Bientôt des cartes de transports ou des comptes bancaires bloqués en cas de désobéissance aux mesures sanitaires ?

Source: NEXUS 9 JUIN 2021

Le 3 juin 2021, le Sénat présentait un rapport qui préconise des outils numériques autorisant la récolte de nos données en cas de crise sanitaire, ainsi que le partage de ces données entre plusieurs applications d’ordinaire non reliées. La plateforme numérique qu’ils envisagent de mettre en place permettrait d’informer, de rappeler à l’ordre, ou de sanctionner. Si ce rapport était validé tel quel, gare par exemple à ceux qui ne respecteraient pas la quarantaine selon Public Sénat : leur titre de transport ou leur compte bancaire pourraient se voir bloqués.

Un article de Public Sénat intitulé « Covid-19 : un rapport du Sénat préconise la collecte de données personnelles pour prévenir les crises sanitaires » laisse songeur… Il rapporte les intentions et propos de sénateurs travaillant pour  « anticiper la survenue de nouvelles crises sanitaires, en recourant plus intensément aux outils numériques, en assumant si nécessaires des mesures plus intrusives, mais aussi plus ciblées et limitées dans le temps ».

◆ Des mesures intrusives annoncées ouvertement

Le sénateur René-Paul Savary s’étonne que les Français acceptent la récolte de données par les grands groupes comme Amazon, et refusent de confier leurs données à l’État « pour protéger les autres ». L’outil majeur envisagé pour parvenir à ce but ? Une plateforme numérique activable en période de crise, qui permettrait le partage de données entre des sites d’ordinaire non reliés : « Sur un portable, les applications comme Tous Anti Covid, Ouisncf, Waze ou l’application de vaccin ont des données. Il n’y a pas d’interopérabilité entre ces différentes applications. » Sans oublier l’application SI-DEP qui permet de savoir si nous avons fait un test ainsi que son résultat, évoquée par René-Paul Savary. « Nous proposons simplement qu’en cas de crise il y ait cette interopérabilité qui permette de cibler les personnes vulnérables, prendre des mesures qui les concernent et qui évitent des mesures de confinement global, qui protègent beaucoup mieux et qui fait qu’au global on aurait moins de morts ». La SNCF  pourra-t-elle  nous indiquer si on a été en contact avec une personne positive ou un cas contact pendant l’un de nos trajets et nous inciter à nous faire vacciner ? Ou peut-être nous refuser l’accès à un train si on n’a pas été vacciné ou testé ?

◆ Les désobéissants privés de transports et de comptes bancaires

Cela ne serait pas surprenant quand on lit ce que les rapporteurs du Sénat, « très attaché aux libertés individuelles » selon la sénatrice Véronique Guillotin, envisagent comme sanctions pour des personnes qui désobéiraient à des mesures sanitaires. La sénatrice admet tout de même que les rapporteurs se sont inspirés entre autres des mesures asiatiques très intrusives. Public Sénat précise que « Les rapporteurs imaginent ainsi plusieurs scénarii selon l’ampleur de l’épidémie : des outils d’information et de coordination face à une crise « modérée », des outils de rappel à l’ordre (type envoi d’un SMS) en cas de situation plus grave, et des mesures plus fortes pour les cas extrêmes, avec par exemple la désactivation du titre de transport ou des comptes bancaires d’une personne qui violerait la quarantaine.

« Nous ne proposons pas de limiter les libertés, nous cherchons un moyen de les retrouver », déclarent les rapporteurs du Sénat.

Véronique Guillotin se veut rassurante lorsqu’elle dit qu’un tel outil permettrait de confiner  « une petite partie de la population plutôt que l’intégralité ». Mais étant donné que c’est actuellement le nombre de cas positifs qui est pris en considération pour déterminer le seuil épidémique, et non pas le nombre de victimes, à combien de reprises l’état d’urgence sanitaire sera-t-il encore décrété et ce genre de mesures censées être exceptionnelles autorisées ? Et qui sera confiné ? Les personnes dites à risques ? Ou les personnes récalcitrantes au test, à la vaccination et/ou au pass sanitaire ? Et après l’interdiction forcée de circuler, ou d’avoir accès à son argent pour les réfractaires à ces mesures, quelle sera l’étape d’après ? Quelles autres  libertés seront supprimées au motif officiel de pouvoir en retrouver d’autres ? Ne sommes-nous pas des grenouilles en train de se faire petit à petit ébouillanter les libertés, croyant ainsi les regagner ?

Le sénateur René-Paul Savary propose de débattre de ce rapport « en temps de paix, et pas en temps de crise ». Ce débat aura-t-il lieu, ou les mesures préconisées par ce rapport seront-elles imposées sous le prochain régime d’état d’urgence ?

« Cette crise peut changer l’histoire de l’humanité », selon Philippe Guillemant

Dans son dernier livre, Le grand virage de l’humanité, publié aux éditions Guy Trédaniel, Philippe Guillemant revient sur la crise sanitaire et sur ses conséquences à l’échelle planétaire en proposant un éclairage original et inspirant à travers le prisme de la physique de l’information.
S’appuyant notamment sur la théorie du temps dont il est l’auteur et qui postule que notre futur est déjà réalisé mais pas de façon définitive, fluctuant en permanence en fonction de notre état de conscience, Philippe Guillemant analyse la crise sanitaire comme une opportunité de basculer vers un éveil de la conscience collective et de rejeter le futur transhumaniste qui nous était promis. Selon Philippe Guillemant, l’épidémie a en effet agi comme un révélateur en faisant « la démonstration magistrale du diktat des multinationales sur nos médias, nos gouvernements et nos modes de vie », ce qui a permis d’amener « le peuple à s’informer par lui-même et à mieux comprendre ce qui est en jeu ». Pour Philippe Guillemant, l’irruption de cette crise sanitaire sonne le glas du système matérialiste sur lequel repose le transhumanisme et doit permettre à l’humanité de faire le choix d’un autre avenir en constituant le point de départ d’un nouveau futur : plus juste, plus solidaire, plus respectueux, où l’homme retrouvera toute sa dignité et tout son potentiel en se reliant à sa véritable nature profonde et spirituelle.

Retrouvez les travaux de Philippe Guillemant : http://guillemant.net/

L’idéologie Woke, un nouveau totalitarisme ?

Et si le totalitarisme du XXe siècle n’avait pas vraiment disparu et était en train de renaître sous de nouvelles formes, bien plus subtiles ? Le journaliste américain Rod Dreher nous exhorte à la vigilance dans l’entretien ci-dessous :

Né en 1967, Rod Dreher est journaliste pour le magazine The American Conservative. Il a collaboré auparavant au New York Times. Originaire d’une famille méthodiste, il se convertira au catholicisme en 1993 puis à l’orthodoxie en 2006. Son invitation à suivre la voie de saint Benoît rencontre un puissant écho outre atlantique.

Son livre Résister au mensonge vient d’être édité en Français, chez Artège, voici comment il est présenté :

Après son brillant essai sur le « pari bénédictin », Rod Dreher développe une réflexion aussi puissante que féconde autour du soft totalitarisme occidental. Pas d’interdiction officielle d’opinion, pas de déploiement d’un État policier, mais l’émergence insidieuse d’une tyrannie douce qui, sous l’égide d’un credo progressiste, annihile tout esprit critique et paralyse jusqu’au plus indépendant des libres penseurs. Qu’est-ce que le soft totalitarisme ? Comment l’homme moderne en vient-il à renoncer à sa liberté d’expression et aux lumières du bon sens ? Pourquoi l’Occident est-il gagné par le novlangue et la réécriture de l’histoire ?

C’est en s’appuyant sur les précieux témoignages d’anciens dissidents des régimes communistes que le penseur américain répond aux interrogations de notre époque. Incisif et lucide, il place le chrétien devant le vertige des temps d’aujourd’hui et de demain et l’appelle à la foi profonde, à la résistance familiale, à la soif de la vérité, seules à même de fissurer les fantasmes d’une époque qui nous infantilise et nous noie dans les paradis artificiels.
Aiguillé par l’exigence de vérité, cet essai magistral nous donne les moyens de résister au mensonge qui ronge et liquéfie l’âme.

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

En complément: il y en avait qui avaient vu les choses venir depuis longtemps …

Réflexions lucides de juristes sur les dérives de la gestion de cette crise et l’interpellation sur nos libertés

Maître Clarisse Sand est avocate au barreau de Paris depuis une quinzaine d’années. En 2012, elle a fondé le cabinet Sand Avocats dédié au contentieux administratif, au contentieux fiscal et au droit pénal fiscal et financier. Elle préside également l’Institut du Droit pénal fiscal et financier (IDPF2). Depuis le début de la crise sanitaire, Me Clarisse Sand a pris plusieurs initiatives pour défendre les droits fondamentaux et les libertés individuelles. Elle a notamment créé, avec deux autres avocats, la plateforme Click’n’requête qui fournit gratuitement à des personnes physiques ou morales un argumentaire juridique afin qu’elles puissent saisir la justice administrative dans le cadre de contentieux de masse destinés à contester certaines des mesures restrictives de liberté prises depuis le début de l’épidémie. Me Sand a également déposé plusieurs recours devant le Conseil d’État au nom de restaurateurs, de gérants de discothèques, de gérants de salles de sport ou de particuliers qui estimaient que certaines des mesures sanitaires édictées par le gouvernement pour lutter contre l’épidémie portaient atteinte à leurs droits fondamentaux et à leurs libertés. Début mars, Me Clarisse Sand a aussi déposé un recours devant le Conseil d’État pour contester la légalité des avis rendus par le Conseil scientifique. Epoch Times a rencontré Me Sand pour recueillir son point de vue sur les aspects juridiques de la crise sanitaire.
– Quelles sont les atteintes aux libertés individuelles dont elle a été témoin ?
– Quel regard porte-t-elle sur les décisions du Conseil d’État ?
– La crise sanitaire met-elle en lumière un problème de séparation des pouvoirs ?
– Comment la France se positionne-t-elle par rapport aux mesures prises par ses voisins européens ?
– Reviendra-t-on à un état juridique équivalent à celui d’avant la crise à l’issue du régime transitoire qui prend fin le 30 septembre 2021 ?

A visionner absolument !

Saisissant, ne ratez pas non plus cet échange (1h30) entre Maître Di Vizio et des avocats de l’association VRAI en Israel pour anticiper ce qui peut nous attendre:

Dans cet échange très riche et très vif, sont croisés les regards de franco-israéliens avec celui d’un des observateurs les plus éclairés de la crise sanitaire en France.

Y sont traitées les questions suivantes:

  • le rôle des institutions politiques et judiciaires françaises et israéliennes dans l’établissement du pass vert/sanitaire
  • l’emprise des laboratoires pharmaceutiques et des grandes sociétés de conseil sur les décisions politiques
  • les dérives dans la mise en application concrète du « pass vert » en Israël et le parallèle avec la France, la remise en question de l’Etat de droit tel que nous le connaissons
  • l’opposition au pass vert en Israël (médecins, avocats, recours à la Cour Suprême…) et en France
  • les perspectives incertaines suite à la suspension du pass vert en Israël
  • comment le peuple israélien, qui aurait dû être le premier à lutter contre la mise en place d’une société discriminatoire, a si facilement accepté la mise en place du pass vert
  • les persectives française et israélienne relatives à vaccination des enfants
  • les stratégies d’opposition à la dictature sanitaire et les voies de coordination entre la France et Israël

Le certificat numérique vert, le coup d’état financier et l’agenda global dans l’UE

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Senta Depuydt interroge Catherine Austin Fitts et Valérie Bugault.

Alors que la question de savoir si la pandémie pourrait servir un agenda global était considérée comme une hérésie et une théorie du complot il y a à peine un an, elle est maintenant ouvertement abordée comme  » une merveilleuse opportunité  » de procéder à « une grande réinitialisation  » menée par un effort conjoint des Nations Unies et du Forum économique mondial. 

Ce ‘grand reset’, également appelée « quatrième révolution industrielle », est censé conduire notre monde vers une société centralisée et numérique, contrôlée par l’intelligence artificielle, afin d’atteindre les objectifs du développement durable de l’Agenda 2030, le tout dans un bel emballage écologique.

Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial de Davos, le dit lui-même : « Cela devrait nous mener à une fusion de notre identité physique, numérique et biologique », autrement dit réaliser le rêve transhumaniste d’une élite mondiale. Pour atteindre les objectifs de « leur » société meilleure, ils doivent d’abord installer un système de surveillance complet pour contrôler l’humanité. C’est là que le ‘passeport vert’ ou certificat vert numérique  et la réinitialisation financière entrent en jeu.

Entretien de Senta Depuydt, journaliste indépendante belge et fondatrice de Children’s Health Defense en Europe avec deux femmes extraordinaires : Catherine Austin Fitts et Valérie Bugault.

Catherine Austin Fitts est une analyste financière et une conseillère en investissement qui a cartographié la fraude américaine et internationale dans les institutions financières et gouvernementales alors qu’elle occupait un poste public en tant que secrétaire adjointe du département au logement du gouvernement américain. Catherine détaille la gouvernance mondiale et l’agenda de l’argent dans ses célèbres  » rapports Solari « , sur son site Internet et dans de nombreuses vidéos. Elle nous met actuellement en garde contre la dérive totalitaire de cette  » pas si grande réinitialisation « .

Mme Valérie Bugault est docteur en droit de l’université de la Sorbonne à Paris et a travaillé comme avocat fiscaliste avant de se focaliser sur l’analyse géopolitique de notre système monétaire, bien sûr avec une perspective sur les politiques nationales et internationales.

Aujourd’hui, nous discutons des trois questions suivantes.  Comment le programme de réponse à la pandémie est-il lié à une réinitialisation financière opérée par les banques centrales ? Comment le Passeport Vert est-il un instrument pour prendre le contrôle sur les personnes et au niveau individuel et national ?  Et que pouvons-nous faire pour changer cela?

Senta D.:

Tout d’abord, nous avons toutes les trois quelque chose en commun : nous savions qu’une grande crise et une  » grande remise à zéro  » étaient prévues pour 2020.  En dehors de la question de la nature de la maladie ou de l’origine du virus, je m’attendais à ce qu’une pandémie soit déclarée au début de la campagne électorale américaine.  C’était logique si l’on considère la progression en faveur d’une vaccination mondiale utilisant les arguments de l’agenda de sécurité sanitaire mondiale (Global Health Security Agenda) et de la « menace sanitaire » pour empiéter sur les droits constitutionnels partout dans le monde. Catherine et Valérie, vous l’avez toutes deux vu arriver en observant la déroute totale du système économique actuel et de la bulle financière qui est en train de nous conduire à la  » fin des monnaies  » et aux plans pour un coup d’État économique international avec un système de crypto-monnaies géré directement par les banques centrales.

Valérie B. :

Oui, le système économique actuel basé sur la création de la dette a permis aux banquiers centraux de voler l’argent de notre nation avec la complicité de nos gouvernements. Cela a été opéré par les banquiers de « la City » à Londres et aussi par la Réserve Fédérale aux Etats-Unis. La tendance actuelle est d’installer une monnaie numérique centralisée contrôlée par la Banque centrale européenne et d’imposer encore davantage leurs politiques à nos nations.

La France, l’Allemagne et l’Italie et leurs chefs d’État, en particulier Macron et Merkel, prennent leurs ordres directement de cette élite financière mondialiste. Macron a une ancienne carrière à la banque Rothschild, et Mario Draghi le nouveau premier ministre italien est l’ancien directeur de la Banque centrale européenne.

Senta D. : Dans l’UE, différentes mesures ont été prises dans le sens de cette  » réinitialisation mondiale  » en réponse à la pandémie. En avril, l’accélérateur ACT proposé par l’OMS, l’UE, la France et la fondation Bill et Melinda Gates a été voté par le Parlement européen et a donné des « pouvoirs spéciaux » à la Commission européenne afin d’accélérer la législation et le financement des vaccins Covid-19 et des solutions numériques. Cet instrument de législation en urgence a, par exemple, permis de voter une dérogation à l’évaluation des risques de la réglementation sur les OGM pour les vaccins Covid-19 ou encore de signer des contrats sans aucune transparence permettant une exonération complète de responsabilité pour les fabricants de vaccins. De plus, le Conseil de l’UE a autorisé la Commission à faire un énorme emprunt au nom des États membres sur les marchés des capitaux, pour un plan de relance de 750 milliards d’euros appelé « Next Generation EU ».

Le prêt est assorti de conditions relatives aux politiques numériques et « vertes » et à l’intention de l’UE d’obtenir des ressources propres et un pouvoir d’imposition directe sur les citoyens ou les entreprises de l’Union.  En parallèle, la Banque centrale européenne a commencé à se préparer à un euro numérique.   

Valérie B.:

Absolument, mais d’un autre côté, il y a un mouvement de résistance qui se développe en Allemagne. Beaucoup se souviennent de ce qui s’est passé sous le régime de Weimar, lorsqu’une impression similaire de monnaie a provoqué une inflation incontrôlable et un grand effondrement économique qui a finalement conduit à la montée du nazisme. Un certain nombre d’industriels allemands ne veulent pas que l’histoire se répète et ils combattent ce coup d’État mondial au niveau des institutions européennes. Un tribunal de Karlsruhe a bloqué l’approbation du prêt « Nextgeneration EU » de 750 milliards, le jugeant inconstitutionnel. Et une douzaine d’autres pays ne l’ont pas encore ratifié. Il reste donc une marge d’action et une possibilité de bloquer ou du moins de ralentir ce mouvement. En théorie, il leur faut une approbation unanime de tous les États membres.  Aujourd’hui, ils sont retardés dans le paiement des vaccins et des programmes de soutien.

Malheureusement, nous ne voyons pas la même chose en France, les gens pensent toujours qu’ils recevront une aide financière du gouvernement et ils discutent également de l’introduction d’un système de revenu universel. Ils n’ont pas la même conscience que les Allemands, ils ne réalisent pas qu’ils devront payer pour cette énorme dette, d’une manière ou d’une autre.

Catherine A.F.:

Nous avons vu les mêmes tactiques utilisées aux États-Unis où le gouvernement fédéral crée des dettes pour les États et inonde le pays de dollars pendant que la Réserve fédérale travaille à la mise en place d’un système de monnaie numérique.

Tout l’objectif du Passeport Vert ou le Certificat Numérique Vert, c’est d’avoir un moyen de contrôler les gens et de créer une gouvernance totalitaire directe de l’humanité. Bien sûr, l’argent est un instrument parfait contraindre les gens. Un système de contrôle direct n’aurait plus besoin de banques, de forces de police ou de tribunaux. C’est en fait ce qui se passe déjà en Chine, par exemple avec leur « système de crédit social » dans lequel la façon dont vous vous comportez ou ce que vous dites conditionne votre accès aux voyages ou à l’achat de certains biens ou votre capacité à faire un prêt, etc.

Au niveau mondial, il s’agit de l’agenda ID2020 qui relie l’identité, les données bancaires, les données de santé et un système de suivi pour une surveillance permanente de chaque individu 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

Remarque : ce système est actuellement mis en œuvre en Inde avec le système Aadhar utilisé pour la banque numérique, qui stocke désormais également les dossiers de vaccination. Et si certains politiciens de l’UE ont « mis en garde » contre une éventuelle perte des libertés fondamentales lorsqu’ils ont discuté du passeport vert en public ou sur les médias sociaux, ils ont en même temps approuvé son accélération. (Guy Verhofstad par exemple)

Senta D. :

Les informations dont nous disposons de la part d’initiés de l’UE confirment nos inquiétudes quant aux implications du Pass Vert. Apparemment, le Conseil de l’UE et la Commission ont pour objectif d’imposer les vaccins Covid-19 à l’ensemble de la population européenne d’ici 2023. Après l’acceptation du certificat numérique vert, les autres « options » telles que le test PCR et la preuve d’immunité, qui sont censées « respecter » les droits individuels de ne pas être vacciné, seront supprimées, probablement par un acte délégué. Tout le monde recevrait des vaccins ARNm une ou deux fois par an et bien sûr cela renforcerait l’utilisation du laissez-passer vert.

Catherine  A.F.:

Nous devons savoir ce qu’il y a dans ces fioles. Nous devrions obtenir des échantillons de vaccins Covid-19 du monde entier, créer un dépôt et les analyser pour voir ce qu’il y a dedans. Le scientifique en chef de Moderna a ouvertement déclaré que leurs vaccins « pirataient le logiciel de la vie » et il a comparé l’injection de leur technologie ARNm au téléchargement d’un nouveau système d’exploitation dans un ordinateur. Pour le reste, nous ne savons pas s’ils insèrent une sorte de puce, mais nous n’avons aucune garantie qu’ils ne le font pas non plus. Il y a quelques années, une équipe italienne a effectué une analyse indépendante de plusieurs vaccins et a trouvé de nombreuses nanoparticules qui n’étaient pas censées être là. Nous devons poser ces questions.

Senta D.:

C’est le travail effectué par Gatti et Montanari de Nanodiagnostics avec un puissant microscope électronique.  Ils ont identifié des nanoparticules d’origine métallique dans différents vaccins au cours d’une enquête qui a débuté après la mort de militaires italiens envoyés en mission à l’étranger.  Leurs résultats ont montré la toxicité associée à ces nanoparticules et un risque élevé de cancer et de décès.  Ces nanoparticules sont différentes des nanoparticules PEG ou polyéthylène glycol utilisées dans les vaccins Covid-19 comme « plateformes » pour délivrer les codes génétiques ARNm à l’intérieur des cellules humaines. Les deux peuvent être préjudiciables et endommager nos cellules, mais les nanoparticules PEG « enrobées de lipides » et les vaccins Covid-19 devraient également être analysés avec d’autres instruments qu’un microscope électronique, par exemple ils pourraient subir un séquençage génomique profond de « nouvelle génération ».

Note : Dans une récente émission de NBC « 60 minutes », Matt Hepburn, un colonel à la retraite du programme militaire DARPA, a expliqué qu’ils envisageaient d’utiliser une micropuce à insérer sous la peau pour détecter « les réactions chimiques à l’intérieur du corps et signaler les signes précoces de Covid-19 ». Selon lui, cela utilise un gel semblable à un tissu qui surveille et teste en permanence le sang d’un individu. Contrairement à d’autres vaccins, les vaccins Covid-19 ou plutôt les injections de l’opération warp speed ont été conçus comme une opération militaire dirigée par la DARPA, échappant en grande partie au contrôle des services de santé américains et ne sont pas éligibles pour une demande de Freedom Of Information Act.

Senta D.:

Il est presque impossible d’obtenir une analyse indépendante des vaccins. Le protocole élaboré par le Département de la Défense et Interpol demande de collecter tous les flacons vides et de les stocker dans un récipient fermé à clé après utilisation. En Belgique, mon pays, les gens ne sont même pas autorisés à demander à l’avance quel vaccin ils vont recevoir et parfois ils ne savent pas avec quoi on les a vaccinés. Alors comment peut-on même parler de consentement éclairé ? Comment signaler une blessure due à un vaccin ?  Comment obtenir quelque chose d’une assurance ? C’est incroyable.

Valérie B. :

Pour le moment, ils ne sont pas encore prêts avec la technologie pour mettre en œuvre cette surveillance numérique dans un système de contrôle centralisé, mais les gens doivent être conscients de toutes les différentes expériences qui sont faites sur eux à tous les niveaux, au niveau du corps, au niveau social, au niveau économique. La crypto-monnaie est une expérience, les vaccins ARNm sont une autre expérience et les combiner ensemble est encore une nouvelle expérience.

Remarque : il est frappant de constater qu’IBM travaille avec Moderna pour créer un passeport numérique pour la santé. Pendant la Seconde Guerre mondiale, IBM était chargé d’établir des dossiers d’identification individuels comprenant des données sur la santé, la race et autres.  L’entreprise a organisé la discrimination des personnes « essentielles » en bonne santé par rapport aux individus anormaux, faibles et, plus tard, aux juifs à « neutraliser » (voir les interviews de Vera Sharav et Naomi Wolfe). Alphabet, la société qui finance Google, finance également le développement de vaccins. En Israël, Pfizer a négocié l’accès à toutes les données relatives aux vaccinations.  En Europe, Microsoft gérera les « centres de données sur la santé » qui centraliseront les dossiers médicaux nationaux. Microsoft a également déposé une demande de brevet reliant les signaux d’activité biologique et physique à un système de crypto-monnaie. Dans un scénario dystopique, un algorithme imposé par Gates et sa clique de « philanthropes » pourrait par exemple contrôler la manière de récompenser ou de sanctionner l’activité professionnelle, la consommation de drogues ou de médicaments, la fréquence, la distance ou le type de contact physique avec d’autres personnes, et ce 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, même à la maison.

Valérie B. :

Si la dépopulation est à l’ordre du jour, cela faciliterait certainement ce coup d’état mondial car il faut encore une énorme infrastructure pour mettre tout cela en place et ce serait plus facile s’il y a moins de personnes à contrôler.  Ici, vous devez vous demander qui fait tout cela. Je dis qu’il faut regarder ceux qui contrôlent le transport maritime et les axes des flux économiques. Encore une fois, nous pouvons penser à la ‘city’ de Londres. Bien que, comme Catherine l’a également souligné dans ses rapports, cela s’étende maintenant au contrôle de l’espace et des réseaux de satellites pour la communication numérique. Ici, nous avons une bataille en cours entre les Etats-Unis et la Chine.   

Catherine A.F. :

Quand on cherche à savoir qui se cache derrière toutes ces initiatives, on s’aperçoit que ce sont toujours les mêmes acteurs. Une équipe néerlandaise a réalisé une vidéo intéressante intitulée « Monopoly – Follow The Money » sur la Grande Réinitialisation.  Ils ont examiné comment une poignée de grandes entreprises dominent tous les aspects de nos vies, la nourriture, les produits technologiques, l’énergie, les médicaments, les transports, les sociétés d’information, les banques, etc. Toutes mènent aux mêmes sociétés d’investissement géantes telles que Vanguard, Blackrock, Warren Buffet ou la Fondation Gates. D’une certaine manière, ils possèdent déjà tout, mais ils veulent maintenant aller plus loin et prendre le contrôle permanent de nos vies. Donc ils créent des problèmes, ils fournissent des solutions et ils changent les règles.

Senta D. : Alors que pouvons-nous faire pour les arrêter ? Comment pouvons-nous reprendre notre pouvoir ?

Valérie B. :

Et bien je pense qu’il y a une fenêtre d’opportunité en ce moment. Ils ont besoin de tout pousser très vite mais ils ont été ralentis par différentes formes de résistance auxquelles ils ne s’attendaient probablement pas.  Il y a un sérieuse opposition à cela en Russie et en Chine. Ces gouvernements sont infiltrés par le réseau de l’élite mondiale et, par exemple, des gens comme Jack Ma, propriétaire d’Ali Baba, l’Amazon chinois, se joignent à eux, mais une partie d’entre eux résiste également. La même bataille entre les mondialistes et les nationalistes se déroule dans les deux pays. C’est probablement la raison pour laquelle l’administration Biden pousse maintenant les choses dans la région du Donbass et une possible guerre entre l’Ukraine et la Russie.

En Europe, le programme de vaccination échoue, l’adoption est faible et lente dans différents pays, les gens ne font pas confiance aux vaccins, il y a les problèmes avec Astra Zeneca, etc. Et le fait que le tribunal de Karlsruhe s’oppose à la ratification du prêt européen est énorme. Si d’autres pays suivent cet exemple, cela portera un coup dur à leur plan. Cette décision a été poussée par le cœur de l’économie allemande, les industries nationales, les entreprises et les banques locales qui réalisent toutes où cela mène, à savoir de plus en plus de dettes. Ils doivent montrer l’exemple. Dans le sud de l’Europe également, la population est dans une situation critique. En Italie ou en Grèce, les gens ne peuvent plus subvenir aux besoins de leurs familles. Ils ne peuvent pas attendre plus, nous sommes au bord de la guerre civile. Les pays et les institutions de l’UE pourraient s’effondrer.

Senta D.:

Oui, mais les institutions européennes et l’ONU vont essayer de saisir l’occasion pour mettre en place une gouvernance européenne centralisée. La Commission européenne discute actuellement d’une proposition d’ »Union européenne de la santé » afin d’avoir une « réponse commune aux menaces sanitaires ». Les Nations unies, l’OMS et l’UE attribuent le désastre actuel au comportement « égoïste » des différentes nations et au manque de coordination entre les États membres de l’UE. Ils veulent donc centraliser les recommandations telles que les masques, le confinement, la distanciation sociale, les systèmes de surveillance et les programmes de vaccination, et ils veulent que ces recommandations soient contraignantes pour les États membres. Ils veulent également une nouvelle agence européenne appelée HERA (Health Emergency Response Agency) et la possibilité d’un pouvoir d’exécution, peut-être avec une sorte de « police sanitaire » européenne. L’autre étape du contrôle central est l’appel de Charles Michel, président du Conseil de l’UE, et des dirigeants mondiaux à élaborer des traités sur les pandémies afin d’ »harmoniser les mesures » au niveau international, sous la gouvernance des Nations unies et de l’OMS.

(Charles Michel a commencé sa carrière politique en tant que maire d’une petite ville belge, Wavre, siège de GSK vaccins, l’un des plus grands sites de production de vaccins de la planète).

Et en Allemagne, Angela Merkel essaie maintenant de centraliser le pouvoir dans les mains du gouvernement fédéral en demandant de supprimer l’autonomie des différents landers ou « états ».  C’est proche de ce qui s’est passé avant la guerre, les mêmes mécanismes. Nous sommes donc vraiment au milieu de cette bataille pour la démocratie contre le pouvoir central.

Catherine A.F.:

Nous devons nous décentraliser. Les gens doivent reprendre leur argent, le retirer des grandes banques. Fuir les banques mondiales, fuir les banquiers mondiaux. Si vous êtes à un dîner avec le PDG de Morgan Chase, levez-vous et quittez la table !  J’ai plusieurs investisseurs qui se sont regroupés dans des petites banques qui semblent dignes de confiance.

L’autre chose importante est d’investir dans une économie qui soutient la vie. Investissez dans la production alimentaire locale, l’approvisionnement en eau et en énergie, les restaurants, les petites et moyennes entreprises, les technologies innovantes, les soins de santé. Reconstruisez votre communauté et défendez les grandes entreprises. Nous devons également continuer à utiliser l’argent liquide, le système de cryptographie n’est pas sûr.

Et un autre grand problème est la fiscalité. Nos impôts sont utilisés pour nous mettre en faillite, nous ne pouvons plus continuer comme ça.

Valérie B.:

J’ai rédigé une nouvelle proposition de réforme complète du système fiscal et je serai heureuse de la partager et d’en discuter avec vous. Mais à mon avis, le problème principal est le contrôle de la création monétaire. Nous avons besoin d’un contrôle citoyen sur ce point. Vous savez certainement que JF Kennedy a essayé de changer cela et de rendre le contrôle de la création monétaire aux mains du Congrès en signant l’Executive Order 11110 peu avant son assassinat.

Catherine A.F :

Bien sûr, retour aux sources. C’est ce dont nous avons également discuté à Bâle, l’autre capitale financière qui accueille la Banque des règlements internationaux, la « banque des banques centrales ». Nous avons eu une réunion avec plusieurs groupes et experts autour de cette question et la World Freedom Alliance a même décidé de l’inclure dans sa charte des droits de l’homme en tant que « liberté économique hors des systèmes de crédit coercitifs et exploitants ».

Certains nouveaux partis politiques, comme JFK21 au Danemark, en font également une question centrale.

Valérie B. :

A mon avis, les élections et les partis politiques ne fonctionnent pas, ils ne changent rien.

C’est l’absence d’un véritable contrôle démocratique dans l’organisation politique qui est problématique. La représentation au sein de notre Assemblée parlementaire et l’actuelle séparation des pouvoirs ne le permettent tout simplement pas. Elle a été conçue comme une fraude dès le départ, en prenant le pire des systèmes britannique et français pour permettre aux banques de garder le contrôle des choses tout en donnant une illusion de démocratie au peuple.

Senta D.:

Vous faites référence au mouvement des Gilets Jaunes et au Référendum d’Initiative Citoyenne qui vise à réécrire la constitution et à avoir une vraie forme de démocratie. Il est vrai qu’à l’heure actuelle, il n’existe aucun moyen de sanctionner les élus qui trahissent leurs électeurs et s’en sortent en faisant tout simplement le contraire de ce qu’ils ont promis. C’est la même chose pour les personnes qui occupent des fonctions publiques.

Catherine A.F. :

Oui, nous discutions justement de la question de la responsabilité lors d’une réunion précédente aujourd’hui. Comment pouvons-nous rendre ces décideurs responsables ?  Pour revenir sur le passeport vert on voit que des citoyens, des politiques, des médecins, des scientifiques (par exemple Covid4ethics) toute une partie de la société civile est maintenant prête à confronter ces acteurs aux conséquences de leurs décisions. Ainsi, certains envoient des significations ou des mises en demeure par courrier recommandé aux députés européens et autres politiques pour les avertir que si des personnes meurent à cause des vaccins, cela pourrait engager leur responsabilité personnelle et entraîner des poursuites au civil et au pénal.

Senta D.:

Cela promet des développements passionnants et c’est lié aux initiatives de Reiner Fuellmich, l’avocat allemand qui dirige le « comité d’enquête sur la gestion de la pandémie ».  Il demande aux gens du monde entier de rassembler des preuves et de constituer des dossiers sur les personnes responsables pour les « procès de Nuremberg » post-Covid. Comment réformer notre système politique et rendre les gens responsables ? Je pense que ce sont des questions parfaites pour nos prochaines interviews !

Catherine A.F.:

Oui, c’est vraiment le sujet que nous devons aborder partout en ce moment.

Senta D. :

Absolument ! Merci beaucoup Catherine Austin Fitts et Valérie Bugault, je me réjouis de nos prochaines discussions.

Psychopathologie du totalitarisme 1/3

Série en 3 épisodes, Episode 1 publié par L’Antipresse, n°286, 23 mai 2021

Lien vers épisode 2
Lien vers épisode 3

Épisode 1. La structure totalitaire : le délire paranoïaque

Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme.

« Bien des gens affirment qu’on ne saurait combattre le totalitarisme sans le comprendre. Ce n’est heureusement pas vrai car, autrement, notre situation serait sans espoir. »

H. Arendt La nature du totalitarisme, 1953.

En 2020, je suis intervenue trois fois pour alerter sur l’émergence du totalitarisme actuel, au prétexte sanitaire : le 13 mai, avec « Totalitarisme sanitaire : « C’est pour ton bien… Le mal radical »[1], le 30 août, avec « Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave »[2], et le 30 décembre, à Radio Canada[3], entrevue au cours de laquelle j’ai affirmé que ce que nous vivions n’était pas autoritaire, mais totalitaire, en examinant la certitude délirante de la psychose paranoïaque. Ces interventions m’ont valu railleries, quolibets et insultes en tout genre, de la part de ceux qui ne peuvent pas entendre ce qui se passe (ou n’y ont pas intérêt), prétendant que j’exagère ou que je souffrirais moi-même de paranoïa.

Pourtant, en un an, nos libertés, conquises de haute lutte durant des siècles, au prix du sang de nos ancêtres, se sont évaporées en fumée, jusqu’à la survenue de ce « passeport sanitaire », jugé impensable par la majorité des gens il y a quelques mois encore. Afin d’élaborer un tel diagnostic précoce de délire collectif, je me suis appuyée sur ma longue expérience professionnelle d’observations des groupes, des institutions et des entreprises, lorsqu’ils se transforment en îlots totalitaires. En avril 2020, bien que certains signes eussent pu paraître insignifiants aux yeux du plus grand nombre, ils étaient suffisants pour caractériser l’entrée dans une psychose paranoïaque collective, en particulier le déni de réalité, le mensonge, le clivage, la projection[4], l’interprétation, la persécution (ici, d’un virus, ennemi invisible, qui autorise la persécution des individus en tant qu’organismes porteurs d’une multiplicité de virus), la manipulation des masses (terreur, culpabilité et chantage), l’idéologie sanitaire (et la propagande qui la soutient), mais aussi la survenue d’une nouvelle langue pour décrire une « nouvelle normalité » ou une « nouvelle réalité » faisant table rase de l’ancien. Rappelons les critères politiques du totalitarisme, qui ne saurait se réduire à une dictature, un despotisme, ou encore, une tyrannie : monopole des médias de masse et du corps policier, direction centrale de l’économie, persécution des opposants et de toute critique, système de surveillance d’individus, encouragement aux délations, logique concentrationnaire orchestrée sur la terreur, politique de la table rase, idéologie mouvante construite sur le clivage entre bons citoyens et mauvais citoyens, sur l’ennemi (visible ou invisible) et la pureté.

Les individus s’organisent selon des structures psychiques (certains préfèreront le terme organisation, moins rigide), qui traduisent leur rapport à la réalité, à l’expérience, à l’autre, à la Loi, aux pulsions, à la rationalité. Ces structures sont évolutives à la faveur des événements, en particulier des charges traumatiques lourdes, et c’est ce qui explique qu’en temps « normal », des individus respectant des tabous moraux fondamentaux (notamment, ne pas transgresser ni tuer), se désinhibent en temps totalitaire (ou plutôt régressent psychiquement), l’idéologie de masse permettant de justifier la levée des interdits anthropologiques du meurtre et de l’inceste (et de leurs dérivés) qui fondent une civilisation. Ce que l’on sait moins, c’est que ces structures psychiques concernent aussi les collectifs. Il existe des personnalités psychiques au niveau des groupes, des institutions, des entreprises… J’ai longuement étudié la nature des groupes que j’ai appelés « régressés », lorsqu’ils basculent sur un mode pervers ou pire, paranoïaque. Les pathologies narcissiques graves ont en effet ce talent de créer une unité pathologique dans les groupes, avec des interactions inconscientes. C’est dire à quel point l’individu est pris dans un système, où le tout est d’une autre nature que la somme de ses parties. Ce système contraint le psychisme individuel, qui en retour nourrira le délire collectif. Voilà expliqué en peu de mots le phénomène sectaire et fanatique.

Le totalitarisme correspond à un délire psychotique, celui de la paranoïa. Il s’agit d’une psychose, qui s’articule sur le déni de réalité (la réalité et l’expérience n’existent pas, ne servent pas de boucles de rétroaction pour qualifier la pensée délirante dogmatique), un délire interprétatif (un ennemi extérieur ou intérieur, visible ou invisible, nous veut du mal) avec des idéologies dédiés (mégalomanie, pseudo-idéaux humanitaires, hypocondrie, persécution…), la projection, la méfiance, le clivage, l’hyper-contrôle.
Cette folie présente l’apparence de la raison, du discours argumenté, tout en s’organisant sur un délire de persécution justifiant la persécution d’autrui. Elle ne nie pas la Loi, elle l’interprète à son avantage et, si elle en a le pouvoir, elle l’instrumentalise pour persécuter les individus, et non plus les protéger. « Para » (παρά), dans le grec ancien παράνοια, est un préfixe qui signifie tout à la fois « à côté », « en parallèle », comme dans « parapharmacie », ou « contre », comme dans « parapluie ». De même que le parapluie agit contre la pluie, le paranoïaque agit contre l’esprit (νοῦς), contre l’intelligence, contre la logique. Et, pour ce faire, il subvertit l’esprit, l’intelligence, la logique, et leur fait la guerre.

Peu importe le contenu du délire, à savoir son décor théâtralisé, car la paranoïa, « folie raisonnante » comme l’ont nommé les psychiatres Sérieux et Capgras, obéit toujours à une même structuration des processus psychiques. Nourrie par la haine et la manipulation érotisée des institutions, elle peut être dangereusement collective et psychiquement contagieuse, « pour notre bien ». Il convient d’accuser l’ennemi désigné comme persécuteur, et si possible, de le personnifier. Un virus « pris en tenailles » (cf. discours d’E. Macron du 31 mars 2021) est l’ennemi parfait, car il est invisible, en perpétuelle transformation (« variants »). L’interprétation (déduction à partir d’une opinion subjective) est au centre du dispositif : ce virus est si dangereux qu’il en va de la survie de l’espèce humaine (postulat implicite, qui permet de justifier la destruction de l’économie, des libertés et du droit fondamental) ; l’interprétation est à la fois exogène (le virus tueur est à l’extérieur de nous) et endogène (à l’intérieur de nous).

Osons une question blasphématoire : un virus aurait-il l’intention de nous tuer ? Les virus sont inscrits dans notre ADN ; nous en touchons des centaines de millions chaque jour. Curtis Suttle, virologue à l’Université de la Colombie-Britannique au Canada, indique dans une étude de 2018, que plus de 800 millions de virus se déposent sur chaque mètre carré de terre chaque jour. Dans une cuillère à soupe d’eau de mer, il a plus de virus que d’habitants en Europe ! « Nous avalons plus d’un milliard de virus chaque fois que nous allons nager (…). Nous sommes inondés de virus. » Un article de 2011 publié dans Nature Microbiology estime qu’il y a plus d’un quintillion (1 suivi de 30 zéros) de virus sur terre !!! Environ 8% du génome humain est d’origine virale, et les virus ont été présents bien avant l’espèce humaine sur terre, ils ont contribué à donner naissance à la vie cellulaire[5]. Partir en guerre[6] contre un virus, est-on sérieux ? C’est pourtant ce que propose l’hypocondrie délirante de la paranoïa collective, dans laquelle le corps devient étranger à soi-même et persécuteur. Il faut donc persécuter le corps, dans un Syndrome de Münchhausen de masse, qui consiste à surmédicaliser de façon inadaptée (interdiction de remèdes, couplée à des vaccins expérimentaux, dont les études qui visent à prouver la qualité, la sécurité et l’efficacité ne sont pas achevées[7]) une maladie virale commune (qui mériterait des soins appropriés et précoces), et dont ceux qui en sont gravement atteints (entre autres, décideurs politiques, des lobbies et leurs relais médiatiques) dénient la tempérance et l’expérience des experts, et créent davantage de problèmes et de souffrances qu’ils n’en résolvent.

L’idéalisation est un mécanisme de défense très puissant, de l’ordre du fanatisme de l’idéal inatteignable. Cet idéal en soi devient persécuteur, car nul ne peut jamais être à la hauteur. La suggestion de l’idéal sanitaire tyrannique est forte depuis le départ : la santé est conçue comme absence de maladie potentielle (d’où la confusion entre les cas et les malades), et il faut éradiquer le virus. Avec ce chantage de fond : pas de retour aux temps anciens avant l’éradication du virus. La sophistique change selon les circonstances. Car le « vaccin », présenté dès le départ comme objet fétiche et talisman magique contre le virus, semble ne pas fonctionner à la mesure des ambitions initiales, voire présenter de graves et sérieux problèmes. Insuffisant (il faudrait continuer les mesures sanitaires contraignantes[8]), insatisfaisant (il n’empêche pas les contaminations[9], et serait même à l’origine des variants[10]), éventuellement dangereux[11] (cf. des effets secondaires graves, que certaines compagnies d’assurance ne prendront pas en charge[12], et pour d’autres, il sera fort compliqué de démontrer le lien de cause à effet !).

Devant cet échec vaccinal, l’on peut s’attendre à ce que la persécution se renforce : il faudra, pour répondre à l’idéal inatteignable d’éradication du virus, éliminer les individus qui sont supposés potentiellement porteurs du virus (en puissance, toute l’espèce humaine est visée). D’ores et déjà, des troupeaux entiers d’animaux ont été disséminés selon la même logique nazie d’un virus étranger qu’il convient d’éradiquer. Goebbels notait dans son Journal : « Dans le ghetto de Varsovie, on a noté une certaine montée du typhus. Mais on a pris des mesures pour qu’on ne les fasse pas sortir du ghetto. Après tout, les Juifs ont toujours été des vecteurs de maladies contagieuses. Il faut ou bien les entasser dans un ghetto et les abandonner à eux-mêmes, ou bien les liquider ; sinon, ils contamineront toujours la population saine des États civilisés. » Les non-vaccinés seront-ils persécutés puis éliminés pour camoufler l’échec vaccinal à répondre à l’idéal inatteignable ? Abdiquer l’idéal tyrannique serait renoncer au délire, et signifierait l’effondrement, la chute devant l’ennemi, la mort, la plongée dans le trou noir. La réalité de l’expérience doit donc être tordue et asservie, pour coïncider avec l’idéal archaïque et sadique, qui la disqualifie.

« La scientificité de la propagande totalitaire se caractérise par l’accent qu’elle met presque exclusivement sur la prophétie scientifique, par opposition à la référence plus traditionnelle au passé »[13], et je renvoie aux travaux du mathématicien Vincent Pavan. La confusion entre la fiction et la réalité de l’expérience règne, appuyée sur un déni des experts, et la certitude délirante, niant toute objection et doute. Il est même hérétique d’avoir une opinion sur la propagande totalitaire ; elle « n’est plus un problème objectif à propos duquel les gens peuvent avoir une opinion, mais est devenue dans leur vie un élément aussi réel et intangible que les règles de l’arithmétique. »[14] Elle place l’atteinte de ses buts dans un futur qui est toujours lointain, une sorte de promesse finale, un paradis, la fin du calvaire, la pureté de la race, le territoire purifié de la maladie, le retour au monde d’avant etc. Il s’agit de fédérer la masse contre un ennemi commun, censé incarner l’opposition à la réalisation de ce but. L’ennemi, autant extérieur qu’intérieur, sera susceptible de changer, suivant l’interprétation à l’instant T, pourvu que demeure ce que je nomme « la xénophobie dans la pensée », à savoir la notion d’un « étranger organique qui serait un « non-soi » menaçant le soi, au lieu que le « soi » soit « capable de se reconnaître porteur du « non-soi » et donc de pouvoir l’assimiler. »[15] Pour faire vivre cette xénophobie sanitaire, il faut opérer une « gigantesque opération de falsification de la vérité »[16], traduisant tout à la fois une confusion mentale et un défaut d’intégrité. La scientificité idéologique et sa technique prédictive ne cessent de se mouvoir ; leur dimension « caméléon » les fait perdurer au pouvoir.

En conclusion, la psychose paranoïaque est un délire d’enfermement collectif menant à un destin concentrationnaire, un projet destructeur de « la vie nue » (Giorgio Agamben), du « simple fait de vivre », et dont le rôle des Humanités nous rappelle qu’il est sacré. La paranoïa pose une relation d’objet narcissique paradoxale : « vivre ensemble tue et se séparer est mortel »[17] est bien le leitmotiv de l’idéologie sanitaire actuelle qui, si elle est menacée dans sa subsistance hypnotique, conduira inévitablement à des passages à l’acte meurtriers et transgressifs sur les peuples désobéissants, ce que l’on voit d’ailleurs poindre à différents endroits de la planète. Dans les deux prochains billets consacrés à la psychopathologie du totalitarisme, j’analyserai les méthodes, les étapes et l’objectif, puis la contagion délirante, les alliances psychiques et les conditions de sortie du délire collectif.

——————- Notes [1] https://www.arianebilheran.com/post/totalitarisme-sanitaire-c-est-pour-ton-bien-le-mal-radical [2] https://www.arianebilheran.com/post/le-moment-paranoiaque-vs-deferlement-totalitaire-face-a-la-dialectique-du-maitre-et-de-l-esclave [3] https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/bien-entendu/segments/entrevue/337551/ariane-bilheran-idees-incapacite-discussion [4] Il ne m’est pas possible ici de déployer toute la psychopathologie de la paranoïa, je renvoie le lecteur à mon livre Psychopathologie de la Paranoïa, Paris, Dunod, 2019 (2ème éd.) [5] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1661324/virus-definition-corps-humain [6] Cf. discours d’E. Macron, 16 mars 2020.

[7] https://www.francesoir.fr/societe-sante-videos-les-debriefings/debriefing-avec-le-dr-umlil-vaccination-la-validite-du https://www.catherinefrade.com/blog/2021/04/01/eclairage-sur-les-donnees-publiques-europeennes-des-amm-conditionnelles-pour-les-4-vaccins-covid-19-31-mars-2021/ [8] Les vaccinés peuvent-ils s’affranchir des gestes barrières ? Non, répond le ministère de la Santé : « Le port du masque reste nécessaire. Plus généralement, une personne vaccinée doit continuer d’appliquer les gestes barrières. » https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-peut-on-arreter-les-gestes-barrieres-lorsqu-on-est-vaccine_4353315.html [8] https://www.lepopulaire.fr/bessines-sur-gartempe-87250/actualites/malgre-la-vaccination-massive-des-foyers-de-contamination-demeurent-dans-des-ehpad-de-haute-vienne_13953359/ https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911 [10] « C’est très simple, les variants viennent des vaccinations », Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, interview de Pierre Barnerias. « On vaccine des gens, ça sélectionne des variants, et finalement les gens ne sont plus couverts par le vaccin, et on continue à vacciner quand même » (Professeur Christian Perronne). [11] https://vaers.hhs.gov/ https://ansm.sante.fr/actualites/vaccination-covid-19-des-outils-pour-sinformer-et-mieux-declarer-les-effets-indesirables https://www.ema.europa.eu/en/news/meeting-highlights-pharmacovigilance-risk-assessment-committee-prac-3-6-may-2021 https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/safety/adverse-events.html [12] https://youtu.be/vHLWvvH08sk

[13] Arendt, H. Les origines du totalitarisme. [14] Arendt, H. Le totalitarisme, Chapitre XI. [15] Annick de Souzenelle, Le baiser de Dieu, Paris, Albin Michel, 2007. [16] Agamben, G. 2020. Traduction (Florence Balique), à partir du texte italien publié le 28 avril 2020 sur le site Quodlibet : https://www.quodlibet.it/giorgio-agamben-sul-vero-e-sul-falso [17] Caillot, J.P. 1982. Thérapie familiale psychanalytique et paradoxalité, Paris, Clancier-Guénaud.

Ph. Guillemant: « si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard ! »

Traçage numérique, transhumanisme, intelligence artificielle… L’ingénieur physicien Philippe Guillemant explique comment la crise sanitaire a accéléré certains bouleversements sociétaux.

« Coup d’état planétaire ». Connais ton ennemi.

Philippe Huysmans
Le vilain petit canard mer., 19 mai 2021

Mars 2020, une majorité des pays les plus riches, mais aussi les plus endettés de la planète basculaient dans la dictature sanitaire. Incarcération domiciliaire en dehors de tout cadre constitutionnel, décrets et arrêtés toujours plus liberticides, absurdes, humiliants, contradictoires, contraires au bon sens et à l’évidence scientifique. Tout ça pour quoi ? Pour un virus qui ne tue pas plus qu’une mauvaise grippe.

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Lassé de courir après la baballe en attendant le prochain train de mesures quasi-dictatoriales décidées dans le confortable entre soi d’un quarteron de pourritures et claironnées le lendemain par tous les médias de grands chemins, j’ai décidé de m’arrêter un instant pour réfléchir. Eh oui, la vraie question à se poser c’est comment des pays réputés démocratiques ont-ils pu basculer simultanément dans la dictature sanitaire, et donc comment l’ensemble des politiques aux pouvoir dans ces pays ont-ils pu s’affranchir du droit pour imposer des mesures dont on se rend parfaitement compte aujourd’hui qu’elles ont tué par centaines de milliers ?

Prenons l’exemple d’Olivier Véran, Ministre français de la Santé. Le 28 mars 2020 était publié le fameux décret Rivotril, pour « soulager » les patients C0VlD en état de détresse respiratoire. En pratique le Rivotril les a « soulagés » comme l’avaient été les handicapés mentaux victimes du tristement célèbre programme Aktion T4 des nazis 2. On les a piqués comme des chiens. Or en France, l’euthanasie est illégale, elle est assimilée à un meurtre. Logiquement donc, en cas de retour à la normale, Olivier Véran devrait être mis en examen en tant que responsable de plusieurs milliers de meurtres, voire de crimes contre l’humanité, ce qui lui vaudrait une condamnation à perpétuité. Pourtant, aucun de ces hommes de pouvoir ne semble craindre un seul instant l’éventualité d’être traduit en justice un jour, et ils se vautrent toujours plus avant dans l’abjection et la tyrannie 3. Comment cela est-il possible ?

[ Ce qui suit est une opinion, une tentative d’expliquer ce qui est apparemment inexplicable si l’on ne prend pas la peine d’articuler les causes et les événements qui nous ont amenés là. C’est une étape cruciale pour savoir qui est à la manoeuvre, et pour savoir précisément jusqu’où ces gens sont prêts à aller. À la lumière de ce qui précédait, vous devez déjà vous en douter un peu, non ? ]

En règle générale, les hommes politiques sont d’une prudence de Sioux, ne s’engageant qu’à coup sûr, s’assurant que leur responsabilité n’est jamais engagée au point que l’on pourrait ultérieurement les poursuivre en justice sur base de leurs actions, et le timide docteur Véran ne fait pas exception à la règle. Comment transforme-t-on des paisibles chapons 4 en sociopathes prêt à tuer sans l’ombre d’une hésitation?

Au commencement était l’effondrement

En 1991, la chute du bloc soviétique était consommée, le communisme avait vécu. Ca s’est passé sans un bruit, sur fond de déclarations insipides des dirigeants de l’époque qui évoquaient la question comme s’il s’agissait d’une simple formalité. En pratique c’était le principal opposant au bloc capitaliste qui disparaissait brutalement de la carte, laissant libre cours au néolibéralisme le plus débridé.

Ce qu’on a oublié de vous dire à l’époque, c’est que le système capitaliste était lui-aussi en phase d’effondrement, et que c’était inéluctable. L’usure ayant tout dévoré, les pays les plus riches, écrasés par le service de la dette détruisirent méticuleusement ce qu’il restait du tissu industriel, pour le convertir en actions plus lucratives, mais ne reposant que sur la spéculation. Le crash qui se produisit en 2008 signa l’arrêt de mort de l’économie capitaliste. La seule chose qui a pu retarder l’échéance jusqu’à présent, c’est que tant les États-Unis que l’Europe se sont mis à faire tourner la planche à billets à un rythme toujours plus vertigineux.

Par des mécanismes douteux, la FED s’est mise à racheter la quasi-totalité des actifs boursiers américains, afin d’éviter l’effondrement total de l’économie, mais au prix d’endetter toujours plus les citoyens américains, et en diluant leur pouvoir d’achat. La diplomatie de la canonnière trouvant ses limites dans le fait que désormais, tous les pays étaient plongés dans les mêmes difficultés.

Ainsi l’Europe n’était pas en reste pour produire par tombereaux de la fausse monnaie ultimement destinée à maintenir les banques systémiques sous perfusion. Vous avez sérieusement cru qu’il s’agissait d’aider les États?

Ayant atteint le bout du bout, craignant par-dessus tout un effondrement généralisé qui serait inévitablement cause de révoltes un peu partout, et donc de leur disparition, les vrais dirigeants de ce monde ont décidé de prendre les choses en main.

À qui profite le crime ?

Dans l’hypothèse normale d’un système failli, et sachant que personne ne pourra jamais rembourser la dette colossale des États, la question logique à se poser aurait été celle de l’effacement de la dette. C’est bien ainsi que cela se passe dans le monde de l’entreprise, pourquoi devrait-il en être autrement s’agissant du système capitaliste dans son ensemble? Eh bien tout simplement parce que les détenteurs de la dette, une toute petite brochette de fonds requins, de multinationales et de banques ne l’entendent pas de cette oreille. Ils veulent le beurre et l’argent du beurre, et n’ont pas l’intention de rien lâcher de ce qui constitue leur pouvoir de domination sur le monde.

J’entends d’ici les pleureuses opposer que l’effacement de la dette signifierait aussi la disparition des fonds de pension qui reposent largement sur des produits financiers basés sur la dette, mais c’est un faux problème, les pensions pourraient être financées sans aucun problème en y consacrant seulement quelques pourcents des moyens aujourd’hui consacrés au service de la dette.

Magistrature de collusion, corruption et technique des petits pas

Maintenant que nous avons identifiés les donneurs d’ordre, reste à comprendre comment ils ont pu prendre le contrôle total des leviers du pouvoir dans tous les pays concernés, soit l’ensemble des pays les plus endettés et les plus soumis aux diktats du FMI, de la Commission Européenne et de l’État profond américain.

On pourrait d’abord parler de magistrature de collusion, puisque l’ensemble de ces donneurs d’ordre, même s’ils ne représentent pas un corps social homogène, même s’ils ne partagent pas forcément la même vision politique, sont les représentants d’une petite élite ultra-minoritaire qui forme à elle seule une classe au sens marxiste du terme. C’est par sa cohésion autour d’un projet (préserver leur domination à tout prix), ses moyens illimités, et son réseau de contacts s’étendant dans toutes les strates du pouvoir autour du globe — tels les tentacules d’une pieuvre gigantesque — qu’ils ont pu mettre en place leurs hommes de paille : nos dirigeants. Ceux qu’ils ne peuvent acheter, ils les font chanter 5.

La technique mise en oeuvre recouvre plusieurs méthodes de manipulations visant à mettre leurs obligés dans l’impossibilité de reculer.

  • La peur : on évoque une pandémie gravissime, qui pourrait bien être la cause de millions de morts, mais dans le même temps on présente ça comme une fenêtre d’Overton 6 qui permettrait l’instauration d’une société plus contrôlée, dans laquelle il serait plus facile d’empêcher l’émergence des inévitables mouvements sociaux que la crise ne manquera pas d’engendrer dans les mois et années à venir. Pour instaurer cette société largement amputée de ses attributs démocratiques, il faut nécessairement en passer par la violation des garde-fous que sont les constitutions. Le passage en force s’impose désormais partout comme la nouvelle norme 7.
  • Brûler ses vaisseaux : on pousse les dirigeants à tout fermer, quitte à écraser pour de bon ce qui restait de la classe moyenne, et dans le même temps, on incite les États à s’endetter toujours plus pour distribuer de l’argent hélicoptère afin d’indemniser les entreprises lésées. On parle là de centaines de milliards de dette qui étrangleront toujours plus les États, les rendant d’autant plus tributaires des donneurs d’ordre.
  • L’intérêt supérieur : on présente l’ensemble des mesures comme une sorte d’opération de la dernière chance qui viserait justement à minimiser l’impact de la crise 8, et de son cortège de victimes. Certes on va faire très mal, mais c’est pour éviter des maux bien plus grands encore. Les tortionnaires se verront ainsi en sauveurs et il ne subsistera plus l’ombre d’une prévention dans leur esprit puisqu’ils croiront agir dans l’intérêt de la population.
  • Liés par le crime : on poussera les dirigeants à commettre, et à faire commettre par leurs subalternes des actions passibles de poursuites pénales, ce qui leur fermera ensuite toute possibilité de retraite. C’est une méthode mafieuse qui a fait ses preuves.
  • Les petits pas : les hommes de paille n’ont aucune connaissance du plan et le découvrent au fur et à mesure au travers des feuilles de route qui leur sont transmises par d’obscurs cabinets conseils américains à la solde des donneurs d’ordre. Finalement, ces hommes politiques sont tout aussi manipulés que nous, mais à un autre niveau. C’est un peu l’histoire de la grenouille qu’on met à cuire doucement dans la casserole. Se rendent-ils compte de ce vers quoi ils se dirigent, et comment ça se terminera ? Peu importe, en fait, parce qu’il ne leur sera pas donné le choix de revenir en arrière.

Ne vous y trompez pas, ce que vous vivez actuellement n’a rien à voir avec une crise sanitaire, c’est un coup d’État planétaire visant à asseoir le pouvoir absolu des donneurs d’ordre sur une dictature féroce. Vous aurez le pire du communisme (pour les masses) et le pire du capitalisme (le seul bénéfice étant réservé à l’élite).

Quand comprendrez-vous que vous êtes victime d’une guerre psychologique visant à briser la résistance des peuples avant de les mettre en esclavage? Si j’ai réussi à exprimer correctement mes idées, vous devriez avoir réalisé à présent que non seulement ce cauchemar ne s’arrêtera jamais, mais qu’on en est qu’aux préliminaires, et qu’ils ne reculeront devant rien.

Notes

  1. Connais ton ennemi et connais-toi toi-même; eussiez-vous cent guerres à soutenir, cent fois vous serez victorieux. Si tu ignores ton ennemi et que tu te connais toi-même, tes chances de perdre et de gagner seront égales. Si tu ignores à la fois ton ennemi et toi-même, tu ne compteras tes combats que par tes défaites. – Sun Tzu, l’Art de la Guerre.
  2. Aktion T4 est le nom donné, après la Seconde Guerre mondiale, à la campagne d’extermination d’adultes handicapés physiques et mentaux par le régime nazi, de 1939 à août 1941, et qui fait de 70 000 à 80 000 victimes. Fondée sur un terreau idéologique fertile prônant une politique eugéniste active, antérieure au nazisme mais exacerbée par celui-ci, favorisée par une intense campagne de propagande en faveur de la stérilisation et de l’euthanasie des handicapés, elle est le fruit d’une décision personnelle d’Adolf Hitler. Source : Wikipedia
  3. Clin d’oeil à Pierre-Yves Rougeyron qui, dans sa dernière émission avec Pierre Jovanovic avait reconnu avoir mésestimé le pouvoir de nuisance des politiques (il ne croyait pas qu’ils pourraient aller aussi loin), mais sans parvenir à expliquer ce glissement inexorable vers toujours plus de tyrannie et de violence.
  4. L’ensemble des dirigeants politiques des pays ayant réduit drastiquement les libertés, incarcéré leur population à domicile, détruit l’économie et poussé les gens au suicide soi-disant pour lutter contre une pseudo-pandémie qui n’était pas — on le sait aujourd’hui — plus mortelle que la grippe de 2015.
  5. Cfr. affaire Epstein
  6. La fenêtre d’Overton, aussi connue comme la fenêtre de discours, est une allégorie qui désigne l’ensemble des idées, opinions ou pratiques considérées comme acceptables dans l’opinion publique d’une société. […] Selon la description d’Overton, sa fenêtre comprend une gamme de politiques considérées comme politiquement acceptables au regard de l’opinion publique existante, et qu’un politicien peut donc proposer sans être considéré comme trop extrême, pour gagner ou conserver une fonction publique. Source : Wikipedia
  7. La majorité des décrets et arrêtés concernant le confinement, le port du masque, et bientôt le passeport sanitaire sont parfaitement insconstitutionnels et contraire au droit.
  8. Ce qui est un faux dilemme puisqu’à aucun moment on ne tirera les conséquences de la faillite du système, on entend juste se dispenser d’avoir à en assumer les conséquences.

L’État profond globalisé — Un nouvel ordre mondial instauré grâce au C0VlD_19

John W. & Nisha Whitehead — The Rutherford Institute
Sott.net
jeu., 06 mai 2021 13:10 UTC

Note du traducteur : Bien que cet article soit écrit du point de vue des États-Unis, il va sans dire que son contenu s’applique de la même façon pour une grande partie de la planète, et particulièrement pour les pays occidentaux, voire notamment pour l’Europe, qui serait l’actuel champ de bataille principal des élites au pouvoir.

Pour le meilleur ou pour le pire, le C0VlD_19 a changé la façon dont nous appréhendons le monde. Il en redessine également les frontières — ainsi que celles de nos libertés — et modifie les règles du jeu à une cadence qui dépasse notre capacité à suivre la métamorphose.
En grande partie à cause d’alliances profondes et, dans de nombreux cas, top secrètes du gouvernement étatsunien avec des nations étrangères et des entreprises mondiales, il est devenu de plus en plus évident que nous sommes entrés dans un Nouvel ordre mondial — un ordre mondial globalisé — composé d’agences gouvernementales et d’entreprises internationales.

Cette puissante cabale internationale, que nous appellerons l’État profond globalisé, est tout aussi réelle que l’État profond étatsunien corporatisé, militarisé et industrialisé, et elle représente une menace tout aussi grande, sinon plus, pour nos droits en tant qu’individus en vertu de la Constitution des États-Unis.

Nous nous sommes progressivement dirigés vers cet ordre mondial au cours des dernières décennies, mais le C0VlD_19, qui a rendu possible une imbrication encore plus étroite entre les intérêts des gouvernements et ceux des multinationales, lui a permis de passer à la vitesse supérieure.

Le fascisme est devenu une menace globale.

On ne sait toujours pas si l’État profond étatsunien — « un appareil de sécurité nationale qui exerce une influence même sur les dirigeants élus qui en sont théoriquement responsables » — répond à l’État profond globalisé, ou si l’État profond globalisé ne fait que donner du pouvoir à l’État profond étatsunien. Toutefois, on ne peut nier le degré d’imbrication et de symbiose qui existe entre eux.

Considérez dans quelle mesure nos vies et nos libertés sont affectées par cette convergence internationale d’intérêts gouvernementaux et de corporations à but lucratif pour ce qui est de la surveillance d’État, du complexe militaro-industriel, de l’industrie pénitentiaire privée, des secteurs du renseignement, de la sécurité, de la technologie, des télécommunications, des transports, de l’industrie pharmaceutique et, plus récemment, du secteur de la santé pharmaceutique.

Ils sont tous dominés par des méga-corporations qui opèrent à l’échelle mondiale et augmentent leurs marges de profit en travaillant par le biais de canaux gouvernementaux. Les politiques axées sur le profit de ces géants mondiaux influencent tout, des politiques législatives à l’économie en passant par les questions environnementales et les soins médicaux.

La maladie globalisée

La pandémie de C0VlD_19 nous a propulsés dans une toute nouvelle dimension mondiale. Ceux qui espèrent se frayer un chemin dans ce monde interconnecté et hautement technologique de recherche de contacts, de passeports vakxinaux et de laissez-passer numériques se trouveront aux prises avec des problèmes qui touchent à des questions morales, politiques, religieuses et personnelles profondément enracinées et pour lesquelles il n’existe peut-être pas de réponses claires.

Nous sommes sur le point de constater que notre capacité d’accès, d’engagement et de déplacement dans le monde dépend du camp dans lequel nous nous trouvons : ceux qui ont été vakxinés contre le C0VlD_19 et ceux qui ne l’ont pas été.

Heather Murphy écrit pour le New York Times :

« Il s’agit du tout nouveau symbole de statut social. Braquez-le vers les détecteurs technologiques, et vous pourrez avoir accès à des concerts, à des stades de sport ou à des tables de restaurant interdites depuis longtemps. Un jour, il pourra même vous aider à franchir une frontière sans devoir passer par une quarantaine. Le certificat de vakxination, c’est la nouvelle carte platine de l’ère du Covid. »

C’est ce que Ramesh Raskar, professeur au M.I.T., appelle la nouvelle « monnaie de la santé », un surnom approprié étant donné le rôle potentiellement lucratif que les grandes entreprises — Big Pharma et Big Tech, en particulier — joueront dans la mise en place de ce marché payant. L’industrie du transport aérien a travaillé sur un Travel Pass. IBM développe un Pass de santé numérique. Et le gouvernement étatsunien n’a pas hésité à laisser le secteur privé prendre l’initiative.

La surveillance globalisée

Sous l’impulsion de la National Security Agency (NSA), qui s’est montrée peu soucieuse des limites constitutionnelles ou de la vie privée, la surveillance d’État en est venu à dominer notre gouvernement et nos vies.

Pourtant, le gouvernement ne fonctionne pas tout seul. Il ne le peut pas. Il nécessite un complice.

Dès lors, les besoins toujours plus complexes de notre immense gouvernement fédéral en matière de sécurité, notamment dans les secteurs de la défense, de la surveillance et de la gestion des données, ont été satisfaits par le secteur des entreprises lequel s’est révélé être un puissant allié qui dépend de la croissance de la bureaucratie gouvernementale tout en la nourrissant.

Prenez AT&T, par exemple. Grâce à son vaste réseau de télécommunications qui sillonne le globe, AT&T fournit au gouvernement étatsunien l’infrastructure complexe dont il a besoin pour ses programmes de surveillance de masse. Selon The Intercept :
« La NSA considère AT&T comme l’un de ses partenaires les plus fiables et a salué « l’énergique volonté de collaborer » de l’entreprise. Cette coopération remonte à plusieurs décennies, mais peu de gens savent cependant que son étendue ne se limite pas aux clients d’AT&T. Selon les documents de la NSA, cette dernière porte un grand intérêt à AT&T non seulement parce que l’entreprise « a accès aux informations qui transitent à travers toute la nation », mais aussi parce qu’elle entretient des relations uniques avec d’autres fournisseurs de téléphonie et d’Internet. La NSA exploite ces relations à des fins de surveillance, en réquisitionnant l’infrastructure massive d’AT&T et en l’utilisant comme plateforme pour secrètement exploiter les communications traitées par d’autres entreprises. »

À présent, amplifiez à l’échelle mondiale les activités du gouvernement étatsunien par le biais d’AT&T, et vous obtenez le « Programme des 14 yeux », également appelé « SIGINT Seniors ». Cette agence d’espionnage mondiale est composée de membres du monde entier — États-Unis, Royaume-Uni, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Danemark, France, Pays-Bas, Norvège, Allemagne, Belgique, Italie, Suède, Espagne, Israël, Singapour, Corée du Sud, Japon, Inde et tous les territoires britanniques d’outre-mer.

Note du traducteur : La coalition SIGINT se compose de deux groupes : SIGINT Seniors Europe et SIGINT Seniors Pacific. L’existence de cette coalition a été découverte dans des documents classifiés issus des révélations de Snowden.

L’alliance européenne a été fondée en 1982 pendant la guerre froide, constituée à l’origine de neuf membres, et a collaboré pour surveiller les communications pendant les grands événements sportifs européens tels que les championnats de football et les jeux olympiques. Les documents ayant fait l’objet d’une fuite indiquent que Seniors Europe organise une conférence chaque année dans un lieu différent.

La division Pacifique (connue sous le nom de SSPAC) a été fondée en 2005, en réponse aux développements de la guerre contre le terrorisme et à l’augmentation des activités terroristes en Asie.

En ce qui concerne ces alliances mondiales, la surveillance n’est toutefois que la partie émergée de l’iceberg.

Les profits d’une guerre globalisée

La guerre est devenue une gigantesque entreprise lucrative, et grâce à leur vaste empire militaire et aux relations incestueuses qu’ils entretiennent avec une multitude d’entreprises internationales dans le secteur de la défense, les États-Unis figurent parmi les plus importants acheteurs et vendeurs d’armes.

Le complexe militaro-industriel étatsunien a érigé un empire inégalé dans l’histoire par son ampleur et sa portée, un empire dédié à la conduite d’une guerre perpétuelle sur toute la planète. Par exemple, tout en érigeant une politique sécuritaire nationale sur son sol, le complexe militaro-industriel a perpétué un empire militaire mondial avec des troupes étatsuniennes stationnées dans 177 pays — soit plus de 70 pour cent des pays du monde.

Bien que le gouvernement fédéral dissimule tellement bien ses dépenses de défense qu’il est difficile d’obtenir des chiffres précis, nous savons que depuis 2001, le gouvernement étatsunien a dépensé plus de 1 800 milliards de dollars dans les guerres en Afghanistan et en Irak — soit 8,3 millions de dollars par heure. Ce chiffre n’inclut pas les guerres et les exercices militaires menés dans le monde entier, qui devraient faire grimper la facture totale à plus de 12 000 milliards de dollars d’ici 2053.

La fusion illicite de l’industrie mondiale de l’armement et du Pentagone, contre laquelle le président Dwight D. Eisenhower nous avait mis en garde il y a plus de cinquante ans, représente peut-être aujourd’hui la plus grande menace pour la fragile infrastructure de la nation. L’empire militaire étatsunien en pleine expansion saigne le pays à blanc au rythme de plus de 15 milliards de dollars par mois (ou 20 millions de dollars par heure) — et ce chiffre ne comprend que les dépenses du gouvernement engagées dans les guerres étrangères. Il n’inclut pas le coût de l’entretien et du personnel des plus de 1 000 bases militaires étatsuniennes réparties dans le monde entier.

Il est incroyable de constater que, bien que les États-Unis ne représentent que 5 pour cent de la population mondiale, ils se targuent de totaliser près de 50 pour cent des dépenses militaires mondiales, consacrant plus d’argent pour l’armée que l’ensemble des dix-neuf autres nations les plus dépensières dans ce secteur. En fait, le Pentagone dépense plus pour la guerre que ce que les 50 États réunis de la Nation consacrent à la santé, l’éducation, le bien-être et la sécurité. Ce n’est pas pour rien que les termes « pléthorique », « corrompu » et « inefficace » sont parmi les plus couramment utilisés pour qualifier le gouvernement, en particulier le ministère de la Défense et ses sous-traitants. La surenchère des prix abusifs est devenue une forme acceptée de corruption au sein de l’empire militaire étatsunien.

Malheureusement, l’économie étatsunienne n’est pas la seule à être dépouillée.

Sous l’impulsion d’un secteur de la défense avide, la patrie étatsunienne a été transformée en champ de bataille où les forces de police sont militarisées avec des armes convenant davantage à une zone de guerre. En phase avec ses prédécesseurs, le président Biden continue d’étendre l’empire militaire étatsunien à la fois sur son sol et à l’étranger dans le but évident de satisfaire les puissants intérêts financiers — militaires, commerciaux ou liés aux entreprises de sécurité — qui dirigent en fait l’État profond et tiennent le gouvernement dans leurs griffes.

La police globalisée

Jetez un œil à des photos illustrant les forces de police de différents États-Nations et vous aurez du mal à les distinguer les unes des autres. Il existe une raison pour laquelle elles se ressemblent toutes, revêtues d’uniformes militarisés et équipées comme une armée permanente.

Il existe une raison pour laquelle elles agissent de manière uniforme et parlent le même langage de la force : elles appartiennent à une force de police globalisée.

Par exemple, Israël — l’un des plus proches alliés internationaux des États-Unis et l’un des principaux bénéficiaires annuels avec plus de 3 milliards de dollars [sur environ 6 milliards au total – NdT] d’aide militaire étatsunienne à l’étranger — a été à l’avant-garde d’un programme d’échange peu médiatisé visant à former la police des États-Unis à agir dans leurs communautés comme des forces d’occupation. Comme le résume The Intercept, cette police
« prend essentiellement des leçons auprès d’agences qui appliquent le régime militaire plutôt que le droit civil. »

Cette idée de maintien de l’ordre à l’échelle mondiale est renforcée par le programme Strong Cities Network, qui forme les services de police locaux de l’ensemble des États-Unis à identifier, combattre et prévenir l’extrémisme, ainsi qu’à lutter contre l’intolérance au sein de leurs communautés, en utilisant toutes les ressources à leur disposition. Les villes qui font partie du réseau mondial sont New York, Atlanta, Denver, Minneapolis, Paris, Londres, Montréal, Beyrouth et Oslo.

L’objectif est de prévenir l’extrémisme violent en ciblant sa source : le racisme, le sectarisme, la haine, l’intolérance, etc. En d’autres termes, la police — agissant comme un prolongement des Nations unies — identifiera, surveillera et dissuadera les individus qui manifestent, expriment ou s’engagent dans tout ce qui pourrait être considéré comme extrémiste.

Note du traducteur : En gros, nous sommes tous des terroristes en puissance. Voir aussi Post-démocratie covidienne : l’Allemagne annonce mettre sous surveillance les personnes critiquant les mesures liberticides

Bien entendu, l’inquiétude suscité par le programme gouvernemental de lutte contre l’extrémisme est qu’il sera, en de maintes occasions, utilisé pour rendre potentiellement extrémistes des activités non violentes et légales.

N’oubliez pas que les agences gouvernementales chargées de débusquer les « extrémistes » sur le sol des États-Unis atteindront leurs objectifs — identifier et dissuader les extrémistes potentiels — grâce au travail conjoint des centres de fusion (au nombre de 78 dans tout le pays, incluant des partenaires du secteur privé et du monde entier) des agences de collecte de données, des spécialistes du comportement, des entreprises, des médias sociaux et des organisateurs communautaires, tout en s’appuyant sur des technologies de pointe en matière de surveillance, de reconnaissance faciale, de maintien de l’ordre préventif, de biométrie et d’épigénétique comportementale — les expériences de la vie modifiant la constitution génétique d’une personne.

C’est le précrime à l’échelle idéologique et on le voit venir depuis longtemps.

Note du traducteur : Le terme « précrime » a été imaginé par Philipp K. Dick en 1956 et porté à l’écran dans Minority Report, après un concept similaire décrit en 1949 par George Orwell avec le « crime de pensée » – NdT]

Vous commencez à comprendre maintenant ?

Sur presque tous les fronts, qu’il s’agisse de la guerre contre la drogue ou celle menée contre les ventes d’armes, de la régulation de l’immigration, de la création de prisons, du progrès technologique ou de la lutte contre une pandémie, s’il y a un profit à réaliser et un pouvoir à accumuler, vous pouvez parier que le gouvernement et ses partenaires mondiaux ont déjà conclu un accord qui place le peuple étatsunien [et les autres – NdT] du côté des perdants.

Nous perdons nos libertés de manière tellement progressive depuis si longtemps — vendues au nom de la sécurité nationale et de la paix mondiale, maintenues par une loi martiale déguisée en loi et ordre, et appliquées par une armée permanente de policiers militarisés et une élite politique déterminée à maintenir ses pouvoirs à tout prix — qu’il est difficile de déterminer exactement quand tout a commencé à se dégrader, mais nous sommes désormais bel et bien engagés dans une trajectoire descendante, et tout s’accélère.

Le « gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » n’est plus.

Il a été remplacé par un gouvernement fantôme — une bureaucratie mondiale corporatisée, militarisée et enracinée — qui est pleinement opérationnel et dirige le pays.

Étant donné la trajectoire et l’expansion spectaculaire, la mondialisation et la fusion des pouvoirs du gouvernement et des corporations, il nous sera impossible dans vingt ans de reconnaître ce pays.

Il a fallu moins d’une génération pour que nos libertés soient érodées et que la structure de l’État profond globalisé soit érigé, étendu et bien établi.

Retenez bien mes mots : le gouvernement étatsunien ne nous sauvera pas des chaînes de l’État profond globalisé.

Certains vous diront que toute mention d’un gouvernement du Nouvel Ordre Mondial — une élite au pouvoir conspirant pour diriger le monde — relève de la théorie du complot.

Je ne fais pas partie de ces sceptiques.

Je crois sincèrement que l’on doit toujours d’une part se méfier de ceux qui sont au pouvoir, d’autre part s’alarmer au premier accroc fait à nos libertés, et que nous devons par ailleurs établir de puissants contrôles constitutionnels contre les méfaits et les abus du gouvernement.

Je peux également attester du fait que le pouvoir corrompt, et que le pouvoir absolu corrompt absolument.

J’ai suffisamment étudié l’histoire de ce pays — et l’histoire du monde — pour savoir que les gouvernements (le gouvernement étatsunien ne faisant pas exception) sont parfois indissociables du mal qu’ils prétendent combattre, que ce mal prenne la forme du terrorisme, de la torture, du trafic de drogue, du trafic sexuel, du meurtre, de la violence, du vol, de la pornographie, des expériences scientifiques ou de tout autre moyen diabolique d’infliger douleur, souffrance et servitude à l’humanité.

Commentaire : Voir aussi Ponérologie : pourquoi l’élite corrompue nous inflige autant de mort, de destruction et de souffrance

Et j’ai vécu assez longtemps pour voir de nombreuses théories complotistes se transformer en faits très concrets.

Souvenez-vous, les gens se moquaient autrefois de la notion d’État profond — alias gouvernement de l’ombre. Ils doutaient que le fascisme puisse jamais s’implanter aux États-Unis et se moquaient de toute suggestion selon laquelle ces derniers commençaient à ressembler à l’Allemagne nazie dans les années qui ont précédé la montée au pouvoir d’Hitler.

Comme je le détaille dans mon livre Battlefield America : The War on the American People [« Le champ de bataille des États-Unis : la guerre menée contre le peuple américain », non traduit en français – NdT], nous commençons à mieux savoir, n’est-ce pas ?

À propos de l’auteur :

L’avocat constitutionnel et auteur John W. Whitehead est le fondateur et le président de l’Institut Rutherford. Ses livres Battlefield America : The War on the American People et A Government of Wolves : The Emerging American Police State sont disponibles sur www.amazon.com. Il peut être contacté à l’adresse johnw@rutherford.org. Nisha Whitehead est la directrice exécutive de l’Institut Rutherford. Des informations sur l’Institut Rutherford sont disponibles à l’adresse www.rutherford.org.

Source de l’article initialement publié en anglais le 27 avril 2021 : The Rutherford Institute
Traduction : Sott.net

Français, attention ! Eveillez-vous ! Les prêtres du Grand Reset Mondial sortent du bois.

Audrey Tcherkoff la protégée d’Attali l’ennemi de la France sort le  » Manuel pour une sortie positive de la crise  » Écoutez ce qu’ils disent tous et toutes, ils ont déjà tout prévu depuis bien longtemps…

Source: chaîne Youtube de Hocine Le DZ

Alternative Odysee: https://odysee.com/@HocineLeDZ:a

Pass sanitaire et flash totalitaire

Publié le 15 mai 2021 – par Nicole Delépine

Le “pass” sanitaire est refusé consciemment par les plus âgés qui n’ont pas oublié les relents d’étoile jaune et de camps de concentration, découverts parfois tardivement à la Libération pour trop de leurs parents, avec leurs lots d’horreur et monceaux de cadavres calcinés et de survivants zombifiés.

Un refus largement partagé

Même s’ils n’en parlaient pas souvent, cette génération était tout de même hantée par ces images et parfois cette culpabilité du « laisser-faire » pour beaucoup et du « pas fait assez » pour d’autres. Les films terribles comme Nuit et Brouillard nous ont transmis, à nous baby-boomers, cette honte et cette obsession du « plus jamais cela » que certains ont cru éloigner en votant pour l’Union européenne.

Que de naïveté alors que nous découvrîmes trop tard que les fondateurs de cette UE soi-disant protectrice de la rechute n’étaient que des hauts fonctionnaires du Reich reconvertis.[1] Une autre Histoire (ou la même) à approfondir.

 Quant aux plus jeunes, beaucoup sont très réticents au “pass”, sentant l’arnaque de loin, en dehors peut-être de certains bobos parisiens qui ne rêvent que des discothèques fermées, oubliant le reste entre deux bouffées de cannabis plus ou moins autorisées. Mais cette jeunesse parisienne, et encore limitée à quelques quartiers, ne résume pas la jeunesse et gageons que les jeunes Bretons ou habitant du Larzac sauront organiser des rave parties enfin libres.

Un comble serait que le cannabis circule librement et pas les humains. Pas de problème, ils se déguiseront en zombies de toute sorte et en superhéros et passeront par-dessus cette bureaucratie tyrannique délirante et ses soutiens soumis qui ont laissé les enfants innocents du c0vid masqués depuis si longtemps !

 Il a fallu créer des variants via les vakx1s pour permettre de poursuivre la grande mise au pas et la restriction des libertés inventée par nos nouveaux maîtres chinois sans justification sanitaire. D’autant que, rappelons-le encore et encore, pour les malades il existe des traitements efficaces hydroxychloroquine et macrolides, ivermectine à condition de traiter tôt !

 À quoi correspond cette brutale décision d’imposer un “pass” sanitaire [2]

Pour l’auteur de l’article cité du Courrier des Stratèges, Éric Verhaeghe : « la mise en place du pass sanitaire donne lieu à un magnifique flash totalitaire provoqué par Emmanuel Macron. Dans ces moments où la démocratie cède brièvement la place à des mesures autoritaires illibérales, la propagande d’Etat donne dans la novlangue à la Big Brother de 1984. Ce qui est liberticide devient libérateur, et ce qui est libérateur est dénoncé comme une menace. »

Éric V. se demande quel emprunt Macron et la Commission européenne font au Great Reset de Davos pour se rallier à cette mesure fondamentale du capitalisme de surveillance totalitaire prôné par Schwab.

« L’instauration du pass sanitaire illustre à merveille ces moments de la démocratie qu’on peut appeler des flashs totalitaires : ou, sans modifier l’état général du droit, le pouvoir décide soudain de ne plus le respecter et d’imposer une mesure totalement illégale en utilisant toutes les armes dissuasives du pouvoir : la contrainte, l’intimidation, la corruption. Une petite mise en perspective des différentes étapes de ce dossier emblématique permettra de mieux le comprendre ».

Le “pass” sanitaire venu de nulle part

En janvier 2021, le gouvernement via son ministre de la Santé avait bien précisé qu’il n’était pas question de passeport sanitaire en France. Et brutalement, venu de nulle part ou peut-être d’un coup de téléphone de Mme Merkel ou de son ami Schwab, Macron annonce les mesures de déconfinement dans un entretien à la presse régionale le 29 avril 2021 et le “pass”.

« Il ajoute, dans une impressionnante démonstration de novlangue : Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis. Par contre, dans des lieux où se brassent les foules, comme les stades, festivals, foires ou expositions, il serait absurde de ne pas l’utiliser. (…)

 Dans la novlangue du « en même temps » tout et son contraire sont dits en permanence : « en réalité, le président de la République saute à pieds joints dans un monde où l’accès aux lieux publics est subordonné à l’affichage de ses données de santé. Les malades sont exclus, et seuls les bien-portants obéissants sont supposés avoir une place dans le groupe. Et E. Macron termine son intervention par ces phrases emblématiques de la propagande totalitaire : c’est juste et ça ne fracturera pas le pays. Ce sera un outil supplémentaire pour assurer la protection des Français ».  

Orwell avait bien vu et il n’aura fallu que 80 ans pour que les principes totalitaires réapparaissent à toute vitesse de façon ouverte dans notre vie quotidienne. La précipitation de leurs introductions dans la loi est explicite de la volonté totalitaire pour éviter que les citoyens aient le temps de réaliser l’immense violation des principes de liberté de notre Constitution. Quelques sondages des médias affiliés aux milliardaires et au pouvoir du Nouvel Ordre mondial et le tour est joué, on leur fera aisément croire que « tous les autres » sont d’accord voire demandeurs et les plus sincères tomberont dans le piège.

Ce phénomène de meute est d’autant plus fascinant que dors et déjà les USA [3] , la Russie et l’OMS refusent ce passeport et que la vakxination est loin d’avoir démontré son efficacité qui seule aurait permis de séparer contaminants de contaminés potentiels. Or pour l’instant, on découvre que ce sont plutôt les vakxinés qui sont les plus contagieux ![4]

Flash totalitaire au Parlement décrit par Eric Verhaeghe

« le gouvernement évoque la « sortie de crise », il faut comprendre le sens de la novlangue qui désigne en réalité le maintien des mesures liberticides au-delà de la crise. 

Voici la description de l’enchaînement des événements donnée par le député républicain Philippe Gosselin :  le pass sanitaire, par exemple, nous a été présenté du jour au lendemain, deus ex machina , le 3 mai, quarante-huit heures avant l’examen du projet de loi en commission des lois et, bien sûr, sans que le Conseil d’État ou qu’aucune organisation ou autorité indépendante ne se soit prononcé.

Voilà donc une mesure légale qui restreint les libertés, parachutée dans la loi sans avis préalable du Conseil d’État, et finalement adoptée le 12 mai au soir. Soit un délai record pour une disposition fondamentale dans la pratique de nos libertés ».

C’est précisément ce qu’on appelle un flash totalitaire, un passage en force en dehors de nos libertés.

Aucune justification sanitaire ! Même le Conseil scientifique est réticent dans son avis du 3 mai 2021.

Il précise

« le Conseil scientifique estime que le pass sanitaire, utilisé de manière temporaire et exceptionnelle, peut permettre à la population une forme de retour à la vie normale en minimisant les risques de contamination par le virus SARS-CoV-2. Son usage peut s’inscrire dans une démarche citoyenne de renforcement des capacités et du pouvoir d’agir des individus (empowerment) face à l’épidémie tout en prenant en compte la protection de l’usage des données personnelles ».

Novlangue toujours, on savait que Emmanuel Macron avait lu Machiavel, mais il n’avait pas omis Orwell et Huxley : « instaurer un “pass” sanitaire serait un « renforcement du pouvoir d’agir des individus »…

Le Conseil scientifique prétend que le “pass” « peut permettre une forme de retour à la vie normale, à condition qu’il soit « temporaire et exceptionnel ».

Mais le “pass” sanitaire présenté par Olivier Véran à la commission des lois n’est ni temporaire, ni exceptionnel : il devrait être gravé dans le marbre, même une fois la pandémie vaincue. « Nouveau signal totalitaire, donc : on consulte un « corps intermédiaire » en urgence, et on outrepasse son avis » selon Eric Verhaeghe.

Le passage en force au Parlement a complété cet épisode exemplaire du totalitarisme qui se met en place. Après un vote de défiance du Parlement, le Premier ministre a déclaré à la TV « on va faire revoter » et effectivement, dans la nuit, après de petites magouilles de bas étage, il a obtenu un vote favorable qui fait moquer la démocratie française partout dans le monde.

Il reste au Sénat à jouer son rôle et d’ici-là au peuple d’exprimer son désaccord à tous les sénateurs en les joignant directement.

Et pourtant la CNIL …

Un avis de la CNIL nourrit la défiance : le lendemain de l’adoption du texte en première lecture par l’Assemblée nationale : la CNIL se prononce en urgence, manifeste les mêmes réticences que le Conseil scientifique vis-à-vis d’une aventure imposée au forceps. Elle rappelle la nécessité de s’assurer du caractère temporaire du dispositif.

Pourquoi la CNIL ne rend-elle son avis que le lendemain de l’adoption du texte par l’Assemblée ?

« La CNIL met en avant, dans son avis, l’importance d’assurer l’inclusion de l’ensemble de la population dans le dispositif afin d’éviter tout risque de discrimination, en raison de l’état de santé mais également en raison de la capacité d’accès et d’usage des outils numériques telle que l’application TousAntiC0vid. »

Comme tout un chacun, la CNIL pointe du doigt les risques majeurs de discrimination entre les personnes, des malades présentant des contrindications médicales évidentes à l’accès à ces thérapies géniques, aux personnes vakxinées qui seront néanmoins positives au test PCR, comme des quarantaines en Australie de voyageurs vakxinés mais positifs le démontrent déjà en pratique.

Le 29 avril, le Président avait affirmé le contraire. Aurait-il donc menti ?

MISE EN PLACE MACRONIENNE DU GRAND RESET ?

Au-delà de l’inertie liée à la persistance d’un certain degré de sidération, on imagine mal les Français accepter les réactions à l’entrée d’un stade ! De très nombreux témoignages sur les réseaux font part de leur refus absolu d’entrer dans ce système. Nous sommes loin de l’accord quasi général de la population auquel les médias voudraient nous faire croire.

Éric Verhaeghe. se demande pourquoi le Président et la Commission européenne prennent-ils tant de risque à quelques mois des élections allemandes et de l’élection présidentielle française.

Et il conclut :  Macron met en place le Great Reset en France.

« Quand c’est flou, on le sait, c’est qu’il y a un loup… Et le loup, nous savons tous quel il est. Il est exposé dans le Great Reset de Klaus Schwab, le fondateur du Forum de Davos. Les technostructures européennes sont bien décidées à utiliser la pandémie pour imposer des mesures durables de surveillance généralisée des populations, en violation de la démocratie, au nom de la protection sanitaire. C’est ce qu’on appelle le capitalisme de surveillance, qui passe par un traçage des populations au moyen des technologies nouvelles. 

Face à ce projet public, conscient et organisé, les mécanismes libéraux de protection comme la CNIL semblent bien faibles. »

Pourtant le peuple a toujours du pouvoir, s’il en est conscient. C’est dans cette optique que des médecins et autres tentent de mobiliser les sénateurs et les députés afin qu’ils mesurent la gravité de ce premier vote et recalent le projet dans un second temps.

Vous pouvez signer la pétition :   Passeport sanitaire =Vakxination forcée déguisée (petition-passeport-sanitaire.com)


À l’attention de Monsieur le Premier ministre Jean Castex

Monsieur le Premier ministre,

 Depuis 1 an, le gouvernement et les autorités de santé ont adopté une série de mesures qui n’ont jamais pu être validées avec le recul nécessaire, sur le plan scientifique.

À chaque fois, le débat public a été quasiment écarté.

Comme jamais dans notre histoire récente, des décisions aussi importantes pour la santé publique ont pu être prises sans aucun débat démocratique.

Des restrictions de liberté sans précédent ont été mises en œuvre en France : entrave à la liberté de circuler, couvre-feu, etc.

Les droits les plus fondamentaux de notre société ne doivent pas être malmenés même pour des raisons sanitaires.

C’est la force de notre démocratie.

Aujourd’hui, nous sommes très inquiets face au projet proposé par la Commission européenne sur le certificat numérique vert.

Cette mesure reviendrait notamment à stigmatiser les citoyens qui ne sont pas vakxinés, qui n’ont pas fait de tests ou qui n’ont pas développé d’anticorps.

 C’est une mesure contraire au principe d’égalité, qui est le ciment de notre société.

 En tant que chef du gouvernement, nous vous demandons :

de veiller à ce que la liberté élémentaire de chacun de se soigner comme il l’entend soit garantie, même en situation d’urgence sanitaire ;

de veiller à ce que chacun soit libre de se faire vakxiner ou non, surtout quand il s’agit de vakx1s nouvellement développés ;

de veiller à ce que nos autorités de santé prennent les décisions de façon raisonnée ;

de veiller à ce qu’aucune décision n’obéisse à la pression médiatique ni à celles des industriels de la santé.

C’est la responsabilité historique du Premier ministre de la France de prendre ces mesures difficiles pour garantir notre liberté et la santé de tous.

C’est pourquoi je vous adresse solennellement cette pétition nationale.

 Je compte sur vous, Monsieur le Premier ministre, pour aider la France à faire face à cette crise sanitaire, en protégeant la santé de tous les habitants tout en garantissant notre liberté.

Avec ma respectueuse considération,

 L’Association Santé Naturelle »

Et bien d’autres pétitions entre autres contre le passeport sanitaire :

VOTEZ CONTRE LA PRISE D’OTAGES DE NOS LIBERTÉS FONDAMENTALES

https://www.mesopinions.com/petition/politique/votez-contre-prise-otages-nos-libertes/120370

NON AU PASSEPORT SANITAIRE C0VlD-19

https://www.mesopinions.com/petition/sante/passeport-sanitaire-c0vid-19/120748

NON AU PASS SANITAIRE, NON AU PASSEPORT VAKXINAL

https://www.mesopinions.com/petition/politique/pass-sanitaire-passeport-vakxinal/129028

NON au passeport vakxinal

https://www.leslignesbougent.org/petitions/non-au-passeport-vakxinal/

NON au projet de loi “sur la gestion de sortie de crise sanitaire”, et particulièrement NON au “pass sanitaire”

https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-402

Question de la constitutionnalité du pass sanitaire

https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-350

JOINDRE VOS ÉLUS

Vous pouvez aussi joindre votre maire, votre député ou envoyer par mail (un par un pour que ça passe) une lettre de protestation selon ce modèle proposé par l’ingénieur P. Pradat, ou un texte personnel à votre guise.

Pour les mails des sénateurs d’ici mardi 18,  et au delà  toutes les adresses des sénateurs sont ici :

Taper http://www.voxpublic.org , puis aller sur “Annuaires partagés” : sénateurs.

Pour Gérard Larcher : bureauducabinet@senat.fr

Extrait de la lettre proposée par P. Pradat

« Le 13 mai 2021,

Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur

La France met en place depuis quelques mois une campagne de vakxination C0vid intense et nous voulons vous alerter sur les effets de cette campagne vakxinale. En premier, il convient de rappeler que les essais cliniques de phase 3 sont en cours, et ne seront terminés qu’en 2022 voire 2023. La sécurité des vakx1s C0vid n’est donc pas connue à ce jour.

En ce qui concerne les effets à long terme, il est impossible de savoir quelles pourraient être les conséquences de la vakxination. Il est nécessaire de rappeler qu’aucun vakx1s à base d’ARN messager ou de construction génétique dans un adénovirus n’a jamais été injecté à grande échelle sur une population saine.

il est urgent d’arrêter la vakxination, et de bloquer la mise en place du passeport sanitaire, qui au-delà d’être liberticide, ne servira à rien, car les vakxinés sont porteurs du virus et le disséminent.

Il est frappant de relire la déclaration du ministre de la Santé le 31/03 dans le Figaro (Pourquoi le Conseil d’État vient de refuser de déconfiner tout de suite les personnes vakxinées (lefigaro.fr)) :

Les souches sud-africaines et brésiliennes « peuvent notamment occasionner des réinfections chez des personnes qui ont déjà été contaminées au C0vid-19, ainsi qu’un risque d’échappement vakxinal », soulignait le ministère.

« L’efficacité des vakx1s n’est que partielle », ajoutait-il : « dès le stade des essais […] il n’y avait donc pas de garantie d’immunité » pour les personnes vakxinées. Les vakx1s présentent aussi une « efficacité moindre » contre les variants et des incertitudes subsistent quant à la protection offerte par les doses contre la transmission du virus aux tiers.

Également, les personnes vakxinées « sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès », si le vakx1 ne fonctionne pas ou en cas de « réinfection post-vakxinale ».

« Les personnes vakxinées peuvent développer des formes peu graves, voire ne pas être symptomatiques, et diffuser tout de même le virus », relevait le ministère.

Toute différenciation serait « prématurée » : « il n’y a pas de justification à exempter les personnes vakxinées » des restrictions en vigueur, concluait-il.

Vous avez bien lu… les personnes vakxinées « sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès », si le vakx1s ne fonctionne pas ou en cas de « réinfection post vakxinale ».

« Les personnes vakxinées peuvent diffuser tout de même le virus ». Être vakxiné présente des dangers, c’est le ministre lui-même qui le déclare…

On peut donc s’interroger sur la motivation du gouvernement à poursuivre de façon acharnée cette campagne mortifère.

Le “pass” sanitaire qui permettrait aux vakxinés d’aller partout sans contrainte est dangereux et doit être stoppé de toute urgence.

Il est aberrant d’imaginer que de très nombreux jeunes gens en bonne santé vont aller se faire vakxiner pour pouvoir aller au concert ou assister à un événement sportif [5].

Enfin, pour sauver des vies, des traitements très efficaces et non toxiques pourraient être utilisés https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/recours-gracieux-aupres-du-ministre-de-la-sante-pourlivermectine

Vous priant d’agréer Madame, Monsieur l’expression de nos sentiments les meilleurs, Véronique Malard, Chercheur en Toxicologie et P. Pradat ingénieur. »

Chacun peut contribuer à l’information de ses proches, voisins, amis et de ses élus. IL est URGENT D’AGIR. Chaque pas supplémentaire vers le totalitarisme rend l’inversion vers la récupération de nos libertés plus difficile.

Protégez nos enfants et l’avenir.

Nicole Delépine

[1] Walter Hallstein était le premier président de la Commission européenne. Concepteur de la construction européenne, il fut aux yeux de l’histoire un des pères fondateurs de cette Europe de la paix et a toujours été associé aux remarquables Robert Schuman et Jean Monnet (1). Le problème c’est que c’était un nazi. Est-ce vrai, comment est-ce possible et si c’est le cas pour quelle raison l’opinion publique l’ignore ?  (1) à propos duquel les dossiers déclassifiés par la CIA ont prouvé qu’il était un de leur agent -ndlr)

Lire le détail sur

Le “pass” sanitaire, ce flash totalitaire entre novlangue de Big Brother et Great Reset

14 mai 2021 Éric Verhaeghe Fil coronavirusFil des libertésGreat Reset 3

[3]Le Figaro avec AFP C0vid-19 : la Maison-Blanche écarte l’idée d’un passeport vakxinal fédéral 06/04/2021

[4] Le danger actuel n’est pas le virus mais bien le vakx1 ! – (ripostelaique.com)

Un collectif international de médecins met en cause la vakxination anti-C0VlD – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

– https://nouveau-monde.ca/doit-on-avoir-peur-des-personnes-vakxinees-contre-le-c0vid-les-non-vakxines-sont-ils-menaces-ou-en-danger/

[5] Au Texas à peine plus vakxiné que nous toutes les restrictions prétendument sanitaires ont été levées et les matchs se tiennent en public sans aucune contrainte depuis 72 jours et l’épidémie régresse

Comment expliquer l’adhésion massive des individus et des sociétés au discours manipulateur du pouvoir ?

CONSTAT DÉSARMANT ! Concernant la France, rappelons-nous que 28% des électeurs inscrits sur les listes électorales avaient voté aux présidentielles de 2017 pour Emmanuel Macron ! La magistrale manipulation médiatique allait ensuite faire le reste pour que cet homme, sans profil de chef d’État, se retrouve à la présidence française !

Il y a une foule de personnes très intelligentes, brillantes, douées même, avec du talent, qui pourtant adhèrent étrangement au discours narratif de la propagande du pouvoir, cette dernière manipulant de manière sidérante, les personnes paraissant placées sous hypnose par le jeu dangereux du psittacisme médiatique…


Commentaire : Définition de psittacisme médiatique :

Fait de répéter quelque chose comme un perroquet en raisonnant sans comprendre le sens des mots que l’on utilise; en partic., récitation mécanique de mots, de phrases, de notions dont le sens n’a pas été compris ou a été mal assimilé (d’apr. Aur.-Weil 1981). C’est à se demander si l’évolution de l’homme, si sa culture n’a pas entraîné la faune à sa suite, et si l’art du chant ne s’est pas développé chez les oiseaux de nos pays par une sorte de contagion (j’allais dire : par psittacisme) (Gide, Journal,1938, p. 1302). Le discours concret implique d’une part le radotage, le psittacisme, les formules toutes faites, et d’autre part l’intuition qui propulse cette phraséologie et lui donne un sens (Jankél., Je-ne-sais-quoi,1957, p. 253).

On est spontanément enclin à penser a priori qu’un être intelligent se pose des questions de bon sens, face à l’incohérence, face à une absence de logique, face aux signes objectifs d’un délire collectif, ou face à des éléments probants indiquant d’évidents « conflits d’intérêts » qui devraient en soi alerter toute conscience et toute intelligence même a minima !

Toute personne intelligente devrait se demander : Pourquoi l’OMS a-t-elle organisé en 2005, la signature d’une charte, d’un règlement sanitaire, indiquant que « tous les membres adhérents et signataires de la charte devraient impérativement se conformer aux directives du Conseil Mondial de la Santé, à partir du moment où il y aurait des critères de pandémie retenus par l’OMS » ?

Le Docteur Louis Fouché recommande souvent, pour une bonne compréhension de ce qui se passe, autour de cette « crise coronavirus », de « suivre l’argent » ! Celui qui paie est aussi celui qui commande ! Celui qui est le premier contributeur de l’OMS est aussi celui qui décide de ce qui se passe à l’OMS.

Or, dans le Top 20 des plus gros contributeurs de l’OMS, nous pouvons tous vérifier et découvrir, si cela n’est pas déjà fait, que c’est La Fondation Gates et l’Alliance GAVI qui arrivent en tête des plus gros contributeurs de l’OMS. (Cf., Traitements génétiques anti-c0vid, par le Dr Vincent Reliquet, le 3 mai 2021, dans ReinfoC0vid)

Une personne rationnelle, intelligente, cultivée, qui a du bon sens, et qui devrait être bien informée, devrait aussi logiquement se poser naturellement la question de savoir pourquoi ce milliardaire informaticien, fondateur de Microsoft, s’intéresse-t-il d’aussi près à un secteur d’activités qui ne relève pas de sa compétence : le domaine de la Santé Mondiale ?

Pourquoi des puissances d’argent financent-elles des campagnes de propagande utilisant le chantage, les mesures liberticides, les incohérences multiples de la répression « sanitaire » pour terrifier les populations des pays riches en les acculant peu à peu à l’acceptation « consentie » de la « vakxination » de masse ?

Le journal d’information du 12 mai, en Espagne, expliquait qu’une personne âgée était morte dans une maison de retraite par la « faute » de personnels soignants ayant refusé la « vakxination ». Les personnels qui avaient pu constater cette malheureuse « conséquence », ajoutait l’odieuse et scandaleuse propagande, s’étaient laissés convaincre de se faire « vakxiner » ! Le bon sens est capable en temps normal de se dire que rien de tout cela ne peut être prouvé ! Il est absolument révoltant que l’on puisse prendre en considération une telle perversion prise pour une conscience « responsable ».

Il est grave de se mettre à croire sans sourciller à une telle moralisation et culpabilisation privée de tout fondement sérieux. L’obscurantisme le plus détestable est revenu en Espagne et ce peuple hautement manipulé par une propagande acharnée, a basculé dans une « croyance » à la limite d’une arriération mentale collective… En écoutant ce genre de chose, il y a de quoi rester sans voix, tellement le délire collectif peut être sidérant et particulièrement désarmant ! A travers de telles déclarations, on entend à nouveau les anciennes accusations faites par les inquisiteurs s’adressant aux femmes qu’ils martyrisaient par le feu des bûchers en les accusant d’avoir copuler avec le diable ! Je ne vois pas la différence qu’il pourrait y avoir entre ce que la nouvelle de ce jour, faite en Espagne, nous apprend sur la « faute » des non « vakxinés » et ce qui pouvait se passer au Moyen-Age dans le contexte de la chasse aux sorcières !

Maintenant, nous pouvons aussi nous demander pourquoi les pays pauvres n’ont-ils pas été aussi convoités et harcelés par la propagande que les pays riches ? Il est notoire que les pays pauvres aient beaucoup moins de moyens sanitaires à leur disposition que les pays riches ! Pourquoi, dans ce cas, ce sont pourtant les pays pauvres qui ont été les moins concernés par la « pandémie », notamment les pays Africains ?

Pourquoi les chiffres, dans leur ensemble, concernant cette « pandémie » théorique, ont-ils été falsifiés pour les pays développés, comme cela est incontestable pour les honnêtes gens et parce que cela a été largement démontré ? On peut revoir les nombreuses sources déjà publiées dans plusieurs articles précédents traitant de la crise « coronavirus » sur www.mondialisation.ca

Pourquoi la propagande continue-t-elle de nous mentir sur ce qui se passe en Inde, au Brésil, aux USA, alors que des informations vérifiées nous permettent de savoir que le mensonge est largement diffusé de manière ininterrompue sur les Médias collabos ? Pourquoi ces médias sont-ils mobilisés en permanence dans le but de retenir les personnes et les groupes de personnes dans une « croyance » aveugle au bien-fondé des mesures « barrières » qui sont anachroniquement maintenues ? Pourquoi peut-on encore observer dans tout l’Occident, ce but apparemment destiné à nourrir la « peur » permettant de parvenir à une « vakxination » globale de toutes les populations trop habituées à la contestation, comme les Gilets jaunes ou aujourd’hui les militaires français, dont la culture révolutionnaire a renforcé le réflexe d’insoumission ?

On peut aussi se demander pourquoi les télévisions du monde occidental se prêtent-elles avec autant d’intérêt à une collaboration acharnée, loyale, avec le système qui veut avantageusement contrôler les populations ? Elles sont bien entendu en soi, l’expression même d’un pouvoir inouï sur les opinions publiques ! Les télévisions étant aux mains de milliardaires participant à la grande puissance financière mondialisée et parce que ces gens-là font partie du club fermé des « Forum Économique Mondial » de Davos, et autres Clubs prestigieux, il va de soi que leurs services très appréciés entrent dans les plans de ce Nouvel Ordre Mondial se cachant derrière les grandes Institutions comme l’OMS.

Pourquoi des médecins et des hôpitaux ont-ils été grassement payés pour faire gonfler les chiffres des morts « par coronavirus », comme cela a été révélé peu à peu dans le courant de l’année passée ? On peut consulter les sources dans les nombreux articles qui ont été publiés sur ce sujet dans www.mondialisation.ca tout au long de l’année 2020. Pourquoi des hôpitaux ont-ils accepté de faire de la mise en scène des morts à profusion, montrant des malades dont il n’était pas possible de voir les visages ? Où sont passés les malades encombrant par centaines les couloirs saturés d’hôpitaux débordés ? Qui sont ces médecins qui ont été placés dans l’obligation de choisir qui allait vivre et qui allait mourir, faute de places? Pourquoi la manipulation, le mensonge, la falsification des chiffres, des statistiques, des études dites « scientifiques » ont-ils déversé à profusion leur désinformation sur les populations désabusées par le moyen des médias les plus consultés ?

Comment les États sont-ils parvenus à faire porter le masque à toute personne sensée, au grand air, dans les bois, sur les plages désertes, sur les chemins isolés de randonnées, en pleine nature largement ventée, sans qu’aucune preuve ne soit jamais apportée d’une utilité́ réelle du port de ce masque, qui d’ailleurs est clairement déclaré, par leurs fabricants, comme n’étant pas destiné ni approprié à une protection anti virale ? De nombreuses études scientifiques, largement documentées, ont été publiées depuis plus d’un an maintenant sur ces questions des « barrières » imposées par des « Conseils scientifiques » largement contestés pour « conflits d’intérêts » … On peut se reporter aux publications de ReinfoC0vid qui renvoient à ces sources nombreuses sur toutes ces questions.

Comment les « autorités » sont-elles parvenues à évoquer le principe d’un « passeport vakxinal » pour un virus qui s’est montré très peu létal, (comme les statistiques contrôlées le prouvent,) enclin à la mutation permanente, menaçant essentiellement des personnes de plus de 80 ans et déjà concernées par des « comorbidités » bien connues aujourd’hui ?

Comment peut-on expliquer le fait que toutes ces aberrations n’aient pas provoqué chez des personnes douées d’intelligence, des réactions critiques majeures et les questions relevant d’un simple bon sens ?

Nous allons analyser ces faits révélateurs de ce qui se passe pour comprendre comment des gens intelligents ont-ils pu se mettre à radoter les inepties entendues en boucle sur les TV du monde Occidental et comment ces gens ont pu adhérer à ce mensonge sans réagir rationnellement.

LE MÉCANISME DE L’ABÊTISSEMENT

Grâce à l’importance qu’ont les télévisions de la société dite « évoluée », une pratique de la manipulation va permettre de répandre à grande échelle une propagande permanente visant à modifier les références cognitives habituelles des personnes ainsi que leurs repères comportementaux donnés par la culture scientifique et historique. Puis, par ce tour de passe-passe, la manipulation parvient à remplacer ces références et ces repères, par des normes sorties d’on ne sait quel chapeau et sans qu’à aucun moment la supercherie ne soit soupçonnée ! C’est parfaitement sidérant !

Des comportementalistes ont démontré, comme chacun devrait désormais le savoir, qu’après une minute d’écoute, l’activité́ cérébrale du téléspectateur se modifie. Ils ont observé que la pensée logique et critique s’amenuisent et glissent vers une sorte de lâcher-prise comparable à celui que l’on obtient en hypnose. Nous sommes nombreux à pouvoir dire comment on se retrouve souvent endormi devant la télé ! La propagande utilise tout bonnement cette qualité hypnotique du téléviseur d’autant plus qu’il est présent partout, même sur les lieux de travail !

Le psittacisme informationnel pratiqué en boucle, répétant sans cesse les mêmes informations manipulées, sur des cerveaux en état hypnotique, va réussir à convaincre les personnes qu’elles sont réellement informées tout en entrant dans une croyance qui n’a aucun rapport avec un savoir en tant que tel ! C’est le secret de la pensée unique et du politiquement correct qui a créé une intolérance spectaculaire au sein de la société ne supportant plus le moindre écart d’une pensée non alignée… Peu à peu un nouveau modèle social s’est construit à partir de la pensée unique dominante et chaque individu a cherché dès lors à lui correspondre. Puis, le réflexe grégaire du peuple, bien connu des comportementalistes, allait entraîner une soumission de chacun comme de tous à des règles aberrantes persuadant tout citoyen qu’il est le gardien de l’ordre établi. Le mouton allait de lui-même à l’abattoir sans que personne n’ait plus à l’y conduire de force et en étant de plus persuadé que c’est là son bien, son bonheur, sa félicité…

La procédure est simple à comprendre : les programmes de télévision proposent un mixte quasi permanent entre les informations alarmistes, destinées à alimenter la peur, et des émissions de divertissements particulièrement débiles pour ne pas dire aliénantes, afin de provoquer l’endormissement de la vigilance intellectuelle des personnes. Ce genre d’émissions de télévision pullulent en Espagne plus qu’ailleurs en Europe ! La censure est à la fête sur tous les médias collabos du système et elle sévit à longueur de temps dès qu’un mot de travers est repéré par les surveillants algorithmes ! La lecture ou l’audition d’un débat ne permettent pas la manipulation hypnotique des personnes. Il n’y a donc pas de débats mais des campagnes de propagande partisane à sens unique et on ne laisse pas de temps aux gens pour lire des livres qui pourraient les informer en profondeur. D’ailleurs toute la publicité pour ces études, ces expertises, les informations scientifiques non grevées par les « conflits d’intérêts », est systématiquement censurée ! « L’imprimatur et le Nihil obstat » de la censure ecclésiastique pratiquée par l’Inquisition est aujourd’hui de retour dans le monde de l’édition. La société a spectaculairement régressé pour être étouffée dans sa soif de liberté !

Dans un autre article, nous avons déjà évoqué « La stratégie du choc » de Naomi Klein. Cette stratégie a pour but d’initier et de maintenir un « chaos social ». La technique du choc permet de créer par une annonce, une image ou un commentaire, un état de sidération. On pense aussitôt aux images des attentats, même celles qui ont été carrément truquées ; on pense aux images d’hôpitaux submergés dans l’Est de la France ou en Italie, de malades évacués par TGV, par hélicoptères militaires, par bateaux de la marine nationale ou par bus aménagés, on pense aux commentaires anxiogènes sur le nombre de morts à venir… Les populations terrifiées, ont ensuite attendu dans la peur le choc suivant qui serait aménagé par les prises de parole de l’exécutif dirigeant un « Conseil de défense » aux commandes d’un « état d’urgence sanitaire » !

Tous ces chocs successifs avaient pour but de faire « croire » que les sacrifices consentis étaient certes pénibles à supporter mais nécessaires et que, grâce à ces sacrifices inouïs, la vie reprendrait ses droits en retrouvant le bien être d’une existence sauvée par eux ! Le narratif officiel s’est ainsi imposé à tous, via essentiellement une infantilisation exceptionnelle développée à cette occasion !

On repense en premier lieu à cette manipulation par infantilisation qui consiste à rédiger un document s’autorisant à soi-même un déplacement à moins d’un kilomètre de son domicile, pour une durée limitée et à condition de porter un masque… Comment imaginer plus destructeur que ce genre d’ineptie humiliante acceptée sans broncher par des gens intelligents ?

Peu à peu, les libertés publiques et privées ont été éliminées. On a imposé des tests, on a menacé de rendre la « vakxination » obligatoire. On a agité les épouvantails à crétins sans la moindre hésitation ! On a fait des « cadeaux » en annonçant qu’il n’y aurait pas de nouvelles mesures coercitives de privation de liberté, comme si le droit naturel de respirer devait être autorisé par l’État ! Au moment où le confinement n’était plus supportable pour de multiples raisons, on allait inventer le « couvre-feu sanitaire » ! Les autorités ont manié la carotte et le bâton en infantilisant au maximum les citoyens, sans que l’ombre d’une rébellion n’apparaisse chez le grand nombre !

On a entendu parler de « cluster » signifiant danger extrême, menace de mort ! Les « cluster » avaient la particularité de se multiplier à la vitesse de la lumière… On ne pouvait pas les contrôler, sauf si la docilité des personnes et des groupes se montrait irréprochable. Tous les récalcitrants aux mesures « barrières » seraient implicitement mis en accusation par les dociles et bons citoyens exemplaires… Les problèmes viendraient désormais des rétifs et insoumis à la dictature sanitaire, comme nous venons de le découvrir aujourd’hui en Espagne. La peur commandait tout cela. On parlait du patient Zéro recherché comme un criminel ou l’ennemi public numéro un. Les tests PCR seraient une évidence, alors qu’on sait aujourd’hui à quel point ils n’étaient pas fiables et comment ils ont fait partie d’une exécrable manipulation. Puis les courbes en cloche ou en plateaux comme les « variants », participeraient tous d’un langage pseudo scientifique abusant le grand public sur tous les plans !

Puis arrivait sur le devant de la scène, le nouveau concept de l’après catastrophe, le « Great Reset », comme si ce qui arrivait ne permettrait plus même d’envisager la vie comme « avant » ; il faudrait désormais « vivre avec le virus », comme si cela était quelque chose d’incroyable, alors que l’humanité a toujours vécu avec toutes sortes de virus qui étaient là bien avant elle ! Les traitements étaient « inexistants » ou brutalement « interdits » sans aucune explication cohérente, en France comme dans plusieurs pays de l’Union Européenne. Il n’y avait plus que le « vakx1 » messianique.

En balançant son concept « Objectif zéro C0VlD », Macron, chef de guerre, annonçait implicitement que nous ne pourrions donc jamais sortir de la crise, puisque le virus sera toujours là, qu’on le veuille ou non ! Cet objectif étant irréalisable, il allait de soi qu’une seule conclusion s’imposait : le « vakx1 » est la solution obligatoire et avec ce « vakx1 », le plan sous-jacent non affiché aux yeux des gens abusés, mais que l’on commence peu à peu à comprendre par les nombreuses publications sur les problèmes majeurs qui apparaissent un peu partout dans le monde Occidental suite aux « vakxinations » …

Bien entendu, les médias collabos ne veulent même pas entendre parler de ces « rumeurs complotistes » et font l’impasse sur ces questions réellement préoccupantes !

La « vakxination » coupe court à toute question de bon sens sur les traitements à utiliser avant d’en arriver là. On ne pouvait pas non plus se poser de questions sur les conditions de la réalisation de ces « vakx1s ». Tout de suite pointait la menace des restrictions de déplacements. Seule la « vakxination » permettrait de se déplacer et de se rendre partout ! Un grand nombre allait se laisser convaincre et c’est de cette manière qu’une telle mesure insensée allait pouvoir être organisée. Sans « vakxination » massive, la mise en place d’un passeport sanitaire n’était pas possible ! La fabrique du consentement a merveilleusement bien fonctionné et ceux qui sont restés lucides seront désormais les parias de la société, alors qu’ils étaient son âme, sa force, sa lumière, sa conscience, traités misérablement de « complotistes » faute d’arguments sérieux à leur opposer ! On les brûlera sur les bûchers du lynchage médiatique en les accusant d’avoir « copulé avec le diable » ! Nous sommes à nouveau dans la même croyance, dans la même superstition, dans la même arriération mentale, dans le même fanatisme et dans la même ignorance crasse !

Il devenait impossible de poser quelque question de bon sens que ce soit. Comment faisait-on avant, lorsque nous étions assaillis par une pandémie ? Pourquoi parler d’un « Great Reset », du monde d’après, de « guerre » contre un virus ? Pourquoi des traitements qui marchent, comme de nombreuses études l’ont démontré, ont-ils été interdits ? (Cf. articles précédents sur mondialisation.ca) Pourquoi les autopsies sur les nombreux soi-disant morts « du coronavirus » étaient-elles interdites ? On allait passer de la peur d’être malade à la peur d’être « positif », puis de la peur d’être « cas contact » repéré par les brigades du harcèlement sanitaire et obligé d’entrer en « isolement » … La soi-disant protection des « plus fragiles » allait faire admettre le massacre impitoyable du grand nombre à travers le délabrement de l’économie, les faillites, les dépressions majeures, les suicides, le retard dans les prises en charge des autres malades ; L’hypnose médiatique allait faire croire que tout cela était bien et nécessaire. Le chaos social a été sciemment organisé par ce « Conseil de défense » bidon, travaillant dans la non transparence absolue. Tout a été arbitraire, depuis le saccage des libertés jusqu’au rejet brutal des arguments scientifiques contraires à ce qui était imposé par ce « Conseil de tyrans » au service de la destruction volontaire de la société. Les voix compétentes ont été étouffées, sanctionnées, ignorées, combattues, condamnées, harcelées, réprimées, anéanties !

CONCLUSION

Désormais il n’est plus possible de revenir en arrière. Les masses ont été terrorisées et formatées par la peur.

C’est la peur qui commande désormais et non pas la raison. Maintenant le pouvoir peut faire ce qu’il veut avec le peuple dressé à l’amour de sa soumission. Désormais il apparaît qu’il est nécessaire de se protéger de tout parce que la menace de mort est une obsession occidentale ; parce que la mort est anachronique dans sa mentalité culturelle. Les occidentaux ne savent pas combattre la douleur : tout est dirigé obsessionnellement contre la mort ! La douleur n’est pas naturelle, elle est le symptôme d’une rupture d’harmonie, d’un déséquilibre survenu dans un être vivant. La mort en revanche est naturelle, elle est même essentielle à l’existence de la vie. « Vivre de mort et mourir de vie » (Héraclite)

Parce qu’il faut se « protéger de tout », il est donc devenu nécessaire d’anéantir les libertés. C’est la suite du programme, c’est le « monde d’après ». Des comportements inacceptables hier seront désormais la règle. La population dressée par la manipulation médiatique va penser que c’est elle-même qui a décidé son nouveau comportement aberrant ! Comprenons comment des gens victimes de cette manipulation magistrale continuent de porter un masque partout, même là où il n’est pas obligatoire et même là où il est clairement insensé, voire contre-indiqué ?!

La technique qui a été utilisée dans cette histoire aberrante d’une « pandémie de la C0VlD-19 », est celle qu’utilisent prioritairement les parents maltraitants, les sectes, les pouvoirs totalitaires, les tortionnaires, les pervers et les salauds.

Source

Y a-t-il vraiment un complot derrière cette crise ?

On a déjà évoqué l’agenda du World Economic Forum, le Great Reset de Schwab, l’Event201. Chacun en pense ce qu’il veut mais pour vraiment avoir un avis, il semble nécessaire d’au-moins entendre ces autres informations qui permettent peut-être de mieux comprendre comment fonctionne ce monde qui en apparence semble absurde ainsi que les décisions aberrantes de nos dirigeants et de leurs complices.

Extrait de l’Info en Question du 22 avril 2021.

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/Les-dessous-politico-financiers-de-la-crise:d

Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir !

REVENIR A UNE VIE NORMALE !
Par le Docteur (Chef de service associé du service d’anesthésie-réanimation et Membre du conseil médical CHC Liège, (Mont Légia- ND Hermalle – ND Waremme) -21 avril 2021-

« Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir : La fin »

Cet article clôturera ma série « il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ». Je commencerai et terminerai cette carte blanche de mes observations sur cette crise sanitaire par un citation d’Einstein qui est une des raisons de mes écrits : « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui le regardent sans rien faire. »

J’ai cherché un mot sur internet qui résumerait l’emballement et l’hystérie qui ont caractérisé la prise en charge de cette épidémie, avec une disproportion telle qu’elle semble tout droit sortie d’un mauvais film de science-fiction. Ce mot est l’apophénie.

« L’apophénie est une altération de la perception, qui conduit un individu à attribuer un sens particulier à des événements en établissant des rapports non motivés entre les choses.

L’apophénie n’est un défaut de notre cerveau que si l’on regarde le cerveau pour ce qu’il n’est pas. Il n’est pas fait pour penser rationnellement, réaliser des statistiques ou pratiquer le scepticisme scientifique. Le cerveau pilote notre corps avec des comportements qui ont donné par le passé la preuve de leur utilité à travers la survie des individus. Notre reconnaissance abusive des formes dans l’environnement n’est donc pas un défaut, c’est bel et bien un atout, historiquement… mais le monde actuel tend de nouveaux pièges d’autant plus pernicieux et périlleux que notre cerveau y tombe avec plaisir, voire volontairement » 1 .

Le cerveau de l’être humain est donc construit pour éviter le danger et les prédateurs. Cependant ces dangers ont été amplifiés et manipulés. Les médias, les « experts », les PCR et les vaccins sont à la base de biais qui ont amené nos dirigeants à une gestion défaillante de l’épidémie en surestimant grandement le risque qu’elle représente.

Le rôle des médias

Premièrement, le traitement médiatique de la pandémie. Les médias ont jeté aux auditeurs, lecteurs ou téléspectateurs des chiffres sans aucun repère, filmé sans aucun filtre des endroits comme les soins intensifs qui sont des endroits effrayants pour les non-initiés, en pandémie comme en temps normal, avec pour seul but de créer le buzz.

Ils ont fait passer comme message implicite que les soins intensifs étaient saturés par l’épidémie sans prendre en compte le nombre absolu de patients nécessaires pour arriver à cette saturation (en réalité très faible), la gravité habituelle des pathologies prises en charge en réanimation et l’âge élevé et les nombreuses comorbidités de ces patients. Ils n’ont également pas hésité à faire passer un cas de patient jeune gravement malade sans facteurs de risque comme la norme alors que ces cas sont exceptionnels et que ces cas exceptionnels se retrouvent également avec d’autres virus ou d’autres pathologies depuis toujours dans les soins intensifs. Les salariés de l’information et leurs experts ont aussi refusé toute contradiction, tout débat ou d’autres visions que la leur.

L’impact pour les hôpitaux et les généralistes

Cette vision prismatique de la pandémie a conduit une grande partie de la population à accepter des mesures sans se poser une seule question. Cette politique de gestion de la pandémie par la peur développée par notre gouvernement, soutenue par les médias mainstream et badigeonnée d’un peu de vernis de sciences par nos fameux « experts » est la seule réponse que l’Etat a été à même de nous proposer. Nous n’avons vu aucune politique de soutien des hôpitaux qui ont dû se débrouiller seuls pour l’ouverture de nouveaux lits de réanimation et la gestion des stocks. De même, on a assisté à la négation totale du rôle central que les médecins généralistes auraient pu, auraient dû jouer dans la gestion journalière de cette crise auprès de leurs patients.

Les « experts »

Cette unique focalisation sur le virus et sa transmission est l’œuvre de nos « experts ». Quelles sont les personnes qui au moment d’une pandémie peuvent abandonner sans problème particulier leurs hôpitaux pour aller sur des plateaux télé ? Voilà la question de base que les journalistes et nos gouvernants auraient dû se poser. Les « Raspoutine » des temps modernes se sont précipités pour chuchoter à l’oreille de nos décideurs et les convaincre de leurs théories. Métaphoriquement, le gouvernement a pensé pour éteindre l’incendie avoir sélectionné des pompiers. Ils ont en fait choisi des vendeurs de feux ouverts mais il est vrai que les deux sont effectivement des experts du feu. L’expert en pandémie n’existe évidemment pas. Mais en privilégiant des virologues extrémistes, nos décideurs se sont privés de bon sens et d’une large expertise multidisciplinaire qui leur auraient permis de ne pas tomber dans un piège ; celui des décisions autoritaires sans grand fondement scientifique qui se voulaient fortes mais qui sont en fait d’une grande lâcheté.

Les mesures disproportionnées

Le taux important de mortalité de la Belgique et la propagation rapide d’un virus ne s’expliquent pas par des mesures prises ou non par le gouvernement. Elles sont le résultat d’éléments structurels comme la densité, l’âge moyen et le niveau de santé global de sa population. Ces facteurs endogènes et le virus ne sont pas de la responsabilité du gouvernement qui ne peut avoir d’emprise sur eux. Les mesures disproportionnées prises en déni des libertés individuelles et de la Constitution ne pouvaient donc avoir qu’un effet à la marge sur l’avancée de l’épidémie. Il est manifestement plus difficile pour des dirigeants sous la pression des médias et des « experts » de reconnaître qu’ils sont impuissants devant ce virus que de s’agiter en mettant en place un système qui maltraite sa population, extermine son économie, atomise son éducation et sacrifie sa jeunesse et sa culture.

Les tests PCR

Le troisième facteur responsable de ce trouble de perception de l’épidémie sont les tests PCR. Les PCR sont la pierre angulaire sur laquelle se sont appuyés les « experts » pour justifier les mesures et entretenir la peur du virus. En effet sans ces tests, la population et les médias n’auraient vu passer que 3 pics épidémiques avec absolument rien entre ces pics.

En réalité, cette technique ne permet pas de faire la différence entre malade et asymptomatique, contaminant ou non contaminant, ancienne ou nouvelle contamination. Les tests PCR n’ont jamais été utilisés dans le suivi d’une pandémie, par conséquent, il n’y a donc pas de référence antérieure afin d’édicter une norme à suivre. Certains scientifiques se sont pourtant permis d’en tirer des grandes conclusions prospectives proches de la divination. Un chiffre sans norme est une observation et ne permet pas de faire un diagnostic et certainement pas de prescrire un traitement, seule sa cinétique est d’un intérêt quelconque. Il est nécessaire de rappeler que la définition habituelle d’une épidémie comme la grippe est un nombre de personnes malades (symptômes grippaux) /100000 habitants par semaine et non un nombre de personnes qui ont des traces de RNA dans le nez.
La PCR nous a permis également de voir les variants qui ont été instrumentalisés pour remettre une petite couche d’anxiété quand la mortalité, les contaminations ou les hospitalisations ne suffisaient plus. Les virus RNA ont-ils attendu l’avènement de la PCR pour muter ? Bien sûr que non, ils mutent depuis la nuit des temps sans poser de problèmes insolubles. Pourquoi partir sur un concept différent pour ce virus sinon pour nourrir la peur ?

Vacciner les patients à risque

Enfin, le dernier facteur qui participe à cette apophénie est ce que j’appellerais la frénésie vaccinale. Le vaccin est présenté comme la panacée et la seule façon de sortir de la crise. Comme pour tout nouveau développement de l’industrie pharmaceutique, la réalité est largement plus contrastée. Les vaccins ont été développés en un temps record et on peut saluer cette prouesse technologique. Ils ont pour certains une autorisation conditionnelle de mise sur le marché.

Cette autorisation est conditionnelle car ces vaccins ne sont pas passés par toutes les phases habituelles de développement permettant notamment de connaître les effets secondaires à moyen et long terme ou permettant de préciser la durée de protection. La raison de sa mise sur le marché est le caractère aigu du besoin de protection des personnes à risque puisqu’aucun traitement actuellement ne permet de guérir les patients gravement atteints. Le vaccin ne devrait donc logiquement concerner que les patients à risque.

Pourtant, les médias et les « experts » communiquent largement sur le besoin de vacciner un maximum de personnes. Outre le risque, même minime, pris par une personne saine sans facteurs de risque de se faire vacciner et de développer un effet secondaire sans aucun bénéfice, la vaccination de masse d’une population contre un virus RNA en pandémie n’a jamais été réalisée.

Faire appel aux médecins généralistes

Cette vaccination de masse risque de mettre une pression inédite sur un virus qui mute, sans aucune idée des conséquences de cet acte. Comme d’habitude, les personnes qui conseillent notre gouvernement jouent avec la population comme s’ils étaient dans leur laboratoire, en faisant fi des conséquences possibles de telles recommandations. Pour cette vaccination, c’est évidemment encore la balance bénéfice-risque qui aurait dû s’imposer. Elle aurait logiquement dû être réalisée par les personnes les plus aptes à connaître et discuter avec leurs patients : les médecins traitants.

En conclusion, il est effarant que nos gouvernants soient toujours à l’écoute de scientifiques qui jusqu’à maintenant nous ont démontré qu’ils avaient pratiquement toujours tort. Ils ont eu tort sur les pics qu’ils nous annonçaient comme inévitables chaque semaine, sur la hauteur des pics quand ceux-ci se sont réellement produits, sur la volonté d’appliquer une politique zéro Covid, sur les variants, sur les vaccins, … Le temps n’est décidément pas au vote d’une loi pandémie portant sur des événements qui n’ont pas encore été analysés en profondeur. Assurément, il ne faudra pas faire l’économie d’une commission d’enquête indépendante pour faire la lumière sur la gestion de cette crise.

Ce que l’histoire des pandémies nous apprend

Les pandémies de virus respiratoires comme la grippe espagnole ont habituellement une durée de plus ou moins un an avant de disparaître ou de devenir une épidémie banale. Ce virus ne s’est montré ni plus létal, ni plus contagieux, ni moins immunisant que la majorité des autres virus respiratoires en pandémie et paraît également saisonnier dans nos contrées.

Sa mortalité ne concerne qu’une part extrêmement minime de la population dont l’écrasante majorité à plus de 80 ans. Le seul problème réel posé par ce virus a donc été la surcharge des hôpitaux et particulièrement des soins intensifs aux 2 pics importants de l’épidémie. En avançant dans l’épidémie, le réservoir des personnes à infecter s’épuisent (décès, immunité naturelle, immunité vaccinale). Elle est en train de tirer sa révérence, faute de combattants. Quel événement a, en l’espace d’une année, pu mettre à mal cette hypothèse basée sur l’historique des pandémies de virus respiratoires ?

Aucun, sinon les théories de la peur de leurs « experts » véhiculées par les médias, basées sur les tests PCR. Preuve qui ne trompe pas, certains commencent doucement à retourner leur veste et tentent de faire leurs, les théories avancées depuis de mois par de scientifiques dissimulés dans l’ombre de l’omerta médiatique. D’autres évidemment s’accrocheront à leur petit morceau de célébrité et de pouvoir en nous annonçant déjà les pires catastrophes à venir. La ribambelle des variants étrangers remplira à merveille cette fonction.

Revenir à une vie normale

Devant ce constat, je ne vois pas ce qui pourrait nous empêcher de tout rouvrir, de supprimer toutes les interdictions et de revenir à la responsabilisation personnelle des sujets à risque qui n’ont pas encore été vaccinés. Les seules réflexions et actions qui doivent être menées concernent la possibilité de permettre une augmentation provisoire du nombre de lits d’hospitalisation et de réanimation. Ceci peut par exemple se faire par la création, comme à l’armée, de médecins et d’infirmiers de réserve qui viendraient grossir le rang des soignants hospitaliers en cas de pic épidémique. Parallèlement, il faut travailler sur le renouvellement de l’air en milieu clos dans des lieux hautement fréquentés.

J’en terminerai donc comme annoncé par une deuxième citation d’Einstein qui résume parfaitement mon sentiment sur la gestion de cette épidémie : « La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne… et personne ne sait pourquoi ! »

Dr Olivier Lhoest
Chef de service associé du service d’anesthésie-réanimation
CHC Liège (Mont Légia- ND Hermalle – ND Waremme)
Membre du conseil médical du CHC Liège

https://www.mediquality.net/be-fr/news/article/23801937/il-nest-pire-aveugle-que-celui-qui-ne-veut-pas-voi

Comment la dictature s’immisce entre les clivages

 Tribune de Frédéric Badel, psychiatre publiée dans France Soir le 19/04/2021

La population est désormais scindée en deux groupes.

Le premier, hétérogène, est composé des personnes favorables au vaccin. Il réunit celles qui, par conviction ou par lassitude, sont prêtes à s’y soumettre pour sortir de la crise. Il abrite ainsi les personnes qu’il a été possible de sensibiliser, qui croient sans hésitation au message relayé par les ondes. Celles-là resteront réceptives à tous les messages de danger et agréeront la méthode de sortie de crise, fût-elle assortie de privations pérennes de leurs droits. On trouve aussi dans ce groupe les personnes qui se sont coupées de toute information depuis longtemps, pour se protéger, et qui sont devenues indifférentes à tout discours. Pour elles, l’essentiel est de ne plus entendre parler du sujet. Elles ont disqualifié tous les avis pour les neutraliser. Ainsi le leurre des tests conduisant à une épidémie de cas, sans morts ni malades, ne parvient plus à leur entendement, comme si leur cerveau avait été débranché. Leur priorité est de mettre un terme à la maltraitance qui leur est infligée en se coupant de toute nuisance.

Le second groupe rassemble les détracteurs du vaccin, ceux qui ont échappé à l’influence du matraquage médiatique, qui ont souvent pris des avis ou cherché des informations hors des sources classiques, tout en restant sensibles à la réalité de leur environnement (services hospitaliers non saturés, nombre de morts comparable aux années précédentes, mesures prises non proportionnées, amenuisement des droits fondamentaux sans justification etc.). Ces personnes ont également intégré qu’une vaccination n’exempterait pas des mesures de distanciation sociale et, par conséquent, que la convivialité ne serait pas rétablie, que le gouvernement garderait de façon arbitraire le contrôle de la population et de ses activités. Elles observent avant tout l’immixtion toujours croissante de l’État dans leur quotidien et dans leur vie privée.

Ces deux groupes sont désormais séparés par une ligne qu’il sera difficile de faire bouger. La manipulation a montré des limites qui étaient prévisibles et elle sera sans effet sur ceux qu’elle a tenté, en vain, de convaincre. Ces groupes se sont figés, leurs effectifs se sont immobilisés, et peu importe les arguments avancés, les scandales établis ou les preuves apportées, ceux-ci se noieront dans un récit national inaliénable impossible à dénoncer sauf à être traité de complotiste. Les mots se seront substitués à la réalité et, utilisés à contre-emploi, ils auront perdu de leur sens et véhiculeront des idées en rupture avec les faits. Le pouvoir en place pourra même avouer ses mensonges, le peuple l’acclamera, incapable de le croire mal intentionné et persuadé qu’il est au-dessus des soupçons. Il n’est donc plus temps de publier des résultats d’études prouvant l’efficacité de tel produit, le mensonge sur tel autre, de produire des courbes démontrant le caractère infinitésimal du risque sanitaire et disproportionné des réactions de peur. Surdité et aveuglement règnent en maître chez les personnes qui, conditionnées, sont privées de jugement et incapables d’admettre que des faits objectifs puissent démentir la réalité qu’elles ont construite.

Organiser l’affrontement de ces deux groupes de la population est une possibilité/opportunité désormais envisageable. Nos dirigeants devraient rapidement s’en saisir pour encourager une organisation sociale qui opposerait bons et mauvais citoyens, gens sains, dociles, responsables et vaccinés et gens toxiques, rebelles, inconséquents et non vaccinés. Ce système de bons citoyens est présent en Chine. Il repose sur la délation et l’obéissance à la règle. Le bon usage par le gouvernement de la graduation dans la contrainte et la soumission du peuple conduisent à ce jour à l’acceptation d’une vaccination inutile dont la toxicité n’est pas évaluée et pour laquelle les laboratoires, compte tenu de la rapidité d’élaboration des produits, ont déjà négocié de ne pas être tenus responsables de potentiels effets secondaires, obtenant des États qu’ils répondent de telles conséquences.

Et pourquoi pas en définitive puisque les politiques sont devenus médecins. Nos gouvernants et nos parlementaires, de par leur pouvoir et leur influence, vont inciter toute une population à faire un geste dont l’intérêt n’est pas démontré et dont les conséquences ne sont pas mesurées, et se présenter ainsi en sauveurs. Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs. Pour échapper à la fin du monde ou aux extra-terrestres, ici au virus mortel, le sacrifice est présenté comme salvateur. La réalité ensevelie sous les messages quotidiens discordants, culpabilisants, a laissé la place au délire dans lequel les liens logiques se dissolvent.

Les sectes se servent de ces moyens : isoler les individus en les coupant de leurs liens sociaux et familiaux, rendre les gens dépendants en les privant de leurs moyens de subsistance, propager un discours univoque martelé dans des grand-messes permanentes, évincer toute pensée divergente, présenter les opposants comme des nuisibles qui ne comprennent ni leur propre intérêt, ni l’intérêt commun supérieur. « Nous contre les autres » est généralement la doctrine simple compréhensible par chacun car simpliste, et hélas adoptée.

Le cap est franchi. Maintenant que les lignes de partage qui clivent la population se précisent, ce gouvernement n’a plus la possibilité de revenir à des positions plus raisonnables et proportionnées. Il a fait tout son possible dans le domaine de la manipulation, il a mobilisé toutes les sphères d’influence tout en restant crédible auprès d’une partie importante de la population. Pour ceux qui, rebelles, refusent d’adhérer, d’autres méthodes plus coercitives encore s’imposent.

Les signes de cette dérive totalitaire se trouvent dans les techniques de lavage de cerveau employées, identiques à celles des sectes. Elles étaient là dès le départ, mais comment croire qu’un gouvernement démocratiquement élu puisse se retourner contre son peuple ? Aujourd’hui, une partie de ce peuple est plongée dans la pauvreté, le désarroi, les « non-essentiels » commencent à se suicider, les troubles psychiatriques se multiplient et… le conseil scientifique continue d’assurer sa grand-messe à une armée de fidèles hallucinés.

Demain, n’importe quel virus, réel ou fictif, pourra de nouveau semer la terreur chez des populations prêtes à se faire vacciner pour conserver un peu de liberté. Elles y sont prêtes. Et si les tests actuels sont encore utilisés contre toute logique, même les populations vaccinées seront positives et resteront contagieuses. Les mesures de distanciation resteront la règle. Signe supplémentaire de la supercherie, les hommes qui murmurent à l’oreille des virus prédisent déjà les vagues à venir et leurs dates d’apparition. Toute science a vraiment déserté nos sociétés. Les réseaux sociaux « complotistes » ont donné des dates de confinement bien avant leur annonce officielle, montrant ainsi que toute préoccupation sanitaire était absente des décisions officielles.

Les conséquences humaines sont terribles. Tout lieu de convivialité a disparu, les gens sont plus isolés que jamais, ils souffrent de mesures iniques imposées par une poignée de dirigeants, sans aucune concertation, sous couvert d’assurer leur salut. Ce qui fait l’humain, sa capacité à tisser des liens, son besoin d’entrer en contact avec l’autre, est menacé. Le tissu social s’est dissout dans les mesures imposées par un régime devenu fou, hors de contrôle, déroulant une feuille de route établie de longue date en dépit de toute considérat ion du réel. Les mesures prises altèrent la santé de la population et tuent. Elles sont anti-sanitaires. La dictature est en marche.
Notre mode de vie a effectivement bien changé ; le Covid n’en est que le prétexte, le catalyseur.

Cette dégradation de nos conditions d’existence et la disproportion des mesures prises pour lutter contre un virus donnent du crédit au discours de ceux qui voient là le moyen d’instaurer un nouvel ordre mondial qui doit annihiler notre vie privée et nos droits individuels. Les premiers constats montrent les signes de la réalisation de cet ordre nouveau.


Frédéric Badel est médecin psychiatre.

De l’art de la manipulation, de la pensée unique… et de l’usage du mot « complotiste »

par Alain Tortosa.

Concernant l’utilisation répétée et généralisée du mot « complotiste« 

Celui-ci ne fait qu’apporter la preuve indirecte que ledit « complotiste » énonce des propos qui sont, sinon justes, tout du moins dignes d’intérêt.

En effet, le terme « complotiste » a une visée double :
– Celui de discréditer en amont les opinions divergentes mais aussi et surtout
– Décharger autrui de l’obligation morale de lecture et de réflexion pour construire sa propre opinion.

Et donc faire passer le message :
« Je t’annonce que les propos suivants ne sont que délires et que tu n’as pas à les lire ».
Mais pire encore :
« Tu ne devrais pas les lire, car tu pourrais être manipulé et induit en erreur. Tu es donc dédouané du devoir de t’informer avant de juger pour construire ta propre opinion ».

Ceci constitue une preuve que l’intention manipulatrice vient, non pas du prétendu « complotiste », mais de celui qui utilise le terme pour discréditer toute hypothèse alternative.

Cela peut se résumer autrement en disant que si les propos dudit « complotiste » n’étaient que « délire », il suffirait de le laisser s’exprimer librement et toute personne censée en prendrait conscience et ce serait terminé, le soufflet retomberait.

Une autre « justification » de l’usage reviendrait de fait à affirmer que le peuple est trop stupide pour comprendre, qu’il faut donc le mettre sous tutelle et le protéger malgré lui. Il faut donc l’empêcher de réfléchir, ce qu’il ne sait pas faire, par nature, et donc l’empêcher de construire sa propre opinion qui ne pourrait qu’être erronée. Nous déduisons qu’il faut évidemment lui retirer toute prérogative et il serait logique en premier lieu de lui supprimer le droit de vote. Ce qu’a fait en gros la 5ème République…

Donc tout journaliste qui traite autrui de « complotiste » est en train de dire indirectement que les propos dudit complotiste sont pour partie vrais (et donc subversifs) ou d’affirmer que la démocratie ne saurait exister pour un peuple incapable d’avoir les « bonnes » pensées et de faire les « bons » choix.

La vérité serait statistique ou issue des autorités de pouvoir ou reconnues

La théorie voudrait que « plus c’est répété, plus c’est vrai ». Un mensonge dit par une personne seule est un mensonge, mais s’il est répété par des milliers de personnes il devient une Vérité. Cela est concomitant avec une autre croyance qui dirait que plus l’information est issue d’une autorité reconnue et plus elle est au-dessus de tout soupçon.

De fait, quand par exemple l’OMS, l’Agence européenne du Médicament ou l’INSERM diffusent le même conte, cette uniformité de discours en fait une Vérité incontournable. Or le devoir de tout journaliste ou de tout scientifique est de douter de la vérité et enquêter sans a priori.

Un autre point qu’il ne faut pas négliger est le conformisme et le besoin d’appartenance. Si l’OMS le dit et que j’ai la croyance que c’est une entité respectable, alors j’aurai naturellement tendance à penser qu’ils émettent une Vérité. Commencer à penser ou dire le contraire me placerait en porte-à-faux et dans une position inconfortable sans compter le risque de dénigrement ou d’excommunication…

Nous assistons de fait au décès de la science.

Et pourtant, la seule démarche scientifique face à un chercheur qui affirmerait que la Terre est plate serait d’écouter ses arguments et de lui demander d’apporter les éléments de preuve qui lui permettent d’avancer cette théorie.

Si d’aventure son hypothèse était totalement ridicule, il ne serait pas difficile d’exposer les contre-arguments et l’auteur de la théorie de la Terre plate serait discrédité.

À propos des institutions au-delà de tout soupçon.

Prenons l’exemple de l’OMS

Quiconque s’est un peu penché sur le sujet sait que l’OMS pose problème.

  • La fondation Bill et Melinda Gates est un des plus grands contributeurs, plus que la plupart des états membres. Fondation elle-même soutenue et financée par l’industrie pharmaceutique et le Gavi qui est un lobby mondial pour la vaccination.
  • Les laboratoires pharmaceutiques sont représentés dans les instances décisionnelles.

Le sous-financement de l’OMS la rend directement dépendante des lobbies. Il serait donc déraisonnable, voire irresponsable, de s’appuyer sur son seul nom pour en déduire la véracité scientifique et objective de ses discours.

L’Union européenne

Ici encore le lobbying dans l’Union est un secret de polichinelle. Les milliards des lobbyistes coulent à flots et nous assistons à un jeu de chaises musicales entre les postes dans l’industrie et les postes au sein de la commission. Nous avons eu la preuve de l’absence totale d’indépendance pour l’autorisation de mise sur le marché des thérapies dites « vaccinales ». Thérapies qui ont pu bénéficier d’une autorisation temporaire parce qu’il n’existe, officiellement, aucun traitement contre le Covid. Qui dit « traitement » dit donc adieu aux « vaccins » ou en tous les cas, retarde leur arrivée de plusieurs années du fait de l’interdiction de court-circuiter toutes les sécurités. Ne nous étonnons donc pas de l’absence de traitement proclamée dès le début de l’épidémie et de l’annonce que « seuls les vaccins nous permettront d’éradiquer le fléau ».

Comment ne pas se questionner aussi dès lors que les autorisations de mise sur le marché des dits produits ont été accordées sur les seules données des industries pharmaceutiques.

L’industrie pharmaceutique

Les scandales se succèdent d’année en année et les milliards de dollars d’amendes aussi bien pour falsification de données, mensonges, publicité mensongère et corruption massive de politiques ou de médecins.

Dès lors que cette industrie pèse sur l’OMS et est en capacité de faire autoriser ses produits expérimentaux sur simple présentation de ses données, comment ne pas s’interroger ?

Les scientifiques et la recherche (INSERM, Pasteur,…)

La survie financière et la possibilité pour des scientifiques de faire des recherches sont rendues quasi impossibles sans un partenariat public/privé du fait du désengagement progressif de la force publique. Seules les études qui peuvent avoir une rentabilité commerciale sont menées.

Existe-t-il encore une science ? Combien d’études sont publiées sans que les auteurs aient reçu une rémunération directe ou indirecte de l’industrie pharmaceutique ? Qui pourrait ainsi croire que le financeur ou le « mécène » n’est pas celui qui insuffle la ligne directrice et donc la Vérité ?

Bref ! tout ceci pour affirmer ou rappeler qu’il faudrait être fou ou corrompu pour s’appuyer sur le seul nom d’une institution pour en déduire la véracité de ses propos.

Le dénigrement par le consensus, le doute et le dévoiement du principe de précaution

La dictature sanitaire utilise à la fois le consensus et le doute pour mettre à mort la science.

D’un côté, le consensus :

Le discours est à ce point biaisé que lors d’un débat entre une personne qui adhère à la doxa et un scientifique qui doute, le message passé par le Ministère de la Vérité sera par exemple : « Il y a un consensus sur l’efficacité du port du masque » alors même que la seule existence de celui qui critique constitue une preuve de l’absence de consensus.

La Vérité imposée par les autorités sanitaires et leurs complices médiatiques est qu’il y a « consensus » parmi les scientifiques qui ont accès aux médias nationaux et puis c’est tout ! Tous les autres sont donc naturellement qualifiés de « complotistes » et il est de fait inutile, voire dangereux, de les intégrer comme pensée divergente. Ainsi le « consensus » n’est pas brisé étant donné que seules les opinions conformes sont crédibles.

De l’autre côté, le doute :

Toute affirmation qui n’irait pas dans le sens de la Vérité imposée sera dénaturée par une introduction perverse du doute.

Cette méthode est d’autant plus perverse que le doute est LA démarche de base de la science. Prenons l’exemple de l’Ivermectine. De nombreuses études issues de scientifiques indépendants au-delà de tout soupçon arrivent à la conclusion que le produit est efficace pour lutter contre le Covid et qu’il faut donc l’intégrer dans l’arsenal des mesures possibles.

(Je vous rappelle que s’ils étaient efficaces les « vaccins » n’auraient pas pu bénéficier d’une AMM)

Que font celles et ceux qui voient les « vaccins » comme étant des sauveurs ou plutôt une manne financière ? Ils inondent la presse scientifique « d’études » qui concluent que le médicament est inefficace ou dangereux. Il y a donc un doute que l’on peut naïvement croire légitime qui s’installe… Au point que si les études (bidons) deviennent majoritaires, le doute disparaît et la « preuve » que le produit est finalement inefficace et dangereux s’impose. Mais est-ce un doute raisonnable et honnête ou un doute biaisé induit par des chercheurs qui auraient des conflits d’intérêts ou même carrément véreux ?

Abordons maintenant le dévoiement du principe de précaution

Le « Primum non nocere » [d’abord, ne pas nuire] est parti aux oubliettes.

Si celui-ci était de mise alors nous n’aurions connu :

  • Ni confinement.
  • Ni masques obligatoires.
  • Ni commerces ou loisirs fermés.
  • Ni maltraitances envers les enfants.
  • Ni Remdesivir.
    Etc.
  • Ni « vaccins ».

Il y aurait eu une évaluation préalable de chaque mesure et certainement pas un déploiement à l’échelle de nombreux pays… Une partie de la population aurait été confinée, mais pas l’autre et nous aurions pu évaluer l’efficacité de la mesure et éventuellement prendre la décision de l’étendre ou pas. De même que pour les masques, les traitements et les « vaccins »…

Il y aurait eu aussi débat sur le fait de savoir si « la fin justifie les moyens » et si au nom d’une efficacité nous pouvons nous asseoir sur les droits de l’homme !

Mais ici l’industrie pharmaceutique a décidé unilatéralement l’inverse !

Le principe de précaution a été dévoyé en arguant que nous étions face à la peste noire.

« Les masques ne servent peut-être à rien, ils sont peut-être dangereux, mais par précaution il faut les porter ! »

« Les vaccins sont expérimentaux, ils sont peut-être dangereux, nous ne connaissons pas les effets à long terme, mais par précaution il faut les injecter, même à une population qui ne craint strictement rien du virus ! »

En revanche, un traitement avec des molécules quasi gratuites qui existent depuis plus de 50 ans, dont les effets à court et long terme n’ont aucun doute doivent, elles, être découragées et interdites au nom du principe de précaution ! Imaginez que l’on puisse sauver gratuitement des vies, quelle horreur !

Deux poids, deux mesures !

La manipulation par détournement des chiffres

Prenons par exemple l’âge médian des décès de 85 ans et considérons que cette donnée gouvernementale est réelle quand bien même des décès autres, par exemple de cancer, sont attribués au Covid. Il est possible de dire que cette donnée constitue une preuve que le Covid ne peut entraîner une hécatombe chez les jeunes… sinon l’âge médian serait bien inférieur !

Mais il est aussi possible d’utiliser cette donnée pour faire peur et ainsi dire que le Covid tue aussi des personnes jeunes ! Si cette affirmation largement usitée dans les médias demeure exacte, elle en devient pour le moins une manipulation de la réalité. Santé publique France indique que seuls 2% des décès concernent des personnes de moins de 65 ans et sans pathologies graves connues. Cela représenterait moins de 2 000 décès !

Mais ici encore la manipulation est possible en disant « et si c’était vous ou vos enfants ? » oubliant par exemple de préciser qu’il y a plus de risque de décéder en s’étouffant ou frappé par la foudre pour une personne en bonne santé que de décéder du Covid.

C’est de même nature que d’énoncer tous les jours le nombre de décès du Covid sans les mettre en perspective par rapport au nombre total de morts journaliers, de décès par maladie, de suicides…

Je pourrais aussi citer les réanimations dont le taux de réanimation qui est fourni est un faux, car il divise le nombre total de personnes en soin critique (19 000 lits) par le nombre de lits de réanimation (5 400 lits). Ou ignorer le fait que ces fameuses saturations sont systémiques et qu’elles n’ont strictement rien à voir avec le Covid. Et d’autant plus que les chefs de service DOIVENT remplir leur lit de réanimation afin de conserver des budgets ou réclamer de nouveaux lits.

En conclusion

Se faire traiter de « complotiste » est aujourd’hui une récompense. Il n’est ni plus ni moins que la confirmation que vous êtes une personne qui se pose des questions qu’il ne faut surtout pas écouter.

S’il faut tout faire pour que le « peuple des inutiles » écoute le moins possible les « complotistes », c’est la preuve que le pouvoir est terrorisé par le réveil du peuple. La censure grandissante et les calomnies prouvent que la dictature est de plus en plus inquiète de voir le peuple découvrir qu’on lui ment, comme jamais, depuis plus d’un an.

L’épidémie de Covid n’est pas plus grave que les épidémies d’infections respiratoires aiguës des années précédentes et elle l’est d’autant moins dans les pays qui n’ont pas INTERDIT les traitements. Le masque porté dans une population générale n’a jamais limité une épidémie alors que ses contre-indications pour la santé physique, psychique et sociétale sont bien réelles. Il n’est là que pour terroriser, tester la capacité d’un peuple à tout gober par la peur et rendre visible une épidémie dont nous ignorerions l’existence sans les médias et les mesures dictatoriales.

« Tiens, elle a été un peu rude la grippe cette année ! »

Les confinements d’une population générale sont totalement inefficaces et contre-productifs comme nous le savons depuis des siècles.

La lutte contre un virus ne se résume pas à prendre du paracétamol ! On n’enferme pas les gens, on ne les prive pas de contacts, sauf si on veut les détruire physiquement ou psychiquement.

Et manipuler le peuple pour lui faire croire qu’un vaccin pourrait être efficace contre un virus qui ne fait que muter…

« Vaccin » qui favorise en toute logique les mutations en bloquant principalement la souche d’origine.

« Vaccins » qui ont pu être commercialisés en échappant aux mesures de sécurité face à « l’urgence ».

« Vaccins » que l’on ose nommer ainsi alors même qu’ils n’empêchent ni de tomber malade, ni les contaminations.

Le pire est que :

  • L’on ose parler de vaccination solidaire alors que la preuve n’est toujours pas là pour dire qu’ils protègent autrui
  • L’on ose parler de rapport bénéfice/risque favorable pour une population en bonne santé pour laquelle le risque de décès est statistiquement NUL
  • L’on ose aujourd’hui parler de vacciner des enfants alors que 0 enfant en bonne santé est décédé de cette gentille grippe, gentille, car à la différence de la vraie grippe qui tue chaque année en France des dizaines d’enfants, le gentil Covid les a totalement épargnés.

Et des personnes qui se prétendent « journalistes » n’ont pour seul argument que de traiter de complotiste toute personne qui réfléchit, qui regarde les chiffres, analyse ce qu’il se passe dans d’autres pays et lit des études scientifiques indépendantes !

Mais profitez donc de la controverse, écoutez celles et ceux qui ne sont pas hypnotisés ou corrompus et nourrissez-vous de leur savoir !

Vous, « journalistes », n’avez-vous plus aucune conscience ni courage ? Aucune déontologie ? Aucune soif d’enquêter ? Aucune soif de réfléchir et faire réfléchir ? Aucune soif de vérité ?

Comment vivez-vous le fait de n’être que des photocopieurs branchés sur l’AFP ? Méprisable !

source : https://nouveau-monde.ca et Réseau International

Michel Weber: Penser le totalitarisme sanitaire (2)

Dans cette deuxième interview, Michel Weber, philosophe, aborde la question de la croissance infinie dans un monde fini, l’étude des pathologies du pouvoir, indispensable pour saisir qui nous gouverne, revient sur le « Great reset » et le Forum économique mondial… Indispensable pour comprendre le monde actuel.

Lien vers l’article et la vidéo de sa précédente intervention

Aaron Russo parle (notamment) du plan ultime de l’industrie bancaire et de la puce RFID

Aaron Russo (14 février 1943, New York – 24 août 2007) était un producteur et réalisateur américain de films, basé à Hollywood. D’autre part, il devint plus tard dans la vie un militant politique, tournant notamment plusieurs documentaires de tendance libertarienne, tels que Mad as Hell et America: Freedom to Fascism.

Son dernier documentaire, America… From Freedom To Fascism, sorti en 2006, dénonce la politique américaine en matière de taxe fédérale sur le revenu et quant au système bancaire fédéral. Selon lui, la politique américaine depuis la création de la Banque fédérale américaine, conduit à une restriction croissante des droits des citoyens américains, surtout avec la mise en place des nouvelles lois depuis les attentats du 11 septembre 2001 dans le but de la création de la nouvelle carte d’identité.

Très impliqué dans la vie politique américaine, il s’est présenté aux élections du gouverneur du Nevada en 1998, sous les couleurs du Parti républicain, où il a fini deuxième, avec presque 30 % des votes. Membre important du Parti libertarien américain, il a été candidat de ce parti lors des primaires organisées pour l’élection présidentielle de 2004.

En 2007, dans une interview de Alex Jones, il dénonce le CFR, soutient les théories du complot à propos des attentats du 11 septembre 2001, et critique la guerre contre le terrorisme, ainsi qu’un « plan de domination mondial des banquiers », (les Rockefeller, etc.).

Il y raconte une discussion tenue entre Nicholas Rockefeller et lui-même, onze mois avant les attentats du 11 septembre 2001, expliquant entre autres les propos tenus par Nick Rockefeller : comment « un évènement allait se produire […] et comment à partir de cet évènement nous (les États-Unis) allions envahir l’Afghanistan, construire des pipelines pour amener le pétrole de la mer Caspienne, que nous allions envahir l’Irak pour prendre le contrôle du pétrole au Moyen-Orient et pouvoir nous implanter là-bas et intégrer cette région dans un nouvel ordre mondial et qu’ensuite nous irions nous occuper de Chavez, au Venezuela ainsi que de l’Iran. Je me rappelle qu’il me disait qu’on verrait des soldats fouiller des grottes à la recherche des responsables, en Afghanistan, au Pakistan et dans toutes ces régions-là. Il y aurait alors une guerre contre le terrorisme où il n’y aurait pas de véritable ennemi. Tout cela ne serait qu’une mystification. Ce serait une façon pour le gouvernement de contrôler les Américains ».

Nick Rockefeller lui aurait aussi affirmé que ses projets pour l’avenir étaient de réduire la population mondiale de moitié et de remplacer la monnaie de papier par des puces sous-cutanées où seraient stockées toutes les informations personnelles de la personne. Tout ceci étant une manière détournée de contrôler ce que Nicholas Rockefeller a désigné comme les « serfs », les « esclaves », en parlant de la population mondiale.

Il évoque aussi l’émancipation des femmes comme étant une duperie. Ce mouvement n’aurait pour finalité rien d’autre que de doubler le nombre de contribuables et de demandeurs d’emploi, mais aussi de réduire l’influence familiale sur chaque enfant, qui finira, par la présence restreinte des parents, par s’attacher plutôt à l’État, de façon indirecte.

Il meurt d’un cancer de la vessie, après six ans de lutte contre la maladie.

Interview complète: quelques mois avant de mourir le réalisateur américain parle à cœur ouvert de la nature de l’élite au pouvoir et des pratiques servant son programme:

Aaron Russo a réalisé un film documentaire qui retrace, aux États-Unis, la prise de pouvoir des banquiers et industriels au début des années 1900. Ce qui est très intéressant dans ce film, c’est que le réalisateur était un ami très proche de Nick Rockefeller, c’est d’ailleurs ce dernier qui a dévoilé « Le plan » à Aaron Russo vers la fin des années 1990. Tous les documents et les affirmations avancées sont là encore « vérifiables », on se demande pourquoi tant de personnes sur cette planète ne s’informent pas suffisamment, les réponses étant toujours les mêmes : Par manque de temps et le fameux « c’est trop gros pour être vrai ». Je vous renvoie donc à la célèbre citation de Goebbels, chef de la propagande des nazis, qui disait : « Plus le mensonge est gros, plus il passe ».
Le film:

Votre FUTUR… par le Dr James Giordano

Auteur de plus de 290 publications en neurosciences et en neuroéthique, de 7 livres et de 15 livres blancs gouvernementaux sur la neurotechnologie, l’éthique et la biosécurité, rédacteur en chef de la revue internationale Philosophy, Ethics and Humanities in Medicine, rédacteur en chef adjoint du Cambridge Quarterly of Health Care Ethics et collaborateur de Frontiers in Human Neuroscience. Ses recherches en cours portent sur les bases neurobiologiques des troubles du spectre neuropsychiatrique et sur les questions neuroéthiques soulevées par le développement des neurotechnologies en médecine, dans la vie publique, dans la santé mondiale et dans les applications militaires. En reconnaissance de son travail, il a été élu membre de l’Académie européenne des sciences et des arts, nommé membre étranger de la Royal Society of Medicine (Royaume-Uni), a reçu le prix de l’excellence des anciens élèves de la City University of New York, la médaille d’or de l’Université de Cobourg pour ses réalisations exceptionnelles et a reçu le prix Klaus Reichert de médecine et de philosophie en Allemagne.

L’OMS et 23 chefs d’Etat (dont Macron) préparent un Traité Pandémie devant conduire à un gouvernement mondial

Une multitude de dirigeants mondiaux ont lancé un appel en faveur d’un traité pandémie mondiale, prétendument dans le but de prévenir de futures pandémies, de distribuer des vaccins et de mettre en œuvre une approche unilatérale de la gouvernance mondiale.

Source: Médias-Presse.info  Pierre-Alain Depauw — 1 avril 2021

Le Premier ministre britannique Boris Johnson, le président français Emmanuel Macron, la chancelière allemande Angela Merkel, la chef de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ainsi que 20 autres dirigeants mondiaux, ont signé une lettre commune avec l’intention apparente de gagner le soutien populaire pour le plan mondialiste.

Dans le journal britannique The Telegraph, ainsi que dans d’autres publications telles que Le Monde en France, les dirigeants ont déclaré leur intention de «construire une architecture de santé internationale plus robuste qui protégera les générations futures».

Qualifiant le COVID-19 de «plus grand défi pour la communauté mondiale depuis les années 1940», les 24 dirigeants ont prédit qu’il «y aura d’autres pandémies et d’autres urgences sanitaires majeures».

«Aucun gouvernement ou agence multilatérale ne peut à lui seul faire face à cette menace», ont-ils déclaré. «La question n’est pas de savoir si, mais quand. Ensemble, nous devons être mieux préparés pour prévoir, prévenir, détecter, évaluer et réagir efficacement aux pandémies de manière hautement coordonnée. La pandémie de Covid-19 a été un rappel brutal et douloureux que personne n’est en sécurité tant que tout le monde n’est pas en sécurité. »

Cette dernière phrase est dans la droite ligne des propos du dirigeant mondialiste du Forum économique mondial (WEF) Klaus Schwab. Il y a quelques semaines, Schwab a déclaré : « Tant que tout le monde n’est pas vacciné, personne ne sera en sécurité » , une déclaration qui en soi pose une question intéressante à propos de la confiance que ces dirigeants accordent à leur vaccin.

Les dirigeants ont réaffirmé leur objectif commun de vaccination mondiale, la décrivant comme un «bien public mondial».

Afin d’atteindre ce «bien public» et d’assurer un déploiement rapide des vaccins à travers le monde, les 24 dirigeants mondialistes ont lancé leur nouveau traité international: «[Nous] croyons que les nations devraient travailler ensemble à un nouveau traité international contre la pandémie».

Ce traité serait basé sur les principes de l’OMS, s’inspirant de la constitution de l’OMS, et inviterait «d’autres organisations compétentes au cœur de cette entreprise». Le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, est l’un des signataires de la déclaration.

«Le principal objectif de ce traité serait de favoriser une approche de l’ensemble du gouvernement et de l’ensemble de la société, de renforcer les capacités nationales, régionales et mondiales et la résilience aux futures pandémies», ont déclaré les dirigeants.

«nous travaillerons avec les chefs d’État et de gouvernement du monde entier, et toutes les parties prenantes, y compris la société civile et le secteur privé”

Déclarant que le coronavirus avait «exploité nos faiblesses et nos divisions», les dirigeants signataires ont déclaré qu’il était de leur «responsabilité» de «veiller à ce que le monde tire les leçons de la pandémie de Covid-19», et saisisse «cette opportunité de se réunir en tant que communauté mondiale pour une coopération pacifique qui va au-delà de cette crise.»

La proposition devrait être discutée plus avant entre les dirigeants nationaux lors du sommet du G7 de juin à Cornwall au Royaume-Uni, où Boris Johnson rejoindra ses homologues du Canada, de France, d’Allemagne, d’Italie, du Japon, des États-Unis et de l’UE. Les signataires ont averti que leur nouveau plan «prendra du temps et nécessitera un engagement politique, financier et sociétal soutenu pendant de nombreuses années».

S’adressant à BBC Radio, l’envoyé spécial COVID de l’OMS, le Dr David Nabarro, a fait écho au langage employé par les 24 dirigeants, notant qu’il faudrait attendre 2022 avant que l’agenda mondialiste de la vaccination mondiale ne soit terminé, et a ainsi fait allusion à «toutes sortes de problèmes avec variantes », avant que cet objectif ne soit atteint.

“Tout ce que les dirigeants disent, c’est que ce problème est si énorme que nous devons travailler ensemble pour le résoudre”, a ajouté Nabarro.

Le traité prévu s’aligne très étroitement sur les objectifs de grande réinitialisation de Klaus Schwab. Le Forum économique mondial parle des «dirigeants» qui «se trouvent à un carrefour historique».

La liste complète des signataires se trouve ci-dessous :

JV Bainimarama, Premier ministre des Fidji; 
António Luís Santos da Costa, Premier ministre du Portugal; 
Klaus Iohannis, président de la Roumanie; 
Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni; 
Paul Kagame, président du Rwanda; 
Uhuru Kenyatta, président du Kenya; 
Emmanuel Macron, président de la France; 
Angela Merkel, chancelière de l’Allemagne; 
Charles Michel, président du Conseil européen; 
Kyriakos Mitsotakis, Premier ministre de la Grèce; 
Moon Jae-in, président de la République de Corée; 
Sebastián Piñera, président du Chili; 
Carlos Alvarado Quesada, président du Costa Rica; 
Edi Rama, Premier ministre de l’Albanie; 
Cyril Ramaphosa, président de l’Afrique du Sud; 
Keith Rowley, Premier ministre de Trinité-et-Tobago; 
Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas; 
Kais Saied, président de la Tunisie; 
Macky Sall, président du Sénégal; 
Pedro Sánchez, Premier ministre espagnol; 
Erna Solberg, Premier ministre de Norvège; 
Aleksandar Vučić, président de la Serbie; 
Joko Widodo, président de l’Indonésie; 
Volodymyr Zelensky, président de l’Ukraine; 
Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé.