Etats-Unis : quand les fraudes sont désormais des faits…

 Publié le 24/08/2021 sur France Soir

Le fameux lapsus de Joe Biden révélé au public ?

Auteur: Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir

CHRONIQUE – Le cyber-symposium organisé par l’entrepreneur Mike Lindell à Sioux Falls dans le Dakota du Sud a réuni les chercheurs pour récapituler les faits avérés sur ce qui s’est véritablement passé le 3 novembre 2020 lors des élections présidentielles. Du 10 au 12 août, législateurs et représentants élus des 50 États, procureurs et avocats, geeks, représentants de la presse, citoyens et patriotes ont découvert comment les votes ont été manipulés par des algorithmes exécutés via les machines de votes dans tous les États, et constaté par eux-mêmes la montagne d’évidences rassemblées par les différents groupes de citoyens indépendants experts, ingénieurs, statisticiens attestant du plus vaste cyber-crime jamais perpétré dans le monde occidental. Rappelons que ces groupes sont non partisans, et beaucoup de ces chercheurs n’ont pas voté pour Donald Trump. Ces volontaires physiciens, mathématiciens, hackers et spécialistes de cyber sécurité ont mis leurs compétences au service du recouvrement de l’intégrité du système électoral. Ils croient en leur République et en la Constitution et ont refusé d’adhérer aux mensonges martelés par les médias, constatant dès la nuit de l’élection – et pour les spécialistes du renseignement, plusieurs semaines avant la date – que « quelque chose clochait vraiment avec les résultats ».

Les algorithmes identifiés et révélés au public

Durant la soirée de dépouillement des élections le 3 novembre, la mathématicienne Draza Smith observe ces mouvements singuliers dans la progression des votes, y compris des votes soustraits au président Trump ou des fractions de votes attribués aux candidats, tout cela en temps réel. Grâce à ces mouvements, elle repère le fonctionnement de systèmes de perturbation connus en mathématiques des cyber experts, et mis en œuvre pour aboutir à un résultat prédit à l’avance, à partir d’un historique de données, en l’occurrence l’historique des votes d’un État donné. Ces systèmes s’appellent des régulateurs PID, ces algorithmes rectifient au fur à mesure les données reçues, en effectuant des actions correctives proportionnelles, intégrales et dérivées pour aboutir aux résultats recherchés. Mais le fait que de trop nombreux citoyens se soient déplacés pour voter pour Trump a saturé ces régulateurs. Ceci explique pourquoi les États clés ont arrêté de compter sous divers prétextes fallacieux durant la nuit du 3 au 4 novembre 2020 : les régulateurs n’avaient plus assez de votes en réserve pour effectuer les mouvements d’oscillation prévus en direction de la victoire de Biden.

Ces observations viennent compléter la découverte par le physicien Douglas Frank d’un autre algorithme installé pour faire aller l’élection dans le sens voulu par l’État profond. Ce système applique des clés de modification des votes par tranche d’âge pour changer les votes au fur et à mesure du processus de l’élection, sur la base du recensement de 2010. La stratégie a été établie par État, puis déclinée par comté en utilisant des algorithmes polynomiaux du sixième ordre. Le recensement de 2010 est un choix astucieux des cyber criminels, car il donne au système une ligne de crédit, autrement dit des réserves de voix d’électeurs fantômes par tranche d’âge, tout en respectant la courbe du recensement : les citoyens qui ne votent pas, les électeurs décédés et ceux qui ont quitté l’État et auraient dû être retirés des listes électorales. Pour faire tourner les algorithmes, il faut voter avec des machines, que celles-ci soient programmées et connectées à Internet. Le professeur Frank a appliqué ce même algorithme et a ainsi pu prédire les résultats de tous les comtés de l’Ohio. En ajustant les clés, il a réitéré le calcul et a retrouvé les résultats de 13 autres États : une clé par État, selon la courbe de sa population. Rien de naturel dans ces résultats donc, mais l’application dudit algorithme. Comme l’a affirmé le professeur Frank durant le séminaire : « Nous possédons les preuves mathématiques des fraudes électorales massives intervenues dans tous les comtés des États-Unis ; il s’agit maintenant de faire passer le message au grand public, en expliquant ces manœuvres techniques sophistiquées de la manière la plus compréhensible possible. »

Les fraudes constatées par comté

De son côté, le capitaine Seth Keshel, vétéran du renseignement militaire et spécialiste de l’analyse des probabilités, a présenté un travail statistique remarquable accompli sur l’ensemble des 3242 comtés des 50 États. Croisant pour chaque État l’historique des résultats des élections précédentes en remontant parfois jusqu’à 1948, les mouvements de population et l’évolution du nombre d’inscrits aux différents partis sur les listes électorales, pour établir les résultats prévisionnels dans chaque circonscription, il a déterminé les comtés où la fraude est plus que probable (cf. la carte ci-dessous). Selon les États, les fraudes ont été perpétrées via les bulletins de vote par correspondance ou grâce aux algorithmes, ou en combinant les deux procédés. Suite à ses calculs, S. Keshel incite les élus et les citoyens à exiger un audit judiciaire complet des élections dans ces comtés. Ses projections statistiques conduisent aux mêmes résultats que les autres chercheurs indépendants. Donald Trump a gagné tous les États clés : l’Arizona, la Géorgie, le Michigan, la Pennsylvanie, le Nevada, le Minnesota, le Wisconsin. D’après Keshel, ce système frauduleux a aussi servi à voler leur siège à cinq sénateurs républicains lors des dernières élections. Il encourage les États où Trump a gagné, comme le Texas, à conduire des audits dans certains comtés où des fraudes ont également été commises. Dans ces circonscriptions, Trump a bénéficié d’une part importante du vote hispanique et a gagné beaucoup plus largement que les résultats officiels. Il appelle à l’action les législateurs des États concernés pour soutenir et conduire les audits judiciaires nécessaires, aller au bout du processus et rétablir la vérité sur les élections générales.

La détermination des patriotes renforcée par ce symposium

Rassembler en un même lieu à la fois un panel d’experts non partisans, parvenus aux mêmes conclusions de manière indépendante, diffuser en temps réel les présentations des analyses et des preuves devant un parterre où les 50 États sont représentés, a porté un sacré coup à « l’État profond ». Pendant le symposium, les attaques se sont multipliées, en interne et à l’extérieur, l’équipe de Mike Lindell a été infiltrée, les serveurs utilisés pour la retransmission du séminaire ont crashé, ces intimidations ont touché aussi les personnes : Mike Lindell a été menacé dans le hall de son hôtel. Tina Peters, une des rares employées électorales du comté de Mesa dans le Colorado, ayant osé témoigner durant le séminaire, a confirmé que les machines de vote Dominion sont connectées à Internet, et que les mots de passe sont aux mains uniquement du secrétaire d’État et des employés de Dominion. Pendant son absence, les machines de vote, routeurs et équipements électroniques ont été saisis dans son bureau. Le colonel Phil Waldron, impliqué depuis le début dans l’identification des fraudes, a rejoint l’équipe d’experts rassemblée par Lindell. Cet expert en cyber attaques a identifié ces perturbateurs dont le rôle est de discréditer les législateurs venus participer au symposium : activité connue des services de renseignement et destinée à diviser le peuple, que ce soit par les préférences politiques, la couleur de peau ou la religion.

Comme l’a expliqué le professeur de droit David Clements, organiser une telle fraude à l’échelle nationale est l’œuvre d’un véritable cartel criminel, avec ses commanditaires, organisateurs, spécialistes, complices et hommes de main. Avant d’enseigner, D. Clements a acquis une longue expérience de procureur et instruit plus de 120 affaires devant différents jurys, il a enquêté, poursuivi et mis sous les verrous les membres de cartels de la drogue. Il s’agit maintenant de découvrir les commanditaires, acteurs et complices du cartel qui a organisé le vol électoral dans tout le pays. Il avertit publiquement les complices, qu’ils soient parmi les fonctionnaires électoraux, les employés des fabricants de machines de votes Dominion, IMS ou Smartmatic, et politiciens de tous bord des différents États, qu’il est temps de venir témoigner afin d’alléger leur peine.

Grâce à ce symposium, et malgré les opérations menées pour déstabiliser et décrédibiliser Mike Lindell et ses équipes, la synergie créée entre les participants constitue le ferment d’actions citoyennes dont l’envergure s’accroît. Les législateurs, représentants du congrès et sénateurs des États repartent avec un plan d’action, ils ressortent soudés et déterminés à mener les audits judiciaires pour faire la lumière sur les élections, et se sentent soutenus et renforcés dans leur responsabilité constitutionnelle et leur serment de servir leur peuple. Trop d’Américains sont maintenant déterminés à connaître la vérité sur ces élections. Le rapport complet sur l’audit judicaire du comté de Maricopa en Arizona devrait être rendu public dans la deuxième semaine de septembre. D’autres audits sont engagés – tout en faisant face à de nombreux obstacles -, en Pennsylvanie et en Géorgie.

Durant la campagne, Joe Biden a commis un lapsus qui ne faisait certainement pas partie du script qu’on lui avait préparé, déclarant publiquement : « Nous avons mis au point le système de fraude électorale le plus étendu et le plus inclusif dans l’histoire de la politique américaine. »

Celui-ci est en train d’être démantelé et révélé au public.

Auteur(s): Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir

Sommes-nous entrés dans un monde de fraude et de mensonges généralisés?

« Interférence absolue » Le documentaire en VF.
La suite de la Preuve Absolue, le documentaire exceptionnel de Mike Lindell sur la fraude aux élections américaines du 3 Novembre 2020. De nouvelles preuves et des intervenants exclusifs !

https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2/X22-REPORT-LIVE-DEQ-23-04-21:0

Documentaire édifiant sur la fraude électorale aux USA

Documentaire qui vient d’être publié aux USA sur la fraude gigantesque qui a eu lieu lors de la dernière élection présidentielle aux USA. Document de 2h apportant toutes les preuves des fraudes et de la complicité des autorités judiciaires. A voir particulièrement les 20 dernières minutes apportant la preuve (sauf s’il s’agit d’une manipulation grossière … qui devrait être prouvée) de l’ingérence étrangère dans cette élection.
Renversant!
Si cela ne provoque pas une réaction massive aux USA, cela serait vraiment inquiétant.

https://open.lbry.com/@Eveilinfo:b/LINDELL-ABSOLUTE-PROOF-OF-FRAUD-IN-US-ELECTIONS-VOSTFR:f

Mise à jour du 2/4/21:

Second documentaire révélant les techniques informatiques derrière la fraude:
https://lindelltv.com/mike-lindell-tv-releases-irrefutable-election-theft-proof/

Les cinq stades de l’effondrement

Dmitry Orlov

Article intitulé « Rapport de fin d’année 2020 de la société satanique mondiale » paru sur le site du Saker Francophone, sur base d’extraits du  livre de Dmitry Orlov qui est l’un des ouvrages fondateurs de cette nouvelle « discipline » que l’on nomme aujourd’hui : « collapsologie » c’est à-dire l’étude de l’effondrement des sociétés ou des civilisations.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone

Extrait:

L’installation de « Matilda (Harris)«  (son nom de code immortalisé par son compatriote jamaïcain Harry Belafonte) a été une tâche gargantuesque pour nos membres et leurs alliés et sous-fifres du Parti Démocrate et de l’État Profond. Mais tout a fonctionné grâce au merveilleux système d’éducation publique américain. Il a produit plusieurs générations d’Américains qui peuvent à peine compter sur leurs doigts et leurs orteils. S’ils étaient capables de faire de l’arithmétique de base, ils auraient repéré le problème : 74 millions de voix pour Trump plus 81 millions de voix pour Biden nous donnent 155 millions de voix au total. Mais il n’y avait que 153 millions d’électeurs inscrits il y a seulement deux ans, ce qui représente un taux de participation de 101 %. Et puis 160 millions de personnes auraient voté, soit un taux de participation de 103 % ! Comparez cela aux 55,7 % de participation aux élections de 2016[Sourcils froncés, doigts et orteils qui tremblent nerveusement]

Impossible de donner un sens à ces chiffres. Depuis 2016, la population américaine a augmenté d’un peu moins de 8 millions de personnes. En supposant que la moitié d’entre eux soient devenus en âge de voter, cela ajouterait 4 millions de personnes aux listes électorales. En supposant que tous les électeurs s’inscrivent effectivement pour voter, cela ne ferait que 157 millions. Si on accepte un taux de participation déjà étonnant de 66,6% en 2020, cela représente un peu moins de 105 millions de votes au total, ce qui est loin des 160 millions qui ont été rapportés. Si Trump a obtenu 74 millions de votes, comme on l’a rapporté, alors seulement 31 millions de votes seraient le maximum théorique pour Biden, soit la moitié de celui de Trump. [Silence assommé]

… A la fin de son mandat, il n’y aura pas beaucoup de pays dans lesquels elle pourra continuer à grossir. Et cela nous amène à la dernière partie traditionnelle du rapport de fin d’année : les prévisions. Selon nos amis satanistes de Deagel.com (joli logo satanique discret , au passage, bravo aux concepteurs !) d’ici 2025, les États-Unis perdront 70 % de leur population, 92 % de leur PIB réel et leur économie sera légèrement inférieure à celle du Mexique. Entre-temps, la Chine restera la première économie mondiale, en légère croissance, tandis que l’Inde et la Russie monteront en flèche pour se classer aux deuxième et troisième rangs. Les classements mondiaux seront très différents. L’Allemagne se retrouvera quelque part entre le Chili et l’Afrique du Sud. La Suisse et le Royaume-Uni (si cet anachronisme idiot devait encore exister) se situeront quelque part entre la Slovaquie et la Grèce. Les Suédois seront plus pauvres que les Roumains… et ainsi de suite. Le monde change sous nos yeux et rien ne sera plus jamais pareil. [Silence étonné]

Lire l’article complet sur le Saker Francophone du 30 décembre 2020.

L’épilogue aux USA: le récit d’Anthony Lacoudre, avocat à New York et observateur avisé de la vie politique américaine

Anthony Lacoudre est avocat à New York et observateur avisé de la vie politique américaine. Il nous avait déjà offert quelques contributions éclairantes sur la tournure de l’élection présidentielle. Suite aux émeutes à la fois rocambolesques et dramatiques survenues mercredi, et à la certification dans la foulée par le Congrès de l’élection de Joe Biden, nous l’accueillons pour un debriefing, dans lequel il revient sur l’enchaînement des évènements : déroute républicaine, d’abord en Géorgie pour les élections partielles, puis au parlement dans son ensemble, puisque le Congrès a entériné l’élection suite aux émeutes et à l’invasion du Capitole.

Si pour Anthony Lacoudre, l’issue immédiate n’aurait pas forcément changé, le camp pro-Trump n’a pas pu exposer à la face du monde l’ampleur et les modalités de la fraude, passées sous silence par l’immense majorité des médias. Il est en plus tenu pour responsable de ces émeutes. L’institutionnalisation de la fraude a assuré la victoire du camp démocrate, et ses victimes n’ont même pas pu se défendre : « le coup parfait ».

Récit, analyse, perspectives : retrouvez son debriefing sur France Soir.

Elections aux USA: une mise à jour au 7 décembre

Un point sur la situation au 7 décembre aux USA: état de la fraude, scénariis possibles, qui est Biden, quels conséquences d’un scénario de la victoire de Biden, …

Copie de l’article ci-dessous:

Élections aux USA : Une mise à jour.

Charles Gave

Y a-t-il eu fraude ou pas ? Ceux qui pensent qu’il y a eu fraude se font traiter de complotistes et de demeurés mentaux par tous les media qui nous annonçaient que Trump allait se faire ratatiner. Et pourtant, certains spécialistes s’interrogent. Patrick Basham est un professionnel des sondages et de l’analyse du résultat des élections aux USA et ailleurs. Il avait été l’un des rares à avoir annoncé le vote pour le Brexit en Grande-Bretagne, ou l’élection de Trump en 2016. Dans un article du Spectator américain qui a fait beaucoup de bruit, il fait les remarques suivantes, quelque peu troublantes :

  1. Dans la nuit du 3 au 4 novembre, Trump menant très largement, six états clefs arrêtèrent de compter les votes et les observateurs républicains furent renvoyés chez eux, ce qui ne s’était jamais produit aux USA, dans aucun état. Une fois les observateurs républicains partis, le comptage reprit, sans observateurs républicains.
  2. Dans les votes nouvellement comptés, d’importantes anomalies statistiques se produisirent, tels un très grand nombre de votes (des centaines de milliers… à trois heures du matin ?) et un pourcentage très important de ces votes (90 %) allant à Biden.
  3. De nombreux votes, arrivés en retard, après la date de clôture furent comptés. En Pennsylvanie, 23000 votes arrivés trop tard furent comptés tandis que 86000 votes présentaient une quasi impossibilité d’être arrivés à temps mais furent comptés quand même. L’écart final en Pennsylvanie a été de 20000 votes.
  4. Aucun effort ne fut fait pour vérifier les signatures sur les votes par correspondance avec les signatures figurant sur les enveloppes, ce qui est la loi, et les enveloppes portant la signature de contrôle furent détruites après le vote, on se demande pourquoi.

5.Trois à cinq % des votes par correspondance sont en général rejetés pour erreur. Cette fois ci, 0.3 % des votes le furent. Si on appliquait le pourcentage de 3 %, habituel sur ces votes, Trump serait élu

  1. Dans le County de Delaware, 50000 votes sur 47 clefs USB furent « perdus » dans une zone qui votait Trump massivement.
  2. En Géorgie, plus de 20300 non-résidents auraient voté, ce qui est formellement interdit par la Loi. Biden l’a « emporté » dans cet état de 12000 votes.
  3. Un peu partout l’on note des gens qui sont morts depuis longtemps et qui ont fait leur devoir électoral, ainsi que de nombreux votes par correspondance dont le bulletin de vote n’a jamais été plié, c’est-à-dire qu’il n’est pas passé par une enveloppe…
  4. Partout, de nombreuses anomalies statistiques ont été relevées. Ainsi en Géorgie, sur les 53 derniers paquets de votes comptés, la proportion des votes allant a Biden a été exactement de 50.05 % pour Biden contre 49.95 % pour Trump sur chacun des 53 paquets de vote.  Et la différence est exactement ce dont Biden avait besoin pour enlever la Géorgie. Dans tous les Etats-Unis, toutes les anomalies statistiques sont toujours tombées en faveur de Biden, jamais de Trump, ce qui est statistiquement impossible.

Et l’auteur de conclure : si vous pensez que ceux qui disent qu’il y a eu fraude sont des complotistes, alors, c’est sans doute vous qui avez un problème mental. Il est donc très probable qu’il y a eu de nombreuses fraudes Et donc, le Président Trump qui a juré sur la Bible de faire respecter la Constitution a le droit et le devoir de porter les différends qu’il a avec les démocrates devant les tribunaux qui, d’après cette Constitution, sont les SEULS à pouvoir trancher. En aucun cas ce ne doit être le nombre de tweets ou d’articles de journaux qui doivent décider du résultat de l’élection, mais les tribunaux.

Ceci étant dit, il me faut maintenant présenter monsieur Biden.

Question : Qui est Jo Biden ?

Réponse : Un parfait ectoplasme, sans aucun intérêt, mais qui traîne un nombre de casseroles inimaginables.  En voici quelques-unes.

– C’est lui qui littéralement assassiné Bork (un juge conservateur éminent, présenté par Reagan à la Cour Suprême) lors des auditions pour y être nommé . Son attitude fut telle que le mot « Borked » est devenu un mot en américain pour désigner l’usage de la calomnie pour écarter un rival politique. Il réussit cette fois-là.
– C’est encore lui qui essaie de répéter son exploit, mais cette fois ci avec le Juge Thomas, noir américain et grand juriste également. Cette fois-là, il échoue, de peu. Il est à noter que Thomas siège encore à la cour suprême et si les fraudes remontent jusqu’à lui, je ne pense pas qu’il tranche en faveur de Biden… Mais je n’en suis pas sûr, car Thomas a toujours jugé en fonction du Droit et non pas de ses opinions politiques.
– Lors d’une campagne électorale, il prononce un discours très émouvant pour décrire son enfance nécessiteuse, mais des journalistes repèrent qu’il a repris in extenso le discours du travailliste Gallois Neil Kinnock, l’adversaire de madame Thatcher.
– Lors d’une autre campagne électorale, il explique qu’il est sorti dans les premiers de sa « Law School ». Vérification faite, il est sorti dans les derniers.
– Vice-Président des USA sous Obama, il est chargé de l’Ukraine, où son fils décroche-sûrement un hasard- une position inespérée mais très rémunératrice, comme administrateur de l’une des sociétés ukrainiennes les plus corrompues. Le procureur général Ukrainien décide de mener une enquête sur cette société et Biden demande au Président Ukrainien de virer le procureur dans les deux jours, pour protéger son fiston, faute de quoi le milliard de dollars qui devait être versé par les USA à l’Ukraine ne le serait pas (un cas flagrant de népotisme). Ce qui est fait, et Biden de se vanter de sa forfaiture dans une interview, qui est visible sur le net, ce qui prouve qu’en plus d’être malhonnête, il est idiot.
– Son cher garçon, toujours le même, se fait prendre à nouveau avec la main dans le pot de confiture une fois avec la Russie, l’autre fois avec la Chine, mais rien ne se passe tant cela intéresse peu les journalistes bien que l’un des associés, ancien officier de marine, ait précisé que le dit fiston lui avait dit que « le grand homme » prenait pour lui 50 % des bénéfices…

Voilà donc le personnage éminent qui va diriger la première puissance mondiale : esprit sectaire, plagiaire convaincu, menteur (sur ses diplômes), corrompu et probablement gâteux. Il faut rappeler en effet qu’il est sans doute atteint de démence sénile, et qu’il n’a été mis là que pour préparer le terrain à son Vice- Président ce qui rassure quand l’on sait que le dit Vice-Président est Kamala Harris, mise à ce poste par monsieur Obama, qui a décidément bien du mal à quitter le pouvoir.

La question suivante est : que va-t’il se passer entre maintenant et le 20 Janvier ?

Il va me falloir évoquer plusieurs scenarii

  1. Premier scénario, auquel je ne crois guère : Trump avait tout prévu et avec l’aide des services secrets de l’armée, il va tout dévoiler pour la plus grande confusion de ses ennemis. Pourquoi avoir attendu ? Pour mieux coincer tous les traîtres, la presse vendue, les démocrates corrompus et les juges politisés. Et quand tout cela va-t-il sortir ? Avant le 14 Décembre, date à laquelle le Président doit être élu par les grands électeurs. Autant ce scénario serait satisfaisant, autant je n’y crois guère. De toute façon, nous serons fixés très vite.
  2. Deuxième scénario. Les tribunaux, ou les parlements locaux décident que le processus électoral a été gravement compromis et que les votes d’un certain nombre d’ états ne peuvent être pris en compte. Six états sont en cause. Si trois venaient à ne pas voir leurs votes pris en compte, à ce moment, aucun des deux candidats ne pourrait atteindre les 270 voix requises, le vote passerait des grands électeurs à la chambre des représentants dans laqulle chaque état a une voix, ce qui assurerait la victoire de Trump.
  3. Troisième scénario. Biden est confirmé comme ayant 270 voix ou plus le 14 Décembre.  Dans ce cas-là, il me faut créer deux sous-scénarios.

—Les Républicains remportent au moins un siège lors des deux élections sénatoriales qui vont avoir lieu en Géorgie (l’un des états contestés) et nous sommes dans une situation de blocage institutionnel où les démocrates ne peuvent pas faire grand-chose, ce qui serait très rassurant.

—Les Démocrates remportent les deux sièges et de droit contrôlent la Présidence, la chambre des représentants et le Sénat et pourront déclarer que la Ville de Washington et Porto -Rico, qui tous deux votent démocrates à 80 % deviennent des états, ce qui assurerait le contrôle des démocrates sur le système politique américain « ad vitam aeternam ». Immédiatement, ils voteront aussi de créer 4 juges de plus à la cour suprême pour empêcher tout blocage judiciaire (la majorité de la Cour étant conservatrice) et les USA deviendraient un pays de parti unique menée par une extrême gauche extrémiste, qui s’empressera de donner la nationalité américaine et le droit de vote à tous les immigrés illégaux, ce qui renforcerait leur majorité électorale et leur permettrait d’augmenter le impôts massivement et de faire croître les dépenses de l’état dans tous les domaines. Inutile de souligner que dans ce cas de figure, il faudra vendre le dollar et les actifs financiers aux USA des deux mains, un peu comme il fallait vendre le franc en 1981.

Si je devais mettre des probabilités, je dirais que les deux premiers scénarios ont, ensemble, une probabilité de 30 %, le troisième une probabilité d’environ 60 % et le dernier, le scénario vraiment catastrophique, une probabilité d’environ 10 %.

Voilà où nous en sommes, mais il me faut traiter une dernière question : que va faire monsieur Trump qui est le Président jusqu’au 20 Janvier et qui saura vers la mi-décembre s’il reste le Président ou s’il va devoir laisser la place ? La réponse est : beaucoup de choses, et il a déjà commencé

Depuis son élection en 2016, il a lutté sans répit contre l’Etat profond qui n’a cessé de lui mettre des bâtons dans les roues. Et, depuis les élections de Novembre 2020, il a déjà :

– Viré le ministre de la défense

– Viré Kissinger et madame Albright (ministre des affaires étrangères du Président Clinton), deux des plus éminents représentants de l’Etat profond, tous deux membres d’un comité Théodule au Pentagone chargé officiellement de conseiller le Président des USA sur les affaires de défense et officieusement de le surveiller.

– Décidé de rappeler les troupes américaines présentes en Irak, au Soudan, en Afghanistan, en Syrie,  à la grande fureur des démocrates qui n’ont jamais vu une guerre extérieure qu’ils n’aimaient pas, subventionnés qu’ils sont par les affaires d’armement.

Mais il pourrait aller beaucoup plus loin, en décidant de publier toutes les archives « secrètes » de la CIA, du FBI, du ministère des affaires étrangères, du Pentagone, du ministère de la Justice, ce qu’il a le droit constitutionnel de faire… sur toutes les affaires qui ont empoisonné sa Présidence et qu’il n’a jamais pu faire sortir tant le ministère de la Justice et le FBI ont tout bloqué, complètement contrôlés qu’ils étaient par des troupes fidèles à Obama et aux Clinton. Ce qui mettrait dans une position impossible Biden bien sûr, compromis jusqu’au cou en Chine et en Ukraine, madame Clinton (Libye, Syrie) et tout le personnel dirigeant du FBI et de la CIA (dossier Steele et fausses accusations contre le général Flynn). Il pourrait aussi accorder son pardon présidentiel à Assange, à Snowden et à d’autres partisans de la liberté d’expression, ce qui rendrait l’état profond ivre de rage.

Et certains vont jusqu’à dire, qu’ayant accompli son devoir et rempli sa promesse de ramener les troupes à la maison, tout en ayant nettoyé les écuries d’Augias, il pourrait alors démissionner (vers le 15 Janvier), en faveur de son vice-président monsieur Pence, qui, dans la foulée, lui accorderait à son tour un pardon présidentiel, ainsi qu’a tous se proches, pour empêcher l’Etat profond de le gêner dans ses actions à venir…. Ce qui le dispenserait d’avoir à être présent lors de l’intronisation de Jo Biden.

Conclusion.

Quarante pour cent au moins des citoyens américains, dont un tiers de démocrates, pensent que les dernières élections ont été entachées d’irrégularités et de fraudes, ce qui fait que Jo Biden sera dès le départ un Président parfaitement illégitime, ce qui est très grave et sans précédent dans l’histoire des Etats-Unis. Mais il y a plus sérieux.

Face au monde entier, les USA se sont toujours présentés comme les défenseurs ultimes de la Démocratie, ce qui leur donnait, pensaient-ils, le droit de partir en guerre contre ceux qu’ils percevaient comme étant les ennemis de la Démocratie, ce qui limitait les aventures militaires autres que américaines. A la suite de cette élection plus personne en dehors des Etats -Unis ne pourra prendre au sérieux ces affirmations, ce qui va donner beaucoup de tentations à tous les dictateurs et je pense ici d’abord à la Chine, qui a tous les dossiers dont elle a besoin pour amadouer monsieur Biden, à l’Iran ou à la Turquie, à qui monsieur Biden ne fait certainement pas peur. L’élection de Biden va faire croire à tous ces malfaisants qu’il n’y a plus de shérif en ville, ce qui est très dangereux. Et je n’ai pas le moindre doute que ceux qui étaient visiblement sous la protection du shérif vont se précipiter pour rendre hommage aux brigands qui viennent de prendre le pouvoir dans leur zone. Et ici, je pense à l’Europe et à l’Allemagne qui vont devoir aller à Canossa face à la Turquie, ou à Taiwan, le centre mondial de production des semi-conducteurs qui savent bien que jamais l’Amérique de Biden ne viendra les défendre.  Et Israël risque de se sentir bien seul, ce qui ne peut pas être une bonne nouvelle.

Si Biden est élu et si vous avez aimé l’impérialisme américain, vous allez adorer les impérialismes Turque, Chinois ou Iranien.

Élections aux USA : lettre du général français Dominique Delawarde à ses amis

Mes chers amis,

Nombre d’entre vous m’ont demandé quel était mon opinion sur les événements qui se sont déroulés aux USA entre le 3 novembre et ce jour dans le cadre de l’élection présidentielle américaine. Ma double casquette d’expert du renseignement et de spécialiste des États-Unis m’a valu de nombreuses questions que je résumerai en deux grandes séries :

1 – Y-a-t-il eu fraude électorale et l’hypothèse d’un coup d’état visant à inverser le résultat de l’élection est -elle crédible ?
2 – Si Biden devait être élu le 8 décembre prochain et intronisé le 20 janvier 2021, quelles conséquences faudrait-il attendre de sa prise de pouvoir.

Je vais m’efforcer de répondre clairement à ces deux questions dans les lignes qui suivent.

Lire la suite …

Avis de tempête sur les élections présidentielles américaines

Ca y est! Les USA entrent dans une période très troublée. Sidney Powell, ancienne procureure et avocate du camp Trump, a rassemblé tous les éléments pour faire invalider les élections américaines notamment pour un logiciel de comptage des votes truqués et d’origine étrangère. Pour rappel, Donald Trump avait publié un « executive order » en 2018, suite à l’affaire Russian Gate de l’élection précédente, pour décréter un état d’urgence de sécurité pour contrer toute influence étrangère dans les élections américaines. Cet état d’urgence est toujours d’application pour ces élections présidentielles et devrait permettre enquêtes et arrestations de toutes les personnes ou sociétés incriminées. Ceci peut être considéré comme une déclaration de guerre à l’état profond (CIA, Soros, milliardaires des Big Tech et Big Pharma, …).
Voir ci-dessous la vidéo de la déclaration de Sydney Powell ce 19/11.

Un petit retour sur les élections américaines

Tout d’abord une petite vidéo que vous ne trouverez certainement pas sur les médias traditionnels. Une manifestation de soutien de ses partisans à Washington ce samedi 14/11

Tout d’abord une petite vidéo que vous ne trouverez certainement pas sur les médias traditionnels. Une manifestation de soutien de ses partisans à Washington ce samedi 14/11

Un article de Charles Gave fondateur et directeur de l’Institut des Libertés:

Retour sur le Logos et Élections Américaines

Charles Gave

Avant- propos.

Dans mon billet de la semaine dernière, j’ai peut-être enterré le Président Trump un peu vite. Je viens d’écouter l’interview d’une femme remarquable, Sidney Powell, grande juriste s’il en fût, qui a sauvé la mise au General Flint, injustement accusé de compromission avec la Russie. Cette femme, que je suis depuis longtemps et que j’ai toujours trouvé extraordinairement pondérée et compétente, annonce très calmement, dans cette interview, que le Président avait mis en place une « task force » d’avocats prestigieux pour surveiller les élections « en amont » et que, non seulement elle a toutes les preuves que des fraudes gigantesques ont eu lieu mais qu’en plus « elle allait lâcher le Kraken », c’est-à-dire qu’elle allait mettre ces preuves dans le domaine publique assez rapidement.

Pour ceux qui parlent l’anglais, voici le lien avec cette interview qui m’a laissée pantois : https://youtu.be/rNQNw6ecRtc

A chacun de se faire une opinion, la mienne est faite.

Rien n’est joué aux USA.    

Mais revenons sur le Logos et les élections aux USA.
Lire la suite sur le site de l’Institut des Libertés ….

Un résumé de l’enjeu des élections présidentielles US.

Une déclaration très percutante d’un républicain aux membres de son parti sur l’enjeu essentiel de l’élection américaine: un homme (D. Trump) contre un mouvement mondialiste détruisant la culture américaine.

https://odysee.com/@Miniver:4/ThomasD:0

Joe Biden existe-t-il vraiment ?

Extrait du numéro 258 de l’Antipresse de Slobodan Despot

USA: AU PAYS DU RÉEL UBÉRISÉ
Joe Biden existe-t-il vraiment? A-t-il vraiment dérapé comme on l’a vu déraper? A-t-il vraiment tenu les propos qu’il a tenus? Au vu de la situation, il est sage et logique de répondre par la négative. Tout cela n’est jamais arrivé et Joe est en parfaite santé mentale. Voici pourquoi.Tes en train de gagner! — Gagner quoi?T’es en train de gagner! — Gagner quoi?
«Tous les hommes et les femmes, créés par, vous savez, vous savez… la chose.» (Joe Biden)

Avec ses absences, ses gaffes, ses quiproquos et ses lapsus, le candidat Biden a rendu les Américains rouges… de rire. Tous les Américains? Non. Pas les démocrates ni les journalistes de grand chemin, qui ont passé sur ses erreurs système avec l’expression absente du chat qui caque.

Pourtant Sleepy Joe n’en a pas manqué une, entre les remarques racistes, le pelotage d’enfants, la surestimation fantaisiste des morts militaires du Covid (6114 militaires selon lui pour 7 cas avérés)(1), et j’en passe. Pour le plaisir, on peut revoir en boucle la séquence où le célèbre présentateur de Fox News, Tucker Carlson, singe ses borborygmes sans queue ni tête en plein discours de campagne.

L’aveu capital qui ne signifiait rien.

Mais, à la lumière du déroulement des élections et des soupçons de magouilles pro-Biden assez solidement documentés dans plusieurs États, une énième bévue du vieux Joe prend un relief singulier. Le 24 octobre, de manière très distincte et sans se reprendre, il déclarait dans une interview: «nous avons mis sur pied la plus vaste et la plus inclusive organisation de fraude électorale dans l’histoire des États-Unis.» La séquence a été diffusée en mode viral par le camp Trump. En face, ce fut un silence consterné. Quelques «fact-checkeurs» ont essayé d’amortir le choc en la remettant dans son contexte… mais ne faisant que souligner l’énormité de ce «lapsus freudien». Comment interpréter cet aveu? Soit M. Biden dit la vérité, soit il dit n’importe quoi. S’il dit la vérité, il doit être arrêté, et M. Obama — mentionné dans la même phrase — avec lui. S’il dit n’importe quoi, c’est qu’il est dément — diagnostic attesté par ses dizaines de boulettes antérieures — et donc inapte à la fonction qu’il vise. Aucune des deux options n’a été retenue ni même commentée en dehors du mouvement trumpiste.

Il y a donc une troisième option à considérer: il ne l’a jamais dit. C’est, on le verra, l’option la plus opportune dans le contexte actuel et du même coup la plus préoccupante. Car, à la différence des faits et gestes du président sortant, constamment épiés et disséqués, ce que dit ou fait le candidat Biden n’a absolument aucune incidence. Ses propos peuvent reposer sur des faits avérés ou relever de la fiction complète, cela ne change rien. Le parti pris total des médias en sa faveur a abouti à un résultat absurde: il l’a fait disparaître!

Des studios de CNN à la rédaction de la Radio-Télévision Suisse romande à Genève, le candidat Biden n’existe pas en tant qu’homme en chair et en os. L’homme réel est un vieillard compromis et gâteux, à qui aucun médecin responsable n’accepterait de prolonger le permis de conduire. Le personnage public Biden n’existe qu’en tant qu’hologramme chargé de défaire le président sortant au nom du camp du Bien (et du conglomérat d’intérêts qui le sponsorise), quitte à se dissiper ensuite dans la nature comme une apparition.

Du temps où un chef d’État devait être valide…

Au siècle précédent, un chef d’État avait fait scandale en dissimulant un problème de santé qui ne compromettait en rien ses facultés mentales. Quelques mois après son accession au pouvoir, François Mitterrand s’était découvert un cancer de la prostate. Avec l’aide de son entourage et de ses médecins, il l’avait dissimulé aux Français. Si le diagnostic avait été éventé avant 1988, Mitterrand n’aurait jamais pu envisager un deuxième septennat. En novembre 1994 seulement, son médecin le Dr Gubler estimera qu’il n’est «plus capable d’assumer» son mandat, obnubilé qu’il est par sa maladie. Jusque-là, le Machiavel socialiste aura trompé tout son monde.

Or personne ne peut ignorer l’état de Joe Biden. On fait donc comme si ses dérapages n’avaient aucune importance. Le désaveu de Biden président vient avant tout de son propre camp, qui comprend l’ensemble des médias de grand chemin, et qui lui voue l’absolution machinale qu’on réserve aux demeurés.

Le digne fils de son père.

Mais Joe est un cumulard: à la démence, il ajoute la corruption. Une affaire «opportunément» divulguée à quelques semaines des élections est venue documenter sa compromission dans les affaires douteuses de son fils Hunter, avec lesquelles Joe jurait, la main sur le cœur, n’avoir aucun rapport. Ces affaires sont grésillantes et enchevêtrées comme un réseau électrique à Calcutta, mais l’une des plus éloquentes concerne le fauteuil à 50’000 $ par mois de Hunter au sein du conseil d’administration de la firme gazière Burisma en Ukraine, pays où il n’a jamais mis les pieds. Où il n’avait du reste rien à faire, son poste comme tous ceux qu’il a occupés relevant uniquement de la figuration. C’est papa Joe qui est allé à Kiev réclamer la tête du procureur Shokine qui voulait fourrer son nez dans les affaires de Burisma. Il s’est même publiquement vanté d’avoir obtenu le limogeage du magistrat trop curieux par un chantage au gel des aides d’État américaines. Mais cela n’avait, bien entendu, aucun rapport avec les affaires de son fils dont, mon Dieu, il se gardait bien de se mêler. Puis Hunter, le fils à papa polytoxicomane qu’on promène de sinécure en désintox et de désintox en sinécure, a commis une gaffe qui montre bien de qui il est le fils. Il a réussi à oublier son ordinateur portable chez un réparateur! Lequel réparateur, passé un délai d’attente légal, est légalement devenu propriétaire du computeur abandonné. Dont le disque dur contenait une charge nucléaire. Enfin, aurait contenu une charge nucléaire si son premier propriétaire n’avait fait partie du clan Biden-Clinton, dont les ardoises s’effacent mystérieusement au fur et à mesure et quoi qu’il arrive. L’informaticien a dûment déclaré sa prise au FBI, où on lui a dit, en résumé, qu’il avait une gentille famille et qu’il serait dommage qu’il lui arrive des bricoles. Par précaution, il avait fait deux copies du disque. On y découvre une correspondance pléthorique illustrant la parfaite coordination des Biden père et fils dans le business familial. Sans parler de documents visuels que la prudence et la pudeur m’empêchent d’évoquer ici.

Le Bidengate, ce scandale qui ne peut pas exister.

Le système mafieux du clan Biden est l’«éléphant dans la pièce» du mainstream médiatique, aux USA comme ailleurs. C’est un tabou absolu. Dans le domaine francophone, l’Antipresse a livré la seule description approfondie de cette multinationale du trafic d’influence(2). Le rebondissement rocambolesque du disque dur de Hunter Biden était lui aussi un sujet en or pour le journalisme d’enquête.

Glenn Greenwald, l’homme qui a révélé au monde le témoignage d’Edward Snowden, l’avait bien flairé. Mal lui en a pris. En 2014, soucieux d’indépendance et fort de son prestige mondial dans la profession, Greenwald avait cofondé une plateforme d’enquête de haute volée, The Intercept, qui se donnait la mission et les moyens d’être une référence du journalisme «sans peur et sans compromis». Lorsqu’il a annoncé à ses collègues un papier sur le rôle des médias dans l’étouffement du scandale Hunter Biden, il a été lui-même étouffé par son propre conseil de rédaction! Il a aussitôt démissionné du titre qu’il avait créé (et qui l’a «remercié» avec une lettre d’adieux ignoble). Greenwald s’est rabattu sur le «modèle Antipresse»: le journalisme en mode cavalier seul, par newsletter sur abonnement. Il a laissé en libre accès son article sur Joe et Hunter Biden censuré par The Intercept.

En fin de compte, cet homme de gauche que nul ne peut suspecter de sympathies trumpiennes s’est vu obtenir une tribune chez le conservateur Tucker Carlson sur Fox News! Il y affirme notamment que les médias et le renseignement travaillent main dans la main pour manipuler les Américains. A ce train-là, le mainstream médiatique sera bientôt vidé de ses derniers éléments honnêtes et capables.

La vraie vie dérange? On la déconnecte.

Bref, dans l’univers narratif des médias, la correspondance compromettante de Hunter Biden est une invention des complotistes trumpiens. Alors que dans le monde réel, son existence est incontestable (d’ailleurs le camp Biden ne la conteste pas). Mais le monde réel est ubérisé. Il est convoqué à la carte, uniquement lorsqu’il peut appuyer la narration médiatique. Lorsqu’il la contredit, on le débranche.

Le coup de théâtre des présidentielles 2020 est d’ores et déjà entré dans la culture populaire avec le fameux bond vertical des courbes bleues, survenu à point pour lui faire franchir la barre dans des États clefs. La loi de Benford, ou loi des nombres anormaux, utilisée routinièrement pour détecter les fraudes fiscales, est restée au placard. A quoi bon la sortir, puisqu’elle «fait référence à une fréquence de distribution statistique observée empiriquement sur de nombreuses sources de données dans la vraie vie»? Nous ne sommes pas ici dans la vraie vie, mais dans une construction narrative dont le profil du héros fournit lui-même la clef.

Qui, dans la vraie vie, songerait un seul instant à confier les rênes du plus puissant État du monde à un vieillard au cerveau grillé? Les aventures de Sleepy Joe obéissent non aux lois de la vie publique — fût-ce dans la série House of Cards — mais aux règles du dessin animé: le héros peut tomber du dixième étage ou sauter sur une mine, il sera intact ou à peine noirci à la seconde suivante. Dans la vraie vie, pour accréditer la victoire de Biden autrement que par le résultat contesté des urnes, on serait allé comparer — par exemple — la popularité de ses meetings avec celle de Trump, ou le nombre de ses followers avec celui du rouquin. On s’en est bien abstenu, car il n’y a aucune proportion.

Trump a enchaîné les bains de foule, Biden a mené l’essentiel de sa campagne en vidéo. Ses meetings en «présenciel» ont été souvent des bides complets. A l’occasion de ce vote, par ailleurs, les minorités non-blanches ont infligé un camouflet historique au parti démocrate qui les courtisait et soutenu le candidat républicain plus massivement qu’ils ne l’avaient fait depuis 60 ans. Même les électeurs musulmans, dans une «volte-face choquante» (selon MSN), ont déclaré davantage d’intentions de vote pour Trump que pour… Obama! Parce que, selon eux, il «fait ce qu’il dit». Au bout du compte, Trump aura accru de presque dix millions de voix son soutien par rapport à 2016. Bref, selon les critères de la vie réelle, les commentateurs auraient eu de bonnes raisons de s’interroger sur le fonctionnement du processus électoral.

Mais il y a belle lurette que les critères de la vie réelle sont écartés des rédactions capables de se purger elles-mêmes pour manque d’inclusivité, pour machocentrisme ou pour… un excès de tolérance aux opinions contradictoires (voir l’affaire Bari Weiss dans «New York Times, la spirale de l’obscurantisme», Antipresse 242 | 19/07/2020). Pourquoi les journalistes et les sondeurs qui avaient annoncé contre toute vraisemblance une déferlante bleue venant balayer le rouquin et son dernier carré de crétins blancs racistes se discréditeraient-ils en reconnaissant l’ampleur de la vague rouge alors qu’ils peuvent tout simplement l’ignorer, de même qu’ils ignorent leurs propres et constantes erreurs de jugement? Dans un univers entièrement médiatisé, il est plus aisé de maquiller ou d’effacer la réalité que de remettre en question les présupposés idéologiques. Aussi la fiction se poursuivra de plus belle. Jusqu’à ce que, comme dans l’ex-URSS, la réalité la rattrape sans prévenir et la fasse crouler du jour au lendemain.

Guerre médiatique, le débriefing.

Dans l’intervalle, et quelle que soit l’issue de ce pugilat électoral, cette élection et les quatre années qui l’ont précédée auront été une incroyable mine d’enseignements. Retenons-en trois pour commencer:

1) On aura appris que les structures également nommées État profond n’ont plus besoin de personne pour gouverner et que «leur» candidat pourrait être littéralement un simple d’esprit. Cela donne corps à l’idée d’une démocratie simulacre chère à Chomsky et d’une Amérique régie par une aristocratie financière telle qu’exposée, notamment, par le professeur Carroll Quigley, insider du système et maître à penser de Bill Clinton (et sur qui nous reviendrons).

2) On aura compris pourquoi les Démocrates ont, par deux fois, risqué le suicide en écartant le seul candidat capable de battre Trump dans la vie réelle: le socialiste dogmatique et populiste Bernie Sanders aurait sans doute plus résolument attaqué la mafia Biden-Clinton que le rouquin vantard, lui-même issu de l’oligarchie.

3) On aura saisi la puissance de la mise en réseau de l’information, décentrée et «citoyenne», qui aura permis à Trump de faire jeu égal avec le candidat des médias de grand chemin malgré l’hostilité irrationnelle du mainstream. Une hostilité que Trump a délibérément entretenue et qui a conduit le mainstream à se discréditer jusqu’au bout — notamment en diffusant n’importe quel bobard lié au Russiagate — tout en ne réussissant pas à entamer la popularité de l’adversaire.

Rien que pour la leçon de combat médiatique qu’il a fournie au long de ces quatre années, faisant entrer la réalité du deep state dans la conscience et le langage communs, Donald Trump pourrait être rangé parmi les grands lanceurs d’alerte de ce début de millénaire. Ce n’est pas le moins cocasse des paradoxes.

Notes

«C’est faux — et pas que d’un peu. Biden a surestimé le nombre de morts militaires du Covid de 6 107 et les infections de près de 79 000.

Il y a eu sept décès dans l’armée dus au Covid-19 et 40.026 cas au 9 septembre, selon le Département de la Défense.» (CNN, 9.9.2020)

Voir Arnaud Dotézac: «Affaire Biden, épisode 1: au paradis des emplois fictifs», Antipresse 205 | 03/11/2019;

 «Affaire Biden, épisode 2: officine de la CIA à Kiev», Antipresse 206 | 10/11/2019.

L’éditorial en vidéo: https://youtu.be/JoxjSBTewqQ

Qui dirige nos nations ?

La brillante intervention d’un sénateur républicain du Sénat américain par rapport aux pouvoirs des Big Tech. Pourquoi n’a-t-on pas d’élu aussi conscient et aussi clair dans ses prises de position ? Et que dire de l’Union européenne qui ne se soucie même pas des représentants du peuple ? Qui dirige et au bénéfice de qui et de quoi ? Il est temps de se réveiller !

Lettre ouverte du Cardinal Carlo Maria Viganò au Président des Etats-Unis.

Monsieur le Président,

Permettez-moi de m’adresser à vous en cette heure où le sort du monde entier est menacé par une conspiration mondiale contre Dieu et l’humanité. Je vous écris en tant qu’archevêque, en tant que successeur des apôtres, en tant qu’ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique. Je vous écris au milieu du silence des autorités civiles et religieuses. Puissiez-vous accepter ces paroles comme la voix de celui qui crie dans le désert »(Jn 1, 23). …

Suite de la lettre ouverte du Cardinal au Président des Etats-Unis.

Thrive II: un film documentaire à voir absolument

A l’heure de la révélation de ce grand complot des mondialistes qui manipulent les gouvernements, voici un film tout récent qui donne des pistes d’espoir.
Ce film peut être obtenu en location (10$) ou acquis (25$) en accès streaming ou DVD.
Je vous invite à le voir et le partager le plus largement possible.

Tous les détails sur le site https://www.thriveon.com/

Tant qu’à évoquer un film, je vous conseille également celui-ci. Il permet de mieux comprendre les risques que nous courrons actuellement.

Trump s’oppose au coup d’état des mondialistes

A l’heure de ce re-confinement mettant maintenant en évidence à toute personne un peu lucide, qu’il s’agit d’un complot coordonné au niveau mondial, il semble qu’une ré-élection de Trump puisse encore faire un tant soit peu obstacle à ce complot. A moins qu’un réveil des consciences ? Mais à voir ce que je vois, je n’y crois pas trop.


Dans ce sens, voici une série de ses interventions dans la campagne précédente.

Enorme. Le FMI appelle à un nouveau Bretton Woods !

Kristalina Georgieva, est la directrice générale du FMI.
Vue de France, elle est évidemment nettement moins médiatique que ses prédécesseurs français à savoir DSK puis Christine Lagarde qui a laissé la place à Kristalina pour aller rejoindre la BCE.
Pourtant, la directrice du FMI reste la directrice du FMI et ses déclarations doivent toujours être écoutées, et les dernières sont tout simplement fracassantes !
Les « accords de Bretton Woods » ont été signés en 1944 et font référence à une immense réforme monétaire du système international.
Pour le dire autrement, appeler à un nouveau « Bretton Woods », signifie appeler à une nouvelle réforme monétaire.
Il n’y a en économie pas plus important qu’une réforme monétaire provenant de la refonte du système monétaire internationale.
Cela fait des années que je vous explique qu’au bout de ces crises, l’étape ultime sera la réforme monétaire.

Le cycle est toujours et invariablement le suivant.
Crise financière, crise boursière, crise économique, manque de croissance, plus de dépenses, font plus de déficits et de dettes. Arrive un moment où les dettes sont trop importantes. C’est la crise de la dette. Pour lutter contre les dettes, soit on se met en faillite ce qui est très pénible, soit on imprime de la monnaie ce qui fait croire que c’est moins pénible.
Au bout du bout, une fois les monnaies saccagées, alors… il faut une réforme monétaire.
Comprenez par là qu’il faut annuler les dettes libellées en ancienne monnaie et repartir avec une nouvelle en effaçant les ardoises. Au passage, on ruine les épargnants. Un grand classique de l’histoire du monde.

Je vous laisse prendre connaissance des propos de la Directrice Générale et le soin de les méditer pour ce qu’ils impliquent !
Pour lire la suite de cet article de Charles Sannat …

Covid-19: l’étincelle avant le grand Reset ? Pierre Hillard

L’interview par TV Libertés du très documenté Pierre Hillard qui a consacré de nombreuses années à analyser les racines millénaires du mondialisme. Analyse très documentée sur la crise du Covid comme déclencheur du grand Reset permettant la mise en place du gouvernement mondial.

Un autre article intéressant, sur le même thème: Du confinement au grand Reset (source: Le Saker Francophone)

Bien joué ! Trump annonce la gratuité du traitement dont il a bénéficié.

Trump annonce qu’il distribuera gratuitement le « remède » (le Regeneron) qui l’a rétabli en quelques jours. Important, même s’il parle aussi du vaccin, il affirme que c’est plus important que le vaccin. Cela semble en tous cas vouloir dire qu’avec lui, le vaccin ne sera pas obligatoire. Il montre également qu’il ne faut pas avoir peur du virus. C’est déjà pas mal!

Peut-être un brin de lucidité dans ce monde de folie?

Cette analyse des coïncidences d’une série de faits d’actualité peut mettre en lumière ce qui risque de nous arriver dans les semaines et mois à venir. Ce ne sont peut-être que des hypothèses ou des divagations complotistes mais il me semble qu’il vaut mieux envisager toutes les hypothèses que de se fermer les yeux et les oreilles sans rien comprendre de la folie qui semble gagner nos gouvernements au niveau mondial. Etant prévenus, nous pourrons analyser les actualités futures avec un oeil différent. Si cela se passe différemment, notre sens critique en sera encore plus aiguisé.
Cette vidéo m’a en tous cas fait revenir sur mon point de vue dans mon article précédent sur le programme de l’ONU sur The Global Goals for Sustainable Development .