L’État profond globalisé — Un nouvel ordre mondial instauré grâce au C0VlD_19

John W. & Nisha Whitehead — The Rutherford Institute
Sott.net
jeu., 06 mai 2021 13:10 UTC

Note du traducteur : Bien que cet article soit écrit du point de vue des États-Unis, il va sans dire que son contenu s’applique de la même façon pour une grande partie de la planète, et particulièrement pour les pays occidentaux, voire notamment pour l’Europe, qui serait l’actuel champ de bataille principal des élites au pouvoir.

Pour le meilleur ou pour le pire, le C0VlD_19 a changé la façon dont nous appréhendons le monde. Il en redessine également les frontières — ainsi que celles de nos libertés — et modifie les règles du jeu à une cadence qui dépasse notre capacité à suivre la métamorphose.
En grande partie à cause d’alliances profondes et, dans de nombreux cas, top secrètes du gouvernement étatsunien avec des nations étrangères et des entreprises mondiales, il est devenu de plus en plus évident que nous sommes entrés dans un Nouvel ordre mondial — un ordre mondial globalisé — composé d’agences gouvernementales et d’entreprises internationales.

Cette puissante cabale internationale, que nous appellerons l’État profond globalisé, est tout aussi réelle que l’État profond étatsunien corporatisé, militarisé et industrialisé, et elle représente une menace tout aussi grande, sinon plus, pour nos droits en tant qu’individus en vertu de la Constitution des États-Unis.

Nous nous sommes progressivement dirigés vers cet ordre mondial au cours des dernières décennies, mais le C0VlD_19, qui a rendu possible une imbrication encore plus étroite entre les intérêts des gouvernements et ceux des multinationales, lui a permis de passer à la vitesse supérieure.

Le fascisme est devenu une menace globale.

On ne sait toujours pas si l’État profond étatsunien — « un appareil de sécurité nationale qui exerce une influence même sur les dirigeants élus qui en sont théoriquement responsables » — répond à l’État profond globalisé, ou si l’État profond globalisé ne fait que donner du pouvoir à l’État profond étatsunien. Toutefois, on ne peut nier le degré d’imbrication et de symbiose qui existe entre eux.

Considérez dans quelle mesure nos vies et nos libertés sont affectées par cette convergence internationale d’intérêts gouvernementaux et de corporations à but lucratif pour ce qui est de la surveillance d’État, du complexe militaro-industriel, de l’industrie pénitentiaire privée, des secteurs du renseignement, de la sécurité, de la technologie, des télécommunications, des transports, de l’industrie pharmaceutique et, plus récemment, du secteur de la santé pharmaceutique.

Ils sont tous dominés par des méga-corporations qui opèrent à l’échelle mondiale et augmentent leurs marges de profit en travaillant par le biais de canaux gouvernementaux. Les politiques axées sur le profit de ces géants mondiaux influencent tout, des politiques législatives à l’économie en passant par les questions environnementales et les soins médicaux.

La maladie globalisée

La pandémie de C0VlD_19 nous a propulsés dans une toute nouvelle dimension mondiale. Ceux qui espèrent se frayer un chemin dans ce monde interconnecté et hautement technologique de recherche de contacts, de passeports vakxinaux et de laissez-passer numériques se trouveront aux prises avec des problèmes qui touchent à des questions morales, politiques, religieuses et personnelles profondément enracinées et pour lesquelles il n’existe peut-être pas de réponses claires.

Nous sommes sur le point de constater que notre capacité d’accès, d’engagement et de déplacement dans le monde dépend du camp dans lequel nous nous trouvons : ceux qui ont été vakxinés contre le C0VlD_19 et ceux qui ne l’ont pas été.

Heather Murphy écrit pour le New York Times :

« Il s’agit du tout nouveau symbole de statut social. Braquez-le vers les détecteurs technologiques, et vous pourrez avoir accès à des concerts, à des stades de sport ou à des tables de restaurant interdites depuis longtemps. Un jour, il pourra même vous aider à franchir une frontière sans devoir passer par une quarantaine. Le certificat de vakxination, c’est la nouvelle carte platine de l’ère du Covid. »

C’est ce que Ramesh Raskar, professeur au M.I.T., appelle la nouvelle « monnaie de la santé », un surnom approprié étant donné le rôle potentiellement lucratif que les grandes entreprises — Big Pharma et Big Tech, en particulier — joueront dans la mise en place de ce marché payant. L’industrie du transport aérien a travaillé sur un Travel Pass. IBM développe un Pass de santé numérique. Et le gouvernement étatsunien n’a pas hésité à laisser le secteur privé prendre l’initiative.

La surveillance globalisée

Sous l’impulsion de la National Security Agency (NSA), qui s’est montrée peu soucieuse des limites constitutionnelles ou de la vie privée, la surveillance d’État en est venu à dominer notre gouvernement et nos vies.

Pourtant, le gouvernement ne fonctionne pas tout seul. Il ne le peut pas. Il nécessite un complice.

Dès lors, les besoins toujours plus complexes de notre immense gouvernement fédéral en matière de sécurité, notamment dans les secteurs de la défense, de la surveillance et de la gestion des données, ont été satisfaits par le secteur des entreprises lequel s’est révélé être un puissant allié qui dépend de la croissance de la bureaucratie gouvernementale tout en la nourrissant.

Prenez AT&T, par exemple. Grâce à son vaste réseau de télécommunications qui sillonne le globe, AT&T fournit au gouvernement étatsunien l’infrastructure complexe dont il a besoin pour ses programmes de surveillance de masse. Selon The Intercept :
« La NSA considère AT&T comme l’un de ses partenaires les plus fiables et a salué « l’énergique volonté de collaborer » de l’entreprise. Cette coopération remonte à plusieurs décennies, mais peu de gens savent cependant que son étendue ne se limite pas aux clients d’AT&T. Selon les documents de la NSA, cette dernière porte un grand intérêt à AT&T non seulement parce que l’entreprise « a accès aux informations qui transitent à travers toute la nation », mais aussi parce qu’elle entretient des relations uniques avec d’autres fournisseurs de téléphonie et d’Internet. La NSA exploite ces relations à des fins de surveillance, en réquisitionnant l’infrastructure massive d’AT&T et en l’utilisant comme plateforme pour secrètement exploiter les communications traitées par d’autres entreprises. »

À présent, amplifiez à l’échelle mondiale les activités du gouvernement étatsunien par le biais d’AT&T, et vous obtenez le « Programme des 14 yeux », également appelé « SIGINT Seniors ». Cette agence d’espionnage mondiale est composée de membres du monde entier — États-Unis, Royaume-Uni, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Danemark, France, Pays-Bas, Norvège, Allemagne, Belgique, Italie, Suède, Espagne, Israël, Singapour, Corée du Sud, Japon, Inde et tous les territoires britanniques d’outre-mer.

Note du traducteur : La coalition SIGINT se compose de deux groupes : SIGINT Seniors Europe et SIGINT Seniors Pacific. L’existence de cette coalition a été découverte dans des documents classifiés issus des révélations de Snowden.

L’alliance européenne a été fondée en 1982 pendant la guerre froide, constituée à l’origine de neuf membres, et a collaboré pour surveiller les communications pendant les grands événements sportifs européens tels que les championnats de football et les jeux olympiques. Les documents ayant fait l’objet d’une fuite indiquent que Seniors Europe organise une conférence chaque année dans un lieu différent.

La division Pacifique (connue sous le nom de SSPAC) a été fondée en 2005, en réponse aux développements de la guerre contre le terrorisme et à l’augmentation des activités terroristes en Asie.

En ce qui concerne ces alliances mondiales, la surveillance n’est toutefois que la partie émergée de l’iceberg.

Les profits d’une guerre globalisée

La guerre est devenue une gigantesque entreprise lucrative, et grâce à leur vaste empire militaire et aux relations incestueuses qu’ils entretiennent avec une multitude d’entreprises internationales dans le secteur de la défense, les États-Unis figurent parmi les plus importants acheteurs et vendeurs d’armes.

Le complexe militaro-industriel étatsunien a érigé un empire inégalé dans l’histoire par son ampleur et sa portée, un empire dédié à la conduite d’une guerre perpétuelle sur toute la planète. Par exemple, tout en érigeant une politique sécuritaire nationale sur son sol, le complexe militaro-industriel a perpétué un empire militaire mondial avec des troupes étatsuniennes stationnées dans 177 pays — soit plus de 70 pour cent des pays du monde.

Bien que le gouvernement fédéral dissimule tellement bien ses dépenses de défense qu’il est difficile d’obtenir des chiffres précis, nous savons que depuis 2001, le gouvernement étatsunien a dépensé plus de 1 800 milliards de dollars dans les guerres en Afghanistan et en Irak — soit 8,3 millions de dollars par heure. Ce chiffre n’inclut pas les guerres et les exercices militaires menés dans le monde entier, qui devraient faire grimper la facture totale à plus de 12 000 milliards de dollars d’ici 2053.

La fusion illicite de l’industrie mondiale de l’armement et du Pentagone, contre laquelle le président Dwight D. Eisenhower nous avait mis en garde il y a plus de cinquante ans, représente peut-être aujourd’hui la plus grande menace pour la fragile infrastructure de la nation. L’empire militaire étatsunien en pleine expansion saigne le pays à blanc au rythme de plus de 15 milliards de dollars par mois (ou 20 millions de dollars par heure) — et ce chiffre ne comprend que les dépenses du gouvernement engagées dans les guerres étrangères. Il n’inclut pas le coût de l’entretien et du personnel des plus de 1 000 bases militaires étatsuniennes réparties dans le monde entier.

Il est incroyable de constater que, bien que les États-Unis ne représentent que 5 pour cent de la population mondiale, ils se targuent de totaliser près de 50 pour cent des dépenses militaires mondiales, consacrant plus d’argent pour l’armée que l’ensemble des dix-neuf autres nations les plus dépensières dans ce secteur. En fait, le Pentagone dépense plus pour la guerre que ce que les 50 États réunis de la Nation consacrent à la santé, l’éducation, le bien-être et la sécurité. Ce n’est pas pour rien que les termes « pléthorique », « corrompu » et « inefficace » sont parmi les plus couramment utilisés pour qualifier le gouvernement, en particulier le ministère de la Défense et ses sous-traitants. La surenchère des prix abusifs est devenue une forme acceptée de corruption au sein de l’empire militaire étatsunien.

Malheureusement, l’économie étatsunienne n’est pas la seule à être dépouillée.

Sous l’impulsion d’un secteur de la défense avide, la patrie étatsunienne a été transformée en champ de bataille où les forces de police sont militarisées avec des armes convenant davantage à une zone de guerre. En phase avec ses prédécesseurs, le président Biden continue d’étendre l’empire militaire étatsunien à la fois sur son sol et à l’étranger dans le but évident de satisfaire les puissants intérêts financiers — militaires, commerciaux ou liés aux entreprises de sécurité — qui dirigent en fait l’État profond et tiennent le gouvernement dans leurs griffes.

La police globalisée

Jetez un œil à des photos illustrant les forces de police de différents États-Nations et vous aurez du mal à les distinguer les unes des autres. Il existe une raison pour laquelle elles se ressemblent toutes, revêtues d’uniformes militarisés et équipées comme une armée permanente.

Il existe une raison pour laquelle elles agissent de manière uniforme et parlent le même langage de la force : elles appartiennent à une force de police globalisée.

Par exemple, Israël — l’un des plus proches alliés internationaux des États-Unis et l’un des principaux bénéficiaires annuels avec plus de 3 milliards de dollars [sur environ 6 milliards au total – NdT] d’aide militaire étatsunienne à l’étranger — a été à l’avant-garde d’un programme d’échange peu médiatisé visant à former la police des États-Unis à agir dans leurs communautés comme des forces d’occupation. Comme le résume The Intercept, cette police
« prend essentiellement des leçons auprès d’agences qui appliquent le régime militaire plutôt que le droit civil. »

Cette idée de maintien de l’ordre à l’échelle mondiale est renforcée par le programme Strong Cities Network, qui forme les services de police locaux de l’ensemble des États-Unis à identifier, combattre et prévenir l’extrémisme, ainsi qu’à lutter contre l’intolérance au sein de leurs communautés, en utilisant toutes les ressources à leur disposition. Les villes qui font partie du réseau mondial sont New York, Atlanta, Denver, Minneapolis, Paris, Londres, Montréal, Beyrouth et Oslo.

L’objectif est de prévenir l’extrémisme violent en ciblant sa source : le racisme, le sectarisme, la haine, l’intolérance, etc. En d’autres termes, la police — agissant comme un prolongement des Nations unies — identifiera, surveillera et dissuadera les individus qui manifestent, expriment ou s’engagent dans tout ce qui pourrait être considéré comme extrémiste.

Note du traducteur : En gros, nous sommes tous des terroristes en puissance. Voir aussi Post-démocratie covidienne : l’Allemagne annonce mettre sous surveillance les personnes critiquant les mesures liberticides

Bien entendu, l’inquiétude suscité par le programme gouvernemental de lutte contre l’extrémisme est qu’il sera, en de maintes occasions, utilisé pour rendre potentiellement extrémistes des activités non violentes et légales.

N’oubliez pas que les agences gouvernementales chargées de débusquer les « extrémistes » sur le sol des États-Unis atteindront leurs objectifs — identifier et dissuader les extrémistes potentiels — grâce au travail conjoint des centres de fusion (au nombre de 78 dans tout le pays, incluant des partenaires du secteur privé et du monde entier) des agences de collecte de données, des spécialistes du comportement, des entreprises, des médias sociaux et des organisateurs communautaires, tout en s’appuyant sur des technologies de pointe en matière de surveillance, de reconnaissance faciale, de maintien de l’ordre préventif, de biométrie et d’épigénétique comportementale — les expériences de la vie modifiant la constitution génétique d’une personne.

C’est le précrime à l’échelle idéologique et on le voit venir depuis longtemps.

Note du traducteur : Le terme « précrime » a été imaginé par Philipp K. Dick en 1956 et porté à l’écran dans Minority Report, après un concept similaire décrit en 1949 par George Orwell avec le « crime de pensée » – NdT]

Vous commencez à comprendre maintenant ?

Sur presque tous les fronts, qu’il s’agisse de la guerre contre la drogue ou celle menée contre les ventes d’armes, de la régulation de l’immigration, de la création de prisons, du progrès technologique ou de la lutte contre une pandémie, s’il y a un profit à réaliser et un pouvoir à accumuler, vous pouvez parier que le gouvernement et ses partenaires mondiaux ont déjà conclu un accord qui place le peuple étatsunien [et les autres – NdT] du côté des perdants.

Nous perdons nos libertés de manière tellement progressive depuis si longtemps — vendues au nom de la sécurité nationale et de la paix mondiale, maintenues par une loi martiale déguisée en loi et ordre, et appliquées par une armée permanente de policiers militarisés et une élite politique déterminée à maintenir ses pouvoirs à tout prix — qu’il est difficile de déterminer exactement quand tout a commencé à se dégrader, mais nous sommes désormais bel et bien engagés dans une trajectoire descendante, et tout s’accélère.

Le « gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » n’est plus.

Il a été remplacé par un gouvernement fantôme — une bureaucratie mondiale corporatisée, militarisée et enracinée — qui est pleinement opérationnel et dirige le pays.

Étant donné la trajectoire et l’expansion spectaculaire, la mondialisation et la fusion des pouvoirs du gouvernement et des corporations, il nous sera impossible dans vingt ans de reconnaître ce pays.

Il a fallu moins d’une génération pour que nos libertés soient érodées et que la structure de l’État profond globalisé soit érigé, étendu et bien établi.

Retenez bien mes mots : le gouvernement étatsunien ne nous sauvera pas des chaînes de l’État profond globalisé.

Certains vous diront que toute mention d’un gouvernement du Nouvel Ordre Mondial — une élite au pouvoir conspirant pour diriger le monde — relève de la théorie du complot.

Je ne fais pas partie de ces sceptiques.

Je crois sincèrement que l’on doit toujours d’une part se méfier de ceux qui sont au pouvoir, d’autre part s’alarmer au premier accroc fait à nos libertés, et que nous devons par ailleurs établir de puissants contrôles constitutionnels contre les méfaits et les abus du gouvernement.

Je peux également attester du fait que le pouvoir corrompt, et que le pouvoir absolu corrompt absolument.

J’ai suffisamment étudié l’histoire de ce pays — et l’histoire du monde — pour savoir que les gouvernements (le gouvernement étatsunien ne faisant pas exception) sont parfois indissociables du mal qu’ils prétendent combattre, que ce mal prenne la forme du terrorisme, de la torture, du trafic de drogue, du trafic sexuel, du meurtre, de la violence, du vol, de la pornographie, des expériences scientifiques ou de tout autre moyen diabolique d’infliger douleur, souffrance et servitude à l’humanité.

Commentaire : Voir aussi Ponérologie : pourquoi l’élite corrompue nous inflige autant de mort, de destruction et de souffrance

Et j’ai vécu assez longtemps pour voir de nombreuses théories complotistes se transformer en faits très concrets.

Souvenez-vous, les gens se moquaient autrefois de la notion d’État profond — alias gouvernement de l’ombre. Ils doutaient que le fascisme puisse jamais s’implanter aux États-Unis et se moquaient de toute suggestion selon laquelle ces derniers commençaient à ressembler à l’Allemagne nazie dans les années qui ont précédé la montée au pouvoir d’Hitler.

Comme je le détaille dans mon livre Battlefield America : The War on the American People [« Le champ de bataille des États-Unis : la guerre menée contre le peuple américain », non traduit en français – NdT], nous commençons à mieux savoir, n’est-ce pas ?

À propos de l’auteur :

L’avocat constitutionnel et auteur John W. Whitehead est le fondateur et le président de l’Institut Rutherford. Ses livres Battlefield America : The War on the American People et A Government of Wolves : The Emerging American Police State sont disponibles sur www.amazon.com. Il peut être contacté à l’adresse johnw@rutherford.org. Nisha Whitehead est la directrice exécutive de l’Institut Rutherford. Des informations sur l’Institut Rutherford sont disponibles à l’adresse www.rutherford.org.

Source de l’article initialement publié en anglais le 27 avril 2021 : The Rutherford Institute
Traduction : Sott.net

Français, attention ! Eveillez-vous ! Les prêtres du Grand Reset Mondial sortent du bois.

Audrey Tcherkoff la protégée d’Attali l’ennemi de la France sort le  » Manuel pour une sortie positive de la crise  » Écoutez ce qu’ils disent tous et toutes, ils ont déjà tout prévu depuis bien longtemps…

Source: chaîne Youtube de Hocine Le DZ

Alternative Odysee: https://odysee.com/@HocineLeDZ:a

Pass sanitaire et flash totalitaire

Publié le 15 mai 2021 – par Nicole Delépine

Le “pass” sanitaire est refusé consciemment par les plus âgés qui n’ont pas oublié les relents d’étoile jaune et de camps de concentration, découverts parfois tardivement à la Libération pour trop de leurs parents, avec leurs lots d’horreur et monceaux de cadavres calcinés et de survivants zombifiés.

Un refus largement partagé

Même s’ils n’en parlaient pas souvent, cette génération était tout de même hantée par ces images et parfois cette culpabilité du « laisser-faire » pour beaucoup et du « pas fait assez » pour d’autres. Les films terribles comme Nuit et Brouillard nous ont transmis, à nous baby-boomers, cette honte et cette obsession du « plus jamais cela » que certains ont cru éloigner en votant pour l’Union européenne.

Que de naïveté alors que nous découvrîmes trop tard que les fondateurs de cette UE soi-disant protectrice de la rechute n’étaient que des hauts fonctionnaires du Reich reconvertis.[1] Une autre Histoire (ou la même) à approfondir.

 Quant aux plus jeunes, beaucoup sont très réticents au “pass”, sentant l’arnaque de loin, en dehors peut-être de certains bobos parisiens qui ne rêvent que des discothèques fermées, oubliant le reste entre deux bouffées de cannabis plus ou moins autorisées. Mais cette jeunesse parisienne, et encore limitée à quelques quartiers, ne résume pas la jeunesse et gageons que les jeunes Bretons ou habitant du Larzac sauront organiser des rave parties enfin libres.

Un comble serait que le cannabis circule librement et pas les humains. Pas de problème, ils se déguiseront en zombies de toute sorte et en superhéros et passeront par-dessus cette bureaucratie tyrannique délirante et ses soutiens soumis qui ont laissé les enfants innocents du c0vid masqués depuis si longtemps !

 Il a fallu créer des variants via les vakx1s pour permettre de poursuivre la grande mise au pas et la restriction des libertés inventée par nos nouveaux maîtres chinois sans justification sanitaire. D’autant que, rappelons-le encore et encore, pour les malades il existe des traitements efficaces hydroxychloroquine et macrolides, ivermectine à condition de traiter tôt !

 À quoi correspond cette brutale décision d’imposer un “pass” sanitaire [2]

Pour l’auteur de l’article cité du Courrier des Stratèges, Éric Verhaeghe : « la mise en place du pass sanitaire donne lieu à un magnifique flash totalitaire provoqué par Emmanuel Macron. Dans ces moments où la démocratie cède brièvement la place à des mesures autoritaires illibérales, la propagande d’Etat donne dans la novlangue à la Big Brother de 1984. Ce qui est liberticide devient libérateur, et ce qui est libérateur est dénoncé comme une menace. »

Éric V. se demande quel emprunt Macron et la Commission européenne font au Great Reset de Davos pour se rallier à cette mesure fondamentale du capitalisme de surveillance totalitaire prôné par Schwab.

« L’instauration du pass sanitaire illustre à merveille ces moments de la démocratie qu’on peut appeler des flashs totalitaires : ou, sans modifier l’état général du droit, le pouvoir décide soudain de ne plus le respecter et d’imposer une mesure totalement illégale en utilisant toutes les armes dissuasives du pouvoir : la contrainte, l’intimidation, la corruption. Une petite mise en perspective des différentes étapes de ce dossier emblématique permettra de mieux le comprendre ».

Le “pass” sanitaire venu de nulle part

En janvier 2021, le gouvernement via son ministre de la Santé avait bien précisé qu’il n’était pas question de passeport sanitaire en France. Et brutalement, venu de nulle part ou peut-être d’un coup de téléphone de Mme Merkel ou de son ami Schwab, Macron annonce les mesures de déconfinement dans un entretien à la presse régionale le 29 avril 2021 et le “pass”.

« Il ajoute, dans une impressionnante démonstration de novlangue : Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis. Par contre, dans des lieux où se brassent les foules, comme les stades, festivals, foires ou expositions, il serait absurde de ne pas l’utiliser. (…)

 Dans la novlangue du « en même temps » tout et son contraire sont dits en permanence : « en réalité, le président de la République saute à pieds joints dans un monde où l’accès aux lieux publics est subordonné à l’affichage de ses données de santé. Les malades sont exclus, et seuls les bien-portants obéissants sont supposés avoir une place dans le groupe. Et E. Macron termine son intervention par ces phrases emblématiques de la propagande totalitaire : c’est juste et ça ne fracturera pas le pays. Ce sera un outil supplémentaire pour assurer la protection des Français ».  

Orwell avait bien vu et il n’aura fallu que 80 ans pour que les principes totalitaires réapparaissent à toute vitesse de façon ouverte dans notre vie quotidienne. La précipitation de leurs introductions dans la loi est explicite de la volonté totalitaire pour éviter que les citoyens aient le temps de réaliser l’immense violation des principes de liberté de notre Constitution. Quelques sondages des médias affiliés aux milliardaires et au pouvoir du Nouvel Ordre mondial et le tour est joué, on leur fera aisément croire que « tous les autres » sont d’accord voire demandeurs et les plus sincères tomberont dans le piège.

Ce phénomène de meute est d’autant plus fascinant que dors et déjà les USA [3] , la Russie et l’OMS refusent ce passeport et que la vakxination est loin d’avoir démontré son efficacité qui seule aurait permis de séparer contaminants de contaminés potentiels. Or pour l’instant, on découvre que ce sont plutôt les vakxinés qui sont les plus contagieux ![4]

Flash totalitaire au Parlement décrit par Eric Verhaeghe

« le gouvernement évoque la « sortie de crise », il faut comprendre le sens de la novlangue qui désigne en réalité le maintien des mesures liberticides au-delà de la crise. 

Voici la description de l’enchaînement des événements donnée par le député républicain Philippe Gosselin :  le pass sanitaire, par exemple, nous a été présenté du jour au lendemain, deus ex machina , le 3 mai, quarante-huit heures avant l’examen du projet de loi en commission des lois et, bien sûr, sans que le Conseil d’État ou qu’aucune organisation ou autorité indépendante ne se soit prononcé.

Voilà donc une mesure légale qui restreint les libertés, parachutée dans la loi sans avis préalable du Conseil d’État, et finalement adoptée le 12 mai au soir. Soit un délai record pour une disposition fondamentale dans la pratique de nos libertés ».

C’est précisément ce qu’on appelle un flash totalitaire, un passage en force en dehors de nos libertés.

Aucune justification sanitaire ! Même le Conseil scientifique est réticent dans son avis du 3 mai 2021.

Il précise

« le Conseil scientifique estime que le pass sanitaire, utilisé de manière temporaire et exceptionnelle, peut permettre à la population une forme de retour à la vie normale en minimisant les risques de contamination par le virus SARS-CoV-2. Son usage peut s’inscrire dans une démarche citoyenne de renforcement des capacités et du pouvoir d’agir des individus (empowerment) face à l’épidémie tout en prenant en compte la protection de l’usage des données personnelles ».

Novlangue toujours, on savait que Emmanuel Macron avait lu Machiavel, mais il n’avait pas omis Orwell et Huxley : « instaurer un “pass” sanitaire serait un « renforcement du pouvoir d’agir des individus »…

Le Conseil scientifique prétend que le “pass” « peut permettre une forme de retour à la vie normale, à condition qu’il soit « temporaire et exceptionnel ».

Mais le “pass” sanitaire présenté par Olivier Véran à la commission des lois n’est ni temporaire, ni exceptionnel : il devrait être gravé dans le marbre, même une fois la pandémie vaincue. « Nouveau signal totalitaire, donc : on consulte un « corps intermédiaire » en urgence, et on outrepasse son avis » selon Eric Verhaeghe.

Le passage en force au Parlement a complété cet épisode exemplaire du totalitarisme qui se met en place. Après un vote de défiance du Parlement, le Premier ministre a déclaré à la TV « on va faire revoter » et effectivement, dans la nuit, après de petites magouilles de bas étage, il a obtenu un vote favorable qui fait moquer la démocratie française partout dans le monde.

Il reste au Sénat à jouer son rôle et d’ici-là au peuple d’exprimer son désaccord à tous les sénateurs en les joignant directement.

Et pourtant la CNIL …

Un avis de la CNIL nourrit la défiance : le lendemain de l’adoption du texte en première lecture par l’Assemblée nationale : la CNIL se prononce en urgence, manifeste les mêmes réticences que le Conseil scientifique vis-à-vis d’une aventure imposée au forceps. Elle rappelle la nécessité de s’assurer du caractère temporaire du dispositif.

Pourquoi la CNIL ne rend-elle son avis que le lendemain de l’adoption du texte par l’Assemblée ?

« La CNIL met en avant, dans son avis, l’importance d’assurer l’inclusion de l’ensemble de la population dans le dispositif afin d’éviter tout risque de discrimination, en raison de l’état de santé mais également en raison de la capacité d’accès et d’usage des outils numériques telle que l’application TousAntiC0vid. »

Comme tout un chacun, la CNIL pointe du doigt les risques majeurs de discrimination entre les personnes, des malades présentant des contrindications médicales évidentes à l’accès à ces thérapies géniques, aux personnes vakxinées qui seront néanmoins positives au test PCR, comme des quarantaines en Australie de voyageurs vakxinés mais positifs le démontrent déjà en pratique.

Le 29 avril, le Président avait affirmé le contraire. Aurait-il donc menti ?

MISE EN PLACE MACRONIENNE DU GRAND RESET ?

Au-delà de l’inertie liée à la persistance d’un certain degré de sidération, on imagine mal les Français accepter les réactions à l’entrée d’un stade ! De très nombreux témoignages sur les réseaux font part de leur refus absolu d’entrer dans ce système. Nous sommes loin de l’accord quasi général de la population auquel les médias voudraient nous faire croire.

Éric Verhaeghe. se demande pourquoi le Président et la Commission européenne prennent-ils tant de risque à quelques mois des élections allemandes et de l’élection présidentielle française.

Et il conclut :  Macron met en place le Great Reset en France.

« Quand c’est flou, on le sait, c’est qu’il y a un loup… Et le loup, nous savons tous quel il est. Il est exposé dans le Great Reset de Klaus Schwab, le fondateur du Forum de Davos. Les technostructures européennes sont bien décidées à utiliser la pandémie pour imposer des mesures durables de surveillance généralisée des populations, en violation de la démocratie, au nom de la protection sanitaire. C’est ce qu’on appelle le capitalisme de surveillance, qui passe par un traçage des populations au moyen des technologies nouvelles. 

Face à ce projet public, conscient et organisé, les mécanismes libéraux de protection comme la CNIL semblent bien faibles. »

Pourtant le peuple a toujours du pouvoir, s’il en est conscient. C’est dans cette optique que des médecins et autres tentent de mobiliser les sénateurs et les députés afin qu’ils mesurent la gravité de ce premier vote et recalent le projet dans un second temps.

Vous pouvez signer la pétition :   Passeport sanitaire =Vakxination forcée déguisée (petition-passeport-sanitaire.com)


À l’attention de Monsieur le Premier ministre Jean Castex

Monsieur le Premier ministre,

 Depuis 1 an, le gouvernement et les autorités de santé ont adopté une série de mesures qui n’ont jamais pu être validées avec le recul nécessaire, sur le plan scientifique.

À chaque fois, le débat public a été quasiment écarté.

Comme jamais dans notre histoire récente, des décisions aussi importantes pour la santé publique ont pu être prises sans aucun débat démocratique.

Des restrictions de liberté sans précédent ont été mises en œuvre en France : entrave à la liberté de circuler, couvre-feu, etc.

Les droits les plus fondamentaux de notre société ne doivent pas être malmenés même pour des raisons sanitaires.

C’est la force de notre démocratie.

Aujourd’hui, nous sommes très inquiets face au projet proposé par la Commission européenne sur le certificat numérique vert.

Cette mesure reviendrait notamment à stigmatiser les citoyens qui ne sont pas vakxinés, qui n’ont pas fait de tests ou qui n’ont pas développé d’anticorps.

 C’est une mesure contraire au principe d’égalité, qui est le ciment de notre société.

 En tant que chef du gouvernement, nous vous demandons :

de veiller à ce que la liberté élémentaire de chacun de se soigner comme il l’entend soit garantie, même en situation d’urgence sanitaire ;

de veiller à ce que chacun soit libre de se faire vakxiner ou non, surtout quand il s’agit de vakx1s nouvellement développés ;

de veiller à ce que nos autorités de santé prennent les décisions de façon raisonnée ;

de veiller à ce qu’aucune décision n’obéisse à la pression médiatique ni à celles des industriels de la santé.

C’est la responsabilité historique du Premier ministre de la France de prendre ces mesures difficiles pour garantir notre liberté et la santé de tous.

C’est pourquoi je vous adresse solennellement cette pétition nationale.

 Je compte sur vous, Monsieur le Premier ministre, pour aider la France à faire face à cette crise sanitaire, en protégeant la santé de tous les habitants tout en garantissant notre liberté.

Avec ma respectueuse considération,

 L’Association Santé Naturelle »

Et bien d’autres pétitions entre autres contre le passeport sanitaire :

VOTEZ CONTRE LA PRISE D’OTAGES DE NOS LIBERTÉS FONDAMENTALES

https://www.mesopinions.com/petition/politique/votez-contre-prise-otages-nos-libertes/120370

NON AU PASSEPORT SANITAIRE C0VlD-19

https://www.mesopinions.com/petition/sante/passeport-sanitaire-c0vid-19/120748

NON AU PASS SANITAIRE, NON AU PASSEPORT VAKXINAL

https://www.mesopinions.com/petition/politique/pass-sanitaire-passeport-vakxinal/129028

NON au passeport vakxinal

https://www.leslignesbougent.org/petitions/non-au-passeport-vakxinal/

NON au projet de loi “sur la gestion de sortie de crise sanitaire”, et particulièrement NON au “pass sanitaire”

https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-402

Question de la constitutionnalité du pass sanitaire

https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-350

JOINDRE VOS ÉLUS

Vous pouvez aussi joindre votre maire, votre député ou envoyer par mail (un par un pour que ça passe) une lettre de protestation selon ce modèle proposé par l’ingénieur P. Pradat, ou un texte personnel à votre guise.

Pour les mails des sénateurs d’ici mardi 18,  et au delà  toutes les adresses des sénateurs sont ici :

Taper http://www.voxpublic.org , puis aller sur “Annuaires partagés” : sénateurs.

Pour Gérard Larcher : bureauducabinet@senat.fr

Extrait de la lettre proposée par P. Pradat

« Le 13 mai 2021,

Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur

La France met en place depuis quelques mois une campagne de vakxination C0vid intense et nous voulons vous alerter sur les effets de cette campagne vakxinale. En premier, il convient de rappeler que les essais cliniques de phase 3 sont en cours, et ne seront terminés qu’en 2022 voire 2023. La sécurité des vakx1s C0vid n’est donc pas connue à ce jour.

En ce qui concerne les effets à long terme, il est impossible de savoir quelles pourraient être les conséquences de la vakxination. Il est nécessaire de rappeler qu’aucun vakx1s à base d’ARN messager ou de construction génétique dans un adénovirus n’a jamais été injecté à grande échelle sur une population saine.

il est urgent d’arrêter la vakxination, et de bloquer la mise en place du passeport sanitaire, qui au-delà d’être liberticide, ne servira à rien, car les vakxinés sont porteurs du virus et le disséminent.

Il est frappant de relire la déclaration du ministre de la Santé le 31/03 dans le Figaro (Pourquoi le Conseil d’État vient de refuser de déconfiner tout de suite les personnes vakxinées (lefigaro.fr)) :

Les souches sud-africaines et brésiliennes « peuvent notamment occasionner des réinfections chez des personnes qui ont déjà été contaminées au C0vid-19, ainsi qu’un risque d’échappement vakxinal », soulignait le ministère.

« L’efficacité des vakx1s n’est que partielle », ajoutait-il : « dès le stade des essais […] il n’y avait donc pas de garantie d’immunité » pour les personnes vakxinées. Les vakx1s présentent aussi une « efficacité moindre » contre les variants et des incertitudes subsistent quant à la protection offerte par les doses contre la transmission du virus aux tiers.

Également, les personnes vakxinées « sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès », si le vakx1 ne fonctionne pas ou en cas de « réinfection post-vakxinale ».

« Les personnes vakxinées peuvent développer des formes peu graves, voire ne pas être symptomatiques, et diffuser tout de même le virus », relevait le ministère.

Toute différenciation serait « prématurée » : « il n’y a pas de justification à exempter les personnes vakxinées » des restrictions en vigueur, concluait-il.

Vous avez bien lu… les personnes vakxinées « sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès », si le vakx1s ne fonctionne pas ou en cas de « réinfection post vakxinale ».

« Les personnes vakxinées peuvent diffuser tout de même le virus ». Être vakxiné présente des dangers, c’est le ministre lui-même qui le déclare…

On peut donc s’interroger sur la motivation du gouvernement à poursuivre de façon acharnée cette campagne mortifère.

Le “pass” sanitaire qui permettrait aux vakxinés d’aller partout sans contrainte est dangereux et doit être stoppé de toute urgence.

Il est aberrant d’imaginer que de très nombreux jeunes gens en bonne santé vont aller se faire vakxiner pour pouvoir aller au concert ou assister à un événement sportif [5].

Enfin, pour sauver des vies, des traitements très efficaces et non toxiques pourraient être utilisés https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/recours-gracieux-aupres-du-ministre-de-la-sante-pourlivermectine

Vous priant d’agréer Madame, Monsieur l’expression de nos sentiments les meilleurs, Véronique Malard, Chercheur en Toxicologie et P. Pradat ingénieur. »

Chacun peut contribuer à l’information de ses proches, voisins, amis et de ses élus. IL est URGENT D’AGIR. Chaque pas supplémentaire vers le totalitarisme rend l’inversion vers la récupération de nos libertés plus difficile.

Protégez nos enfants et l’avenir.

Nicole Delépine

[1] Walter Hallstein était le premier président de la Commission européenne. Concepteur de la construction européenne, il fut aux yeux de l’histoire un des pères fondateurs de cette Europe de la paix et a toujours été associé aux remarquables Robert Schuman et Jean Monnet (1). Le problème c’est que c’était un nazi. Est-ce vrai, comment est-ce possible et si c’est le cas pour quelle raison l’opinion publique l’ignore ?  (1) à propos duquel les dossiers déclassifiés par la CIA ont prouvé qu’il était un de leur agent -ndlr)

Lire le détail sur

Le “pass” sanitaire, ce flash totalitaire entre novlangue de Big Brother et Great Reset

14 mai 2021 Éric Verhaeghe Fil coronavirusFil des libertésGreat Reset 3

[3]Le Figaro avec AFP C0vid-19 : la Maison-Blanche écarte l’idée d’un passeport vakxinal fédéral 06/04/2021

[4] Le danger actuel n’est pas le virus mais bien le vakx1 ! – (ripostelaique.com)

Un collectif international de médecins met en cause la vakxination anti-C0VlD – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

– https://nouveau-monde.ca/doit-on-avoir-peur-des-personnes-vakxinees-contre-le-c0vid-les-non-vakxines-sont-ils-menaces-ou-en-danger/

[5] Au Texas à peine plus vakxiné que nous toutes les restrictions prétendument sanitaires ont été levées et les matchs se tiennent en public sans aucune contrainte depuis 72 jours et l’épidémie régresse

L’avocat Fabrice Di Vizio livre une analyse brillante des aberrations de la gestion de cette crise.

Après bientôt un an et demi de crise du C0VlD-19, les Français subissent le masque obligatoire et le couvre-feu. Dans quelques semaines, l’attirail liberticide de la macronie va s’étendre avec le passeport sanitaire. Dans le même temps, la vakxination avance au rythme des campagnes de communications des médias du Système.
Fabrice Di Vizio, avocat spécialiste des questions de santé, avocat du professeur Didier Raoult, du collectif de soignants C19, ainsi que d’associations de victimes du C0VlD-19, livre une critique acerbe de la séquence que nous vivons.

Michel Maffesoli: « L’ère des soulèvements »

Interview par André Bercoff du sociologue Michel Maffesoli à l’occasion de la sortie de son livre: « L’ère des soulèvements » (à paraître le 6 mai aux Editions Du Cerf).
Une analyse toujours brillante.

L'ère des soulèvements par [Michel Maffesoli, Helene Strohl]

Trente ans après son mythique Temps des tribus, le grand sociologue de l’imaginaire lance une nouvelle annonce prophétique. Reprenant un à un les récents séismes qui ont ébranlé nos représentations, il montre comment l’avènement d’un totalitarisme doux marque, par réaction, l’Ère des révoltes. Un essai indispensable pour comprendre ce que sera notre monde demain.

Dès les années 1980, Michel Maffesoli se fait l’observateur averti et implacable des temps postmodernes. Il annonce un effondrement social porteur d’un paradoxal retour des tribus, ce que prouveront les décennies suivantes. Il pronostique également que, profitant de la fin des idéologies, les élites au pouvoir entendent instaurer un ordre nouveau qu’il qualifie de totalitarisme doux. Ce que démontre l’actualité récente.

De l’éruption des gilets jaunes devenus un phénomène international à la contestation globale de la gestion de la pandémie, des grèves émeutières pour contrecarrer le libéralisme mondialisé à la vague d’émotion planétaire suscitée par l’incendie de Notre-Dame, le sociologue du quotidien et de l’imaginaire traque, de son oeil inégalé, le changement de paradigme que nous vivons.

Le règne de la rationalité, de la technicité et de l’individualité agonise convulsivement sous nos yeux. Pour le meilleur et pour le pire, l’ère des révoltes a commencé et ne cessera pas avant longtemps.

Cet essai flamboyant dit pourquoi et comment le peuple a raison de se rebeller.

Sommes-nous entrés dans un monde de fraude et de mensonges généralisés?

« Interférence absolue » Le documentaire en VF.
La suite de la Preuve Absolue, le documentaire exceptionnel de Mike Lindell sur la fraude aux élections américaines du 3 Novembre 2020. De nouvelles preuves et des intervenants exclusifs !

https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2/X22-REPORT-LIVE-DEQ-23-04-21:0

Y a-t-il vraiment un complot derrière cette crise ?

On a déjà évoqué l’agenda du World Economic Forum, le Great Reset de Schwab, l’Event201. Chacun en pense ce qu’il veut mais pour vraiment avoir un avis, il semble nécessaire d’au-moins entendre ces autres informations qui permettent peut-être de mieux comprendre comment fonctionne ce monde qui en apparence semble absurde ainsi que les décisions aberrantes de nos dirigeants et de leurs complices.

Extrait de l’Info en Question du 22 avril 2021.

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/Les-dessous-politico-financiers-de-la-crise:d

Comment la dictature s’immisce entre les clivages

 Tribune de Frédéric Badel, psychiatre publiée dans France Soir le 19/04/2021

La population est désormais scindée en deux groupes.

Le premier, hétérogène, est composé des personnes favorables au vaccin. Il réunit celles qui, par conviction ou par lassitude, sont prêtes à s’y soumettre pour sortir de la crise. Il abrite ainsi les personnes qu’il a été possible de sensibiliser, qui croient sans hésitation au message relayé par les ondes. Celles-là resteront réceptives à tous les messages de danger et agréeront la méthode de sortie de crise, fût-elle assortie de privations pérennes de leurs droits. On trouve aussi dans ce groupe les personnes qui se sont coupées de toute information depuis longtemps, pour se protéger, et qui sont devenues indifférentes à tout discours. Pour elles, l’essentiel est de ne plus entendre parler du sujet. Elles ont disqualifié tous les avis pour les neutraliser. Ainsi le leurre des tests conduisant à une épidémie de cas, sans morts ni malades, ne parvient plus à leur entendement, comme si leur cerveau avait été débranché. Leur priorité est de mettre un terme à la maltraitance qui leur est infligée en se coupant de toute nuisance.

Le second groupe rassemble les détracteurs du vaccin, ceux qui ont échappé à l’influence du matraquage médiatique, qui ont souvent pris des avis ou cherché des informations hors des sources classiques, tout en restant sensibles à la réalité de leur environnement (services hospitaliers non saturés, nombre de morts comparable aux années précédentes, mesures prises non proportionnées, amenuisement des droits fondamentaux sans justification etc.). Ces personnes ont également intégré qu’une vaccination n’exempterait pas des mesures de distanciation sociale et, par conséquent, que la convivialité ne serait pas rétablie, que le gouvernement garderait de façon arbitraire le contrôle de la population et de ses activités. Elles observent avant tout l’immixtion toujours croissante de l’État dans leur quotidien et dans leur vie privée.

Ces deux groupes sont désormais séparés par une ligne qu’il sera difficile de faire bouger. La manipulation a montré des limites qui étaient prévisibles et elle sera sans effet sur ceux qu’elle a tenté, en vain, de convaincre. Ces groupes se sont figés, leurs effectifs se sont immobilisés, et peu importe les arguments avancés, les scandales établis ou les preuves apportées, ceux-ci se noieront dans un récit national inaliénable impossible à dénoncer sauf à être traité de complotiste. Les mots se seront substitués à la réalité et, utilisés à contre-emploi, ils auront perdu de leur sens et véhiculeront des idées en rupture avec les faits. Le pouvoir en place pourra même avouer ses mensonges, le peuple l’acclamera, incapable de le croire mal intentionné et persuadé qu’il est au-dessus des soupçons. Il n’est donc plus temps de publier des résultats d’études prouvant l’efficacité de tel produit, le mensonge sur tel autre, de produire des courbes démontrant le caractère infinitésimal du risque sanitaire et disproportionné des réactions de peur. Surdité et aveuglement règnent en maître chez les personnes qui, conditionnées, sont privées de jugement et incapables d’admettre que des faits objectifs puissent démentir la réalité qu’elles ont construite.

Organiser l’affrontement de ces deux groupes de la population est une possibilité/opportunité désormais envisageable. Nos dirigeants devraient rapidement s’en saisir pour encourager une organisation sociale qui opposerait bons et mauvais citoyens, gens sains, dociles, responsables et vaccinés et gens toxiques, rebelles, inconséquents et non vaccinés. Ce système de bons citoyens est présent en Chine. Il repose sur la délation et l’obéissance à la règle. Le bon usage par le gouvernement de la graduation dans la contrainte et la soumission du peuple conduisent à ce jour à l’acceptation d’une vaccination inutile dont la toxicité n’est pas évaluée et pour laquelle les laboratoires, compte tenu de la rapidité d’élaboration des produits, ont déjà négocié de ne pas être tenus responsables de potentiels effets secondaires, obtenant des États qu’ils répondent de telles conséquences.

Et pourquoi pas en définitive puisque les politiques sont devenus médecins. Nos gouvernants et nos parlementaires, de par leur pouvoir et leur influence, vont inciter toute une population à faire un geste dont l’intérêt n’est pas démontré et dont les conséquences ne sont pas mesurées, et se présenter ainsi en sauveurs. Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs. Pour échapper à la fin du monde ou aux extra-terrestres, ici au virus mortel, le sacrifice est présenté comme salvateur. La réalité ensevelie sous les messages quotidiens discordants, culpabilisants, a laissé la place au délire dans lequel les liens logiques se dissolvent.

Les sectes se servent de ces moyens : isoler les individus en les coupant de leurs liens sociaux et familiaux, rendre les gens dépendants en les privant de leurs moyens de subsistance, propager un discours univoque martelé dans des grand-messes permanentes, évincer toute pensée divergente, présenter les opposants comme des nuisibles qui ne comprennent ni leur propre intérêt, ni l’intérêt commun supérieur. « Nous contre les autres » est généralement la doctrine simple compréhensible par chacun car simpliste, et hélas adoptée.

Le cap est franchi. Maintenant que les lignes de partage qui clivent la population se précisent, ce gouvernement n’a plus la possibilité de revenir à des positions plus raisonnables et proportionnées. Il a fait tout son possible dans le domaine de la manipulation, il a mobilisé toutes les sphères d’influence tout en restant crédible auprès d’une partie importante de la population. Pour ceux qui, rebelles, refusent d’adhérer, d’autres méthodes plus coercitives encore s’imposent.

Les signes de cette dérive totalitaire se trouvent dans les techniques de lavage de cerveau employées, identiques à celles des sectes. Elles étaient là dès le départ, mais comment croire qu’un gouvernement démocratiquement élu puisse se retourner contre son peuple ? Aujourd’hui, une partie de ce peuple est plongée dans la pauvreté, le désarroi, les « non-essentiels » commencent à se suicider, les troubles psychiatriques se multiplient et… le conseil scientifique continue d’assurer sa grand-messe à une armée de fidèles hallucinés.

Demain, n’importe quel virus, réel ou fictif, pourra de nouveau semer la terreur chez des populations prêtes à se faire vacciner pour conserver un peu de liberté. Elles y sont prêtes. Et si les tests actuels sont encore utilisés contre toute logique, même les populations vaccinées seront positives et resteront contagieuses. Les mesures de distanciation resteront la règle. Signe supplémentaire de la supercherie, les hommes qui murmurent à l’oreille des virus prédisent déjà les vagues à venir et leurs dates d’apparition. Toute science a vraiment déserté nos sociétés. Les réseaux sociaux « complotistes » ont donné des dates de confinement bien avant leur annonce officielle, montrant ainsi que toute préoccupation sanitaire était absente des décisions officielles.

Les conséquences humaines sont terribles. Tout lieu de convivialité a disparu, les gens sont plus isolés que jamais, ils souffrent de mesures iniques imposées par une poignée de dirigeants, sans aucune concertation, sous couvert d’assurer leur salut. Ce qui fait l’humain, sa capacité à tisser des liens, son besoin d’entrer en contact avec l’autre, est menacé. Le tissu social s’est dissout dans les mesures imposées par un régime devenu fou, hors de contrôle, déroulant une feuille de route établie de longue date en dépit de toute considérat ion du réel. Les mesures prises altèrent la santé de la population et tuent. Elles sont anti-sanitaires. La dictature est en marche.
Notre mode de vie a effectivement bien changé ; le Covid n’en est que le prétexte, le catalyseur.

Cette dégradation de nos conditions d’existence et la disproportion des mesures prises pour lutter contre un virus donnent du crédit au discours de ceux qui voient là le moyen d’instaurer un nouvel ordre mondial qui doit annihiler notre vie privée et nos droits individuels. Les premiers constats montrent les signes de la réalisation de cet ordre nouveau.


Frédéric Badel est médecin psychiatre.

Pas de fin à la pandémie: la vakxination libère le virus

La vidéo censurée de la rédactrice en chef du magazine Wochenblick fait le tour du monde : «La vakxination est la vraie « pandémie »
Cette vidéo fait le tour du monde : la semaine dernière, la rédactrice en chef de Wochenblick, Elsa Mittmannsgruber, a incité les gens à prendre conscience de ses craintes concernant les vakxinations corona. Avec sa vidéo, elle a réussi à faire connaître la thèse du Dr Geert Vanden Bossche, que les statistiques internationales suggèrent depuis longtemps : seules les vakxinations déclenchent vraiment le virus corona ! La vidéo de Mme Mittmannsgruber a déjà été visionnée des millions de fois, partagée d’innombrables fois sur différentes plateformes et traduite dans plus de dix langues.

https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Elsa:9
Pas de fin à la pandémie: la vakxination libère le virus

Cela a longtemps été considéré comme une loi d’airain : les mesures totalitaires sont absolument hors de proportion avec le danger posé par le coronavirus. Cela continue de s’appliquer comme ceci : le virus est un bouc émissaire bienvenu pour ceux qui sont au pouvoir pour augmenter la surveillance des citoyens à l’extrême et restreindre arbitrairement leurs droits et libertés fondamentaux. Cependant, il y a de plus en plus de preuves que Corona n’a pas « perdu son horreur » dans les mois qui ont suivi le début de la vakxination — mais pourrait seulement devenir vraiment dangereuse.

La thèse selon laquelle les campagnes de vakxination dans de nombreux pays conduisent Corona à devenir progressivement un « monstre » n’a été suggérée par personne la semaine précédente. Comme l’a rapporté Wochenblick, ce n’est nul autre que l’initié de Gates Geert Vandenbossche qui a mis en garde contre la vakxination contre une pandémie. Et en fait, Covid-19 affecte soudainement des patients de plus en plus jeunes, qui se plaignent également de plus en plus de progrès sévères. Dans un message vidéo, la rédactrice en chef de Wochenblick, Elsa Mittmannsgruber, a commenté la question de savoir en quoi consistaient ces premiers signes.

La vakxination n’est pas une clé de la liberté – bien au contraire

La Haute-Autriche avertit les citoyens de mettre trop d’espoir dans la promesse de Kurz & Co. que la vakxination est la clé de la liberté. « Espérez-vous que la vakxination sera bientôt terminée ? Ensuite, je dois les décevoir. Ça s’empire. La soi-disant pandémie est maintenue en vie artificiellement et n’aura vraiment d’impact que cet automne / hiver – précisément à cause de la vakxination … ».

Le gouvernement a déjà agi de manière arbitraire et sans logique, rejetant les avertissements de nombreux scientifiques ainsi que les protestations des citoyens. Cela se produit parce que les dirigeants « n’ont  aucun intérêt à mettre fin à l’état d’urgence » — à savoir, parce qu’ils veulent gagner avec ce temps. Le fouillis de règles, de cas, d’incidences et de chiffres confondent et accablent les gens — et les mesures de plus en plus strictes conduisent, selon Mme Mittmannsgruber, à « la résignation et un sentiment d’impuissance » pour beaucoup.

Les élites tyranniques ont besoin de moutons orientables

Cette perte de stabilité et d’orientation est voulue par ceux qui sont au pouvoir. Parce qu’ils avaient besoin de « personnes affaiblies et désorientées pour reconstruire la société dans l’esprit de la Grande Réinitialisation sans résistance. » Ce n’est que par l’isolement social, la dégradation et le sentiment d’impuissance que les gens se briseraient et deviendraient plus faciles à diriger. Mais ce n’est pas la seule raison du long état d’urgence.

Car, comme le rappelle le sociologue : « Puisque les humains sont des créatures d’habitude, il y a aussi un effet d’accoutumance à cet égard. Il s’habitue à un régime tyrannique et de contrôle sur lequel on peut bâtir à l’avenir. » Les tests, les masques et les vakxinations créent des dépendances qui rendent impossible une vie libre et autodéterminée. Quiconque ne participe pas sera marginalisé : pour les élites, cela a l’avantage que les têtus sont éliminés.

La vakxination fait-elle vraiment du virus un monstre?

Un danger ici n’est pas seulement la censure et les mesures difficiles contre les manifestations, mais aussi le nombre croissant de vakxinations. Si Covid-19 ne devient un danger tangible que par la vakxination, alors « la vraie pandémie est juste devant ». Des experts comme l’immunologiste et biologiste moléculaire irlandais, le professeur Dr. Dolores Cahill avertit, par exemple, que son propre système immunitaire combat le corps si la personne vakxinée entre en contact avec des coronavirus sauvages.

Les conséquences peuvent parfois être fatales. Et le non-vakxiné est menacé par ce que Vanden Bossche a mis en garde : un virus réellement inoffensif devient un « monstre incontrôlable ». Cela devient de plus en plus contagieux, plus agressif et rend également les jeunes plus souvent malades. Surtout les chiffres d’Israël, le pays avec le taux de vakxination le plus élevé, indiquent que les deux théories sont plus que plausibles.

Le virus « a changé de nature en quelques semaines »

Selon Mme Mittmannsgruber, il apparaît que « le virus a changé de nature en quelques semaines à peine après les vakxinations de masse ». Du coup, cela n’affecterait plus seulement les personnes âgées ayant des maladies antérieures, mais aussi chez les garçons jusqu’aux nouveau-nés, une augmentation massive des cours critiques de Covid-19 a été observée depuis lors. Et : « Plus nous vakxinerons, plus cela nous arrivera en Autriche ou en Allemagne. »

C’est pourquoi les personnes qui sont maintenant vakxinées contre Covid-19 « sans besoin, mais purement par pression des pairs, par complaisance ou par besoin de liberté, ne sont pas des héros — elles sont seulement abandonnées à la propagande ». Cela ne contribuerait pas à mettre fin à la pandémie — bien au contraire. Même l’OMS et le Forum économique mondial admettraient que la vakxination n’empêchera pas le virus de se propager. Au lieu de l’immunité naturelle du troupeau, on va avec vue sur une « spirale sans fin de dépendance aux conséquences dévastatrices pour notre liberté et notre santé ».

Conseil: résistez à la propagande vakxinale et à la pression!

Une majorité en Autriche est encore sceptique quant aux vakxinations corona. Mais tout serait fait pour changer cela. En fait, « avec une propagande incroyable et une pression psychologique ». Le gouvernement loue le « Green Pass » comme un ticket pour la liberté, et il y a un risque qu’il change les esprits de nombreuses personnes. Wochenblick a déjà expliqué quels autres dangers existent.

Mme Mittmannsgruber, d’autre part, indique clairement qu’elle ne sera pas attirée par ces promesses creuses. Concrètement, cela signifie : « Pour ma part, je le dis avec une clarté absolue : je ne serai certainement pas vakxiné! » Avec cela, elle espère également envoyer le signal que les Autrichiens se demandent davantage ce que le gouvernement leur sert. (Wochenblick, 18 mars 2021)

Sources:

https://guyboulianne.com/
Réseau international

Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif

PAR JEMINFORMETV 0

Aujourd’hui, après un an de dictature sanitaire et de mascarade généralisée, c’est bien d’un dernier appel dont il s’agit ici. Avant qu’il ne soit trop tard. Un dernier appel avant embarquement pour suicide collectif.

Par Jean-Michel Grau

Cet appel, on pourrait même le qualifier d’alerte rouge, tellement il devient pressant, urgent de se bouger, de s’insurger, de se révolter pour se libérer. À l’heure où tout le monde reste encore bien sagement claquemuré chez soi en attendant le déluge.

Face à l’apathie générale et au renoncement de se battre pour s’extraire des griffes de la finance mondialiste afin de sauver nos libertés, qu’attendons-nous encore avant de nous révolter ?

Qu’il ne reste plus un seul commerce indépendant ouvert, ni une seule petite entreprise encore en état de fonctionner avant que toute notre économie soit définitivement parterre ?

Les financiers du Grand Reset du Forum de Davos qui n’ont d’autre but que de nous asservir, n’attendent plus qu’une chose : que nous soyons tous piqués comme des poulets OGM afin de tous nous contrôler pour mieux nous voler nos biens, une fois ruinés par l’arrêt total de l’économie, et nous exclamer béatement, selon le slogan cynique de leur film de propagande [1] :

« Vous ne posséderez plus rien, et vous serez heureux. »

Formidable, non ? Alors, qu’espérer encore ?
Un sursis ? Un malheureux sursis ? Et après ?

« Encore quelques minutes, Monsieur le bourreau ! » Mais non, il n’y aura pas de sursis ! À part pour les quelques restaurateurs naïfs qui croient encore que les maigres subsides de l’État vont leur permettre de survivre. Mais pour combien de temps ? Car c’est bien un gigantesque suicide collectif de toute la classe moyenne qui se prépare, avec la complicité des États et de l’Union européenne à la solde de l’oligarchie financière mondialiste, orchestrée par les partenaires illuminés du Forum Économique Mondial, Klaus Schwab, Bill Gates et Jacques Attali, dont Macron, Merkel et von der Leyen ne sont que des marionnettes.

À gauche : Bill Gates, partenaire contributeur du Forum Économique Mondial :
À droite : Peter Sellers dans Docteur Folamour, film du génial Stanley Kubrick décrivant un monde corrompu où toute dignité humaine est enterrée sous une pseudo-nécessité de survie, avec la volonté clairement affichée des dirigeants de préserver leur pouvoir pour se livrer ouvertement à leurs magouilles politiques, leur brutalité, leurs perversions et leurs instincts bestiaux sous l’excuse qu’ils agissent pour l’humanité. Le slogan des militaires américains « La paix est notre profession » résume assez bien l’hypocrisie générale des décideurs qui baigne ce film.

« Les vaccins Covid19 ADN devraient nous donner un contrôle extrême sur toute la population mondiale. »

« Nos tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. »
La Boétie

Car il faut vraiment être à genoux pour accepter de voir l’œuvre de toute une vie ruinée par la fermeture de son commerce, de son restaurant, de son entreprise. À genoux aussi pour accepter la fermeture de tout ce qui fait le sel de la vie : théâtres, cinémas, opéras, salles de sport, bars, discothèques… Et combien d’autres rideaux qui se baissent jour après jour sur nos loisirs ?

Car il faut vraiment être à genoux, ensuite pour accepter sans broncher d’être bâillonnés du matin au soir, de s’asphyxier à petit feu en respirant toute la journée son propre gaz carbonique, y compris à l’extérieur, même au bord de la mer ou encore en forêt ! C’est hallucinant !

Il faut vraiment être à genoux pour accepter cet enfermement quasi permanent fait de confinements, de reconfinements et de couvre-feux, comme si nous étions en état de guerre. Mais nous ne sommes pas en guerre ! Qui peut croire encore que l’on peut faire la guerre à un virus ? Qui peut croire encore ces propos délirants de psychopathe ?

Mais le pire n’est même pas là.

Comment peut-on accepter de voir tous ces écoliers dès l’âge de 6 ans, bâillonnés avec ces abominables muselières qui ne sont rien d’autre qu’un plan machiavélique d’ingénierie sociale pour nous apprendre à devenir tous des esclaves dès le plus jeune âge ?

Qui sont ces parents assez fous, assez criminels pour accepter que leurs propres enfants s’asphyxient huit heures par jour à l’école avec ces bâillons mortifères ?

Sont-ils incapables à ce point de créer des collectifs de parents d’élèves résistants pour forcer ce gouvernement criminel à plier en retirant massivement leurs enfants de l’école et cesser du même coup d’être les victimes d’un chantage aberrant : le masque ou l’exclusion ?

Et qui sont tous ces profs pour accepter eux aussi cette mascarade mortifère ? Où sont les syndicats d’enseignants et de parents d’élèves pour défendre la bonne santé des écoliers et des élèves face à la pandémie imaginaire d’un virus dont la létalité de 0,05 % frappe principalement la population des Ephad à comorbidité âgée de plus de 80 ans ? [2]

Ne savent-ils pas que non seulement ces masques ne protègent pas des virus (c’est écrit sur la boîte), mais en plus sont de véritables nids à miasmes, surtout si on les porte 8 heures par jour, a fortiori toute la semaine ? Tous ceux qui vous diront le contraire vous mentent. Ces masques n’ont pas été conçus pour l’usage que les pouvoirs occidentaux nous imposent, mais pour le personnel médical.

Ces parents et ces profs ont-ils perdu à ce point tout bon sens, pire : tout sentiment d’humanité, à force de lavages et rinçages de cerveaux successifs administrés par les infos anxiogènes débitées H24 par toutes les chaînes d’info continue pour leur dire quoi penser ?

Ont-ils peur à ce point de l’amende de 135 euros que le sinistre de l’intérieur ne manque jamais une occasion de leur rappeler ? Se sont-ils jamais posé la question de ne pas la payer parce qu’elle est totalement injustifiée, car le port du masque ne repose sur aucun fondement scientifique et qu’il a été décidé uniquement par un conseil qui n’a de scientifique que le nom ?

Savent-ils seulement qu’il y a pléthore d’avocats prêts à plaider leur cause via les collectifs citoyens initiés par des avocats tels Maître Brusa, Maître Di Vizio, Maître Jean-Pierre Joseph ou encore Maître de Araujo-Vecchia, pour ne citer que ceux-là ? [3]

N’ont-ils pas encore compris que ce pouvoir inique qui nous enferme ne tient plus que par notre peur du virus pour nous imposer le chantage des masques et des vaccins pour mieux nous asservir ?

Sont-ils devenus à ce point des robots, incapables d’autre chose qu’obéir servilement sans réfléchir, à la moindre directive liberticide aussi absurde que criminelle, que le gouvernement et l’Union européenne tentent de nous imposer depuis maintenant un an?

N’ont-ils toujours pas compris qu’il est vital d’éteindre définitivement son téléviseur pour allumer enfin son cerveau afin de découvrir sur les médias alternatifs d’internet vers quelle abomination l’UE et nos gouvernants nous mènent à marche forcée ?

Quant à ces parents qui livrent leurs enfants aux mains des labos pharmaceutiques, tel Moderna aux USA, pour qu’ils servent de cobayes à des « vaccins » qui ne sont rien d’autre que des expériences géniques, ont-ils seulement entendu parler du Dr Mengele d’Auschwitz et de ses « expériences » sur les prisonniers ? Pourquoi a-t-on établi un code de Nuremberg en 1947 ? Pour des souris de laboratoire ? À l’heure où les déboires du vaccin Astra-Zeneca s’accumulent malgré l’autorisation provisoire de mise sur le marché de l’Agence Européenne du Médicament, [4] le jour où l’UE nous intimera de piquer à notre tour nos enfants pour remplacer les souris, l’accepterons-nous bien docilement ?

« C’est parce qu’il y a des moutons qu’il y a des loups. »

C’est ainsi que Rainer Werner Fassbinder résumait son film « Le droit du plus fort ». Si le grand réalisateur allemand décédé il y a bientôt 40 ans revenait maintenant parmi nous, on pourrait aisément imaginer son effarement en constatant jusqu’à quel point la société d’aujourd’hui qui affiche un égalitarisme sans vergogne, est devenue paradoxalement la plus inégalitaire qui soit, à savoir l’incarnation même de sa mise en garde du siècle dernier !

Dans cette société soudainement devenue folle sous la pression d’une clique de mondialistes corrompus, il appartient à chacun d’entre nous de chasser dès maintenant par tous les moyens, les loups du pouvoir. Après tout, ils ne sont qu’une meute affamée de pouvoir et d’argent. Le jour où nous cesserons de leur donner nos vies à manger, ils mourront.

Appel à un mouvement de révolte générale pour le 22 avril prochain

Un appel à un nouvel élan démocratique de l’Institut de Libertés de Charles Gave

Aux armes Citoyens !

Article original sur l’institut Libertés

Commençons par une affirmation : Notre pays va mal, et ce constat semble largement partagé par l’ensemble de la population.

Continuons avec un diagnostic :  La France crève parce que l‘Etat Français est atteint d’obésité maladive. A 62% du PIB, le poids de l’Etat Français, est non seulement le plus élevé dans le monde mais aussi le plus haut dans l’histoire de France. A ma connaissance, mais je peux me tromper, chaque fois que dans un pays l’Etat faisait plus de 60 % du PIB ce pays a sauté financièrement

  • Qui est à l’origine de cette obésité ? Une « classe « (au sens Marxiste du terme) qui a capturé le pouvoir politique et qui a amené cet Etat dans de multiples domaines où il n’avait rien à faire tout en sortant le même État de ses fonctions régaliennes, Justice, Armée, Monnaie, Police, Diplomatie. Et donc l’Etat est partout où il ne devrait pas être et absent là où il devrait être.
  • Le “modus operandi” de cette classe a été fort simple : Écraser les Français sous une avalanche de lois, de règlements (plus de 13000 Lois, plus de 35000 règlements), d’impôts et de taxes, ce qui assure que les Français n’y comprennent rien et que les responsabilités individuelles de ceux qui nous gouvernent ne puissent jamais être établies. On a vu le succès de cette politique avec la crise du Covid et la gestion des hôpitaux désastreuse sans qu’un seul responsable soit identifié ou viré. En fait, ils furent promus.
  • Cette classe a aussi littéralement bradé LA ou LES Souverainetés de la Nation, soit à des tribunaux non Français, soit à des Institutions internationales que personne n’a élu, soit enfin à des affairistes qui s’emploient à piller la Nation à leur profit  et à celui de la « classe ». Et comme par hasard, ces affairistes ont pris le contrôle des media, ce qui limite quelque peu les capacités d’information du citoyen
  • Et crime entre les crimes, cette classe a abandonné la monnaie nationale alors que Nation et monnaie sont l’envers et l’endroit d’une même pièce de monnaie. Une Nation ne peut exister sans sa monnaie et la création de l’Euro, par cette classe dont ce fut le grand projet, impliquait dès le départ la volonté de faire disparaître la Nation. Autrefois, on aurait appelé cela un crime de haute trahison.
  • Et tout cela s’est fait sans que soit demandé l’avis du Souverain, c’est-à-dire du Peuple. A dire vrai, cet avis lui fut demandé une fois, le Peuple fit connaître sa volonté et le Président de la République de l’époque (Sarkozy) décida de ne pas tenir compte cette décision (ce qui était une forfaiture) et nous imposa la Constitution Européenne sous le nom de Traité de Lisbonne, en passant par la voie parlementaire. Que des députés et des sénateurs, que le Conseil Constitutionnel ait autorisé cette mascarade montre bien que nous ne sommes plus en Démocratie depuis longtemps et qu’un jour, il faudra peut-être juger tous ces gens-là, au même titre que certains furent jugés en 1945…
  • Et pour démonétiser la notion même de citoyen, la décision fut prise de « changer de peuple », en laissant rentrer le monde entier en France en donnant à tous ces pauvres gens des Droits (de l’homme),supérieurs à ceux des (citoyens) Français, ce qui créa en partie l’obésité mentionnée au début de ce constat. Et du coup, tous les jeunes Français compétents se barrent à qui mieux mieux tant la pression fiscale est gigantesque. Comme les Protestants français sous Louis XIV, nos vraies élites quittent leur pays, faisant la fortune des autres pays, ce qui revient à dire que la France exporte des bacs + 7 et importe des bacs -7, et tout le monde de s’étonner de l’écroulement du niveau des études en France…

Ayant établi le diagnostic dans le détail, il me faut maintenant expliquer la nature des difficultés que va devoir affronter celui qui sera élu en Mai 2022, pour peu, bien sûr, que la ‘’ Classe » ne réussisse pas à nous imposer une fois de plus son candidat en fomentant je ne sais quel complot judiciaire, médiatique ou politique pour assurer une fois de plus son maintien au pouvoir contre la volonté d’une majorité des citoyens.

Et la nature des difficultés à venir est un classique de la science politique. Nous serons devant un conflit entre la Légalité et la Légitimité.

La « Classe » a de fait pris le contrôle légal de tous les instruments de pouvoir.

  • Le pouvoir législatif ne s’oppose jamais au pouvoir exécutif, capturé par la classe technocratique et le Parlement est devenu une simple chambre d’enregistrement.
  • Le pouvoir judiciaire est aussi aux mains de la classe technocratique, le Conseil d’Etat par exemple, chargé de défendre nos Libertés fondamentales contre les empiètements de l’Etat lui-même ayant été truffé de camarades de promotion de ceux qui nous gouvernent.
  • Une juridiction d’exception (le PFN) a été créée par monsieur Hollande et son seul rôle semble d’avoir été chargé de débarrasser la Nomenklatura de messieurs Fillon et Sarkozy, qui ont eu le tort de ne pas faire la bonne école.
  • Des accords ont été signés avec l’Europe pour que nos Juges ne soient plus souverains en France, au détriment du vieil adage « le Roi de France est empereur en son Royaume »
  • etc…

Mais cette classe, qui contrôle légalement tous les organes du pouvoir est totalement illégitime puisque les représentants élus de cette technocratie emportent à peine 25 % de l’adhésion du Peuple, qui manifeste son dégoût en n’allant plus voter (voir les dernières élections législatives) alors qu’il est « de jure » le Souverain.

Il y a donc, dans notre pays, un conflit qui devient de plus en plus âpre entre légalité et légitimité. Et ces conflits, dans notre histoire, se sont hélas souvent terminés dans des révolutions fort violentes tant la classe illégitime n’hésite pas à se servir du monopole de la violence, qui est la prérogative essentielle de l’Etat, contre le Peuple, pour rester au pouvoir, ce que le Peuple n’apprécie guère. On en a vu un fort bel exemple au moment de la crise des gilets jaunes.

Et c’est bien sur ce scénario de violence révolutionnaire qui doit être évité à tout prix.

Pour que rien d’irréparable ne se passe, à mon avis, il n’y a pas d’autre solution que de redonner la parole au Souverain, en recourant au référendum le plus souvent possible, et sur tous les sujets que cette classe n’ose pas ou ne veut pas traiter, comme cela s’est passé en Grande-Bretagne pour le Brexit qui a permis à ce pays de recouvrer l’ensemble de ses souverainetés.

Et donc, à mon avis, il existerait un boulevard électoral pour ce qu’il est convenu d’appeler « la Droite hors les Murs ».  Ses représentants pourraient sans doute réconcilier la droite avec le Peuple s’ils décidaient de l’emprunter (le boulevard) puisqu’ils reconnaîtraient de ce fait que le Peuple est le Souverain.

Il leur suffirait de dire qu’ils ne recommanderont jamais de voter pour un candidat à  la Présidentielle, ou aux législatives, qui n’aurait pas comme premier point de son programme la mise en place de référendum d’initiative populaire ce qui permet de trancher définitivement tous les débats.

Par exemple, la Suisse vient d’organiser un référendum sur le droit des femmes à être voilées intégralement. Cinquante-deux pour cent des Suisses ont voté l’interdiction du voile, le Souverain a parlé, le voile est interdit, fin du débat, et les juges ou les médias Suisses n’ont rien à dire. On peut passer à autre chose.

Pour moi, tout l’effort de la Droite, et je n’inclue pas les Républicains dans ce groupe parce qu’ils sont des membres éminents de la « Classe », devrait être de mener une campagne intensive pour le référendum d’initiative populaire, seule habilité à trancher les débats de société et le cas échéant les abandons de souveraineté.

Hélas, c’est mal connaitre la droite française.

  • D’abord, je ne suis pas sûr qu’elle accepte le simple fait que le peuple soit le seul souverain. Encore et toujours je vois resurgir la solution de l’homme providentiel du type Napoléon, Louis XIV, Colbert qui tous ont ruiné la France, la laissant à chaque fois exsangue, affaiblie et divisée contre elle-même-
  • De grâce, protégeons notre pays du prochain homme providentiel, nous avons déjà abondamment donné et nos malheurs actuels ont tous une seule source, la Constitution de la Vème République, abomination juridique et politique dont il faut rappeler qu’elle nous fut imposée par de Gaulle et Michel Debré ,qui installèrent dans l’ordre juridique non pas la séparation des pouvoirs mais la suprématie de l’exécutif sur les deux autres, qui créèrent l’ENA et l’école de la Magistrature, permirent la fusion des banques d’affaires et des banques de dépôts, source essentielle du capitalisme de connivence qui sévit chez nous plus que partout ailleurs, laissèrent le système éducatif dans les mains du parti communiste, abandonnèrent à une mort  abominable les harkis et leurs familles qui étaient français par  le sang…
  • Et d’où viennent tous nos problèmes actuels ? De l’absence de séparation des pouvoirs, de l’ENA, de l’Ecole de la Magistrature, du capitalisme de connivence, de l’effondrement du système éducatif, d’une immigration incontrôlée et désormais presque incontrôlable avec L’UE en chef de protocole.
  • Contrairement à beaucoup de gens, je ne pense donc pas que de Gaulle ait bien préparé la France pour le futur, mais a en fait institué un système totalement rigide où la seule possibilité de mouvement est au sommet, tout le reste de la Société étant bloqué par l’Etat et ses sbires. Et si le sommet est occupé par un homme incapable de prendre deux décisions « en même temps », ou bien par un homme qui n’’aime pas son pays, eh bien la France crève sans que le citoyen puisse intervenir.
  • Ensuite, quand  les intellectuels qui se réclament de cette droite analysent les maux dont souffre la France et proposent leurs solutions, je vois apparaître avec stupéfaction les vieilles recettes de la droite Maurassienne : Détestation du marché libre, protectionnisme, haine des marchés financiers, haine des Anglo-Saxons, haine de la Liberté économique et enfin, ce qui est à pleurer de désespoir, nécessité d’un Etat stratège, d’une politique industrielle, menée par eux bien sûr puisqu’ils savent ce qui est bon pour la France alors que leur but semble être de retourner au temps des lampes à huile et des machines à vapeur.
  • Par exemple, l’industrie française ne crève pas de la concurrence chinoise, dont ne semblent pas souffrir les industries suédoise, suisse, allemande, etc… mais du simple fait qu’elle n’est pas compétitive à cause du poids insensé de la taxation chez nous, du poids de notre état, d’un Droit du Travail qui fait 3000 pages d’attaques constantes contre le Droit de Propriété .
  • Autre exemple : notre agriculture est en train de disparaître à cause de la Politique Agricole Commune, inventée par le désastreux Chirac, qui en trente ans a réussi à faire passer la France d’un excèdent agricole formidable a un déficit, en organisant des subventions versées en fonction des quantités produites à la place de laisser les agriculteurs continuer à faire des produits de qualité.
  • L’industrie et l’agriculture françaises ont certainement besoin d’être protégées, mais seulement contre le plus grand prédateur de l’histoire et destructeur de valeur, l’Etat Français, et certainement pas contre la concurrence internationale.

Et donc je me dis : dans le fond, la Droite française, comme la gauche française, comme la technocratie, n’ont toutes qu’un objectif et un seul : s’emparer de l’Etat français pour ensuite imposer leurs préférences au peuple.

Et ces trois groupes qui cherchent à nous gouverner ont trois caractéristiques communes.

  1. Ils haïssent la Liberté
  2. Ils n’y connaissent rien en économie.
  3. Ils détestent le peuple.

Dans un pays « normal » les élus cherchent à faire la volonté de la majorité des électeurs qui les ont élus. Dans notre pays, cette idée ne soulève que des sarcasmes (dans la classe politique), le but est d’être élu, mais en racontant des calembredaines pour ensuite n’en faire qu’à sa tête, comme ont si bien su le faire Mitterrand ou Chirac (les promesses électorales n’engagent que ceux qui les croient), qui restent les champions inégalés de l’enfumage politique.

Et donc, que faire puisque le personnel politique n’a qu’une ambition : nous enfler ? La réponse est simple et toujours la même : Aux armes citoyens ! Le salut viendra de la levée en masse

  • Il faut que dans chaque village, chaque bourgade, chaque ville se créent des commissions pour l’instauration du référendum d’initiative populaire et que chacune de ces commissions rassemble le maximum de gens qui ne voteront pas POUR un candidat mais CONTRE tous les candidats qui ne supporteront pas le RIP, de façon qu’ils soient battus sans rémission.
  • Ces volontaires doivent pouvoir se reconnaître physiquement entre eux. Je suggère de passer du gilet jaune au gilet bleu blanc rouge. Ni de gauche, ni de droite, ni technocrate, juste Français.
  • Il faut que ces commissions d’abord se créent, d’abord une par une, ensuite prennent contact les unes avec les autres (par l’intermédiaire du Web) pour échanger programmes, idées et informations sur les candidats éventuels et que des évènements soient organisées localement par ceux qui le voudront bien, où ils inviteront des gens comme moi, qui s’y rendront bien volontiers.
  • Et une fois ces commissions créées, on verra bien ce qui se passera ensuite et quel effet ces commissions auront sur les élections à venir. Le mouvement se prouve en marchant.

En termes simples ; Peuple de France, le moment est venu de te lever et de faire entendre ta voix.

Mais si chacun d’entre vous attend que l’autre commence, alors notre pays est foutu. Ce qui serait un drame pour le monde entier. En ce qui me concerne, je réfléchis pour savoir comment mettre au point au point le vite possible une infrastructure pour aider les volontaires dans leurs efforts.

Comprendre les ressorts qui gouvernent nos sociétés

  • Trois éléments en un seul article:
    • L’analyse de Valérie Bugault (juridique et politique)
    • L’analyse de Pierre Hillard (religieux et financier)
    • En bonus: manuel de survie juridique en dictature (pratique)

Valérie Bugault

Longue vidéo super importante de l’interview de Valérie Bugault par Hayssam Hoballah pour appréhender les bases de l’environnement politique et juridique dangereux du monde dans lequel nous évoluons. Très important à intégrer avant d’envisager une nouvelle société humaine, autonome et indépendante.

Le site de Valérie Bugault

Mise-à-jour du 15/3: autre interview de Valérie Bugault sur TV Libertés:


Pierre Hillard

Pour comprendre aussi les ressorts religieux et politiques de l’élite financière qui détient le véritable pouvoir, voir cette vidéo de l’analyse qu’a faite Pierre Hillard pour le Gilets Jaunes.

Dans les temps que nous vivons où le droit est bafoué il est peut être utile de télécharger ce manuel de survie juridique en dictature (encore en cours de constitution).


Manuel de survie en dictature

extrait du site aimonsnosdroits.com

Appel à la résistance civile et à un réveil des consciences

Copié du blog de Jean-Dominique Michel

J’ai pris connaissance avec surprise -mais surtout reconnaissance- de l’appel qui suit, porté par un collectif de voix parmi les plus intéressantes qui se soient données à entendre au cours des mois écoulés. Ce d’autant plus qu’elles viennent de milieux forts différents, incluant bien sûr la médecine et les soins mais aussi par exemple la psychologie, le droit, l’histoire, les mathématiques, le journalisme, les arts et même les forces de l’ordre !

Le propos est remarquablement pertinent et ciblé, à tel point qu’à quelques nuances près (je pense notamment à la référence à 1793, qui ne semble pas très heureuse) je souscris à la quasi-totalité de ce qui est dit.

Particulièrement judicieuse me semble cette interpellation adressée à différents corps de métier et corps intermédiaires de la République, actuellement pris dans un effroyable conflit de loyauté. C’est-à-dire engagés à un devoir de réserve et de soumission vis-à-vis de leur hiérarchie ; mais conduits par-là même à devoir s’asseoir sur leur déontologie et même leur l’éthique, ce qui bien sûr est rédhibitoirement problématiqe.

Ces corps étant pour certains d’entre eux devenus les chevilles ouvrières d’une dérive à laquelle ils devraient simplement refuser de participer s’ils écoutaient leur dignité et leur conscience.

C’est le premier Appel de cette nature que je lis ou entends et franchement cela faisait un moment que j’attendais d’en voir circuler un…

C’est donc sans réserves et avec une sincère appréciation pour cette démarche citoyenne forte, assertive et en quelque sorte solennelle que je partage cet Appel ici en pleine convergence de valeurs et d’intention avec ses auteurs !

———————————————————-

Lien vers le texte et la vidéo de l’Appel : cliquer ici.

PRÉAMBULE

L’Assemblée nationale et le Sénat ont rendu leur rapport d’enquête sur la gestion de l’épidémie de Covid-19 en France et ils sont évidemment sévères. Ils mettent en lumière l’impréparation et la gestion chaotique de l’État, avec de multiples retards et des incohérences sans fin, et la mise sur la touche des médecins généralistes, privés du droit de soigner !

Des mois et des mois plus tard, le gouvernement persiste dans les mêmes erreurs, multipliant les mesures hasardeuses et arbitraires, avec la même attitude infantilisante, abusive, et souvent même méprisante envers la population. Et quelle maltraitance que de masquer les enfants !

Il porte atteinte au passage, de plus gravement, aux droits constitutionnels et fondamentaux ainsi qu’aux libertés privées et publiques, conduisant le pays à la ruine en détruisant le gagne-pain de millions de citoyennes et de citoyens.

En tolérant des conflits d’intérêts majeurs, en confiant même des responsabilités publiques à des serviteurs de l’industrie pharmaco-vaccinale, il trahit les intérêts et la confiance du peuple français.

On nous présente maintenant un « vaccin » qui n’en est pas un, mais constitue une véritable « thérapie » génique expérimentale, mis précipitamment sur le marché alors qu’il présente des risques potentiellement majeurs pour la santé de la population. Tandis que les autres vaccins annoncés affichent des effets indésirables conséquents pour une infection respiratoire équivalente à la grippe.

Ce projet est tellement contraire au droit, à l’éthique ainsi qu’aux bonnes pratiques médicales que nous devons nous opposer corps et âme à ce que l’État joue ainsi à la roulette russe avec la santé des Français, en dilapidant l’argent public.

Le désastre en cours est symptomatique d’une société à bout de souffle, qui a perdu ses repères, prise dans une bouffée délirante collective malheureusement entretenue au fil des mois par nos gouvernants.

Il est temps de reprendre nos esprits et de revenir sereinement dans la réalité : la létalité réelle du Covid-19 est celle d’une grippe moyenne, avec un âge médian des décès supérieur à l’espérance de vie. Nous disposons en outre de traitements efficaces.

En Suède la vie est normale, sans masques, sans tests, sans confinement, sans mesures humiliantes de contrôle… et sans plus de victimes.

Nous pouvons vivre sans avoir à nous terrer ou à nous déshumaniser.

Et nous devons tous retrouver ensemble le chemin de la sérénité et de la raison, en mettant un coup d’arrêt à la fuite en avant de nos gouvernants.

Chacun d’entre nous comme chaque corps constitué a sa part d’action à faire et son rôle à jouer dans ce processus urgent de restauration de la raison et des libertés.

C’est le sens de l’Appel que nous lançons aujourd’hui pour la résistance civile et le réveil des consciences, afin de préserver la lumière de l’avenir.

APPEL À LA RÉSISTANCE CIVILE ET AU RÉVEIL DES CONSCIENCES
  • Nous invitons notre président ou premier ministre
    • à tirer les conclusions de la longue suite d’errances et de défaillances de sa politique sanitaire, à tirer les conclusions de l’état d’affolement, de confusion et de sidération dans lequel il a plongé le peuple français, et bien d’autres peuples, avec des données fausses et anxiogènes, et enfin à tirer les conclusions de son instrumentalisation de la peur à des fins de neutralisation de la contestation, ainsi qu’à des fins idéologiques de démantèlement de l’économie et des intérêts nationaux au profit des grands groupes mondiaux.
    • Nous l’appelons à œuvrer pour la santé réelle des Français, et non pour le profit de l’industrie pharmaceutique,
    • à dissoudre immédiatement le Conseil Scientifique et à le remplacer par un collège des meilleurs experts libres de tous conflits d’intérêt,
    • à cesser de convoquer le Conseil de défense : on ne fait pas la guerre à un virus ;
    • à RÉTABLIR LES LIBERTÉS FONDAMENTALES : la liberté d’expression et d’opinion, la liberté de vivre, d’être en liens, et de respirer,
    • à supprimer l’usage des tests inutiles en population générale, et à les rétablir comme outil diagnostic dans la main des seuls médecins,
    • à décréter un moratoire sur toute thérapie génique, appelée à tort vaccinale, autrement dit : à faire abroger la loi d’état d’urgence sanitaire, en particulier son intolérable article 4ter alinéa 3 (*).
  •  Nous appelons les parlementaires français
    • à rester fidèles à la démocratie et à la Constitution,  à rester fidèles à leur mandat de représentation du peuple et à refuser avec courage tous les textes de loi et dispositions portant atteinte aux intérêts, à la dignité et à l’intégrité (physique, psychique, économique, culturelle, politique et sociale) du peuple.
  • Nous appelons les constitutionnalistes et les professeurs de droit
    • à dénoncer haut et fort les innombrables mesures anticonstitutionnelles qui nous sont imposées et les lois d’exception totalitaires.
  • Nous appelons les avocats et les juristes
    • à multiplier les actions en justice, ainsi qu’à offrir leurs services en pro bono ou avec l’aide juridictionnelle à des particuliers ou des collectifs ayant intérêt à agir pour intenter de telles actions.
  • Nous appelons le conseil national de l’ordre des médecins
    • à ne pas sombrer dans l’indignité en condamnant des médecins faisant honneur à leur profession, à protéger sans concession la liberté de prescription, et les médecins lanceurs d’alerte.
  • Nous appelons les forces de l’ordre
    • à servir non pas un gouvernement autoritaire, mais le peuple, et à renoncer à faire usage de toute violence à l’encontre des protestations légitimes de la population.
  • Nous appelons les fonctionnaires
    • à refuser d’appliquer les mesures liberticides.
  • Nous appelons les chercheurs et les scientifiques
    • à dénoncer les ravages de la corruption systémique produite singulièrement par l’industrie pharmaceutique, et à participer à mettre en échec l’instrumentalisation frauduleuse de la recherche au profit d’intérêts privés.
  • Nous appelons les soignants de psychiatrie, les psychosociologues et les sociologues
    • à neutraliser par leur éclairage la bouffée délirante collective dans laquelle est plongée une grande partie de la population mondiale de manière très inquiétante depuis un an.
  • Nous appelons les médecins
    • à rejeter les diktats contraires au serment d’Hippocrate en s’engageant à user de leur liberté de prescription, et à traiter les malades de la meilleure façon, en particulier dans la phase précoce de la Covid-19.
  • Nous appelons les experts de santé publique
    • à exiger qu’une balance bénéfices/risques rigoureuse soit faite au sujet de toutes les mesures non strictement médicales potentiellement destructrices pour les personnes et la société.
  • Nous appelons les pharmaciens
    • à lever tout obstacle dans la remise de prescriptions hors-AMM.
  • Nous appelons les responsables de résidences pour personnes âgées
    • à tenir impérativement compte de la volonté de leurs pensionnaires dans un processus décisionnel impliquant leur consentement éclairé ou celui de personnes de confiance concernées, à toutes mesures les impliquant.
  • Nous appelons tous les professionnels de la naissance, tous les professionnels de la petite enfance
    • à veiller au respect de la dignité et des intérêts des tout-petits et de leurs parents.
  • Nous appelons les enseignants et l’éducation nationale
    • à protéger les enfants et les adolescents en refusant le port du masque, à leur donner des informations sur les conséquences, graves, de la bouffée délirante collective, ainsi que leur enseigner les bases de ce qui génère et protège réellement la santé.
  • Nous appelons les milieux économiques
    • à s’opposer de toutes leurs forces et de toute leur influence à des décisions absurdes et inutiles qui précipitent vers la faillite et la ruine les forces vives de notre économie réelle au profit des multinationales et des grands groupes mondiaux.
  • Nous appelons les journalistes
    • à se désaliéner de leur tutelle économique, à rejeter la politique du buzz, à respecter la Charte des journalistes aujourd’hui bafouée et à remplir pleinement leur rôle et leur mission envers la population en tant que quatrième pouvoir essentiel à la démocratie, en délivrant une information honnête, et en enquêtant sur les dérives en cours.
  • Nous appelons les artistes
    • à véhiculer et populariser sous toutes les formes que ce soit l’esprit de résistance civile et le réveil des consciences qui animent cet appel.
  • Nous appelons les citoyennes et les citoyens
    • à exercer notre droit et notre devoir, sans supporter aucun chantage à l’exclusion sociale, de refuser une vaccination inutile, risquée servant plus les profits de l’industrie pharmaceutique que la santé, en obtenant au besoin la tenue d’un référendum (d’initiative partagée en France) sur l’intégration au bloc constitutionnel de l’article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793, lequel énonce :
      • « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »
  • car si un gouvernement persiste dans une dérive autoritaire, irresponsable et mortifère, quelle autre alternative laisse-t-il à ses concitoyens sinon celle de résister en masse, et si possible pacifiquement, jusqu’à ce que les gouvernants reprennent raison ou leur remettent leur pouvoir ?

Lien :

Rumble — APPEL A LA RÉSISTANCE CIVILE ET AU RÉVEIL DES CONSCIENCES

0.00-3.12 Préambule
3.13-10.38 Appel à la résistance civile et à l’éveil des consciences
10.40-13.40 Générique et chanson

Texte collectif de et avec 

Louis Fouché, Tristan Edelman, Virginie de Araujo-Recchia, Thierry Gourvénec, Médecin anonyme, Ronald Guillaumont, Vincent Pavan, Pascal Sacré, Éric Remacle, Nathalie Derivaux, Pierre Chazal, Sébastien Recchia, Alexandre Gerbi, Ingrid Courrèges, Ashani, Albéric et Cindy, Géraldine, Jean-Paul, Jeff, Julie, Martine, Sébastien G, Sandrine, Isabelle, Claudia et Ernesto, Joël, Dominique….

Grand Reset : « On assiste à un transfert de richesses qui est voulu par ceux qui nous dirigent »

Philippe Herlin est Docteur en économie du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), spécialiste des cryptomonnaies et essayiste.
Intrigué par le livre « Covid-19 : The Great Reset » coécrit par Klaus Schwab – le fondateur du Forum de Davos – et Thierry Malleret – un consultant et ancien collaborateur de Michel Rocard – paru l’été dernier, Philippe Herlin a décidé de décortiquer cet ouvrage.
Une lecture qui lui a inspiré un commentaire de quelques pages dans lequel M. Herlin s’efforce de décrypter l’idéologie portée par K. Schwab et T. Malleret.
Selon l’économiste, les auteurs du Great Reset entendent notamment profiter des bouleversements induits par la crise sanitaire pour promouvoir un projet « étatiste et socialiste » qui s’appuie sur la surveillance généralisée des populations, l’économie verte et le capitalisme de connivence.
Quels sont les véritables enjeux du Grand Reset ?
Quelle est l’attitude de nos dirigeants vis-à-vis du projet porté par Klaus Schwab et Thierry Malleret ?

Alliance Mondiale pour la Liberté. Lancement à Copenhague.

Le début d’un nouveau mouvement politique de portée mondiale?
La World Freedom Alliance.
Documentaire sur son lancement à Copenhague où les citoyens ont fait reculer le gouvernement dans sa politique de vaccination obligatoire. Avec le soutien de personnalités telles que JF Kennedy Jr, Dr Dolorès Cahill, Andrew Kaufman, Heike Schöning et bien d’autres.
Cela fait du bien de voir cela. A quand un relais dans nos pays ?

Activer les sous-titres français s’ils ne le sont pas.

Humains souverains ou humains ressources ?
Tyrannie technocratique ou libertés ?

Version alternative sur Odysee en cas de censure YouTube:

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/WAKE-UP-CALL—Documentary-4K—World-Freedom-Alliance_-CopenhagenVOSTFR:9

La nouvelle normalité ?

Nouveau documentaire nous donnant à voir ce que pourrait devenir notre nouvelle normalité si on laisse cette élite continuer son projet transhumaniste avec la complicité de nos gouvernants corrompus. A voir absolument pour élever notre conscience pour nous mobiliser.

https://odysee.com/@Eveilinfo:b/The-New-Normality-vostfr:e

Ingénierie sociale très bien analysée par un jeune

Quel plaisir de voir des jeunes avec un esprit critique, capable de faire des recherches et se poser les bonnes questions. Merci d’éveiller la nouvelle génération pendant que certains d’entre nous, plus vieux, tentons de réveiller ceux qui sont formatés depuis des décennies dans la matrice… Ensemble on y arrivera ! (Copie d’un commentaire à cette vidéo)

20.000 avocats belges rappellent le gouvernement à ses devoirs démocratiques


Article et carte blanche parus dans LE SOIR du 10/2/21 (pour abonnés)

Le texte de la carte blanche plus bas


«Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement fédéral ne prend pas ses mesures par des lois immédiatement, à l’issue d’un débat parlementaire. Il est de plein exercice et dispose d’une majorité à la Chambre», insiste Xavier Van Gils, président d’Avocats.be.
Même si le contexte de la pandémie justifie l’adoption de mesures particulières pour protéger la santé publique, il ne peut justifier une remise en cause de notre Etat de droit.
Nous sommes profondément préoccupés par cette érosion de l’Etat de droit et par la perte de légitimité des règles qu’elle entraîne. »
Les trois associations d’avocats du pays, l’ordre francophone et germanophone, l’ordre flamand et l’ordre des avocats à la Cour de cassation, qui fédèrent environ 18.500 membres, ont décidé de publier ce mercredi une carte blanche dans Le Soir et De Standaard pour s’inquiéter en des termes sévères de l’absence des institutions démocratiquement élues dans les décisions qui restreignent les libertés publiques pour lutter contre la pandémie.

Ils critiquent en particulier le recours aux arrêtés ministériels pour rendre les mesures obligatoires, sans passer par une loi qui suppose un débat parlementaire et un vote. « Dans un Etat de droit démocratique, ces restrictions temporaires doivent être décidées par le Parlement (…) Et donc pas uniquement dans les couloirs du ministère de l’Intérieur, aussi sages et savants soient leurs concepteurs, et aussi bonnes soient leurs intentions », écrivent-ils.
Il ne s’agit pas seulement de symboles, estiment les auteurs du texte. En raison de l’absence d’une base juridique claire pour autoriser les mesures, ils indiquent avoir constaté, sur le terrain, une application particulièrement disparate des sanctions. « Pour les mêmes faits, tel juge inflige de lourdes amendes voire des peines de prison ; tel autre prononce l’acquittement, au motif que les règles et les sanctions sont dépourvues de base légale. Or, dans un Etat de droit, personne ne peut se voir infliger une peine si la loi n’incrimine pas les faits et si elle n’y attache pas une peine. A défaut d’une telle loi, le juge ne peut qu’acquitter le prévenu. C’est aussi simple que cela. »
Les juristes s’inquiètent aussi de la qualité des arrêtés qui imposent ces mesures à tous. « Elles sont en constante et rapide évolution, elles manquent souvent de clarté, voire de cohérence, et apparaissent parfois comme disproportionnées. »
Ils appellent les gouvernements du pays à un sursaut démocratique. « En démocratie, l’ordre social repose sur des règles et des procédures définies notamment par la Constitution et les traités européens ou internationaux. Cet ordre peut être ajusté, mais uniquement selon les règles prévues. Sans quoi, c’est la porte ouverte à l’arbitraire, à l’abus de pouvoir et finalement à la tyrannie. Il est urgent de définir un cadre juridique clair, solide et permettant l’adoption de règles claires, cohérentes, uniformément applicables et proportionnées. Des mesures limitant la liberté sur une aussi longue
période ne peuvent être prises que si elles sont le résultat d’un débat parlementaire démocratique approfondi », concluent les avocats.


L’appel publié ce mercredi fait suite à d’autres interventions. Le 29 janvier, dans nos colonnes, un collectif de 15 professeurs d’université de renom entendait déjà alerter l’opinion publique, en publiant un texte également sans équivoque. « La lutte contre le covid étouffe nos droits et libertés. » Un message également diffusé fin août par soixante autres personnalités académiques et de la société civile « Il est nécessaire et urgent de revoir totalement la gestion de la crise covid-19. »


Contacté par nos soins, Xavier Van Gils, le président d’Avocats.be, l’ordre des barreaux francophones et germanophone de Belgique, précise la démarche. « Notre but n’est pas d’être critique, mais d’avertir et d’appeler au respect des règles démocratiques. C’est le rôle des avocats vis-à-vis de la société civile et des élus. Nous ne contestons pas les mesures sur le fond, nous n’en avons pas la compétence, mais ces mesures sont attentatoires aux libertés fondamentales protégées par les conventions internationales et la Constitution et ne peuvent être limitées que par un tribunal (dans le cas par exemple d’une incarcération) ou par le législateur, via le parlement et pas via des arrêtés ministériels. »
Pour l’avocat, les gouvernements du pays n’ont plus l’excuse de la surprise, qui a permis de prendre des mesures par arrêtés de pouvoirs spéciaux puis par arrêtés ministériels.
« Nous ne sommes plus face à une pandémie que nous ne connaissons pas. Nous avons le temps de mener un débat parlementaire. Peut-être aboutirait-on aux mêmes décisions, mais elles auraient alors la légitimité requise puisqu’elles auraient été prises par les élus de la nation. »
Le gouvernement fédéral a certes indiqué son intention de prendre une loi Pandémie, pour couler dans la législation les réactions aux futures infections de masse. Mais Xavier Van Gils ne croit pas trop à sa venue rapide. « Je pense que son principe ne fait pas l’unanimité, y compris dans le chef du Premier ministre, qui s’est exprimé en ce sens. Et si elle advient, ce sera pour réagir aux futures pandémies. » L’avocat appelle à un débat parlementaire immédiat. « Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement fédéral ne prend pas ses mesures par des lois immédiatement, à l’issue d’un débat parlementaire. Il est de plein exercice et dispose d’une majorité à la Chambre. Non, je ne comprends pas. »

LA CARTE BLANCHE
L’Etat de droit bientôt sous respirateur?
Mis en ligne le 10/02/2021 à 07:00
Par Xavier Van Gils, président de l’Ordre des barreaux francophones et germanophone; Paul Lefebvre, bâtonnier de l’Ordre des avocats à la Cour de cassation; Peter Callens, président de l’Ordre des Barreaux flamands


Les représentants des barreaux belges rappellent que les mesures restrictives en raison de la pandémie de covid n’ont de légitimité que si elles sont prises dans les travées du parlement et non dans les couloirs du ministère de l’Intérieur.
L’arsenal des mesures sanitaires qui limitent nos libertés depuis près d’un an, a créé un profond malaise qui est loin de s’estomper…
En témoignent la fébrilité des décideurs politiques, la perplexité de ceux qui sont chargés d’appliquer ces mesures (juges et policiers) prises par le biais de simples arrêtés ministériels, et l’adhésion de plus en faible des citoyens à celles-ci.
Ce constat nous oblige à réfléchir sur la place de ces mesures dans un État de droit et accessoirement sur le rôle que le barreau doit y jouer.
En tant que représentants des barreaux belges, nous sommes conscients que les
divergences de la jurisprudence relative aux mesures sanitaires ne contribuent pas à apaiser les esprits.
Pour les mêmes faits, tel juge inflige de lourdes amendes voire même des peines de prison ; tel autre prononce l’acquittement, au motif que les règles et les sanctions sont dépourvues de base légale. Or, dans un Etat de droit, personne ne peut se voir infliger une peine si la loi n’incrimine pas les faits et si elle n’y attache pas une peine. A défaut d’une telle loi, le juge ne peut qu’acquitter le prévenu. C’est aussi simple que cela.
Dans ce cadre, le rôle de l’avocat est de défendre son client en utilisant les meilleurs arguments juridiques. Il est donc de son devoir, lorsqu’il estime qu’un arrêté ministériel est dépourvu de base juridique et ne peut justifier une sanction, de soumettre cet argument au juge. Si le juge suit le raisonnement de l’avocat et acquitte le prévenu, la responsabilité n’en incombe ni au juge ni à l’avocat, mais au gouvernement qui a adopté l’arrêté contesté.
Notre propos n’est pas ici de donner raison à tel juge qui acquitte ou à tel autre qui condamne, mais de dénoncer la confusion juridique qui conduit les juges à prononcer des jugements divergents faute de cadre juridique incontestable.
Un ordre ajustable selon les règles prévues.
Certains semblent croire qu’un ordre social peut être adapté en fonction de ce que les scientifiques ou les décideurs politiques estiment nécessaire, souhaitable, ou raisonnable.
Ils se trompent. En démocratie, l’ordre social repose sur des règles et des procédures définies notamment par la Constitution et les traités européens ou internationaux. Cet ordre peut être ajusté, mais uniquement selon les règles prévues. Sans quoi, c’est la porte ouverte à l’arbitraire, à l’abus de pouvoir et finalement à la tyrannie.
La pandémie justifie l’adoption de normes qui restreignent temporairement les droits et libertés fondamentaux des citoyens pour protéger la santé publique. Mais ces restrictions ne peuvent être imposées que si elles ont été prises selon les règles prévues. Dans un État de droit démocratique, ces restrictions temporaires doivent être décidées par le Parlement ou à tout le moins sur la base de critères clairs et uniformes fixés par celui-ci, dans le respect des règles de prise de décision et de consultation des diverses instances compétentes comme le Conseil d’État. Et donc pas uniquement dans les couloirs du ministère de l’Intérieur, aussi sages et savants soient leurs concepteurs, et aussi bonnes soient leurs intentions.
Un sentiment d’arbitraire
Les règles adoptées par le gouvernement posent également problème en raison de leur contenu.
Elles sont en constante et rapide évolution, elles manquent souvent de clarté, voire de cohérence, et apparaissent parfois comme disproportionnées. Elles évoluent au gré de la progression des connaissances scientifiques et des événements, elles semblent souvent improvisées et ne parviennent jamais à appréhender l’ensemble des situations particulières, et conduisent à des sanctions plus durement ressenties par les jeunes et les citoyens moins favorisés.
Ces difficultés tiennent en partie au contexte de la pandémie. Mais, combinées au doute quant à un éventuel manque de légitimité lié à leur adoption, elles créent un sentiment d’injustice et d’arbitraire. Ce qui constitue un cocktail explosif et un terreau fertile pour le populisme et le complotisme.
Nous sommes profondément préoccupés par cette érosion de l’État de droit et par la perte de légitimité des règles qu’elle entraîne.
Un débat indispensable
Il est urgent de définir un cadre juridique clair, solide et permettant l’adoption de règles claires, cohérentes, uniformément applicables et proportionnées.
Même si le contexte de la pandémie justifie l’adoption de mesures particulières pour protéger la santé publique, il ne peut justifier une remise en cause de notre Etat de droit.
Dans les cercles gouvernementaux, on évoque désormais la préparation d’une loi d’urgence ou d’une loi « pandémie » – ou les deux ? Près d’un an après l’apparition de la crise, le gouvernement semble donc prendre conscience de la fragilité juridique et démocratique des mesures qu’il a prises et des conséquences de celle-ci.
Des mesures limitant la liberté sur une aussi longue période ne peuvent être prises que si elles sont le résultat d’un débat parlementaire démocratique approfondi, qui dépasse la discipline de parti. Il est grand temps que nous ayons ce débat. L’État de droit souffre d’un manque aigu d’oxygène.


*L’Ordre des barreaux francophones et germanophones rassemble les barreaux
francophones et germanophone et l’Ordre des barreaux flamands les barreaux
néerlandophones. L’Ordre des avocats à la Cour de cassation regroupe l’ensemble des avocats à la Cour de cassation. Ces institutions représentent l’ensemble des quelque 18.000 avocats du pays.

Le gouvernement allemand a commandé à des scientifiques des projections alarmistes pour justifier des mesures répressives !

 PAR POLÉMIA | 7 FÉVRIER 2021 

Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia, Die Welt, le grand journal allemand, vient de jeter un pavé dans la mare au Covid-19. Il apporte la preuve que le ministère de l’Intérieur allemand avait commandé à des scientifiques des projections de mortalité alarmistes (jusqu’ 1 million de morts, à comparer aux 400 000 de Macron à l’automne dernier…) pour justifier « des mesures préventives et répressives » (sic).
Projections « secrètes » que le ministère a opportunément fait fuiter vers la presse pour apeurer la population.
La révélation du scandale pourrait bouleverser la politique sanitaire allemande et conduire à une levée de nombreuses restrictions au plus tard avant Pâques et non pas au plus tôt après Pâques. Pour beaucoup d’observateurs, cette révélation serait due à la révolte croissante de l’industrie allemande du Mittelstand (entreprises territorialisées et enracinées) contre les menées du capitalisme de Davos et des GAFA, bénéficiaires des mesures de restrictions. Affaire à suivre !
Les lecteurs trouveront ci-dessous la traduction de l’article paru dans le Die Welt du dimanche 7 février.

Covid-19. Le gouvernement allemand a commandé à des scientifiques des projections alarmistes pour justifier des mesures répressives !

Traduction de l’article de Die Welt : https://www.welt.de/politik/deutschland/article225864597/Interner-E-Mail-Verkehr-Innenministerium-spannte-Wissenschaftler-ein.html

Le ministère de l’Intérieur a utilisé des scientifiques pour justifier les mesures liées au Covid-19

Selon un abondant échange de courriels dont dispose l’édition du dimanche de Die Welt, l’administration du ministre de l’Intérieur Seehofer a impliqué des chercheurs dans la première phase brûlante de la pandémie. Lesquels ont livré en réponse les résultats destinés à alimenter un dramatique « document secret » du ministère.

Lors de la première vague de la pandémie, en mars 2020, le ministère fédéral de l’Intérieur a mis à contribution plusieurs instituts de recherche et d’écoles supérieures dans un but politique. Il a chargé des chercheurs du Robert-Koch-Institut et d’autres établissements de mettre au point un modèle mathématique, sur la base duquel l’administration du ministre de l’Intérieur Horst Seehofer (CSU) voulait justifier de sévères mesures Corona.

C’est ce qui ressort d’une intense correspondance électronique de plus de 200 pages entre la direction du ministère de l’Intérieur et les scientifiques que l’édition du dimanche de Die Welt détient. Un groupe de juristes a réussi à obtenir cette correspondance auprès du Robert-Koch-Institut suite à une bataille juridique de plusieurs mois.

Dans un échange de courriel, le secrétaire d’État Markus Kerber demande, par exemple, au scientifique auquel il s’adresse d’élaborer un modèle sur la base duquel des « mesures de nature préventive et répressive » pourraient être planifiées [souligné par le traducteur].

Selon cette correspondance, les scientifiques ont élaboré en seulement quatre jours, en étroite concertation avec le ministère, le contenu d’un document que l’on a déclaré « secret » et que l’on a diffusé dans les jours qui ont suivi par le canal de différents médias.

Dans ce document, on présentait les résultats d’un « Scénario du pire », selon lequel, si la vie sociale se poursuivait en Allemagne comme avant la pandémie, plus d’un million de personnes mourraient.

Die Welt
07/01/2021

Traduction de François Stecher, correspondant de Polémia en Allemagne

Enfin un documentaire belge sur la gestion médiatique et politique de la crise.

« Comment les médias racontent le Covid ».
Un film de Bernard Crutzen sur le traitement médiatique de la crise par les médias belges francophones. Ce qu’ils disent, comment ils le disent, et ce qu’ils taisent. Avec une attention particulière à la notion de « complot ».

Partagez largement, pour faire bouger les lignes !
Commentaire de Yves Rasir (Bio Santé)

Vous n’avez pas oublié ?  Il y a quelques mois, je vous ai invités à participer au financement du documentaire  « CECI N’EST PAS UN COMPLOT », du  réalisateur belge Bernard Crutzen. Vous avez réagi de manière fantastique car beaucoup d’entre vous figurent parmi les 1488 contributeurs qui ont permis que ce projet se concrétise.  Non seulement le budget minimal a été rapidement bouclé mais les moyens ont été suffisants pour rémunérer (modestement) l’équipe de tournage et de montage !

Le film vient d’être achevé et je peux vous annoncer une très bonne nouvelle :  les télés mainstream n’ont manifesté aucun intérêt pour le diffuser et la seule chaîne qui était prête à le faire exigeait que certains passages soient supprimés, ce que le cinéaste a courageusement refusé. Il a dès lors décidé de « balancer » son œuvre sur le net en accès LIBRE et GRATUIT. C’est un  joli pied de nez au système médiatique et un beau cadeau pour le public qui verra ainsi le film  tel que son auteur l’a voulu et conçu.

Comme je vous l’avais précisé en son temps, ce documentaire n’est pas une version belge de « HOLD-UP » ou de « PLANDEMICS ».  Il n’examine pas les causes  de l’épidémie et n’aborde pas la controverse médicale sur ses origines et sa réalité. Le film nous raconte seulement la manière dont les médias de Belgique ont raconté le covid. Mais c’est déjà énorme car ce travail de 9 mois dévoile justement que la narration  de la crise sanitaire s’est distanciée  de la vérité par un alarmisme débridé, une surenchère sensationnaliste et une occultation systématique des discours rassurants. Dans son film, Bernard Crutzen évoque aussi la manipulation des chiffres, les conflits d’intérêt des experts médiatisés, leurs incohérences et contradictions, tout en donnant des exemples précis de mensonge et d’exagération.  Pour l’avoir visionné il y a 15 jours lors d’une avant-première réservée aux plus gros contributeurs, je peux vous assurer que ce docu va déranger et secouer le cocotier !

Mais laissons la parole au réalisateur :

« J’ai consacré de longues journées et de nombreuses insomnies à chercher le pourquoi d’une communication anxiogène opérée par les autorités et reprises par les médias. Et si c’était l’inverse ? Dès le départ, j’ai confronté mes intuitions à une enquête compliquée, menant parfois à des impasses, parfois à des révélations. Je me suis nourri des textes et vidéos de nombreux journalistes indépendants, bloggeurs ou youtubeurs, parfois taxés de complotistes, qui ont effectué un travail remarquable et abondamment sourcé. À travers ce film, je voudrais donner la parole à celles et ceux qu’on n’entend pas, ou plus. Ouvrir le débat sur les plateaux et dans les rédactions. Interpeller les juristes sur les entorses à l’état de droit. Réveiller nos élus pour remettre de la démocratie là où je ne constate plus qu’autoritarisme, menaces, chantage. J’aimerais aussi partager cette inquiétude, trop lourde à porter seul : le coronavirus ne serait qu’un écran de fumée qui masque une crise beaucoup plus systémique, à laquelle les gouvernements nous préparent sous couvert de crise sanitaire. »

C’est en effet sur un soupçon de machination que se termine « Ceci n’est pas un complot ».  Et c’est dans doute pourquoi le film sera taxé de « complotiste » et vivement critiqué dès sa sortie officielle ce lundi 8 février.  Les médias subsidiés vont probablement se déchaîner contre le documentaire et tenter d’en discréditer l’auteur. Il n’est donc pas certain que son travail demeure accessible longtemps sur internet, vu que les géants du web censurent tout ce qui déplaît aux gouvernements et à la presse soumise.  Je vous conseille donc de le visionner sans tarder en cliquant sur l’affiche-ci-dessous.  Vous faites partie des privilégiés qui ont 2 jours pour regarder le film à leur aise avant que la meute des menteurs et des manipulateurs puisse faire intervenir les censeurs.

  Bonne vision et encore merci à tous ceux qui ont financièrement contribué au projet, ils ne seront pas oubliés !

Yves RASIR

En complément, l’interview du réalisateur Bernard Crutzen par BAM: