Publié dans France Soir le 17/12/2020 à 10:04

Auteur(s): Un citoyen éclairé pour FranceSoir
La vakxination antigrippale depuis le 13 octobre 2020 est-elle responsable de la surmortalité observée en France entre le 15 et le 30 novembre 2020 et dans le reste de l’Europe ?
Résumé :
L’objectif de cette étude est de comprendre pourquoi nous observons une sensible surmortalité imputée au SARS-CoV-2 depuis le 20 octobre alors que l’existence d’une deuxième épidémie d’un même virus respiratoire ne présente aucun antécédent depuis l’ère moderne. Si nous connaissons les infections saisonnières dues à des mutations virales1, le cas d’une deuxième épidémie de SARS-CoV-2 paraît étrange, et cela d’autant plus qu’au premier octobre le taux de reproduction « R0 » était de 1, ne permettant plus une envolée épidémique. En revanche, un facteur coïncide avec l’augmentation nette des hospitalisations et des décès imputés au SARS-CoV-2 depuis le 20 octobre en France. Il s’agit du début de la campagne de vakxination antigrippale démarrée le 13 octobre, pour laquelle 5,3 millions de doses furent vendues en 8 jours, provoquant une rupture de stock sans précédent historique.
Notre réflexion, sur la base de la littérature scientifique et immunologique et d’études récentes concernant l’interaction négative entre vaccin antigrippal et SARS-CoV-2, nous amène à interpeller citoyens et autorités publiques sur le risque d’une potentialisation des effets du SARS-CoV-2 en cas de vakxination antigrippale. De nombreux signaux doivent nous inciter à prendre des précautions.
Les maladies automno-hivernales : rhinopharyngite, otite, bronchiolite, infection pulmonaire, grippe, gastro-entérite…
Lire la suite de l’article sur le site de France Soir
Conclusion de l’article :
L’objectif de cet article à vocation scientifique est d’interpeller les citoyens et les autorités publiques sur une très probable interaction négative entre vakxination antigrippale, mesures sanitaires excessives et risque de déclarer voire de décéder d’une infection par le SARS-CoV-2. Devant la mise en place de principes de précaution sanitaires qui apparaissent disproportionnés tels que le port du masque en population générale et en extérieur, mesure dont aucune étude n’a pu démontrer l’utilité43, ou encore le confinement, comment ne pas appliquer ce principe de précaution concernant le risque d’interaction négative entre la vakxination de masse antigrippale et le Covid-19 ? Ce deux poids, deux mesures n’est justifié par aucune raison solide. Nous osons dire que la campagne de vakxination massive contre la grippe cette année aura plutôt servi les intérêts opportunistes de Sanofi et de tous les industriels de la vakxination en dépit du bon sens et de la santé des citoyens.
Les citoyens doivent être informés de ces études et observations avant de procéder à une vakxination antigrippale , ou de tout autre vakx1, dont les effets secondaires sont systématiquement minorés par les autorités.
P.S de l’auteur :
Cet article a été rédigé par un citoyen de formation scientifique, libre et éclairé sur le sujet. L’auteur n’a aucun conflit d’intérêts puisqu’il ne travaille pas avec l’industrie pharmaceutique. D’autre part, l’auteur estime ne pas souffrir de conflit cognitif et égotique quant à la compréhension et l’analyse du sujet. Le conflit d’ordre cognitif semble être un frein majeur pour s’exprimer sur le sujet avec justesse et objectivité. En effet, il est très difficile pour un médecin ou un personne qui travaille dans le domaine de la santé, de remettre en question les connaissances qu’il a durement acquises au cours d’un cursus scolaire et universitaire, qui l’ont conforté dans son statut social. Ce phénomène est naturel, et rend les prises de positions bien plus délicate que les conflit d’intérêt, en effet la plupart des personnes qui travaillent avec l’industrie pharmaceutique sont sincères et s’appuient sur un corpus de connaissance qu’elles ne peuvent remettre en cause facilement.
La réflexion est appuyée par des faits, des publications scientifiques et de nombreux ouvrages écrits par des professionnels qui ont étudié l’immunologie et la vakxination en toute objectivité et sans conflits d’intérêts. Michel de Lorgeril, Michel Georget, pour ne citer qu’eux.
Plusieurs spécialistes se sont déjà interrogés sur la question soulever ici.
Le Dr. Michel de Lorgeril, sur son blog, dans deux articles, le 30 octobre et le 12 novembre, Le Dr. Louis Fouché au micro d’Exuvie TV le 26 novembre, Le microbiologiste Claude Escarguel au micro de FranceSoir le 28 novembre