Covidisme : texte du philosophe strasbourgeois Reza Moghaddassi

Texte du philosophe strasbourgeois Reza Moghaddassi

Agrégé de philosophie, M. Reza Moghaddassi publie un texte fort, simple, limpide. Que vont-ils faire ? le traiter lui aussi de complotiste ! d’antivax ! de Gilet jaune ! Effectivement, comme démontré par une étude du MIT, un très grand nombre de personnes sceptiques sont intelligentes et diplômés contrairement à la propagande ridicule de la Doxa.



A tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner.

Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.

Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.

Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.

Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.

Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.

Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

Pardonnez-moi d’exister

Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de s’encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.

Vous avez raison le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.
Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.

Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.

Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.

Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.

C’est pour notre bien.

Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital

C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.

c’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.

c’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du doliprane et de rester à la maison.

C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du doliprane.

C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de dose de remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.
c’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires ! ), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.

C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long terme.

C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.

C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du covid.
C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.

C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.

C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.

C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.

C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.

C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.
C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme mort du covid une majorité de gens morts avec le covid.

C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les Gafam pour censurer les lanceurs d’alerte sur you tube, sur twitter, sur Facebook.

C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.

C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.
C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fou, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.
Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.

Trop bête pour comprendre

Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.

Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.

Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.

Trop bête pour comprendre

Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.

Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.

Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.

Que si une personne âgée meurt en ayant le covid, elle meurt du covid mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.

Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels mais que nous devons fermer les yeux.

Trop bête pour comprendre

Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.

Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.

Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième dose et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel.
Trop bête pour comprendre

Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.

Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.

Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.
Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.

Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.

Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.

Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.

Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.

Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.
Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.

Inversion

Je dois, en effet, comprendre que :

La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire

L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle

Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche

Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.

Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.

Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.

Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.

Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.
Merci de nous dispenser de penser.

Reza Moghaddassi, le 23 juillet 2021

« Casdémie » C0VlD : le cartel bancaire est le moteur de l’agenda

[Source : jeminformetv.com]

[Source originale anglaise : The Naked Hedgie]

[Traduction du texte de l’illustration : “Le problème qui a traversé les siècles et qui devra être combattu tôt ou tard est celui du peuple contre les banques.“]

Par Alex Krainer

Alex Krainer – @NakedHedgie est un ancien gestionnaire de fonds spéculatifs, créateur de I-System Trend Following et fondateur de Krainer Analytics. Il a écrit “Mastering Uncertainty in Commodities Trading” (Maîtriser l’incertitude dans le négoce des matières premières), classé premier livre sur la liste FinancialExpert.co.uk des « 5 meilleurs livres sur les matières premières pour les investisseurs et les traders ». Son livre “Grand Deception : The Browder Hoax” (Grande tromperie : le canular de Browder) a été interdit à deux reprises sur Amazon sur ordre des créatures des marais du Département d’État américain. Il écrit également sur ISystem-TF.com. Ses points de vue et ses opinions ne sont pas toujours destinés à la société polie, mais ils sont toujours exprimés dans une recherche sincère de la vraie connaissance et de la compréhension claire des idées qui comptent.

Depuis des semaines, les médias et les autorités « sanitaires » promeuvent sans relâche un récit effrayant sur la « pandémie » de C0VlD 19 comme si le décompte quotidien de nouveaux « cas » était une urgence de santé publique majeure, sensationnalisée par les médias près de 24h/ 24 et 7/7. Le récit officiel est fortement en contradiction avec les voix rassemblées de centaines de médecins, virologues et épidémiologistes.
il ne faut pas se laisser distraire par la muleta rouge du torero : les coupables ultimes, le super-prédateur sont les banquiers : une poignée de familles et d’individus qui contrôlent et gèrent le système monétaire actuel.

Supposons que la maladie existe. Toutes les variantes de tout virus présumé deviennent toujours moins virulentes. Mais, curieusement, pas celui-ci, selon des médecins nazillons. Tout ce qu’ils mentionnent, ce sont les cas, les cas, les cas ! À présent, la plupart des personnes « intelligentes et informées » comprennent que le test PCR ne peut pas déterminer l’infection. Voici ce que dit l’inventeur du PCR, Kary Mullis:  le PCR ne recherche aucun virus spécifique,  il recherche uniquement des séquences génétiques. Or, la séquence de C0VlD originale et ses variantes ont été/sont fabriquées par ordinateur. Ce n’est pas une pandémie – c’est une ‘Casdémie’, où il y a beaucoup de soi-disant cas, mais pas beaucoup de maladies réelles. 

Incohérence du récit officiel

Si nous étions confrontés à la pandémie “du siècle”, ce serait un grand défi pour l’humanité, forgé d’incertitude. On s’attendrait à rencontrer un débat animé, des discussions, beaucoup de doute et de controverses. Les journalistes devraient rechercher autant d’experts du domaine que possible afin que nous puissions comprendre le plus clairement possible le nouveau défi de la santé et comment y faire face. Des traitements efficaces devraient être promus, célébrés, criés sur les toits. Mais la réalité est très différente.

Les mesures de santé publique – pratiquement identiques dans la plupart des pays – sont transmises par l’Organisation Mondiale de la Santé à travers des hiérarchies bureaucratiques obscures qui revendiquent le monopole de la vérité. La discussion est découragée et des centaines d’experts sont agressivement réduits au silence. Plusieurs traitements efficaces ont été identifiés, mais l’administration est à la limite de l’hostilité à toute mention d’eux.

Dissimulation de traitements efficaces

Début mars 2020 déjà, le président Trump a commencé à mentionner l’hydroxychloroquine (HCQ) comme traitement des infections par le virus Corona. Les médias l’ont rapidement ridiculisé, l’accusant même de mettre des vies en danger. Cependant, il s’est avéré que l’HCQ réduisait la mortalité due à C0VlD 19 de plus de 50 % et, lorsqu’il est utilisé avec du zinc et des vitamines, jusqu’à 85 %.

Le Dr Stella Immanuel a affirmé qu’elle avait traité au HCQ plus de 300 patients atteints de C0VlD, dont beaucoup étaient âgés et ayant une ou plusieurs comorbidités, et qu’elle n’avait eu aucun décès parmi ses patients. Aujourd’hui, la vidéo avec ses déclarations est difficile à trouver sur YouTube, mais vous trouverez facilement des dizaines de vidéos qui la ridiculisent et diffament son personnage. Beaucoup plus récemment, le Dr Brian Tyson a témoigné que sa clinique avait traité 1 700 patients positifs au C0VlD-19 – encore une fois avec zéro décès.

Quoi qu’il en soit, les médecins et les patients ont été fortement découragés d’utiliser l’hydroxychloroquine et dans certains pays, HCQ a été brusquement retiré du marché. En Australie, la prescription d’HCQ a même été érigée en infraction pénale. Pendant ce temps, les autorités semblent favoriser l’imposition de vakx1s expérimentaux développés à la hâte, non testés, bien que la maladie elle-même ne se soit révélée mortelle que pour 0,004% de la population (même selon les statistiques surgonflées du CDC américain).

Retranchement déroutant de l’administration

L’incohérence totale des positions officielles est désormais devenue si évidente qu’elle a  depuis longtemps perdu toute crédibilité. Mais plutôt que de déclarer la victoire contre le virus et de célébrer le retour à la vie normale, les autorités sont devenues encore plus profondément ancrées dans leurs propres contradictions, devenant de plus en plus agressives avec des mesures de « santé publique » toujours plus restrictives. Pendant ce temps, les médias ont intensifié la propagande de « Projet Peur » à des proportions nauséabondes.[1]

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Nous insistons : l’édifice est sain, n’en croyez pas vos yeux menteurs,
ne faites pas vos propres recherches !

La situation est devenue surréaliste : comment des personnes apparemment intelligentes et instruites peuvent-elles rester si obstinément attachées à un récit aussi manifestement fallacieux ? Pourquoi les médias incitent-ils sans relâche à la peur et à l’hystérie à propos d’un virus grippal bénin ? En plus des médias américains et britanniques, j’ai suivi les reportages médiatiques en Croatie, en Espagne, en France et en Italie – la même chose partout : c’est rien que C0VlD tout le temps, avec des alarmes incessantes et des appels au respect de mesures “de plus en plus stupides”. Par exemple, plus de quatre mois après le début de cette « pandémie », 71 pays ont émis des mandats étrangement similaires pour que les gens portent des masques dans les espaces publics, même s’il n’y a strictement aucune preuve scientifique que cela serve à quelque chose.

Est-ce que tout le monde sur cette planète Terre est devenu fou ? Si ce ne sont pas la science et la logique qui informent les mesures de santé publique, alors qu’est-ce que c’est que tout ce binz ? Et ensuite ce qui suit m’a frappé…

Le cas curieux des prêts du FMI pour la Biélorussie

En juin, j’ai noté que le président biélorusse Alexandre Loukachenko avait publiquement snobé une ligne de crédit de 940 millions de dollars du Fonds monétaire international. Il l’a rejeté parce que le FMI a conditionné le prêt à ce que la Biélorussie impose une politique stricte de verrouillage  C0VlD 19 et un couvre-feu. À l’époque, je pensais qu’il était très étrange que le FMI offre des prêts à un pays tout en fixant des conditions qui compromettent gravement la capacité de remboursement de ce pays.

Apparemment, un certain nombre d’autres pays ont reçu des offres similaires du FMI et/ou de la Banque mondiale. Nous ne connaissons la conditionnalité de C0VlD 19 que parce que le président de la Biélorussie l’a divulguée publiquement. Fait significatif, Loukachenko a mentionné à plusieurs reprises que les négociateurs du FMI voulaient que la Biélorussie fasse « comme en Italie ». D’autres nations et gouvernements qui ont accepté l’argent ont peut-être accepté discrètement la conditionnalité qu’ils n’ont jamais divulguée au reste d’entre nous.

En avril 2020, 85 pays avaient demandé une aide financière au FMI. Profondément endettés et avec des économies gravement endommagées, la plupart des gouvernements du monde entier avaient besoin de prêts, ce qui les rendait la proie des diktats du pouvoir monétaire. Pour obtenir les fonds nécessaires, ils ont accepté de fermer leurs économies, de restreindre la liberté de mouvement de leur population, de créer des structures de surveillance de type Stasi et de fermer les écoles.

Une autre preuve que l’ordre du jour est dirigé par les banquiers était le récent éditorial dans le New York Times par Neel Kashkari, le président de la Réserve fédérale de Minneapolis, appelant le gouvernement à émettre des ordonnances strictes d’abri sur place de 4 à 6 semaines, « pour tout le monde sauf les travailleurs vraiment essentiels. » Kashkari a préconisé que les verrouillages soient aussi complets et stricts que possible et effectués de manière agressive, en utilisant « la capacité de test et de traçage que nous avons construite… »

Les empreintes digitales du cartel bancaire peuvent également être trouvées dans le document « Scenarios for the Future of Technology and International Development » (Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international), publié par la Fondation Rockefeller en 2010. À la page 18, intitulée « Lock Step » (Étape de verrouillage), le document décrit avec prévoyance notre réalité actuelle comme « Un monde de contrôle gouvernemental de haut en bas et de leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et un refoulement croissant des citoyens. » Le scénario envisage une « pandémie que le monde avait anticipé depuis des années… » Et aujourd’hui, nous avons cette « pandémie », ainsi que le monde du contrôle gouvernemental de haut en bas et un leadership plus autoritaire.

Comme Napoléon Bonaparte ne l’a que trop bien compris, 

« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »

Dans chaque nation, nous semblons être contrés par une bureaucratie gouvernementale. Mais alors que ces bureaucraties et les fonctionnaires qui y travaillent deviennent la cible du ressentiment du public, il est essentiel que nous reconnaissions les marionnettistes derrière le programme qui se déroule.

Il ne fait aucun doute que l’ennemi est le cartel bancaire international dont le siège est à Londres et à Wall Street, ainsi que leurs agences comme la Banque des règlements internationaux, le FMI, la Banque mondiale, les banques et institutions d’importance systémique mondiale comme la Forum économique mondial, grandes sociétés pharmaceutiques, Organisation mondiale de la santé, Fondation Bill et Melinda Gates, GAVI et bien d’autres.

Comme Lord Acton l’a prévenu il y a plus d’un siècle, « Le problème qui a traversé les siècles et qui devra être combattu tôt ou tard est celui du peuple contre les banques ». Ce combat est maintenant à nos portes. Ce pourrait être la lutte ultime entre l’émancipation de l’humanité ou notre asservissement final. Pour l’emporter, nous devons comprendre nos vrais ennemis et les structures financières, économiques, politiques et sociales permettant leur agenda.

Comme le révèle le document de la Fondation Rockefeller, ils ont anticipé notre recul et ont sûrement prévu des diversions pour détourner nos griefs vers les outils visibles de leur régime autoritaire top-down [Le haut contrôle le bas]. L’un des plus grands moyens de diversion est la guerre. Nous devons donc nous garder de croire que nos ennemis sont les Russes, les Chinois ou quiconque contre qui la logique du diviser pour régner nous opposerait.

Lorsque nos gouvernements nous disent que nous faisons face à une grave menace venant d’une autre nation, envoient des troupes à ses frontières ou des navires de guerre près de ses côtes, nous devons exiger qu’ils se retirent. Nous devons également nous garder de diaboliser les autres nations et leurs dirigeants car elles conduisent fréquemment à une escalade militaire (pensez à Saddam Hussein, Mouammar Kadhafi, Bachar al Assad…). Ron Paul nous a prévenus : 

« Ce n’est pas une coïncidence si le siècle de la guerre totale a coïncidé avec le siècle de la banque centrale. » 

J’ai expliqué les racines systémiques de la soif de guerre de l’Occident dans mon article : “Deflationary Gap and the West’s War Addiction.” « Gap déflationniste et dépendance à la guerre de l’Occident ».

Bref, il ne faut pas se laisser distraire par la muleta rouge du torero : les coupables ultimes, le super-prédateur sont les banquiers : une poignée de familles et d’individus qui contrôlent et gèrent le système monétaire actuel. Nous n’avons pas d’autre choix que de rejeter la peur et de les affronter. Aujourd’hui, nous sommes armés de vérités et d’informations dont les générations passées n’auraient pas pu rêver. Aujourd’hui, nous pouvons faire la différence et offrir à nos enfants et à nos petits enfants un monde de prospérité et de liberté au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer actuellement. Nous sommes vraiment ceux que nous attendions et nous devons saisir cette opportunité car cette lutte vaut tout.


  1. [1] Le terme projet Peur (en anglais, Project Fear) a été utilisé dans la politique anti-intellectuelle britannique, notamment avant, pendant et après le référendum de 2016 sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’UE par ceux qui battaient campagne pour la sortie de celle-ci.

    Il met en avant le contenu alarmiste et pessimiste employé par les européistes (en faveur du maintien dans l’UE). Selon ceux qui utilisent le terme il fut en premier lieu soi-disant utilisé par le Parti national écossais (SNP) et les sympathisants à l’indépendance qui s’opposaient à la campagne « Meilleurs ensemble » (« Better Together ») qui a eu lieu en 2014 (le référendum sur l’indépendance de l’Écosse). []

En complément: Entretien avec Lucien Cerise : « L’idiocratie mondialiste est suicidaire. Aidons-la à aller jusqu’au bout »

La résistance au 21e siècle est-elle encore possible ?

Mika Denissot

La résistance au 21e siècle en France est-elle encore possible ?
Depuis ces deux dernières années, les mouvements de résistants ne sont pas nombreux en France (et dans d’autres pays du monde) dû à la pression politique du gouvernement, et le déploiement massif des fausses informations des médias de masse sur les réseaux sociaux qui jouent un rôle important pour empêcher toute tentative de résistance, guerre ou combat.
Chez les Français en particulier (mais aussi dans d’autres les pays du monde), y a plus de soumission que de résistance.

Alors oui, parfois on voit des débuts de résistance, une action par-ci par-là, un déploiement sur les réseaux qui donne l’impression d’un déploiement de mouvement de résistants, une sensation d’organisation puis tout s’arrête. Ce manque de résistance, de mouvement, d’organisation en réseaux, cette soumission, de mon point de vue, est fondé sur un manque de valeurs profondes et spirituelles concernant le sens de la vie. Et nous savons qu’en France le sens de la vie n’est pas forcément une question mise en avant, plaçant la spiritualité dans un rang loin derrière, empêchant in fine toute libération et déploiement de son âme.
Et plus loin, comment entrer en résistance, suivre des mouvements si au préalable je ne sais pas pourquoi je me lève chaque matin ?
À quoi correspond chaque début de journée ?
Quelles intentions va créer mon histoire aujourd’hui et mon histoire globale ? Et plus loin quel est mon rôle dans ce pays puis dans ce monde ?

Sans avoir répondu à cette question du sens, à mon avis il n’est pas possible d’avoir cette énergie de résistance face à l’oppression politique. La résistance pour moi, (résistance qui a pour intention la libération d’un point de vue holistique), au vu de la guerre silencieuse qu’il y a entre le gouvernement Français par exemple et les Français résistants ou pas, c’est cette capacité à dépasser cette peur de la mort d’un point de vue holistique. Celui qui n’a plus peur de mourir dans son ensemble, est inattaquable. Faire partie des résistants et entrer en résistance au 21e siècle, c’est avoir cette capacité à dépasser toutes ses propres « morts » dans sa vie (confort, image de soi etc.), à être prêt à mourir pour sa liberté.
Celui qui s’est affranchi de la mort devient une réelle menace pour la société, car la seule arme que les gouvernements, la seule l’armée qu’elle a sur ses esclaves, c’est la peur de la mort. Si vous habitez en France et que vous voulez entrer en résistance, il est nécessaire de rejoindre un réseau ou une organisation de résistants, de préférence en France pour pouvoir vous mettre en action dans cette guerre du peuple silencieux contre la libération de nos êtres. Seul vous n’êtes pas assez résilient et n’aurez pas assez de force de résistance face à l’armée de médias construits comme un réseau solide de contre résistants en face de vous. Seul, face à l’armée de dirigeants qui mènent une politique autoritaire pour gagner cette guerre silencieuse qui marque un nouveau virage dans notre histoire que ce soit en France ou dans les autres pays, vous n’aurez pas assez de forces physiques et mentales… Alors oui, la résistance, c’est la libération de la peur de la mort d’un point de vue holistique. La résistance c’est aussi comprendre que chacun d’entre nous à un rôle à jouer dans cette guerre sournoise. La résistance c’est créer une armée de lumière, un réseau d’hommes et de femmes de toute tradition, nation et pas seulement de Français et française, pour mettre en place un plan d’action d’un petit réseau d’abord, puis local, puis national et tout fait pour garder notre régime démocratique, pour empêcher ces règles liberticides et pour ne pas sombrer dans des régimes communistes où quel que soit tout autre régime politique qui rendrait toute la zone Europe et Française en particulier invivable. C’est cela la résistance !

Et nous devrions faire confiance à la « science » de l’industrie pharmaceutique ?


Par William Engdahl − Le 29 juillet 2021 – Source New Eastern Ooutlook

L’indéboulonnable chef du NIAID, Tony Fauci, a demandé à plusieurs reprises au public de « faire confiance à la science », alors qu’il passe lui-même d’une opinion scientifique à une autre. Ce qui n’est jamais mentionné dans les grands médias occidentaux et presque partout dans le monde, c’est le bilan scientifique des principaux géants pharmaceutiques mondiaux fabricants de vakx1s. En bref, il est abyssal et alarmant à l’extrême. Ce seul fait devrait empêcher les gouvernements d’imposer à leurs populations des injections expérimentales radicales et non testées, sans avoir procédé à des tests approfondis à long terme pour garantir leur sécurité.

En avril dernier, alors que le programme de vakxination américain battait son plein, le conseiller en chef de Biden pour la Covid-19, M. Fauci, 80 ans, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) depuis 1984, annonçait que les Centres américains de contrôle des maladies (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) avaient décidé d’ordonner une « pause » dans l’administration du vakx1 Johnson & Johnson (Janssen) afin d’examiner les rapports faisant état de caillots sanguins. Il s’est avéré que six cas de caillots sanguins ont été signalés sur quelque sept millions de personnes ayant reçu le vakx1 J&J. Dans ses remarques à la presse, Fauci a déclaré : « L’une des choses qui est, je pense, si bonne dans notre système ici, c’est que nous sommes régis par la science, et non par toute autre considération. » Il y a de bonnes raisons de mettre en doute sa remarque.

Cette déclaration était censée rassurer les gens sur le fait que les autorités faisaient preuve d’une extrême prudence avec les médicaments expérimentaux contre la Covid-19 qui, après tout, n’ont jamais été testés en masse sur des humains auparavant et n’ont obtenu qu’une « autorisation d’utilisation d’urgence », une approbation provisoire de la FDA. La FDA a rapidement levé la pause lorsque J&J a accepté d’imprimer sur ses paquets que son vakx1 pouvait provoquer des caillots sanguins.

Pourtant, dans le même temps, les fabricants de vakx1s rivaux, Pfizer et Moderna, qui utilisent tous deux un traitement génétique hyper-expérimental connu sous le nom d’ARNm, n’ont pas été freinés par « la science » malgré le fait que des centaines de milliers de réactions graves alarmantes liées aux vakx1s, y compris des données officielles faisant état de plusieurs milliers de décès dus aux deux, ont été enregistrées par la base de données VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) du CDC.

Selon le CDC, ces événements « indésirables », post-vakxinaux, comprennent l’anaphylaxie, la thrombose avec syndrome de thrombocytopénie, le syndrome de Guillain-Barré, la myocardite, la péricardite et la mort. Pour la semaine du 16 juillet, le VAERS des CDC a fait état d’un nombre alarmant de 9 125 décès signalés depuis la fin décembre suite à la vakxination pour la Covid-19. Jamais dans l’histoire un nombre aussi élevé de décès n’a été associé à un vakx1, et pourtant les médias gardent un silence assourdissant à ce sujet.

Leur bilan scientifique lamentable

La formulation de Fauci est précise et délibérément manipulatrice. Elle suggère qu’il existe une chose fixe que nous pouvons appeler « la science », comme un dogme religieux du Vatican, alors que la véritable méthode scientifique est celle du questionnement continu, du renversement des hypothèses passées par de nouvelles hypothèses prouvées, de l’ajustement permanent. Pourtant, lorsqu’il s’agit de « science », la poignée de grosse compagnies fabricants de vakx1s, parfois connus sous le nom de Big Pharma, un cartel qui n’est pas sans rappeler Big Oil, ont un palmarès de fraude, de falsification délibérée de leurs propres tests, ainsi que de corruption généralisée de médecins et de responsables médicaux pour promouvoir leurs différents médicaments malgré les résultats de la « science » qui contredisent leurs affirmations de sécurité. Un regard sur les principaux géants pharmaceutiques mondiaux est instructif.

J&J

Nous commençons par la société Johnson & Johnson du New Jersey. Le 21 juillet 2021, J&J et trois autres petits fabricants de médicaments ont accepté de payer 26 milliards de dollars de dommages et intérêts à un groupe d’États américains pour leur rôle dans l’épidémie d’opioïdes en Amérique. Sur ce montant, J&J paiera 5 milliards de dollars. Le CDC estime que l’utilisation d’opioïdes hautement addictifs comme analgésiques a causé au moins 500 000 décès entre 1999 et 2019. Johnson & Johnson est accusé d’avoir poussé à l’utilisation excessive d’antidouleurs mortels et d’avoir minimisé les risques de dépendance. Ils étaient pourtant bien placés pour le connaitre.

Le même J&J est dans une énorme bataille juridique pour avoir sciemment utilisé un cancérogène dans sa célèbre poudre pour bébé. Une enquête de Reuters datant de 2018 a révélé que J&J savait depuis des décennies que l’amiante, un cancérigène connu, se cachait dans sa poudre pour bébé et d’autres produits cosmétiques à base de talc. L’entreprise envisagerait de scinder légalement sa division de poudre pour bébé en une petite société distincte qui se déclarerait ensuite en faillite pour éviter de gros versements. Le vakx1 contre la Covid-19 de J&J, contrairement à celui de Pfizer et Moderna, n’utilise pas de modification génétique de l’ARNm.

Les deux fabricants mondiaux de vakx1s contre la Covid-19, qui détiennent de loin le plus grand marché à ce jour, sont ceux dont Fauci fait personnellement la promotion. Il s’agit de Pfizer, en alliance avec la minuscule société allemande BioNTech sous le nom de Comirnaty, et de la société américaine de biotechnologie Moderna.

Pfizer

Pfizer, l’un des plus grands fabricants de vakx1s au monde en termes de ventes, a été fondé en 1849 aux États-Unis. Cette société possède également l’un des casiers judiciaires les plus chargés en matière de fraude, de corruption, de falsification et de dommages avérés. Selon une étude canadienne datant de 2010, « Pfizer a été un « délinquant chronique », s’engageant de manière persistante dans des pratiques commerciales illégales et corrompues, soudoyant des médecins et supprimant des résultats d’essais défavorables. » C’est grave. Il convient de noter que Pfizer n’a pas encore rendu publics les détails de ses études sur le vakx1 contre la Covid-19 pour un examen externe.

La liste des crimes commis par Pfizer s’est allongée depuis 2010. L’entreprise fait actuellement l’objet de poursuites judiciaires liées à des accusations selon lesquelles son médicament contre les brûlures d’estomac, le Zantac, est contaminé par une substance cancérigène. En 2009, Pfizer a reçu la plus grosse amende de l’histoire des États-Unis dans le domaine des médicaments, dans le cadre d’un accord de plaidoyer portant sur 2,3 milliards de dollars, pour avoir fait la promotion mensongère des médicaments Bextra et Celebrex et versé des pots-de-vin à des médecins complaisants. Pfizer a plaidé coupable d’avoir commercialisé quatre médicaments, dont le Bextra, « avec l’intention de frauder ou d’induire en erreur ». L’entreprise a été contrainte de retirer son antidouleur contre l’arthrite, le Bextra, aux États-Unis et dans l’Union européenne, car il provoquait des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et de graves maladies de la peau.

Dans le but évident d’augmenter ses revenus, Pfizer a illégalement versé des pots-de-vin à des médecins pour une utilisation « non indiquée sur l’étiquette » de plusieurs de ses médicaments, ce qui a entraîné des blessures ou la mort de patients. Parmi ceux-ci figuraient le Bextra (valdécoxib), le Geodon (ziprasidone HCl), un antipsychotique atypique, le Zyvox (linézolide), un antibiotique, le Lyrica (prégabaline), un médicament contre les crises d’épilepsie, son célèbre Viagra (sildénafil), un médicament contre les troubles de l’érection, et le Lipitor (atorvastatine), un médicament contre le cholestérol.

Dans un autre procès, les filiales de Pfizer ont été contraintes de payer 142 millions de dollars et de divulguer des documents de l’entreprise qui montraient qu’elle commercialisait illégalement la gabapentine pour des utilisations non indiquées sur l’étiquette. « Les données révélées dans une série de procès américains indiquent que le médicament était promu par la société pharmaceutique comme traitement de la douleur, des migraines et des troubles bipolaires – alors qu’il n’était pas efficace pour traiter ces affections et qu’il était en fait toxique dans certains cas, selon la Therapeutics Initiative, un groupe indépendant de recherche sur les médicaments de l’Université de Colombie-Britannique. Les essais ont forcé l’entreprise à publier toutes ses études sur le médicament, y compris celles qu’elle gardait cachées. »

En 2004, Warner-Lambert, filiale de Pfizer, a été contrainte de payer 430 millions de dollars pour régler les accusations criminelles et la responsabilité civile découlant de ses pratiques commerciales frauduleuses concernant le Neurontin, sa marque pour le médicament gabapentin. Développé à l’origine pour le traitement de l’épilepsie, Neurontin a fait l’objet d’une promotion illégale pour le traitement de la douleur neurologique, et en particulier pour la migraine et le trouble bipolaire, alors qu’il n’était pas efficace pour traiter ces affections et qu’il était même toxique dans certains cas. Le Neurontin pour des utilisations non approuvées a représenté environ 90 % des 2,7 milliards de dollars de ventes en 2003.

Un rapport du New York Times a révélé en 2010 que Pfizer « …a versé environ 20 millions de dollars à 4 500 médecins et autres professionnels de la santé aux États-Unis pour des consultations et pour parler en son nom au cours des six derniers mois de 2009 ». Elle a versé 15,3 millions de dollars supplémentaires à 250 centres médicaux universitaires et autres groupes de recherche pour des essais cliniques. Dans la pratique juridique américaine, il est rare que les dirigeants d’entreprise qui commettent des actes criminels soient poursuivis. Il en résulte que les amendes judiciaires sont traitées comme des « coûts commerciaux » dans ce milieu cynique. En huit ans de malversations répétées jusqu’en 2009, Pfizer a accumulé un peu moins de 3 milliards de dollars d’amendes et de sanctions civiles, soit environ un tiers de ses revenus nets annuels.

En 2020, alors que son vakx1 contre la Covid-19 était en cours de développement, Pfizer a payé 13 150 000 dollars en lobbying auprès du Congrès et de fonctionnaires à Washington, entre autres. Il faut également noter que la Fondation Bill et Melinda Gates possède des actions à la fois de Pfizer et de leur partenaire dans le principal vakx1 à ARNm, l’allemand BioNTech.

Moderna

Le troisième producteur de vakx1s contre la Covid-19 ayant reçu une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) de la FDA est Moderna, de Cambridge, Massachusetts. Contrairement à J&J ou Pfizer, il n’a pas encore été poursuivi pour pratiques illégales. Peut être parce qu’avant son EUA pour son vakx1 expérimental à ARNm il n’avait, en dix ans d’existence depuis 2010, pas réussi à obtenir l’approbation de la FDA pour commercialiser un seul médicament, malgré des tentatives répétées et infructueuses. Cependant, Moderna a un panneau au néon rouge qui indique « conflit d’intérêts » qui devrait donner à réfléchir.

Moderna et le NIAID de Fauci ont collaboré au développement de vakx1s en utilisant la plateforme ARNm de Moderna et le NIAID de Fauci sur les coronavirus, dont le MERS, depuis au moins novembre 2015. Le 13 janvier 2020, avant même que le premier cas d’un supposé « nouveau coronavirus » de Wuhan, en Chine, ne soit détecté aux États-Unis, le NIAID de Fauci et Moderna signaient un accord de coopération actualisé qui les décrivait comme copropriétaires d’un coronavirus basé sur l’ARNm et qu’ils avaient finalisé une séquence pour l’ARNm-1273, le vakx1 qui est maintenant administré à des millions de personnes pour soi-disant éviter le nouveau coronavirus. Cela signifie que le NIAID de Fauci, et peut-être Fauci personnellement (c’est autorisé aux États-Unis), allait tirer d’énormes avantages financiers de l’approbation d’urgence du vakx1 Moderna, mais Fauci n’a jamais admis publiquement ce conflit lorsqu’il était conseiller de Trump, ni lorsqu’il était conseiller de Biden.

Dix jours plus tard, le 23 janvier 2020, Moderna annonçait qu’elle avait obtenu un financement du CEPI, un fonds pour les vakx1s créé par la fondation de Bill Gates et le WEF de Davos, entre autres, pour développer un vakx1 à ARNm contre le virus de Wuhan.

Moderna a été créé par un investisseur en capital-risque, Noubar Afeyan, ainsi que par Timothy A. Springer, professeur à Harvard, et d’autres personnes. En 2011, Afeyan a recruté Stéphane Bancel, homme d’affaires français et ancien cadre d’Eli Lilly, comme PDG. Bien qu’il n’ait aucun diplôme en médecine ou en sciences, ni aucune expérience dans la gestion d’une opération de développement de médicaments, Bancel se présente comme cotitulaire d’une centaine de brevets de Moderna liés aux différents vakx1s. À partir de 2013, la petite Moderna a reçu des subventions du Pentagone pour développer sa technologie ARNm. En 2020, juste avant de recevoir l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA, 89 % des revenus de Moderna provenaient de subventions du gouvernement américain. Cette entreprise est loin d’être expérimentée, mais elle tient le destin de millions de personnes entre ses mains. Comme le dit Fauci, « faites confiance à la science ».

En février 2016, un éditorial de la revue Nature reprochait à Moderna de ne pas publier d’articles évalués par des pairs sur sa technologie, contrairement à la plupart des autres sociétés de biotechnologie émergentes ou établies. L’entreprise reste ultra-secrète. La même année, en 2016, Moderna a obtenu 20 millions de dollars de la Fondation Gates pour le développement de vakx1s utilisant l’ARNm.

Jusqu’à ce qu’elle reçoive l’approbation de l’EUA pour son produit « covid » à base d’ARNm en décembre 2020, Moderna n’avait cumulé que des pertes, depuis sa fondation. Puis, curieusement, à la suite d’une réunion personnelle en mars 2020 avec le président de l’époque, Trump, où Bancel a dit au président que Moderna pourrait avoir un vakx1 prêt en quelques mois, l’opportunité pour Moderna est à portée de main.

Le 15 mai, Trump annonçait la création de l’opération « Warp Seed » pour mettre en place un vakx1 contre la Covid-19 d’ici décembre. Le chef du groupe présidentiel était un vétéran de 30 ans de R&D de la grande firme pharmaceutique britannique GSK, Moncef Slaoui. En 2017, Slaoui avait démissionné de GSK et rejoint le conseil d’administration de nul autre que Moderna. Sous le Warp Speed de Slaoui, quelque 22 milliards de dollars de l’argent des contribuables américains ont été donnés à différents fabricants de vakx1s. Moderna en fut l’un des principaux bénéficiaires, un conflit d’intérêt flagrant, mais personne ne semblait s’en soucier. Slaoui a acheminé quelque 2 milliards de dollars de fonds publics vers son ancienne société, Moderna, pour développer le vakx1 à ARNm contre la Covid-19. Ce n’est que sous la critique publique que Slaoui a vendu ses actions dans Moderna, faisant des millions de bénéfices grâce au rôle de Moderna en tant que candidat principal pour le vakx1 contre la Covid-19. Peu de temps après sa démission à la fin de la présidence Trump, Slaoui a été licencié par son ancienne entreprise GSK suite à des accusations de harcèlement sexuel envers une employée d’une filiale de l’entreprise.

William Engdahl

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone

Note du Saker Francophone. C’est typique de l’ultralibéralisme. Les grosses entreprises peuvent tout se permettre sans subir de conséquences à la hauteur de la gravité de leurs actes. Un individu tue ou blesse gravement quelqu’un, même involontairement, et il passe par la case prison. Une Société Anonyme le fait et s’en tire avec une amende qui la touche à peine. Pourquoi ne pas envoyer le directeur en prison ou même la dissoudre pour de tels agissements ? Mais non c’est la politique du laisser-faire, sans limites. Si bien que les méthodes pour augmenter leurs profits vont continuer à défier de plus en plus les règles, jusqu’à destruction du tissu social si l’État n’intervient pas pour y mettre le holà. Et vu l’état dans lequel est l’État on peut en douter. 

Sputnik France publie aujourd'hui un article rappelant que "Interrogé lors de son procès pour fraude fiscale au sujet des versements du laboratoire sur un compte ouvert en Suisse en 1992, M.Cahuzac [un ministre de Francois Hollande], reconnaît alors qu’en 1993 «deux versements des laboratoires Pfizer» ont été faits au profit du financement politique."

Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vakxination de 100 % ?

Publié le 4 août 2021 par Olivier Demeulenaere

Par Brandon Smith

Je ne pense pas être la seule personne à l’avoir remarqué – Il y a eu un déluge soudain de propagande sur la vakxination anti-Covid et sur le passeport vakxinal – ou pass sanitaire, pass vert – au cours du mois dernier, plus que ce que nous avons vu depuis le début de l’année, je pense. Je parle des États-Unis en particulier, mais il est important de souligner qu’aux États-Unis, l’establishment réclame toujours désespérément un taux de vakxination beaucoup plus élevé. Dans des pays comme l’Europe, le Royaume-Uni et l’Australie, les taux de vakxination sont plus élevés et les gouvernements sont passés à la phase de passeport vakxinal de leur programme.

Certaines personnes peuvent être déconcertées par le fait que la plupart des pays s’engagent dans la voie des mandats et des restrictions concernant les médicaments. Comment est-il possible que presque tous les gouvernements de la planète soient d’accord sur le totalitarisme médical ? Eh bien, c’est assez facile à comprendre quand on sait que la majorité d’entre eux sont liés entre eux par des institutions mondialistes comme le Forum économique mondial, qui a qualifié à plusieurs reprises la pandémie d’ « occasion parfaite » pour faire passer ses projets de « grand reset ».

Le « Grand Reset » est une usurpation idéologique à long terme de ce qui reste de la liberté individuelle et des économies de marché, et son objectif est l’imposition d’une dictature socialiste/communiste mondiale. Les mondialistes enveloppent ces objectifs dans de jolis mots et des aspirations humanitaires, mais au fond, la « réinitialisation » vise à mettre fin à la liberté telle que nous la connaissons. Ce n’est pas une exagération, c’est la réalité ; c’est ce que ces gens désirent par-dessus tout. Mais comment atteindre un tel objectif ?

Eh bien, de manière intéressante, le FEM et la Fondation Bill Et Melinda Gates ont décrit exactement comment ils prévoyaient de le faire au cours d’une « simulation » qu’ils ont organisée en octobre 2019, appelée « Event 201 ». Au cours de cet événement, ils ont imaginé une pandémie massive de coronavirus, qui se propagerait soi-disant des animaux aux humains, ce qui faciliterait la nécessité de restrictions omniprésentes des libertés individuelles, des économies nationales ainsi que d’Internet et des médias sociaux. Je suis sûr que tout cela n’est qu’une coïncidence, mais le même scénario que les mondialistes du FEM ont joué pendant Event 201 s’est produit dans le monde réel seulement deux mois plus tard.

En tout cas, la pandémie elle-même a été une aubaine pour les mondialistes. Nous n’avons pas vu une telle prise de pouvoir des gouvernements et des entreprises depuis la montée des national-socialistes en Europe et la propagation du communisme en Russie et en Chine il y a presque un siècle. En fait, je dirais que ce à quoi l’humanité dans son ensemble est confrontée aujourd’hui est bien pire que ce que ces misérables empires ont pu produire.

Il n’y a aucun doute : les institutions mondialistes et leurs « partenaires » gouvernementaux sont les plus grands bénéficiaires de la crise du covid. Ils s’apprêtent à acquérir le pouvoir social et politique ultime si leur programme d’exploitation de la pandémie réussit.

Cela dit, il y a quelques obstacles dans leur plan, et c’est pourquoi je crois que nous assistons à une poussée de propagande agressive ces dernières semaines. Par exemple, comme je l’ai souligné avec de nombreuses preuves dans mon article « Biden’s Vakxine Strike Force Plan Stinks Of Desperation », il apparaît que le taux de vakxination, en particulier aux États-Unis, est loin d’être aussi élevé que les élites le souhaiteraient.

Alors que l’administration Biden et les CDC revendiquent un taux de vakxination global de 67 %, de nombreuses autres statistiques, dont les chiffres de la carte des États de la clinique Mayo, indiquent que seuls quatre États américains ont un taux de vakxination supérieur à 65 % (pour une dose ou plus), et que la majorité des États ont des taux de 50 % ou moins. Même les États bleus à forte population, comme la Californie et New York, ne dépassent pas la barre des 65 %, et franchement, ces chiffres ne vont nulle part car les vakxinations sont en chute libre.

Si quelqu’un ne s’est pas présenté à ce jour avec des temps d’attente nuls et des doses abondantes partout, alors il est peu probable qu’il soit un jour vakxiné.

Des statistiques contradictoires me laissent penser que Biden et les CDC gonflent leurs chiffres de vakxination pour créer l’illusion qu’une plus grande majorité d’Américains soutient le vakx1. Et si c’est le cas, cela explique pourquoi Biden, Fauci et les médias grand public gavent le public d’un battage publicitaire pro-vakx1s qui contredit systématiquement les données scientifiques réelles. Ils n’obtiennent pas la peur et la conformité du public qu’ils espéraient.

Mais pourquoi veulent-ils une vakxination à 100% ? Pourquoi veulent-ils à tout prix que chaque personne dans le monde reçoive le vakx1 à ARNm ?

Après tout, le taux de mortalité moyen (IFR) du covid est de seulement 0,26 % des personnes infectées (c’est une statistique que les médias refusent systématiquement et délibérément de mentionner au public). Cela signifie que 99,7% du public ne court AUCUN risque de contracter le covid, qu’il soit vakxiné ou non.

Les vakx1s garantissent-ils de meilleures chances ? Eh bien, selon des statistiques récentes du Massachusetts, pas nécessairement, puisqu’elles font état de plus de 5100 infections et de 80 décès de patients entièrement vakxinés. Les médias ne cessent de nous dire que seuls les non-vakxinés meurent, mais c’est un mensonge, comme tant d’autres mensonges qu’ils colportent à propos du covid. Alors, quel est l’intérêt de recevoir un vakx1 expérimental si le taux de mortalité du virus est si faible et si le vakx1 ne vous protège pas nécessairement ?

Il n’y a aucun intérêt. La science et les statistiques ne le soutiennent pas. Les vakx1s ne peuvent même pas être crédités de la baisse des infections et des décès cette année ; les chiffres ont chuté en janvier – seuls 5% de la population étaient vakxinés en février. La seule explication à cela est que la population a atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. Rappelez-vous quand les gouvernements disaient qu’ils avaient besoin d’une immunité de troupeau ou d’une vakxination de 70% pour mettre fin aux blocages et aux mandats ? Les poteaux de but ont été déplacés plusieurs fois et la « science » du gouvernement change tous les mois. Aujourd’hui, ils prétendent que l’immunité collective n’a pas d’importance et exigent une vakxination à 100 %.

Nous devons à nouveau poser la question : pourquoi le gouvernement pousse-t-il sans relâche à une saturation totale en vakx1s ? Cela ne sauve pas de vies, et les mandats restent inchangés, alors pourquoi ?

Je ne peux qu’émettre des théories basées sur les preuves disponibles, mais je pense qu’il est clair pour la plupart d’entre nous que les vakx1s n’ont PAS pour but la santé publique ni de sauver des vies. Ils ont manifestement un autre objectif…

Comme de nombreux experts en virologie et en vakx1s l’ont signalé au cours de l’année écoulée, la technologie expérimentale de l’ARNm présente un risque élevé d’effets secondaires nocifs pour la santé. Même l’un des créateurs des vakx1s à ARNm a laissé entendre qu’il était dangereux de déployer ces cocktails de manipulation génétique sans effectuer davantage de tests. Il convient de noter les préoccupations concernant les troubles à long terme tels que les troubles auto-immunes et l’infertilité.

Les médias grand public et les mondialistes soutiendront qu’il n’y a « aucune preuve » que les vakx1s à ARNm provoqueront des effets secondaires mortels ou l’infertilité. Je répondrai qu’il n’y a AUCUNE PREUVE que ces vakx1s sont sûrs. La plupart des vakx1s sont testés sur une période de 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vakx1s contre le covid ont été lâchés sur le public en quelques mois. Honnêtement, je n’ai pas l’intention de servir de cobaye pour un vakx1 non testé.

Mais que faire si les élites savent exactement quels seront les effets secondaires ? Et si les vakx1s étaient un élément central de leur « Grand Reset » ?
La question de l’infertilité, en particulier, suscite le plus de critiques de la part de l’establishment, et je voudrais souligner un récit particulièrement insidieux implanté dans les médias. Chaque fois que les gens remettent en question le risque de stérilité causé par les vakx1s, les bureaucrates et les têtes parlantes des médias passent à l’attaque, puis disent : « Il n’y a aucune preuve que les vakx1s causent la stérilité, mais le Covid-19 pourrait la causer… ». Il suffit de regarder ce récent discours du gouverneur de l’Arkansas où lui et son larbin médical ont presque été chassés du podium par un public en colère pour avoir colporté la même propagande :

Et voilà le résultat. À mon avis, le décor est planté pour un événement d’infertilité de masse, et le covid sera accusé à la place des vakx1s expérimentaux. C’est pourquoi l’establishment a besoin d’un taux de vakxination de 100% ; les personnes non vakxinées seraient la preuve de leur crime. Laissez-moi vous expliquer…

Ce qui me préoccupe, c’est que le programme de Grand Reset de Klaus Schwab est impossible à appliquer de manière permanente, à moins que la population humaine ne soit fortement réduite sur une courte période (une génération ou deux). Les mondialistes parlent constamment de contrôle et de réduction de la population. Des élites comme Bill Gates sont célèbres pour cela. Faut-il s’étonner qu’ils conçoivent un plan pour l’instaurer ?

Et si, comme de nombreux experts l’ont suggéré, les effets secondaires des vakx1s créaient cette condition de diminution de la population ? Et si c’était le cas ? Nous ne le saurons pas avec certitude avant quelques années au moins, car les troubles auto-immunes et l’infertilité mettent du temps à se manifester dans une population. Le délai moyen pour diagnostiquer un trouble auto-immune est de 4,5 ans. Le diagnostic de l’infertilité peut prendre de six mois à un an.

Si des millions de personnes ne sont toujours pas vakxinées au cours des deux prochaines années, elles constitueront un groupe de contrôle important et indéniable. Un groupe témoin est un groupe de sujets qui agit comme un échantillon pur, non touché par une expérience sur un médicament ou un vakx1. Si le groupe vakxiné tombe malade ou meurt de maladies spécifiques et que le groupe témoin ne présente pas ces mêmes maladies, c’est un bon signe que votre vakx1 ou votre médicament est un poison.

La moitié des Américains et des pourcentages plus faibles dans d’autres pays constituent un groupe de contrôle pour les vakx1s expérimentaux. Si quelque chose ne va pas avec les vakx1s, nous en serons la preuve. Je soupçonne que c’est ce dont les élites ont vraiment peur.

Elles doivent nous forcer à nous faire vakxiner également – nous tous, afin qu’il n’y ait pas de groupe de contrôle et donc pas de preuve de ce qu’elles ont fait. Ils pourraient simplement imputer les troubles de santé de masse au covid lui-même, ou à un autre faux coupable.

Si les vakx1s sont un cheval de Troie qui provoque une maladie ou une stérilité généralisée, et que les mondialistes se font prendre parce qu’il existe un groupe de contrôle, alors cela signifiera pour eux une rébellion pure et simple ainsi que des cordes et des lampadaires. Leur « grand reset » s’effondrera.

Bien sûr, cela pourrait se produire de toute façon. Les passeports vakxinaux sont la ligne dans le sable pour la plupart des gens. Nous assistons même à d’importantes manifestations et émeutes dans des pays comme l’Italie, la France, le Royaume-Uni et l’Australie à cause de ce régime de passeport draconien. Mais c’est aux États-Unis que le plus gros combat aura lieu, à mon avis. Nous avons une population armée, des millions et des millions de vétérans et de civils entraînés au combat, une armée composée d’environ 70 % de conservateurs et d’indépendants et une compréhension historique de la guerre asymétrique. Comme nous l’avons vu dans des endroits comme l’Afghanistan, les chars, les avions à réaction, les missiles et les drones ne garantissent pas la victoire contre une force de guérilla.

Les passeports vakxinaux n’arriveront pas ici. Nous ne le permettrons tout simplement pas.

Les mondialistes ont mis en place une fin de partie – Cela pourrait être une fin de partie pour nous, mais cela pourrait aussi être une fin de partie pour eux. Ils ont un calendrier strict. Ils doivent obtenir des taux de vakxination proches de 100% dans les deux prochaines années ou plus tôt. Ils doivent mettre en place leurs passeports vakxinaux dans les deux prochaines années ou plus tôt. Et ils doivent instaurer des conditions de confinement permanent à court terme pour étouffer la dissidence croissante. Nous sommes maintenant dans une sorte de course dans laquelle les mondialistes doivent mettre en œuvre leur programme aussi vite que possible, tandis que nous devons résister et les retenir jusqu’à ce que la vérité devienne évidente pour les masses ; la vérité que les confinements, les mandats et les vakxins n’ont jamais eu pour but la sécurité, mais le contrôle – du contrôle social au contrôle de la population.

Brandon SmithAlt-Market, le 29 juillet 2021

Traduit par Aube Digitale

Rappels :

Il se passe des choses étranges et diaboliques avec cette “vakxination” à laquelle ils tiennent tant…

Pourquoi cette obsession de la “vakxination” ?

Leur “vakxination” n’a rien à voir avec notre santé

Un ancien vide-président de Pfizer n’exclut pas l’existence d’un projet de « dépopulation à grande échelle » lié aux vakx1s

Tuer l’économie ou la population en surnombre ?

« On a hâte de commencer à vakxiner pour éliminer nos personnes vulnérables » (ministre de la Santé du Québec)

Les ARNm vakxinaux atteignent les organes reproducteurs (testicules et ovaires)

Rassurez-vous : Les « vakx1s » Covid-19 ne stériliseront pas TOUTE la population !

PLANDEMIE – Gates, Soros, Rockefeller, Buffet, Bezos : l’idéologie néo-malthusienne des élites globalistes

Lettre ouverte aux non vakxinés » de huit scientifiques canadiens

Posted by Jean-Dominique Michel 

A l’heure où la France a basculé dans la tyrranie suite à la démission de son « Conseil constitutionnel » de remplir sa mission d’être garant des droits et libertés fondamentales, je re-publie traduite par mes soins et in extenso la lettre ouverte publiée par le Pr Denis Rancourt et sept autres scientifiques canadiens. Il paraît presque […]OLDERNEWER

A l’heure où la France a basculé dans la tyrranie suite à la démission de son « Conseil constitutionnel » de remplir sa mission d’être garant des droits et libertés fondamentales, je re-publie traduite par mes soins et in extenso la lettre ouverte publiée par le Pr Denis Rancourt et sept autres scientifiques canadiens.

Il paraît presque lointain le temps où les endoctrinés nous moquaient lorsque nous évoquions la perspective d’une société à la chinoise où les personnes et leurs corps seraient devenus la propriété des états (et des groupes qui les contrôlent). Se gaussaient avec force ricanements de la perspective d’une vakxination obligatoire avec un produit génique expérimental et d’un pass sanitaire établissant un véritable apartheid avec des citoyens de première et de seconde zone.

Nous y sommes désormais. Étant donné que cela n’a plus rien à voir avec une quelconque réalité sanitaire, il semble en effet s’agir un plan bien huilé qui se déroule au mépris de toute réalité.

Les « résistants » (oui, je continuerai à les appeler pour ce qu’ils sont face aux dirigeants et aux collaborateurs de cette dérive évidemment totalitaire) ont bien besoin de soutien, d’encouragement et de réconfort.

Les « élites » ayant vendu leur âme (cf. cette cohorte « d’éthiciens » qui viennent nous expliquer à quel point tout ceci est éthique alors que des « scientifiques » prétendent trouver que les opposants sont en quelque sort des démeurés) à nous de cultiver, entretenir et muscler la nôtre.

Oh, by the way, le Massachussets Institute of Technology (l’équivalent de l’EPFL en plus prestigieux) a mis en lumière qu’à l’inverse, les personnes sceptiques (qualité rationnelle faut-il le rappeler…) sont en moyenne plus éduquées et cultivées que ceux qui adhèrent aveuglément à des injonctions « sanitaires » de plus en plus aberrantes et liberticides. Et n’ont dans leur immense majorité aucun lien avec les théories complotistes : elles savent simplement se questionner sur la question complexe d’un rapport bénéfice – risque…

Quand il s’agira de remettre les « Corruption & Propaganda Awards », il y aura pléthore de nominés chez nous comme ailleurs.

D’ici là, veillons à rester pleinement lucides sur la réalité de ce qui se déroule, dont la trame semble (hypothèse forte) pertinemment résumée par le physicien et spécialiste de l’ « Intelligence Artificielle », Philippe Guillemant.

Le chercheur de l’OCLA, le Dr Denis Rancourt, et plusieurs collègues universitaires canadiens ont écrit une lettre ouverte pour soutenir ceux qui ont décidé de ne pas accepter le vakx1 C0VlD-19.

Le groupe insiste sur le caractère volontaire de ce traitement médical ainsi que sur la nécessité d’un consentement éclairé et d’une évaluation individuelle des risques et des bénéfices. Ils rejettent la pression exercée par les responsables de la santé publique, les médias et les médias sociaux et les concitoyens.

Le contrôle de notre intégrité corporelle pourrait bien être l’ultime frontière de la lutte pour la protection des libertés civiles.

Lettre ouverte aux non vackxinés

Tu n’es pas seul ! Au 28 juillet 2021, 29 % des Canadiens n’avaient pas reçu de vakx1 contre la COVID-19 et 14 % de plus n’avaient reçu qu’une seule injection. Aux États-Unis et dans l’Union européenne, moins de la moitié de la population est entièrement vakxinée, et même en Israël, le « laboratoire du monde » selon Pfizer, un tiers des personnes restent totalement non vakxinées. Les politiciens et les médias ont adopté un point de vue uniforme, faisant des non-vakxinés des boucs émissaires pour les difficultés qui continuent de se produire après dix-huit mois d’alarmisme et de confinement. Il est temps de remettre les pendules à l’heure.

Il est tout à fait raisonnable et légitime de dire « non » à des vakx1s insuffisamment testés pour lesquels il n’existe aucune science fiable. Vous avez le droit de faire valoir la souveraineté sur votre propre corps et de refuser les traitements médicaux si bon vous semble.

Vous avez raison de dire « non » à une atteinte à votre dignité, votre intégrité et votre autonomie corporelle. C’est votre corps, et vous avez le droit de choisir. Vous avez raison de vous battre pour vos enfants, contre leur vakxination de masse à l’école.

Vous avez raison de vous demander si un consentement libre et éclairé est possible dans les circonstances actuelles. Les effets à long terme sont inconnus. Les effets transgénérationnels sont inconnus. La dérégulation de l’immunité naturelle induite par le vakx1 est inconnue. Les dommages potentiels sont inconnus, car la déclaration des événements indésirables est retardée, incomplète et incohérente entre les territoires.

Vous êtes pris pour cible par les médias grand public, les campagnes d’ingénierie sociale du gouvernement, les règles et politiques injustes, les employeurs collaborateurs et le harcèlement sur les médias sociaux. On vous dit que vous êtes maintenant le problème et que le monde ne peut pas revenir à la normale si vous ne vous faites pas vakxiner. Vous êtes vicieusement visés en tant que bouc émissaire de la propagande et même les personnes qui vous entourent font peut-être pression sur vous. Rappelez-vous : ce n’est pas vous le problème.

Vous êtes accusé à tort d’être une usine pour les nouvelles variantes du SRAS-CoV-2, alors qu’en fait, selon des scientifiques de premier plan, votre système immunitaire naturel génère une immunité contre plusieurs composants du virus. Cela favorisera votre protection contre une vaste gamme de variants viraux et empêche toute propagation à qui que ce soit (contrairement au vakx1, NdT).

Vous avez raison d’exiger des études indépendantes évaluées par des pairs, et non financées par des sociétés pharmaceutiques multinationales. Toutes les études évaluées par des pairs sur l’innocuité et l’efficacité à court terme ont été financées, organisées, coordonnées et soutenues par ces sociétés à but lucratif ; et aucune des données d’étude n’a été rendue publique ou disponible pour les chercheurs qui ne travaillent pas pour ces entreprises.

Vous avez raison de remettre en question les résultats préliminaires des essais vakxinaux. Les valeurs élevées revendiquées d’efficacité relative reposent sur un petit nombre d’ »infections » déterminées de manière ténue. Les études n’étaient pas non plus en aveugle, où les personnes administrant les injections savaient ou pouvaient déduire si elles injectaient le vakx1 expérimental ou le placebo. Il ne s’agit pas d’une méthodologie scientifique acceptable pour les essais de vakx1s.

Vous avez raison dans vos appels à une diversité d’opinions scientifiques. Comme dans la nature, nous avons besoin d’une polyculture de l’information et de ses interprétations. Et nous n’avons pas cela en ce moment. Choisir de ne pas prendre le vakx1 laisse de la place à la raison, à la transparence et à la responsabilité. Vous avez raison de demander : « Qu’arrive-t-il ensuite lorsque nous abandonnons l’autorité sur notre propre corps ? »

Ne soyez pas intimidés. Vous faites preuve de résilience, d’intégrité et de courage. Vous vous rassemblez dans vos communautés, élaborez des plans pour vous entraider et défendez la responsabilité scientifique et la liberté d’expression, qui sont nécessaires à l’épanouissement de la société. Nous sommes parmi ceux qui sont à vos côtés.

Angela Durante, PhD

Denis Rancourt, Ph.D.

Claus Rinner, PhD

Laurent Leduc, PhD

Donald Gallois, PhD

John Zwaagstra, PhD

Jan Vrbik, PhD

Valentina Capurri, PhD

Le CDC et la FDA auraient falsifié le protocole de test C0VlD en utilisant des cellules humaines mélangées à des fragments de virus du rhume…

ALERTE : Les tests PCR ne feraient que détecter le rhume.

Par Cogiito -1 août 2021

Vendredi 30 juillet 2021 par : Mike Adams

https://www.afinalwarning.com/540271.html

Dans une révélation choquante rapportée pour la première fois par Dan Dicks de Press for Truth (Canada), un document de la FDA admet que les CDC et la FDA ont conspiré pour fabriquer un protocole de test du C0VlD-19 en utilisant des cellules humaines combinées à des fragments du virus du rhume parce qu’ils n’avaient pas d’échantillons physiques du virus « C0VlD » SRAS-CoV-2 disponibles.

Sans matériel de référence physique à utiliser pour l’étalonnage et la confirmation, le test n’a aucune base scientifique dans la réalité physique. Et toutes les analyses PCR basées sur ce protocole sont totalement frauduleuses, signalant des personnes comme « positives » au C0VlD alors qu’elles possèdent simplement de minuscules quantités de fragments d’ARN d’autres souches de coronavirus circulant dans leur sang.

Le document de la FDA, disponible sur le site FDA.gov, est intitulé « CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) à télécharger ici :


Le document admet de manière étonnante : (c’est nous qui soulignons)

Étant donné qu’aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’était disponible pour l’utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et cette étude réalisée, les tests conçus pour la détection de l’ARN du 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/µL) injectés dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.

En d’autres termes, ils n’avaient pas de virus C0VlD à partir duquel développer et calibrer le test, ils ont donc mélangé un cocktail de cellules humaines et de fragments d’ARN d’un virus du rhume commun, puis l’ont appelé « C0VlD ».

La séquence GenBank à laquelle il est fait référence dans ce paragraphe n’est qu’une définition de bibliothèque numérique étiquetée « C0VlD » mais qui n’a pas non plus de matériaux de référence dans la réalité physique.

C’est parce qu’aucun médecin ou chercheur n’a isolé le « C0VlD » d’un patient infecté et symptomatique. Par conséquent, aucun instrument de laboratoire ne peut être étalonné par rapport au C0VlD réel, et les tests s’appuient simplement sur les bibliothèques numériques diffusées par le CDC et l’OMS, en utilisant le terme « C0VlD » comme étiquette.

Les tests PCR sont ensuite chargés de rechercher ces séquences génétiques obtenues à partir des bibliothèques numériques fabriquées :

CE QUI SIGNIFIE QUE L’ENSEMBLE DU SYSTÈME EST UNE LOGIQUE CIRCULAIRE DE SCIENCE FRAUDULEUSE SANS AUCUN FONDEMENT DANS LA RÉALITÉ PHYSIQUE.

Pourquoi les laboratoires ne disposent-ils apparemment d’aucun matériau de référence certifié pour le C0VlD pour l’étalonnage des instruments ?

Je suis le fondateur et le propriétaire d’un laboratoire d’analyse qui effectue régulièrement des analyses quantitatives de contaminants alimentaires, produisant des résultats d’analyse de haute précision pour les pesticides, les herbicides et les métaux lourds. Dans tous les cas dès que nous effectuons des analyses en laboratoire, nous étalonnons les instruments par rapport à des échantillons physiques connus appelés « normes externes » ou « matériaux de référence certifiés ». (CRM)

Tout laboratoire peut acheter des CRM pour le mercure, l’arsenic, le glyphosate et même la salmonelle. Par exemple, ce lien sur Biosisto répertorie les MRC pour diverses souches de salmonelles. Les laboratoires peuvent acheter ces matériaux de référence et les utiliser pour étalonner leurs instruments, afin de s’assurer que leur analyse correspond à des échantillons physiques, réels, d’un matériau purifié. Ces MRC, à leur tour, doivent être traçables par le NIST afin de confirmer leur origine et leur authenticité. Tous les MRC sont donc étiquetés avec des numéros de lot et des dates d’expiration.

Alors que les laboratoires peuvent acheter des matériaux de référence pour les microbes, les métaux lourds, les pesticides, etc. – tous des matériaux physiques –

J’AI CHERCHÉ PARTOUT ET JE N’AI PU TROUVER AUCUN MATÉRIAU DE RÉFÉRENCE CERTIFIÉ POUR LE SRAS-COV-2 OU MÊME UNE VERSION AFFAIBLIE ET NON VIABLE DE CELUI-CI.

Pour autant que je sache, il ne semble pas y avoir de spécimens physiques de virus C0VlD isolés disponibles pour l’étalonnage des instruments et le contrôle de qualité des protocoles d’essai.

Pour être clair, je ne dis pas que les virus n’existent pas, et il est tout à fait clair que l’Institut de virologie de Wuhan a collaboré avec Fauci, Daszak, le NIH, Baric et d’autres pour développer une protéine spike armée.

Mais la protéine spike n’est pas un virus en soi. Il s’agit simplement d’une nanoparticule toxique qui peut être synthétisée en quantité puis déversée sur les villes ou ajoutée aux vakx1s et injectée aux personnes via des protocoles d’immunisation.

JE POSE LA GRANDE QUESTION DE TOUT CELA DANS MA VIDÉO DE DÉNONCIATION DU LABORATOIRE SCIENTIFIQUE ICI, QUI PRÉSENTE PLUS DE DÉTAILS SUR TOUT CE QUI VOUS FERA TOURNER LA TÊTE.

En substance, si le « C0VlD-19 » est un vrai virus qui peut être isolé, pourquoi n’existe-t-il apparemment aucun matériel de référence physique pour calibrer les instruments de laboratoire pour la détection des covidés ?

Et pourquoi de tels matériaux n’ont-ils pas été utilisés lors de l’élaboration des protocoles de test PCR approuvés par la FDA et le CDC ?

Le CDC retire son propre protocole frauduleux de test PCR pour le C0VlD, en laissant entendre qu’il ne peut pas différencier le C0VlD de la grippe.

CE QUI AJOUTE AU MYSTÈRE DANS TOUT CELA, C’EST LE FAIT QUE LE CDC VIENT DE PUBLIER UNE « ALERTE DE LABORATOIRE », ANNONÇANT SON INTENTION DE RETIRER LE PROTOCOLE DE TEST PCR DÉFECTUEUX D’ICI LA FIN DE L’ANNÉE.

Dans le cadre de leur annonce, ils ont laissé entendre que le test PCR actuel – le même que celui mentionné par la FDA ci-dessus, qui a été développé sans aucun échantillon physique de C0VlD pour l’étalonnage – ne peut pas faire la différence entre la grippe et le C0VlD.

Extrait du document du CDC :

En préparation de ce changement, les CDC recommandent aux laboratoires cliniques et aux sites d’essai qui utilisaient le test RT-PCR CDC 2019-nCoV de sélectionner et de commencer leur transition vers un autre test C0VlD-19 autorisé par la FDA. Les CDC encouragent les laboratoires à envisager l’adoption d’une méthode multiplexée qui puisse faciliter la détection et la différenciation des virus du SRAS-CoV-2 et de la grippe.

Pourquoi serait-il important de différencier le C0VlD de la grippe ?

Parce que, à ce qu’il semble, les cas de grippe ont presque disparu en 2020, la grippe ayant été ré-étiquetée « C0VlD » en raison des tests défectueux.

« Le pourcentage de positivité de la grippe a diminué de 64 % (p = 0,001) et le nombre quotidien estimé de cas de grippe a diminué de 76 % (p = 0,002) au cours des semaines épidémiologiques 5-9 de 2020 par rapport aux années précédentes », a rapporté le CDC en 2020.

https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/26/8/20-1229_article

En substance, l’establishment médical a simplement pris toutes les personnes qui auraient normalement été diagnostiquées avec des rhumes et des grippes, et les a déplacées dans la catégorie « C0VlD » afin de pousser un récit d’hystérie de masse C0VlD qui pousserait les gens à se faire vakxiner.

Les vakx1s, ensuite, ont été formulés avec des nanoparticules toxiques à base de protéines de pointe pour provoquer la vague de panique « delta », qui se produit en grande partie chez les personnes vakxinées.

A partir de là, l’arnaque de la plandémie se déroule comme une horloge : Les gens tombent malades à cause des vakx1s, alors on demande plus de rappels de vakx1s, ce qui perpétue la maladie. Rincer et répéter. Cela ne s’arrête jamais jusqu’à ce que les auteurs soient arrêtés et que les gens prennent conscience de l’arnaque.

Le CDC vient de publier un document scientifique qui confirme toute l’arnaque. Cliquez ici pour voir le PDF sur nos serveurs.

Il est intitulé « Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings – Barnstable County, Massachusetts, July 2021 » et il admet de manière choquante que 74% des infections sont survenues chez des personnes entièrement vakxinées (double dose) :

Au cours du mois de juillet 2021, 469 cas de C0VlD-19 associés à de multiples événements estivaux et grands rassemblements publics dans une ville du comté de Barnstable, Massachusetts, ont été identifiés parmi les résidents du Massachusetts ; la couverture vakxinale parmi les résidents éligibles du Massachusetts était de 69%. Environ trois quarts (346 ; 74 %) des cas sont survenus chez des personnes entièrement vakxinées (celles qui avaient suivi un traitement de 2 doses de vakx1 ARNm [Pfizer-BioNTech ou Moderna] ou qui avaient reçu une dose unique de vakx1 Janssen [Johnson & Johnson] ?14 jours avant l’exposition).

Vous voyez, le vakx1 est la pandémie.

Le vakx1 diffuse la protéine de pointe, et les faux tests PCR fournissent le carburant nécessaire pour entretenir l’hystérie de masse.

Je donne plus de détails sur tout cela dans le podcast d’aujourd’hui via Brighteon.com :

Brighteon.com/dfb235d4-f0d6-4d7d-af06-d1f4e391c4f5

Voir également cette vidéo de Dan Dicks, qui couvre également les faux tests PCR :

Brighteon.com/a8ef9e25-cdd3-453e-b4dc-97d2faada2b2

Aucune institution au monde n’a de trace de virus isolé

De quelle société voulons-nous ?

Ne nous trompons pas d’“ennemis”
Plus dangereux que le C0VlD, le virus de la division


Dans quel camp êtes-vous ? Êtes-vous pour ou contre le vaccin ? Pour ou contre le Pass sanitaire ? Qui sont vos alliés, et qui vos ennemis ?


Depuis bientôt un an et demi, la société se clive de plus en plus. Chaque camp projette le diable sur l’autre. Depuis le 12 juillet, la situation est encore pire. Dans les familles, dans les entreprises, les associations, partout, les gens commencent à se regarder de travers selon que l’autre est ou non du même bord que soi.
Un virus bien plus dangereux que le C0VlD est en train de détruire la société sous nos yeux : celui de la division, celui de l’étiquetage mutuel, du jugement, de la haine et de l’exclusion.
Si nous le laissons proliférer, dans quel monde allons-nous vivre demain ? Allons-nous laisser la société se couper en deux, avec une ligne de partage qui traversera chaque famille, chaque ville ou village, chaque commerce, chaque parti, chaque association ?
Un tel clivage ne peut avoir aucun gagnant. Peu importe le camp qui l’emporterait, ce serait l’esprit de division qui aurait triomphé et qui, demain, créerait de nouvelles lignes de fractures et poursuivrait sans fin le morcellement ainsi amorcé. Jusqu’à ce que tout le tissu social ne soit plus qu’un champ de ruines.
L’unité, seul remède à la division – que certains responsables politiques invoquent sans vraiment savoir de quoi ils parlent – ne peut exister qu’entre personnes ayant des convictions, des croyances, des pratiques différentes, mais sachant néanmoins se respecter mutuellement et vivre ensemble. Lorsque ces différences ne sont plus tolérées, comme actuellement, ce n’est pas l’unité qui règne, mais l’uniformité qui en est l’exact contraire, puisqu’elle détruit la diversité indispensable au vivant.
Si nous voulons trouver de véritables “ennemis” à combattre, mais cette fois pour rester unis et ne pas nous tromper de cibles, en voici quelques-uns, dont vous constaterez qu’aucun n’est une personne ni un groupe d’individus :
– L’esprit binaire vient en tête de liste, bien sûr, car il nous conduit à réduire la complexité des choses, des gens et des problèmes à des dualités simplistes, pour/contre, gentil/méchant, bon/mauvais, qu’on répartit en camps adverses. C’est lui qui donne naissance à l’esprit de division.
– La peur vient en second, qui a envahi la société depuis un an et demi : sa vibration émotionnelle toxique empêche de penser correctement, sans compter qu’elle empoisonne nos cellules et affaiblit notre immunité.
– Le besoin d’avoir raison suit juste après : la conviction d’être seuls détenteurs d’une vérité, sans accorder le moindre crédit à qui pense différemment. Le mental humain étant capable de justifier toutes les croyances, sans exception, les plus pertinentes comme les plus fausses, avoir raison ne prouve jamais qu’on soit dans le vrai. La vérité est plus vaste qu’aucun raisonnement.
– L’étiquetage qui parasite depuis un an le journalisme : étiqueter quelqu’un (complotiste, rassuriste, alarmiste…) permet de disqualifier cette personne sans même s’intéresser à ce qui motive son point de vue. Une fois étiquetée, elle en perd d’ailleurs son statut de personne à part entière : elle est réduite à une opinion, forcément erronée.
– La diabolisation du camp adverse, qui en découle naturellement : si l’autre ne pense pas comme moi, c’est qu’il est mauvais, qu’il a tort, qu’il est nuisible à moi-même et aux autres. Rapidement, on ne le voit plus vraiment comme un être humain d’ailleurs, plutôt comme un monstre, un ennemi à neutraliser.
– La conviction de faire ce qui est bon pour les autres, déjà dénoncée autrefois par Alice Miller1 dans son fameux livre C’est pour ton bien. Un proverbe touareg enseigne avec sagesse que « Ce qu’on fait pour les autres, sans les autres, c’est contre les autres ». Autrement dit, le « bien commun » ne peut résulter que d’un cheminement collectif.
– L’exclusion, qui est la conséquence logique de tout ce qui précède. Celui de l’autre bord a tort, il est mauvais, d’ailleurs il ou elle est …… (choisir son étiquette). Je sais mieux que lui ce qui est bon pour lui. Et s’il ne veut pas s’y plier, il ne reste qu’à l’exclure. Il ou elle l’aura bien cherché.


On pourrait certainement en trouver d’autres, mais nos véritables “ennemis” sont là, ils sont en nous. Il s’agit d’attitudes, de comportements que chacun de nous est susceptible d’arborer, quel que soit son camp, et qui sont une véritable gangrène pour le corps social que nous formons ensemble. Ces “ennemis”-là – ces poisons-là devrait-on dire – nous ne pouvons les guérir qu’avec ces antidotes à (re)découvrir que sont :
– Le dialogue, et en particulier la capacité à converser en bonne intelligence avec ceux et celles qui pensent autrement que nous, à nous ouvrir à leurs sources d’information, à leur expérience personnelle, leur parcours de vie, à tout ce qui les conduit à avoir aujourd’hui telle opinion, différente de la nôtre.
– La capacité à se remettre en question, à accepter que nul ne détient toute la vérité, la volonté d’aller examiner d’autres points de vue que le sien. Voire, celle de reconnaître que l’on avait en partie tort…
– L’acceptation de la complexité, car le monde n’est pas binaire, noir/blanc. Aucun problème ne peut se résumer à des 0 et des 1 : il y a d’infinies combinaisons, d’infinies nuances de gris.
– L’esprit d’inclusion, enfin, car l’autre, quelles que soient les opinions qu’il cultive, est un être humain comme moi, possédant les mêmes besoins fondamentaux, les mêmes aspirations essentielles, quelqu’un de bien moins différent de moi que nos idées ou croyances divergentes ne le laissent supposer en apparence.


Alors, qu’allons-nous combattre, au final ?
D’illusoires ennemis extérieurs, qui sont en réalité nos frères et sœurs en humanité, quitte à imposer à notre société l’une des divisions les plus profondes et les plus lourdes de conséquences de son histoire ?

Allons-nous laisser apparaître une guerre civile, des émeutes un peu partout, ou encore une nouvelle guerre de religion, opposant cette fois des croyances médicales2 à d’autres ?
Ou allons-nous plutôt nous occuper de nos propres ennemis intérieurs, nos peurs, nos vieux réflexes claniques, nos jugements, nos rejets ?

Surtout : quelle société nos choix vont-ils produire demain ?
Une société coupée en deux, déchirée d’un bout à l’autre par une fracture traversant toutes les couches sociales, les catégories professionnelles, les appartenances ? Un tissu social en lambeaux, traversé par la peur, le ressentiment, la haine, la honte ?
Ou une société aspirant à l’unité malgré ses différences et ses désaccords, recherchant ensemble, dans la diversité et le pluralisme retrouvés, des solutions aux défis actuels, sans exclure ni rejeter personne ?


Nous sommes à un tournant majeur de notre histoire. Ne nous méprenons pas sur ce qui est réellement en jeu ici, bien au-delà de seules questions sanitaires (ou politiques). C’est de notre avenir commun dont il est véritablement question, de la manière dont nous allons choisir notre façon de vivre ensemble, les uns avec (ou contre) les autres.
Certaines décisions ne sont pas de notre ressort, elles sont dans les mains de ceux qui nous dirigent, pour le meilleur ou pour le pire.


D’autres, en revanche, ne dépendent que de nous, individuellement et collectivement. Personne ne peut nous contraindre à étiqueter, à juger, à rejeter, à haïr ou à exclure. Personne. Tous et toutes nous pouvons faire le choix du dialogue, de la rencontre, de l’ouverture à celles et ceux qui pensent autrement, qui ont d’autres convictions, d’autres pratiques. Nous pouvons refuser la division, refuser l’exclusion, être solidaires les uns des autres, par delà nos opinions divergentes.


Il n’y a pas des vaccinés d’un côté et des non-vaccinés de l’autre. Il y a seulement des êtres humains, hommes, femmes et enfants, qui aspirent tous à vivre en bonne intelligence les uns avec les autres, à cultiver et préserver leur santé, grâce à la multitude de médecines et thérapies complémentaires qui existent pour cela, et à affronter ensemble, dans le respect de leur diversité, les défis majeurs que nous présente notre époque. Nous n’y parviendrons qu’ensemble, tous ensemble, en nous appuyant sur la multitude de connaissances et d’expériences disponibles, dans toute leur richesse et leur complémentarité, sans plus en exclure aucune.

— Olivier Clerc
1 Cf. C’est pour ton bien, d’Alice Miller, Editions Aubier, 1984.
2 Cf. mon livre Médecine, religion et peur : l’influence cachée des croyances, Editions Trois Fontaines, 1998.