« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid »

« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid » – C’est sous ce titre que vient de paraître un article assez long dans le quotidien roumain Național, vendu dans tout le pays.
Le secret de cette femme médecin d’Oradea ?
Pour guérir ses patients, elle n’applique pas le protocole médical dont l’usage est devenu obligatoire presque partout. Nos confrères du Visegrad Post ont traduit l’article, disponible ci-dessous.

L’entretien publié par le Național a aussi été mis en ligne en langue hongroise sur ce site, qui reprend, concernant l’épidémie, diverses nouvelles alternatives que la presse de grand chemin refuse de publier. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier la crédibilité des matériaux souvent touffus que reprend le site, mais nous pouvons, en revanche, évaluer celle de la traduction hongroise de l’entretien : le contenu de la traduction hongroise correspond bien à l’original. Voici donc cette traduction, à laquelle nous n’avons ajouté que d’infimes améliorations stylistiques :

« Le portail d’informations national.ro vient de publier un entretien intéressant, dans lequel une pneumologue d’Oradea nous explique que, décidant de ne pas tenir compte du protocole Covid officiellement en vigueur [en Roumanie], elle a préféré se baser sur sa propre expérience de la pneumologie pour traiter de façon traditionnelle ceux de ses patients atteints de pneumonie suite à une infection virale – y compris ceux qu’on dit « souffrant du Covid », méthode débouchant sur un succès impressionnant : pratiquement 100% de ses patients ont guéri sans le moindre soin hospitalier. D’après ce médecin, c’est en réalité le protocole Covid actuellement appliqué que tue les patients dans les hôpitaux.

Capture d’écran de l’article du Național en date du 17 mars 2021.

Le docteur Flavia Groșan, pneumologue à Oradea (département du Bihor). Elle est l’un de ces médecins qui ne sont pas d’accord avec le protocole de guérison actuellement prescrit par le ministère [roumain] de la Santé, et en fonction duquel sont censés être traités les malades infectés par le Covid-19. Laissant de côté cette prescription, elle guérit les patients infectés avec ses propres méthodes, en partant des connaissances qu’elle doit à son expérience de médecin, et tout semble indiquer qu’elle s’y prend très bien : son traitement a été appliqué à presque mille patients arrivant chez elle à des stades différents de la maladie causée par le SarS-CoV-2. 100% de ses patients ont guéri, sans la moindre prise en charge hospitalière.

Le docteur Groșan traite les conséquences de l’infection par le virus SARS-CoV-2 comme une pneumonie atypique. Elle a aussi déclaré que les hôpitaux commettent d’énormes erreurs, et que c’est en réalité le protocole Covid qui tue les patients.

« Le Covid est une pneumonie – certes atypique, mais une pneumonie – et doit être traité comme tel » – a-t-elle affirmé.

« Dès l’annonce de la pandémie, mon but a été qu’aucun patient ne finisse intubé, car c’est un procédé qui entraîne la mort. J’applique mes traitement classiques, médicamenteux, qui incluent la clarithromycine, un antibiotique de la famille des macrolides. Cette famille ne compte que trois antibiotiques : l’érythromycine, que tout le monde connaît, l’azithromycine et la clarithromycine. Je n’aime pas trop l’azithromycine, qui est une copie affaiblie de la clarithromycine. J’ai participé à des recherches cliniques très intéressantes sur les pneumonies, au cours desquelles j’ai pu constater le pouvoir qu’a la clarithromycine de réduire l’inflammation comme aucun autre antibiotique ne sait le faire. »

La pneumologue fait remarquer que les surdoses d’oxygène administrées en milieu hospitalier provoquent des œdèmes cérébraux, qui constituent l’une des causes de mortalité des patients.

À ce sujet, elle a tenu les propos suivants :

« Au-dessus de 80% de saturation, je n’administre que de très petites doses d’oxygène à mes patients, de l’ordre de 2-3 litres par minute, sous la forme d’administrations quotidiennes courtes, de 4 à 5 heures tout au plus. Il faut en effet savoir qu’un excès d’oxygène inhibe le cerveau, car en général, c’est le cerveau qui contrôle notre corps, et non un appareil. Sur ce point, j’ai été en total désaccord avec le protocole Covid en vigueur : les fortes doses d’oxygène qu’il prescrit, de l’ordre de 20 litres, conduisent à l’acidose, provoquant des œdèmes cérébraux chez les patients… lesquels, à leur tour, conduisent bien entendu à leur décès. »

Flavia Groșan voit comme une lourde erreur l’administration aux malades de Covid de Kaletra et de codéine, qui ne peuvent qu’aggraver les symptômes de la maladie.

« Heureusement, il y a eu quelques infirmières – celles que je considère comme de vraies héroïnes – qui ont observé les malades, et les ont avertis, leur conseillant de ne pas avaler le Kaletra et de jeter les médicaments. Après quoi, les médecins venant procéder à leur contrôle s’étonnaient de l’absence de diarrhée, et du fait qu’ils se sentent bien. La raison en était qu’ils n’avaient pas pris les médicaments prescrits par le protocole. C’est ainsi que ces soignantes ont véritablement sauvé la vie de leurs patients. »

« En cas d’utilisation de la codéine, la toux étant bloquée, le malade ne peut pas cracher les sécrétions qui se forment dans les poumons, et ce sont ces sécrétions qui l’étouffent – pas les caillots sanguins, mais l’accumulation des sécrétions. Arrivés à ce point, les malades, comme on pouvait s’y attendre, entrent en état de panique, car ils n’arrivent plus à respirer : du coup, on leur administre des calmants et on les place sur respirateur – à partir de là, il n’y a plus que la miséricorde divine pour les sauver ! »

Cette méthode couronnée de succès et cette attitude intrépide ont aussitôt assuré à cette pneumologue d’Oradea une popularité nationale. D’innombrables organes de presse ont rendu compte de la méthode qu’elle applique. Sur cette vidéo, elle répond aux questions d’une chaîne nationale basée à Bucarest, dont les journalistes adoptent à son égard un ton plutôt hostile et accusatoire, mais madame le docteur reste inébranlable. Voici un résumé de l’entretien télévisé :

https://www.youtube.com/embed/JgYvMYoMADg?feature=oembed Flavia Groşan

La pneumologue applique son propre protocole. Elle consulte en ligne, et traite ses patients en partant du principe qu’ils souffrent d’une pneumonie atypique. Elle a par exemple guéri les cinq membres d’une même famille, dont les âges allaient de 37 à 97 ans ; le traitement a eu tant de succès que cette famille a déjà pu fêter Noël réunie. Les malades ont très peur – affirme-t-elle –, tout le monde veut être hospitalisé, alors qu’on peut guérir en restant chez soi et en prenant des médicaments. Elle a déjà été dénoncée par l’un de ses collègues pour ne pas suivre le protocole prescrit, mais cela la laisse indifférente, car elle voit que le protocole prescrit n’est pas correct, et que son protocole à elle, en revanche, est le bon – le principe de ce dernier étant que, dès l’apparition des premiers symptômes, même avec une température de 37.1°, elle place ses patients sous clarithromycine. Elle se déclare perplexe en voyant les sommités médicales se succéder à la télévision pour effrayer la population, car pour elle il était clair d’entrée de jeu qu’elle a à faire à une pneumonie, et que c’est cette constatation qui doit aussi déterminer la mise au point du traitement.

Source: Breizh Info du 23/3/21

Attention aux projets machiavéliques de ces apprentis sorciers

Les refus de vakxination pourraient être vakxinés à l’aide d’un test PCR, selon les confirmations de l’Université Johns Hopkins

Source: Sentinelle citoyenne

Il y a t’il un rapport avec le test PCR anal?

Test PCR / AFP

En janvier 2019, l’OMS a défini le nombre croissant de critiques de la vakxination comme l’une des dix plus grandes menaces pour la santé mondiale et depuis le fiasco sans précédent de la vakxination corona, le nombre de ceux qui ont refusé de vakxiner s’est littéralement multiplié. Pendant ce temps, la résistance se forme même au sein de l’établissement médical conventionnel.

L'Université Johns Hopkins confirme: les refus de vaccination peuvent être vaccinés à l'aide d'un test PCR!, image №1

Mais les cerveaux de l’OMS insistent sur une couverture vakxinale irréaliste d’au moins 70 pour cent. Divers experts et anciens journalistes grand public tels que John O’Sullivan avertissent maintenant que la campagne massive de tests PCR pourrait être un programme de vakxination déguisé par l’OMS. (voir Principia Scientific)

O’Sullivan fait référence à une nouvelle technologie développée à l’université Johns Hopkins et destinée à permettre des vakxinations secrètes à l’aide d’un test PCR. Inspirés par un ver parasite qui creuse ses dents acérées dans les intestins de son hôte, les chercheurs de Johns Hopkins ont développé de minuscules micro-dispositifs en forme d’étoile qui se fixent à la muqueuse de l’intestin et délivrent des médicaments dans le corps.

Ces minuscules appareils, connus sous le nom de «Theragrippers», sont constitués de métal et d’un film mince qui change de forme. Ils sont recouverts de cire de paraffine sensible à la chaleur et chacun n’est pas plus gros qu’une tache de poussière. (voir Fig.1)

Lorsque le revêtement de paraffine du Theragripper atteint la température corporelle, les appareils se ferment de manière autonome et se fixent à la paroi du côlon. L’action de fermeture fait que les minuscules dispositifs à six broches s’enfoncent dans la membrane muqueuse et adhèrent au côlon, où ils sont retenus et libèrent progressivement leurs charges utiles de médicaments dans le corps. Finalement, le Theragripper perd son emprise sur le tissu et est retiré de l’intestin via la fonction musculaire gastro-intestinale normale. Remarque: selon l’Université Johns Hopkins, les Theragrippers sont en fait administrés avec un écouvillon. (voir Fig.2)

L'Université Johns Hopkins confirme: les refus de vaccination peuvent être vaccinés à l'aide d'un test PCR!, image №2
figure 1: Theragripper

L’équipe de recherche de l’Université Johns Hopkins a publié les résultats positifs d’une étude animale en tant qu’article de couverture dans Science Advances, le 28 octobre 2020, confirmant que la nouvelle technologie fonctionne parfaitement:

Ici, nous rapportons que les pinces thérapeutiques mécanochimiques actives inspirées du parasite GI, ou theragrippers, peuvent survivre dans le tractus gastro-intestinal d’animaux vivants pendant 24 heures, en s’accrochant de manière autonome au tissu muqueux.

“Nous observons également une remarquable multiplication par six de la demi-vie d’élimination en utilisant la délivrance médiée par ripper du modèle analgésique kétorolac trométhamine. Ces résultats fournissent une preuve primordiale que les micro-dispositifs à changement de forme et autobloquants améliorent l’efficacité de l’administration prolongée de médicaments.”

L'Université Johns Hopkins confirme: les refus de vaccination peuvent être vaccinés à l'aide d'un test PCR!, image №3
figure 2

Par chance, le test PCR est désormais également effectué par voie anale en Chine car la fiabilité des résultats est meilleure et, bien sûr, cette pratique est immédiatement approuvée dans les médias grand public occidentaux. (voir Business Insider).

Remarque: Si vous ne pouvez pas imaginer que le gouvernement vous donnerait des substances toxiques contre votre volonté et sans votre consentement, vous devez vous souvenir de toutes les horribles expériences humaines qui ont été admises rétrospectivement et, selon Wikipédia, se sont bien déroulées dans les temps modernes.

En 2007, le CDC a même admis qu’entre 1955 et 1963, 10 à 30 millions de citoyens ont été infectés par le virus du cancer SV40 par le biais de la vakxination contre la polio.

Dans une conférence vidéo perspicace avec Dr. Judy Mikovits, Robert Kennedy Jr. et Dr. David Martin apprend que selon la définition légale, le vakx1 à ARNm n’est pas du tout un vakx1. On l’appelle à tort un vakx1 pour cacher le fait que le prétendu vakx1 est en fait une thérapie génique.

Le médecin et épidémiologiste expérimenté, Dr. Wolfgang Wodarg a déclaré dans une interview censurée avec Rubikon:

“En fait, ce vakx1 dit prometteur devrait être INTERDIT pour la grande majorité des gens, car il s’agit d’une manipulation génétique!”

Mary Holland, vice-présidente et avocate en chef de l’Organisation de défense de la santé des enfants, prévient:

“Les nouvelles technologies vakxinales entraîneront probablement de nouveaux types de dommages liés aux vakx1s. Puisqu’il n’y a jamais eu de vakx1 à ARNm homologué, nous ne savons vraiment pas à quoi ressembleront de tels dommages. Parce que les vakx1s ont été développés si rapidement dans des essais cliniques aussi courts, que les effets néfastes à long terme sont complètement inconnus.[…] Il est particulièrement effrayant que la plupart d’entre eux ne sachent même pas ce que fait le vakx1 ARNm dans leur corps. Ils peuvent simplement être vakxinés à l’aveugle, même si de plus en plus d’experts médicaux indépendants et même conventionnels mettent en garde contre cela.”

Dans ce contexte, il ne faut pas oublier que la société américaine modeRNA Therapeutics a été fondée en 2010 non pas en tant que fabricant de vakx1s, mais en tant que société GenTech. (voir Wikipedia) L’exemple des nombreux scandales Monsanto montre clairement que la manipulation génétique ne sert pas à protéger les espèces, mais plutôt au pouvoir.

L’agenda caché est de modifier génétiquement l’espèce afin de la breveter ou de la posséder. L’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger a dit un jour: “Celui qui contrôle les semences gouverne le monde” (Cf. Portail de presse).

Et après? Vont-ils breveter notre corps après nous avoir génétiquement modifiés avec le vakx1 à ARNm?

Dr. Carrie Madej, spécialiste en médecine interne avec plus de 19 ans d’expérience, explique que le vakx1 COVID-19 pourrait en fait être un cheval de Troie, pour breveter les gens car il change notre ADN.

Selon un article publié en janvier 2020 dans le magazine scientifique britannique Phys.org, il est confirmé que l’ARN modifié a un impact direct sur notre ADN. Le passage suivant est particulièrement alarmant :

“ Plusieurs groupes de recherche travaillent maintenant ensemble pour étudier les effets ce que cela peut avoir sur la molécule d’ADN. Nous savons déjà que les régions de la boucle R sont associées à des séquences d’ADN qui contiennent des gènes actifs, et que cela peut conduire à des cassures chromosomiques et à la perte d’informations génétiques. Le fait que les principaux fabricants de vakx1s tels que Pfizer avertissent leurs sujets de ne pas se reproduire après la vakxination est également alarmant. (cf. Pfizer, p. 132) ”

Avec cela, la société pharmaceutique confirme que le vakx1 ARNm peut avoir des effets négatifs sur la reproduction humaine et qu’il faut toujours vakxiné!

Conclusion : Quiconque connaît un peu l’histoire sait que les expériences génétiques et les expériences humaines ne sont pas nouvelles. Alors que l’eugénisme moderne a ses origines au 19ème siècle, les idées, les mesures et les justifications des interventions et influences étatiques et sociales sur la reproduction sont connues depuis l’Antiquité.

On les trouve déjà dans la Politeia de Platon, qui, cependant, se limite à la sélection de l’État et à l’éducation. Des lignes de pensée correspondantes peuvent être trouvées dans les écrits utopiques sociaux Utopia de Thomas More, Nova Atlantis de Francis Bacon et La città del Sole de Tommaso Campanella.

Sandra Berset

Written by Sandra Berset

Contre la C0VlD, on dispose désormais d’un nombre extravagant de traitements qui marchent !

Extraits de la Lettre de Santé de Xavier Bazin

Comme l’a reconnu le Pr Caumes récemment, « c’était une erreur stratégique de tout miser sur les vakx1s. Je pense qu’on a complètement négligé le traitement » [5].

Parmi les traitements efficaces, figurez-vous qu’on trouve même un banal antidépresseur !

Cet anti-dépresseur marche contre la Covid, il a fait la UNE de l’émission phare « 60 minutes » aux États-Unis !

Je ne suis pas un fan des médicaments contre la dépression, car leur efficacité est au mieux très modeste, et leurs effets indésirables sérieux quand ils sont pris sur une longue période.

Mais pour une personne vulnérable, malade de la Covid-19, prendre un antidépresseur pendant 15 jours comporte un risque infime.
Donc si cela peut lui éviter une hospitalisation et lui sauver la vie, cela en vaut la peine !

C’est ce qui a été prouvé scientifiquement pour l’antidépresseur fluvoxamine.
On sait depuis novembre dernier que c’est un médicament à l’efficacité potentiellement incroyable contre la Covid-19.

Récemment, un grand média américain a fini par s’y intéresser, l’émission 60 minutes sur CBS News.
Dans leur reportage, ils racontent comment une simple pédopsychiatre s’est intéressée à la fluvoxamine en plein début de Covid-19, en mars 2020.

Cette médecin se souvenait avoir lu une étude qui montrait l’efficacité de la fluvoxamine sur la septicémie, un état de « tempête immunitaire » comparable à celle de la Covid. Elle l’a signalé à un collègue, qui a fait une première étude avec les moyens du bord (20 000 dollars pris sur les fonds de son université).  

Les premiers résultats furent spectaculaires, si bien qu’un milliardaire lui a donné plusieurs centaines de milliers de dollars pour élargir l’étude.
(Notez bien que le gouvernement américain ne les a pas aidés. Il était trop occupé à donner à Big Pharma des milliards pour la recherche sur les vakx1s, et des millions pour des « traitements innovants » hors de prix…
…un peu comme en France, où l’Institut Pasteur de Lille a dû compter sur une donation de la Fondation LVMH, plutôt que sur les fonds du ministère de la santé d’Olivier Véran, pour faire des études sur une vieille molécule très prometteuse contre la Covid-19).

  • En août 2020, l’étude sur la fluvoxamine est finalisée et les résultats sont incroyables : 
    • Dans le groupe de 80 patients qui ont reçu de la fluvoxamine en traitement précoce, aucun n’a vu son état se détériorer, aucun n’est allé à l’hôpital ;
    • Dans le groupe qui a reçu le placebo, 6 sur 72 ont dû être hospitalisés, soit 8 % de l’échantillon.

Comme vous l’imaginez, les auteurs de l’étude avaient envie de crier leur découverte sur les toits ! Mais personne ne les a écoutés, ou presque. 

En novembre, les auteurs ont cru qu’ils allaient enfin réussir à percer le mur du silence. Car ils avaient réussi l’exploit de publier leur étude dans un journal médical « de référence », le Journal of the American Medical Association (JAMA) [6].
Mais cela n’a pas suffi. Toujours aucune réaction.

  • Dans un monde normal, dès la publication de ces résultats, les autorités de santé du monde entier auraient dû :
    • Conseiller de traiter les malades les plus à risque avec cette molécule, 
    • Et lancer parallèlement d’autres essais cliniques pour confirmer cet effet.

En France, le ministre Olivier Véran est particulièrement coupable de n’avoir rien fait.
Car ce sont des chercheurs français de l’AP-HP et de l’INSERM qui ont rendu public, dès le mois d’août 2020, une étude observationnelle française pointant l’efficacité des antidépresseurs de la famille de la fluvoxamine contre la Covid-19 [7] !

Il était évident que la balance « bénéfice-risque » de ce médicament était favorable, pour les personnes vulnérables les plus à risque d’hospitalisation.
Mais à l’automne-hiver, quasiment aucun patient n’a reçu cette molécule potentiellement salvatrice.

  • Pendant ce temps-là, les autorités n’ont vu aucun problème à :
    • Injecter du remdésivir en perfusion à des malades de la Covid-19, sans la moindre preuve d’efficacité ;
    • Puis injecter à des personnes en bonne santé des vakx1s utilisant une technologie totalement nouvelle.

En revanche, par « prudence », elles ont refusé de donner à des malades à haut risque, pendant 15 jours, une molécule aussi connue que la fluvoxamine !!

C’est le même drame pour le protocole Raoult : le rapport bénéfice/risque était ÉVIDEMMENT favorable pour la plupart des malades, mais on l’a diabolisé, puis passé aux oubliettes.

Et je ne parle pas de la vitamine D ou de l’ivermectine, où le risque est de 0,00 %, et le bénéfice potentiellement énorme !
Et c’est le cas, également, d’un geste d’hygiène simple et peu coûteux :

Un simple spray nasal & bain de bouche, arme fatale contre la Covid-19 ??
  • Une large part de l’épidémie aurait pu être évitée si on avait conseillé :
    • D’utiliser tous les jours un simple spray nasal, disponible pour quelques euros en pharmacie ;
    • De faire matin et soir un bain de bouche antiseptique, avec de la bétadine.

Cela paraît fou, encore une fois, mais c’est ce que montrent les études scientifiques.

Commençons par le spray nasal.

On sait depuis au moins 10 ans qu’un extrait d’algue rouge, appelé carraghénane (ou iota-carraghénane), a une efficacité contre les infections respiratoires, en spray nasal [8].

Avant même d’avoir la moindre étude, il aurait été malin de le donner aux personnes à risque, en prévention de la Covid-19. Risque : 0. Bénéfice : prometteur.
Puis, quand les études sont tombées, il n’y avait plus de doute possible.
A l’été 2020, des chercheurs ont confirmé que cette molécule toute simple était efficace contre le coronavirus, in vitro [9].

Tout récemment, une étude argentine randomisée, contre placebo, menée sur 400 personnes a prouvé son efficacité in vivo : en prévention, un simple spray nasal à base de iota-carraghénane a réduit de 80 % le risque d’infection [10] !
Ce n’est pas un une étude « accidentelle » ou une « coïncidence ». Car plusieurs études ont trouvé des résultats exceptionnels, en associant un spray nasal à des bains de bouche.

C’est logique, car le coronavirus commence par se multiplier dans le nez et la gorge avant de descendre dans les poumons. Si on le neutralise dès le début, on évite les cas graves – on pouvait s’en douter, mais cela a été prouvé.

Dans une étude indienne, une simple solution saline en spray et bain de bouche a suffi à obtenir d’excellents effets [11].

D’autres études ont obtenu d’excellents résultats des sprays et bains de bouche à base de bétadine, un antiseptique. 
Dans une étude randomisée sur plus de 1 000 patients, ces gestes simples ont permis une réduction de 84 % du risque d’hospitalisation, et de 88 % du risque de décès [12] !

En France, une entreprise intelligente a fini par mettre au point un spray nasal, à partir d’une substance qui neutralise le coronavirus in vitro [13].
Il devait être commercialisé en ce début du mois de mars… mais l’Agence du Médicament a refusé au dernier moment [14].
Pourquoi ?
Je ne veux pas être complotiste, mais il est tout de même étrange de voir que nos « experts » ont jugé qu’un banal lavage de nez était beaucoup plus risqué qu’une injection, dans le muscle, d’un ARN messager entouré de nanoparticules (Pfizer, Moderna), ou d’un adénovirus génétiquement modifié (AstraZeneca). 

Et ce n’est pas tout.

Et encore des dizaines d’autres molécules efficaces !

Je vous ai déjà parlé de la colchicine, cette substance naturelle issue du colchique. Plusieurs petits essais cliniques avaient pointé son efficacité contre la Covid-19, dès l’automne dernier.

  • En janvier, une grande étude canadienne randomisée [15], menée sur plus de 4 000 patients a montré que la colchicine a permis : 
    • Une réduction de 25 % du risque d’hospitalisation ;
    • Et une réduction des décès de 44 % !

Mais ces très bons résultats ont été oubliés aussitôt publiés [16].
Peut-être que la colchicine n’est « pas assez chère ».

  • Et on a la même omerta sur une classe de médicaments extrêmement intéressante, les anti-androgènes.
    Très vite, des chercheurs ont perçu l’intérêt de ces médicaments contre la Covid-19. Car on a vu que la Covid-19 était plus grave pour les hommes que pour les femmes. Et dès le mois de mai 2020, des chercheurs italiens remarquent que des patients sous anti-androgène s’en sortent beaucoup mieux face à la Covid-19 que les autres [17]. L’effet viendrait du blocage d’une enzyme clé dans l’infection à coronavirus, la TMPRSS2.
  • Or plusieurs médicaments ont un effet favorable sur la TMPRSS2, comme :
    • Un simple antitussif, la bromhexine, qui a obtenu dès juillet 2020 un effet spectaculaire dans une étude iranienne [18] ;
    • La spironolactone, qui associée à la bromhexine a montré une efficacité dans une étude russe [19] ;
    • La finastéride, qui a obtenu 75 % mortalité en moins (non significatif) dans un petit essai randomisé iranien [20] ;
    • Et la dutastéride, efficace selon un essai randomisé brésilien [21].

Et pour mettre tout le monde d’accord, un grand essai clinique brésilien vient de prouver l’efficacité spectaculaire d’un médicament (nouveau) de la même classe, le Proxalutamide.

Tenez-vous bien : il s’agit d’une étude randomisée, contre placebo, en double aveugle et multicentrique, sur 600 patients hospitalisés – bref, tout ce que nos « méthodologues » adorent.
Résultat : 92 % de mortalité en moins dans le groupe traité, par rapport au placebo [22] !!!
La durée médiane d’hospitalisation était de 5 jours dans le groupe traité… contre 14 jours dans le groupe placebo !

Bref, avec une telle efficacité sur des malades hospitalisés, on n’aurait plus aucun problème de surencombrement des hôpitaux.
Et ce n’est qu’une des molécules efficaces parmi d’autres.

Parmi les médicaments prometteurs, les anti-asmathiques simples pourraient avoir une réelle efficacité [23], de même que les anti-histaminiques  (médicaments courants contre les allergies) [24].

La metformine, une molécule ancienne, d’origine naturelle, pourrait aussi avoir des effets majeurs et va être bientôt testée dans un grand essai clinique international, à côté de la fluvoxamine et de l’ivermectine [25].

Et il y a aussi quantité de molécules naturelles, sans le moindre danger, qui ont montré d’excellents signaux d’efficacité, comme la vitamine C [26], le zinc [27], la mélatonine [28], la quercétine [29], la propolis [30] ou les huiles essentielles [31].

Même une substance dont personne ne parle, l’huile de nigelle, a obtenu des résultats spectaculaires dans une étude randomisée pakistanaise menée sur 300 patients [32], avec une réduction de 80 % de la mortalité !

Pourquoi ce silence CRIMINEL ? La réponse est simple, hélas

Vous le voyez, le Pr Raoult avait raison : la Covid-19 est « probablement l’infection respiratoire la plus facile à traiter de toutes ».

Si l’Occident avait fait preuve de « pragmatisme » en testant massivement des molécules « anciennes » et « immédiatement disponibles sur le marché », les dégâts de l’épidémie auraient été minimisés dès l’été 2020.

Des centaines de milliers de morts dans le monde auraient été évitées, ainsi que des confinements qui ont causé des catastrophes économiques, sanitaires et sociales.

Alors, pourquoi la plupart des pays occidentaux ont refusé de le faire… et se sont précipités sur le remdesivir (inefficace) et les vakx1s (qui ne pouvaient qu’arriver trop tard) ?

A cause du poids gigantesque de Big Pharma sur nos systèmes de santé.

Comprenez bien que ce qui est en jeu, ce n’est pas simplement les profits de l’industrie pharmaceutique sur cette épidémie-là.

Ce qui est en en jeu, pour Big Pharma, c’est la préservation de ses 500 milliards de chiffres d’affaires et ses 100 milliards de bénéfices annuels.

Pour le comprendre, il faut revenir à ce que disait le Pr Raoult, au printemps dernier :

« Tout notre modèle scientifique et économique est basé sur le développement de nouvelles molécules. C’est une affaire financière et culturelle : l’idée qu’on va répondre à chaque fois avec une molécule extrêmement chère. » (BFM TV)

« Si vous dites maintenant, alors qu’on dépense des centaines et des centaines de millions pour trouver des nouvelles molécules, qu’il suffit de recycler des molécules anciennes qui sont génériquées et qui ne coûtent rien, vous sciez toute une branche de la science qui s’est développée depuis 20 ans et donc vous avez les plus grandes difficultés à trouver des gens qui regardent cela avec un œil favorable ». (i24 News)

C’est le modèle économique global de notre système de santé qui est en jeu : 

« Si, ce qui est possible, l’hydroxychloroquine est un médicament relativement général pour les infections virales respiratoires, cela veut dire qu’on avait quelque chose sous la main depuis 70 ans qu’on n’a pas testé. 
Il est possible qu’il y en ait d’autres, de molécules aussi banales, qu’on n’a jamais testé, et qu’on n’a pas testé des molécules qui marchaient. » (i24 News)

Si vous lisez Santé Corps Esprit, vous savez déjà que pour beaucoup de maladies, il existe des méthodes et traitements naturels qui marchent aussi bien, voire mieux que les médicaments. Leur seul « tort » est de ne pas avoir été testé dans des grandes études randomisées menées sur plus de 1 000 patients – parce que personne n’a intérêt à mettre de l’argent pour réaliser de telles études.

Mais l’épidémie a conduit beaucoup de pays à mener des petites études sur des traitements de la Covid-19… et les résultats obtenus sont la preuve qu’on trouve des « petits miracles » quand on cherche dans les vieilles molécules, notamment naturelles.

Problème : si cela vient à se savoir, ce sont les profits de Big Pharma, mais aussi des milliards d’euros donnés aux chercheurs chaque année qui pourraient être remis en cause.

Car d’immenses progrès de la médecine sont à portée de main, en repositionnant des molécules anciennes.
Exemple : saviez-vous que l’hydroxychloroquine est un anticancéreux très prometteur [33]  ?

De même, l’ivermectine a probablement bien d’autres propriétés que son effet anti-parasitaire et anti-viral… une étude récente a montré son intérêt contre le cancer du sein [34] !

Et je ne parle pas de la vitamine D, qui remplace avantageusement le vakx1 contre la grippe chez les seniors [35] (vakx1s qui représente 2 milliards de chiffre d’affaires pour Sanofi chaque année)…
… et dont une étude récente a montré qu’elle réduit de 17 % le risque de cancers mortels [36].

Des myriades de molécules déjà connues, qui ne coûtent rien, pourraient faire progresser la médecine et les soins de façon spectaculaire. Mais cela signifierait la fin des méga-profits de Big Pharma.

Alors on ne les teste pas. On refuse de les mentionner. On va jusqu’à censurer ceux qui en parlent.

Sources

[1] https://www.youtube.com/watch?v=8L6ehRif-v82

[2] https://hcqmeta.com/

[3] www.sante-corps-esprit.com/professeur-raoult-chloroquine-pourquoi-tant-de-haine/

[4] www.sante-corps-esprit.com/plus-aucun-doute-possible-les-traitements-naturels-marchent/

[5] https://www.publicsenat.fr/article/politique/pr-eric-caumes-dire-qu-on-ne-manque-pas-de-doses-est-un-gros-mensonge-187552

[6] https://jamanetwork.com/journals/jama/article-abstract/2773108

[7] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.07.09.20143339v2

[8] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20696083/

[9] https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.08.19.225854v1.full.pdf

[10] https://milstein.conicet.gov.ar/la-eficacia-del-spray-nasal-con-carragenina-para-la-prevencion-del-covid-19-ha-dado-resultados-positivos/

[11] https://www.researchsquare.com/article/rs-153598/v1

[12] http://www.bioresearchcommunications.com/index.php/brc/article/view/176/159

[13] https://www.midilibre.fr/2021/02/13/covid-19-pharma-beauty-sapprete-a-commercialiser-un-spray-nasal-capable-deliminer-99-du-virus-9371697.php

[14] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-la-commercialisation-du-spray-nasal-cov-defense-suspendue-par-l-agence-du-medicament_4307965.html

[15] https://www.icm-mhi.org/en/pressroom/news/colchicine-reduces-risk-covid-19-related-complications

[16] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.01.26.21250494v1

[17] https://www.eurekalert.org/pub_releases/2020-05/esfm-atf050520.php

[18] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7502909/

[19] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33487145/

[20] https://www.researchgate.net/publication/350042826_Finasteride_in_hospitalized_adult_males_with_COVID-19_A_risk_factor_for_severity_of_the_disease_or_an_adjunct_treatment_A_randomized_controlled_clinical_trial

[21] https://www.researchgate.net/publication/345950792_Dutasteride_Reduces_Time_to_Remission_in_COVID-19_Results_From_a_Randomized_Double_Blind_Placebo_Controlled_Interventional_Trial_The_DUTA_AndroCoV-Trial

[22] https://www.biospace.com/article/releases/kintor-pharmaceutical-announces-results-from-investigator-initiated-brazil-trial-demonstrating-92-percent-reduction-in-mortality-in-hospitalized-covid-19-patients/

[23] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.02.04.21251134v1.full.pdf

[24] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1094553921000018

[25] https://www.eurekalert.org/pub_releases/2021-02/mu-nst020921.php

[26] https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fmed.2020.559811/full

[27] https://www.mdpi.com/2072-6643/13/2/562

[28] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1

[29] www.sante-corps-esprit.com/un-gachis-ces-remedes-contre-le-covid-19-quon-vous-cache/

[30] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.01.08.20248932v1

[31] https://www.researchsquare.com/article/rs-119568/v1

[32] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.30.20217364v2

[33] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5718030/

[34] https://www.nature.com/articles/s41523-021-00229-5

[35] www.sante-corps-esprit.com/eviter-vaccin-grippe/

[36] https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2773074

Questions sur les écouvillons des tests PCR ?

Est-on en droit de se poser la question sur la nature réelle de ces soi-disant prélèvements de matériel viral ? Il faut garder un esprit critique mais aussi ne pas fuir toute une série d’interrogations légitimes.
Alors ces types de prélèvements nécessaires non seulement pour prélever du matériel viral,
– ou déposer des nanoparticules et dans quel but ?,
– ou faire un relevé massif d’ADN pour constituer des bases de données de génômes humains avec des visées eugéniques ?
– ou vakxiner ?
– ou … ?

https://odysee.com/@EspritQritique:2/le-test-pcr-dr-buttar:3

Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !

Article de Jean-Dominique Michel sur son propre blog

Je n’irai pas par quatre chemins : l’article que je m’apprête à partager avec vous est aussi remarquable qu’explosif ! Il figure au rang de ce que j’ai lu de plus perspicace, rigoureux et éclairant au cours de l’année écoulée.

A partir de sa maîtrise des statistiques ainsi que d’une éthique personnelle et scientifique évidentes, l’auteur extrait des données disponibles certains tenants et aboutissants fondamentaux et occultés de la « crise sanitaire » que nous vivons depuis une année. Et, cela étonnera sans doute peu les lectrices et lecteurs de ce blog, les conclusions de son analyse de haut vol atterrissent à des années-lumière du narratif officiel.

L’auteur est mathématicien et non pas médecin ou chercheur en santé publique. Dans notre mouchoir de poche suisse romand, Fabien Balli Frantz (lui aussi inscrit dans ce domaine d’expertise) a pareillement découvert à partir de sa maîtrise des statistiques des motifs fondamentaux de l’épidémie. Qu’il a fait connaître dans différents articles publiés dans Bon pour la tête, hélas aucunement repris par les médias « mainstream » dont la priorité obsessionnelle paraît être d’affoler la population à tout prix.

….

L’auteur a souhaité rester anonyme, choix que je respecte évidemment. Son article est bien sûr plus ardu que ce dont on a l’habitude, mais reste remarquablement agréable à lire. C’est un autre talent, lui aussi rare, que de savoir restituer clairement le fruit d’analyses complexes. Le résultat, ici,  est ô combien décoiffant. Et rappelle accessoirement l’importance fondamentale de faire bon usage des données et statistiques.
….

Lire la suite de l’article sur le blog de Jean-Dominique Michel

Fin de l’article:

Après avoir présenté les conclusions comparables de l’étude récente de Ioannidis et Battacharya, l’auteur conclut que :

«  (…) d’un point de vue purement épidémiologique, le confinement semble donc inutile. Mais d’un point de vue politique, il répond aux angoisses habituelles des pouvoirs inquiets. Les techniques efficaces pour contrôler les maladies infectieuses sont toutes fondées sur la séparation des personnes saines et des malades. Le but est de diluer le virus et non pas de le concentrer, ce que font les méthodes agrégatives que sont le confinement et le couvre-feu. Le confinement concentre spatialement les personnes dans leur domicile et le couvre-feu concentre temporellement l’activité dans des tranches horaires rigides. Dans les deux cas, ces démarches concentrent le virus en plaçant les populations dans des situations de promiscuité. Elles répondent à un désir de contrôle politique des populations en soumettant les activités individuelles à l’autorité de l’État ; mais elles n’ont ni a priori, ni a posteriori un quelconque rapport avec la médecine. »

Une analyse, donc, remarquable, et dont les conclusions doivent impérativement être reprises et discutées. Certes, l’auteur me l’a indiqué dans notre échange, il serait possible en reproduisant ses calculs de trouver des chiffres différents en raison des variations induites par les techniques d’interpolation et d’extrapolation des données, mais sans que cela ne change quoi que ce soit dans l’analyse qualitative.

De tels questionnements, avec des propositions d’interprétation divergentes, font et doivent naturellement faire partie du débat scientifique. Or ce qu’il y a de tragique à l’heure actuelle, c’est  d’une part que nous faisons bel et bien face à ce qu’il faut bien appeler une prostitution scientifique massive conduisant des chercheurs à produire des résultats à la demande, comme le diagnostic en a été posé de longue date par les éditeurs de revue scientifique eux-mêmes et comme nous en avons vu à nouveau d’innombrables exemples ; d’autre part qu’il y a actuellement une véritable suppression du débat scientifique, avec des autorités (comme le Conseil scientifique en France ou la Task Force en Suisse) qui édictent des dogmes fumeux et ne reposant sur aucune science solide, qui influencent pourtant mécaniquement les politiques et sont repris comme « vérité » absolue par des médias qui débunkeront ensuite de manière forcenée tout ce qui s’éloigne de cette doxa… J’ai eu l’occasion de le relever à de nombreuses reprises : si un pareil fonctionnement s’était maintenu au cours des siècles écoulés, nous en serions restés à la certitude que la Terre est plate !

La Task Force ose ainsi asséner que le confinement a sauvé des milliers de vies ou que la moitié des contaminations sont le fait de porteurs asymptomatiques sans que cela repose sur quoi que ce soit de sérieux, de solide ou de probant. Ce sont des croyances, à fortes connotations superstitieuses, mais qui constituent une imposture évidente dès lors qu’elles sont assénées comme constituant une réalité « scientifique ».

Ce qui nous ramène, sinon à la prostitution, en tout cas à une dérive très grave et aux conséquences désastreuses sur l’ensemble de la population dont il est essentiel qu’elles trouvent tôt ou tard une traduction pénale.

Pour l’instant c’est avec une joie profonde et une vigoureuse gratitude envers son auteur que je rends disponible sont article en fichier pdf, à télécharger ici.

J.D. Michel

En complément une petite vidéo sur le chiffres, plus simple et percutante:

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/Les-chiffres-réels

Le gouvernement allemand a commandé à des scientifiques des projections alarmistes pour justifier des mesures répressives !

 PAR POLÉMIA | 7 FÉVRIER 2021 

Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia, Die Welt, le grand journal allemand, vient de jeter un pavé dans la mare au Covid-19. Il apporte la preuve que le ministère de l’Intérieur allemand avait commandé à des scientifiques des projections de mortalité alarmistes (jusqu’ 1 million de morts, à comparer aux 400 000 de Macron à l’automne dernier…) pour justifier « des mesures préventives et répressives » (sic).
Projections « secrètes » que le ministère a opportunément fait fuiter vers la presse pour apeurer la population.
La révélation du scandale pourrait bouleverser la politique sanitaire allemande et conduire à une levée de nombreuses restrictions au plus tard avant Pâques et non pas au plus tôt après Pâques. Pour beaucoup d’observateurs, cette révélation serait due à la révolte croissante de l’industrie allemande du Mittelstand (entreprises territorialisées et enracinées) contre les menées du capitalisme de Davos et des GAFA, bénéficiaires des mesures de restrictions. Affaire à suivre !
Les lecteurs trouveront ci-dessous la traduction de l’article paru dans le Die Welt du dimanche 7 février.

Covid-19. Le gouvernement allemand a commandé à des scientifiques des projections alarmistes pour justifier des mesures répressives !

Traduction de l’article de Die Welt : https://www.welt.de/politik/deutschland/article225864597/Interner-E-Mail-Verkehr-Innenministerium-spannte-Wissenschaftler-ein.html

Le ministère de l’Intérieur a utilisé des scientifiques pour justifier les mesures liées au Covid-19

Selon un abondant échange de courriels dont dispose l’édition du dimanche de Die Welt, l’administration du ministre de l’Intérieur Seehofer a impliqué des chercheurs dans la première phase brûlante de la pandémie. Lesquels ont livré en réponse les résultats destinés à alimenter un dramatique « document secret » du ministère.

Lors de la première vague de la pandémie, en mars 2020, le ministère fédéral de l’Intérieur a mis à contribution plusieurs instituts de recherche et d’écoles supérieures dans un but politique. Il a chargé des chercheurs du Robert-Koch-Institut et d’autres établissements de mettre au point un modèle mathématique, sur la base duquel l’administration du ministre de l’Intérieur Horst Seehofer (CSU) voulait justifier de sévères mesures Corona.

C’est ce qui ressort d’une intense correspondance électronique de plus de 200 pages entre la direction du ministère de l’Intérieur et les scientifiques que l’édition du dimanche de Die Welt détient. Un groupe de juristes a réussi à obtenir cette correspondance auprès du Robert-Koch-Institut suite à une bataille juridique de plusieurs mois.

Dans un échange de courriel, le secrétaire d’État Markus Kerber demande, par exemple, au scientifique auquel il s’adresse d’élaborer un modèle sur la base duquel des « mesures de nature préventive et répressive » pourraient être planifiées [souligné par le traducteur].

Selon cette correspondance, les scientifiques ont élaboré en seulement quatre jours, en étroite concertation avec le ministère, le contenu d’un document que l’on a déclaré « secret » et que l’on a diffusé dans les jours qui ont suivi par le canal de différents médias.

Dans ce document, on présentait les résultats d’un « Scénario du pire », selon lequel, si la vie sociale se poursuivait en Allemagne comme avant la pandémie, plus d’un million de personnes mourraient.

Die Welt
07/01/2021

Traduction de François Stecher, correspondant de Polémia en Allemagne

Maintenant on comprend bien le plan mondialiste !

Ici, Jacob Rothschild a expliqué comment et pourquoi

Et nous l’avons ignoré. Les mass media créent une dissonance cognitive qui nous empêche de reconnaître la vérité lorsqu’elle nous est donnée.


Jacob Rothschild:«C’est principalement l’indépendance économique de la plupart des gens du commun qui les rend si indisciplinés dans ces nations, et susceptibles de soutenir la souveraineté de leurs propres nations et le contrôle local, qui est le principal obstacle à nos plans, et précisément pourquoi les restrictions économiques sévères ont été nécessaires sous le couvert de la pandémie. Si la population ne se conforme pas, une deuxième vague se produira sans aucun doute, et avec cette pénurie alimentaire, et une domination complète du gouvernement afin d’introduire tous les changements proposés . « 

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Cette lettre de « Jacob R » est apparue sur The Truthseeker.co.uk de Rixon Stewart le  1er septembre 2020 en réponse à mon article, « Y a-t-il une limite à la dette américaine? » 

Cet e-mail a été envoyé à partir d’une adresse IP à Surrey, en Colombie-Britannique, mais à l’OMI, il a été réacheminé . C’est le vrai Jacob Rothschild et il a besoin d’être lu encore et encore. Essentiellement, ils se préparent à un effondrement économique qu’ils utiliseront pour justifier une monnaie unique et un gouvernement mondial à la chinoise. Les États-Unis ont eu un avantage injuste en ayant la monnaie de réserve. Il doit maintenant y avoir une monnaie mondiale numérique et un gouvernement mondial pour l’administrer.


http://www.thetruthseeker.co.uk/?p=212837#comment-957970 
(à partir du 2 septembre 2020) par Jacob Rothschild(henrymakow.com)


Cher Henry, vous allez vraiment trop loin quand vous dites des choses comme: « La cabale criminelle en charge a produit cet » argent « et bourré ses poches et celles de ses amis. Y a-t-il une limite à la quantité qu’ils produiront? Si la « dette » a doublé pour atteindre 70 trillions de dollars, cela ferait-il une différence? « 
Vous ne pouvez pas dire que notre cartel ou notre cabale est « criminel ». Ne voyez-vous pas que nous possédons en fait tous les législateurs, et d’ailleurs tout ce que nous faisons est bien au-dessus de toutes les lois qui s’appliquent aux gens ordinaires? Quant à nous bourrer les poches, les familles qui composent notre réseau de banques centrales à travers le monde sont en fait les principaux courtiers du pouvoir dans le monde. C’est notre droit. Vos gouvernements exigent chaque année plus qu’ils ne peuvent se le permettre avec un budget déficitaire après l’autre, en disant toujours que ceci ou cela est nécessaire. En leur faisant plaisir, nous acquérons simplement plus de pouvoir et de contrôle. Cela s’appelle la «propriété».
Que devons-nous faire, leur donner notre propre or ou nos propres actifs dans leur processus d’emprunt et ne plus jamais le revoir? 
C’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons de la monnaie fiduciaire. Il peut être fait de rien et nous pouvons gagner autant que vos gouvernements le souhaitent, tant qu’ils ne le dépensent pas pour des choses contraires à nos intérêts ou pour des efforts  trop indépendants de notre volonté. 
De plus, nous ne leur «donnons» pas simplement ou il y aurait une hyperinflation tout le temps et aucune confiance dans une monnaie fiduciaire. Nous leur «prêtons» plutôt de telle sorte que si jamais nous réclamions tous les prêts, cela mettrait en faillite tous les gouvernements qui empruntent depuis des années à nos banques. 
En outre, nous sommes en mesure de facturer des intérêts sur ce que nous prêtons, ce qui maintient généralement la valeur de nos propres avoirs en compensation pour les masses obtenant toutes leurs affaires gratuites, pendant tant de générations et ne nous remboursant pas pour l’exercice de notre dieu. comme le pouvoir de créer quelque chose à partir de rien.

ÉLIMINATION DE L’USD
Vous devez comprendre qu’avec le développement de nos systèmes bancaires centraux partout dans le monde, et en particulier grâce aux prêts au développement mondial et à nos investissements dans des pays comme la Chine, l’économie mondiale a connu une croissance exponentielle au cours des 100 dernières années. 
À l’heure actuelle, le dollar américain ne peut pas répondre aux besoins mondiaux et est progressivement éliminé non pas avec un gémissement, mais avec le coup d’un nuage de champignons dans la création d’un nombre illimité de milliards de milliards. 
Pendant des décennies, nous avons essayé de cacher ce que nous appelons maintenant «l’économie souterraine» où nous avons travaillé avec la Fed américaine pour créer de grandes quantités de liquidités à partir de rien, pour faciliter les intérêts commerciaux et politiques, en particulier dans les pays en développement et dans d’autres pays irascibles du monde entier. Cela n’a pas eu d’incidence sur l’inflation, car l’argent revenait rarement aux États-Unis ou en Europe et il revenait généralement de toute façon dans nos banques.

Depuis le 11 septembre, lorsque la perte de certains de ces trillions faisait l’objet d’une enquête, nous avons été plus ouverts quant à l’importance de toujours avoir suffisamment d’argent sous la main pour faire ce que nous voulons, et très franchement même si nous devions gagner le dollar américain. Comme vous le dites, nous avons une dette de 70 billions de dollars, ce que nous avons constaté, c’est que les gens du monde entier, bien qu’ils se plaignent de nos prétendus abus de pouvoir, continuent d’exiger ce genre de choses. 
C’est très similaire à l’industrie de l’héroïne, qui est née de notre entreprise en Chine au 19e siècle pendant le commerce de l’opium, plus vous produisez, plus les gens deviennent dépendants de cette substance.
 Avec notre dernier lot de 6 billions de dollars, tous ceux qui détiennent des dollars veulent que leur valeur soit conservée, mais dans des pays comme la Chine, l’Inde et la Russie, ce dont ils se plaignent, c’est le pouvoir injuste que les États-Unis sont capables d’exercer dans le monde entier en étant en mesure de tirer tellement d’argent de nos banques et le dépenser comme ils le font, en particulier pour leur armée et comme arme politique pour servir leurs intérêts et ceux de nos familles.
À cet égard, ces nations, heureusement, ne se plaignent pas excessivement du contrôle de la masse monétaire par nos familles, mais elles ont plutôt tendance à se concentrer sur les différents gouvernements favorisés qui semblent diriger les dépenses et les allocations gouvernementales. 
Ils se plaignent principalement des États-Unis et, pour la plupart, à peu près tous les autres pays du monde ont accepté de prendre ce pouvoir aux États-Unis et de permettre à nos banques centrales de créer une nouvelle monnaie mondiale et d’être leur banquier. 
Il faudra, cependant, un gouvernement central pour allouer les dépenses lorsque l’emprunt de notre part sera nécessaire, et bien sûr pour imposer le commerce avec cette monnaie à une échelle mondiale que le gouvernement central aura besoin d’un soutien militaire indépendant. 

Depuis un bon nombre de décennies, les gouvernements de plus de 190 pays sont d’accord avec cette orientation et la nécessité d’un gouvernement mondial unique pour assurer la stabilité financière nécessaire. Ce sont tous des pays qui font partie de notre réseau et qui soit ont une banque centrale fermement établie sous notre contrôle, soit nous sont entièrement redevables pour tous nos prêts d’institutions telles que le FMI et la Banque mondiale.
L’ingénierie de ces nouveaux arrangements, que certains appellent le Nouvel Ordre Mondial, ne pouvait cependant pas être accomplie par décret, comme nous créons de l’argent. Divers pays en concurrence les uns avec les autres pour les ressources ou les territoires, n’accepteront pas simplement une monnaie mondiale, ou un système bancaire mondial semblable à la Fed américaine, sans gouvernement central mondial pour l’application financière du commerce et de la réglementation, et même s’ils ne le font pas d’accord pour un gouvernement mondial, très franchement, des endroits comme la Chine et la Russie continueront à ressentir les abus de nos pouvoirs exercés par des pays favorisés comme les États-Unis, le Royaume-Uni et Israël.
Ensuite, mis à part les différences entre les différents gouvernements qui sont sous notre contrôle direct ou indirect, il y a les masses de gens ordinaires dans le monde qui croient encore avoir leur mot à dire dans de telles affaires, qui sont en fait de nombreuses étapes qui leur sont éloignées. 

Un tel gouvernement mondial que nos familles ont imaginé devra leur donner quelque chose en échange de l’abandon de leurs contrôles locaux et nationaux sur le commerce et le commerce. À cet égard, nous avons exercé notre pouvoir de créer des centaines de milliards de dollars principalement créés par des fiduciaires et de «prêts» pour financer non seulement l’ONU mais aussi tous ses programmes, afin de fournir des justifications crédibles, urgentes et existentielles de la nécessité de un gouvernement mondial.


Pour supplanter nombre des prétendus «souverains» des nations, en particulier en Occident, il nous a fallu être très généreux, permettant à l’emprunt et à l’endettement envers nous de devenir pratiquement astronomiques. 
De même que les gouvernements des nations nous sont devenus subordonnés, les peuples de ces nations le sont aussi. Que nos mesures de développement durable soient réellement nécessaires ou non pour résoudre les problèmes, comme le réchauffement climatique ou les inégalités, que nos ONG, agences gouvernementales, médias et sociétés minions ont développé et présentés dans leurs différentes campagnes, ce qui compte vraiment le plus pour nous, c’est que il y a une vraie substance à l’existence d’un gouvernement mondial. Nous avons besoin de tout le soutien que nous pouvons obtenir grâce à nos efforts pour convaincre les gens du monde entier de la « nécessité » d’un gouvernement mondial.


Alternativement, si le peuple rejette notre proposition, la plupart des gouvernements occidentaux sont à la merci de nous demander nos prêts et de les mettre en faillite, alors que les autres nations sur lesquelles nous avons moins de contrôle sont à notre merci et à notre discrétion de continuer dans le présent. système avec la domination des États-Unis et le dollar américain très précaire qui de toute façon a fait son temps, à notre avis.


PLANDÉMIQUE 
Bien sûr, la pandémie de Covid est une plandémie, et nous, à travers nos différents groupes de réflexion et réseaux, l’avons méticuleusement planifiée au fil des décennies. Pour tous les changements majeurs que nous avons prévus, y compris le plus important pour nous de notre banque mondiale et de notre monnaie mondiale, les gens doivent devenir totalement soumis. 
C’est beaucoup plus difficile à réaliser dans les pays où les gens pensent avoir un semblant de liberté, et c’est pourquoi les gouvernements de ces nations ont été si extrêmes avec les tactiques de peur et de contrôle que nous avons ordonnées. 
C’est principalement l’indépendance économique de la plupart des gens du commun qui les rend si indisciplinés dans ces nations, et susceptibles de choisir de soutenir la souveraineté de leurs propres nations et le contrôle local, qui est le principal obstacle à nos plans, et précisément pourquoi les restrictions économiques sévères ont été nécessaires sous le couvert de la pandémie. Si les gens ne se conforment pas, sans aucun doute une deuxième vague se présentera à eux, et avec cette pénurie alimentaire, et une domination complète du gouvernement afin d’introduire tous nos changements proposés.

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L’un de nos agents les plus fiables qui peut voir la lumière pour un avenir bien meilleur, Karl Schwab du Forum économique mondial, a invité plus de personnes se réveillant aux faits de notre contrôle monétaire pratiquement complet, à se joindre à la grande réinitialisation, et d’accueillir dans notre Nouvel Ordre Mondial, et notre direction continue du monde, mais à une échelle beaucoup plus vaste, plus verte, plus intelligente, plus égale et plus centralisée, principalement par nos familles qui vous ont si bien servi tout au long du 20e siècle jusqu’à maintenant.

Source: traduction de l’article https://www.henrymakow.com/2021/02/Jacob-R-Unveils-the-plan.html


Dans la vieille magie blanche slave, lorsqu’un villageois commettait un crime odieux, ils ne voulaient pas simplement le bannir, mais ils l’ignoreraient consciemment et vaquer à leurs occupations en prétendant qu’il était invisible et qu’il n’était même pas là. Finalement, l’agresseur finirait par se bannir, et le faire de cette manière est beaucoup plus humiliant et psychologiquement dévastateur pour lui que de le jeter physiquement hors des villages et de lui dire de ne pas revenir. Faites de même avec les Rothschild! Ignorez-les simplement, «se mettre à l’abri» du rhume avec un taux de survie de 99,99999% n’est rien d’autre qu’une machine absurde à ce stade. Cela n’a aucun sens pour les personnes qui n’ont pas été « programmées de manière prédictive ». Ignorez-la et retrouvez votre santé mentale.


Rockefeller et l’OMS, les dessous du cartel pharmaceutique

Il m’a semblé important de reprendre cette vidéo et cet article pour expliquer l’origine de la médecine allopathique de la maladie, du cartel pharmaceutique et de l’OMS qui nous maintiennent dans la peur de la maladie et nous empêchent de parler de santé, de médecines naturelles et traditionnelles.

https://www.quartierlibre.tv/jfakra/rockfeller-et-loms-les-dessous-du-cartel-pharmaceutique/

Comment Rockefeller a éliminé les remèdes naturels pour créer de grandes sociétés pharmaceutiques

Vous saviez déjà que Big Oil était mauvais, mais la famille Rockefeller a également ouvert la voie à Big Pharma en détruisant de ce fait les remèdes naturels.

L’auteur Chris Kanthan a écrit un article étonnant sur la façon dont la famille Rockefeller a sapé la société moderne de multiples façons, mais ce que la plupart ne réalisent pas, c’est comment ils ont éliminé les remèdes naturels.

Le nom de famille a maintenant été lié à la suppression de la médecine naturelle pour fonder de grandes sociétés pharmaceutiques et gagner beaucoup d’argent.

Les gens de nos jours vous voient comme un excentrique lorsque vous parlez des propriétés curatives des plantes ou de toute autre pratique holistique. Comme tout le reste, il y a beaucoup de politique et d’argent derrière notre système médical moderne.

Tout commence avec John D. Rockefeller (1839 – 1937) qui était un magnat du pétrole, un magnat des voleurs, le premier milliardaire américain et un monopoleur naturel. Au début du 20e siècle, il contrôlait 90% de toutes les raffineries de pétrole aux États-Unis par l’intermédiaire de sa compagnie pétrolière, Standard Oil, qui s’est ensuite scindée pour devenir Chevron, Exxon, Mobil, etc.

Dans le même temps, vers 1900, les scientifiques ont découvert la «pétrochimie» et la capacité de créer toutes sortes de produits chimiques à partir du pétrole. Par exemple, le premier plastique, appelé bakélite, a été fabriqué à partir de pétrole en 1907.

Les scientifiques ont découvert diverses vitamines et ont supposé que de nombreux médicaments pharmaceutiques pouvaient être obtenus à partir du pétrole. C’était une merveilleuse opportunité pour Rockefeller, qui a vu la capacité de monopoliser les industries pétrolière, chimique et médicale en même temps! La meilleure chose à propos de la pétrochimie était que tout pourrait être breveté et vendu avec des bénéfices élevés.

Mais il y avait un problème avec le plan de Rockefeller pour l’industrie médicale: les médicaments naturels ou à base de plantes étaient très populaires en Amérique à l’époque. Près de la moitié des médecins et universités américains pratiquaient la médecine holistique, en utilisant les connaissances des Amérindiens et des Européens.

Rockefeller, le monopoleur, devait trouver un moyen de se débarrasser de sa plus grande concurrence. Il a donc utilisé la stratégie classique «solution-problème-réaction». Autrement dit, créez un problème et effrayez les gens, puis proposez une solution (pré-planifiée). (Semblable à la peur terroriste, suivie du «Patriot Act».) Il est allé voir son ami Andrew Carnegie, un autre ploutocrate qui a fait son argent en monopolisant l’industrie sidérurgique qui a mis au point un plan.

De la prestigieuse Fondation Carnegie, ils ont envoyé un homme du nom d‘Abraham Flexner voyager à travers le pays et rendre compte de l’état des facultés de médecine et des hôpitaux à travers le pays.

Cela a conduit au rapport Flexner, qui a donné naissance à la médecine moderne telle que nous la connaissons. Il va sans dire que le rapport parle de la nécessité de moderniser et de centraliser nos institutions médicales. D’après ce rapport, plus de la moitié de toutes les facultés de médecine ont été fermées prématurément.

L’homéopathie et les médecines naturelles ont été ridiculisées et diabolisées; Et les médecins ont même été emprisonnés.

Pour aider à la transition et changer les esprits d’autres médecins et scientifiques, Rockefeller a octroyé plus de 100 millions de dollars aux universités et aux hôpitaux et a fondé un groupe de façade philanthropique appelé «General Board of Education» (GEB). C’est l’approche classique de la carotte et du bâton.

En très peu de temps, toutes les facultés de médecine ont été modernisées et homogénéisées. Tous les étudiants apprenaient la même chose et la médecine consistait à utiliser des médicaments propriétaires.

Les scientifiques ont reçu d’énormes subventions pour étudier comment les plantes guérissent les maladies, mais leur objectif était d’abord d’identifier les produits chimiques de la plante qui étaient efficaces, puis de recréer en laboratoire un produit chimique similaire, mais pas identique, qui pourrait être breveté.

Une pilule pour une personne malade est devenue le mantra de la médecine moderne.

Et vous pensiez que les frères Koch étaient mauvais?

Alors maintenant, 100 ans plus tard, nous produisons des médecins qui ne savent rien des avantages de la nutrition ou des herbes ou de toute pratique holistique. Nous avons une société entière qui est esclave des entreprises pour son bien-être.

Les États-Unis consacrent 15% de leur PIB aux soins de santé, qui devraient vraiment être appelés «soins de santé». Il ne se concentre pas sur le remède, mais sur les symptômes, créant ainsi des clients réguliers. Dans les produits pharmaceutiques industriels, il n’existe aucun remède contre le cancer, le diabète, l’autisme, l’asthme ou même la grippe. Pourquoi y aurait-il de vrais remèdes?

C’est un système fondé par des oligarques et des ploutocrates, pas des médecins.

Voici une citation de John D. Rockefeller qui résume sa vision de l’Amérique …

Source: https://dissinews.fr/2020/12/13/comment-rockefeller-a-elimine-les-remedes-naturels-pour-creer-de-grandes-societes-pharmaceutiques/

Le grand complot contre l’humanité – Comment s’en sortir ?

Cette vidéo peut changer votre vie.
Le contenu de ce podcast de Frédéric Burri, réalisé à partir du texte diffusé le 29 novembre sur son site web, a pour but de démontrer en quoi le stratagème élaboré par les « marionnettistes » va beaucoup plus loin qu’une épidémie destinée à faire passer un vaccin. Il s’agit d’un HOLD-UP DE LA CONSCIENCE, et grâce aux explications vous comprendrez que l’expression est tout à fait appropriée puisqu’il s’agit de « BRAQUER » l’attention de la conscience de l’être humain hors de tout ce qui participerait véritablement à son Éveil spirituel et à l’harmonisation du Vivant.

A partager largement.

En complément dans le même esprit, une vidéo de David Icke, sur Odysee, à visionner jusqu’au bout:

Les dessous nauséabonds et criminels de l’industrie vakxinale

Sans entrer nécessairement dans la description de projets complotistes, il semble utile de révéler quand-même l’univers glauque et criminels des recherches de l’industrie dans le domaine de l’ADN, des vakx1s et des manipulations génétiques les plus hasardeuses de ces fous. Avec un peu d’information sur les expérimentations de ces psychopathes on ne peut que refuser les vakx1 qui sortent actuellement en réponse à cette très probablement fausse pandémie. Il est temps d’interdire ces recherches, d’emprisonner ces fous dangereux et d’en revenir à une médecine naturelle.

https://lbry.tv/@Nawac7:5/CORONA—FAUX-VIRUS-+-5G—VACCIN-TOXIQUE-!!:6

Pour plus d’informations sourcées veuillez consulter ce site bien sourcé dont voici quelques extraits:

ALARME : UNE NOUVELLE RECHERCHE EN GÉNIE GÉNÉTIQUE

Au début, le Dr Joseph Kim a créé un partenariat avec son professeur d’université. Le professeur Weiner a été un pionnier de l’ADN génétiquement modifié. Il était également fortement impliqué dans le VIH et est un pionnier.(Il convient de noter que peu de temps après l’administration de vakx1s expérimentaux contre la polio à des dizaines de millions de personnes en Afrique, au cours des années 50 et 60, coïncide avec le début du VIH.)

Ces chercheurs ont commencé en 2000 sous le nom de VGX Pharmaceutical Inc fabriquant de l’ADN plasmidique. Ils ont échoué trois fois en trois ans. Ils ont ensuite travaillé avec Advisys qui était un laboratoire animalier. Ils ont utilisé leur nouvelle technologie d’ADN pour créer une hormone de croissance porcine synthétique pour les porcs.Cela leur a permis d’augmenter l’âge de reproduction des porcs et a rapidement été repris par l’industrie agricole.

En utilisant le PCV2 qui est le circovirus porcin, ils peuvent utiliser pour la première fois leur nouvelle technique appelée électroporation, ils ont été des pionniers dans la division de la santé animale.

Pendant ce temps, le brevet de vakx1 contre la grippe porcine a été déposé pour la première fois, en 2005, qui n’a été breveté qu’en 2009, juste 5 mois après son dépôt, la grippe porcine était en cours de déploiement en tant que prochaine pandémie.

(De nombreuses entreprises étaient impliquées et l’OMS et d’autres agences ont proclamé une pandémie à part entière alors qu’il n’en existait pas, Baxter a également été condamné à une amende pour avoir permis au virus de la grippe porcine d’être contaminé dans les vakx1.)

Le Dr Kim a déclaré ouvertement que son entreprise comptait bon nombre de ses amis et collègues au conseil scientifique et au conseil d’administration.Il était employé par Merck qui a payé son doctorat et se vante maintenant d’avoir des personnes telles que l’ancien président de Merck, Adel Mahmoud, au sein de son conseil d’administration, Morton Collins, qui a agi en tant que conseiller en politique technologique du président GHW Bush et ancien vice-président senior de Merck, Ford Hutchinson en tant que conseiller scientifique qui est également un conseiller en fiducie Wellcome et a été impliqué dans de nombreux médicaments controversés comme Gardasil et Rotateq.

L’ÉLECTROPORATION

Il s’agit d’un courant électrique pulsé appliqué aux tissus locaux pour permettre à la cellule d’avoir des trous dedans pour permettre à juste assez d’ADN synthétique d’entrer, puis l’impulsion s’arrête et la cellule se ferme, le problème ici est que selon des études, un manuscrit en Molecular thérapie avec des références de 74 articles distincts écrits en 2004, conclut que l’utilisation du transfert de gènes par électroporation ne devrait être utilisée qu’avec des anticorps humains car des problèmes pourraient survenir du cancer à la mort.

INOVIO AURAIT FABRIQUÉ LE VAKX1 EN 2 HEURES !

Nous pouvons donc voir comment les généticiens utilisant des scientifiques altèrent les éléments constitutifs de notre existence et ce qui est troublant, c’est que le professeur Wiener est un pionnier du VIH et nous savons que peu de temps après que les vakx1s contre la polio ont été administrés à des millions de personnes en Afrique, le VIH a émergé.

Ils ont perfectionné l’art d’injecter de l’ADN animal ou d’oiseau dans des chromosomes humains qui altère notre ADN et provoque des choses comme l’hémorragie, la fièvre, les cancers et même la mort.

Voici comment se passe ce con de plots et bien qu’il se répète sous différents noms, année après année (Corona, VIH, sida, SRAS, Ebola, Zika, vache folle, etc.), la plupart du public non informé réagit comme programmé, simplement parce que la peur est PROUVÉE pour déclencher un rétrécissement de l’esprit, une baisse du QI, une stimulation de l’ego de l’enfant (qui cherche un adulte pour le sauver) et une obéissance réflexive envers l’autorité perçue.

L’article complet ici

Les « nudges » pour remplacer la démocratie ?

On l’a appris par une enquête du Point, parue le 4 juin dernier : pour gérer le comportement de la population pendant et depuis le confinement, les gouvernements anglais et français ont fait appel à des unités spéciales, des « nudges units« , des cellules spécialisées dans la mise au point des nudges. Les nudges, littéralement, ce sont de petits coups de pouce mentaux qui nous influencent sans que nous en ayons conscience. 

Ces objets conceptuels sont nés dans les années 80 du croisement entre l’économie, l’information et les études comportementalistes. Plus subtiles et différentes que la simple publicité, ils sont censés nous faire agir pour notre bien. Leurs promoteurs les présentent comme une révolution scientifique visant à rectifier la manière dont nous prenons nos décisions. Nous croyons agir rationnellement, mais non. En fait, nous sommes conditionnés par des préjugés. Il faut donc nous reconditionner pour nous faire agir mieux dans le sens de notre intérêt et dans le sens de l’intérêt général. 

Cette théorie rencontre un tel succès chez les décideurs industriels et politiques, aujourd’hui, que les nudges sont en train d’envahir notre vie sociale et culturelle de manière invisible. Elle est aujourd’hui défendue par cinq au moins des quinze derniers prix Nobel d’économie. Les plateformes, telles Facebook et Google, se jettent dessus, tandis qu’un nombre croissant d’Etats s’y intéresse. La révolution technologique, la crise générale de la représentation politique et l’épidémie de Covid, la font apparaître comme la solution idéale à la gouvernance de crise. Et comme le monde n’est plus que crise, la question se pose : les techniques de guidage des individus sont-elles appelées à remplacer la démocratie ?

Article de Géraldine Woessner :  » Emmanuel Macron et le pouvoir du « nudge » » (Le Point, 4 juin 2020).

Source: une émission de France Culture du 21/6/2020

Info cachée de la FDA sur les risques graves du vakx1.

9 décembre 2020

La traduction française de cet article a été retiré du web. Pourquoi ?
Ceci est donc une copie extraite des archives web que nous pensons doit être conservée pour la bonne info de tous.

– Source : FDA reveals long list of serious health conditions that may result from covid-19 vaccinations, including death

FDA : le vakx1 du C0VlD-19 peut déclencher 22 problèmes de santé graves, voire la mort !

La Food and Drug Administration états-unienne (FDA, Agence des produits alimentaires et médicaments) a discuté à huis clos d’une longue liste de problèmes de santé graves qu’occasionneront les vaccins contre le Covid-19.

Ces « effets indésirables » ne sont pas rendus publics car les fabricants de vaccins et leurs cohortes de médias ont besoin que tout le monde croie que les vaccins sont « sûrs et efficaces ».

Mais la liste des effets secondaires est désormais publique.
Une liste de 22 effets indésirables (dont la mort) a été discutée le 22 octobre 2020 lors de la réunion du comité consultatif de la FDA intitulée « Vaccins et produits biologiques connexes ». Cette liste est tirée d’une présentation du Dr Steve Anderson, titulaire d’un master en politique publique, directeur du bureau de biostatistiques et d’épidémiologie du Centre pour l’évaluation et la recherche en biologie. Il s’agit d’une liste préliminaire des effets secondaires très graves, qui n’inclut pas tous les effets secondaires mineurs et non documentés qui résulteront de ces injections.

La FDA signale 22 problèmes de santé graves causés par les vaccins contre le Covid-19

Parmi ces problèmes de santé, on trouve la myélite transverse, un syndrome neurologique grave. Le vaccin peut amener le système immunitaire à attaquer ses propres cellules, ce qui a pour effet d’interrompre les signaux que la moelle épinière envoie dans tout l’organisme. Ces symptômes sont similaires à ceux de la polio et incluent des douleurs, de la faiblesse musculaire, une paralysie, des problèmes sensoriels, un dysfonctionnement de la vessie et des intestins. Cette maladie nécessite une rééducation importante et certaines personnes en gardent des handicaps majeurs. Dans cette liste figurent d’autres maladies auto-immunes, ainsi que l’arthrite et les douleurs articulaires. L’une des maladies auto-immunes les plus inquiétantes qui pourrait survenir est l’encéphalomyélite aiguë disséminée, une maladie caractérisée par une inflammation soudaine et généralisée du cerveau et de la moelle épinière.

La FDA met également en garde contre les effets tératogènes sur la grossesse et la naissance. Le vaccin est conçu pour neutraliser les protéines « Spike » du coronavirus grâce à l’ARN messager du vaccin, mais ces protéines « Spike » contiennent de la syncytine 1, une protéine synthétisée par les rétrovirus endogènes lors du développement du placenta chez les humains. Après la vaccination contre le Covid-19, les cellules immunitaires d’un individu seront entraînées à attaquer la syncytine 1, ce qui pourrait entraîner des fausses couches, des malformations congénitales et la stérilité.

Le syndrome de Guillain-Barré est une réaction commune à la plupart des types de vaccins, qui concerne également celui contre le Covid-19 ; il se caractérise par le déclenchement soudain d’une faiblesse musculaire. Le vaccin engendre une détérioration du système nerveux périphérique du receveur, ce qui entraîne des arythmies cardiaques et des problèmes de pression artérielle.

Dans cette liste, on trouve également la thrombocytopénie, une maladie faisant fortement baisser le nombre de plaquettes sanguines. Sans plaquettes, le sang ne peut pas coaguler, ce qui peut entraîner des hémorragies internes. À l’autre extrémité du spectre, la liste cite également la thrombose veineuse, une maladie caractérisée par la formation de caillots sanguins dans les veines. La liste comprend aussi les infarctus du myocarde et les accidents vasculaires cérébraux, ainsi que les convulsions et les crises d’épilepsie !

Les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) s’apprêtent à inscrire les maladies causées par les vaccins sur la liste des complications liées au Covid-19

La liste mentionne le syndrome inflammatoire multisystémique chez l’enfant, qui implique une inflammation du cœur, des poumons, des reins, du cerveau, de la peau, des yeux et du système digestif. La liste comprend également la maladie de Kawasaki, une complication vaccinale commune chez les enfants de moins de cinq ans. Cet effet secondaire regroupe un ensemble de symptômes comme la fièvre, les éruptions cutanées, le gonflement des mains et des pieds, l’irritation et la rougeur de la sclère, le gonflement des glandes lymphatiques du cou, ainsi que l’irritation et l’inflammation de la bouche, des lèvres et de la gorge.

Les CDC s’apprêtent à répertorier ces effets secondaires comme des complications infantiles de le Covid-19, pendant que les responsables de la santé publique se préparent à étouffer la plupart des dommages dus aux vaccins. Ainsi le public n’est-il pas informé des risques associés aux vaccins à ARNm conçus à la va-vite, et il est constamment induit en erreur quant aux origines de la maladie.
Cette faute médicale généralisée et les morts injustifiées qui en découlent perdurent depuis des décennies, de même que le calendrier vaccinal des enfants et le syndrome de mort subite du nourrisson (MIN), qui sont des « morts inexpliquées » corrélées au calendrier vaccinal.
En raison de la coercition et de la fraude à grande échelle, les gouvernements et les sociétés pharmaceutiques violent le code d’éthique médicale de Nuremberg et commettent des crimes contre l’humanité.Sources :
– COVID-19 Vaccine Bombshell: FDA Documents Reveal DEATH + 21 Serious Conditions As Possible Adverse Outcomes
– VAX ATTACKS: The new mRNA coronavirus vaccines will likely cause immune cells to attack placenta cells, causing female infertility, miscarriage or birth defects
– For Parents: Multisystem Inflammatory Syndrome in Children (MIS-C) associated with COVID-19
– Kawasaki Disease
– CBER Plans for Monitoring COVID-19 Vaccine Safety and Effectiveness


L’imposture vakxinale de Pasteur

L’imposture vakxinale (Extrait du site la-philosophie.fr)
La France, pays de Descartes et de la rationalité scientifique est tombée dans une bien étrange assuétude : la dépendance aux vakx1s. Si la France est bien la patrie de Descartes elle est aussi, pour son plus grand malheur, celle de Louis Pasteur !

La démonstration d’un fait scientifique par la méthode expérimentale ne repose que sur des mesures de laboratoire, reproductibles, vérifiées par d’autres scientifique et indiscutables.

Premier mensonge ou péché par omission : Contrairement à ce que croit une majorité de Français, Louis Pasteur (1822-1895) n’était pas médecin, ni même biologiste, il n’était que “agrégé-préparateur de chimie” sans que l’on en sache plus sur cette dénomination, et … pas très bon dans sa spécialité. La seule chose qu’on ne peut pas lui enlever : c’était un travailleur acharné, il dormait moins de 4 heures par nuit. Dans les années 1850, Internet n’existait pas et Louis Pasteur était au courant de tout ce qui se passait dans le monde scientifique de l’époque. C’était un activiste, arriviste, il voulait la Légion d’Honneur et il l’a eue (en 1853) ! Louis Pasteur fut le seul Français, à ma connaissance, à avoir bénéficié de son vivant du titre de “bienfaiteur de l’humanité”. Mais, quand on creuse un peu, on se rend compte que la réalité est bien loin de la légende.

Tous les travaux que Pasteur s’attribua sans vergogne, furent en fait “copiés” sur d’autres scientifiques. La seule vraie découverte de Pasteur et dont personne ne parle jamais, c’est la serviette en papier jetable pour s’essuyer les mains. Pasteur était paranoïaque, il voyait des microbes partout, et il pensait, fort justement, qu’en s’essuyant deux fois les mains dans la même serviette on avait toujours les mains sales.

La vérité : Pasteur n’a jamais découvert aucun micro-organisme, à l’origine, il n’y croyait d’ailleurs pas, attribuant la maladie à “une faiblesse constitutionnelle” la découverte en incombe à un vrai biologiste : Antoine Béchamp (1816-1908) docteur en sciences, en médecine et en chimie et diplômé en pharmacie, dont en France, le nom est toujours interdit de cité (lire sur Internet le très intéressant article que lui consacre l’encyclopédie en ligne Wikipédia). Antoine Béchamp avait appelé ces structures microscopiques : microzymas, ( 3.1 Antoine Béchamp et la théorie du microzyma). Pasteur les a rebaptisés : microbes “empruntant” ce nom au chirurgien Français Sédillot (1808-1875).qui fut le premier à l’utiliser.

Béchamp ne courait pas après la gloire, Pasteur si ! Béchamp ne fut pas dupe des manœuvres de Pasteur, car il écrivit : “Je suis le précurseur de Pasteur, exactement comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie.”

Le théorème pasteurien : L’être humain, créature de Dieu est pure et sans souillure, la maladie ne peut donc être provoquée que par une “faiblesse constitutionnelle” puis, se ravisant, devant la démonstration évidente d’Antoine Béchamp sur l’origine de la maladie des vers à soie (sujet sur lequel ils travaillaient tous les deux), la maladie est provoquée par des “agents” extérieurs. En injectant cet agent dans le corps, on crée une réaction de défense qui protège de la maladie.

N’oublions pas qu’à cette époque (milieu du 19ème siècle) la médecine était d’essence religieuse, on croyait à la “force vitale” (impossibilité de passer du règne “minéral” au règne “organique” sans cette “force vitale” nécessairement d’origine divine) et “à la génération spontanée” le cadavre d’un animal pourrit car il génère des éléments destructeurs sortis de nulle part (on croyait que les asticots de mouche étaient générés par le cadavre) ! Béchamp n’était ni “vitaliste” ni ne croyait à la génération spontanée, ce qui n’était pas le cas de Pasteur, tout du moins à ses débuts ! Pasteur était opportuniste et savait s’adapter à “l’air du temps” (il n’y a que les imbéciles qui ne changent jamais d’avis !).

De ce théorème (jamais démontré) découle donc le corollaire (pas plus démontré) : pour lutter contre les maladies et les épidémies, il suffit donc de “vakxiner” (terme emprunté à Jenner) massivement les populations avec le ou les agents responsables de ces maladies.

A ce stade, on fait tout simplement l’impasse totale des connaissances que nous avons aujourd’hui sur le système immunitaire humain et la génétique en général. Ce raisonnement implique que tous les humains possèdent le même système immunitaire et que celui-ci répond d’une manière identique aux mêmes sollicitations extérieures. L’immunité de troupeau, prônée par Pasteur et ses disciples n’existe tout simplement pas, c’est une hérésie scientifique !

L’hérésie scientifique : Au 21ème siècle, nous raisonnons, dans ce domaine particulier, avec des théories élaborées au 19ème siècle, et que personne ne semble remettre en cause ? il s’agit tout simplement d’une aberration de l’esprit humain et de la négation de nos connaissances scientifiques actuelles !

Le mensonge :
Ce théorème induit un deuxième corollaire : chaque “micro-organisme pathogène” est responsable d’une maladie parfaitement identifiée.

Faux : en matière scientifique la causalité unique n’existe pas, tout événement observable est le produit d’un enchaînement de causes. La suppression d’une seule de ces causes rend l’événement impossible !

D’abord, qu’est-ce qu’une maladie ? à ce jour, je n’ai encore rencontré personne qui soit capable de répondre à cette question élémentaire. Les sommités médicales que j’ai pu interroger sur ce sujet, n’ont pu me fournir qu’un sourire gêné en guise de réponse. Nous ne savons pas ce qu’est une maladie.

Le mensonge :
Pasteur a prétendu avoir vu le virus de la rage avec son petit microscope optique. Pour observer le virus de la rage, il faut un microscope électronique car la taille du virus est inférieure au pouvoir discriminant du microscope optique.

 Le mensonge :
les vakxins ont permis de mettre un terme aux grandes épidémies qui dévastaient l’humanité ! La vérité :
Aux 13ème et 14ème siècle, l’Europe fut dévastée par plusieurs épidémies de peste qui tuèrent des centaines de milliers d’individus. Ces épidémies disparurent pour ne jamais revenir, qui a inventé le vakx1 contre la peste ? 
Le mensonge :
la variole a été éliminée de la surface de la Terre grâce au vakxin.
La vérité :
c’est l’OMS elle-même, pourtant entièrement à la solde des labos pharmaceutiques qui, en 1980, lança un appel à tous ses adhérents pour arrêter les vackxinations antivarioliques et détruire les souches virales encore détenues dans certains labos. Les dernières campagnes de vakxination s’étaient toutes soldées par une poussé épidémique quel que soit le pays où eut lieu cette campagne ! Le mensonge :
Les vakx1s sont inoffensifs et les accidents qu’on attribue aux vakx1s ne sont que de tristes coïncidences.

La vérité :
les vakx1s sont des médicaments au même titre que les autres molécules de la pharmacopée et, à ce titre, ils sont dangereux et toxiques. Les médicaments tuent en moyenne 20 000 personnes par an en France, et les vakx1s ne tueraient personne ? C’est un miracle, et dans les labos, les miracles, ça n’existe pas !

Se mettre dans la tête qu’on va “éradiquer” telle ou telle maladie, ou le virus responsable est une illusion dangereuse. Chaque fois que les humains vident une niche écologique d’un de ses occupants, la Nature ayant horreur du vide, la niche va être occupée par un nouvel habitant souvent pire que le précédent. Tout ce que nous risquons, c’est d’éradiquer l’espèce humaine de la surface de la planète, mais la Nature se passe très bien de nous !

Ce que contient réellement un vakx1 : une partie dite “atténuée” d’un virus ou bactérie que l’on croit responsable d’une maladie, des éléments de manipulations génétiques comme les ARN ou ADN double brin. Des traces protéiques du milieu de culture, car on ne sait pas filtrer totalement la fraction vakxinale. Ce qui veut dire que si les protéines de culture sont polluées pour une raison ou une autre, le vakx1 le sera aussi. Il contient également des adjuvants tels l’hydroxyde d’aluminium qui se révèle un redoutable toxique puisqu’il est capable de traverser la barrière hémato-encéphalique. Le cerveau est le seul organe humain qui soit stérile et qui doit le rester, y introduire un produit chimique amène des accidents graves. Pourquoi retrouve-t-on des traces d’aluminium dans les plaques amyloïdes de la maladie d’Alzheimer ? Les coupes qui servirent en 1906 à Alzheimer à décrire la maladie qui porte son nom existent toujours, elles ont été examinées de nouveau avec nos techniques modernes et il n’y a aucune trace d’aluminium dans ces coupes. L’aluminium trouvé dans les cerveaux (examen post-mortem) analysés est … celui des vakx1s !

On y trouve aussi des traces de formaldéhyde, cancérogène de 1ère classe, des sels de mercure (stabilisants) le mercure est un neurotoxique reconnu, personne ne peut le mettre en doute.

Le “vakxinalisme” est une manie française. Chaque petit Français doit recevoir entre 0 et 18 ans pas moins de 60 injections vakxinales.

Les trucages des labos : il y a en France des obligations vakxinales, les labos s’ingénient à mélanger dans la même ampoule les obligatoires avec les autres, il faut bien faire marcher le commerce ! Nous avions essayé de mettre au point une “dose” magistrale qui contenait 10 virus ! Ils se sont bouffés entre eux, on n’a pas pu dépasser 6, ce fut “l’Hexavac” une belle réussite commerciale et un calvaire pour les vakxinés. Mis sur le marché en 2003 il a été retiré, sur recommandation de l’Afssaps en 2005.

La théorie et le mythe pasteuriens ne souffrent en France aucune discussion ni aucune contestation. La vakxination de masse est devenue une religion, on y croit sans voir et sans preuve “Heureux celui qui croira sans avoir vu” et ce sont les opposants, majoritairement des scientifiques qui passent pour des illuminés, membres de sectes inavouées et inavouables.

J’avoue, j’appartiens à cette redoutable secte des chercheurs qui ne croient pas aux discours majoritaires. Claude Bernard, qui reste mon maître à penser en la matière, écrivait dans “Introduction à la médecine expérimentale” (1865) “Le scientifique est d’abord un douteur …” où est le doute aujourd’hui ?

Ce fut aussi Claude Bernard qui arbitra le match : Pasteur vs Béchamp et, à la fin de sa vie, il eut cette phrase remarquable : “ Béchamp a raison, le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout, Pasteur est fou !” (phrase que l’on attribue aussi à Pasteur, donnant raison à Béchamp, ce qui est proprement impensable) Sur la fin de sa vie, Pasteur eut un AVC qui le laissa hémiplégique, il perdit complètement la raison et se lança dans des théories encore plus folles et plus fausses que celles de ses débuts !

L’organisme humain est une merveille d’équilibre, entre ses propres cellules et des cellules étrangères, virus et autres bactéries, c’est la rupture de cet équilibre qui provoque ce que l’on appelle “maladie” le système immunitaire n’est pas un jouet. Vakxiner un bien-portant et l’on en fait un malade chronique !

Le mensonge :
le tétanos, la rage, la poliomyélite ont été endigués par la vakxination !

La vérité :
ces trois maladies sont des maladies sans immunité, les toxi-infections ne passent pas par la voie sanguine.

Le mensonge :
la vakxiantion ROR a permis de supprimer les maladies infantiles !

La vérité :
ces maladies dites “infantiles” servent à la maturation du système immunitaire de l’enfant pour en faire un adulte en bonne santé. Avec le ROR on a créé des souches mutantes de la rougeole et des adultes qui l’avaient eu enfants, l’attrapent sous une forme “aggravée” au contact de leurs enfants vakxinés.

Le mensonge :
Nos enfants deviendront centenaires !

La vérité :
les centenaires d’aujourd’hui sont des personnes qui sont nées dans les années 1910, époque où il n’y avait pas de vakxinations obligatoires ! On en reparlera dans quelques années.

Toutes les études internationales arrivent à la même conclusion : les enfants à jour des vakxinations obligatoires sont globalement en plus mauvaise santé que ceux qui n’ont jamais été vakxinés.

Le mensonge :
il faut vakxiner les personnes fragiles pour les protéger.

La vérité :
toute personne atteinte d’un déficit immunitaire ou souffrant d’une pathologie auto-immune est une contre-indication majeure à toute forme de vakxination ! Pour qu’une vakxination soit réellement efficace, il faudrait faire un groupage HLA à chaque individu pour connaître l’état exact de ses défenses immunitaires. Trop cher ! Répondent les autorités dites “compétentes” et on vit avec les accidents vakxinaux qui ne sont officiellement que de la faute à pas de chance ou à des coïncidences malencontreuses.

L’aveuglement des autorités sanitaires françaises nous conduit à une catastrophe sanitaire majeure qui a déjà commencé à bas bruit. Tous ces cas d’autisme soudain, d’hyperactivité, de cancers infantiles ne seraient dus qu’à des problèmes environnementaux? L’air pollué ? La malbouffe ? Disons que ça se cumule et comme l’on ne connaît pas les synergies entre tous ces éléments, la prudence voudrait qu’on arrête les frais et que l’on ne sacrifie plus nos enfants et petits-enfants sur l’autel du profit industriel !

En conclusion : le principe de la vakxination de masse ne repose sur aucune base scientifique indiscutable et démontrée.

Marc JASPARD, Chimiste – Biochimiste 
05 10 2012

La page complète du site la-philosophie.fr)

Questions à Pfizer.

Extrait d’un article d’un collectif citoyen paru dans France Soir sous le titre « Le consentement maltraité« .

Le corps humain n’est pas un algorithme.

Sur le papier, cela est plus que séduisant : un traitement auto-inductif qui ne nécessite que deux prises, une molécule assez instable pour ne pas perdurer dans notre organisme, des enzymes qui permettent de stabiliser et de protéger l’ARN, puissant immunostimulant, une nanoparticule lipidique programmée pour atteindre sa cible cellulaire, l’absence d’adjuvants neurotoxiques comme l’aluminium. 
Cette invention est en tout point géniale et ses inventeurs, Katalin Kariko et Drew Weissman, sont à nos yeux de véritables génies. On ne peut que souhaiter que cette technologie devienne efficiente tant elle pourrait effectivement répondre à nombres de pathologies infectieuses, génétiques, oncologiques…

Mais malgré la considération que nous avons pour ces deux grands pionniers de la médecine moderne, nous aimerions qu’ils explicitent quelques points de leur modèle avant de concéder notre consentement avec enthousiasme, lorsque ces zones d’ombres auront été levées :

– Quelles sont les sondes utilisées pour valider la production d’anticorps par les sujets vakxinés ?
Quelle est la spécificité de ces sondes ?

Comme FranceSoir l’avait montré pour les tests PCR, la spécificité des tests diagnostics est loin d’être aussi évidente (3) (4). Cela est encore plus incontestable pour les tests antigéniques et les réactions croisées avec de nombreux autres virus sont très largement documentées (5).
Qu’en est-il des tests utilisés et de leur spécificité pour aboutir à 95 % de résultats positifs, c’est à dire à 95 % de patients qui sécrètent des anticorps, car c’est bien cela que mesure la supposée efficacité des vakxins ARN ?

– Quid des 5 % ne sécrétant pas d’anticorps ?
Pourquoi ces sujets ne produisent-ils pas d’anticorps si l’ARNm vakxinal parvient de manière aussi efficace à s’être traduit dans nos cellules ?
La lecture de la publication de Pfizer pourrait amener à penser que ces 5 % qui, semble-t-il, n’ont pas réagi aux vakxins, pourraient correspondre aux 5 % qui atteints du SARS-Cov-2 développent une forme grave ?

Dans le prolongement, le fait qu’il y ait sécrétion d’anticorps et donc activation de la réponse immunitaire humorale implique-t-il nécessairement qu’aucun virus ne parviennent à infecter nos cellules épithéliales pulmonaires et que la réplication intracellulaire du virus soit efficacement empêchée ?
Le SARS-Cov-2 pénètre dans nos cellules directement par les muqueuses respiratoires et l’intervention des lymphocytes B n’adviendra par définition qu’après infection de nos cellules. La réponse inflammatoire aura alors déjà commencé et les virus seront pour une part en phase de réplication dans nos cellules.
Si tel est le cas, la production d’anticorps induite empêche-t-elle la survenue de l’orage de cytokines responsable de la létalité de cette maladie ? Il est à noter que le taux d’effets secondaires graves provoqués par ce vakxin, à savoir 2,8 %,  est bien supérieure aux taux observés avec des vakxins traditionnels, contrairement à ce qui est soutenu par nos médias mainstream.

– Comment s’assurer que ces réactions inflammatoires exacerbées observées chez 2,8 % des patients, allant jusqu’au choc anaphylactique, ne sont pas provoquées par l’ARNm dont la capacité inflammatoire est sans pareil ?
De même pour les nombreux effets secondaires ressentis par de nombreux sujets très rapidement après l’injection, avec notamment inflammation au point d’injection ?
Comment se fait-il que cette réaction inflammatoire ait lieu aussitôt l’injection effectuée alors que la modification de codons en codons homonymes, le remplacement de l’uridine par la pseudo uridine et la constitution de la nanoparticule lipidique la nanoparticule lipidique protégeant l’ARN devrait garantir un transport jusqu’aux cellules sans justement provoquer d’inflammation, hautement délétère pour l’ARN, même protégé par un lysosome ?

– Dans la publication soumise aux autorités, Pfizer reconnaît ne pas avoir de données cliniques sur la génotoxicité et sur la capacité muta génétique de ce vakxin ARN.
Cela nous surprend : malgré les clairons incessants de nos médias, de nos plateaux de médecins et même de nous gouvernants, ce vakxin n’a pas été créé en moins d’un an. Il est le fruit de plus de vingt ans de recherches. La spécificité du matériel génétique introduite dans le véhicule, ici l’ARNm, n’est qu’une étape subsidiaire des nombreux problèmes rencontrés pour cette thérapie génique depuis 30 ans.
C’est d’ailleurs là les plus grandes trouvailles de Katalin Kariko et de Drew Weissman : être parvenus à véhiculer l’ARNm jusqu’à l’intérieur de la cellule, grâce à un lysosome constitué de nanoparticules lipidiques qui empêche la digestion par les endosomes intracellulaires et avoir réussi à stabiliser l’ARNm, par nature très instable, ainsi qu’à inhiber sa puissante capacité immunostimulante en substituant des nucléosides transformés ou en transformant des codons en codons homonymes. C’est en cela que nous sommes surpris qu’il n’y ait pas ou peu de données de toxicité en générale, et de données sur la génotoxicité en particulier : dès 2013, Moderna et Astrazeneca ont injecté de l’ARNm codant une protéine appelée facteur de croissance endothéliale vasculaire (VEGF) à des personnes ayant eu un infarctus du myocarde. Malgré l’avancement de ce projets et de projets annexes, ceux-là n’ont toujours pas abouti, pour deux raisons : l’efficacité et le toxicité n’étaient pas assez précisément évaluées et la plupart des publications, à l’instar du remdesivir de Gilead, étaient le fait soit des laboratoires eux-mêmes, soit de chercheurs affiliés.
C’est d’ailleurs là un reproche qui a été fait par les investisseurs de la technologie ARN : Moderna, le laboratoire le plus avancé sur cette technologie, n’a jamais fourni l’entièreté de ses données et beaucoup n’ont pas été soumises à publication (5). Depuis une trentaine d’année que de nombreux chercheurs travaillent sur le potentiel thérapeutique de l’ARNm dans différents domaines de la médecine, il est surprenant qu’il n’y ait pas de données plus précises quant à la toxicité et la génotoxicité induite par cette technologie. Pour le remdesivir, le Collectif citoyen a dû s’en référer à des molécules analogues, aux propriétés biochimiques de la molécules et aux données de fabrication pour établir que la molécule était très toxique alors que le remdesivir était testé depuis 5 ans. Est-ce devenu la nouvelle démarche scientifique pour inventer des thérapies : éviter les études toxicologiques et/ou modifier les échantillonnages lorsque des évènements surviennent ? Si l’on se fie à la composition supposée des vakxins ARNm de Pfizer et de Moderna, il nous serait difficile de ne pas songer qu’ils puissent être potentiellement très toxiques : l’ARN étranger est toxique pour l’organisme, les nucléosides sont toxiques pour l’organisme, davantage encore lorsqu’ils sont modifiés comme la pseudouridine, les enzymes et la capsule protégeant l’ARN sont potentiellement toxiques… La chorégraphie proposée par Pfizer est séduisante, mais comment in vivo, leurs chercheurs peuvent nous assurer qu’elle soit aussi précisément exécutée ?
Moderna pourrait-il enfin fournir les nombreuses données collectées et jamais révélées depuis 2010 ?

Ce qui semble évident, c’est que les cas d’hypersensibilité avec évènements graves représentent jusque-là un ratio plus important que pour la Covid-19.

–  Pourquoi ces vakxins impliquent-ils qu’ils faillent utiliser des contraceptifs plusieurs semaines après l’administration comme indiqué dans la notice Pfizer ?
La seule idée qui nous viennent à l’esprit pour expliquer cette injonction des fabricants eux-mêmes, est que l’ARN modifie potentiellement le matériel génétique de nos gamètes et donc pourrait induire des problèmes en cas de fécondation. Si tel est le cas, à quel moment de la gamétogenèse, cette interaction survient-elle ? Nos cellules germinales sont-elles atteintes ?

– Que devient la capsule nanométrique lipidique qui enfermait l’ARNm ?
Nous présumons qu’elle est censée se dégrader, même si le mécanisme nous paraît obscur puisqu’elle a été justement conçu pour résister à la dégradation. Dans ce cas, qu’en est-il des résidus de cette dégradation ? De leur impact sur fuseaux et le cycle cellulaire ?

Il y aurait encore bien des questionnements à soulever pour s’assurer de l’efficacité et de l’innocuité de ces vakxins, notamment quant aux traitements supplémentaires, tels que des corticoïdes, suivis par de nombreux patients avec comorbidité, patients qui ont le profils des personnes susceptibles de développer des formes graves.. Conscients que l’urgence induise que la balance bénéfices/risques penchent préférentiellement du côtés des bénéfices, que nous ne pouvons que tous espérer, nous nous contenterons de la lumière sur ces quelques ombrages pour estimer notre consentement éclairé.

Aussi, c’est dans un esprit de consensus, et donc de controverse bienveillante, que nous soumettrons ces questionnement à Pfizer. Car comme les lecteurs de France Soir et ceux qui suivent le Collectif citoyen l’auront compris, nous avons déjà de nombreux éléments de réponse. Pour ne pas opposer un modèle à un autre, nous invitons donc les fabricants à préciser le leur.

Nous ne manquerons pas alors de devenir d’enthousiastes militants de la vakxination. Ce traitement est un véritable espoir pour nos sociétés, pour protéger les plus fragiles et sauver le maximum de vies possible, pour permettre aux sacrifiés de la Covid de reprendre leur vie, de se reconstruire, pour redonner aux mots humanité et liberté, toute leur noblesse. Il semble donc important, afin qu’un maximum de personne concède son consentement, que toute la lumière soit faite sur ces zones d’ombre.

Seule la science dans toute sa rigueur peut faire jaillir cette lumière qui mettra fin à cette obscure période.

Best of extraits du livre Great Reset de Klaus Schwab

Je suppose que vous connaissez Klaus Schwab, président fondateur du World Economic Forum (Davos) rassemblant les dirigeants des plus grandes sociétés mondiales et des gouvernements. Voilà donc le programme que nous réservent ces psychopathes.

Quand Hitler a écrit Mein Kampf, personne n’a réagit, comme maintenant peu de monde semble réagir à ces déclarations ni aux mesures que nos gouvernements n’hésitent plus à prendre dans le sens de ce programme.

Un autre article résumant les idées de Schwab

Mise-à-jour du 28 mars 2021, en vrac quelques extraits. (source Mediazone)

Page 12 : Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. Pour faire court, la réponse est « jamais« . La normalité d’avant la crise est « brisée » et rien ne nous y ramènera car la pandémie de coronavirus marque un point d’inflexion fondamental dans notre trajectoire mondiale.

Page 12 : Nous allons faire face à des changements radicaux d’une telle importance que certains experts parlent d’ères « avant coronavirus » et « après coronavirus« .

Page 20 : Notre objectif était d’écrire un livre relativement concis et simple pour permettre au lecteur de comprendre ce qui va se passer dans une multitude de domaines.

Page 43 : Il est peu certain que la crise du Covid-19 fera pencher la balance en faveur du travail et au détriment du capital. Pour des raisons politiques et sociales, cela pourrait être le cas, mais la technologie change la donne.

Page 46 : Une reprise économique à part entière ne peut avoir lieu tant que le virus n’est ni vaincu, ni derrière nous.

Page 49 : Si les gouvernements ne parviennent pas à sauver des vies, les gens qui ont peur du virus ne reprendront pas leurs achats, leurs voyages ou leurs sorties au restaurant. Cela entravera la reprise économique, avec ou sans confinement.

Page 53 : Cela suggère qu’un retour complet à la « normale » ne peut être envisagé avant qu’un vaccin ne soit disponible.

Page 59 : A l’échelle mondiale, une reprise complète du marché du travail pourrait prendre des décennies et, en Europe comme ailleurs, la crainte de faillites massives suivies d’un chômage de masse est très présente.

Page 60 : La récession induite par la pandémie va déclencher une forte augmentation du remplacement de la main d’oeuvre, ce qui signifie que le travail physique sera remplacé par des robots et des machines « intelligentes ».

Page 61 : Ces innovations provoquées par la nécessité (c’est à dire les mesures sanitaires) entraîneront bientôt des centaines de milliers, et potentiellement des millions, de pertes d’emplois.

Page 62 : Dans les pays émergents et en développement, (en particulier ceux qui connaissent une « explosion démographiques de la jeunesse »), la technologie risque de transformer le « dividende démographique » en un « cauchemard démographique » à cause de l’automatisation.

Page 84 : Le bouleversement sociétal déclenché par la Covid-19 durera des années, voire des générations.

Page 94 : Environ 30 % des américains ont une richesse nulle ou négative (Note d’Alice : notez le cynisme de cette expression !!! Richesse négative!!!)

Page 100 : Les crises sévères contribuent à renforcer le pouvoir de l’état. (…) L’imposition va augmenter.

Page 104 : A l’avenir, les gouvernements décideront très probablement, mais avec des degrés d’intensité différents, qu’il est dans le meilleur intérêt de la société de réécrire certaines règles du jeu et d’accroître leur rôle de façon permanente.

Page 113 : On craint actuellement de plus en plus que la lutte contre cette pandémie et celles à venir ne conduisent à la création de sociétés de surveillance en permanence.

Page 128 : Si nous n’améliorons pas le fonctionnement et la légitimité de nos institutions mondiales, le monde deviendra bientôt ingérable et très dangereux. Il ne peut y avoir de reprise durable sans un cadre stratégique mondial de gouvernance.

Page 145 : Tout confinement ou crise sanitaire engendré par le coronavirus pourraient rapidement créer un désespoir et un désordre généralisés.

Page 146 : Le triple coup de la Covid-19, l’effondrement des prix du pétrole (pour certains) et le gel du tourisme (une source vitale d’emplois et de rentrée de devises étrangères) pourraient déclencher une vague de manifestations antigouvernementales massives rappelant le printemps arabe de 2011.

Page 147 : Le nombre de personnes souffrant d’insécurité alimentaire aigüe pourrait doubler en 2020 pour atteindre 265 millions.

Page 172 : Nous verrons comment le traçage a une capacité inégalée et une place quasi essentielle dans l’arsenal nécessaire pour combatre la Covid-19, tout en étant capable de devenir un outil de surveillance de masse.

Page 173 : Les exigences de distanciation sociale et physique ont crée un monde du « tout à distance » avançant de deux ans l’adoption d’un large éventail de technologies.

Page 176 : Sous une forme ou une autre, les mesures de distanciation sociale et physique risquent de persister après la fin de la pandémie elle-même.

Page 177 : La pandémie va accélérer l’adoption de l’automatisation sur le lieu de travail et l’introduction de plus de robots dans notre vie professionnelle et personnelle.

Page 178 : Les géants chinois comme Alibaba et jd.com sont convaincus que, dans les 12 à 18 mois à venir, la livraison autonome pourrait se généraliser en Chine, bien plus tôt que ce qui était prévu avant la pandémie.

Page 188 : Les outils de surveillance risquent de rester en place après la crise. (…) C’est ce qui s’est passé après les attaques terroristes du 11 septembre 2001. (…) Ils prédisent qu’un monde dystopique nous attend.

Page 189 : Ils seront alors prêts à renoncer à une grande partie de leur vie privée et conviendront que, dans de telles circonstances, la puissance publique peut légitimement passer outre les droits individuels.

Page 192 : Si les entreprises ou les gouvernements commencent à récolter nos données biométriques en masse, ils peuvent apprendre à nous connaître bien mieux que nous ne nous connaissons nous-mêmes, et ils peuvent alors non seulement prédire nos sentiments mais aussi les manipuler et nous vendre tout ce qu’ils veulent – que ce soit un produit ou un politicien.(…) Si vous écoutez un discours du président et que le bracelet électronique capte des signes de colère, vous êtes cuit.(…) La pandémie laisse prévoir un sombre avenir de surveillance étatique techno-totalitaire.

Page 195 : Certaines économies ont été dévastées par l’hibernation économique déclenchée par les mesures de confinement et de distanciation sociale (Note d’Alice : ils disent bien que ce n’est pas déclenché par le virus, mais par les mesures prises pour lutter contre le virus !!!)

Page 196 : Pour certains, comme le divertissement, les voyages ou l’hôtellerie, le retour à un environnement pré-pandémique est inimaginable dans un avenir proche (et peut-être même après dans certains cas…)

Page 199 : Ce n’est pas par hasard que des entreprises comme Alibaba, Amazon, Netflix ou Zoom sont sorties « gagnantes » de ces confinements.

Page 203 : Cette accélération de la croissance du e-commerce signifie que les géants du commerce de détail en ligne sortiront probablement de la crise encore plus forts qu’ils ne l’étaient avant la pandémie. (…) Elle va davantage faire décroître le commerce traditionnel (dans les grandes rues et les centres commerciaux).

Page 206 : Dans l’ère post-pandémique, les entreprises seront soumises à une ingérence gouvernementale beaucoup plus importante que par le passé.

Page 216 : Les industries ayant l’interaction sociale au cœur de leur activité ont été les plus durement touchées par les confinements. Parmi elles figurent de nombreux secteurs qui représentent une part très importante du total de l’activité économique et de l’emploi : les voyages et le tourisme, les loisirs, le sport, les évènements et le divertissement. Pendant des mois, voire des années, il seront contraints de fonctionner à capacité réduite.(…)

Page 218 : Beaucoup ne survivront pas.(…) Cela déclenchera une spirale vicieuse et descendante et touchera de plus en plus de petites entreprises dans une communauté donnée.(…) On ne sait même pas comment le secteur de la restauration pourra se rétablir un jour. (…) En France et au Royaume-Uni, plusieurs voix de l’industrie estiment que jusqu’à 75% des restaurants indépendants pourraient ne pas survivre au confinement et aux mesures de distanciation sociales consécutives. Cela ne concernera pas les grandes chaînes et les géants de la restauration rapide. Cela laisse supposer que les grandes entreprises deviendront plus grandes tandis que les plus petites diminueront ou disparaîtront.

Page 231 : La Big Tech a été l’industrie résistante par excellence, car elle est le principal bénéficiaire de cette période de changement radical

Page 243 : La peur de la mort finit pas l’emporter sur toutes les autres émotions humaines.

Page 254 : La plupart des psychologues semblent être d’accords avec le jugement exprimé en mai 2020 par l’un de leurs pairs : « La pandémie a eu un effet dévastateur sur la santé mentale« 

Et le meilleur pour la fin :

Page 281 : Au niveau mondial, si l’on considère le pourcentage de la population mondiale touchée, la crise du coronavirus est (jusqu’à présent) l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années. Selon toute vraisemblance, à moins que la pandémie n’évolue de manière imprévue, les conséquences de la Covid-19 en termes de santé et de mortalité seront légères par rapport aux pandémies précédentes. Fin juin 2020, la Covid-19 a tué moins de 0,006% de la population mondiale. Pour replacer ce chiffre bas dans son contexte en termes de mortalité, la grippe espagnole a tué 2,7 % de la population mondiale et le VIH/SIDA 0,6 % (de 1981 à aujourd’hui).(…) Elle comporte cependant des perspectives inquiétantes pour toutes les raisons déjà mentionnées.

L’atteinte totalitaire au consentement, quand l’homme devient le bétail du politique

 Publié dans France Soir le 22/12/2020

L’atteinte totalitaire au consentement, quand l’homme devient le bétail du politique.

Auteur(s): Pierre Antoine Pontoizeau pour FranceSoir

Tribune : Nous arrivons au bout d’un processus totalitaire qui va en finir avec la liberté. Le projet de loi Castex détruit le consentement du patient. Il est crucial de comprendre de quoi nous parlons pour que les élus, les médecins et les honnêtes gens mettent un terme à cette installation d’un régime totalitaire où nous serons le bétail du politique.

La loi de 2002 sur les droits des malades pose le primat du principe d’autonomie hérité de la philosophie des Lumières, le patient demeurant un citoyen autonome avec lequel les soignants entretiennent une relation de confiance dans le but de porter à sa connaissance de « manière claire, loyale et appropriée » les informations utiles à son consentement libre et éclairé. Pourtant, existe d’emblée une dépendance ou une asymétrie entre ceux qui savent et celui qui ne sait pas avec l’objectif implicite à cette relation : restaurer la santé du patient qui n’est pas autonome pour y parvenir. La dépendance est avérée d’emblée et elle marque un premier consentement qui est aussi un dessaisissement de ses libertés d’agir sur soi par le constat de son impuissance à trouver par soi-même les moyens d’agir dans un but : sa santé. Aller voir le médecin, c’est déjà renoncer à une liberté pour se confier aux bons soins de celui qui saura. Le patient s’en remet à. Son autonomie toute relative est donc dépendante de la connaissance portée à son attention par le médecin qui se retrouve dans la même position que le politique pour faire œuvre de persuasion et pédagogie positivement, sans nier le risque d’une propagande ou manipulation selon les fins du corps médical en dehors de celle envisagée par le patient : opérer, accepter, différer, amputer, soulager, choisir une thérapie selon son coût, ses effets et ses risques, etc. Plusieurs aspects sont à prendre en compte : 1) le consentement vers une personne de confiance, 2) le consentement dépendant des capacités cognitives, 3) le consentement et le libre renoncement.

1) le consentement vers une personne de confiance tient à une relation de respect de l’humanité de chacun car le consentement au soin suppose consentir à une proposition qui émane de quelqu’un qui l’énonce. Ce consentement en confiance suppose une herméneutique de l’autre, une lecture a priori de ses bonnes intentions, soit une bienveillance à son égard. Le « je vous fais confiance » signifie aussi que l’on se dispense pour une part de chercher la pleine compréhension avec une sorte de délégation de confiance du raisonnement et des connaissances qui motivent des décisions et actions : opération, soins, etc. Cette délégation est prévue pour qu’une personne de confiance puisse assister le patient dans ses choix. Mais dans les choix cruciaux, cette délégation à autrui devient critique, car le choix engage la survie. Le consentement peut passer par un mandat, mais il s’agit alors de se dessaisir de son autonomie comme si l’exercice de sa liberté se confiait à un tiers ? La relation à des tiers de confiance demeure un point de cette relation.  

2) le consentement dépendant des capacités cognitives suppose que celles-ci sont jugées par un tiers appréciant l’autonomie du patient. Un tiers s’arroge le droit d’évaluer l’incompétence ou la dépendance du patient parce que la maladie peut altérer les capacités de discernement conditionnant un consentement éclairé. Si l’herméneutique de soi des modernes exige la volonté rationnelle, sa substitution par la volonté d’un tiers met en évidence la difficulté d’apprécier par soi-même ces capacités, dans les cas psychiatriques par exemple. Cette prise de pouvoir sur l’autre aliène bien la liberté d’un patient jugé inapte, jugé dénué d’un degré de conscience indispensable à l’expression de son consentement. Par transposition au politique, ce dessaisissement acte une séparation entre une population apte au gouvernement et une seconde inapte à l’instar des propos de Lippmann inspiré par la psychanalyse. Existe alors une manœuvre de propagande, dès lors que l’évaluateur ou le juge préféreront conclure à l’incapacité, plutôt que de respecter l’autre en cherchant obstinément à obtenir son témoignage en reconnaissant les signes d’une autonomie toujours présente et s’exprimant imparfaitement. Là encore l’herméneutique de soi et celle d’autrui détermine la conclusion.

3) le consentement et le libre renoncement relèvent d’un arbitrage où le patient doit accepter une perte : amputation ou opération aux effets invalidants durables par exemple. Ce renoncement acte une atteinte à son intégrité qui est le prix à payer à une survie par un engagement éclairé sur les conséquences : acceptables, supportables. Le patient doit à la fois se préserver dans son identité et son image de soi et comprendre ce qui l’atteint pour lui donner un sens : nouvel acte et décision personnelle dans un projet pour soi Le patient compose avec lui-même et cela s’appelle la liberté.      

En synthèse, la relation du patient à l’équipe médicale révèle un triptyque du consentement : 1) la confiance, 2) le jugement et 3) l’engagement, ce dernier prenant un sens plus positif dans un consentement politique ou humain : relation maritale, relation sociale, projet politique communale, etc. Ce qui est éprouvé dans cette relation particulière prolonge l’herméneutique des modernes. L’équipe médicale doit être digne de confiance et a contrario ne pas susciter la défiance : manipulation, influence, intérêt propre, pouvoir, expérimentation, exploration, etc. Elle doit soutenir la liberté de jugement et a contrario ne pas masquer des connaissances, des données, des alternatives par pré-choix ou décision autoritaire. Elle doit éclairer des conséquences de l’engagement et a contrario ne pas occulter des explications sur tous les impacts connus, probables ou potentiels sans déformation altérant le sens de cet engagement respectueux de la personne [1].

Nous aurons ici la sagesse de considérer que malgré l’assentiment de tous, l’enfermement ou la violation des libertés de la personne humaine comme la vaccination obligatoire sont des entreprises de destruction de notre libre humanité.  Je ne suis pas sûr que le consentement suffise à changer la nature du Goulag ou du camp de concentration hier, la loi Castex aujourd’hui qui nous fait basculer définitivement dans un autre monde politique. C’est à cette seule question que nos contemporains devraient répondre de manière cohérente en étant comptable de leur pensée devant l’histoire.
Tous les élus locaux de la République doivent se révolter où ils auront une responsabilité cruciale face à l’histoire.
La France est le seul pays au monde à installer une telle dictature politique au prétexte du sanitaire.

[1] La définition de Tom Beauchamp et James Childress, dans Les principes de l’éthique biomédicale est éclairante : « Respecter un individu autonome, c’est, au minimum, reconnaître le droit de cette personne à avoir des opinions, à faire des choix et à agir en fonction de ses valeurs et de ses croyances. Un tel respect implique une action respectueuse, et pas uniquement une attitude respectueuse. Un tel respect implique davantage que la non-intervention dans les affaires personnelles d’autrui. Il inclut, du moins dans certains contextes, des obligations de développer ou de maintenir les aptitudes au choix autonome des autres, tout en dissipant leurs craintes et autres conditions qui détruisent ou perturbent leur actions autonomes ». 2008, Paris, éditions Les Belles Lettres, p.101

Auteur(s): Pierre Antoine Pontoizeau pour FranceSoir

Lire l’article sur le site de France Soir

Conférence de Brandy Vaughan (ex Merck) sur les vakx1.

Brandy Vaughan, 47 ans, ancienne employée des laboratoires Merck a été retrouvée morte ce 10 décembre, chez elle par son fils de 10 ans. Elle est morte en quelques heures, et n’a pas appelé les secours. La thèse officielle est que son décès serait lié à une pathologie chronique de la vésicule biliaire difficile à croire.
Elle commence à travailler pour l’entreprise pharmaceutique Merck en 2000 en tant qu’avocate pour propulser la vente du Vioxx. Quelques années plus tard, elle quitte Merck à la suite des scandales liés au Vioxx. Brandy a passé le reste de sa vie à dénoncer l’industrie pharmaceutique, et principalement les vakx1.
Voici la vidéo traduite d’une de ses récentes conférences.
Hommages à elle.

Visitez son site learntherisk.org

https://lbry.tv/@JeanneTraduction:a/BrandyVaughan:4

Le vakx1 et son système de suivi.

Au 7 décembre 2020, 0,019% de la population mondiale est décédée du covid et 0,855% a été infectée (https://www.worldometer.info/coronavirus/)

Le certificat de vakxination ne pourra pas être falsifié car il contiendra un identifiant correspondant au numéro unique du polymère (https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/B9780323399814000105, https://www.fda.gov/media/144245/download) qui seront contenus dans le vakx1 à ARNm.
Un QR code d’identification unique sera généré et incrémenté puis basé sur une blockchain pour qu’il soit validé et inclus dans cette chaîne de blocs (http://www.francesoir.fr/societe-science-tech/loms-develop -a -certificat-of-covid-19-vaccination-based-on-it, https://emmer.house.gov/_cache/files/2/7/276d8dcd-ea28-4236-a2af-24e3748d1c7c /B3AB1A3EE89378C6DDB47DB00F798760.final-caucus -lettre1.pdf).
Ce passeport d’immunité numérique vous permettra d’avoir l’autorisation de voyager à l’international et dans d’autres pays il vous faudra être vakxiné et avoir un passeport d’immunité numérique pour pouvoir aller au cinéma ou participer à des événements sportifs ou culturels (https: //www.standard.co.uk/news/uk/covid-vaccine-banned-sports-cinemas-b117985.html).

Le vakx1 et son certificat et son système de suivi

L’Organisation mondiale de la santé et son programme COVAX

L’OMS déploie ses opérations de vaccination (ou d’identification d’individus à l’échelle mondiale) à travers son programme Covax (https://www.who.int/initiatives/act-accelerator/covax, https: // www. Gavi.org/vaccineswork/ expliquée par covax).
Le traitement des données de Covax, le programme de vakxination de l’OMS, est réalisé par CovaxData (https://covaxdata.com/solution/, https://www.linkedin.com/company/covax-data/).
CovaxData est un groupe privé américain fondé par Halbert Lindquist (ex Bear Stearns, responsable de la crise de 2008, Head of Global Risk Management https://covaxdata.com/company/) spécialisé dans les molécules polymères, les données et la blockchain, et travaille avec l’OMS depuis décembre 2019.

Principaux partenaires de l’OMS, Covax et CovaxData

CovaxData travaille avec Allied International (https://covaxdata.com/other-news/new-partnership-announcement-covax-data-and-allied-international-collaborate-to-deliver-advanced-cybersecurity-solutions-to-customers-globally/,
https://www.allied-international.net/, https://www.linkedin.com/posts/covax-data_new-partnership-announcement-covax-data-activity-6729447378627178496-ZdYO/).
Son président est Mohamed Reda (https://www.linkedin.com/in/mohamed-reda-78aa7866/), Mohamed Reda est également membre du conseil d’administration de Covax et PDG de Nehemiah Security (https: //www.linkedin . com / société / nehemiah-security /, https://threatconnect.com/nehemiah-security-and-threatconnect/).
Nehemiah Security «fournit un logiciel de cybersécurité qui réduit la complexité pour tout le monde, facilite la prise de décision en transformant l’intelligence en action et intègre des processus et des technologies pour renforcer continuellement les défenses et réduire les risques. «[Traduit de l’anglais].

Outre l’OMS, Covax, Allied International et Nehemiah Security, Mohamed Reda est également conseiller principal pour les technologies de l’information et des communications de TransnationalStrategy (https://transnationalstrategy.com/team/mohamed-reda/).
«Transnational Strategy Group LLC (TSG) est un cabinet de conseil commercial, économique / politique et politique qui fournit des services aux clients du secteur privé et des gouvernements souverains» (https://transnationalstrategy.com/).
Comme Allied International, TransnationalStrategy se compose d’une équipe internationale (https://transnationalstrategy.com/team/). TransnationalStrategy est un groupe dont les membres sont mandatés par la Commission européenne, les Nations Unies, le Fonds monétaire international, l’Organisation mondiale de la santé.

Le scandale du coronavirus éclate en Allemagne. Faux positifs et test PCR Drosten

Un article de GlobalResearch de William Engdahl traduit pour France Soir challenge l’approche allemande de la gestion de la crise.

Voici la copie de cet article:

Le modèle allemand largement salué du régime d’Angela Merkel pour faire face à la pandémie de COVID-19 est maintenant englouti dans une série de scandales potentiellement dévastateurs allant au cœur même des tests et des conseils médicaux utilisés pour déclarer des fermetures économiques draconiennes et ensuite, vaccinations obligatoires de facto. Les scandales impliquent un professeur au cœur du groupe consultatif corona de Merkel. Les implications vont bien au-delà des frontières allemandes jusqu’à l’OMS elle-même et ses recommandations mondiales.

L’ensemble des arguments en faveur du confinement d’urgence mandaté par l’OMS des entreprises, des écoles, des églises et d’autres arènes sociales dans le monde repose sur un test introduit, étonnamment tôt, dans la saga des coronavirus de Wuhan, en Chine.

Le 23 janvier 2020, dans la revue scientifique Eurosurveillance , du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, le Dr Christian Drosten, ainsi que plusieurs collègues de l’Institut de virologie de Berlin à l’hôpital Charite, ainsi que le chef d’une petite société de biotechnologie berlinoise , TIB Molbiol Syntheselabor GmbH, a publié une étude affirmant avoir développé le premier test efficace pour détecter si une personne est infectée par le nouveau coronavirus identifié les premiers jours à peine à Wuhan. L’article de Drosten était intitulé «Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel» (Eurosurveillance 25 (8) 2020).

La nouvelle a été immédiatement approuvée par le directeur général corrompu de l’OMS, Tedros Adhanom , le premier médecin non médical à diriger l’OMS. Depuis lors, le test de dépistage du virus soutenu par Drosten, appelé test en temps réel ou RT-PCR, s’est propagé via l’OMS dans le monde entier, en tant que protocole de test le plus utilisé pour déterminer si une personne pourrait avoir le COVID-19, la maladie.

Le 27 novembre, un groupe très respecté de 23 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à  Eurosurveillance  pour retirer l’article de Drosten du 23 janvier 2020. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable «examen par les pairs».

Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique «fatale» et de failles dans la promotion de leur test.

Pour commencer, comme le révèlent les scientifiques critiques, le document qui a établi le test Drosten PCR pour la souche de coronavirus de Wuhan qui a ensuite été adopté avec une hâte indécente par le gouvernement Merkel avec l’OMS pour une utilisation mondiale – ce qui a entraîné de graves confinements dans le monde et une catastrophe économique et sociale – n’a jamais fait l’objet d’un examen par les pairs avant sa publication par la revue Eurosurveillance. Les critiques soulignent que :

«L’article de Corman-Drosten a été soumis à  Eurosurveillance  le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne.»

Plus incroyable, le protocole de test Drosten, qu’il avait déjà envoyé à l’OMS à Genève le 17 janvier, a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan, avant même que l’article ne soit publié .

Comme le soulignent les auteurs critiques, pour un sujet si complexe et important pour la santé et la sécurité dans le monde, un «examen par les pairs» sérieux de 24 heures par au moins deux experts dans le domaine n’est pas possible. Les critiques soulignent que Drosten et son co-auteur, le Dr Chantal Reusken, n’ont pas révélé de conflit d’intérêts flagrant. Tous deux étaient également membres du comité de rédaction d’Eurosurveillance. Plus loin, comme le rapportent la BBC et Google Statistics, le 21 janvier, il y avait un total mondial de 6 décès attribués au virus de Wuhan. Ils demandent : «Pourquoi les auteurs ont-ils assumé un défi pour les laboratoires de santé publique alors qu’il n’y avait aucune preuve substantielle à ce moment-là pour indiquer que l’épidémie était plus répandue qu’on ne le pensait initialement ?» Un autre co-auteur de l’article Drosten qui a donné une couverture de crédibilité scientifique apparente à la procédure de PCR Drosten était le chef de la société qui a développé le test commercialisé aujourd’hui, avec la bénédiction de l’OMS, par centaines de millions, Olfert Landt, de tib-MOLBIOL à Berlin, mais Landt n’a pas révélé ce fait pertinent dans le document Drosten.

Certainement rien de suspect ou d’incorrect jusqu’ici.  Il serait pertinent de savoir si Drosten, le conseiller scientifique en chef de Merkel pour COVID-19, le «Tony Fauci» allemand de facto, obtient un pourcentage sur les ventes de chaque test vendu par Tib-Molbiol dans leur accord de marketing mondial avec Roche.

Faux positifs ?

Depuis fin janvier 2020, les médias grand public du monde nous inondent tous de mises à jour effrayantes toutes les heures sur «le nombre total de coronavirus infectés». Habituellement, ils ajoutent simplement chaque augmentation quotidienne à un total mondial de «cas confirmés», actuellement plus de 66 millions. Alarmant, mais pour le fait que, comme le soulignent Pieter Borger et ses collègues collaborateurs scientifiques, les «cas confirmés» sont un nombre insensé. Pourquoi ?

L’examen externe par des pairs du test RT-PCR pour détecter le SRAS-CoV-2 révèle 10 failles scientifiques majeures au niveau moléculaire et méthodologique : conséquences des faux résultats positifs

Le rapport Borger identifie ce qu’ils appellent «dix problèmes mortels» dans le journal Drosten de janvier dernier. Nous reprenons ici le plus flagrant qui puisse être facilement saisi par la plupart des profanes.

Drosten & co. a donné des séquences d’amorce et de sonde non spécifiées déroutantes. Les critiques notent : «Ce nombre élevé de variantes est non seulement inhabituel, mais il est également très déroutant pour les laboratoires. Ces six positions non spécifiées pourraient facilement aboutir à la conception de plusieurs séquences d’amorces alternatives différentes qui ne se rapportent pas au SARS-CoV-2. la description confuse et non spécifique dans l’article de Corman-Drosten ne convient pas comme protocole opérationnel standard. Ces positions non précisées auraient dû être conçues sans équivoque. » Ils ajoutent que : 

«La RT-PCR n’est pas recommandée pour le diagnostic primaire de l’infection. C’est pourquoi le test RT-PCR utilisé en routine clinique pour la détection du COVID-19 n’est pas indiqué pour le diagnostic du COVID-19 sur une base réglementaire  . »

Cycles d’amplification

Mais ce qui est encore plus accablant pour Drosten, c’est le fait qu’il n’a mentionné nulle part qu’un test soit positif ou négatif, ni ce qui définit un résultat positif ou négatif ! Le rapport Borger note :

«Ces types de tests de diagnostic virologique doivent être basés sur un SOP (Standard Operational Protocol), comprenant un nombre validé et fixe de cycles PCR (valeur Ct) après lequel un échantillon est jugé positif ou négatif. 

La  valeur  Ct maximale raisonnablement fiable est de 30 cycles. Au-dessus d’un Ct de 35 cycles, il faut s’attendre à un nombre rapidement croissant de faux positifs. Des études scientifiques montrent que seuls les virus non infectieux (morts) sont détectés avec des valeurs de Ct de 35. » .

L’OMS et Drosten recommandent un Ct de 45 cycles et, semble-t-il, actuellement, les responsables de la Santé allemands le font également. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les «positifs» PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles il ne reste plus que 3% de vrai positifs ! Ils notent, «un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 est  scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30). Tout cela doit être communiqué très clairement.

C’est une erreur importante que l’article de Corman-Drosten ne mentionne pas la valeur Ct maximale à laquelle un échantillon peut être considéré sans ambiguïté comme un résultat de test positif ou négatif. Cette limite de seuil de cycle importante n’est pas non plus spécifiée dans les soumissions de suivi à ce jour. Les auteurs ajoutent :

«Le fait que ces produits de PCR n’aient pas été validés au niveau moléculaire est une autre erreur frappante du protocole, rendant  tout test basé sur celui-ci inutile en tant qu’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2. »  

En clair, tout l’édifice de la fondation Gates, du gouvernement Merkel, de l’OMS et du WEF ainsi que le cas des vaccins de facto forcés non testés, repose sur les résultats d’un test PCR pour le coronavirus qui ne vaut pas une « cacahouète ». Le test de Drosten et de l’OMS est plus ou moins de la merde scientifique.

Une absence de preuve de son doctorat ?

Cette critique dévastatrice de vingt-trois scientifiques de premier plan, y compris des scientifiques titulaires de brevets liés à la PCR, à l’isolement et au séquençage de l’ADN, et d’un ancien scientifique en chef de Pfizer, est accablante, mais ce n’est pas le seul problème auquel le professeur Christian Drosten est confronté aujourd’hui. Lui et les fonctionnaires de l’Université Goethe de Francfort, où il affirme avoir obtenu son doctorat en médecine en 2003, sont accusés de fraude au diplôme.

Selon le Dr Markus Kühbacher, un spécialiste enquêtant sur la fraude scientifique telle que le plagiat de thèse, la thèse de doctorat du Dr Drosten devait être déposée à une certaine date auprès des autorités académiques de son université, qui signent ensuite un formulaire juridique, « Revisionsschein », avec une signature authentique, un cachet de l’Université et la date, avec le titre de la thèse et l’auteur, afin qu’elle soit envoyée aux archives de l’Université. Trois exemplaires originaux de la thèse devraient y être déposés.

Kühbacher accuse l’Université de Goethe d’être coupable de dissimulation en affirmant, à tort, que le Revisionsschein  (formulaire juridique) de Drosten  étaient au dossier. Le porte-parole de l’université a ensuite été contraint d’admettre qu’il n’avait pas été déposé, du moins pas localisable par eux. De plus, sur les trois copies de dossier obligatoires de sa thèse de doctorat, très pertinent compte tenu de l’importance mondiale du rôle de Drosten dans la gestion de la crise de coronavirus, deux copies ont «disparu» et la copie unique restante est endommagée par l’eau. Kühbacher dit que Drosten va probablement faire face à des poursuites judiciaires un titre de doctorat frauduleux.

De plus, le médecin allemand bien connu et critique, Dr Wolfgang Wodarg a engagé une procédure judiciaire pour calomnie et diffamation contre deux personnes responsables du site de média allemand, Volksverpetzer.de. Le Dr Wodard demande 250 000 € de dommages et intérêts pour diffamation au site ainsi qu’à d’autres médias allemands, affirmant qu’ils ont vicieusement et sans preuve, diffamé Wodarg, le qualifiant de « covid-denier », le qualifiant à tort d’extrémiste de droite (il est un ancien député du Parti social-démocrate depuis toujours) et de nombreuses autres accusations fausses et  préjudiciables .

L’avocat du Dr Wodarg est le Dr Reiner Fuellmich avocat germano-américain bien connu. Dans ses accusations contre la partie adverse, Fuellmich cite intégralement les accusations portées contre le test Drosten pour le coronavirus du Dr Pieter Borger et al notées ci-dessus. Cela oblige en fait les défendeurs à réfuter l’article de Borger. C’est une étape majeure sur la voie de la réfutation de toute la fraude au test PCR COVID-19 de l’OMS. Déjà une cour d’appel à Lisbonne, au Portugal, a statué le 11 novembre que le test PCR de Drosten et de l’OMS n’était pas valide pour détecter une infection à coronavirus et qu’il n’était pas fondé d’ordonner des verrouillages partiels ou à l’échelle nationale.

Si l’enjeu n’était pas si mortel pour l’humanité, tout serait de nature à être considéré comme une comédie absurde.  Le tsar de la santé mondiale, le chef de l’OMS (Organisation mondiale de la Santé) Tedros n’est pas un médecin mais i conseille le gouvernement Merkel sur les mesures COVID-19. L’OMS est pour sa part financée en grande partie par la fondation Gates.

Le gouvernement Merkel utilise le test PCR de Drosten et Drosten comme un expert «avec beaucoup de sagesse» pour justifier d’imposer des mesures aux conséquences économiques les plus draconiennes hors temps de guerre. Son ministre de la Santé, Jens Spahn, est un ancien banquier qui n’a pas de diplôme de médecine, seulement un passage en tant que lobbyiste pour Big Pharma. Le chef du CDC allemand, appelé Institut Robert Koch, Lothar Wieler, n’est pas un virologue, mais un médecin animalier, Tierarzt. 

Avec cette équipe, les Allemands voient leur vie détruite par des confinements et des mesures sociales jamais imaginés auparavant. Il y a la science et puis il y a la science. Cependant, toute la «science» n’est pas valable.

Les Allemands avec 3 fois moins de décès que la France, sont bien plus critiques de la gestion de la crise que ne le sont les Français.  Un reveil attendu en France ?

Quel rôle l’Institut Pasteur a-t-il joué dans le contrôle de l’épidémie en France ?

Une analyse très documentée de France Soir sur le rôle de l’Institut Pasteur depuis le début de cette crise.
A mettre en relation avec les analyses du Professeur Fourtillan qui a déposé plainte contre l’institut Pasteur, suite à laquelle il a été interné de force dans un hôpital psychiatrique (affaire à suivre).

Début de l’article:

Lorsque les chercheurs de l’Institut Pasteur ont été questionnés sur la possibilité que le SARS-Cov2 soit un virus manipulé, ils ont répondu que si c’était le cas des vestiges de manipulations devraient se retrouver dans le génome. Ils entendaient par-là que, dans le cas d’un accident non intentionnel de laboratoire, la présence de sites de clivage d’enzymes de restriction devrait révéler la manipulation. Cependant, comme nous l’avons montré dans la première partie de ce chapitre qu’il est tout à fait possible depuis le début des années 2000 de manipuler des coronavirus entiers sans laisser de trace. Ils sont restés très discrets également sur la nouvelle technique de manipulation génétique CRISPR-Cas9. Elle permet ce que l’on appelle à présent l’édition de génome, tant la comparaison avec les logiciels qui permettent la modification rapide et simple d’un texte est tentante. Ils ne pouvaient pas l’ignorer. D’ailleurs, notons qu’ Emmanuelle Charpentier est un peu l’enfant prodige de l’Institut Pasteur puisqu’elle y a poursuivi des recherches doctorales entre 1992 et 1995.

Tout un chacun a pu constater le silence assourdissant de l’Institut Pasteur depuis le début de l’épidémie et les quelques réponses éparses obtenues sur la nature et l’origine du virus n’ont été que trop évasives et passablement trompeuses. Par exemple, l’affirmation que le virus SARSCov2 était très distinct du SARS-Cov est de toute évidence une contre-vérité sur le plan de la structure de son génome, de son organisation spatiale et de son mode de fonctionnement.

Il n’est pas concevable, qu’étant donné son rôle dans la détection et la prévention des épidémies, l’Institut Pasteur n’ait pas été au courant très tôt, dès les mois de décembre et janvier, du danger de cette épidémie. Pourquoi les gens de Pasteur n’ont-ils pas alerté les autorités françaises ou tenu une conférence de presse publique dès le courant janvier ?

Selon son site internet, l’Institut Pasteur abrite la « Cellule d’Intervention Biologique d’Urgence (CIBU), été créée fin 2002 sous l’impulsion du Directeur Général de la Santé (DGS) et du Directeur Général de l’Institut Pasteur, afin de répondre aux « urgences biologiques spécialisées ». Ces urgences peuvent être des épidémies, des accidents ou une utilisation potentielle d’armes d’origine biologique, toutes mettant en péril la santé publique. » Les missions de la CIBU incluent :

– mobiliser à l’international de l’expertise en cas d’urgence représentant une menace pour la sécurité sanitaire en France ;
– informer sans délai l’InVS en cas de détection de tout phénomène inhabituel susceptible d’avoir un impact sur la santé publique.

Que faisait son directeur, Jean-Claude Manuguerra, au cours du mois de janvier 2020, quand il a été mis au courant de la situation à Wuhan ? On l’a malheureusement vu déclaré le 21 janvier 2020 sur Euronews à propos de l’épidémie en Chine : «… c’est quelque chose de nouveau mais qui pour l’instant n’est pas plus préoccupante que ça. Il faut juste ne pas louper le coche pour endiguer ce phénomène épidémique …». S’il y avait une personne en France qui connaissait le danger de laisser pénétrer en France le SARS-Cov2 c’était bien lui.  La séquence du premier isolat WH-Human 1 du coronavirus (appelée aussi 2019-nCoV) et son génome complet  (29,903 nt) avait été déposé le 14 janvier 2020 dans GenBank, sous code d’accession MN908947 avec la définition « Génome complet de l’isolat du virus WH-Human 1 de pneumonie du marché aux fruits de mer de Wuhan ». Donc, la séquence du  virus avait forcément été analysée par les équipes de l’Institut Pasteur. Elles savaient à quel point le motif de liaison (RBM) de la protéine S était proche de celui du SARS-Cov de 2002-2003 ainsi que sa polymérase RdRp (96,5% d’identité) signant la dangerosité du virus. De plus, les autorités chinoises annonçaient le caractère contagieux du virus le 20 janvier, avec 1 mois de retard, alors que les autorités de Wuhan connaissaient le caractère contagieux depuis la mi-décembre (chapitre 1). Le 24 janvier il était publié dans le Lancet que le virus était transmissible de personne à personne. Le directeur de la CIBU savait donc le 21 janvier, lors de son interview sur Euronews, que ce nouveau virus était de type SARS-Cov avec tout ce que cela implique. Qu’a-t-il fait pour informer et alerter les pouvoirs publiques avec conviction durant la dernière semaine de janvier et tout le mois de février ?

Dans la section qui suit nous découvrons, qu’en compagnie de 15 autres chercheurs à l’Institut Pasteur, il est co-inventeur d’un brevet sur les vakx1s contre les virus du type SARS-Cov. Ce brevet prouve que Pasteur s’était préparé depuis 2003 à l’éventualité de la ré-émergence d’un virus similaire au SARS-Cov. Ils ont procédé à des milliers d’expériences pour comprendre comment faire des tests de dépistage et des vakx1s contre ce type de virus émergeant. Ils ont breveté le résultat de toutes ces expériences pour être en mesure, le cas échéant, de tirer les bénéfices financiers potentiels d’une épidémie de SARS-Cov qui ne serait pas maîtrisée à temps, nécessitant dépistage et vaccination massive. Cela, les dispensait-il de leur rôle d’alerte des pouvoirs publiques ?

Les brevets de portée mondiale de l’Institut Pasteur

L’Institut Pasteur détient depuis 2005 des brevets de portée mondiale (EP 1 694 829 B1 et US 2007/0128224 A1) sur les coronavirus à SARS. Ces brevets qui courent au moins jusqu’en 2027 ont pour but d’explorer et de décrire le maximum de caractéristiques de façon à établir des vakx1s ou des tests de dépistage sur des coronavirus de type SARS-Cov. Ces brevets se basent sur le séquençage d’un isolat complet du virus du SARS-Cov récupéré à la Clinique Française de Hanoï en février 2003. Cela était parfaitement légitime pour étudier la confection de vaccin contre l’éventualité d’une épidémie de coronavirus à SARS du type de celle de 2002-2003 dans les années à venir. Cependant, soyons clairs, le seul but d’un brevet est l’argent qui est le facteur numéro 1 de survie pour les instituts de recherche. Mais cela amène une grande confusion, et permet d’introduire le biais du conflit d’intérêt dans un domaine particulier de la santé publique (les épidémies) qui devrait en être intégralement exempt

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