Nous ne savions rien sur les variants du C0VlD… jusqu’à maintenant

par Michel de Lorgeril sur Réseau International

Prenez du plaisir, ce n’est pas tous les jours dimanche, disait Fernand Bourvil…

Selon la célèbre « Agence européenne du Médicament » (ou EMA) mais qu’il faudrait plutôt appeler « Agence européenne de l’Industrie des Produits de Santé » ou EIPSA), de nouveaux variants sont en train d’apparaître.

Voici quelques conseils pour les différencier :

– Le variant Travolta donne toujours de la fièvre, mais seulement le samedi soir;

– Le variant Suisse reste neutre, quel que soit le test PCR, antigénique ou sérologique ;

– Pour le Bordelais, pas de souci on a les Médoc ;

– Le variant Normand est difficile à prévoir : « p’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non » ;

– Le variant Belge est redoutable, ça finit généralement par une mise en bière ;

– Ne craignez pas le variant Chinois, il est cantonné ;

– Bonne nouvelle : le variant SNCF arrivera plus tard que prévu ;

– Contrairement aux apparences, le variant du Bénin serait dangereux ;

– En ce qui concerne le variant Italien, vous en prenez pour Milan ;

– De son côté, le variant Écossais se tient à carreau ;

– Apparemment avec le variant Japonais, il y a du sushi à se faire ;

– On annonce l’émergence d’un variant Colombien, mais il semblerait que ce soit de la « poudre » aux yeux ;

– N’attrapez surtout pas le variant Russe, c’est un méchant ViRusse ;

– Pour sa part, le variant Corse s’attrape au bouleau et il est transmis par l’écorce ;

– Le premier symptôme du variant Breton, c’est quand on commence à entendre le loup, le renard et la belette chanter !

Je lance un concours : qui peut mieux faire ?

Le gagnant aura le droit d’écouter et réécouter « Time to say Good bye »

C0VlD • La piste vasculaire confirmée. Cela induit que la protéine « S » générée par les vakx1s est dangereuse

Les chercheurs de l’illustre Salk Institute en Californie, réputé pour ses travaux dans les domaines de la génétique, des neurosciences ou de l’immunologie, ont publié un article montrant comment la protéine « S » du coronavirus endommage les cellules, confirmant que le COVID-19 est une maladie essentiellement vasculaire.

Cet article, publié le 30 avril 2021 dans Circulation Research, montre de manière concluante que C0VlD-19 est une maladie vasculaire. Il illustre avec précision comment la protéine S du virus SRAS-CoV-2 endommage et attaque le système vasculaire au niveau cellulaire. Ces résultats permettent d’expliquer la grande variété de complications apparemment sans lien entre elles de la C0VlD-19 et pourraient ouvrir la voie à de nouvelles recherches sur des thérapies plus efficaces.

Dans le cadre de cette étude, les chercheurs ont créé un «pseudovirus» entouré des protéines classiques de la couronne de pointes du SRAS-CoV-2, mais qui ne contenait pas de véritable virus. L’exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères d’un modèle animal, ce qui prouve que la protéine de pointe seule suffit à provoquer la maladie.
Or des vakx1s qui forcent le corps à produire des trillions de protéines « S » ne semblent pas être très indiqués pour éviter ce genre de risque.

Sur le même sujet mais avec une source scientifique suisse, voir aussi cet article de synthèse présenté sur Insolentia, la lettre d’informations de Charles Sannat, reproduit ci-dessous.

« Le Covid n’est pas une pneumonie. C’est une endothélite et cela peut tout changer ! »

par Charles Sannat | 11 Mai 2021 | A la uneChronique de l’effondrement | 28 commentaires

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Les preuves s’accumulent progressivement et les autorités de santé françaises devront répondre de leur incurie car c’est bien de cela qu’il s’agit alors que cela fait plus d’un an que nous sommes confrontés à une pandémie sans précédent accompagnée d’une épidémie hallucinante de mensonges d’Etat. Masques, risques du virus, etc…

C’est du côté des chercheurs zurichois que nous pouvons confirmer ce que beaucoup pensaient, ou présentaient mais que l’on ne pouvait pas dire sans risquer l’excommunication médiatique. D’ailleurs cela continue allègrement encore.

Il y a tellement de questions à poser, il y a un évident débat à avoir pour éclairer le consentement des gens et remettre la science et la connaissance au cœur de la politique et des choix qui engagent collectivement toute la société.

Je vais donc partager avec vous deux informations clefs, et je vous invite à votre tour à partager également ces informations et la question finale qui concerne chacun de nous confrontés au choix vaccinal.

Voici un article de la très sérieuse Tribune de Genève, source ici.

Non, le Covid-19 n’est pas qu’une pneumonie virale

« Des chercheurs zurichois ont analysé les tissus de personnes décédées du nouveau coronavirus. Ils estiment qu’il s’agit d’une inflammation vasculaire systémique et non d’une pneumonie.
Bien plus qu’une pneumonie, la maladie COVID-19 est une inflammation vasculaire systémique, selon une étude de chercheurs zurichois. Cela explique pourquoi elle provoque autant de problèmes cardiovasculaires et de défaillances d’organes vitaux.

Les premiers patients présentaient surtout des pneumonies difficiles à traiter, a indiqué l’Hôpital universitaire de Zurich (USZ) dans un communiqué. Par la suite, les médecins ont constaté de plus en plus de cas de troubles cardiovasculaires et de défaillances multiples d’organes sans lien apparent avec la pneumonie.

L’équipe de Zsuzsanna Varga, à l’USZ, a donc examiné au miscroscope des échantillons de tissus de patients décédés et constaté que l’inflammation touchait l’endothélium – la paroi interne des vaisseaux sanguins – de différents organes.
Le virus SARS-CoV-2 a pu être détecté dans l’endothélium lui-même, où il provoque la mort des cellules, puis des tissus et organes touchés. Les chercheurs en déduisent que le virus attaque le système immunitaire non pas par les poumons, mais directement par les récepteurs ACE2 présents dans l’endothélium, qui perd ainsi sa fonction protectrice.

Tous les organes touchés

« La maladie Covid-19 peut toucher les vaisseaux sanguins de tous les organes », résume Frank Ruschitzka, directeur de la clinique de cardiologie de l’USZ, qui suggère désormais de baptiser ce tableau clinique « Covid-endothélite ».
Il s’agit d’une inflammation systémique des vaisseaux sanguins pouvant toucher le cœur, le cerveau, les poumons, les reins ou encore le tube digestif. Elle entraîne de graves microperturbations de la circulation sanguine qui peuvent endommager le cœur ou provoquer des embolies pulmonaires, voire obstruer des vaisseaux sanguins dans le cerveau ou le système gastro-intestinal, souligne l’USZ.

Si l’endothélium des jeunes patients se défend bien, ce n’est pas le cas de celui des groupes à risque souffrant d’hypertension, de diabète ou de maladies cardiovasculaires, dont la caractéristique commune est une fonction endothéliale réduite.
Au niveau thérapeutique, cela signifie qu’il faut combattre la multiplication du virus et en même temps protéger et stabiliser le système vasculaire des patients, conclut le Pr Ruschitzka, cité dans le communiqué. Ces travaux sont publiés dans la revue médicale britannique «The Lancet ».

Un virus à nul autre pareil
D’autres recherches publiées dans la revue « Science » vont dans le même sens, évoquant une maladie systémique et un virus qui agit d’une manière différente de tous les autres pathogènes vus jusqu’ici.
Des dommages aux reins, au cerveau et au système nerveux central ont été signalés, de même que crises épileptiques, encéphalites et AVC chez des patients ayant récupéré. Les intestins, riches en récepteurs ACE2, sont un autre front d’attaque : la moitié des patients souffre de diarrhée. Les yeux et le foie sont également touchés ».

Le rôle de la protéine Spike. 

Voici un autre article à relier au précédent source SantéLog.com ici

« La protéine de pointe du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire, actif dans la maladie, révèle cette équipe de virologues du Salk Institute (La Jolla). Plus largement décrite comme une infection respiratoire, en décryptant comment la protéine Spike endommage les cellules, l’équipe documente la maladie COVID-19 comme une maladie principalement vasculaire. Ces conclusions, publiées dans la revue Circulation Research de l’American Heart Association (AHA) permettent de mieux comprendre toute une série de symptômes cardiovasculaires aujourd’hui associés à la maladie.

On sait aujourd’hui que les protéines « spike » du SRAS-CoV-2 aident le virus à infecter son hôte en se fixant sur des cellules hôtes, via le récepteur ACE2. Cette étude révèle que Spike joue également un rôle actif dans la maladie elle-même, en provoquant une fragmentation mitochondriale dans les cellules vasculaires. « Beaucoup de chercheurs et de médecins considèrent le COVID comme une maladie respiratoire, mais c’est vraiment une maladie vasculaire », le Dr Uri Manor, co-auteur principal de l’étude : « Cela permet d’expliquer pourquoi certains patients développent un accident vasculaire cérébral, d’autres une arythmie ou une tachycardie. Le point commun entre ces conditions est leur fondement vasculaire ».

Or les vaccins ciblent la protéine… Spike !

On ne se vaccine pas évidemment pour aller au restaurant ! C’est le degré 0 de l’argumentation médicale ou de santé publique. C’est de la propagande, efficace certes du type « reprendre notre vie d’avant », ou « se retrouver » avec la perversité de la culpabilisation induite, mais ce n’est pas éclairer le choix individuel, ni aider tous les intervenants (y compris les médecins) à mesurer les bénéfices/risques par catégories et par vaccins !

Nous pouvons constater tous les jours et sur tous les sujets que pour « vivre heureux », il ne faut « plus vivre caché ». Non, il faut « vivre avec le cerveau débranché ». Un « bon » citoyen, un « bon » collaborateur, un « bon » manager, est un individu qui désormais ne pose plus aucune question, n’interroge pas la réalité, ne fait plus preuve d’esprit critique. Cerveaux débranchés, tranquillité assurée.

Mais revenons à la question finale qu’il faut bien poser.

Les vaccins ciblent la protéine Spike en codant son ARN, et nombre de réactions aux vaccins posent des problèmes… de circulation de caillots sanguins qui font penser aux effets mêmes produits par le Covid.
Dès lors il faut s’interroger sur les effets même de la protéine Spike.
Et si cette protéine était le problème ?

Ce n’est pas à moi de l’affirmer et je n’ai en aucun cas les compétences ni pour confirmer ni pour infirmer cette hypothèse, mais nous pouvons faire des liens et poser des questions.

D’ailleurs quand bien même la protéine Spike expliquerait les problèmes inflammatoires du virus ou les effets secondaires des vaccins que cela ne voudrait pas forcément dire que le ratio bénéfices/risques ne serait pas en faveur de la vaccination. De la même manière, la chloroquine étant utilisée dans des maladies inflammatoires, c’est peut-être cela qui expliquerait son efficacité lorsqu’elle est administrée dès les tous premiers jours comme l’affirme depuis le départ le Professeur Raoult. Là aussi, il y a évidemment des questions à se poser et des réponses à apporter.

Si nous sommes confrontés à des variants, ne serait-il pas plus pertinent de développer également nos connaissances pour pouvoir soigner et non plus tout miser sur la vaccination, et l’on devrait même dire sur les vaccinations répétées ?

Le problème, généralement, c’est que lorsque les bonnes questions sont posées, elles n’obtiennent jamais de réponse et elles sont confrontées à un silence assourdissant.

Pour éviter toutes « théories du complot », ou plus simplement toute erreur ou rumeur, le plus simple, c’est toujours de dire la vérité et d’expliquer jusqu’à ce que tout le monde comprenne, ou presque ! C’est au prix de la vérité et de la pédagogie que l’on maintient et que l’on alimente la confiance, une confiance qui fait actuellement cruellement défaut dans le processus vaccinal engagé.

Charles SANNAT

Encore un article de Réseau International sur le même sujet

Dr Mike Yeadon (ex Pfizer) déclare que les décès post-vakx1s ne sont pas des coïncidences

L’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, a qualifié aujourd’hui de «mensonge» la présomption de coïncidence concernant la mort suite à la vakxination contre le C0VlD.

«Bien que la vakxination contre le C0VlD implique beaucoup de gens, nous vakxinons tellement de personnes, contre tant d’agents pathogènes, qu’il est impossible de rendre compte de l’augmentation du nombre de décès signalés au VAERS après le C0VlD uniquement sur la base du nombre de vakxinés, » a-t-il dit.

«Ceux qui contestent les près de 4.000 décès après la vakxination contre le C0VlD aux États-Unis, disent généralement que ces rapports ne prétendent pas être causaux. Ce serait juste une coïncidence », a déclaré Yeadon.

«Le contraire à ce mensonge est que, s’il s’agissait d’une simple coïncidence, c’est-à-dire que les gens meurent et si vous vakxcinez suffisamment de gens, vous aurez un certain nombre de décès dû au hasard.

« Eh bien, oui, c’est vrai. Mais ce qui n’est pas vrai, c’est que cette très forte augmentation des décès suite à la vakxination contre le C0VlD soit une simple coïncidence. Si c’était le cas, alors le nombre de décès resterait dans la même proportion dans la population vakxinée, et serait inscrite dans VAERS.

« Et ce n’est PAS ce que VAERS nous montre. Au lieu de cela, presque TOUS les décès signalés peu de temps après la vakxination le sont après la vakxination C0VlD. »

Yeadon poursuit: «La statistique choquante est que près de 99% des décès signalés au VAERS après la vakxination sont survenus après la vakxination C0VlD

« Les 1% d’équilibrage concernaient TOUS LES AUTRES VAKX1S COMBINÉS.

« Quiconque refuse cela est donc un « théoricien de la coïncidence ». »

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Vakx1s, l’esclavage perpétuel avec les passeports sanitaires

Yeadon a poursuivi en mettant en garde contre les implications du «passeport vert», le qualifiant d ‘«apartheid médical illégal»: «Il est très important que les gens comprennent ce qui se passe ici.

« L’intention est d’introduire des passeports vaKXinaux partout. Mais c’est un déguisement. Il s’agit du premier système d’identification numérique et interopérable à l’échelle mondiale, avec un indicateur de santé modifiable (vakxiné, O ou N) ».

« Cela ne rend personne plus en sécurité. Si vous êtes vakxiné, vous êtes protégé et n’êtes pas rendu plus sûr en connaissant le statut immunitaire des autres.« 

« Comme en Israël, vous serez obligé de présenter un VaxPass valide afin d’accéder à des installations définies ou d’accéder à des services. Sans VaxPass, vous êtes refusé. »

«Ce système n’a besoin que de 50% de la population adulte pour démarrer, en raison de son énorme pouvoir coercitif sur les non vakxinés.« 

«C’est un apartheid médical illégal.« 

«S’ils réussissent, cela ne vous aidera pas à refuser; ils passeront à autre chose, laissant la minorité derrière.« 

«Un système VaxPass comme celui-ci donnera à ceux qui contrôlent la base de données et ses algorithmes un CONTRÔLE TOTALITAIRE TYRANNIQUE sur nous tous.« 

«La SEULE façon d’arrêter ce cauchemar de biosécurité est de NE PAS SE FAIRE VAKXINER POUR DES RAISONS NON MÉDICALES !!!

« Je crains que, si nos adversaires obtiennent ce contrôle absolu, ils l’utiliseront pour nuire à la population. Il n’y a pas de limite au mal qui découlera de cet objectif stratégique. »

L’ancien directeur scientifique de Pfizer a conclu par un plaidoyer: «NE PAS PERMETTRE À CE SYSTÈME DE DÉMARRER, car il est ensuite imparable.

« Un exemple : votre VaxPass émet un bip, vous demandant d’assister à votre 3e, 4e ou 5e vakx1 de rappel ou variante. Sinon, votre VaxPass expirera et vous deviendrez une personne externe, incapable d’accéder à votre propre vie. « .

«Combien de choix avez-vous?« 

« Ce n’est aucun. Vous êtes contrôlé. Pour toujours. »

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