PDG de Pfizer: « Chaque année, vous devrez obtenir votre vakx1 annuel pour C0VlD  »

Source: Childrenshealthdefense.org/defender (JF Kennedy Jr)

Maxi rente assurée avec des cobayes en permanence et la complicité des états via le passeport vaccinal !

Malgré la prétendue efficacité de 95% du vakx1 Pfizer-BioNTech C0VlD-19, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a annoncé jeudi que le fabricant de vakx1 testait une troisième dose de son vakx1 en prévision des rappels annuels.

«Chaque année, vous devrez obtenir votre vaccin annuel pour COVID.»

Dans un communiqué de presse , Pfizer a déclaré que son objectif était de comprendre l’effet d’un rappel sur l’immunité contre le C0VlD causé par les variantes en circulation et nouvellement émergentes du SRAS-CoV-2 et d’engager des discussions en cours avec la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis. et l’Agence européenne des médicaments concernant un essai clinique visant à tester un vakx1 à ARNm modifié .

Le directeur et membre du conseil d’administration de Pfizer, Scott Gottlieb, qui a également été l’ ancien commissaire de la FDA chargé de l’approbation des vakx1, a déclaré à CNBC que le fabricant de vaccins explorait deux voies pour renforcer l’efficacité du vakx1 C0VlD.

La première étude donnera à 144 participants de l’essai clinique de phase 1 mené en mai dernier un troisième dosage inférieur de la formulation actuelle à deux doses. La deuxième étude consiste à tester une version modifiée du vakx1 existant conçue pour fournir une large défense contre une gamme de mutations C0VlD .

Pfizer espère se préparer à une adoption rapide potentielle du vakx1 pour traiter de nouvelles variantes qui permettront le développement de vakx1 de rappel en quelques semaines. Cette «voie réglementaire» est déjà établie pour d’autres maladies infectieuses comme la grippe, a déclaré le fabricant du vakx1.

Le PDG de Pfizer espère qu’une troisième dose stimulera encore plus la réponse immunitaire ou offrira une protection contre les variantes C0VlD.

«Chaque année, vous devez aller vous faire vakxiner contre la grippe », a déclaré Bourla. «Ce sera la même chose avec C0VlD. Dans un an, vous devrez aller chercher votre photo annuelle pour que C0VlD soit protégé », a déclaré Bourla à NBC News.

Le vakx1 Pfizer-BioNTech C0VlD n’est pas encore homologué par la FDA mais a obtenu une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) pour empêcher l’utilisation du C0VlD-19 chez les 16 ans et plus. L’utilisation d’urgence de ce vakx1 n’est autorisée que dans la mesure où «des circonstances justifient l’autorisation de l’utilisation d’urgence».

La FDA a déclaré qu’elle était disposée à autoriser les injections de rappel sur la base de petits essais cliniques, en acceptant les données sur la façon dont les vakx1 améliorent le système immunitaire plutôt que de s’attendre à des résultats de sécurité et d’efficacité à long terme sur la protection contre le C0VlD-19.

Moderna renforce également sa capacité de fabrication mondiale en prévision d’une demande soutenue de boosters C0VlD-19 dans les années à venir. La société prévoit de tester des doses supplémentaires de son vakx1, des injections de rappel et un nouveau vakx1 associé à son vakx1 actuel dès que les régulateurs donneront le feu vert.

Comme The Defender l’a rapporté la semaine dernière, Bill Gates a également déclaré qu’un «troisième coup» pourrait être nécessaire pour combattre le C0VlD.

Grand Reset : « On assiste à un transfert de richesses qui est voulu par ceux qui nous dirigent »

Philippe Herlin est Docteur en économie du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), spécialiste des cryptomonnaies et essayiste.
Intrigué par le livre « Covid-19 : The Great Reset » coécrit par Klaus Schwab – le fondateur du Forum de Davos – et Thierry Malleret – un consultant et ancien collaborateur de Michel Rocard – paru l’été dernier, Philippe Herlin a décidé de décortiquer cet ouvrage.
Une lecture qui lui a inspiré un commentaire de quelques pages dans lequel M. Herlin s’efforce de décrypter l’idéologie portée par K. Schwab et T. Malleret.
Selon l’économiste, les auteurs du Great Reset entendent notamment profiter des bouleversements induits par la crise sanitaire pour promouvoir un projet « étatiste et socialiste » qui s’appuie sur la surveillance généralisée des populations, l’économie verte et le capitalisme de connivence.
Quels sont les véritables enjeux du Grand Reset ?
Quelle est l’attitude de nos dirigeants vis-à-vis du projet porté par Klaus Schwab et Thierry Malleret ?

Nous sommes dans une crise d’émergence spirituelle

Lors de sa participation à l’émission hebdomadaire de l’Info en questions (à partir de la 11ème minute sur une durée de ±1h), Mika Denissot a fait une intervention très brillante, nous remettant en face de notre vraie responsabilité, celle de notre âme. Il nous amène à prendre conscience des conditionnements qui nous modèlent depuis des dizaines d’années et qui arrivent maintenant à révéler leur vraie nature. Il nous invite à prendre conscience que nous vivons une période d’émergence spirituelle et nous donne une piste de comportement individuel face aux manipulations du grand reset.

Article publié dans Le Lancet par des membres du comité scientifique français plaidant pour une révision des stratégies sanitaires

Les lignes sont peut-être en train de bouger (sans que ce ne soit encore tout-à-fait satisfaisant) !
Voici la traduction (informatique) de l’article publié dans Le Lancet par Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy, membres du comité scientifique conseillant le gouvernement français!

Les avantages collectifs de l’immunité de groupe sont devenus semblables à un mantra dans les stratégies de vaccination de masse, répété par les gouvernements et les chercheurs. Toutefois, la place prépondérante de l’immunité collective, présentée comme une solution à la pandémie, pourrait être sur le point de changer avec l’émergence de l’évasion immunitaire, un changement de jeu virologique aussi important que l’arrivée des variantes du CoV-2 du SRAS. La lutte contre l’évasion immunitaire nécessitera une réévaluation des stratégies de santé publique et la création d’un nouveau contrat social fondé sur des preuves.
Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du CoV-2 du SRAS sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus antérieurs (de type sauvage), voire à un vaccin1, 2 . Cette évolution, associée à l’émergence de mutants d’évasion immunitaire, n’a pas seulement été observée avec le CoV-2 du SRAS, mais aussi avec d’autres virus3. L’arrivée rapide de variantes du CoV-2 du SRAS, telles que celles qui ont été identifiées pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil, suggère une « évasion immunitaire naturelle »2 . En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression importante sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant à transmissibilité accrue.

En cas d’évasion immunitaire importante, les vaccins actuels sont susceptibles d’offrir encore certains avantages aux individus. Au niveau de la population, cependant, ils pourraient induire une sélection virale et une évasion, rendant la perspective d’obtenir une immunité collective de plus en plus éloignée.
Ce changement de jeu virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être sans cesse repoussée, à mesure que de nouveaux variants apparaissent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme.
Il est donc temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, qui reposent sur un confinement généralisé, apparemment aléatoire, de type stop-start, comme principale réponse à la pandémie ; des approches qui attendent des citoyens qu’ils attendent patiemment que les unités de soins intensifs soient renforcées, qu’une vaccination complète soit réalisée et qu’une immunité collective soit atteinte.
Jusqu’à présent, les populations ont été relativement complaisantes, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles dans les mouvements de protestation dans plusieurs pays. L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, et le pire est encore à venir en termes de taux de chômage et de dette nationale.4, 5 Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient peu exposées au risque de morbidité et de mortalité lié à l’infection par le SRAS-CoV-2.
Pour garantir au mieux le succès de la vaccination de masse – quel que soit l’impact escompté sur la transmission – et pour ralentir l’émergence de nouveaux variants, tout en évitant le confinement général, les gouvernements doivent intégrer et appliquer les mesures disponibles d’une manière beaucoup plus ciblée sur les différents groupes générationnels. Les différents groupes d’âge ne sont pas touchés de la même manière par le virus ; de mars à juin 2020, 96 % des décès supplémentaires liés à la COVID-19 en Europe sont survenus chez des patients âgés de plus de 70 ans6, 7 .
Il est essentiel que la nouvelle approche soit fondée sur un contrat social clair et transparent, ancré dans les données disponibles et appliqué avec précision à l’ensemble des générations visées. En vertu de ce contrat social, les jeunes générations pourraient accepter la contrainte de mesures de prévention (par exemple, masques, éloignement physique) à condition que les groupes plus âgés et plus vulnérables adoptent non seulement ces mesures, mais aussi des mesures plus spécifiques (par exemple, auto-isolement volontaire selon des critères de vulnérabilité) pour réduire leur risque d’infection. Les mesures visant à encourager l’adhésion des groupes vulnérables à des mesures spécifiques doivent être promues de manière cohérente et appliquées de manière équitable. La mise en œuvre d’une telle approche doit se faire de manière sensible et en conjonction avec le déploiement de la vaccination auprès des différentes cibles de la population, y compris toutes les générations de la société.
Il n’est plus possible d’utiliser le confinement général stop-start comme principale réponse à la pandémie de COVID-19. Bien qu’il soit attrayant pour de nombreux scientifiques et qu’il constitue une mesure par défaut pour les dirigeants politiques qui craignent d’être tenus pour légalement responsables de la lenteur ou de l’indécision des réponses nationales, son utilisation doit être revue, mais uniquement en dernier recours.
Nous, scientifiques qui travaillons contre COVID-19, devons avoir le courage de nous adresser à ceux qui sont au pouvoir, qui portent la responsabilité ultime des politiques choisies et de leurs conséquences. Si cette responsabilité est éludée ou retardée, le jour inévitable du jugement pourrait être terrible.
Nous sommes membres du Conseil scientifique français de COVID-19.

Traduit avec http://www.DeepL.com/Translator

References:

Voir dans l’article original

En complément voir aussi l’article de Réseau International:
https://reseauinternational.net/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/

La dictature des tests

Cette vidéo très pédagogique revient sur ce qu’est réellement un test. On va voir qu’un test ne permet jamais d’avoir la certitude qu’une personne est saine ou malade. Un test est juste un indice qui fait partie de l’ensemble du diagnostic. Regarder uniquement le résultat d’un test RT-PCR ne permet pas de savoir si une personne est malade ou non, ni même de savoir si une personne est contagieuse ou non.
Sachant cela, on verra qu’il est impossible de se servir des résultats de tests RT-PCR pour savoir ce qu’il se passe dans le pays. Au mieux, ça donne une petite idée des tendances. Dans tous les cas, baser les décisions de mesures aussi radicales que le confinement là-dessus, c’est soit une incompréhension totale de ce chiffre, soit une excuse bidon. Les tests sont un élément pour mieux soigner individuellement les gens.
S’en servir de socle pour un politique générale, c’est stupide et dangereux.

Qui est responsable? Qui n’est pas responsable ?

Une très intéressante réflexion sur le partage des responsabilités (nous, le peuple responsable de l’épidémie, de nos pensées, …) et les non-responsabilités (des fabricants de vaccins, des gouvernants, les médias, les médecins, les forces de l’ordre, …)

Le plus grand Nuremberg de tous les temps se prépare

Source: Réseau International

par Jean-Michel Grau.

Aujourd’hui, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une « Class Action » sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit les responsables du scandale du Covid-19 instrumentalisé par le Forum de Davos. À ce sujet, il est utile de rappeler que Reiner Fuellmich est l’avocat qui a réussi à condamner le géant de l’automobile Volkswagen dans l’affaire des pots catalytiques trafiqués. Et c’est ce même avocat qui a réussi à condamner la Deutsche Bank comme entreprise criminelle.

Selon Reiner Fuellmich, toutes les fraudes des entreprises allemandes sont dérisoires comparées aux dommages que la crise du Covid-19 a causés et continue de causer. Cette crise du Covid-19 doit être rebaptisée « Scandale du Covid-19 » et tous les responsables doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de protocoles de tests falsifiés. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid-19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Une commission d’enquête Covid-19 a été ouverte à l’initiative d’un collectif d’avocats allemands dans le but de faire un recours collectif au niveau international en utilisant le droit anglo-saxon.

Voici la traduction résumée de la dernière communication du Dr Fuellmich du 15/02/2021

« Les auditions d’une centaine de scientifiques, médecins, économistes, juristes de renommée internationale qui ont été menées par la commission d’enquête berlinoise sur l’affaire Covid-19 depuis le 10/07/2020, ont entre-temps montré avec une probabilité proche de la certitude que le scandale du Covid-19 n’était à aucun moment une affaire de santé. Il s’agissait plutôt de bétonner le pouvoir – illégitime, car obtenu par des méthodes criminelles – de la « clique de Davos » corrompue, en transférant la richesse des populations aux membres de la clique de Davos, en détruisant, entre autres, les petites et moyennes entreprises en particulier. Des plateformes comme Amazon, Google, Uber, etc. pourraient ainsi s’approprier leurs parts de marché et leurs richesses ».

État d’avancement de l’enquête du Comité Covid-19
  • a. Le Covid-19 comme tactique de diversion par les « élites » corporatistes et politiques dans le but de déplacer les parts de marché et la richesse des petites et moyennes entreprises vers des plateformes mondiales telles qu’Amazon, Google, Uber, etc.
  • b. Contribution de la taxe sur l’audiovisuel en vue de la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui offre une véritable information indépendante
  • c. Sécurisation des structures agricoles régionales
  • d. Sécurisation d’une monnaie régionale pour éviter qu’une nouvelle monnaie ne vienne « d’en haut » pour être allouée en cas de bonne conduite
  • e. Considérations psychologiques de la situation : comment en est-on arrivé là ?

Recours en annulation de l’approbation d’une vaccination, déposé contre la Commission européenne, procès à New York du statut des tests PCR, procès allemands, procès canadiens, procès australiens, procès autrichiens, procès à la Cour de Justice Internationale et à la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

« Nous avons constaté ce qui a été confirmé à maintes reprises : la dangerosité du virus est à peu près la même que celle de la grippe saisonnière, indépendamment qu’il s’agisse d’un nouveau virus (entièrement ou partiellement fabriqué) ou que nous ayons simplement affaire à une grippe rebaptisée « pandémie Covid-19 ». En attendant, les tests PCR de Drosten ne sont même pas capables de nous dire quoi que ce soit sur les infections contagieuses. Pour aggraver les choses, les dommages sanitaires et économiques causés par les mesures anticovid ont été si dévastateurs qu’il faut parler d’un niveau de destruction historiquement unique ».

« Le fait qu’il n’ait jamais été question de santé est particulièrement évident, sinon que les injections de substances génétiquement expérimentales déguisées en « vaccination » causent maintenant de graves dommages, y compris des conséquences fatales, à une échelle de masse. La population mondiale a servi de cobaye à ces injections expérimentales de gènes à la fois progressivement et extrêmement rapidement. Afin de plonger la population dans la panique, des mesures de confinement dangereuses et nocives (même selon l’OMS) de port du masque obligatoire, inutile et dangereux, et de distanciation sociale, inutile et contre-productive, ont été introduites. La population était ainsi « prête » pour les injections ».

« En attendant, de plus en plus de personnes, et pas seulement des avocats – à juste titre – exigent, outre l’arrêt immédiat de ces mesures meurtrières, un contrôle juridictionnel par un tribunal international véritablement indépendant, sur le modèle des procès de Nuremberg. Un exemple de demande de ce type et un extrait émouvant d’une allocution du médecin anglais Dr Vernon Coleman peut être trouvé dans le lien suivant : https://youtu.be/T3DNV7v5i74.

En outre, une interview d’un lanceur d’alerte d’une maison de retraite berlinoise, témoigne que sur 31 personnes vaccinées là-bas, dont certaines par la force, en présence de soldats de la Bundeswehr, et dont le test était négatif avant la vaccination, 8 sont maintenant décédées et 11 sont sujettes à de graves effets secondaires ».1

Réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin mercredi 17/02/2021

« Dans ce contexte, une réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin aura lieu le mercredi 17/02/2021 en direct et avec de nombreux invités qui y participeront via Zoom.

À partir de 14 heures, l’état des lieux sera résumé. En outre, il sera question de la manière dont les contributions de la taxe sur la redevance audiovisuelle peuvent être conservées et utilisées pour la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui serve réellement la liberté d’expression, et comment les contributions déjà versées pour la propagande insensée des 11 derniers mois peuvent être récupérées par le biais d’une mise en demeure.

Il y aura des contributions et des discussions sur la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, en particulier en renforçant l’agriculture régionale ; mais aussi en créant des monnaies régionales, si nécessaire avec le retour de l’UE à la CEE, sur la manière dont on peut s’assurer que la politique de la « clique de Davos », basée sur l’impression de monnaie à partir de rien, peut être arrêtée et qu’un retour à des monnaies stables peut être réalisé.

Mais surtout, des experts nous expliqueront comment il a pu arriver que nous nous retrouvions dans cette situation de chantage inimaginable il y a encore un an.

Dans la deuxième partie de la session, qui débutera à 19 h, des personnalités de renommée mondiale et de haut niveau commenteront l’état des litiges juridiques internationaux en cours, y compris les différentes actions collectives, comme résumé ci-dessus. Mais il sera également question de la manière dont les principaux responsables, en particulier politiques, des crimes contre l’humanité commis ici peuvent et doivent être tenus pour responsables en droit civil et pénal dans le cadre d’une nouvelle Cour internationale de justice qui sera créée conformément aux directives des procès de Nuremberg avec une distribution internationale ».

Le lien vers la session spéciale du Comité Covid annoncée ici sera disponible le 17/02/2021 via le site web du Comité.2

Commentaire :

Pour bien comprendre ce qui est en train de se jouer avec ce nouveau tribunal de Nuremberg pour juger la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, c’est en tirant sur le fil du mensonge du Dr Drosten pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, que tout va venir avec : les commanditaires de l’oligarchie financière, Klaus Schwab, le grand architecte de cette gigantesque prise d’otages, les politiques à la tête de l’UE, bras armé de l’exécution des directives de Drosten et de l’OMS qui ont amené tous les gouvernements occidentaux à prendre hier les décisions ravageuses de confinement, de couvre-feu, de port du masque obligatoire et de distanciation sociale et aujourd’hui de vaccins mortifères pour les plus âgés d’entre nous.

« Ce sont ces vérités qui feront tomber les masques des responsables des crimes commis. Aux politiciens qui ont eu foi dans ces personnages corrompus », dit le Dr Fuellmich, « Les faits présentés ici sont la bouée de sauvetage susceptible de les aider à rectifier le tir et à entamer le débat scientifique tant attendu du public, afin d’éviter de couler en même temps que ces charlatans criminels ».

Ensuite, à la lumière de cette dernière communication du Dr Fuellmich, deux propositions de la réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin retiennent l’attention :

  • Tout d’abord la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, ce qui apparaît quelque peu surréaliste eu égard à la situation d’aujourd’hui. Si l’on se réfère au planning du Forum de Davos de Klaus Schwab, il n’en est rien. Celui-ci a bel et bien prévu une rupture de la chaîne alimentaire dès la fin du second semestre 2021.3
  • Ensuite, la création de monnaies régionales. Là, il est clair que le Comité Covid de Berlin anticipe déjà le krach boursier mondial qui s’annonce et dont l’oligarchie financière du Forum de Davos à la manœuvre compte bien profiter pour mettre en place la monnaie numérique européenne dans l’attente d’une monnaie mondiale pour créer un crédit social à la chinoise dont deviendra dépendante la classe moyenne de tous les peuples ruinés par la fermeture de leurs commerces, PMI-PME, industries culturelles et touristiques, équipements sportifs, etc.

Rien que ces deux aspects de la prise d’otage 2.0 dont le monde occidental est victime depuis bientôt un an devraient en toute logique être suffisamment motivants pour nous faire comprendre définitivement que nous sommes face à un « populicide » qui ne demande qu’à nous broyer si nous restons inertes, les bras ballants sans rien faire.

C’est pourquoi il convient à chacun d’entre nous de tout mettre en œuvre dès maintenant afin que cette coalition juridique internationale puisse être opérationnelle le plus tôt possible. Pour ce faire, que toutes celles et tous ceux d’entre nous qui souhaitent rejoindre l’action collective des avocats français pour participer à cette reconquête de nos libertés se mettent déjà en contact d’ici le 21 février avec l’action collective4Notre survie est à ce prix ainsi que l’avenir de nos enfants.

source : https://nouveau-monde.ca/fr/

  1. 2020news.de/whistleblower-aus-berliner-altenheim-das-schreckliche-sterben-nach-der-impfung/
  2. corona-committee.com
  3. nouveau-monde.ca/fr/la-quatrieme-phase-de-schwab/
  4. francesoir.fr/opinions-entretiens/interview-me-virginie-de-araujo-recchia-avocate-au-barreau- de-paris

Alliance Mondiale pour la Liberté. Lancement à Copenhague.

Le début d’un nouveau mouvement politique de portée mondiale?
La World Freedom Alliance.
Documentaire sur son lancement à Copenhague où les citoyens ont fait reculer le gouvernement dans sa politique de vaccination obligatoire. Avec le soutien de personnalités telles que JF Kennedy Jr, Dr Dolorès Cahill, Andrew Kaufman, Heike Schöning et bien d’autres.
Cela fait du bien de voir cela. A quand un relais dans nos pays ?

Activer les sous-titres français s’ils ne le sont pas.

Humains souverains ou humains ressources ?
Tyrannie technocratique ou libertés ?

Version alternative sur Odysee en cas de censure YouTube:

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/WAKE-UP-CALL—Documentary-4K—World-Freedom-Alliance_-CopenhagenVOSTFR:9

La nouvelle normalité ?

Nouveau documentaire nous donnant à voir ce que pourrait devenir notre nouvelle normalité si on laisse cette élite continuer son projet transhumaniste avec la complicité de nos gouvernants corrompus. A voir absolument pour élever notre conscience pour nous mobiliser.

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/The-New-Normality-vostfr:e

C’est à nous de sortir de notre soumission !

Ceci est un podcast consacré à l’analyse de l’essentiel de l’ouvrage de La Boétie sur la « Servitude volontaire ». Ouvrage écrit à l’âge de 18 ans par La Boétie au XVIème siécle (mais tellement actuel!) et d’une telle profondeur qu’il faut l’écouter (ou le lire) encore et encore pour mesurer le chemin personnel et collectif qu’il nous faut encore parcourir pour pouvoir nous libérer vraiment.

Réflexions sur le futur

Le futur est-il de plus en plus prévisible ? Réflexions sur le futur, la technologie et autour de l’étrange série « Incorporated » qui décrit les plans du Great Reset dès 2017. Texte et vidéo réalisés en 2020.
Au-delà de l’inspiration chrétienne de l’auteur, une réflexion qui mérite d’être entendue.

Par Fide TV.

Ingénierie sociale très bien analysée par un jeune

Quel plaisir de voir des jeunes avec un esprit critique, capable de faire des recherches et se poser les bonnes questions. Merci d’éveiller la nouvelle génération pendant que certains d’entre nous, plus vieux, tentons de réveiller ceux qui sont formatés depuis des décennies dans la matrice… Ensemble on y arrivera ! (Copie d’un commentaire à cette vidéo)

Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !

Article de Jean-Dominique Michel sur son propre blog

Je n’irai pas par quatre chemins : l’article que je m’apprête à partager avec vous est aussi remarquable qu’explosif ! Il figure au rang de ce que j’ai lu de plus perspicace, rigoureux et éclairant au cours de l’année écoulée.

A partir de sa maîtrise des statistiques ainsi que d’une éthique personnelle et scientifique évidentes, l’auteur extrait des données disponibles certains tenants et aboutissants fondamentaux et occultés de la « crise sanitaire » que nous vivons depuis une année. Et, cela étonnera sans doute peu les lectrices et lecteurs de ce blog, les conclusions de son analyse de haut vol atterrissent à des années-lumière du narratif officiel.

L’auteur est mathématicien et non pas médecin ou chercheur en santé publique. Dans notre mouchoir de poche suisse romand, Fabien Balli Frantz (lui aussi inscrit dans ce domaine d’expertise) a pareillement découvert à partir de sa maîtrise des statistiques des motifs fondamentaux de l’épidémie. Qu’il a fait connaître dans différents articles publiés dans Bon pour la tête, hélas aucunement repris par les médias « mainstream » dont la priorité obsessionnelle paraît être d’affoler la population à tout prix.

….

L’auteur a souhaité rester anonyme, choix que je respecte évidemment. Son article est bien sûr plus ardu que ce dont on a l’habitude, mais reste remarquablement agréable à lire. C’est un autre talent, lui aussi rare, que de savoir restituer clairement le fruit d’analyses complexes. Le résultat, ici,  est ô combien décoiffant. Et rappelle accessoirement l’importance fondamentale de faire bon usage des données et statistiques.
….

Lire la suite de l’article sur le blog de Jean-Dominique Michel

Fin de l’article:

Après avoir présenté les conclusions comparables de l’étude récente de Ioannidis et Battacharya, l’auteur conclut que :

«  (…) d’un point de vue purement épidémiologique, le confinement semble donc inutile. Mais d’un point de vue politique, il répond aux angoisses habituelles des pouvoirs inquiets. Les techniques efficaces pour contrôler les maladies infectieuses sont toutes fondées sur la séparation des personnes saines et des malades. Le but est de diluer le virus et non pas de le concentrer, ce que font les méthodes agrégatives que sont le confinement et le couvre-feu. Le confinement concentre spatialement les personnes dans leur domicile et le couvre-feu concentre temporellement l’activité dans des tranches horaires rigides. Dans les deux cas, ces démarches concentrent le virus en plaçant les populations dans des situations de promiscuité. Elles répondent à un désir de contrôle politique des populations en soumettant les activités individuelles à l’autorité de l’État ; mais elles n’ont ni a priori, ni a posteriori un quelconque rapport avec la médecine. »

Une analyse, donc, remarquable, et dont les conclusions doivent impérativement être reprises et discutées. Certes, l’auteur me l’a indiqué dans notre échange, il serait possible en reproduisant ses calculs de trouver des chiffres différents en raison des variations induites par les techniques d’interpolation et d’extrapolation des données, mais sans que cela ne change quoi que ce soit dans l’analyse qualitative.

De tels questionnements, avec des propositions d’interprétation divergentes, font et doivent naturellement faire partie du débat scientifique. Or ce qu’il y a de tragique à l’heure actuelle, c’est  d’une part que nous faisons bel et bien face à ce qu’il faut bien appeler une prostitution scientifique massive conduisant des chercheurs à produire des résultats à la demande, comme le diagnostic en a été posé de longue date par les éditeurs de revue scientifique eux-mêmes et comme nous en avons vu à nouveau d’innombrables exemples ; d’autre part qu’il y a actuellement une véritable suppression du débat scientifique, avec des autorités (comme le Conseil scientifique en France ou la Task Force en Suisse) qui édictent des dogmes fumeux et ne reposant sur aucune science solide, qui influencent pourtant mécaniquement les politiques et sont repris comme « vérité » absolue par des médias qui débunkeront ensuite de manière forcenée tout ce qui s’éloigne de cette doxa… J’ai eu l’occasion de le relever à de nombreuses reprises : si un pareil fonctionnement s’était maintenu au cours des siècles écoulés, nous en serions restés à la certitude que la Terre est plate !

La Task Force ose ainsi asséner que le confinement a sauvé des milliers de vies ou que la moitié des contaminations sont le fait de porteurs asymptomatiques sans que cela repose sur quoi que ce soit de sérieux, de solide ou de probant. Ce sont des croyances, à fortes connotations superstitieuses, mais qui constituent une imposture évidente dès lors qu’elles sont assénées comme constituant une réalité « scientifique ».

Ce qui nous ramène, sinon à la prostitution, en tout cas à une dérive très grave et aux conséquences désastreuses sur l’ensemble de la population dont il est essentiel qu’elles trouvent tôt ou tard une traduction pénale.

Pour l’instant c’est avec une joie profonde et une vigoureuse gratitude envers son auteur que je rends disponible sont article en fichier pdf, à télécharger ici.

J.D. Michel

En complément une petite vidéo sur le chiffres, plus simple et percutante:

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/Les-chiffres-réels

Le C0VlD n’existe pas: la preuve

« Stanford, Cornell et cinq autres laboratoires universitaires californiens « ont trouvé le C19 imaginaire, fictif, pas un virus et poursuivent le CDC pour fraude concernant le Covid », Rob Oswald, docteur en virologie et immunologie de l’université de Cornell :

« Ce à quoi nous avons affaire est donc juste une autre souche de grippe comme chaque année, le C19 n’existe pas et est fictif. Je crois que la Chine et les mondialistes ont orchestré ce canular de COVID (la grippe déguisée en nouveau virus) pour instaurer une tyrannie mondiale et un État de surveillance totalitaire de la police mondiale, et ce complot incluait une fraude électorale massive ».

« J’ai un doctorat en virologie et immunologie. Je suis un scientifique de laboratoire clinique et j’ai testé 1500 échantillons de C19 « supposés » positifs collectés ici en Californie du Sud. Lorsque mon équipe de laboratoire et moi-même avons effectué les tests selon les postulats de Koch et l’observation au MEB (microscope électronique à balayage), nous n’avons trouvé AUCUN Covid dans ces 1500 échantillons. Ce que nous avons constaté, c’est que les 1500 échantillons étaient pour la plupart des cas de grippe A et certains des cas de grippe B, mais pas un seul cas de Covid, et nous n’avons pas utilisé le test PCR B.S. »

« Nous avons ensuite envoyé le reste des échantillons à Stanford, Cornell et à quelques laboratoires de l’Université de Californie et ils ont trouvé les mêmes résultats que nous, PAS DE COVID. Ils ont trouvé la grippe A et B. Nous avons alors tous parlé au CDC et demandé des échantillons viables de COVID, que le CDC a dit ne pas pouvoir fournir car il n’avait pas d’échantillons ».

« Nous sommes maintenant parvenus à la ferme conclusion, grâce à toutes nos recherches et à notre travail en laboratoire, que le C19 était imaginaire et fictif. La grippe s’appelait Covid et la plupart des 225 000 personnes décédées l’ont été à la suite de comorbidités telles que des maladies cardiaques, le cancer, le diabète, l’emphysème, etc. Je n’ai pas encore trouvé un seul échantillon viable de C19 avec lequel travailler ».

« Nous, les sept universités qui avons effectué les tests de laboratoire sur ces 1500 échantillons, poursuivons maintenant le CDC pour fraude au C19. Le CDC ne nous a toujours pas envoyé un seul échantillon viable, isolé et purifié de C19. S’ils ne peuvent ou ne veulent pas nous envoyer un échantillon viable, je dis qu’il n’y a pas de C19, il est fictif. Les quatre documents de recherche qui décrivent les extraits génomiques du virus C19 n’ont jamais réussi à isoler et à purifier les échantillons. Les quatre articles écrits sur le C19 ne décrivent que de petits morceaux d’ARN qui ne faisaient que 37 à 40 paires de bases, ce qui n’est PAS UN VIRUS. Un génome viral est généralement constitué de 30 000 à 40 000 paires de bases ».

« Avec un taux d’infection aussi élevé que celui du Covid, comment se fait-il que personne, dans aucun laboratoire du monde, n’ait jamais isolé et purifié ce virus dans son intégralité ? C’est parce qu’ils n’ont jamais vraiment trouvé le virus, tout ce qu’ils ont trouvé, ce sont des petits morceaux d’ARN qui n’ont jamais été identifiés comme le virus de toute façon ».

https://heatherthunderhawk.com/2020/11/01/important-actual-proof-the-virus-does-not-exist-gemma-odoherty/?fbclid=IwAR2fRjtGwsR3IKIc435Y336SN-FFvzOwZmBRhhA4CO6Phh3NiUSdSdQiMSI

En complément vidéo du Dr Kaufman (en anglais) expliquant les protocoles de Koch et Rivers pour prouver l’existence de virus pathogènes.

Autre complément: des scientifiques ne trouvent pas de virus dans 1500 échantillons considérés comme positifs. Cela est confirmé par d’autres collègues. De plus les organismes comme le CDC … avouent n’être pas en mesure de dispose d’échantillons isolés du virus !

Lien sur Bitchute: https://www.bitchute.com/video/9a2mmdnr3jB5/

En complément:

25/8/21: Le virus existe-t-il? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »

20.000 avocats belges rappellent le gouvernement à ses devoirs démocratiques


Article et carte blanche parus dans LE SOIR du 10/2/21 (pour abonnés)

Le texte de la carte blanche plus bas


«Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement fédéral ne prend pas ses mesures par des lois immédiatement, à l’issue d’un débat parlementaire. Il est de plein exercice et dispose d’une majorité à la Chambre», insiste Xavier Van Gils, président d’Avocats.be.
Même si le contexte de la pandémie justifie l’adoption de mesures particulières pour protéger la santé publique, il ne peut justifier une remise en cause de notre Etat de droit.
Nous sommes profondément préoccupés par cette érosion de l’Etat de droit et par la perte de légitimité des règles qu’elle entraîne. »
Les trois associations d’avocats du pays, l’ordre francophone et germanophone, l’ordre flamand et l’ordre des avocats à la Cour de cassation, qui fédèrent environ 18.500 membres, ont décidé de publier ce mercredi une carte blanche dans Le Soir et De Standaard pour s’inquiéter en des termes sévères de l’absence des institutions démocratiquement élues dans les décisions qui restreignent les libertés publiques pour lutter contre la pandémie.

Ils critiquent en particulier le recours aux arrêtés ministériels pour rendre les mesures obligatoires, sans passer par une loi qui suppose un débat parlementaire et un vote. « Dans un Etat de droit démocratique, ces restrictions temporaires doivent être décidées par le Parlement (…) Et donc pas uniquement dans les couloirs du ministère de l’Intérieur, aussi sages et savants soient leurs concepteurs, et aussi bonnes soient leurs intentions », écrivent-ils.
Il ne s’agit pas seulement de symboles, estiment les auteurs du texte. En raison de l’absence d’une base juridique claire pour autoriser les mesures, ils indiquent avoir constaté, sur le terrain, une application particulièrement disparate des sanctions. « Pour les mêmes faits, tel juge inflige de lourdes amendes voire des peines de prison ; tel autre prononce l’acquittement, au motif que les règles et les sanctions sont dépourvues de base légale. Or, dans un Etat de droit, personne ne peut se voir infliger une peine si la loi n’incrimine pas les faits et si elle n’y attache pas une peine. A défaut d’une telle loi, le juge ne peut qu’acquitter le prévenu. C’est aussi simple que cela. »
Les juristes s’inquiètent aussi de la qualité des arrêtés qui imposent ces mesures à tous. « Elles sont en constante et rapide évolution, elles manquent souvent de clarté, voire de cohérence, et apparaissent parfois comme disproportionnées. »
Ils appellent les gouvernements du pays à un sursaut démocratique. « En démocratie, l’ordre social repose sur des règles et des procédures définies notamment par la Constitution et les traités européens ou internationaux. Cet ordre peut être ajusté, mais uniquement selon les règles prévues. Sans quoi, c’est la porte ouverte à l’arbitraire, à l’abus de pouvoir et finalement à la tyrannie. Il est urgent de définir un cadre juridique clair, solide et permettant l’adoption de règles claires, cohérentes, uniformément applicables et proportionnées. Des mesures limitant la liberté sur une aussi longue
période ne peuvent être prises que si elles sont le résultat d’un débat parlementaire démocratique approfondi », concluent les avocats.


L’appel publié ce mercredi fait suite à d’autres interventions. Le 29 janvier, dans nos colonnes, un collectif de 15 professeurs d’université de renom entendait déjà alerter l’opinion publique, en publiant un texte également sans équivoque. « La lutte contre le covid étouffe nos droits et libertés. » Un message également diffusé fin août par soixante autres personnalités académiques et de la société civile « Il est nécessaire et urgent de revoir totalement la gestion de la crise covid-19. »


Contacté par nos soins, Xavier Van Gils, le président d’Avocats.be, l’ordre des barreaux francophones et germanophone de Belgique, précise la démarche. « Notre but n’est pas d’être critique, mais d’avertir et d’appeler au respect des règles démocratiques. C’est le rôle des avocats vis-à-vis de la société civile et des élus. Nous ne contestons pas les mesures sur le fond, nous n’en avons pas la compétence, mais ces mesures sont attentatoires aux libertés fondamentales protégées par les conventions internationales et la Constitution et ne peuvent être limitées que par un tribunal (dans le cas par exemple d’une incarcération) ou par le législateur, via le parlement et pas via des arrêtés ministériels. »
Pour l’avocat, les gouvernements du pays n’ont plus l’excuse de la surprise, qui a permis de prendre des mesures par arrêtés de pouvoirs spéciaux puis par arrêtés ministériels.
« Nous ne sommes plus face à une pandémie que nous ne connaissons pas. Nous avons le temps de mener un débat parlementaire. Peut-être aboutirait-on aux mêmes décisions, mais elles auraient alors la légitimité requise puisqu’elles auraient été prises par les élus de la nation. »
Le gouvernement fédéral a certes indiqué son intention de prendre une loi Pandémie, pour couler dans la législation les réactions aux futures infections de masse. Mais Xavier Van Gils ne croit pas trop à sa venue rapide. « Je pense que son principe ne fait pas l’unanimité, y compris dans le chef du Premier ministre, qui s’est exprimé en ce sens. Et si elle advient, ce sera pour réagir aux futures pandémies. » L’avocat appelle à un débat parlementaire immédiat. « Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement fédéral ne prend pas ses mesures par des lois immédiatement, à l’issue d’un débat parlementaire. Il est de plein exercice et dispose d’une majorité à la Chambre. Non, je ne comprends pas. »

LA CARTE BLANCHE
L’Etat de droit bientôt sous respirateur?
Mis en ligne le 10/02/2021 à 07:00
Par Xavier Van Gils, président de l’Ordre des barreaux francophones et germanophone; Paul Lefebvre, bâtonnier de l’Ordre des avocats à la Cour de cassation; Peter Callens, président de l’Ordre des Barreaux flamands


Les représentants des barreaux belges rappellent que les mesures restrictives en raison de la pandémie de covid n’ont de légitimité que si elles sont prises dans les travées du parlement et non dans les couloirs du ministère de l’Intérieur.
L’arsenal des mesures sanitaires qui limitent nos libertés depuis près d’un an, a créé un profond malaise qui est loin de s’estomper…
En témoignent la fébrilité des décideurs politiques, la perplexité de ceux qui sont chargés d’appliquer ces mesures (juges et policiers) prises par le biais de simples arrêtés ministériels, et l’adhésion de plus en faible des citoyens à celles-ci.
Ce constat nous oblige à réfléchir sur la place de ces mesures dans un État de droit et accessoirement sur le rôle que le barreau doit y jouer.
En tant que représentants des barreaux belges, nous sommes conscients que les
divergences de la jurisprudence relative aux mesures sanitaires ne contribuent pas à apaiser les esprits.
Pour les mêmes faits, tel juge inflige de lourdes amendes voire même des peines de prison ; tel autre prononce l’acquittement, au motif que les règles et les sanctions sont dépourvues de base légale. Or, dans un Etat de droit, personne ne peut se voir infliger une peine si la loi n’incrimine pas les faits et si elle n’y attache pas une peine. A défaut d’une telle loi, le juge ne peut qu’acquitter le prévenu. C’est aussi simple que cela.
Dans ce cadre, le rôle de l’avocat est de défendre son client en utilisant les meilleurs arguments juridiques. Il est donc de son devoir, lorsqu’il estime qu’un arrêté ministériel est dépourvu de base juridique et ne peut justifier une sanction, de soumettre cet argument au juge. Si le juge suit le raisonnement de l’avocat et acquitte le prévenu, la responsabilité n’en incombe ni au juge ni à l’avocat, mais au gouvernement qui a adopté l’arrêté contesté.
Notre propos n’est pas ici de donner raison à tel juge qui acquitte ou à tel autre qui condamne, mais de dénoncer la confusion juridique qui conduit les juges à prononcer des jugements divergents faute de cadre juridique incontestable.
Un ordre ajustable selon les règles prévues.
Certains semblent croire qu’un ordre social peut être adapté en fonction de ce que les scientifiques ou les décideurs politiques estiment nécessaire, souhaitable, ou raisonnable.
Ils se trompent. En démocratie, l’ordre social repose sur des règles et des procédures définies notamment par la Constitution et les traités européens ou internationaux. Cet ordre peut être ajusté, mais uniquement selon les règles prévues. Sans quoi, c’est la porte ouverte à l’arbitraire, à l’abus de pouvoir et finalement à la tyrannie.
La pandémie justifie l’adoption de normes qui restreignent temporairement les droits et libertés fondamentaux des citoyens pour protéger la santé publique. Mais ces restrictions ne peuvent être imposées que si elles ont été prises selon les règles prévues. Dans un État de droit démocratique, ces restrictions temporaires doivent être décidées par le Parlement ou à tout le moins sur la base de critères clairs et uniformes fixés par celui-ci, dans le respect des règles de prise de décision et de consultation des diverses instances compétentes comme le Conseil d’État. Et donc pas uniquement dans les couloirs du ministère de l’Intérieur, aussi sages et savants soient leurs concepteurs, et aussi bonnes soient leurs intentions.
Un sentiment d’arbitraire
Les règles adoptées par le gouvernement posent également problème en raison de leur contenu.
Elles sont en constante et rapide évolution, elles manquent souvent de clarté, voire de cohérence, et apparaissent parfois comme disproportionnées. Elles évoluent au gré de la progression des connaissances scientifiques et des événements, elles semblent souvent improvisées et ne parviennent jamais à appréhender l’ensemble des situations particulières, et conduisent à des sanctions plus durement ressenties par les jeunes et les citoyens moins favorisés.
Ces difficultés tiennent en partie au contexte de la pandémie. Mais, combinées au doute quant à un éventuel manque de légitimité lié à leur adoption, elles créent un sentiment d’injustice et d’arbitraire. Ce qui constitue un cocktail explosif et un terreau fertile pour le populisme et le complotisme.
Nous sommes profondément préoccupés par cette érosion de l’État de droit et par la perte de légitimité des règles qu’elle entraîne.
Un débat indispensable
Il est urgent de définir un cadre juridique clair, solide et permettant l’adoption de règles claires, cohérentes, uniformément applicables et proportionnées.
Même si le contexte de la pandémie justifie l’adoption de mesures particulières pour protéger la santé publique, il ne peut justifier une remise en cause de notre Etat de droit.
Dans les cercles gouvernementaux, on évoque désormais la préparation d’une loi d’urgence ou d’une loi « pandémie » – ou les deux ? Près d’un an après l’apparition de la crise, le gouvernement semble donc prendre conscience de la fragilité juridique et démocratique des mesures qu’il a prises et des conséquences de celle-ci.
Des mesures limitant la liberté sur une aussi longue période ne peuvent être prises que si elles sont le résultat d’un débat parlementaire démocratique approfondi, qui dépasse la discipline de parti. Il est grand temps que nous ayons ce débat. L’État de droit souffre d’un manque aigu d’oxygène.


*L’Ordre des barreaux francophones et germanophones rassemble les barreaux
francophones et germanophone et l’Ordre des barreaux flamands les barreaux
néerlandophones. L’Ordre des avocats à la Cour de cassation regroupe l’ensemble des avocats à la Cour de cassation. Ces institutions représentent l’ensemble des quelque 18.000 avocats du pays.

Ce vakx1 est-il nécessaire, sécure et efficient? Fiche d’information par et pour médecins & et les patients intéressés

Traduction d’une fiche d’information complète émise par Preventie Vakxinatieschade

Avec le soutien de: Dr. Anne De Clerck, Dr. Bart Lambert, Dr. Dirk Bultinck, Dr. Eric Beeth, Dr. Gaëtane Beeckaert, Dr. Geert Verhelst, Dr. Hilde De Smet, Dr. Jean-Luc Vanderlinden, Dr. Johan Denis, Dr. Leo Van den Bossche, Dr. Pieter Lanoye, Dr. Steven Devos.
Remarquable :
De nombreux médecins (généralistes) flamands ne veulent pas d’un vakx1 Covid-19 pour eux-mêmes.
Différentes enquêtes parlent de 9 à 30 %1 2 3.
Quelles pourraient être leurs raisons ?


Voici quelques faits, le meilleur remède contre les fausses nouvelles. N’hésitez pas de vérifier vous-même les liens et les autres sources à la fin de cette fiche.

1. Le Covid-19 n’est en moyenne pas très mortel. La plupart des personnes infectées ne présentent aucun symptôme4. Même les personnes au-dessus de 85 ans survivent à l’infection dans plus de 90 % des cas5. Les personnes de moins de 70 ans ont un taux de survie de 99,95 %. En effet, le taux de mortalité par infection est de 0,23% dans l’ensemble et de 0,05% pour les personnes de moins de 70 ans.6

2. Pour réduire le risque de corona (sévère), un système immunitaire robuste est de la plus haute importance. Tout le monde, et en particulier les patients vulnérables (les personnes âgées et les personnes souffrant de troubles sous-jacents), peut soutenir son système immunitaire en adoptant un mode de vie sain : repos, exercice, contacts sociaux, alimentation saine, peu de stress ou d’anxiété7 8 … Des études récentes confirment que la supplémentation en vitamine D peut faire une énorme différence dans le risque d’être atteint de corona et les complications corona et de mortalité : « Nous observons une corrélation très significative entre la prévalence de la carence en vitamine D et l’incidence de Covid-19 »9 10 11 12 13. Les vitamines A et C, le zinc14 15 16 et le sélénium sont également essentiels pour une bonne immunité.17 18

3. En cas de diagnostic de Covid-19, un médecin généraliste peut – contrairement à la croyance populaire – faire beaucoup pour éviter une hospitalisation. L’équipe de Docs4OpenDebate, soutenue par quelques 700 médecins, en donne un aperçu19 , tout comme notre site web20. L’hydroxychloroquine (HCQ) est simplement disponible en pharmacie et peut être utilisée (malgré une couverture médiatique négative) avec grand succès dans les premiers stades de la maladie, comme le prouvent et l’expliquent en détail de nombreuses études (posologie et combinaison avec le zinc et l’azithromycine)21 22 23 24. Il en va de même pour l’Ivermectine25. En mars, la virologiste Anne-Mieke Vandamme (KU Leuven) a même recommandé de fortes doses de vitamine C pour vaincre la maladie26. À l’hôpital, l’administration d’une très forte dose de vitamine D réduit le risque d’admission en soins intensifs de 96 %.27

4. Peu connu mais très important : une grande partie de la population possède déjà une immunité naturelle contre le Covid-19. Ceci est dû au contact avec le Sars-CoV-2 (le virus qui déclenche le Covid-19), ou avec un autre type de coronavirus des dernières années (beaucoup de rhumes sont causés par des coronavirus28, ainsi que par la maladie du SARS de 2003) : c’est ce qu’on appelle « l’immunité croisée ». Cette protection ne repose pas sur des anticorps mais sur l’immunité cellulaire (via les cellules à mémoire T), qui reconnaît les anciens agents infectieux même après de nombreuses années, contrairement aux anticorps qui ne durent que quelques années au plus (ou parfois quelques mois)29 30 31. 30 31. On estime que 70 à 85 % de la population est déjà protégée contre le SRAS-CoV-2 de cette manière32, soit bien plus que les 14 % qui auraient des anticorps33.Ceci fait de l’immunité de groupe un fait. Pour ce groupe la vakxination n’est donc plus nécessaire34.

5. Ceux qui reçoivent le vakx1 peuvent encore transmettre le virus. C’est ce que disent les fabricants35, les chercheurs36, les experts gouvernementaux37 et même notre Premier ministre38. C’est parce que le vakx1 ne protège pas les muqueuses des voies respiratoires, de sorte que la personne vakxinée peut continuer à propager le virus39La vakxination par « solidarité » (pour protéger les autres) n’a donc aucun sens.

6. Efficacité des vakx1 : le marketing de Pfizer qualifie son vakx1 « d’efficace à 95 % », mais ce chiffre est très trompeur : il ne fait référence qu’au nombre total de cas confirmés de Covid-19 et calcule la réduction du risque relatif. Le vakx1 aide-t-il vraiment à prévenir une atteinte du Covid-19 grave? Faites le calcul avec nous :

% = risque absolu ; ( ) = nombre de personnesvakx1Placébovakx1 avantage/désavantage
Risque de Covid-19 non grave0,04% (8)0,88% (162)0,84% moins de risque
Risque de Covid-19 grave0,006% (1)0,016% (3)0,01% moins de risque
Risque de réactions graves au vakx11,1% (240)0,6% (139)0,50% risque plus élevé

Selon ces données issues de l’étude du fabricant Pfizer lui-même40 41, leur vakx1 réduit de 0,01% le risque de Covid-19 grave. Il faudrait alors vakxiner environ 10 000 personnes pour prévenir un seul cas. Mais en réalité, ces chiffres sont trop faibles pour permettre de tirer des conclusions sensées (1 contre 3 cas). Ce qui est significatif, c’est que, sur la base des mêmes chiffres de Pfizer, on peut s’attendre à environ 50 effets secondaires graves du vakx1 sur 10 000 personnes vakxinées, soit environ 55 000 sur l’ensemble de la population belge. 55.000 sur l’ensemble de la population belge. La réalité est probablement encore moins rose, car l’étude est sous le feu des critiques sur de nombreux points :

  • Les sujets n’étaient pas représentatifs pour la population : les personnes en mauvaise santé (maladie chronique instable, déficience immunitaire) étaient exclues, ainsi que les personnes qui avaient déjà des anticorps ; le groupe d’étude comprenait également peu de personnes au-dessus des 75 ans.
  • Le nombre de cas de Covid-19 recensés ne tenait pas compte des 3 410 cas de Covid-19 « suspects mais non confirmés » : 1 594 dans le groupe de vakxination, 1 816 dans le groupe placébo. Si vous les incluez, l’efficacité s’avère encore beaucoup plus faible : une réduction du risque relatif d’à peine 29%, en principe trop faible pour une approbation42.
  • Alors que chez Moderna, le comité qui a dû établir les cas de Covid-19 était composé d’experts indépendants43 , il s’agissait, dans ce cas, d’employés de Pfizer elle-même44. Et ainsi de suite45 46.

7. Ce qui nous amène aux dégâts causés par la vakxination contre le Covid-19.

  • « Alerte en Norvège : 23 personnes meurent après avoir reçu le vakx1 Pfizer ». Les autorités sanitaires norvégiennes l’ont signalé le 15-1-2021. Ils ont averti que chez les personnes âgées et vulnérables, même des effets secondaires relativement légers peuvent être mortels.47 48 49 50.
  • Un document du CDC daté du 19-12-202051 mentionnait déjà 3 150 événements indésirables en cinq jours qui « empêchent le travail ou le fonctionnement normal, et nécessitent des soins médicaux » : sur 112 807 personnes, cela représente 2,79%. Le système de notification VAERS aux États-Unis a enregistré 40 433 « événements indésirables » à la suite de la vakxination Covid-1952 entre le 28 décembre et le 1er janvier, dont des cas graves53. Plusieurs décès ont déjà été signalés dans le monde entier.54 55 56 57 58 59.
  • Les réactions allergiques, y compris l’anaphylaxie (choc mettant la vie en danger), sont importantes : voir le document du CDC mentionné ci-dessus (six cas en cinq jours, soit beaucoup plus qu’avec les vakx1 classiques) et la brochure de l’EMA60.  Suspect est entre autres l’ingrédient PEG (polyéthylène glycol), utilisé ici pour la première fois dans des vakx1 mais déjà présent dans de nombreux médicaments et produits ménagers, ce qui a rendu certaines personnes hypersensibles61 62 63 64. Le CDC et l’EMA considèrent l’hypersensibilité au PEG ou à d’autres ingrédients comme une contre-indication à la vakxination contre le Covid-19.
  • Les effets secondaires à long terme sont de toute façon encore inconnus. En particulier, de nombreux problèmes auto-immuns et neurologiques surviennent souvent plus tard. C’est pourquoi l’approbation européenne de Pfizer et de Moderna est provisoire et les fabricants ont eu deux ans pour rendre compte plus en détail de la sécurité (la phase 3 de leurs essais cliniques est toujours en cours)65. Dans l’intervalle, ces fabricants ont déjà obtenu une exemption légale de responsabilité pour les « effets secondaires inattendus ».66
  • Qu’en est-il de la sécurité quant à la grossesse et l’allaitement ? Dans une pétition adressée à l’EMA, le Dr Wodarg, soutenu par l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Yeadon, a exprimé sa crainte que les anticorps aux protéines de pointe du Sars-CoV-2 puissent également attaquer la syncitine-1, nécessaire à la grossesse, et ainsi rendre les femmes vakxinées infertiles67. Le dépliant provisoire britannique (daté du 10-12-2020) mettait en garde : « Ne pas vakxiner si vous êtes enceinte ou si vous allaitez. Évitez la grossesse pendant au moins deux mois après la vakxination ».68
  • Un risque établi de longue date avec les vakx1 contre les coronavirus69 est la « facilitation de l’infection par des anticorps » (ADE) : une personne vakxinée deviendra alors plus gravement malade en cas d’infection ultérieure par le virus que sans vakxination. Des vakx1 tels que celui contre le SRAS (SRAS-CoV-1) n’ont jamais été approuvés pour cette raison : chez les souris vaccinées, le contact ultérieur avec le coronavirus naturel a provoqué une tempête de cytokines et donc une « maladie pulmonaire immuno-pathologique »70. Des études récentes confirment explicitement : « Le risque d’ADE dans les vakx1 Covid-19- n’est pas théorique et convaincant. (…) Recevoir le vakx1 Covid-19 pourrait convertir un sujet atteint d’une maladie bénigne, en un sujet grièvement malade ».71 Quelles pourraient en être les conséquences en cas de vakxination de masse ?

8. Les vakx1 Covid-19 de Pfizer et Moderna utilisent la technologie de l’ARNm. Cela implique l’insertion du code génétique d’un morceau du virus. Qu’est-ce que cela signifie pour le génome humain (ADN) ? Des recherches récentes (décembre 2020) suggèrent que cet ARNm peut être incorporé dans notre propre ADN via la transcriptase inverse et l’intégrase72 73. Les porteurs du VIH, en particulier, y seraient sensibles. Il s’agit d’une prépublication (pas d’examen par les pairs) mais cette étude donne toutes les raisons d’appliquer le principe de précaution. Le généticien moléculaire Christian Vélot (Université de Paris) est d’accord :« Pourquoi choisir une technologie inconnue et imprévisible? »74 Il développe les risques de cette technique d’ARNm, ainsi que ceux de la variante d’ADN recombinante, utilisant un adénovirus comme vecteur viral, utilisée par Oxford/AstraZeneca. Lorsqu’elle est utilisée à des fins thérapeutiques, cette thérapie génique a déjà provoqué une leucémie chez les enfants traités (comme chez les animaux de laboratoire)75. Une autre question qui se pose est, si ces techniques génétiques ne constituent pas la recette idéale pour les maladies auto-immunes : une réponse immunitaire est déclenchée contre les protéines produites par la cellule elle-même, ce qui fait que le système immunitaire pourrait alors attaquer les cellules saines76. D’autres fabricants utilisent des techniques plus conventionnelles, comme GSK, dont le vakx1 est attendu plus tard dans l’année.
9. De plus en plus d’experts indépendants expriment leur grande inquiétude. Une sélection :

  • Professor Sucharit Bhakdi, microbiologue allemand: « [Ces vakx1] sont des expériments sur des humains. »78 79
  • Professor Dr. Luc Montagnier, Prix de Nobel médecine : « Nous savons trop peu sur ces vakx1 , nous sommes des cobayes. »80
  • L’infectiologue français Eric Caumes: « Je n’ai jamais vu autant d’effets secondaires »81.
  • Professor Dr. Theo Schetters, immunologue et développeur de vakx1 : « La vakxination contre la corona n’est pas nécessaire et une vakxination des masses et extrêmement irresponsable vu les effets secondaires et les conséquences inconnus. »82
  • 10. Certains groupes de patients nécessitent une prudence particulière :(1) Ceux qui ont fait l’expérience de Covid-19 ont déjà développé une immunité à long terme, à la fois par le biais d’anticorps comme par les cellules T et B-mémoire. Ces dernières protègent pendant de nombreuses années (voir point 4), même après que les anticorps aient disparu depuis longtemps : ceci est confirmé par une étude récente (Science, 6-1-202183). Ça n’aide pas, ça ne fait pas mal ? En effet, outre les éventuels effets secondaires du vakx1, les personnes qui ont déjà des anticorps courent un risque supplémentaire lorsqu’elles sont vakxinées, appelé « hyperimmunité », qui entraîne des complications supplémentaires84. Le dépistage préalable des anticorps (et même des cellules T, ce qui est moins courant) peut éviter des vakxination inutiles. (2) Si une personne est déjà infectée, mais ne présente pas (encore) de symptômes – c’est-à-dire qu’elle est en « phase d’incubation » – la vakxination constitue un risque supplémentaire85. En cas de suspicion d’infection, il est préférable d’éviter la vakxination. C’est pourquoi les centres de soins résidentiels attendent souvent attendre deux semaines après le dernier foyer de corona pour vakxiner.86 87(3) Les enfants, et ce pour trois raisons :1 – Les enfants ne souffrent presque jamais sévèrement de Covid-19 et ne sont pas de grands propagateurs88.2 – Le vakx1, comme mentionné ci-dessus, n’empêche pas la propagation du virus.3 – Les effets secondaires peuvent frapper les enfants de manière très forte (mêmes doses pour un poids du corps inférieur).
COMMENT ÉVALUER LA SÉCURITÉ DES VAKX1S ?
• Presque tous les vakx1 actuels (bien sûr pas les vakx1 à ARNm Covid-19) contiennent de l’aluminium comme adjuvant : il n’y a absolument aucun consensus sur son innocuité. De nombreuses recherches suggèrent même que des plaintes graves, de type SFC, peuvent être attribuées à cet aluminium vaccinal89 90. En outre, des analyses indépendantes montrent que les vakx1 contiennent de nombreuses autres impuretés : toutes sortes de substances toxiques en quantités parfois bien supérieures aux valeurs limites, y compris de l’ADN animal ou humain complet91.
• Aussi incroyable que cela puisse paraître, les essais de vakx1 impliquent rarement une comparaison avec un vrai placébo, comme cela est en principe exigé pour tous les agents pharmaceutiques92 93. Par exemple, un vakx1 différent (!) est alors utilisé dans le groupe de contrôle94. Dans certains essais du vakx1 Covid-19, un vaccin anti-méningococcique a été utilisé comme « placébo »95.
• Les fabricants passent plus d’une fois sous silence les rapports d’effets secondaires graves. GSK, par exemple, l’a fait en 2014 avec les décès inattendus qui ont suivi l’administration d’Infanrix Hexa96 97.
• Une question importante est l’impact des vakxinations sur l’état de santé général des individus. De plus en plus de recherches sont menées dans ce domaine : un plus grand nombre de vakx1 n’entraîne pas nécessairement une meilleure santé générale, parfois au contraire98 99 100. Plus le nombre de vakx1 administrés simultanément est élevé, plus le risque d’hospitalisation ou de décès est important101. La commission d’enquête parlementaire italienne sur les maladies et les décès des soldats en mission sont également arrivés à cette conclusion en 2018 : Il vaut mieux éviter les vakx1 combinés et prendre au sérieux la surveillance à long terme des effets secondaires102.
• De nombreuses recherches et informations sont faussées par des influences financières. L’OMS est en grande partie financée, directement ou indirectement, par le secteur pharmaceutique103 104 105. Des experts fréquemment cités, tels que le vakxinologue Pierre Van Damme, ont des liens financiers avec l’industrie pharmaceutique (voir le document de l’EMA106).
• Qu’est-ce qu’une information fiable et qu’est-ce qu’une fausse nouvelle ? Pour le déterminer, il faut au moins avoir accès à toutes les sources d’information. L’OMS semble penser différemment : elle demande aux médias (sociaux) de filtrer toute voix critique sur un aspect de la vakxination en tant que « fausse nouvelle »107. Les chercheurs qui souhaitent publier des résultats défavorables sur certains vakx1 se heurtent très probablement à une opposition et à des formes de censure (voir quelques exemples dans le numéro de juin 2020 de De Prikkrant.108

LIRE PLUS SUR CORONA & vakxination ? Vous trouverez les références et hyperliens, tout comme le contenu des notes de fin de page ci-dessous ou dans la version électronique de cette fiche d’information : www.vaccinatieschade.be/content/corona-fact-sheet.
v.u. Preventie Vaccinatieschade vzw (Dr. Kris Gaublomme), Oude Baan 373, 3630 Maasmechelen

Le gouvernement allemand a commandé à des scientifiques des projections alarmistes pour justifier des mesures répressives !

 PAR POLÉMIA | 7 FÉVRIER 2021 

Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia, Die Welt, le grand journal allemand, vient de jeter un pavé dans la mare au Covid-19. Il apporte la preuve que le ministère de l’Intérieur allemand avait commandé à des scientifiques des projections de mortalité alarmistes (jusqu’ 1 million de morts, à comparer aux 400 000 de Macron à l’automne dernier…) pour justifier « des mesures préventives et répressives » (sic).
Projections « secrètes » que le ministère a opportunément fait fuiter vers la presse pour apeurer la population.
La révélation du scandale pourrait bouleverser la politique sanitaire allemande et conduire à une levée de nombreuses restrictions au plus tard avant Pâques et non pas au plus tôt après Pâques. Pour beaucoup d’observateurs, cette révélation serait due à la révolte croissante de l’industrie allemande du Mittelstand (entreprises territorialisées et enracinées) contre les menées du capitalisme de Davos et des GAFA, bénéficiaires des mesures de restrictions. Affaire à suivre !
Les lecteurs trouveront ci-dessous la traduction de l’article paru dans le Die Welt du dimanche 7 février.

Covid-19. Le gouvernement allemand a commandé à des scientifiques des projections alarmistes pour justifier des mesures répressives !

Traduction de l’article de Die Welt : https://www.welt.de/politik/deutschland/article225864597/Interner-E-Mail-Verkehr-Innenministerium-spannte-Wissenschaftler-ein.html

Le ministère de l’Intérieur a utilisé des scientifiques pour justifier les mesures liées au Covid-19

Selon un abondant échange de courriels dont dispose l’édition du dimanche de Die Welt, l’administration du ministre de l’Intérieur Seehofer a impliqué des chercheurs dans la première phase brûlante de la pandémie. Lesquels ont livré en réponse les résultats destinés à alimenter un dramatique « document secret » du ministère.

Lors de la première vague de la pandémie, en mars 2020, le ministère fédéral de l’Intérieur a mis à contribution plusieurs instituts de recherche et d’écoles supérieures dans un but politique. Il a chargé des chercheurs du Robert-Koch-Institut et d’autres établissements de mettre au point un modèle mathématique, sur la base duquel l’administration du ministre de l’Intérieur Horst Seehofer (CSU) voulait justifier de sévères mesures Corona.

C’est ce qui ressort d’une intense correspondance électronique de plus de 200 pages entre la direction du ministère de l’Intérieur et les scientifiques que l’édition du dimanche de Die Welt détient. Un groupe de juristes a réussi à obtenir cette correspondance auprès du Robert-Koch-Institut suite à une bataille juridique de plusieurs mois.

Dans un échange de courriel, le secrétaire d’État Markus Kerber demande, par exemple, au scientifique auquel il s’adresse d’élaborer un modèle sur la base duquel des « mesures de nature préventive et répressive » pourraient être planifiées [souligné par le traducteur].

Selon cette correspondance, les scientifiques ont élaboré en seulement quatre jours, en étroite concertation avec le ministère, le contenu d’un document que l’on a déclaré « secret » et que l’on a diffusé dans les jours qui ont suivi par le canal de différents médias.

Dans ce document, on présentait les résultats d’un « Scénario du pire », selon lequel, si la vie sociale se poursuivait en Allemagne comme avant la pandémie, plus d’un million de personnes mourraient.

Die Welt
07/01/2021

Traduction de François Stecher, correspondant de Polémia en Allemagne

Enfin un documentaire belge sur la gestion médiatique et politique de la crise.

« Comment les médias racontent le Covid ».
Un film de Bernard Crutzen sur le traitement médiatique de la crise par les médias belges francophones. Ce qu’ils disent, comment ils le disent, et ce qu’ils taisent. Avec une attention particulière à la notion de « complot ».

Partagez largement, pour faire bouger les lignes !
Commentaire de Yves Rasir (Bio Santé)

Vous n’avez pas oublié ?  Il y a quelques mois, je vous ai invités à participer au financement du documentaire  « CECI N’EST PAS UN COMPLOT », du  réalisateur belge Bernard Crutzen. Vous avez réagi de manière fantastique car beaucoup d’entre vous figurent parmi les 1488 contributeurs qui ont permis que ce projet se concrétise.  Non seulement le budget minimal a été rapidement bouclé mais les moyens ont été suffisants pour rémunérer (modestement) l’équipe de tournage et de montage !

Le film vient d’être achevé et je peux vous annoncer une très bonne nouvelle :  les télés mainstream n’ont manifesté aucun intérêt pour le diffuser et la seule chaîne qui était prête à le faire exigeait que certains passages soient supprimés, ce que le cinéaste a courageusement refusé. Il a dès lors décidé de « balancer » son œuvre sur le net en accès LIBRE et GRATUIT. C’est un  joli pied de nez au système médiatique et un beau cadeau pour le public qui verra ainsi le film  tel que son auteur l’a voulu et conçu.

Comme je vous l’avais précisé en son temps, ce documentaire n’est pas une version belge de « HOLD-UP » ou de « PLANDEMICS ».  Il n’examine pas les causes  de l’épidémie et n’aborde pas la controverse médicale sur ses origines et sa réalité. Le film nous raconte seulement la manière dont les médias de Belgique ont raconté le covid. Mais c’est déjà énorme car ce travail de 9 mois dévoile justement que la narration  de la crise sanitaire s’est distanciée  de la vérité par un alarmisme débridé, une surenchère sensationnaliste et une occultation systématique des discours rassurants. Dans son film, Bernard Crutzen évoque aussi la manipulation des chiffres, les conflits d’intérêt des experts médiatisés, leurs incohérences et contradictions, tout en donnant des exemples précis de mensonge et d’exagération.  Pour l’avoir visionné il y a 15 jours lors d’une avant-première réservée aux plus gros contributeurs, je peux vous assurer que ce docu va déranger et secouer le cocotier !

Mais laissons la parole au réalisateur :

« J’ai consacré de longues journées et de nombreuses insomnies à chercher le pourquoi d’une communication anxiogène opérée par les autorités et reprises par les médias. Et si c’était l’inverse ? Dès le départ, j’ai confronté mes intuitions à une enquête compliquée, menant parfois à des impasses, parfois à des révélations. Je me suis nourri des textes et vidéos de nombreux journalistes indépendants, bloggeurs ou youtubeurs, parfois taxés de complotistes, qui ont effectué un travail remarquable et abondamment sourcé. À travers ce film, je voudrais donner la parole à celles et ceux qu’on n’entend pas, ou plus. Ouvrir le débat sur les plateaux et dans les rédactions. Interpeller les juristes sur les entorses à l’état de droit. Réveiller nos élus pour remettre de la démocratie là où je ne constate plus qu’autoritarisme, menaces, chantage. J’aimerais aussi partager cette inquiétude, trop lourde à porter seul : le coronavirus ne serait qu’un écran de fumée qui masque une crise beaucoup plus systémique, à laquelle les gouvernements nous préparent sous couvert de crise sanitaire. »

C’est en effet sur un soupçon de machination que se termine « Ceci n’est pas un complot ».  Et c’est dans doute pourquoi le film sera taxé de « complotiste » et vivement critiqué dès sa sortie officielle ce lundi 8 février.  Les médias subsidiés vont probablement se déchaîner contre le documentaire et tenter d’en discréditer l’auteur. Il n’est donc pas certain que son travail demeure accessible longtemps sur internet, vu que les géants du web censurent tout ce qui déplaît aux gouvernements et à la presse soumise.  Je vous conseille donc de le visionner sans tarder en cliquant sur l’affiche-ci-dessous.  Vous faites partie des privilégiés qui ont 2 jours pour regarder le film à leur aise avant que la meute des menteurs et des manipulateurs puisse faire intervenir les censeurs.

  Bonne vision et encore merci à tous ceux qui ont financièrement contribué au projet, ils ne seront pas oubliés !

Yves RASIR

En complément, l’interview du réalisateur Bernard Crutzen par BAM:

Maintenant on comprend bien le plan mondialiste !

Ici, Jacob Rothschild a expliqué comment et pourquoi

Et nous l’avons ignoré. Les mass media créent une dissonance cognitive qui nous empêche de reconnaître la vérité lorsqu’elle nous est donnée.


Jacob Rothschild:«C’est principalement l’indépendance économique de la plupart des gens du commun qui les rend si indisciplinés dans ces nations, et susceptibles de soutenir la souveraineté de leurs propres nations et le contrôle local, qui est le principal obstacle à nos plans, et précisément pourquoi les restrictions économiques sévères ont été nécessaires sous le couvert de la pandémie. Si la population ne se conforme pas, une deuxième vague se produira sans aucun doute, et avec cette pénurie alimentaire, et une domination complète du gouvernement afin d’introduire tous les changements proposés . « 

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Cette lettre de « Jacob R » est apparue sur The Truthseeker.co.uk de Rixon Stewart le  1er septembre 2020 en réponse à mon article, « Y a-t-il une limite à la dette américaine? » 

Cet e-mail a été envoyé à partir d’une adresse IP à Surrey, en Colombie-Britannique, mais à l’OMI, il a été réacheminé . C’est le vrai Jacob Rothschild et il a besoin d’être lu encore et encore. Essentiellement, ils se préparent à un effondrement économique qu’ils utiliseront pour justifier une monnaie unique et un gouvernement mondial à la chinoise. Les États-Unis ont eu un avantage injuste en ayant la monnaie de réserve. Il doit maintenant y avoir une monnaie mondiale numérique et un gouvernement mondial pour l’administrer.


http://www.thetruthseeker.co.uk/?p=212837#comment-957970 
(à partir du 2 septembre 2020) par Jacob Rothschild(henrymakow.com)


Cher Henry, vous allez vraiment trop loin quand vous dites des choses comme: « La cabale criminelle en charge a produit cet » argent « et bourré ses poches et celles de ses amis. Y a-t-il une limite à la quantité qu’ils produiront? Si la « dette » a doublé pour atteindre 70 trillions de dollars, cela ferait-il une différence? « 
Vous ne pouvez pas dire que notre cartel ou notre cabale est « criminel ». Ne voyez-vous pas que nous possédons en fait tous les législateurs, et d’ailleurs tout ce que nous faisons est bien au-dessus de toutes les lois qui s’appliquent aux gens ordinaires? Quant à nous bourrer les poches, les familles qui composent notre réseau de banques centrales à travers le monde sont en fait les principaux courtiers du pouvoir dans le monde. C’est notre droit. Vos gouvernements exigent chaque année plus qu’ils ne peuvent se le permettre avec un budget déficitaire après l’autre, en disant toujours que ceci ou cela est nécessaire. En leur faisant plaisir, nous acquérons simplement plus de pouvoir et de contrôle. Cela s’appelle la «propriété».
Que devons-nous faire, leur donner notre propre or ou nos propres actifs dans leur processus d’emprunt et ne plus jamais le revoir? 
C’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons de la monnaie fiduciaire. Il peut être fait de rien et nous pouvons gagner autant que vos gouvernements le souhaitent, tant qu’ils ne le dépensent pas pour des choses contraires à nos intérêts ou pour des efforts  trop indépendants de notre volonté. 
De plus, nous ne leur «donnons» pas simplement ou il y aurait une hyperinflation tout le temps et aucune confiance dans une monnaie fiduciaire. Nous leur «prêtons» plutôt de telle sorte que si jamais nous réclamions tous les prêts, cela mettrait en faillite tous les gouvernements qui empruntent depuis des années à nos banques. 
En outre, nous sommes en mesure de facturer des intérêts sur ce que nous prêtons, ce qui maintient généralement la valeur de nos propres avoirs en compensation pour les masses obtenant toutes leurs affaires gratuites, pendant tant de générations et ne nous remboursant pas pour l’exercice de notre dieu. comme le pouvoir de créer quelque chose à partir de rien.

ÉLIMINATION DE L’USD
Vous devez comprendre qu’avec le développement de nos systèmes bancaires centraux partout dans le monde, et en particulier grâce aux prêts au développement mondial et à nos investissements dans des pays comme la Chine, l’économie mondiale a connu une croissance exponentielle au cours des 100 dernières années. 
À l’heure actuelle, le dollar américain ne peut pas répondre aux besoins mondiaux et est progressivement éliminé non pas avec un gémissement, mais avec le coup d’un nuage de champignons dans la création d’un nombre illimité de milliards de milliards. 
Pendant des décennies, nous avons essayé de cacher ce que nous appelons maintenant «l’économie souterraine» où nous avons travaillé avec la Fed américaine pour créer de grandes quantités de liquidités à partir de rien, pour faciliter les intérêts commerciaux et politiques, en particulier dans les pays en développement et dans d’autres pays irascibles du monde entier. Cela n’a pas eu d’incidence sur l’inflation, car l’argent revenait rarement aux États-Unis ou en Europe et il revenait généralement de toute façon dans nos banques.

Depuis le 11 septembre, lorsque la perte de certains de ces trillions faisait l’objet d’une enquête, nous avons été plus ouverts quant à l’importance de toujours avoir suffisamment d’argent sous la main pour faire ce que nous voulons, et très franchement même si nous devions gagner le dollar américain. Comme vous le dites, nous avons une dette de 70 billions de dollars, ce que nous avons constaté, c’est que les gens du monde entier, bien qu’ils se plaignent de nos prétendus abus de pouvoir, continuent d’exiger ce genre de choses. 
C’est très similaire à l’industrie de l’héroïne, qui est née de notre entreprise en Chine au 19e siècle pendant le commerce de l’opium, plus vous produisez, plus les gens deviennent dépendants de cette substance.
 Avec notre dernier lot de 6 billions de dollars, tous ceux qui détiennent des dollars veulent que leur valeur soit conservée, mais dans des pays comme la Chine, l’Inde et la Russie, ce dont ils se plaignent, c’est le pouvoir injuste que les États-Unis sont capables d’exercer dans le monde entier en étant en mesure de tirer tellement d’argent de nos banques et le dépenser comme ils le font, en particulier pour leur armée et comme arme politique pour servir leurs intérêts et ceux de nos familles.
À cet égard, ces nations, heureusement, ne se plaignent pas excessivement du contrôle de la masse monétaire par nos familles, mais elles ont plutôt tendance à se concentrer sur les différents gouvernements favorisés qui semblent diriger les dépenses et les allocations gouvernementales. 
Ils se plaignent principalement des États-Unis et, pour la plupart, à peu près tous les autres pays du monde ont accepté de prendre ce pouvoir aux États-Unis et de permettre à nos banques centrales de créer une nouvelle monnaie mondiale et d’être leur banquier. 
Il faudra, cependant, un gouvernement central pour allouer les dépenses lorsque l’emprunt de notre part sera nécessaire, et bien sûr pour imposer le commerce avec cette monnaie à une échelle mondiale que le gouvernement central aura besoin d’un soutien militaire indépendant. 

Depuis un bon nombre de décennies, les gouvernements de plus de 190 pays sont d’accord avec cette orientation et la nécessité d’un gouvernement mondial unique pour assurer la stabilité financière nécessaire. Ce sont tous des pays qui font partie de notre réseau et qui soit ont une banque centrale fermement établie sous notre contrôle, soit nous sont entièrement redevables pour tous nos prêts d’institutions telles que le FMI et la Banque mondiale.
L’ingénierie de ces nouveaux arrangements, que certains appellent le Nouvel Ordre Mondial, ne pouvait cependant pas être accomplie par décret, comme nous créons de l’argent. Divers pays en concurrence les uns avec les autres pour les ressources ou les territoires, n’accepteront pas simplement une monnaie mondiale, ou un système bancaire mondial semblable à la Fed américaine, sans gouvernement central mondial pour l’application financière du commerce et de la réglementation, et même s’ils ne le font pas d’accord pour un gouvernement mondial, très franchement, des endroits comme la Chine et la Russie continueront à ressentir les abus de nos pouvoirs exercés par des pays favorisés comme les États-Unis, le Royaume-Uni et Israël.
Ensuite, mis à part les différences entre les différents gouvernements qui sont sous notre contrôle direct ou indirect, il y a les masses de gens ordinaires dans le monde qui croient encore avoir leur mot à dire dans de telles affaires, qui sont en fait de nombreuses étapes qui leur sont éloignées. 

Un tel gouvernement mondial que nos familles ont imaginé devra leur donner quelque chose en échange de l’abandon de leurs contrôles locaux et nationaux sur le commerce et le commerce. À cet égard, nous avons exercé notre pouvoir de créer des centaines de milliards de dollars principalement créés par des fiduciaires et de «prêts» pour financer non seulement l’ONU mais aussi tous ses programmes, afin de fournir des justifications crédibles, urgentes et existentielles de la nécessité de un gouvernement mondial.


Pour supplanter nombre des prétendus «souverains» des nations, en particulier en Occident, il nous a fallu être très généreux, permettant à l’emprunt et à l’endettement envers nous de devenir pratiquement astronomiques. 
De même que les gouvernements des nations nous sont devenus subordonnés, les peuples de ces nations le sont aussi. Que nos mesures de développement durable soient réellement nécessaires ou non pour résoudre les problèmes, comme le réchauffement climatique ou les inégalités, que nos ONG, agences gouvernementales, médias et sociétés minions ont développé et présentés dans leurs différentes campagnes, ce qui compte vraiment le plus pour nous, c’est que il y a une vraie substance à l’existence d’un gouvernement mondial. Nous avons besoin de tout le soutien que nous pouvons obtenir grâce à nos efforts pour convaincre les gens du monde entier de la « nécessité » d’un gouvernement mondial.


Alternativement, si le peuple rejette notre proposition, la plupart des gouvernements occidentaux sont à la merci de nous demander nos prêts et de les mettre en faillite, alors que les autres nations sur lesquelles nous avons moins de contrôle sont à notre merci et à notre discrétion de continuer dans le présent. système avec la domination des États-Unis et le dollar américain très précaire qui de toute façon a fait son temps, à notre avis.


PLANDÉMIQUE 
Bien sûr, la pandémie de Covid est une plandémie, et nous, à travers nos différents groupes de réflexion et réseaux, l’avons méticuleusement planifiée au fil des décennies. Pour tous les changements majeurs que nous avons prévus, y compris le plus important pour nous de notre banque mondiale et de notre monnaie mondiale, les gens doivent devenir totalement soumis. 
C’est beaucoup plus difficile à réaliser dans les pays où les gens pensent avoir un semblant de liberté, et c’est pourquoi les gouvernements de ces nations ont été si extrêmes avec les tactiques de peur et de contrôle que nous avons ordonnées. 
C’est principalement l’indépendance économique de la plupart des gens du commun qui les rend si indisciplinés dans ces nations, et susceptibles de choisir de soutenir la souveraineté de leurs propres nations et le contrôle local, qui est le principal obstacle à nos plans, et précisément pourquoi les restrictions économiques sévères ont été nécessaires sous le couvert de la pandémie. Si les gens ne se conforment pas, sans aucun doute une deuxième vague se présentera à eux, et avec cette pénurie alimentaire, et une domination complète du gouvernement afin d’introduire tous nos changements proposés.

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L’un de nos agents les plus fiables qui peut voir la lumière pour un avenir bien meilleur, Karl Schwab du Forum économique mondial, a invité plus de personnes se réveillant aux faits de notre contrôle monétaire pratiquement complet, à se joindre à la grande réinitialisation, et d’accueillir dans notre Nouvel Ordre Mondial, et notre direction continue du monde, mais à une échelle beaucoup plus vaste, plus verte, plus intelligente, plus égale et plus centralisée, principalement par nos familles qui vous ont si bien servi tout au long du 20e siècle jusqu’à maintenant.

Source: traduction de l’article https://www.henrymakow.com/2021/02/Jacob-R-Unveils-the-plan.html


Dans la vieille magie blanche slave, lorsqu’un villageois commettait un crime odieux, ils ne voulaient pas simplement le bannir, mais ils l’ignoreraient consciemment et vaquer à leurs occupations en prétendant qu’il était invisible et qu’il n’était même pas là. Finalement, l’agresseur finirait par se bannir, et le faire de cette manière est beaucoup plus humiliant et psychologiquement dévastateur pour lui que de le jeter physiquement hors des villages et de lui dire de ne pas revenir. Faites de même avec les Rothschild! Ignorez-les simplement, «se mettre à l’abri» du rhume avec un taux de survie de 99,99999% n’est rien d’autre qu’une machine absurde à ce stade. Cela n’a aucun sens pour les personnes qui n’ont pas été « programmées de manière prédictive ». Ignorez-la et retrouvez votre santé mentale.