à activer rapidement le système immunitaire adapté en cas de nouvelle infection.

Les cellules T possèdent des caractéristiques de détection sur leurs surfaces qui peuvent s’attacher aux germes. Le système immunitaire peut produire en quelques jours un type de cellule T correspondant à chaque germe présent dans une infection.
Ensuite, si un germe se fixe sur un lymphocyte T correspondant, ce dernier commence à se multiplier, créant ainsi d’autres lymphocytes T spécialisés dans ce germe. Comme seules les cellules qui correspondent au germe se multiplient, la réponse immunitaire est spécifique.

-Les lymphocytes B (cellules B) sont fabriqués dans la moelle osseuse et y mûrissent pour devenir des cellules spécialisées du système immunitaire. Ils tirent leur nom du « B » de « bourse de Fabricius », un organe que seuls possèdent les oiseaux et chez qui ils ont été découverts.

Les cellules B sont activées par les cellules T auxiliaires. Elles se multiplient alors et se transforment en plasmocytes. Ces plasmocytes produisent rapidement de très grandes quantités d’anticorps et les libèrent dans le sang. Certaines des cellules B activées se transforment en cellules mémoire et font partie de la « mémoire » du système immunitaire adaptatif.

Les différentes cellules du système immunitaire adaptatif communiquent soit directement, soit par l’intermédiaire de molécules solubles tels que les cytokines (petites protéines).

-Les anticorps sont des glycoprotéines (composés formés de protéines et de sucres ou glucides) qui circulent dans le sang. Ils sont produits par les plasmocytes (cellules B) et sont spécifiques des antigènes des pathogènes auxquels ils se lient.

Sérologie ou mesure des anticorps circulants dans le sang

C’est la mesure des anticorps spécifiques produits contre le SARS-CoV-2, virus responsable de la Covid-19

Rappel, séroprévalence :
J’ai donné récemment (1) quelques mesures de séroprévalence (proportion de la population ayant des anticorps : 1/3 de la population au Kenya en novembre 2020, 25% en Inde en janvier 2021, 23% en France, 50% aux USA, 40% à Madagascar). Depuis de nouvelles données sont sorties :Tchéquie : 51% de séropositifs en février/mrs 2021, Estonie : 77% de positifs au 27 septembre 2021 (8). En Estonie, seuls les anticorps anti-N ont été mesurés et donc cette étude ne prend bien en compte que l’immunité naturelle (N n’est pas incluse dans le vaccin) et ne peut comptabiliser les anticorps induits par le vaccin.

Les tests disponibles

Il existe différentes techniques de détection des anticorps et tous les tests ne détectent pas des anticorps dirigés contre les mêmes antigènes du SARS-CoV-2 : en général il s’agit des anticorps dirigés contre la protéine S (spike), soit entière, soit seulement le RBD (domaine de liaison du récepteur), ou contre la nucléocapside N (protéine liée à l’ARN du virus).

Les réponses immunes des personnes ayant rencontré le virus sont très hétérogènes et certaines peuvent ne pas produire d’anticorps contre l’un ou l’autre des antigènes du virus. De plus les mutations des variants sont nombreuses sur le RBD de la spike, sur la spike entière et en moindre mesure sur la protéine N. Selon le variant auquel a été confronté le patient, les anticorps produits pourraient donc ne pas être détectés par certains tests sérologiques.

  • La HAS autorise 17 tests sérologiques (9).
  • La Commission Européenne recense 588 tests de recherche d’anticorps anti-Covid avec la marque CE et 158 sans marque CE (10).
  • Au 12 octobre 2021, la FDA autorise 89 tests (11)

L’OMS a rendu disponible un étalon international de référence pour le dosage des anticorps anti-SARS-CoV-2. (12). Mais il est obtenu à partir de sang de convalescents prélevés avant juin 2020, donc avant l’émergence des variants. Les sérums sont prélevés plus de 28 jours après le début des symptômes mais il n’est pas précisé la durée maximum après symptômes : il ne donnera pas d’indication sur les prélèvements effectués trop longtemps après l’infection.

La mesure des anticorps neutralisants est pratiquée sur des souches de 2020 et pourrait ne pas être reproductible avec les variants récents.
De très fortes variations apparaissent entre les laboratoires qui testent ces pools de sérums.
Aucun laboratoire français n’a participé à cette évaluation.
Pour le pool à taux faible, très peu de laboratoires utilisant des kits commerciaux ont donné un résultat quantitatif : la moyenne et la variabilité n’ont pu être calculées.
Pour toutes ces raisons, il est donc difficile de se fier aux résultats quantitatifs calculés à partir de cet étalon et rendus fin 2021, et surtout pour les taux faibles d’anticorps.

Evaluation des tests sérologiques

Les performances de ces tests sérologiques varient considérablement, certains tests étant loin de répondre aux critères de sensibilité et d’efficacité proposés par la FDA. En particulier, certains tests sérologiques ont montré que la sensibilité à un stade précoce de l’infection est beaucoup plus faible que celle à un stade avancé de l’infection. (13)
On trouvera dans un article de revue (14), la description complète de tous les tests sérologiques utilisés ainsi que toutes les causes nombreuses de faux positifs (en particulier chez des malades atteints de maladies auto-immunes) et faux négatifs.

Selon de récentes publications, le taux d’anticorps dépend de la sévérité de la maladie: Les convalescents ayant présenté une forme bénigne de Covid sont plus susceptibles d’avoir un taux d’IgG indétectable après plusieurs mois. (15) (16)

Ceci confirme ce qui avait déjà été publié en 2020 (5). Quelques études montrant la corrélation entre sévérité de la maladie et taux d’anticorps :

  • 40% des asymptomatiques sont séronégatifs,
  • 12,9% des symptomatiques aussi dans le début de la convalescence. (17)
  • Selon Wu F. et al., 2020, 30% des rétablis ont un taux faible d’anticorps. (18)
  • Selon Toh ZQ et al., 2021, une proportion plus faible d’enfants séroconvertit par rapport aux adultes [20/54 (37,0 %) contre 32/42 (76,2 %)]. (19). Ce phénomène n’est pas lié à la charge virale, qui est similaire chez les enfants et les adultes [Ct moyen 28,58 vs 24,14 ]. L’âge et le sexe n’ont pas non plus influencé la séroconversion ou l’ampleur de la réponse des anticorps chez les enfants ou les adultes. Chez les adultes (mais pas chez les enfants), les adultes symptomatiques présentaient des taux d’anticorps trois fois plus élevés que les adultes asymptomatiques. Des preuves d’immunité cellulaire ont été observées chez les adultes qui ont séroconverti mais pas chez les enfants qui ont séroconverti (mais on peut difficilement conclure étant donné le faible effectif observé).

Selon Lui W et al (20) la maladie clinique ne garantit pas la séroconversion et les laboratoires disposant de tests RT-PCR très sensibles sont plus susceptibles de détecter les non-répondants sérologiques. Ces résultats fournissent une explication à la variabilité déconcertante de la séroconversion dans les différentes cohortes. 36% de leur cohorte représentaient des non-répondants sérologiques.

Selon Masia M et al,  (21) 25 % des patients ont présenté des titres d’anticorps indétectables. (20) Les patients qui n’ont pas séroconverti présentaient des valeurs de seuil de cycle plus élevées pour la RT-PCR (38,0 contre 28,0 ), un délai plus court pour la clairance virale (3,0 contre 41,0) et étaient plus susceptibles d’avoir le SRAS-CoV-2 détecté uniquement sur des échantillons de selles. Les non-séroconvertis présentaient également des niveaux plus faibles de biomarqueurs inflammatoires sanguins à l’admission et une gravité moindre de la maladie. La sérologie a été effectuée pour les anticorps anti-S1 et anti-N.

Le résultat dépend du temps écoulé entre l’infection et le test sérologique :

Un pourcentage important de la population infectée peut présenter une sérologie négative dans les mois suivant l’infection et la réponse sérologique des IgG aux cibles du SARS-CoV-2 est hétérogène ; ces cibles sont : la protéine spike et la protéine N (nucléocapside). Il y a hétérogénéité de réponse selon les patients et pas seulement selon la gravité de l’infection. (15)

Selon une étude internationale de mars 2021 (22), un an après les symptômes, 36% des IgG anti-S seulement persistent, 31% des IgG anti RBD,et 7% des IgG anti-N persistent; les IgM et IgA disparaissent rapidement. Une modélisation permet d’étendre la durée d’observation de 1 an maximum jusqu’à 2 ans :

Au bout de 6 mois, à peine la moitié (55% ) des IgG anti spike persistent, 36% persistent 12 mois et 16% 24 mois. Moins de la moitié des autres anticorps détectés 15 jours après l’infection persistent (que ce soient les IgG anti RBD, antiN, IgM antiS, RBD ou antiN, IgA anti S, RBD et N)

Un des meilleurs tests selon une équipe française (23) serait le test chinois Wantai dosant les anticorps totaux (IgG, IgM anti RBD de spike) : (24)
C’est un des tests les plus sensibles et spécifiques d’après le fabricant Bioscience. (25)

Les tests les plus utilisés détectent des antigènes différents avec des sensibilités et des spécificités différentes : Selon une étude européenne, on note des différences substantielles de sensibilité et de spécificité selon les laboratoires et selon que les réactifs sont certifiés ou non, le manque d’harmonisation est très net. (26)

Selon une étude canadienne, seul un test commercial s’approche des standards exigés par Health Canada (16)

Les tests ont été conçus à partir des antigènes de la souche de référence isolée à Wuhan en 2019
Depuis, le virus a énormément muté et certains antigènes des variants circulants actuellement pourraient induire la synthèse d’anticorps non reconnus par les tests sérologiques, problème évoqué par Banoun (27). Certains tests pourraient donner des faux négatifs chez les personnes infectées par des variants éloignés : cette éventualité est soulignée par la FDA mais ne semble pas encore évaluée à ce jour (28).

Selon un récent rapport britannique (29), la séroprevalence mesurée par le test Roche anti-N donne un maximum de 25 à 30% de séropositivité selon les régions et les âges. Ce rapport note l’affaiblissement de la réponse des anticorps N au fil du temps. Les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les individus qui contractent l’infection après deux doses de vaccination, comme expliqué précédemment (1) la vaccination peut endommager la capacité du système immunitaire à répondre à l’infection.

De juin à septembre 2021, le profil des niveaux d’anticorps dans ces cohortes diminue progressivement, ce qui correspond à un déclin. Au début de la campagne de vaccination en décembre, les taux d’anticorps se situaient généralement dans une fourchette de 0,8 à 1 000 UA/ml, alors qu’après la vaccination, les taux d’anticorps dépassent généralement 1 000 UA/ml. Les taux d’anticorps sont globalement plus élevés chez les personnes qui ont déjà été infectées ; on s’attend à ce que la vaccination après l’infection et la réinfection après la vaccination augmentent les taux d’anticorps existants.

L’idée actuelle est qu’il n’existe pas de niveau d’anticorps seuil offrant une protection totale contre l’infection, mais qu’au contraire, des niveaux d’anticorps plus élevés sont susceptibles d’être associés à une moindre probabilité d’infection.

Immunité cellulaire

C’est la recherche des cellules mémoires capables de reconnaître immédiatement le virus et de déclencher une réponse rapide Selon une étude française du CHU de Strasbourg (30), la sérologie (détection des anticorps spécifiques) pour détecter l’infection par le SARS-CoV-2 n’est absolument pas fiable : on observe une absence d’anticorps mais une solide immunité cellulaire chez des personnes pauci ou asymptomatiques.

Cette immunité cellulaire peut être évaluée par le test ELISpot ( interferon-gamma (IFN-γ) enzyme linked immunospot ) : dans cette étude, les cellules mononucléées du sang périphérique sont prélevées et stimulées avec un pool de peptides couvrant la protéine spike mais aussi les autres protéines structurales et non structurales du SARS-CoV-2. Ensuite la synthèse d’interféron γ par les cellules T stimulées a été mesurée. Des patients contacts de personnes modérément atteintes de Covid ont développé des symptômes du Covid. Ils sont séronégatifs mais présentent une immunité cellulaire contre le SARS-CoV-2.

Les sérologies ont été effectuées avec 3 tests différents (dont l’une utilisant la technique « lateral flow ») et les épitopes testés sont la nucléoproteine et la proteine spike du SARS-CoV-2

Donc la réponse cellulaire est plus sensible que la sérologie. Un contact asymptomatique développe aussi une réponse cellulaire. L’explication pourrait être que l’exposition à de faibles doses de virus pourrait induire une brève réplication du virus chez ces contacts : l’immunité innée pourrait faire avorter une réplication correcte du virus.Concernant la détection des personnes ayant été infectées par la Covid-19, la recherche d’anticorps conduit donc à une sous-estimation de l’exposition.

Pratiquement tous les patients testés (sains, index et contacts) ont une réponse à la spike des HCoVs (coronavirus de rhume banal). Ceci confirme également ce qui a été publié dès 2020 sur l’immunité croisée avec les coronavirus de rhume banal (5).

Description du test : https://www.kobe-u.ac.jp/research_at_kobe_en/NEWS/collaborations/2020_12_24_01.html

Un réactif commercial est disponible en France : Elispot Cerba (31) : malheureusement ce test coûte cher (environ 200€) et n’est pas remboursé par les assurances maladie.
Le test consiste à mesurer la réponse cellulaire spécifique vis-à-vis de plus de 250 peptides des protéines Spike (S) et de Nucléocapside (N) du SARS-CoV-2 en quantifiant le nombre de lymphocytes T produisant de l’interféron γ. Les lymphocytes du malade ou du patient vacciné sont isolés puis mis en contact avec les antigènes du virus, après 20 heures d’incubation, on mesure la production d’interféron γ. Un test positif permet de différencier l’immunité liée à l’infection par le virus (positivité anti-S et anti-N) d’une immunité liée à la vaccination (positivité anti-S seule).

https://www.lab-cerba.com/home/vous-informer/news/sars-cov-2–un-nouveau-test-dans.html

Un réactif britannique existe et a été évalué également : T-Spot.Covid de Oxford Immunotec Ltd  est disponible au Royaume Uni (32) il a été évalué par Public Health (Wyllie D et al., 2021) et par Kruse et al., 2021.

Conclusion

Avant l’institution de la troisième dose, les autorités de santé recommandaient de n’injecter qu’une seule dose de vaccin aux personnes déjà infectées; elles demandaient donc de faire une sérologie avant injection mais ceci n’était pas obligatoire. À ce jour aucune recommandation claire n’est émise concernant une éventuelle seconde dose pour les personnes déjà infectées.
La sérologie (mesure du taux d’anticorps spécifiques anti-SARS-CoV-2) donne des résultats hétérogènes selon les individus, le temps écoulé depuis l’infection, la sévérité des symptômes observés lors de l’infection, le réactif utilisé, le laboratoire effectuant l’analyse. Les taux faibles d’anticorps sont difficilement interprétables, elle n’est donc pas suffisante en cas de résultat négatif. Il est possible de mesurer l’immunité cellulaire spécifique anti-Covid mais ce test est cher et non remboursé.

Hélène Banoun
Octobre 2021

Notes et sources:
(1) Banoun, 2021a, Covid-19 : Immunité naturelle versus immunité vaccinale, Octobre 2021 https://www.researchgate.net/publication/354985184_Covid-19_Immunite_naturelle_versus_immunite_vaccinale
(2) Sonigo et al., 2021.17 SEPTEMBRE 2021 – FAUT-IL VACCINER CONTRE LA DÉTECTION PAR PCR OU CONTRE LA MALADIE COVID-19 ?, https://www.jle.com/fr/covid19-vacciner-contre-detection-par-PCR-ou-contre-maladie-covid19)
(3) HAS, 12 février 2021, https://www.has-sante.fr/jcms/p_3237456/fr/une-seule-dose-de-vaccin-pour-les-personnes-ayant-deja-ete-infectees-par-le-sars-cov-2
(4) HAS, 16 juillet 2021, https://www.has-sante.fr/jcms/p_3278140/fr/vaccination-contre-la-covid-19-pas-de-dose-de-rappel-pour-le-moment-en-dehors-des-plus-vulnerables-et-des-plus-ages?portal=p_3058934
(5) Banoun, 2020, Covid19 : immunité croisée avec les autres coronavirus, phénomènes immunopathologiques-update-aout2020 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02914300
(6) Majdoul et Compton, 2021, Lessons in self-defence: inhibition of virus entry by intrinsic immunity, https://doi.org/10.1038/s41577-021-00626-8
(7) Cologne, Germany: Institute for Quality and Efficiency in Health Care (IQWiG),The innate and adaptive immune systems, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK279396/
(8) Tchéquie, Estonie, 2021 (Tchéquie, Piler P et al., 2021, Dynamics of seroconversion of anti-SARS-CoV-2 IgG antibodies in the Czech unvaccinated population: nationwide prospective seroconversion (PROSECO) study https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.15.21262007v1 ,
Estonie https://www.ut.ee/en/research/study-prevalence-coronavirus-estonia
https://www.ut.ee/sites/default/files/styles/ut_content_width/public/eng-antikehade-analsitulemused_2.png?itok=umXfBmP9
Jogi P et al.,Seroprevalence of SARS-CoV-2 IgG antibodies in two regions of Estonia (KoroSero-EST- 1) https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.21.20216820v1.full.pdf
(9) Covid-19 Santé Gouv.fr, 2021, Covid-19 Santé Gouv.fr, 2021, https://covid-19.sante.gouv.fr/tests
(10) CE, 2021 , COVID-19 In Vitro Diagnostic Medical Devices https://covid-19-diagnostics.jrc.ec.europa.eu/devices?device_id=&manufacturer=&text_name=&marking=Yes&method=&rapid_diag=&target_type=1&field-1=HSC+common+list+%28RAT%29&value-1=0&search_method=AND#form_content
(11) FDA, 2021, In Vitro Diagnostics EUAs – Serology and Other Adaptive Immune Response Tests for SARS-CoV-2 https://www.fda.gov/medical-devices/coronavirus-disease-2019-covid-19-emergency-use-authorizations-medical-devices/in-vitro-diagnostics-euas-serology-and-other-adaptive-immune-response-tests-sars-cov-2
(12) OMS, 2020, Establishment of the WHO International Standard and Reference Panel for anti-SARS-CoV-2 antibody https://www.who.int/publications/m/item/WHO-BS-2020.2403
(13) Gong F. et al., 2021, Evaluation and Comparison of Serological Methods for COVID-19 Diagnosis https://www.frontiersin.org/article/10.3389/fmolb.2021.682405
(14) Liu G et al., 2021, COVID-19 Antibody Tests and Their Limitations https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC7885805/
(15) Perez-Olmeda M. et al., 2021, Evolution of antibodies against SARS-CoV-2 over seven months: experience of the Nationwide Seroprevalence ENE-COVID Study in Spain
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.03.11.21253142v1
(16) Therrien C. et al., 2021, Multicenter Evaluation of the Clinical Performance and the Neutralizing Antibody Activity Prediction Properties of 10 High-Throughput Serological Assays Used in Clinical Laboratories, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33303562/
(17) Long Q-X et al., 2021, Clinical and immunological assessment of asymptomatic SARS-CoV-2 infections https://www.nature.com/articles/s41591-020-0965-6
(18) Wu F, Wang A, Liu M, et al., 2020, Neutralizing antibody responses to SARS-CoV-2 in a COVID-19 recovered patient cohort and their implications. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.03.30.20047365v2
(19) Toh ZQ et al., 2021,Reduced seroconversion in children compared to adults with mild COVID-19 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.10.17.21265121v1
(20) Lui W et al., 2021, Predictors of Nonseroconversion after SARS-CoV-2 Infection https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8386781/ 
(21) Masia M et al, 2021 , SARS-CoV-2 Seroconversion and Viral Clearance in Patients Hospitalized With COVID-19: Viral Load Predicts Antibody Response, https://doi.org/10.1093/ofid/ofab005
(22) Pelleau S. et al., 2021, Serological reconstruction of COVID-19 epidemics through analysis of antibody kinetics to SARS-CoV-2 proteins https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.03.04.21252532v1
(23) Velay A. et al., 2021, Evaluation of the performance of SARS-CoV-2 serological tools and their positioning in COVID-19 diagnostic strategies https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32957073/
(24) Wantai , FDA https://www.fda.gov/media/140929/download
(25) Bioscience, https://www.bioscience.co.uk/cpl/sars-cov-2-ab-elisa
(26) Ast V. et al., 2021, Assessing the quality of serological testing in the CoViD-19 pandemic: results of a European external quality assessment (EQA) scheme for anti-SARS-CoV-2 antibody detection https://journals.asm.org/doi/10.1128/JCM.00559-21
(27) Banoun,  Evolution of SARS-CoV-2: review of mutations, role of the host immune system 
Banoun H, Nephron (2021 Apr 28:1-12) , https://www.karger.com/Article/Abstract/515417
(28) FDA, 23 /09/2021, https://www.fda.gov/medical-devices/coronavirus-covid-19-and-medical-devices/sars-cov-2-viral-mutations-impact-covid-19-tests
(29) COVID-19 vaccine surveillance report Week 42 https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1027511/Vaccine-surveillance-report-week-42.pdf
(30) Gallais et al., 2020, Intrafamilial exposure to Sars-cov-2 induces cellular immune response without seroconversion
https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/27/1/20-3611_article
(31) Cerba https://www.lab-cerba.com/home/vous-informer/news/sars-cov-2–un-nouveau-test-dans.html
(32) https://www.tspotcovid.com

Auteur de l’article : Emma Kahn

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« Liberté » le documentaire à voir et diffuser de toute urgence

Je vous invite à visionner ce documentaire très intéressant et très touchant qui fait intervenir un certain nombre de personnes travaillant dans le secteur de la santé qui refuse le vaccin et dont la vie professionnelle pourrait basculer ce 15 septembre.

Si la liberté est la requête commune à toutes ces personnes, la crainte de se faire injecter un produit dont on ne sait rien et qui semble poser d’innombrables questions est aussi omniprésente.

Ce film est rythmé par l’intervention de scientifiques (comme Christian Velot) qui expliquent les dangers de cette injection qui est pour l’instant dans sa phase expérimentale.

Lien alternatif sur Odysee

Si vous ne deviez écouter que quelques minutes, je vous recommande le passage dès 48’37.Le projet a été initié par le Collectif BLOUSES BLANCHES. Celui-ci a contacté Magà Ettori pour réaliser un documentaire sur la situation sans précédent des soignants.
Le Collectif est très inquiet par l’annonce faite par le chef de l’Etat français du 12 juillet 2021 sur l’obligation vaccinale pour les soignants, ainsi que l’extension du pass sanitaire.
Applaudis lors de la première vague de la pandémie, décorés sur les Champs-Elysées un an plus tard, les soignants sont à présents stigmatisés par une grande partie de la population. Le gouvernement leur donne jusqu’au 15 septembre pour se résigner et se vacciner, a défaut de quoi ils seront mis à pied puis licenciés. Emmanuel Macron a monté le ton pour accélérer la vaccination, provoquant par son intransigeance un mouvement de protestation sans précédent au coeur de l’été 2021.

Source: blog de Liliane Held-Khawam que vous êtes invités à consulter pour y trouver d’autres vidéos qui alertent sur les dangers de la protéines Spike

Alerte sur la composition des vakx1s par des scientifiques indépendants

N’hésitez pas à lire la suite de l’article (protégé) traduit en français sur base de la vidéo du Dr Young en cliquant sur ce lien

Cet article sera mis à jour dès qu’une traduction de la vidéo du Dr Young sera doublée ou sous-titrée en français.

Une étude israélienne montre que l’immunité naturelle est 13 fois plus efficace que les vakx1s pour stopper le variant Delta

PAR JADE · 27 AOÛT

Le Dr Anthony Fauci et le reste des conseillers COVID du Président Biden se sont encore trompés sur la « science » des vakx1s contre le COVID. Après avoir dit aux Américains que les vakx1s offraient une meilleure protection que l’infection naturelle, une nouvelle étude israélienne suggère le contraire : l’infection naturelle offre une bien meilleure protection contre le variant delta que les vakx1s.

L’étude a été décrite par Bloomberg comme « la plus grande analyse réelle comparant l’immunité naturelle – acquise lors d’une infection antérieure – à la protection fournie par l’un des vakx1s les plus puissants actuellement utilisés ». Il y a quelques jours, nous avons souligné combien il était remarquable que la presse grand public donne enfin la parole aux scientifiques pour critiquer la volonté du président Biden de commencer à distribuer des vakx1s de rappel. Cette étude remet encore plus en question la crédibilité de la confiance dans les vakx1s, car elle montre que les personnes vaccinées ont finalement 13 fois plus de chances d’être infectées que celles qui l’étaient auparavant, et 27 fois plus de chances d’être symptomatiques.

Alex Berenson, un journaliste scientifique qui a mis en doute à plusieurs reprises l’efficacité des vakx1s et des masques pour prévenir le COVID, a déclaré que l’étude était suffisante pour « mettre fin à tout débat sur les vakx1s par rapport à l’immunité naturelle ».

Voici un extrait d’un rapport de Science Magazine :

La nouvelle analyse s’appuie sur la base de données du Maccabi Healthcare Services, qui recense environ 2,5 millions d’Israéliens. L’étude, dirigée par Tal Patalon et Sivan Gazit de KSM, la branche recherche et innovation du système, a révélé dans deux analyses que les personnes vakxinées en janvier et février étaient, en juin, juillet et première moitié d’août, six à 13 fois plus susceptibles d’être infectées que les personnes non vakxinées qui avaient déjà été infectées par le coronavirus. Dans une analyse, comparant plus de 32 000 personnes du système de santé, le risque de développer une forme symptomatique du COVID-19 était 27 fois plus élevé chez les vakxinés, et le risque d’hospitalisation huit fois plus élevé.

Cette fois, les données ne laissent guère de doute sur le fait que l’infection naturelle est vraiment la meilleure option pour la protection contre le variant delta, malgré le fait que les États-Unis ne reconnaissent pas les personnes déjà infectées comme ayant des anticorps les protégeant du virus.

Premier pays à bénéficier d’une couverture vakxinale étendue, Israël se trouve aujourd’hui dans une situation impensable : le nombre de cas quotidiens a atteint de nouveaux records, le variant delta pénétrant la protection vakxinale comme un couteau chaud dans du beurre.

Source : Bloomberg

À tout le moins, les résultats de l’étude sont une bonne nouvelle pour les patients qui ont déjà combattu avec succès le COVID, mais ils montrent qu’il est difficile de se fier exclusivement aux vakxinations pour passer le cap de la pandémie.

« Cette analyse a démontré que l’immunité naturelle offre une protection plus durable et plus forte contre l’infection, la maladie symptomatique et l’hospitalisation due au variant delta », ont déclaré les chercheurs.

Malheureusement, l’étude a également montré que toute protection est limitée dans le temps. La protection offerte par l’infection naturelle s’estompe avec le temps, tout comme la protection offerte par les vakx1s : Le risque de contracter un cas delta par le biais du vakx1 était 13 fois plus élevé que le risque de développer une seconde infection lorsque la maladie initiale s’est déclarée en janvier ou février 2021. C’est nettement plus que le risque encouru par les personnes qui ont été malades plus tôt dans l’épidémie.

En outre, l’administration d’une seule dose de vakx1 aux personnes ayant déjà été infectées semble également renforcer leur protection. Toutefois, ces données ne nous renseignent pas sur les avantages à long terme des doses de rappel.

Ces dernières données montrent que les vakx1s sont loin d’offrir la protection de plus de 90 % annoncée par la FDA après l’autorisation d’urgence. D’autres études révèlent que les effets secondaires nocifs causés par les vakx1s à ARNm sont également plus fréquents qu’on ne le pensait auparavant.

Lisez la préimpression de l’étude ci-dessous :

Étude : Les professionnels de la santé entièrement vakxinés ont une charge virale 251 fois supérieure, ce qui constitue une menace pour les patients et les collègues non vakxinés.


Dr Peter McCullough – Global Research, 24 août 2021

Un article inédit du prestigieux groupe de recherche clinique de l’université d’Oxford, publié le 10 août dans The Lancet, présente des résultats alarmants qui ont un effet dévastateur sur le déploiement du vakx1 C0VlD.

L’étude révèle que les personnes vakxinées portent dans leurs narines une charge 251 fois plus importante de virus C0VlD-19 que celle des personnes testées en mars-avril dernier (avant apparition du variant delta).

57 scientifiques et médecins de renom publient une étude choquante sur les vakx1s C0VlD et demandent l’arrêt immédiat de toutes les vakxinations.

Tout en atténuant les symptômes de l’infection, le vakx1 permet aux personnes vakxinées de transporter des charges virales exceptionnellement élevées sans être malades au départ, ce qui peut les transformer en super-diffuseurs présymptomatiques.

Ce phénomène pourrait être à l’origine des flambées post-vakxinales choquantes dans les populations fortement vakxinées du monde entier.

Les auteurs de l’article, Chau et al, ont démontré l’échec généralisé de la vakxination et la transmission dans des circonstances étroitement contrôlées dans un hôpital fermé à Ho Chi Minh Ville, au Vietnam.
Les scientifiques ont étudié des travailleurs de la santé qui n’ont pas pu quitter l’hôpital pendant deux semaines. Les données ont montré que des travailleurs entièrement vakxinés – environ deux mois après l’injection du vakx1 Oxford/AstraZeneca C0VlD-19 (AZD1222) – ont acquis, porté et vraisemblablement transmis le variant Delta à leurs collègues vakxinés.

Il est presque certain qu’ils ont également transmis l’infection Delta à des personnes sensibles non vakxinées, y compris leurs patients. Le séquençage des souches a confirmé que les travailleurs se sont transmis le SRAS-CoV-2 entre eux.

Ces résultats concordent avec les observations faites aux États-Unis par Farinholt et ses collègues, et avec les commentaires du directeur des Centers for Disease Control and Prevention, qui a reconnu que les vakx1s C0VlD-19 n’ont pas réussi à stopper la transmission du SRAS-CoV-2.

Le 11 février, l’Organisation mondiale de la santé a indiqué que l’efficacité du vakx1 AZD1222 était de 63,09 % contre le développement d’une infection symptomatique par le SRAS-CoV-2. Les conclusions de l’article de Chau corroborent les avertissements des principaux experts médicaux selon lesquels l’immunité partielle et non stérilisante des trois vakx1s C0VlD-19 notoirement « fuyants » permet le transport d’une charge virale de SRAS-CoV-2 251 fois supérieure à celle des échantillons du printemps 2020 (autre variant et statut vaccinal très différent).

Nous disposons donc d’une pièce maîtresse du puzzle expliquant pourquoi l’épidémie de Delta est si redoutable : des personnes entièrement vakxinées participent à l’épidémie en tant que patients C0VlD-19 et agissent comme de puissants propagateurs de l’infection, à la manière de Typhoid Mary.

Les personnes vakxinées propagent des explosions virales concentrées dans leurs communautés et alimentent de nouvelles poussées de C0VlD. Les professionnels de la santé vakxinés infectent presque certainement leurs collègues et leurs patients, causant d’horribles dommages collatéraux.

La poursuite de la vakxination ne fera qu’aggraver ce problème, en particulier chez les médecins et les infirmières de première ligne qui s’occupent des patients vulnérables.

Les systèmes de santé devraient abandonner immédiatement les obligations vakxinales, faire le point sur les travailleurs rétablis du C0VlD-19 qui sont solidement immunisés contre le Delta et considérer les relations des soignants actuellement vakxinés comme des menaces potentielles pour les patients à haut risque et leurs collègues.


https://www.globalresearch.ca/study-fully-vaccinated-healthcare-workers-carry-251-times-viral-load-pose-threat-unvaccinated-patients-co-workers/5753908

Compléments

26/8/21: autre expérience allant dans le même sens: Massachusetts : les vaccinés au moins autant contaminés par le variant Delta