Mal traités Le nouveau documentaire choc (après Hold-Up)

Enfin un vrai travail de journalisme d’investigation sur la crise de la COVID !
Enfin la vérité sur le protocole du Pr Raoult, décrié par les médias malgré plus de 100 études scientifiques favorables !
Enfin des experts qui témoignent, à visage découvert, des remèdes naturels qui marchent contre la Covid-19 : la vitamine D, le zinc, la vitamine C, et d’autres encore !
Tout est révélé dans ce documentaire incroyable d’Alexandre Chavouet 

Pour visionner le documentaire, aller sur le site https://www.revelation-covid.com/. Vous y verrez la bande annonce ainsi qu’un lien qui, via votre adresse-mail, vous permettra de visionner l’ensemble du documentaire.

Si ce lien ne fonctionnait plus, voici une autre possibilité de le voir sur Odysee

Paniques anti-complotistes

Un article de Fredéric London paru dans Entelekheia

Si Hold-up n’avait pas existé, les anticomplotistes l’auraient inventé. C’est le produit parfait, le bloc de complotisme-étalon en platine iridié, déposé au Pavillon de Breteuil à Sèvres. De très belles trouvailles, des intervenants dont certains ont passé le 38e parallèle comme des chefs : une bénédiction. Altérée cependant parce que, certes, on est content d’avoir raison et d’être la rationalité incarnée, mais quand même l’époque est sombre et on rit moins. La Terre plate et la Lune creuse, on veut bien, ça c’est vraiment drôle, mais QAnon beaucoup moins, ça fait de la politique, le cas échéant ça prend des armes; aux fusils près et du train où vont les choses on pourrait bientôt avoir les mêmes à la maison. D’ailleurs, on commence à les avoir. Pour l’heure il n’est question que de masques et de vaccins, ce qui n’est déjà pas rien, mais on sent bien que tous les autres sujets sont candidats. Ce qu’on sent bien également, c’est le degré auquel le camp de la raison se voit lui-même démuni, et légèrement inquiet devant sa difficulté à élaborer des stratégies antidotes. Disons-le tout de suite, dans la disposition qui est la sienne, il n’est pas près d’en trouver la première.

D’une forme à l’autre (mais la même)

Le torrent de commentaires qu’a immédiatement suscité la diffusion du documentaire est sans doute le premier signe qui trahit la fébrilité — du temps a passé depuis le mépris et les ricanements. Si encore il n’y avait que la quantité. Mais il faut voir la «qualité». C’est peut-être là le trait le plus caractéristique de l’épisode «Hold-up» que toutes les réactions médiatiques ou expertes suscitée par le documentaire ne font que reconduire les causes qui l’ont rendu possible. Les fortes analyses reprises à peu près partout ont d’abord fait assaut de savoirs professionnels par des professionnels : «la musique» — inquiétante (la musique complotiste est toujours inquiétante), le format «interviews d’experts sur fond sombre» (le complotisme est sombre), «le montage» (le montage… monte?). C’est-à-dire, en fait, les ficelles ordinaires, et grossières, de tous les reportages de M6, TF1, LCI, BFM, France 2, etc. Et c’est bien parce que l’habitude de la bouillie de pensée a été installée de très longue date par ces formats médiatiques que les spectateurs de documentaires complotistes ne souffrent d’aucun dépaysement, se trouvent d’emblée en terrain formel connu, parfaitement réceptifs… et auront du mal à comprendre que ce qui est standard professionnel ici devienne honteuse manipulation là.

Complotistes ou décrypteurs?

Mais les médias ont passé ce point d’inquiétude où l’on sent bien qu’on ne peut plus se contenter de la stigmatisation des cinglés. L’urgence maintenant c’est de comprendre — hélas en partant de si loin, et avec si peu de moyens. Alors la science médiatique-complotologique pioche pour refaire son retard, et tout y passe. Il y a d’abord, nous dit très sérieusement Nicolas Celnik dans Libération (lui aussi a compris qu’il ne fallait plus se moquer, alors il écrit une «Lettre à (son) ami complotiste»), que l’un des ressorts positifs des adeptes de complots vient de «l’impression d’avoir découvert ce qui devait rester caché». Mais Nicolas Celnik sait-il que le vocable princeps de l’idéologie journalistique est «décrypter», ce qui, si l’on suit bien l’étymologie, signifie, précisément, mettre à découvert ce qui était caché. Il n’est pas un organe de presse qui ne s’enorgueillisse de ses «décryptages». Partout ce ne sont que «décrypteurs», d’ailleurs Abel Mestre et Lucie Soullier qui consacrent un papier-fleuve dans Le Monde à s’inquiéter de la double épidémie de Covid et de théories complotistes, déplorent que l’audience de ces dernières soit «devenue considérable, bien au-delà de celle des sites qui les décryptent».

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La démocratie est une bonne idée. Il est donc dommage que nous ne l’ayons jamais expérimentée.

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La démocratie, ou plutôt la démocratie réelle, est sans doute la meilleure forme de gouvernance que nous ayons imaginée. Malheureusement, comme l’ont démontré les récentes élections américaines et le soutien massif en faveur d’un nouveau « confinement » au sein du parlement britannique, la démocratie n’existe que dans notre imagination.

Ce que nous avons au contraire, c’est un système corrompu de pouvoir centralisé et autoritaire. Il règne par la tromperie, la coercition, la menace et l’usage de la violence.

Abraham Lincoln a tenté de définir la démocratie comme « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ». C’est ce que l’on nous apprend de la démocratie. En effet, c’est ce qu’elle est censée être. Malheureusement, ce n’est pas ce que nous avons.

Nous avons une tyrannie mondiale unifiée, dirigée uniquement au profit d’une petite clique de barons voleurs parasites. Ils ont établi leur hégémonie par l’usure, la guerre, le terrorisme, la corruption et le contrôle de l’offre monétaire.

Ils y sont largement parvenus sans résistance, car nous sommes trop nombreux à penser que leur système de démocratie représentative est la démocratie. Ce qui n’est pas le cas.

La pandémie de Covid-19 a été planifiée depuis longtemps pour permettre au Forum économique mondial de faire son « Grand Reset« . Cela ne fait que remettre en place les vieilles obsessions de la classe parasitaire . A savoir, la création d’un Nouvel Ordre Mondial.

Il est courant aujourd’hui que nos oppresseurs habillent leur rhétorique de mantras pelucheux et progressistes, donnant la fausse impression qu’ils s’en soucient vraiment. Tout cela fait partie de l’argumentaire de vente.

Par exemple, Richard Haas (président du Council on Foreign Relations) suggère que l’ordre mondial 2.0 est la voie à suivre. On pourrait se demander ce qu’était l’ordre mondial 1.0, mais c’est certainement l’ambition des globalistes depuis un certain temps.

La version « 2.0 » suggérée par Haas visait à éroder la souveraineté nationale, comme c’est toujours le cas, en construisant une « autorité unique » globale et centralisée pour diriger chaque nation sur Terre. Le but étant que les quelques élus contrôlent l’autorité unique. Il s’est servi de la durabilité, de la résilience et de l’action climatique comme des caprices flous pour masquer ses aspirations totalitaires.

Ces slogans sont populaires auprès d’autres aspirants dictateurs. Le goutte-à-goutte les nourrit dans tout ce qu’ils disent, pour nous mettre à l’aise.

Se positionnant souvent comme des sauveurs, invariablement face aux menaces qu’ils ont créées, la Covid-19 est le nouveau danger dont ils entendent nous sauver. Ainsi, dans l’espoir de nous faire accepter leur Nouvel Ordre Mondial 3.0 (ou quel que soit le nom qu’ils veulent lui donner)

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Pour ceux qui veulent aller plus loin voir aussi les 2 articles du Saker francophone:

Mondialisme. En théorie et en pratique

Pour ceux qui s’apprêtent à remettre en cause l’autorité – Je vous salue