Le C0VlD_19 et les mécanismes des régimes totalitaires

Posted by Jean-Dominique Michel

Évoquer un déferlement totalitaire, un basculement vers la dictature ou rappeler les heures sombres de notre histoire soulève des tempêtes d’indignation chez les bien-pensants là où l’adoption de lois violant massivement les droits constitutionnels ou établissant une ségrégation éthiquement détestable et prohibée par l’ordre juridique les laisse amorphes.

Sans doute faut-il voir derrière cela une mauvaise conscience refoulée quant au fait d’avoir adhéré à des dérives aussi problématiques que celles qu’on nous impose en pure perte depuis 18 mois. Pour continuer à enfoncer le clou, combien de fois faudra-t-il rappeler que la Suède, le Texas, les Pays-Bas et désormais l’Angleterre ont renoncé à toutes les mesures liberticides sans connaître la moindre conséquence dommageable ?

Comment peut-on décemment continuer à affirmer que ces mesures de plus en plus violentes et graves sont nécessaires alors qu’on a la preuve sous le nez que ce n’est pas le cas ?! « Eyes Wide Shut » semble être la bonne réponse.

L’inconfort de voir les choses en face combiné au coût (politique mais même psychique) de se rendre compte que cela fait un an et demie que l’on fait fausse route et qu’on a provoqué un désastre économique et social en pure perte compromet la possibilité d’une prise de conscience pour nos dirigeants. Comme il en est pour les médias (qui ont fait du marketing et non de l’information tout au long de cette affaire) aussi bien que pour les scientifiques qui ont cautionné une science frelatée par les conflits d’intérêts en fermant les yeux sur l’avalanche de falsifications qui a enseveli la science digne de ce nom.

Ce débat est actuellement impossible tellement les élites en perdition sont à cran. Mauro Poggia, le ministre de la Santé du canton de Genève, allant jusqu’à invoquer la mémoire de ses parents, résistants héroïques sous Mussolini en Italie pour contester que nous soyons face à une dérive totalitaire et moucher ceux qui s’estiment être des résistants.

Je m’associe en toute sincérité et pleinement à l’hommage qu’il a rendu à ses parents. Le courage et l’abnégation des ces Justes pendant les années sombres du fascisme est infiniment admirable et doit servir de référence incontournable. On voit mal toutefois la pertinence d’invoquer cette mémoire pour nier la dérive en cours, dont le ministre en question est en Suisse  parmi les plus zélés à vouloir qu’elle aille toujours plus loin.

Qu’il commence par reconnaître les exemples suédois, hollandais ou texan (états dont les résultats n’ont de loin pas été pires que ceux du canton où il est aux affaires) qui n’envisagent aucunement de se doter d’un pass sanitaire et nous entrerons en matière. Avant cela nous constaterons avec regret qu’il reste avec ses pairs prisonnier d’une funeste ornière conduisant vers toujours plus d’autoritarisme et de mesures de contrainte inutiles, à toujours plus d’atteintes aux libertés fondamentales et en réalité à toujours plus de dommages sanitaires et sociaux.

Cette réalité du « totalitarisme doux » comme l’a appelé Michel Maffesoli en 1978 dans sa thèse de doctorat d’Etat, nous sommes en plein dedans. « Doux » d’oxymore élégant étant devenu entretemps hélas un lourd euphémisme. « Masqué » serait peut-être plus approprié (en plus d’être tendance) puisqu’il s’agit en effet d’un totalitarisme à visage couvert, nié par les cohortes de la bien-pensance qui se réclament pourtant des valeurs qui devraient les inciter eux aussi à entrer en  résistance.

A moins que le trait -cinglant- de Léo Ferré affirmant que « la gauche a toujours été la salle d’attente du fascisme » ne soit en définitive tristement vrai. A voir quarante et un députés socialistes français réclamer la vakxination (en vérité expérimentation génique) obligatoire, on voit mal comment éviter le constat.

Une personne civilisée peut-elle envisager de voir un autre être humain inoculé de force et contre son gré, plaqué au sol au besoin par des soldats ou des policiers ?! Et pour celles et ceux qui verraient dans cette description une énième affirmation outrancière de ma part, on pourra essayer de leur ouvrir les yeux sur le fait que cette situation existe actuellement dans les prisons françaises, avec semble-t-il déjà des mutineries face à l’obligation vakxinale ignoble faite aux détenus.

Je sais combien la référence fait hurler, mais le fameux « Code de Nuremberg » (effectivement sans valeur juridique à cette nuance près qu’il a influencé de façon majeure les conventions internationales qui en ont découlé) a été établi précisément suite aux abus en ce sens de la médecine nazie. Il y a un moment ou il faut juste finir par percuter au sujet de la pente sur laquelle nous n’en finissons pas de glisser. Et ceci, de surcroît, pour une expérimentation médicale au profil de risque incertain, dont le principe même est interdit en population générale.

Bref, nous cumulons les transgressions, illustrant ce que le Pr Maffesoli montre depuis quelques décennies : la faillite morale, politique et spirituelle des élites au pouvoir (cette caste médiatico-politique « qui a le pouvoir de dire ou de faire »), pour laquelle aucun des socles inaliénables de notre civilisation ne semble plus être autre chose qu’une vieillerie éventuellement pittoresque mais avant tout obsolète.

Le Serment d’Hippocrate ? Asservi aux prescriptions des méthodologistes payés par l’industrie pharmaceutique.

Le principe de précaution relatif à un traitement expérimental ? Noyé sous le flot des communiqués publicitaires de Big Pharma, devenant vérité scientifique une fois parvenus dans l’oreillette des gouvernants.

L’habeas corpus prohibant depuis des siècles que l’autorité (le seigneur) disposât du corps de ses sujets ? « Colifichet éthique d’un autre temps » selon la scientocratie triomphante.

La convention d’Oviedo (de son nom complet « Convention pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine, dite Convention sur les droits de l’homme et la biomédecine ») ? Une rêverie idéaliste des années ’70.

Même la Constitution a été foulée aux pieds en France par un « conseil de sages » dont le président se trouve être le père du directeur associé pour la France du cabinet de consultants chargé d’organiser le marketing de la campagne vakxinale en France. Lequel président n’a tout de même pas jugé bon de se récuser (« voyons ! »). Cet acte lui aussi des temps anciens, alors obligatoire lorsqu’on avait un conflit d’intérêts et qui s’avère aujourd’hui aussi désuet que les chapeaux melon et les moustaches en guidon de vélo pour les hommes.

Bref, pour aider les « Eyes Wide Shutters » à commencer à y voir clair, je publie ici le premier volet d’un nouvel éclairage sur la bouffée paranoïaque et totalitaire qui s’est emparée de nos systèmes sociétaux. Le second suivra avec les regards sur la réalité évoquée d’un psychologue-psychothérapeute et d’une médecin-psychiatre.

Nous commencerons donc par un premier bouquet de réflexions de haut vol : tout d’abord, une interview lucide, triste et belle titrée Penser que l’on va revivre normalement est une arnaque de Michel Rosenzweig, philosophe et psychanalyste souvent cité sur ce blog. « L’atmosphère devient irrespirable » y souligne-t-il – ce dont il est faut être de gauche ou de droite « normales » hélas semble-t-il pour ne pas s’apercevoir ! Pour accéder à l’entretien : cliquer ici.

Autre référence majeure évidemment, Ariane Bilheran, docteure en psychopathologie, spécialiste des délires paranoïaques dans leurs manifestations individuelles et collectives, également experte auprès des tribunaux. Dans deux séries d’articles intitulés Psychologie du totalitarisme et Chroniques du totalitarisme publiés dans l’Antipresse ainsi que sur son blog, elle décortique avec virtuosité mais de manière guère rassurante les événements en cours. Pour accéder aux articles : cliquer ici.

Enfin, à signaler, l’audition, dans le cadre des travaux du comité présidé par l’avocat allemand Reiner Fuellmich, du Pr Mattias Desmet. Celui-ci enseigne la psychologie clinique à l’université de Gand en Belgique et s’est spécialisé dans la formation de masse typique des régimes totalitaires. Son analyse de la situation actuelle devrait inciter les réticents à sortir du déni tellement elle éclaire la réalité de cette « hypnose collective » qui s’est instaurée et paraît savamment entretenue par les puissants intérêts qui en profitent. L’audition se déroule en anglais, avec une traduction sous-titrée en français dans la vidéo qui suit :

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Variant Delta, tests PCR et dissonance cognitive

par F. William Engdahl. (sur Réseau International)

Pour paraphraser une célèbre boutade de Bill Clinton, alors candidat à la présidence, lors d’un débat avec son adversaire républicain en 1992, « C’est le vaccin, idiot ! » Le récit quotidien des médias grand public et du gouvernement dont nous sommes inondés dans le monde entier est déroutant pour la plupart, et c’est un euphémisme. Le variant dit Delta ou « indien » se propage comme la varicelle, nous dit-on, mais sans préciser ce que signifie cette « propagation ». Les personnes non vaccinées sont accusées de transmettre le C0VlD-19 à celles qui sont censées être vaccinées. Les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Union européenne sont à la tête de ce récit confus et mortel.

Des responsables politiques disent aux enfants de se faire vacciner malgré les recommandations officielles de l’OMS et des autorités médicales nationales, comme le STIKO en Allemagne, qui préconisent d’attendre. Les tests PCR qui définissent la politique, mais qui ne disent rien sur la présence d’un virus spécifique chez une personne, sont traités comme un « Gold Standard » de l’infection.

Pourtant, à ce jour, aucun laboratoire n’a réussi à isoler des échantillons purifiés du prétendu virus SRAS-CoV-2 qui serait à l’origine de la maladie C0VlD-19. Comment les tests PCR peuvent-ils être calibrés si l’agent pathogène revendiqué n’est pas clair ? Si nous prenons un peu de recul, il apparaît clairement que nous sommes soumis à une opération mondiale délibérée de dissonance cognitive dont les conséquences prévues pour l’avenir de notre civilisation ne nous sont pas révélées.

Résoudre la dissonance

La dissonance cognitive est un terme utilisé en psychologie pour désigner l’expérience d’une personne qui vit deux expériences contradictoires ou incohérentes dont l’incohérence lui cause un grand stress. Le stress est résolu dans le cerveau par la personne se jouant des tours inconscients pour résoudre la contradiction. Le syndrome de Stockholm vient à l’esprit.

Dans le cas présent, il s’agit de la confiance traditionnelle dans les autorités – gouvernements, OMS, CDC, Institut Robert-Koch, Bill Gates et autres experts épidémiologiques autoproclamés, souvent sans diplôme médical. Ces autorités imposent des mesures draconiennes de confinement, de masquage et de restriction des déplacements et ce qui devient rapidement une vakxination forcée de facto avec des vakx1s non testés dont les effets indésirables se comptent désormais par millions dans l’UE et aux États-Unis.

Le cerveau ordinaire se dit : « Pourquoi les autorités voudraient-elles nous faire du mal ? Ne veulent-elles pas le meilleur pour nous et pour le pays ou le monde ? » Les expériences réelles des 18 derniers mois, depuis que l’Organisation mondiale de la Santé a déclaré une pandémie à cause d’un prétendu virus annoncé pour la première fois à Wuhan, en Chine, suggèrent que soit les politiciens et les responsables de la santé du monde entier ont perdu la tête, soit ils sont délibérément mauvais, soit ils sont volontairement destructeurs, soit ils sont tout simplement corrompus.

Pour résoudre cette effrayante contradiction, des millions d’entre nous prennent une concoction expérimentale connue sous le nom de substance génétiquement modifiée ARNm en supposant qu’ils sont alors protégés contre l’infection ou la maladie grave d’un prétendu pathogène mortel appelé C0VlD-19. Certains attaquent même ceux qui, autour d’eux, voient la dissonance différemment et qui refusent un vakx1 par méfiance et prudence.

Pourtant, même le Dr Fauci, omniprésent à Washington, admet que les nouveaux vakx1s à ARNm n’empêchent pas de contracter la prétendue maladie ou d’être infectieux, mais qu’ils contribuent peut-être à en atténuer l’impact. Ce n’est pas un vakx1, mais plutôt quelque chose d’autre.

Variant Delta ?

À ce stade, il est utile d’examiner plusieurs faits avérés concernant ce coronavirus et ses « variants » apparemment illimités. La crainte actuelle au Royaume-Uni, dans l’Union européenne et aux États-Unis concerne un variant dit Delta du coronavirus. Le seul problème est que les autorités compétentes ne nous disent rien d’utile sur ce variant.

Étant donné que le prétendu variant Delta d’un nouveau coronavirus prétendu mais nulle part scientifiquement prouvé, est utilisée pour justifier une nouvelle série de mesures draconiennes de confinement et de pressions en faveur de la vakxination, il est utile d’examiner le test permettant de déterminer si un variant Delta est présent chez une personne testée à l’aide du test PCR standard recommandé par l’OMS.

En mai dernier, le variant Delta était initialement appelé variant indien. Il a rapidement été accusé d’être à l’origine de jusqu’à 90% des nouveaux tests positifs au C0VlD-19 au Royaume-Uni, qui compte également une importante population indienne. Ce que l’on ne dit pas, c’est qu’en deux mois seulement, les prétendus positifs au variant Delta en Inde ont chuté de façon spectaculaire, passant de 400 000 par jour en mai à 40 000 en juillet. Les symptômes ressemblant étrangement à ceux du rhume des foins ordinaire, l’OMS s’est empressée de le rebaptiser variant Delta selon l’alphabet grec, afin de brouiller davantage les pistes.

Des baisses similaires du variant Delta ont été observées au Royaume-Uni. Les « experts » ont prétendu que c’était parce que les Indiens terrifiés étaient restés chez eux, car seul un petit 1-3% de la population avait été vakxiné. Au Royaume-Uni, les experts ont prétendu que c’était parce que tant de gens avaient été vakxinés que les cas Delta avaient chuté. Si vous avez l’impression qu’ils inventent des explications pour alimenter le discours sur les vakx1s, vous n’êtes pas les seuls.

Et ce n’est pas tout. Pratiquement personne au Royaume-Uni, en Inde, dans l’Union européenne ou aux États-Unis, dont on prétend qu’il a été testé positif au variant Delta, n’a subi un test spécifique au variant Delta, car un tel test direct de variant n’existe pas. Des tests complexes et très coûteux sont censés exister, mais aucune preuve n’est apportée qu’ils sont utilisés pour affirmer des choses telles que « 90% des cas britanniques sont des ces Delta… ».

Les laboratoires du monde entier se contentent d’effectuer les tests PCR standard, très imprécis, et les autorités sanitaires déclarent qu’il s’agit du « Delta ». Il n’existe pas de test simple pour le Delta ou tout autre variant. Si ce n’était pas vrai, le CDC ou l’OMS ou d’autres instituts de santé devraient expliquer en détail ces tests. Ils ne l’ont pas fait. Demandez aux « experts » de la santé concernés comment ils prouvent la présence d’un variant Delta du virus. Ils ne le peuvent pas.
Les laboratoires d’analyse aux États-Unis admettent qu’ils ne testent pas les variants.

Tests PCR sans valeur

Le test PCR lui-même ne permet pas de détecter un virus ou une maladie. Le scientifique qui a obtenu un prix Nobel pour avoir inventé le test PCR, le Dr Kary Mullis, est passé à la télévision pour attaquer nommément le chef du NIAID, Tony Fauci, en le qualifiant d’incompétent pour avoir prétendu que les tests PCR pouvaient détecter n’importe quel agent pathogène ou maladie. Il n’a pas été conçu pour cela, mais plutôt comme un outil d’analyse de laboratoire pour la recherche. Les tests PCR ne peuvent pas déterminer une infection aiguë, une infectiosité continue, ni une maladie réelle. Le test PCR n’est pas réellement conçu pour identifier une maladie infectieuse active, il identifie plutôt du matériel génétique, qu’il soit partiel, vivant ou même mort.

Un article publié le 21 janvier 2020 par deux Allemands, Corman et Drosten, a été utilisé pour créer le test PCR immédiatement adopté par l’OMS comme norme mondiale pour détecter les cas de coronavirus. À ce moment-là, six personnes seulement avaient été identifiées comme porteuses du nouveau coronavirus. En novembre 2020, un groupe de pairs scientifiques externes a examiné l’article de Drosten et a découvert un nombre incroyable de failles scientifiques majeures ainsi qu’un conflit d’intérêts flagrant de la part de Drosten et de ses collègues.

Les scientifiques ont noté que le modèle de PCR de Drosten et l’article souffraient de « nombreuses erreurs techniques et scientifiques, notamment une conception insuffisante des amorces, un protocole RT-qPCR problématique et insuffisant, et l’absence d’une validation précise du test. Ni le test présenté ni le manuscrit lui-même ne remplissent les conditions d’une publication scientifique acceptable. En outre, les graves conflits d’intérêts des auteurs ne sont pas mentionnés. Enfin… un processus systématique d’examen par les pairs n’a pas été effectué ici, ou alors il était de mauvaise qualité ».

Pourtant, le modèle PCR de Drosten a été immédiatement recommandé par l’OMS comme le test mondial du coronavirus.

La PCR amplifie le matériel génétique en utilisant des cycles d’amplification jusqu’à ce qu’elle atteigne ce que l’on appelle le seuil de cycle (Ct), le nombre d’amplifications permettant de détecter le matériel génétique avant que l’échantillon ne devienne sans valeur. Mullis a dit un jour que si l’on amplifie par un nombre suffisant de cycles, on peut trouver n’importe quoi chez n’importe qui, car notre corps est porteur d’un grand nombre de virus et de bactéries différents, la plupart inoffensifs.

Même le Dr Fauci, dans une interview de 2020, a déclaré qu’un Ct à 35 ou plus n’a aucune valeur. Pourtant, le CDC recommanderait aux laboratoires de tests d’utiliser un Ct de 37 à 40 ! À ce niveau, peut-être 97% des C0VlD positifs sont probablement faux.

Ni le CDC ni l’OMS ne rendent publiques leurs recommandations en matière de Ct, mais on rapporte que le CDC recommande désormais un seuil de Ct plus bas pour les tests des personnes vakxinées, de manière à minimiser les C0VlD positifs chez les personnes vakxinées, tout en recommandant un Ct supérieur à 35 pour les personnes non vakxinées, une manipulation criminelle si elle est avérée.

Pour ceux qui s’intéressent à l’évolution de la perversion des tests PCR pour soi-disant diagnostiquer la présence spécifique d’une maladie, il faut se pencher sur l’histoire sordide qui a commencé dans les années 1980 lorsque Fauci et son subordonné de l’époque, le Dr Robert Gallo, au NIAID, ont utilisé la technologie PCR de Mullis pour affirmer à tort qu’une personne était séropositive, une entreprise criminelle qui a entraîné la mort inutile de dizaines ou de centaines de milliers de personnes.

Notamment, presque tous les défenseurs éminents du vakx1 anti-C0VlD, de Fauci au chef de l’OMS Tedros, sont sortis du marécage du VIH/SIDA et de ses faux tests PCR. Toutes les mesures de panique imposées depuis 2020 dans le monde entier sont basées sur la fausse prémisse que le test RT-PCR « positif » signifie que l’on est malade ou infecté par le C0VlD.

La peur du C0VlD-19 qui a émané de Wuhan, en Chine, en décembre 2019, est une pandémie de tests comme l’ont souligné de nombreux médecins. Il n’y a aucune preuve qu’un virus pathogène est détecté par le test. Il n’y a pas non plus de valeur de référence prouvée, ou « étalon-or » pour déterminer la positivité. C’est purement arbitraire. Faites les recherches nécessaires et vous le constaterez.

Promouvoir des vakx1s expérimentaux

Si nous avons gaspillé des milliers de milliards de dollars dans l’économie mondiale depuis le début de l’année 2020 et ruiné d’innombrables vies sur la base de tests PCR sans valeur et que maintenant la même fraude étend la folie à un prétendu variant Delta, la conclusion évidente est que certains acteurs très influents utilisent cette peur pour promouvoir des vakx1s génétiques expérimentaux qui n’ont jamais été testés sur des humains ni sur des animaux.

Pourtant, le nombre officiel de décès liés aux vakx1s dans l’UE et aux États-Unis continue de battre des records. À l’heure où nous écrivons ces lignes, selon la base de données officielle de l’UE pour l’enregistrement des blessures liées aux vakx1s, EudraVigilance, à la date du 2 août, un total de 20 595 décès avaient été signalés chez des personnes ayant déjà reçu les vaccins génétiques expérimentaux à ARNm ! De tels chiffres n’ont jamais été observés auparavant.

En outre, 1 960 607 effets indésirables ont été signalés, dont 50% sont graves, notamment des caillots sanguins, des crises cardiaques, des irrégularités menstruelles, des paralysies, toutes consécutives à des injections d’ARNm. Les données américaines de la base de données VAERS des CDC sont ouvertement manipulées, mais même, elles montrent plus de 11 000 décès post-vakx1s ARNm. Les grands médias n’en parlent jamais.

Les autorités et les politiciens répondent qu’il n’y a aucune preuve que les décès ou les blessures étaient liés aux vakx1s. Mais ils ne peuvent pas prouver qu’ils ne l’étaient pas parce qu’ils interdisent aux médecins de pratiquer toute autopsie. Si l’on nous dit de suivre la science, pourquoi les autorités sanitaires disent-elles aux médecins de ne pas faire d’autopsie sur les patients qui sont morts APRÈS avoir reçu deux vaccins à ARNm ?

Après des milliers de décès liés aux vakx1s, une seule autopsie a été pratiquée, en Allemagne, et les conclusions étaient terribles. La protéine Spike s’était répandue dans tout le corps. Le CDC a cessé de surveiller les cas non graves de C0VlD-19 chez les personnes vakxinées en mai. Cela cache le nombre alarmant de vakxinés qui tombent gravement malades.

Quelque chose ne va pas du tout lorsque des experts médicaux expérimentés et respectés sont bannis pour avoir suggéré des hypothèses alternatives à l’ensemble du drame du C0VlD.

Lorsque d’autres scientifiques adhérant à la ligne officielle réagissent à toute critique de Tony Fauci ou d’autres médecins traditionnels du C0VlD, ils doivent être désignés comme auteurs d’un « crime de haine ». Ou lorsque des remèdes bon marché et éprouvés sont interdits en faveur des vakx1s à ARNm coûteux et mortels dans lesquels le NIAID de Fauci détient un intérêt financier.

Les défenseurs des vakx1s tels que Fauci parlent déjà de la nécessité d’injections de rappel d’ARNm et mettent en garde contre l’apparition d’un nouveau « variant Lambda ». Comment vont-ils le tester ? Ou devons-nous le croire sur parole parce qu’il ou elle est considéré(e) par CNN ou la BBC comme une « autorité respectée » ? Jusqu’où des citoyens sains d’esprit vont-ils permettre à cette dissonance cognitive de détruire nos vies ?


source : https://journal-neo.org

traduit par Réseau International