Quel rôle l’Institut Pasteur a-t-il joué dans le contrôle de l’épidémie en France ?

Une analyse très documentée de France Soir sur le rôle de l’Institut Pasteur depuis le début de cette crise.
A mettre en relation avec les analyses du Professeur Fourtillan qui a déposé plainte contre l’institut Pasteur, suite à laquelle il a été interné de force dans un hôpital psychiatrique (affaire à suivre).

Début de l’article:

Lorsque les chercheurs de l’Institut Pasteur ont été questionnés sur la possibilité que le SARS-Cov2 soit un virus manipulé, ils ont répondu que si c’était le cas des vestiges de manipulations devraient se retrouver dans le génome. Ils entendaient par-là que, dans le cas d’un accident non intentionnel de laboratoire, la présence de sites de clivage d’enzymes de restriction devrait révéler la manipulation. Cependant, comme nous l’avons montré dans la première partie de ce chapitre qu’il est tout à fait possible depuis le début des années 2000 de manipuler des coronavirus entiers sans laisser de trace. Ils sont restés très discrets également sur la nouvelle technique de manipulation génétique CRISPR-Cas9. Elle permet ce que l’on appelle à présent l’édition de génome, tant la comparaison avec les logiciels qui permettent la modification rapide et simple d’un texte est tentante. Ils ne pouvaient pas l’ignorer. D’ailleurs, notons qu’ Emmanuelle Charpentier est un peu l’enfant prodige de l’Institut Pasteur puisqu’elle y a poursuivi des recherches doctorales entre 1992 et 1995.

Tout un chacun a pu constater le silence assourdissant de l’Institut Pasteur depuis le début de l’épidémie et les quelques réponses éparses obtenues sur la nature et l’origine du virus n’ont été que trop évasives et passablement trompeuses. Par exemple, l’affirmation que le virus SARSCov2 était très distinct du SARS-Cov est de toute évidence une contre-vérité sur le plan de la structure de son génome, de son organisation spatiale et de son mode de fonctionnement.

Il n’est pas concevable, qu’étant donné son rôle dans la détection et la prévention des épidémies, l’Institut Pasteur n’ait pas été au courant très tôt, dès les mois de décembre et janvier, du danger de cette épidémie. Pourquoi les gens de Pasteur n’ont-ils pas alerté les autorités françaises ou tenu une conférence de presse publique dès le courant janvier ?

Selon son site internet, l’Institut Pasteur abrite la « Cellule d’Intervention Biologique d’Urgence (CIBU), été créée fin 2002 sous l’impulsion du Directeur Général de la Santé (DGS) et du Directeur Général de l’Institut Pasteur, afin de répondre aux « urgences biologiques spécialisées ». Ces urgences peuvent être des épidémies, des accidents ou une utilisation potentielle d’armes d’origine biologique, toutes mettant en péril la santé publique. » Les missions de la CIBU incluent :

– mobiliser à l’international de l’expertise en cas d’urgence représentant une menace pour la sécurité sanitaire en France ;
– informer sans délai l’InVS en cas de détection de tout phénomène inhabituel susceptible d’avoir un impact sur la santé publique.

Que faisait son directeur, Jean-Claude Manuguerra, au cours du mois de janvier 2020, quand il a été mis au courant de la situation à Wuhan ? On l’a malheureusement vu déclaré le 21 janvier 2020 sur Euronews à propos de l’épidémie en Chine : «… c’est quelque chose de nouveau mais qui pour l’instant n’est pas plus préoccupante que ça. Il faut juste ne pas louper le coche pour endiguer ce phénomène épidémique …». S’il y avait une personne en France qui connaissait le danger de laisser pénétrer en France le SARS-Cov2 c’était bien lui.  La séquence du premier isolat WH-Human 1 du coronavirus (appelée aussi 2019-nCoV) et son génome complet  (29,903 nt) avait été déposé le 14 janvier 2020 dans GenBank, sous code d’accession MN908947 avec la définition « Génome complet de l’isolat du virus WH-Human 1 de pneumonie du marché aux fruits de mer de Wuhan ». Donc, la séquence du  virus avait forcément été analysée par les équipes de l’Institut Pasteur. Elles savaient à quel point le motif de liaison (RBM) de la protéine S était proche de celui du SARS-Cov de 2002-2003 ainsi que sa polymérase RdRp (96,5% d’identité) signant la dangerosité du virus. De plus, les autorités chinoises annonçaient le caractère contagieux du virus le 20 janvier, avec 1 mois de retard, alors que les autorités de Wuhan connaissaient le caractère contagieux depuis la mi-décembre (chapitre 1). Le 24 janvier il était publié dans le Lancet que le virus était transmissible de personne à personne. Le directeur de la CIBU savait donc le 21 janvier, lors de son interview sur Euronews, que ce nouveau virus était de type SARS-Cov avec tout ce que cela implique. Qu’a-t-il fait pour informer et alerter les pouvoirs publiques avec conviction durant la dernière semaine de janvier et tout le mois de février ?

Dans la section qui suit nous découvrons, qu’en compagnie de 15 autres chercheurs à l’Institut Pasteur, il est co-inventeur d’un brevet sur les vakx1s contre les virus du type SARS-Cov. Ce brevet prouve que Pasteur s’était préparé depuis 2003 à l’éventualité de la ré-émergence d’un virus similaire au SARS-Cov. Ils ont procédé à des milliers d’expériences pour comprendre comment faire des tests de dépistage et des vakx1s contre ce type de virus émergeant. Ils ont breveté le résultat de toutes ces expériences pour être en mesure, le cas échéant, de tirer les bénéfices financiers potentiels d’une épidémie de SARS-Cov qui ne serait pas maîtrisée à temps, nécessitant dépistage et vaccination massive. Cela, les dispensait-il de leur rôle d’alerte des pouvoirs publiques ?

Les brevets de portée mondiale de l’Institut Pasteur

L’Institut Pasteur détient depuis 2005 des brevets de portée mondiale (EP 1 694 829 B1 et US 2007/0128224 A1) sur les coronavirus à SARS. Ces brevets qui courent au moins jusqu’en 2027 ont pour but d’explorer et de décrire le maximum de caractéristiques de façon à établir des vakx1s ou des tests de dépistage sur des coronavirus de type SARS-Cov. Ces brevets se basent sur le séquençage d’un isolat complet du virus du SARS-Cov récupéré à la Clinique Française de Hanoï en février 2003. Cela était parfaitement légitime pour étudier la confection de vaccin contre l’éventualité d’une épidémie de coronavirus à SARS du type de celle de 2002-2003 dans les années à venir. Cependant, soyons clairs, le seul but d’un brevet est l’argent qui est le facteur numéro 1 de survie pour les instituts de recherche. Mais cela amène une grande confusion, et permet d’introduire le biais du conflit d’intérêt dans un domaine particulier de la santé publique (les épidémies) qui devrait en être intégralement exempt

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La campagne vakxinnale expérimentale à venir constitue un viol du Code de Nuremberg et une atteinte à l’intégrité d’autrui

Voici le communiqué de Christian Cotten du 2 décembre 2020.

Médecins — Pharmaciens — Infirmiers — Fonctionnaires de la santé !

Premier avertissement avant poursuites pour viol du Code de Nuremberg et atteinte à l’intégrité d’autrui

Une campagne de vaccination est organisée par la Haute Autorité de Santé de l’État français. Vous serez ainsi sollicités dans les prochaines semaines pour la mettre en œuvre, tout particulièrement dans les EHPAD. Les vakx1 qui seront utilisés sont des vakx1 à ARN messager. Ce type de formulation n’a jamais été utilisée auparavant et les études préliminaires ne sont pas publiées. Il n’existe à ce jour aucune information disponible ni pour les scientifiques ni pour la population, relativement à la composition précise et exacte de ces produits médicaux, pas plus qu’aux probables effets secondaires à court et long termes, bénins ou handicapants voire létaux.

Cette campagne vaccinale est ainsi constitutive de façon irréfragable d’une expérimentation médicale, puisque son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les conséquences pour les populations qui seraient sujets de cette expérimentation et qu’il est largement documenté scientifiquement que nombre de vakx1 produisent de multiples effets secondaires et des accidents vaccinaux handicapants ou mortels.

Les expérimentations médicales sont encadrées en droit pénal international par le Code de Nuremberg, d’interprétation la plus stricte : un certain nombre de médecins ont ainsi été condamnés à mort en 1947 pour violation des principes de ce Code, reconnu internationalement depuis cette époque.

Lire la suite sur le site de fr.sott.net

Petit rappel à toute fin utile:

« Code de Nuremberg »

Adaptation du CCNE (1984) et du Conseil d’État (1988)

Cette version du « code, de Nuremberg » est utilisée par le Comité consultatif national d’éthique à l’appui et en annexe de son avis n° 2 du 9 oct. 1984 sur les essais de nouveaux traitements chez l’homme 11. Il s’agit d’une adaptation citée sans source ; on n’a pas retrouvé, malgré nos recherches, la référence originale ; mais tout indique qu’elle provient d’une autorité déontologique médicale. Significativement, le « malade » est substitué au « sujet expérimental ».

La même version est reprise sans source par le rapport du Conseil d’État qui préfigura le contenu de la loi du 20 décembre

1988 (loi « Huriet ») et celui des lois de bioéthique de 199412.

1. Il est absolument essentiel d’obtenir le consentement volontaire du malade.  

2. L’essai entrepris doit être susceptible de fournir des résultats importants pour le bien de la société, qu’aucune autre méthode ne pourrait donner.

3. L’essai doit être entrepris à la lumière d’expérimentation animale et des connaissances les plus récentes de la maladie étudiée.

4. L’essai devra être conçu pour éviter toute contrainte physique ou morale.

5. Aucun essai ne devra être entrepris, s’il comporte un risque de mort ou d’infirmité sauf, peut-être, si les médecins, eux-mêmes, participent à l’essai.

6. Le niveau de risque pris ne devra jamais excéder celui qui correspond à l’importance humanitaire du problème posé.

7. Tout devra être mis en œuvre pour éviter tout effet secondaire à long terme après la fin de l’essai.

8. L’essai devra être dirigé par des personnalités compétentes. Le plus haut niveau de soins et de compétence sera exigé  pour toutes les phases de l’essai.

9. Pendant toute la durée de l’essai, le malade volontaire aura la liberté de décider d’arrêter l’essai si celui-ci procure une gêne mentale ou  physique et si, de quelque autre façon,  la continuation de l’essai lui paraît impossible.

10. L’expérimentateur doit se préparer à arrêter l’essai à tout moment, s’il a des raisons de croire, en toute bonne foi, et après avoir pris les avis plus compétents, que la continuation de l’essai risque d’entraîner la mort ou une infirmité aux malades./

Source : https://www.inserm.fr/sites/default/files/2017-11/Inserm_CodeNuremberg_TradAmiel.pdf

C0VlD en dessins

Voir les autres illustrations sur le même thème sur le site de René Bickel

René Bickel est un autodidacte qui se classe parmi les dessinateurs engagés. Écologiste dans l’âme, pour faire passer ses messages, il a choisi une arme redoutable : l’humour, de faire d’un sujet grave une récréation sérieuse accessible, simple et ludique. Pédagogiques et humoristiques, ses ouvrages devraient être déclarés d’intérêt public !
Sans concession aucune, il dépeint dans ses albums les coulisses d’une société dont le « progrès » réside avant tout dans la mise en place d’un ordre mondial dont il s’attache à démontrer les buts premiers et inavoués de la domination et de l’exploitation des individus.
Intuitivement, il ne fait aucune confiance à la médecine. Pour accroître ses connaissance dans les méthodes naturelles de santé, il suit des cours dispensés par André Passebecq (un des pionniers de l’hygiénisme ou vitalisme, fondateur de « Vie et Action ») et autoédite en 1979 son premier livre « le sucre et la nutrition », issu de sa thèse de fin de cours en tant que conseiller hygiéniste diététicien.

« Dans ce domaine, les connaissances théoriques sont secondaires, car rien ne vaut l’expérience sur soi qui m’a fait avoir une grande confiance en mon corps et me délivrer totalement de la peur de la maladie ».

René Bickel a publié plusieurs ouvrages en français :
Le sucre et la nutrition (1980 – épuisé)
Le Malade Enchaîné (1995)
Les chemins de la souveraineté individuelle (1999)
Vaccination : la grande illusion (2003)
OGM, farines animales et autres vacheries (2004)
Découvertes interdites – L’affaire Beljanski (2004)
Être heureux : Le Théâtre de la vie (2007)
L’Amorce d’un changement se dessine ! (2010)

Aujourd’hui, René Bickel réalise des illustrations pour plusieurs revues, notamment pour « Biocontact » (distribuée en bio coop) qui lui consacre le « Bickel du mois ». On trouve ses dessins sur de nombreux sites internet français et étrangers.
René Bickel publie régulièrement des articles engagés consultables sur ce site internet.
Faites l’humour, pas la guerre !

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