« Interdit aux chiens et aux non-vakxinés !! »

Editorial de Charles Sannat du 13 Juil 2021

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Ne faisons pas de mauvais procès au président en se lançant dans des comparaisons hasardeuses avec la Seconde Guerre mondiale et les camps. Rendons-lui cette justice-là au moins, car il ne sait pas en réalité, lui, pas plus que les autres qui il condamne. Les jeunes de plus de 12 ans qui ne meurent pas du COVlD mais qui vont mourir du vakx1 comme le montre l’exemple de la Malaisie, ou les non-vakxinés qu’il ne veut pas déporter, mais juste leur « pourrir la vie ». Ou alors peut-être sauvera-t-il la vie au plus grand nombre avec son tout vakxinal… Qui sait.

Adolf Hitler ne pourrissait pas la vie des Juifs. Il les tuaient. Cela dit cela avait commencé par quelques mesures de « différenciation ».

Reprenons et réfléchissons. En fait…

Ce n’est pas une question médicale.
Ce n’est pas une question vakxinale.
C’est une question philosophique.

C’est une question de liberté et de respect de chacun.

Je suis effrayé des raisonnements que l’on nous sert.

Il faut « pourrir la vie », « rendre la vie impossible » à nos concitoyens non-vakxinés.

Il faut faire « payer les non-vakxinés » car ils pourraient se faire piquer, alors ne pas payer leurs soins serait normal.

Je ne sais pas si vous vous rendez compte que l’on pourrait appliquer ces raisonnements à tous les autres, à toutes les communautés, aux religions ou aux modes de vie.

Vous êtes gros ? Payez le coût de votre obésité, vous mangez trop ? Interdisons aux gros l’accès aux centres commerciaux et aux fast-foods.

Vous êtes alcoolique ? Payez les frais de votre alcoolisme.

Vous pouvez remplacer « non-vakxinés » par tous les autres mots, car si nous acceptons cette dérive totalitaire, alors la liberté ne reviendra plus jamais dans ce pays où toutes les lois « temporaires » sont toujours et le plus hypocritement du monde, traduite dans la législation de manière définitive.

Vous aurez le contrôle social total.

Ce pays fait comme la Chine.
Il procède comme la Chine.

Notre pays n’est plus une démocratie, car un jour, pas si lointain, vous aurez ce genre de restrictions au nom de tout comme de la sécurité.

Interdit aux ex-prisonniers.
Interdit aux porteurs du virus du sida.

Je n’attendrai pas le 21 juillet date annoncée par le Président.

La grève totale et illimitée de la consommation. 

Il a vanté la reprise, elle va s’effondrer et s’écrouler sous ses yeux.

Vakxinez, vakxinez… et bien, épargnez, épargnez encore. Mettez des sous de côté. Vous pouvez vous faire vakxiner d’ailleurs, encore une fois personne ne sait aujourd’hui qui aura raison ou tort. Les vakxinés ou les non-vakxinés, nous sommes tenus dans la nuit et brouillard… Je ne dirais donc jamais aux gens de ne pas se faire vakxiner, car je ne sais pas s’ils ne pourraient pas dès demain mourir de ce virus. C’est une évidence. Encore une fois, le sujet n’est pas la vakxination. C’est la liberté.

A compter de ce jour, et parce que je suis un garçon très pacifique, j’appliquerai en toutes circonstances la grève de la consommation.

Je ne visiterai aucun centre commercial. Aucun restaurant. Aucun musée, aucun parc d’attraction.

Que je sois vakxiné ou pas, car ce n’est pas une question de vakxination.

En aucun cas.

Je connais mon histoire. Je connais l’histoire.

Tous les fascismes commencent par la déshumanisation d’une catégorie

Tous les fascismes commencent par déshumaniser une catégorie de la population, qu’ils soient juifs, qu’ils soient anti-communistes, qu’ils soient contre la junte, qu’ils soient homosexuels, peu importe.

Lorsqu’un Etat déshumanise une catégorie de sa population, ce n’est jamais juste.

Lorsqu’un Etat diabolise le cœur sur la main une partie de ses citoyens, alors, vous êtes confrontés à une dérive majeure.
Je peux me faire vakxiner demain ou peut-être même que je le suis déjà, cela n’est pas le sujet. Je n’ai de leçon à donner à personne dans un sens comme dans l’autre.

C’est la déshumanisation qui est le prélude à toutes les violences, qui les rendent possibles. Parce que finalement l’autre le mérite bien, il l’a bien cherché.

Ce qui est certain en revanche, c’est que tous ceux qui se demandaient dans quel camp ils auraient été pendant la dernière mondiale, la réponse vient d’être apportée de manière très limpide.

Si vous trouvez légitime de diaboliser une partie de vos concitoyens, alors vous auriez trouvé plein d’autres choses, en d’autres temps et sous d’autres cieux parfaitement normales. Du Cambodge de Pol-Pot à l’URSS de Staline, ou à l’Argentine de la Junte militaire, le monde ne manque jamais de délateurs et de collaborateurs.

N’oubliez jamais.

Ce n’est pas une question de vakxination.

C’est une question de liberté et de démocratie.

C’est aussi une question de constitutionnalité.

Si vous voulez sacrifier la liberté et la Constitution sur l’autel d’une fausse sécurité sanitaire, alors, vous n’aurez ni la sécurité sanitaire, et vous perdrez pour toujours la liberté.

Car oui, mes amis.
Oui.

La liberté a un prix, qui est celui que parfois certains en abusent à votre détriment, raison pour laquelle nous avons lois, justice et police.

Mais, on n’est pas un peu libre, comme on n’est pas un peu enceinte, ou un peu égaux.

On l’est tous ou pas du tout.

Cette histoire c’est de la folie pure.

Le C0VlD tue.

Certes.

Mais ce que Macron a annoncé hier soir, c’est la fin de l’égalité de tous devant la loi, c’est la stigmatisation de la moitié de la population, c’est la coercition vakxinale, c’est, le même comportement que celui du président chinois.

C’est aussi, encore plus grave, l’abolition de tous nos principes constitutionnels, y compris sur la notion d’état d’urgence, de lois d’exception.

Ce pays vient de renter dans la nuit, un 12 juillet de l’an 2021.
Retenez cette date.
Elle rentrera dans l’histoire.
La grande histoire.

C’est en réalité maintenant que tout commence.

Si nous voulons éviter la dictature numérique et sanitaire, que nous soyons vakxinés ou non, nous ne pouvons et ne devons pas accepter la destruction de notre Constitution.

Le 12 juillet.
La Constitution a été totalement bafouée dans son esprit.

Il ne s’en rend pas compte, mais les répercussions économiques, sociales, et sociétales seront énormes. Considérables. Et aussi très inquiétantes.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

La FDA fait volte-face : elle rejette les résultats du test d’anticorps C0VlD ; la folie règne.

De Jon Rappoport pour le Off-Guardian

Même un robot programmé pour « suivre la science » lèverait les bras au ciel en lisant la dernière déclaration de la FDA sur le C0VlD.

Après qu’un nombre incalculable de personnes aient subi des tests d’anticorps pour déterminer leur statut C0VlD, la FDA déclare maintenant :

« Aujourd’hui, la Food and Drug Administration des États-Unis a publié une communication de sécurité informant le public que les résultats des tests d’anticorps anti-SRAS-CoV-2 ne doivent pas être utilisés pour évaluer l’immunité ou la protection contre le C0VlD-19 à tout moment, et surtout après que la personne ait reçu une vaccination contre le C0VlD-19.« 

Boom.

J’imagine un petit échantillon de personnes – peut-être 5 000 – défilant à l’unisson dans un hôpital en disant :  » Nous avons été testés positifs au C0VlD par un test d’anticorps… puis nous avons dû être isolés, et certains d’entre nous ont été traités avec des médicaments toxiques… et MAINTENANT nous apprenons que le test d’anticorps est inutile… « .

Le document de la FDA, daté du 19 mai 2021, est intitulé : « FDA In Brief : La FDA déconseille l’utilisation des résultats des tests d’anticorps anti-SRAS-CoV-2 pour évaluer l’immunité ou la protection contre le C0VlD-19, y compris après la vaccination« .

En creusant un peu plus loin dans le document, nous trouvons une déclaration faisant référence au vaccin C0VlD :

« Les vaccins autorisés pour la prévention du C0VlD-19 induisent des anticorps contre des cibles protéiques virales spécifiques ; les résultats des tests d’anticorps post-vaccination seront négatifs chez les individus sans antécédents d’infection naturelle antérieure si le test utilisé ne détecte pas le type d’anticorps induit par le vaccin » [1] [2].

En d’autres termes, la FDA dit :  » Regardez, le vaccin crée des anticorps spécifiques contre la protéine spike, pas contre le virus. Si vous faites le test d’anticorps standard après la vaccination, il sera inutile, car le test n’est pas censé détecter les anticorps contre la protéine spike. Il ne détecte que les anticorps contre le virus. » [3]

Cela soulève plusieurs questions sérieuses. L’une d’elles est la suivante : Puisqu’il est très facile de développer des tests d’anticorps, pourquoi la FDA n’en a-t-elle pas développé un qui détecte les anticorps contre la protéine spike ?

La réponse à cette question est évidente. Si la FDA mettait au point un tel test, alors – en termes de théorie conventionnelle des vaccins – il serait facile de voir dans quelle mesure le vaccin fonctionne, ou ne fonctionne pas.

Et ce n’est pas un objectif que les responsables de la santé publique veulent atteindre. Ce n’est pas un risque qui vaut la peine d’être pris. Supposons qu’après avoir testé 20 000 personnes vaccinées, il s’avère que seulement 800 ont produit des anticorps contre la protéine de pointe ?

Autre question (sans réponse) : Les anticorps spécifiques contre la protéine spike, conférés par le vaccin, sont-ils suffisants pour neutraliser, neutraliser, détruire le virus réel s’il tombe d’un nuage et tente d’infecter une personne vaccinée ?

Bien sûr, comme mes lecteurs le savent, j’ai passé un an à démontrer que personne n’a prouvé l’existence du virus SRAS-CoV-2. Cependant, je fais de nombreuses incursions dans le monde insensé où les gens croient que le virus est réel ; et je montre que même dans ce monde, les experts se contredisent et accumulent leurs erreurs flagrantes comme des lapins qui pondent des bébés.

[1] FDA Advises Against Use of SARS-CoV-2 Antibody Test Results to Evaluate Immunity or Protection From C0VlD-19, Including After Vaccination

[2] FDA Advises Against Use of SARS-CoV-2 Antibody Test Results to Evaluate Immunity or Protection From C0VlD-19, Including After Vaccination – ARCHIVED VERSION

[3] C0VlD: here come the antibody tests—quick, easy, and insane

Traduction de l’article du Off-Guardian

D’éminents experts ont comparé le « variant Delta » au rhume des foins et au rhume classique.

Selon divers rapports, des experts britanniques ont comparé les symptômes « Variant Delta » du C0VlD-19 à ceux du rhume des foins et du rhume ordinaire. La nouvelle souche serait à l’origine de 99 % de tous les nouveaux cas de C0VlD-19 au Royaume-Uni. « Les principaux symptômes du C0VlD-19 semblent avoir changé, les maux de tête et de gorge étant désormais plus fréquents que la fièvre et la toux, selon une mise en garde des experts britanniques », note le New York Post.

« Les personnes souffrant d’allergies peuvent ressentir certains des mêmes symptômes que celles atteintes de C0VlD, ce qui peut provoquer d’énormes niveaux d’anxiété », a déclaré le Dr Connor Bryant, cofondateur de la technologie de l’air pur MedicAir, selon le Mirror
« Le C0VlD agit différemment maintenant, c’est plus comme un rhume », a déclaré Tim Spector, professeur d’épidémiologie génétique. « Tous ces symptômes ne sont pas les anciens symptômes classiques. »

Le Dr Fauci continue d’affirmer que « le variant Delta est actuellement la plus grande menace aux États-Unis pour notre tentative d’éliminer le C0VlD-19 », qui aurait représenté 20 % de tous les nouveaux cas de C0VlD-19 aux États-Unis. Fauci maintient que les vakx1s contre le C0VlD-19 peuvent protéger les gens contre le « variant Delta », ajoutant que les jeunes non vakxinés sont « plus vulnérables que jamais ».

Cependant, de nombreux Américains sont sceptiques quant aux vakx1s contre le C0VlD-19 qu’ils ont reçus, car on rapporte que le « variant Delta » infecte des personnes alors qu’elles ont été entièrement vakxinées. Comme l’a rapporté le Wall Street Journal« Environ la moitié des adultes infectés lors d’une épidémie du variant Delta du C0VlD-19 en Israël avaient été entièrement vakxinés avec le vakx1 Pfizer Inc., ce qui a incité le gouvernement à réimposer l’obligation de porter un masque à l’intérieur et d’autres mesures pour contenir la souche hautement transmissible. »

Le 13 mai, Joe Biden a dit à l’Amérique de « se faire vakxiner ou de porter un masque jusqu’à ce que ce soit le cas », ce qui a incité des centaines de millions d’Américains à recevoir leur vakx1s contre le C0VlD-19.

L’Organisation mondiale de la santé exhorte maintenant les personnes entièrement vakxinées à continuer à porter des masques, à prendre leurs distances socialement et à appliquer les mesures de sécurité du C0VlD-19. « Le vakx1s ne suffira pas à stopper la transmission communautaire », a déclaré le Dr Mariangela Simao, sous-directrice générale de l’OMS pour l’accès aux médicaments et aux produits de santé. 
« Les gens doivent continuer à utiliser systématiquement des masques, à se trouver dans des espaces ventilés, à se laver les mains… la distance physique, éviter la promiscuité. Cela continue à être extrêmement important, même si vous êtes vakxiné lorsque vous avez une transmission communautaire en cours. »

EN COMPLEMENT:

10/7/21: Article de Nicole Délépine sur France Soir: Rien à craindre du variant Delta : il donne le rhume, curable par traitements précoces

Les autorités « de santé » et les gouvernements ont-ils créé cette crise sanitaire de toutes pièces ? Analyse de la vérité des chiffres.

Pour cette 6ème émission « Science en Conscience » pour ReinfoCovid présentée par Jérémie Mercier, l’invité est Pierre de la chaîne « Décoder l’éco », statisticien. Nous nous interrogerons sur la réelle dangerosité du SARS-CoV-2 et de celle des mesures prises pour « lutter contre le virus », suite à une analyse détaillée de la mortalité toutes causes et aussi à une analyse de l’évolution des prescriptions de médicaments.

L’article de Pierre sur ce sujet : https://www.mondialisation.ca/la-mort…

Conclusions de l’article de Pierre:

Pour la quasi-totalité des pays d’Europe dont nous disposons des données, il apparaît nettement une reprise de la mortalité (cf. annexes). Il convient alors de se poser la question du ratio bénéfices/risques de la politique actuelle.

Une politique sanitaire dont on questionne les liens avec la santé

Nous observons que la mortalité observée depuis un peu plus d’un an partout en Europe est à un niveau comparable au reste de notre décennie. Il existe des variations entre les différents Etats, mais le lien entre les politiques affichées et le niveau de mortalité ne semble pas évident, voire dans le sens inverse de l’attendu. Pour la France, les différentes mesures identifiées participent mécaniquement à une augmentation des décès sans que l’on puisse quantifier un quelconque impact bénéfique. Dès lors, si la mortalité n’est finalement pas exceptionnelle, est-il raisonnable d’entretenir un climat de peur, de maintenir les règles liberticides en place et de lancer des campagnes de vakxinations d’une ampleur jamais connue réalisées à partir de produits expérimentaux ? Nous observons que les campagnes de vakxination en période hivernale sont liées à des augmentations de mortalité. Il conviendrait d’analyser en profondeur ce lien avant de continuer à promouvoir des produits dans des périodes où la santé des européens baisse cycliquement. Nous observons que tous les pays européens ayant démarré en masse une campagne de vakxination contre la Covid-19 ont des taux de mortalité inhabituels pour la saison. Les pays ayant le plus massivement vakxinés ont des taux de mortalité chez leurs jeunes jamais égalés jusqu’à maintenant.

Est-il raisonnable de continuer cette politique sanitaire inconnue dans ces conditions ? N’est-il pas urgent de reprendre le cours normal des consultations pour retrouver l’usage des médicaments que nous avions avant 2020 avec une mortalité plus faible au lieu de faire le pari de l’efficacité de nouveaux produits miracles ?

Enfin, cette analyse est une analyse statistique. Aucune analyse statistique ne permet jamais d’obtenir une certitude. C’est d’ailleurs l’arme utilisé en permanence par tous les producteurs pour se défendre contre les plaignants ayant perdu un proche. Il appartient à chaque fois au juge de se contenter d’une vraisemblance de causalité en revenant à du “bon sens” pour statuer22. Jamais nous ne pourrons être “certains” par l’analyse des statistiques, ni de la dangerosité de la Covid-19, ni du vakx1s. Jamais même, nous ne pourrons être certains de la qualité et de l’exactitude des données que nous manipulons.

Cependant, si nous ne sommes pas sûrs du lien de causalité entre la vakxination massive en cours et la hausse de la mortalité, alors nous ne sommes pas sûrs non plus du lien de causalité entre la remontée de tests positifs Covid-19 et la hausse mortalité.

Si nous ne sommes pas sûrs de la qualité des données de mortalité, alors la nouvelle politique sanitaire ne repose sur aucune base solide. Inversement, si nous sommes sûrs de la qualité des données de mortalité, alors leur analyse approfondie montre qu’il faut cesser immédiatement la stratégie actuelle.

Dans tous les cas, il est urgent de retrouver ce qui manque cruellement depuis plus d’un an, et qui doit primer devant tout le reste : du bon sens.

Science : plus de preuves pour l’ivermec**tine que pour les vakx1s

Source: Revue Santé Corps Esprit

Pour nos autorités et « grands pontes de la médecine », les vakx1s sont « validés scientifiquement ».
Résultat : on a très vite commencé à vakxiner la terre entière, y compris les femmes enceintes et les enfants de 12 ans.
Problème : ce sont les mêmes « autorités » qui vous disent qu’il n’y a « pas de preuve scientifique concluante » en faveur de l’ivermec**tine.

Et c’est tout simplement absurde.

L’ivermec**tine est un vieux médicament antiparasitaire dont je vous montre depuis des mois l’efficacité hors du commun contre la Covid-19.

  • Mais pour l’establishment médical occidental : 
    • Les seraient validés scientifiquement ;
    • L’ivermec**tine ne serait pas validée scientifiquement.

C’est un énorme mensonge.

Dans cette lettre, je vais vous expliquer pourquoi il y a 10 fois plus de preuves scientifiques en faveur de l’ivermec**tine que des vakx1s contre la Covid-19.
Ce sera un peu technique par moment, mais il est très important de démonter ce « mythe », en détail :

Nombre d’essais randomisés : 1 pour P*fizer contre 31 pour l’ivermec**tine !

Vous vous souvenez du reproche de nos « grands scientifiques » contre l’hydroxychloroquine du Pr Raoult : « Il n’a pas fait d’essai randomisé contre placebo »[1].

En pleine épidémie, cette objection se discute, mais une chose est exacte : l’avantage des essais randomisés contre placebo est qu’ils apportent généralement un excellent niveau de preuve scientifique.

Alors, combien y a-t-il eu d’essais cliniques randomisés pour tester le vakx1 P*fizer ? 
Un seul ! Contre plus de 30 pour l’ivermec**tine !

Bien sûr, si cet essai était « parfait », ce ne serait pas forcément un problème.
Mais ce n’est pas du tout le cas : au contraire, l’essai clinique P*fizer comporte énormément de problèmes méthodologiques !

D’abord, l’essai n’a pas été réalisé « en double aveugle ».
Cela veut dire que les infirmières, les techniciens et les vakxinés pouvaient voir à l’œil nu si la seringue contenait le vakx1 (opaque) ou du sérum physiologique placebo (transparent). 
De plus, ceux qui ont reçu le vakx1 plutôt que le placebo ont eu beaucoup d’effets indésirables (fièvre, maux de tête, fatigue, courbatures…).

Ils en ont forcément conclu qu’ils avaient bien reçu le vakx1, plutôt que le sérum physiologique placebo.

Cela biaise fortement l’étude, car comme l’explique le Dr de Lorgeril, « la Covid-19 est (en général et en particulier dans ces deux essais) une maladie bénigne et brève (3-4 jours de malaise) et donc la maladie idéale pour bénéficier à plein d’un effet placebo ! ».
Autrement dit, il est probable que certains vakxinés ne se sont pas plaints de leurs symptômes Covid, parce qu’ils étaient persuadés d’être protégés par le vakx1. Cela peut conduire à omettre de diagnostiquer certains cas Covid chez les vakxinés, et donc de surestimer l’efficacité du vakx1.

Deuxième problème énorme : l’essai clinique a été arrêté au bout de 2 mois, dès que le laboratoire a pu communiquer son taux de 95 % d’efficacité… alors que l’essai était prévu sur 2 ans !
« Un arrêt prématuré d’un essai clinique est une faute majeure pour un scientifique », explique le Dr Michel de Lorgeril, spécialiste des vakx1s et de la méthodologie des essais cliniques.
Pour P*fizer, cela avait l’avantage de masquer la chute très rapide du nombre d’anticorps vakxinaux en quelques semaines, qui chute de 80 % en 3 mois[2] ! 

Troisième problème : le nombre total de « malades » de la Covid-19 était ridiculement faible.

Certes, l’essai P*fizer a été mené sur plus de 40 000 personnes, ce qui peut paraître impressionnant.
Mais sur ces 40 000 personnes en bonne santé, moins de 200 ont été testés « positifs » à la Covid-19, après avoir développé des symptômes : 
– 8 dans le groupe vakxiné ;
– 162 dans le groupe placebo.

Ces chiffres, s’ils sont exacts, permettent de conclure avec certitude que le vakx1 est très efficace « pour éviter les formes symptomatiques » de la Covid-19 – c’est à dire pour s’éviter un mauvais rhume.

Mais en aucun cas, ces chiffres ne permettent de conclure scientifiquement :
– Que le vakx1 diminue le risque de « formes sévères » (il n’y en a eu que 4 au total, 3 dans le groupe placebo, 1 dans le groupe vakxiné !) ;
 – Ou que le vakx1 diminue le risque de mourir de la Covid-19 : il n’y a pas eu un seul mort de la Covid-19 sur les 200 personnes testées positives !

Donc, nos grands « puristes de la méthodologie scientifique » devraient reconnaître que l’efficacité du vakx1 sur les formes graves n’a pas été prouvée formellement – et encore moins sur les plus de 85 ans, pourtant les plus vulnérables, mais qui ne faisaient pas partie de l’étude.

Et pourtant, ils font le contraire, en affichant une certitude absolue que le vakx1 est efficace pour éviter les hospitalisations et les morts.

Sur la base de quoi ? De quels chiffres ? 

Eh bien, comme ils ne peuvent pas s’appuyer sur l’essai clinique randomisé, ils fondent leur certitude sur des analyses statistiques réalisées en Israël et en Grande-Bretagne. 
Mais ce sont des données « observationnelles », ce qui est un niveau de preuve théoriquement assez faible !

Donc, toute la campagne vakxinale mondiale s’appuie sur des données observationnelles et un seul un essai clinique qui ne peut conclure à la moindre efficacité sur les formes graves.

Et le pire, c’est que ce seul essai clinique est lui-même probablement manipulé !

L’essai P*fizer : un conflit d’intérêts gros comme une maison !!

Car il faut savoir que l’essai clinique randomisé a été entièrement organisé par P*fizer, avec des salariés du laboratoire !

« Il n’y a pas de conflit d’intérêts plus énorme puisque les salaires et les primes des employés (sous forme de milliards de dollars pour les dirigeants) en dépendent », explique Michel de Lorgeril.

Il y a donc des incitations énormes à manipuler les résultats !

Par exemple, des employés de P*fizer ont pu choisir de faire moins de tests PCR chez les vakxinés que chez les non-vakxinés.

Ce serait une manière très simple de faire en sorte qu’il y ait plus de cas « positifs » chez les non-vakxinés !

Cette manipulation était réalisable en pratique, puisqu’il était relativement facile de « deviner » qui a eu le vakx1 et qui ne l’a pas eu, sur la base des effets indésirables.

Ensuite, même si les données de terrain ont été recueillies de façon honnête, il est possible qu’elles aient été « manipulées » par les grands pontes qui ont rédigé l’étude finale.

« Quand on regarde la liste des auteurs et coauteurs, on voit qu’ils appartiennent tous à P*fizer », explique le Dr de Lorgeril. 

Tout ça pour vous dire que cet essai clinique unique sur le vakx1 P*fizer est TRÈS fragile !

Conclusion du Dr de Lorgeril : « les règles élémentaires de l’essai clinique telles qu’elles ont été élaborées au cours des 30 ou 40 dernières années n’ont pas été respectées. On fait tout ce qu’il ne fallait pas faire ».

Et ne me dites pas qu’il est inimaginable de soupçonner P*fizer d’être capable de trafiquer ses chiffres. Depuis 20 ans, P*fizer a été condamné à plusieurs reprises par la Justice américaine pour fausses déclarations, pots-de-vin et autres pratiques de corruption[3].

En 2009, P*fizer a même dû payer une amende de 2,4 milliards de dollars, un record mondial, pour « pratiques commerciales frauduleuses »[4], notamment des commissions occultes versées à des médecins.

Voilà pourquoi il faut exiger la plus grande rigueur scientifique quand on laisse des laboratoires pharmaceutiques comme P*fizer conduire ou financer leurs propres essais cliniques.

Maintenant, il me faut préciser un point capital.

Personnellement, je ne fais pas partie des « puristes » de la méthodologie scientifique.

Je pense qu’il faut utiliser son bon sens, regarder toutes les informations, et se faire une opinion sans toujours attendre la « preuve parfaite ».

S’agissant du vakx1 P*fizer, et sur la base de tout ce que j’ai lu et observé, il me paraît raisonnable de penser qu’il a très probablement une certaine efficacité pour éviter les formes graves de la Covid-19 (ce qui ne veut pas dire que son « bénéfice-risque » est positif pour autant, car il a beaucoup d’effets indésirables).

Mais il est évident que le niveau de preuve scientifique en faveur de cette efficacité est très imparfait : à savoir un seul essai clinique mal conduit, organisé par le fabricant, avec très peu de malades, ainsi que des données observationnelles de terrain.

Le plus choquant, c’est qu’il y a là un « deux poids, deux mesures » évident avec l’ivermec**tine (et l’hydroxychloroquine, mais je n’en parlerai pas ici).

Car avec l’ivermec**tine, pour les « puristes » de la méthodologie scientifique, il est exact qu’on n’a pas la preuve parfaite de son efficacité. 

Mais on ne l’a pas non plus pour les vakx1s, comme on l’a vu !

Et quand on regarde bien les données scientifiques, on voit au contraire qu’il y a beaucoup plus de preuves d’efficacité de l’ivermec**tine que des vakx1s !

Ivermec**tine : un nombre d’études randomisées favorables impressionnant !

Le bon sens permet de comprendre que 10 essais imparfaits, menés sans préjugés et sans conflit d’intérêts, valent mieux qu’un seul essai, fût-il « parfait » en apparence.

Si vous avez un seul essai clinique, vous avez toujours le risque qu’il ait été manipulé à votre insu… ou même que son résultat soit dû au hasard (même si la probabilité est très faible quand les résultats sont significatifs).

A l’inverse, quand vous avez des chercheurs aux quatre coins du monde, qui font des essais cliniques sur l’ivermec**tine de façon désintéressée, avec des méthodes différentes, sur des patients différents, le fait qu’ils arrivent à la même conclusion d’efficacité est une preuve forte en faveur de cette molécule !

C’est le cas pour l’ivermec**tine, dont voici la liste des 31 essais cliniques randomisés :

Liste des 31 RCT effectués sur l’ivermec**tine, en traitement précoce (« early »), tardif (« late ») et en prophylaxie

TOUTES ces études (sauf une) donnent des résultats très favorables à l’ivermec**tine, que ce soit sur le nombre d’infections, la charge virale, le nombre d’hospitalisations et le nombre de morts.

Certes, aucun de ces essais cliniques n’est parfait, loin s’en faut, selon les règles des puristes.

Mais ces essais cliniques ont un énorme avantage : ils ont été conduits par des médecins et chercheurs qui n’ont aucune incitation à manipuler leurs résultats !

Aucun d’entre eux n’aurait gagné le moindre centime à montrer que l’ivermec**tine fonctionne.

C’est pour cela que ces essais cliniques sont extrêmement convaincants : ils vont tous dans le même sens, alors que personne n’avait rien à gagner à aboutir à ces résultats positifs !

C’est une preuve extrêmement puissante d’efficacité !

Car il vaut mieux 31 essais imparfaits mais sans conflit d’intérêts plutôt qu’un essai « parfait » (ce qui n’est pas du tout le cas de l’essai P*fizer) organisé par le fabricant !

Et en plus, il y a beaucoup plus de vrais malades dans ces études sur l’ivermec**tine que dans l’essai P*fizer !!

Je rappelle qu’il y a eu 0 mort dans l’essai P*fizer.

Dans les 31 essais sur l’ivermec**tine, il y en a environ 70 – avec au moins 62 % de mortalité en moins dans les groupes traités avec l’ivermec**tine[5]

Dans l’essai P*fizer, il y avait 2 hospitalisations au total. Dans les 31 essais sur l’ivermec**tine, il y en a plusieurs centaines.

C’est beaucoup plus significatif !

Même sur le nombre d’infections évitées, on en a plus dans les études sur l’ivermec**tine !

Prenez l’étude la plus célèbre en prévention sur l’ivermec**tine, réalisée en Argentine.

Je tiens à vous en dire un mot, car j’estime que cette étude, à elle-seule, est plus convaincante que l’essai P*fizer : 

  • 800 soignants ont pris, en prévention, de l’ivermec**tine en gélule, ainsi qu’un spray nasal à base d’une algue rouge antivirale (iota-carrageenan) ;
     
  • 400 soignants n’ont pas souhaité participer à l’étude, et n’ont donc pris ni ivermec**tine , ni spray nasal.

Et le résultat est tout simplement EXTRAORDINAIRE : 

  • Parmi les 800 soignants traités à l’ivermect**tine + spray nasal, il n’y a pas eu une seule infection, pas un seul test PCR positif ;
     
  • Parmi les 400 soignants non traités, au contraire, il y a eu plus de 230 tests PCR positifs, soit 58 % d’infectés !

Notez bien que 230 tests PCR positifs au total, c’est un peu plus que le nombre de cas positifs de l’essai clinique P*fizer.

Certes, P*fizer a vakxiné 40 000 personnes, mais ce n’étaient pas des soignants en première ligne, c’était des gens qui avaient peu de chances d’attraper la Covid.

Au total, le résultat est donc plus impressionnant pour l’ivermec**tine. Dans le groupe vakxiné, il y a eu une dizaine d’infections, alors que dans le groupe traité par ivermec**tine + spray nasal, il n’y a pas eu la moindre infection !

0 infection sur 800, alors qu’un groupe comparable a eu 230 infections sur 400, c’est un résultat extraordinaire, qui prouve à lui seul l’efficacité du traitement (une coïncidence est impossible). 

Et il est très peu plausible que ces chiffres puissent être frauduleux, car le Dr Carvallo qui a réalisé cet essai est un grand médecin honnête, qui n’a rien à gagner à ces résultats ! 

Certes, cet essai argentin n’est pas « parfait » selon les puristes de la méthodologie. 

Peut-être que s’il avait été parfait, on n’aurait pas eu une efficacité de 100 %, mais « seulement » de 90 %.

Mais dans tous les cas, il est certain que l’efficacité de l’ivermec**tine est très élevée !

Et il ne s’agit que d’un seul essai clinique, sur 31 !!

Vous voyez qu’il y a une mauvaise foi INOUÏE à dire que la SCIENCE conclut à l’efficacité du vakx1 et à l’absence de preuve probante pour l’ivermec**tine !

Surtout que ces 31 essais cliniques apportent encore une autre preuve probante.

Car on discerne clairement dans ces essais un « effet-dose » : les essais cliniques dans lesquels on a donné une dose plus importante d’ivermec**tine obtiennent de meilleurs résultats.

Bref, ces 31 études randomisées apportent un niveau de preuve très élevé, si tant est qu’on utilise son bon sens plutôt qu’un méthodologisme borné. 

Et il n’y a pas que ces essais randomisés.

Les autres niveaux de preuves en faveur de l’ivermec**tine – études observationnelles et expériences en vie réelle – sont tout aussi convaincantes :

Les études « en vie réelle » sur l’ivermec**tine ? La cerise sur le gâteau !

Au Panama, en Slovaquie ou dans la région Alto Parana au Paraguay : partout où l’ivermec**tine a été distribuée de façon massive, l’épidémie a été terrassée en quelques semaines[6].

C’est ce qui s’est passé en Inde également : les États qui ont utilisé l’ivermec**tine ont écrasé l’épidémie du variant Delta plus rapidement que les autres.

Mais le meilleur exemple est celui de la ville de Mexico (près de 20 millions d’habitants), qui a décidé de donner de l’ivermec**tine à tous les cas positifs, en traitement précoce.

Le résultat a été immédiat, et spectaculaire sur le nombre de morts (à gauche) ou d’hospitalisations (à droite) :

Des chercheurs mexicains ont examiné ce miracle et ont conclu, avec une étude observationnelle (quasi-randomisée) sur plus de 200 000 patients que l’ivermec**tine a permis de réduire le nombre d’hospitalisations de 52 à 76 %[7].

Ce n’est peut-être pas une « grande étude randomisée » en bonne et due forme, mais cela a de la valeur pour ceux qui savent regardent les faits en face !

Et surtout, cela a au moins autant de valeur que la plupart des études en faveur du vakx1 P*fizer, qui, il faut le dire et le répéter, sont essentiellement observationnelles elles aussi !

D’ailleurs, aux dernières nouvelles en Israël et en Grande-Bretagne, le nombre de cas repartait à la hausse sous l’effet du « variant delta »… alors que l’ivermec**tine, elle, est efficace contre tous les variants !

Voilà encore un point favorable à l’ivermec**tine contre le vakx1 P*fizer, qui a de forts risques d’être moins efficace face aux variants.

Et bien sûr, je n’ai rien dit ici des effets indésirables graves : 

  • 0 pour l’ivermec**tine, une molécule connue depuis plus de 30 ans et donnée à des milliards de patients dans le monde ;
     
  • Énormément d’effets indésirables rapportés à la pharmacovigilance pour P*fizer, qui est une technologie totalement expérimentale, testée sur quelques mois seulement et sur laquelle nous n’avons aucun recul !

Le « deux poids, deux mesures » est aveuglant pour qui a les yeux ouverts.

Vous vous souvenez que le ministre Olivier Véran a interdit l’hydroxychloroquine, en pleine épidémie, au prétexte d’un risque très rare de ce médicament sur le rythme cardiaque ?

Eh bien les autorités israéliennes, américaines et françaises ont eu beau reconnaître noir sur blanc que le vakx1 P*fizer peut causer une maladie cardiaque (myocardites), cela n’a rien changé à leurs recommandations !

Pourtant, ne vous paraît-il pas évident

  • Qu’il est acceptable de prendre un risque minime quand on donne un médicament comme l’hydroxychloroquine à une personne malade de la Covid-19, surtout lorsque cette personne est à haut risque de mourir parce qu’elle a plus de 70 ans et des comorbidités ;
     
  • Et qu’il est inacceptable de prendre le moindre risque quand on vakxine des bien-portants de 15 à 25 ans qui n’ont aucun risque en cas d’infection à la Covid-19 !

Et pourtant, on a interdit l’hydroxychloroquine sans raison valable et on recommande en ce moment le vakx1 P*fizer aux jeunes de 18 ans, alors qu’il cause de myocardites.

Pour l’ivermec**tine, c’est encore plus « gros », car elle ne présente même pas de risque « rare », et son efficacité est encore plus probante que l’hydroxychloroquine !

Vous comprenez maintenant qu’on marche sur la tête ?

Transférez cette lettre à votre médecin ou à toute personne qui prétend que les vakx1s sont « scientifiques », et que l’ivermec**tine ne l’est pas.

Bonne santé,

Xavier Bazin

Sources:

[2] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.04.19.21255714v2.full

[1] https://michel.delorgeril.info/sante-publique/essais-cliniques-testant-les-vaccins-anticovid-arn-messager-pas-de-double-aveugle-effet-placebo-garanti/

[3] https://www.arguments-vakx1s.com/argument-53-je-nai-pas-confiance-dans-le-laboratoire-p*fizer/

[4] https://www.france24.com/fr/20090903-le-laboratoire-p*fizer-ecope-dune-amende-23%C2%A0milliards-dollars-

[5] https://journals.lww.com/americantherapeutics/Abstract/9000/Ivermectin_for_Prevention_and_Treatment_of.98040.aspx

[6] https://www.sante-corps-esprit.com/malgre-la-flambee-du-virus-linde-reste-la-preuve-que-les-traitements-precoces-sont-efficaces/

[7] https://osf.io/preprints/socarxiv/r93g4/

Chez les moins âgés, l’obésité est associée à presque TOUT le risque que le C0VlD entraîne des soins intensifs ou le décès

Extrait de l’article de Aube Digitale: Pourquoi le C0VlD est comme le SIDA

Le SARS-COV-2 n’est même pas dans la même zone de temps que le VIH en tant que tueur. Mais il est comme le VIH sur un point crucial. Il a des préférences.

Après un an, la plupart d’entre nous savent que les personnes âgées sont beaucoup plus exposées au coronavirus (bien que même les personnes bien informées ne sachent pas toujours à quel point ce risque est élevé).

Mais ce que les autorités de santé publique se sont évertuées à occulter, c’est à quel point l’obésité – en particulier l’obésité extrême – augmente le risque de coronavirus chez les jeunes.

En avril, des chercheurs britanniques ont publié un article définitif sur le sujet dans The Lancet Diabetes & Endocrinology, une revue à comité de lecture. Les chercheurs ont examiné les dossiers médicaux de près de 7 millions de personnes en Angleterre pour étudier le lien entre l’obésité et les conséquences graves du C0VlD, notamment l’hospitalisation et le décès.

Les résultats de base ne montrent qu’un lien modéré entre le surpoids et le risque de C0VlD. Mais en y regardant de plus près, les chercheurs ont constaté que cela s’explique par le fait que chez les personnes âgées, le surpoids n’entraîne PAS de risque excessif.

Les chercheurs ont donc divisé les patients en quatre tranches d’âge : 20-39 ans, 40-59 ans, 60-79 ans et plus de 80 ans. Ils ont constaté que dans les deux groupes les plus jeunes – y compris les adultes jusqu’à 60 ans – l’obésité était associée à presque TOUT le risque que le C0VlD entraîne des soins intensifs ou le décès. Ces résultats sont restés valables même après correction de nombreux facteurs de confusion potentiels, comme le tabagisme, les maladies non liées au poids et la richesse.

L’excès de risque était extrêmement élevé même pour les personnes qui n’étaient pas atteintes d’obésité morbide – définie par un indice de masse corporelle de 40 ou plus. Une personne âgée de 40 à 60 ans ayant un IMC de 35 – c’est-à-dire pesant 104 kg et mesurant 1,80 m – avait environ cinq fois plus de risques de mourir du C0VlD qu’une personne de poids normal. Pour les jeunes adultes, le risque excédentaire était encore plus élevé, et pour les personnes souffrant d’obésité morbide, encore plus.

En revanche, les personnes de poids normal de moins de 40 ans ne courent pratiquement aucun risque de mourir du C0VlD. Les chercheurs ont constaté que leur taux était inférieur à 1 sur 10 000 par an. Même dans la tranche d’âge de 40 à 59 ans, les adultes de poids normal avaient un risque annuel bien inférieur à 1 sur 1 000.

Les chercheurs n’ont pas inclus ces résultats étonnants dans le corps principal de l’article, mais uniquement dans son annexe. Néanmoins, ils ont été clairs dans leur discussion sur les résultats globaux :

« Nos conclusions tirées de cette vaste cohorte basée sur la population soulignent que l’excès de poids est associé à une augmentation substantielle des risques de résultats sévères C0VlD-19, et constitue l’un des facteurs de risque modifiables les plus importants identifiés à ce jour.« 

En fait, les résultats suggèrent que pour les personnes de moins de 60 ans, la perte de poids serait le meilleur moyen de réduire le risque de C0VlD – probablement même plus qu’un vakx1 (et sans effets secondaires).

Mais bien sûr, vous n’avez pas entendu parler de cet article.

Personne n’en a entendu parler. L’establishment de la santé publique a décidé qu’une discussion honnête sur les personnes réellement menacées par le C0VlD pourrait ressembler à une condamnation des victimes, comme ce fut le cas il y a une génération avec le VIH.

Cette fois, cependant, nous n’avons pas seulement effrayé un groupe de personnes qui ne courent pratiquement aucun risque. Notre théâtre d’enfermement viral a été beaucoup plus destructeur, pour les enfants qui ont perdu une année d’école et pour tous les autres. Ironie du sort, la prise de poids liée au lockdown a peut-être même aggravé les risques l’année dernière.

Il est grand temps de dire la vérité.

Traduction de Unreported Truths par Aube Digitale

Techniques de vente. « Bidouillages publicitaires » : quelques « astuces », bien connues, utilisées pour présenter les vakx1s contre la C0VlD-19 comme étant efficaces contre les formes « graves »

Source: CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet

Il existe au moins dix façons – astuces – qui permettent de présenter, artificiellement, un médicament comme étant efficace.

Dans la continuité de ses réflexions et de ses formations destinées notamment au public, le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet propose de vous expliquer certaines de ces méthodes, bien connues, qui semblent avoir été utilisées pour présenter les vakx1s contre la C0VlD-19 comme étant efficaces, de façon certaine, contre les formes « graves » de la C0VlD-19 ;

Uun résumé de ces astuces est disponible dans la conclusion proposée à la fin du présent article.
Pour cela, il y a lieu de rappeler quelques étapes de façon chronologique afin de mettre en évidence l’évolution du raisonnement adopté. Dans un souci pédagogique, il est plus facile de se concentrer sur un seul exemple : celui du vakx1, à base d’ARN Messager (ARNm) des laboratoires BioNTech/Pfizer (Tozinaméran ; COMIRNATY°). Ce vakx1 est le premier à avoir bénéficié d’une AMM (autorisation de mise sur le marché) « conditionnelle » (temporaire ; dont la durée n’excède pas 1 an) ; c’est le vakx1 qui enregistre le plus grand nombre d’injections ; c’est lui qui offre donc le plus de recul.

Ce vakx1 a obtenu cette AMM conditionnelle le 21 décembre 2020 ; alors que « les résultats des études cliniques ont un recul de 1,5 mois » seulement comme cela est affirmé, dès le 24 décembre 2020, par la haute autorité de santé (HAS). Et alors même que les nombreuses incertitudes ne se limitent pas uniquement à ces essais cliniques : elles concernent également et notamment la composition même de ce produit et son procédé de fabrication comme le révèle l’article publié, le 2 avril 2021, par le CTIAP (les trois autres vakx1s autorisés en Europe notamment sont également concernés par cet article).

Dès le 30 novembre 2020, le conseil scientifique du collège national des médecins généralistes enseignants (CNGE), tout en soulignant « l’arrivée imminente et très médiatisée des vakx1s contre la C0VlD-19 », alerte en ces termes : « La Haute Autorité de santé se prononcera prochainement sur la stratégie vakxinale à mettre en œuvre. Pour que les français (dont les soignants) adhèrent à ces préconisations, elles doivent être élaborées en toute transparence et fondées sur des données scientifiques valides, fiables, et partagées ». Il ajoute :

« (…) il est crucial qu’ils [les médecins généralistes] disposent de données scientifiques fiables, afin d’exposer au patient la balance bénéfice/risque individualisée des vakx1s, en se basant sur des résultats en termes :

· d’effets indésirables et de sécurité d’emploi, car la vakxination s’adresse majoritairement à des sujets en bonne santé ;

· de bénéfices cliniques pertinents (réduction absolue du risque d’hospitalisation et/ou des formes graves et/ou de mortalité, le tout par tranche d’âge et par catégorie de population à risque) ;

· de diminution du risque de transmission du SARS-CoV-2. »

Et puis, ce conseil scientifique du CNGE relève ceci : « Selon les publications actuellement disponibles, les essais cliniques en cours pourraient ne pas avoir évalué  les différents vakx1s sur plusieurs de ces critères cliniques pourtant fondamentaux pour les patients ».

En effet, et comme vient de le confirmer la revue indépendante Prescrire dans un article publié en avril 2021, ces essais cliniques « n’ont pas été conçus pour évaluer la prévention des formes graves ».

Quelles sont donc les raisons qui ont conduit à ne pas construire ces essais cliniques sur les critères cliniques pertinents, connus, qui permettent de démontrer l’efficacité de ce vakx1 sur la prévention des formes « graves » ? Cette question est fondamentale car plusieurs pays du monde étaient dans l’espoir de voir cette démonstration venir prouver une telle efficacité.

Le 7 décembre 2020, une réunion, présidée par Madame la ministre déléguée chargée de l’autonomie, a eu lieu. Le compte-rendu de cette rencontre souligne que « ce vakx1 permettrait de réduire considérablement les risques de forme grave dues à l’infection au C0VlD-19 ». La conjugaison du verbe au conditionnel signe la prudence ; mais, l’emploi du mot « considérablement » étonne en pareilles circonstances.

Le 15 décembre 2020, une instruction interministérielle, du ministre des solidarités et de la santé et du ministre de l’intérieur, précise le cadre de mise en œuvre de la première étape de la campagne nationale de vakxination : « la stratégie nationale de vakxination C0VlD-19 a pour objectifs principaux de faire baisser la mortalité et les formes graves de la maladie, de protéger les Français et notre système de santé et de garantir la sécurité sanitaire de tous les patients ».

Le 23 décembre 2020, soit deux jours après l’octroi de ladite AMM conditionnelle, la haute autorité de santé (HAS) soutient : « A ce stade, les données ne permettent pas de confirmer l’impact de la vakxination par le BNT162b2 [vakx1 COMIRNATY°] sur les hospitalisations, les hospitalisations en unité de soins intensifs, ni de démontrer un impact sur la mortalité ». Autrement dit, l’efficacité de ce vakx1 sur la prévention des formes « graves » n’est pas démontrée. Mais, la HAS ajoute : « Il est toutefois noté un effet sur l’incidence des formes sévères (efficacité de 88,9% [IC95% = (20,1 ; 97,7)]) ». La manœuvre semble subtile pour les non spécialistes : ces derniers risquent de ne lire que le chiffre de « 88,9% » sans s’interroger sur ce qu’est cet intervalle de confiance ([IC95% = (20,1 ; 97,7)]) qui est donné à côté de ce chiffre. De façon résumée, plus cet intervalle est large, plus l’incertitude est grande, plus le résultat ne peut être interprété de façon sérieuse.

Mais huit jours plus tard, soit le 31 décembre 2020, curieusement, une autre affirmation, pour le moins, inexacte est dispensée auprès du public et sans gêne aucune. En effet, dans la « Fiche 2 Informations à destination des résidents en établissements pour personnes âgées et leurs familles » qui est disponible dans le « PORTFOLIO » établi, le 31 décembre 2020, par le ministère des solidarités et de la santé, il est soutenu ceci :

« 1. Pourquoi se faire vakxiner contre la C0VlD-19 ? » : La vakxination contre C0VlD-19 vous protégera des complications et de la survenue des formes graves de cette maladie. Les études ont montré que le vakx1 était très efficace pour protéger d’une infection ». La conjugaison du verbe, au futur, signe la certitude. Et pourtant…

Onze jours plus tard, le 11 janvier 2021, le même conseil scientifique du collège national des médecins généralistes enseignants (CNGE) contredit cette affirmation du ministère des solidarités et de la santé :

« (…) les données importantes font encore défaut, par exemple :

· L’efficacité dans la population des sujets âgés de 75 ans et plus (prioritairement concernés par la campagne de vakxination en France), car l’effectif de ces sujets était insuffisant dans l’essai pour observer un résultat fiable, (…) ;

· L’efficacité sur les hospitalisations et la mortalité ;

· L’effet sur le portage des sujets asymptomatiques et la transmission (protection collective). »

De plus, une nouvelle preuve, qui atteste de l’inexactitude de cette affirmation livrée au public, émane de la bouche même du ministre des solidarités et de la santé. En effet, lors de la conférence de presse tenue le 18 février 2021, soit plusieurs semaines après l’élaboration de cette « Fiche 2 », Monsieur Olivier VÉRAN avoue ceci :

« (…) j’ai dit tout à l’heure dans mon intervention qu’on serait bientôt en mesure de dire si la vakxination en EHPAD [établissements d’hébergement de personnes âgées dépendantes] permet d’éviter les formes graves, d’éviter les hospitalisationsQuand nous aurons ces données fiables ; aucun pays européen encore ne dispose de données publiées fiables de ce point de vue-là. J’espère, comme vous j’imagine puisque vous me posez la question et comme les 700 000 résidents en EHPAD et toutes leurs familles, que nous pourrons lever davantage les contraintes sanitaires qu’ils subissent depuis maintenant un an. »

Et dès le 3 mars 2021, le Conseil d’État (CE) relève ces contradictions de l’« administration » française ; comme cela a été révélé par le CTIAP dans un article publié le 4 mars 2021. Il est intéressant de découvrir, dans cette décision du CE, l’argumentation avancée par le ministère des solidarités et de la santé dans le cadre de cette instance : « L’administration fait néanmoins valoir, d’une part l’existence d’études récentes invitant à la prudence quant à l’absence de contagiosité des personnes vakxinées, d’autre part, l’incertitude scientifique sur l’immunité conférée par la vakxination en cours à l’égard des variants du virus, enfin la survenue de foyers de contamination de résidents et de personnels dans certains EHPAD où la campagne de vakxination a eu lieu ». Le juge révèle aussi ladite instruction interministérielle du 15 décembre 2020 ci-dessus mentionnée ; ainsi que les affirmations que la haute autorité de santé (HAS) avait osé tenir dans un avis en date du 23 janvier 2021 : « la Haute autorité de santé présente cependant comme connaissance scientifique acquise à ce stade « la réponse immunologique satisfaisante et une efficacité vakxinale similaire à celle retrouvée chez les personnes les plus jeunes » chez les personnes âgées pour les deux vakx1s à ARN Messager [COMIRNATY° ; et le vakx1 du laboratoire Moderna] en cours d’utilisation. En outre, selon les informations données sur le site du ministère « les vakx1s permettent de prévenir lors d’une contamination le développement d’une forme grave de la maladie » et les cas constatés de nouvelles contaminations dans quelques établissements ne concerneraient en réalité que les personnes n’ayant reçu qu’une dose ».

Cette affirmation de la HAS, enregistrée dans cet avis en date du 23 janvier 2021, sera donc contredite par le ministre des solidarités et de la santé, lui-même, lors de ladite conférence de presse tenue le 18 février 2021.

Puis, le 25 avril 2021, le haut conseil de la santé publique (HCSP) publie les conclusions de son avis rendu, le 11 avril 2021, sous le titre « Avis relatif à l’adaptation des conduites à tenir et des recommandations pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma vakxinal complet contre le C0VlD-19 ». Ce document « recommande pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma vakxinal complet » notamment ce qui suit :

« Dans un cadre privé familial ou amical en milieu intérieur fermé :

Que toutes les personnes réunies puissent ne pas porter de masque si elles ont toutes bénéficié d’un schéma vakxcinal complet et à condition de respecter les autres mesures barrières : hygiène des mains, distance interindividuelle, aération et limitation à 6 du nombre de personnes. Cette recommandation ne s’applique pas, dès lors que l’un des membres présente un facteur de risque de formes grave (âge, comorbidité). »

Or, si réellement ces vakx1s sont efficaces contre les formes « graves »pourquoi alors ce HCSP exige-t-il de maintenir toutes ces autres mesures barrières ; et surtout, pourquoi met-il fin à sa recommandation (consistant à « ne pas porter de masque ») dès lors que l’un de ces membres présente un facteur de risque de forme « grave » ? Et alors même que ce même HCSP semble prendre en compte cette soi-disant efficacité sur les formes « graves » dans une « position d’espoir… » précise-t-il. Mais, nous ne sommes plus à une contradiction près ; comme cela est démontré dans la huitième conférence du CTIAP tenue le 27 avril 2021.

Dans ledit article publié en avril 2021, la revue Prescrire rappelle plusieurs autres points :

« Aucune corrélation n’est démontrée entre la réponse immunitaire et l’efficacité clinique de ces vakx1 [à ARN Messager : COMIRNATY° ; et celui du laboratoire Moderna] » ;

« Peu de personnes dans les essais ont eu une forme grave de la maladie C0VlD-19. Les résultats vont dans le sens d’une diminution de la fréquence des formes graves dans les groupes vakx1 (…) mais non démontrée par ces essais comparatifs »… (Ces mêmes essais comparatifs que certains avaient exigé, avec vigueur, envers l’Hydroxychloroquine…) ;

« Ces données sont insuffisantes pour connaître l’efficacité éventuelle de ces vakx1s sur la mortalité liée à la maladie C0VlD-19 ou sur la mortalité globale ».

« Peu de personnes dans les essais ont eu une forme grave de la maladie C0VlD-19. » ? Comment expliquer donc ce faible taux de recrutement des personnes avec des formes « graves » ? Eu égard aux annonces de plusieurs États et aux nombreuses mesures restrictives des droits et libertés fondamentaux imposées à la population ?

Concernant les « données épidémiologiques israéliennes », la revue Prescrire relève que « selon une publication n’ayant pas encore fait l’objet d’une relecture par un comité indépendant (…) le risque de formes graves a été estimé comme étant environ 90% plus petit (au moins 75% plus petit) à partir d’une semaine après la 2e injection que le risque dans la population générale ». Mais, la revue précise immédiatement que « ces résultats sont de faible niveau de preuves car issus de données épidémiologiques où les groupes comparés ne sont pas semblables » !

Enfin, dans sa conclusion intitulée « en pratique », la revue Prescrire se contente d’affirmer que ces vakx1s à ARN Messager « diminuent fortement à court terme le risque de formes symptomatiques de maladie C0VlD-19. Les essais n’ont pas été conçus pour évaluer l’efficacité de ces vakx1s chez les personnes âgées de 75 ans ou plus ». Et puis, cette revue vient nous révéler ce que cette réflexion souhaitait vous livrer depuis le début : l’une de ces dix astuces qui permettent de présenter, artificiellement, un médicament comme étant efficace. C’est ainsi que la revue Prescrire révèle ceci :

« En diminuant les infections symptomatiques, il est plausible que ces vakx1s aient aussi un effet préventif sur les formes graves de la maladie C0VlD-19 : les résultats des essais vont dans ce sens, ainsi que les premières données épidémiologiques ». Nous sommes clairement au stade de l’hypothèse qui appelle à être vérifiée ; puis éventuellement confirmée.

Or, l’un des « bidouillages publicitaires » qui permet de présenter un médicament comme étant efficace en apparence réside dans l’imagination d’un mécanisme physiopathologique « plausible » pour expliquer comment agit un produit ; et la « présentation » de ce mécanisme d’action théorique avec « adresse ». Un tel raisonnement était à l’origine, par exemple, de l’une des plus emblématiques « affaires » médicamenteuses : l’affaire du « VIOXX° »… Depuis au moins le 12 novembre 2020, dans un article intitulé « vakx1 contre la C0VlD-19 : ce que la population devrait savoir », le CTIAP a alerté en ces termes :

« (…) Un risque accentué par la nouveauté technologique

Certains de ces futurs vakx1s sont à base d’ARNm (acide ribonucléique). Ils sont donc les premiers qui utilisent une telle nouvelle technologie. Cette nouveauté technologique, si elle n’est pas suffisamment évaluée chez l’Homme et dans la durée, nous expose à des risques potentiels, jusqu’alors inconnus, qui pourraient se manifester après l’administration de ces produits chez une large population.

Et, il y a lieu de rappeler qu’une technologie aussi séduisante soit-elle, en théorie, peut se révéler dangereuse une fois transposée à l’Homme. Seule l’expérimentation clinique (chez l’Homme) permet de confirmer ou d’infirmer, en pratique, une telle innovation. La durée de cette expérimentation est incompressible. »

Début mai 2021, le CTIAP subit des attaques émanant notamment de l’« agence france presse (AFP) – Factuel » qui est soutenue par l’« AFP ». L’article de cet organe de presse est intitulé « Les vakx1s sont bien efficaces contre les formes graves du C0VlD ». La réponse du CTIAP est publiée, en urgence, dès le 8 mai 2021. Il est conseillé de lire cette réponse qui fournit des éléments complémentaires. Ces derniers viennent confirmer davantage la présente démonstration. Mais, cet article de l’« AFP -Factuel » nous livre quelques éléments qui mettent encore plus en lumière que ladite efficacité préventive sur les formes « graves » n’est qu’une hypothèse théorique qui ne peut constituer une preuve suffisante. Ces journalistes affirment :

« L’efficacité contre les formes sévères (…) s’est vérifiée depuis le début des campagnes de vakxination dans le monde, comme l’ont expliqué des expertes à l’AFP (…) » ;

« « On était sûr qu’on avait un effet sur les formes symptomatiques très très net. Donc par déduction, comme on sait la proportion de formes graves qui dépendent des formes symptomatiques, on était sûr qu’il y avait un effet sur les formes graves même si ça n’était pas démontré stricto sensu dans l’essai » pour une raison statistique, poursuit la présidente de la commission technique des vakxinations de la Haute autorité de santé ».

On joue donc à la devinette et on utilise une autre astuce de vente : devenir « Maître dans l’Art des raisonnements creux » : « très très net » ; « par déduction » ; « on était sûr (…) même si ça n’était pas démontré »

La question vitale est : est-ce que ces incertitudes avaient été portées à la connaissance des personnes concernées comme l’exige la loi (au sens large) ? La réponse est désormais claire eu égard aux éléments, non exhaustifs, ci-dessus exposés.

Mais, dans cet article de l’« AFP -Factuel », on apprend également ce que soutient encore cette présidente de la commission technique des vakxinations à la haute autorité de santé (HAS) : « « Dans les essais cliniques, la probabilité d’événements graves était faible car la population testée était relativement jeune et bien portante », a-t-elle expliqué à l’AFP le 3 mai » 2021.

L’autre question est alors la suivante : pourquoi ne pas avoir inclus dans ces essais plutôt les personnes qui étaient à risque de développer des formes graves : les personnes âgées notamment ? Et en particulier celles âgées de 75 ans et plus ?

Par ailleurs, l’article publié, en avril 2021 par la revue Prescrire, discute seulement la diminution « relative » du risque. La réduction « absolue » de ce risque ne semble pas abordée. Toutefois, cet article rappelle d’autres informations importantes :

« Des inconnues demeurent : l’effet sur la durée de la protection et sur la transmission du virus ; le maintien de son efficacité face à la variabilité du coronavirus » ;

« Des inconnues demeurent sur les effets indésirables à long terme » ;

« Ont été notamment exclues de ces deux essais [correspondant aux deux vakx1s à ARN Messager] les personnes immunodéprimées ou recevant un médicament immunodépresseur, celles atteintes d’une affection non stabilisée ou ayant un antécédent de maladie C0VlD-19, et les femmes enceintes ou allaitantes » ;

« On ne sait pas dans quelle mesure ces vakx1s ont un effet sur la transmission du virus (…) quelle est l’efficacité de ces vakx1s chez les enfants (…) Quel est l’intérêt de l’utilisation de ces vakx1s chez les personnes ayant déjà été infectées par le Sars-CoV-2 ; quels sont les risques de ces vakx1s chez les femmes enceintes » ;

« L’efficacité vakxcinale a été évaluée sur les souches de virus circulant dans la population vakxinée au moment des essais cliniques. Une modification importante de la protéine virale ciblée par ces vakx1s dans de nouvelles souches du virus expose à une réduction de leur efficacité sur ces souches » ;

« Le développement de médicaments à base d’ARN étant récent, leur recul d’utilisation dans l’espèce humaine est faible ».

Ces informations sont concordantes avec celles publiées par le CTIAP depuis au moins le 12 novembre 2020 ; soit bien avant la publication par les autorités ad hoc des éléments figurant dans les dossiers des AMM conditionnelles correspondant à ces vakx1s contre la C0VlD-19.

Par ces motifs, non exhaustifs ci-dessus exposés, une conclusion pourrait, par conséquent, être proposée.

Ces vakx1s contre la C0VlD-19 n’ont pas démontré leur efficacité sur la transmission virale. L’espoir ne résidait donc plus que dans une éventuelle efficacité sur la prévention des formes « graves » de cette C0VlD-19. Sans cette efficacité, l’AMM conditionnelle ne pourrait plus se justifier. 
Alors, faute de pouvoir apporter la preuve attendue pour démontrer, avec certitude, une efficacité préventive sur ces formes « graves », des techniques de vente semblent avoir été déployées :
– imaginer un mécanisme physiopathologique « plausible » censé expliquer comment agissent ces produits et que l’on tente de « présenter » ensuite avec « adresse » ; 
– tenter de dissimuler le fait que les essais cliniques n’aient pas inclus les principales personnes concernées par les formes « graves » (notamment celles âgées de 75 ans et plus) ; 
– faire appel à des médias qui vont utiliser notamment leurs graphistes dans le but d’optimiser l’impact visuel du message ; 
– ignorer les intervalles de confiance lorsque ces derniers montrent une grande largesse et donc une grande incertitude qui ne permet pas d’interpréter le résultat affiché ; 
– inverser la pyramide des preuves en privilégiant les anecdotes et en relayant les essais randomisés à une position secondaire 
– recruter des Maîtres dans l’Art des raisonnements creux ; 
– faire appel à quelques « leaders » d’opinion, aux liens et conflits d’intérêts inconnus, en faisant en sorte qu’ils deviennent des « bons clients » pour les médias traditionnels (dominants) 
– expliquer à la population que ces vakx1s sont « bons pour leur moral » en présentant ces produits comme d’éventuels médicaments « anxiolytiques »  (pour lutter contre l’anxiété) ou « antidépresseurs » ; 
– conditionner l’accès à des activités de la vie courante à des données médicales ; 
– imposer à la population un pari biologique : d’abord chez les personnes âgées de 75 ans et plus, chez les femmes enceintes ou qui allaitent, chez les immunodéprimés… avant de cibler les enfants ; 
– diffuser des clips véhiculant des messages, pour le moins inexacts, sur l’efficacité de ces vakx1s surtout ne pas évoquer les effets indésirables même ceux enregistrés par le système officiel de pharmacovigilance ; 
– ne pas oublier de tenter de se protéger juridiquement en versant, discrètement, la bonne version des faits auprès du juge administratif lors d’un litige ; 
– protéger cette « prescription politique » de ces vakx1s en se réfugiant derrière les autorités sanitaires ad hoc ; 
– ne pas trop s’embarrasser avec les règles fixées par l’AMM conditionnelle (déjà bien fragile) et faire du stock de ces vakx1s le principal régulateur des recommandations émises par ces autorités sanitaires ad hoc : ce stock justifie le choix des personnes prioritaires pour la vakxination, oriente la modification du schéma posologique (allongement du délai entre les 2 doses malgré les risques encourus), décide du nombre de doses contenues dans un flacon, influence même la date de péremption… ; 
– propulser l’évaluation objective du rapport bénéfice/risque de ces vakx1s vers une position accessoire, subsidiaire… 
– tenter de faire croire à la population que la baisse des contaminations, par le Sars-CoV-2 (C0VlD-19), annoncée en mai 2021 est le fruit de la vakxination même si cette même baisse avait été également annoncée un an plus tôt en ce même moi de mai (2020) et malgré l’absence de toute vakxination ; 
– essayer de culpabiliser les personnes non vakxinées en les accusant d’être à l’origine de telle ou telle « nouvelle vague épidémique » même s’il n’est pas démontré que ces vakx1s empêchent la transmission virale et même s’il est admis que les personnes vakxinées continuent de diffuser le virus ; 
– user, sans modération, des contradictions en n’hésitant pas à diffuser des informations, pour le moins, inexactes ; 
– refuser toute demande réclamant un débat public, contradictoire et utile 
– étiqueter, sans délai, d’« anti-vax » et de « complotiste » toute personne qui souhaite analyser, de façon objective, le rapport bénéfice/risque de ces produits…

Concernant les effets indésirables, le 28 mai 2021, l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament) révèle notamment quelques « signaux potentiels ou événements déjà sous surveillance » dont le lien de causalité avec ces vakx1s n’est pas encore retenu par cette autorité.
Pour le vakx1 BioNTech/Pfizer, par exemple, on peut lire : « Zona ; Troubles du rythme cardiaque ; Thrombopénie/thrombopénie immunologique/hématomes spontanés ; Déséquilibre diabétique dans des contextes de réactogénicité ; Echecs vakxinaux ; Syndromes de Guillain-Barré ; Syndrome d’activation des macrophages ; Myocardite/Myopericardite ; Réactivation à Virus Epstein-Barr ; Méningoencéphalite zostérienne ; Aplasie Médullaire idiopathique ; Hémophilie acquise ».
Il est conseillé de lire les rapports, concernant les quatre vakx1s (et pas seulement celui des laboratoires BioNTech/Pfizer), établis et publiés par l’ANSM de façon hebdomadaire depuis la mise sur le marché de ces produits.

Manifestement, le doute, qu’il porte sur le bénéfice ou sur le risque des médicaments, continue de bénéficier à ces produits et à leurs fabricants ; et non pas aux personnes humaines. À moins que cette personne humaine ne soit devenue, elle-même, un produit. Le produit…

Le Docteur Amine UMLIL. Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier. Juriste (Droit de la santé) a été l’invité de la 12ème émission du CSI (Comité Scientifique Indépendant) que nous conseillons de visionner.

Les vakx1s anti-C0VlD-19 pourraient être à l’origine de variants, selon des experts israéliens et européens

PAR LAWRENCE SOLOMON sur Epoch Times 3 juillet 2021 Mis à jour: 4 juillet 2021

En janvier, un rapport du service de renseignement des forces de défense israéliennes (pdf) mettait en garde contre le fait que le programme de vakxination de masse en Israël pourrait créer une mutation résistante aux vakx1s C0VlD-19. Préparé pour le Centre national d’information et de connaissances sur le coronavirus, le rapport indiquait que « la campagne de vakxination de masse qui se déroule parallèlement à l’épidémie active en Israël peut ‘pousser le virus à évoluer’ ».

En mai, Luc Montagnier de l’Institut Pasteur, le virologue dont la découverte du VIH lui a valu un prix Nobel en 2008, a averti que les vakx1s C0VlD-19 suscitent des variants plus mortels. « Je fais des expériences à l’Institut avec des patients qui sont tombés malades du coronavirus après avoir été vakxinés. Je vais vous montrer qu’ils sont en train de créer des variants résistants au vakxin », a-t-il déclaré lors d’une interview en France. « Ce sont les anticorps produits par le virus qui permettent à une infection de se renforcer. […] Il est clair que les nouveaux variants sont créés […] grâce à la vakxination. »

Bien que d’autres ne soient pas d’accord, le fait qu’une vakxination de masse au milieu d’une pandémie puisse créer des variants relève de la science fondamentale, a déclaré le Dr Geert Vanden Bossche, virologue belge, dont les références dans l’industrie des vakx1s incluent des postes chez GSK Biologicals, Novartis Vaccines, l’Alliance mondiale pour les vakx1s et la vakxination (GAVI) ainsi que la Fondation Bill et Melinda Gates.

Dans un discours-programme prononcé lors du Sommet sur les vakx1s aux États-Unis et dans une lettre adressée à l’Organisation mondiale de la santé (pdf), le Dr Bossche a exposé le danger. Comme les vakx1s contre le C0VlD-19 sont incapables d’éliminer rapidement le virus C0VlD-19, ils créent un terrain propice à l’apparition de variants, un peu comme cela se produit avec les bactéries qui ne sont pas éliminées lorsque les patients ne prennent pas un traitement complet d’antibiotiques. Le virus a alors le temps de s’adapter et de muter – ce qui ne le tue pas rapidement rend sa progéniture plus forte – ce qui a donné lieu à cette suite interminable de variants que nous observons actuellement.

Selon le Dr Bossche, le danger de cette « évasion immunitaire » est considérablement accru par les confinements, qui empêchent le système immunitaire inné de l’organisme d’être suffisamment sollicité par des agents pathogènes aléatoires et d’autres agents environnementaux pour qu’il reste entraîné et en forme, un peu comme le déconditionnement qui se produit lorsque nous ne faisons pas suffisamment d’exercice physique pour maintenir notre cœur, nos poumons et nos autres muscles en forme.

La tempête parfaite d’un système immunitaire inné inapte et de vakx1s C0VlD-19 inefficaces contre des virus mutants de plus en plus virulents de leur propre fabrication verra les personnes précédemment infectées par le C0VlD-19 et les vakxinés eux-mêmes succomber à l’infection par les variants, a affirmé le Dr Bossche, qui a ajouté que les vakxinés courent un risque particulier, car les anticorps spécifiques à longue durée de vie produits par la vakxination ont particulièrement tendance à neutraliser les anticorps généraux du corps (pdf).

La théorie selon laquelle les vakx1s ne sont pas aussi efficaces contre les variants a été étayée par une étude non évaluée par des pairs réalisée en mai par 14 chercheurs de cinq écoles de médecine et universités allemandes, qui ont découvert que le variant Delta (indien) B.1.617 hautement transmissible – l’un des quatre variants classés par l’OMS comme « variant préoccupant au niveau mondial«  – est plus à même que le virus original d’infecter des patients qui ont été précédemment vakxinés ou infectés.

Les auteurs ont conclu que la capacité du variant Delta à échapper aux anticorps spécifiques du C0VlD-19 « peut contribuer à la propagation rapide de ce variant », ajoutant que « dans les populations présentant un pourcentage élevé de personnes ayant des réponses immunitaires préexistantes contre le SRAS-CoV-2[alias C0VlD-19], les variants viraux qui peuvent échapper au contrôle immunitaire ont un avantage sélectif ». Ils ont noté qu’un phénomène similaire a pu se produire avec le variant sud-africain, B.1.351, et une mutation brésilienne appelée P.1, qui semblent également prospérer dans les populations ayant acquis une immunité contre le C0VlD-19.

En d’autres termes, les personnes immunisées contre le C0VlD-19 pourraient être encore vulnérables à des variants plus transmissibles et/ou mortels du virus.

Une autre étude non évaluée par des pairs qui étaye cette théorie a été réalisée par les services de santé israéliens Clalit et l’université de Tel Aviv. Elle a analysé 800 personnes qui avaient été infectées par le C0VlD-19 – 400 d’entre elles avaient été préalablement vakxinées et 400 n’avaient pas été vakxinées – pour découvrir que celles qui avaient été entièrement vakxinées par deux injections Pfizer avaient contracté le variant sud-africain à un taux huit fois supérieur à celui des personnes non vakxinées (bien que la taille de l’échantillon soit très petite). L’étude, qui a comparé les deux groupes en fonction de données démographiques telles que l’âge et le sexe, a également révélé que les personnes ayant reçu une injection Pfizer ont plus souvent contracté le variant britannique que celles qui n’en ont reçu aucune.

Deux nouvelles inquiétudes ont été exprimées dans un article paru dans Science au début de l’année, intitulé « New mutations raise specter of ‘immune escape’ » (le phénomène des nouvelles mutations soulève la question de l’ « évasion immunitaire »), qui décrivait comment des mutations plus mortelles pouvaient apprendre à échapper à la réponse immunitaire chez des personnes précédemment guéries ou vakxinées, ce qui conférait à la mutation un avantage dans les populations à forte immunité. Dans un exemple, Jesse Bloom, biologiste évolutionniste au Fred Hutchinson Cancer Research Center, a montré que E484K, une mutation d’un variant sud-africain inquiétant appelé 501Y.V2, réduisait la puissance d’anticorps spécifiques d’un facteur pouvant atteindre 10.

Pour lutter contre les vagues de mutations provoquées par le C0VlD-19, de nombreux experts insistent sur la nécessité de créer de nouveaux vakx1s. Mais si ces vakx1s sont administrés pendant une pandémie, d’autres avertissent qu’ils pourraient simplement perpétuer un cercle vicieux où de nouvelles variantes engendrent le besoin de nouveaux vakx1s engendrant de nouvelles variantes.

Lawrence Solomon est chroniqueur à Epoch Times, auteur et directeur exécutif du Consumer Policy Institute, basé à Toronto. LawrenceSolomon@nextcity.com @LSolomonTweets

Le Forum économique mondial publie un guide sur la façon de contraindre et de manipuler le public pour imposer le vakx1 C0VlD-19

« C’est seulement quand le nombre de cadavres de l’oppresseur est suffisamment grand qu’il commence à écouter » ~ Amilcar Cabral

Le Forum économique mondial (WEF) a eu un rôle plus important à jouer au cours des quinze derniers mois que beaucoup d’entre vous ne peuvent réaliser, et maintenant ils ont publié un guide utile pour les gouvernements et les responsables de la santé publique du monde entier sur la façon de contraindre et de manipuler le grand public pour se faire vakxiner contre le C0VlD-19.

Le WEF a déclaré dans un article récent qu’afin d’obtenir une immunité collective contre la maladie présumée de C0VlD-19, les responsables de la santé publique devraient utiliser la « théorie de la publicité », manipuler la façon dont les gens pensent et ressentent l’obtention du vakx1, utiliser les dirigeants communautaires et les agents de santé faire de la propagande et offrir des pots-de-vin comme incitation à « aider les sceptiques à franchir les portes des centres de vakxination locaux ».

La théorie de la publicité s’articule autour du cadre de la hiérarchie des effets qui suggère que « les clients pensent d’abord, puis ressentent et ensuite font »Le WEF pense que les décideurs politiques du monde entier ne s’adaptent actuellement qu’aux personnes qui sont déjà intéressées à obtenir le vakx1 C0VlD, ils recommandent donc que, pour convaincre les sceptiques, les responsables recourent à trois méthodes simples de coercition et de manipulation.

La première étape que le WEF recommande aux responsables de la santé publique de mettre en œuvre consiste à « augmenter les connaissances et surmonter la désinformation ». Cela tourne autour de l’étape de « réflexion » de la théorie de la publicité et indique que les dirigeants locaux contactent et éduquent de manière proactive les sceptiques via des « médias tels que les appels téléphoniques, le publipostage, la télévision, les panneaux d’affichage et les canaux numériques ».

Pourquoi recommandent-ils cela ? Parce que grâce à la recherche, le WEF pense que les gens sont « susceptibles de croire que le processus d’invention et d’approbation des vakx1s a été précipité, avec des effets secondaires sous-déclarés ». Le problème avec les conseils du WEF ici est que les gens ont tout à fait raison de croire que le processus d’invention et d’approbation a été précipité. Ils ont également raison de croire que les effets secondaires sont sous-déclarés. Ce n’est pas une question d’opinion, c’est une question de fait.

Or, le temps moyen nécessaire pour que tous les vakx1 sur le marché soient approuvés est d’environ huit ans. Ils ont commencé à administrer les vakx1 C0VlD-19 dans les bras du grand public dans les 11 mois suivant leur prétendue création (soit un délai presque 10 fois plus court), mais même alors, ils n’ont pas été approuvés comme les autres vakx1, ils ont plutôt reçu une autorisation d’utilisation d’urgence1. Pourquoi n’ont-ils reçu qu’une autorisation d’utilisation d’urgence ? Parce qu’ils sont encore en phase trois d’essais et sont donc expérimentaux. L’autorisation d’utilisation d’urgence signifie que le fabricant du vakx1 ne peut être tenu responsable de toute blessure pouvant survenir à la suite du vakx1.2

Quant aux effets secondaires sous-déclarés ? Eh bien, avez-vous déjà entendu parler du programme de carte jaune de la MHRA (Medicines & Healthcare products Regulatory Agency ;  Agence de réglementation des médicaments et produits de santé) ? Beaucoup de gens ne l’ont pas fait et c’est précisément pourquoi les effets secondaires sont sous-déclarés. Le système de la carte jaune permet aux gens de signaler tout effet indésirable qu’ils ont pu avoir en raison des vakx1s C0VlD-19, et la MHRA estime que seulement 1% à 10% des effets indésirables sont réellement signalés.

Cela rend le nombre réel d’effets indésirables et de décès signalés assez effrayant lorsque l’on tient compte de la sous-déclaration. Or, selon la 21e mise à jour publiée par le gouvernement britannique / MHRA sur les effets indésirables des vakx1s C0VlD-19, il y a eu 973 425 effets indésirables allant de légers à extrêmement graves et 1 356 décès jusqu’au 16 juin 2021.

La deuxième étape que le WEF recommande aux responsables de la santé publique de mettre en œuvre implique la propagande et le harcèlement. Cela tourne autour de l’étape « ressentir » de la théorie de la publicité et indique que les hésitants au vakx1 devraient être bombardés d’appels téléphoniques et de discussions, et harcelés sur les réseaux sociaux pour les persuader d’obtenir le vakx1 C0VlD.

Le WEF suggère également qu’un autre moyen d’améliorer les sentiments des sceptiques vis-à-vis des vakx1s consiste à jouer sur la peur de passer à côté / d’en manquer (Fear Of Missing Out, FOMO), à la fois socialement et économiquement. Pour y parvenir, le WEF recommande que les responsables de la santé publique utilisent des tactiques qui induisent la culpabilité et le regret.

Ils suggèrent que cela peut être fait d’une manière similaire à celle utilisée avec succès au Canada dans les années 1930 et 1940 pour lutter contre la diphtérie. Pendant cette période ils ont utilisé des messages tels que « si vos enfants meurent de diphtérie, c’est de votre faute car vous préférez ne pas prendre la peine de vous en protéger ».

Le problème ici est que les vakx1s C0VlD n’empêchent pas l’infection ou la transmission, donc l’utilisation de messages tels que ceux recommandés par le WEF, c’est de la coercition et n’équivaudrait pas à un consentement éclairé, car au lieu de cela, la personne serait extrêmement mal informée.

Il a seulement été prouvé que les injections C0VlD réduisaient le risque d’être hospitalisé ou de mourir de C0VlD-19, un risque qui est déjà incroyablement faible pour la plupart des gens, s’élevant à environ 0,02% en moyenne.

Les essais limités effectués ne mesuraient que si une personne vakxinée souffrait ou non d’une maladie grave si elle était infectée par C0VlD-19, mais ils étaient défectueux car personne n’a été exposé au virus pendant l’étude, ils ne mesuraient que ce qui se passait lorsqu’ils étaient dans la population générale.

Ils n’ont pas mesuré si une personne vakxinée pouvait toujours être infectée par C0VlD-19, et ils n’ont pas mesuré si une personne vakxinée pouvait toujours propager le virus conformément à la théorie des germes acceptée par le grand public.

Ce conseil du WEF est assez honteux compte tenu de ce qui précède, n’est-ce pas ?

La troisième et dernière étape que le WEF recommande aux responsables de la santé publique de mettre en œuvre implique la corruption et les démarchages téléphoniques. Cela tourne autour de l’étape « faire » de la théorie de la publicité et indique que des incitations devraient être offertes pour contraindre les gens à se faire vakxiner contre le C0VlD-19 ainsi que pour harceler les gens à leur domicile dans le but de les persuader de prendre le vakx1 à plusieurs reprises.

Le WEF conseille aux responsables de la santé publique d’offrir des incitations en espèces, des transports gratuits, des congés payés, des produits gratuits et des cadeaux de loterie comme pots-de-vin pour « encourager » les gens à adopter les piquouses covidiques.

Ils conseillent également que des cliniques éphémères soient mises en place dans les zones mal desservies avec des populations hésitantes à la vakxination et de créer des « équipes d’essai de vakx1s » qui harcèlent les personnes à domicile sous prétexte d’atteindre les personnes « enfermées à la maison » ou éprouvent des difficultés » à se rendre aux centres de vakxination.

Le Forum économique mondial a déclaré qu’il « croyait que l’application de l’approche centrée sur le patient « penser – ressentir – faire » au problème de communication du vakx1 C0VlD-19 améliorera les efforts visant à accélérer l’immunité collective mondiale. Assurer une réouverture et une reprise économiques sûres et surmonter cet important défi sanitaire et économique pourraient dépendre de telles tactiques ».

Le vakx1 C0VlD-19 n’assurera pas une réouverture et une reprise économiques sûres, tout comme C0VlD-19 n’a jamais provoqué une fermeture et une décimation sûres de l’économie. Ce sont des gouvernements tyranniques et leurs conseillers scientifiques unidimensionnels qui ont fermé et détruit l’économie, mais cela n’a pas pu se faire sans l’adhésion inconditionnelle du grand public.

Mais peut-on vraiment en blâmer le public compte tenu des tactiques de guerre psychologique déclenchées contre lui par les autorités pour les manipuler jusqu’à ce qu’il s’y conforme ? Une guerre psychologique qui a déclenché l’émotion de la peur et l’a transformé en agneaux sacrificiels sous prétexte de « faire leur part pour le plus grand bien ».

Les mêmes tactiques que le Forum économique mondial recommande désormais aux autorités d’utiliser pour manipuler le même public afin qu’il prenne un « vakx1 » expérimental.


notes Hannibal Genséric

source : https://dailyexpose.co.uk

via https://numidia-liberum.blogspot.com

16.500 décès susceptibles d’être causés par les «  vakx1s  » anti-covid dans l’UE (au 26 juin 2021)

     

Le calcul a été réalisé le 29 juin par Leily.

SOURCE : http://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html# ― Si vous voulez effectuer la recherche vous-mêmes, voici ce qu’il faut faire : une fois sur cette page, recherchez « covid ». Vous trouverez les quatre vakx1s. Sur chacune des pages du vakx1, cliquez sur l’avant-dernier onglet (« Number of Individual Cases for a selected Reaction »). Le nombre d’effets secondaires se trouve en bas à droite pour chacun des groupes de pathologies répertoriés dans la colonne de gauche. Pour trouver le nombre total d’effets secondaires, pour chaque vakx1, il faut additionner le nombre d’effets secondaires trouvé pour chacun des groupes de pathologies (c’est-à-dire, par vakx1, plusieurs dizaines de page dans la liste de la colonne de gauche).

Rappel :

Depuis le 3 avril 2021, on dénombre dans l’UE en moyenne CHAQUE JOUR 120 décès suspectés d’être dus aux quatre « vakx1s » anticovid dans l’Union européenne.

Cela ne suffit-il pas pour ordonner d’arrêter la vakxination le temps de vérifier si cela est vrai ?

Ces chiffres ne rapportent que les décès qui ont été officiellement déclarés comme potentiellement liés à la vakxination. On sait à quel point peu nombreux sont les personnels de santé acceptant de remettre en cause la doxa de la vakxination. En effet, toute remise en cause de la vakxination vous envoie directement dans le camp complotiste. Or les complotistes sont par exemple présentés sur Arte comme devant être jetés dans les toilettes avant de tirer la chasse (je vous recommande ce spot vu sur Arte, révélateur de ce que les « élites » pensent de ceux qui… pensent).