Vakx1 Pfizer : chronique d’un fléau annoncé

 Publié sur France Soir le 17/03/2021 à 22:24 – Mise à jour le 18/03/2021 à 09:11

Si vous ne faites pas vakxiner pour vous, faites-le pour les autres…. Est-ce bien vrai ? L’injection d ARN messager à visée immunogène, serait-elle une baguette magique face au SARS-CoV2 qui est un virus ARN ? Rien dans la littérature, ni dans les faits ne semble le démontrer. Selon l’ANSM, pendant la semaine du 26 février au 4 mars, 1528 effets secondaires ont été déclarés officiellement en France après injection du vakx1s PFIZER-BioNtech, parmi lesquels 24% ont été considérés comme graves, soit près d’une personne sur 4. Depuis le début de la vakxination, 8487 effets secondaires ont été enregistrés pour ce même vakx1, dont 22% sont évalués comme graves. Nombre de personnes vakxinées depuis le 31 décembre 2020 avec PFIZER-BioNtech : plus de 4 566 000, ce qui fait environ 0,19% des personnes vakxinées victimes d’effets secondaires, et 0,04% victimes d’effets secondaires graves (dont 251 personnes décédées). Cela commence à faire beaucoup tout de même.
 Penchons-nous sur la cohorte des victimes collatérales des vakx1s et levons l’omerta.

Vakxination, désinformation et extorsion de consentement

A la guerre comme à la guerre

Rappel des faits : lors du discours d’investiture de la crise, le président de notre République nous l’a annoncé à six reprises : « nous sommes en guerre » ! Un an plus tard, la liste des morts identifiés covid s’est allongée ; liste à laquelle nous pouvons désormais rajouter les victimes collatérales des vakx1s censés protéger les populations du virus. 46 décès dans une maison de retraite en Espagne, 23 morts de plus de 85 ans en Norvège, 10 de plus de 79 ans en Allemagne, un médecin d’une cinquantaine d’années mort aux USA tout aussi mystérieusement que d’autres personnes censées être en bonne santé avant l’injection, de nombreuses personnes incapables de reprendre leurs activités professionnelles. Si vous avez prêté l’oreille, vous aurez très certainement eu vent des conséquences délétères du « vakx1 » Pfizer dès ses premières administrations fin 2020. Nous nous sommess penchés sur le rapport confidentiel fourni par ce fabricant à la FDA en décembre dernier. Et sur l’actualité récente dont les chiffres semblent confirmer ce que ce rapport prédisait en filigrane…

Quand un labo vend en toute connaissance de cause et de marché

Premier coup bas, à la lecture de l’étude réalisée par Pfizer sur une cohorte de 44 000 personnes en deux mois, il fallait dès le départ repérer ce qui n’y était pas dit : nulle part, les effets secondaires à moyen et à long terme ne sont étudiés ! Évidemment puisque le temps manquait… De plus, ce fameux rapport ne donne aucune donnée sur la diminution de la contagiosité. Nous avons donc à l’heure actuelle un ratio de 11,1 chocs anaphylactiques par million de vakxinés (ce qui est environ dix fois plus que pour le vakx1s contre la grippe), et de 2,8% d’effets secondaires dans les cinq premiers jours selon le CDC (Center for Diagnostic Disease) provoqués par ce type de vakxination !

Pour ce qui est du mécanisme de ce vakx1 ce sont des voix anciennement salariées par le labo qui se lèvent. Parmi elles, Mickeal Yeadon, ancien directeur de recherche chez Pfizer et médecin, lance l’alarme: spike qui est la cible de l’injection immunogène nous amène à faire des anticorps contre cette dernière; or celle-ci ressemble à une molécule naturelle de notre corps appelée la syncytine qui sert normalement à la placentation… Ainsi, des troubles de stérilité pourraient émerger puisque les anticorps fabriqués par notre organisme contre spike pourrait reconnaître la syncytine et aboutir à sa destruction. Selon Mikael Yeadon, cette potentielle reconnaissance de la syncytine par les anticorps fabriqués suite à l’injection vakxinale pourrait entraîner des troubles de la fertilité ! Alléchant…

Attendez, ce n’est pas fini ; on ne sait pas si cette « thérapie génique » appelée à tort « vakx1 » ne comporte pas un risque d’intégration de l’ARNm vakxinal dans le matériel ADN du sujet. Il pourrait être transmissible génétiquement d’une génération à l’autre; si cette intégration se produisait dans les cellules germinales. Pourtant c’est l’objection principale, dont le professeur Peronne ainsi que la généticienne Alexandra Henrion-Caude, ont parlé très clairement dès le départ. Face à cela, le rapport ne comporte que des formules vagues, telles que « nous n’avons pas eu le temps d’évaluer les risques à long terme, étant donnée la période courte de l’essai du vakx1 ». La solution serait donc, d’après le laboratoire, de les autoriser à faire la vakxination de masse, et advienne que devra en terme de conséquences à plus ou moins long terme… Ceci m’évoque tristement les expériences faites lors de la Seconde guerre mondiale dont le procès de Nuremberg a fait émerger le « code de Nuremberg » qui est considéré comme le premier texte international de référence sur l’éthique de l’expérimentation humaine, et du consentement éclairé ; mais dont le chercheur Robert Barker dit qu’il a très peu d’effet sur la communauté médicale qui ne se sent guère concernée. Selon ce dernier : « Nuremberg apparait comme « un code bon pour les barbares »mais pas pour les nations civilisées ».

Bien sûr, l’utilité d’une vakxination de masse pour une épidémie qui statistiquement tue aussi peu de gens – rappelons-le, 0,05 % – n’est pas du tout discutée : à la guerre comme à la guerre ; la logique de marché fait loi !

Quand l’absence totale de recul fait de la vakxination une campagne d’essai vakxinal de stade 3 à l’échelle planétaire aux risques et périls des cobayes

Deuxième uppercut, le rapport révélait aussi quelque chose qui dès le départ n’était clairement pas rassurant. Nulle part n’y était précisé que des maladies causées par la vakxination ne se développeraient pas une fois que l’immunité baisserait. Ainsi, les morceaux de vakx1s ayant été introduit dans le génome du sujet lui-même pourraient avoir l’effet d’une bombe à retardement. Car comment savoir si l’on va fabriquer la bonne quantité de « spike » après vakxination ? Nulle part le laboratoire Pfizer n’a affirmé qu’il maîtrisait totalement la dose d’ARNm. Que se passera t-il si l’organisme en fabrique trop, par exemple ; dans le cas où la machine se dérègle ? On n’en sait rien ; dans ce tour de passe-passe, on joue donc avec le feu… C’est ce qui était sous entendu, et tristement l’actualité parle d’elle même…

La deuxième dose de vakxination interrompue après le décès de 46 pensionnaires dans une maison de retraite du sud de l’Espagne. Une hécatombe qui pour autant s’annonçait en filigrane dès le départ de la campagne au travers des cas suivants : mort du médecin Grégory Michael qui, alors qu’il était en bonne santé à vu, suite à la vakxination, une hémorragie d’abord mineure le conduire aux urgences du centre médical de Mount Sinaï pour y décéder 16 jours plus tard, début janvier… Il y a aussi le décès inexpliqué d’une infirmière portugaise deux jours après sa vakxination fin décembre. Ou encore le décès d’un volontaire brésilien qui est mort après avoir participé aux tests du vakx1 contre le Covid-19 élaboré par l’université d’Oxford. La victime a été identifiée par plusieurs médias brésiliens comme un médecin de 28 ans, décédé des suites de complications liées au virus. Bon cette fois-ci, nous étions sur le vax1s Astra-Zénaca. Mais de toute façon et jusqu’à nouvel ordre les pays (14 européens dont la France; mais aussi la Thaïlande et le Congo) les uns après les autres suspendent son utilisation. Faut-il penser que le vakx1 Pfizer est quant à lui plus sur? Au vu des faits, et de l’aveu même du labo, cela laisse à désirer.

Toujours dans ce fameux rapport, il est précisé que « l’étude des effets du vakx1 sur des personnes immuno-déprimées n’est pas précise en l’absence de sujets identifiés comme tels dans l’étude ». Tel que nous l’a expliqué Louis Fouché lors du grand entretien qu’il a offert au magazine Nexus dans le numéro 132, la particularité des patients HIV est que le virus du HIV possède une rétrotranscriptase et une intégrase qui sont les 2 enzymes-clés permettant l’intégration d’ARN dans un génome. C’est d’ailleurs ce que fait le virus du VIH qui s’intègre dans le génome du malade. En conséquence, les patients atteints de VIH auront peut-être au sein d’une même cellule l’ARNm vakxinal et les deux enzymes permettant d’intégrer cet ARNm dans leur génome. La probabilité que cela se produise est faible mais ne peut pas être complètement exclue ! D’ailleurs Pfizer a testé son vakx1 sur des sujets VIH dont l’infection est maîtrisée ; et qui donc ne produise plus ces 2 enzymes clés. Mais que se passera-t-il chez les patients ayant le VIH sans le savoir ?

Pour ce qui est de l’aspect expérimental de cette thérapie génique, nous renvoyons par ailleurs nos lecteurs au nombre croissant d’étude corrélant une explosion du nombre de covid positif dans les pays ayant pratiqué en masse la vakxination. En Israël, la vakxination a commencé le 20 décembre et a été suivie d’une augmentation de 400% des contaminations ! Pour ce qui est de l’Angleterre, un groupe de chercheurs indépendants à étudié la sur-concentration de virus dans les gouttelettes nasales des personnes vakxinées en s’interrogeant sur une corrélation possible avec la mutation du virus survenue suite à la campagne de vakxination à l’échelle nationale (Nexus numéro 133). Toutes ces données semant le doute on peut donc parler tel que le dénonce la généticienne Alexandra Henrion-Caude d’un « vakx1 génique expérimental » ! Tel que l’a répèté le médecin Louis Fouché lors d’un entretien filmé avec la chaîne Nexus: « Rappelons-le, nous sommes en phase 3 pour toutes les personnes pour lesquelles l’efficacité du vakx1 n’est pas prouvée, notamment les personnes de plus de 75 ans… Il faut bien comprendre que ce vakx1 n’a reçu qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle. Cela signifie que le laboratoire Pfizer n’a pas encore complètement fini les études de sécurité et d’efficacité qui ne se finiront qu’en 2023 ! Et si vous vous faites vakxiner vous ferez partie des cobayes, seulement personne n’est renseigné de cette façon lors de son consentement… A méditer. » Autre point: « l’essai n’a pas démontré à ce jour une baisse des hospitalisations ». On en reste pantois.

Quand la vaste définition de limmuno-dépression fait courir un risque encore plus grand quon ne limagine

Troisième coup bas, outre tous ces dysfonctionnements, et tel que le précise le docteur Jacques Vigne interrogé pour France Soir, se pose en filigrane le problème de la définition de l’immuno-dépression qui n’est pas toujours bien claire. L’affaiblissement du système immunitaire n’est pas facile à déceler: « plus évidente lors d’HIV, diabète ou cancer diagnostiqué; ceci étant la plupart du temps, les signes cliniques de la maladie semblent bénins et courants. Il peut s’agir d’otites, de diarrhées, d’infections pulmonaires ou encore de mycoses ». Quand on voit les effets de cette thérapie sur les personnes âgées, et plus jeunes diagnostiquées en bonne santé on peut redouter le pire si elle était propagée à l’ensemble de la population…

Rappelons que dès début décembre, on a vu des sujets faire des chocs anaphylactiques lors de la campagne de vakxination lancée en Angleterre auprès des soignants et des personnes âgées. Dès le premier jour, au moins deux Britanniques ont développé, mercredi 9 décembre, une forte réaction allergique après avoir reçu une injection du nouveau vakx1 de Pfizer. Dans la foulée, l’Agence britannique de régulation du médicament a publié une mise en garde, déconseillant aux personnes ayant des antécédents de crises allergiques aiguës de se faire vakxiner. D’après le site Allergy UK, une personne sur 1 000 risque de subir un choc anaphylactique après avoir été exposé à un allergène auquel elle est sensible. Ce type de crise « affecte le système cardiovasculaire, respiratoire, gastrique et entraîne des éruptions cutanées graves. La pression sanguine peut baisser et la personne peut avoir des difficultés à respirer ». C’est ce qui explique qu’une circulaire française a indiqué aux Ehpad de se fournir en l’Adrénaline, à injecter en cas de choc anaphylactique. Rappelons pour les populations actives aux USA fin décembre une étude dénombrait 3150 vakxinés sur 113 000 “incapables d’effectuer leurs activités quotidiennes normales” suite au vakx1 anti-covid ; ce qui est l’un des critères scientifiques de la définition des effets indésirables du stade 3.

Rappelons-le, du côté des bataillons français, moins d’une semaine après ses premières administrations en France, l’autre formule miracle qu’est le vakx1s d’AstraZeneca a suscité « surprise » voire « inquiétude ». Réservé aux professionnels de santé et du médico-social de moins de 65 ans, le produit du groupe anglo-suédois a fait l’objet de 149 déclarations de pharmacovigilance en cinq jours. Au bout d’une semaine, les hôpitaux de Brest et de Morlaix ont décidé d’interrompre la vakxination suite à une campagne qui a obligé 20 à 25 % des soignants à se mettre en arrêt de travail. Précisons que ces populations ont elles été soumises au vakx1 Astra-Zénaca qui ne fonctionne pas par ARN messager mais par une chimère génétique qui introduit le vakx1 selon « un vecteur viral », c’est-à-dire qu’il prend comme support un autre virus, en l’occurrence un adénovirus commun chez le chimpanzé. Ce dernier a été affaibli et génétiquement modifié pour empêcher le nouveau coronavirus de se répliquer dans l’organisme humain. La manière qu’il a de délivrer du matériel génétique dans les cellules, leur ordonnant d’attaquer le Covid-19, a été présenté comme un « cheval de Troie », et un autre artefact tout aussi nouveau et novateur que le vakx1 à ARN messager; on est au top… Ce vakx1 d’AstraZeneca n’était dès le départ pas recommandé en France pour les plus de 65 ans, faute de données actuellement disponibles sur son efficacité dans cette classe d’âge. Nous y sommes quand même allés, avec la multitude de morts désormais identifiés. Où est le principe de précaution? Jusqu’ou ira-t-on ?

Dépôt de plainte à la Cour pénale internationale pour violation du code de Nuremberg

Le week-end dernier, une plainte de l’organisation « People of Truth » a été déposée auprès du Tribunal de La Haye par les avocats Ruth Makhachovsky et Aryeh Suchowolski concernant des violations du Code de Nuremberg du gouvernement israélien et d’autres parties. Or, si la plainte déposée la semaine dernière devant la Cour pénale internationale a été reçue, elle reste dans l’attente d’une décision de recevabilité. Elle est maintenant en attente d’une décision. L’avocate Ruth Makhchowolski a déclaré le 5 mars dernier à Israel News que « dans le même temps, la plainte sera également déposée devant le tribunal de Nuremberg, avec l’avocat allemand Reiner Fullmich. Lundi, la plainte sera déposée à la Haute Cour par Aryeh Suchowolski en Israël, concernant la violation du Code de Nuremberg ». L’avocate a ajouté six jours plus tard : « L’expérience que Pfizer mène dans l’État d’Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye. Nous attendons maintenant une décision ». Comprenez bien : cette plainte est recevable, puisqu’il n’y a aucun consentement éclairé. Dans cette guerre d’un genre nouveaun, les populations ne savent pas qu’elles sont l’objet du stade 3 de l’évaluation du vakx1s.

Vakxiné tous les quatre mois, avec un port de masque à perpétuité 

Quatrième coup déjà annoncé avant de monter sur le ring: toujours selon les dires de l’étude Pfizer, avec les deux mois de recul qu’ils avaient lors de la publication, les chiffres semblaient démontrer une efficacité du vakx1, ou plutôt de la thérapie génique : dans le groupe qui avait reçu les deux injections à trois semaines d’intervalle, il n’y avait que 18 cas d’infection, alors que dans l’autre il en avait 169. La question reste entière de savoir si cette immunité donnée par le vakx1 persisterait plus de trois ou quatre mois ? Par conséquent, ceci laisse sous-entendre que cette vakxination de masse devrait être faite tous les quatre mois ! Avec le coût considérable que cela implique. Le laboratoire suppose que si le vakx1 est efficace pour réduire les symptômes, il le sera aussi pour réduire les séquelles, mais il n’en est pas sûr ! Pourtant, ce sujet est central, on a par exemple remarqué que chez les patients traités pour le covid qui allaient apparemment mieux, 60 % avaient des lésions sur le coeur dite lésions de myocardite.

Au passage deux derniers point flous : selon l’étude, 10 % des sujets vakxinés attrapent quand même la maladie. En outre le cas des asymptomatiques (porteur du virus sans même s’en rendre compte) est non négligeable : est-ce-que le vakx1 les prévient ? S’il ne prévient pas, est-ce que ces cas a-symptomatiques seront contagieux, autant que s’ils n’avaient pas eu le vakx1s auparavant ? Tout cela n’est pas clair et peut mener à ce que des gens vakxinés soient convaincus de ne pas être contagieux et du coup ne respectent pas les gestes barrières et contaminent pour de bon les autres. C’est ce qu’on appelle une « fausse sécurité »; qui implique tel que le sous-entend ce rapport de continuer le port du masque et le respect de la distanciation sociale. La bonne blague ! C’est ce qui fait dire à Louis Fouché dans l’interview precedement citée que « comme avec le masque on mêle la psychose de l’un à la psychose de l’autre… C’est un retour du refoulé, qui n’a aucune valeur scientifique. Puisque la personne vakxinée ou masquée serait protégée de ceux qui ne le seraient pas ».

Au mépris de l’éthique et du bon sens, jusquoù irons-nous ?

Toujours en forme ? Voici le petit résumé du champ de bataille : dans l’état actuel des choses, nous voyons donc une partie des vakxinés tomber comme des mouches et un labo qui selon sa propre analyse ne confirme pas l’utilité concrète de sa thérapie ! Laboratoire Pfizer, qui en 2009, fut contraint de payer une amende de 2,3 milliards de dollars pour pratiques frauduleuses de communication sur 13 médicaments, pour falsification de données, publicité mensongère et commissions occultes ! Même labo qui, comme l’actualité nous le démontre, vient de repousser ses livraisons de deux mois.

Afin d’inviter nos lecteurs à mieux se positionne, nous rappelons au passage que début janvier Alain Fischer, le président du Conseil d’orientation de la stratégie vakxinale, a prévenu qu’elle allait «bouger en fonction de la situation épidémique», notamment à cause des «nouveaux variants». «Peut-être un jour faudra-t-il vakxiner les enfants», a-t-il déclaré, expliquant que la Grande-Bretagne étudiait le taux d’infection chez les jeunes. «Si […] les enfants transmettent le virus, la question se posera». Puisqu’une campagne de test vient d’être annoncée à l’échelon national à hauteur de un million d’enfants nous lançons l’alarme!!! Et vous joignons un avenant à fournir aux établissements scolaires, si vous ne souhaitez pas que cette campagne de test massif, contribue par une épidémie de cas positifs mais néanmoins non malades ; puis à la mise en oeuvre d’une telle stratégie vakxinale dont les effets ont déjà démontré une catastrophe annoncée. Depuis, dernier uppecut, le 9 mars, l’Académie nationale de médecine décrète que la vakxination doit devenir obligatoire pour les soignants. La bataille risque donc d’être féroce. Conscients de cette guerre, nous vous offrons en lien la primeur d’un travail d’un groupe d’avocats pénalistes qui, revue de droit et revue de presse à l’appui, offre des clefs qui vous permettront en toute légalité de refuser tout traitement, au motif que cette obligation, ou contrainte « vakxinale », est en violation totale avec l’éthique médicale et les droits fondamentaux nationaux et internationaux. [voir annexe]



Suite et fin : tempête de cytokine, qui veut être le cobaye?

Toujours d’attaque ? On résume… Tel que le dit en filigrane ce rapport et tels que nous le démontrent les faits d’actualité sans cesse concordants : en-dehors de perpétuer la politique du port du masque et de distanciation sociale, d’engrosser Big Pharma, de créer des troubles physiques pouvant entraîner la mort, ainsi qu’une modification de l’ADN transmissible aux générations futures, quel est l’intérêt de la thérapie vakxinale par modification génique ? Nous en perdons notre latin et renvoyons notre lecteur aux travaux de Dolores Cahill, immunologue de l’Institut Conway, qui lance un cri désespéré. Citant un article de 2012 publié chez PLOS One (revue scientifique) qui indique que la vakxination, conduit à une immuno-pathologie pulmonaire lorsqu’elle est adressée au coronavirus, et qui particulièrement faite sur les animaux a engendré des décès… Cette dernière craint donc la mise en place d’une telle stratégie vakxinale chez l’homme, puisque le risque mortel avec l’administration d’une vakxination à ARN messager pour de tels virus serait augmenté. « Si le message visant la protéine Spike s’intègre dans nos cellules , il sera exposé aux cellules immunitaires lorsque le virus meurt. Dans un deuxième temps il pourrait y avoir une montée en puissance de ce phénomène au travers de la multiplication d’anticorps. Le phénomène s’appelle tempête de cytokines, ou super amorçage immunitaire, car la réponse immunitaire naturelle est contournée; et le corps réagit à une information qui ne devrait pas être là. Le risque serait que votre corps devenu un OGM exprime la protéine virale de façon indéfinie sans plus jamais s’en débarrasser ». Alors qu’aucune vakxination dans les épidémies de virus ARN n’a jamais endigué une épidémie… Qui a envie d’essayer ? Pour ma part j’avoue très sincèrement jeter l’éponge, et penser à nourrir et défendre ma santé ; bien avant l’idée folle de tomber malade et d’entrer en guerre…

Caroline Escartefigues est psychologue clinicienne, et travaille à Hossegor au moyen de l’art thérapie, de l’EMDR et d’autres approches psycho-énergétiques.
Elle soutient son action de guérison par un travail journalistique et est l’auteur du Petit livre du silence et de la paix intérieure (Larousse, 2018).


De l’obligation ou de la contrainte vakxinale : lire ou télécharger en version PDF 

« La vakxination risque d’entraîner une catastrophe mondiale sans égale »

Ndlr : cette tribune est probablement le document le plus important à lire de ces derniers jours. Elle appelle l’attention de la population générale, des autorités de santé et des scientifiques. France Soir a décidé de la republier car elle liste certains points qui sont essentiels à évoquer, encore plus après la campagne de vackxination massive en Israël et la suspension du vakx1 AstraZeneca par précaution.

 Publié sur France Soir le 15/03/2021 à 18:31 – Mise à jour le 16/03/2021 à 12:41

TRIBUNE : Geert Vanden Bossche Ph.D est virologue indépendant et expert vakxinal, ancien employé chez GAVI et la Fondation Bill & Melinda Gates.

Auteur(s): Geert Vanden Bossche Ph.D, traduitA+A

A toutes les autorités, scientifiques et experts de la planète, ainsi qu’à la population mondiale.

Je suis tout sauf un antivakx1. En tant que scientifique je n’utilise habituellement pas de plateformes de ce type pour prendre positions sur un sujet lié aux vakx1s. En tant que virologue et expert des vakx1s je fais une exception uniquement lorsque les autorités de santé approuvent l’administration de vakx1s d’une façon qui menace la santé publique, plus précisément lorsque les données scientifiques sont ignorées. La situation actuelle, extrêmement critique, me pousse à diffuser cet appel d’urgence. Etant donné l’ampleur sans précèdent des interventions humaines dans la pandémie de covid 19 qui risquent d’entrainer une catastrophe mondiale sans égal cet appel ne pourra donc pas être assez fort.

Comme je l’ai dit, je ne suis pas contre la vakxination. Au contraire, je peux vous assurer que chacun des vakx1s actuels a été conçu, développé et fabriqué par des scientifiques brillants et compétents. Cependant, ce type de vakx1s prophylactiques sont complètement inappropriés, et même très dangereux, lorsqu’ils sont utilisés dans des campagnes de vakxination de masse pendant une pandémie virale. Les vakxinologues, les scientifiques et les cliniciens sont aveuglés par les effets positifs à court terme des brevets individuels, mais ne semblent pas s’inquiéter des conséquences désastreuses pour la santé mondiale.

À moins que je ne me trompe scientifiquement, il est difficile de comprendre comment les interventions humaines actuelles empêcheront les variants circulants de se transformer en monstre sauvage.

Dans une course contre la montre, je termine mon manuscrit scientifique, dont la publication est malheureusement susceptible de venir trop tard étant donnée la menace sans cesse croissante de propagation rapide des variants hautement infectieux. C’est pourquoi j’ai décidé de poster un résumé de mes conclusions ainsi que mon discours d’ouverture lors du récent Sommet sur les vakx1s dans l’Ohio sur LinkedIn. Lundi dernier, j’ai fourni aux organisations internationales de santé, y compris l’OMS, mon analyse de la pandémie actuelle sur la base d’informations scientifiquement documentées sur la biologie immunitaire du Covid-19. Compte tenu du niveau d’urgence, je les ai exhortés à prendre en considération mes préoccupations et à lancer un débat sur les conséquences néfastes d’une nouvelle « évasion immunitaire virale ». Pour ceux qui ne sont pas des experts dans ce domaine j’attache une version plus accessible et compréhensible des faits scientifiques derrière ce phénomène insidieux.

Bien qu’il n’y ait pas de temps à perdre, je n’ai pas eu de retour jusqu’à présent. Les experts et les politiciens sont restés silencieux tout en étant manifestement toujours désireux de parler de l’assouplissement des règles de prévention des infections et des liberté printanière.

Mes déclarations ne sont basées que sur la science. Elles ne seront contredites que par la science.

Alors que l’on peut à peine faire des déclarations scientifiques incorrectes sans être critiqué par ses pairs, il semble que l’élite des scientifiques qui conseillent actuellement nos dirigeants mondiaux préfèrent garder le silence. Des preuves scientifiques suffisantes ont été mises sur la table. Malheureusement, elles restent ignorées par ceux qui ont le pouvoir d’agir. Combien de temps peut-on ignorer le problème alors qu’il existe actuellement des preuves massives que l’évasion immunitaire virale menace maintenant l’humanité ? Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas – ou n’avions pas été avertis.

Dans cette lettre angoissante, j’ai mis en jeu toute ma réputation et ma crédibilité. J’attends de vous, gardiens de l’humanité, du moins la même chose. C’est de la plus haute urgence. Ouvrez le débat.

Il faut inverser la tendance par tous les moyens !

URGENCE DE SANTÉ PUBLIQUE D’INTÉRÊT INTERNATIONAL

Pourquoi la vakxination de masse au milieu d’une pandémie crée un monstre irrépressible

La question clé est la suivante : pourquoi personne ne semble s’inquiéter de l’évasion immunitaire virale ? Permettez-moi d’essayer d’expliquer cela au moyen d’un phénomène plus facile à comprendre: la résistance aux antimicrobiens. On peut facilement extrapoler ce fléau à la résistance à nos « antibiotiques antiviraux » self-made. En effet, les anticorps (ANTICORPS) produits par notre propre système immunitaire peuvent être considérés comme des antibiotiques antiviraux auto-fabriqués, qu’ils font partie de notre système immunitaire inné (ANTICORPS dits « naturels ») ou obtenus en réponse à des agents pathogènes spécifiques (entraînant ce qu’on appelle ANTICORPS « acquis »). Les anticorps naturels ne sont pas spécifiques aux germes alors que les ANTICORPS acquis sont vakx1s dirigés vers l’agent pathogène envahisseur. À la naissance, notre système immunitaire inné est « inexpérimenté » mais bien établi. Il nous protège d’une multitude d’agents pathogènes, empêchant ainsi ces agents pathogènes de causer des maladies. Comme le système immunitaire inné ne se souvient pas des agents pathogènes qu’il a rencontrés (l’immunité innée n’a pas de soi-disant « mémoire immunologique »), nous ne pouvons continuer à compter sur elle à condition que nous le gardons « formé » assez bien. La formation est obtenue par une exposition régulière à une myriade d’agents environnementaux, y compris des agents pathogènes. Cependant, à mesure que nous vieillissons, nous serons de plus en plus confrontés à des situations où notre immunité innée (souvent appelée « première ligne de défense immunitaire ») n’est pas assez forte pour arrêter l’agent pathogène au portail d’entrée (principalement des barrières muqueales comme l’épithélie respiratoire ou intestinale). Lorsque cela se produit, le système immunitaire doit compter sur des molécules effectrices plus spécialisés de notre système immunitaire pour combattre l’agent pathogène. Ainsi, à mesure que nous grandissons, nous montons de plus en plus l’immunité spécifique aux pathogènes, y compris les ANTICORPS très spécifiques. Comme ceux-ci ont une affinité plus forte pour l’agent pathogène (par exemple, le virus) et peuvent atteindre des concentrations élevées, ils peuvent très facilement surpasser nos anticorps naturels pour se lier à l’agent pathogène / virus. C’est précisément ce type d’Anticorps hautement spécifique et de haute affinité que les vakx1s Covid-19 actuels induisent. Bien sûr, le noble but de ces Anticorps est de nous protéger contre Covid-19. Alors, pourquoi devrait-il y avoir une préoccupation majeure en utilisant ces vakx1s pour lutter contre Covid-19 ?

Eh bien, à l’image des règles applicables aux antibiotiques antimicrobiens classiques, il est primordial que nos « antibiotiques antiviraux » auto-fabriqués soient disponibles en concentration suffisante et soient adaptés aux caractéristiques spécifiques de notre ennemi. C’est pourquoi, en cas de maladie bactérienne, il est essentiel non seulement de choisir le bon type d’antibiotique (basé sur les résultats d’un antibiogramme), mais aussi de prendre l’antibiotique assez longtemps (selon la prescription). Le non-respect des exigences risque d’accorder aux microbes une chance de survivre et, par conséquent, peut provoquer la reprise de la maladie. Un mécanisme très similaire peut également s’appliquer aux virus, en particulier aux virus qui peuvent facilement et rapidement muter (ce qui est, par exemple, le cas des coronavirus); lorsque la pression exercée par l’armée de défense immunitaire (lire : la population) commence à menacer la réplication et la transmission virales, le virus prendra une autre apparence afin qu’il ne puisse plus être facilement reconnu et, par conséquent, attaqué par le système immunitaire hôte. Le virus est maintenant en mesure d’échapper à l’immunité (soi-disant: « évasion immunitaire »). Cependant, le virus ne peut compter sur cette stratégie qu’à condition d’avoir assez de place pour se répliquer. Les virus, contrairement à la majorité des bactéries, doivent compter sur les cellules hôtes vivantes pour se répliquer. C’est pourquoi l’apparition de « mutants d’évasion » n’est pas trop inquiétant tant que la probabilité pour ces variantes de trouver rapidement un autre hôte est assez éloignée. Cependant, ce n’est pas particulièrement le cas lors d’une pandémie virale! Au cours d’une pandémie, le virus se propage partout dans le monde avec de nombreux sujets excrétant et transmettant le virus (y compris les « porteurs » asymptomatiques). Plus la charge virale est élevée, plus la probabilité que le virus rencontre des sujets qui n’ont pas encore été infectés ou qui ont été infectés mais qui n’ont pas développé de symptômes est élevée. À moins qu’ils ne soient suffisamment protégés par leur défense immunitaire innée (par ANTICORPS naturels), ils attraperont la maladie covid-19 car ils ne peuvent pas compter sur les ANTICORPS acquis. Il a été largement rapporté, en effet, que l’augmentation de S (spike) spécifiques ANTICORPS chez les personnes infectées asymptomatiquement est plutôt limitée et seulement de courte durée. En outre, ces ANTICORPS n’ont pas atteint la pleine maturité. La combinaison de l’infection virale sur fond de maturité et de concentration sous-optimales d’anticorps permet au virus de sélectionner des mutations lui permettant d’échapper à la pression immunitaire. La sélection de ces mutations se produit de préférence dans la protéine S car il s’agit de la protéine virale responsable de l’infectiosité virale. Au fur et à mesure que les mutations sélectionnées confèrent au virus une capacité infectieuse accrue, il devient maintenant beaucoup plus facile pour le virus de causer des maladies graves chez les sujets infectés. Plus les gens développent une maladie symptomatique, plus le virus peut sécuriser sa propagation et se répliquer (les personnes qui développent une maladie grave va répliquer plus de virus et pour une plus longue période de temps que les sujets infectés mais asymptomatiques).

Malheureusement, l’augmentation de courte durée de ANTICORPS S-specifique ne suffit pas à contourner les gens ayant des anticorps naturels et innés . C’est-à-dire qu’avec un taux croissant d’infection dans la population, le nombre de sujets qui sont infectés tout en éprouvant une augmentation momentanée des S-ANTICORPS spécifiques augmentera régulièrement. Par conséquent, le nombre de sujets qui sont infectés tout en éprouvant une diminution momentané de leur immunité innée augmentera. Par conséquent, un nombre sans cesse croissant de sujets deviendront plus susceptibles de contracter une maladie grave au lieu de ne présenter que des symptômes bénins (c.-à-d. limités aux voies respiratoires supérieures) ou aucun symptôme. Au cours d’une pandémie, en particulier les jeunes seront touchés par cette évolution que leurs anticorps naturels ne sont pas encore largement supprimés par une panoplie d’ « acquis ». Les ANTICORPS naturels, et l’immunité naturelle en général, jouent un rôle essentiel dans la protection contre les agents pathogènes car ils constituent notre première ligne de défense immunitaire. Contrairement à l’immunité acquise, les réponses immunitaires innées protègent contre un large spectre d’agents pathogènes (alors ne compromettez pas ou ne sacrifiez pas votre défense immunitaire innée!). Étant donné que les anticorps naturels et les cellules immunitaires innées reconnaissent un spectre diversifié d’agents étrangers (c.-à-d. non autonomes) (dont seulement certains ont un potentiel pathogène), il est important, en effet, de le maintenir suffisamment exposé aux défis environnementaux. En gardant le système immunitaire inné (qui, malheureusement, n’a pas de mémoire!) ENTRAINES, nous pouvons résister beaucoup plus facilement aux germes qui ont un réel potentiel pathogène. Il a, par exemple, été rapporté et scientifiquement prouvé que l’exposition à d’autres coronavirus tout à fait inoffensifs causant un « rhume » peut fournir une protection, bien que de courte durée, contre Covid-19 et ses fidèles sbires (c.-à-d. les variantes les plus infectieuses).

La suppression de l’immunité naturelle, en particulier dans les groupes d’âge plus jeunes, peut donc devenir très problématique. Il ne fait aucun doute que le manque d’exposition dû à des mesures de confinement rigoureuses mises en œuvre dès le début de la pandémie n’a pas été bénéfique pour maintenir le système immunitaire inné des gens bien formé. Comme si cela ne compromettait pas déjà fortement la défense immunitaire innée dans ce segment de population, il y a une autre force en jeu qui améliorera considérablement les taux de morbidité et de mortalité dans les groupes d’âge plus jeunes : LA VAKXINATION DE MASSE des PERSONNES ÂGÉES. Plus le groupe d’âge ultérieur sera vakxiné et, par conséquent, protégé, plus le virus est forcé de continuer à causer des maladies dans les groupes d’âge plus jeunes. Cela ne sera possible que s’il s’échappe vers les ANTICORPS spécifiques à S qui sont momentanément élevés chez des sujets précédemment asymptomatiquement infectés. Si le virus parvient à le faire, il peut bénéficier de l’immunité innée (momentanément) supprimée, causant ainsi la maladie chez un nombre croissant de ces sujets et assurant sa propre propagation. Choisir des mutations ciblées dans la protéine S est donc la voie à suivre pour que le virus améliore son infectiosité chez les candidats qui sont enclins à obtenir la maladie en raison d’une faiblesse transitoire de leur défense immunitaire innée.

Mais en attendant, nous sommes également confrontés à un énorme problème chez les personnes vakxinées car elles sont de plus en plus confrontées à des variantes infectieuses affichant un type de protéine S de plus en plus différent de l’édition S  du vakx1 (l’édition ultérieure provient de la souche originale, beaucoup moins infectieuse au début de la pandémie). Plus les variantes deviennent infectieuses (c.-à-d. en raison du blocage de l’accès du virus au segment vakxiné de la population), moins le vakx1 protégera. Déjà aujourd’hui, le manque de protection conduit à l’excrétion virale et à la transmission chez les receveurs de vakx1s qui sont exposés à ces souches plus infectieuses (qui, soit dit en passant, dominent de plus en plus le domaine). C’est ainsi que nous transformons actuellement les vakx1s en porteurs asymptomatiques qui excrètent des variantes infectieuses.

À un moment donné, dans un avenir probablement très proche, il va devenir plus rentable (en termes de « retour sur investissement de sélection ») pour le virus d’ajouter quelques autres mutations (peut-être juste une ou deux) à la protéine S de variantes virales (déjà doté de mutations multiples améliorant l’infectiosité) dans une tentative de renforcer encore sa liaison au récepteur (ACE-2) exprimée à la surface des cellules épithéliales permissives. Cela permettra maintenant à la nouvelle variante de surpasser les ANTICORPS vakxinaux pour se lier au récepteur ACE. C’est-à-dire qu’à ce stade, il ne faudrait que très peu de mutations ciblées supplémentaires dans le domaine de la liaison des récepteurs viraux pour résister pleinement aux anticorps spécifique Covid-19, que ce soit obtenu par le vakx1 ou par une infection naturelle. À ce stade, le virus aura, en effet, réussi à accéder à un énorme réservoir de sujets qui sont maintenant devenus très sensibles à la maladie que leurs ANTICORPS spécifiques sont maintenant devenus inutiles en termes de protection, mais parviennent encore à assurer la suppression à long terme de leur immunité innée (c’est-à-dire, infection naturelle, et surtout la vakxination). Le réservoir sensible comprend à la fois les personnes vakxinées et celles qui se sont laissées avec suffisamment d’ANTICORPS spécifiques à S en raison de la maladie covid-19 précédente). Ainsi, MISSION ACCOMPLIE pour Covid-19, mais une SITUATION DÉSASTREUSE pour tous les sujets vakxinés et covid-19 personnes séropositives comme ils ont maintenant perdu à la fois, leur défense immunitaire acquise et innée contre Covid-19 (tandis que les souches hautement infectieuses circulent!). C’est « un petit pas pour le virus, une catastrophe géante pour l’humanité », c’est-à-dire que nous aurons fouetté le virus dans la population plus jeune jusqu’à un niveau qu’il faut maintenant peu d’efforts pour Covid-19 pour se transformer en un virus hautement infectieux qui ignore complètement à la fois le bras inné de notre système immunitaire ainsi que l’adaptatif / acquis. L’effort pour le virus devient maintenant encore plus négligeable étant donné que de nombreux receveurs de vakx1s sont maintenant exposés à des variantes virales hautement infectieuses tout en n’ayant reçu qu’un seul vakx1. Par conséquent, ils sont dotés d’ANTICORPS qui n’ont pas encore acquis des fonctionnalités optimales. Il n’est pas nécessaire d’expliquer que cela va juste améliorer encore l’évasion immunitaire. Fondamentalement, nous serons très bientôt confrontés à un virus super-infectieux qui résiste complètement à notre mécanisme de défense le plus précieux: le système immunitaire humain.

De tout ce qui précède, il devient de plus en plus difficile d’imaginer comment les conséquences de l’intervention humaine étendue et erronée dans cette pandémie ne vont pas anéantir une grande partie de notre population humaine. On ne pouvait penser qu’à très peu d’autres stratégies pour atteindre le même niveau d’efficacité en transformant un virus relativement inoffensif en une arme biologique de destruction massive.

Il est certainement également intéressant de mentionner que les mutations de la protéine S (c’est-à-dire exactement la même protéine qui est sujette à la sélection des mutations d’évasion) sont connues pour permettre aux coronavirus de franchir les barrières des espèces. C’est-à-dire que le risque d’évasion immunitaire médicamenteuse pourrait permettre au virus de passer à d’autres espèces animales, en particulier le bétail industriel (p. ex., élevages porcins et avicoles), n’est pas négligeable. Ces espèces sont déjà connues pour accueillir plusieurs coronavirus différents et sont généralement logées dans des fermes à forte densité de stockage. semblable a la situation du virus de la grippe, ces espèces pourraient  servir de réservoir supplémentaire pour le virus du COVID-19.

En raison de l’intervention humaine, le cours de cette pandémie a été complètement perturbé dès le début. Des mesures de prévention des infections généralisées et rigoureuses, combinées à des campagnes de vakxination de masse utilisant des vakx1s inadéquats, mèneront sans aucun doute à une situation où la pandémie devient de plus en plus « hors de contrôle ».

Paradoxalement, la seule intervention qui pourrait offrir une perspective pour mettre fin à cette pandémie (autre que de la laisser courir son cours désastreux) est … la vakxination. Bien sûr, le type de vakx1s à utiliser serait complètement différent des vakx1s conventionnels en ce sens qu’ils n’induisent pas les suspects habituels, c’est-à-dire les cellules B et T, mais les cellules NK. Il existe, en effet, des preuves scientifiques convaincantes que ces cellules jouent un rôle clé dans la facilitation de l’élimination complète de Covid-19 à un stade précoce de l’infection chez les sujets asymptomatiquement infectés. Les cellules NK font partie du bras cellulaire de notre système immunitaire inné et, à l’état d’ANTICORPS naturel, elles sont capables de reconnaître et d’attaquer un large éventail diversifié d’agents pathogènes. Il existe une solide justification scientifique pour supposer qu’il est possible d’ « éduquer» les cellules NK de manière à reconnaître et à tuer les coronavirus en général (y compris toutes leurs variantes) à un stade précoce de l’infection. Les cellules NK ont de plus en plus été décrites comme étant dotées de la capacité d’acquérir la mémoire immunologique. En éduquant ces cellules de manière à leur permettre de reconnaître et de cibler durablement les cellules, notre système immunitaire pourrait être parfaitement armé pour une attaque ciblée dans l’univers des coronavirus avant l’exposition. Comme la défense immunitaire à base de cellules NK fournit l’immunité stérilisante et permet une protection à large spectre et rapide, il est raisonnable de supposer que l’exploitation de nos cellules immunitaires innées va être le seul type d’intervention humaine restante pour arrêter la propagation dangereuse des variantes covid-19 hautement infectieuses.

Si nous, les êtres humains, nous engageons à perpétuer notre espèce, nous n’avons plus d’autre choix que d’éradiquer ces variantes virales hautement infectieuses. Cela nécessitera en effet de grandes campagnes de vkxcination. Toutefois, les vakx1s à base de cellules NK permettront principalement à notre immunité naturelle d’être mieux préparées (mémoire!) et d’induire l’immunité du corps (ce qui est exactement le contraire de ce que font actuellement les vakx1s Covid-19, car ceux qui transforment de plus en plus les receveurs de vakx1s en porteurs asymptomatiques qui excrètent le virus). Il ne reste donc pas une seconde pour que les engrenages soient modifiés et pour remplacer les vakx1s tueurs actuels par des vakx1s vitaux.

J’appelle l’OMS et toutes les parties prenantes concernées, quelle que soit leur conviction, à déclarer immédiatement des mesures telles que L’URGENCE DE SANTÉ PUBLIQUE LA PLUS IMPORTANTE DANS L’INTÉRÊT INTERNATIONAL.

In this open letter I am appealing to the @WHO and all stakeholders involved, no matter their conviction, to immediately declare such action as THE SINGLE MOST IMPORTANT PUBLIC HEALTH EMERGENCY OF INTERNATIONAL CONCERN. Please read and share: https://t.co/0Fupw9JInP #COVID19 pic.twitter.com/I24mSjpVKM

— Geert Vanden Bossche (@GVDBossche) March 6, 2021

 Retrouvez la lettre originale (en anglais) en PDF


Auteur(s): Geert Vanden Bossche Ph.D, traduit