Le vakx1 et son système de suivi.

Au 7 décembre 2020, 0,019% de la population mondiale est décédée du covid et 0,855% a été infectée (https://www.worldometer.info/coronavirus/)

Le certificat de vakxination ne pourra pas être falsifié car il contiendra un identifiant correspondant au numéro unique du polymère (https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/B9780323399814000105, https://www.fda.gov/media/144245/download) qui seront contenus dans le vakx1 à ARNm.
Un QR code d’identification unique sera généré et incrémenté puis basé sur une blockchain pour qu’il soit validé et inclus dans cette chaîne de blocs (http://www.francesoir.fr/societe-science-tech/loms-develop -a -certificat-of-covid-19-vaccination-based-on-it, https://emmer.house.gov/_cache/files/2/7/276d8dcd-ea28-4236-a2af-24e3748d1c7c /B3AB1A3EE89378C6DDB47DB00F798760.final-caucus -lettre1.pdf).
Ce passeport d’immunité numérique vous permettra d’avoir l’autorisation de voyager à l’international et dans d’autres pays il vous faudra être vakxiné et avoir un passeport d’immunité numérique pour pouvoir aller au cinéma ou participer à des événements sportifs ou culturels (https: //www.standard.co.uk/news/uk/covid-vaccine-banned-sports-cinemas-b117985.html).

Le vakx1 et son certificat et son système de suivi

L’Organisation mondiale de la santé et son programme COVAX

L’OMS déploie ses opérations de vaccination (ou d’identification d’individus à l’échelle mondiale) à travers son programme Covax (https://www.who.int/initiatives/act-accelerator/covax, https: // www. Gavi.org/vaccineswork/ expliquée par covax).
Le traitement des données de Covax, le programme de vakxination de l’OMS, est réalisé par CovaxData (https://covaxdata.com/solution/, https://www.linkedin.com/company/covax-data/).
CovaxData est un groupe privé américain fondé par Halbert Lindquist (ex Bear Stearns, responsable de la crise de 2008, Head of Global Risk Management https://covaxdata.com/company/) spécialisé dans les molécules polymères, les données et la blockchain, et travaille avec l’OMS depuis décembre 2019.

Principaux partenaires de l’OMS, Covax et CovaxData

CovaxData travaille avec Allied International (https://covaxdata.com/other-news/new-partnership-announcement-covax-data-and-allied-international-collaborate-to-deliver-advanced-cybersecurity-solutions-to-customers-globally/,
https://www.allied-international.net/, https://www.linkedin.com/posts/covax-data_new-partnership-announcement-covax-data-activity-6729447378627178496-ZdYO/).
Son président est Mohamed Reda (https://www.linkedin.com/in/mohamed-reda-78aa7866/), Mohamed Reda est également membre du conseil d’administration de Covax et PDG de Nehemiah Security (https: //www.linkedin . com / société / nehemiah-security /, https://threatconnect.com/nehemiah-security-and-threatconnect/).
Nehemiah Security «fournit un logiciel de cybersécurité qui réduit la complexité pour tout le monde, facilite la prise de décision en transformant l’intelligence en action et intègre des processus et des technologies pour renforcer continuellement les défenses et réduire les risques. «[Traduit de l’anglais].

Outre l’OMS, Covax, Allied International et Nehemiah Security, Mohamed Reda est également conseiller principal pour les technologies de l’information et des communications de TransnationalStrategy (https://transnationalstrategy.com/team/mohamed-reda/).
«Transnational Strategy Group LLC (TSG) est un cabinet de conseil commercial, économique / politique et politique qui fournit des services aux clients du secteur privé et des gouvernements souverains» (https://transnationalstrategy.com/).
Comme Allied International, TransnationalStrategy se compose d’une équipe internationale (https://transnationalstrategy.com/team/). TransnationalStrategy est un groupe dont les membres sont mandatés par la Commission européenne, les Nations Unies, le Fonds monétaire international, l’Organisation mondiale de la santé.

Quel rôle l’Institut Pasteur a-t-il joué dans le contrôle de l’épidémie en France ?

Une analyse très documentée de France Soir sur le rôle de l’Institut Pasteur depuis le début de cette crise.
A mettre en relation avec les analyses du Professeur Fourtillan qui a déposé plainte contre l’institut Pasteur, suite à laquelle il a été interné de force dans un hôpital psychiatrique (affaire à suivre).

Début de l’article:

Lorsque les chercheurs de l’Institut Pasteur ont été questionnés sur la possibilité que le SARS-Cov2 soit un virus manipulé, ils ont répondu que si c’était le cas des vestiges de manipulations devraient se retrouver dans le génome. Ils entendaient par-là que, dans le cas d’un accident non intentionnel de laboratoire, la présence de sites de clivage d’enzymes de restriction devrait révéler la manipulation. Cependant, comme nous l’avons montré dans la première partie de ce chapitre qu’il est tout à fait possible depuis le début des années 2000 de manipuler des coronavirus entiers sans laisser de trace. Ils sont restés très discrets également sur la nouvelle technique de manipulation génétique CRISPR-Cas9. Elle permet ce que l’on appelle à présent l’édition de génome, tant la comparaison avec les logiciels qui permettent la modification rapide et simple d’un texte est tentante. Ils ne pouvaient pas l’ignorer. D’ailleurs, notons qu’ Emmanuelle Charpentier est un peu l’enfant prodige de l’Institut Pasteur puisqu’elle y a poursuivi des recherches doctorales entre 1992 et 1995.

Tout un chacun a pu constater le silence assourdissant de l’Institut Pasteur depuis le début de l’épidémie et les quelques réponses éparses obtenues sur la nature et l’origine du virus n’ont été que trop évasives et passablement trompeuses. Par exemple, l’affirmation que le virus SARSCov2 était très distinct du SARS-Cov est de toute évidence une contre-vérité sur le plan de la structure de son génome, de son organisation spatiale et de son mode de fonctionnement.

Il n’est pas concevable, qu’étant donné son rôle dans la détection et la prévention des épidémies, l’Institut Pasteur n’ait pas été au courant très tôt, dès les mois de décembre et janvier, du danger de cette épidémie. Pourquoi les gens de Pasteur n’ont-ils pas alerté les autorités françaises ou tenu une conférence de presse publique dès le courant janvier ?

Selon son site internet, l’Institut Pasteur abrite la « Cellule d’Intervention Biologique d’Urgence (CIBU), été créée fin 2002 sous l’impulsion du Directeur Général de la Santé (DGS) et du Directeur Général de l’Institut Pasteur, afin de répondre aux « urgences biologiques spécialisées ». Ces urgences peuvent être des épidémies, des accidents ou une utilisation potentielle d’armes d’origine biologique, toutes mettant en péril la santé publique. » Les missions de la CIBU incluent :

– mobiliser à l’international de l’expertise en cas d’urgence représentant une menace pour la sécurité sanitaire en France ;
– informer sans délai l’InVS en cas de détection de tout phénomène inhabituel susceptible d’avoir un impact sur la santé publique.

Que faisait son directeur, Jean-Claude Manuguerra, au cours du mois de janvier 2020, quand il a été mis au courant de la situation à Wuhan ? On l’a malheureusement vu déclaré le 21 janvier 2020 sur Euronews à propos de l’épidémie en Chine : «… c’est quelque chose de nouveau mais qui pour l’instant n’est pas plus préoccupante que ça. Il faut juste ne pas louper le coche pour endiguer ce phénomène épidémique …». S’il y avait une personne en France qui connaissait le danger de laisser pénétrer en France le SARS-Cov2 c’était bien lui.  La séquence du premier isolat WH-Human 1 du coronavirus (appelée aussi 2019-nCoV) et son génome complet  (29,903 nt) avait été déposé le 14 janvier 2020 dans GenBank, sous code d’accession MN908947 avec la définition « Génome complet de l’isolat du virus WH-Human 1 de pneumonie du marché aux fruits de mer de Wuhan ». Donc, la séquence du  virus avait forcément été analysée par les équipes de l’Institut Pasteur. Elles savaient à quel point le motif de liaison (RBM) de la protéine S était proche de celui du SARS-Cov de 2002-2003 ainsi que sa polymérase RdRp (96,5% d’identité) signant la dangerosité du virus. De plus, les autorités chinoises annonçaient le caractère contagieux du virus le 20 janvier, avec 1 mois de retard, alors que les autorités de Wuhan connaissaient le caractère contagieux depuis la mi-décembre (chapitre 1). Le 24 janvier il était publié dans le Lancet que le virus était transmissible de personne à personne. Le directeur de la CIBU savait donc le 21 janvier, lors de son interview sur Euronews, que ce nouveau virus était de type SARS-Cov avec tout ce que cela implique. Qu’a-t-il fait pour informer et alerter les pouvoirs publiques avec conviction durant la dernière semaine de janvier et tout le mois de février ?

Dans la section qui suit nous découvrons, qu’en compagnie de 15 autres chercheurs à l’Institut Pasteur, il est co-inventeur d’un brevet sur les vakx1s contre les virus du type SARS-Cov. Ce brevet prouve que Pasteur s’était préparé depuis 2003 à l’éventualité de la ré-émergence d’un virus similaire au SARS-Cov. Ils ont procédé à des milliers d’expériences pour comprendre comment faire des tests de dépistage et des vakx1s contre ce type de virus émergeant. Ils ont breveté le résultat de toutes ces expériences pour être en mesure, le cas échéant, de tirer les bénéfices financiers potentiels d’une épidémie de SARS-Cov qui ne serait pas maîtrisée à temps, nécessitant dépistage et vaccination massive. Cela, les dispensait-il de leur rôle d’alerte des pouvoirs publiques ?

Les brevets de portée mondiale de l’Institut Pasteur

L’Institut Pasteur détient depuis 2005 des brevets de portée mondiale (EP 1 694 829 B1 et US 2007/0128224 A1) sur les coronavirus à SARS. Ces brevets qui courent au moins jusqu’en 2027 ont pour but d’explorer et de décrire le maximum de caractéristiques de façon à établir des vakx1s ou des tests de dépistage sur des coronavirus de type SARS-Cov. Ces brevets se basent sur le séquençage d’un isolat complet du virus du SARS-Cov récupéré à la Clinique Française de Hanoï en février 2003. Cela était parfaitement légitime pour étudier la confection de vaccin contre l’éventualité d’une épidémie de coronavirus à SARS du type de celle de 2002-2003 dans les années à venir. Cependant, soyons clairs, le seul but d’un brevet est l’argent qui est le facteur numéro 1 de survie pour les instituts de recherche. Mais cela amène une grande confusion, et permet d’introduire le biais du conflit d’intérêt dans un domaine particulier de la santé publique (les épidémies) qui devrait en être intégralement exempt

Lire la suite de l’article complet sur France Soir

La campagne vakxinnale expérimentale à venir constitue un viol du Code de Nuremberg et une atteinte à l’intégrité d’autrui

Voici le communiqué de Christian Cotten du 2 décembre 2020.

Médecins — Pharmaciens — Infirmiers — Fonctionnaires de la santé !

Premier avertissement avant poursuites pour viol du Code de Nuremberg et atteinte à l’intégrité d’autrui

Une campagne de vaccination est organisée par la Haute Autorité de Santé de l’État français. Vous serez ainsi sollicités dans les prochaines semaines pour la mettre en œuvre, tout particulièrement dans les EHPAD. Les vakx1 qui seront utilisés sont des vakx1 à ARN messager. Ce type de formulation n’a jamais été utilisée auparavant et les études préliminaires ne sont pas publiées. Il n’existe à ce jour aucune information disponible ni pour les scientifiques ni pour la population, relativement à la composition précise et exacte de ces produits médicaux, pas plus qu’aux probables effets secondaires à court et long termes, bénins ou handicapants voire létaux.

Cette campagne vaccinale est ainsi constitutive de façon irréfragable d’une expérimentation médicale, puisque son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les conséquences pour les populations qui seraient sujets de cette expérimentation et qu’il est largement documenté scientifiquement que nombre de vakx1 produisent de multiples effets secondaires et des accidents vaccinaux handicapants ou mortels.

Les expérimentations médicales sont encadrées en droit pénal international par le Code de Nuremberg, d’interprétation la plus stricte : un certain nombre de médecins ont ainsi été condamnés à mort en 1947 pour violation des principes de ce Code, reconnu internationalement depuis cette époque.

Lire la suite sur le site de fr.sott.net

Petit rappel à toute fin utile:

« Code de Nuremberg »

Adaptation du CCNE (1984) et du Conseil d’État (1988)

Cette version du « code, de Nuremberg » est utilisée par le Comité consultatif national d’éthique à l’appui et en annexe de son avis n° 2 du 9 oct. 1984 sur les essais de nouveaux traitements chez l’homme 11. Il s’agit d’une adaptation citée sans source ; on n’a pas retrouvé, malgré nos recherches, la référence originale ; mais tout indique qu’elle provient d’une autorité déontologique médicale. Significativement, le « malade » est substitué au « sujet expérimental ».

La même version est reprise sans source par le rapport du Conseil d’État qui préfigura le contenu de la loi du 20 décembre

1988 (loi « Huriet ») et celui des lois de bioéthique de 199412.

1. Il est absolument essentiel d’obtenir le consentement volontaire du malade.  

2. L’essai entrepris doit être susceptible de fournir des résultats importants pour le bien de la société, qu’aucune autre méthode ne pourrait donner.

3. L’essai doit être entrepris à la lumière d’expérimentation animale et des connaissances les plus récentes de la maladie étudiée.

4. L’essai devra être conçu pour éviter toute contrainte physique ou morale.

5. Aucun essai ne devra être entrepris, s’il comporte un risque de mort ou d’infirmité sauf, peut-être, si les médecins, eux-mêmes, participent à l’essai.

6. Le niveau de risque pris ne devra jamais excéder celui qui correspond à l’importance humanitaire du problème posé.

7. Tout devra être mis en œuvre pour éviter tout effet secondaire à long terme après la fin de l’essai.

8. L’essai devra être dirigé par des personnalités compétentes. Le plus haut niveau de soins et de compétence sera exigé  pour toutes les phases de l’essai.

9. Pendant toute la durée de l’essai, le malade volontaire aura la liberté de décider d’arrêter l’essai si celui-ci procure une gêne mentale ou  physique et si, de quelque autre façon,  la continuation de l’essai lui paraît impossible.

10. L’expérimentateur doit se préparer à arrêter l’essai à tout moment, s’il a des raisons de croire, en toute bonne foi, et après avoir pris les avis plus compétents, que la continuation de l’essai risque d’entraîner la mort ou une infirmité aux malades./

Source : https://www.inserm.fr/sites/default/files/2017-11/Inserm_CodeNuremberg_TradAmiel.pdf

Une députée européenne dénonce la corruption générale de la santé

Dans un entretien avec Bourdin, Michèle Rivasi, député européenne dénonce les comportements des laboratoires pharmaceutiques et le laxisme moral des autorités publiques.

En complément, voir le site de Michèle Rivasi où elle titre son article : la Commission européenne doit annuler le marché passé avec le laboratoire Gilead !

Vakx1 obligatoires ou indispensable pour vivre en société ?

Une séquence de LCI montrant les projets de l’IATA regroupant les compagnies aériennes et les liens et conséquences d’un carnet de « santé »

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/Vaccins-vont-ils-devenir-obligatoires-ou-indispensables-pour-la-vie-sociale—LCI:8

Lettre ouverte du Dr Perronne à l’occasion des annonces de vakx1


Par Christian Perronne
30 Novembre 2020

Lettre du Docteur Christian Perronne

Chers amis,

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.
Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vakx1, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste >>, termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique.

Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’Etat.

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première.

Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le re-confinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2.

L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.
Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée.

Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement.

Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.

Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxy-chloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement.

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter.

Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vakx1s n’a été publié à ce jour.

Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse. Le pire est que les premiers « vakx1s ’’ qu’on nous propose ne sont pas des vakx1s, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules.

On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ?

Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes >> intégrés dans l’ADN de nos chromosomes.

Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes.

Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.

Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vakx1s » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.

Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.

C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble. Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vakx1s et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.
La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

Christian PERRONNE
30 Novembre 2020

Christian Perronne : à propos des vakx1s…

Chers amis,

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique. Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie.

Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État.

La suite sur bonsens.org

Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’arrêt de toutes les études sur la vaccination contre la corona et appellent à cosigner la pétition

Le Dr Michael Yeadon, ancien chef du département de recherche sur les maladies respiratoires chez Pfizer, et le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue et ancien chef du département de santé publique, ont déposé le 1er décembre 2020 auprès de l’EMA, l’Agence européenne des médicaments responsable de l’approbation des médicaments à l’échelle de l’UE, une demande de suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin CoV-2 contre le SRAS, en particulier l’étude BioNtech/Pfizer sur le BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42).

Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent que, pour la protection de la vie et de la santé des volontaires, les études ne soient pas poursuivies tant que l’on ne disposera pas d’un plan d’étude adapté pour répondre aux préoccupations importantes en matière de sécurité exprimées par un nombre croissant de scientifiques de renom à l’encontre du vaccin et du plan d’étude.

D’une part, les pétitionnaires demandent qu’en raison du manque connu de précision du test PCR, une étude sérieuse doit utiliser un séquençage dit de Sanger. C’est la seule façon de faire des déclarations fiables sur l’efficacité d’un vaccin contre le Covid-19. Sur la base des nombreux tests PCR de qualité très différente, ni le risque de maladie ni un éventuel bénéfice du vaccin ne peuvent être déterminés avec la certitude nécessaire, c’est pourquoi tester le vaccin sur l’homme est en soi contraire à l’éthique.

En outre, ils exigent qu’il soit exclu, par exemple par le biais de l’expérimentation animale, que des risques déjà connus par des études antérieures, qui découlent en partie de la nature des virus corona, puissent être réalisés. Les préoccupations portent notamment sur les points suivants:

La formation d’anticorps dits “non neutralisants” peut entraîner une réaction immunitaire exagérée, surtout lorsque la personne testée est confrontée au vrai virus “sauvage” après la vaccination. Cette amplification dite dépendante des anticorps, l’ADE, est connue depuis longtemps grâce à des expériences sur les vaccins corona chez les chats, par exemple. Au cours de ces études, tous les chats qui avaient initialement bien toléré la vaccination sont morts après avoir attrapé le virus sauvage.

Les vaccinations devraient produire des anticorps contre les protéines de pointe du SRAS-CoV-2. Cependant, les protéines de pointe contiennent également des protéines homologues de la syncytine, qui sont essentielles à la formation du placenta chez les mammifères tels que l’homme. Il doit être absolument exclu qu’un vaccin contre le SRAS-CoV-2 déclenche une réaction immunitaire contre la syncytine 1, car sinon une stérilité de durée indéterminée pourrait entraîner la vaccination des femmes.

Les vaccins à ARNm de BioNTech/Pfizer contiennent du polyéthylène glycol (PEG). 70% des personnes développent des anticorps contre cette substance – cela signifie que de nombreuses personnes peuvent développer des réactions allergiques, potentiellement mortelles, à la vaccination.

La durée beaucoup trop courte de l’étude ne permet pas une estimation réaliste des effets tardifs. Comme pour les cas de narcolepsie après la vaccination contre la grippe porcine, des millions de personnes en bonne santé seraient exposées à un risque inacceptable si une autorisation d’urgence était accordée et la possibilité d’observer les effets tardifs seulement à ce moment-là.Néanmoins, BioNTech/Pfizer a apparemment soumis une demande d’autorisation d’urgence le 1er décembre 2020.

APPEL À L’AIDE : le Dr Wodarg et le Dr Yeadon demandent au plus grand nombre possible de citoyens de l’UE de cosigner leur pétition en envoyant le courriel préparé ici à l’EMA.

Nachtrag: Wegen teilweiser Überlastung der Server hier der Inhalt der E-Mail und die Kontaktadressen zum späteren Selbst-Versenden: 

An: press@ema.europa.eu; petitionEMA@corona-ausschuss.com

Betreff: Co-signing the petition of Dr. Wodarg, Germany, and Dr. Yeadon, UK (submitted on 1-Dec-2020)

Dear Sir or Madam, I am hereby co-signing the petition of Dr. Wodarg and Dr. Yeadon to support their urgent request to stay the Phase III clinical trial(s) of BNT162b (EudraCT Number 2020-002641-42) and other clinical trials. The full text of the petition of Dr. Wodarg and Dr. Yeadon can be found here: https://2020news.de/wp-content/uploads/2020/12/Wodarg_Yeadon_EMA_Petition_Pfizer_Trial_FINAL_01DEC2020_EN_unsigned_with_Exhibits.pdf I hereby respectfully request that EMA act on the petition of Dr. Wodarg and Dr. Yeadon immediately. Regards 

Pour lire l’article sur le site 2020News.de…

Un VAKX1 pour 8 milliards d’humains !

Oui ! un défi immense pour v.a.k- xiner 8 milliards d’être humains. En gros on ne vous demande pas votre avis vous êtes IN THE BOX. Mais on est bien d’accord que nous ne sommes pas in The box. La question, c’est pourquoi, ça va fonctionner cette fois-ci ? Pourquoi la campagne de v.a.k- xina-tion mondiale va voir le jour ? Dans cette étude que Mika Denissot vous présente, vous verrez les différentes propositions, les sanctions, les actions autour du plus grand business rentable pour 2021. Attention ca va piquer !

Confirmation de la présence de nanoparticules d’aluminium dans les vakx1.

Déclaration d’un médecin pédiatre américain devant une commission parlementaire de la santé.
Les vaccins contiennent des nanoparticules d’aluminium et les effets de ceux-ci sur le cerveau ne sont pas du tout étudiés mais pourraient expliquer les maladies type alzheimer, maladies chroniques inflammatoires, …
Par ailleurs, les fragments de virus introduits via les vaccins peuvent être semblables à des ceux de cellules humaines ce qui pourrait expliquer les déclenchement de maladies auto-immunes.
Attention aux apprentis-sorciers !

Louis Fouché: covid, vakx1 et conséquences

A ne pas manquer !
Comme toujours interventions très brillantes et très nourrissantes (séparée en 6 vidéos) du Dr Louis Fouché sur les libertés, l’information et les communications sur la pandémie, le virus, les vaccins, … Toujours très documenté et pertinent.
Je conseille particulièrement le n° 4.

Le Dr Pascal Sacré livre son analyse en toute liberté.

Le Dr Pascal Sacré, licencié pour s’être exprimé sur la non fiabilité des tests PCR notamment, livre toutes ses opinions lors d’une interview pour Kairos Presse. Il s’y exprime sur la gestion générale de la médecine, les tests, la fausse épidémie du Covid, les vaks1, la corruption de la médecine et des gouvernants, ….

Suite à cet interview, le Docteur Sacré a lancé un appel à la désobéissance civile dans la vidéo Facebook suivante:

https://fb.watch/23Qab48cZL/

Philippe Guillemant: le but de la vaksination n’est pas d’ordre sanitaire.

Article de Philippe Guillemant sur le site http://tout1savoir.eklablog.com/

Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des informaticiens en virologues. 🙂

Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide.

Il y a deux cas à considérer :

– Port d’identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main…
– Port d’identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique…

Dans le second cas il sera impossible, sauf opération chirurgicale, de se débarrasser de son identité.

Dans un premier temps seul le premier cas est à considérer sérieusement. Ce n’est que lorsque l’usage d’une identité numérique sera normalisé par l’habitude (de vivre autrement) que le second cas s’imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l’usage.

Aujourd’hui ce port d’identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n’en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l’application StopCovid. Tout le monde a le droit d’entrer dans n’importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d’avoir un portable. D’autre part le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa précision étant comprise entre 1 et 10 mètres. On peut considérer que pour l’instant, avoir un portable est inoffensif.

Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G. En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.

Le port non lié au corps d’identité numérique, dans un environnement peuplé d’objets connectés (maisons, voitures, routes, villes…) permettrait les recueils de données suivants par une I.A. :

– Vérification d’autorisation d’accès pour les vaccinés
– Contrôle de vitesse et stationnement (voiture connectée)
– Identification de toutes sortes d’infractions à la conduite
– Identification des personnes avec qui l’on déjeune
– Mémorisation de tous les déplacements
– Calcul de temps de travail ou temps de présence…
– Détection de déplacement inhabituel…
– Etc.

Il convient de préciser qu’aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage. Toutefois, il serait extrêmement difficile de détecter qu’un tel usage n’est pas effectué. Seule son exploitation pourrait être rendue visible, mais cela laisse une grande place à une exploitation inavouée, par exemple par une société d’assurance où le calcul des droits est déjà réalisé de façon informatique.

Considérons maintenant le deuxième cas, et allongeons la liste précédente :

– Maison intelligente (interactions, commandes, dialogues…)
– Analyse d’activités privées (dormir, lire, faire l’amour…)
– Surveillance de l’activité des enfants
– Analyse des interactions familiales
– Analyse de situation (repos, activité, chute…)
– Analyse de comportement (geste brusque, activité sportive…)
– Détection et mémorisation des habitudes.
– Etc.

J’en oublie certainement, sachant qu’il est difficile d’imaginer d’avance tout ce que la quatrième révolution industrielle pourrait nous inventer. Je ne parle ici que d’un transhumanisme très doux, presque acceptable, sans faire référence à quoi que ce soit d’intrusif comme une puce dans le cerveau, des nanorobots dans nos veines ou une vision artificielle et connectée. Mais il va de soi que l’acceptation de ces technologies intrusives est conditionnée à l’acceptation de l’usage d’identité numérique.

La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Il est en effet peu probable que l’on oblige chaque citoyen à porter une identité numérique lors de ses déplacements si 50% de la population n’est pas vaccinée, car on ne va pas limiter à ce point la liberté de circulation. Par contre, si seulement 5% de la population n’est pas vaccinée, il est fort probable qu’on entrera dans ce nouveau monde.

La réalité sera évidemment bien plus complexe que cette simplification binaire, qui n’a d’autre but que d’éveiller aux véritables enjeux.

Donc, je le répète, nous ne sommes pas confrontés à un problème sanitaire avec le virus. Ce problème-là est pinuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.

C’est cela qui explique la dictature sanitaire qui de façon rationnelle n’a aucune autre raison d’être.

Très belle lettre ouverte au ministre belge de la santé.

Ce courrier a été envoyé ce 17 novembre par Annes Bouria au ministre de la Santé et également transmis à Éliane Tillieux, présidente de la Chambre des représentants.

« Monsieur le Ministre fédéral en charge de la santé publique,

Dans le cadre d’une interpellation purement citoyenne, permettez-moi de vous solliciter en vue d’obtenir des réponses aux questions relatives aux articles en annexe à la présente et concernant la mise en perspective des chiffres sur la covid en Belgique.

  1. Qu’ont concrètement mis en place les autorités fédérales en ce qui concerne les moyens hospitaliers pour faire face à la situation de “2eme vague” qu’elles redoutaient tant depuis plus de 6 mois ?
  2. Pourquoi n’existe-t-il absolument aucune politique de prise en charge des patients atteints de la covid en ambulatoire (hors hospitalisation) ? Cette politique de non prise en charge ne serait-elle pas, entre autres, à l’origine de la sur-fréquentation hospitalière covid, et à fortiori de la surmortalité covid ?
  3. Au vu de la fiabilité discutable en terme diagnostic des tests PCR de détection du SARS-Cov2, des patients admis et répertoriés « covid », sont-ils tous malades à cause d’une infection au SARS-COV2, ou certains sont-ils victimes d’autres infections respiratoires tout en étant porteurs du SARS-COV2 sans que ce dernier soit la cause majeure de leur état clinique ? Idem pour les décès classés “covid”, peut- on affirmer avec certitude que les décès “covid” ont bien tous pour origine majeure une infection au Sars-Cov2 ?
  4. S’il est communément admis qu’il s’écoule généralement un délai de 10 à 15 jours entre des mesures sanitaires prises pour limiter la propagation du Sars-Cov2 et ses effets escomptés, comment prouver l’efficacité de ce nouveau confinement sur l’évolution de l’épidémie sachant que, comme il est démontré dans l’article, le pic de cet épisode épidémique fut atteint aux alentours du 25 octobre ? Quelles sont les preuves scientifiques en terme d’efficacité des mesures de confinement sur la mortalité générale ? Pourquoi n’avoir jamais évalué sérieusement la balance risque/bénéfice de la stratégie de confinement, tant en matière médicale que socio-économique ?
  5. S’il semble très probable que le SARS-Cov2 prenne une tendance à la saisonnalité et qu’une variante particulière du SARS-Cov2 (le variant4) soit à l’origine de ce pic épidémique d’automne, pourquoi maintenir une dialectique de culpabilisation du citoyen rendant ce dernier principalement responsable, par ses comportements, de la situation, alors que cet épisode automnal traduit une évolution classique, identifiable et quantifiable de la dynamique d’une épidémie virale ? Pourquoi maintenir la même politique sanitaire pour une infection virale qui a vu son taux de létalité apparent divisé par 5 au cours des 6 derniers mois dans notre pays (15,7 % au 31 Mai 2020 contre 2,8 % à ce jour) ?
  6. Dans le cadre des éventuelles futures campagnes de vaccination que votre législature semble pressée d’engager, pouvez-vous garantir à chaque citoyen le droit au consentement éclairé ainsi qu’au refus de se voir administrer ce vaccin à la technologie inédite, et ce, en vertu de la loi sur les droits des patients du 22 aout 2002, du respect de l’article 23 de la constitution et du code de Nuremberg ?
  7. Enfin, quelle est la légitimité constitutionnelle des mesures sanitaires prises récemment ? Les membres de votre gouvernement sont-ils conscients des conséquences lourdes sur le plan des libertés fondamentales ainsi que sur la pérennité d’un état de droit démocratique ?

Dans l’attente de vous lire, je vous remercie d’avance pour l’attention que vous porterez à cette requête et vous prie d’accepter, Monsieur le Ministre, l’expression de ma haute considération.

Annes Bouria – Pharmacien
Membre du Collectif interprofessionnel Transparence-Coronavirus pour l’objectivité de l’information et la liberté thérapeutique. »

Source: journal KAIROS, journal belge antiproductiviste et pour une société décente

La stratégie du coronavirus pour générer INTENTIONNELLEMENT l’anxiété

Sur base d’un document interne du gouvernement allemand, analyse de la réelle cause de cette crise pour générer l’anxiété et relancer les vaccins.


Voir sur ce thème, le film (1h20) tiré du livre de Naomi Klein: La stratégie du Choc.