L’ancien vice-président de Pfizer : “Les gouvernements vous mentent et préparent le dépeuplement massif”

Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer dont il fut scientifique en chef pour les allergies et les voies respiratoires, a passé 32 ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le poste de recherche le plus élevé» en son domaine. Il a accordé un entretien d’une grande importance au site américain LifeSiteNews.

Dr Yeadon

Il y dénonce la propagande des gouvernements au sujet du COVID-19, y compris le «mensonge» de variants dangereux, l’aspect totalitaire des «passeports vakxinaux» et la forte possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait conduire à quelque chose de bien pire que les guerres et les massacres du 20e siècle.

Ses principaux arguments :

  1. Il n’y a «aucune possibilité» que les variants actuels du COVID-19 échappent à l’immunité. C’est «juste un mensonge».
  2. Nous assistons non seulement à un «opportunisme convergent», mais à une «conspiration». Pendant ce temps, les médias et les plateformes Big Tech sont engagés dans la même propagande et la même censure de la vérité.
  3. Les sociétés pharmaceutiques ont déjà commencé à développer des vakx1s de «complément» («de rappel») inutiles pour les «variants». Les entreprises prévoient de fabriquer des milliards de flacons, en plus de la campagne expérimentale actuelle de « vakx1 » COVID-19 .
  4. Les agences de régulation telles que la Food and Drug Administration des États-Unis et l’Agence européenne des médicaments ont annoncé que, puisque ces vakx1s «d’appoint» seront si similaires aux injections précédentes qui ont été approuvées pour une autorisation d’utilisation d’urgence, les sociétés pharmaceutiques ne seront pas tenues d’” effectuer des études de sécurité clinique ».
  5. Ainsi, cela signifie pratiquement que la conception et la mise en œuvre de vakx1s à ARNm répétés et forcés aboutiront à l’injection d’une séquence génétique superflue sans justification.
  6. Pourquoi font-ils cela? L’utilisation de passeports vakxinaux et d’une «réinitialisation bancaire» pourraient aboutir à un totalitarisme sans précédent. Le «dépeuplement massif» reste une issue logique.
  7. Tout le monde doit combattre ce totalitarisme.

Le Dr Yeadon se présente volontiers comme étant simplement un «gars ennuyeux» qui est allé «travailler pour une grande société pharmaceutique… »

«Mais l’année dernière, j’ai réalisé que mon gouvernement et ses conseillers mentaient au peuple britannique sur tout ce qui avait trait à ce coronavirus. Absolument tout. C’est faux, cette idée de transmission asymptomatique et que vous n’avez pas de symptômes, mais que vous êtes une source de virus. Que les confinements fonctionnent, que les masques ont une valeur protectrice pour vous ou pour quelqu’un d’autre, et que les variants sont effrayants et que nous devons même fermer les frontières internationales pour empêcher ces variants étrangers désagréables d’entrer.

«Ou, qu’en plus de la liste actuelle des vakx1s génétiques que nous avons miraculeusement fabriqués, il faudra des vakx1s «complémentaires» pour faire face aux variants.

«Chacune de ces choses est manifestement fausse. Mais toute notre politique nationale est basée sur le fait que toutes ces choses sont globalement justes, même si elles sont toutes fausses. »

Conspiration et pas seulement opportunisme convergent

«Mais ce que j’aimerais faire, c’est parler de ce qui, je pense, est probablement une conspiration. L’année dernière, je pensais que c’était ce que j’appelais «l’opportunisme convergent», c’est-à-dire qu’un groupe de différents parties prenantes a réussi à bondir sur un monde en plein chaos pour nous pousser dans une direction particulière. Il semblait donc que c’était un peu lié, mais j’étais prêt à dire que c’était juste une convergence. »

«Je pense maintenant que c’est naïf. Il ne fait plus aucun doute dans mon esprit que des organismes très importants dans le monde avaient soit prévu de profiter de la prochaine pandémie, soit ont créé la pandémie. La preuve est que des dizaines et des dizaines de gouvernements disent tous les mêmes mensonges et font les mêmes choses inefficaces qui coûtent manifestement des vies.

«Et ils parlent tous du même genre de script futur qui est, «Nous ne voulons pas que vous vous déplaciez à cause de ces «variants»» et ils disent tous «ne vous inquiétez pas, il y aura des vakx1s «d’appoint». Ils disent tous cela alors que c’est manifestement absurde.

«Chaque individu sur la planète aura une identification numérique mondiale et un indicateur d’état de santé qui indiquera vakxiné ou pas… et cette sorte de base de données unique, exploitable de manière centralisée, applicable partout pour contrôler, fournira en quelque sorte un privilège, celui de pouvoir ou non effectuer telle transaction particulière selon ce que les contrôleurs de cette base de données de la population humaine mondiale décident. Et je pense que c’est de cela qu’il s’agit, car une fois que vous avez cela, nous devenons des jouets et le monde peut être comme le veulent les contrôleurs de cette base de données.

“Par exemple, vous constaterez peut-être qu’après une réinitialisation bancaire, vous ne pourrez dépenser qu’en utilisant une application reliée à cette base de données, avec votre identifiant, votre nom et votre indicateur d’état de santé.”

«Franchir une frontière internationale est certainement l’utilisation la plus évidente de ces passeports vakxinaux, comme on les appelle, mais ils pourraient être nécessaires pour que vous puissiez entrer dans des espaces publics fermés. Je m’attends à ce que s’ils le veulent, vous ne puissiez plus quitter votre maison à l’avenir sans une autorisation accordée sur votre application.

«Même si ce n’est pas avec certitude la vraie intention de la campagne de vakxination, peu importe, le fait que cela puisse être vrai signifie que tout le monde lisant cela devrait se battre comme un fou pour s’assurer que le système de passeport vakxinal ne se réalise jamais .

«Avec un tel système, c’est ce qu’ils pourraient en faire, et je pense que c’est ce qu’ils vont faire.

«Imaginez l’invention d’une histoire sur un virus et ses variations, ses mutations au fil du temps. Une l’histoire relayée à travers les médias soumis, une histoire que personne ne peut mettre en doute grâce à la censure des sources alternatives. Une histoire qui est un mensonge.

«Mais, néanmoins, il vous est répété que c’est vrai, et que nous avons le remède, avec un vakx1 complémentaire. Vous recevrez un message, par l’intermédiaire du système d’identification global : «Bing! Dr. Yeadon, l’heure de votre vakx1 complémentaire. Et, en passant, il ajoutera que vos privilèges immunitaires existants restent valables pendant quatre semaines. Mais si vous ne recevez pas votre vakx1 complémentaire pendant cette période, vous serez malheureusement une «personne bannie», et vous ne le voulez pas, n’est-ce pas ? C’est comme ça que ça fonctionnera, et les gens vont simplement marcher et ils recevront leur vakx1 complémentaire.

Le gouvernement ment, Big Pharma va de l’avant. Bientôt un dépeuplement de masse ?

«Je ne sais pas de quoi parle Vanden Bossche. Il n’y a aucune possibilité du tout, sur la base de tous les variants qui sont connus, environ 4000, qu’un d’entre eux devienne plus dangereux.

«Néanmoins, les politiciens et les conseillers en santé (de nombreux gouvernements) disent qu’ils le sont. Ils mentent. Eh bien, pourquoi ?

«Voici l’autre chose : les sociétés pharmaceutiques affirment qu’il sera assez facile d’ajuster leurs vakx1s génétiques.

«Et voici la partie vraiment effrayante, les régulateurs mondiaux des médicaments comme [la Food and Drug Administration] FDA, l’agence japonaise des médicaments, l’Agence européenne des médicaments, se sont réunis et ont annoncé… puisque les vakx1s complémentaires seront considérés comme si similaires à ceux déjà approuvés par une autorisation d’utilisation d’urgence, que les sociétés pharmaceutiques n’auront plus à réaliser des études d’innocuité clinique.

«Donc, vous avez d’une part, les gouvernements et leurs conseillers qui vous mentent sur les variants et prétendent que, même si vous êtes immunisé ou vakxiné, vous êtes un risque et vous devrez revenir recevoir un vakx1 complémentaire. Et, d’autre part, vous avez des sociétés pharmaceutiques qui vont fabriquer des vakx1s complémentaires sans contrôle. Et si Yeadon a raison, et je suis sûr d’avoir raison ou je ne vous dirais pas cela, on va injecter aux bras de centaines de millions de personnes une séquence génétique superflue dont il n’y a absolument aucun besoin ni justification.

«Et s’ils veulent introduire une caractéristique qui pourrait être nocive et pourrait même être mortelle, ils peuvent même l’ajuster pour la mettre dans un gène qui causera des lésions hépatiques sur une période de neuf mois, ou pour que vos reins se détériorent progressivement. La biotechnologie vous offre des moyens illimités, franchement, d’invalider ou de tuer des milliards de personnes. 

«Et cette possibilité sera utilisée pour le dépeuplement massif, car je ne peux penser à aucune autre explication bénigne.»

Source : medias-presse.info – 8 avril 2021 – Pierre-Alain Depauw  https://www.medias-presse.info/lancien-vice-president-de-pfizer-les-gouvernements-vous-mentent-et-preparent-le-depeuplement-massif/141650/

Via Strategica.fr

Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir !

REVENIR A UNE VIE NORMALE !
Par le Docteur (Chef de service associé du service d’anesthésie-réanimation et Membre du conseil médical CHC Liège, (Mont Légia- ND Hermalle – ND Waremme) -21 avril 2021-

« Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir : La fin »

Cet article clôturera ma série « il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ». Je commencerai et terminerai cette carte blanche de mes observations sur cette crise sanitaire par un citation d’Einstein qui est une des raisons de mes écrits : « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui le regardent sans rien faire. »

J’ai cherché un mot sur internet qui résumerait l’emballement et l’hystérie qui ont caractérisé la prise en charge de cette épidémie, avec une disproportion telle qu’elle semble tout droit sortie d’un mauvais film de science-fiction. Ce mot est l’apophénie.

« L’apophénie est une altération de la perception, qui conduit un individu à attribuer un sens particulier à des événements en établissant des rapports non motivés entre les choses.

L’apophénie n’est un défaut de notre cerveau que si l’on regarde le cerveau pour ce qu’il n’est pas. Il n’est pas fait pour penser rationnellement, réaliser des statistiques ou pratiquer le scepticisme scientifique. Le cerveau pilote notre corps avec des comportements qui ont donné par le passé la preuve de leur utilité à travers la survie des individus. Notre reconnaissance abusive des formes dans l’environnement n’est donc pas un défaut, c’est bel et bien un atout, historiquement… mais le monde actuel tend de nouveaux pièges d’autant plus pernicieux et périlleux que notre cerveau y tombe avec plaisir, voire volontairement » 1 .

Le cerveau de l’être humain est donc construit pour éviter le danger et les prédateurs. Cependant ces dangers ont été amplifiés et manipulés. Les médias, les « experts », les PCR et les vaccins sont à la base de biais qui ont amené nos dirigeants à une gestion défaillante de l’épidémie en surestimant grandement le risque qu’elle représente.

Le rôle des médias

Premièrement, le traitement médiatique de la pandémie. Les médias ont jeté aux auditeurs, lecteurs ou téléspectateurs des chiffres sans aucun repère, filmé sans aucun filtre des endroits comme les soins intensifs qui sont des endroits effrayants pour les non-initiés, en pandémie comme en temps normal, avec pour seul but de créer le buzz.

Ils ont fait passer comme message implicite que les soins intensifs étaient saturés par l’épidémie sans prendre en compte le nombre absolu de patients nécessaires pour arriver à cette saturation (en réalité très faible), la gravité habituelle des pathologies prises en charge en réanimation et l’âge élevé et les nombreuses comorbidités de ces patients. Ils n’ont également pas hésité à faire passer un cas de patient jeune gravement malade sans facteurs de risque comme la norme alors que ces cas sont exceptionnels et que ces cas exceptionnels se retrouvent également avec d’autres virus ou d’autres pathologies depuis toujours dans les soins intensifs. Les salariés de l’information et leurs experts ont aussi refusé toute contradiction, tout débat ou d’autres visions que la leur.

L’impact pour les hôpitaux et les généralistes

Cette vision prismatique de la pandémie a conduit une grande partie de la population à accepter des mesures sans se poser une seule question. Cette politique de gestion de la pandémie par la peur développée par notre gouvernement, soutenue par les médias mainstream et badigeonnée d’un peu de vernis de sciences par nos fameux « experts » est la seule réponse que l’Etat a été à même de nous proposer. Nous n’avons vu aucune politique de soutien des hôpitaux qui ont dû se débrouiller seuls pour l’ouverture de nouveaux lits de réanimation et la gestion des stocks. De même, on a assisté à la négation totale du rôle central que les médecins généralistes auraient pu, auraient dû jouer dans la gestion journalière de cette crise auprès de leurs patients.

Les « experts »

Cette unique focalisation sur le virus et sa transmission est l’œuvre de nos « experts ». Quelles sont les personnes qui au moment d’une pandémie peuvent abandonner sans problème particulier leurs hôpitaux pour aller sur des plateaux télé ? Voilà la question de base que les journalistes et nos gouvernants auraient dû se poser. Les « Raspoutine » des temps modernes se sont précipités pour chuchoter à l’oreille de nos décideurs et les convaincre de leurs théories. Métaphoriquement, le gouvernement a pensé pour éteindre l’incendie avoir sélectionné des pompiers. Ils ont en fait choisi des vendeurs de feux ouverts mais il est vrai que les deux sont effectivement des experts du feu. L’expert en pandémie n’existe évidemment pas. Mais en privilégiant des virologues extrémistes, nos décideurs se sont privés de bon sens et d’une large expertise multidisciplinaire qui leur auraient permis de ne pas tomber dans un piège ; celui des décisions autoritaires sans grand fondement scientifique qui se voulaient fortes mais qui sont en fait d’une grande lâcheté.

Les mesures disproportionnées

Le taux important de mortalité de la Belgique et la propagation rapide d’un virus ne s’expliquent pas par des mesures prises ou non par le gouvernement. Elles sont le résultat d’éléments structurels comme la densité, l’âge moyen et le niveau de santé global de sa population. Ces facteurs endogènes et le virus ne sont pas de la responsabilité du gouvernement qui ne peut avoir d’emprise sur eux. Les mesures disproportionnées prises en déni des libertés individuelles et de la Constitution ne pouvaient donc avoir qu’un effet à la marge sur l’avancée de l’épidémie. Il est manifestement plus difficile pour des dirigeants sous la pression des médias et des « experts » de reconnaître qu’ils sont impuissants devant ce virus que de s’agiter en mettant en place un système qui maltraite sa population, extermine son économie, atomise son éducation et sacrifie sa jeunesse et sa culture.

Les tests PCR

Le troisième facteur responsable de ce trouble de perception de l’épidémie sont les tests PCR. Les PCR sont la pierre angulaire sur laquelle se sont appuyés les « experts » pour justifier les mesures et entretenir la peur du virus. En effet sans ces tests, la population et les médias n’auraient vu passer que 3 pics épidémiques avec absolument rien entre ces pics.

En réalité, cette technique ne permet pas de faire la différence entre malade et asymptomatique, contaminant ou non contaminant, ancienne ou nouvelle contamination. Les tests PCR n’ont jamais été utilisés dans le suivi d’une pandémie, par conséquent, il n’y a donc pas de référence antérieure afin d’édicter une norme à suivre. Certains scientifiques se sont pourtant permis d’en tirer des grandes conclusions prospectives proches de la divination. Un chiffre sans norme est une observation et ne permet pas de faire un diagnostic et certainement pas de prescrire un traitement, seule sa cinétique est d’un intérêt quelconque. Il est nécessaire de rappeler que la définition habituelle d’une épidémie comme la grippe est un nombre de personnes malades (symptômes grippaux) /100000 habitants par semaine et non un nombre de personnes qui ont des traces de RNA dans le nez.
La PCR nous a permis également de voir les variants qui ont été instrumentalisés pour remettre une petite couche d’anxiété quand la mortalité, les contaminations ou les hospitalisations ne suffisaient plus. Les virus RNA ont-ils attendu l’avènement de la PCR pour muter ? Bien sûr que non, ils mutent depuis la nuit des temps sans poser de problèmes insolubles. Pourquoi partir sur un concept différent pour ce virus sinon pour nourrir la peur ?

Vacciner les patients à risque

Enfin, le dernier facteur qui participe à cette apophénie est ce que j’appellerais la frénésie vaccinale. Le vaccin est présenté comme la panacée et la seule façon de sortir de la crise. Comme pour tout nouveau développement de l’industrie pharmaceutique, la réalité est largement plus contrastée. Les vaccins ont été développés en un temps record et on peut saluer cette prouesse technologique. Ils ont pour certains une autorisation conditionnelle de mise sur le marché.

Cette autorisation est conditionnelle car ces vaccins ne sont pas passés par toutes les phases habituelles de développement permettant notamment de connaître les effets secondaires à moyen et long terme ou permettant de préciser la durée de protection. La raison de sa mise sur le marché est le caractère aigu du besoin de protection des personnes à risque puisqu’aucun traitement actuellement ne permet de guérir les patients gravement atteints. Le vaccin ne devrait donc logiquement concerner que les patients à risque.

Pourtant, les médias et les « experts » communiquent largement sur le besoin de vacciner un maximum de personnes. Outre le risque, même minime, pris par une personne saine sans facteurs de risque de se faire vacciner et de développer un effet secondaire sans aucun bénéfice, la vaccination de masse d’une population contre un virus RNA en pandémie n’a jamais été réalisée.

Faire appel aux médecins généralistes

Cette vaccination de masse risque de mettre une pression inédite sur un virus qui mute, sans aucune idée des conséquences de cet acte. Comme d’habitude, les personnes qui conseillent notre gouvernement jouent avec la population comme s’ils étaient dans leur laboratoire, en faisant fi des conséquences possibles de telles recommandations. Pour cette vaccination, c’est évidemment encore la balance bénéfice-risque qui aurait dû s’imposer. Elle aurait logiquement dû être réalisée par les personnes les plus aptes à connaître et discuter avec leurs patients : les médecins traitants.

En conclusion, il est effarant que nos gouvernants soient toujours à l’écoute de scientifiques qui jusqu’à maintenant nous ont démontré qu’ils avaient pratiquement toujours tort. Ils ont eu tort sur les pics qu’ils nous annonçaient comme inévitables chaque semaine, sur la hauteur des pics quand ceux-ci se sont réellement produits, sur la volonté d’appliquer une politique zéro Covid, sur les variants, sur les vaccins, … Le temps n’est décidément pas au vote d’une loi pandémie portant sur des événements qui n’ont pas encore été analysés en profondeur. Assurément, il ne faudra pas faire l’économie d’une commission d’enquête indépendante pour faire la lumière sur la gestion de cette crise.

Ce que l’histoire des pandémies nous apprend

Les pandémies de virus respiratoires comme la grippe espagnole ont habituellement une durée de plus ou moins un an avant de disparaître ou de devenir une épidémie banale. Ce virus ne s’est montré ni plus létal, ni plus contagieux, ni moins immunisant que la majorité des autres virus respiratoires en pandémie et paraît également saisonnier dans nos contrées.

Sa mortalité ne concerne qu’une part extrêmement minime de la population dont l’écrasante majorité à plus de 80 ans. Le seul problème réel posé par ce virus a donc été la surcharge des hôpitaux et particulièrement des soins intensifs aux 2 pics importants de l’épidémie. En avançant dans l’épidémie, le réservoir des personnes à infecter s’épuisent (décès, immunité naturelle, immunité vaccinale). Elle est en train de tirer sa révérence, faute de combattants. Quel événement a, en l’espace d’une année, pu mettre à mal cette hypothèse basée sur l’historique des pandémies de virus respiratoires ?

Aucun, sinon les théories de la peur de leurs « experts » véhiculées par les médias, basées sur les tests PCR. Preuve qui ne trompe pas, certains commencent doucement à retourner leur veste et tentent de faire leurs, les théories avancées depuis de mois par de scientifiques dissimulés dans l’ombre de l’omerta médiatique. D’autres évidemment s’accrocheront à leur petit morceau de célébrité et de pouvoir en nous annonçant déjà les pires catastrophes à venir. La ribambelle des variants étrangers remplira à merveille cette fonction.

Revenir à une vie normale

Devant ce constat, je ne vois pas ce qui pourrait nous empêcher de tout rouvrir, de supprimer toutes les interdictions et de revenir à la responsabilisation personnelle des sujets à risque qui n’ont pas encore été vaccinés. Les seules réflexions et actions qui doivent être menées concernent la possibilité de permettre une augmentation provisoire du nombre de lits d’hospitalisation et de réanimation. Ceci peut par exemple se faire par la création, comme à l’armée, de médecins et d’infirmiers de réserve qui viendraient grossir le rang des soignants hospitaliers en cas de pic épidémique. Parallèlement, il faut travailler sur le renouvellement de l’air en milieu clos dans des lieux hautement fréquentés.

J’en terminerai donc comme annoncé par une deuxième citation d’Einstein qui résume parfaitement mon sentiment sur la gestion de cette épidémie : « La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne… et personne ne sait pourquoi ! »

Dr Olivier Lhoest
Chef de service associé du service d’anesthésie-réanimation
CHC Liège (Mont Légia- ND Hermalle – ND Waremme)
Membre du conseil médical du CHC Liège

https://www.mediquality.net/be-fr/news/article/23801937/il-nest-pire-aveugle-que-celui-qui-ne-veut-pas-voi

Quelques sources sur les effets secondaires des vakx1s (à suivre)

 Dans un nouveau rapport choquant sur les vakx1s COVID-19, il a été découvert que le vakx1 Pfizer contre le coronavirus peut avoir des effets à long terme sur la santé qui n’avaient pas été révélés auparavant, notamment « la SLA, la maladie d’Alzheimer et d’autres maladies neurologiques dégénératives. »

« Les vakx1s actuels à base d’ARN SARSCoV-2 ont été approuvés aux États-Unis à l’aide d’une ordonnance d’urgence sans tests de sécurité approfondis à long terme », déclare le rapport. « Dans cet article, le vakx1 Pfizer COVID-19 a été évalué pour son potentiel à induire une maladie à prions chez les personnes vakxinées. » Les maladies à prions sont, selon le CDC, une forme de maladies neurodégénératives, ce qui signifie que le vakx1 Pfizer est potentiellement susceptible de causer des dommages à long terme et des effets négatifs sur la santé en ce qui concerne le cerveau.

Cela est d’autant plus préoccupant que le vakx1 Pfizer est un vakx1 à ARNm, un type de vakx1 non testé qui crée de nouvelles protéines et peut s’intégrer au génome humain, selon un rapport de la National Library of Medicine. En d’autres termes, des troubles cérébraux dégénératifs peuvent apparaître à tout moment de la vie après avoir reçu le vakx1.

« La séquence d’ARN du vakx1 ainsi que l’interaction cible de la protéine spike ont été analysées pour déterminer le potentiel de conversion des protéines intracellulaires de liaison à l’ARN, la protéine de liaison à l’ADN TAR (TDP-43) et Fused in Sarcoma (FUS), dans leurs conformations pathologiques de prion », explique le rapport. La TDP-43 est une protéine connue pour causer la démence, la SLA et même la maladie d’Alzheimer, selon Alzpedia. De même, la protéine FUS est connue pour causer la SLA et les tremblements essentiels héréditaires, selon la base de données du génome humain.

L’expérience réalisée pour le rapport visait à déterminer si ces deux protéines nocives s’inscrivent ou non dans notre ADN, comme un vax1s à ARNm est censé le faire. Le rapport a déterminé que « l’ARN du vakx1 possède des séquences spécifiques qui peuvent inciter la TDP-43 et le FUS à se replier dans leurs confirmations prion pathologiques », ce qui signifie que ces deux protéines ont le potentiel de s’intégrer dans notre ADN et de provoquer des maladies neurologiques dangereuses.

Le résumé du rapport conclut que « Les résultats ci-joints ainsi que d’autres risques potentiels conduisent l’auteur à penser que l’approbation réglementaire des vakx1s à base d’ARN pour le SRAS-CoV-2 était prématurée et que le vakx1 pourrait causer beaucoup plus de dommages que de bénéfices ». Le rapport lui-même se termine par cet avertissement : « Le vakx1 pourrait être une arme biologique et être encore plus dangereux que l’infection initiale ».

National File a en fait contacté le CDC pour savoir pourquoi le vakx1 Pfizer est toujours distribué malgré ces allégations crédibles. Aucune réponse n’a été reçue avant la publication

ETUDE : COVID-19 Les vakx1s à base d’ARN et le risque de maladie de Prion:

ETUDE : Transcription inverse de l’ARN du SRAS-CoV-2 et intégration dans le génome humain:
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33330870/

Official MHRA side effect and adverse incident reporting site for coronavirus treatments and vakxines | Coronavirus (COVID-19)
UK: https://coronavirus-yellowcard.mhra.gov.uk
Pour les USA: https://vaers.hhs.gov/

Le centre français d’évaluation des médicaments déclare que les quatre vakx1s Covid-19 sont dangereux et devraient être retirés du marché:
https://mirastnews.net/2021/04/24/le-centre-francais-devaluation-des-medicaments-declare-que-les-quatre-vaccins-covid-19-sont-dangereux-et-devraient-etre-retires-du-marche/

Israël enquête sur les effets secondaires du vakx1 Pfizer. Un rapport alarmant.
Israël enquête sur le lien entre l’injection Pfizer et des problèmes cardiaques chez des jeunes de moins de 30 ans. Une enquête du ministère de la Santé suscite des inquiétudes, car 62 cas https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/24/israel-enquete-sur-les-effets-secondaires-du-vaccin-pfizer-un-rapport-alarmant/

Israël: Des Cas De Myocardite Chez Les Hommes De Moins De 30 Ans Après La 2e Injection Du Vakx1 Pfizer (média) – I24news
https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/1619254752-israel-des-cas-de-myocardite-chez-les-hommes-de-moins-de-30-ans-apres-la-2e-injection-du-vaccin-pfizer-media

24/04/21: 7,766 DEAD 330,218 Injuries: European Database of Adverse Drug Reactions for COVID-19 “Vaccines”

26/04/21: Bientôt 10.000 morts et 2 millions d’effets secondaires susceptibles d’être liés aux «  vaccins  » contre la Covid-19

26/04/21:Une nouvelle étude d’Oxford confirme un pic d’infections après la vaccination

26/04/21: Dr Tadeusz Nawrocki: Conséquences indésirables-Film a visionner gratuitement

29/04/21: Quelques chiffres et exemples des effets secondaires ou létaux des vakx1s (extrait de l’émission L’Info en Questions du 29 avril 21)

14/05/21: France Soir: Vaccination : un décès pour 700 vaccinés en France et dans le monde, montre une analyse de corrélation

22/05/21: https://www.medias-presse.info/hecatombe-post-vaccinale-dans-le-monde-dr-gerard-delepine/142903/

28/05/21: Plus de 10 000 Européens tués par les vaccins Covid-19 selon les données officielles de l’UE

8/7/21: https://mirastnews.net/2021/07/09/17-503-deces-17-million-de-blesses-50-graves-signales-dans-la-base-de-donnees-de-lunion-europeenne-sur-les-effets-indesirables-des-medicaments-pour-les-injections-covid-19/

A suivre ….