Toujours l’aspect spécieux des tests PCR.

Extrait de l’article de France Soir de ce 5/11, intitulé « Avec les tests Véran PCR, restez confinés tout l’hiver » qui montre bien que ces tests sont utilisés avec un objectif politique.


Sur le même sujet, vous trouverez aussi ci-dessous, les réponses aux questions que j’avais envoyées par mail à Clémence Richetta, Maître de Conférence à l’Ecole Normale Supérieure de Paris-Saclay, suite à une vidéo où elle expliquait la technologie des tests PCR.
Ces réponses indiquent notamment qu’il y a en France, 96 tests différents et que chaque labo définit son protocole et ses amorces. Une aubaine pour continuer un business qui marche ! Une sérieuse enquête scientifique, judiciaire et indépendante (?) serait bien nécessaire pour démasquer les manipulations potentielles.

Extraits de l’article de France Soir

Comme démontré dans l’article précédent où l’on interrogeait ces tests PCR, les prélèvements effectués sur les patients contiennent de multiples fragments d’ARN : ARN de différents virus, de bactéries, ARN humain…Une part importante de ces fragments sont des des ARN inertes, des déchets. Il est probable, et même plus qu’évident au regard de la quantité et de la diversité des ARN présents (1), que certains fragments ARN puisent contenir des séquences communes à certaines séquences du Sars-CoV-2. Il est donc envisageable que certains de ces fragments puissent correspondre aux amorces choisies pour détecter le Covid-19. Si un des ces fragments était amplifié par PCR, une personne non infectée par le SARS-Cov-2 serait quand même détecté positif au Covid-19.

Alors, M.Véran nous dirait que les signes cliniques permettent ou non de valider cette positivité. Sauf que là encore, les incertitudes sont nombreuses, même si certains dogmes ont été établis pour les nier. En effet, et comme évoqué encore une fois dans l’article sus-cité, le tableau clinique de la Covid-19 peut être similaire en de nombreux points avec d’autres viroses respiratoires. Le Haut conseil de la Santé publique le reconnaît dans ses dernières recommandations.

Le HCSP reconnaît donc que le diagnostic clinique pour distinguer la Covid-19 est incertain. Il affirme cependant que l’anosmie et l’agneusie seraient deux symptômes assez caractéristiques. Cela nous surprend. Cette démarche n’est pas très scientifique, mais il nous a toujours semblé avoir souvent souffert d’anosmie et d’agueusie lors de gros rhumes ou de grosses grippes par le passé. Avoir la crève et ne plus sentir, ni même goûter son café, nous semblait être un grand classique. C’est pourquoi, et nous vous invitons à en faire de même, nous avons consulté les archives Internet quant à la survenue de ces symptômes dans des cas de grippes ou de rhume. Et il se trouve que tous les documents, les plus officiels qui soient, évoquent l’anosmie et l’agueusie comme deux symptômes fréquents des gros rhumes et des grippes. La liste est tellement exhaustive que nous vous incitons à vérifier par vous-même, mais ces extraits nous semblent plutôt éloquents car destinés au grand public, ils démontrent que c’est bien un classique (2) et (3). Il est surprenant que ce soit devenu la marotte des médecins pour distinguer la Covid-19 des autres maladies respiratoires.

Quoi qu’il en soit, il semble très compliqué de se baser sur le tableau clinique pour distinguer la Covid-19 des autres viroses respiratoires saisonnières. C’est pourquoi il est indispensable de croiser ce tableau clinique avec des tests PCR les plus précis qui soient pour minimiser les risques de confusion.

Raoult est un grand infectiologue, Veran se veut grand communicant.

Elle est là toute la différence entre nos deux protagonistes : Raoult a utilisé les tests PCR pour soigner, Veran les a instrumentalisés pour communiquer. Dans le premier cas, les tests PCR sont comme nous l’avons vu et quelles que soient leur limites, indispensables au regard de l’aspect pathognomonique de la Covid-19. Dans le second cas, les tests PCR sont inutiles voire dangereux pour notre démocratie.

L’IHU de Marseille a publié une étude de grande qualité qui traite notamment du bon usage des tests PCR (4). Dans cette publication, on constate que l’usage fait des tests PCR par l’IHU de Marseille atteint une précision qui le transforme en art. Mais surtout démontre, qu’encore une fois, le reste des structures hospitalières françaises devrait s’appuyer sur le travail fait par l’IHU de Marseille et par Didier Raoult plutôt que de le traiter de charlatan.

En effet, l’IHU de Marseille limite le nombre de cycle d’amplification à 35 (Ct cut off) et il y est estimé qu’au-dessus d’un Ct de 33, le patient n’est plus contaminant. Cela correspond d’ailleurs aux mises en garde récentes de la CDC, autorité sanitaire américaine, qui recommande d’être précautionneux avec l’interprétation des tests car l’ARN viral pouvant subsister 3 mois dans les muqueuses respiratoires, le nombre de faux positifs, porteurs du Sars-CoV-2 mais ni malades, ni contaminants, pouvait être très important.

La meilleure manière de minimiser ces faux positifs, outre le fait de corréler le test PCR avec d’autres informations, notamment le tableau clinique, est de prendre un cycle d’amplification qui ne soit pas trop élevé. Habituellement, on estime qu’il ne faut pas tenir compte d’un nombre de cycle d’amplification supérieur à 36, car sinon on amplifie tout et n’importe quoi. Pour les différentes viroses respiratoires, on estime, comme l’IHU de Marseille pour la Covid-19, qu’un cycle d’amplification autour de 35 permet de détecter les patients malades. Et quel que soit la maladie, on estime que le nombre de cycles d’amplifications doit être strictement inférieur à 40 pour pouvoir interpréter les résultats. Dans une publication de l’institut national des systèmes de mesures allemand, il est estimé que : « Un problème commun rencontré avec certaines des techniques publiées est que beaucoup des approches qPCR pour la spéciation de viande tendent à démontrer la réactivité croisée pendant les cycles ultérieurs du PCR. Cela est démontré par de faux positifs qui se produisent lorsqu’un essai d’amorce et de sonde spécifique à une espèce amplifie l’ADN non ciblé d’autres espèces de viande après environ 35 cycles » (5). Au-delà de 35 cycles, les tests PCR ne peuvent distinguer un mouton d’un bœuf. Alors que penser de tests PCR avec des patients diagnostiqués positifs à la Covid-19 (par abus de langage…) avec 40 cycles d’amplification…

C’est là qu’est la supercherie mis en place par les autorités sanitaires internationales. Parfois, un simple détail peut rendre totalement inefficiente la plus puissante des technologie. Ici, ce détail est un trait, un simple trait. En effet, même si comme nous venons de l’exposer un nombre d’amplification supérieur à 35 induit de probables réactions croisées avec d’autres virus, mais surtout implique qu’une part importante des patients diagnostiqués positifs ne soient ni malades, ni contagieux, comme le précise la très bonne revue « Industrie et technologie » (6), la plupart des tests fixent le Ct à… 40, indique le NYT. Certains à 37. « Des tests avec des seuils aussi élevés peuvent ne pas détecter uniquement du virus vivant mais aussi des fragments génétiques, restes de l’infection qui ne posent pas de risque particulier », précise le quotidien. Une virologue de l’Université de Californie interrogée admet qu’un test avec un Ct supérieur à 35 est trop sensible. « Un seuil plus raisonnable serait entre 30 et 35 », ajoute-t-elle. »

Il est déjà évident ici qu’utiliser des tests avec des seuils au-dessus de 35 et jusqu’à 40 cycles ne peut que donner de faux résultats. Mais il est encore surprenant d’apprendre que beaucoup de laboratoires européens et français interprètent ces tests avec un nombre de cycle d’amplification de 40. Ce seuil ne devrait jamais être considéré comme interprétable, et encore moins comme valide, pour détecter un cas positif. Pourtant c’est ce seuil qui est retenu par toutes les autorités sanitaires occidentales : OMS, FDA, CDC, HSA, HCSP, ANSM… On retrouve cette synergie surprenante entre ces différentes instances dans la polémique sur l’hydroxychloroquine, pour le Remdesivir, pour les masques, pour le confinement…  Ce seuil de 40 ne devrait même pas être atteint et nombre de publications expliquent clairement qu’à ce seuil, on détecte tout. D’ailleurs, jusqu’ici, et dans tous les diagnostics PCR, il a toujours été mentionné que ce seuil devait être strictement inférieur à 40 comme indiqué précédemment (<40). Nos autorités sanitaires ont peut-être simplement fait une erreur, laissé une coquille lorsqu’elles ont inclus les seuil égaux à 40 (<=40). Avec des seuils comme ceux-là, les résultats des diagnostics de la Covid-19 sont « au petit bonheur la chance », ce qui explique d’ailleurs le fait que des personnes testées positives le lundi deviendront négatives le mardi.

Lorsque les morts deviennent un outil de communication .

Olivier Véran n’aime pas la contradiction, c’est en train de devenir de notoriété publique. Il a toujours raison, surtout quand il a tort, comme nous avons pu le voir pour les masques, les respirateurs, les tests lors du premier épisode du printemps. Même face au président de la République. Ce dernier avait en effet pensé, à juste titre croyons-nous, que l’épidémie était terminée. Olivier Véran nous assénait à longueur d’ondes que le virus reviendrait, en accord avec les grands laboratoires pharmaceutiques, trop heureux de vendre des masques, des traitements, des tests et des analyse biologiques, et qui ne souhaitaient pas voir se tarir la poule au oeufs d’or. D’où lui venait cette conviction ? Toutes les épidémies suivent habituellement la même courbe en cloche que le professeur Raoult avait maintes fois utilisée pour expliquer qu’il ne pensait pas qu’il y aurait une seconde vague. Cette courbe est connu de tous les épidémiologistes. C’est un modèle robuste qui s’est à chaque fois vérifié. Comment se fait-il alors que notre ministre ait eu cet éclair de clairvoyance ? Il n’a pas brillé depuis le début par son sens de l’anticipation, c’est le moins qu’on puisse dire…

Nous pensons avoir la réponse et elle est en lien avec les tests PCR. Nous sommes conscients de ne pas avoir découvert l’eau chaude avec les problèmes de fiabilité des tests PCR, notamment utilisé avec des seuil de 40. Tous les scientifiques utilisant la PCR savent cela. Donc tous les scientifiques intègres ne pourraient nier que les tests PCR utilisés comme ils le sont en ce moment, sauf selon la « méthode marseillaise », ne sont pas fiables et détectent tout. D’ailleurs, cet été, malgré la disparition de la Covid-19 dans sa forme grave, nous continuions à détecter de nombreux cas positifs. Comme une sorte de bruit de fond. Il y avait les tests positifs, mais pas les symptômes. Aujourd’hui, nous avons les tests positifs et les symptômes. Quels sont ces symptômes ? Des rhumes, avec nez qui coule, qui pourtant n’était pas un symptômes de la première version du Covid-19, des courbatures, parfois de la fièvre, voire de l’anosmie et de l’agueusie. Comme nous l’avons déjà, évoqué, ces symptômes ne sont pas caractéristiques du Covid-19 et de nombreuses viroses respiratoires peuvent les engendrer.

Il était dès lors évident que l’automne venu, ces symptômes allaient se démultiplier. Il était donc facile de prévoir, sachant que les tests présenteraient un grand nombre de faux positifs et que le nombre de personnes qui viendraient se faire tester seraient bien plus important, qu’on aurait un épisode épidémique. Comme nous l’avons démontré, cette épidémie n’est que l’épidémie classique des viroses automnales. Elle était prévisible, il n’y a donc aucune clairvoyance de la part de Mr Véran, ni plus des laboratoires pharmaceutiques. Une manipulation qui s’apparente à du délit d’initier. Tellement facile de parier quand on connaît le résultat en avance.

Réponses aux questions posées sur tests PCR

Voir mail avec les questions en fin d’article

Pour répondre à vos questions :

– Comment peut-on être certain que les amorces sont spécifiques au SARS-COV2 (initial mais aussi lequel à travers tous les pays ?) et surtout par rapport à ses mutations actuelles. J’ai notamment cru comprendre à travers l’ étude en annexe que le test actuel réagissait à d’autres coronavirus ?

Pour savoir si les amorces sont spécifiques au SARS-COV2, c’est à dire si elles ne sont s’hybrider que sur le génome de ce virus et pas sur celui de virus apparentés, on peut tout d’abord faire des alignements de séquences grâce aux bases de données qui référencent l’ensemble des séquences des génomes viraux. On cherche ainsi si la séquence des amorces « matchent » uniquement avec le génome du SARS-CoV2 (et avec tous les variants du SARS-Cov2) ou si elles « matchent » aussi avec d’autres génomes viraux. Cette analyse bio-informatique est une première indication. Ensuite on peut tester directement par l’expérimentation: on réalise la PCR avec les amorces choisies sur différents échantillons : SARS-Cov2, autres virus….et on teste ainsi si les amorces n’amplifient que le SARS-cOV2 ou si elles amplifient d’autres virus. Ce qui est préconisé est de choisir des amorces dans des régions très conservées du SARS-Cov2 (pour que la probabilité d’apparition de mutations dans ces régions soient faibles). Oui certaines amorces utilisées dans certains tests réagissent avec d’autres coronavirus mais dans ce cas, il est fait systématiquement 2 PCR consécutives : une avec des amorces qui peuvent aussi réagir avec d’autres coronavirus et ensuite, si le test est positif, une 2e PCR, elle très spécifique du SARS-Cov2.


-Le choix des amorces a-t-il évolué depuis le début de l’année?

Oui, au tout début de l’épidémie, les différents centres de référence de différentes pays ont publié des protocoles « maison » de RT-qPCR avec chacun leur amorces (protocoles disponibles sur le site de l’OMS). Aujourd’hui, il y a, en France, 96 tests différents de RT-qPCR déclarés sur le site https://covid-19.sante.gouv.fr/tests validés par un marquage CE ou par le CNR. Chaque test avec ses propres amorces. 

– Qui décide du choix de ces amorces ?

– Qui (firme et pays d’origine) fournit ces amorces ?

Ce sont les labos ou entreprises biotech qui développent les tests qui font le « design » de leur propres amorces. Il n’y a donc pas une firme ou un pays qui fournit les amorces. Ensuite le test doit être validé par un marquage CE ou par le CNR pour pouvoir être mis sur le marché

Sont-elles les mêmes dans les différents kits commerciaux au sein d’un pays ou de l’ensemble des pays?

Les amorces sont différentes dans chaque kit commercial différent. C’est même en général ce qui différencie un test d’un autre et qui fera qu’un test sera plus sensible ou plus spécifique qu’un autre.

– Quelles sont les procédures de contrôle officielles garantissant que les tests sont faits correctement (notamment avec les tests et calibrages des écouvillons et des équipements de test permettant d’éviter des faux négatifs et faux positifs, avec le respects des procédures sanitaires et types de laboratoires,…) ?

En ce qui concerne l’amplification PCR en elle-même, des contrôles positifs et négatifs sont inclus pour vérifier la qualité de la manipulation. Le prélèvement est un autre problème. La mauvaise réalisation de l’écouvillonnage sera bien sûr un facteur faussant le résultat final.

Cordialement,

Clémence Richetta

——– Message d’origine ——–
Le 21 oct. 2020 à 11:54, alain.flamion < alain.flamion@protonmail.com > a écrit :

Bonjour,

Suite à votre excellente vidéo sur le fonctionnement des tests de dépistage Covid, il y a quelques questions que je me pose et je me permets de vous les adresser.
– Comment peut-on être certain que les amorces sont spécifiques au SARS-COV2 (initial mais aussi lequel à travers tous les pays ?) et surtout par rapport à ses mutations actuelles. J’ai notamment cru comprendre à travers l’ étude en annexe que le test actuel réagissait à d’autres coronavirus ? 
– Le choix des amorces a-t-il évolué depuis le début de l’année?
– Qui décide du choix de ces amorces ?
– Qui (firme et pays d’origine) fournit ces amorces ?
– Sont-elles les mêmes dans les différents kits commerciaux au sein d’un pays ou de l’ensemble des pays?
– Quelles sont les procédures de contrôle officielles garantissant que les tests sont faits correctement (notamment avec les tests et calibrages des écouvillons et des équipements de test permettant d’éviter des faux négatifs et faux positifs, avec le respects des procédures sanitaires et types de laboratoires,…) ?

J’apprécierais beaucoup d’être éclairé sur ces questions par vous et je vous en remercie sincèrement d’avance.

Alain Flamion

Un autre montage vidéo d’Eric Remacle sur les tests PCR

Une épidémie de faux tests ?

Extraits d’un long article de France Soir intitulé « Et si la deuxième vague n’était que la houle des viroses respiratoires saisonnières ?« , très documenté sur l’état de fiabilité de l’interprétation des tests RT-PCR. Si on ne fait pas l’effort d’entrer un peu dans cette technicité, on se laisse manipuler par des charlatans qui en font leur veau d’or.

EXTRAITS:

. . . Cela est d’autant plus évident que l’utilité des tests RT-PCR, du moins comme arme principale pour prendre des décisions, interroge de plus en plus le monde médical. En effet, ces tests diagnostic posent plusieurs problèmes et notamment des problèmes de fiabilité. 

C’est ainsi que le Center for Disease Control and Prevention, l’équivalent de notre autorité sanitaire en France, a publié de nouvelles recommandations pour la durée de l’isolement et précautions pour les adultes atteints de COVID-19 ce 19 octobre 2020. On y apprend qu’il ne faut plus baser ses décisions dans la gestion de l’épidémie sur les tests PCR et donc sur les taux de contamination, car la précision de ces derniers ne permet pas d’être sûr que la positivité au test corresponde effectivement à une contamination récente car l’ARN viral peut demeurer 3 mois au moins dans l’organisme. Pis, une grande partie des positifs ne seraient plus du tout contaminants puisque pour les asymptomatiques et les formes modérées, la capacité de réplication du virus et donc sa contagiosité ne dure que 10 jours, et n’est que de 20 jours pour les formes graves et les immunodéficients (2). 

. . .  

Hormis le nombre de tests et donc de détection des cas positifs bien plus importants qui ne peut expliquer à lui seul cet écart considérable même quand on considère les estimations du nombre réels de contaminations en avril, il y a le rôle joué par les tests PCR. Ces derniers ont été conçus pour obtenir une très forte sensibilité, ce qui permet de détecter le moindre fragment de virus surtout au regard du degré d’amplification qui a été décidé. C’est l’inconvénient d’avoir des tests trop sensibles, il repère tout, même des fragments d’ARN viral inerte, sans aucun potentiel infectieux. C’est bien de cela dont il s’agit dans les recommandations du CDC : les tests diagnostic donnent et donneront lieu à une très grande majorité de faux positifsde porteurs du virus qui ne sont ni malades, ni contaminants, pour la simple raison que les personnes testées positives seront pour une grande majorité d’entre elle asymptomatiques et qu’il y a de grandes chances qu’une part de ces asymptomatiques aient même contracté le virus il y a plusieurs semaines. Car, comme le mentionne très bien le CDC, des fragments d’ARN viral subsistent jusqu’à trois mois au moins dans l’organisme. Vous pouvez par exemple avoir contracté le virus au moins de juillet ou au mois d’août, lorsque celui-ci ne causait alors plus trop de dégâts, et être aujourd’hui testé positif. 

Cela suffit à comprendre pourquoi le CDC recommande de ne plus baser sa prise de décision sur les tests RT-PCR. C’est l’inverse de ce qui est proposé par le ministre Véran et ceux qui nous gouvernent, qui bille en tête, ont eu la fulgurante idée de noyer les laboratoires sous les tests PCR pour le Covid-19. Lumineuse idée qui, outre le fait d’empêcher à l’instar des réanimations, de prendre en charge de nombreuses maladies pourtant plus létales, rallonge les délais pour obtenir les résultats des tests, qui en deviennent pour le coup encore plus inutiles. A tel point que le coût de ces tests qui s’élèvent déjà à plusieurs centaines de millions d’euros et dépassera à n’en pas douter plusieurs milliards, pourrait mettre en péril la santé financière de la sécurité sociale. Il est alors intéressant de consulter la notice des différents tests : pour tous, il a toujours été mentionné que le résultat du test devait toujours être interprété à l’orée de l’analyse clinique. Il était donc inutile dès le départ, et bien avant que la CDC en vienne à ces conclusions, de démultiplier les tests notamment pour les asymptomatiques. Pis, cette frénésie de tests voulue par notre ministre chamboule tout, aura annihilé le peu d’utilité que l’on aurait pu avoir de ces tests.

A la pêche aux houles, houles, houles 

Il faut alors bien comprendre comment fonctionnent ces tests RT-PCR.
Il s’agit de fabriquer des amorces que nous pouvons considérer comme des hameçons. Nous en utilisions un seul au printemps, mais depuis les tests PCR multiplex se sont démocratisés et nous utilisons maintenant deux à trois amorces, c’est ce que l’on appelle le multiplex. Cela revient donc à avoir trois hameçons sur sa canne à pêche. Ce qu’il faut savoir, c’est que ces hameçons sont particuliers : ils sont censés être spécifiques à des régions du poisson, le Covid-19 et ne sont censés reconnaître que ces régions présentes sur le Covid-19. En terme plus classique, ces amorces sont spécifiques de séquences de nucléotides exclusives du Covid-19. 

Le problème avec ces hameçons, c’est que même s’ils étaient ultra spécifiques au Covid-19, ils ne peuvent distinguer les poissons vivants des poissons morts. Or dans la mare très riche que forment nos muqueuses nasales et pulmonaires, il y a énormément de poissons morts pour une personne qui a contracté le virus même trois mois avant. Il y a donc de fortes chances d’attraper un poisson mort chez de nombreuses personnes comme le CDC le signale. 

Vous pouvez observer ci-dessus l’ARN du virus où sont localisées les gènes dont on se sert pour fabriquer les amorces qui permettent de déceler sa présence. On se sert de logiciels puissants pour trouver des séquences spécifiques à ce virus et à aucun autre. Comme pour la prise de décision qui repose sur de gros ordinateurs qui projettent l’hécatombe qui vient en reposant leurs calculs sur l’accélération du taux de contaminations, là encore, on s’en remet à des processeurs, à de l’intelligence artificielle qui est au cerveau humain ce que la neige artificielle est au flocon. Car bien évidemment, ce modèle est un modèle théorique, qui même s’il a été testé en laboratoire, in vitro, n’en demeure pas moins théorique. C’est un peu comme pour les tests PCR ou la conception du Remdesivir, ce médicament miracle qui ne soigne rien : on a fait passer l’outil avant l’idée, on a confié nos responsabilités à des jouets technologiques plutôt que de mettre ces jouets au service de nos responsabilités. Cette recherche d’amorce permet le séquençage des génomes viraux et le croisement de milliers de souches de virus différents est indéniablement un bel outil, un outil révolutionnaire. Mais à la manière des tests, il ne remplacera jamais une analyse humaine, une analyse clinique, inférentielle qu’aucune de vos consoles de jeux ne parviendra à effectuer. Jamais, je l’espère, au regard du pouvoir déjà bien trop important que vous offrez à ces innovations technologiques.  

L’ARN d’un virus est une molécule fragile. C’est d’ailleurs cela qui explique le nombre de mutations très important malgré la petitesse des fragments en question. Sans rentrer dans le détail, il suffit de comprendre que les modèles informatiques qui projettent un « lien » entre les amorces des tests PCR et l’ARN viral est purement hypothétique et que les conditions in vivo induisent que la variété des fragments ARN présents dans les muqueuses respiratoires qui pourraient effectivement correspondre aux amorces des tests est considérable : fragments d’ARN humain, fragments d’ARN de tous types de virus ou de bactéries mortes, fragments d’ARN de SARS-Cov-2 morts. Une récente publication explique même que « de façon inattendue, les données obtenues montrent qu’en plus des espèces d’ARN « matures », le plasma humain contient une proportion importante de fragments d’ARN « dégradés » et que « une proportion substantielle d’exARN d’origine non humaine, proviennent de la peau humaine et du microbiote intestinal, y compris le microbiote viral. Ces exARN exogènes représentent jusqu’à 75-80% de l’ARN total contenu dans les vésicules extracellulaires hautement purifiées » (3). Or comme nous l’avons déjà expliqué, l’ARN est une molécule fragile et encore plus lorsqu’elle est sous forme dégradée dans le milieu extracellulaire. La probabilité d’avoir un nombre incalculable d’ARN dégradé et recombiné est très forte. D’ailleurs ce nouvel univers des ARN extracellulaires et notamment ceux contenus dans les vésicules majoritairement d’origine microbienne font de l’objet de recherches très intense depuis quelques années pour leur potentiel rôle de biomarqueurs de maladie chronique comme le cancer. Mais les scientifiques se heurtent au même obstacles que nos élites sanitaires qui font reposer leurs décisions sur des tests RT-PCR, à la différence qu’eux en ont conscience : il est très compliqué de purifier l’ARN extracellulaire vésiculaire et il y a un consensus à adopter d’après la Société internationale des vésicules extracellulaires, « nos connaissances incomplètes de la nature des ARN extracellulaires vésiculaires et de la façon de les étudier efficacement et de manière fiable, interdit actuellement la mise en œuvre de normes d’or dans la recherche de cet ARN » (4). En somme, nous ne savons rien de la diversité des ARN contenus dans les fluides humains et donc dans les muqueuses des voies respiratoires.  

Or cet aveu d’ignorance est tout aussi vrai pour l’ARN du SARS-Cov-2 : celui-ci n’a jamais été purifié à partir des fluides extracorporels humains. Comme le spécialiste australien des maladies infectieuses Sanjaya Senanayake, l’a déclaré dans une interview à la télévision « ABC TV » en réponse à la question : Quelle est la précision du test COVID-19 ? »  

« Si nous avions un nouveau test pour détecter le staphylocoque doré dans le sang, nous avons déjà des hémocultures, c’est notre étalon-or que nous utilisons depuis des décennies, et nous pourrions comparer ce nouveau test à cela. Mais pour COVID-19, nous n’avons pas de test de référence. »

Cela signifie que les tests PCR même multiplex qui nous servent de diagnostic actuellement et sur lesquels se fondent les arguments et les prises de décisions de nos autorités sanitaires ne se basent que sur le séquençage du génome du virus et sur les essais in vitro donc sur un modèle purement spéculatif qui ne tient pas compte des multitudes interactions que subit l’ARN viral dans notre organisme et surtout, de la variété incommensurable des fragments d’ARN présents dans nos muqueuses respiratoires. Le Dr Charles Calisher, virologue chevronné, a reconnu lors d’une interview « qu’aucune publication à ce jour ne travaillait sur un virus SARS-Cov-2 isolé et purifié. » Cela reviendrait à dire qu’en fait qu’on ne peut pas conclure que les séquences génétiques d’ARN, que les scientifiques ont prélevées dans les échantillons de tissus préparés dans les essais in vitro mentionnés et pour lesquelles les tests PCR sont finalement « calibrés », appartiennent à un virus spécifique – dans ce cas SRAS-CoV-2

Même le professeur Chen Wang, vice-président de l’Académie chinoise d’ingénierie et président de l’Académie chinoise des sciences médicales et président du Peking Union Medical College, a admis en février 2020 que les tests PCR n’étaient « précis qu’à 30 à 50% ». Le Dr Sin Hang Lee du Milford Molecular Diagnostics Laboratory a envoyé une lettre à l’équipe de lutte contre les coronavirus de l’Organisation Mondiale de la Santé et à Anthony S. Fauci, conseiller auprès du président des Etats-Unis quant à la Santé Publique, le 22 mars 2020, disant que : « Il a été largement rapporté dans de sérieux médias sociaux que les kits de test RT-qPCR [Reverse Transcriptase quantitative PCR] utilisés pour détecter l’ARN du SARSCoV-2 dans les échantillons humains génèrent de nombreux faux positifs et ne sont pas assez sensibles pour détecter certains cas réels positifs. »

Et cela est d’autant plus évident quand on sait que des fragments d’ARN viral du SARS-Cov-2 mais aussi de tous les virus respiratoires pouvant provoquer des infections respiratoires aiguë et qui sont très variés (adénovirus, rhinovirus, entérovirus, influenza…) peuvent rester 3 mois dans les muqueuses des voies respiratoires. Alors que dire des multiples recombinaisons possibles de ces fragments d’ARN soumis à l’environnement très réactif de nos muqueuses. En considérant toujours ces tests RT-PCR comme des cannes à pêche munies de plusieurs hameçons, c’est comme si des hameçons spécialisés pour la pêche à la carpe capturaient de la perche, du brochet, du goujon, de la truite, du silure et même des algues. 

De faux tests peuvent donner lieu à de fausses épidémies 

Il y a une jurisprudence, qui démontre mieux qu’on ne pourrait le faire qu’il y a de fortes chances que cette nouvelle vague tant annoncée par nos autorités sanitaires et de nombreux médecins trop désireux d’avoir eu raison d’être alarmistes ; cela permet aussi de dénoncer les « rassuristes ».  

En effet, une fausse épidémie a déjà été montée de toutes pièces en se basant sur ces fameux tests RT-PCR. Il s’agit d’une épidémie de coqueluche survenue dans le New Hampshire aux Etats-Unis en 200,6 (5). Des milliers de personnes travaillant dans le centre hospitalier de Dartmouth ont été testées par test PCR et ont été vaccinés puis traités aux antibiotiques pour que l’on finisse par découvrir huit mois plus tard qu’aucune de ces personnes n’avait contracté la coqueluche. Un cas similaire est intervenu à l’hôpital pour enfants de Boston avec toujours une épidémie de coqueluche révélée par des PCR. Les cultures en laboratoire, là encore, ne révèleront plus tard qu’aucun des enfants n’avait contracté la coqueluche. On parle pourtant ici de bactéries et de la molécule d’ADN bien plus robuste que l’ARN…Ces deux cas d’écoles interrogent sur l’opportunité d’utiliser à nouveau la culture des pathogènes suspectés pour s’assurer du diagnostic précoce. 

Dans notre cas, la supposée deuxième vague de l’épidémie de Covid-19, plusieurs publications interrogent justement la spécificité des tests RT-PCR utilisés pour diagnostiquer la maladie. En effet, une publication récente, qui n’a pas vocation à dénoncer ces tests, ni même à remettre en cause la reprise de l’épidémie, propose innocemment d’inclure une nouvelle amorce dans les tests PCR car d’après les auteurs :  

« L’OMS recommande des gènes RdRP, E et N pour la détection du coronavirus (Corman et al., 2020a) : dépistage par gène E pour la première ligne, gène RdRp pour l’essai de confirmation et gène N pour un test confirmatoire supplémentaire. Bien que ces gènes aient été signalés comme cibles potentielles pour la détection du coronavirus, nous avons découvert qu’un seul d’entre eux (RdRP_SARSr-P2) était presque spécifique pour le nouveau coronavirus et que les autres sondes introduites détecteraient les autres types de coronavirus. À cet égard, les résultats des tests faussement positifs peuvent s’étendre pour la Covid-19, et de nombreux patients présentant peuvent être infectés par les autres types de coronavirus » (6). D’après cette équipe de chercheurs et leur publication validée et soumise à un comité de lecture, le test RT-PCR le plus élaboré, le multiplex, qui s’appuie sur 3 amorces, pourrait générer des tests positifs Covid-19 alors qu’il s’agirait d’autres coronavirus, dont les souches sont très nombreuses.Mais il y a plus encore, les auteurs expliquent que deux des trois amorces ne sont que très peu spécifiques et que la troisième peut aussi induire des réactions croisées avec d’autre coronavirus. Or les laboratoires biologiques valident la positivité des tests Covid-19 même lorsqu’une seule des trois amorces est positive. Il est donc indéniable que les personnes testées positives sont probablement porteuses de nombreux coronavirus que le SARS-Cov-2, ainsi que comme on peut le penser de d’autres virus saisonniers. Ci-dessous, vous pouvez apprécier le protocole de test d’un des plus grands laboratoires d’analyse biologique français : 

Donc, outre toutes les remarques faites précédemment sur la diversité des fragments d’ARN présents dans nos muqueuses respiratoires et le fait que même les fragments réels d’ARN du SARS-Cov-2 ne nous renseignait en rien sur la capacité de réplication de ces ARN viraux donc sur la contagiosité des porteurs, on apprend que les tests diagnostiques ne sont pas spécifiques du SARS-cov-2 et peuvent détecter d’autre coronavirus, ainsi que, d’après nous, des adénovirus, des entérovirus et des rhinovirus. 

En d’autres temps, nous serions en pleine épidémie de rhinovirus et les urgences devraient être saturées comme chaque année par l’arrivée massive de malades souffrant de viroses respiratoires aiguës : bronchiolites, rhinites, pneumopathies virales, virus syncitial. Car toutes les années, à la même époque, c’est-à-dire quelques semaines après la rentrée des classes, les services hospitaliers sont plus que saturés.

Or, depuis l’arrivée du Covid-19, c’est comme si toutes les autres pathologies virales respiratoires avaient disparu. La grippe et ses différentes souches avec à peine une centaine de cas pour 2020 comparativement aux milliers de cas annuels habituellement observés, semble être partie en vacances, les rhinovirus, adénovirus, entérovirus semblent s’être confinés en présence de la Covid-19. On estime que les viroses respiratoires, toutes confondues, sont responsables de 8 % des décès chaque année. Cela signifie qu’en prenant la fourchette la plus basse de mortalité, on estime à quelque 44 000 décès pour viroses respiratoires aiguës mais les chiffres bruts démontrent que l’on est bien en-deçà du chiffre réel. 

Afin de ne pas induire des discussions interminables sur les chiffres, nous prendrons la fourchette basse, à savoir 44 000 décès pour infections virales aiguës des voies respiratoires. Actuellement sur les décès dus à la Covid-19, nous nous approchons des 35 000 décès alors que nous sommes bientôt au mois de novembre et donc à la fin de l’année. Or si l’on considère que la grippe, principale cause de mortalité dans cette catégorie de décès, les viroses respiratoires, ne provoquera cette année tout au plus quelques centaines de décès, on peut penser que le nombre de décès suite à une infection virale aiguë des voies respiratoires n’excédera pas le chiffre moyen des décès annuels pour cette même cause, à savoir 44 000, en incluant les décès dus au Covid-19. C’est d’ailleurs pour cela que malgré la pandémie de Covid-19 et le nombre important de décès au printemps, nous n’observons qu’une surmortalité très faible (6 à 9%) due à la Covid-19, par rapport aux années 2018 et 2019. 

Alors, bien sûr nos « élites alarmistes », expliqueront que ce qu’elles observent dans les hôpitaux ne prête pas à discussion. Sauf que là encore, cela n’est que de la communication. Aucun de ces médecins, chercheurs ou carriériste politique ne peut affirmer que la situation actuelle est due au Covid-19 et encore moins que la saturation des hôpitaux actuelle est plus importante cette année que les autres, à moins d’admettre que l’épidémie de Covid-19 a fait partir en vacances tous les autres virus responsables d’infections virales respiratoires aiguës. Sur quoi se baseraient-ils d’ailleurs pour démontrer que c’est bien la Covid-19 qui génère cet afflux de patients à l’hôpital ? Sur les tests PCR ? Nous avons établi qu’ils ne permettaient pas de distinguer sérieusement l’étiologie de l’infection respiratoire responsable des hospitalisations, des admissions en réanimation et mêmes des décès. Sur l’analyse clinique ? Là encore, nous sommes au regret de leur apprendre, et même la HCSP s’en émeut, que la distinction clinique entre les infections causées par les virus de la grippe ou d’autres virus respiratoires n’était pas aisée pour ne pas dire quasi impossible tant la symptomatologie est semblable entre ces différentes atteintes (7). En effet, dans son avis relatif à la préparation des épidémies de virus hivernaux en période de circulation du SARS-CoV-2 du 17 septembre 2020, la HCSP affirme clairement que « les éléments strictement cliniques ne permettent pas d’éliminer formellement un diagnostic de Covid-19, particulièrement chez les personnes âgées. » 

Pis, la haute autorité sanitaire reconnaît que « chez l’adulte comme chez l’enfant, toutes les pathologies virales saisonnières respiratoires ou digestives peuvent donner des signes compatibles avec un Covid-19 ». 

Mieux, la HCSP écrit : « S’il existe des signes cliniques hautement évocateurs du Covid-19 (anosmie ou agueusie, cf.infra), aucun n’est toutefois pathognomonique de cette infection. En outre, de nombreux signes cliniques sont communs aux infections par les virus respiratoires, en particulier à la grippe et au Covid-19 ».

A moins de traiter de complotiste, le CDC autorité sanitaire américaine qui remet en cause la précision des tests PCR, ainsi que la HCSP, autorité sanitaire française qui dit clairement que les signes cliniques ne sont pas pathognomoniques de la Covid-19, nos alarmistes n’ont plus guère d’arguments pour affirmer de manière péremptoire comme ils le font que nous sommes devant une nouvelle vague de Covid-19. 

Quoi qu’il en soit, en science, lorsque l’on est confronté à plusieurs hypothèses, on choisit la plus simple. Ici, deux hypothèses sont plausibles au regard des éléments que nous venons de présenter et des chiffres de la mortalité : soit il y a un amalgame de toutes les viroses respiratoires aigües qui chaque année font imploser nos hôpitaux, soit les autres pathologies virales ont disparu, sont parties en vacances ou se sont confinées en présence du SARS-Cov-2. A vous de choisir, quelle hypothèse est la plus simple et la plus plausible. Pour le docteur Bensadoun, médecin consultant pour Cnews, qui n’a rien d’un complotiste, ni d’un « rassuriste », dit clairement cela : Dans mon cabinet, toutes les rhino-pharyngites que j’aurais étiquetées « rhino-pharyngites » les années précédentes je les étiquette « Covid ». A bon entendeur. 

En conclusion, le collectif citoyen et l’association « Bon sens » avec laquelle nous travaillons, demandent au Président de la république d’exiger une analyse plus sérieuse et plus précise de la situation épidémiologique en France avant de s’engager dans un contresens et de prendre des décisions dont les conséquences seront assurément bien plus funestes que la Covid-19. A cet effet, il semble indispensable de mettre en place d’autres éléments diagnostics permettant de minimiser les risques de confusion entre la Covid-19 et les autres infections virales respiratoires saisonnières. Aussi, dans un souci de transparence et d’apaisement du sentiment anxiogène délétère qui s’empare de nombre de nos concitoyens, nous demandons aux autorités sanitaires de fournir des données plus précises, incluant entre autres la place des autres pathologies, notamment respiratoires, dans la saturation habituelle des services hospitaliers. 

Ceci sont des extraits de l’article plus complet et plus long de France Soir.

Merci à France Soir pour ses articles et analyses indépendantes et très fouillées.

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Il existe un meilleur test que le PCR pour contrôler l’épidémie

Pour contrôler l’épidémie il vaut mieux un test moins sensible, moins coûteux mais utilisable par chaque personne avec résultat immédiat. Cela permettrait à chacun de pouvoir agir en responsabilité par rapport à sa contagiosité. Cette vidéo de Stéphane Guay vous l’explique comme toujours avec beaucoup de pédagogie.

La fausse seconde vague créée de toute pièce par les tests RT PCR

Interview du médecin réanimateur en soins intensifs belge Pascal Sacré, sur ses interrogations pleines de bons sens sur l’adéquation du test PCR pour détecter cette « maladie » et le manque de transparence de cette politique. Il y a aborde également sa vision sur le nombre d’hospitalisations actuel.
En se soumettant aux tests PCR avec docilité, la population maintient sans le savoir la propagande de terreur (non basée sur les faits) des gouvernements ainsi que l’état de  » transe hypnotique  » induit par les mesures autoritaires liées à la crise  » sanitaire « .

Nous vous recommandons de lire l’article très complet et intéressant que Pascal Sacré à écrit sur ce sujet :  » PCR ou comment enfumer toute l’humanité  »

Scandaleux, suite à cette vidéo, Pascal Sacré a été licencié de l’hôpital de Charleroi.

Ancienne interview de Kary Mullis, prix Nobel et inventeur du procédé PCR

Dans cet interview d’il y a quelques années (parce qu’il est décédé en 2019), Kary Mullis déclare que l’interprétation des tests ne permet pas de savoir si on est malade. Il en parlait à propos du virus du VIH et le raisonnement est le même pour le SRAS COV2.

Les sondes PCR préconisées par l’OMS ne distinguent pas le Sars-Cov2 des autres coronavirus (comme le rhume) ?

On va nous dire que le nombre de cas augmente de manière inquiétante. Ce ne sera pas étonnat car à l’approche de l’automne, les rhumes risquent d’être comptabilisés comme des cas d’infection par le COVID. Voir dans cette vidéo (à partir de la minute 18) l’analyse de Stéphane Guay. Voir aussi ci-dessous l’étude (traduite en français) montrant que les amorces actuelles ne sont pas spécifiques au Covid.

Ci-dessous l’étude scientifique publiée dans la revue scientifique ScienceDirect

Tout savoir sur le test RT-PCR ! https://youtu.be/zvrEHfMrnsY

Le test diagnostique PCR de l’OMS à le potentiel de détecter l’ADN HUMAIN: https://youtu.be/nAQjFENAXVk

Réquisitoire d’un avocat allemand pour crimes contre l’humanité

Réquisitoire brillant et très détaillé contre la fausse pandémie et la gestion de cette pseudo crise. Il y évoque notamment une pandémie de tests PCR de la peur plutôt qu’une pandémie de maladie mortelle.

Transcription et traduction par filsdepangolin.com collée ci-dessous.

Bonjour, je m’appelle Reiner Fuellmich et je suis admis au barreau en Allemagne et en Californie depuis 26 ans. J’ai pratiqué le droit principalement en tant qu’avocat plaidant contre des sociétés frauduleuses telles que la Deutsche Bank, autrefois l’une des plus grandes banques du monde et des plus respectées, aujourd’hui l’une des organisations criminelles les plus toxiques au monde. VW, l’un des constructeurs automobiles les plus importants et les plus respectés au monde, aujourd’hui connu pour sa fraude géante sur le diesel et Kuehne and Nagel, la plus grande compagnie maritime du monde, que nous poursuivons dans une affaire de corruption de plusieurs millions de dollars. Je suis également l’un des quatre membres de la commission d’enquête allemande sur le Corona. Depuis le 10 juillet 2020, ce comité écoute un grand nombre de témoignages de scientifiques et d’experts internationaux pour trouver des réponses aux questions sur la crise du Corona, que de plus en plus de personnes dans le monde entier se posent. Tous les cas de corruption et de fraude commis par les entreprises allemandes mentionnés ci-dessus sont dérisoires en comparaison de l’ampleur des dommages que la crise du Corona a causés et continue de causer. Cette crise du Corona, selon ce que nous savons aujourd’hui, doit être rebaptisée « scandale du Corona ». Et les responsables de cette crise doivent être poursuivis pénalement et pour dommage civil. Sur le plan politique, tout doit être fait pour que plus jamais personne ne soit en position de pouvoir tromper l’humanité ou tenter de nous manipuler avec ses programmes corrompus. C’est pourquoi je vais maintenant vous expliquer comment et où un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : le scandale de la fraude Corona, qui s’est entre-temps transformée en probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis.

Les crimes contre l’humanité ont été définis pour la première fois dans le cadre des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire lorsqu’ils ont concerné les principaux criminels de guerre du troisième Reich. Aujourd’hui, les crimes contre l’humanité sont régis par l’article 7 du code pénal international. Les trois grandes questions auxquelles il faut répondre dans le cadre d’une approche judiciaire du scandale du Corona sont les suivantes:

1- Y a-t-il une pandémie de Corona ou seulement une pandémie de test PCR ? Plus précisément, un résultat positif au test PCR signifie-t-il que la personne testée est infectée par le Covid-19 ou cela ne signifie-t-il absolument rien en rapport avec l’infection par le Covid-19 ?

2- Les mesures dites anticorona telles que le confinement, les masques faciaux obligatoires, la distanciation sociale et les règlements de quarantaine servent-ils à protéger la population mondiale contre le Corona ? Ou ces mesures ne servent-elles qu’à faire paniquer les gens pour qu’ils croient, sans se poser de questions, que leur vie est en danger afin, qu’en fin de compte, les industries pharmaceutiques et technologiques puissent générer d’énormes profits grâce à la vente des tests PCR, tests antigènes et anticorps et vaccins, ainsi qu’à la récolte de nos empreintes digitales génétiques ?

3- Est-il vrai que le gouvernement allemand a fait l’objet d’un lobbying massif ? Plus que tout autre pays, les principaux protagonistes de cette soi-disant pandémie de Corona, M. Drosten, virologiste à l’hôpital de la Charité à Berlin, M. Wheeler, vétérinaire et chef de l’équivalent allemand du CDC, le RKI, et M. Tedros, chef de l’organisation mondiale de la santé ou OMS, ont fait savoir que l’Allemagne était un pays particulièrement discipliné et qu’elle devait donc devenir un modèle pour le reste du monde pour son respect strict, et bien sûr réussi, des mesures de lutte contre le Corona.

Il est urgent de répondre à ces trois questions, car le coronavirus prétendument nouveau et très dangereux n’a causé aucune surmortalité dans le monde et certainement pas ici en Allemagne. Mais les mesures anti-Corona, dont les seuls fondements sont les résultats du test PCR, qui sont à leur tour tous basés sur le test allemand Drosten, ont entre-temps causé la perte d’innombrables vies humaines et ont détruit l’existence économique d’innombrables entreprises et individus dans le monde entier. En Australie, par exemple, des personnes sont jetées en prison si elles ne portent pas de masque ou si elles ne le portent pas correctement selon les autorités. Aux Philippines, les personnes qui ne portent pas de masque ou qui ne le portent pas correctement, en ce sens, se font tirer une balle dans la tête.

Permettez-moi tout d’abord de vous donner un résumé des faits tels qu’ils se présentent eux-mêmes aujourd’hui. La chose la plus importante dans un procès est d’établir les faits, c’est-à-dire de découvrir ce qui s’est réellement passé. En effet, l’application de la loi dépend toujours des faits en cause. Si je veux poursuivre quelqu’un pour fraude, je ne peux pas le faire en présentant les faits d’un accident de voiture. Que s’est-il donc passé ici, en ce qui concerne la prétendue pandémie de Corona ? Les faits exposés ci-dessous sont dans une large mesure le résultat du travail de la commission d’enquête sur le Corona. Ce comité a été fondé le 10 juillet par quatre avocats afin de déterminer par l’audition de témoignages de scientifiques internationaux et d’autres experts que :

1. Quel est le danger réel du virus ?

2. Quelle est la signification d’un test PCR positif ?

3. Quels dommages collatéraux ont été causés par les mesures relatives au Corona, tant en ce qui concerne la santé de la population mondiale que l’économie mondiale ?

Permettez-moi de commencer par une mise en contexte, un peu d’informations de base. Ce qui s’est passé en mai 2019, puis au début de 2020 et ce qui s’est passé 12 ans plus tôt avec la grippe porcine, que beaucoup d’entre vous ont peut-être oublié. En mai 2019, le plus fort des deux partis qui gouvernent l’Allemagne, au sein d’une grande coalition, la CDU, a tenu un congrès sur la santé mondiale. Apparemment à la demande d’importants acteurs de l’industrie pharmaceutique et de l’industrie technologique. Lors de ce congrès, les suspects habituels, pourrait-on dire, ont prononcé leurs discours. Angela Merkel y était et le secrétaire allemand à la santé Jens Spahn. Mais d’autres personnes, auxquelles on ne s’attendrait pas forcément à assister à un tel rassemblement, étaient également présentes : le professeur Drosten, virologue de l’hôpital de la Charité à Berlin, le professeur Wheeler, vétérinaire et directeur du RKI, l’équivalent allemand du CDC (Centers for Disease Control and Prevention – Centres pour le contrôle et la prévention des maladies), ainsi que M. Tedros, philosophe et directeur de l’organisation mondiale de la santé, l’OMS. Ils y ont tous prononcé des discours. Les principaux lobbyistes des deux plus grands fonds de santé du monde, à savoir la fondation Bill and Melinda Gates et le Welcome Trust, étaient également présents et ont prononcé des discours. Moins d’un an plus tard, ces mêmes personnes ont pris les devants dans la proclamation de la pandémie mondiale de Corona, ont fait en sorte que des tests PCR de masse soient utilisés pour prouver les infections massives au Covid-19 dans le monde entier, et font maintenant pression pour que des vaccins soient inventés et vendus dans le monde entier. Ces infections, ou plutôt les résultats positifs des tests PCR, sont à leur tour devenus la justification du confinement mondial, de la distanciation sociale et des masques faciaux obligatoires.

Il est important de noter à ce stade que la définition d’une pandémie a été modifiée 12 ans plus tôt. Jusqu’alors, une pandémie était considérée comme une maladie qui se propageait dans le monde entier et qui entraînait de nombreuses maladies graves et des décès. Soudain, et pour des raisons jamais expliquées, elle était censée être uniquement une maladie mondiale, de nombreuses maladies graves et de nombreux décès n’étant plus nécessaires pour annoncer une pandémie. Grâce à ce changement, l’OMS, qui est étroitement liée à l’industrie pharmaceutique mondiale, a pu déclarer la pandémie de grippe porcine en 2009, avec pour résultat que des vaccins ont été produits et vendus dans le monde entier sur la base de contrats qui ont été tenus secrets jusqu’à aujourd’hui. Ces vaccins se sont révélés totalement inutiles, car la grippe porcine s’est finalement révélée être une grippe bénigne et n’est jamais devenue l’horrible fléau que l’industrie pharmaceutique et ses universités affiliées ne cessaient d’annoncer qu’elle allait devenir. Avec des millions de morts certaines si les gens ne se faisaient pas vacciner. Ces vaccins ont également entraîné de graves problèmes de santé. En Europe, environ 700 enfants sont tombés incurablement malades de narcolepsie et sont maintenant gravement handicapés pour toujours. Les vaccins achetés avec des millions du contribuable ont dû être détruits avec encore plus d’argent du contribuable. Déjà à l’époque, lors de la grippe porcine, le virologiste allemand Drosten était de ceux qui ont semé la panique dans la population en répétant sans cesse que la grippe porcine ferait des centaines de milliers, voire des millions de morts dans le monde entier. En fin de compte, c’est surtout grâce au Dr Wolfgang Wodarg et à ses efforts en tant que membre du Bundestag allemand, et également membre du Conseil de l’Europe, que ce canular a pu être arrêté, avant qu’il n’entraîne des conséquences encore plus graves.

Avance rapide jusqu’en mars 2020, lorsque le Bundestag allemand a annoncé une situation épidémique d’importance nationale, qui est l’équivalent allemand d’une pandémie, en mars 2020 – et sur cette base – le confinement avec la suspension de tous les droits constitutionnels essentiels, pour une durée imprévisible, il n’y avait qu’une seule opinion sur laquelle le gouvernement fédéral allemand a fondé sa décision. En violation scandaleuse du principe universellement accepté « audiatur et altera pars » qui signifie qu’il faut aussi entendre l’autre partie, la seule personne qu’ils ont écoutée était M. Drosten. C’est précisément cette personne dont le pronostic affreux, source de panique, s’était révélé catastrophiquement faux douze ans plus tôt. Nous le savons parce qu’un dénonciateur du nom de David Siebert, membre du parti Vert, nous en a parlé. Il l’a fait pour la première fois le 29 août 2020 à Berlin, dans le cadre d’un événement auquel Robert F Kennedy Jr. a également participé, et au cours duquel les deux hommes ont prononcé des discours. Et il l’a fait par la suite lors d’une des sessions de notre commission sur le Corona. La raison pour laquelle il a fait cela, c’est qu’il était devenu de plus en plus sceptique quant au récit officiel propagé par les politiciens et les grands médias. Il avait donc entrepris de s’informer des opinions d’autres scientifiques et les avait trouvées sur Internet. Là, il s’est rendu compte qu’il y avait un certain nombre de scientifiques de grande renommée qui avaient une opinion complètement différente, qui contredisait le pronostic horrible de M. Drosten. Ils supposaient, et supposent toujours, qu’il n’y avait pas de maladie dépassant la gravité de la grippe saisonnière, que la population avait déjà acquis une immunité croisée ou des cellules T contre ce prétendu nouveau virus, et qu’il n’y avait donc aucune raison de prendre des mesures spéciales. Et certainement pas des vaccinations. Parmi ces scientifiques figurent le professeur John Ioannidis de l’université de Stanford en Californie, spécialiste des statistiques et de l’épidémiologie, ainsi que de la santé publique, et en même temps les scientifiques les plus cités dans le monde : le professeur Michael Levitt, prix Nobel de chimie, et également biophysicien à l’université de Stanford, les professeurs allemands Karin Mölling, Susharit Bhakdi, Knut Wittkowski ainsi que Stefan Homburg et maintenant beaucoup d’autres scientifiques et médecins dans le monde, dont le Dr Mike Yeadon. Le Dr Mike Yeadon est l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, l’une des plus grandes sociétés pharmaceutiques au monde. Je vous parlerai de lui un peu plus tard.

Fin mars, début avril 2020, M. Siebert s’est tourné vers la direction de son parti Vert avec les connaissances qu’il avait accumulées et a suggéré qu’ils présentent ces autres avis scientifiques au public et expliquent que, contrairement aux prophéties apocalyptiques de M. Drosten, il n’y avait aucune raison pour que le public panique. Soit dit en passant, Lord Sumption, qui a été juge à la Cour suprême britannique de 2012 à 2018, a fait exactement la même chose au même moment et est arrivé à la même conclusion : il n’y a aucune raison factuelle de paniquer et aucune base juridique pour les mesures prises liées au Corona. De même, l’ancien président de la Cour constitutionnelle fédérale allemande a exprimé, bien que plus prudemment, de sérieux doutes quant à la constitutionnalité des mesures liées au Corona. Mais au lieu de prendre note de ces autres opinions et d’en discuter avec David Siebert, la direction du parti Vert a déclaré que les messages de panique de M. Drosten etaient suffisantes pour le parti Vert. N’oubliez pas qu’ils ne sont pas membres de la coalition au pouvoir, ils sont dans l’opposition. Mais cela leur a suffi. Tout comme cela avait été suffisant pour le gouvernement fédéral comme base de sa décision de confinement, ont-ils dit. Par la suite, la direction du parti Vert a traité David Siebert de théoricien du complot, sans jamais avoir pris en compte le contenu de ses informations et l’a ensuite dépouillé de ses mandats.

Examinons maintenant la situation actuelle concernant le danger du virus, l’inutilité totale des tests PCR pour la détection des infections et les confinements basés sur des infections inexistantes. Durant cette periode, nous savons que les systèmes de soins de santé n’ont jamais été en danger d’être submergés par le Covid-19. Au contraire, de nombreux hôpitaux restent vides à ce jour et certains sont aujourd’hui menacés de faillite. Le navire-hôpital Comfort, ancré à l’époque à New York et qui aurait pu accueillir un millier de patients, n’a jamais accueilli plus d’une vingtaine de patients. Il n’y a eu nulle part de surmortalité. Des études menées par le professeur Ioannidis et d’autres ont montré que la mortalité du Corona est équivalente à celle de la grippe saisonnière. Même les images de Bergame et de New York qui ont servi à démontrer au monde que la panique était de mise, se sont avérées délibérément trompeuses. Ensuite, le soi-disant « document de panique » rédigé par le département allemand de l’intérieur a été divulgué. Son contenu classifié montre, sans l’ombre d’un doute, que, en fait, la population a été délibérément poussée à la panique par les politiciens et les médias dominants. Les déclarations irresponsables du chef du RKI qui l’accompagnent, rappelez-vous, le CDC et M. Wheeler qui a annoncé à plusieurs reprises et avec enthousiasme que les mesures liées au Corona doivent être suivies sans condition par la population sans qu’elle ne pose aucune question, montre qu’il a suivi le scénario tel quel. Dans ses déclarations publiques, il n’a cessé d’annoncer que la situation était très grave et menaçante, bien que les chiffres compilés par son propre institut prouvent exactement le contraire. Le « document de panique » demande entre autres que les enfants se sentent responsables, je cite : « de la mort douloureuse et torturée de leurs parents et grands-parents s’ils ne suivent pas les règles du Corona, c’est-à-dire s’ils ne se lavent pas constamment les mains et ne se tiennent pas à l’écart de leurs grands-parents ».

Un mot de clarification. À Bergame, la grande majorité des décès, 94 pour être exact, se sont avérés être le résultat non pas du Covid-19 mais plutôt la conséquence de la décision du gouvernement de transférer les patients malades, probablement atteints du rhume ou de la grippe saisonnière, des hôpitaux vers les maisons de repos, afin de faire de la place dans les hôpitaux pour tous les patients atteints de Covid qui ne sont finalement jamais arrivés. Là, dans les maisons de retraite, ils ont ensuite infecté des personnes âgées dont le système immunitaire était gravement affaibli, généralement en raison de problèmes médicaux préexistants. En outre, un vaccin contre la grippe qui avait été administré auparavant avait encore affaibli le système immunitaire des personnes vivant dans les maisons de retraite. À New York, seuls certains hôpitaux, mais de loin pas tous, ont été débordés. De nombreuses personnes, dont la plupart étaient à nouveau âgées et avaient de graves problèmes de santé préexistants, dont la plupart seraient restées à la maison pour se rétablir si elles n’avaient pas été prises de panique, se sont précipitées vers les hôpitaux. Là, beaucoup d’entre elles ont été victimes d’infections liées aux soins de santé ou d’infections nosocomiales d’une part, et d’incidents liés à des fautes professionnelles d’autre part. Par exemple en étant mis sous respirateur plutôt qu’en recevant de l’oxygène par le biais d’un masque à oxygène. Encore une fois, pour clarifier les choses, Covid-19, c’est l’état actuel des choses, est une maladie dangereuse tout comme la grippe saisonnière est une maladie dangereuse et bien sûr, le Covid-19, tout comme la grippe saisonnière, peut parfois prendre un aspect clinique grave et peut parfois tuer des patients. Cependant, comme l’ont montré les autopsies qui ont été pratiquées en Allemagne, notamment par le professeur de médecine légale Klaus Püshel à Hambourg : les décès qu’il a examinés avaient presque tous été causés par des affections préexistantes graves et la quasi-totalité des personnes décédées étaient mortes à un âge très avancé, tout comme en Italie, ce qui signifie qu’elles avaient vécu au-delà de leur espérance de vie moyenne. Dans ce contexte, il convient également de mentionner ce qui suit : le RKI allemand, qui de nouveau est l’équivalent du CDC, avait initialement, assez curieusement, recommandé de ne pas pratiquer d’autopsie et il existe de nombreux rapports crédibles selon lesquels des médecins et des hôpitaux du monde entier ont été payés pour avoir déclaré une personne décédée comme étant victime du Covid-19 plutôt que d’inscrire la véritable cause du décès, sur le certificat de décès. Par exemple, une crise cardiaque ou une blessure par balle. Sans les autopsies, nous n’aurions jamais su que l’écrasante majorité des victimes présumées du Covid-19 étaient mortes de maladies complètement différentes, mais pas du Covid-19.

L’affirmation selon laquelle le confinement était nécessaire parce qu’il y avait tant d’infections différentes avec Sars-Cov-2 et parce que les systèmes de santé seraient débordés est fausse pour trois raisons, comme nous l’avons appris des auditions que nous avons menées avec la commission sur le Corona et d’autres données devenues disponibles entre-temps.

A- le confinement a été imposé alors que le virus était déjà en recul. Au moment où le confinement a été imposé, les taux d’infection présumés étaient déjà en baisse.

B- il existe déjà une protection contre le virus grâce à l’immunité croisée ou à l’immunité des cellules T. Outre le confinement imposé alors que les taux d’infection étaient déjà en baisse mentionné ci-dessus, il existe également une immunité croisée ou une immunité des cellules T dans la population générale contre les virus Corona contenus dans chaque vague de grippe ou influenza. Cela est vrai, même si cette fois-ci une souche légèrement différente du coronavirus était à l’œuvre, et ce parce que le système immunitaire de l’organisme se souvient de tous les virus qu’il a combattus dans le passé et, à partir de cette expérience, il reconnaît également une souche supposée nouvelle mais toujours similaire du virus de la famille des Corona. C’est d’ailleurs ainsi que le test PCR pour la détection d’une infection a été inventé par le désormais tristement célèbre professeur Drosten. Au début du mois de janvier 2020, sur la base de ces connaissances très élémentaires, M. Drosten a mis au point son test PCR qui est censé détecter une infection par Sars-Cov-2. Sans avoir jamais vu le vrai virus de Wuhan en Chine, ayant seulement appris par les médias sociaux qu’il se passait quelque chose à Wuhan, il a commencé à bricoler sur son ordinateur ce qui allait devenir son test PCR Corona. Pour cela, il a utilisé un ancien virus Sars, espérant qu’il serait suffisamment similaire à la prétendue nouvelle souche du coronavirus trouvée à Wuhan. Puis, il a envoyé le résultat de son bricolage informatique en Chine afin de déterminer si les victimes du prétendu nouveau coronavirus avaient été testées positives. Ils l’ont fait et cela a suffi pour que l’Organisation mondiale de la santé sonne l’alarme de la pandémie et recommande l’utilisation mondiale du test PCR de Drosten pour la détection des infections par le virus, maintenant appelé Sars-Cov-2. L’avis et les conseils de Drosten ont été, il faut le souligner une fois de plus, la seule source pour le gouvernement allemand lorsqu’il a annoncé le confinement ainsi que les règles de distanciation sociale et le port obligatoire de masques. Et il faut également souligner, une fois de plus, que l’Allemagne est apparemment devenue le centre d’un lobbying particulièrement massif de l’industrie pharmaceutique et technologique, car le monde, en référence aux Allemands prétendument disciplinés, devrait faire comme les Allemands, afin de survivre à la pandémie.

C- et c’est la partie la plus importante de notre enquête. Le test PCR est utilisé sur la base de fausses déclarations, et non sur la base de faits scientifiques concernant les infections. Dans l’intervalle, nous avons appris que ces tests PCR, contrairement aux affirmations de M. Drosten, de M. Wheeler et de l’OMS, ne donnent aucune indication d’une infection par un virus quelconque, et encore moins d’une infection par Sars-Cov-2. Il convient de noter que non seulement les tests PCR ne sont expressément pas approuvés à des fins de diagnostic, comme cela est correctement indiqué sur les brochures accompagnant ces tests, et comme l’a souligné à plusieurs reprises l’inventeur du test PCR, Kary Mullis. Au contraire, ils sont tout simplement incapables de diagnostiquer une quelconque maladie. Contrairement aux affirmations de Drosten, Wheeler et de l’OMS qu’ils font depuis la proclamation de la pandémie, un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente. Si une personne est testée positive, cela ne signifie pas qu’elle est infectée par quoi que ce soit, et encore moins par le virus Sars-Cov-2, qui est contagieux.

Même le CDC des États-Unis, même cette institution dit, est d’accord avec ça, et je cite directement la page 38 d’une de ses publications sur le coronavirus et les tests PCR, datée du 13 juillet 2020. Le premier point dit : « la détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux, ou que 2019-nCoV soit l’agent causal des symptômes cliniques ». Le deuxième point indique que « la performance de ce test n’a pas été établie pour le suivi du traitement de l’infection à 2019-nCoV ». Le troisième point dit : « ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres pathogènes bactériens ou viraux ».

On ne sait toujours pas si le virus de Wuhan a été isolé de manière scientifiquement correcte, de sorte que personne ne sait exactement ce que nous recherchons lorsque nous effectuons des tests. D’autant plus que ce virus, tout comme les virus de la grippe, mute rapidement. Les échanges des PCR prennent une ou deux séquences d’une molécule qui sont invisibles à l’œil humain et doivent donc être amplifiées en plusieurs cycles pour la rendre visible. Tout ce qui dépasse 35 cycles est, comme le rapporte le New York Times et d’autres, considéré comme totalement peu fiable et scientifiquement injustifiable. Cependant, le test de Drosten, ainsi que les tests recommandés par l’OMS qui ont suivi son exemple, sont fixés à 45 cycles. Cela peut-il être dû à la volonté de produire le plus grand nombre possible de résultats positifs et de fournir ainsi la base de la fausse supposition qu’un grand nombre d’infections ont été détectées ? Le test ne peut pas distinguer les matières inactives et les matières reproductrices. Cela signifie qu’un résultat positif peut se produire parce que le test détecte par exemple un débris, un fragment de molécule, qui peut ne signaler rien d’autre que le fait que le système immunitaire de la personne testée a gagné une bataille contre un rhume dans le passé. Même Drosten lui-même a déclaré dans une interview accordée à un magazine économique allemand en 2014, à l’époque concernant la prétendue détection d’une infection par un virus SARM, prétendument à l’aide du test PCR, que ces tests PCR sont si sensibles que même des personnes très saines et non infectieuses peuvent être testées positives. À ce moment-là, il a également pris conscience du rôle puissant des médias qui sèment la panique et la peur, comme vous le verrez à la fin de la citation suivante. Il a dit alors dans cette interview : « Si, par exemple, un tel agent pathogène se répand sur la muqueuse nasale d’une infirmière pendant un jour ou deux sans qu’elle ne tombe malade ou ne remarque rien, alors elle est soudainement un cas SARM. Cela pourrait également expliquer l’explosion du nombre de cas en Arabie saoudite. De plus, les médias de ce pays en ont fait une incroyable sensation. » A-t-il oublié cela ? Ou le cache-t-il délibérément dans le contexte du Corona ? Parce que le Corona est une opportunité commerciale très lucrative pour l’industrie pharmaceutique dans son ensemble et pour M. Alford Lund , co-auteur de nombreuses études et également producteur de tests PCR. À mon avis, il est tout à fait improbable qu’il ait oublié en 2020 ce qu’il savait des tests PCR alors qu’il l’a dit au magazine économique en 2014. En bref, ce test ne peut détecter aucune infection, contrairement à toutes les fausses affirmations selon lesquelles il le pourrait. Une infection, une infection dite chaude, nécessite que le virus ou plutôt un fragment de molécule qui peut être un virus ne se trouve pas seulement quelque part, par exemple dans la gorge d’une personne, sans causer de dommage, ce serait une infection froide. Par contre une infection chaude qui nécessite que le virus pénètre dans les cellules, s’y reproduise et provoque des symptômes tels que des maux de tête ou de gorge. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’une personne est réellement infectée dans le sens d’une infection chaude.

Car ce n’est qu’à ce moment-là qu’une personne est contagieuse, c’est-à-dire capable d’infecter d’autres personnes. Jusque-là, elle est totalement inoffensive, tant pour l’hôte que pour toutes les autres personnes avec lesquelles elle entre en contact. Une fois de plus, cela signifie que des résultats de tests positifs, contrairement à toutes les autres affirmations de Drosten, Wheeler ou de l’OMS, ne signifient rien en ce qui concerne les infections, et ça même le CDC le sait, comme cité plus haut. Entre-temps, un certain nombre de scientifiques très respectés dans le monde entier supposent qu’il n’y a jamais eu de pandémie de Corona mais seulement une pandémie de test PCR. C’est la conclusion à laquelle sont parvenus de nombreux scientifiques allemands tels que les professeurs Bhakdi, Rice, Milling, Hockerts, Wallach et bien d’autres, dont le professeur John Ioannidis mentionné ci-dessus et le professeur Michael Levitt de l’université de Stanford, lauréat du prix Nobel.

Le plus récent de ces avis est celui du Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, qui a occupé ce poste pendant 16 ans. Lui et ses co-auteurs, tous des scientifiques de renom, ont publié un article scientifique en septembre 2020 et il a écrit un article de magazine correspondant le 20 septembre 2020. Entre autres choses, ils déclarent, et je cite « nous basons notre politique gouvernementale, notre politique économique et la politique de restriction des droits fondamentaux, vraisemblablement, sur des données et des hypothèses complètement fausses concernant le coronavirus. Sans les résultats des tests qui sont constamment rapportés dans les médias, la pandémie serait terminée car rien ne s’est vraiment passé. Bien sûr, il existe des cas individuels de maladies graves, mais il y en a aussi dans chaque épidémie de grippe. Il y a eu une véritable vague de maladie en mars et avril, mais depuis lors, tout est rentré dans l’ordre. Seuls les résultats positifs augmentent et diminuent de façon spectaculaire selon le nombre de tests effectués, mais les cas réels de maladie sont terminés. On ne peut pas ne pas parler d’une deuxième vague. La prétendue nouvelle souche du coronavirus n’est, poursuit le Dr Yeadon, que nouvelle et il s’agit d’un nouveau type du virus Corona connu depuis longtemps. Il existe au moins quatre coronavirus endémiques qui provoquent certains des rhumes, les plus fréquents que nous connaissons, surtout en hiver. Ils présentent tous une similarité de séquence frappante avec le coronavirus et, comme le système immunitaire humain peut reconnaître la similarité avec le virus qui aurait été découvert récemment, une immunité des cellules T existe depuis longtemps à cet égard. 30 % de la population en bénéficiaient avant même l’apparition du prétendu nouveau virus. Il suffit donc, pour que la soi-disant immunité collective soit efficace, que 15 à 25 % de la population soit infectée par le prétendu nouveau coronavirus pour arrêter la propagation du virus, et c’est le cas depuis longtemps ». En ce qui concerne l’importance de tests PCR , Yeadon écrit dans un article intitulé « mensonges, maudits mensonges et statistiques sanitaires » ( “lies damned lies and health statistics” ), le danger mortel des faux positifs daté du 20 septembre 2020 et je cite « La probabilité qu’un cas apparemment positif soit un faux positif se situe entre 89 et 94 % ou proche de la certitude. » Le Dr Yeadon, en accord avec les professeurs d’immunologie: Camera, d’Allemagne, Capel, des Pays-Bas et de Cahill en Irlande, ainsi qu’avec un microbiologiste autrichien, le Dr Arve, qui ont tous témoigné devant la commission allemande sur le Corona, souligne explicitement qu’un test positif ne signifie pas qu’un virus intact a été trouvé. Les auteurs expliquent que ce que le test PCR mesure réellement est, je cite: « simplement la présence de séquences partielles d’ARN présentes dans le virus intact qui pourrait être un morceau de virus mort qui ne peut pas rendre le sujet malade et ne peut pas être transmis et ne peut pas rendre quelqu’un d’autre malade ». En raison de l’inadéquation totale du test pour la détection des maladies infectieuses, testé positif chez les chèvres, les moutons, les papayes et même les ailes de poulet ; le professeur d’Oxford Carl Heneghan, directeur du centre de médecine factuelle, écrit que le virus Covid ne disparaîtrait jamais si cette pratique de test était poursuivie mais serait toujours faussement détecté dans une grande partie de ce qui est testé. Les confinements, comme l’ont découvert Yeaden et ses collègues : ne fonctionnent pas. La Suède, avec son approche de « laissez-faire », et la Grande-Bretagne, avec son confinement strict, par exemple, ont des statistiques sur les maladies et la mortalité tout à fait comparables. Les scientifiques américains ont constaté la même chose pour les différents États américains : l’incidence des maladies n’est pas différente selon qu’un État applique ou non un confinement. En ce qui concerne le désormais tristement célèbre collège impérial de Londres, le professeur Neil Ferguson, et ses modèles informatiques complètement faux, annonçant des millions de décès. Il dit cela et je cite : « aucun scientifique sérieux ne donne de validité au modèle de Ferguson. » Il le souligne avec un mépris à peine voilé, je cite encore : « Il est important que vous sachiez que la plupart des scientifiques n’acceptent pas que le modèle de Ferguson soit même légèrement correct, mais le gouvernement est toujours attaché à ce modèle ». Ferguson a prédit 40 000 morts dû au Corona, en Suède, en mai et 100 000 en juin, mais il est resté à 5800. Ce qui, selon les autorités suédoises, équivaut à une légère grippe. Si les tests PCR n’avaient pas été utilisés comme outil de diagnostic des infections au Corona, il n’y aurait pas de pandémie et il n’y aurait pas de confinement. Mais tout aurait été perçu comme une simple vague moyenne ou légère de grippe, concluent ces scientifiques. Le Dr Yeaden, dans son article « Mensonges, maudits mensonges et statistiques sanitaires – le danger mortel des faux positifs », écrit : « ce test est fatalement défectueux et doit être immédiatement retiré et ne plus jamais être utilisé dans ce contexte, sauf s’il s’avère qu’il soit réglé », et vers la fin de cet article : « j’ai expliqué comment un test de diagnostic désespérément performant a été et continue d’être utilisé non pas pour diagnostiquer des maladies mais, semble-t-il, uniquement pour créer de la peur. »

Examinons maintenant la situation actuelle concernant les graves dégâts causés par le confinement et les autres mesures. Un autre document détaillé, rédigé par un fonctionnaire allemand du département de l’intérieur, responsable de l’évaluation des risques et de la protection de la population contre les risques, a récemment fait l’objet d’une fuite. Il est maintenant appelé le « document de fausse alerte ». Ce document arrive à la conclusion qu’il y avait et qu’il n’y a pas de preuves suffisantes de risques sanitaires graves pour la population, comme le prétendent Drosten, Wheeler et l’OMS. Mais, dit l’auteur, il existe de nombreuses preuves que les mesures liées au Corona causent des dommages sanitaires et économiques gigantesques à la population, qu’il décrit ensuite en détail dans ce document. Cela, conclut-il, entraînera des demandes de dommages et intérêts très élevés dont le gouvernement sera tenu responsable. Cela est maintenant devenu une réalité, mais l’auteur du document a été, en revanche, suspendu. Davantage de scientifiques, mais aussi de juristes, reconnaissent que du fait de la panique délibérée et des mesures liées au Corona rendues possibles par cette panique, la démocratie risque fort d’être remplacée par des modèles totalitaires fascistes. Comme je l’ai déjà mentionné ci-dessus, en Australie, les personnes qui ne portent pas les masques, dont de plus en plus d’études montrent qu’ils sont dangereux pour la santé, ou qui ne les porteraient pas correctement, sont arrêtées, menottées et jetées en prison. Aux Philippines, ils courent le risque de se faire tirer dessus. Mais même en Allemagne et dans d’autres pays anciennement civilisés : les enfants sont enlevés à leurs parents s’ils ne respectent pas les règlements de quarantaine, les règlements de distance et les règles de port du masque. Selon les psychologues et les psychothérapeutes qui ont témoigné devant la commission du Corona : les enfants sont traumatisés en masse, avec les pires conséquences psychologiques que l’on peut attendre à moyen et long terme. Rien qu’en Allemagne : 500 000 à 800 000 faillites sont attendues à l’automne pour frapper les petites et moyennes entreprises, qui constituent le pilier de l’économie. Il en résultera des pertes fiscales incalculables et des transferts de fonds de la sécurité sociale d’un montant incalculable et ce à long terme, entre autres pour les allocations de chômage. Étant donné que, dans l’intervalle, tout le monde commence à comprendre l’impact dévastateur des mesures liées au Corona, totalement infondées, je m’abstiendrai d’entrer dans les détails.

Permettez-moi maintenant de vous donner un résumé des conséquences juridiques : la partie la plus difficile du travail d’un avocat est toujours d’établir les faits réels, et non l’application des règles juridiques à ces faits. Malheureusement, un avocat allemand n’apprend pas cela à la faculté de droit, mais ses homologues anglo-américains reçoivent la formation nécessaire à cet effet dans leurs facultés de droit. Et probablement pour cette raison, mais aussi en raison de l’indépendance beaucoup plus prononcée du système judiciaire américain, anglo-américain, le droit de la preuve anglo-américain est beaucoup plus efficace, en pratique, que le droit allemand. Une cour de justice ne peut trancher correctement un litige que si elle a préalablement déterminé correctement les faits, ce qui n’est pas possible sans examiner toutes les preuves. C’est pourquoi le droit de la preuve est si important. Sur la base des faits résumés ci-dessus, en particulier ceux établis avec l’aide des travaux de la commission allemande du Corona . L’évaluation juridique est en fait simple, elle est simple pour tous les systèmes juridiques civilisés, que ces systèmes juridiques soient basés sur le droit civil, qui suit de plus près le droit romain, ou qu’ils soient basés sur la common law anglo-américaine, qui n’est que vaguement liée au droit romain.

Examinons d’abord l’inconstitutionnalité des mesures. Un certain nombre de professeurs de droit allemands, dont les professeurs Kingreen, Murswiek,Youngblood et Foskarau, ont déclaré, soit dans des avis d’experts écrits, soit lors d’entretiens, conformément aux doutes sérieux exprimés par l’ancien président de la Cour constitutionnelle fédérale quant à la constitutionnalité des mesures de Corona, que ces mesures, les mesures liées au Corona, sont sans fondement factuel suffisant et également sans fondement juridique suffisant et sont donc inconstitutionnelles et doivent être abrogées immédiatement. Très récemment, un juge, Thorsten Schleif, a déclaré publiquement que le système judiciaire allemand, tout comme le grand public, a été tellement pris de panique qu’il n’était plus en mesure d’administrer la justice correctement. Il a déclaré que les tribunaux, je cite, « ont trop rapidement adopté des mesures contraignantes qui, pour des millions de personnes dans toute l’Allemagne, représentent une suspension massive de leurs droits constitutionnels ». Il souligne que les citoyens allemands, je cite encore une fois : « subissent actuellement la plus grave atteinte à leurs droits constitutionnels depuis la fondation de la république fédérale d’Allemagne en 1949. Afin de contenir la pandémie de Corona, le gouvernement fédéral et les gouvernements des États sont intervenus, dit-il, massivement et en partie en menaçant l’existence même du pays, telle qu’elle est garantie par les droits constitutionnels du peuple ». Qu’en est-il de la fraude, de l’infliction intentionnelle de dommages et des crimes contre l’humanité. Selon les règles du droit pénal, l’affirmation de faux faits concernant les tests PCR ou la fausse déclaration intentionnelle, telle qu’elle a été commise par messieurs Drosten et Wheeler ainsi que par l’OMS, ne peut être considérée que comme une fraude. Selon les règles du droit de la responsabilité civile, cela se traduit par l’infliction intentionnelle de dommages. Le professeur allemand de droit civil Martin Schwab soutient cette conclusion, dans des interviews publiques, dans un avis juridique complet d’environ 180 pages. Il s’est familiarisé avec le sujet comme aucun autre juriste ne l’a fait jusqu’à présent et a notamment fourni un compte rendu détaillé de l’échec complet des médias dominants à rendre compte des faits réels de cette prétendue pandémie. Messieurs Drosten, Wheeler et Tedros de l’OMS savaient tous, grâce à leur propre expertise, ou à celle de leurs institutions, que les tests PCR ne peuvent fournir aucune information sur les infections, mais ils ont affirmé à maintes reprises au grand public qu’ils le pouvaient ; leurs homologues, partout dans le monde, le répétant. Et ils savaient et acceptaient tous que, sur la base de leurs recommandations, les gouvernements du monde entier décideraient du confinement, des règles de distanciation sociale et du port obligatoire de masques. Ces derniers représentent un risque très grave pour la santé, comme le montrent de plus en plus d’études indépendantes et de déclarations d’experts. Selon les règles du droit de la responsabilité civile, tous ceux qui ont été lésés par ces confinements induits par les tests PCR ont droit à une indemnisation complète de leurs pertes. Il existe notamment un devoir de compensation, c’est-à-dire une obligation de verser des dommages et intérêts pour le manque à gagner subi par les entreprises et les travailleurs indépendants en raison du confinement et d’autres mesures. Cependant, entre-temps, les mesures anticorona ont causé et continuent de causer des dommages si dévastateurs à la santé et à l’économie de la population mondiale que les crimes commis par messieurs Drosten, Wheeler et l’OMS doivent être légalement qualifiés de véritables crimes contre l’humanité, tels que définis dans la section 7 du code pénal international.

Comment pouvons-nous faire quelque chose ? Que pouvons-nous faire ? Eh bien, le recours collectif est la meilleure voie vers des dommages compensatoires et des conséquences politiques. Le recours collectif est basé sur le droit anglais et existe aujourd’hui aux États-Unis et au Canada. Elle permet à un tribunal d’autoriser une plainte pour dommages et intérêts à être jugée comme un recours collectif à la demande d’un demandeur :

1 : si un événement causant un dommage à un grand nombre de personnes subit le même type de dommage. En d’autres termes, un juge peut autoriser une action collective si des questions communes de droit et de fait constituent l’élément essentiel de l’action. Dans ce cas, les questions de droit et de fait communes tournent autour des confinements basés sur le test PCR mondial et de ses conséquences. Tout comme les vo itures particulières VW diesel étaient des produits fonctionnels, mais ils étaient défectueux en raison d’un dispositif dit de mise en échec, parce qu’ils ne respectaient pas les normes d’émission, les tests PCR, qui sont des produits parfaitement bons dans d’autres contextes, sont également des produits défectueux lorsqu’il s’agit de diagnostiquer des infections. Maintenant, si une société américaine ou canadienne ou un particulier américain ou canadien décide de poursuivre ces personnes aux États-Unis ou au Canada pour obtenir des dommages et intérêts, le tribunal appelé à résoudre ce litige peut, sur demande, autoriser que cette plainte soit jugée comme une action collective. Si cela se produit, toutes les parties concernées dans le monde entier seront informées par des publications dans les médias dominants et auront ainsi la possibilité de se joindre à cette action collective, dans un certain délai à déterminer par le tribunal. Il est important de souligner que personne ne « doit » se joindre à l’action collective, mais que chaque partie lésée « peut » se joindre à l’action collective. L’avantage de la Class Action est qu’un seul procès est nécessaire. Il s’agit en effet de juger la plainte d’un représentant des demandeurs qui est affecté d’une manière caractéristique de tous les autres membres de la classe. C’est d’abord moins cher et ensuite plus rapide que des centaines de milliers, ou plus, de procès individuels. Et troisièmement, cela impose une charge moins lourde aux tribunaux. Quatrièmement, en règle générale, elle permet un examen beaucoup plus précis des accusations que ce qui serait possible dans le contexte de centaines de milliers ou, plus probablement dans ce contexte de Corona, même de millions de procès individuels. En particulier, le droit de la preuve anglo-américain, bien établi et éprouvé, avec sa « pre-trial discovery », est applicable. Cela exige que toutes les preuves pertinentes pour la détermination du procès soient mises sur la table. Contrairement à la situation typique des procès allemands présentant un déséquilibre structurel, c’est-à-dire des procès impliquant d’une part un consommateur et d’autre part une puissante société, la rétention ou même la destruction de preuves n’est pas sans conséquence. Au contraire, la partie qui retient ou même détruit des preuves perd l’affaire, selon ces règles relatives aux preuves. En Allemagne, un groupe d’avocats spécialisés dans la responsabilité civile s’est réuni pour aider ses clients à recouvrer des dommages et intérêts. Ils ont fourni toutes les informations et formulaires nécessaires aux demandeurs allemands pour leur permettre d’estimer le montant des dommages qu’ils ont subis et de rejoindre le groupe, ou la classe, de demandeurs qui se joindra plus tard à l’action collective lorsqu’elle sera engagée, soit au Canada ou aux États-Unis.

Au départ, ce groupe d’avocats a considéré egalement le recueil et la gestion des témoignages pour les dommages des plaintifs non-allemands.

Mais cela été prouvé ingérable

Cependant, grâce à un réseau international d’avocats qui s’élargit de jour en jour, le groupe d’avocats allemands fournit gratuitement à tous leurs collègues des autres pays toutes les informations pertinentes, y compris les avis d’experts et les témoignages d’experts, montrant que les tests PCR ne peuvent pas détecter les infections. Ils leur fournissent également toutes les informations pertinentes sur la manière dont ils peuvent préparer et regrouper les demandes d’indemnisation de leurs clients, afin qu’ils puissent eux aussi faire valoir les demandes d’indemnisation de leurs clients, soit devant les tribunaux de leur pays d’origine, soit dans le cadre de l’action collective, comme expliqué ci-dessus.

Ces faits scandaleux, relatifs au Corona, recueillis pour la plupart par la commission du Corona et résumés ci-dessus, sont les mêmes faits qui seront bientôt prouvés, soit dans un tribunal, soit dans de nombreux tribunaux du monde entier. Ce sont ces faits qui feront tomber les masques sur les visages de tous les responsables de ces crimes. Aux politiciens qui croient ces personnes corrompues: ces faits sont présentés ici comme une bouée de sauvetage qui peut vous aider à réajuster votre ligne de conduite et à entamer le débat scientifique public tant attendu, et à ne pas tomber dans le piège de ces charlatans et de ces criminels. Je vous remercie.

Soutenez le travail de traduction de filsdepangolin

Pourquoi une deuxième vague (médiatique et politique) inévitable?

Une deuxième vague est prévue depuis des mois… sans qu’elle ne soit jamais arrivée. Pourtant elle sera là, quoi qu’on en fasse : pourquoi et comment? Je détaille cela de manière appuyée dans la vidéo en bas d’article…

Une deuxième vague du virus du Covid était prévue :

Au relâchement d’avril

Au déconfinement du 11 mai

Fête de la musique avec rassemblements Clusters sans effets

14 juillet

Manif black lives matter

Départ en vacances

Vacances sur plages

Retour travail etc ..

Mais la mortalité par rapport aux contaminés ne cessent de baisser depuis 8 semaines les infectiologues du monde entier disent que le virus perd de sa charge virale

Pourquoi une seconde vague arrivera, au moins médiatiquement ou politiquement ?

Les coronavirus circulent tous les ans… et les tests ne les différencient pas Les coronavirus humains causent principalement des infections respiratoires, allant du rhume sans gravité à des pneumopathies sévères parfois létales. Ils peuvent aussi s’accompagner de troubles digestifs tels que des gastro-entérites. Sras, Mers, Covid-19… Très contagieux, les coronavirus sont des virus qui se propagent rapidement avec des risques de mortalité élevés pour certaines personnes. Didier Raoult affirme que tous les ans la plupart des enfants contractent des virus de la famille des coronavirus, généralement sans symptôme.

Donc il y aura une flambée de tests positifs.

De même toutes les personnes ayant été ou qui seront vaccinés contre la grippe et ayant développés des anticorps seront testées positives.

En parlant de grippe l’amalgame est désormais fait : elle n’existe plus. La grippe saisonnière fait chaque année entre 290.000 et 650.000 morts dans le monde. 950.000 décès covid donc 1/3 de plus que la grippe La grippe 2020 s’annonçait pourtant particulièrement vigoureuse. Buzyn et Salomon avait d’ailleurs fait des annonces en décembre et janvier en annonçant une grippe extrêmement sévère cette saison. « bien partie pour être l’une des plus sévères depuis des décennies », indique Nature Selon les chiffres de Santé publique France arrêtés au 28 février 2020, 55 personnes sont mortes de la grippe depuis le 4 novembre 2019. + 13 000 morts en 2018 et + 14 500 en 2014-2015 sur les 3-4 mois d’hier 90% des personnes qui meurent de la grippe lors des épidémies saisonnières sont des personnes âgées de 65 ans ou plus. Comme covid. Environ 10 000 décès sont attribuables à la grippe chaque année.

Si tous ces mots sont classés Covid oui ce sera une deuxième vague qui risque d’occuper longtemps l’espace médiatique. Il n’y aura vraisemblablement pas de grippe saisonnière avec 10-15.000 morts comme tous les ans mais 10-15.000 morts du covid, avec des décès pour des personnes faibles de+65 ans. Baisse de l’immunité générale due : Stress qui fait baisser lymphocyte T4 et réponse immunitaire Moins de sport et compensation par addictions :alimentation, junk food, alcool, etc… Masques : on a moins d’oxygène et on respire plus de virus et de Co2. Fatigue, maux de tête.

On observe déjà explosion laryngite, pharyngite etc… Le masque ne serait pas entièrement inoffensif, il aurait des effets secondaires, parfois assez graves, comme l’a détaillé le Neurochirurgien Russell Blaylock. Selon Dr. Blaylock, plusieurs études ont détecté des problèmes importants liés au port du masque. Cela peut aller du mal de tête, à une résistance accrue des voies respiratoires, à l’accumulation de dioxyde de carbone, à l’hypoxie ou encore à des complications graves pouvant mettre la vie en danger. Donc : amalgames coronavirus et covid, amalgame grippe et covid, stress et baisse de l’immunité de la population, diminution de l’immunité et troubles liés au masquent ressemblant au pathologies du covid et amplification par les médias : recette par une seconde vague très turbulente et virulente où il faudra plus que jamais faire fonctionner son bon sens.

Au rythme actuel avec nos tests RT-PCR, nous allons confiner des dizaines de milliers de gens pour rien », alerte le Dr. Yvon Le Flohic

https://www.industrie-techno.com/article/au-rythme-actuel-avec-nos-tests-rt-pcr-nous-allons-confiner-des-dizaines-de-milliers-de-gens-pour-rien-alerte-le-dr-yvon-le-flohic.61409


Membre du collectif de professionnels de santé auteur de deux tribunes publiées cet été pour pousser à la prise en compte de la contamination par aérosol avec notamment le port du masque en lieux clos, le Docteur Yvon Le Flohic est médecin généraliste et ancien membre de la cellule de veille épidémiologique de la grippe H1N1. Depuis plusieurs mois déjà, il questionne la stratégie de dépistage fondée sur les tests RT-PCR. Il explique aujourd’hui pour Industrie & Technologies en quoi l’usage actuel de ces tests de diagnostic pour évaluer la contagiosité des personnes est inefficace et impose des quatorzaines inutiles. Avec la croissance du nombre de nouveaux cas, il alerte sur le coût socio-économique de la multiplication des confinements individuels. Repenser la doctrine française s’impose.

Industrie & Technologies : Vous vous interrogez sur l’inadéquation du dépistage par RT-PCR du Covid-19 pour identifier les patients contagieux. Pourquoi ?

Dr. Yvon Le Flohic : Le test RT-PCR sur prélèvement naso-pharyngé est le principal, sinon le seul, test dont nous disposons. C’est lui qui façonne notre vision de l’épidémie. Mais comme tout test médical, il a ses caractéristiques et ses limites, notamment en termes de sensibilité et de spécificité, qui doivent déterminer son usage. Il n’est pas question de remettre en question la puissance de la technique de RT-PCR, mais il faut comprendre que l’on utilise les tests RT-PCR comme un test de contagiosité sans prendre en compte leurs limites en la matière. Ce qui fait que les tests RT-PCR pratiqués actuellement en France sont de mauvais tests de contagiosité. Or c’est sur eux que l’on se base pour isoler les personnes infectées – ce qui peut avoir de lourdes conséquences personnelles et sociales –  et pour, conjointement avec les mesures de prévention comme le port du masque, ralentir la propagation de l’épidémie. L’enjeu est donc majeur, d’autant plus que l’augmentation des nouveaux cas continue.

En quoi les tests RT-PCR sont-ils de mauvais tests de contagiosité ?

Tout d’abord, le test RT-PCR n’est pas un test de la présence du virus mais un test de la présence de séquences génétiques du virus. Or les personnes peuvent excréter des séquences virales sans pour autant excréter de virus vivants. C’est une première raison qui fait que l’on peut être positif à la RT-PCR sans pour autant être contagieux. Par exemple 20, 30 voire 45 jours après le début des symptômes. Deuxième raison : la RT-PCR fonctionne par répétition de cycles de multiplication de la quantité des séquences génétiques cibles présentes dans l’échantillon d’origine jusqu’à atteindre une quantité détectable. C’est ce qui fait la puissance de cette technique : en poussant le nombre de cycles, on peut arriver à détecter de très petites quantités de matériel génétique. Mais c’est aussi un écueil pour mesurer la contagiosité. Car il faut qu’une personne excrète une dose minimale de virus pour qu’elle puisse être contagieuse. C’est le cas pour toute maladie virale : il faut être en contact avec une quantité minimale de virus, ce que l’on appelle l’inoculum, pour être infecté. Avec les dizaines de cycles de PCR utilisés dans les labos pour les tests, on peut très bien sortir positif alors qu’on n’excrète qu’une trop faible quantité de virus pour être contagieux ou à tout le moins pour être fortement contagieux.

Il y a aussi une question de « timing » : on teste parfois trop tôt et souvent trop tard…

La cinétique de l’excrétion du virus n’est effectivement pas bien prise en compte. La quantité de virus excrétée par une personne infectée part de zéro, augmente, atteint un pic puis redescend progressivement, avec parfois des oscillations autour du niveau bas. La pertinence d’un test RT-PCR dépend donc du moment auquel il est réalisé. Si c’est trop proche de la date de contamination, la quantité de virus sera trop faible pour être détectée par la PCR. Le test sera négatif alors que, quelques jours plus tard, la personne excrètera plus de virus et sera contagieuse. C’est pour cela que l’on préconise généralement pour les cas contacts un test 7 jours après la contamination potentielle. D’autre part, on estime aujourd’hui que la plupart des contaminations interviennent entre 2 jours avant l’apparition des symptômes et 7 jours après (hors cas sévères). Environ 50% des contagions auraient  lieu avant le début des symptômes. Cette cinétique est à mettre en relation avec la politique actuelle envers les clusters : le temps de constater des symptômes, d’enregistrer au moins 3 cas positifs, de retracer leurs contacts, de les faire tester et d’obtenir les résultats, on va probablement finir par mettre en quatorzaine des personnes au moment où ils ne sont plus ou presque plus contagieux. C’est à la fois peu efficace pour éteindre les clusters et inutilement pénalisant pour la société.

Est-il possible de mieux tester la contagiosité ? Y a-t-il des alternatives à la RT-PCR ?

Il n’y a pas vraiment d’alternative à la détection du virus par son matériel génétique via la RT-PCR. Les tests sérologiques n’ont pas d’utilité en matière de contagiosité et la troisième catégorie de tests, la détection antigénique, n’est pas là. Mais on peut utiliser la RT-PCR différemment et modifier la politique de dépistage (la doctrine d’emploi) pour tenir compte des caractéristiques des tests et de ce que l’on sait de la contagiosité. En termes de stratégie, plutôt que le dépistage massif et aveugle vers lequel on s’est orienté, il serait plus judicieux de réellement intégrer le fait que l’épidémie se propage majoritairement de lieux clos en lieux clos plutôt que de façon inter-individuelle. Cela voudrait dire cibler le dépistage sur les clusters potentiels. En réalisant des tests plus rapidement, plus facilement et de façon répétée dans le temps pour être le plus réactif possible. Voire pour être préventif. C’est possible d’aller dans cette direction. 

Même la RTBF le dit: le test PCR n’est pas adéquat.

Votre test PCR est positif ? Cela ne signifie pas nécessairement que vous êtes porteur du Covid-19, ni contagieux (7/9/2020)

Votre test PCR est positif, vous ne l'êtes peut-être pas
Votre test PCR est positif, vous ne l’êtes peut-être pas – © CHRISTOPHE ARCHAMBAULT – AFP

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Les tests PCR de dépistage du coronavirus, ceux où l’on fait un prélèvement dans la gorge et le nez, seraient-ils trop sensibles. Un peu partout dans le monde comme aux Etats-Unis, des voix s’élèvent parmi des experts de santé publique et des virologues, pour remettre en question cette méthode.

Ces tests PCR sont à l’origine, selon eux, de l’énorme quantité de personnes diagnostiquées, à tort alors que celles-ci ne transporteraient parfois qu’une infime quantité de virus tellement insignifiante que des patients positifs ne seraient au final, pas ou très peu contagieuses.

Tests rapides au lieu de tests PCR

Ces experts ne disent pas qu’il faut renoncer aux tests chez les asymptomatiques comme le suggère le centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC), mais plutôt utiliser à plus large échelle des tests rapides même s’ils sont moins sensibles.

« Ne plus tester les asymptomatiques, ce serait faire marche arrière »: dit à nos confrères du New-York Times, l’épidémiologiste de l’école de santé publique ‘Chan’ de Harvard, Michaël Mina » On devrait augmenter le nombre de dépistages de toutes les différentes personnes, mais avec d’autres méthodes. » Le Président américain a décidé d’acheter près de 150 millions de ces tests rapides.

Tests PCR trop sensibles

Frédéric Cotton, est le responsable du service biochimie clinique au laboratoire universitaire de Bruxelles, un des 5 plus grands labos belges. Pour lui, tout s’explique : « Au départ de l’épidémie, le test PCR, c’était pour le diagnostic, pour mettre à tout prix en évidence, le virus. On avait besoin de la plus grande sensibilité possible. Aujourd’hui, on est davantage dans une démarche préventive pour limiter les contaminations. Et il semblerait qu’en détectant des faibles quantités de virus, on peut considérer comme positif un patient qui a peu de chance de transmettre la charge virale dont il est porteur à son entourage.« 

On amplifie 30 à 35 fois des fragments du virus pour pouvoir le détecter

Comment fonctionne ce test PCR (pour Polymerase Chain Reaction), il y a une amplification à partir de quelques molécules, on en obtient une grande quantité par cycles successifs. « Aujourd’hui, on n’a peut-être pas intérêt à autant amplifier le virus parce que le risque est d’en détecter parfois des traces d’un virus qui n’est plus infectieux, d’un virus entre guillemet mort » : admet le scientifique.

Chez nous, en Belgique, pour un test PCR Sars-Cov2, on fait entre 30 et 35 cycles d’amplification. Cela dépend de l’équipement et de la méthode utilisée par le laboratoire. Tout n’est pas encore standardisé. Et Frédéric Cotton, d’ajouter : « On estime qu’à partir de 30 à 35 cycles où on a amplifié le virus, on considère que la charge virale (la quantité de virus) est non significative et négligeable. »

Au moins, il faut de cycles pour le débusquer, au plus la quantité de virus est grande

« Cela dit, on devrait pouvoir donner au médecin un résultat de dépistage où le nombre de cycles seraient mentionnés, ce qui lui donnerait une meilleure idée de la contagiosité de son patient Covid. Mais pour le moment, dans notre pays, cela n’aurait pas vraiment d’intérêt, car le nombre de cycles dépend de l’équipement et de la méthode du laboratoire, et il est variable. N’empêche en attendant, une standardisation, les labos pourraient commencer à donner une évaluation de la quantité de virus (faible, moyenne ou forte), ce serait un progrès. »

Des cas de patients qui restent plusieurs mois positifs existent. On se souvient tous de cette fillette de la région liégeoise qui avait été testée à plusieurs reprises positive sans que l’on connaisse sa charge virale. Elle avait donc été obligée de prolonger sa quarantaine.

Le futur se déclinera avec les tests salivaires et les techniques géniques

Selon notre expert, à l’avenir, on devrait davantage tenir compte, dans les tests PCR, de la quantité de virus en fonction du nombre de cycle. Mais on pourrait aussi utiliser plus massivement, des tests rapides de salive. La salive est un vecteur de transmission du virus par les postillons.

Détecter le virus dans la salive d’une personne est plus un indicateur de sa contagiosité potentielle. Enfin, dernière alternative, on pourrait déterminer si le virus est bien « vivant » (actif) en recherchant des antigènes (protéines) du virus, indiquant qu’il est bien intact. Des techniques antigéniques existent déjà, plusieurs firmes travaillent sur de nouveaux développements. L’avantage de ces méthodes, c’est la rapidité de résultat.

En résumé, la PCR reste la méthode de dépistage de choix pour diagnostiquer un patient qui a des symptômes mais pour l’épidémiologie, le confinement ou l’isolement des personnes en contact, il faudrait selon Frédéric Cotton, affiner le mode de réponse et l’interprétation des résultats.

https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-vous-avez-un-test-pcr-positif-et-vous-ne-l-etes-peut-etre-pas-ou-vous-n-etes-pas-contagieux?id=10578123

France Soir le dit aussi:

FRANCE SOIR: La grande supercherie des tests pcr

Laboratoire Roche crée un test pour différencier grippe et coronavirus

Ah oui, parce que jusqu’à présent on ne pouvait les différencier ???

Le groupe pharmaceutique suisse Roche a obtenu le feu vert de l’agence américaine des médicaments pour un test de diagnostic permettant de détecter et distinguer le SARS-CoV-2 des virus de la grippe A et B

Appelé cobas SARS-CoV-2 & Influenza A/B, ce test de diagnostic développé par le laboratoire Roche a été approuvé par l’agence américaine des médicaments, la Food and Drug Administration (FDA) dans le cadre d’une procédure d’autorisation d’urgence.

Ce test sera également disponible sur les marchés acceptant le marquage CE, a précisé le groupe suisse.

We are pleased to announce that our test to simultaneously detect and differentiate #SARSCoV2, #influenza A and/or influenza B viruses has received FDA Emergency Use Authorization. The test is also available in markets accepting the CE mark. https://t.co/rkFKuekdGO $ROG $RHHBY pic.twitter.com/MUo9dGDmtb

Prélèvement nasal ou nasopharyngé, résultats en 3 heures

« Avec la saison de la grippe qui approche, ce nouveau test est particulièrement important dans la mesure où le SARS-CoV-2 et les infections grippales peuvent difficilement être différenciés sur la base des seuls symptômes », a déclaré Thomas Schinecker, le directeur général de la division diagnostics de Roche.

« Maintenant, avec un seul test, les professionnels de la santé peuvent en toute confiance fournir le bon diagnostic et traitement le plus efficace pour leur patient », a-t-il ajouté.

Ce test réalisé sur la base d’échantillons par prélèvement nasal ou nasopharyngé est destiné à être utilisé sur ses machines Cobas 6800 et 8800, largement diffusées dans les hôpitaux et capables de traiter des gros volumes. 

Pour ce test, elles peuvent fournir jusqu’à 96 résultats en environ 3 heures, a quantifié Roche. 

Numéro un mondial de l’oncologie, le groupe suisse s’appuie également sur une importante division spécialisée dans les diagnostics médicaux. Il avait aussi annoncé la commercialisation d’un test de détection du Covid-19 en 15 minutes fin septembre

Publié le 4/9/2020 notamment dans le journal régional Sud Ouest

https://www.sudouest.fr/2020/09/04/coronavirus-le-laboratoire-roche-obtient-un-feu-vert-pour-son-test-qui-distingue-grippe-et-covid-19-7806457-10997.php

Tests inadaptés: L’Indépendant (journal régional) l’affirme aussi

Coronavirus – Les tests PCR inadaptés contre l’épidémie? « Jusqu’à 90% de personnes testées ne seraient pas contagieuses »

St.S./lindep.fr 2/9/2020


« Jusqu’à 90% de personnes testées ne seraient quasiment pas porteuses du coronavirus ». L’étude venue d’Harvard a jeté un pavé dans la mare. Les experts appellent à moins tester mais à tester mieux grâce au test rapide.

C’est un gaspillage d’énergie et temps pour contrer le Covid-19 que dénoncent, dans leurs termes, les experts de la Harvard TH Chan School of Public Health, qui ont publié une étude, reprise par le NY Times, et qui fait grand bruit.

Pour eux, la limite du test PCR (prélèvement par voie nasale ou salivaire) réside dans la brutalité et la simplicité du résultat qu’il donne. La personne est soit positive, soit négative. Pas plus de renseignement, notamment sur la contagiosité du malade.

Or, les scientifiques d’Harvard soulèvent le problème de la quantité de virus que ce test PCR ne donne pas et qui pourrait, selon eux, permettre de donner des clés supplémentaires pour contrer l’épidémie. 

« Les tests standards diagnostiquent un grand nombre de personnes qui peuvent être porteuses de quantités relativement insignifiantes du virus », explique ainsi le Dr. Michael Mina, épidémiologiste à la Harvard TH Chan School of Public Health.

Selon l’étude, les tests PCR sont trop sensibles à la présence du virus et d’après les données récoltées après des tests réalisés « dans le Massachusetts, à New York et au Nevada, jusqu’à 90% des personnes testées positives ne portaient pratiquement pas le virus ». Elles n’étaient donc potentiellement pas contagieuses. « Ce serait une information utile pour savoir si quelqu’un est positif, s’il a une charge virale élevée ou une charge virale faible », ajoute le Dr. Mina. 

« Testez plusieurs fois »

Pour les rédacteurs de cette étude, les tests PCR ont été utiles durant l’épidémie mais face à l’explosion des tests positifs, le test rapide serait plus efficace. Il permettrait de repérer les super-contaminants mais aussi, à chaque cas contagieux, d’isoler les bonnes personnes et de rechercher plus efficacement les cas contacts.

L’administration américaine – qui a pris la décision de ne plus tester les personnes asymptomatiques cette semaine – indique toutefois que les tests PCR permettent aussi de repérer plus vite les nouveaux patients infectés même s’ils ont une faible quantité virale. « Testez-les à nouveau, six heures plus tard ou 15 heures plus tard ou peu importe », propose le Dr. Mina. « Un test rapide permettrait de trouver ces patients rapidement, même s’il était moins sensible, car leur charge virale augmenterait rapidement. »

Hasard ou pas, l’administration américaine a annoncé avoir commandé 150 millions de tests rapides la semaine dernière.

https://www.lindependant.fr/2020/09/01/coronavirus-pour-ces-experts-les-tests-pcr-naident-pas-a-contrer-lepidemie-9044513.php