Désobéissance civile: mode d’emploi par Louis Fouché

Discussion sur la « désobéissance civile » et les bons moyens de la mettre en application de façon efficace, entre Jérémie Mercier et Louis Fouché, à l’occasion de la journée de réouverture des restaurants et autres lieux « non essentiels » le lundi 1er février.
Une bonne introduction au monde de demain que nous voulons.

Belgique: la légitimité démocratique du pouvoir d’exception remise en question par des chercheurs

Des chercheur.e.s de toutes les universités francophones s’interrogent sur les conséquences démocratiques de la crise et la question de la légitimité du pouvoir d’exception.

Coronavirus: la légitimité démocratique du pouvoir d'exception remise en question par des chercheurs

Par Un collectif de signataires*Le 28/01/2021 à 16:21

Il y a plus de 10 mois, les premières mesures de confinement étaient prises en Belgique. Ces dispositions inédites et impensables encore quelques semaines auparavant ont bouleversé nos vies et notre société. Elles ont été adoptées dans l’urgence, face à un phénomène, l’épidémie de covid-19, qu’il était difficile de prévoir. L’absence de débat démocratique pouvait à l’époque se comprendre au vu de l’urgence et du caractère exceptionnel des mesures. Une large coalition de partis démocratiques créait alors un consensus autour d’un gouvernement minoritaire. A situation inédite, réactions politiques inédites.

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A l’automne dernier, un gouvernement de plein exercice était mis en place. Moins d’un mois après son installation, le second confinement a eu lieu. Il diffère fondamentalement du premier sur deux points. Tout d’abord, il est désormais impossible d’invoquer la surprise. Par ailleurs, le caractère temporaire et exceptionnel du confinement n’a plus rien d’évident.

Les mesures covid-19 sont donc maintenues depuis des mois pour des périodes déterminées à répétition qui se transforment de facto en période indéterminée. Récemment, la prolongation jusqu’au 1er mars des mesures de confinement témoigne d’une nouvelle dégradation préoccupante de la situation. Jusqu’à présent, les autorités prenaient à tout le moins la peine d’avertir les citoyens et citoyennes de leurs décisions lors de conférences de presse. Désormais, elles agissent en catimini. Ainsi, nous ne sommes plus dans le cas de l’urgence mais d’un régime d’exception qui s’installe dans la durée. Trois mois après le début du 2e confinement, le gouvernement ne communique toujours aucune perspective de sortie.

Des dégâts économiques, sociaux et psychologiques considérables

Malgré la durée de la crise, la communication est toujours celle de l’urgence. Les médias reçoivent leur dose quotidienne de chiffres Covid, sans aucun recul ou analyse ni, sauf cas rares, modération critique. De même, le nouveau feuilleton de la course entre la vaccination et la dissémination des nouveaux variants est censé nous tenir en haleine. Surtout, les données fournies sont incomplètes pour qui veut se faire une idée réelle des implications du confinement. Quid de la santé mentale, des tentatives de suicide, du décrochage scolaire, de la paupérisation, de l’augmentation des violences intra-familiales ? Il semble en tout cas que ces dimensions n’influent que de manière marginale sur les décisions prises. Probablement parce que les effets concrets ne se font ici ressentir qu’avec retard, alors que les contaminations se voient chaque jour avec une publicité maximale. Est-ce dès lors une raison pour ne pas prendre en compte ces réalités au moins aussi importantes ? 

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Or, c’est bien ce tableau global des conséquences de la gestion de cette crise qu’il convient urgemment de dresser. Avec des étudiants ou adolescents en mal-être grave, des professions en déroute et sans perspectives, des usages normalisés des limitations de libertés, peu d’évaluations rendues publiques de l’efficacité de certaines mesures liberticides… Il est plus que temps de se poser la question du vivre ensemble en pandémie dans une société où le risque zéro n’existe pas.

Actuellement, on tente toujours de minimiser un double risque très étroit : la saturation des hôpitaux couplée aux décès des personnes vulnérables, sans s’interroger vraiment sur l’équilibre à trouver avec les autres risques et les dommages causés aux autres catégories de citoyens et citoyennes. Or ces risques explosent en ce moment de toutes parts, comme des dizaines de chercheurs et chercheuses en sciences humaines et sociales le prédisent depuis des mois, et dont les propositions ne semblent pas entendues par les autorités politiques.

Des restrictions massives des libertés publiques

La gestion covid-19 soulève aussi un problème fondamental de respect de la légalité et de l’Etat de droit. Depuis plusieurs mois, les constitutionnalistes et les politologues dénoncent la gestion de la crise par simple arrêté ministériel et réclament une loi Corona (lire aussi). Au-delà du simple respect de la Constitution, l’État de droit assure la limitation de l’action de l’État envers les citoyens et citoyennes en lui imposant un cadre juridique et en lui interdisant l’arbitraire. En un mot comme en cent : l’Etat ne peut pas agir comme bon lui semble, aussi impérieuse et légitime lui semble la finalité qu’il poursuit.

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Chaque jour, nous pouvons constater les graves conséquences de l’estompement de ce principe. La lutte contre le covid-19 sauve sans doute des vies. Mais elle étouffe nos droits et libertés. L’état d’exception qui s’installe permet à la police de pénétrer de nuit dans les domiciles, de tracer les GSM sans ordonnance de juge, de restreindre le droit de manifestation, de suspendre le droit au travail, de maltraiter le droit à l’enseignement, de s’emparer de nos données médicales à des fins de contrôle, de limiter nos déplacements, de faire disparaître les droits culturels… Cette rétrogradation a lieu sans débat ni décision parlementaire et en contournant trop souvent les autorités de contrôle (section de législation du Conseil d’Etat, Autorité de la protection des données).

Des mesures de contrôle incontrôlées

La démocratie belge est aujourd’hui atone. Le confinement et ses modalités ne font pas l’objet d’un débat démocratique public, pluraliste et ouvert. Les positions et arguments en contradiction avec la parole officielle n’ont pas droit au chapitre. Comme le démontre Amartya Sen, le débat public est la condition incontournable de toute décision légitime et raisonnable, sur la base de positions parfois toutes défendables quoique contradictoires (1).

Le contrôle de l’application des règles par les citoyens et citoyennes fait l’objet d’une sévérité de plus en plus grande. Mais dans le même temps, le contrôle des règles par les autorités fait l’objet de plus en plus d’inattentions. La piste est glissante : ne basculons-nous pas dans une gestion autoritaire de la pandémie ?

Il est donc indispensable d’avoir un débat démocratique et ouvert sur au moins trois éléments.
– Premièrement, la définition de l’objectif poursuivi par ces mesures : s’agit-il d’éviter la saturation des services hospitaliers ou d’éradiquer le virus en éludant la question des moyens pour renforcer les dispositifs médicaux ?
– Deuxièmement, le degré de risque que nous sommes collectivement prêts à accepter au regard de tous les autres risques.
– Et troisièmement, les mesures légitimes et proportionnées prises pour atteindre ces objectifs.

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Un débat éclairé nécessite d’avoir des données fiables et des avis partagés. Il faut dès lors au plus vite un partage des données en opendata afin que tout chercheur ou chercheuse puisse les vérifier, les compléter, les discuter et les analyser. Il est également nécessaire de rendre publics tous les avis exprimés par les divers organes d’expert.e.s, afin que chaque citoyen et citoyenne puissent être informé.e et comprendre les mesures.

De graves conséquences à moyen et long termes

Le basculement que nous observons entraîne de graves conséquences à moyen et long termes que les autorités ne peuvent ignorer : perte d’adhésion des citoyens et citoyennes dans les mesures, décrédibilisation des dirigeants déjà en perte de vitesse, mouvements de désobéissance civile qui peuvent entraîner la division et le conflit. En outre, la création d’un tel précédent est un danger pressant dans un contexte de montée des populismes et des régimes autoritaires, ainsi que dans la perspective scientifiquement envisagée d’épidémies ultérieures. Comment les démocrates pourront-ils.elles faire barrage à des poussées illibérales si l’Etat libéral ouvre la brèche ? La classe politique actuelle prépare-t-elle à son insu, par manque de vision et de courage, la fin de la démocratie telle que nous la connaissons ? Il est encore temps d’un sursaut.

*Signataires : Diane Bernard (USL-B), juriste et philosophe ; Anne-Emmanuelle Bourgaux (UMons), juriste ; Marie-Sophie Devresse (UCLouvain), criminologue ; Alain Finet (UMons), management ; François Gemenne (ULiège), politologue ; Christine Guillain (USL-B), juriste ; Chloé Harmel (UCLouvain), juriste ; Vincent Laborderie (UCLouvain), politologue ; Irène Mathy (USL-B), juriste ; Anne Roekens, (UNamur), historienne ; Damien Scalia (ULB), juriste ; Olivier Servais (UCLouvain), anthropologue et historien ; Dave Sinardet (VUB- USL-B), politologue ; Nicolas Thirion (ULiège), juriste ; Erik Van Den Haute (ULB), juriste.

(1) A. Sen, L’idée de justice, Flammarion, 2010 (pour la trad. en français), notamment p. 141 et 417.

Article paru dans le journal LE SOIR du 29/1/2021

La fable des fourmis rouges et fourmis noires

A méditer …

 Si vous mettez 100 fourmis rouges et 100 fourmis noires ensemble dans un bocal, rien ne se passera.

Mais si vous secouez le bocal, les fourmis vont commencer à s’entretuer.

Les rouges croiront que les noires sont leurs ennemies et les noires croiront que les rouges sont leurs ennemies, alors que le véritable ennemi est la personne qui a secoué le bocal.

À chaque événement, surtout par ces temps de tromperies, mensonges et manipulations, il est primordial de mettre en place des automatismes.

Se poser les bonnes questions : qui tire les ficelles ? À qui est-ce que ça profite ?

Pendant que le peuple se divise et se tire dans les pattes pour quelques miettes les marionnettistes rigolent. 

Alors, qui est en train de secouer notre bocal ?!

Rockefeller et l’OMS, les dessous du cartel pharmaceutique

Il m’a semblé important de reprendre cette vidéo et cet article pour expliquer l’origine de la médecine allopathique de la maladie, du cartel pharmaceutique et de l’OMS qui nous maintiennent dans la peur de la maladie et nous empêchent de parler de santé, de médecines naturelles et traditionnelles.

https://www.quartierlibre.tv/jfakra/rockfeller-et-loms-les-dessous-du-cartel-pharmaceutique/

Comment Rockefeller a éliminé les remèdes naturels pour créer de grandes sociétés pharmaceutiques

Vous saviez déjà que Big Oil était mauvais, mais la famille Rockefeller a également ouvert la voie à Big Pharma en détruisant de ce fait les remèdes naturels.

L’auteur Chris Kanthan a écrit un article étonnant sur la façon dont la famille Rockefeller a sapé la société moderne de multiples façons, mais ce que la plupart ne réalisent pas, c’est comment ils ont éliminé les remèdes naturels.

Le nom de famille a maintenant été lié à la suppression de la médecine naturelle pour fonder de grandes sociétés pharmaceutiques et gagner beaucoup d’argent.

Les gens de nos jours vous voient comme un excentrique lorsque vous parlez des propriétés curatives des plantes ou de toute autre pratique holistique. Comme tout le reste, il y a beaucoup de politique et d’argent derrière notre système médical moderne.

Tout commence avec John D. Rockefeller (1839 – 1937) qui était un magnat du pétrole, un magnat des voleurs, le premier milliardaire américain et un monopoleur naturel. Au début du 20e siècle, il contrôlait 90% de toutes les raffineries de pétrole aux États-Unis par l’intermédiaire de sa compagnie pétrolière, Standard Oil, qui s’est ensuite scindée pour devenir Chevron, Exxon, Mobil, etc.

Dans le même temps, vers 1900, les scientifiques ont découvert la «pétrochimie» et la capacité de créer toutes sortes de produits chimiques à partir du pétrole. Par exemple, le premier plastique, appelé bakélite, a été fabriqué à partir de pétrole en 1907.

Les scientifiques ont découvert diverses vitamines et ont supposé que de nombreux médicaments pharmaceutiques pouvaient être obtenus à partir du pétrole. C’était une merveilleuse opportunité pour Rockefeller, qui a vu la capacité de monopoliser les industries pétrolière, chimique et médicale en même temps! La meilleure chose à propos de la pétrochimie était que tout pourrait être breveté et vendu avec des bénéfices élevés.

Mais il y avait un problème avec le plan de Rockefeller pour l’industrie médicale: les médicaments naturels ou à base de plantes étaient très populaires en Amérique à l’époque. Près de la moitié des médecins et universités américains pratiquaient la médecine holistique, en utilisant les connaissances des Amérindiens et des Européens.

Rockefeller, le monopoleur, devait trouver un moyen de se débarrasser de sa plus grande concurrence. Il a donc utilisé la stratégie classique «solution-problème-réaction». Autrement dit, créez un problème et effrayez les gens, puis proposez une solution (pré-planifiée). (Semblable à la peur terroriste, suivie du «Patriot Act».) Il est allé voir son ami Andrew Carnegie, un autre ploutocrate qui a fait son argent en monopolisant l’industrie sidérurgique qui a mis au point un plan.

De la prestigieuse Fondation Carnegie, ils ont envoyé un homme du nom d‘Abraham Flexner voyager à travers le pays et rendre compte de l’état des facultés de médecine et des hôpitaux à travers le pays.

Cela a conduit au rapport Flexner, qui a donné naissance à la médecine moderne telle que nous la connaissons. Il va sans dire que le rapport parle de la nécessité de moderniser et de centraliser nos institutions médicales. D’après ce rapport, plus de la moitié de toutes les facultés de médecine ont été fermées prématurément.

L’homéopathie et les médecines naturelles ont été ridiculisées et diabolisées; Et les médecins ont même été emprisonnés.

Pour aider à la transition et changer les esprits d’autres médecins et scientifiques, Rockefeller a octroyé plus de 100 millions de dollars aux universités et aux hôpitaux et a fondé un groupe de façade philanthropique appelé «General Board of Education» (GEB). C’est l’approche classique de la carotte et du bâton.

En très peu de temps, toutes les facultés de médecine ont été modernisées et homogénéisées. Tous les étudiants apprenaient la même chose et la médecine consistait à utiliser des médicaments propriétaires.

Les scientifiques ont reçu d’énormes subventions pour étudier comment les plantes guérissent les maladies, mais leur objectif était d’abord d’identifier les produits chimiques de la plante qui étaient efficaces, puis de recréer en laboratoire un produit chimique similaire, mais pas identique, qui pourrait être breveté.

Une pilule pour une personne malade est devenue le mantra de la médecine moderne.

Et vous pensiez que les frères Koch étaient mauvais?

Alors maintenant, 100 ans plus tard, nous produisons des médecins qui ne savent rien des avantages de la nutrition ou des herbes ou de toute pratique holistique. Nous avons une société entière qui est esclave des entreprises pour son bien-être.

Les États-Unis consacrent 15% de leur PIB aux soins de santé, qui devraient vraiment être appelés «soins de santé». Il ne se concentre pas sur le remède, mais sur les symptômes, créant ainsi des clients réguliers. Dans les produits pharmaceutiques industriels, il n’existe aucun remède contre le cancer, le diabète, l’autisme, l’asthme ou même la grippe. Pourquoi y aurait-il de vrais remèdes?

C’est un système fondé par des oligarques et des ploutocrates, pas des médecins.

Voici une citation de John D. Rockefeller qui résume sa vision de l’Amérique …

Source: https://dissinews.fr/2020/12/13/comment-rockefeller-a-elimine-les-remedes-naturels-pour-creer-de-grandes-societes-pharmaceutiques/

Pris en otage ? Cela dépend de toi.

Nous vivons dans des systèmes sociétaux qui sont conçus non pas pour le bien-être des humains qui vivent dedans, non pas pour leur évolution ou leur bonheur, encore moins pour leur développement psychique et spirituel, mais pour que le système lui-même ne s’effondre pas, ils sont conçus pour le profit, leur propre profit. Dans ces systèmes, nous sommes pris en otage depuis notre arrivée sur cette terre. Cette prise d’otages est une des plus violentes qu’il soit, car elle empêche dès le départ toute tentative de fuite.

Choisir pour soi la voie de la liberté de vie et de mort sur sa propre personne où la peur et aucun dirigeant du monde n’aura d’emprise sur mon esprit et mes choix de vie. Une interpellation décisive.

Un projet de loi en Oregon pour tester le Grand Reset

L’assemblée législative de l’Oregon examine actuellement un projet de loi visant à permettre la saisie, l’utilisation ou la possession de toute propriété privée durant l’état d’urgence. S’il est adopté, Kate Brown, son gouverneur, aura les pleins pouvoirs sur ses administrés.

Ce nouveau projet, qui porte le nom de code HB 2239, a pour but d’étendre « l’autorité du gouverneur en matière d’usage des biens privés durant l’état d’urgence ». Certaines mesures existent déjà, mais a priori elles ne suffisent plus. État d’urgence oblige.

Pour faire simple, HB 2239 émet les propositions suivantes :

Chaque fois que le gouverneur déclare l’état d’urgence, il peut édicter, modifier et faire appliquer des règles et des ordonnances afin de :

1) Contrôler, restreindre et réglementer l’utilisation, la vente ou la distribution de denrées alimentaires, de carburant, de vêtements et d’autres produits, de matériaux, de biens et services, par le rationnement, le gel, l’utilisation de quotas, l’interdiction d’expédition, la fixation des prix, l’allocation ou autres moyens ;

2) Prescrire et diriger les activités liées à l’utilisation, la conservation, la récupération et la prévention du gaspillage de matériaux, de services et d’installations, y compris, mais sans s’y limiter, la production, le transport, les installations de production d’énergie et de communication ; la formation et la fourniture de main-d’œuvre, l’utilisation des installations industrielles, les soins de santé et médicaux, la nutrition, le logement, la réhabilitation, l’éducation, le bien-être, les soins aux enfants, les loisirs, la protection des consommateurs et autres besoins civils essentiels ; et

3) Prendre toute autre mesure, y compris par la saisie, l’utilisation ou la possession de tout bien réel ou personnel… » (source)

En conclusion, HB 2239 donnerait au gouverneur Brown un pouvoir intégral sur ce qui doit et peut être saisi, quand le saisir et comment l’utiliser.

Kate Brown a récemment prolongé l’état d’urgence jusqu’en mars 2021 — les 1882 décès dus au Covid sur une population de 4,26 millions d’habitants lui paraissant le justifier. Elle aurait également utilisé des tactiques d’intimidation contre des entreprises qui ne se conformaient pas à ses ordres. Déclarer l’état d’urgence lui permettra de prendre le contrôle sur toutes les propriétés privées qu’elle souhaite : hôpitaux, logements, entreprises et même les sacro-saintes armes à feu privées.

Le Grand Reset de Joe Biden va être testé en Oregon

Une fois que l’on a pris connaissance du plan du Forum économique mondial de Davos (WEF), l’action gouvernementale et les mesures sanitaires que l’on croyait absurdes deviennent cohérentes. Voilà ce que Klaus Schwab et le prince Charles, ses fondateurs, prévoient :

« Aucune industrie ou entreprise ne sera épargnée. »

« Le contrôle public des entreprises privées augmentera. »

Il s’agit, dès lors, d’un coup d’État mondial, d’imposer la disparition de la propriété privée. L’État (avec aux commandes les plus grosses fortunes, BlackRock, Bill Gates, Zuckerberg…) sera seul propriétaire.« Si la projection du WEF se réalisait, les gens devraient louer et emprunter leurs biens de première nécessité à l’État, qui serait le seul propriétaire de tous les biens. L’offre de biens serait rationnée selon un système de points de crédit social », a écrit le Dr Antony Mueller, professeur d’économie allemand, pour l’Institut Mises.

Si la loi proposée par Kate Brown est votée et appliquée, l’avenir déshumanisé de la planète commencera en Oregon.

Source: site web lemediaen442.fr

Le grand complot contre l’humanité – Comment s’en sortir ?

Cette vidéo peut changer votre vie.
Le contenu de ce podcast de Frédéric Burri, réalisé à partir du texte diffusé le 29 novembre sur son site web, a pour but de démontrer en quoi le stratagème élaboré par les « marionnettistes » va beaucoup plus loin qu’une épidémie destinée à faire passer un vaccin. Il s’agit d’un HOLD-UP DE LA CONSCIENCE, et grâce aux explications vous comprendrez que l’expression est tout à fait appropriée puisqu’il s’agit de « BRAQUER » l’attention de la conscience de l’être humain hors de tout ce qui participerait véritablement à son Éveil spirituel et à l’harmonisation du Vivant.

A partager largement.

En complément dans le même esprit, une vidéo de David Icke, sur Odysee, à visionner jusqu’au bout:

L’avis très argumenté et pondéré de Xavier Bazin sur les vakx1

A partager largement avec vos connaissances qui hésitent encore ou qui se résigneraient à se faire vakxiner pour revenir à la vie normale.

Je ne suis pas anti-vakx1, mais j’ai un GROS problème avec les vakx1 à ARN de Pfizer et Moderna

Cher(e) ami(e) de la Santé,

C’est grave : il n’y a plus aucun esprit critique sur la vakxination anti-Covid. Beaucoup de gens croient que c’est LA seule solution pour en finir avec le semi-confinement et autres privations de liberté.
Mais c’est totalement faux : sans même parler ici des remèdes qui préviennent la Covid-19 plus efficacement que le vakx1 [1], il est clair que le vakx1 n’est pas une solution miracle.
Regardez plutôt ce qui se passe en Israël : 75 % des plus de 60 ans ont déjà reçu la première dose du vakx1, et l’épidémie n’a jamais fait autant de morts ! Dans ce pays, les personnes vakxinées semblent peu protégées : début janvier, 17 % des patients hospitalisés pour C0vid sévère avaient été vakxinés [2]. Ces premiers résultats sont tellement décevants que le Ministre de la Santé israélien a reconnu publiquement que la première dose du vakx1 est moins efficace que ce que les essais cliniques laissaient espérer [3]. Donc, l’exemple d’Israël, qui a vakxiné massivement et rapidement sa population, est la preuve qu’il ne faut pas compter sur le vakx1 pour stopper net l’épidémie. Peut-être faut-il attendre que la population israélienne ait reçu la deuxième dose du vakx1 pour en voir l’impact. Mais on voit bien que, dans le meilleur des cas, cela prend du temps.

Il est donc certain que la vakxination ne protégera pas les Français cet hiver, période pourtant la plus à risque. Le problème est que dans quelques mois, il n’est pas du tout acquis que ce vakx1 soit encore intéressant. Écoutez bien ce qu’a dit Axel Kahn, un généticien pourtant pro-confinement et pro-vakx1 :« Il est assez probable que lorsque les personnes seront vakxinées, cela créera une pression de sélection et que des virus qui résistent aux anticorps produits seront favorisés et qu’on soit obligé de revakxiner régulièrement tous les ans ou tous les deux ans comme on le fait pour la grippe » [4]. Axel Kahn avoue que la vakxination va conduire le virus à muter encore plus vite, ce qui rendra les vakx1 en circulation rapidement inefficaces.

Donc, je le dis à tous ceux qui croient que le vakx1 permettra ENFIN d’éviter les masques, le confinement et la vie insupportable qu’on nous fait subir depuis un an : ce n’est pas le cas !
Vu la vitesse de mutation du virus, ils n’hésiteront pas à continuer à vous forcer à mettre un masque et à vous confiner même si vous êtes vakxiné !

D’ailleurs, beaucoup d’états exigent, pour entrer sur leur territoire, un test PCR négatif à la Covid-19, y compris si vous êtes vakxiné – ce qui est la preuve qu’ils doutent de l’efficacité du vakx1 !
Et ils ont raison, car on sait déjà que le vakx1 ne protège probablement pas contre un nouveau variant venu d’Afrique du Sud (501Y.V2) [5]. Il est donc certain que le vakx1 n’est pas la solution miracle pour mettre fin à l’épidémie et retrouver une vie normale.
Je vous dis cela car je sais que beaucoup de gens sont prêts à tout pour sortir du cauchemar actuel. Mais il est très important de garder la tête froide et d’examiner objectivement les avantages et inconvénients du vakx1. Alors, devez-vous vous faire vakxiner, oui ou non, dans votre situation ?
Je vous donne immédiatement ma position, puis je vous explique pourquoi juste après, en détail:
– Si vous avez moins de 60 ans, vous avez une probabilité tellement infime d’avoir une forme grave en cas d’infection que la vakxination avec un produit expérimental me paraît comporter plus de risques que d’avantages ;
– Pour les plus de 80 ans, on sait de longue date que les vakx1 sont peu efficaces, faute d’un système immunitaire réactif, donc le bénéfice à en attendre est quasi-nul, alors que les risques sont réels (comme le montre le nombre de morts en Ehpad en Norvège juste après vakxination).
– Donc, avant 60 ans et après 80 ans, il semble y avoir plus de risques que de bénéfices à se faire vakxiner.
– Pour les personnes de 60 à 80 ans, et en particulier de 70 à 80 ans (l’âge de mes parents), c’est un peu différent. Au départ, je pensais que le vakx1 pourrait se justifier dans cette tranche d’âge. Mais entre-temps, vu ce que j’ai appris sur les risques de vakx1 ARN, je ne recommanderais pas à mes parents de se faire vakxiner. Je vais vous expliquer pourquoi en détail dans une seconde.

Mais avant de vous parler des risques de ces vakx1, il faut se poser la question du bénéfice. Quel risque réel avez-vous d’être infecté par le coronavirus, aujourd’hui fin janvier 2021 ? Pour moi, en France, Suisse et Belgique, et partout où il y a eu deux grandes vagues épidémiques, le risque est limité, car un début d’immunité collective s’est créé. Bien sûr, des milliers de gens continueront d’être infectés dans les mois qui viennent, mais une explosion du nombre d’hospitalisations et de décès est désormais peu probable (je vous renvoie à ma lettre sur ce sujet [6]). En ce moment, l’épidémie flambe surtout dans les pays qui ont confiné le plus longtemps, comme Israël et l’Irlande, pour une raison simple : comme le virus a peu circulé dans ces pays, les populations n’ont pas pu construire une immunité collective. Mais dans les pays qui ont eu deux gros épisodes épidémiques, comme en France, Suisse et Belgique, au moins 20 % de la population a déjà été contaminée, ce qui ralentit les contaminations ! Au total, dans nos pays, le risque d’être infecté n’est plus du tout aussi élevé qu’au printemps dernier ! Donc cela diminue le bénéfice espéré d’un vakx1…

Quant aux risques pour votre santé, il faut regarder les choses en face, sans préjugé.
Tout bien considéré, il y a pour moi 6 grandes raisons de se méfier:
Raison n°1 : déjà 23 morts en Norvège chez des patients très âgés, c’est INQUIÉTANT ! En Norvège, alors que la vakxination avait à peine commencé, on a recensé 23 morts suspectes chez des personnes fragiles et âgées, décédées très peu de temps après avoir été vakxinées. Les autorités de santé norvégiennes ont investigué les causes de 13 de ces morts. Leur première conclusion a été rapportée par le British Medical Journal :« L’agence a conclu que les effets indésirables classiques des vakx1 à ARNm, comme la fièvre, la nausée et la diarrhée, pourraient avoir contribué au décès de certains des patients fragiles » [7].C’est un vrai coup de tonnerre car les autorités ont toujours tendance à innocenter les vakx1. Quelques jours plus tard, d’ailleurs, les autorités norvégiennes se sont empressées de dire qu’aucun lien direct avec les vakx1 n’avait pu être prouvé. On a la même hypocrisie en France : un patient en EHPAD est mort deux heures après avoir reçu le vakx1… mais l’Agence du Médicament (ANSM) a déclaré que « rien ne permet de conclure que ce décès soit en lien avec la vakxination » [8] ! En réalité, il ne fait quasiment aucun doute que ces morts sont liées au vakx1 pour une raison simple : les vakx1 ARNm font partie des vakx1 les plus « réactogènes » qui existent. Cela veut dire qu’ils causent, dans les heures et jours qui suivent le vakx1, énormément d’effets indésirables sérieux, comme de la fatigue sévère, de la fièvre, des maux de tête, etc. Donc il est logique que, pour les personnes très âgées et très fragiles, une seule injection puisse suffire à les faire basculer dans l’au-delà – et c’est vraisemblablement ce qu’on a observé en Norvège. On a d’ailleurs observé le même phénomène en Allemagne, où l’Institut Paul Ehrlich est en train de se pencher sur 10 décès potentiellement causés par le vakx1, chez des personnes déjà gravement malades au moment de la vakxination [9]. Au total, cet Institut allemand a d’ailleurs reçu 51 cas suspects d’effets secondaires graves, soit 1 cas sur 10 000 vakxinés environ. C’est d’autant plus inquiétant que ces effets ont été observés après la première dose de vakx1 – sachant qu’on sait déjà que la seconde dose cause plus d’effets indésirables encore que la première ! A ce stade, il paraît évident qu’il faut impérativement éviter le vakx1 ARNm chez les personnes très âgées et très malades. Je rappelle que ces patients-là n’étaient pas inclus dans les essais cliniques. On les a donc vakxinés sans avoir la moindre information sur le rapport risque-efficacité pour eux. Pour le dire clairement, ce sont des cobayes. Dans le doute, il est préférable de ne rien faire, car je vous rappelle que la priorité de la médecine depuis Hippocrate est « d’abord ne pas nuire ». Je rappelle que les vakx1 (comme celui de la grippe) sont très peu efficaces chez les patients très âgés et très malades, car leur système immunitaire ne réagit pas ou peu au vakx1.Pour ces personnes, le bénéfice espéré de protection contre la C0vid-19 est donc quasiment nul.Et de toute façon, il n’y a aucune fatalité à être contaminé, surtout après deux vagues épidémiques, donc la prudence paraît préférable. Je trouve donc vraiment honteux qu’on ait pu commencer à vakxiner ces personnes hyper-fragiles, au mépris de la prudence la plus élémentaire. Car on sait depuis le début que c’est un vakx1 très réactogène ! La preuve :

Raison n°2 : « Je n’ai jamais vu une fréquence aussi élevée d’effets indésirables pour un vakx1 » (Pr Caumes). Les médias et autorités ne le crient pas sur les toits, mais les vakx1 ARN font partie des vakx1 qui causent le plus d’effets indésirables à court terme. Pour les personnes très fragiles et très âgées, comme on l’a vu, c’est un gros problème car cela peut suffire à causer la mort. Mais pour les personnes jeunes qui ne risquent quasiment rien avec le coronavirus, c’est aussi un problème. Pour eux, le jeu en vaut-il vraiment la chandelle ?Il faut écouter ce qu’a déclaré le Pr Éric Caumes le 9 décembre dernier, dans Le Parisien, après avoir épluché le rapport de l’agence américaine du médicament sur le vakx1 Pfizer :« En lisant les 53 pages, quelque chose m’a frappé. Je n’ai jamais vu une fréquence aussi élevée d’effets indésirables pour un vakx1 ! En dehors des réactions minimes dues à l’injection comme des rougeurs et douleurs locales, d’autres effets indésirables sont recensés à des taux relativement élevés surtout chez les jeunes et après la deuxième dose. Prenons l’exemple de la fièvre, elle peut survenir de manière passagère après une injection, c’est classique. Mais là, 15,8 % des 18-55 ans ont eu 38 °C ou plus dans les sept jours qui ont suivi la seconde injection. Et 45 % ont dû prendre un médicament contre la fièvre ou la douleur. On parle aussi de 55 % de maux de tête, 62 % de fatigue. Non mais là, c’est beaucoup trop, il y a peut-être un problème » [10]. Après avoir dit cette vérité éclatante, le malheureux Professeur Caumes s’est sans doute fait « rattraper par la patrouille », car il a dû préciser 5 jours plus tard qu’il se « ferait vakxiner », même si « la fréquence des effets secondaires est un peu plus grave que pour d’autres vakx1 » [11]. En fait, le Pr Caumes avait dit la vérité dans sa première intervention. Dans les essais cliniques, on a recensé près de 5 % d’effets indésirables de sévérité 3, qui conduisent à ne plus pouvoir travailler ni avoir la moindre activité pendant 24 heures en moyenne (en raison d’une fatigue invalidante ou de fièvre et maux de tête sérieux). Ce sont des chiffres très élevés, sans comparaison avec ceux qu’on observe avec le vakx1 contre la grippe, par exemple. Et je ne parle ici que des effets indésirables officiellement reconnus, sur la base des essais cliniques. Mais les essais cliniques n’ont porté que sur un petit nombre de gens relativement jeunes et en bonne santé, volontaires, triés sur le volet, et qui ne sont donc pas représentatifs de la population générale, et encore moins des personnes les plus à risques de mourir de la C0vid-19. Inévitablement, quand on vakxine à grande échelle, de nouveaux problèmes apparaissent.

– Raison n°3 : Des réactions allergiques graves 10 fois plus fréquentes que pour le vakx1 contre la grippe – attention si vous êtes cardiaque ! C’est la meilleure preuve que les essais cliniques ne disent pas tout : figurez-vous qu’ils n’avaient détecté aucun choc allergique grave après vakxination. Pourtant, dès le début de la vakxination en Grande-Bretagne, plusieurs soignants ont fait des chocs anaphylactiques – ce sont des réactions allergiques qui peuvent tuer si on ne vous injecte pas immédiatement de l’adrénaline. Depuis, les autorités du monde entier ont reconnu que c’était un effet indésirable rare mais réel du vakx1, et qu’il fallait donc impérativement avoir des seringues d’adrénaline prêtes, ainsi qu’un service d’urgence ou de soins intensifs à proximité. Aux États-Unis, la principale agence américaine a reconnu que ces chocs allergiques graves se produisent dans 1 cas sur 100 000 [12]. Cela peut paraître peu, mais c’est 10 fois plus que pour le vakx1 contre la grippe ! Et on sait d’où viennent ces réactions allergiques : d’une substance très controversée contenue dans le vakx1, appelée polyéthylène glycol (PEG). Le PEG est couramment utilisé dans des médicaments laxatifs, mais aussi des shampoings et dentifrices industriels ou des produits solvants. Au départ, comme souvent, on croyait cette molécule inoffensive… jusqu’à ce qu’on réalise que la plupart des gens développent des anticorps contre le PEG… et certains à des doses suffisamment élevées pour provoquer de graves réactions allergiques [13] ! Donc, les spécialistes savaient parfaitement qu’il y avait un vrai risque avec ces vakx1 contenant du PEG ! On le savait d’autant mieux qu’en 2014, on a dû arrêter un essai clinique portant sur un médicament contenant de l’ARN entouré de PEG (comme les vakx1 actuels !) car il a causé des réactions allergiques graves, ayant causé un mort [14]. Ces réactions allergiques liées au vakx1 sont d’autant plus inquiétantes que les vakx1 ARN avec PEG sont donnés en deux doses, ce qui augure de problèmes encore plus sérieux à la deuxième dose !
Conclusion : attention si vous êtes allergique… et attention aussi si vous êtes fragile et cardiaque ! Je rappelle qu’un choc allergique peut causer une chute de tension, une accélération du rythme cardiaque et donner le souffle court – ce qui est très dangereux si vous avez le malheur d’avoir le cœur fragile ! C’est probablement pour cette raison qu’un Israélien de 75 ans, ayant des antécédents cardiaques, est mort 2 heures après avoir reçu le vakx1 Pfizer [15]… d’une crise cardiaque. Même problème, vraisemblablement, pour ce patient américain de 68 ans, hypertendu, et décédé d’un infarctus immédiatement après la vakxination [16]. Mais nos autorités de santé n’ont pas anticipé ce problème et n’ont pas hésité à vakxiner des personnes fragiles et cardiaques. Faut-il encore leur faire confiance quand elles nous disent que ces vakx1 sont sans risque ? On essaie de vous rassurer en vous disant que ces vakx1 ont été testés sur des dizaines de milliers de personnes. Mais il faut bien comprendre que cela ne suffit pas pour évaluer les risques sur l’ensemble de la population ! Avec un essai clinique réalisé sur 30 ou 40 000 personnes, il est impossible de détecter un effet indésirable grave qui se produit sur 1 personne sur 10 000 ! Or 1 effet sur 10 000, cela représente tout de même 1 000 personnes gravement atteintes si on vakxine 10 millions de personnes ! C’est un gros problème, et les paralysies faciales liées au vakx1 en sont le meilleur exemple.

-Raison n°4 : Le vakx1 risque de causer d’autres effets graves à court terme, comme les paralysies faciales. Dans l’essai clinique du vakx1 Pfizer, il y a eu 4 paralysies faciales dans le groupe vakxiné, 0 dans le groupe placebo. Dans l’essai du vakx1 Moderna, il y a eu 3 paralysies faciales dans le groupe vakxiné, 1 dans le groupe placebo. Pour quelqu’un de normalement constitué, c’est un signal très inquiétant, avec un risque sérieux que cette maladie (parfois incurable) frappe 1 personne sur 5 000 vakxinées. Mais pour nos grands « méthodologistes », cette différence n’est pas statistiquement significative, donc l’effet indésirable n’est pas officiellement reconnu. Voici par exemple ce que vous explique la grande société savante en infectiologie, largement financée et influencée par Big Pharma, la SPILF :« La fréquence de survenue de paralysie faciale parmi les volontaires vakxinés est proche de ce qui est attendu en population générale (15 à 30 pour 100 000 personnes). Il n’y a donc pas de signal en faveur d’un tel effet indésirable après vakxination » [17]. C’est de la mauvaise foi pure et simple. En Israël, déjà 13 personnes ont été victimes de cette paralysie faciale après la vakxination anti-Covid, et des experts recommandent déjà de ne surtout pas leur injecter la seconde dose prévue [18] ! En fait, avec cette affaire de paralysie faciale, l’histoire semble se répéter.Car ce n’est pas la première fois qu’on met un vakx1 sur le marché alors que le nombre de personnes testées n’était pas assez grand pour repérer tous les risques rares.
Ce n’est pas être anti-vakx1 que de dire cela : ce sont des scientifiques de l’Université Harvard qui l’ont expliqué dans un avertissement solennel, publié dans le très officiel magazine Science [19]. Ils donnent l’exemple très éclairant du vakx1 Rotavirus, mis sur le marché aux États-Unis, en 1998, malgré un signal inquiétant dans les essais cliniques. Dans ces essais, 5 000 bébés avaient reçu le vakx1, et 5 000 un placebo. Or on avait trouvé 5 cas d’invagination intestinale dangereuse dans le groupe vakx1, contre 1 seul dans le groupe placebo. Conclusion des autorités de l’époque : pas de problème, ce n’est pas significatif statistiquement ! Résultat : le vakx1 a causé des morts chez des bébés en bas âge, et a dû être précipitamment retiré du marché. Ces chiffres ne vous font-ils pas étrangement penser aux chiffres obtenus sur la paralysie faciale ? Il s’est passé la même chose aux États-Unis en 1976, après l’autorisation à la hâte d’un nouveau vakx1 anti-grippe. Là encore, après avoir été jugé « sûr » par les autorités, ce vakx1 a causé plus de 450 cas d’une maladie invalidante nommée syndrome de Guillain-Barré.Or avec les vakx1 anti-Covid aussi, il y a un vrai risque de provoquer des maladies de Guillain-Barré. C’est ce qu’a reconnu récemment Claire-Anne Siegrist, spécialiste vakxinale liée à l’Organisation mondiale de la Santé :« Ce qu’on ne sait pas encore, c’est si ces vakx1 pourraient déclencher des maladies auto-immunes tels que le syndrome de Guillain-Barré, ce qui peut se produire dans de très rares cas suite à une vakxination. » [20]. De fait, si ces vakx1 causent 1 cas de Guillain-Barré sur 20 000, les essais cliniques ne peuvent pas le détecter. Voilà pourquoi il faut être très prudent avec ces vakx1 expérimentaux, autorisés à la va-vite.
D’autant que je ne vous ai parlé jusqu’ici que des effets immédiats, juste après la vakxination. Mais le pire, c’est qu’on n’a aucun recul sur les effets de plus long terme !

– Raison n°5 : nous ne savons RIEN des effets indésirables graves qui peuvent survenir après plusieurs mois ! C’est un fait incontestable : les essais cliniques ne nous donnent aucune indication sur les effets indésirables retardés. Je rappelle que les essais cliniques sur les vakx1 Pfizer et Moderna sont encore en cours ; leur date de fin est prévue en 2022. C’est la première fois qu’on injecte massivement un produit (médicament ou vakx1) dont l’étude de phase III n’est même pas terminée ! Et c’est particulièrement inquiétant, surtout avec une technologie totalement nouvelle comme les vakx1 géniques à ARN. Souvenez-vous ce qui s’est passé en 2009, avec le vakx1 Pandemrix contre la grippe A (H1N1). Sous prétexte de menace pandémique, on a vakxiné des millions de personnes sans recul suffisant sur les nouveaux vakx1 fabriqués à la hâte. Résultat : un de ces vakx1, le Pandemrix du laboratoire GSK, a causé chez des adolescents français des centaines de cas de narcolepsie, une maladie invalidante [21]. A l’époque, les autorités ont encouragé les adolescents à se faire vakxiner, en leur disant que, s’il y avait un risque d’effet inhabituel rare, il était certainement moins élevé que le risque de la grippe H1N1 [22]. Mais c’était faux : ces enfants et adolescents n’avaient rien à craindre de la grippe… et sont devenus gravement handicapés à la suite du vakx1. Et le point crucial, c’est que cette maladie n’a été diagnostiquée qu’au bout de 3 à 4 mois en moyenne. Or je rappelle que les effets indésirables des vakx1 actuels contre la Covid-19 n’ont été étudiés que sur 2 à 3 mois tout au plus ! C’est inquiétant, car il est fréquent que les maladies auto-immunes causées par les vakx1 mettent du temps à se manifester ou à être diagnostiquées ! Et d’ailleurs, figurez-vous que Pfizer a décidé de vakxiner les patients des groupes placebo au bout de 6 mois… ce qui est le meilleur moyen d’effacer toute preuve scientifique de maladies apparaissant avec retard, causées par le vakx1.

-Raison n°6 : Ne croyez surtout pas que « s’il y avait un problème, les autorités de santé l’auraient vu et dit ! » Si vous êtes arrivés jusque-là, vous vous demandez peut-être comment on a pu autoriser ces vakx1, malgré ces risques et incertitudes. Si ce que je dis est vrai, pourquoi l’Agence européenne du médicament aurait-elle donné son feu vert à ces vakx1 ? Ne faudrait-il pas lui faire confiance, puisque cette Agence a examiné attentivement la question ?La réponse est clairement NON, et voici pourquoi.
D’abord, il faut dire et répéter qu’il n’existe aucune donnée sur l’efficacité et les dangers du vakx1 après 85 ans, et encore moins sur les personnes très fragiles qui peuplent nos Ehpad. Ces patients étaient exclus des essais cliniques, donc ni l’Agence européenne du médicament, ni même les laboratoires Pfizer et Moderna ne savent quoi que ce soit des avantages et inconvénients du vakx1 pour eux. Le fait d’avoir autorisé la vakxination de ces patients n’a donc rien à voir avec un examen raisonné des essais cliniques. C’est plutôt un pari risqué.
Ensuite, il faut savoir que les Agences du Médicament n’ont accès qu’aux chiffres que les laboratoires Pfizer et Moderna leur ont transmis. Le Dr de Lorgeril, grand épidémiologiste et chercheur au CNRS, l’a expliqué avec force :« Les médias, universitaires et politiques sont d’une naïveté extraordinaire, en croyant qu’il n’y a rien à craindre à partir du moment où les agences sanitaires ont examiné les données. Car ce qui se passe vraiment, c’est que ces agences sanitaires n’ont accès qu’aux chiffres que les laboratoires veulent bien leur donner. Or si vous êtes Pfizer ou Moderna, vous n’allez tout de même pas vous tirer une balle dans le pied en transmettant des données défavorables à votre vakx1 » [23].
Prenez ce chiffre très étrange, que l’on trouve dans l’essai clinique de Pfizer. Dans le groupe vakxiné, plus de 300 patients ont été exclus des résultats pour une raison floue (« déviation du protocole »), alors qu’ils n’ont été que 60 environ dans le groupe placebo. Si c’est une manipulation, sachez qu’elle aurait pu suffire à masquer certains effets secondaires graves du vakx1 ou même son inefficacité ! Car ce vakx1 a été autorisé sur la base de 8 cas positifs dans le groupe vakxiné, contre 172 dans le groupe placebo. Et seulement une dizaine de formes sévères au total, principalement dans le groupe non vakxiné. Mais imaginez que Pfizer ait exclu des résultats, soi-disant pour « déviation du protocole », 10 patients vakxinés ayant fait une Covid-19 sévère : cela aurait totalement inversé les résultats ! Je ne dis pas que c’est forcément ce qui s’est passé. Je dis simplement que ce serait une manière simple pour le laboratoire de manipuler ses données et d’obtenir un résultat favorable. Vu les milliards d’euros qui sont en jeu, n’est-ce pas envisageable ?Surtout quand on sait que le laboratoire Pfizer a été condamné à de multiples reprises ces dernières années, notamment pour « publicité mensongère », avec des amendes prononcées par les tribunaux américains atteignant près de 3 milliards de dollars au total ! Vous me direz peut-être que les Agences du Médicament connaissent le risque de ce genre de manipulation et poussent les laboratoires dans leurs retranchements pour en avoir le cœur net. Mais c’était mission impossible car ces Agences ont dû rendre un avis très rapidement, sous une énorme pression de l’opinion publique et des responsables politiques ! Grâce à un pirate informatique, le journal Le Monde a dévoilé les incroyables pressions subies par l’Agence du médicament pour approuver rapidement ces vakx1 [24]. Ainsi, Le Monde a découvert que l’Agence européenne formulait « trois objections majeures » vis à vis du vakx1 de Pfizer :« Certains sites de fabrication n’avaient pas encore été inspectés ; il manquait encore des données sur les lots de vakx1 commerciaux ; mais, surtout, les données disponibles révélaient des différences qualitatives entre les lots commerciaux et ceux qui avaient servi durant les essais cliniques. C’est sur ce dernier point que les évaluateurs semblent alors le plus préoccupés. »L’Agence européenne était « préoccupée » car le vakx1 testé n’est pas exactement le même vakx1 que celui qui a été mis sur le marché :« En effet, pour passer d’un stade clinique à un stade commercial, les fabricants ont dû changer leurs processus de fabrication, ils ont aussi investi dans de nouvelles lignes de production et de nouvelles usines. Autant de modifications qui expliqueraient des différences dans la composition exacte des vakx1, en particulier une diminution du degré d’intégrité de l’ARN (…) La question se pose de savoir si ce taux d’ARN plus faible pourrait non seulement impacter l’efficacité de la vakxination mais aussi sa sécurité, car qui dit moins d’ARN intègre, dit plus d’impuretés, notamment d’ARN tronqué. » Finalement, l’Agence européenne semble avoir été « rassurée » par les arguments de Pfizer sur la fabrication de ces vakx1, avec des niveaux d’ARN jugés « acceptables ». Mais ces niveaux « acceptables » n’étaient tout de même pas ceux utilisés dans les essais cliniques, ce qui peut créer un risque de moindre efficacité ou de dangerosité accrue. Et surtout, c’est sous une énorme pression que l’Agence européenne a fini par laisser passer ce problème. Un échange d’emails entre scientifiques de l’Agence, révélé au grand jour, montre parfaitement à quel point il aurait été difficile de ne pas approuver ces vakx1 :« Quoi que nous fassions, accélérer le processus pour s’aligner [sur les autres agences] ou prendre le temps nécessaire pour avoir une garantie robuste (…), l’Agence du médicament européenne devra faire face aux questions et aux critiques de diverses parties (Commission européenne, États membres, Parlement européen, médias, grand public). » Bref, c’était dans l’urgence et sous pression que les autorités ont approuvé ces nouveaux vakx1 expérimentaux.
Et bien sûr, il ne faut pas oublier que de nombreux experts liés à ces Agences sont en conflit d’intérêts, rémunérés par l’industrie pharmaceutique, et donc peu désireux de mordre la main qui les nourrit.
Au total, un médecin français éclairé, le Dr Maudroux, a parfaitement résumé la situation :« On vous explique que le vakx1 a été validé par les autorités médicales chargées d’étudier si on pouvait le mettre sur le marché ou non. Quels mensonges ! Cette commission s’est ridiculisée, car le produit a été acheté, la campagne organisée, avant que cette commission ne se réunisse. La décision n’a pas été médicale mais politique, et cette commission n’a pas émis d’avis médical, mais a entériné une décision politique. Rappelons que ces autorités médicales avaient validé le remdésivir avant que l’OMS ne le déclare dangereux. » [25].

Vous voyez qu’il n’y a aucune raison d’être serein vis-à-vis de ces vakx1 expérimentaux.

Petit bilan risque/efficacité pour conclure 
Au total, on voit bien que l’efficacité de ces vakx1 est douteuse: On ne sait rien de son efficacité chez les plus de 80 ans et les plus vulnérables, qui n’étaient pas inclus dans les essais cliniques – alors que ce sont ceux qui risquent le plus de mourir du coronavirus s’ils sont infectés ;
Avec l’exemple israélien, on voit que les bons résultats observés dans les essais cliniques ne se retrouvent pas forcément dans la réalité, à court terme – et pour cause, les essais cliniques n’ont rien à voir avec la « vraie vie » : ce ne sont pas les mêmes personnes qui sont vakxinées… et comme on l’a vu, ce n’est même pas le même vakx1 qui est injecté ! ;

Je rappelle qu’il n’y a pas non plus de preuve formelle que la vakxination évite les formes graves de la Covid-19 (il y avait trop peu de cas dans les essais cliniques pour conclure) ;
Pour couronner le tout, les mutations du virus et ses nouveaux variants risquent de rendre le vakx1 totalement inefficace, très vite.
Et pour ceux qui parlent de vakxination « altruiste », n’oubliez pas une chose capitale : nous n’avons aucune preuve à ce jour que le vakx1 empêche la transmission du virus car ce n’était pas mesuré dans les essais cliniques – or, comme l’a reconnu « Monsieur vakx1 », le Dr Alain Fischer, « Il y a des cas connus de vakx1 où un vakx1 protège contre la maladie mais n’empêche pas qu’on soit toujours porteur d’un virus » [26].
Bref, les vakx1 actuels à ARN ne sont clairement pas la solution miracle qui pourraient mettre fin définitivement à l’épidémie.
En revanche, les risques de ces vakx1 ont beau être rares, ils sont réels : Risques à court terme : réactions allergiques, pouvant causer des infarctus chez les personnes fragiles ; effets indésirables divers (fièvre, maux de tête, diarrhée) risqués chez les personnes les plus malades et les plus fragiles ; et autres effets indésirables graves possibles comme les paralysies faciales ;
Risques à plus long terme : maladies auto-immunes graves (Guillain Barré, etc.) et autres risques imprévisibles avec ces nouveaux vakx1 ARN, encore jamais expérimentés.

Chacun doit prendre ses responsabilités, en conscience, mais de mon côté, il est clair que je ne recommanderais pas ces vakx1-là à mes proches. Ils ont été fabriqués à la hâte et approuvés précipitamment, sous la pression de Big Pharma et des responsables politiques qui avaient promis un peu trop rapidement que c’était la meilleure solution contre l’épidémie.
Et surtout, il existe des solutions alternatives au moins aussi efficaces que ces vakx1, et sans le moindre danger, comme la vitamine D et l’Ivermectine en prophylaxie.
Énormément de médecins partagent ce point de vue, mais ils ont peur de l’exprimer publiquement, vu les pressions énormes sur ce sujet.
En Suisse, où la liberté de parole des médecins est mieux respectée, le Dr Philippe Saegesser, porte-parole de 700 médecins et professionnels de santé, a demandé un moratoire sur les vakx1 ARN, avec ces arguments limpides :« Comment peut-on affirmer que le rapport bénéfice/risque est favorable alors que c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que des vakx1 à ARN messager (ARNm) sont utilisés ? Si ces vakx1 sont si sûrs, pourquoi les laboratoires qui les fabriquent ont-ils demandé et obtenu qu’ils soient déchargés de toute responsabilité en cas de problème? N’oubliez pas qu’un vakx1 est un traitement préventif contre une infection. La population qui y recourt n’est pas malade. Dès lors, nous pensons qu’eu égard aux questions que ces produits laissent encore ouvertes, il n’est pas licite, ni éthique, de faire prendre des risques alors qu’il existe un potentiel de progrès important pour un traitement donné précocement » [27].
Alors ne vous faites pas intimider par la pression politique et médiatique, prenez votre décision en toute liberté !

Bonne santé,
Xavier Bazin

PS : Je ne vous ai pas parlé ici d’un autre risque du vakx1, que j’aborderai dans une prochaine lettre.Ce risque, c’est celui des « anticorps facilitateurs ».Il faut savoir que certains vakx1 augmentent le risque d’avoir une forme grave de la maladie, au lieu de la diminuer (c’est ce qui s’est passé avec le vakx1 Sanofi contre la dengue).Or c’est ce qui risque de se passer avec les vakx1 Covid-19, avec un des nouveaux variants.

Sources

Article original sur le site santé-corps-esprit

[1] https://www.sante-corps-esprit.com/cela-commence-a-bouger-sur-livermectine-mais-pas-assez-vite/

[2] https://www.jpost.com/breaking-news/coronavirus-vaccine-campaign-to-expand-to-ages-50-and-up-655156

[3] https://www.timesofisrael.com/israels-virus-czar-says-1st-dose-less-effective-than-pfizer-indicated-report/

[4] https://fr.sputniknews.com/sante/202012221044970445-quel-avenir-pour-la-vaccination-face-a-de-nouvelles-souches-de-coronavirus—video/

[5] https://news.sky.com/story/covid-19-vaccine-may-be-less-effective-against-south-africa-variant-study-finds-12193660

[6] https://www.sante-corps-esprit.com/stop-a-la-peur-place-a-lespoir-et-a-la-liberte/

[7] https://www.bmj.com/content/372/bmj.n149

[8] https://ansm.sante.fr/S-informer/Actualite/Point-de-situation-sur-la-surveillance-des-vaccins-contre-la-COVID-192

[9] https://www.n-tv.de/panorama/Institut-prueft-zehn-Todesfaelle-nach-Impfung-article22292066.html

[10] https://www.leparisien.fr/societe/sante/vaccin-anti-covid-de-pfizer-je-n-ai-jamais-vu-tant-d-effets-indesirables-s-inquiete-eric-caumes-09-12-2020-8413376.php

[11] https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-rassure-par-les-resultats-du-produit-pfizer-eric-caumes-se-fera-finalement-vacciner-14-12-2020-8414150.php#:~:text=Confiant%20avoir%20%C2%AB%20pass%C3%A9%20le%20week,%C2%AB%20pas%20graves%20mais%20fr%C3%A9quents%20%C2%BB.

[12] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-vaccin-biontech-pfizer-reactions-allergiques-ont-ete-constatees-85038/

[13] https://www.sciencemag.org/news/2020/12/suspicions-grow-nanoparticles-pfizer-s-covid-19-vaccine-trigger-rare-allergic-reactions

[14] https://www.jacionline.org/article/S0091-6749(16)30605-4/fulltext

[15] https://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/293865

[16] https://twitter.com/MartinFierro769/status/1347944693984858112

[17] https://www.infectiologie.com/UserFiles/File/groupe-prevention/covid-19/vaccins-covid-19-questions-et-reponses-spilf-24dec2020.pdf

[18] https://www.india.com/news/world/13-people-in-israel-suffer-facial-paralysis-after-taking-coronavirus-vaccine-shots-details-here-4337146/

[19] https://science.sciencemag.org/content/early/2020/11/16/science.abf0357

[20] https://www.letemps.ch/sciences/claireanne-siegrist-vaccinologue-normal-gens-se-posent-questions-vaccins

[21] https://www.lefigaro.fr/sciences/vaccines-contre-la-grippe-h1n1-ils-sont-devenus-victimes-de-crises-de-sommeil-incontrolables-20201218

[22] http://www.ffpneumologie.org/wp-content/uploads/2016/12/Grippe_H1N1_Forme_courte_21_11_09.ppt

[23] https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/video-debriefing-michel-de-lorgeril-vaccins

[24] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html

[25] https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/12/31/traitement-du-covid-5-les-vaccins/

[26] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/video-effets-secondaires-mutation-du-virus-retour-a-la-vie-normale-les-choses-a-savoir-sur-le-vaccin-contre-le-covid-19_4237357.html

[27] https://www.illustre.ch/magazine/manquons-recul-face-aux-potentiels-effets-indesirables-vaccins

Conseil aux gouvernements

Quand les filons des variants anglais, brésiliens et sud-africains auront été épuisés vous pourrez mettre au point le suivant:

Via vos experts, contactez vos amis de l’industrie pharmaceutique pour qu’ils séquencent un nouveau génome quelconque issu de débris de tissus humains. Ils vous seront très reconnaissants de votre plan.

Pour avoir un outil de communication convaincant avec des données apparemment objectives, demandez-leur de mettre au point des kits de test PCR avec les amorces de ce génome. Ils les commercialiseront en recommandant discrètement un seuil minimum de détection à 45 cycles de telle manière qu’un pourcentage significatif de tests soient positifs.

Demandez-leur également de contacter l’OMS pour lui donner un nom pour bien identifier l’ennemi : INFAR-22. Associez-le aux symptômes de la crise cardiaque et surtout informez officiellement le public de son origine virale très contagieuse.

Alertez vos amis de la presse pour qu’ils relaient une info alarmante sur une recrudescence d’infarctus accompagnés de signes inhabituels. Qu’ils multiplient les reportages sur la surcharge des hôpitaux et l’épuisement des soignants. Qu’ils publient massivement des statistiques cumulatives et alarmantes de décès par infarctus et qu’ils accompagnent celles-ci de statistiques cumulatives de résultats positifs des tests que vous aurez fait déployer en masse.

Assurez-les en échange de continuer, voire d’augmenter les subventions permettant à leurs journaux de survivre tout en augmentant leurs rémunérations de leurs dirigeants.

Montrez ensuite votre préoccupation et votre souci pour la santé de vos concitoyens. Observez leur peur et leur panique.
Suppliez alors vos amis de l’industrie pharmaceutique de mettre rapidement au point un vaccin qui aggravera les symptômes qui seront bien évidemment attribués au virus lui-même. Cela permettra de convaincre les derniers réticents.

Entre-temps, intervenez pour réduire encore un peu plus les libertés et créer un chaos cognitif total.

De cette façon, la population épuisée vous suppliera de promettre d’y mettre fin. Vous y répondrez favorablement en en profitant pour faire passer toutes les mesures légales que vous souhaiterez pour développer votre contrôle total sur la population et par la même occasion régler le problème de votre dette publique abyssale.

Ainsi, après quelques manœuvres de cette nature (avec les AVC, le cancer, …) vous pourrez facilement faire main basse sur l’épargne et les propriétés de vos citoyens en échange d’un revenu universel en monnaie numérique. Celle-ci leur permettra (enfin) l’accès par abonnement aux loisirs et à la culture en boîte commercialisés par vos amis. Cette saisie de toutes les propriétés privées vous permettra de garantir votre énorme dette et d’en verser les intérêts permanents à vos amis financiers.

Pour garantir la pérennité de ce système, vous protégerez régulièrement vos citoyens des nouvelles épidémies par des campagnes de vaccination avec traçage biologique qui conditionneront leur droit au maintien de leur revenu universel.

Vous dirigerez alors un peuple heureux et docile.

Un regard approfondi sur la vérité qui se cache derrière les vakx1s C0VlD par le Dr Simone Gold

Conférence brillante de Dr Simone Gold de americasfrontlinedoctors.com sur la vérité qui se cache derrière les vakx1 C0VlD (en 3 vidéos de ±20 min).

Le Dr Simone Gold, MD, JD, est un médecin urgentiste certifiée. Elle a obtenu son diplôme de la faculté de médecine de Chicago avant de suivre des cours à la faculté de droit de l’université de Stanford pour obtenir son diplôme de docteur en droit (Juris Doctorate). Elle a effectué son internat en médecine d’urgence à l’hôpital universitaire de Stony Brook à New York. Le Dr Gold a travaillé à Washington D.C. pour le « Surgeon General »(12), ainsi que pour le président de la commission du travail et des ressources humaines. Elle travaille comme médecin urgentiste de front, qu’il y ait ou non une pandémie. Son travail clinique est au service de tous les Américains : des citadins, des quartiers et des Amérindiens. Son travail juridique se concentre sur les questions politiques liées au droit et à la médecine.

Partie 1 (22 min)

https://lbry.tv/@Miniver:4/firstone:0

Partie 2 (18 min)

https://lbry.tv/@Information:54/-VOSTFR–Un-regard-approfondi-sur-la-v%C3%A9rit%C3%A9-qui-se-cache-derri%C3%A8re-le-vaccin-COVID-19-Partie-2_3-(720p):0

Partie 3 (17 min)

https://lbry.tv/@Miniver:4/third:c

pétition à signer: stopmedicaldiscrimination/

Les dessous nauséabonds et criminels de l’industrie vakxinale

Sans entrer nécessairement dans la description de projets complotistes, il semble utile de révéler quand-même l’univers glauque et criminels des recherches de l’industrie dans le domaine de l’ADN, des vakx1s et des manipulations génétiques les plus hasardeuses de ces fous. Avec un peu d’information sur les expérimentations de ces psychopathes on ne peut que refuser les vakx1 qui sortent actuellement en réponse à cette très probablement fausse pandémie. Il est temps d’interdire ces recherches, d’emprisonner ces fous dangereux et d’en revenir à une médecine naturelle.

https://lbry.tv/@Nawac7:5/CORONA—FAUX-VIRUS-+-5G—VACCIN-TOXIQUE-!!:6

Pour plus d’informations sourcées veuillez consulter ce site bien sourcé dont voici quelques extraits:

ALARME : UNE NOUVELLE RECHERCHE EN GÉNIE GÉNÉTIQUE

Au début, le Dr Joseph Kim a créé un partenariat avec son professeur d’université. Le professeur Weiner a été un pionnier de l’ADN génétiquement modifié. Il était également fortement impliqué dans le VIH et est un pionnier.(Il convient de noter que peu de temps après l’administration de vakx1s expérimentaux contre la polio à des dizaines de millions de personnes en Afrique, au cours des années 50 et 60, coïncide avec le début du VIH.)

Ces chercheurs ont commencé en 2000 sous le nom de VGX Pharmaceutical Inc fabriquant de l’ADN plasmidique. Ils ont échoué trois fois en trois ans. Ils ont ensuite travaillé avec Advisys qui était un laboratoire animalier. Ils ont utilisé leur nouvelle technologie d’ADN pour créer une hormone de croissance porcine synthétique pour les porcs.Cela leur a permis d’augmenter l’âge de reproduction des porcs et a rapidement été repris par l’industrie agricole.

En utilisant le PCV2 qui est le circovirus porcin, ils peuvent utiliser pour la première fois leur nouvelle technique appelée électroporation, ils ont été des pionniers dans la division de la santé animale.

Pendant ce temps, le brevet de vakx1 contre la grippe porcine a été déposé pour la première fois, en 2005, qui n’a été breveté qu’en 2009, juste 5 mois après son dépôt, la grippe porcine était en cours de déploiement en tant que prochaine pandémie.

(De nombreuses entreprises étaient impliquées et l’OMS et d’autres agences ont proclamé une pandémie à part entière alors qu’il n’en existait pas, Baxter a également été condamné à une amende pour avoir permis au virus de la grippe porcine d’être contaminé dans les vakx1.)

Le Dr Kim a déclaré ouvertement que son entreprise comptait bon nombre de ses amis et collègues au conseil scientifique et au conseil d’administration.Il était employé par Merck qui a payé son doctorat et se vante maintenant d’avoir des personnes telles que l’ancien président de Merck, Adel Mahmoud, au sein de son conseil d’administration, Morton Collins, qui a agi en tant que conseiller en politique technologique du président GHW Bush et ancien vice-président senior de Merck, Ford Hutchinson en tant que conseiller scientifique qui est également un conseiller en fiducie Wellcome et a été impliqué dans de nombreux médicaments controversés comme Gardasil et Rotateq.

L’ÉLECTROPORATION

Il s’agit d’un courant électrique pulsé appliqué aux tissus locaux pour permettre à la cellule d’avoir des trous dedans pour permettre à juste assez d’ADN synthétique d’entrer, puis l’impulsion s’arrête et la cellule se ferme, le problème ici est que selon des études, un manuscrit en Molecular thérapie avec des références de 74 articles distincts écrits en 2004, conclut que l’utilisation du transfert de gènes par électroporation ne devrait être utilisée qu’avec des anticorps humains car des problèmes pourraient survenir du cancer à la mort.

INOVIO AURAIT FABRIQUÉ LE VAKX1 EN 2 HEURES !

Nous pouvons donc voir comment les généticiens utilisant des scientifiques altèrent les éléments constitutifs de notre existence et ce qui est troublant, c’est que le professeur Wiener est un pionnier du VIH et nous savons que peu de temps après que les vakx1s contre la polio ont été administrés à des millions de personnes en Afrique, le VIH a émergé.

Ils ont perfectionné l’art d’injecter de l’ADN animal ou d’oiseau dans des chromosomes humains qui altère notre ADN et provoque des choses comme l’hémorragie, la fièvre, les cancers et même la mort.

Voici comment se passe ce con de plots et bien qu’il se répète sous différents noms, année après année (Corona, VIH, sida, SRAS, Ebola, Zika, vache folle, etc.), la plupart du public non informé réagit comme programmé, simplement parce que la peur est PROUVÉE pour déclencher un rétrécissement de l’esprit, une baisse du QI, une stimulation de l’ego de l’enfant (qui cherche un adulte pour le sauver) et une obéissance réflexive envers l’autorité perçue.

L’article complet ici

A diffuser à ceux qui commencent (seulement) à se poser des questions

Pourquoi je suis devenu un «Dénieur C0VlD»
Expliquer à un débutant en 15 minutes.

Traduction d’un article du Off Guardian du 18/1/21.

Tout ce qui s’applique dans cet article à la Grande Bretagne s’applique aussi dans nos autres pays occidentaux. Juste remplacer le nom de Piers Morgan par celui du présentateur de JT favori dans votre pays et Boris Johnson par celui de votre président ou premier ministre.

Kevin Smith

Il y a eu une large sélection d’ articles publiés ici au cours de l’année dernière sur COVlD-19 et les verrouillages. Depuis mars, la pensée de beaucoup d’entre nous a évolué, ce qui s’est reflété dans les articles au fil du temps.

En avril et mai, l’accent était mis sur la science, la présentation et l’interprétation des données scientifiques, les preuves pour ou contre les mesures. Maintenant, au fur et à mesure que les preuves et les nouvelles données ont émergé et ont été analysées, la conversation est passée davantage aux agendas et à la vue d’ensemble derrière les confinements.

Au milieu de l’année dernière, j’ai remarqué une forte augmentation des commentaires des lecteurs ici qui a été maintenue. Mais j’ai noté récemment, en dessous de la ligne, peut-être un afflux de nouveaux lecteurs, exprimant de graves doutes sur le récit officiel. Je pense que de plus en plus de gens recommencent à poser les questions de base, doutant du régime quotidien de la propagande dominante.

Pourtant, tout à fait compréhensible, ils ont des questions et des objections à l’égard des récits très différents ici.

Par conséquent, j’ai pensé à mettre en place quelque chose, en exposant les principaux récits concurrents, en expliquant mon parcours et comment je me suis progressivement efforcé de comprendre la crise qui se déroulait.

À première vue, cela peut ne pas sembler correctement adapté au niveau élevé de compréhension de COVlD-19 ici. Mais cela pourrait nous aider tous à mettre de l’ordre dans notre réflexion et à mieux structurer. En fait, je l’ai utilisé comme structure pour tout expliquer en détail à ma vieille mère.

Pendant de nombreux mois, lorsqu’elle regardait les journaux télévisés et Piers Morgan , elle n’arrêtait pas de me demander pourquoi j’avais remis en question chaque récit de C0VlD-19 à un moment donné. Alors, j’ai finalement décidé de me décharger et de la charger de toute l’histoire et je l’ai parcourue étape par étape en 15 minutes.

Peut-être qu’elle ne me croit toujours pas complètement, mais maintenant elle semble apprécier d’où je viens, ce qui est un début.

En gros, je dirais qu’il existe trois principaux récits de Covid-19 et de confinement, comme énumérés ci-dessous, dont certains se chevauchent et ont quelque peu évolué avec le temps. Il existe d’autres récits sur la 5G, l’origine du virus, son existence et autour du vaccin.

À mon avis, les preuves à ce sujet ne sont pas fermement enracinées pour le moment. Néanmoins, il y a certains éléments autour de ces points qui suscitent des inquiétudes supplémentaires sur lesquelles je vais également commenter.

Les principaux récits:

1. Le discours du gouvernement et des grands médias

En gros, c’est que C0VlD-19 est un grave danger pour la santé publique et le gouvernement suit la science. Le gouvernement a à cœur nos meilleurs intérêts et a réagi proportionnellement à la menace.

Les personnes qui acceptent ce large discours pourraient avoir des critiques sur la gestion de certains aspects de la crise et peut-être sur certaines des mesures. Ces gens en ont souvent marre de Piers Morgan et de ses déroutements ridicules du débat que nous devrions avoir. Mais dans l’ensemble, ils acceptent le récit général.

2. Le gouvernement n’a pas suivi la bonne science et a agi de manière disproportionnée.

C’est ce que j’appelle le récit «  cock-up  » de Peter Hitchens, qu’il a soutenu dès le début et auquel il souscrit toujours pour autant que je sache. Ce récit est que le gouvernement a paniqué et a basé sa prise de décision sur les confinements sur des hypothèses plutôt que sur des preuves. Le gouvernement essaie de trouver une stratégie de sortie qui sauve la face.

Ce point de vue s’est développé au fil du temps à mesure que la science est mieux comprise et de nombreux scientifiques ont publié des études de recherche montrant que les confinements et les masques ne fonctionnent pas ou présentent des avantages négligeables.

Un élément important de cet argument dès le départ était que, en grande partie indépendamment des arguments scientifiques, les mesures de confinement étaient complètement disproportionnées par rapport au risque et au taux de mortalité du virus. Et la prise de décision du gouvernement était basée sur la stupidité, la panique et la pensée de groupe.

Ce récit a été celui que j’ai soutenu au cours des premiers mois et j’accepte toujours la prémisse selon laquelle l’interprétation scientifique invoquée était incorrecte et incomplète. Mais maintenant, je ne suis pas d’accord sur la base que la conception délibérée, et non la stupidité non scientifique, est derrière la prise de décision.

3. C0VlD-19 est utilisé pour mettre en œuvre un nouveau programme social et économique

Il m’a fallu un certain temps pour accepter ce récit et ce n’est qu’il y a quelques mois que j’ai examiné correctement la grande réinitialisation et l’agenda du Forum économique mondial (WEF).

Cet agenda propose une réinitialisation économique et sociale, y compris un accent sur le changement climatique, la durabilité et la répartition des richesses. Il déclare que C0VlD-19 présente une fenêtre d’opportunité pour mettre en œuvre un nouveau monde courageux qui ressemble à un cauchemar totalitaire pour ses citoyens. Il dit que d’ici 2030, vous ne posséderez rien et serez heureux.

Le point à faire valoir du point de vue des preuves est que ce n’est pas parce qu’il y a un agenda mondial de Klaus Schwab du WEF, quelqu’un qui s’habille parfois comme un méchant de James Bond, que cela ne signifie pas nécessairement que c’est ce qui se passe.

Ma conclusion que C0VlD-19 était utilisé comme un véhicule pour apporter une effroyable réinitialisation sociale et économique n’a pas été atteinte avant que tous les autres aspects de la précédente chronologie de 5 mois ne soient pris en compte.

Bien sûr, au début, les mesures telles que le confinement, la distanciation sociale, le non-respect de la proportionnalité et, plus tard, les masques d’été post-pandémie inutiles n’avaient pas de sens. Mais ce n’est que lorsque cette folie a continué et après un examen du programme de réinitialisation, il est maintenant évident que c’est ce qui se passe.

Les blocages répétés et le port de masques, la propagande et la souffrance générale visent à créer les conditions nécessaires pour réinitialiser la société et presque repartir de zéro.

Un climat de peur, de destruction, de respect et de dépendance vis-à-vis de l’État sont tous nécessaires pour pouvoir introduire cet agenda. Ils ont besoin d’une crise continue pour nous pousser vers une acceptation et une conformité douces. Et une grande influence derrière cela et comment il est ensuite vendu est l’agenda du changement climatique, un lobby puissant.

Des dirigeants mondiaux tels que Johnson et Trudeau introduisent de manière subtile et non subtile le langage du WEF et répètent des slogans tels que «  reconstruire en mieux  ». On parle de passeports de santé et de sanctions pour ceux qui refusent les tests et les vaccins. Bon nombre des objectifs proposés tels que la répartition des richesses et la limitation des déplacements s’inscrivent dans la destruction économique et sociale que nous assistons actuellement.

Ces dirigeants sont régulièrement vus avec le WEF, l’OMS, l’ONU, le FMI, Bill Gates, Greta Thunberg, ceux qui dirigent le freak-show.

L’argent, l’influence et peut-être la coercition peuvent bien être la façon dont ce cancer s’est propagé et a convaincu les dirigeants enclins aux mondialistes de suivre l’ordre du jour maintenant.

Et pour ceux qui ont observé la politique américaine, ils auront vu la tentative coordonnée de longue date de destituer Trump qui s’oppose à une réinitialisation, du moins à court terme. Les résultats suspects des élections américaines, les manifestations et le calendrier du BLM s’inscrivent désormais également dans le grand plan et vont avec maintenant.

Le passé et l’histoire sont également des pièces importantes du puzzle. Les liens étroits présumés de Biden avec le Parti communiste chinois et les organisations mondialistes susmentionnées et certaines preuves possibles de tentatives de réinitialisation similaires avec les prévisions de la grippe porcine et aviaire semblent également correspondre au modèle qui émerge actuellement.

Et comme nous le savons, les tentatives de détruire le monde (Syrie, Irak, Libye) sont autant d’indicateurs que nous avons affaire à des criminels psychopathes. Mon seul doute précédent était qu’ils oseraient retourner ce mal à leur propre peuple.

En résumé, les moyens, le motif et l’opportunité sont là. À mon avis, un coup d’État mondial est clairement en cours.

Quelques inconnues et anomalies

Certains commentateurs ont déclaré que le virus n’existe pas, que la grippe et même les crises cardiaques ont été classées à tort comme C0VlD-19. Il existe également de nombreuses preuves que les décès de C0VlD-19 ont été exagérés avec des tests PCR défectueux et en attribuant frauduleusement les admissions et les décès à l’hôpital comme C0VlD-19. Vous devez vous demander pourquoi ils cherchent à chaque tour à exagérer et à déformer les données à la hausse. Pendant une crise, les politiciens cherchent historiquement à minimiser les risques.

Une grande partie de cela devrait être gardée à l’esprit lors de l’examen de la situation dans son ensemble, mais un débutant devrait peut-être se concentrer sur ce que nous savons, pas sur ce que nous ne savons pas. Néanmoins, nous devons considérer les éléments suivants:

Origine de C0VlD-19

Les médias ont spéculé sans cesse sur l’origine et la manière dont ce virus est apparu. Des marchés de chauves-souris aux laboratoires. Au vu de tout ce que j’ai vu, je n’écarterais pas maintenant la possibilité qu’un virus ait été diffusé intentionnellement, avec la complicité de ce qui précède pour poursuivre la réinitialisation.

C’est impensable à bien des égards, mais cette possibilité doit maintenant faire partie de notre diligence à l’avenir.

Vaccins contre le C0VlD

Ce sera peut-être la clé de ce qui se passera à l’avenir. Si le grand plan de réinitialisation réussit – ou s’il conduit à sa perte et à la destitution forcée des dirigeants.

La préoccupation irrationnelle des vaccins est peut-être en grande partie liée au profit, mais elle pourrait être un élément majeur du programme en cours.

Les vaccins expérimentaux non testés en 2021, qui menacent de graves effets secondaires et la fertilité sont étonnants et terrifiants. Compte tenu en particulier du calendrier de 10 mois des déclarations inexactes du gouvernement et des médias, de la pseudoscience, de la peur et des mensonges.

Tout le monde devrait craindre ces vaccins.

Objections et questions au contre-récit.

Naturellement, en 10 mois, beaucoup de choses se sont produites. Les gens ont tendance à voir les événements de manière isolée, puis à oublier ce qui s’est passé auparavant. Les gens sont donc confus et ont des questions. Certaines de ces questions sont celles que je me suis posé au début et au cours de mon voyage.

« La plupart des gouvernements prennent des mesures anti-C0VlD-19 similaires, ils ne peuvent pas tous se tromper ou se lancer dans un complot? « 

C’est ce qui m’a troublé plus tôt. Nous savons qu’ils suivent la mauvaise science, ils détruisent leurs économies et leurs sociétés. Pourtant, il doit y avoir une limite à la stupidité absolue continue.

Mais étant donné le contexte, l’influence et l’argent des milliardaires et leur contrôle sur les institutions mondiales, il est possible de voir comment cela a, au fil du temps, infiltré les gouvernements, les médias contrôlés, les scientifiques et la justice en conflit.

Cet ordre du jour n’est pas nouveau et, comme je l’ai mentionné, il a peut-être été tenté à des moments antérieurs. Pour moi, en fin de compte, ce n’était pas si difficile d’accepter cette infiltration du mal qui dure depuis de nombreuses années et nous voyons maintenant la réalisation et la perfection de ce plan.

« La grande réinitialisation est juste une autre théorie du complot, sûrement? « 

Eh bien non, ce n’est pas le cas. Comme je l’ai dit plus haut, c’est un véritable agenda. La question est de savoir si c’est un «garé» ou un en cours. Toutes les preuves mentionnées ci-dessus suggèrent qu’il est maintenant fermement en jeu.

«Les gens n’accepteront pas que leur richesse soit confisquée ou redistribuée. Pourquoi nos gouvernements souhaiteraient-ils adopter des systèmes de crédit social et le communisme? « 

Si Boris Johnson annonçait à la télévision ce soir « vous ne posséderez rien et serez heureux », il y aurait bien sûr des émeutes. C’est pourquoi la réinitialisation se fait telle quelle, sous le couvert d’une crise.

Essentiellement, la plupart des dirigeants et politiciens mondiaux n’ont aucun principe ni aucune croyance. Dans ce contexte, avoir un agenda mondial comme celui-ci ne serait pas vraiment un énorme problème car les 1% les plus riches ne seraient pas sous le communisme. Nous le serions.

Il n’est donc pas difficile de voir après beaucoup de planification, avec l’entreprise qu’ils gardent, leurs tendances à la soif de pouvoir, diverses incitations, comment nos dirigeants ont cédé volontairement ou à contrecœur le pouvoir aux mondialistes.

« Il est impossible que le gouvernement, les médias, les scientifiques et les infirmières puissent tous mentir sur la pandémie actuelle. « 

Non, tous ne mentent pas. Certains sont complices, certains savent ou soupçonnent quelque chose, mais ont trop peur de s’exprimer et beaucoup sont susceptibles de ne pas savoir ce qui se passe et l’ordre du jour plus large. La grande partie de ceci est les conflits d’intérêts, tels que l’avancement ou la préservation de carrière.

Aussi peur, propagande générale, fausses données et distraction. Tout cela est source de confusion, de réflexion de groupe et de vision tunnel. Tous ces facteurs dans le mélange peuvent donner l’illusion que tout ce qui précède ment, ou pas du tout. Les gens sont contrôlés par une combinaison de ce qui précède. Essentiellement, c’est similaire à la façon dont l’Allemagne nazie a réussi à recueillir autant de soutien de sa population.

PCR et proportion – les principaux arguments

Soit quand quelqu’un à qui je parle a besoin de plus de conviction, soit juste pour arrondir, j’introduis deux arguments meurtriers.

Premier PCR , qui a été fait à mort ici. Le test est scientifiquement inutile pour détecter C0VlD-19 et compte tenu de toutes les mesures et toute l’approche est basée sur celui-ci et des «  cas  » et non des personnes hospitalisées ou mourant de C0VlD-19 directe, le château de cartes tombe en un tas.

Ainsi, vous pouvez dire à votre famille ou à un ami, bien que certaines parties du contre-récit puissent être contestées, comment pouvez-vous même avoir la moindre confiance dans le récit officiel lorsque vous avez une probabilité de diagnostic beaucoup plus forte en lançant une pièce?

De même, un autre facteur, la proportionnalité a été perdu dans la clameur pour semer la peur, distraire et induire en erreur. Proportionnalité, évidente pour tout résolveur de problèmes dès le départ comme base pour effectuer une évaluation de base des coûts par rapport aux bénéfices, une évaluation que le gouvernement n’a pas encore effectuée à ce jour.

Pensez à environ 60000 décès au Royaume-Uni (le total des «  décès dans les 28 jours suivant un test positif  » depuis mars est de 89860 à la publication, selon PHE – Ed.) , Avec un âge de mortalité moyen de 82 ans, de ou avec C0VlD-19, contre des millions de emplois disparus, économie vissée, écoles fermées ont annulé les traitements médicaux pour les cancers, etc. et les problèmes de santé mentale par dessus tout.

Lord Sumption, le plus grand esprit juridique du Royaume-Uni, l’a élaboré très tôt. Mais il ne faut vraiment pas un génie pour y arriver en janvier 2021.

Instinct

Enfin, si la personne à qui vous expliquez cela rejette les arguments basés sur les informations et les preuves, demandez-leur ce que leur instinct leur dit?

Pensent-ils que quelque chose ne va pas ou que quelque chose de sinistre se joue en arrière-plan? Sont-ils dans le déni, souvent l’une des émotions avant la réalisation? Posez la question et laissez-les travailler par eux-mêmes.

Résumé

Je ne suggérerais pas nécessairement que quiconque décharge tout cela sur des parents âgés et des jeunes.

Mais, si des proches ou des amis vous demandent constamment de réfuter des parties du récit officiel lorsqu’il apparaît à la télévision, l’expliquer de la manière ci-dessus, sans les interruptions de Piers Morgan , est une option.

Cela pourrait les aider à avancer enfin dans leur réflexion et à développer la réalisation et la colère – les deux ingrédients nécessaires pour démarrer la grande réinitialisation et en tant que bonus supplémentaire possible.

Morgan.

Michèle Rivasi dénonce l’obstruction de la commission sur les vakx1

Michèle Rivasi, députée européenne, se trouve confrontée à un barrage opaque pour obtenir les contrats passés avec l’industrie pharmaceutique et les données financières, de responsabilité juridique et de production de ces vakx1. Elle menace de citer la commission devant le cour européenne de justice comme elle l’a fait avec succès pour le glyphosate.
Une interview réalisée par la nouvelle chaîne BAM (Belgian Alternative Media).

Nouveau point de la situation et alerte de Alexandra Henrion-Caude

Alexandra Henrion-Caude, généticienne et spécialiste de l’ARN, a tenu à faire un nouveau point de la situation pour la chaîne TV Libertés. Particulièrement intéressant à partir de la 40ème minute où elle dénonce la folie d’administrer des vakx1s à ARN à des individus sains, compte tenu de la connaissance scientifique actuelle.

https://lbry.tv/@Patriotfraf:a/le-samedi-politique-covid-vaccin-la-geneticienne-alexandra-henrion-caude-nous-dit-tout:a

Article CNRS sur l’origine du Covid du 27 octobre 2020 : https://lejournal.cnrs.fr/articles/la…

Communiqué de presse de l’Académie de Médecine du 11 janvier 2021 : https://www.academie-medecine.fr/wp-c…

Déclaration de Great Barrington le 4 octobre 2020 : https://gbdeclaration.org/la-declarat…

Le caractère asymptomatique dans le Covid 19 en Chine : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33219…

Particules infectieuses de grippe chez les vakxinés contre la grippe : https://www.pnas.org/content/115/5/1081

Pharmacovigilance sur le site de l’ANSM : https://www.ansm.sante.fr/Dossiers/CO…

Etude Consentement éclairé sur les risques de formes graves de Covid 19 induit par la vakxination: https://onlinelibrary.wiley.com/doi/e…

L’ARN peut-elle se transformer en ADN ? https://www.francetvinfo.fr/sante/mal…

Protocole Pfizer (146 pages) : https://pfe-pfizercom-d8-prod.s3.amaz…

Effets secondaires du vakx1 Pfizer recensés par la FDA https://www.fda.gov/media/143557

Protestations en Afrique du Sud contre le vakx1 Covid-19 : Bloomberg : https://www.youtube.com/watch?v=fCgbU…

Reuters : https://www.youtube.com/watch?v=09PAS…

Article d’Alexandra Henrion-Caude sur le projet de loi bioéthique https://www.valeursactuelles.com/club…

Les vakx1 vont tuer et ils diront que c’est le C*0*V*l*D

Le Pr Cahill, généticienne et immunologue à l’Université de Dublin, participante au collectif ACU 2020.org explique que les effets des vakx1s à ARNm se manifesteront des mois plus tard. Alors qu’en réalité ils mourront des effets des vakx1s ARNm, ils les étiquèteront comme décès C*0*V*l*D.

Avec l’intervention de Alexandra Henrion-Caude.

https://www.quartierlibre.tv/05-01-2021-les-vaccins-vont-tuer-ils-diront-que-cest-le-covid-by-quadrillage-traduction-mp4/

La brillante et percutante analyse par le Professeur Dolores Cahill, de la gestion de cette crise

Entrevue à ne pas rater et à visualiser dans son entièreté.

Le professeur Dolores Cahill de formation en biologie moléculaire et en immunologie, est professeur en recherche de transfert de découvertes scientifiques du domaine de la santé dans la société pour aider les gouvernements à définir des politiques. Elle a une expérience de plus de 25 ans notamment au sein de l’Institut Max Planck de Berlin et a été conseillère et coordinatrice au niveau de l’UE sur les aspects de la recherche et de l’innovation et leur implications sur les politiques.
C’est sans concession qu’elle analyse la gestion de tous les aspects de cette crise, au niveau des réelles responsabilités tant du point de vue scientifique que politique.

Quelques extraits parmi beaucoup d’autres très percutants:

… une proportion énorme, significative des publications étaient incorrectes et qu’il y avait de la résistance à l’intérieur de la communauté scientifique et de chercheurs à corriger cela.

Il y a 20 ans j’ai conseillé des gouvernements et j’ai constaté qu’un grand nombre de papiers étaient incorrects et que cela conduisait à des décisions gouvernementales incorrectes.

Il n’y a pas besoin de confinement, de distanciation physique ni de masques alors que des traitements efficaces étaient connus depuis le début.

Pour chaque mois de confinement, chaque personne perd un mois de vie.

Les test PCR devraient être séquencés … et qu’un test PCR positif ne veut rien dire et ne contient probablement pas le Sars Cov2 mais d’autres virus circulant.

En tant que Premier Ministre, vous ne pouvez pas déléguer la décision à un expert. Vous avez un job à faire en tant que 1er ministre et vous avez été élu pour analyser objectivement la situation et prendre toutes les décisions que ce soit le confinement que le port du masque par les enfants et assumer toutes les conséquences de ces décisions.

Le pourcentage annoncé d’efficacité des vakx1 remis en cause

Peter Doshi: Les vakx1 «efficaces à 95%» de Pfizer et Moderna – nous avons besoin de plus de détails et des données brutes

Traduction d’un article paru le 13/1/21 sur https://weehingthong.org/

4 janvier 2021

Il y a cinq semaines, lorsque j’ai  soulevé des questions  sur les résultats des essais de vakx1 covid-19 de Pfizer et Moderna, tout ce qui était dans le domaine public était les  protocoles d’étude  et  quelques  communiqués de  presse . Aujourd’hui, deux  publications de revues   et environ 400 pages de données de synthèse sont disponibles sous la forme de  multiples rapports présentés par  et  à la FDA  avant l’autorisation d’urgence par l’agence du vakx1 ARNm de chaque entreprise. Si certains détails supplémentaires sont rassurants, d’autres ne le sont pas. Ici, je souligne les nouvelles préoccupations concernant la fiabilité et la signification des résultats d’efficacité rapportés.     

« Covid-19 suspecté »

Toute l’attention s’est concentrée sur les résultats d’efficacité spectaculaires: Pfizer a signalé 170 cas de covid-19 confirmés par PCR, répartis de 8 à 162 entre les groupes vakx1 et placebo.
Mais ces chiffres étaient éclipsés par une catégorie de maladie appelée «covid-19 suspectée» – ceux avec un covid-19 symptomatique qui n’ont pas été confirmés par PCR. Selon  le rapport de la FDA sur le vakx1 de Pfizer , il y a eu «3410 cas au total de covid-19 soupçonnés, mais non confirmés, dans la population globale de l’étude, 1594 sont survenus dans le groupe vakxiné contre 1816 dans le groupe placebo.

Avec 20 fois plus de cas suspects que de cas confirmés, cette catégorie de maladie ne peut être ignorée simplement parce qu’il n’y avait pas de résultat positif au test PCR. En effet, cela rend d’autant plus urgent à comprendre. Une estimation approximative de l’efficacité du vakx1 contre le développement des symptômes de la covid-19, avec ou sans résultat positif au test PCR, serait une réduction du risque relatif de 19% (voir note de bas de page) – bien en dessous du seuil d’efficacité de 50% pour l’autorisation fixé  par les  régulateurs . Même après élimination des cas survenus dans les 7 jours suivant la vakxination (409 sous le vakx1 Pfizer vs 287 sous placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réactogénicité du vakx1 à court terme, l’efficacité du vakx1 reste faible: 29% (voir note de bas de page).

Si plusieurs ou la plupart de ces cas suspects concernaient des personnes dont le résultat du test PCR était faussement négatif, cela réduirait considérablement l’efficacité du vakx1. Mais étant donné que les maladies de type grippal  ont  toujours  eu une  myriade de  causes – rhinovirus, virus grippaux, autres coronavirus, adénovirus, virus respiratoire syncytial, etc. – certains ou plusieurs des cas suspects de covid-19 peuvent être dus à un agent causal différent.

Mais pourquoi l’étiologie devrait-elle avoir de l’importance? Si ceux qui ont subi une «covid-19 suspectée» avaient essentiellement la même évolution clinique que la covid-19 confirmée, alors «la covid-19 suspectée et confirmée» pourrait être un critère d’évaluation plus significatif sur le plan clinique que la simple covid-19 confirmée.

Cependant, si la covid-19 confirmée est en moyenne plus sévère que la covid-19 suspectée, il faut quand même garder à l’esprit qu’en fin de compte, ce n’est pas la gravité clinique moyenne qui compte, c’est l’incidence de la maladie grave qui affecte les admissions à l’hôpital. Avec 20 fois plus de covid-19 suspectée que de covid-19 confirmée, et des essais  non conçus pour évaluer  si les vakx1 peuvent interrompre la transmission virale, une analyse de la maladie grave indépendamment de l’agent étiologique – à savoir, les taux d’hospitalisation, les cas de soins intensifs et les décès parmi les participants aux essais – semble justifié, et c’est le seul moyen d’évaluer la capacité réelle des vakx1 à surmonter la pandémie.

Il existe un besoin évident de données pour répondre à ces questions, mais le rapport de 92 pages de Pfizer ne mentionnait pas les 3410 cas de «covid-19 suspectés». Ni sa  publication  dans le  New England Journal of Medicine . Aucun des rapports sur le vakx1 de Moderna non plus. La seule source qui semble l’avoir signalé est l’examen du vakx1 de Pfizer par la FDA.

Les 371 personnes exclues de l’analyse de l’efficacité du vakx1 Pfizer

Une autre raison pour laquelle nous avons besoin de plus de données est d’analyser un détail inexpliqué trouvé dans un tableau de  l’examen par la FDA du  vakx1 de Pfizer: 371 personnes exclues de l’analyse d’efficacité pour «des écarts de protocole importants sur ou avant 7 jours après la dose 2.» Ce qui est préoccupant, c’est le déséquilibre entre les groupes randomisés dans le nombre de ces individus exclus: 311 du groupe vakx1 contre 60 sous placebo. (En revanche, dans  l’essai de Moderna , il n’y avait que 36 participants exclus de l’analyse d’efficacité pour «écart majeur du protocole» – 12 groupes vakxinaux contre 24 groupes placebo.)

Quels étaient ces écarts de protocole dans l’étude de Pfizer et pourquoi y avait-il cinq fois plus de participants exclus dans le groupe vakxiné? Le  rapport de la FDA  ne le dit pas, et ces exclusions sont difficiles à même repérer dans  le rapport  et la  publication de la revue Pfizer .

Les médicaments contre la douleur, la levée de l’aveuglement et les comités d’évaluation des événements primaires

Le mois dernier,  j’ai exprimé mon inquiétude quant au rôle de confusion potentiel des médicaments contre la douleur et la fièvre pour traiter les symptômes. J’ai émis l’hypothèse que ces médicaments pourraient masquer les symptômes, conduisant à une sous-détection des cas de covid-19, peut-être en plus grand nombre chez les personnes qui ont reçu le vakx1 dans un effort pour prévenir ou traiter les événements indésirables. Cependant, il semble que leur potentiel de résultats de confonds a été assez limité: bien que les résultats indiquent que ces médicaments ont été prises autour  de 3 – 4  fois plus souvent dans le vakx1 contre ayant reçu le placebo (au moins pour le vakx1-Moderna de Pfizer n’a pas rapport aussi clairement), leur l’utilisation était vraisemblablement concentrée au cours de la première semaine après l’utilisation du vakx1, prise pour soulager les événements indésirables locaux et systémiques post-injection. Mais l’ incidence cumulée  Les courbes  suggèrent un taux assez constant de cas confirmés de covid-19 au fil du temps, les dates d’apparition des symptômes s’étendant bien au-delà d’une semaine après l’administration.

Cela dit, le taux plus élevé d’utilisation de médicaments dans le groupe des vakx1 fournit une raison supplémentaire de s’inquiéter de la levée de l’insu. Compte tenu de la réactogénicité des vakx1, il est difficile d’imaginer que les participants et les chercheurs ne puissent pas deviner avec certitude dans quel groupe ils se trouvaient. Le principal critère d’évaluation des essais est relativement subjectif, ce qui fait de la levée de l’anonymat une préoccupation importante. Pourtant, ni la FDA ni les sociétés ne semblent avoir formellement sondé la fiabilité de la procédure d’aveuglement et ses effets sur les résultats déclarés.

Nous n’en savons pas non plus suffisamment sur les processus des comités d’arbitrage des événements primaires qui comptaient les cas de covid-19. Ont-ils été ignorés des données sur les anticorps et des informations sur les symptômes des patients au cours de la première semaine suivant la vakxination? Quels critères ont-ils utilisés, et pourquoi, avec un événement primaire consistant en un résultat rapporté par le patient (symptômes de covid-19) et un résultat de test PCR, un tel comité était-il même nécessaire? Il est également important de comprendre qui faisait partie de ces comités. Bien que Moderna ait  nommé  son comité de sélection de quatre membres – tous médecins affiliés à l’université – le protocole de Pfizer indique que  trois employés de Pfizer ont  fait le travail. Oui, les membres du personnel de Pfizer.

Efficacité du vakx1 chez les personnes qui avaient déjà un covid?

Les personnes ayant des  antécédents connus d’infection par le SRAS-CoV-2  ou  un diagnostic antérieur de Covid-19  ont été exclues des essais de Moderna et Pfizer. Mais encore 1125 ( 3,0% ) et 675 ( 2,2% ) des participants aux essais de Pfizer et Moderna, respectivement, ont été jugés positifs pour le SRAS-CoV-2 au départ.

La sécurité et l’efficacité des vakx1 chez ces receveurs n’ont pas reçu beaucoup d’attention, mais comme des parties de plus en plus importantes de la population de nombreux pays peuvent être «post-Covid», ces données semblent importantes – et d’autant plus que les  CDC américains recommandent d’  offrir le vakx1 d’antécédents d’infection par le SRAS-CoV-2 symptomatique ou asymptomatique. » Cela fait suite aux conclusions de l’agence  , concernant le vakx1 de Pfizer, selon lequel il avait une efficacité ≥ 92% et «aucun problème de sécurité spécifique» chez les personnes ayant déjà été infectées par le SRAS-CoV-2.

D’après mes calculs, Pfizer a apparemment signalé 8 cas de Covid-19 symptomatiques confirmés chez des personnes séropositives au SRAS-CoV-2 au départ (1 dans le groupe vakx1, 7 dans le groupe placebo, en utilisant les différences  entre les tableaux 9 et 10 ) et Moderna, 1 cas (groupe placebo;  tableau 12 ).

Mais avec seulement environ  quatre  à  31  réinfections documentées dans le monde, comment, dans des essais sur des dizaines de milliers, avec un suivi médian de deux mois, pourrait-il y avoir neuf cas confirmés de covid-19 parmi ceux atteints d’une infection par le SRAS-CoV-2 au départ? Est-ce représentatif d’une efficacité vakxinale significative, comme le CDC semble l’avoir approuvé? Ou pourrait-il s’agir d’autre chose, comme la prévention des symptômes de la covid-19, éventuellement par le vakx1 ou par l’utilisation de médicaments qui suppriment les symptômes, et rien à voir avec la réinfection?

Nous avons besoin des données brutes

Pour répondre aux nombreuses questions ouvertes sur ces essais, il  faut accéder aux données d’essai brutes . Mais aucune entreprise ne semble avoir partagé de données avec des tiers à ce stade.

Pfizer déclare  mettre les données à disposition « sur demande et sous réserve de révision ». Cela évite de rendre les données accessibles au public, mais laisse au moins la porte ouverte. L’ouverture n’est pas claire, car le protocole de l’  étude  indique que Pfizer ne commencera à rendre les données disponibles que 24 mois après la fin de l’étude.

La déclaration de partage de données de Moderna   indique que les données «peuvent être disponibles sur demande une fois l’essai terminé». Cela se traduit entre le milieu et la fin de 2022, car un suivi est prévu sur 2 ans.

Les choses peuvent ne pas être différentes pour le  vakx1 Oxford / AstraZeneca, qui a promis des données au niveau des patients  «lorsque l’essai est terminé». Et l’  entrée ClinicalTrials.gov  pour le vakx1 russe Spoutnik V indique qu’il n’est pas prévu de partager les données individuelles des participants.

L’  Agence européenne des médicaments  et  Santé Canada peuvent toutefois partager les données de tout vakx1 autorisé beaucoup plus tôt. L’EMA s’est déjà engagée à publier les données soumises par Pfizer sur son site Web  «en temps voulu», tout  comme  Santé Canada .

Peter Doshi , rédacteur en chef adjoint, The BMJ

Intérêts concurrents:  J’ai poursuivi la diffusion publique des protocoles d’essais de vakx1 et j’ai cosigné des lettres ouvertes appelant à l’indépendance et à la transparence dans la prise de décision relative au vakx1 covid-19.

note de bas de page

Les calculs de cet article sont les suivants: 19% = 1 – (8 + 1594) / (162 + 1816); 29% = 1 – (8 + 1594 – 409) / (162 + 1816 – 287). J’ai ignoré les dénominateurs car ils sont similaires entre les groupes.

Peter Doshi: Les vakx1 «efficaces à 95%» de Pfizer et Moderna – nous avons besoin de plus de détails et des données brutes

C0VlD inaugure un nouveau monde de vakx1s hasardeux

Source: Article extrait de la revue de R.F. Kennedy Jr. The Defender de l’association Childrenshealthdefense

Traduction en français ci-dessous:

Dans son reportage vidéo, « L’avenir des vakxins » (voir plus bas), le journaliste d’investigation James Corbett examine comment le nouveau vakx1 COVID-19 ouvre la voie à une expérimentation médicale non consensuelle auprès du grand public.

Par Joseph Mercola, Ph.D3

Le vaccin COVID-19 ouvre la voie à une expérimentation médicale non consensuelle auprès du grand public.

Le contenu en un coup d’œil:

  • En poussant à la vakxation COVID-19 obligatoire, ou en imposant des restrictions sociales à ceux qui refusent, le vakx1 COVID-19 ouvre la voie à une expérimentation médicale non consensuelle auprès du grand public.
  • Depuis le début de la pandémie, les dirigeants mondiaux ont averti que l’éloignement social, le port de masques, les restrictions de voyage et d’autres mesures feraient partie de notre «nouvelle normalité». Et, bien que le vakx1 soit vendu comme un moyen de mettre fin à la pandémie et de nous ramener à la normale, il ne peut pas, puisqu’il n’a été évalué que pour sa capacité à atténuer les symptômes du COVID-19, pas réduire le risque d’infection, d’hospitalisation ou de décès.
  • Bien que certains vakx1 COVID-19 aient reçu une autorisation d’utilisation d’urgence, ils n’ont même pas encore terminé les essais cliniques de stade 3. Les données pour certains paramètres ne seront même collectées que 24 mois après l’injection. En tant que tels, ils sont encore entièrement expérimentaux.
  • Les effets secondaires indésirables des vakx1 COVID-19 sont encore relativement inconnus. On ne sait pas non plus s’ils pourraient affecter la fertilité – une réelle préoccupation car le vakx1 incite votre corps à produire des anticorps contre la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, et les protéines de pointe contiennent à leur tour des protéines homologues à la syncytine qui sont essentielles à la formation du placenta. Si le système immunitaire d’une femme commence à réagir contre la syncytine-1, il est possible qu’elle devienne stérile.
  • Le vakx1 ARNm de Pfizer contient du polyéthylène glycol (PEG) et des études ont montré que 70% des personnes développent des anticorps contre cette substance. Cela suggère que le PEG peut déclencher des réactions allergiques mortelles chez de nombreuses personnes qui reçoivent le vaccin.

Dans son reportage vidéo du 24 décembre 2020, «L’avenir des vakx1s», le journaliste d’investigation James Corbett examine comment le nouveau vakx1 COVID-19 ouvre la voie à une expérimentation médicale non consensuelle auprès du grand public (attention vidéo en anglais).

Comme l’a noté Corbett, si l’establishment médical international réussit, rien ne reviendra à la «normale» tant que les responsables de la santé mondiale n’auront pas définitivement déterminé qu’un vakx1 COVID efficace est en place.

Même dans ce cas, cependant, les choses peuvent ne pas revenir à la normale à laquelle nous sommes habitués ou auxquels nous nous attendons. Depuis le début de la pandémie, les dirigeants mondiaux ont averti que l’éloignement social , le port de masques , les restrictions de voyage et d’autres mesures feraient partie de notre «nouvelle normalité».

Quoi qu’il en soit, le refrain que nous entendons sans cesse de la part de Bill Gates, du Dr Anthony Fauci et d’une longue liste d’autres dirigeants mondiaux est que tout sentiment de normalité restera insaisissable jusqu’à ce que ou à moins que l’ensemble de la population mondiale ne soit vakxiné contre le SRAS. -CoV-2 .

Nouveau monde des vakx1 audacieux

«Le public se prépare pour une campagne mondiale de vakxination sans précédent», dit Corbett. Cependant, un problème majeur avec ceci est que les vakx1 actuels contre le COVID-19 sont encore au stade expérimental. Bien qu’ils aient obtenu une autorisation d’ utilisation d’urgence , ils n’ont toujours pas terminé les essais cliniques de troisième étape. Les données pour certains paramètres ne seront même collectées que 24 mois après l’injection.

Un autre problème est que les effets secondaires indésirables des vakx1 COVID sont encore relativement inconnus en raison de la vitesse de distorsion «fanatique» à laquelle ils ont été développés.

Même s’il n’y a qu’un seul événement grave pour 1000 personnes, cela équivaudrait à 100000 personnes blessées par le vakx1 pour 100 millions de personnes vakxinées – un prix élevé pour une infection qui a un taux global de mortalité par infection non institutionnalisée de seulement 0,26%. Chez les moins de 40 ans , le taux de mortalité par infection n’est que de 0,01%, ce qui est inférieur à celui de la grippe saisonnière.

Un troisième problème sur lequel Corbett se concentre dans son rapport est le fait que les vakx1 COVID-19 sont «différents de tous les vakx1 qui ont déjà été utilisés sur la population humaine auparavant» et «aussi radicalement différents que ces vaccins apparaissent, ils ne représentent que le tout début d’une transformation complète de la technologie des vaccins qui se déroule actuellement dans les laboratoires de recherche à travers la planète.

Les vakx1s COVID-19 sont-ils vraiment aussi efficaces que ceux annoncés?

Sur une note secondaire importante, alors que les vakx1 de Pfizer et Moderna ont rapporté des taux de réussite très élevés, leur «succès» ne se mesure que par leur capacité à atténuer les symptômes modérés à sévères du COVID-19 tels que la toux et les maux de tête. Vraisemblablement, cela réduirait le risque d’hospitalisation et de décès pour les personnes vakxinées.

Cependant, comme expliqué dans «Comment les essais de vakx1 COVID-19 sont truqués», les vakx1 n’ont pas été évalués pour leur capacité à prévenir réellement l’infection et la transmission du virus. Ainsi, comme le vaccin ne peut pas réduire les infections, les hospitalisations ou les décès, il ne peut pas créer une immunité collective acquise par le vakx1 et mettre fin à la pandémie, même si cela a été le principal argument de vente du vakx1. De plus, comme l’a noté Corbett :

«Les études sont présentées comme impliquant des dizaines de milliers de personnes, mais dans l’essai de Pfizer, seulement 170 d’entre elles ont été signalées comme étant« diagnostiquées avec le COVID-19 »au cours de l’essai. Parmi ceux-ci, 162 appartenaient au groupe placebo et huit au groupe vakx1.

«De là, on déduit que le vakx1 a empêché 154 personnes sur 162 de développer la maladie, soit« 95% ». Mais comme le souligne même le British Medical Journal , «une réduction du risque relatif est signalée, pas une réduction du risque absolu, qui semble être inférieure à 1%».

COVID-19 inaugure une toute nouvelle race de vakx1s 

Pour en revenir au point principal du rapport Corbett, les vakx1 COVID-19 en cours de développement ne ressemblent à aucun autre vakx1 jamais publié. Ce sont des vakx1 à ARNm et ne fonctionnent pas comme les vakx1 conventionnels. En résumé, les ARN sont des molécules qui codent pour certaines protéines. L’ARN utilisé dans les vakx1 COVID-19 code pour la protéine de pointe SARS-CoV-2.

L’idée est qu’en injectant cet ARN, vos propres cellules commenceront à produire et à sécréter la protéine de pointe SARS-CoV-2. Votre système immunitaire répondra alors à la présence de cette protéine virale en produisant des anticorps. Il est important de comprendre que cette technologie n’a pas été prouvée et que l’on ne sait pas comment cette programmation d’ARN pourrait affecter votre santé dans les années à venir. Comme expliqué par Corbett :

«Le terme« vakxination »… en est venu à désigner le processus général d’introduction d’immunogènes ou d’agents infectieux atténués dans le corps afin de stimuler le système immunitaire pour combattre les infections. Mais ce n’est pas ainsi que fonctionnent les vakx1 à ARNm.

«Contrairement à la vakxination, qui consiste à introduire un immunogène dans le corps, les vakx1 à ARNm cherchent à introduire de l’ARN messager dans le corps afin de« tromper »les cellules de ce corps en produisant des immunogènes, qui stimulent ensuite une réponse immunitaire …

«Malgré l’argument de l’homme de paille selon lequel l’opposition au vakx1 vient uniquement de membres ignorants du public qui craignent d’être ‘injectés de micropuces’, il existe de véritables préoccupations concernant la sécurité à long terme de ces vaccins venant de la communauté scientifique, et même des lanceurs d’alerte issus des rangs des fabricants de Big Pharma eux-mêmes.

Le 1er décembre 2020, deux de ces lanceurs d’alerte – le Dr Wolfgang Wodarg, ancien président de l’Assemblée parlementaire du Comité de la santé du Conseil de l’Europe, et le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer Global R&D – ont déposé un pétition appelant l’Agence européenne du médicament à interrompre les essais cliniques de phase trois du vakx1 à ARNm Pfizer jusqu’à ce qu’ils aient été restructurés pour répondre à des problèmes de sécurité critiques.

Principaux problèmes de sécurité

Les quatre principales préoccupations en matière de sécurité spécifiées dans la pétition adressée à l’Agence européenne du médicament sont:

1.Le potentiel de formation d’anticorps non neutralisants qui peuvent déclencher une réaction immunitaire exagérée (appelée renforcement immunitaire paradoxal ou amplification immunitaire dépendante des anticorps) lorsque l’individu est exposé au vrai virus «sauvage» après la vakxination.

L’amplification dépendante des anticorps a été démontrée à plusieurs reprises dans des essais de vakx1 contre les coronavirus sur des animaux. Alors que les animaux ont initialement bien toléré le vakx1 et avaient des réponses immunitaires robustes, ils sont ensuite tombés gravement malades ou sont morts lorsqu’ils ont été infectés par le virus sauvage. En clair, le vakx1 a augmenté leur sensibilité au virus et les a rendus plus susceptibles de mourir de l’infection.

Le vakx1 ARNm de Pfizer contient du polyéthylène glycol (PEG) et des études ont montré que 70% des personnes développent des anticorps contre cette substance. Cela suggère que le PEG peut déclencher des réactions allergiques mortelles chez de nombreuses personnes qui reçoivent le vakx1.

En effet, quelques jours après la sortie du vakx1, des rapports ont commencé à arriver de personnes ayant des réactions anaphylactiques potentiellement mortelles , conduisant à des avertissements selon lesquels les personnes souffrant d’allergies connues ne devraient pas prendre le vakx1 Pfizer. Depuis lors, des réactions anaphylactiques ont également été signalées par les receveurs du vakx1 ARNm Moderna.

Le vakx1 à ARNm déclenche la production d’anticorps contre la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, et les protéines de pointe contiennent à leur tour des protéines homologues à la syncytine qui sont essentielles à la formation du placenta. Si le système immunitaire d’une femme commence à réagir contre la syncytine-1, il est possible qu’elle devienne stérile.

C’est un problème qu’aucune des études sur les vakx1 ne s’intéresse spécifiquement. La vakxination de masse des femmes en âge de procréer contre le COVID-19 pourrait potentiellement avoir la conséquence dévastatrice de provoquer une infertilité de masse si le vakx1 déclenche une réaction immunitaire contre la syncytine-1. La pétition déclare que cette possibilité doit être «absolument exclue» avant la vakxination de masse.

Les études sont beaucoup trop brèves pour permettre une estimation réaliste des effets secondaires. Selon ce que ces effets finissent par être, des millions de personnes peuvent être exposées à des risques inacceptables en échange d’un bénéfice très mineur.

Dans une interview – dont un extrait est présenté dans le rapport Corbett – Del Bigtree a demandé à Wodarg comment nous pouvons nous assurer que nous ne commettons pas la plus grande erreur scientifique de l’histoire avec cette campagne de vakxination. Wodarg a répondu :

«Protégez-vous et protégez vos voisins et amis pour qu’ils ne reçoivent pas ce vakx1… Et vous devez vous présenter. Vous devez dire aux politiciens que vous les blâmez pour ce qu’ils en feront. Je pense que ce qui se passe… est une grande trahison. Nous sommes trahis. Et les gens qui trahissent normalement sont punis, et nous n’oublierons pas cela s’ils continuent à le faire avec nous.

La liberté de la santé minée au nom de «  l’urgence  »

Comme l’a noté Corbett, encore plus fondamental que tout problème de sécurité particulier, c’est le fait qu’une campagne de vakxination de cette ampleur, utilisant une technologie entièrement nouvelle, crée «le précédent de santé publique le plus dangereux de l’histoire de l’humanité». En suscitant une panique inutile, beaucoup sont désormais prêts à renoncer à toute forme de liberté au nom de la réponse à une urgence sanitaire mondiale.

«L’une de ces libertés fondamentales est la capacité de refuser une procédure médicale expérimentale, une liberté qui a été reconnue dans le Code de Nuremberg de 1947 et inscrite dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, qui stipule que` `nul ne peut être soumis sans sa libre consentement à l’expérimentation médicale ou scientifique », dit Corbett .

«Malgré le fait que les essais cliniques entourant ces vakx1 expérimentaux sont en cours et que la FDA elle-même admet qu’il n’y a ‘actuellement pas suffisamment de données pour tirer des conclusions sur la sécurité du vakx1 dans des sous-populations telles que les enfants de moins de 16 ans, les femmes enceintes et les personnes allaitantes et les personnes immunodéprimées  » et le «  risque de maladie renforcée par la vakxination au fil du temps, potentiellement associé à une immunité décroissante, reste inconnu  », les gouvernements du monde entier envisagent de rendre ces vakxinations obligatoires ou de contraindre les gens à les prendre contre leur gré en limitant leur accès à la vie publique jusqu’à ce qu’ils se soumettent à cette expérimentation médicale.

«La menace de forcer ou de contraindre les gens à devenir des cobayes réticents dans une expérience médicale en cours est immorale à première vue. Mais même la perspective de faire respecter de tels mandats impliquerait la mise en place d’un système de surveillance et de suivi qui menacerait davantage les droits et libertés fondamentaux.

«Après tout, afin de déterminer qui a été vakxiné – et donc qui est autorisé à monter à bord d’un avion, à accéder à un stade ou à entrer dans un magasin avec une politique de vakxination – il faudra un système d’identification et de suivi de chaque vakxiné. « 

En effet, j’ai écrit plusieurs articles détaillant comment le suivi du statut vakxinal va inaugurer un appareil de surveillance plus grand que tout ce que nous ayons jamais connu auparavant . Ce système initial de surveillance des vakx1 sera finalement lié à d’autres systèmes numériques, tels que tous les autres dossiers médicaux, l’identification biométrique et un système bancaire entièrement numérique.

La mise en œuvre d’un système de crédit social basé sur Google , similaire à celui mis en place en Chine en 2018, est également très probable. Dans un système de crédit social, des points sont attribués ou soustraits pour certains types de comportement. Lorsque votre score tombe en dessous d’un certain point, la sanction est infligée sous la forme de restrictions de voyage ou de l’impossibilité d’obtenir un prêt, par exemple.

«Il existe déjà des applications comme le Digital Health Pass d’IBM et le Health Pass de CLEAR qui envisagent un monde où notre identifiant biométrique sera lié via nos smartphones à nos données de santé afin d’accorder ou de refuser l’accès depuis les espaces publics et les événements publics», déclare Corbett.

«Une fois les vakx1 COVID largement diffusés, il s’agirait simplement de relier son carnet de vakxination à l’application passe-santé pour empêcher les non-vakxinés d’accéder à un espace donné …

«Le vakx1 COVID offre aux gouvernements, aux agences de renseignement et aux entreprises qui ont un intérêt direct à réprimer la dissidence, à surveiller les dissidents et à contrôler leurs populations l’occasion parfaite de faire de ces systèmes un élément permanent de la vie quotidienne.

«Après la disparition de la« menace »immédiate de la crise de santé publique déclarée, le public est déjà averti que ces applications passeront de manière transparente à une surveillance générale de la population.»

Le précédent qui se crée actuellement en est un qui, à l’avenir, accordera aux autorités sanitaires le «droit» de nous imposer un certain nombre de médicaments expérimentaux, de vakx1 et de technologies au nom de la santé publique. Si le droit de refuser une procédure médicale expérimentale n’est pas respecté maintenant, la population entière de la terre sera disponible pour l’expérimentation sans recours.

Nouvelles technologies médicales en cours de développement

Bien que les vakx1 COVID-19 ne contiennent pas de micropuces activées pour le suivi, nous envisageons en effet un avenir où les marqueurs à points quantiques et les biocapteurs d’hydrogel seront probablement utilisés dans l’administration de vakx1, et ils permettront bien plus que l’identification ou le suivi de votre statut vakxinal.

Ils pourront collecter et transmettre toutes sortes d’informations sur ce qui se passe dans votre corps. Les ramifications de la transmission de toutes ces données biologiques à une machine basée sur l’intelligence artificielle dirigée par une élite technocratique déterminée à posséder toutes les ressources du monde sont à deviner.

Déjà, une étude est en cours pour évaluer comment un biocapteur implantable, qui surveille en permanence la chimie de votre corps, peut être utilisé comme système d’alerte précoce pour les épidémies de maladies, les attaques biologiques et les pandémies en envoyant un signal lorsqu’il détecte l’apparition d’une infection. Les autres technologies médicales en cours de développement comprennent:

  • vakx1 comestibles.
  • Systèmes d’administration de vakx1 télécommandés – Par exemple, une sphère à mailles d’hydrogel contenant un vakx1 peut être injectée sous la peau, et lorsque vous avalez une substance particulière qui dissout l’hydrogel, le vakx1 est libéré. La preuve de concept a été démontrée en 2014.
  • Nanorobots d’ADN autonomes qui peuvent transporter des charges moléculaires dans vos cellules.
  • Des microdispositifs à changement de forme appelés «thérapeutes» qui, lorsqu’ils sont placés dans votre tractus gastro-intestinal, prolongent l’administration du médicament.

Comme l’a noté Corbett:

«Nanobots. Dispositifs bioélectroniques à changement de forme. Vakx1 télécommandés. Il ne s’agit pas de science-fiction, mais de faits scientifiques, et le précédent créé à l’ère du COVID pour mettre en œuvre rapidement des technologies médicales expérimentales et non prouvées à la suite d’une crise déclarée est le même précédent qui pourrait être utilisé pour imposer ces technologies injectables sur le public du futur…

«Ces injectables font partie d’un système élaboré de contrôle biologique, économique et politique financé par de puissants intérêts spéciaux.»

Des faits incontestables

Alors que l’ élite technocratique derrière la Grande réinitialisation insiste sur le fait qu’il n’y a rien de néfaste dans aucune de ces technologies expérimentales, y compris les vakx1 à ARNm, le fait qu’ils nous mèneront dans un avenir qu’une grande majorité de personnes ne choisirait jamais, étant donné la chance, semble inévitable. Corbett note :

«Malgré les protestations de ceux comme Bill Gates qui ont un intérêt financier dans ces vakx1 expérimentaux, et les grandes sociétés pharmaceutiques qui vendent ces vakx1, et les gouvernements qui sont soudoyés21 par le cartel international de la santé publique pour acheter ces vakx1 et faire pression sur leur public pour les accepter, et les médias d’entreprise qui comptent sur ces grandes sociétés pharmaceutiques pour leurs dollars publicitaires, certains faits sur ces nouveaux vaccins contre les coronavirus sont incontestables:

  • Ce sont les vakx1 les plus pressés jamais développés.
  • Les fabricants bénéficient d’une immunité totale de responsabilité si leurs vakx1 expérimentaux causent des blessures.
  • Les essais cliniques testant la sécurité de ces injections ne sont pas terminés, ce qui signifie que chaque membre du public qui en prend une est maintenant un cobaye humain dans une expérience médicale en cours avec la population de la planète.
  • Les vakx1 à ARNm Pfizer et Moderna font eux-mêmes partie d’une classe d’injection expérimentale qui n’avait encore jamais été administrée au public.
  • Ces vakx1 n’ont pas été testés pour leur capacité à prévenir l’infection ou la propagation du SRAS-CoV-2 et ne sont pas destinés à le faire.
  • Et il n’y a absolument aucune donnée à long terme sur ces vakx1 pour déterminer quels pourraient être leurs effets sur la fertilité, le potentiel d’ amorçage pathogène ou tout autre effet indésirable grave.

«Que cela représente l’expérience la plus téméraire et la plus effrontée de l’histoire du monde est indéniable à première vue. Jamais auparavant des milliards de personnes n’avaient été poussées à se soumettre à une procédure médicale totalement expérimentale et invasive sur la base d’une maladie avec un taux de survie supérieur à 99% …

«Ceux qui souhaitent être les sujets de test dans cette expérience en cours devraient certainement être libres de se transformer en cobayes pour les fabricants de Big Pharma.

«Mais chaque mandat ou contrainte d’imposer le vakx1 à un receveur qui ne le souhaite pas crée un dangereux précédent, un précédent qui conduira un jour à une population suivie et surveillée incapable de résister à la prochaine génération de bioélectronique injectable.

«Ce n’est pas un jeu, ce n’est pas un test. Des milliards de personnes sont invitées à participer à une expérience gigantesque, pas seulement une expérience de technologie médicale, mais une expérience de conformité et de confiance aveugle.

«La pression pour dire oui et pour suivre la foule dans cette expérience est énorme. Mais si nous perdons la liberté de dire «non» à cela, alors nous pourrions perdre le contrôle de notre autonomie corporelle – et, finalement, de notre humanité – pour toujours.

Publié à l’origine par Mercola .

Les vakx1s introduisent-ils de nouvelles souches mutantes du virus et causent plus de malades ?

Publié par wikistrike.com sur 10 Janvier 2021

Peu de pays sont assez courageux ou imprudents pour exécuter une vaste expérience médicale sur l’ensemble de leur population et mettre en danger les personnes vulnérables. La Grande-Bretagne et Israël l’ont fait. Dans l’état actuel des choses, il est difficile de nier la possibilité d’une corrélation entre la vakxination de masse et une forte augmentation des cas de Covid-19 en Israël et en Grande-Bretagne.

Le 8 décembre, la Grande-Bretagne a été le premier pays occidental à commencer à « vakxiner sa population ». Deux semaines plus tard, quelques jours avant Noël, la Grande-Bretagne comprit qu’elle était en grave difficulté. Covid-19, le virus qui était censé disparaître de nos vies, s’est transformé en autre chose. Le 19 décembre, le premier ministre Boris Johnson a admis que des scientifiques britanniques avaient identifié un nouveau mutant Covid-19 qui est « 70% plus transmissible » que ses ancêtres. La Grande-Bretagne a introduit des restrictions locales plus strictes, mais malgré celles-ci, ainsi que la vaste campagne de vakxination, le nombre de cas de Covid-19, d’hospitalisations et de décès n’a cessé d’augmenter. Ils augmentent de façon exponentielle sur une base quotidienne.

Israël a lancé sa campagne de vakxination de masse quelques jours après la Grande-Bretagne. Dans les deux semaines suivantes, Israël a réussi à vacciner près de 20% de sa population. Israël est de loin le vainqueur mondial en ce qui concerne le concours de vakxination de masse, mais le pays est également en grande difficulté. Comme la Grande-Bretagne, Israël fait face à une énorme poussée de Covid-19. Son système de santé national est au bord de l’effondrement et la question inévitable est de savoir si ces crises sanitaires similaires (sinon identiques) sont liées à ces deux crises de vakxination contre le covid-19.

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