Asselineau, un rare politicien a se positionner clairement sur les dérives gouvernementales et transhumanistes.
Jour : 17 novembre 2020
Un autre médicament efficace pour le Covid revendiqué par un médecin belge
Une lettre ouverte de Marc Wathelet, docteur en Sciences, virologue, spécialiste des coronavirus.
Monsieur le ministre de la Santé publique,
Dans ces temps difficiles, je voudrais attirer votre attention sur un traitement qui pourrait faire une différence énorme pour la santé des personnes qui se retrouvent infectées par le nouveau coronavirus en Belgique.
Il s’agit de l’ivermectine, un médicament bien connu et bien compris, découvert en 1975 et qui est repris sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS. Il est utilisé chez l’homme pour traiter des infections par de nombreux types de parasites et présente également une action antivirale. C’est un médicament qui aurait justifié de bénéficier d’essais cliniques pour tester son efficacité contre le Covid-19, comme je l’avais suggéré en avril dernier. Pourtant, il a été écarté chez nous comme il a été ignoré dans le reste de l’Europe !
Mais, plus loin, ce médicament a été pris en considération : voici qu’une étude qui nous vient d’Égypte, pas encore publiée dans sa forme consolidée (preprint), s’est attachée à comparer les effets de l’ivermectine à ceux de l’hydroxychloroquine. Et les résultats sont spectaculaires!
Le traitement standard du Covid-19 dans plusieurs pays d’Afrique, dont l’Égypte, est la combinaison « hydroxychloroquine, azithromycine et Zinc ». L’étude en question compare ce traitement avec la combinaison « ivermectine, azithromycine et Zinc ». Elle comporte quatre bras de 100 individus chacun, où les formes modérées et les formes sévères de la maladie sont traitées avec l’une ou l’autre de ces deux combinaisons de médicaments.
Dans cette étude les chercheurs mesurent le pourcentage d’amélioration des symptômes couplée à une diminution de la charge virale, d’une part, et le nombre de décès (qui revient à un pourcentage puisqu’il y a 100 patients par bras), d’autre part.
Voici le résumé des résultats obtenus :
Hydroxychloroquine, formes modérées: 74% amélioration, 4 décès
Ivermectine, formes modérées: 99% amélioration, 0 décès
Hydroxychloroquine, formes sévères: 50% amélioration, 20 décès
Ivermectine, formes sévères: 94% amélioration, 2 décès
Avec des résultats aussi clairs, c’est le moment de faire preuve de vision !
Je compte sur les experts qui vous conseillent pour vous confirmer que le rapport bénéfices/risques de cette approche thérapeutique est largement en faveur de son utilisation pour les formes sévères de la maladie. Il est indispensable que ce traitement devienne disponible immédiatement dans les hôpitaux belges pour traiter les formes sévères du Covid-19.
Il ne s’agit pas de vérifier cette étude avec de nouvelles études avant de prendre cette décision, alors que nous avons une moyenne de quelque 200 décès quotidiens dus au Covid-19 en Belgique sur la dernière semaine, et donc une surmortalité d’environ 65% en ce moment. Nous n’en avons pas le temps !
Un « game-changer »
S’agissant des formes modérées de la maladie, l’ivermectine, bien que nécessitant à leur sujet une étude de confirmation, devrait également être disponible pour sa prescription par le personnel de première ligne quand le suivi médical peut être assuré de manière à en surveiller les effets secondaires potentiels.
Malheureusement, pour l’heure, ce médicament n’est disponible dans notre pays que dans sa formulation pour application topique, sous forme d’une crème (Soolantra®). Il est toutefois possible d’obtenir la formulation nécessaire, des comprimés de 3 ou 6 mg pour administration par voie orale, en utilisant la dénomination commune internationale, mais nos pharmacies n’en sont pas approvisionnées.
Je vous recommande dès lors 1) d’autoriser la forme orale de l’ivermectine dans notre pays ; 2) d’assurer l’approvisionnement de nos pharmacies avec ce médicament essentiel ; 3) d’assurer la transmission de cette information aux hôpitaux ; et 4) de faire organiser les essais nécessaires pour confirmer ou infirmer son utilité en première ligne pour les formes modérées.
Il faut avoir la lucidité de reconnaître qu’il s’agit d’un « game-changer » et qu’une réponse très rapide du gouvernement à cet égard permettrait de limiter les conséquences néfastes de la gestion par ailleurs mauvaise de la crise sanitaire dont souffre notre pays.
Je vous rappelle qu’aucun des vaccins en cours de développement n’est conçu pour induire une immunité mucosale, la seule qui soit potentiellement stérilisante et, donc, susceptible d’avoir un effet sur la transmission du virus.
De plus, les critères d’évaluation de ces candidats vaccins sont limités à la question de la réduction des symptômes, sans vérifier leur impact en termes de réduction des décès et de transmission du virus : ainsi la barre est-elle placée très bas pour assurer leur approbation. La réduction des symptômes, si elle peut être obtenue sans effets secondaires sérieux, est certes désirable, mais elle risque fort, dans le même temps, de promouvoir la transmission du virus car c’est bien l’apparition de symptômes qui incite le changement de comportement individuel susceptible de limiter la transmission.
L’importance de la vitamine D
Par ailleurs, les études s’accumulent qui indiquent qu’une carence en vitamine D favorise le développement de la forme sévère de la maladie : il s’agit, dès lors, de mettre en place, sans plus tarder, une large campagne d’information recommandant à chacun de supplémenter son alimentation avec de la vitamine D.
C’est là une mesure très simple et bon marché, qui peut avoir un effet très substantiel sur la morbidité et la mortalité associées au Covid-19. Rappelons que les séquelles inhérentes au Covid-19 sont conséquentes non seulement pour les individus concernés et leurs familles, mais aussi pour le budget public des soins de santé. Qu’attendons-nous alors pour prendre cette mesure simple ? Avons-nous oublié qu’il est plus facile de prévenir que de guérir ?
Agissez, Monsieur le ministre, agissez dès aujourd’hui, ne nourrissez pas la complainte narrative suivant laquelle le gouvernement n’aurait pas à cœur l’intérêt de sa population, mais seulement les desiderata des lobbies !
Je reste à votre disposition.
Marc Wathelet, docteur en Sciences
Voir l’article reprenant la lettre ouverte sur le site web du journal La Libre
Mise-à-jour du 23/12/2020: voir aussi l’article de France Soir consacré à la polémique sur ce médicament
Pour tenter de comprendre l’origine du virus
Pour les esprits passionnés et investigateurs, un excellent dossier de France Soir en partenariat avec bonsens.org en une bonne dizaine d’articles (parfois très complexes dans les derniers chapitres) pour se faire une bonne idée des pistes de recherche de l’origine de ce virus et éventuellement des mesures paranoïaques prises par les gouvernements.
En voici la liste des chapitres:
Chapitre 1
Traite de façon exhaustive la question de l’épicentre initial de la pandémie de Covid-19
Chapitre 2 (partie 1)
La face cachée du laboratoire P4 de Wuhan
Chapitre 2 (partie 2)
A la recherche du laboratoire P4 perdu de Wuhan – Fiasco géopolitique de la France
Chapitre 3 (partie 1)
Les virus synthétiques mutés et hybrides, à l’instar du virus COVID créé par Shi Zheng Li, représentent un danger réel qui plane sur une humanité anesthésiée par la désinformation
Chapitre 3 (partie 2)
Le virus synthétique hybride de Shi Zheng Li et Ralph Baric, une étape de plus franchie vers un monde nouveau d’insécurité biologique
Chapitre 4 (partie 1)
Les virus de Zhoushan – partie émergée de l’iceberg de la recherche militaire chinoise ?
Chapitre 4 (partie 2)
Les chauves-souris – réservoir naturel ancestral des coronavirus infectant l’Homme
Chapitre 4 (partie 3)
Le virus à l’origine de l’épidémie de 2002-2003 identifié dans une colonie de chauves-souris du Yunnan
Chapitre 4 (partie 4)
Les virus militaires de Zhoushan
Chapitre 5 (partie 1)
Les propriétés d’infectiosité et de réplication hors norme du SARS-Cov2 sont-elles à l’origine de la paranoïa de nos élites gouvernementales ?
Chapitre 5 (partie 2)
Les intercalations erronées conduisent à des mutations du virus qui sont réparées par une enzyme spécifique, unique aux SARS-Cov1 et SARS-Cov2