Alexandre Boisson sur le délit d’abus de faiblesse

Covid-19, manipulation des foules, le rôle de l’amygdale du cerveau & résilience alimentaire

Alexandre Boisson a été membre du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) de 2002 à 2011, sous Chirac et Sarkozy. Avec le déclenchement de la guerre en Libye, il a décidé de quitter ses fonctions parce qu’il n’était plus en accord avec le pouvoir qu’il défendait. Il nous explique dans cet entretien comment d’après lui les Français sont maltraités psychologiquement depuis 18 mois. Co-fondateur des associations SOS Maires et Existence B, conseiller des Brigades Dicrim, il milite aujourd’hui pour une résilience alimentaire et une autogestion individuelle et collective.

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Le livre SOS Maires: Face à l’effondrement, si j’étais maire

Évaluer l’immunité naturelle anti-Covid : sérologie, immunité cellulaire

par Emma Kahn | 24 Oct 2021 | sur le site de l’AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante) issue du Comité Scientifique Indépendant

Évaluer l’immunité naturelle anti-Covid : sérologie, immunité cellulaire

Le sujet est passionnant, qui d’entre nous s’est vraiment immunisé contre SARS-CoV-2, qui peut donc en documenter une preuve de guérison? Quel crédit accorder aux sérologies réalisées en routine, sont elles fiables et nous montrent-elles une trace certaine de non contamination en cas de négativité? Peut-on bâtir une recommandation vaccinale sur ces seules données? Réponse nette et sans fioriture de notre spécialiste préférée, Hélène Banoun, qui a longtemps écrit dans nos colonnes sous son pseudonyme de Emma Kahn. Une politique sanitaire peut-elle se décider de manière parfaitement inadaptée au seul motif « qu’il faut bien faire quelque chose »… Bonne lecture. 

Résumé
– Il est important d’évaluer l’immunité naturelle contre la Covid-19 : elle est plus solide, plus durable et de meilleure qualité que l’immunité vaccinale
Seule l’immunité adaptative humorale (anticorps) ou cellulaire peut être évaluée ; l’immunité innée n’est pas mesurable. La sérologie est seule pratiquée en routine, c’est la mesure du taux d’anticorps. La mesure du taux d’anticorps conduit à une sous estimation de la séroprévalence qui est pourtant déjà élevée et supérieure à 50% de la population dans la plupart des pays. Les tests sont conçus par rapport à la souche isolée en 2019 en Chine et l’étalonnage se fait par rapport à du sang de convalescents prélevé avant juin 2020.

Il existe une grande hétérogénéité des tests commerciaux disponibles. Un pourcentage important de la population infectée peut présenter une sérologie négative dans les mois suivant l’infection. La recherche de l’immunité cellulaire pourrait éliminer ces faux négatifs mais elle n’est pas applicable en routine et coûte cher.

Introduction

J’ai récemment montré que l’immunité naturelle à la Covid-19 (suite à une infection) était plus solide, plus durable et de meilleure qualité que l’immunité vaccinale (1) Les raisons en ont été exposées récemment par Sonigo et al (2). Avant l’introduction de la 3è dose, les autorités françaises conseillaient une seule dose de vaccin pour les personnes déjà immunisées naturellement (3). Pour l’instant la HAS ne prend pas position sur la nécessité d’une seconde dose chez les personnes ayant déjà été infectées par la Covid  (4) Il est donc important d’évaluer les méthodes de mesure de l’immunité naturelle acquise après infection. Mais les personnes en bonne santé peuvent aussi éliminer un virus grâce à leur immunité innée non spécifique : on ne sait pas évaluer cette immunité et il se peut que chez ces personnes aucune trace de leur rencontre avec le virus ne soit facilement détectable. Dans la Covid, l’infection naturelle commence par les muqueuses du naso-pharynx qui sont un sanctuaire immunitaire (2). L’immunité innée à ce niveau peut suffire à éliminer les virus sans intervention importante de l’immunité adaptative et donc sans production importante d’anticorps spécifiques. De plus l’infection peut être combattue grâce à l’immunité croisée déjà acquise contre les coronavirus de rhume banal (5). L’immunité spécifique (adaptative) peut être évaluée par la mesure des anticorps circulants anti-SARS-CoV-2 et par la mesure de la mémoire cellulaire immune.

Rappel sur Immunité innée et immunité acquise

1- Immunité innée

Une revue récente expose l’immunité innée face aux infections virales (6).

 Ricci D et al., 2021, https://www.mdpi.com/1422-0067/22/13/7017 , Innate Immune Response to SARS-CoV-2 Infection: From Cells to Soluble Mediators

La première ligne de défense contre un virus est l’immunité innée non spécifique qui se manifeste par la sécrétion de molécules antivirales et pro-inflammatoires. Les cellules reconnaissent le virus par des motifs protéiques et d’acides nucléiques qui déclenchent cette immunité innée. En particulier l’ARN naturel du virus, différent d’un ARN humain est détecté par les Toll-like récepteurs (contrairement à l’ARNm vaccinal). La reconnaissance du virus comme un pathogène à éliminer entraîne une cascade d’évènements métaboliques qui peut suffire à éliminer le virus. Des cellules de l’immunité innée contribuent aussi à éliminer le virus : neutrophiles, macrophages, cellules tueuses, etc…

Ricci D et al., 2021, https://www.mdpi.com/1422-0067/22/13/7017 , Innate Immune Response to SARS-CoV-2 Infection: From Cells to Soluble Mediators

2- Immunité adaptative

Extraits d’une revue (7) : Le système immunitaire adaptatif prend le relais si le système immunitaire inné ne parvient pas à détruire les germes. Il cible spécifiquement le type de germe à l’origine de l’infection. Mais pour ce faire, il doit d’abord identifier le germe. Cela signifie qu’il est plus lent à réagir que le système immunitaire inné, mais lorsqu’il le fait, il est plus précis. Il a également l’avantage de pouvoir se « souvenir » des germes, de sorte que la prochaine fois qu’un germe connu est rencontré, le système immunitaire adaptatif peut réagir plus rapidement.

Grâce à cette mémoire, certaines maladies ne peuvent être contractées qu’une seule fois dans la vie : Le système immunitaire adaptatif met quelques jours (maximum 14 jours concernant la Covid) à réagir la première fois qu’il entre en contact avec le germe, mais la fois suivante, le corps peut réagir immédiatement. La deuxième infection n’est alors généralement même pas remarquée, ou du moins elle est moins grave.

Le système immunitaire adaptatif repose sur les lymphocytes T, les lymphocytes B et les anticorps présents dans le sang et les autres fluides corporels.

Les cellules de l’immunité innée et de l’immunité adaptative

-Les lymphocytes T ( appelés T car ils ont été découverts dans le thymus) sont produits dans la moelle osseuse, puis se déplacent vers le thymus par la circulation sanguine, où ils arrivent à maturité.

Les cellules T ont trois fonctions principales :
Elles utilisent des molécules pour activer d’autres cellules du système immunitaire qui vont lancer le système immunitaire adaptatif (cellules T auxiliaires).
Elles détectent les cellules infectées par des virus ou les cellules tumorales et les détruisent (cellules T cytotoxiques).
Certaines cellules T auxiliaires deviennent des cellules T à mémoire après que l’infection a été vaincue. Elles peuvent « se souvenir » des germes qui ont été vaincus et sont alors prêtes à activer rapidement le système immunitaire adapté en cas de nouvelle infection.

Les cellules T possèdent des caractéristiques de détection sur leurs surfaces qui peuvent s’attacher aux germes. Le système immunitaire peut produire en quelques jours un type de cellule T correspondant à chaque germe présent dans une infection.
Ensuite, si un germe se fixe sur un lymphocyte T correspondant, ce dernier commence à se multiplier, créant ainsi d’autres lymphocytes T spécialisés dans ce germe. Comme seules les cellules qui correspondent au germe se multiplient, la réponse immunitaire est spécifique.

-Les lymphocytes B (cellules B) sont fabriqués dans la moelle osseuse et y mûrissent pour devenir des cellules spécialisées du système immunitaire. Ils tirent leur nom du « B » de « bourse de Fabricius », un organe que seuls possèdent les oiseaux et chez qui ils ont été découverts.

Les cellules B sont activées par les cellules T auxiliaires. Elles se multiplient alors et se transforment en plasmocytes. Ces plasmocytes produisent rapidement de très grandes quantités d’anticorps et les libèrent dans le sang. Certaines des cellules B activées se transforment en cellules mémoire et font partie de la « mémoire » du système immunitaire adaptatif.

Les différentes cellules du système immunitaire adaptatif communiquent soit directement, soit par l’intermédiaire de molécules solubles tels que les cytokines (petites protéines).

-Les anticorps sont des glycoprotéines (composés formés de protéines et de sucres ou glucides) qui circulent dans le sang. Ils sont produits par les plasmocytes (cellules B) et sont spécifiques des antigènes des pathogènes auxquels ils se lient.

Sérologie ou mesure des anticorps circulants dans le sang

C’est la mesure des anticorps spécifiques produits contre le SARS-CoV-2, virus responsable de la Covid-19

Rappel, séroprévalence :
J’ai donné récemment (1) quelques mesures de séroprévalence (proportion de la population ayant des anticorps : 1/3 de la population au Kenya en novembre 2020, 25% en Inde en janvier 2021, 23% en France, 50% aux USA, 40% à Madagascar). Depuis de nouvelles données sont sorties :Tchéquie : 51% de séropositifs en février/mrs 2021, Estonie : 77% de positifs au 27 septembre 2021 (8). En Estonie, seuls les anticorps anti-N ont été mesurés et donc cette étude ne prend bien en compte que l’immunité naturelle (N n’est pas incluse dans le vaccin) et ne peut comptabiliser les anticorps induits par le vaccin.

Les tests disponibles

Il existe différentes techniques de détection des anticorps et tous les tests ne détectent pas des anticorps dirigés contre les mêmes antigènes du SARS-CoV-2 : en général il s’agit des anticorps dirigés contre la protéine S (spike), soit entière, soit seulement le RBD (domaine de liaison du récepteur), ou contre la nucléocapside N (protéine liée à l’ARN du virus).

Les réponses immunes des personnes ayant rencontré le virus sont très hétérogènes et certaines peuvent ne pas produire d’anticorps contre l’un ou l’autre des antigènes du virus. De plus les mutations des variants sont nombreuses sur le RBD de la spike, sur la spike entière et en moindre mesure sur la protéine N. Selon le variant auquel a été confronté le patient, les anticorps produits pourraient donc ne pas être détectés par certains tests sérologiques.

  • La HAS autorise 17 tests sérologiques (9).
  • La Commission Européenne recense 588 tests de recherche d’anticorps anti-Covid avec la marque CE et 158 sans marque CE (10).
  • Au 12 octobre 2021, la FDA autorise 89 tests (11)

L’OMS a rendu disponible un étalon international de référence pour le dosage des anticorps anti-SARS-CoV-2. (12). Mais il est obtenu à partir de sang de convalescents prélevés avant juin 2020, donc avant l’émergence des variants. Les sérums sont prélevés plus de 28 jours après le début des symptômes mais il n’est pas précisé la durée maximum après symptômes : il ne donnera pas d’indication sur les prélèvements effectués trop longtemps après l’infection.

La mesure des anticorps neutralisants est pratiquée sur des souches de 2020 et pourrait ne pas être reproductible avec les variants récents.
De très fortes variations apparaissent entre les laboratoires qui testent ces pools de sérums.
Aucun laboratoire français n’a participé à cette évaluation.
Pour le pool à taux faible, très peu de laboratoires utilisant des kits commerciaux ont donné un résultat quantitatif : la moyenne et la variabilité n’ont pu être calculées.
Pour toutes ces raisons, il est donc difficile de se fier aux résultats quantitatifs calculés à partir de cet étalon et rendus fin 2021, et surtout pour les taux faibles d’anticorps.

Evaluation des tests sérologiques

Les performances de ces tests sérologiques varient considérablement, certains tests étant loin de répondre aux critères de sensibilité et d’efficacité proposés par la FDA. En particulier, certains tests sérologiques ont montré que la sensibilité à un stade précoce de l’infection est beaucoup plus faible que celle à un stade avancé de l’infection. (13)
On trouvera dans un article de revue (14), la description complète de tous les tests sérologiques utilisés ainsi que toutes les causes nombreuses de faux positifs (en particulier chez des malades atteints de maladies auto-immunes) et faux négatifs.

Selon de récentes publications, le taux d’anticorps dépend de la sévérité de la maladie: Les convalescents ayant présenté une forme bénigne de Covid sont plus susceptibles d’avoir un taux d’IgG indétectable après plusieurs mois. (15) (16)

Ceci confirme ce qui avait déjà été publié en 2020 (5). Quelques études montrant la corrélation entre sévérité de la maladie et taux d’anticorps :

  • 40% des asymptomatiques sont séronégatifs,
  • 12,9% des symptomatiques aussi dans le début de la convalescence. (17)
  • Selon Wu F. et al., 2020, 30% des rétablis ont un taux faible d’anticorps. (18)
  • Selon Toh ZQ et al., 2021, une proportion plus faible d’enfants séroconvertit par rapport aux adultes [20/54 (37,0 %) contre 32/42 (76,2 %)]. (19). Ce phénomène n’est pas lié à la charge virale, qui est similaire chez les enfants et les adultes [Ct moyen 28,58 vs 24,14 ]. L’âge et le sexe n’ont pas non plus influencé la séroconversion ou l’ampleur de la réponse des anticorps chez les enfants ou les adultes. Chez les adultes (mais pas chez les enfants), les adultes symptomatiques présentaient des taux d’anticorps trois fois plus élevés que les adultes asymptomatiques. Des preuves d’immunité cellulaire ont été observées chez les adultes qui ont séroconverti mais pas chez les enfants qui ont séroconverti (mais on peut difficilement conclure étant donné le faible effectif observé).

Selon Lui W et al (20) la maladie clinique ne garantit pas la séroconversion et les laboratoires disposant de tests RT-PCR très sensibles sont plus susceptibles de détecter les non-répondants sérologiques. Ces résultats fournissent une explication à la variabilité déconcertante de la séroconversion dans les différentes cohortes. 36% de leur cohorte représentaient des non-répondants sérologiques.

Selon Masia M et al,  (21) 25 % des patients ont présenté des titres d’anticorps indétectables. (20) Les patients qui n’ont pas séroconverti présentaient des valeurs de seuil de cycle plus élevées pour la RT-PCR (38,0 contre 28,0 ), un délai plus court pour la clairance virale (3,0 contre 41,0) et étaient plus susceptibles d’avoir le SRAS-CoV-2 détecté uniquement sur des échantillons de selles. Les non-séroconvertis présentaient également des niveaux plus faibles de biomarqueurs inflammatoires sanguins à l’admission et une gravité moindre de la maladie. La sérologie a été effectuée pour les anticorps anti-S1 et anti-N.

Le résultat dépend du temps écoulé entre l’infection et le test sérologique :

Un pourcentage important de la population infectée peut présenter une sérologie négative dans les mois suivant l’infection et la réponse sérologique des IgG aux cibles du SARS-CoV-2 est hétérogène ; ces cibles sont : la protéine spike et la protéine N (nucléocapside). Il y a hétérogénéité de réponse selon les patients et pas seulement selon la gravité de l’infection. (15)

Selon une étude internationale de mars 2021 (22), un an après les symptômes, 36% des IgG anti-S seulement persistent, 31% des IgG anti RBD,et 7% des IgG anti-N persistent; les IgM et IgA disparaissent rapidement. Une modélisation permet d’étendre la durée d’observation de 1 an maximum jusqu’à 2 ans :

Au bout de 6 mois, à peine la moitié (55% ) des IgG anti spike persistent, 36% persistent 12 mois et 16% 24 mois. Moins de la moitié des autres anticorps détectés 15 jours après l’infection persistent (que ce soient les IgG anti RBD, antiN, IgM antiS, RBD ou antiN, IgA anti S, RBD et N)

Un des meilleurs tests selon une équipe française (23) serait le test chinois Wantai dosant les anticorps totaux (IgG, IgM anti RBD de spike) : (24)
C’est un des tests les plus sensibles et spécifiques d’après le fabricant Bioscience. (25)

Les tests les plus utilisés détectent des antigènes différents avec des sensibilités et des spécificités différentes : Selon une étude européenne, on note des différences substantielles de sensibilité et de spécificité selon les laboratoires et selon que les réactifs sont certifiés ou non, le manque d’harmonisation est très net. (26)

Selon une étude canadienne, seul un test commercial s’approche des standards exigés par Health Canada (16)

Les tests ont été conçus à partir des antigènes de la souche de référence isolée à Wuhan en 2019
Depuis, le virus a énormément muté et certains antigènes des variants circulants actuellement pourraient induire la synthèse d’anticorps non reconnus par les tests sérologiques, problème évoqué par Banoun (27). Certains tests pourraient donner des faux négatifs chez les personnes infectées par des variants éloignés : cette éventualité est soulignée par la FDA mais ne semble pas encore évaluée à ce jour (28).

Selon un récent rapport britannique (29), la séroprevalence mesurée par le test Roche anti-N donne un maximum de 25 à 30% de séropositivité selon les régions et les âges. Ce rapport note l’affaiblissement de la réponse des anticorps N au fil du temps. Les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les individus qui contractent l’infection après deux doses de vaccination, comme expliqué précédemment (1) la vaccination peut endommager la capacité du système immunitaire à répondre à l’infection.

De juin à septembre 2021, le profil des niveaux d’anticorps dans ces cohortes diminue progressivement, ce qui correspond à un déclin. Au début de la campagne de vaccination en décembre, les taux d’anticorps se situaient généralement dans une fourchette de 0,8 à 1 000 UA/ml, alors qu’après la vaccination, les taux d’anticorps dépassent généralement 1 000 UA/ml. Les taux d’anticorps sont globalement plus élevés chez les personnes qui ont déjà été infectées ; on s’attend à ce que la vaccination après l’infection et la réinfection après la vaccination augmentent les taux d’anticorps existants.

L’idée actuelle est qu’il n’existe pas de niveau d’anticorps seuil offrant une protection totale contre l’infection, mais qu’au contraire, des niveaux d’anticorps plus élevés sont susceptibles d’être associés à une moindre probabilité d’infection.

Immunité cellulaire

C’est la recherche des cellules mémoires capables de reconnaître immédiatement le virus et de déclencher une réponse rapide Selon une étude française du CHU de Strasbourg (30), la sérologie (détection des anticorps spécifiques) pour détecter l’infection par le SARS-CoV-2 n’est absolument pas fiable : on observe une absence d’anticorps mais une solide immunité cellulaire chez des personnes pauci ou asymptomatiques.

Cette immunité cellulaire peut être évaluée par le test ELISpot ( interferon-gamma (IFN-γ) enzyme linked immunospot ) : dans cette étude, les cellules mononucléées du sang périphérique sont prélevées et stimulées avec un pool de peptides couvrant la protéine spike mais aussi les autres protéines structurales et non structurales du SARS-CoV-2. Ensuite la synthèse d’interféron γ par les cellules T stimulées a été mesurée. Des patients contacts de personnes modérément atteintes de Covid ont développé des symptômes du Covid. Ils sont séronégatifs mais présentent une immunité cellulaire contre le SARS-CoV-2.

Les sérologies ont été effectuées avec 3 tests différents (dont l’une utilisant la technique « lateral flow ») et les épitopes testés sont la nucléoproteine et la proteine spike du SARS-CoV-2

Donc la réponse cellulaire est plus sensible que la sérologie. Un contact asymptomatique développe aussi une réponse cellulaire. L’explication pourrait être que l’exposition à de faibles doses de virus pourrait induire une brève réplication du virus chez ces contacts : l’immunité innée pourrait faire avorter une réplication correcte du virus.Concernant la détection des personnes ayant été infectées par la Covid-19, la recherche d’anticorps conduit donc à une sous-estimation de l’exposition.

Pratiquement tous les patients testés (sains, index et contacts) ont une réponse à la spike des HCoVs (coronavirus de rhume banal). Ceci confirme également ce qui a été publié dès 2020 sur l’immunité croisée avec les coronavirus de rhume banal (5).

Description du test : https://www.kobe-u.ac.jp/research_at_kobe_en/NEWS/collaborations/2020_12_24_01.html

Un réactif commercial est disponible en France : Elispot Cerba (31) : malheureusement ce test coûte cher (environ 200€) et n’est pas remboursé par les assurances maladie.
Le test consiste à mesurer la réponse cellulaire spécifique vis-à-vis de plus de 250 peptides des protéines Spike (S) et de Nucléocapside (N) du SARS-CoV-2 en quantifiant le nombre de lymphocytes T produisant de l’interféron γ. Les lymphocytes du malade ou du patient vacciné sont isolés puis mis en contact avec les antigènes du virus, après 20 heures d’incubation, on mesure la production d’interféron γ. Un test positif permet de différencier l’immunité liée à l’infection par le virus (positivité anti-S et anti-N) d’une immunité liée à la vaccination (positivité anti-S seule).

https://www.lab-cerba.com/home/vous-informer/news/sars-cov-2–un-nouveau-test-dans.html

Un réactif britannique existe et a été évalué également : T-Spot.Covid de Oxford Immunotec Ltd  est disponible au Royaume Uni (32) il a été évalué par Public Health (Wyllie D et al., 2021) et par Kruse et al., 2021.

Conclusion

Avant l’institution de la troisième dose, les autorités de santé recommandaient de n’injecter qu’une seule dose de vaccin aux personnes déjà infectées; elles demandaient donc de faire une sérologie avant injection mais ceci n’était pas obligatoire. À ce jour aucune recommandation claire n’est émise concernant une éventuelle seconde dose pour les personnes déjà infectées.
La sérologie (mesure du taux d’anticorps spécifiques anti-SARS-CoV-2) donne des résultats hétérogènes selon les individus, le temps écoulé depuis l’infection, la sévérité des symptômes observés lors de l’infection, le réactif utilisé, le laboratoire effectuant l’analyse. Les taux faibles d’anticorps sont difficilement interprétables, elle n’est donc pas suffisante en cas de résultat négatif. Il est possible de mesurer l’immunité cellulaire spécifique anti-Covid mais ce test est cher et non remboursé.

Hélène Banoun
Octobre 2021

Notes et sources:
(1) Banoun, 2021a, Covid-19 : Immunité naturelle versus immunité vaccinale, Octobre 2021 https://www.researchgate.net/publication/354985184_Covid-19_Immunite_naturelle_versus_immunite_vaccinale
(2) Sonigo et al., 2021.17 SEPTEMBRE 2021 – FAUT-IL VACCINER CONTRE LA DÉTECTION PAR PCR OU CONTRE LA MALADIE COVID-19 ?, https://www.jle.com/fr/covid19-vacciner-contre-detection-par-PCR-ou-contre-maladie-covid19)
(3) HAS, 12 février 2021, https://www.has-sante.fr/jcms/p_3237456/fr/une-seule-dose-de-vaccin-pour-les-personnes-ayant-deja-ete-infectees-par-le-sars-cov-2
(4) HAS, 16 juillet 2021, https://www.has-sante.fr/jcms/p_3278140/fr/vaccination-contre-la-covid-19-pas-de-dose-de-rappel-pour-le-moment-en-dehors-des-plus-vulnerables-et-des-plus-ages?portal=p_3058934
(5) Banoun, 2020, Covid19 : immunité croisée avec les autres coronavirus, phénomènes immunopathologiques-update-aout2020 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02914300
(6) Majdoul et Compton, 2021, Lessons in self-defence: inhibition of virus entry by intrinsic immunity, https://doi.org/10.1038/s41577-021-00626-8
(7) Cologne, Germany: Institute for Quality and Efficiency in Health Care (IQWiG),The innate and adaptive immune systems, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK279396/
(8) Tchéquie, Estonie, 2021 (Tchéquie, Piler P et al., 2021, Dynamics of seroconversion of anti-SARS-CoV-2 IgG antibodies in the Czech unvaccinated population: nationwide prospective seroconversion (PROSECO) study https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.15.21262007v1 ,
Estonie https://www.ut.ee/en/research/study-prevalence-coronavirus-estonia
https://www.ut.ee/sites/default/files/styles/ut_content_width/public/eng-antikehade-analsitulemused_2.png?itok=umXfBmP9
Jogi P et al.,Seroprevalence of SARS-CoV-2 IgG antibodies in two regions of Estonia (KoroSero-EST- 1) https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.21.20216820v1.full.pdf
(9) Covid-19 Santé Gouv.fr, 2021, Covid-19 Santé Gouv.fr, 2021, https://covid-19.sante.gouv.fr/tests
(10) CE, 2021 , COVID-19 In Vitro Diagnostic Medical Devices https://covid-19-diagnostics.jrc.ec.europa.eu/devices?device_id=&manufacturer=&text_name=&marking=Yes&method=&rapid_diag=&target_type=1&field-1=HSC+common+list+%28RAT%29&value-1=0&search_method=AND#form_content
(11) FDA, 2021, In Vitro Diagnostics EUAs – Serology and Other Adaptive Immune Response Tests for SARS-CoV-2 https://www.fda.gov/medical-devices/coronavirus-disease-2019-covid-19-emergency-use-authorizations-medical-devices/in-vitro-diagnostics-euas-serology-and-other-adaptive-immune-response-tests-sars-cov-2
(12) OMS, 2020, Establishment of the WHO International Standard and Reference Panel for anti-SARS-CoV-2 antibody https://www.who.int/publications/m/item/WHO-BS-2020.2403
(13) Gong F. et al., 2021, Evaluation and Comparison of Serological Methods for COVID-19 Diagnosis https://www.frontiersin.org/article/10.3389/fmolb.2021.682405
(14) Liu G et al., 2021, COVID-19 Antibody Tests and Their Limitations https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC7885805/
(15) Perez-Olmeda M. et al., 2021, Evolution of antibodies against SARS-CoV-2 over seven months: experience of the Nationwide Seroprevalence ENE-COVID Study in Spain
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.03.11.21253142v1
(16) Therrien C. et al., 2021, Multicenter Evaluation of the Clinical Performance and the Neutralizing Antibody Activity Prediction Properties of 10 High-Throughput Serological Assays Used in Clinical Laboratories, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33303562/
(17) Long Q-X et al., 2021, Clinical and immunological assessment of asymptomatic SARS-CoV-2 infections https://www.nature.com/articles/s41591-020-0965-6
(18) Wu F, Wang A, Liu M, et al., 2020, Neutralizing antibody responses to SARS-CoV-2 in a COVID-19 recovered patient cohort and their implications. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.03.30.20047365v2
(19) Toh ZQ et al., 2021,Reduced seroconversion in children compared to adults with mild COVID-19 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.10.17.21265121v1
(20) Lui W et al., 2021, Predictors of Nonseroconversion after SARS-CoV-2 Infection https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8386781/ 
(21) Masia M et al, 2021 , SARS-CoV-2 Seroconversion and Viral Clearance in Patients Hospitalized With COVID-19: Viral Load Predicts Antibody Response, https://doi.org/10.1093/ofid/ofab005
(22) Pelleau S. et al., 2021, Serological reconstruction of COVID-19 epidemics through analysis of antibody kinetics to SARS-CoV-2 proteins https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.03.04.21252532v1
(23) Velay A. et al., 2021, Evaluation of the performance of SARS-CoV-2 serological tools and their positioning in COVID-19 diagnostic strategies https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32957073/
(24) Wantai , FDA https://www.fda.gov/media/140929/download
(25) Bioscience, https://www.bioscience.co.uk/cpl/sars-cov-2-ab-elisa
(26) Ast V. et al., 2021, Assessing the quality of serological testing in the CoViD-19 pandemic: results of a European external quality assessment (EQA) scheme for anti-SARS-CoV-2 antibody detection https://journals.asm.org/doi/10.1128/JCM.00559-21
(27) Banoun,  Evolution of SARS-CoV-2: review of mutations, role of the host immune system 
Banoun H, Nephron (2021 Apr 28:1-12) , https://www.karger.com/Article/Abstract/515417
(28) FDA, 23 /09/2021, https://www.fda.gov/medical-devices/coronavirus-covid-19-and-medical-devices/sars-cov-2-viral-mutations-impact-covid-19-tests
(29) COVID-19 vaccine surveillance report Week 42 https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1027511/Vaccine-surveillance-report-week-42.pdf
(30) Gallais et al., 2020, Intrafamilial exposure to Sars-cov-2 induces cellular immune response without seroconversion
https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/27/1/20-3611_article
(31) Cerba https://www.lab-cerba.com/home/vous-informer/news/sars-cov-2–un-nouveau-test-dans.html
(32) https://www.tspotcovid.com

Auteur de l’article : Emma Kahn

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La collusion systémique des organisations internationales chargées de la santé mondiale : le cas de Genève.

Posted by Jean-Dominique Michel 

C’est un immense honneur pour moi de partager avec les lectrices et lecteurs de ce blog le texte qui suit, généreusement donné à partager par son auteure. Mme Françoise Bloch, socio-anthropologue retraitée du CNRS, est une des meilleures connaisseures de l’univers qu’elle décrit dans son article et des dynamiques putrides qui le régissent hélas. Je ne cacherai pas à ce sujet la tristesse que je ressens à devoir par honnêteté intellectuelle dire du mal d’institutions comme l’OMS ou à un niveau national et local par exemple l’Office fédéral de la santé publique et les Hôpitaux Universitaires de Genève. Ceci pour la bonne et simple raison qu’on y trouve nombre de professionnels intègres et compétents, et que des programmes absolument remarquables y ont été élaborés et mis en œuvre.

Il n’est reste pas moins que ces organisations sont aujourd’hui au cœur des dérives généralisées de corruption systémique, auxquelles elles participent activement. On citera par exemple pour les HUG la méta-analyse frauduleuse Fiolet et al. de l’été dernier, un article malhonnête commandité et supervisé par une soi-disant « star » de la Faculté de médecine, la Pr Caroline Samer, accessoirement grande amie de Karine Lacombe et de Yazdan Yazdanpanah pour ceux qui ont quelque connaissance dans le trombinoscope de la crapulerie en cours. Laquelle, selon le Pr Martin Kulldorff de la Faculté de médecine de Harvard, aura coûté d’innombrables vies mais fort heureusement pour elles engraissé les pharmas qui font danser tout ce petit monde… Grâce donc à cette truanderie, montée en épingle par la presse aux ordres de Big Pharma (comme en Romandie Le Temps, Heidi News et la Revue médical suisse) un ultime clou de cercueil a été fort opportunément planté dans le cercueil des traitements précoces, condition nécessaire à tout ce qui nous a été infligé depuis contre toute science digne de ce nom.

Je connais pareillement des personnes d’une intégrité et d’une qualité rare à l’OMS, proposant des programmes remarquables. Il n’en reste pas moins : l’institution aujourd’hui est un triste exemple paradigmatique des pires scories qui font que, alors que nous croyions vivre en démocratie, nous nous découvrons en réalité ayant basculé dans un totalitarisme mafieux.

Pas besoin de théories abracadabrantesques pour cela : à ce qu’on sache, la corruption généralisée relève bel et bien d’un complot et est donc l’œuvre de comploteurs. L’étiquette de « complotistes » pour nier la réalité du problème et étiqueter dans le même sac infamant les dénonciateurs de ces turpitudes est une réussite de propagande à la hauteur de son naufrage moral, dont ceux qui l’ont servie sur un plateau auront tôt ou tard à rendre des comptes.

La triste réalité est que l’OMS aujourd’hui est prostituée aux marchands du temple et autres sociopathes délirants. Lesquels ont accessoirement trouvé la meilleure couverture qui soit : celle de tout faire et dire ouvertement.

Pour en donner un seul exemple, Bill Gates explique ainsi sans s’en cacher (pourquoi le ferait-il ?!) que l’ingénierie génique est la voie du futur tant pour les plantes que pour les animaux sans oublier bien sûr l’être humain. Et la gauche avec les écologistes de tous poils d’applaudir bruyamment ce programme d’une nature et d’une humanité OGM en louant le généreux philanthrope et se précipitant sur un pseudo-vaccin expérimental qui n’est jamais que sa dernière et dangereuse lubie…

Françoise Bloch connaît bien la maison : elle a fait partie de ces irréductibles alerteurs de conscience qui ont tenu un piquet jour après jour devant le siège de l’OMS (à Genève donc) pour dénoncer les compromissions de l’institution en matière de santé liée à des accidents nucléaires. Car oui, l’OMS, outre de créer des marchés réservés à des intérêts privés, lave plus blanc. Ce en quoi Genève est en effet pour elle un domicile de choix. La compromission des autorités y semble logiquement aussi sans fin que leur manque de scrupules : la GAVI, un bidule aux privilèges gravissimes et servant avant tout les intérêts économiques de M. Gates vient de se voir remettre « amicalement » la cuvée 2020 de la « Vigne des Nations » par l’état genevois. On hésitera à paraphraser Blanche Gardin en adjoignant les politiques aux journalistes…

Or donc, l’auteur nous invite ici dans un magistral tour d’horizon de ces marécages qui, malgré leur puanteur, sont encore décrit par les élites médiatico-politiques comme un jardin de fleurs aux effluves gracieusement philanthropes.

Son texte étant détaillé, j’en reproduis infra le début (résumé et introduction), avec un lien pour que les lecteurs intéressés puissent le télécharger. Sauf à déjà connaître ces réalités, ils y gagneront en intelligence des choses mais pas en réassurance quant à la probité de ceux qui nous conduisent vers l’abîme.

Rappelons pour conclure cette petite introduction que le directeur général de l’OMS est accusé de crimes de guerre, témoignages embarrassants à l’appui. Le lecteur intéressé pourra se reporter à l’analyse toute fraîche de Liliane Held-Khawam sur son blog ô combien recommandable.

  • Le chef de l’OMS a-t-il été un des acteurs-clés qui se seraient livrés à « des meurtres » et auraient autorisé « la détention arbitraire et la torture d’Éthiopiens »? La plainte qui le discrédite. Pour lire l’article : cliquer ici.

Sur son blog tout autant recommandable (Le Courrier des Stratèges), Eric Verhaege, énonce l’intention totalitaire ultime en matière sanitaire.

  • Les dirigeants européens veulent une gouvernance mondiale de la santé. Pour lire l’article : cliquer ici.

Et pour ceusse qui resteraient durs de la feuille ou de la comprenure, la pente des politiques de santé futures voulue par ces bataillons de malfrats est toute tracée -elle évacuera bien sûr au passage les médecins-traitants rendus inutilement coûteux par l’Intelligence Artificielle. Selon le commentaire des Échos, « la santé est le nouvel eldorado des Gafa. Leurs possibilités technologiques sont gigantesques, leur seule limite sera la confiance que les patients et les professionnels leur feront. » On ne saurait mieux dire hélas.

  • Santé : les Gafa désormais à notre chevet. Pour lire l’article : cliquer ici.

Si vous êtes prêts à descendre dans les fange, avec votre anti-moustique, vos anti-parasitaires et votre aspi-venin, la ballade en vaut malgré tout assurément la peine ! Je remercie ici chaleureusement ma consœur François Bloch pour son travail si éclairant et de la possibilité qu’elle m’a accordée de le publier ici.

La collusion systémique des organisations et institutions internationales chargées de la santé mondiale. Le cas spécifique de Genève.

 octobre 2021, par Françoise Bloch, socio-anthropoloque CNRS-Université Lyon 2 retraitée, membre de l’ex-collectif IWHO[1]

Avertissement

La « gestion politique » de la crise sanitaire du Covid, consécutive à l’arrivée d’un virus respiratoire,  le SRAS Cov 2, suscite de nombreuses controverses pour la plupart censurées. En effet, la seule mesure médicale envisagée dès le début pour endiguer l’épidémie finalement peu létale sauf pour les personnes âgées et/ou atteintes de co-morbidités[2] fut très vite d’imposer la vaccination alors que des remèdes efficaces et connus depuis longtemps existaient pour  soigner ce virus. Mais il fut interdit aux médecins de les prescrire. Et pour contraindre les citoyens à la vaccination fut tout d’abord manipulée la peur que les medias distillaient en boucle puis furent prises des mesures de plus en plus liberticides dont la dernière en date est  le pass sanitaire, fortement contesté puisqu’il discrimine les non-vaccinéEs en les privant de tout accès à la vie sociale et culturelle, leur interdisant jusqu’à l’accès aux lieux publics. Des scientifiques et des médecins intègres qui contestent les mesures prises sont disqualifiés, attaqués personnellement, traités de « complotistes » et menacés de perdre leur emploi comme les citoyenNes qui ne consentent pas à se faire vacciner.

 Tout ceci m’a bien sûr interpelée – comme d’autres – et a suscité chez moi  la suspicion mais aussi la curiosité  et bien sûr l’envie de comprendre comment une telle « coordination » des autorités politiques, sanitaires et médiatiques mondiales[3] avait bien pu se construire. Ayant participé pendant dix ans à une Vigie devant l’OMS pour y dénoncer sa dissimulation des effets sanitaires des catastrophes nucléaires, j’avais déjà effectué de premières investigations sur la manière dont l’OMS était financée[4]. Assez vite, j’ai eu envie de les prolonger et de les élargir aux autres organisations internationales qui se « soucient » de la santé mondiale.  Loin d’être exhaustif, ce texte que je soumets à votre curiosité voire à vos critiques, se veut une modeste contribution au débat qui, je le souhaite, devrait s’engager[5].

[1]       Ce texte doit beaucoup à de nombreux-ses autres dont Véronique R., Marie Elise H., Véronique G., membres comme je le fus de l’ex-collectif IWHO https://independentwho.org/en/ et aux membres de Changer de Cap https://changerdecap.net/.  Sans nos échanges, leurs contributions et celles de nombreux autres scientifiques, médecins, juristes et citoyenNes, je n’aurais jamais éprouvé le besoin de l’écrire. Toute  ma gratitude va aussi à ceux et celles, citoyenNes du  monde,  qui luttent et investissent leurs capacités et leur énergie pour le bien commun de l’humanité entière. Qu’ils et elles en soient tous et toutes ici remerciéEs.

[2]       Jean Dominique  Michel mars 2020, Covid 19, fin de partie ? https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/03/18/covid-19-fin-de-partie-305096.html

[3]       Laurent Mucchielli, fevrier 2021, Qui construit la doxa du Covid ? https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/210221/qui-construit-la-doxa-du-covid

[4]       Françoise Bloch, 2015, Premières analyses du financement de l’OMS à travers l’analyse de ses bilans financiers sur 10 ans, document interne non publié !

[5]       Ont été mis en gras certains passages particulièrement pertinents et en italiques les citations et extraits de discours.   Les références de liens, ouvrages ou articles seront en notes de bas de page de manière à ne pas alourdir un texte déjà long. Lecteurs ou lectrices pourront s’y référer et y vérifier mes sources comme il se doit.


Résumé :

Plusieurs organisations et institutions internationales chargées de la santé mondiale – l’OMS, la GAVI vaccine alliance, le Global fund, toutes situées à Genève – bien qu’ayant des statuts différents mais toutes un financement public/privé -, affichent comme  priorité l’amélioration de la santé de la population mondiale par les vaccins et « la protection de la mère et de l’enfant » en visant principalement les pays du Sud mais pas que puisque ce sont les politiques de santé publique occidentales qui leur permettent de s’enrichir en décidant de rembourser tel ou tel médicament ou vaccin et pas tel autre ! L’OMS en particulier collabore avec l’OMC et l’OMPI qui se chargent de breveter puis commercialiser ces vaccins et autres médicaments. Or le financement public-privé de ces organisations internationales est très problématique puisque de très riches et « pseudo philanthropes »  et leurs fondations, loin de faire « don » de leurs contributions les ciblent sur des objectifs précis et exercent sur ces organisations comme sur les recherches qu’ils financent,  un pouvoir exorbitant par l’argent. Tout ceci avec la complicité active des autorités politiques et sanitaires suisses et internationales qu’incarnent les grands pays néolibéraux occidentaux – où sont localisés les sièges des plus grandes multinationales dont les pharmas – qui se sont enrichis et continuent à le faire en pillant les ressources  du Tiers Monde et y fomentant des guerres incessantes….dont la plupart des citoyens occidentaux profitent qu’ils en aient conscience ou pas.

L’épidémie de Covid due à un virus, le SRAS Cov 2, dont l’origine n’est pas naturelle – venant d’un pangolin ou tout autre animal du marché de Wuhan – a longuement été conçue et préparée  selon le modèle d’une guerre bioterroriste en même temps qu’étaient prévus les tests PCR pour le détecter, les vaccins pour l’endiguer et la propagande véhiculée par les médias pour les imposer. Les nombreux dépôts de brevets depuis le début des années 2000 le prouvent : juste retour des choses ! Nous démontrons donc qu’il y a eu collusion systémique de toutes les organisations et institutions internationales pour préparer de longue date cette épidémie de Covid. Toutes ces organisations et institutions internationales se sont en effet coordonnées et concertées pour organiser toute la crise dite sanitaire afin d’élargir le marché des vaccins et vaincre les « résistances culturelles» et les « obstacles de genre »  en utilisant tous les moyens, y compris la coercition, pour convaincre de leur efficacité.

Or au vu de tous les scandales et expérimentations vaccinales faites sur l’humain – et en particulier sur les femmes et les enfants – qui ont eu lieu tant dans les pays du Sud que dans ceux du Nord et de nombreux travaux de recherche passés sous silence, peuvent être comprises ces « résistances y compris de genre». Ces travaux démontrent que la vaccination massive des enfants, une erreur médicale du 19ème siècle dans le prolongement des travaux pasteuriens, tous falsifiés, ne résout en rien les maladies qu’elle prétend guérir mais au contraire provoque des effets secondaires dont certains mortifères, un abaissement des défenses immunitaires naturelles et l’augmentation des maladies dégénératives de plus en plus nombreuses. Les « pseudo vaccins contre le Covid » – des thérapies géniques expérimentales mises sur « le marché » avec une autorisation conditionnelle – n’échappent pas à ces constats, compte tenu des effets secondaires et des décès qu’elles provoquent. L’immunité naturelle est bien plus convaincante pour lutter contre des virus que l’efficacité contestée des vaccins.  Mais  par contre, cette crise dite du Covid met en évidence pour ceux et celles qui l’ignoraient,  le degré de corruption dans lequel « ces nouveaux maîtres du monde » entrainent et gangrènent  les institutions – scientifiques, médicales, politiques….et médiatiques- qu’elles financent en prétendant lutter contre les maladies dont….la pauvreté, les inégalités sociales et internationales, la  pollution des sols, de l’air comme la prédation des ressources naturelles sont les causes qu’ils s’emploient à perpétuer .

Toutefois, au-delà de la question de la vaccination, ces « nouveaux maîtres du monde » partagent une idéologie 2.0 que la crise sanitaire leur a permis d’amplifier, un bel effet d’aubaine !  Cette idéologie mêle transhumanisme, »homme augmenté » Intelligence artificielle., génétique, amplification du numérique et de l’informatique, nanotechnologies et  un asséchement des finances publiques vers plus de privatisations,  afin d’exercer un contrôle total sur nos vies pour , disent-ils, notre « plus grand bien » mais surtout pour leur plus grand profit.

Il reste désormais aux citoyenNEs de se mobiliser  pour reprendre le contrôle de leur vie et de leur santé avant que ce qui constitue l’humain disparaisse derrière des écrans et des « béquilles » technologiques ainsi que l’humanité entière sous les effets de la crise climatique, financière, psychologique et sociale.  

*****

La Suisse, principalement connue pour ses montagnes somptueuses et enneigées, sa « neutralité » à géométrie variable et sa stabilité  politique reposant sur le consensus et la démocratie semi-directe et laissant une grande autonomie aux cantons, l’est aussi pour ses banques, « son optimisation fiscale », c’est à dire une fiscalité attrayante  pour les riches et les sièges de multinationales[1] qu’elle a su attirer. Elle n’est d’ailleurs pas la seule à offrir aux riches le bénéfice  d’avantages fiscaux.

Mais elle l’est aussi pour l’accueil qu’elle offre à des organisations internationales dont la plupart sont domiciliées dans la « ville du bout du lac », c’est à dire à Genève. Celle-ci  tire  sa réputation de ville internationale de la présence du siège de l’ONU et des nombreuses organisations qui y sont « accueillies ». Dépositaire des conventions du même nom, Genève ne porte pas que l’habit « humanitaire » dont elle souhaiterait être revêtue, même si le CICR (comité internationale de la Croix Rouge),  la commission des droits de l’homme et le UNHCR (Haut commissariat aux réfugiés, une agence de l’ONU)  sont aussi situées à Genève. Elle sait toutefois s’accommoder de cet habit, certainement trop grand pour elle, et en tirer bien sûr, quelques avantages. On ne mord pas la main qui vous nourrit.

Introduction : de quelques clarifications et éléments de contexte

Trois institutions internationales sises à Genève se trouvent en effet régir la politique de santé mondiale en promouvant la vaccination de la population mondiale au centre de larges controverses[2] actuelles sur la gestion politique et sanitaire du Covid 19 : l’OMS (organisation mondiale de la santé) , la GAVI vaccine alliance et le Global Fund (Fonds Mondial pour la lutte contre la tuberculose, le VIH et le paludisme et tout récemment le Covid)  – toutes situées dans un périmètre proche sur des terrains dévolus aux organisations internationales par le Canton de Genève.

Ces trois institutions, auxquelles il faut ajouter l’OMC (organisation mondiale du commerce) et l’OMPI (organisation mondiale de la propriété intellectuelle) – situées à une encablure des trois autres, n’ont toutefois pas la même « transparence », ont des statuts et « gouvernances » différents.  Toutefois,  elles  interagissent entre elles de manière systémique au point d’ailleurs que leurs cadres dirigeants « naviguent » de l’une à l’autre  comme, entre autres, le Directeur actuel de l’OMS – Tedros Adhanom Ghebreyesus – élu en 2017 à la tête de cette organisation   : il fut en effet membre du CA du Global Fund de 2009 à 2011, et président du conseil de la GAVI vaccine Alliance en 2008-2009 avant d’être élu à la direction de l’OMS.

Outre le fait de prétendre lutter contre les maladies, pour la santé de l’humanité entière grâce à la vaccination , elles ont un point commun, d’avoir un financement public-privé et donc de dépendre depuis une bonne vingtaine d’années  des plus grands pays néolibéraux et de « généreux philanthropes »  privés  dont le très emblématique Bill Gates (et sa fondation FBMG) qui créa, finança et continue à financer la GAVI vaccine Alliance et le Global Fund et est devenu le premier « contributeur volontaire» au budget de l’OMS. Tous ces « généreux philanthropes »privés dont la fortune dépasse celle des états ont un objectif précis depuis une bonne trentaine d’années : imposer des mesures d’austérité à tous les services publics par des politiques dites de « public management », en souhaitant de facto les détruire dans les pays où ils existaient et existent encore. Tout ceci pour les vendre à des multinationales et au secteur privé comme furent déjà vendus nombre de biens publics[3].

De généreux philanthropes ? Réglons tout de suite la question.

Comme l’ont déjà très bien montré  Lionel Astruc[4] et Vandana Shiva[5], Bill et Melinda Gates et ses amis, « de riches philanthropes» ne sont pas motivés par leur seule générosité mais «leur avidité prend l’habit de la générosité» car «en donnant, ils prennent» et continuent de s’enrichir en investissant dans de multiples domaines dont les vaccins, les biotechnologies, les semences, la génétique et bien sûr le numérique[6]Ils en ont fait leur propriété intellectuelle comme tous «ces nouveaux maîtres du monde» qui modèlent le paysage de notre monde hyper-technicisé,  informatisé, numérisé…..et médicalisé c’est à dire tout sauf humain.

Pour la seule année 2020, la fortune des Gates s’est encore «étoffée» de quelques 22 milliards de US$ atteignant provisoirement 124 milliards dont une bonne partie, sinon la totalité, se trouve dans un réseau mondial de paradis fiscaux comme celles des 188 sur 201 plus grandes multinationales. Cette évasion fiscale représente 7,600 milliards de US$ [7], sommes qui échappent aux Etats dont ils pourraient bénéficier pour financer une politique de santé publique….et de prévention.

Si de tout temps, comme l’écrit Didier Minot, « les riches ont toujours légitimé leur situation en faisant preuve de générosité , l’invention de la philanthropie au 18ème siècle s’accompagne d’une pensée tournée vers l’essor de l’économie privée, le progrès par la science et la domination politique de la bourgeoisie. Et aux 19ème et 20ème siècles, chaque fois que les grandes fortunes se sont multipliées sans frein, la philanthropie s’est développée dans un double mouvement de justification des inégalités et de traitement privé de la question sociale »[8], l’essor du financement de la politique de santé mondiale par des « pseudo-philanthropes » et leurs fondations montre toutes ses limites  prédatrices au vu des intérêts privés qu’ils poursuivent à travers des partenariats public/privé.

Car il  aura fallu la crise du Covid pour que soit mis en évidence le niveau massif de conflits d’intérêts  voire de corruption qui gangrènent les différents champs du social – scientifique, médical, médiatique et politique – et les institutions internationales, et que la puissance financière de ces riches provoque et alimente.

Disons les choses clairement : ces « pseudo philanthropes », en orientant et influençant les objectifs de ces institutions qu’ils financent,  y exercent tout simplement leur pouvoir par l’argent et y propagent leur idéologie : seul le privé peut résoudre les problèmes de santé mondiale. En même temps qu’ils propagent la corruption de toutes les institutions par ce que l’on nomme pudiquement « des conflits d’intérêts ».

Tout ceci bien sûr n’est en aucun cas du don !

Qu’est ce que le don ?Une précision s’impose en effet à partir des nombreux travaux de recherche menés autour de la Revue du MAUSS (mouvement anti-utilitariste en sciences sociales) dont ceux que, modestement,  j’ai et nous avons menés pendant une bonne quinzaine d’années sur le don[9].En effet, le don qui prévalait comme « fait social total [10]» dans les sociétés primitives ou archaïques…. sociétés et civilisations qui ont toutes disparu car exterminées par les colonialistes occidentaux, est, dans nos sociétés en cours de disparition car il est envahi par l’argent, le calcul et l’intérêt. Le don est l’autre de l’économique et du « marché » voire des services publics : il rend inséparables objets et sujets, c’est à dire que la matérialité de ce qui est donné est inséparable de la relation qu’on entretient avec le donataire et dépend de la qualité de cette relation. Le don et sa dynamique concernent les relations intersubjectives et sont de plus en plus limitées aux relations familiales, intergénérationnelles et amicales qui furent justement mises à mal pendant cette crise du Covid !Toutes choses qu’ignorent le « marché » et ceux qui le servent et s’en enrichissent. Au contraire, ils se complaisent à séparer sujets et objets, à tel point que les « sujets » peuvent devenir des « objets » de plus en plus surnuméraires voire obsolescents comme l’écrivait déjà en 1956 Günther Anders[11]. Le don n’a d’efficience que si le donateur prend en considération l’autre, le donataire, le considérant comme un sujet ayant sa propre subjectivité en tant qu’il est un humain à la fois semblable mais aussi différent.  Le don est donc ouverture à l’altérité.De surcroît, le don sollicite la mémoire, que le « marché » ignore mais il est toujours pris entre la gratuité et l’emprise : on peut exercer un grand pouvoir sur l’autre en donnant, risque à éviter si on ne veut pas que le donataire s’esquive et refuse la relation en même temps que l’objet ou le service qu’on lui propose. Si de surcroît, on le lui impose, soi-disant pour son bien, ce geste peut provoquer une grande violence comme tout rapport de domination et de pouvoir. Le don réside donc dans l’esprit de celui qui reçoit et non dans celui qui donne. Il n’est en aucun une économie comptable qui a envahi tout le social, services publics compris.De plus en plus réduit à sa portion congrue, le paradigme du don ne saurait être appliqué à ces « pseudo philanthropes » qui servent leurs intérêts et exercent, par l’argent, leur pouvoir sur les autres quoi qu’ils en prétendent. Ce serait un comble et un trop grand honneur de les affubler du qualificatif « d’altruistes ».Aussi, nous intéresserons-nous aux « autres », ceux et celles qui sont ditEs « bénéficiaires » des « libéralités » de ces pseudo philanthropes qui prétendent oeuvrer pour leur santé et leur bien-être….en leur imposant ce qu’ils disent être pour leur bien…

Au contraire, nous suivrons le circuit de l’argent  et montrerons en quoi l’argent sert à exercer son pouvoir sur les autres.

Si nous centrons notre attention sur Bill Gates et sa fondation qui est loin d’être le seul à pratiquer «l’optimisation fiscale» et à s’enrichir, nous n’avons pas l’intention d’en faire une figure emblématique et encore moins un bouc-émissaire : il n’est que le produit de sa classe sociale et de son idéologie 2.0[12] mais il aime être dans la lumière, contrairement à ceux qui restent dans l’ombre. De surcroît, il a le grand mérite de dire ouvertement ce qu’il fait contrairement à ses très riches complices et obligés qui se taisent mais partagent son idéologie qui les pousse à croire que seules les technologies sauveront le monde y compris de la crise écologique et climatique.

Bill Gates se trouve en effet à l’articulation entre le numérique, l’identification électronique, le brevetage du vivant[13], la génétique et  les politiques de santé mondiale….et au centre du financement des trois organisations que nous allons étudier dont deux furent créées par lui. Dans ce monde des organisations internationales où les paroles sont  rares et feutrées – diplomatie oblige –  Bill Gates tranche par les propos qu’il y tient y compris  publiquement. Nous en citerons donc quelques uns particulièrement éclairants s’agissant de l’objectif qu’il poursuit avec sa fondation et les brevets qu’il détient comme d’autres de ses amis d’ailleurs, à savoir «les nouveaux maîtres du monde hors sol».

Éléments de contexte : une « pandémie » préparée de longue date

Contrairement à l’hypothèse propagée au début de cette crise, attribuant l’origine du SRAS Cov 2  à la contamination d’humains par un ou plusieurs animaux vendus sur le marché de Wuhan – version qui aurait été plus «  politiquement correcte » et prise comme hypothèse un peu rapide par M. Monique Robin et Serge Morand[14] –  cette crise sanitaire a  été  minutieusement préparée et de longue date.

Ainsi, la concomitance entre la création de partenariats public/privé depuis une bonne vingtaine d’années qui mettent la priorité en matière de santé mondiale sur la vaccination et la « protection de la mère et l’enfant », l’annonce d’une soudaine épidémie dite «létale» dont la vaccination fut la seule solution préconisée pour l’endiguer et les dépôts de brevets recueillis par M-CAM[15] pendant ce laps de temps, aurait dû attirer notre attention. Cette concomitance met en évidence et résulte d’une concertation et collusion au plus haut niveau des instances sanitaires», économiques et politiques depuis au moins le début des années 2000 comme le démontre, preuves à l’appui, le Dr David Martin à partir des dépôts de brevets [16] :

            « Imaginez comme je suis désappointé d’être assis ici 20 ans plus tard après avoir signalé 20 ans plus tôt qu’un problème se profilait à l’horizon en ce qui concerne le coronavirus. Mais après l’épidémie présumée de 2002-2003 ….il est important que nous comprenions que le coronavirus a un agent pathogène circulant à l’intérieur du modèle viral, celui que nous avons. Il n’est en fait pas nouveau pour l’humanité et il n’est pas nouveau depuis les deux dernières décennies (…). Mais la prétendue épidémie qui a eu lieu en Chine en 2002 jusqu’en 2003[17] a donné lieu à un dossier très problématique en avril 2003 par le Centre pour la prévention des maladies des US [18]…..  En plus de déposer toute la séquence génétique de ce qui est devenu le SRAS – ce qui est une violation de l’article 101 du Code US 35, selon lequel vous ne pouvez pas breveter une substance d’origine naturelle- , ce brevet a  aussi été associé à une série de brevets dérivés. Ce sont des demandes de brevets séparés car elles portaient sur de multiples objets brevetables (…)qui couvraient non seulement la séquence génétique du coronavirus SRAS mais également les moyens de le détecter par RTPCR[19].

                  «si vous possédez à la fois le brevet sur le gène lui-même et le brevet sur sa détection, vous avez    l’avantage de pouvoir contrôler à 100%  non seulement la provenance du virus lui- même mais aussi sa détection. Cela signifie que vous avez un contrôle scientifique total et un contrôle total sur la communication.»

En effet, poursuit-il : «  Ce qui est problématique et qui est en fait le problème le plus flagrant c’est qu’Antony Fauci et le NIAID ont trouvé que la maniabilité du coronavirus était un candidat potentiel contre le VIH. Donc le SRAS n’est pas une progression naturelle d’une modification génétique du coronavirus. En fait, en 1999, Antony Fauci a financé des recherches à l’université de Caroline du Nord pour créer, et vous ne pouvez pas vous empêcher de déplorer ce que je m’apprête à lire car cela vient directement d’une demande de brevet déposé le 19 avril 2002 – vous avez bien entendu la date –  2002 – où le NIAID a construit un coronavirus infectieux à réplication défectueuse. (silence)Ils ont été spécifiquement ciblés pour l’épithélium pulmonaireEn d’autres termes, nous avons créé le SRAS et nous l’avons breveté le 19 avril 2002 avant qu’il n’y ait d’épidémie présumée en Asie (….) Et notre préoccupation était que le coronavirus était considéré comme un agent manipulable pour une utilisation potentielle comme vecteur de vaccins mais qu’il était aussi considéré très clairement considéré comme un candidat pour une arme biologique »

«  Peter Daszak[20] a été celui qui a corroboré de « manière indépendante » la théorie chinoise de non fuite du laboratoire de Wuhan car il n’y a pas eu fuite d’un laboratoire, il s’agissait d’une bio-militarisation intentionnelle de protéïnes de pointe à injecter aux gens en les rendant dépendants d’un vaccin coronavirus.». A la question : il n’y a rien de nouveau dans tout cela ? Il répond «  non, Rien. Zéro. 73 brevets sur tout ce qui est cliniquement nouveau, 73 tous délivrés avant 2019 »

«Ma citation préférée de cette pandémie est une déclaration faite en 2015 par Peter Daszak, rapportée dans la presse des académies nationales le 12 février 2016,  je cite « Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité des contre-mesures médicales comme un vaccin contre TOUS les coronavirusLe moteur clef est le système médiatique et l’économie suivra le battage    médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient des bénéfices à la fin du processus».

Ce que confirme Monika Karbowska[21] dans un très long texte : cette « pandémie » a été construite sur le même modèle qu’une guerre bio- terroriste après les attentats des Twin Towers de NYC  par le Le Global Health Security Initiative (Initiative Globale pour une Sécurité Sanitaire) crée en novembre 2001 afin de justifier une intervention militaire en Irak :

                  « Le Global Health Security Initiative est un think tank dirigé par les Etats Unis basé au Canada où il a été chargé d’organiser les «epidemic responses» – soit une gestion de l’épidémie qui serait consécutive à une possible attaque terroriste à l’anthrax. Il inclut les Etats d’Europe comme l’Allemagne, la France et l’Italie, puis le Japon, le Mexique ainsi que l’OMS déjà dans les mains du financeur Bill Gates. Dès 2002 cependant le programme de cette entité, en dehors de toute légalité démocratique, ne prévoit pas une politique coordonnée des ministres de la défense pour riposter à une guerre, mais des réunions régulières des ministres de la santé pour gérer une «pandémie mondiale» d’origine naturelle, le terme de pandémie étant traduit de l’anglais où il signifie « épidémie ».

Le «storytelling» et les «éléments de langage» – y compris « nous sommes en guerre »-, utilisés durant la crise du Covid n’en seraient, selon elle, que le prolongement. Ce modèle «d’épidémie grippale comme guerre bioterroriste»  comportait tous les détails que nous avons connus pendant la crise du Covid : «prohibition de toute vie sociale, fermeture des écoles et des universités, suppressions des événements culturels, des activités associatives et politiques, des loisirs et des sports ». Y furent juste ajoutées la suppression de tous les contacts intra-familiaux  et la maltraitance des enfants mais plus largement de toute la population : interdiction de voir ses proches et de leur porter secours, voire même de les accompagner en fin de vie, aux petits-enfants de voir leurs grands parents, etc.  pour  faire croire en un danger imminent menaçant la vie de chacunE et instrumentalisant la peur de la mort par des images que les médias ont propagées en boucle. L’effet d’hypnose que provoquent les écrans a fait le reste en mobilisant les émotions et en réduisant la capacité de penser et d’agir par soi-même….pour beaucoup mais pas pour tous et toutes qui ont saisi très vite les incohérences disruptives.[22]

Inutile toutefois de  faire appel à une théorie du complot mais de comprendre qu’il y a eu concertation, coordination et collusion au plus haut niveau depuis le début des années 2000 concernant la venue d’une pseudo « pandémie ». Celle-ci  justifiait bien sûr des mesures radicales dont la mise sur le marché de vaccins expérimentaux soi-disant produits dans l’urgence pour l’endiguer. Ils étaient de facto déjà étudiés depuis des années : « Tous les brevets concernant le SRAS Cov 2 et les «vaccins» se sont échelonnés sur 20 ans (…) Le premier vaccin contre le coronavirus était recherché par Pfizer. L’application contre le coronavirus était précisément cette protéine de pointe. Donc la même chose que prétendument nous nous sommes précipités à inventer. La première demande a été déposée le 28 janvier 2000, il y a 21 ans !» nous précise David Martin.[23] Et les tests PCR pour détecter les personnes atteintes du virus, y compris asymptomatiques, étaient vendus à Wuhan plusieurs mois avant l’arrivée du virus [24].

La collaboration de l’OMPI et de l’OMC, aussi situées à Genève,  est instituée afin que les brevets  garantissent aux investisseurs privés ou institutionnels (comme les fonds de pension et autres Black Rock[25] et Vanguard[26]) la fiabilité de leurs placements.

Tout ce que nous vivons actuellement avec le Covid 19 et la priorité donnée aux vaccins plutôt qu’aux médicaments qui traitent étaient prévus depuis 20 ans et longuement mûri comme le confirme aussi  Monika Karbowska [27]!

Si toutes les organisations internationales que nous allons étudier affichent comme objectif commun « de lutter pour la santé mondiale et pour le bien être de l’humanité » (sic) grâce aux vaccins, le fait qu’elles soient financées par de riches contributeurs privés pose de très gros problèmes qui apparaissent massivement actuellement. Car, en y réfléchissant bien et en nous positionnant selon leur point de vue : quel intérêt auraient les grandes entreprises pharmaceutiques et autres multinationales de la santé à nous maintenir en bonne santé ? Bien au contraire, elles s’enrichissent sur nos maladies quand elles ne les provoquent pas. Aussi, allons-nous suivre le circuit de l’argent pour mieux comprendre qui finance ces organisations internationales en poursuivant nos investigations de 2015, ce que tout journaliste d’investigation aurait pu faire…..

[1]       Bien entendu, seuls les sièges de ces multinationales sont courtisés par les capitales européennes ou occidentales….leurs usines sont localisées ailleurs, dans les pays où la main d’oeuvre est corvéable à merci et les droits sociaux inexistants.

[2]       Ces controverses, courantes dans le milieu scientifique, mais aussi dans les débats politiques  ont été étouffées durant toute la durée de la crise du Covid, et leurs auteurs disqualifiés et traités de « complotistes » ou de propagateurs de fake news.

[3]       Laurent Mauduit, 2020, Prédations. Histoire des privatisations des biens publics, La Découverte

[4]       Lional Astruc, 2019, La fausse générosité de la fondation Bill et Melinda Gates, Actes Sud

postface de Vandana Shiva

[5]       Vandana Shiva avec Kartikey Shiva, 2019, 1 % Reprendre le pouvoir face à la toute puissance des riches, , Ed. L’échiquier. Titre original : 2018, Oweness v/s the 1 %. Shattering Illusions, Seeding Freedom, Women Unlimited

[6]       Bill Gates fut le créateur de Microsoft dans les années 80 en s’appropriant  les logiciels libres, devenus sa propriété intellectuelle et en bénéficiant d’allégements fiscaux aux USA mais, durant la « crise du Covid », il a aussi acquis des actions chez Apple et Amazon.

[7]       Une économie au profit des 1 %, Oxfam International, 18 janvier 2016, cité par Vandana Shiva, op. p.149 et suiv.

[8]       Didier Minot, 2019, A quoi sert la philanthropie ? Richesse privée, action publique ou mobilisation citoyenne, Ed. Charles Léopold Mayer

[9]       Parmi les nombreux ouvrages sur le don : Donner, recevoir et rendre. L’autre paradigme,  La Revue du MAUSS,1991, n°11, La Découverte, Ce que donner veut dire. Don et intérêt, 1993, La Découverte

  1. Bloch, M. Buisson, 1994, La circulation du don entre générations ou comment reçoit-on ? Communications, 59

[10]     Marcel Mauss, 1ère parution 1925, L’essai sur le don,  l’ouvrage le plus commenté de la littérature anthropologique  fut publié pendant la 1ère mondialisation pour contrer les visions économicistes dont Levi-Strauss le lisant 50 ans plus tard en souligna l’importance.

[11]     Günther Anders, 1959, L’obsolescence de l’homme : sur l’âme à l’époque de la deuxième révolution industrielle, 2 tomes. Payot. Nous en sommes désormais à la 3ème révolution industrielle et l’avenir de l’homme risque bien d’être pire si nous n’y prenons garde.

[12]     L’idéologie et l’homme 2.0 (ou homme augmenté) font appel à toute une série de nouvelles technologies dont l’IA, la génétique, le numérique et participent du courant transhumaniste dont le lecteur intéressé pourra trouver des références sur le web.

[13]     Brevetage du vivant contraire aux accords d’Oviedo et au code de Nuremberg.

[14]     Marie-Monique Robin, avec la collaboration de Serge Morand, 2021, La fabrique des pandémies, La Découverte.

Ce qui ne veut nullement dire que leur livre n’est pas important mais d’avoir envisagé , comme seule hypothèse, l’ origine animale des pandémies a limité leur champ d’investigation. Les humains sont bien plus pervers encore….

[15]     M-CAM, est une société internationale de souscription et d’analyse d’actifs incorporels couvrant des travaux dans le financement de l’innovation, le commerce et le financement des actifs incorporels. Elle a été fondée par le Dr David Martin qui en est le président depuis 1998. Elle a comme objectif d’analyser les brevets et leur financement  https://www.m-cam.com/about-us/

[16]     Entretien effectué par Reiner Fuellmich et son équipe allemande qui font un travail remarquable. Qu’ils en soient eux aussi remerciés : Pandemic Fraud https://infovf.com/video/reiner-fuellmish-pandemic-fraud-version-integrale-1h20–9908.html?

[17]     Il s’agit ici de l’épidémie  de syndrome respiratoire aigu sévère, une maladie émergente causée par le coronavirus SARS-CoV, ayant commencé en novembre 2002 à Foshan en Chine. Plus de 8 000 personnes sont infectées et 774 personnes en sont décédées dans le monde. https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89pid%C3%A9mie_de_SRAS_de_2002-2004

[18]     Le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) a un financement public-privé https://www.hhs.gov/sites/default/files/fy-2019-hhs-agency-financial-report.pdf. Il est dirigé depuis 1984 par Antony Fauci qui  est aussi directeur du NIAID , l’équivalent du ministère de la santé français.

[19]     Les tests RTPCR de Drosten furent utilisés pendant la crise sanitaire, amplifiant de manière démesurée le sentiment de peur véhiculée par les médias,  les gouvernements et les instances sanitaires et ont fait de personnes sans symptôme des malades potentiels à isoler.

[20]                 Peter Daszak est un zoologue britannique et un expert en écologie des maladies, et notamment en zoonoses…mais aussi à la tête d’une ONG EcoHealthAlliance qui, avec des financements fédéraux US a collaboré à l’Institut de virologie de Wuhan.

[21]     Monika Karbowska, membre du comité de soutien à Julian Assange,  « Comment en 20 ans « la pandémie grippale » a été préparée comme une guerre bioterroriste », wikijustice-contre-la-dictature-sanitaire.com/index.php/2021/05/31/comment-en-20-ans-la-pandemie-grippale-covid-a-ete-preparee-comme-une-guerre-bioterroriste/

[22]     Effet d’hypnose très bien décrit par Peter Entell, 2003, The Tube, documentaire de la RTS et par Dany Robert Dufour, 2003, L’art de réduire les têtes. Sur la nouvelle     servitude de l’homme libéré à l’ère du capitalisme total, Denoël.

[23]     o.c.

[24]              PCR Sales Soared in Wuhan Before 1st Official COVID Cases Publicized https://principia-scientific.com/pcr-sales-soared-in-wuhan-before-1st-official-covid-cases-publicized/

[25]     BlackRock est une société multinationale américaine spécialisée dans la gestion d’actifs, dont le siège social est situé à New York. Fondée en 1988, elle est devenue le plus important gestionnaire d’actifs au monde, avec près de 7 800 milliards de dollars d’encours en octobre 2020. Wikipédia

[26]     The Vanguard Group est une société américaine de fonds d’investissement. Le groupe est basé à Malvern en Pennsylvanie et offre différents types de placements et autres produits financiers pour des individus, des sociétés ou des investisseurs institutionnels. Wikipédia

[27]     op. c.

Covid : l’Allemagne a trouvé son Edward Snowden

 Publié le 21/10/2021 sur France Soir

Façade de la London School of Hygiene and Tropical MedicineWikimedia

Le 22 septembre, Langemann Medien publiait sur sa chaîne YouTube un entretien – visionné à ce jour près de 500 000 fois – avec un jeune mathématicien et expert-informaticien dont on se souviendra peut-être comme l’Edward Snowden allemand. Nous l’appelerons “Eduard Schneeten” (pour des raisons évidentes, il souhaite rester anonyme). 
Assisté de l’analyste politique Thomas Röper (Anti-Spiegel.deApolut.net), Eduard Schneeten a passé au crible depuis six mois plusieurs millions de documents grâce à des logiciels spécialisés.

Cela a permis de mettre à jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre dite « anticovid », de démontrer qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit et chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population mondiale à se soumettre au dictat d’intérêts privés sous prétexte de “santé publique

Ces réseaux sont désormais parfaitement identifiés grâce aux deux analystes. Le vidéo de Langemann Medien présente en langue anglaise un premier document (169 pages) d’une série à paraître d’ici deux mois environ sous forme de livre, la présentation actuelle sous forme de tableaux Excel et graphiques étant de consultation peu aisée par des non-spécialistes. 

L’analyse se divise ainsi :
– Les 20 à 30 figures-clefs qui poursuivent tranquillement leur œuvre à l’ombre des figures notoires telles Gates ou Schwab ;
– Les flux financiers internationaux et leur montant (colossal) ;
– Les ONG (dont le rôle notamment dans le financement est fondamental), les universités et entreprises-clef par lesquelles transitent les fonds. Ces flux ont été chiffrés par Schneeten et Röper. L’attention des analystes a été attirée – pour ne donner qu’un exemple – par un petit pavillon insignifiant de banlieue aux États-Unis, utilisé comme “boîte postale” par plusieurs ONG disposant de dizaines de millions de dollars.
– Le mode opératoire de prise de contrôle des gouvernements et institutions occidentaux. 

Tous les documents consultés sont dans le domaine public et les logiciels utilisés, quoique coûteux et donc habituellement achetés par des gouvernements ou services secrets, sont également disponibles à l’achat par Monsieur Tout-le-monde. Ainsi, on ne peut reprocher ni acte d’espionnage, ni indiscrétion, ni illégalité à Thomas Röper et Eduard Schneeten.
Les ouï-dire ou signalements d’initiés ont été rigoureusement écartés. Toutes de source originale, les données n’ont pas été retouchées. Faut-il s’étonner qu’aucun journal, émission ou publication en-ligne occidental bénéficiant des largesses financières de Gates – la BBC, Le Monde et al. – n’a souhaité entreprendre de près ou de loin des recherches telles celles de Schneeten et Röper ?
 Schneeten et Röper, qui ne se connaissaient pas jusqu’à il y a six mois, constatent en s’appuyant sur des données factuelles que la manœuvre dite anticovid est en préparation depuis au moins 2017, moment où l’on observe soudainement des flux de fonds empruntant des sillons bien définis et où les contacts au sein des réseaux identifiés se multiplient et se resserrent.
De même, la majorité des ONG impliquées dans la manoeuvre ont été fondées en 2017. Le projet, dans sa manifestation actuelle, semble germer en 2016, quoique Heidi Larson, l’une des figures-clefs identifiées, épouse du Baron Peter Piot, avait dès 2010 fondé le Vaccine Confidence Project, aux côtés de GlaxoSmithKline, Johnson&Johnson, la Commission européenne, etc. Désormais Facebook, Chatham House, l’OMS, ou encore le Robert-Koch Institut et l’Hôpital de la Charité de Christian Drosten en sont partenaires, entre autre. 

Le Dr Larson, professeur d’anthropologie et de “science des risques et des décisions” (sic) au London School of Hygiene and Tropical Medecine, se spécialise dans la “gestion des rumeurs (sic) et des risques depuis les essais cliniques jusqu’à la mise sur marché, et l’instillation de la confiance dans les populations” (sic). 

Un aspect à souligner : à aucun moment Röper et Schneeten ne spéculent sur les origines du virus ou sur les objectifs plus ou moins occultes de ces réseaux. Ils se cantonnent à leur propre domaine d’expertise et au factuel, considérant d’ailleurs que l’on eût pu déclencher la même campagne hystérique au sujet de n’importe quelle maladie ex. “Grippe espagnole 2.0”, avec les mêmes conséquences. 

Un exemple du pouvoir de ces réseaux : le 3 août 2021, une lettre ouverte au président Biden a été publiée, intimant à ce dernier des ordres et notamment, celui de convoquer un “Sommet global de la vaccination” avec comme objectif d’injecter 70% de la population mondiale avant le mois de septembre 2022. Le 22 septembre, soit six semaines plus tard, sans convoquer le Congrès ni consulter l’électorat (alors que c’est le contribuable qui finance), Biden obtempéra et annonça un partenariat UE-États-Unis pour une “offensive globale de vaccination”. Les signataires de la lettre ouverte y figurent comme représentant différentes ONG, or tous ont des conflits d’intérêts majeurs dans le privé, par exemple Scott Gottlieb, membre du Conseil d’Administration de Pfizer. Au centre de la toile étudiée par Schneeten et Röper se trouve l’époux du Professeur Larson, le baron Peter Piot, originaire de Belgique et nommé directeur de la London School of Hygiene and Tropical Medecine en 2010. Senior Fellow de la Fondation Gates depuis 2009, il se présente comme universitaire désintéressé. En réalité, la London School of Hygiene and Tropical Medicine a en 20 ans reçu par 143 fois des “dons” de Bill Gates pour un montant total d’au moins $US 185 millions, auxquels il faut ajouter les $US 170 millions reçus du Wellcome Trust. Peter Piot est conseiller de la Commission européenne en matière de Covid (Advisory Panel on Covid-19), conseiller personnel en matière de Covid-19 de sa présidente Ursula Von Der Leyen, membre de l’Academie des sciences allemande Leopoldina, membre de CEPI, membre de Conseil de Novartis, membre de l’Académie française de médecine. 

Pour saisir la structure du réseau, commencez par éplucher le rapport Netzwerkanalyse Corona Komplex, en langue anglaise, qui représente le premier volet des travaux de Schneeten et Röper. Ces derniers font œuvre de salut public. Il ne reste qu’à espérer que le public s’y intéressera de près puisqu’il y va de notre survie. 

Auteur(s): Moufid Azmaïesh, pour FranceSoir

EN COMPLEMENT:

https://legrandreveil.co/2021/09/27/le-reseau-obscure-de-la-plandemie-vient-detre-cartographie-et-enfin-expose/

L’analyse très pédagogique du Dr Vanden Bossche sur les dangers de la vakxination massive

Le Dr Vanden Bossche, expert en virologie et immunologie, ancien employé de divers fabricants de vakx1s et de Gavi, avait déjà alerté en mars dernier sur les dangers d’une campagne de vakxination massive en pleine circulation de l’épidémie.
La situation actuelle lui donne raison et il appelle à l’arrêt urgent de cette campagne et la nécessité des traitements préventifs et curatifs (Hydroxychl… et Ivermect… par ex) pour juguler cette épidémie.
Pour lui la situation n’est déjà plus sous contrôle et que des dégâts importants vont se développer. Il est urgent que tout le monde soit bien informé pour que chacun puisse se protéger individuellement selon sa propre situation.

Deux vidéos de qualité pédagogique remarquable à visionner (et re-visionner) absolument.

https://odysee.com/@MediainfociteTV:6/ICTV-Le-rapport-Vanden-Bossche-FB:f
https://odysee.com/@MediainfociteTV:6/Seconde-partie-de-l’entrevue-du-Dr-Vanden-Bossche:8

Mais pourquoi donc refusent-ils de se faire vakxiner ?

Une carte blanche de Jean-Michel Longneaux, philosophe, chargé de cours à l’université de Namur, que la presse n’a pas voulu publier.

La vakxination généralisée garantit l’immunité collective ; elle ne présente aucun danger et elle est la seule solution envisageable. Ce n’est pas très compliqué à comprendre.

Alors pourquoi certains s’obstinent-ils à refuser les vakx1s ?

La seule explication plausible, c’est que ce sont tous des ignares [1] – ils n’entendent rien aux évidences de la vraie science – et des égoïstes [2] – ils préfèrent leur petite liberté à la solidarité. Puisque discuter avec de tels individus se révèle inutile, que faire d’autre sinon les culpabiliser par tous les moyens [3], leur rendre la vie impossible [4] en les pourchassant jusque dans les écoles, sur les campus, dans les grandes surfaces et sur leur lieu de travail, et en étendant l’usage du Covid safe Ticket afin de les priver de vie sociale ? Et s’ils résistent encore, certains songent à suspendre leurs droits fondamentaux au nom du bien commun, afin de disposer de leurs corps pour les vakxiner de force.

Pourtant, en discutant avec certains d’entre eux, je constate tout d’abord qu’ils sont une majorité à n’être ni « antivax » ni complotistes. Ils ne sont pas non plus mal informés, mais au contraire plus informés que la moyenne sur les publications scientifiques.

Et tout comme d’ailleurs de nombreux vakxinés, ils font le constat que sur certaines questions essentielles, les virologues, les épidémiologistes ou les médecins – c’est-à-dire ceux qui sont qualifiés pour prendre la parole – ne sont en réalité pas d’accord entre eux. Parmi les plus éminents, il s’en trouve de plus en plus qui soutiennent qu’étant donné ce qu’est un virus, et vu la baisse d’efficacité des vakx1s actuels en termes de propagation face au variant Delta, l’immunité collective est un horizon qui recule au fur et à mesure que le nombre de vakxinés avance [5].

En commandant 23 millions de doses pour 2022 et 2023, il semble que même le gouvernement et les experts qui le conseillent se résignent à voir le virus circuler encore longtemps [6].

Beaucoup se montrent aussi très réservés par rapport aux risques encourus à moyen et long terme par une vakxination massive. Selon eux, ceux qui les nient catégoriquement et ceux qui prophétisent des hécatombes parlent sans savoir [7].

De cette ignorance, ils en déduisent un minimum de prudence. Enfin, parmi ces experts, ils sont de plus en plus nombreux à promouvoir l’existence de traitements préventifs et précoces scientifiquement documentés [8], à partir de molécules déjà connues, et dont certaines, manifestement, limitent la propagation du virus [9].

Alors, ces non-vakxinés s’interrogent (avec d’ailleurs de nombreux vakxinés) : les scientifiques et médecins qui développent pareilles études sont-ils tous des imposteurs ou des incompétents ?

Pourquoi les experts officiels (spécialistes en vakxination mais sans aucune qualification pour juger des autres voies possibles) et nos autorités ne jurent-ils que par la vakxination de masse et évitent soigneusement tout débat scientifique ?

Même nos universités, qui devraient être des lieux de réflexion et de recherche, se taisent.

J’observe aussi que les non-vakxinés avec lesquels je discute ne sont pas les égoïstes que l’on dit. Au contraire, leurs prises de position leur attirent de plus en plus d’ennuis. S’ils ne pensaient qu’à préserver leur zone de confort, leurs habitudes et leur petite liberté, ils se feraient vakxiner.

Je constate que pour eux, la solidarité est une valeur qu’ils tiennent en haute estime. Mais ils l’envisagent de façon réfléchie :

Premièrement, puisqu’à défaut d’empêcher la transmission du virus, les vakx1s protègent des formes graves de la maladie, continuer à proposer la vakxination à toutes les personnes pour qui la balance coût/bénéfice penche clairement en faveur des bénéfices.

Deuxièmement, pour tous les autres, qui restent de toute façon libres de préférer la vakxination, mettre à leur disposition les traitements préventifs scientifiquement documentés. Cette stratégie utilisant des molécules connues, elle permettrait de surcroît de faire de sérieuses économies – ce qui est une autre façon de se soucier aussi du bien commun.
Seraient notamment concernés les soignants des hôpitaux qui ne veulent pas se faire vakxiner, ainsi que tous les métiers de contact, en y incluant les établissements scolaires. On peut faire l’hypothèse que les communautés (bruxelloises) réticentes aux vakx1s seraient aussi plus enclines à accepter ces alternatives.

Troisièmement, organiser une prise en charge précoce des symptômes en impliquant les médecins généralistes.

Enfin, au nom d’un principe élémentaire de solidarité, une grande partie des 23 millions de doses de vakx1s réservées par la Belgique pourrait être rendue disponible pour les populations à risques des pays pauvres. Tout l’inverse de l’égoïsme national dont font actuellement preuve les pays riches, malgré quelques gestes symboliques consentis dans le cadre du programme Covax, pour se donner bonne conscience.

En vérité, pour mes interlocuteurs, refuser de se faire vakxiner, c’est défendre une solidarité intelligente, qui ne sacrifie ni le respect dû à chacun, ni les avancées de la science, ni la protection des plus vulnérables. Est-il absurde de privilégier une diversité de stratégies pour lutter contre ce virus, plutôt que d’en imposer une seule qui montre ses limites ?

Bien sûr que non. Ce n’est pas très compliqué à comprendre.

Alors pourquoi nos autorités s’obstinent-elles au point de préférer diaboliser pour mieux les soumettre celles et ceux qui pourraient devenir de précieux alliés ?

[1] Par exemple : Vakxination à Bruxelles: «Les gens viennent parfois avec des mythes, nous, on répond avec des faits» – Le Soir Plus

[2] Cfr entre mille : Conner Rousseau estime que les non-vakxinés sont des « égoïstes » (rtbf.be)

[3] Cfr « Di Rupo appelle les non vakxinés à faire leur examen de conscience », La Libre Belgique, le 19 septembre 2021. A la suite d’Alexandre De Croo, il explique que l’épidémie perdure à cause des non vakxinés. Ce qui sera fort heureusement démenti par Y. Coppieters qui s’en tient aux données scientifiques ; cfr La libre Belgique, du 18 septembre 2021 : « Alexandre De Croo se trompe quand il dit que ce sont les non vakxinés qui sont responsables de l’épidémie ». Mais le mal est fait, nos responsables politiques désignent à la foule les coupables tout trouvés d’une situation qui pourtant s’améliore.

[4] Marc Noppen, « Il faut rendre la vie des non-vakxinés aussi difficile que possible » in La Meuse.Sudinfo, le 12 août 2021

[5] Il faut aussi tenir compte du retard pris par les pays pauvres, et le fait que le virus peut muter par l’intermédiaire de certains animaux comme les visons, avant de revenir chez l’homme. Faudra-t-il vakxiner tous les vivants ? Cfr en guise de porte d’entrée pour accéder facilement aux débats et à certains articles scientifiques : « vakx1 et variants : seulement 66% d’efficacité face au variant Delta », sur le site de lintern@ute, le 25 août 2021.

[6] Coronavirus : la Belgique a commandé 23 millions de doses pour une troisième injection (rtbf.be) A la lecture de ce titre, deux possibilités s’offrent à nous : soit on nous avait caché qu’il y a en vérité 23 millions d’habitants en Belgique ; soit nos autorités prévoient déjà une quatrième dose.

[7] On ne le répètera jamais assez, pour savoir si des complications apparaitront dans 5 ou 10 ans, il faut attendre 5 ou 10 ans. Cfr Le Soir du 24/08/2021 « Des non-vakxinés confrontés à des experts ». A la question qui leur est adressée de promettre qu’il ne peut y avoir de conséquences à long terme avec les vakx1s, aussi bien Muriel Moser immunologue à l’ULB que Jean-Michel Dogné, professeur à l’université de Namur, pro-vakx1s, répondent qu’ils ne peuvent évidemment rien garantir : « un scientifique ne peut jamais dire jamais. » Quant à la pharmacovigilance censée relever les effets à court terme, on lui fait dire tout et son contraire : il est actuellement impossible d’avoir la moindre certitude en la matière.

[8] FLCCC, I-MASK+ Prevention & Early Outpatient Treatment Protocol for COVID-19 https://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/i-mask-plus-protocol/. Il semble par ailleurs que l’Europe va bientôt autoriser des traitements précoces.

[9] Cfr par exemple : « Une étude israélienne affirme que l’Ivermectine pourrait réduire drastiquement la transmission du Covid-19 », in Le Figaro du 15 juillet 2021, mis à jour le 04 août 2021.

Effondrement systémique et simulation de pandémie + dates clés du coup d’État financier

Par Fabio Vighi

Un an et demi après l’arrivée du virus, certains ont pu commencer à se demander pourquoi les élites dirigeantes, habituellement sans scrupules, ont décidé de geler la machine à profit mondiale face à un pathogène qui cible presque exclusivement les improductifs (plus de 80 ans). Pourquoi tant de zèle humanitaire ? Cui bono [à qui profite le crime] ? Seuls ceux qui ne sont pas familiers avec les merveilleuses aventures de GloboCap peuvent se bercer d’illusions en pensant que le système a choisi de s’arrêter par compassion. Soyons clairs dès le départ : les grands prédateurs du pétrole, des armes et des vaccins se moquent éperdument de l’humanité.

Suivez l’argent

À l’époque pré-Covid, l’économie mondiale était au bord d’un nouvel effondrement colossal. Voici une brève chronique de la façon dont la pression s’est accumulée :

Juin 2019 : dans son rapport économique annuel, la Banque des règlements internationaux (BRI), basée en Suisse, la « banque centrale de toutes les banques centrales« , tire la sonnette d‘alarme internationale. Le document met en évidence une « surchauffe […] sur le marché des prêts à effet de levier », où « les normes de crédit se sont détériorées » et où « les obligations de prêts collatéralisés (CLO) ont bondi – rappelant la forte hausse des obligations de dettes collatéralisées [CDO] qui a amplifié la crise des subprimes [en 2008] ». « En d’autres termes, le ventre de l’industrie financière est à nouveau plein de déchets.

9 août 2019 : la BRI publie un document de travail appelant à des « mesures de politique monétaire non conventionnelles » pour « isoler l’économie réelle d’une nouvelle détérioration des conditions financières ». Le document indique qu’en offrant un  » crédit direct à l’économie  » pendant une crise, les prêts de la banque centrale  » peuvent remplacer les banques commerciales dans l’octroi de prêts aux entreprises. ”

15 août 2019 : Blackrock Inc, le fonds d’investissement le plus puissant du monde (gérant environ 7 000 milliards de dollars de fonds d’actions et d’obligations), publie un livre blanc intitulé Dealing with the next downturn. Essentiellement, le document demande à la Réserve fédérale américaine d’injecter des liquidités directement dans le système financier afin d’éviter  » un ralentissement spectaculaire « . Là encore, le message est sans équivoque : « Une réponse sans précédent est nécessaire lorsque la politique monétaire est épuisée et que la politique fiscale seule ne suffit pas. Cette réponse impliquera probablement d’agir directement » :  » trouver des moyens de mettre l’argent de la banque centrale directement dans les mains des dépensiers des secteurs public et privé  » tout en évitant  » l’hyperinflation « . Parmi les exemples, citons la République de Weimar dans les années 1920 ainsi que l’Argentine et le Zimbabwe plus récemment.

22-24 août 2019 : les banquiers centraux du G7 se réunissent à Jackson Hole, dans le Wyoming, pour discuter du document de BlackRock ainsi que des mesures urgentes à prendre pour prévenir l’effondrement imminent. Selon les mots prémonitoires de James Bullard, président de la Réserve fédérale de St Louis : « Nous devons juste arrêter de penser que l’année prochaine les choses seront normales. ”

15-16 septembre 2019 : le ralentissement est officiellement inauguré par un pic soudain des taux repo (de 2 % à 10,5 %). « Repo » est l’abréviation de « repurchase agreement« , un contrat par lequel des fonds d’investissement prêtent de l’argent contre des actifs collatéraux (normalement des titres du Trésor). Au moment de l’échange, les opérateurs financiers (banques) s’engagent à racheter les actifs à un prix plus élevé, généralement au jour le jour. En bref, les pensions sont des prêts garantis à court terme. Ils constituent la principale source de financement des opérateurs sur la plupart des marchés, notamment la galaxie des produits dérivés. Un manque de liquidité sur le marché des titres de pensions peut avoir un effet domino dévastateur sur tous les grands secteurs financiers.

17 septembre 2019 : La Fed commence le programme monétaire d’urgence, pompant des centaines de milliards de dollars par semaine dans Wall Street, exécutant effectivement le plan « going direct » de BlackRock. (Sans surprise, en mars 2020, la Fed engagera BlackRock pour gérer le plan de sauvetage en réponse à la « crise COVID-19« ).

19 septembre 2019 : Donald Trump signe le décret 13887, établissant un groupe de travail national sur les vaccins contre la grippe dont l’objectif est d’élaborer un  » plan national quinquennal (Plan) visant à promouvoir l’utilisation de technologies de fabrication de vaccins plus agiles et évolutives et à accélérer le développement de vaccins qui protègent contre plusieurs ou tous les virus de la grippe. « Il s’agit de contrer « une pandémie de grippe » qui, « contrairement à la grippe saisonnière […], peut se propager rapidement dans le monde entier, infecter un grand nombre de personnes et provoquer des taux élevés de maladie et de décès dans les populations qui ne sont pas immunisées ». Comme quelqu’un l’a deviné, la pandémie était imminente, tandis qu’en Europe aussi des préparatifs étaient en cours (voir ici et ici).

18 octobre 2019 : à New York, une pandémie zoonotique mondiale est simulée lors de l’événement 201, un exercice stratégique coordonné par le Johns Hopkins Biosecurity Center et la Fondation Bill et Melinda Gates.

21-24 janvier 2020 : La réunion annuelle du Forum économique mondial a lieu à Davos, en Suisse, où l’on discute à la fois de l’économie et des vaccinations.

23 janvier 2020 : La Chine place Wuhan et d’autres villes de la province du Hubei en état de confinement.

11 mars 2020 : Le directeur général de l’OMS qualifie la Covid-19 de pandémie. Le reste appartient à l’histoire.

Relier les points est un exercice assez simple. Si nous le faisons, nous pourrions voir émerger un schéma narratif bien défini, dont le résumé succinct est le suivant : les lockdowns et la suspension globale des transactions économiques étaient destinés à 1) permettre à la Fed d’inonder les marchés financiers en difficulté avec de l’argent fraîchement imprimé tout en différant l’hyperinflation ; et 2) introduire des programmes de vaccination de masse et des passeports sanitaires comme piliers d’un régime néo-féodal d’accumulation capitaliste. Comme nous le verrons, ces deux objectifs se fondent en un seul.

En 2019, l’économie mondiale était en proie à la même maladie qui avait provoqué le resserrement du crédit de 2008. Elle étouffait sous une montagne insoutenable de dettes. De nombreuses entreprises publiques ne parvenaient pas à générer suffisamment de bénéfices pour couvrir les paiements d’intérêts sur leurs propres dettes et ne se maintenaient à flot qu’en contractant de nouveaux prêts. Les « entreprises zombies » (dont la rentabilité est faible d’une année sur l’autre, le chiffre d’affaires en baisse, les marges réduites, la trésorerie limitée et le bilan fortement endetté) se multiplient. L’effondrement du marché repo de septembre 2019 doit être replacé dans ce contexte économique fragile.

Lorsque l’air est saturé de matières inflammables, la moindre étincelle peut provoquer une explosion. Et dans le monde magique de la finance, tout se tient : un battement d’ailes de papillon dans un certain secteur peut faire s’écrouler tout le château de cartes. Sur des marchés financiers alimentés par des prêts bon marché, toute hausse des taux d’intérêt est potentiellement cataclysmique pour les banques, les fonds spéculatifs, les fonds de pension et l’ensemble du marché des obligations d’État, car le coût des emprunts augmente et les liquidités se tarissent. C’est ce qui s’est passé avec la « repocalypse » de septembre 2019 : les taux d’intérêt sont montés en flèche jusqu’à 10,5 % en quelques heures, une panique s’est déclenchée, affectant les marchés à terme, les options, les devises et d’autres marchés où les traders parient en empruntant des pensions. La seule façon de désamorcer la contagion était de jeter autant de liquidités que nécessaire dans le système – comme des canadairs lâchant des milliers de litres d’eau sur un feu de forêt. Entre septembre 2019 et mars 2020, la Fed a injecté plus de 9 000 milliards de dollars dans le système bancaire, soit l’équivalent de plus de 40 % du PIB américain.

Il convient donc d’inverser le discours dominant : la bourse ne s’est pas effondrée (en mars 2020) parce qu’il a fallu imposer des lockdowns, mais parce que les marchés financiers s’effondraient. Les lockdowns ont entraîné la suspension des transactions commerciales, ce qui a réduit la demande de crédit et mis fin à la contagion. En d’autres termes, la restructuration de l’architecture financière par une politique monétaire extraordinaire était subordonnée à l’arrêt du moteur de l’économie. Si l’énorme masse de liquidités injectées dans le secteur financier avait atteint les transactions sur le terrain, un tsunami monétaire aux conséquences catastrophiques aurait été déclenché.

Comme l’a affirmé l’économiste Ellen Brown, il s’agissait d’un « autre sauvetage », mais cette fois « sous couvert d’un virus ». De même, John Titus et Catherine Austin Fitts ont noté que la « baguette magique » Covid-19 a permis à la Fed d’exécuter le plan « going direct » de BlackRock, littéralement : elle a effectué un achat sans précédent d’obligations d’État, tout en émettant, à une échelle infiniment plus petite, des « prêts COVID » garantis par l’État aux entreprises. En bref, seul un coma économique induit donnerait à la Fed la marge de manœuvre nécessaire pour désamorcer la bombe à retardement qui se déclenche dans le secteur financier. Sous l’effet de l’hystérie collective, la banque centrale américaine a bouché les trous du marché des prêts interbancaires, évitant ainsi l’hyperinflation et le Conseil de surveillance de la stabilité financière (l’agence fédérale de surveillance des risques financiers créée après l’effondrement de 2008), comme nous l’avons vu iciCependant, le plan « going direct » doit aussi être considéré comme une mesure désespérée, car il ne peut que prolonger l’agonie d’une économie mondiale de plus en plus otage de la planche à billets et de l’inflation artificielle des actifs financiers.

Continuer la lecture de cet article sur le site du Salon philosophique [en anglais]

Le taux de vakxination n’a aucune incidence sur la circulation du virus, selon une étude rapportée par le journal le plus côté au monde en épidémiologie

Le journal européen d’épidémiologie a publié une étude soulignant l’absence de corrélation entre le taux de vakxination et le nombre de cas détectés dans un pays donné. Les auteurs recommandent de changer de stratégie face à l’épidémie.

« L’European Journal of Epidemiology, dont je suis éditeur, est le journal le plus côté au monde en épidémiologie. Ici, il rapporte l’absence de corrélation entre politique vakxinale et nombre de cas », a écrit le professeur Didier Raoult sur son compte Twitter en partageant l’étude de la revue scientifique citée, publiée le 30 septembre.

L’European Journal of Epidemiology, dont je suis éditeur, est le journal le plus côté au monde en épidémiologie. Ici, il rapporte l’absence de corrélation entre politique vakxinale et nombre de cas.https://t.co/p0K3p0lP9Y

— Didier Raoult (@raoult_didier) October 8, 2021

On y apprend en effet qu’ « il ne semble pas y avoir de relation discernable entre le pourcentage de la population complètement vakxinée et les nouveaux cas de C0VlD-19 ». Encore plus étonnant, selon ce texte, « les pays avec un pourcentage plus élevé de population entièrement vakxinée ont des cas de C0VlD-19 plus élevés pour un million de personnes ». Les auteurs citent notamment Israël qui, « avec plus de 60% de sa population entièrement vakxinée, a enregistré les cas de C0VlD-19 les plus élevés pour un million de personnes au cours des sept derniers jours ». Même constat pour l’Islande et du Portugal : « Les deux pays ont plus de 75% de leur population entièrement vakxinée et ont plus de cas de C0VlD-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud qui ont environ 10% de leur population entièrement vakxinée ».

« Un changement de cap devient primordial avec les preuves scientifiques émergentes sur l’efficacité réelle des vakx1s »

L’étude préconise donc de revoir la stratégie axée seulement sur la vakxination pour diminuer l’impact de l’épidémie. « La seule dépendance à la vakxination comme stratégie principale pour atténuer le C0VlD-19 et ses conséquences néfastes doit être réexaminée, en particulier compte tenu du variant Delta et de la probabilité de futurs variants », écrivent les auteurs.

« D’autres interventions pharmacologiques et non pharmacologiques devront peut-être être mises en place parallèlement à l’augmentation des taux de vakxination », recommandent-ils. « Un tel changement de cap, en particulier en ce qui concerne le discours politique, devient primordial avec les preuves scientifiques émergentes sur l’efficacité réelle des vakx1s », ajoutent-ils.

En résumé, conclut l’étude, « même si des efforts doivent être faits pour encourager les populations à se faire vakxiner, cela doit être fait avec humilité et respect. La stigmatisation des populations peut faire plus de mal que de bien ».

Pour l’OMS, un taux élevé de vakxination reste indispensable

Le 10 septembre, le directeur de l’OMS en Europe s’était déjà montré quelque peu pessimiste sur la capacité d’un taux élevé de vakxination à stopper à lui seul la pandémie de C0VlD-19, du fait des variants qui ont réduit la perspective d’une immunité collective. Avec une probabilité accrue que la maladie demeure de façon endémique sans être éradiquée, Hans Kluge avait appelé lors d’une conférence de presse à « anticiper pour adapter nos stratégies de vakxination », notamment sur la question des doses supplémentaires.

En mai, le responsable sanitaire onusien avait affirmé que « la pandémie sera[it] terminée lorsque nous aurons atteint une couverture vakxinale minimale de 70% » de la population mondiale. À la question de savoir si cet objectif restait valable ou s’il devait être relevé, Hans Kluge a répondu en septembre que les nouveaux variants plus contagieux, principalement Delta, avaient changé la donne.

À l’époque, même si le variant détecté initialement en Inde sévissait déjà, « il n’y avait pas une telle émergence des variants plus transmissible et plus viraux », a-t-il fait valoir. « Donc je crois que cela nous amène au point où l’objectif essentiel de la vakxination est avant tout d’empêcher les formes graves de la maladie et la mortalité », a-t-il souligné. Un niveau très élevé de vakxination reste en outre indispensable « pour réduire la pression sur nos systèmes de santé qui ont désespérément besoin de traiter les autres maladies que le C0VlD », a-t-il ajouté.


source : https://francais.rt.com

Pourquoi les effets secondaires des vakx1s n’ont-ils pas été étudiés sur les animaux ?

par Patrice Gibertie.

Peut-on concevoir une vakxination, de fait obligatoire, si toutes les précautions n’ont pas été prises avant l’autorisation. En 2020 Shibo Jiang (professeur de virologie à la School of Basic Medical Sciences, Fudan University, Shanghai, Chine, et au New York Blood Center, New York, États-Unis.) avertissait : « Mon inquiétude est que cela puisse signifier qu’un vakx1 est administré avant que son efficacité et son innocuité n’aient été entièrement évaluées dans des modèles animaux ou des essais cliniques ».

Les travaux avec le virus du SRAS montrent que des réponses immunitaires inquiétantes ont été observées chez les furets et les singes, mais pas chez les souris. Pourquoi les expériences n’ont-elles pas été menées sur plusieurs espèces pour le Pfizer et les autres ? 42 malheureux macaques ont bien été utilisés mais en aucun cas pour vérifier les effets secondaires des vakx1s. Il s’agissait simplement de vérifier l’efficacité du vakx1 contre le virus.

Aucune étude sur les effets de la protéine spike après l’injection, aucune réponse à la question posée par l’innocuité de la protéine active spike. Il faut rappeler qu’il ne s’agit pas d’un virus inactivé mais d’un principe actif qui devait rapidement disparaitre du corps après l’injection et l’apparition des anticorps.

Et si elle avait le temps de faire des dégâts ? Si elle se diffusait bien plus longtemps que prévu ? Si elle déclenchait une forme du Covid ?

ON COMPRENDS MIEUX POURQUOI LE PLUS DOSÉ DES VAKX1S, LE MODERNA SOIT INTERDIT POUR LES JEUNES DANS LES PAYS SCANDINAVES.

Des expériences récentes sur les souris peuvent inquiéter

LES DERNIÈRES ÉTUDES EN APPORTENT LA PREUVE que le principe de précaution a été oublié.

Une série d’études très récentes démontrent que la fameuse protéine S Spike seule, produit des dégâts considérables. Il faut rappeler que les vakx1s inoculent l’ARN de la dite proteine S pour qu’elle puisse se multiplier dans notre organisme et provoquer la création d’ anticorps. Les concepteurs se sont trompés :

  • La protéine S se repend et demeure plus longtemps que prévu dans l’organisme.
  • Elle est dangereuse et provoque une forme de covid.
  • Les effets n’ont pas été étudiés car réalisés sur des souris sauvages qui sous estiment l’ACE2 de l’homme, ils n’étaient pas visibles.
  • Les effets récents réalisés sur des souris transgéniques capables de reproduire ce qui se passe chez l’homme mettent en évidence les effets désastreux.

À ce jour pas la moindre étude sur les risques de la dite protéine injectée pour les femmes en âge de procréer, pour ceux qui ont eu la covid, pour les vakxinés contre la grippe, pour les jeunes…

Votre médecin ne s’inquiète pas de la vakxination sans études préalables, demandez lui de lire ces études très techniques, il comprendra…

Nos données suggèrent que les médiateurs pro-inflammatoires libérés par les macrophages activés par des pointes amplifient l’activation des cellules endothéliales, contribuant probablement à l’altération de l’intégrité vasculaire et au développement d’un endothélium pro-coagulant.

• pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34572407

Nous concluons que la protéine de pointe seule sans le reste des composants viraux est suffisante pour déclencher la signalisation cellulaire dans HPAEC, et que le traitement avec HbA n’a pas réussi à inverser la grande majorité de ces changements induits par la protéine de pointe.

• pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34445747

Le rôle régulateur de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 dans les cellules infectées et tenté d’élucider le mécanisme moléculaire de l’inflammation induite par le SRAS-CoV-2.

• pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34461258

La sous-unité S1 de la protéine de pointe SARS-CoV-2 induit une lésion pulmonaire aiguë de type COVID-19 chez les souris transgéniques Κ18-hACE2 et un dysfonctionnement de la barrière dans les cellules endothéliales humaines.

• t.co/CAeiQC0CFh?amp=1

Ici, nous démontrons que l’instillation intratrachéale d’un seul élément du SRAS-CoV-2, S1SP, chez des souris transgéniques K18-hACE2 induit des réponses inflammatoires locales (pulmonaires) et systémiques de type COVID-19.

• ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8384477
• pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34406358

• On a enfin des résultats sur les conséquences du Pfizer sur les souris et on comprend mieux pourquoi ils refusent les autopsies post injections pour les humains décédés

ENFIN LES PREMIÈRES ÉTUDES SUR LES EFFETS DE LA PROTÉINE SPIKE VAKXINALE
Peu d’autopsies après décès post vakxinal

Première image histopathologique d’une myocardite post-vakxinale chez un homme de 65 ans décédé 11 heures après sa deuxième dose d’ARNm de Pfizer. Infiltration massive de lymphocytes périvasculaires et entre les cardiomyocytes Pourquoi les lymphocytes s’excitent-ils donc à cet endroit ? L’effet de la spike vakxinale ? En injectant le principe actif de la maladie on provoque une sorte de covid.

• pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34591186

Les rapports d’effets de la protéine spike proviennent surtout des dermatologues

Réponse des lymphocytes T avec des caractéristiques de dermatite d’interface et d’inflammation granulomateuse interstitielle.

• sciencedirect.com/S0738081X21001516

Le terrible avertissement du Docteur Siang validé par les premières images post-autopsies

Partout dans le monde, je constate des efforts pour soutenir des programmes de « solution rapide » visant à développer des vakx1s et des thérapies contre le COVID-19. Des groupes aux États-Unis et en Chine prévoient déjà de tester des vakx1s sur des volontaires humains en bonne santé. Ne vous y trompez pas, il est essentiel que nous travaillions aussi dur et aussi vite que possible pour développer des médicaments et des vakx1s largement disponibles dans le monde. Mais il est important de ne pas rogner sur les raccourcis.

Les vakx1s contre la rougeole, les oreillons, la rubéole, la polio, la variole et la grippe ont une longue histoire d’utilisation sûre et ont été développés conformément aux exigences des organismes de réglementation.

Je travaille au développement de vakx1s et de traitements contre les coronavirus depuis 2003, lorsque l’épidémie de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) s’est produite. À mon avis, les protocoles standard sont essentiels pour protéger la santé. Avant d’autoriser l’utilisation d’un vakx1 COVID-19 chez l’homme, les régulateurs doivent évaluer la sécurité avec une gamme de souches virales et dans plus d’un modèle animal. Ils devraient également exiger des preuves précliniques solides que les vakx1s expérimentaux préviennent l’infection, même si cela impliquera probablement d’attendre des semaines, voire des mois, pour que les modèles soient disponibles.

C’est du temps bien dépensé. Les travaux avec le virus du SRAS montrent que des réponses immunitaires inquiétantes ont été observées chez les furets et les singes, mais pas chez les souris. De plus, certains fragments de protéines virales peuvent provoquer des réponses immunitaires plus puissantes ou moins risquées que d’autres, et il est logique d’apprendre cela dans des études animales avant de les essayer chez l’homme.

Il y a des décennies, des vakx1s développés contre un autre coronavirus, le virus de la péritonite infectieuse féline, augmentaient le risque pour les chats de développer la maladie causée par le virus (T. Takano et al. J. Vet. Med. Sci. 81 , 911-915; 2019). Des phénomènes similaires ont été observés dans des études animales pour d’autres virus, y compris le coronavirus qui cause le SRAS (YW Kam et al. Vaccine 25 , 729-740 ; 2007).

Les régulateurs doivent continuer à exiger que les développeurs de vakx1s vérifient les réponses potentiellement dangereuses dans les études sur les animaux. Ils doivent également veiller à évaluer les volontaires humains en bonne santé pour les anticorps contre les coronavirus avant de les inscrire à des essais de sécurité. Les bailleurs de fonds doivent se méfier du battage médiatique et débloquer davantage de subventions pour des tests appropriés pour le développement de médicaments et de vakx1s contre les coronavirus.

Mon inquiétude est que cela puisse signifier qu’un vakx1 est administré avant que son efficacité et son innocuité n’aient été entièrement évaluées dans des modèles animaux ou des essais cliniques.

Un autre facteur doit également être pris en compte : le potentiel des coronavirus émergents et ré-émergents à provoquer de futures épidémies. Le virus derrière COVID-19 pourrait bien muter d’une manière qui rendrait inutiles les vakx1s et les antiviraux auparavant efficaces. Par conséquent, tout organisme de réglementation envisageant des moyens d’accélérer les traitements dans les tests devrait également évaluer la probabilité que ces médicaments fonctionnent au-delà de ce coronavirus particulier.

Tester des vakx1s et des médicaments sans prendre le temps de bien comprendre les risques pour la sécurité pourrait entraîner des revers injustifiés pendant la pandémie actuelle et à l’avenir. La volonté du public de soutenir les quarantaines et autres mesures de santé publique pour ralentir la propagation a tendance à être corrélée à la confiance des gens dans les conseils de santé du gouvernement. Une ruée vers des vakx1s et des thérapies potentiellement risquées trahira cette confiance et découragera les travaux visant à développer de meilleures évaluations. Malgré le réel besoin d’urgence, le vieil adage tient : mesurez deux fois, coupez une fois.

Nature 579, 321 (2020)

Partout dans le monde, je constate des efforts pour soutenir des programmes de « solution rapide » visant à développer des vakx1s et des thérapies contre le COVID-19. Des groupes aux États-Unis et en Chine prévoient déjà de tester des vakx1s sur des volontaires humains en bonne santé. Ne vous y trompez pas, il est essentiel que nous travaillions aussi dur et aussi vite que possible pour développer des médicaments et des vakx1s largement disponibles dans le monde. Mais il est important de ne pas rogner sur les raccourcis. doi : https://doi.org/10.1038/d41586-020-00751-9

Les vakx1s contre la rougeole, les oreillons, la rubéole, la polio, la variole et la grippe ont une longue histoire d’utilisation sûre et ont été développés conformément aux exigences des organismes de réglementation.

Shibo Jiang

Shibo Jiang est professeur de virologie à la School of Basic Medical Sciences, Fudan University, Shanghai, Chine, et au New York Blood Center, New York, États-Unis.

• sciencedirect.com/S0738081X21001516


source : https://pgibertie.com

Le renforcement des pouvoirs de l’OMS — Le nouveau Traité international sur les pandémies, la fin de la souveraineté des Nations et le Nouvel ordre mondial

Sott.net ven., 08 oct. 2021

Note des éditeurs : Toutes les mesures appliquées dans le monde depuis 2020, y compris la vaccination obligatoire, sont légales en vertu du Règlement sanitaire international de 2005, signé par 196 pays.

Vous trouverez ci-dessous un article du Dr Urmie Ray BA, MA, Mmath, Ph.d. Cantab, publié sur le site Web de Principia Scientific International, une association d’intérêt communautaire à but non lucratif légalement enregistrée au Royaume-Uni en tant que société constituée à des fins caritatives. Principia Scientific International est une communauté autonome de scientifiques impartiaux du monde entier qui délibèrent, débattent et publient des réflexions de pointe sur un éventail de questions sans idée préconçue.

En attente d’un traité international habilitant l’OMS

Du 29 novembre au 1er décembre 2021, les États membres se réuniront en session spéciale avec l’OMS pour discuter et éventuellement signer un nouveau traité sur la préparation et l’intervention en cas de pandémie. Cette décision, prise en mars 2021, est soutenue par 26 nations, dont l’Australie, le Canada, l’Islande, la Norvège, la République de Corée, l’Afrique du Sud, l’Ukraine, le Royaume-Uni, les États-Unis, l’Uruguay et les États membres de l’Union européenne[1]. L’absence de la Russie, de la Chine et de l’Inde parmi ces 26 pays mérite d’être soulignée. Le Règlement sanitaire international (2005)[2] signé par 196 pays donne déjà aux États le droit légal de :

  • revoir l’historique des déplacements dans les zones touchées ;
  • examiner les preuves de l’examen médical et de toute analyse de laboratoire ;
  • exiger des examens médicaux ;
  • examiner les preuves de vaccination ou d’autre prophylaxie ;
  • exiger une vaccination ou une autre prophylaxie ;
  • placer les personnes suspectes sous observation de santé publique ;
  • mettre en place une quarantaine ou d’autres mesures sanitaires pour les personnes suspectes ;
  • mettre en œuvre l’isolement et le traitement si nécessaire des personnes affectées ;
  • mettre en œuvre la recherche des contacts des personnes suspectes ou affectées ;
  • refuser l’entrée des suspects et des personnes concernées ;
  • refuser l’entrée des personnes non affectées dans les zones affectées ; et
  • mettre en œuvre un filtrage de sortie et/ou des restrictions sur les personnes des zones affectées.

Autrement dit, toutes les mesures appliquées dans le monde depuis 2020, y compris la vaccination obligatoire, sont en effet légales en vertu de cet ancien traité. En particulier, il modifie de manière critique la définition de « quarantaine » par rapport à celle du Règlement sanitaire international (RSI) de 1969. Là, il n’est utilisé que dans l’expression « en quarantaine » définie comme

« un état ou une condition au cours duquel des mesures sont appliquées par une autorité sanitaire à un … moyen de transport ou conteneur, pour empêcher la propagation de maladies, de réservoirs de maladies ou de vecteurs de maladies de l’objet de la quarantaine. »[3]

Le RSI révisé de 2005 utilise le terme seul et le définit comme

« la restriction des activités et/ou la séparation des autres des personnes suspectes qui ne sont pas malades ou des bagages, conteneurs, moyens de transport ou marchandises suspects de manière à empêcher le propagation possible de l’infection ou de la contamination. »

Cela représente un changement subtil mais critique de la protection de la communauté à la restriction des libertés individuelles.

La mise en place de quarantaine et d’autres mesures coercitives sur tous, y compris la surveillance et la vaccination, est légalisée : l’expression « personnes suspectes » criminalise tout individu, sain et malsain. En effet, il couvre toute personne

« considérée par un État partie comme ayant été exposée, ou éventuellement exposée, à un risque de santé publique et qui pourrait être une source possible de propagation de maladie. »

L’utilisation de « éventuellement » et « possible » est importante [fondamentale ? – NdE].

https://archive.org/embed/international-pandemic-treaty_202110
Alors pourquoi la nécessité d’un nouveau traité ?

La réponse a été donnée par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus :

« C’est le seul changement majeur qui contribuerait le plus à renforcer la sécurité sanitaire mondiale et à autonomiser l’Organisation mondiale de la santé. »[4]

Le RSI révisé de 2005 laisse encore une certaine autorité aux États et exige certaines conditions pour qu’un événement sanitaire dans un État particulier soit considéré comme suffisamment grave au niveau mondial pour que l’État soit contraint de le communiquer à l’OMS.

Une fois communiquée, elle devient la prérogative du directeur général de l’OMS de déterminer si elle « constitue une urgence de santé publique », mais en collaboration avec cet État particulier. Même s’il faut ajouter qu’en cas de désaccord, le directeur général décide après consultation du comité d’urgence de l’OMS, et passé un certain délai, aucun État ne peut rejeter ou émettre de réserves sur le RSI ou ses éventuels amendements ultérieurs.

Pourtant, dans une certaine mesure, les mesures mises en œuvre restent le résultat d’un dialogue entre les « points focaux RSI » dans chaque pays et les « points de contact RSI de l’OMS ». Ce qui est particulièrement important, c’est que les mesures énumérées ci-dessus, bien que rendues légales par le RSI, ne peuvent en vertu de ce traité, être que recommandées par l’OMS, non imposées, et qu’il appartient aux États de procéder à leur imposition, et de vérifier si elles sont suivies par des moyens déjà existants dans leurs pays respectifs.[5]

Le nouveau traité remédierait aux « faiblesses » ci-dessus du RSI tel qu’il est considéré comme étant, en assurant « une vérification, un suivi et une conformité indépendants »Compte tenu de la finalité clairement exprimée de l’autonomisation de l’OMS, doit-on en conclure que « indépendant » signifie sous l’autorité de l’OMS plutôt que des États eux-mêmes ?[6] En outre, le RSI couvre « les dangers pour la santé publique et les urgences de santé publique de portée internationale »alors que le traité concernera « tous les dangers », pas seulement les pandémies. Dans ce dernier cas, il prendrait le relais du RSI une fois qu’une pandémie serait officiellement déclarée par l’OMS.[7]

Cela dit, le traité clarifierait probablement également l’idée exprimée dans les « orientations provisoires de planification pré-pandémique » du CDC de 2007[8], à savoir annuler la nécessité d’une pandémie pour mettre en œuvre des mesures restrictives. Il suffirait qu’un événement soit déclaré « urgence de santé publique à potentiel pandémique ». Étant donné que tout événement futur est toujours hypothétique, cela permet-il le maintien des mesures pour une durée indéterminée ?

Car on peut toujours prétendre qu’une pandémie se produira surtout si les mesures étaient levées. Cela soulève de nombreuses questions, d’autant plus que l’événement n’aurait plus besoin d’être « d’envergure internationale comme dans le RSI actuel ». Les « mesures », comme conseillé, devraient également aller au-delà du champ d’application actuel du RSI, « en particulier pour couvrir la production et la fourniture de vaccins, de diagnostics et de traitements »[9].

Contrairement au RSI, le traité irait également au-delà des questions sanitaires et permettrait la mise en œuvre de mesures contre les« perturbations sociales et économiques »ainsi que le« risque de catastrophe plus large »[10]. Serait-ce en effet non seulement légaliser la fin des critiques, et donc de la liberté d’expression, et permettre de contrôler tout antagonisme public contre les mesures restrictives par une« assistance internationale d’urgence »[11], et pas seulement par police nationale ou forces militaires, mais internationales ?

Bref, comme le pense le Dr Valentina Kiseleva, experte indépendante en bioéthique et biosécurité, le traité ne fournirait-il pas le cadre juridique international de dérogation aux droits civils et politiques garantis « même en cas d’urgence menaçant la vie de la nation » par les Principes de Syracuse sur les dispositions de limitation et de dérogation dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques rédigés en 1984[12], à savoir :

« le droit à la vie ; le droit de ne pas être soumis à la torture, à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, et à ne pas subir d’expérimentation médicale ou scientifique sans le libre consentement ; être libéré de l’esclavage ou de la servitude involontaire ; le droit de ne pas être emprisonné pour dette contractuelle ; le droit de ne pas être reconnu coupable ou condamné à une peine plus lourde en vertu d’une législation pénale rétroactive ; le droit à la reconnaissance en tant que personne devant la loi ; et la liberté de pensée, de conscience et de religion. Ces droits ne sont susceptibles de dérogation sous aucune condition, même dans le but affirmé de préserver la vie de la nation » ?

Pour le principe de Syracuse, il suffit de s’assurer qu’« aucun État partie ne doit » en aucune circonstance « déroger aux garanties du Pacte ci-dessus ». Cependant, selon le nouveau traité, l’OMS, éventuellement avec l’aide d’autres organismes internationaux, ne deviendrait-elle pas une puissance planétaire occupante, chaque État étant une unité subordonnée collaboratrice, comme la France en 1940, et donc sans aucun pouvoir de veiller à ce que les droits non susceptibles de dérogation soient protégés ?

Dernier point mais non le moindre,

« essayer de réviser le RSI serait un long processus et prendrait plusieurs années. … En outre, tout amendement apporté au RSI n’entrera en vigueur que deux ans après son adoption. Un monde en crise ne peut pas se permettre d’attendre aussi longtemps. »[13]

Pourquoi une telle précipitation pour faire ratifier le traité ?

Il ne faut pas oublier que parmi les principaux contributeurs de l’OMS figurent la fondation Bill et Melinda Gates et l’alliance vaccinale (GAVI) qu’elle a créée en 2000 et dont elle a essentiellement fourni le financement initial, dans un

« partenariat public-privé unique […] des entreprises partenaires, des ONG, des groupes de défense, des associations professionnelles et communautaires, des organisations confessionnelles et le milieu académique, des fabricants de vaccins, y compris ceux des marchés émergents, des instituts de recherche et des instituts techniques de santé, ainsi que des gouvernements de pays en développement. »[14]

Principia Scientific International

« Un des rapports demande que l’autorité du chef de l’OMS soit renforcée par un mandat unique de sept ans sans possibilité de réélection (contre un mandat actuel de 5 ans reconductible), afin qu’il échappe aux pressions politiques. »

Euronews, 25 mai 2021

OMS - 1
OMS - 2

Le Covid-19 met en évidence la nécessité d’une action conjointe pour renforcer la structure du secteur de la santé internationale

Publié par l’Organisation mondiale de la santé, le 30 mars 2021

La pandémie de Covid-19 représente le plus grand défi auquel la communauté mondiale a été confrontée depuis les années 1940. À cette époque, les dirigeants politiques ont pris la mesure des ravages provoqués par les deux guerres mondiales et se sont réunis pour former le système multilatéral. Leurs objectifs étaient clairs : rassembler les pays, éloigner les tentations de l’isolationnisme et du nationalisme et faire face aux enjeux pour lesquels une solution commune n’était possible que dans un esprit de solidarité et de coopération, à savoir la paix, la prospérité, la santé et la sécurité.

Alors que nous luttons ensemble pour venir à bout de la pandémie de Covid-19, notre espoir est aujourd’hui le même de mettre en place une structure plus solide pour le secteur de la santé internationale afin de protéger les prochaines générations. Il y aura d’autres pandémies et d’autres situations d’urgence sanitaire de grande ampleur. Aucun gouvernement ni aucun organisme multilatéral ne peut, seul, faire face à cette menace. La question n’est pas de savoir si cela aura lieu, mais quand. Ensemble, nous devons être mieux à même de prévoir les pandémies, de les prévenir, de les détecter, de les évaluer et d’y réagir efficacement et d’une manière parfaitement coordonnée. La pandémie de Covid-19 nous a rappelé brutalement et dans la douleur que nul n’est en sécurité tant que tout le monde n’est pas en sécurité.

Nous nous engageons donc à garantir un accès universel et équitable à des vaccins, à des médicaments et à des produits de diagnostic sûrs, efficaces et abordables pour cette pandémie et celles qui suivront. La vaccination est un bien public mondial et il nous faudra être en mesure de développer, de fabriquer et de déployer des vaccins dans les plus brefs délais.

C’est pour cette raison que le Dispositif pour accélérer l’accès aux outils de lutte contre le Covid-19 (Accélérateur ACT) a été mis sur pied, son objectif étant de promouvoir l’égalité d’accès aux tests, aux traitements et aux vaccins et d’apporter un soutien aux systèmes de santé à l’échelle de la planète. L’Accélérateur ACT s’est montré, à bien des égards, à la hauteur des attentes, mais l’accès équitable n’est pas encore une réalité. Nous pouvons en faire davantage pour l’encourager à l’échelle mondiale.

Dans cette optique, nous croyons que les pays devraient œuvrer ensemble à l’élaboration d’un nouveau traité international sur la préparation et la riposte aux pandémies.

Un tel engagement collectif renouvelé serait une étape importante pour consolider la préparation aux pandémies au plus haut niveau politique. La Constitution de l’Organisation mondiale de la Santé lui servirait d’ancrage et il s’appuierait sur d’autres organisations sans lesquelles cette entreprise, menée à l’appui du principe de la santé pour tous, ne pourrait aboutir. Un tel traité se fonderait sur les actuels instruments mondiaux de la santé, en particulier le Règlement sanitaire international, de manière à lui garantir une assise solide et éprouvée qui nous servirait de point de départ pour améliorer les choses.

L’objectif principal de ce traité serait de promouvoir une démarche qui fasse intervenir l’ensemble des pouvoirs publics et de la société et qui renforce les capacités nationales, régionales et mondiales et la résilience face aux futures pandémies. Cela suppose notamment de consolider fortement la coopération internationale pour améliorer, par exemple, les systèmes d’alerte, la mise en commun des informations, la recherche, ainsi que la production et la distribution locales, régionales et mondiales de moyens médicaux et d’interventions de santé publique, comme les vaccins, les médicaments, les produits de diagnostic et les équipements de protection individuelle.

Ce traité ferait également sien le principe « Un monde, une santé » qui relie la santé des humains, des animaux et de notre planète. Enfin, un instrument de cet ordre devrait conduire à une plus grande responsabilisation mutuelle et à un partage des responsabilités, et favoriser la transparence et la coopération au sein du système international et à l’égard de ses règles et de ses normes.

Pour ce faire, nous travaillerons avec les chefs d’État et de gouvernement du monde entier et avec toutes les parties prenantes concernées, dont la société civile et le secteur privé. Nous avons la conviction que c’est à nous, en tant que dirigeants de nations et d’institutions internationales, qu’il incombe de veiller à ce que le monde tire les enseignements de la pandémie de Covid-19.

Au moment où le Covid-19 tire parti de nos faiblesses et de nos divisions, nous devons saisir cette occasion pour nous rassembler en tant que communauté mondiale en faveur d’une coopération pacifique qui aille au-delà de cette crise. Le renforcement de nos capacités et de nos systèmes pour y parvenir prendra du temps et exigera un engagement soutenu pendant de nombreuses années d’un point de vue politique, financier et de la société en générale.

Nous laisserons en héritage la solidarité qui sera la nôtre au moment de faire en sorte que le monde soit mieux préparé. C’est elle qui protégera nos enfants et nos petits-enfants et qui permettra que les futures pandémies affectent aussi peu que possible nos économies et nos sociétés.

La préparation aux pandémies a besoin d’un leadership mondial pour bâtir un système de santé mondial à la hauteur de ce millénaire. Pour que cet engagement devienne réalité, notre action doit être guidée par la solidarité, la justice, la transparence, l’inclusion et l’équité.

Signataires :

  • J. V. Bainimarama, Premier Ministre des Fidji ;
  • Prayut Chan-o-cha, Premier Ministre de Thaïlande ;
  • António Luís Santos da Costa, Premier Ministre du Portugal ;
  • Mario Draghi, Premier Ministre de l’Italie ;
  • P Klaus Iohannis, Président de la Roumanie ;
  • Boris Johnson, Premier Ministre du Royaume-Uni ;
  • Paul Kagame, Président du Rwanda ;
  • Uhuru Kenyatta, Président du Kenya ;
  • Emmanuel Macron, Président de la France ;
  • Angela Merkel, Chancelière de l’Allemagne ;
  • Charles Michel, Président du Conseil européen ;
  • Kyriakos Mitsotakis, Premier Ministre de la Grèce ;
  • Moon Jae-in, Président de la République de Corée ;
  • Sebastián Piñera, Président du Chili ;
  • Andrej Plenković, Premier Ministre de Croatie ;
  • Carlos Alvarado Quesada, Président du Costa Rica ;
  • Edi Rama, Premier Ministre de l’Albanie ;
  • Cyril Ramaphosa, Président de l’Afrique du Sud ;
  • Keith Rowley, Premier Ministre de Trinité-et-Tobago ;
  • Mark Rutte, Premier Ministre des Pays-Bas ;
  • Kais Saied, Président de la Tunisie ;
  • Macky Sall, Président du Sénégal ;
  • Pedro Sánchez, Premier Ministre de l’Espagne ;
  • Erna Solberg, Première Ministre de Norvège ;
  • Aleksandar Vučić, Président de la Serbie ;
  • Joko Widodo, Président de l’Indonésie ;
  • Volodymyr Zelensky, Président de l’Ukraine ;
  • Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé.


L’Union européenne soutient le processus de l’Organisation mondiale de la santé en vue d’un traité sur les pandémies

Publié par le Conseil de l’Union européenne et dleConseil européen, le 15 juin 2021

Lors de l’Assemblée mondiale de la santé, les 194 membres de l’OMS ont adopté, le 31 mai 2021, la décision d’examiner un nouveau traité international sur les pandémies lors d’une session extraordinaire qui se tiendra en novembre 2021. Le Conseil a adopté, le 20 mai 2021, une décision visant à soutenir l’ouverture de négociations concernant un traité international sur la lutte contre les pandémies dans le cadre de l’OMS. L’objectif de la décision du Conseil est de garantir la participation de l’Union européenne aux négociations portant sur des questions relevant de la compétence de l’Union européenne, compte tenu de l’adhésion éventuelle de l’Union européenne au traité.

Un tel traité appuierait les efforts internationaux visant à renforcer la sécurité sanitaire mondiale, notamment en ce qui concerne la préparation et la réaction aux urgences sanitaires, à la lumière des enseignements tirés de la pandémie.

Pourquoi un traité international ?

La pandémie de Covid-19 constitue un défi mondial. Aucun gouvernement ni aucune institution ne peut faire face seul à la menace que représentent de futures pandémies.

Un traité est un instrument juridiquement contraignant en vertu du droit international. Un traité international sur les pandémies, adopté dans le cadre de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), permettrait aux pays du monde entier de renforcer les capacités nationales, régionales et mondiales et la résilience face à de futures pandémies.

Objectifs

La proposition de traité est guidée par un esprit de solidarité collective, ancré dans les principes d’équité, d’inclusion et de transparence.

Ni les gouvernements, pris isolément, ni la communauté internationale ne peuvent totalement prévenir les pandémies. Il n’empêche que la communauté internationale doit être bien mieux préparée et mieux coordonnée pour réagir à d’éventuelles futures pandémies, et ce tout au long du cycle de détection, d’alerte et de réaction.

Le traité énoncerait les objectifs et les principes fondamentaux, de façon à structurer l’action collective nécessaire pour lutter contre les pandémies.

Un traité international sur les pandémies permettrait d’accroître les efforts et de les faire converger sur :

  • la détection précoce et la prévention des pandémies ;
  • la résilience face à de futures pandémies ;
  • la réaction à d’éventuelles futures pandémies, notamment en assurant un accès universel et équitable à des solutions médicales, telles que les vaccins, les médicaments et les diagnostics ;
  • le renforcement du cadre international en matière de santé, l’OMS jouant le rôle d’autorité de coordination en ce qui concerne les questions sanitaires mondiales ;
  • le concept « Une seule santé », qui établit un lien entre la santé humaine, la santé animale et la santé de notre planète.

Plus précisément, un tel traité peut renforcer la coopération internationale dans un certain nombre de domaines prioritaires, tels que la surveillance, les alertes et la réaction, mais aussi la confiance générale dans le système de santé international.

Mesures incitatives et avantages

Amélioration de la surveillance des risques de pandémie

La surveillance des risques et, en particulier, le partage des connaissances sur les nouvelles maladies infectieuses se propageant des animaux à l’homme constitue un élément essentiel de la prévention de futures pandémies.

Cet objectif pourrait être atteint par les moyens suivants :

  • le renforcement des capacités de laboratoire et de surveillance nécessaires pour identifier les maladies animales dans tous les pays ;
  • l’amélioration de la collaboration entre centres de recherche partout dans le monde ;
  • une meilleure coordination du financement international des principales capacités.

Amélioration des mécanismes d’alerte

La création de niveaux d’alerte supplémentaires, en fonction de la gravité des risques sanitaires, améliorerait la précision de la communication sur les menaces pour la santé publique. Cela renforcerait la transparence et la légitimité des mesures de restriction ou des mesures en matière de santé.

Les technologies numériques et des outils novateurs pour la collecte et le partage des données ainsi que pour l’analyse prédictive peuvent contribuer à la communication en temps réel et à l’alerte rapide, ce qui permettrait dès lors de réagir plus rapidement.

Amélioration de la réaction

Fournitures médicales et services de santé

Comme cela a été démontré au cours de la pandémie de Covid-19, les chaînes d’approvisionnement et les systèmes logistiques mondiaux doivent être plus résilients pour faire face aux menaces sanitaires mondiales. Tous les pays devraient pouvoir bénéficier, sans interruption, d’un accès aux fournitures, médicaments et équipements essentiels, d’où qu’ils proviennent dans le monde.

La coordination mondiale en vue de la constitution efficace de stocks peut également permettre de réagir plus facilement aux pandémies. La capacité de déployer sur le terrain de l’équipement médical et des équipes médicales hautement qualifiées représenterait en outre un progrès pour la sécurité sanitaire au niveau mondial.

Recherche et innovation

La pandémie de COVID-19 a montré à quel point il est essentiel que la communauté scientifique se mobilise sans délai et que l’industrie soit à même d’accroître rapidement sa capacité de production.

Une approche coordonnée au niveau planétaire en vue de découvrir, mettre au point et distribuer des solutions médicales efficaces et sûres, par exemple des vaccins, des médicaments, des systèmes de diagnostic et des équipements de protection, serait bénéfique à la sécurité sanitaire collective.

Le partage d’informations sur les agents pathogènes, d’échantillons biologiques et de données génomiques ainsi que la mise au point de solutions médicales en temps utile (vaccins, traitements et diagnostics) sont essentiels pour améliorer la préparation aux pandémies au niveau mondial.

Amélioration des mécanismes de réaction

Les inégalités en matière d’accès aux vaccins, aux médicaments et aux diagnostics risquent de prolonger les pandémies et d’aggraver le tribut à payer, en termes de vies humaines et de santé, mais aussi pour nos sociétés et nos économies.

Le traité tirerait les enseignements de l’expérience acquise avec l’accélérateur d’accès aux outils contre le Covid-19 (dispositif ACT), le mécanisme COVAX et d’autres instruments collectifs mis au point depuis le début de la pandémie de Covid-19, afin de répondre de manière plus équitable aux besoins mondiaux lors de futures pandémies.

Amélioration de la mise en œuvre

La résilience des systèmes nationaux de santé publique constitue un élément crucial dans la lutte contre une pandémie. Les pays doivent pouvoir compter sur leurs systèmes de santé publique pour réagir efficacement lorsque survient une pandémie. Pour ce faire, il faudrait un mécanisme de rapport par pays plus solide, un recours plus généralisé aux évaluations externes conjointes et un meilleur suivi.

Rétablir la confiance dans le système de santé international

Le traité assurerait davantage de transparence, de responsabilisation et de partage des responsabilités au sein du système international. En outre, il établirait les bases d’une meilleure communication et d’une meilleure information des citoyens. La mésinformation risque de saper la confiance du public et de réduire l’efficacité des réponses apportées en matière de santé publique. Pour regagner la confiance des citoyens, il faudrait prévoir des mesures concrètes destinées à améliorer la diffusion d’informations fiables et exactes et à contrer la mésinformation à l’échelle mondiale.

Processus

Un traité international sur la lutte contre les pandémies serait un instrument universel qui pourrait prendre la forme d’une convention-cadre découlant de la constitution de l’OMS.

En effet, une disposition spéciale de la constitution de l’OMS, en l’occurrence son article 19, habilite l’Assemblée mondiale de la santé à négocier et adopter « des conventions ou accords se rapportant à toute question entrant dans la compétence de l'[OMS] ». Ainsi, cet article a été utilisé en 2003 pour l’adoption de la convention-cadre pour la lutte antitabac.

Le traité sur les pandémies serait adopté par les États membres de l’OMS réunis au sein de l’Assemblée mondiale de la santé. Une fois adopté au niveau international par l’Assemblée, le traité devrait être ratifié par le nombre requis de pays pour entrer en vigueur. Il ne deviendrait juridiquement contraignant que pour les pays qui le ratifient au niveau national.

Un tel traité s’appuierait sur les instruments internationaux existants dans le domaine de la santé, en particulier sur le règlement sanitaire international, assurant une base solide et éprouvée sur laquelle se fonder.

Contexte

La proposition de traité international sur les pandémies a été annoncée pour la première fois par le président du Conseil européen, Charles Michel, lors du Forum de Paris sur la paix, en novembre 2020.

« Nous devons aller plus loin et tirer les leçons de la pandémie. On constate qu’il est absolument crucial de pouvoir agir plus vite et de façon plus coordonnée, pour faire en sorte que des équipements médicaux soient disponibles et pour s’échanger très rapidement des informations afin de protéger au mieux nos citoyens. »

~ Charles Michel, président du Conseil européen, discours lors du Forum de Paris sur la paix, 12 novembre 2020

Cet appel en faveur d’un traité international sur les pandémies a également été mis en évidence par les dirigeants du G7 dans leur déclaration du 19 février 2021.

Les dirigeants de l’Union européenne sont convenus, le 25 février 2021, de travailler à un traité international sur les pandémies.

« Nous sommes déterminés à faire progresser la sécurité sanitaire mondiale, notamment en renforçant l’Organisation mondiale de la santé et en œuvrant à l’élaboration d’un traité international sur les pandémies dans le cadre de cette organisation. »

~ Déclaration des membres du Conseil européen, 25 février 2021

Notes

  1. Organisation mondiale de la santé : « Session extraordinaire de l’Assemblée mondiale de la Santé en vue d’envisager d’élaborer une convention, un accord ou un autre instrument international de l’OMS sur la préparation et la riposte aux pandémies ». A74/A/CONF./7 – Point 17.3 de l’ordre du jour, 25 mai 2021.
  2. Organisation mondiale de la santé : « Règlement sanitaire international (2005) ». Troisième édition. 1 janvier 2016. ISBN: 9789242580495. [Texte original sur Fedlex]
  3. Organisation mondiale de la santé : « Révision du Règlement sanitaire international ». Résolutions et décisions (WHA58.3).
  4. Bill Chappell : « The ‘Time Has Come’ For A Global Pandemic Treaty, WHO’s Tedros Says ». NPR, May 31, 2021.
  5. OMS : « Révision du Règlement sanitaire international ». Résolutions et décisions (WHA58.3).
  6. Haik Nikogosian and Ilona Kickbusch : « How would a pandemic treaty relate with the existing IHR (2005)? » The BMJ Opinion, May 23, 2021.
  7. Idem.
  8. Eric Toner, M.D. : « CDC Releases Interim Planning Guidance for Mitigation of Pandemic Influenza ». Clinicians’ Biosecurity News. JHSPH Center for Health Security, February 7, 2007.
  9. Haik Nikogosian and Ilona Kickbusch : « How would a pandemic treaty relate with the existing IHR (2005)? » The BMJ Opinion, May 23, 2021.
  10. Idem.
  11. Idem.
  12. Commission des droits de l’homme des Nations unies : « Principes de Syracuse concernant les dispositions du Pacte international relatif aux droits civils et politiques qui autorisent des restrictions où des dérogations ». 28 septembre 1984, E/CN.4/1985/4. [PDF]
  13. Haik Nikogosian and Ilona Kickbusch : « How would a pandemic treaty relate with the existing IHR (2005)? » The BMJ Opinion, May 23, 2021.
  14. À propos de GAVI : www.gavi.org/fr/notre-alliance/a-propos.

Références

Source de l’article publié le 7 octobre 2021 : Guy Boulianne

Le calcul est vite fait ! Décès C0VlD vs décès vakx1

4520 fois plus de « chance » de mourir du vakx1, que d’être protégé par celui-ci.

Source chaîne d’informations WCNC Charlotte

NB: Il y a une phrase qui peut peut-être prêter à confusion, nous avons à 99% les mêmes « chances » d’avoir le Covid avec ou sans vaccin.

https://rumble.com/vnhieb-le-calcul-est-vite-fait.html

Le Seigneur des « vakx1 » par le Dr Pascal Sacré

Par Dr Pascal Sacré pour Mondialisation.ca

Je ne suis pas pratiquant, au sens habituel du terme, d’une religion ou d’un courant ésotérique.

Par contre, j’ai beaucoup lu, étudié, réfléchi, curieux de tout, ouvert à priori à tout. 

Je n’exclus rien, je vais partout, surtout si une autorité me dit, sans autre argument que son « autorité », de ne pas y aller.

Grâce à cette qualité (considérée comme un danger par certains), je continue à apprendre, inlassablement.

Médecin « orthodoxe » issu d’une université belge et d’un cursus classique, j’ai longtemps suivi le chemin balisé, marché dans les clous et traversé lorsque le feu passe au vert, presque toujours.

La curiosité, défaut incurable chez moi, m’a amené sur des chemins de traverse, là où vous rencontrez des personnes, foulez des sols, dénichez des trésors qualifiés par ceux qui tracent les routes et balisent les passages pour piétons, de sources corrompues (expression moderne : « fake news »), d’enseignants infréquentables.

Je ne suis pas un gourou, pas plus qu’Alexander De Croo, Young Global Leader 2015, Alexander De Croo devient Young Global Leader | Focus on Belgium, pas plus qu’Edouard Philippe et le président Macron, Young Global Leaders respectivement en 2011 et 2012, ou Olivier Véran en 2019, Emmanuel Macron et Edouard Philippe, ces « young leaders » qui nous gouvernent – Gala

Vérifiez par vous-même, tous les chefs ou sous-chefs des gouvernements ayant appliqué la feuille de route en 2020,  le plan établi par le cartel des véritables gourous, ont été des Young Global Leaders, la « secte du forum économique mondial du Great Reset »

Non, je ne suis pas un gourou, pas plus ou moins que Bill Gates ou Tedros Adhanom Ghebreyesus (chef de l’OMS-Organisation Mondiale de la Santé) qui eux, pourtant, sans être soignant ni médecin, entraînent le monde dans leur idéologie terroriste sanitaire.

Par contre, oui, je suis médecin depuis 25 ans, anesthésiste-réanimateur depuis 17 ans (quelqu’un qui endort et réveille les gens, les endort pour leur éviter la souffrance et les réveille pour leur rendre leur autonomie).

Fort de ma curiosité, de mes apprentissages et de mon ouverture à tout ce qui peut aider l’humanité, sans tabous ni censures, je dis à l’humanité entière de stopper cette course vers la mort.

Descendez du train fou en marche. 

Je sais, cela fait peur, cela peut faire mal, et en même temps, tant que vous sentez la douleur, c’est que vous êtes vivant.

Reprenez votre autonomie physique et intellectuelle et protégez vos enfants.

Ces Young Global leader devenus « Leaders » (gourous) tout courts ne vous veulent pas du bien.

Sous couvert de ces injections mortelles (immédiatement ou à distance par stérilisation), autant de chevaux de Troie de la mort dans votre corps, dans votre esprit et dans votre âme, ils vous font croire qu’ils veulent vous sauver.

C’est faux. C’est convaincant, bien présenté, mais c’est faux.

S’ils voulaient vous sauver, ils vous diraient depuis longtemps de bouger davantage, de mieux manger (vraiment, pas des produits lights qui vous empoisonnent autant que les produits « lourds », Reévaluer les risques de l’aspartame. Nouvelles données expérimentales et épidémiologiques), de gérer votre stress au quotidien, de prendre soin de votre microbiote, de prendre des compléments alimentaires, certains toute l’année dans un pays comme la Belgique (vitamine D).

Cela n’est possible, malheureusement, que grâce à la complicité de certaines personnes qui dirigent les institutions censées nous protéger et les médias principaux censés nous informer. 

Comme le dit le professeur Nagarra au procureur Henry Volney (Yves Montand) dans I comme Icare, le film d’Henri Verneuil, il suffit de morceler les responsabilités : 

« Un tyran a besoin avant tout d’un état-tyran, alors il va utiliser un million de petits tyrans fonctionnaires qui ont chacun une tâche banale à exécuter, et chacun va exécuter cette tâche avec compétence, et sans remords, et personne ne se rendra compte qu’il est le millionième maillon de l’acte final. Les uns vont arrêter les victimes, ils n’auront commis que de simples arrestations, d’autres vont conduire ces victimes dans des camps. Ils n’auront fait que leur métier de mécanicien de locomotive, et le directeur de prison ouvrant ses portes n’aura fait que son devoir de directeur de prison. Bien entendu les chefs-tyrans utilisent les individus les plus cruels dans la violence finale, mais à tous les maillons de la chaîne, on a rendu l’obéissance confortable. » © Henri Verneuil, I comme Icare, 1979.

Cela vous rappelle quelque chose ? 

Délation encouragée, violence sur des citoyens sans défense banalisée, justifiée même, citoyens exclus des hôpitaux pour le seul « crime » de ne pas être « encore » injecté par un produit expérimental, ce vendeur dans un magasin d’électro-ménager qui vous ordonne de mettre votre masque correctement, le tenancier de bar transformé à la fois en policier et en médecin puisque vous devez dorénavant lui montrer votre état de santé.

Où croyez-vous que cela nous mène ?

Le dire maintenant, ce qui est considéré comme choquant par les mêmes qui vous disent que tout va bien, est la seule chance de ne pas franchir le seuil au-delà duquel tout espoir d’éviter la répétition de l’Histoire sera définitivement perdu.

Qui est Pfizer pour être aussi « puissant », à la fin ? 

Malgré le total de décès dus à la vakxination, même ce chiffre officiel de 15 937 morts issu du programme de surveillance des États-Unis (VAERS)-période du 14 décembre 2020 au 24 septembre 2021), dont on sait qu’il est largement sous-estimé, Pfizer, au casier judiciaire lourdement chargé, continue, reste en lice (Le casier judiciaire de Pfizer et son « vakx1 » tueur (reseauinternational.net) 

Pfizer s’attaque à présent aux femmes enceintes sur toute la durée de leur grossesse, aux femmes ayant accouché malgré 1444 fausses couches déclarées (en réalité bien plus) ou naissances prématurées, malformées.

Certaines femmes font pression pour résister, appeler à l’aide ou alerter (« La main sur le berceau », Big Pharma étend ses injections aux femmes enceintes et aux enfants — Les Maîtres du Monde — Sott.net) mais c’est la pression de Pfizer qui l’emporte, systématiquement.

Alors, logiquement puisque nous les laissons faire, Pfizer s’attaque aux enfants de 5 à 11 ans, avec une demande d’autorisation en urgence pour leur produit toxique, alors que 21 jeunes de 12 à 17 ans sont décédés récemment aux États-Unis.

La seule chose de nouvelle dans leur vie ? Avoir accepté le produit toxique de Pfizer. 

Sérieusement, faut-il faire des autopsies pour vous convaincre ?

Alors que presqu’aucun jeune de moins de 30 ans, à moins d’une maladie débilitante préalable, n’est mort du COVID-19 ou n’a fait la moindre forme grave.

Qui est Pfizer ? 

Qui est « Big Pharma » ? 

Derrière ces firmes se trouvent des personnes, des noms, des responsables autorisés. 

Dorénavant, citons ces noms qui servent le Système, appelé Sauron dans le Seigneur des Anneaux.

Nous pourrions appeler le Système actuel, le Seigneur des ‘vakx1s’, avec à sa tête Sauron, à son service des Balrogs, des serviteurs zélés, des « idiots » utiles (cf. I comme Icare), des traîtres (Saroumane), des gens qui regardent et d’autres qui attendent.

Ne riez pas. 

L’analogie est réaliste.

Les mots sont importants ! 

Ils activent à notre insu des concepts profondément ancrés dans nos inconscients individuel et collectif : les archétypes chers à Carl Jung.

Malgré l’évidence, les preuves de plus en plus solides et les témoignages de plus en plus convaincants, les ‘vakx1s’, même avant le Covid, ne sont pas les bienfaiteurs de l’humanité (Enquête Choc — Les vakx1s ont-ils vraiment sauvé l’humanité ? — Santé et Bien-être — Sott.net), mais il faut du temps pour tirer un archétype de son piédestal doré.

Aujourd’hui, le concept de ‘vakx1’ utilisé comme cheval de Troie, permet à une firme frappée de la plus grosse amende fédérale de l’histoire des États-Unis, associée à BioNTech, et à d’autres firmes aussi peu recommandables d’entraîner la partie de l’humanité qui les dérange (vous et moi) vers une extinction qui ne devra rien au hasard, avec la complicité d’escrocs aux dents blanches et au costume parfait.

Certains y vont gaiement, en chantant, en suivant le joueur de flûte. 

D’autres y vont car ils se sentent coupable d’être vivant : les gourous criminels ont réussi à leur faire croire qu’ils sont les responsables-coupables du dérèglement climatique, du racisme à l’égard des gens de couleur (le blanc est une couleur), du terrorisme, des inégalités, des crises et aujourd’hui, des pandémies.

Oui, pour « Sauron le système », nous ne nous laverons jamais assez les mains, nous ne mettrons jamais assez bien notre masque et nous n’accepterons jamais assez de leurs produits (faussement appelés vakx1s) dans notre corps meurtri.

Certains, les pires, y vont sciemment, soit pour y gratter quelque avantage, soit pour y briller telle une lumière d’Udûn*.

Faites attention aux mots. N’utilisez plus ceux de l’Ennemi. 

Bannissez le mot qui commence par v et se termine par n ! Et les mots comme ‘obligatoire’, ‘confinement’, ‘masque’, ‘lavage des mains’, ‘distanciation sociale’…, leurs mots, leurs expressions utilisées à dessein pour envelopper leurs poisons dans un concept archétypal puissant et salvateur (perçu comme tel par la majorité de l’humanité), pour mieux les faire accepter à une population de plus « hypnotisée » via la peur, la répétition, la confusion et les ruptures de pattern (outils utilisés pour plonger à son insu une personne en hypnose, état de conscience caractérisé par une hypersuggestibilité, une sensibilité exagérée à l’influence).

Utilisez les mots réels  qui désignent ce que ces choses sont vraiment :

  • V…n = injection transgénique
  • Masque = obstacle respiratoire
  • Lavage des mains = trouble hygiénique compulsif
  • Distanciation sociale = isolement social

Ce sont des propositions. 

Le plus important est d’avoir compris la raison pour laquelle ces considérations sémantiques sont capitales dans le combat que nous menons contre l’idéologie transgénique actuelle.

Je m’adresse particulièrement à tous ceux qui ont compris, qui ont ouvert les yeux sur tout cela aujourd’hui.

Dans ce passage particulièrement sombre du premier volet du Seigneur des Anneaux (« La Communauté de l’Anneau), dans la Moria, les caves de Khazad-dûm, le spectateur-lecteur voit deux feux s’affronter.

Gandalf contre le Balrog. Anor contre Udûn. La Flamme peut servir le Bien, elle peut servir le Mal. La Flamme peut vous réchauffer, comme elle peut vous brûler.

Quel fabuleux message d’espoir à toute la planète encore libre et vivace.

Udûn ne passera pas, grâce à chacun d’entre vous, petites et grandes flammes d’Anor.

Dr Pascal Sacré

Que veut dire Gandalf par « Feu secret », « Flamme d’Anor » et « Flamme d’Udûn » ? (askfrance.me)  Anor est un nom pour le Soleil en Terre du Milieu, tandis qu’Udûn (qui se traduit par enfer) est le nom de l’un des premiers repaires de Morgoth, le Maître de Sauron. « J’ai le pouvoir du bien de mon côté, vous avez le pouvoir du mal ».

Image en vedette : Photo du film : Le Seigneur des anneaux : la communauté de l’anneau

Dr Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995. Il a entamé une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs (critical care) en 2003. Il travaille en milieu hospitalier depuis cette date, en soins intensifs, avec un passage de 2,5 ans dans un centre pour grands brûlés (l’hopital militaire Reine Astrid HMRA à Bruxelles) entre 2009 et 2011. Depuis 2011, il travaille dans un centre de soins intensifs médico-chirurgical à Charleroi, Belgique. Il est formé en hypnothérapie en milieu médical depuis 2014 et à ce titre, il est responsable de formations en gestion du stress pour le personnel de son hôpital. Il collabore pour le Centre de recherche sur la Mondialisation depuis 2009.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021

Une véritable bombe : Le « Vakxine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français !

Voici le fameux rapport au format PDF du Dr. Vladimir Zelenko qui a soigné Trump ainsi que d’autres hommes politiques et nombre de patients avec l’hydroxychloroquine entre autre…

On peut considérer ce document comme l’analyse et le résumé les plus importants de ce qui se passe sur la planète, où ces mondialistes génocidaires entreprennent des meurtres de masse à une échelle sans précédent qui dépasse l’entendement. Nous sommes dans une guerre contre le mal, dont l’objectif principal est le contrôle et la mort. 

Le docteur Vladimir Zelenko
Existe-t-il des preuves des millions de décès et d’événements indésirables graves résultant des injections expérimentales de COVID-19

Par David John Sorensen & Dr. Vladimir Zelenko, M.D- Septembre 2021.

BUT : L’objectif de ce rapport est de montrer comment, dans le monde entier, des millions de personnes sont mortes et des centaines de millions d’événements indésirables graves se sont produits après des injections de la thérapie génique expérimentale à ARNm. Nous révélons également le risque réel d’un génocide sans précédent.

FAITS : Notre objectif est de ne présenter que des faits scientifiques et de nous tenir à l’écart des affirmations non fondées. Les données sont claires et vérifiables. Des références peuvent être trouvées avec toutes les informations présentées, qui sont fournies comme point de départ pour une enquête plus approfondie.

COMPLICITÉ : Les données suggèrent que nous sommes peut-être en train d’assister au plus grand meurtre de masse organisé de l’histoire de notre monde. La gravité de cette situation nous oblige à poser cette question cruciale : nous lèverons-nous pour défendre des milliards d’innocents ? Ou préférerons-nous le profit personnel à la justice, et serons nous complices ? Des réseaux d’avocats du monde entier préparent des actions collectives en justice pour poursuivre tous ceux qui servent cet agenda criminel. À tous ceux qui ont été complices jusqu’à présent, nous disons : il est encore temps de se retourner et de choisir le camp de la vérité. S’il vous plaît, faites le bon choix.

À L’ÉCHELLE MONDIALE : Bien que ce rapport se concentre sur la situation aux États-Unis, il s’applique également au reste du monde, car le même type d’injections expérimentales avec des taux de mortalité similaires – et des systèmes de corruption comparables pour cacher ces chiffres – est utilisé dans le monde entier. C’est pourquoi nous encourageons tout le monde dans le monde à partager ce rapport. Puisse-t-il être un signal d’alarme pour l’ensemble de l’humanité.

EN COMPLEMENT:

Des milliers de professionnels de la santé déclarent que les politiques du COVID sont des « crimes contre l’humanité ».


WASHINGTON, D.C. – À 19 heures (heure de l’Est) le lundi 27 septembre 2021, plus de 5 200 médecins et scientifiques ont signé la « Déclaration des médecins », condamnant les décideurs politiques pour leur approche autoritaire consistant à imposer une stratégie de traitement COVID « unique » qui entraîne « des maladies et des décès inutiles ».

Une alliance internationale de médecins et de scientifiques médicaux s’est réunie à Rome, en Italie, du 12 au 14 septembre pour un sommet mondial de trois jours sur le COVID afin de dire « la vérité au pouvoir sur la recherche et le traitement de la pandémie de COVID ». Le sommet a été l’occasion pour les professionnels de la santé de comparer les études et d’évaluer l’efficacité des différents traitements contre le coronavirus mis au point dans les hôpitaux, les cabinets médicaux et les laboratoires de recherche du monde entier.

Cependant, nombre de ces professionnels de la santé ont fait l’objet de menaces sur leur carrière, de diffamations, de la censure d’articles de recherche, d’essais cliniques et d’observations de patients, leur histoire professionnelle et leurs réalisations ont été modifiées ou omises dans les médias universitaires et grand public parce qu’ils fournissaient des traitements vitaux aux patients atteints du COVID.

Le Dr Robert Malone, qui a découvert la transfection d’ARN in-vitro et in-vivo et inventé les vaccins à ARNm alors qu’il était au Salk Institute en 1988, a lu la déclaration lors du sommet.

La « Déclaration des médecins » stipule:

« Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d’Hippocrate, reconnaissant que la profession de médecin telle que nous la connaissons est à la croisée des chemins, sommes contraints de déclarer ce qui suit ;

CONSIDÉRANT qu’il est de notre plus haute responsabilité et de notre devoir de défendre et de restaurer la dignité, l’intégrité, l’art et la science de la médecine ;

CONSIDÉRANT que les décideurs publics ont choisi d’imposer une stratégie de traitement « unique », entraînant des maladies et des décès inutiles, plutôt que de défendre les concepts fondamentaux de l’approche individuelle et personnalisée des soins aux patients, qui s’est avérée sûre et plus efficace ;

CONSIDÉRANT que les médecins et autres prestataires de soins de santé travaillant en première ligne, grâce à leurs connaissances en épidémiologie, en physiopathologie et en pharmacologie, sont souvent les premiers à identifier de nouveaux traitements susceptibles de sauver des vies ;

CONSIDÉRANT que les médecins sont de plus en plus découragés de s’engager dans un discours professionnel ouvert et dans l’échange d’idées sur les maladies nouvelles et émergentes, ce qui met en danger non seulement l’essence de la profession médicale, mais surtout, et de manière plus tragique, la vie de nos patients ;

CONSIDÉRANT que des milliers de médecins sont empêchés de fournir un traitement à leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique, ce qui rend la grande majorité des prestataires de soins de santé impuissants à protéger leurs patients face à la maladie.  Les médecins conseillent maintenant à leurs patients de simplement rentrer chez eux (ce qui permet au virus de se répliquer) et de revenir lorsque leur maladie s’aggrave, ce qui entraîne des centaines de milliers de décès inutiles de patients, en raison de l’absence de traitement ;

ATTENDU QUE, ce n’est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l’humanité.

MAINTENANT DONC, C’EST FAIT :

RÉSOLU, que la relation médecin-patient doit être restaurée. Le cœur même de la médecine est cette relation, qui permet aux médecins de mieux comprendre leurs patients et leurs maladies, de formuler des traitements qui donnent les meilleures chances de succès, tandis que le patient participe activement à ses soins.

RÉSOLU, que l’intrusion politique dans la pratique de la médecine et la relation médecin/patient doit cesser. Les médecins, et tous les prestataires de soins de santé, doivent être libres de pratiquer l’art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte éventuelle de l’autorisation d’exercer et des privilèges hospitaliers, la perte des contrats d’assurance et l’interférence des entités et organisations gouvernementales – qui nous empêchent encore davantage de soigner les patients dans le besoin. Plus que jamais, le droit et la capacité d’échanger des résultats scientifiques objectifs, qui font progresser notre compréhension des maladies, doivent être protégés.

RÉSOLU, que les médecins doivent défendre leur droit de prescrire des traitements, en respectant le principe « D’ABORD, NE PAS NUIRE ». Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de provoquer des maladies et des décès inutiles. Les droits des patients, après avoir été pleinement informés des risques et des avantages de chaque option, doivent être rétablis pour recevoir ces traitements.

RÉSOLU, que nous invitons les médecins du monde entier et tous les prestataires de soins de santé à se joindre à nous dans cette noble cause alors que nous nous efforçons de restaurer la confiance, l’intégrité et le professionnalisme dans la pratique de la médecine.

RÉSOLU, que nous invitons les scientifiques du monde entier, qui sont compétents en matière de recherche biomédicale et qui respectent les normes éthiques et morales les plus élevées, à insister sur leur capacité à mener et à publier des recherches objectives et empiriques sans craindre de représailles sur leur carrière, leur réputation et leurs moyens de subsistance.

RÉSOLU, que nous invitons les patients, qui croient en l’importance de la relation médecin-patient et en la possibilité de participer activement à leurs soins, à exiger l’accès à des soins médicaux fondés sur la science. »

Mat Staver, fondateur et président de Liberty Counsel, a déclaré : « Ces professionnels de la santé ont été censurés et menacés pour avoir simplement respecté le serment d’Hippocrate, qui consiste à « ne pas nuire ». Tout au long de l’histoire, de nombreuses découvertes révolutionnaires qui sont aujourd’hui devenues une science reconnue ont été initialement censurées. Il est grand temps de mettre fin à la censure médicale et de donner aux médecins et aux experts scientifiques la liberté qu’ils méritent. »

La « monnaie numérique programmable » : La prochaine étape de la nouvelle normalité ?

par Kit Knightly.

La phase finale de la guerre contre l’argent liquide est arrivée : l’argent est remplacé par des coupons soumis à un contrôle total de l’État.

S’inspirant du modèle du bitcoin, les banques centrales envisagent de produire leurs propres « monnaies numériques ». En supprimant tout ce qui reste de vie privée, en s’octroyant un contrôle total sur chaque transaction, en limitant même ce pour quoi les gens ordinaires sont autorisés à dépenser leur argent.

Dès l’apparition du bitcoin et d’autres crypto-monnaies, vendus comme un moyen d’échange indépendant et alternatif en dehors du statu quo financier, ce n’était qu’une question de temps avant que cette nouvelle alternative ne soit absorbée, modifiée et redéployée au service de l’État.

Voici les « monnaies numériques des banques centrales » : la réponse grand public au bitcoin.

Pour ceux qui n’en ont jamais entendu parler, les « monnaies numériques des banques centrales » (CBDC en anglais) sont exactement ce à quoi elles font penser, des versions numérisées de la livre/dollar/euro, etc. émises par les banques centrales.

Comme le bitcoin (et d’autres crypto-monnaies), la CBDC serait entièrement numérique, ce qui contribuerait à la guerre actuelle contre l’argent liquide. Toutefois, contrairement aux crypto-monnaies, elle ne comporterait aucun cryptage préservant l’anonymat. En fait, ce serait totalement l’inverse, ce qui pourrait mettre fin à l’idée même de confidentialité financière.

Il se peut que vous n’ayez pas beaucoup entendu parler des plans des CBDC, perdus comme ils le sont dans l’enchevêtrement de la « pandémie » en cours, mais la campagne existe bel et bien, et se poursuit dans les coulisses depuis des mois. Aujourd’hui même, Reuters et le Financial Times ont publié des articles à ce sujet. C’est une longue et lente escroquerie, mais une escroquerie quand même.

Les pays où l’idée a le plus progressé sont la Chine et le Royaume-Uni. Le yuan numérique chinois est en cours de développement depuis 2014 et fait l’objet de tests continus et généralisés. Le Royaume-Uni est loin d’avoir atteint ce stade, mais le chancelier Rishi Sunak s’efforce de promouvoir une livre numérique que la presse appelle « Britcoin ».

D’autres pays, dont la Nouvelle-Zélande, l’Australie, l’Afrique du Sud et la Malaisie, ne sont pas loin derrière.

Les États-Unis étudient également cette idée. Jerome Powell, directeur de la Réserve fédérale, a annoncé la publication prochaine d’un rapport détaillé sur le « dollar numérique ».

L’émission d’un euro numérique pour les particuliers est aussi à l’étude.

Les propositions relatives au fonctionnement de ces CBDC devraient suffire à déclencher des signaux d’alarme, même dans les esprits les plus confiants.

La plupart des gens n’apprécieraient pas l’idée que le gouvernement surveille « toutes les dépenses en temps réel », mais ce n’est pas le pire.

L’idée de loin la plus dangereuse est que toute future monnaie numérique devrait être « programmable ». Cela signifie que les personnes qui émettent l’argent auraient le pouvoir de contrôler la façon dont il est dépensé.

Il ne s’agit pas d’une interprétation ou d’une « théorie du complot », il suffit d’écouter Agustin Carstens, directeur de la Banque des règlements internationaux, s’exprimant plus tôt cette année:

Reprenons cette citation, en la soulignant :

« La différence essentielle [avec une CBDC] est que la banque centrale aurait un contrôle absolu sur les règles et règlements qui détermineront l’utilisation de cette expression de la responsabilité de la banque centrale, et qu’elle disposerait de la technologie nécessaire pour les faire appliquer ».

…ce qui vous indique non seulement qu’ils veulent et recherchent ce pouvoir, mais aussi comment ils le justifient pour eux-mêmes. Ils transforment l’argent des autres en une « expression de leur responsabilité », et considèrent donc qu’il est normal qu’ils le contrôlent.

Un article paru dans The Telegraph, en juin dernier, était tout aussi franc [c’est nous qui soulignons] :

« L’argent numérique pourrait être programmé de manière à ce qu’il ne soit dépensé que pour des produits de première nécessité ou des biens qu’un employeur ou un gouvernement considère comme raisonnables ».

L’article cite ensuite Tom Mutton, un directeur de la BoE :

« Vous pourriez introduire la programmabilité […] Cela pourrait avoir des effets bénéfiques sur le plan social, en empêchant une activité qui est considérée comme socialement nuisible d’une certaine manière ».

Les gouvernements et les employeurs s’assurent que l’argent qu’ils émettent ne peut être utilisé que pour des choses « raisonnables », et non pour des activités « socialement nuisibles » ? Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour voir comment ce système pourrait évoluer et transformer la société en un véritable cauchemar dystopique.

En Chine, le processus a déjà commencé, avec un manque de subtilité caractéristique. Alors qu’ils progressent vers la mise en circulation de leur monnaie numérique, ils interdisent toutes les crypto-monnaies pour éliminer la concurrence et il est déjà connu que le yuan numérique sera programmable.

L’approche de l’Occident sera probablement moins directe, mais pas moins contraignante pour autant.

Le Britcoin ne sera probablement introduit que dans des « circonstances particulières ». À commencer, comme le dit The Telegraph, par les prestations de l’État. Elles seront marquées pour n’être dépensées qu’en « produits de première nécessité ». (Bien sûr, si le revenu de base universel est mis en place, alors il est possible que la majorité des gens se retrouvent avec des « prestations de l’État »).

Il n’est pas difficile non plus de voir l’argent programmable alimenter le récit de la « protection du NHS », où les gens ne sont pas autorisés à dépenser l’argent de l’État en sucre, cigarettes ou alcool. Ou encore, les personnes inscrites sur les listes d’attente d’organes, ou diagnostiquées avec certaines maladies, voient leurs salaires et leurs dépenses contrôlés.

Dans l’ensemble, cependant, la nature de la tyrannie britannique est d’être officieuse. Ainsi, le gouvernement britannique fera tout un plat pour renoncer à son propre pouvoir de programmer l’argent, se démarquant ainsi positivement de la Chine… mais il ne prendra aucune mesure pour empêcher les grandes entreprises de « programmer » les salaires qu’elles émettent.

Ainsi, alors que l’État contrôle le yuan numérique en Chine, la livre numérique sera soumise au contrôle des entreprises et utilisée pour mettre en œuvre le partenariat tacite entre l’État et les entreprises qui définit le véritable fascisme.

Cela commencera probablement par de petites mesures prévisibles destinées à « limiter la concurrence ». McDonald’s, par exemple, fera en sorte qu’il soit impossible de dépenser son salaire chez Burger King, et vice versa. Coke et Pepsi. Starbucks et Costa. Vous voyez l’idée.

Nous avons assisté à la montée de la « cancel culture », un âge culturel de la politique identitaire et du « virtue signalling ». Eh bien, imaginez comment la monnaie programmable s’intègre dans tout ça. Les entreprises pourraient s’engager à « combattre la haine », et empêcher leurs employés de donner de l’argent à des partis politiques, des groupes religieux, des organisations caritatives ou des individus figurant sur une liste noire.

À l’ère du Covid, nous avons vu comment les auteurs/acteurs/chanteurs qui sortent du rang font l’objet d’une chasse aux sorcières dévastatrice, mais imaginez un monde où les entreprises pourraient « renoncer à ceux qui répandent la désinformation », en rendant impossible de dépenser les salaires qu’elles émettent pour des œuvres d’art/films/musique/livres de critiques virulents du gouvernement.

Peut-être que les entreprises feront en sorte que les employés non vaccinés soient soumis à davantage de restrictions salariales que les employés vaccinés. Peut-être qu’un salaire de personne non vaccinée ne pourra pas être dépensé dans les cinémas ou les boîtes de nuit, pour « arrêter la propagation du virus ».

John Cunliffe, directeur adjoint de la Banque d’Angleterre, a déclaré au Telegraph :

« On pourrait imaginer des contrats intelligents dans lesquels l’argent serait programmé pour n’être libéré que si quelque chose se produit ».

Peut-être les employeurs supprimeront-ils complètement le choix et feront-ils d’un test négatif et/ou d’un rappel de vaccin une condition préalable au déblocage de votre salaire. Cela pourrait s’appliquer à toutes sortes de comportements à l’avenir.

Le Forum économique mondial a une vision claire de l’avenir où les gens « ne possèdent rien et sont heureux ». Si l’on combine cela avec une guerre prolongée contre l’accession à la propriété, on peut imaginer que les employeurs et les gouvernements émettent de l’argent qui peut être dépensé pour payer un loyer, mais pas une hypothèque.

Imaginez maintenant le « Green New Deal » naissant. Des limites strictes sur la quantité d’argent que vous pouvez dépenser en essence, plastique ou viande.

Seulement X dollars par an pour les vols. Seulement Y livres sur le bœuf. Tout cela pour le bien de la planète.

L’argent, qui était une expression de l’indépendance, ne sera plus qu’un système de coupons entièrement soumis aux caprices des multinationales.

Nous sommes en 2030.
Pour réduire votre empreinte CO2, votre achat de nourriture avec de l’argent numérique
a été refusé parce que vous avez dépassé la limite de kilométrage de votre voiture.
Tout cela est suivi grâce à votre identité numérique.
15 points de crédit social ont été déduits de votre passeport pour le changement climatique.

Tout cela aurait ressemblé à de la paranoïa débridée il y a seulement deux ans, mais seriez-vous honnêtement surpris de voir cette suggestion dans The Guardian, ces jours-ci ?

Une monnaie numérique programmable aurait, codée en elle, la capacité de contrôler toute notre société. Et il semble que c’est là que la Nouvelle Normalité se dirige.


source : https://off-guardian.org

via https://cv19.fr

De la ferme à la fourchette : comment l’UE et la cabale de Davos prévoient de contrôler l’agriculture

par F. William Engdahl.

Chaque fois que nous entendons le mot « durable », nous serions bien avisés de jeter un regard critique derrière ces belles paroles. Dans le cas de l’Agenda 2030 mondialiste et de ses 17 objectifs durables à l’horizon 2030, celui qui vise à créer une « agriculture durable », si l’on y regarde de près, détruira une grande partie de la production agricole de l’UE et fera grimper les prix mondiaux des denrées alimentaires, déjà en hausse.

La Commission européenne a baptisé son « Green Deal » alimentaire du joli nom de « Farm to Fork » (De la ferme à la fourchette). Il est soutenu par l’omniprésent Forum économique mondial de Klaus Schwab et sa Grande Réinitialisation.

Gardez à l’esprit que le développement durable, tel que défini par l’ONU et le Forum économique mondial de Davos, signifie atteindre des émissions de carbone nulles d’ici 2050. Or, il n’existe aucune étude scientifique prouvant de manière indépendante que le CO2 met en danger notre planète en créant un réchauffement climatique. Seulement des myriades de modèles informatiques douteux et bien financés. Ce gaz inoffensif est essentiel à toute vie humaine, animale et végétale.

Aujourd’hui, la Commission européenne impose un programme radical au cœur de l’agriculture du deuxième producteur mondial de denrées alimentaires, dans le cadre de son projet mal conçu d’accord vert européen. S’il est mis en œuvre, comme cela est probable, il entraînera une réduction drastique de la production agricole, une diminution importante des protéines de viande et, ce qui est peut-être le plus dangereux, un bouleversement de la législation européenne actuelle régissant les nouvelles cultures génétiquement modifiées, ou OGM2. Cela aura des conséquences mondiales.

De la ferme à la fourchette

En mai 2020, la Commission européenne a publié sa stratégie « De la ferme à la fourchette ». La rhétorique officielle de Bruxelles donne l’impression qu’un nirvana alimentaire est à venir. Ils déclarent : « La stratégie « De la ferme à la fourchette » est au cœur du Green Deal européen, visant à rendre les systèmes alimentaires équitables, sains et respectueux de l’environnement ». Wow, ça a l’air super.

Ils en viennent ensuite au véritable programme :

« Nous devons redessiner nos systèmes alimentaires qui, aujourd’hui, représentent près d’un tiers des émissions mondiales de GES (gaz à effet de serre), consomment de grandes quantités de ressources naturelles, entraînent une perte de biodiversité et des effets négatifs sur la santé… » C’est une manière habile de diaboliser les agriculteurs et notre production alimentaire comme des violateurs de CO2. La solution ? « Les nouvelles technologies et les découvertes scientifiques, associées à une sensibilisation accrue du public et à une demande d’alimentation durable, profiteront à toutes les parties prenantes ». Quelles nouvelles technologies seront expliquées ?

Comment les bureaucrates non élus de Bruxelles prévoient-ils de « redessiner nos systèmes alimentaires » pour éliminer un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre d’ici 2050 ? En forçant les agriculteurs à faire faillite en exigeant de nouveaux intrants coûteux pour la production et des plantes brevetées issues de manipulations génétiques radicalement nouvelles dont la sécurité n’est pas prouvée.

Ils prévoient surtout de lever l’interdiction de facto qui pèse actuellement sur la culture des plantes génétiquement modifiées. Pour ceux qui ne le savent pas, il s’agit de la même technologie risquée non prouvée utilisée dans les vaccins COVID-19 à ARNm modifiés par CRISPR de Pfizer et Moderna.

Le commissaire européen à l’agriculture, Janusz Wojciechowski, déclare à propos du programme vert « De la ferme à la fourchette » :

« Les agriculteurs devront transformer radicalement leurs méthodes de production et utiliser au mieux les solutions technologiques, numériques et spatiales pour inaugurer la nouvelle transition agricole ».

Ils prévoient donc une transformation radicale. Cela semble déjà de mauvais augure.

Porter la part de l’agriculture biologique sans pesticides à 25% du total de l’UE tout en réduisant l’utilisation des pesticides chimiques de 30% d’ici 2030, cela semble formidable pour les personnes non informées. Comme les affirmations de Monsanto et de l’industrie des OGM selon lesquelles leurs cultures OGM réduisent le besoin de pesticides, c’est un mensonge. L’UE s’en sert comme d’un appât pour introduire un changement radical dans les règles strictes actuelles de l’UE pour permettre l’approbation des plantes et des animaux génétiquement modifiés dans l’agriculture.

Dans son document de mai 2020 sur le Green Deal « De la ferme à la fourchette », l’UE déclare que la Commission « réalise une étude qui examinera le potentiel des nouvelles techniques génomiques pour améliorer la durabilité tout au long de la chaîne d’approvisionnement alimentaire ». Cela signifie l’édition de gènes, la modification génétique par CRISPR/Cas9.

Nouvelles techniques génomiques

En avril de cette année, la Commission européenne a publié cette étude sur les nouvelles techniques génomiques (NGT). Les NGT produisent des plantes et même des animaux génétiquement modifiés. Le rapport affirme que les NGT, « des techniques permettant de modifier le génome d’un organisme, ont le potentiel de contribuer à un système alimentaire plus durable, dans le cadre des objectifs de l’accord vert européen et de la stratégie « De la ferme à la fourchette » ». Le rapport appelle à un « débat public » pour modifier la législation européenne stricte sur l’approbation des cultures OGM qui exige des tests approfondis et l’étiquetage des cultures OGM.

Cette loi de 2001 a réussi à restreindre l’utilisation des OGM dans toute l’UE, contrairement aux États-Unis où les OGM non réglementés sont dominants pour les principales cultures. En 2018, la Cour européenne de Justice, le tribunal de l’UE, a statué que les cultures génétiquement modifiées devaient être soumises aux mêmes réglementations strictes que les organismes génétiquement modifiés (OGM) de première génération.

La clé de l’agenda « De la ferme à la fourchette » de Davos et de l’UE est une réduction radicale des pesticides qui seront remplacés par des cultures génétiquement modifiées prétendument capables de remplacer les pesticides.

La Commission européenne, de mèche avec Bayer-Monsanto et d’autres membres du lobby de l’agrobusiness des OGM, s’efforce de supprimer cette restriction judiciaire. La commissaire à la santé et à la sécurité alimentaire, Stella Kyriakides, a déclaré à propos de l’étude européenne d’avril :

« L’étude que nous publions aujourd’hui conclut que les nouvelles techniques génomiques peuvent favoriser la durabilité de la production agricole, conformément aux objectifs de notre stratégie « de la ferme à la fourchette » ». Nouvelles techniques génomiques est l’euphémisme pour désigner les cultures génétiquement modifiées.

Le vice-président de l’UE chargé du Green Deal, Franz Timmermans, a ouvertement admis l’attrait de la promesse de réductions considérables des pesticides, laissant entendre qu’elle découlerait de l’abolition des restrictions sur l’édition de gènes. Lors d’une récente conférence de la Semaine verte de l’UE, il a déclaré que l’UE visait à donner aux agriculteurs les outils nécessaires pour adopter une agriculture de précision et à tirer parti des découvertes scientifiques pour optimiser les semences :

« C’est ainsi que nous limiterons notre dépendance aux pesticides ». L’agriculture de précision et les découvertes scientifiques pour optimiser les semences est le double langage de Bruxelles pour l’introduction massive de l’édition de gènes non réglementée. Il poursuit : « Passer à l’agriculture écologique ne signifie pas que nous devons tous croquer de l’herbe et vivre dans des grottes, nous devons utiliser les dernières technologies pour y parvenir ». Cela signifie l’édition de gènes par CRISPR.

Traduit en langage clair, le cœur de « De la ferme à la fourchette » est l’annulation prévue de la décision de justice de 2018 de la Cour de Justice de la Commission européenne qui traite les plantes ou les animaux génétiquement modifiés par CRISPR selon les mêmes règles strictes du « principe de précaution » pour les OGM. Sans aucune restriction, les entreprises d’édition de gènes comme Bayer-Monsanto seront libres d’introduire des plantes et des animaux génétiquement modifiés expérimentaux dans notre alimentation, sans étiquetage.

Un tel régime sans modification génétique existe déjà aux États-Unis, où le Département de l’Agriculture et les autorités de réglementation autorisent l’huile de soja génétiquement modifiée par CRISPR, les champignons qui ne brunissent pas, le blé avec plus de fibres, les tomates plus productives, le colza tolérant aux herbicides et le riz qui n’absorbe pas la pollution du sol pendant sa croissance.

Les projets américains d’édition de gènes sur les poissons et les animaux comprennent des projets douteux tels que des vaches qui n’ont que des veaux mâles, grâce à la technique CRISPR ; des porcs qui n’ont pas besoin d’être castrés ; des vaches laitières sans cornes et des poissons-chats à croissance améliorée, grâce à la technique CRISPR, pour développer des poissons-chats avec plus de cellules musculaires. Cela met l’eau à la bouche…

Les risques de CRISPR sont énormes, les bénéfices non

La principale campagne de lobbying visant à supprimer la réglementation européenne sur les cultures ou les animaux génétiquement modifiés est le fait de Bayer-Monsanto et des autres géants de l’agro-industrie des OGM, dont Syngenta, BASF et Corteva de DowDupont. En novembre 2020, Liam Condon, président de la division scientifique des cultures de Bayer-Monsanto, a déclaré lors d’une conférence de Bayer sur l’avenir de l’agriculture que Bayer exerçait une pression « très forte » pour modifier la réglementation européenne sur les OGM afin d’exempter l’édition de gènes. Condon a déclaré :

« Nous insistons fortement sur le fait que les réglementations doivent rattraper la technologie et permettre l’utilisation de cette technologie, non seulement dans l’intérêt des Européens, mais aussi dans celui des autres pays du monde qui se tournent vers l’Europe pour ses réglementations ».

Condon a qualifié l’édition de gènes et la technologie CRISPR de « percée étonnante » qui permettrait à l’agriculture d’être plus durable. Ce qu’il a omis, c’est que la déréglementation des cultures génétiquement modifiées permettra à Bayer-Monsanto et à d’autres grandes entreprises d’OGM de faire payer les agriculteurs pour leurs semences « durables » brevetées.

L’édition de gènes de plantes ou d’animaux n’est pas du tout sans risque comme on le prétend. La technologie n’est pas du tout précise ou contrôlée et produit souvent des résultats inattendus, tels que des modifications génétiques involontaires, voire l’ajout par inadvertance d’ADN étranger provenant d’autres espèces, voire de gènes étrangers entiers, dans le génome des organismes génétiquement modifiés.

Il s’agit encore d’une nouvelle technologie expérimentale. Ses défenseurs, comme Bayer-Monsanto, affirment que l’édition génétique des plantes est précise. Pourtant, les enquêtes montrent que c’est loin d’être prouvé. Le Dr Allison K Wilson, du Bioscience Resource Project, affirme que :

« Les méthodes d’édition de gènes de plantes sont également susceptibles d’introduire des UT (Traits inattendus ou dommages génétiques)… de nouvelles preuves, tant chez les animaux que chez les plantes, indiquent que l’édition de gènes elle-même peut entraîner des mutations involontaires sur le site cible ou à proximité. Il s’agit notamment de l’insertion de vecteurs, de bactéries et d’autres ADN superflus, et de l’introduction involontaire de grandes délétions et réarrangements de l’ADN ».

Il ne s’agit pas de défauts mineurs que l’on peut ignorer. Wilson conclut que « les résultats de l’édition génétique des plantes sont imprécis et imprévisibles, et que, selon la combinaison des techniques utilisées, l’édition génétique peut être hautement mutagène. Si, en théorie, il pourrait un jour être possible de créer une culture génétiquement modifiée qui réponde aux exigences générales de l’agriculture durable, dans la pratique, il semble très improbable que cela se produise un jour ».

Selon une analyse de la stratégie « De la ferme à la fourchette » de l’UE réalisée par Global Ag Media :

« L’effet de ces stratégies sera une réduction sans précédent de la capacité de production de l’UE et des revenus de ses agriculteurs. Tous les secteurs affichent des baisses de production de 5 à 15%, les secteurs de l’élevage étant les plus touchés… Pendant ce temps, quel que soit le scénario, les prix à la production affichent une augmentation nette d’environ 10% avec un impact négatif pour les revenus de la plupart des agriculteurs.

« Le syndicat des agriculteurs de l’UE, Copa-Cogeca, prévient que cette politique entraînera une réduction sans précédent de la capacité agricole. Mais c’est là le véritable objectif de l’ « agriculture durable » ».

Davos et le programme « De la ferme à la fourchette » de l’UE

L’agenda vert radical « De la ferme à la fourchette » de l’UE trouve son écho dans le Forum économique mondial de Davos qui, déjà en 2014, a promu ce qu’il a appelé « Faciliter le commerce : De la ferme à la fourchette ». Un rapport du WEF de janvier 2018 indique que :

« Les technologies d’édition de gènes telles que CRISPR-Cas pourraient fournir un moyen d’obtenir des améliorations multi-traits, produisant un changement d’étape dans la productivité tout en améliorant la résistance à la sécheresse et le contenu nutritionnel des aliments ».

Cette étude a été réalisée en collaboration avec McKinsey & Co dans le cadre des initiatives du WEF en matière de sécurité alimentaire et d’agriculture et de leur Grande Réinitialisation. Les partenaires du Forum du WEF comprennent Bayer, Syngenta et BASF. Selon le site web du WEF :

« Le Forum économique mondial, lors de sa réunion annuelle à Davos en janvier 2020, a réuni des leaders de l’industrie et des entreprises avec le vice-président exécutif Frans Timmermans pour explorer comment catalyser le Green Deal européen ». Liam Condon, de Bayer, était également présent, tout comme les dirigeants de Syngenta et de BASF.

Si le secteur agricole de l’UE est soumis au régime des OGM génétiquement modifiés et que sa production s’en trouve radicalement réduite, cela entraînera des pénuries alimentaires toujours plus importantes dans le monde. C’est le plan de Davos, ainsi que leur programme eugénique COVID-19 de Grande Réinitialisation. L’appeler « De la ferme à la fourchette » donne l’impression qu’il est inoffensif. Il est clair qu’il ne l’est pas.


source : https://journal-neo.org

traduit par Réseau International