Vous rappelez vous du monde d’hier ? De l’ancien monde. Un monde où les enfants jouaient dans la rue. Un monde où nous étions libres de nous rencontrer de s’aimer, de faire la fête. Un monde où nous pouvions nous exprimer en toute liberté. Un monde où nous étions libres de faire des choix.Choisir comment nous voulions vivre. Comment nous voulions mourir. De la manière dont nous voulions nous soigner. Eh bien depuis le Covid , ce monde n’existe plus et ne reviendra plus. Ne croyez pas que ce soit les gouvernements qui ont pris le peuple en otage non. Eux aussi le sont … pris en otage. Et de plus en plus avec cette crise financière 2020 nous entrons dans une nouvelle ère. Sous la base d’un virus inoffensif pour la plus grande majorité de la population mondiale, les entreprises privées et les multinationales prennent petit à petit le contrôle de notre monde, de notre économie, prennent le contrôle des états, et même du président Macron des décisions politiques, de nos impôts de nos comportements et de plus en plus : le contrôle sur nos vies. Dans cette vidéo nous allons regarder l’autre côté de cette pandémie. Les vrais enjeux derrière cette mascarade planétaire. Le plan admirablement orchestrer qui est mis en place pour construire un nouveau système.
Jour : 6 octobre 2020
Réquisitoire d’un avocat allemand pour crimes contre l’humanité
Réquisitoire brillant et très détaillé contre la fausse pandémie et la gestion de cette pseudo crise. Il y évoque notamment une pandémie de tests PCR de la peur plutôt qu’une pandémie de maladie mortelle.
Transcription et traduction par filsdepangolin.com collée ci-dessous.
Bonjour, je m’appelle Reiner Fuellmich et je suis admis au barreau en Allemagne et en Californie depuis 26 ans. J’ai pratiqué le droit principalement en tant qu’avocat plaidant contre des sociétés frauduleuses telles que la Deutsche Bank, autrefois l’une des plus grandes banques du monde et des plus respectées, aujourd’hui l’une des organisations criminelles les plus toxiques au monde. VW, l’un des constructeurs automobiles les plus importants et les plus respectés au monde, aujourd’hui connu pour sa fraude géante sur le diesel et Kuehne and Nagel, la plus grande compagnie maritime du monde, que nous poursuivons dans une affaire de corruption de plusieurs millions de dollars. Je suis également l’un des quatre membres de la commission d’enquête allemande sur le Corona. Depuis le 10 juillet 2020, ce comité écoute un grand nombre de témoignages de scientifiques et d’experts internationaux pour trouver des réponses aux questions sur la crise du Corona, que de plus en plus de personnes dans le monde entier se posent. Tous les cas de corruption et de fraude commis par les entreprises allemandes mentionnés ci-dessus sont dérisoires en comparaison de l’ampleur des dommages que la crise du Corona a causés et continue de causer. Cette crise du Corona, selon ce que nous savons aujourd’hui, doit être rebaptisée « scandale du Corona ». Et les responsables de cette crise doivent être poursuivis pénalement et pour dommage civil. Sur le plan politique, tout doit être fait pour que plus jamais personne ne soit en position de pouvoir tromper l’humanité ou tenter de nous manipuler avec ses programmes corrompus. C’est pourquoi je vais maintenant vous expliquer comment et où un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : le scandale de la fraude Corona, qui s’est entre-temps transformée en probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis.
Les crimes contre l’humanité ont été définis pour la première fois dans le cadre des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire lorsqu’ils ont concerné les principaux criminels de guerre du troisième Reich. Aujourd’hui, les crimes contre l’humanité sont régis par l’article 7 du code pénal international. Les trois grandes questions auxquelles il faut répondre dans le cadre d’une approche judiciaire du scandale du Corona sont les suivantes:
1- Y a-t-il une pandémie de Corona ou seulement une pandémie de test PCR ? Plus précisément, un résultat positif au test PCR signifie-t-il que la personne testée est infectée par le Covid-19 ou cela ne signifie-t-il absolument rien en rapport avec l’infection par le Covid-19 ?
2- Les mesures dites anticorona telles que le confinement, les masques faciaux obligatoires, la distanciation sociale et les règlements de quarantaine servent-ils à protéger la population mondiale contre le Corona ? Ou ces mesures ne servent-elles qu’à faire paniquer les gens pour qu’ils croient, sans se poser de questions, que leur vie est en danger afin, qu’en fin de compte, les industries pharmaceutiques et technologiques puissent générer d’énormes profits grâce à la vente des tests PCR, tests antigènes et anticorps et vaccins, ainsi qu’à la récolte de nos empreintes digitales génétiques ?
3- Est-il vrai que le gouvernement allemand a fait l’objet d’un lobbying massif ? Plus que tout autre pays, les principaux protagonistes de cette soi-disant pandémie de Corona, M. Drosten, virologiste à l’hôpital de la Charité à Berlin, M. Wheeler, vétérinaire et chef de l’équivalent allemand du CDC, le RKI, et M. Tedros, chef de l’organisation mondiale de la santé ou OMS, ont fait savoir que l’Allemagne était un pays particulièrement discipliné et qu’elle devait donc devenir un modèle pour le reste du monde pour son respect strict, et bien sûr réussi, des mesures de lutte contre le Corona.
Il est urgent de répondre à ces trois questions, car le coronavirus prétendument nouveau et très dangereux n’a causé aucune surmortalité dans le monde et certainement pas ici en Allemagne. Mais les mesures anti-Corona, dont les seuls fondements sont les résultats du test PCR, qui sont à leur tour tous basés sur le test allemand Drosten, ont entre-temps causé la perte d’innombrables vies humaines et ont détruit l’existence économique d’innombrables entreprises et individus dans le monde entier. En Australie, par exemple, des personnes sont jetées en prison si elles ne portent pas de masque ou si elles ne le portent pas correctement selon les autorités. Aux Philippines, les personnes qui ne portent pas de masque ou qui ne le portent pas correctement, en ce sens, se font tirer une balle dans la tête.
Permettez-moi tout d’abord de vous donner un résumé des faits tels qu’ils se présentent eux-mêmes aujourd’hui. La chose la plus importante dans un procès est d’établir les faits, c’est-à-dire de découvrir ce qui s’est réellement passé. En effet, l’application de la loi dépend toujours des faits en cause. Si je veux poursuivre quelqu’un pour fraude, je ne peux pas le faire en présentant les faits d’un accident de voiture. Que s’est-il donc passé ici, en ce qui concerne la prétendue pandémie de Corona ? Les faits exposés ci-dessous sont dans une large mesure le résultat du travail de la commission d’enquête sur le Corona. Ce comité a été fondé le 10 juillet par quatre avocats afin de déterminer par l’audition de témoignages de scientifiques internationaux et d’autres experts que :
1. Quel est le danger réel du virus ?
2. Quelle est la signification d’un test PCR positif ?
3. Quels dommages collatéraux ont été causés par les mesures relatives au Corona, tant en ce qui concerne la santé de la population mondiale que l’économie mondiale ?
Permettez-moi de commencer par une mise en contexte, un peu d’informations de base. Ce qui s’est passé en mai 2019, puis au début de 2020 et ce qui s’est passé 12 ans plus tôt avec la grippe porcine, que beaucoup d’entre vous ont peut-être oublié. En mai 2019, le plus fort des deux partis qui gouvernent l’Allemagne, au sein d’une grande coalition, la CDU, a tenu un congrès sur la santé mondiale. Apparemment à la demande d’importants acteurs de l’industrie pharmaceutique et de l’industrie technologique. Lors de ce congrès, les suspects habituels, pourrait-on dire, ont prononcé leurs discours. Angela Merkel y était et le secrétaire allemand à la santé Jens Spahn. Mais d’autres personnes, auxquelles on ne s’attendrait pas forcément à assister à un tel rassemblement, étaient également présentes : le professeur Drosten, virologue de l’hôpital de la Charité à Berlin, le professeur Wheeler, vétérinaire et directeur du RKI, l’équivalent allemand du CDC (Centers for Disease Control and Prevention – Centres pour le contrôle et la prévention des maladies), ainsi que M. Tedros, philosophe et directeur de l’organisation mondiale de la santé, l’OMS. Ils y ont tous prononcé des discours. Les principaux lobbyistes des deux plus grands fonds de santé du monde, à savoir la fondation Bill and Melinda Gates et le Welcome Trust, étaient également présents et ont prononcé des discours. Moins d’un an plus tard, ces mêmes personnes ont pris les devants dans la proclamation de la pandémie mondiale de Corona, ont fait en sorte que des tests PCR de masse soient utilisés pour prouver les infections massives au Covid-19 dans le monde entier, et font maintenant pression pour que des vaccins soient inventés et vendus dans le monde entier. Ces infections, ou plutôt les résultats positifs des tests PCR, sont à leur tour devenus la justification du confinement mondial, de la distanciation sociale et des masques faciaux obligatoires.
Il est important de noter à ce stade que la définition d’une pandémie a été modifiée 12 ans plus tôt. Jusqu’alors, une pandémie était considérée comme une maladie qui se propageait dans le monde entier et qui entraînait de nombreuses maladies graves et des décès. Soudain, et pour des raisons jamais expliquées, elle était censée être uniquement une maladie mondiale, de nombreuses maladies graves et de nombreux décès n’étant plus nécessaires pour annoncer une pandémie. Grâce à ce changement, l’OMS, qui est étroitement liée à l’industrie pharmaceutique mondiale, a pu déclarer la pandémie de grippe porcine en 2009, avec pour résultat que des vaccins ont été produits et vendus dans le monde entier sur la base de contrats qui ont été tenus secrets jusqu’à aujourd’hui. Ces vaccins se sont révélés totalement inutiles, car la grippe porcine s’est finalement révélée être une grippe bénigne et n’est jamais devenue l’horrible fléau que l’industrie pharmaceutique et ses universités affiliées ne cessaient d’annoncer qu’elle allait devenir. Avec des millions de morts certaines si les gens ne se faisaient pas vacciner. Ces vaccins ont également entraîné de graves problèmes de santé. En Europe, environ 700 enfants sont tombés incurablement malades de narcolepsie et sont maintenant gravement handicapés pour toujours. Les vaccins achetés avec des millions du contribuable ont dû être détruits avec encore plus d’argent du contribuable. Déjà à l’époque, lors de la grippe porcine, le virologiste allemand Drosten était de ceux qui ont semé la panique dans la population en répétant sans cesse que la grippe porcine ferait des centaines de milliers, voire des millions de morts dans le monde entier. En fin de compte, c’est surtout grâce au Dr Wolfgang Wodarg et à ses efforts en tant que membre du Bundestag allemand, et également membre du Conseil de l’Europe, que ce canular a pu être arrêté, avant qu’il n’entraîne des conséquences encore plus graves.
Avance rapide jusqu’en mars 2020, lorsque le Bundestag allemand a annoncé une situation épidémique d’importance nationale, qui est l’équivalent allemand d’une pandémie, en mars 2020 – et sur cette base – le confinement avec la suspension de tous les droits constitutionnels essentiels, pour une durée imprévisible, il n’y avait qu’une seule opinion sur laquelle le gouvernement fédéral allemand a fondé sa décision. En violation scandaleuse du principe universellement accepté « audiatur et altera pars » qui signifie qu’il faut aussi entendre l’autre partie, la seule personne qu’ils ont écoutée était M. Drosten. C’est précisément cette personne dont le pronostic affreux, source de panique, s’était révélé catastrophiquement faux douze ans plus tôt. Nous le savons parce qu’un dénonciateur du nom de David Siebert, membre du parti Vert, nous en a parlé. Il l’a fait pour la première fois le 29 août 2020 à Berlin, dans le cadre d’un événement auquel Robert F Kennedy Jr. a également participé, et au cours duquel les deux hommes ont prononcé des discours. Et il l’a fait par la suite lors d’une des sessions de notre commission sur le Corona. La raison pour laquelle il a fait cela, c’est qu’il était devenu de plus en plus sceptique quant au récit officiel propagé par les politiciens et les grands médias. Il avait donc entrepris de s’informer des opinions d’autres scientifiques et les avait trouvées sur Internet. Là, il s’est rendu compte qu’il y avait un certain nombre de scientifiques de grande renommée qui avaient une opinion complètement différente, qui contredisait le pronostic horrible de M. Drosten. Ils supposaient, et supposent toujours, qu’il n’y avait pas de maladie dépassant la gravité de la grippe saisonnière, que la population avait déjà acquis une immunité croisée ou des cellules T contre ce prétendu nouveau virus, et qu’il n’y avait donc aucune raison de prendre des mesures spéciales. Et certainement pas des vaccinations. Parmi ces scientifiques figurent le professeur John Ioannidis de l’université de Stanford en Californie, spécialiste des statistiques et de l’épidémiologie, ainsi que de la santé publique, et en même temps les scientifiques les plus cités dans le monde : le professeur Michael Levitt, prix Nobel de chimie, et également biophysicien à l’université de Stanford, les professeurs allemands Karin Mölling, Susharit Bhakdi, Knut Wittkowski ainsi que Stefan Homburg et maintenant beaucoup d’autres scientifiques et médecins dans le monde, dont le Dr Mike Yeadon. Le Dr Mike Yeadon est l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, l’une des plus grandes sociétés pharmaceutiques au monde. Je vous parlerai de lui un peu plus tard.
Fin mars, début avril 2020, M. Siebert s’est tourné vers la direction de son parti Vert avec les connaissances qu’il avait accumulées et a suggéré qu’ils présentent ces autres avis scientifiques au public et expliquent que, contrairement aux prophéties apocalyptiques de M. Drosten, il n’y avait aucune raison pour que le public panique. Soit dit en passant, Lord Sumption, qui a été juge à la Cour suprême britannique de 2012 à 2018, a fait exactement la même chose au même moment et est arrivé à la même conclusion : il n’y a aucune raison factuelle de paniquer et aucune base juridique pour les mesures prises liées au Corona. De même, l’ancien président de la Cour constitutionnelle fédérale allemande a exprimé, bien que plus prudemment, de sérieux doutes quant à la constitutionnalité des mesures liées au Corona. Mais au lieu de prendre note de ces autres opinions et d’en discuter avec David Siebert, la direction du parti Vert a déclaré que les messages de panique de M. Drosten etaient suffisantes pour le parti Vert. N’oubliez pas qu’ils ne sont pas membres de la coalition au pouvoir, ils sont dans l’opposition. Mais cela leur a suffi. Tout comme cela avait été suffisant pour le gouvernement fédéral comme base de sa décision de confinement, ont-ils dit. Par la suite, la direction du parti Vert a traité David Siebert de théoricien du complot, sans jamais avoir pris en compte le contenu de ses informations et l’a ensuite dépouillé de ses mandats.
Examinons maintenant la situation actuelle concernant le danger du virus, l’inutilité totale des tests PCR pour la détection des infections et les confinements basés sur des infections inexistantes. Durant cette periode, nous savons que les systèmes de soins de santé n’ont jamais été en danger d’être submergés par le Covid-19. Au contraire, de nombreux hôpitaux restent vides à ce jour et certains sont aujourd’hui menacés de faillite. Le navire-hôpital Comfort, ancré à l’époque à New York et qui aurait pu accueillir un millier de patients, n’a jamais accueilli plus d’une vingtaine de patients. Il n’y a eu nulle part de surmortalité. Des études menées par le professeur Ioannidis et d’autres ont montré que la mortalité du Corona est équivalente à celle de la grippe saisonnière. Même les images de Bergame et de New York qui ont servi à démontrer au monde que la panique était de mise, se sont avérées délibérément trompeuses. Ensuite, le soi-disant « document de panique » rédigé par le département allemand de l’intérieur a été divulgué. Son contenu classifié montre, sans l’ombre d’un doute, que, en fait, la population a été délibérément poussée à la panique par les politiciens et les médias dominants. Les déclarations irresponsables du chef du RKI qui l’accompagnent, rappelez-vous, le CDC et M. Wheeler qui a annoncé à plusieurs reprises et avec enthousiasme que les mesures liées au Corona doivent être suivies sans condition par la population sans qu’elle ne pose aucune question, montre qu’il a suivi le scénario tel quel. Dans ses déclarations publiques, il n’a cessé d’annoncer que la situation était très grave et menaçante, bien que les chiffres compilés par son propre institut prouvent exactement le contraire. Le « document de panique » demande entre autres que les enfants se sentent responsables, je cite : « de la mort douloureuse et torturée de leurs parents et grands-parents s’ils ne suivent pas les règles du Corona, c’est-à-dire s’ils ne se lavent pas constamment les mains et ne se tiennent pas à l’écart de leurs grands-parents ».
Un mot de clarification. À Bergame, la grande majorité des décès, 94 pour être exact, se sont avérés être le résultat non pas du Covid-19 mais plutôt la conséquence de la décision du gouvernement de transférer les patients malades, probablement atteints du rhume ou de la grippe saisonnière, des hôpitaux vers les maisons de repos, afin de faire de la place dans les hôpitaux pour tous les patients atteints de Covid qui ne sont finalement jamais arrivés. Là, dans les maisons de retraite, ils ont ensuite infecté des personnes âgées dont le système immunitaire était gravement affaibli, généralement en raison de problèmes médicaux préexistants. En outre, un vaccin contre la grippe qui avait été administré auparavant avait encore affaibli le système immunitaire des personnes vivant dans les maisons de retraite. À New York, seuls certains hôpitaux, mais de loin pas tous, ont été débordés. De nombreuses personnes, dont la plupart étaient à nouveau âgées et avaient de graves problèmes de santé préexistants, dont la plupart seraient restées à la maison pour se rétablir si elles n’avaient pas été prises de panique, se sont précipitées vers les hôpitaux. Là, beaucoup d’entre elles ont été victimes d’infections liées aux soins de santé ou d’infections nosocomiales d’une part, et d’incidents liés à des fautes professionnelles d’autre part. Par exemple en étant mis sous respirateur plutôt qu’en recevant de l’oxygène par le biais d’un masque à oxygène. Encore une fois, pour clarifier les choses, Covid-19, c’est l’état actuel des choses, est une maladie dangereuse tout comme la grippe saisonnière est une maladie dangereuse et bien sûr, le Covid-19, tout comme la grippe saisonnière, peut parfois prendre un aspect clinique grave et peut parfois tuer des patients. Cependant, comme l’ont montré les autopsies qui ont été pratiquées en Allemagne, notamment par le professeur de médecine légale Klaus Püshel à Hambourg : les décès qu’il a examinés avaient presque tous été causés par des affections préexistantes graves et la quasi-totalité des personnes décédées étaient mortes à un âge très avancé, tout comme en Italie, ce qui signifie qu’elles avaient vécu au-delà de leur espérance de vie moyenne. Dans ce contexte, il convient également de mentionner ce qui suit : le RKI allemand, qui de nouveau est l’équivalent du CDC, avait initialement, assez curieusement, recommandé de ne pas pratiquer d’autopsie et il existe de nombreux rapports crédibles selon lesquels des médecins et des hôpitaux du monde entier ont été payés pour avoir déclaré une personne décédée comme étant victime du Covid-19 plutôt que d’inscrire la véritable cause du décès, sur le certificat de décès. Par exemple, une crise cardiaque ou une blessure par balle. Sans les autopsies, nous n’aurions jamais su que l’écrasante majorité des victimes présumées du Covid-19 étaient mortes de maladies complètement différentes, mais pas du Covid-19.
L’affirmation selon laquelle le confinement était nécessaire parce qu’il y avait tant d’infections différentes avec Sars-Cov-2 et parce que les systèmes de santé seraient débordés est fausse pour trois raisons, comme nous l’avons appris des auditions que nous avons menées avec la commission sur le Corona et d’autres données devenues disponibles entre-temps.
A- le confinement a été imposé alors que le virus était déjà en recul. Au moment où le confinement a été imposé, les taux d’infection présumés étaient déjà en baisse.
B- il existe déjà une protection contre le virus grâce à l’immunité croisée ou à l’immunité des cellules T. Outre le confinement imposé alors que les taux d’infection étaient déjà en baisse mentionné ci-dessus, il existe également une immunité croisée ou une immunité des cellules T dans la population générale contre les virus Corona contenus dans chaque vague de grippe ou influenza. Cela est vrai, même si cette fois-ci une souche légèrement différente du coronavirus était à l’œuvre, et ce parce que le système immunitaire de l’organisme se souvient de tous les virus qu’il a combattus dans le passé et, à partir de cette expérience, il reconnaît également une souche supposée nouvelle mais toujours similaire du virus de la famille des Corona. C’est d’ailleurs ainsi que le test PCR pour la détection d’une infection a été inventé par le désormais tristement célèbre professeur Drosten. Au début du mois de janvier 2020, sur la base de ces connaissances très élémentaires, M. Drosten a mis au point son test PCR qui est censé détecter une infection par Sars-Cov-2. Sans avoir jamais vu le vrai virus de Wuhan en Chine, ayant seulement appris par les médias sociaux qu’il se passait quelque chose à Wuhan, il a commencé à bricoler sur son ordinateur ce qui allait devenir son test PCR Corona. Pour cela, il a utilisé un ancien virus Sars, espérant qu’il serait suffisamment similaire à la prétendue nouvelle souche du coronavirus trouvée à Wuhan. Puis, il a envoyé le résultat de son bricolage informatique en Chine afin de déterminer si les victimes du prétendu nouveau coronavirus avaient été testées positives. Ils l’ont fait et cela a suffi pour que l’Organisation mondiale de la santé sonne l’alarme de la pandémie et recommande l’utilisation mondiale du test PCR de Drosten pour la détection des infections par le virus, maintenant appelé Sars-Cov-2. L’avis et les conseils de Drosten ont été, il faut le souligner une fois de plus, la seule source pour le gouvernement allemand lorsqu’il a annoncé le confinement ainsi que les règles de distanciation sociale et le port obligatoire de masques. Et il faut également souligner, une fois de plus, que l’Allemagne est apparemment devenue le centre d’un lobbying particulièrement massif de l’industrie pharmaceutique et technologique, car le monde, en référence aux Allemands prétendument disciplinés, devrait faire comme les Allemands, afin de survivre à la pandémie.
C- et c’est la partie la plus importante de notre enquête. Le test PCR est utilisé sur la base de fausses déclarations, et non sur la base de faits scientifiques concernant les infections. Dans l’intervalle, nous avons appris que ces tests PCR, contrairement aux affirmations de M. Drosten, de M. Wheeler et de l’OMS, ne donnent aucune indication d’une infection par un virus quelconque, et encore moins d’une infection par Sars-Cov-2. Il convient de noter que non seulement les tests PCR ne sont expressément pas approuvés à des fins de diagnostic, comme cela est correctement indiqué sur les brochures accompagnant ces tests, et comme l’a souligné à plusieurs reprises l’inventeur du test PCR, Kary Mullis. Au contraire, ils sont tout simplement incapables de diagnostiquer une quelconque maladie. Contrairement aux affirmations de Drosten, Wheeler et de l’OMS qu’ils font depuis la proclamation de la pandémie, un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente. Si une personne est testée positive, cela ne signifie pas qu’elle est infectée par quoi que ce soit, et encore moins par le virus Sars-Cov-2, qui est contagieux.
Même le CDC des États-Unis, même cette institution dit, est d’accord avec ça, et je cite directement la page 38 d’une de ses publications sur le coronavirus et les tests PCR, datée du 13 juillet 2020. Le premier point dit : « la détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux, ou que 2019-nCoV soit l’agent causal des symptômes cliniques ». Le deuxième point indique que « la performance de ce test n’a pas été établie pour le suivi du traitement de l’infection à 2019-nCoV ». Le troisième point dit : « ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres pathogènes bactériens ou viraux ».
On ne sait toujours pas si le virus de Wuhan a été isolé de manière scientifiquement correcte, de sorte que personne ne sait exactement ce que nous recherchons lorsque nous effectuons des tests. D’autant plus que ce virus, tout comme les virus de la grippe, mute rapidement. Les échanges des PCR prennent une ou deux séquences d’une molécule qui sont invisibles à l’œil humain et doivent donc être amplifiées en plusieurs cycles pour la rendre visible. Tout ce qui dépasse 35 cycles est, comme le rapporte le New York Times et d’autres, considéré comme totalement peu fiable et scientifiquement injustifiable. Cependant, le test de Drosten, ainsi que les tests recommandés par l’OMS qui ont suivi son exemple, sont fixés à 45 cycles. Cela peut-il être dû à la volonté de produire le plus grand nombre possible de résultats positifs et de fournir ainsi la base de la fausse supposition qu’un grand nombre d’infections ont été détectées ? Le test ne peut pas distinguer les matières inactives et les matières reproductrices. Cela signifie qu’un résultat positif peut se produire parce que le test détecte par exemple un débris, un fragment de molécule, qui peut ne signaler rien d’autre que le fait que le système immunitaire de la personne testée a gagné une bataille contre un rhume dans le passé. Même Drosten lui-même a déclaré dans une interview accordée à un magazine économique allemand en 2014, à l’époque concernant la prétendue détection d’une infection par un virus SARM, prétendument à l’aide du test PCR, que ces tests PCR sont si sensibles que même des personnes très saines et non infectieuses peuvent être testées positives. À ce moment-là, il a également pris conscience du rôle puissant des médias qui sèment la panique et la peur, comme vous le verrez à la fin de la citation suivante. Il a dit alors dans cette interview : « Si, par exemple, un tel agent pathogène se répand sur la muqueuse nasale d’une infirmière pendant un jour ou deux sans qu’elle ne tombe malade ou ne remarque rien, alors elle est soudainement un cas SARM. Cela pourrait également expliquer l’explosion du nombre de cas en Arabie saoudite. De plus, les médias de ce pays en ont fait une incroyable sensation. » A-t-il oublié cela ? Ou le cache-t-il délibérément dans le contexte du Corona ? Parce que le Corona est une opportunité commerciale très lucrative pour l’industrie pharmaceutique dans son ensemble et pour M. Alford Lund , co-auteur de nombreuses études et également producteur de tests PCR. À mon avis, il est tout à fait improbable qu’il ait oublié en 2020 ce qu’il savait des tests PCR alors qu’il l’a dit au magazine économique en 2014. En bref, ce test ne peut détecter aucune infection, contrairement à toutes les fausses affirmations selon lesquelles il le pourrait. Une infection, une infection dite chaude, nécessite que le virus ou plutôt un fragment de molécule qui peut être un virus ne se trouve pas seulement quelque part, par exemple dans la gorge d’une personne, sans causer de dommage, ce serait une infection froide. Par contre une infection chaude qui nécessite que le virus pénètre dans les cellules, s’y reproduise et provoque des symptômes tels que des maux de tête ou de gorge. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’une personne est réellement infectée dans le sens d’une infection chaude.
Car ce n’est qu’à ce moment-là qu’une personne est contagieuse, c’est-à-dire capable d’infecter d’autres personnes. Jusque-là, elle est totalement inoffensive, tant pour l’hôte que pour toutes les autres personnes avec lesquelles elle entre en contact. Une fois de plus, cela signifie que des résultats de tests positifs, contrairement à toutes les autres affirmations de Drosten, Wheeler ou de l’OMS, ne signifient rien en ce qui concerne les infections, et ça même le CDC le sait, comme cité plus haut. Entre-temps, un certain nombre de scientifiques très respectés dans le monde entier supposent qu’il n’y a jamais eu de pandémie de Corona mais seulement une pandémie de test PCR. C’est la conclusion à laquelle sont parvenus de nombreux scientifiques allemands tels que les professeurs Bhakdi, Rice, Milling, Hockerts, Wallach et bien d’autres, dont le professeur John Ioannidis mentionné ci-dessus et le professeur Michael Levitt de l’université de Stanford, lauréat du prix Nobel.
Le plus récent de ces avis est celui du Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, qui a occupé ce poste pendant 16 ans. Lui et ses co-auteurs, tous des scientifiques de renom, ont publié un article scientifique en septembre 2020 et il a écrit un article de magazine correspondant le 20 septembre 2020. Entre autres choses, ils déclarent, et je cite « nous basons notre politique gouvernementale, notre politique économique et la politique de restriction des droits fondamentaux, vraisemblablement, sur des données et des hypothèses complètement fausses concernant le coronavirus. Sans les résultats des tests qui sont constamment rapportés dans les médias, la pandémie serait terminée car rien ne s’est vraiment passé. Bien sûr, il existe des cas individuels de maladies graves, mais il y en a aussi dans chaque épidémie de grippe. Il y a eu une véritable vague de maladie en mars et avril, mais depuis lors, tout est rentré dans l’ordre. Seuls les résultats positifs augmentent et diminuent de façon spectaculaire selon le nombre de tests effectués, mais les cas réels de maladie sont terminés. On ne peut pas ne pas parler d’une deuxième vague. La prétendue nouvelle souche du coronavirus n’est, poursuit le Dr Yeadon, que nouvelle et il s’agit d’un nouveau type du virus Corona connu depuis longtemps. Il existe au moins quatre coronavirus endémiques qui provoquent certains des rhumes, les plus fréquents que nous connaissons, surtout en hiver. Ils présentent tous une similarité de séquence frappante avec le coronavirus et, comme le système immunitaire humain peut reconnaître la similarité avec le virus qui aurait été découvert récemment, une immunité des cellules T existe depuis longtemps à cet égard. 30 % de la population en bénéficiaient avant même l’apparition du prétendu nouveau virus. Il suffit donc, pour que la soi-disant immunité collective soit efficace, que 15 à 25 % de la population soit infectée par le prétendu nouveau coronavirus pour arrêter la propagation du virus, et c’est le cas depuis longtemps ». En ce qui concerne l’importance de tests PCR , Yeadon écrit dans un article intitulé « mensonges, maudits mensonges et statistiques sanitaires » ( “lies damned lies and health statistics” ), le danger mortel des faux positifs daté du 20 septembre 2020 et je cite « La probabilité qu’un cas apparemment positif soit un faux positif se situe entre 89 et 94 % ou proche de la certitude. » Le Dr Yeadon, en accord avec les professeurs d’immunologie: Camera, d’Allemagne, Capel, des Pays-Bas et de Cahill en Irlande, ainsi qu’avec un microbiologiste autrichien, le Dr Arve, qui ont tous témoigné devant la commission allemande sur le Corona, souligne explicitement qu’un test positif ne signifie pas qu’un virus intact a été trouvé. Les auteurs expliquent que ce que le test PCR mesure réellement est, je cite: « simplement la présence de séquences partielles d’ARN présentes dans le virus intact qui pourrait être un morceau de virus mort qui ne peut pas rendre le sujet malade et ne peut pas être transmis et ne peut pas rendre quelqu’un d’autre malade ». En raison de l’inadéquation totale du test pour la détection des maladies infectieuses, testé positif chez les chèvres, les moutons, les papayes et même les ailes de poulet ; le professeur d’Oxford Carl Heneghan, directeur du centre de médecine factuelle, écrit que le virus Covid ne disparaîtrait jamais si cette pratique de test était poursuivie mais serait toujours faussement détecté dans une grande partie de ce qui est testé. Les confinements, comme l’ont découvert Yeaden et ses collègues : ne fonctionnent pas. La Suède, avec son approche de « laissez-faire », et la Grande-Bretagne, avec son confinement strict, par exemple, ont des statistiques sur les maladies et la mortalité tout à fait comparables. Les scientifiques américains ont constaté la même chose pour les différents États américains : l’incidence des maladies n’est pas différente selon qu’un État applique ou non un confinement. En ce qui concerne le désormais tristement célèbre collège impérial de Londres, le professeur Neil Ferguson, et ses modèles informatiques complètement faux, annonçant des millions de décès. Il dit cela et je cite : « aucun scientifique sérieux ne donne de validité au modèle de Ferguson. » Il le souligne avec un mépris à peine voilé, je cite encore : « Il est important que vous sachiez que la plupart des scientifiques n’acceptent pas que le modèle de Ferguson soit même légèrement correct, mais le gouvernement est toujours attaché à ce modèle ». Ferguson a prédit 40 000 morts dû au Corona, en Suède, en mai et 100 000 en juin, mais il est resté à 5800. Ce qui, selon les autorités suédoises, équivaut à une légère grippe. Si les tests PCR n’avaient pas été utilisés comme outil de diagnostic des infections au Corona, il n’y aurait pas de pandémie et il n’y aurait pas de confinement. Mais tout aurait été perçu comme une simple vague moyenne ou légère de grippe, concluent ces scientifiques. Le Dr Yeaden, dans son article « Mensonges, maudits mensonges et statistiques sanitaires – le danger mortel des faux positifs », écrit : « ce test est fatalement défectueux et doit être immédiatement retiré et ne plus jamais être utilisé dans ce contexte, sauf s’il s’avère qu’il soit réglé », et vers la fin de cet article : « j’ai expliqué comment un test de diagnostic désespérément performant a été et continue d’être utilisé non pas pour diagnostiquer des maladies mais, semble-t-il, uniquement pour créer de la peur. »
Examinons maintenant la situation actuelle concernant les graves dégâts causés par le confinement et les autres mesures. Un autre document détaillé, rédigé par un fonctionnaire allemand du département de l’intérieur, responsable de l’évaluation des risques et de la protection de la population contre les risques, a récemment fait l’objet d’une fuite. Il est maintenant appelé le « document de fausse alerte ». Ce document arrive à la conclusion qu’il y avait et qu’il n’y a pas de preuves suffisantes de risques sanitaires graves pour la population, comme le prétendent Drosten, Wheeler et l’OMS. Mais, dit l’auteur, il existe de nombreuses preuves que les mesures liées au Corona causent des dommages sanitaires et économiques gigantesques à la population, qu’il décrit ensuite en détail dans ce document. Cela, conclut-il, entraînera des demandes de dommages et intérêts très élevés dont le gouvernement sera tenu responsable. Cela est maintenant devenu une réalité, mais l’auteur du document a été, en revanche, suspendu. Davantage de scientifiques, mais aussi de juristes, reconnaissent que du fait de la panique délibérée et des mesures liées au Corona rendues possibles par cette panique, la démocratie risque fort d’être remplacée par des modèles totalitaires fascistes. Comme je l’ai déjà mentionné ci-dessus, en Australie, les personnes qui ne portent pas les masques, dont de plus en plus d’études montrent qu’ils sont dangereux pour la santé, ou qui ne les porteraient pas correctement, sont arrêtées, menottées et jetées en prison. Aux Philippines, ils courent le risque de se faire tirer dessus. Mais même en Allemagne et dans d’autres pays anciennement civilisés : les enfants sont enlevés à leurs parents s’ils ne respectent pas les règlements de quarantaine, les règlements de distance et les règles de port du masque. Selon les psychologues et les psychothérapeutes qui ont témoigné devant la commission du Corona : les enfants sont traumatisés en masse, avec les pires conséquences psychologiques que l’on peut attendre à moyen et long terme. Rien qu’en Allemagne : 500 000 à 800 000 faillites sont attendues à l’automne pour frapper les petites et moyennes entreprises, qui constituent le pilier de l’économie. Il en résultera des pertes fiscales incalculables et des transferts de fonds de la sécurité sociale d’un montant incalculable et ce à long terme, entre autres pour les allocations de chômage. Étant donné que, dans l’intervalle, tout le monde commence à comprendre l’impact dévastateur des mesures liées au Corona, totalement infondées, je m’abstiendrai d’entrer dans les détails.
Permettez-moi maintenant de vous donner un résumé des conséquences juridiques : la partie la plus difficile du travail d’un avocat est toujours d’établir les faits réels, et non l’application des règles juridiques à ces faits. Malheureusement, un avocat allemand n’apprend pas cela à la faculté de droit, mais ses homologues anglo-américains reçoivent la formation nécessaire à cet effet dans leurs facultés de droit. Et probablement pour cette raison, mais aussi en raison de l’indépendance beaucoup plus prononcée du système judiciaire américain, anglo-américain, le droit de la preuve anglo-américain est beaucoup plus efficace, en pratique, que le droit allemand. Une cour de justice ne peut trancher correctement un litige que si elle a préalablement déterminé correctement les faits, ce qui n’est pas possible sans examiner toutes les preuves. C’est pourquoi le droit de la preuve est si important. Sur la base des faits résumés ci-dessus, en particulier ceux établis avec l’aide des travaux de la commission allemande du Corona . L’évaluation juridique est en fait simple, elle est simple pour tous les systèmes juridiques civilisés, que ces systèmes juridiques soient basés sur le droit civil, qui suit de plus près le droit romain, ou qu’ils soient basés sur la common law anglo-américaine, qui n’est que vaguement liée au droit romain.
Examinons d’abord l’inconstitutionnalité des mesures. Un certain nombre de professeurs de droit allemands, dont les professeurs Kingreen, Murswiek,Youngblood et Foskarau, ont déclaré, soit dans des avis d’experts écrits, soit lors d’entretiens, conformément aux doutes sérieux exprimés par l’ancien président de la Cour constitutionnelle fédérale quant à la constitutionnalité des mesures de Corona, que ces mesures, les mesures liées au Corona, sont sans fondement factuel suffisant et également sans fondement juridique suffisant et sont donc inconstitutionnelles et doivent être abrogées immédiatement. Très récemment, un juge, Thorsten Schleif, a déclaré publiquement que le système judiciaire allemand, tout comme le grand public, a été tellement pris de panique qu’il n’était plus en mesure d’administrer la justice correctement. Il a déclaré que les tribunaux, je cite, « ont trop rapidement adopté des mesures contraignantes qui, pour des millions de personnes dans toute l’Allemagne, représentent une suspension massive de leurs droits constitutionnels ». Il souligne que les citoyens allemands, je cite encore une fois : « subissent actuellement la plus grave atteinte à leurs droits constitutionnels depuis la fondation de la république fédérale d’Allemagne en 1949. Afin de contenir la pandémie de Corona, le gouvernement fédéral et les gouvernements des États sont intervenus, dit-il, massivement et en partie en menaçant l’existence même du pays, telle qu’elle est garantie par les droits constitutionnels du peuple ». Qu’en est-il de la fraude, de l’infliction intentionnelle de dommages et des crimes contre l’humanité. Selon les règles du droit pénal, l’affirmation de faux faits concernant les tests PCR ou la fausse déclaration intentionnelle, telle qu’elle a été commise par messieurs Drosten et Wheeler ainsi que par l’OMS, ne peut être considérée que comme une fraude. Selon les règles du droit de la responsabilité civile, cela se traduit par l’infliction intentionnelle de dommages. Le professeur allemand de droit civil Martin Schwab soutient cette conclusion, dans des interviews publiques, dans un avis juridique complet d’environ 180 pages. Il s’est familiarisé avec le sujet comme aucun autre juriste ne l’a fait jusqu’à présent et a notamment fourni un compte rendu détaillé de l’échec complet des médias dominants à rendre compte des faits réels de cette prétendue pandémie. Messieurs Drosten, Wheeler et Tedros de l’OMS savaient tous, grâce à leur propre expertise, ou à celle de leurs institutions, que les tests PCR ne peuvent fournir aucune information sur les infections, mais ils ont affirmé à maintes reprises au grand public qu’ils le pouvaient ; leurs homologues, partout dans le monde, le répétant. Et ils savaient et acceptaient tous que, sur la base de leurs recommandations, les gouvernements du monde entier décideraient du confinement, des règles de distanciation sociale et du port obligatoire de masques. Ces derniers représentent un risque très grave pour la santé, comme le montrent de plus en plus d’études indépendantes et de déclarations d’experts. Selon les règles du droit de la responsabilité civile, tous ceux qui ont été lésés par ces confinements induits par les tests PCR ont droit à une indemnisation complète de leurs pertes. Il existe notamment un devoir de compensation, c’est-à-dire une obligation de verser des dommages et intérêts pour le manque à gagner subi par les entreprises et les travailleurs indépendants en raison du confinement et d’autres mesures. Cependant, entre-temps, les mesures anticorona ont causé et continuent de causer des dommages si dévastateurs à la santé et à l’économie de la population mondiale que les crimes commis par messieurs Drosten, Wheeler et l’OMS doivent être légalement qualifiés de véritables crimes contre l’humanité, tels que définis dans la section 7 du code pénal international.
Comment pouvons-nous faire quelque chose ? Que pouvons-nous faire ? Eh bien, le recours collectif est la meilleure voie vers des dommages compensatoires et des conséquences politiques. Le recours collectif est basé sur le droit anglais et existe aujourd’hui aux États-Unis et au Canada. Elle permet à un tribunal d’autoriser une plainte pour dommages et intérêts à être jugée comme un recours collectif à la demande d’un demandeur :
1 : si un événement causant un dommage à un grand nombre de personnes subit le même type de dommage. En d’autres termes, un juge peut autoriser une action collective si des questions communes de droit et de fait constituent l’élément essentiel de l’action. Dans ce cas, les questions de droit et de fait communes tournent autour des confinements basés sur le test PCR mondial et de ses conséquences. Tout comme les vo itures particulières VW diesel étaient des produits fonctionnels, mais ils étaient défectueux en raison d’un dispositif dit de mise en échec, parce qu’ils ne respectaient pas les normes d’émission, les tests PCR, qui sont des produits parfaitement bons dans d’autres contextes, sont également des produits défectueux lorsqu’il s’agit de diagnostiquer des infections. Maintenant, si une société américaine ou canadienne ou un particulier américain ou canadien décide de poursuivre ces personnes aux États-Unis ou au Canada pour obtenir des dommages et intérêts, le tribunal appelé à résoudre ce litige peut, sur demande, autoriser que cette plainte soit jugée comme une action collective. Si cela se produit, toutes les parties concernées dans le monde entier seront informées par des publications dans les médias dominants et auront ainsi la possibilité de se joindre à cette action collective, dans un certain délai à déterminer par le tribunal. Il est important de souligner que personne ne « doit » se joindre à l’action collective, mais que chaque partie lésée « peut » se joindre à l’action collective. L’avantage de la Class Action est qu’un seul procès est nécessaire. Il s’agit en effet de juger la plainte d’un représentant des demandeurs qui est affecté d’une manière caractéristique de tous les autres membres de la classe. C’est d’abord moins cher et ensuite plus rapide que des centaines de milliers, ou plus, de procès individuels. Et troisièmement, cela impose une charge moins lourde aux tribunaux. Quatrièmement, en règle générale, elle permet un examen beaucoup plus précis des accusations que ce qui serait possible dans le contexte de centaines de milliers ou, plus probablement dans ce contexte de Corona, même de millions de procès individuels. En particulier, le droit de la preuve anglo-américain, bien établi et éprouvé, avec sa « pre-trial discovery », est applicable. Cela exige que toutes les preuves pertinentes pour la détermination du procès soient mises sur la table. Contrairement à la situation typique des procès allemands présentant un déséquilibre structurel, c’est-à-dire des procès impliquant d’une part un consommateur et d’autre part une puissante société, la rétention ou même la destruction de preuves n’est pas sans conséquence. Au contraire, la partie qui retient ou même détruit des preuves perd l’affaire, selon ces règles relatives aux preuves. En Allemagne, un groupe d’avocats spécialisés dans la responsabilité civile s’est réuni pour aider ses clients à recouvrer des dommages et intérêts. Ils ont fourni toutes les informations et formulaires nécessaires aux demandeurs allemands pour leur permettre d’estimer le montant des dommages qu’ils ont subis et de rejoindre le groupe, ou la classe, de demandeurs qui se joindra plus tard à l’action collective lorsqu’elle sera engagée, soit au Canada ou aux États-Unis.
Au départ, ce groupe d’avocats a considéré egalement le recueil et la gestion des témoignages pour les dommages des plaintifs non-allemands.
Mais cela été prouvé ingérable
Cependant, grâce à un réseau international d’avocats qui s’élargit de jour en jour, le groupe d’avocats allemands fournit gratuitement à tous leurs collègues des autres pays toutes les informations pertinentes, y compris les avis d’experts et les témoignages d’experts, montrant que les tests PCR ne peuvent pas détecter les infections. Ils leur fournissent également toutes les informations pertinentes sur la manière dont ils peuvent préparer et regrouper les demandes d’indemnisation de leurs clients, afin qu’ils puissent eux aussi faire valoir les demandes d’indemnisation de leurs clients, soit devant les tribunaux de leur pays d’origine, soit dans le cadre de l’action collective, comme expliqué ci-dessus.
Ces faits scandaleux, relatifs au Corona, recueillis pour la plupart par la commission du Corona et résumés ci-dessus, sont les mêmes faits qui seront bientôt prouvés, soit dans un tribunal, soit dans de nombreux tribunaux du monde entier. Ce sont ces faits qui feront tomber les masques sur les visages de tous les responsables de ces crimes. Aux politiciens qui croient ces personnes corrompues: ces faits sont présentés ici comme une bouée de sauvetage qui peut vous aider à réajuster votre ligne de conduite et à entamer le débat scientifique public tant attendu, et à ne pas tomber dans le piège de ces charlatans et de ces criminels. Je vous remercie.