« Pour en finir avec nos peurs », très beau livre audio d’Eric Ancelet

Eric Ancelet, auteur du livre de référence n° 1 « Pour en finir avec Pasteur », nous écrit en ces périodes très spéciales, « Pour en finir avec nos Peurs ». Il nous dit: « Reprendre la parole vingt ans plus tard ? Bien sûr ! Au moment où les pires compromissions sont enfin révélées et largement diffusées, entre une science dévoyée et ses interprétations erronées de l’écologie microbienne, et une économie de marché sans conscience, cynique et mortifère, oui ! Reprendre la parole haut et fort pour en finir, et changer de paradigme. « 

Pour en finir avec nos peurs

Lien vers le livre sur le site de l’editeur Marco Pietteur.

Ce qui est irresponsable … (Ingrid Courrèges)

Il y aura des gens parmi vos amis, votre famille, des personnes que vous ne connaîtraient pas sur des plateaux télé qui vous diront vous êtes irresponsables parce que vous n’avez pas porté votre masque en plein air  aujourd’hui lors d’un rassemblement, alors qu’il n’y a aucune étude sérieuse qui démontre son efficacité en extérieur. 

Vous serez pourtant à leurs yeux des irresponsables, mais vous pourrez leur répondre ceci :

« Ce qui est irresponsable… »

Ce qui n’est pas responsable, c’est de nous avoir dit que l’épidémie n’avait aucune chance d’arriver en France et de ne pas s’y être préparé. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est d’avoir laissé l’hôpital sans moyens depuis des années et de faire porter sur les soignants le poids des erreurs politiques manifestes et répétés répétés. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de penser qu’il n’y a que la vaccination qui pourra nous sortir de cette situation. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de croire sur parole les labos pharmaceutiques et d’accepter de tester à grande échelle un prototype de vaccin expérimental. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de ne pas écouter des spécialistes réputés en économie, en médecine, en droit, en biologie, en psychiatrie, sous prétexte qu’ils ne vont pas dans le sens de la pensée gouvernementale. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de dire à des gens qu’ils ne sont rien, rien, rien, qu’ils ne sont pas utiles à la société, qu’ils sont non essentiels. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de mettre au ban de la société les fiertés de notre nation que sont la gastronomie, la culture et le sport. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de fermer des lieux culturels alors qu’aucun cluster n’a été identifié dans ces lieux et de priver les Français du droit fondamental à l’éveil. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de ne pas promouvoir les bienfaits de l’activité physique, du soleil, du grand air et d’interdire la promenade, la baignade et le sport. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de voir ces dizaines d’enfants entrer en psychiatrie pour des tentatives ou des envies de suicide et de ne rien faire. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de laisser nos étudiants dans leur cité universitaire comme dans une prison sans lien social

Ce qui n’est pas responsable, c’est de continuer à considérer les Français comme des enfants et de leur demander de se comporter en adulte. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de punir à 18h05 des automobilistes piégés dans des bouchons créés par les contrôles eux mêmes. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est embourber les Français dans des mesures absurdes et de perdre la confiance de son peuple.

Ce qui n’est pas responsable, c’est de couler l’économie en endettant les Français sur plusieurs générations

Ce qui n’est pas responsable, c’est de ne pas voir que les dégâts causés par les mesures sanitaires ont dépassé ceux causés par le virus lui même. 

Ce qui n’est pas responsable, c’est de faire peser le poids des erreurs politiques sur le dos d’un Français qui a retiré son masque le temps d’un après midi ensoleillé en extérieur. 

Voilà ce que vous pourrez répondre avoir enlevé votre masque. Aujourd’hui, ce n’est pas irresponsable, c’est réfléchi. Montrez votre visage dignement, le temps d’une manifestation ou le temps d’une revendication, c’est un acte ponctuel de désobéissance civile et de contestation. 

Ce n’est pas un acte irresponsable, c’est un acte citoyen.

Questions à poser si on veut vous vakxiner.

Pour calmer ceux qui voudraient nous vakxiner, voici une lettre de réponse à se faire vakxiner :

Madame, Monsieur,

J’ai bien reçu l’invitation pour recevoir un vakx1 ARNm contre le SRAS-CoV-2 et vous en remercie.

Avant de prendre une quelconque décision y étant relative j’aimerais que vous m’informiez (1) en me répondant par écrit (2) sur les points suivants qui me semblent fondamentaux :

1- Me donner la liste complète des ingrédients des vakx1s mis en circulation actuellement dans notre pays;

2- Me certifier que le vakx1 que vous projetez de m’injecter ne contient pas de MRC5 (des cellules de fœtus avortés ou traces d’ADN humains), ce qui irait à l’encontre de mes convictions religieuses ;

3- Me certifier qu’il n’y a aucun risque de réactions iatrogènes ;

4- M’informer de toutes les contre-indications et de tous les effets secondaires potentiels, réparables ou irréparables, à court, moyen et long termes ;

5- Me certifier de façon sans équivoque et de bonne foi, dans le respect de l’article 13 de la Convention d’Oviedo (3), que cette technologie n’a pas le potentiel de modifier l’ADN humain grâce à ce que l’on appelle la transcriptase inverse, qui permet explicitement le transfert d’informations de l’ARNm à l’ADN

6- Me certifier que ce vakx1 ne contient pas d’inserts du virus VIH

7- Me certifier que le vakx1 ne contient pas de puce ’Identification par Radiofréquence (Rfid) ou de nano technologie se présentant sous une forme quelconque

8- Me certifier que tous les paramètres médicaux concernant les essais et les études requis ont été satisfaits ;

9- Me préciser quels sont les autres traitements possibles pour lutter contre le SRAS-CoV-2 en détaillant les avantages et les inconvénients de chaque traitement, au sens de l’article 2 du Code de Nuremberg (4).

De plus, je vous prie de bien vouloir me répondre simplement, par oui ou par non, aux questions suivantes:

1. Si je me fais vakxiner, puis-je arrêter de porter un masque ?

2. Si je me fais vakxiner, puis-je arrêter la distanciation sociale ?

3. Si je me fais vakxiner, dois-je encore respecter le couvre-feu ?

4. Si mes parents, mes grands-parents et moi-même sommes tous vakxinés, pouvons-nous nous étreindre à nouveau ?

5. Si je me fais vakxiner, serai-je résistant à la Covid et à ses nombreux variants et pour combien de temps ?

6. Si je me fais vakxiner, est-ce que j’éviterai les formes graves avec hospitalisation, ainsi que la mort ?

7. Si je me fais vakxiner, serai-je contagieux pour les autres ?

8. Si j’éprouve une réaction indésirable grave, des effets à long terme (encore inconnus) entraînant même la mort, serai-je (ou ma famille) indemnisé ?

D’autre part, outre vos réponses, je compte m’informer de façon contradictoire par les indications données par les laboratoires et les experts officiels du Gouvernement, mais aussi par des scientifiques indépendants et des témoignages de personnes ayant déjà été vakxinées : ce n’est que lorsque j’aurai recueilli toutes ces informations que je serai à même de vous remettre mon consentement libre et éclairé (5), après avoir évalué objectivement la balance bénéfice/risque.

Le cas échéant, je reviendrai vers vous, en ayant éventuellement sélectionné le vakx1 qui me conviendrait le mieux.

Je suis en parfaite santé et n’ai nullement l’intention de voyager, ce qui me permet de prendre un peu de recul afin de prendre une décision réfléchie et responsable, ayant toujours en mémoire le serment d’Hippocrate qui reste la pierre fondatrice de notre médecine : « primum non nocere ».

Recevez, Madame, Monsieur, l’assurance de ma meilleure considération.

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Références légales :

(1) « J’informerai correctement les personnes qui font appel à mes soins ». Serment d’Hippocrate, version adaptée par le Conseil national de l’Ordre des médecins (juillet 2011)

(2) Loi du 22 août 2002 relative aux Droits du patient– article 7 §2 :

« La communication avec le patient se déroule dans une langue claire. Le patient peut demander que les informations soient confirmées par écrit ».

En complément pour les Belges qui ne savent pas comment réagir à l’invitation à se faire vacciner et qui sont au courant des risques de ce choix.

Retransmission d’un message reçu concernant l’invitation que l’on reçoit par la poste ou sms.

Au sujet de ‘l’invitation » à se faire vacciner à laquelle il est demandé de répondre (oui ou non), voici une réponse qui fut donnée par l’avocat lors du zoom de Droits et Libertés samedi dernier pour ceux qui ne veulent pas du vaccin :

1) ne pas répondre au courrier pour ne pas être repris sur une liste. (le choix que je fais ne concerne que moi et relève de la vie privée)

2) Si appel d’insistance ou courrier harcelant ou remarques d’un supérieur dans le cadre du travail, voici ce qui peut être répondu : J’ai consulté un professionnel qui m’a indiqué que l’article 10 de la loi du 22 août 2002 prévoit que toutes les informations qui concernent la santé du patient relèvent de la vie privée

Dans les cas extrêmes d’insistances/chantages/menaces de licenciements ou d’autres conséquences discriminatoires, il devient nécessaire de dire : soit vous cessez les pressions, soit je dépose une plainte pénale chez vous pour violation des droits fondamentaux, ici, le droit à la vie privée. 

Le simple fait de connaître le choix vaccinal d’une personne est une atteinte à la vie privée. 

Ils sont en infraction car ils violent la loi de 2002. Donc, ne pas répondre est parfaitement légal et évite de tomber dans le piège de chercher à répondre correctement à leurs questions, au fait, illégales. 

D’après l’avocat, cela stoppe toute insistance.

Michel Weber: Penser le totalitarisme sanitaire (2)

Dans cette deuxième interview, Michel Weber, philosophe, aborde la question de la croissance infinie dans un monde fini, l’étude des pathologies du pouvoir, indispensable pour saisir qui nous gouverne, revient sur le « Great reset » et le Forum économique mondial… Indispensable pour comprendre le monde actuel.

Lien vers l’article et la vidéo de sa précédente intervention

Peter Mc Cullough – 85% de décès/malade en moins quand les patients sont traités précocement par un cocktail de médicaments.

Peter Mc Cullough, un des plus grands spécialistes dans ce qui concerne le coeur et les reins, professeur de médecine dans une université au Texas, fait un déclaration devant le sénat du Texas sur le traitement de la maladie et surtout les censures et les comportements des médias sur tout ce qui relève des traitements au profit d’une vakxination inutile et dangereuse.

https://odysee.com/@Covidbel:5/72bf22:f

Doute sur la qualité intrinsèque des produits présentés comme vakx1s anti-Covid et leurs procédés de fabrication sur base de documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament

Source: Medias Presse Infos par Pierre-Alain Depauw — 2 avril 2021

Le blog du Centre Territorial d’Information Indépendante et d’Avis Pharmaceutiques du Centre Hospitalier de Cholet publie un article très important qui remet en doute la qualité intrinsèque des produits présentés comme vakx1s anti-Covid et leurs procédés de fabrication sur base de documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA).

Avec l’éclairage de Madame Catherine FRADE, Docteur en pharmacie, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique.

Peut-on imaginer le lancement d’une chaîne de fabrication de voitures, et la mise en circulation de ces véhicules, malgré les incertitudes relevées dans les documents officiels publiés ? Ces incertitudes concernent la qualité des pièces composant le moteur et les différentes autres pièces détachées dont celles relatives à la sécurité, le procédé de fabrication, la reproductibilité des lots commercialisés, etc.

Dans le domaine du médicament (dont les vakx1s), l’acte pharmaceutique de « libération » du produit fini (produit autorisé destiné à la vente) constitue l’ultime étape de contrôle qui précède la mise à disposition de ces produits auprès de la population. Cette étape clef de « libération » relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants, notamment.

Dans la continuité de ses précédentes analyses proposées, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet vient donc, à nouveau, révéler à la population, et sans doute de façon inédite et exclusive, de nouvelles informations capitales, vitales, concernant les 4 vakx1s contre la Covid-19 suivants : celui du laboratoire BioNTech/Pfizer ; celui du laboratoire Moderna; celui du laboratoire Astra Zeneca ; celui du laboratoire Janssen.

Ce travail a été possible grâce à la précieuse contribution de Madame le Docteur Catherine FRADE, pharmacienne, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique. De façon grâcieuse, elle nous a transmis une alerte écrite documentée. Dans ce document, elle apporte un « éclairage » sur des données qui sont extraites, le 22 mars 2021, de l’AMM (autorisation de mise sur le marché) elle-même ; une AMM qualifiée de « conditionnelle ». Elle a extrait des « données sources qui sont difficilement identifiables par quelqu’un qui ne travaille pas dans le domaine ». Ces données sont donc publiques et vérifiables. Au préalable, il y a lieu de préciser que l’auteure de ce document n’exerce plus au sein de l’industrie pharmaceutique ; elle déclare : « Tout d’abord, je tiens à préciser que je n’ai aucun conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique ». C’est donc avec son accord, que le CTIAP entend mettre à la disposition du public, des professionnels de santé, des décideurs… une analyse de quelques-unes de ces données que toute personne devrait lire de façon attentive.

La présente réflexion présente d’abord ce qu’est une AMM « conditionnelle » (I). Puis, elle rappelle que les études concernant ces vakx1s ne sont pas terminées puisqu’elles s’étalent de « 2021 à au moins 2024 » (II). Ensuite, elle révèle, de façon sans doute inédite et exclusive, que les documents officiels, publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA), soulignent l’insuffisance des preuves concernant également la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc. (III). Enfin, cette analyse propose une conclusion.

I- En premier lieu, il est important de comprendre ce qu’est une AMM « conditionnelle »

L’AMM est pour un médicament ce qu’une carte grise représente pour une voiture. L’AMM est octroyée quand un médicament a prouvé sa qualité, son efficacité et sa sécurité ; avec un rapport bénéfice/risque positif : c’est-à-dire qu’il présente plus de bénéfices que de risques. L’obtention de cette AMM est la condition indispensable pour qu’un laboratoire pharmaceutique puisse vendre un médicament, dont les vakx1s.

En l’espèce, dans le cas de ces vakx1s contre la Covid-19, les 4 AMM délivrées sont des AMM dites « conditionnelles ». Elles sont temporaires. Leur durée de validité n’excède pas 1 an ; car elles sont obtenues sur la base de « données allégées incomplètes ». Pour obtenir une AMM standard de 5 ans, les laboratoires concernés doivent fournir des dossiers complétés « d’études en cours et d’études planifiées dans les années à venir ». Tout au long de « ce développement », une surveillance étroite et coordonnée entre les laboratoires fabricants et les autorités de santé est organisée au travers de discussions régulières. L’AMM « conditionnelle » est « réévaluée chaque année » en fonction de l’apport et de l’analyse critique des données supplémentaires fournies et recueillies durant une année complète.

Cette AMM « conditionnelle » est une AMM européenne. Elle a été obtenue par la procédure centralisée accélérée. Elle permet une mise sur le marché simultanée dans les 30 pays suivants (Union européenne et Association européenne de libre-échange) : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Tchéquie.

Les études, concernant ces 4 vakx1s, sont donc toujours en cours.

II- En deuxième lieu, les études planifiées sont toujours en cours et s’étalent sur une période allant de « 2021 à au moins 2024 »

L’ensemble des études déposées lors de la demande d’AMM est résumé dans l’EPAR (European Public Assessment Report : Rapport Public d’Évaluation Européen). Ce dernier est publié sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (EMA). Les études planifiées, non encore réalisées, y figurent également.

Ce planning, qui « s’étale de 2021 à au moins 2024 » selon les vakx1s contre la Covid-19, est défini dans les « annexes » de l’AMM conditionnelle et dans les EPAR publiés.

À titre d’exemple, le vakx1 BioNTech/Pfizer a obtenu cette AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. Et, le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance de ce vakx1 est fixé au mois de « décembre 2023 ».

Le vakx1 Moderna a obtenu cette AMM le 6 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vakx1 est fixé au mois de « décembre 2022 », au moins.

Le vakx1 Astra Zeneca a obtenu cette AMM le 29 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vakx1 est fixé au mois de « mars 2024 ».

Le vakx1 Janssen a obtenu cette AMM européenne conditionnelle le 11 mars 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vakx1 est fixé au mois de « décembre 2023 ».

Mais, à ce jour, et c’est là où se trouve sans doute la révélation inédite et exclusive, un autre délai a été fixé pour ces 4 vakx1s. Ce délai ne concerne plus seulement les essais cliniques en cours, mais également les « preuves de qualité pour la substance active et le produit fini », lui-même : c’est-à-dire la qualité intrinsèque (le cœur) du produit vendu et administré à des millions de gens.

III- En troisième lieu, et cela semble sans doute inédit, les documents officiels publiés soulignent également le caractère incomplet des preuves relatives à la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc.

C’est ainsi que le délai pour déposer les compléments de preuves concernant la « qualité » de la « substance active » et du « produit fini » (c’est-à-dire le vakx1 autorisé et vendu) est fixé aux mois de :

« juillet 2021 » pour BioNTech/Pfizer ;

« juin 2021 » pour Moderna ;

« juin 2022 » pour Astra Zeneca ;

« août 2021 » pour Janssen.

En effet, pour ces 4 vakx1s, le paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l’annexe II de l’AMM, mentionne clairement ce qui suit :

Pour le vakx1 BioNTech/Pfizer (pages 18-19)

À échéance de « mars 2021 », le laboratoire doit fournir « des données de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini ».

À échéance de « juillet 2021 », le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :

« compléter la caractérisation de la substance active et du produit fini » ;

« renforcer la stratégie de contrôle, y compris les spécifications de la substance active et du produit fini » dans le but « d’assurer une qualité constante du produit » ;

« fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient ALC-0315 » et « d’assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;

« fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient ALC-0159 » et « d’assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;

Et à échéance de « décembre 2023 », et « en vue de confirmer l’efficacité et la sécurité » de ce vakx1, le laboratoire « devra soumettre le rapport final d’étude clinique pour l’étude randomisée, contrôlée contre placebo, avec observateur en aveugle (étude C4591001) ».

Pour le vakx1 Moderna (page 15)

Le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :

« compléter la caractérisation des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » (échéance « janvier 2021 ») ;

« confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication de la substance active et du produit fini (tailles de lot initiale et finale) (échéance « avril 2021 ») ;

« fournir des informations supplémentaires sur la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications de la substance active et du produit fini après une plus longue pratique industrielle » dans le but « d’assurer une qualité constante du produit » (échéance « juin 2021 ») ;

« soumettre le rapport final de l’étude pour l’étude clinique randomisée, contrôlée par placebo et en aveugle pour l’observateur mRNA-1273-P301 » dans le but de « confirmer l’efficacité et la sécurité de COVID-19 vakx1s Moderna » (échéance « décembre 2022 »).

Pour le vakx1 Astra Zeneca (pages 14-15)

Le laboratoire doit verser les informations manquantes afin de :

« fournir les données de validation et de comparabilité supplémentaires, et instaurer des tests plus approfondis » dans le but de « confirmer la reproductibilité des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » (échéance « décembre 2021 ») ;

« fournir l’analyse principale (basée sur le data cut-off du 7 décembre (post-verrouillage de la base de données) et l’analyse finale des études pivotales combinées » afin de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 vakx1 AstraZeneca » (échéance « 5 mars 2021 » (pour l’analyse principale) et « 31 mai 2022 » (pour l’analyse combinée)) ;

« soumettre les rapports finaux des études cliniques randomisées et contrôlées COV001, COV002, COV003 et COV005 » en vue de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 vakx1 AstraZeneca » (échéance « 31 mai 2022 ») ;

« fournir des données supplémentaires concernant la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications du produit fini après une longue pratique industrielle » en vue « d’assurer une qualité constante du produit » (échéance « juin 2022 ») ;

« soumettre la synthèse et les résumés de l’analyse principale et le rapport final d’étude clinique pour l’étude D8110C00001 » en vue de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 vakx1s AstraZeneca chez les personnes âgées et le sujets présentant une maladie sous-jacente » (échéance « 30 avril 2021 » (pour l’analyse principale) et « 31 mars 2024 » (pour le rapport d’étude final)).

Pour le vakx1 Janssen (page 18)

Le laboratoire doit transmettre les informations manquantes afin de :

« fournir des données de comparabilité et de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini » (échéance « 15 août 2021 ») ;

« déposer le rapport final de l’étude clinique randomisée, contrôlée contre placebo, en simple aveugle VAC31518COV3001 » en vue de « confirmer l’efficacité et la sécurité du vakx1 COVID-19 Ad26.COV2.S » (échéance « 31 décembre 2023 »).

Ces faits nous permettent de proposer une conclusion.

Conclusion

Par ces motifs, non exhaustifs, il était donc utile de chercher et de lire également et notamment le contenu dudit paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l’annexe II de l’AMM, correspondant à chacun de ces 4 vakx1s contre la Covid-19.

L’insuffisance d’évaluation ne concerne donc pas seulement les essais cliniques (études menées chez l’Homme (femme et homme)), mais également la qualité même de la substance active, des excipients dont certains sont nouveaux, du procédé de fabrication, des lots libérés et administrés à des personnes humaines dans plusieurs pays du monde.

D’ailleurs, ces excipients nouveaux doivent être considérés comme des principes actifs nouveaux ; et ainsi faire l’objet d’un dossier d’évaluation complet et similaire à celui qui est exigé pour un principe actif nouveau.

Le changement du nom commercial de l’un de ces vakx1s, comme cela a été récemment annoncé pour notamment le vakx1 du laboratoire Astra Zeneca, ne pourrait être considéré que comme un arrangement cosmétique de l’image du produit dans un but marketing (conquête d’une nouvelle confiance du public, relance des ventes). Il ne répondrait pas aux questions soulevées concernant la qualité, l’efficacité et la sécurité du produit. C’est l’une des techniques habituelles utilisée pour maquiller (dissimuler) certaines caractéristiques indésirables du produit concerné. Une technique qui a déjà été employée pour présenter d’autres médicaments sous leur meilleur jour.

Comme déjà mentionné précédemment, dans le domaine du médicament (dont les vakx1s), la « libération » du produit fini (destiné à la vente) est l’ultime étape de contrôle (de la qualité et donc de la sécurité) avant de mettre à disposition de la population ces produits.

Cette étape clef de « libération » des lots relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants. Mais, la responsabilité des utilisateurs (établissements et professionnels de santé notamment) peut également être engagée.

À notre avis, ces études cliniques n’auraient jamais dû commencer avant, au moins, la totale maîtrise de la qualité intrinsèque du produit fini et de son procédé de fabrication ; avant la stabilisation des formules de ces vakx1s.

Comment pourrait-on comparer les résultats de ces essais cliniques, menés à l’échelle mondiale, si le vakx1 administré peut varier d’une fabrication à l’autre, d’un lot à l’autre, d’une région à l’autre… ?

Ces variabilités, qui impactent même le cœur du produit, pourrait même invalider tous les essais cliniques effectués.

Même en cas d’urgence sanitaire, il nous est donc difficile de comprendre les fondements de ces AMM (autorisation de mise sur le marché) qui ont été octroyées à ces vakx1s contre la Covid-19.

Aux incertitudes liées à la Covid-19, se sont ajoutées les approximations liées à l’utilisation, et à la qualité intrinsèque même, de ces vakx1s. Désormais, il faudrait gérer deux problèmes au lieu d’un.

La manœuvre semble subtile. Les informations utiles sont bien disponibles dans les documents officiels publiés dans le cadre de l’AMM ; mais, ces données ne sont pas rendues visibles par le discours officiel. Ce dernier n’aurait cherché qu’à présenter ces produits comme étant efficaces et sûrs, et sans réserves ; alors même que les formules et les procédés de fabrication de ces vakx1s ne semblent même pas encore totalement stabilisés.

Ces nouvelles révélations, sans doute inédites et exclusives, sèment davantage le doute sur la validité du consentement (une liberté fondamentale) qui est censé être libre et éclairé ; et qui aurait été donné par les personnes aujourd’hui vakxinnées.

Toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée. Cette information est également pérenne : en cas de révélation de nouvelles données, les personnes déjà vakxinées doivent être informées a posteriori (après l’administration de tel ou tel vakx1).

L’« obligation » vakxinale ne peut donc prospérer ; même sous forme déguisée via notamment un « passeport vakxinal ».

Cette nouvelle analyse vient confirmer davantage nos précédentes réflexions comme celle intitulée « Le vakx1 contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) pourrait-il être qualifié de « défectueux » par le juge ? » ; ou celles exprimées dans les deux lettres ouvertes qui ont déjà été adressées notamment au Ministre des solidarités et de la santé et aux 7 Ordres professionnels de santé.

La vulnérabilité ne jaillit pas uniquement de l’âge et de l’état de santé des personnes notamment. Ne pas pouvoir accéder à une information indépendante sur les médicaments (dont les vakx1s) est la première des pauvretés et des inégalités.

D’ailleurs, concernant les incertitudes sur l’efficacité de ces vakx1s, le Conseil d’État relevait, le 3 mars 2021, notamment l’aveu du Ministère des solidarités et de la santé, lui-même, et les contradictions de l’« administration » française. Dans cette décision, et contre l’avis de ce Ministère, le Conseil d’État avait pris une décision qui semblait tendre vers la reconnaissance de cette efficacité. Mais, quelques jours plus tard, dans une nouvelle décision (n°450413) rendue le 11 mars 2021, le Conseil d’État change de position et admet « l’incertitude qui demeure sur l’efficacité réelle du vakx1 quant à la propagation du virus ». Il y a lieu de rappeler aussi que, le 18 février 2021, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé a reconnu également, et publiquement, qu’aucun pays européen n’a pu apporter, non plus, la preuve que ces vakx1s permettent de prévenir les formes « graves »de la Covid-19 (cf. conférence de presse à partir de 34min 44s).

Dans son dernier « Point de situation sur la surveillance des vakx1s contre la COVID-19 – Période du 12/03/2021 au 18/03/2021 » publié le 26 mars 2021 – mis à jour le 29 mars 2021 -, l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) fait état de notamment le nombre de décès survenus en France après l’administration de ces vakx1s. Des décès qui sont notifiés (signalés) en pharmacovigilance (indépendamment de la certitude du « lien de causalité » entre ces vakx1s et ces décès) : « 311 décès » après l’administration du vakx1 BioNTech/Pfizer ; « 4 décès » après l’administration du vakx1 Moderna ; « 20 décès » après l’administration du vakx1 Astra Zeneca ; (pas de données pour l’instant concernant le dernier vakx1 (Janssen) autorisé). En sachant, qu’en général pour tous les médicaments, il existe une forte sous-notification en pharmacovigilance malgré le caractère obligatoire de ces déclarations.

Par conséquent, la prudence notamment voudrait même que, dans tous les pays où ces vakx1s contre la Covid-19 ont été commercialisés, tous les lots ainsi « libérés » soient retirés immédiatement ; et que ces AMM qui ont été octroyées soient suspendues, voire annulées, en urgence jusqu’à nouvel ordre. C’est en tout cas le sens des recommandations que nous pourrions suggérer aux autorités ad hoc, et notamment françaises. Et, a minima, ces informations doivent être portées à la connaissance de toute personne de façon claire, loyale et appropriée.

D’autant plus qu’en cas d’effets indésirables graves, dont des décès, et pour établir ledit « lien de causalité » avec certitude, les victimes et leurs familles se trouvent souvent démunies face à l’exigence de la « preuve diabolique ».

L’unique plan vers la 5D. Sortir de la matrice. On ne peut pas combattre l’état profond.

Depuis des siècles, 98 % de la population mondiale est hypnotisée dans une matrice, grâce des conditionnements depuis notre naissance, transmis de génération en génération dans notre culture. Nous sommes bien plus puissants qu’on veut nous le faire croire! Il n’y a qu’une seule solution pour sortir de cette matrice. On ne peut pas combattre l’état profond, car tout est mis en place depuis des siècles, et toutes les hautes instances sont corrompues.

Aaron Russo parle (notamment) du plan ultime de l’industrie bancaire et de la puce RFID

Aaron Russo (14 février 1943, New York – 24 août 2007) était un producteur et réalisateur américain de films, basé à Hollywood. D’autre part, il devint plus tard dans la vie un militant politique, tournant notamment plusieurs documentaires de tendance libertarienne, tels que Mad as Hell et America: Freedom to Fascism.

Son dernier documentaire, America… From Freedom To Fascism, sorti en 2006, dénonce la politique américaine en matière de taxe fédérale sur le revenu et quant au système bancaire fédéral. Selon lui, la politique américaine depuis la création de la Banque fédérale américaine, conduit à une restriction croissante des droits des citoyens américains, surtout avec la mise en place des nouvelles lois depuis les attentats du 11 septembre 2001 dans le but de la création de la nouvelle carte d’identité.

Très impliqué dans la vie politique américaine, il s’est présenté aux élections du gouverneur du Nevada en 1998, sous les couleurs du Parti républicain, où il a fini deuxième, avec presque 30 % des votes. Membre important du Parti libertarien américain, il a été candidat de ce parti lors des primaires organisées pour l’élection présidentielle de 2004.

En 2007, dans une interview de Alex Jones, il dénonce le CFR, soutient les théories du complot à propos des attentats du 11 septembre 2001, et critique la guerre contre le terrorisme, ainsi qu’un « plan de domination mondial des banquiers », (les Rockefeller, etc.).

Il y raconte une discussion tenue entre Nicholas Rockefeller et lui-même, onze mois avant les attentats du 11 septembre 2001, expliquant entre autres les propos tenus par Nick Rockefeller : comment « un évènement allait se produire […] et comment à partir de cet évènement nous (les États-Unis) allions envahir l’Afghanistan, construire des pipelines pour amener le pétrole de la mer Caspienne, que nous allions envahir l’Irak pour prendre le contrôle du pétrole au Moyen-Orient et pouvoir nous implanter là-bas et intégrer cette région dans un nouvel ordre mondial et qu’ensuite nous irions nous occuper de Chavez, au Venezuela ainsi que de l’Iran. Je me rappelle qu’il me disait qu’on verrait des soldats fouiller des grottes à la recherche des responsables, en Afghanistan, au Pakistan et dans toutes ces régions-là. Il y aurait alors une guerre contre le terrorisme où il n’y aurait pas de véritable ennemi. Tout cela ne serait qu’une mystification. Ce serait une façon pour le gouvernement de contrôler les Américains ».

Nick Rockefeller lui aurait aussi affirmé que ses projets pour l’avenir étaient de réduire la population mondiale de moitié et de remplacer la monnaie de papier par des puces sous-cutanées où seraient stockées toutes les informations personnelles de la personne. Tout ceci étant une manière détournée de contrôler ce que Nicholas Rockefeller a désigné comme les « serfs », les « esclaves », en parlant de la population mondiale.

Il évoque aussi l’émancipation des femmes comme étant une duperie. Ce mouvement n’aurait pour finalité rien d’autre que de doubler le nombre de contribuables et de demandeurs d’emploi, mais aussi de réduire l’influence familiale sur chaque enfant, qui finira, par la présence restreinte des parents, par s’attacher plutôt à l’État, de façon indirecte.

Il meurt d’un cancer de la vessie, après six ans de lutte contre la maladie.

Interview complète: quelques mois avant de mourir le réalisateur américain parle à cœur ouvert de la nature de l’élite au pouvoir et des pratiques servant son programme:

Aaron Russo a réalisé un film documentaire qui retrace, aux États-Unis, la prise de pouvoir des banquiers et industriels au début des années 1900. Ce qui est très intéressant dans ce film, c’est que le réalisateur était un ami très proche de Nick Rockefeller, c’est d’ailleurs ce dernier qui a dévoilé « Le plan » à Aaron Russo vers la fin des années 1990. Tous les documents et les affirmations avancées sont là encore « vérifiables », on se demande pourquoi tant de personnes sur cette planète ne s’informent pas suffisamment, les réponses étant toujours les mêmes : Par manque de temps et le fameux « c’est trop gros pour être vrai ». Je vous renvoie donc à la célèbre citation de Goebbels, chef de la propagande des nazis, qui disait : « Plus le mensonge est gros, plus il passe ».
Le film:

Votre FUTUR… par le Dr James Giordano

Auteur de plus de 290 publications en neurosciences et en neuroéthique, de 7 livres et de 15 livres blancs gouvernementaux sur la neurotechnologie, l’éthique et la biosécurité, rédacteur en chef de la revue internationale Philosophy, Ethics and Humanities in Medicine, rédacteur en chef adjoint du Cambridge Quarterly of Health Care Ethics et collaborateur de Frontiers in Human Neuroscience. Ses recherches en cours portent sur les bases neurobiologiques des troubles du spectre neuropsychiatrique et sur les questions neuroéthiques soulevées par le développement des neurotechnologies en médecine, dans la vie publique, dans la santé mondiale et dans les applications militaires. En reconnaissance de son travail, il a été élu membre de l’Académie européenne des sciences et des arts, nommé membre étranger de la Royal Society of Medicine (Royaume-Uni), a reçu le prix de l’excellence des anciens élèves de la City University of New York, la médaille d’or de l’Université de Cobourg pour ses réalisations exceptionnelles et a reçu le prix Klaus Reichert de médecine et de philosophie en Allemagne.

L’OMS et 23 chefs d’Etat (dont Macron) préparent un Traité Pandémie devant conduire à un gouvernement mondial

Une multitude de dirigeants mondiaux ont lancé un appel en faveur d’un traité pandémie mondiale, prétendument dans le but de prévenir de futures pandémies, de distribuer des vaccins et de mettre en œuvre une approche unilatérale de la gouvernance mondiale.

Source: Médias-Presse.info  Pierre-Alain Depauw — 1 avril 2021

Le Premier ministre britannique Boris Johnson, le président français Emmanuel Macron, la chancelière allemande Angela Merkel, la chef de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ainsi que 20 autres dirigeants mondiaux, ont signé une lettre commune avec l’intention apparente de gagner le soutien populaire pour le plan mondialiste.

Dans le journal britannique The Telegraph, ainsi que dans d’autres publications telles que Le Monde en France, les dirigeants ont déclaré leur intention de «construire une architecture de santé internationale plus robuste qui protégera les générations futures».

Qualifiant le COVID-19 de «plus grand défi pour la communauté mondiale depuis les années 1940», les 24 dirigeants ont prédit qu’il «y aura d’autres pandémies et d’autres urgences sanitaires majeures».

«Aucun gouvernement ou agence multilatérale ne peut à lui seul faire face à cette menace», ont-ils déclaré. «La question n’est pas de savoir si, mais quand. Ensemble, nous devons être mieux préparés pour prévoir, prévenir, détecter, évaluer et réagir efficacement aux pandémies de manière hautement coordonnée. La pandémie de Covid-19 a été un rappel brutal et douloureux que personne n’est en sécurité tant que tout le monde n’est pas en sécurité. »

Cette dernière phrase est dans la droite ligne des propos du dirigeant mondialiste du Forum économique mondial (WEF) Klaus Schwab. Il y a quelques semaines, Schwab a déclaré : « Tant que tout le monde n’est pas vacciné, personne ne sera en sécurité » , une déclaration qui en soi pose une question intéressante à propos de la confiance que ces dirigeants accordent à leur vaccin.

Les dirigeants ont réaffirmé leur objectif commun de vaccination mondiale, la décrivant comme un «bien public mondial».

Afin d’atteindre ce «bien public» et d’assurer un déploiement rapide des vaccins à travers le monde, les 24 dirigeants mondialistes ont lancé leur nouveau traité international: «[Nous] croyons que les nations devraient travailler ensemble à un nouveau traité international contre la pandémie».

Ce traité serait basé sur les principes de l’OMS, s’inspirant de la constitution de l’OMS, et inviterait «d’autres organisations compétentes au cœur de cette entreprise». Le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, est l’un des signataires de la déclaration.

«Le principal objectif de ce traité serait de favoriser une approche de l’ensemble du gouvernement et de l’ensemble de la société, de renforcer les capacités nationales, régionales et mondiales et la résilience aux futures pandémies», ont déclaré les dirigeants.

«nous travaillerons avec les chefs d’État et de gouvernement du monde entier, et toutes les parties prenantes, y compris la société civile et le secteur privé”

Déclarant que le coronavirus avait «exploité nos faiblesses et nos divisions», les dirigeants signataires ont déclaré qu’il était de leur «responsabilité» de «veiller à ce que le monde tire les leçons de la pandémie de Covid-19», et saisisse «cette opportunité de se réunir en tant que communauté mondiale pour une coopération pacifique qui va au-delà de cette crise.»

La proposition devrait être discutée plus avant entre les dirigeants nationaux lors du sommet du G7 de juin à Cornwall au Royaume-Uni, où Boris Johnson rejoindra ses homologues du Canada, de France, d’Allemagne, d’Italie, du Japon, des États-Unis et de l’UE. Les signataires ont averti que leur nouveau plan «prendra du temps et nécessitera un engagement politique, financier et sociétal soutenu pendant de nombreuses années».

S’adressant à BBC Radio, l’envoyé spécial COVID de l’OMS, le Dr David Nabarro, a fait écho au langage employé par les 24 dirigeants, notant qu’il faudrait attendre 2022 avant que l’agenda mondialiste de la vaccination mondiale ne soit terminé, et a ainsi fait allusion à «toutes sortes de problèmes avec variantes », avant que cet objectif ne soit atteint.

“Tout ce que les dirigeants disent, c’est que ce problème est si énorme que nous devons travailler ensemble pour le résoudre”, a ajouté Nabarro.

Le traité prévu s’aligne très étroitement sur les objectifs de grande réinitialisation de Klaus Schwab. Le Forum économique mondial parle des «dirigeants» qui «se trouvent à un carrefour historique».

La liste complète des signataires se trouve ci-dessous :

JV Bainimarama, Premier ministre des Fidji; 
António Luís Santos da Costa, Premier ministre du Portugal; 
Klaus Iohannis, président de la Roumanie; 
Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni; 
Paul Kagame, président du Rwanda; 
Uhuru Kenyatta, président du Kenya; 
Emmanuel Macron, président de la France; 
Angela Merkel, chancelière de l’Allemagne; 
Charles Michel, président du Conseil européen; 
Kyriakos Mitsotakis, Premier ministre de la Grèce; 
Moon Jae-in, président de la République de Corée; 
Sebastián Piñera, président du Chili; 
Carlos Alvarado Quesada, président du Costa Rica; 
Edi Rama, Premier ministre de l’Albanie; 
Cyril Ramaphosa, président de l’Afrique du Sud; 
Keith Rowley, Premier ministre de Trinité-et-Tobago; 
Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas; 
Kais Saied, président de la Tunisie; 
Macky Sall, président du Sénégal; 
Pedro Sánchez, Premier ministre espagnol; 
Erna Solberg, Premier ministre de Norvège; 
Aleksandar Vučić, président de la Serbie; 
Joko Widodo, président de l’Indonésie; 
Volodymyr Zelensky, président de l’Ukraine; 
Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé.