Alexandra Henrion-Caude: origine du Sars-cov-2, brevet/scoop, actu 2e vague covid-19 & traitements.

Une analyse pour Nexus, d’Alexandra Henrion-Caude, en termes de mise-au-point d’une série de sujets occultés à propos de cette « épidémie ». Notamment des éléments d’analyse du virus en relation avec des brevets déposés, qui tendent à privilégier l’hypothèse d’une origine artificielle de celui-ci.

Sources :

Lien vers le brevet : https://patentimages.storage.googleap…

« La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement », article CNRS : https://lejournal.cnrs.fr/articles/la…

200 avocats appellent « au déconfinement et à défendre la vie sous tous ses aspects »

Ci-dessous la tribune de ces avocats.

Alors qu’il y a quelques jours encore il n’était « pas question de reconfiner », Emmanuel Macron a finalement annoncé ce que beaucoup craignaient : la mise en place d’un nouveau confinement général et forcé.

Nous, avocats et juristes de toutes spécialités et de tous territoires de France, exerçant notre libre arbitre et notre liberté d’expression, manifestons notre indignation face à l’injustice de cette mesure.

Après la sidération passée du premier confinement, nous pensons qu’un tel consentement aux violations de nos libertés et de nos modes de vies n’est ni viable ni légitime et que cette mise sous cloche de l’ensemble des Français aura des effets collatéraux majeurs qui seront plus délétères que le virus lui-même.

Ayant tout autant à cœur de défendre la vie que les thuriféraires du confinement, nous refusons le mauvais rôle qui nous est assigné et la fausse morale que l’on nous oppose.

Nous rejoignons bien sûr l’avis du Président de la République qui a déclaré que rien n’était « plus important que la vie humaine », mais nous pensons que le confinement général relève d’une approche réduite à la seule biologie de la vie qui oublie que la santé est également, selon la définition de l’OMS, « un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Protéger la vie implique donc de prendre en compte l’ensemble de ses aspects qui sont tout aussi sociaux, culturels, spirituels, politiques et économiques que sanitaires.

Nous comprenons la colère et les inquiétudes des médecins et personnels de santé et demandons au Gouvernement de leur apporter les moyens nécessaires à l’exercice de leurs professions. Alors que le soutien aux hôpitaux aurait dû être la priorité de l’exécutif ces six derniers mois, ce dernier s’est laissé déborder et préfère brandir la menace d’un effondrement du système de santé lui permettant d’imposer des mesures qu’il qualifie arbitrairement d’ultime recours pour ne pas avoir à étudier d’autres options, qui existent pourtant. C’est ainsi faire offense aux médecins et aux Français en laissant croire qu’ils ne sont pas en mesure de gérer la crise que nous traversons.

Par la mise à l’arrêt d’une bonne partie du pays, le Gouvernement sacrifie les plus courageux d’entre les nôtres : les entrepreneurs, les indépendants, les artisans ceux qui ont pris des risques pour investir et créer, donnant à ce pays couleur et vie, ainsi que leurs salariés. Pourtant la misère humaine et sociale qui découlera de ce reconfinement (faillites, dépressions, suicides, pauvreté, troubles psychologiques, renoncements aux soins) entrainera elle aussi de nombreux morts, mais forcément moins visibles à court terme… Si des mesures de soutien ont bien été annoncées, ces dernières ont été prises au prix d’un endettement inédit de notre pays, qui ruinera, demain, et nos enfants et les marges de manœuvres politiques de notre Nation.

Si nous sommes en guerre comme l’a déclaré maintes fois l’exécutif, c’est de courage dont nous avons besoin et non d’une gouvernance par la peur qui nous pousse à la culpabilisation moralisatrice et à l’acceptation du pire par la crainte. Cette crainte étant d’ailleurs souvent irrationnelle : rappelons que l’âge médian des décès est de 84 ans selon les dernières statistiques de Santé Publique France. Contraindre à l’inactivité la majeure partie de la population, empêcher tout effort de guerre, tout sursaut est une bien curieuse manière de mener un combat !

Nous nous inquiétons ainsi du devenir de cette société du risque zéro qui serait prête à ne plus vivre pour ne pas mourir et sacrifier pratiquement tout, ses conditions normales de vie, les rapports sociaux, le travail, et même les amitiés, les affects et les convictions politiques et religieuses, à la menace de se contaminer.

En tant que juristes nous alertons également tout particulièrement sur la torsion du droit que justifierait la lutte contre la pandémie. Tout état d’exception, même justifié par une situation sanitaire exceptionnelle, implique un risque de dérive. Ainsi notre droit est désormais soumis à l’injonction technico-scientifique des médecins et du Conseil scientifique qui imposent leur vision de spécialistes au détriment d’une vision politique plus globale qui se doit de mettre en balance différents intérêts. Et la santé de devenir une obligation juridique à remplir à tout prix…

Rappelant que l’OMS a souligné les effets délétères du confinement et nous fondant notamment sur les travaux de l’Institut des droits de l’homme des avocats européens et l’Institut des droits de l’homme du barreau de Paris, nous estimons que le confinement forcé général est disproportionné dans son atteinte à nos libertés publiques, injuste, contraire au bien commun et donc illégal. Le Gouvernement se doit d’adapter ses mesures pour protéger les personnes fragiles et celles exposées aux formes les plus graves de la pandémie sans sacrifier l’ensemble des citoyens qui permettent aux pays de survivre.  

Nous joignant à de nombreux entrepreneurs et maires de communes ayant tiré la sonnette d’alarme, nous demandons donc à l’exécutif de permettre le déconfinement des forces vives de notre pays et aux élites de tous bords de faire entendre leurs voix pour protester contre ces mesures qui toucheront le plus durement nos plus humbles concitoyens.

Vous aussi signer cette tribune en cliquant ICI

Ont signé cette tribune :

Thibault Mercier, Avocat, Président du Cercle Droit & Liberté
René Boustany, Avocat, Vice-Président du Cercle Droit & Liberté
Ivan Aubert, Juriste, Secrétaire Général du Cercle Droit & Liberté
Henri-Louis Delsol, Avocat
Georges Sauveur, Avocat
Jean-Pierre Martel, Avocat
Carbon de Seze, Avocat, ancien Secrétaire de la Conférence, ancien membre du Conseil de l’Ordre
Jacques Trémolet de Villers, Avocat, ancien Secrétaire de la Conférence
Diane Lamarche, Avocat
Damien Challamel, Avocat
Guillaume Rougier-Brierre, Avocat
Bruno Ducoulombier, Avocat
Elizabeth Oster, Avocat, Ancien Membre du Conseil National des Barreaux
Xavier Delsol, Avocat
Jean-Philippe Delsol, Avocat
Jean-Baptiste de Varax, Avocat, Secrétaire de la Conférence du barreau des Hauts-de-Seine
Bernard Carayon, Avocat, ancien député, maire de Lavaur (81)
Dominique Bompoint, Avocat
Olivier Matuchansky, Avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation
Etienne Boursican, Avocat
Dan Benguigui, Avocat
Ludovic Malgrain, Avocat
Charles Rouvier, Avocat
Geoffroy de Vries, Avocat
Nathalie Dubois, Avocat
Ruben Koslar  Avocat
Pierre Delicata, Avocat
Thomas Mitteau, Avocat
Nathalie Deleuze, Avocat
Valentin Le Dily, Avocat
Laurent Frölich, Avocat
Morgane Pages, Avocat
Alexandre Jaurett, Avocat
Caroline Mecary, Avocate, ancien membre du Conseil de l’Ordre
Olivier de Maison Rouge, Avocat
Pascale de Calbiac, Avocat
Jean-Eudes Delsol, Avocat
Valérie Tandeau de Marsac, Avocate
Pierre Gentillet, Avocat
Lionel Devic, Avocat
Benoit de Lapasse, Avocat
Olivia Chiron, Avocate
Claire Allavena, Avocat
Grégoire Belmont, Avocat
Claire Perret, Avocat
Harold Turot, Avocat
Jérôme Triomphe, Avocat
Mathilde Haas, Avocat
Alexis Marraud des Grottes, Avocat
Franck De Vita, Avocat
Alice d’Anthoüard, Avocat
Anne-Laure Grasset, Avocat
Arthur de Dieuleveult  , Avocat
Benoit Pardigon, Avocat
Thierry D’Ornano, Avocat
Marianne Leloup, Avocat
Marielle Lorcy, Avocat
Edith Delbreil Sikorzinki, Avocat
Éric Cusas, Avocat
Jochen Bauerreis, Avocat
Thomas de Wailly, Avocat
Veronique Moissinac, Avocat
Nicole Foulquier, Avocat
Leïli Chahid-Nouraï, Avocat
Martine Ruffier, Avocat
Delphine Driguez, Avocat
Françoise Besson, Avocat
Francois-Xavier Guerin, Avocat
André Bonnet, Avocat
Jean-Marc Le Gars, Avocat
Benoit Sevillia, Avocat
David Wolff, Avocat
Diane Granboulan, Avocat
Isabelle Quenet, Avocat
François-Régis Boulloche, Avocat au conseil d’Etat et à la cour de cassation
Blanche Magarinos-Rey, Avocat
Eric Barateau, Batonnier du barreau de Périgueux
Eric Quentin, Avocat
Paulin de Moustier, Avocat
Nicolas Fady, Avocat
David Dassa-Le Deist, Avocat
Alexandre Giorgi-Vigo, Avocat
Clélie de Lesquen-Jonas, Avocate
Juliette Bissière, Avocat
Michaël Neuman, Avocat
Neubauer Cathy, Avocat
Ariane Bourgeois, Avocat
Marc Gateau Leblanc, Avocat
Jason Benizri, Avocat
Yannick Le Port, Avocat
Vianney de Bagneaux, Avocat
Emmanuel Avramesco, Avocat
Aurore Chasseloup Léauté, Avocat
Cyrille Dutheil de la Rochere , Avocat
Pierre François, Avocat
François Derouet, Avocat
Pauline Remy-Corlay, Avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation
Louis Renucci, Avocat
Charles Nairac, Avocat
Bertrand Liard, Avocat
Loic Heron, Avocat
Agnes Roux, Avocat
Helene Daher, Avocat
Anaïs Cruveiller, Avocat
Jean de Bazelaire, Avocat
Bruno Le Griel, Avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation
Camille de Rambures , Avocat
Sébastien Cottignies, Avocat
Tanneguy de Bellescize, Avocat
Cyprien Feilhes, Avocat
Loïc Lerate, Avocat
Victoria Hogard, Avocat
Catherine Rouvier, Professeur de droit, avocat
Sara Ladjevardi, Avocat
Viraj Bhide, Avocat
Théo Armbruster, Avocat
Jean Leroy, Avocat
Louis-François Gueret, Avocat
Jérôme Chomel de Varagnes, Avocat
Emilie Ronchard, Avocat
Emilie Lucas-Barthes, Avocat
Aude Bronner Bardet, Avocat
Gabrielle Perrin, Avocat
Chloé Zylberbogen, Avocat
Marie de Drouas, Avocat
Thomas Hermetet, Avocat
Jean-Jacques Pujol, Avocat
Marine de Brem, Avocat
Lorenzo Barresi, Avocat
Pauline du Fayet, Avocat
Joël Heslaut, Avocat
Anne-Cécile Bloch, Avocat
Edith Lagarde-Bellec, Avocat
Valentine Donnadieu, Avocat
Coralie Morineaux, Avocat, Mayeul de Saint-Seine, Avocat
Constance Le Vert, Avocat
Vanessa Landais, Avocat
Louis Neret, Avocat
Adeline le Gouvello, Avocat
Pierre-Vincent Lambert, Avocat
Audray Launay, Avocat
Sendegul Aras, Avocat
Fabienne Aubry, Avocat
Marion Borghi, Avocat
Capucine Augustin, Avocat
Louis Aliot, Avocat
Alain Chevalier Jehan de Johannis, Avocat
Isabelle Minard, Avocat
Virginie de Mecquenem, Avocat
Benoît Monin, Avocat
Charles-Philippe Letellier, Avocat
Gaspard Lindon, Avocat
Tristan Herrera, Avocat
Florian de Mascureau, Avocat
Lorraine Bertagna, Avocat
Santiago Muzio de Place, Avocat aux Barreaux de Lyon et de Buenos Aires
Philippe Marion, Avocat
Amaury de Saint-Amand, Avocat
Marguerite Vauban, Avocat
Thaïs Lambert, Avocat
Thierry Bouclier, Avocat
Pierre Pic, Avocat
Steeve Batot, Avocat, Docteur en Droit public
Valentine Billot-Villey, Avocat
Armelle Josseran, Avocat
Philippe Couturier, Avocat
Sophie Guillaud, Avocat
Edmon Geneau, Avocat
Martin Noire, Avocat
Marie-Liesse Buet, Avocat
Sophie Grouberman, Avocat
Ariana Bobetic, Avocat
Anne-Marie Chaix, Avocat
Diane Pasturel, Avocat
Anne Morineaux-de Martel, Avocat honoraire
Jacques-Louis Colombani, Avocat
Olivier Pasturel, Avocat
Jean-Marie Algoud, Avocat
Joy Benjamin, Avocate
Sylvie Dupraz, Avocat
Gilles Moreau, Avocat
Flavie De Meerleer, Avocat
Olivier d’Aligny, Avocat
Amandine Burattini, Avocat
Dany Zohar, Avocat
Henri Brandford Griffith, Avocat
Alexandre Martin, Avocat
Tanguy Barthouil, Avocat
Vincent Puech, Avocat
Valérie Heron Estour, Avocat
Benoît de Boysson, Avocat, Docteur en droit
Frederic Pichon, Avocat
Corine Ruimy, Avocat
Bernard Rineau, Avocat
Caroline Lyannaz, Avocat
Xavier Filet, Avocat
Maria Carrière, Avocat
Aude Ducret, Avocat
Nicolas Lisimachio, Avocat
Beatrice des Rotours, Avocat
Jean et Hélène, Gautier de la Plaine, Avocats
Simon Martin-Gousset, Avocat (en attente de prestation de serment)
Jean-Pierre Gasnier, Avocat honoraire, ancien professeur associé Aix Marseille Université
Jacques Lafond, Avocat honoraire
Laurent Faugerolas, Ancien Avocat
Jean-Louis Harouel, Professeur émérite d’histoire du droit à l’Université Panthéon-Assas
Guillaume Drago, professeur agrégé des Facultés de droit
Guillaume Bernard, Historien du droit
Nicolas Sild, Professeur de droit public à l’Université Toulouse 1 Capitole
Alexandre Deroche, Professeur à l’Université de Tours
Aude Mirkovic, maître de conférences en droit privé
Laurent Hecketsweiler, Professeur de droit
Joël Hautebart, Professeur d’histoire du droit
Bertrand Pauvert, Maître de conférences
Pierre-Louis Boyer, Maître de conférences
Philippe Pichot, Maître de conférences HDR en histoire du droit
Elise Frelon, Maître de Conférences HDR en Droit
Gilles   Lebreton, Professeur de droit
Olivier Tournafond, Professeur Agrégé des Facultés de Droit
Suzanne Hovasse, Professeur honoraire des facultés de Droit
Stéphane Caporal-Greco, Professeur de droit
Claude Guibert, Expert judiciaire
Catherine Hamet, Mandataire judiciaire
Clémence Robert, Mandataire judiciaire à la protection des majeurs
Caroline Delorme, Directrice juridique
Ambroise Chartier, Notaire
Lucie Cabaner, Notaire
Antoine Delsol, Notaire
Jean Dupont-Cariot, Notaire
Pierre-Antoine de Bouvet, Notaire
Martin Bretagne, Notaire
Jean-Philippe  Camus, Notaire
Cédric Milhat, Docteur en droit, Chargé d’enseignement à Paris XIII
Claire de La Hougue, Docteur en droit
Pascaline Leroy, Docteur en droit
Guillaume Bricker, Docteur en droit
Victor Fouquet, Doctorant en droit
Aïda Manouguian, Doctorante en droit
Stanislas de Hauteclocque, Doctorant
Alexandre Lacroix, Enseignant-Chercheur (droit)
Hélène Terrom, Enseignant-chercheur
Nicolas Bauer, juriste et doctorant en droit
Guillaume Louis-Calixte, Juriste
Estelle-Marguerite Devisme, Juriste
Anne-Laure de la Forest Divonne, Juriste
Corinne Bourhis, Juriste
Sylvain Casubolo, Juriste
Clément Bazin, Juriste
Raphaël Kaufmann, Juriste
Nathalie Roux, Juriste
Delphine Loiseau, Juriste diplômé avocat
Antoine Broquaire, Juriste
Lolie Garcia, Juriste
Peggy Jaccotet, Juriste
Géraldine van den Broek, Juriste
Louise Lefebvre, Juriste
Jean-Marie Hupel, Juriste
Lucie Lourdelle, Juriste
Julien Grall, Juriste
Corentin Pecqueur, Juriste
Alexandra Mulon, Juriste
Cédric Salguero, Juriste
Alexandre Brunelat, Juriste
Anaïs Titah-Zerizer, Juriste
Alix Desies, Juriste
Aymeric Chaignot, Juriste
Sophie Bellais, Juriste
Matthieu le Tourneur, Juriste
Benoit Pontoizeau, Juriste
Paul Souchon, Juriste
Anne-Claire Tillard, Juriste titulaire du CAPA
Magali Le Pape, Juriste d’entreprise, Doctorante en droit privée
Doris de Thibault, Juriste
Lucie de Gayardon, Juriste
Paul Lacoste, Juriste
Camille Note, Ancien avocat et juriste en entreprise
Arnaud de Solminihac, Juriste
Olivia Sarton, Juriste
Milena Koleva, Juriste
Aissata Kaba, Juriste
Baptiste Ferraud, Juriste
Balthasar van Roosendaal, Juriste
Francesco Biuso, Juriste et Doctorant en Philosophie du Droit
Sabine Le Conte, Juriste
Fabrice Bodin, Juriste
Berenice Levy Tournafond, Juriste
Helene Lavoissiere, Juriste
Marie Lasserre, Juriste
Alexandra Sebban, Juriste
Fanélie Thibauf, Juriste
Raphaelle Paillat, Juriste
Colin Crombac, Juriste
Magali Dudel, Juriste
Damien Girault, Juriste
Guillaume Delteil, Juriste
Thibaut Durox, Juriste, ancien avocat
Alexandra Gatault, Clerc d’huissier de justice
Hugo Kerbib, Élève-avocat
Maxime Thiébaut, Docteur en droit, élève-avocat
Lorène Aujames, Étudiante en droit
Alexandre Auriol, Étudiant en droit
Robin Cherigie, Étudiant en droit
Jeanne Peron, Etudiante en Droit
Gwladys Dessemon, Etudiante en Droit

Joe Biden existe-t-il vraiment ?

Extrait du numéro 258 de l’Antipresse de Slobodan Despot

USA: AU PAYS DU RÉEL UBÉRISÉ
Joe Biden existe-t-il vraiment? A-t-il vraiment dérapé comme on l’a vu déraper? A-t-il vraiment tenu les propos qu’il a tenus? Au vu de la situation, il est sage et logique de répondre par la négative. Tout cela n’est jamais arrivé et Joe est en parfaite santé mentale. Voici pourquoi.Tes en train de gagner! — Gagner quoi?T’es en train de gagner! — Gagner quoi?
«Tous les hommes et les femmes, créés par, vous savez, vous savez… la chose.» (Joe Biden)

Avec ses absences, ses gaffes, ses quiproquos et ses lapsus, le candidat Biden a rendu les Américains rouges… de rire. Tous les Américains? Non. Pas les démocrates ni les journalistes de grand chemin, qui ont passé sur ses erreurs système avec l’expression absente du chat qui caque.

Pourtant Sleepy Joe n’en a pas manqué une, entre les remarques racistes, le pelotage d’enfants, la surestimation fantaisiste des morts militaires du Covid (6114 militaires selon lui pour 7 cas avérés)(1), et j’en passe. Pour le plaisir, on peut revoir en boucle la séquence où le célèbre présentateur de Fox News, Tucker Carlson, singe ses borborygmes sans queue ni tête en plein discours de campagne.

L’aveu capital qui ne signifiait rien.

Mais, à la lumière du déroulement des élections et des soupçons de magouilles pro-Biden assez solidement documentés dans plusieurs États, une énième bévue du vieux Joe prend un relief singulier. Le 24 octobre, de manière très distincte et sans se reprendre, il déclarait dans une interview: «nous avons mis sur pied la plus vaste et la plus inclusive organisation de fraude électorale dans l’histoire des États-Unis.» La séquence a été diffusée en mode viral par le camp Trump. En face, ce fut un silence consterné. Quelques «fact-checkeurs» ont essayé d’amortir le choc en la remettant dans son contexte… mais ne faisant que souligner l’énormité de ce «lapsus freudien». Comment interpréter cet aveu? Soit M. Biden dit la vérité, soit il dit n’importe quoi. S’il dit la vérité, il doit être arrêté, et M. Obama — mentionné dans la même phrase — avec lui. S’il dit n’importe quoi, c’est qu’il est dément — diagnostic attesté par ses dizaines de boulettes antérieures — et donc inapte à la fonction qu’il vise. Aucune des deux options n’a été retenue ni même commentée en dehors du mouvement trumpiste.

Il y a donc une troisième option à considérer: il ne l’a jamais dit. C’est, on le verra, l’option la plus opportune dans le contexte actuel et du même coup la plus préoccupante. Car, à la différence des faits et gestes du président sortant, constamment épiés et disséqués, ce que dit ou fait le candidat Biden n’a absolument aucune incidence. Ses propos peuvent reposer sur des faits avérés ou relever de la fiction complète, cela ne change rien. Le parti pris total des médias en sa faveur a abouti à un résultat absurde: il l’a fait disparaître!

Des studios de CNN à la rédaction de la Radio-Télévision Suisse romande à Genève, le candidat Biden n’existe pas en tant qu’homme en chair et en os. L’homme réel est un vieillard compromis et gâteux, à qui aucun médecin responsable n’accepterait de prolonger le permis de conduire. Le personnage public Biden n’existe qu’en tant qu’hologramme chargé de défaire le président sortant au nom du camp du Bien (et du conglomérat d’intérêts qui le sponsorise), quitte à se dissiper ensuite dans la nature comme une apparition.

Du temps où un chef d’État devait être valide…

Au siècle précédent, un chef d’État avait fait scandale en dissimulant un problème de santé qui ne compromettait en rien ses facultés mentales. Quelques mois après son accession au pouvoir, François Mitterrand s’était découvert un cancer de la prostate. Avec l’aide de son entourage et de ses médecins, il l’avait dissimulé aux Français. Si le diagnostic avait été éventé avant 1988, Mitterrand n’aurait jamais pu envisager un deuxième septennat. En novembre 1994 seulement, son médecin le Dr Gubler estimera qu’il n’est «plus capable d’assumer» son mandat, obnubilé qu’il est par sa maladie. Jusque-là, le Machiavel socialiste aura trompé tout son monde.

Or personne ne peut ignorer l’état de Joe Biden. On fait donc comme si ses dérapages n’avaient aucune importance. Le désaveu de Biden président vient avant tout de son propre camp, qui comprend l’ensemble des médias de grand chemin, et qui lui voue l’absolution machinale qu’on réserve aux demeurés.

Le digne fils de son père.

Mais Joe est un cumulard: à la démence, il ajoute la corruption. Une affaire «opportunément» divulguée à quelques semaines des élections est venue documenter sa compromission dans les affaires douteuses de son fils Hunter, avec lesquelles Joe jurait, la main sur le cœur, n’avoir aucun rapport. Ces affaires sont grésillantes et enchevêtrées comme un réseau électrique à Calcutta, mais l’une des plus éloquentes concerne le fauteuil à 50’000 $ par mois de Hunter au sein du conseil d’administration de la firme gazière Burisma en Ukraine, pays où il n’a jamais mis les pieds. Où il n’avait du reste rien à faire, son poste comme tous ceux qu’il a occupés relevant uniquement de la figuration. C’est papa Joe qui est allé à Kiev réclamer la tête du procureur Shokine qui voulait fourrer son nez dans les affaires de Burisma. Il s’est même publiquement vanté d’avoir obtenu le limogeage du magistrat trop curieux par un chantage au gel des aides d’État américaines. Mais cela n’avait, bien entendu, aucun rapport avec les affaires de son fils dont, mon Dieu, il se gardait bien de se mêler. Puis Hunter, le fils à papa polytoxicomane qu’on promène de sinécure en désintox et de désintox en sinécure, a commis une gaffe qui montre bien de qui il est le fils. Il a réussi à oublier son ordinateur portable chez un réparateur! Lequel réparateur, passé un délai d’attente légal, est légalement devenu propriétaire du computeur abandonné. Dont le disque dur contenait une charge nucléaire. Enfin, aurait contenu une charge nucléaire si son premier propriétaire n’avait fait partie du clan Biden-Clinton, dont les ardoises s’effacent mystérieusement au fur et à mesure et quoi qu’il arrive. L’informaticien a dûment déclaré sa prise au FBI, où on lui a dit, en résumé, qu’il avait une gentille famille et qu’il serait dommage qu’il lui arrive des bricoles. Par précaution, il avait fait deux copies du disque. On y découvre une correspondance pléthorique illustrant la parfaite coordination des Biden père et fils dans le business familial. Sans parler de documents visuels que la prudence et la pudeur m’empêchent d’évoquer ici.

Le Bidengate, ce scandale qui ne peut pas exister.

Le système mafieux du clan Biden est l’«éléphant dans la pièce» du mainstream médiatique, aux USA comme ailleurs. C’est un tabou absolu. Dans le domaine francophone, l’Antipresse a livré la seule description approfondie de cette multinationale du trafic d’influence(2). Le rebondissement rocambolesque du disque dur de Hunter Biden était lui aussi un sujet en or pour le journalisme d’enquête.

Glenn Greenwald, l’homme qui a révélé au monde le témoignage d’Edward Snowden, l’avait bien flairé. Mal lui en a pris. En 2014, soucieux d’indépendance et fort de son prestige mondial dans la profession, Greenwald avait cofondé une plateforme d’enquête de haute volée, The Intercept, qui se donnait la mission et les moyens d’être une référence du journalisme «sans peur et sans compromis». Lorsqu’il a annoncé à ses collègues un papier sur le rôle des médias dans l’étouffement du scandale Hunter Biden, il a été lui-même étouffé par son propre conseil de rédaction! Il a aussitôt démissionné du titre qu’il avait créé (et qui l’a «remercié» avec une lettre d’adieux ignoble). Greenwald s’est rabattu sur le «modèle Antipresse»: le journalisme en mode cavalier seul, par newsletter sur abonnement. Il a laissé en libre accès son article sur Joe et Hunter Biden censuré par The Intercept.

En fin de compte, cet homme de gauche que nul ne peut suspecter de sympathies trumpiennes s’est vu obtenir une tribune chez le conservateur Tucker Carlson sur Fox News! Il y affirme notamment que les médias et le renseignement travaillent main dans la main pour manipuler les Américains. A ce train-là, le mainstream médiatique sera bientôt vidé de ses derniers éléments honnêtes et capables.

La vraie vie dérange? On la déconnecte.

Bref, dans l’univers narratif des médias, la correspondance compromettante de Hunter Biden est une invention des complotistes trumpiens. Alors que dans le monde réel, son existence est incontestable (d’ailleurs le camp Biden ne la conteste pas). Mais le monde réel est ubérisé. Il est convoqué à la carte, uniquement lorsqu’il peut appuyer la narration médiatique. Lorsqu’il la contredit, on le débranche.

Le coup de théâtre des présidentielles 2020 est d’ores et déjà entré dans la culture populaire avec le fameux bond vertical des courbes bleues, survenu à point pour lui faire franchir la barre dans des États clefs. La loi de Benford, ou loi des nombres anormaux, utilisée routinièrement pour détecter les fraudes fiscales, est restée au placard. A quoi bon la sortir, puisqu’elle «fait référence à une fréquence de distribution statistique observée empiriquement sur de nombreuses sources de données dans la vraie vie»? Nous ne sommes pas ici dans la vraie vie, mais dans une construction narrative dont le profil du héros fournit lui-même la clef.

Qui, dans la vraie vie, songerait un seul instant à confier les rênes du plus puissant État du monde à un vieillard au cerveau grillé? Les aventures de Sleepy Joe obéissent non aux lois de la vie publique — fût-ce dans la série House of Cards — mais aux règles du dessin animé: le héros peut tomber du dixième étage ou sauter sur une mine, il sera intact ou à peine noirci à la seconde suivante. Dans la vraie vie, pour accréditer la victoire de Biden autrement que par le résultat contesté des urnes, on serait allé comparer — par exemple — la popularité de ses meetings avec celle de Trump, ou le nombre de ses followers avec celui du rouquin. On s’en est bien abstenu, car il n’y a aucune proportion.

Trump a enchaîné les bains de foule, Biden a mené l’essentiel de sa campagne en vidéo. Ses meetings en «présenciel» ont été souvent des bides complets. A l’occasion de ce vote, par ailleurs, les minorités non-blanches ont infligé un camouflet historique au parti démocrate qui les courtisait et soutenu le candidat républicain plus massivement qu’ils ne l’avaient fait depuis 60 ans. Même les électeurs musulmans, dans une «volte-face choquante» (selon MSN), ont déclaré davantage d’intentions de vote pour Trump que pour… Obama! Parce que, selon eux, il «fait ce qu’il dit». Au bout du compte, Trump aura accru de presque dix millions de voix son soutien par rapport à 2016. Bref, selon les critères de la vie réelle, les commentateurs auraient eu de bonnes raisons de s’interroger sur le fonctionnement du processus électoral.

Mais il y a belle lurette que les critères de la vie réelle sont écartés des rédactions capables de se purger elles-mêmes pour manque d’inclusivité, pour machocentrisme ou pour… un excès de tolérance aux opinions contradictoires (voir l’affaire Bari Weiss dans «New York Times, la spirale de l’obscurantisme», Antipresse 242 | 19/07/2020). Pourquoi les journalistes et les sondeurs qui avaient annoncé contre toute vraisemblance une déferlante bleue venant balayer le rouquin et son dernier carré de crétins blancs racistes se discréditeraient-ils en reconnaissant l’ampleur de la vague rouge alors qu’ils peuvent tout simplement l’ignorer, de même qu’ils ignorent leurs propres et constantes erreurs de jugement? Dans un univers entièrement médiatisé, il est plus aisé de maquiller ou d’effacer la réalité que de remettre en question les présupposés idéologiques. Aussi la fiction se poursuivra de plus belle. Jusqu’à ce que, comme dans l’ex-URSS, la réalité la rattrape sans prévenir et la fasse crouler du jour au lendemain.

Guerre médiatique, le débriefing.

Dans l’intervalle, et quelle que soit l’issue de ce pugilat électoral, cette élection et les quatre années qui l’ont précédée auront été une incroyable mine d’enseignements. Retenons-en trois pour commencer:

1) On aura appris que les structures également nommées État profond n’ont plus besoin de personne pour gouverner et que «leur» candidat pourrait être littéralement un simple d’esprit. Cela donne corps à l’idée d’une démocratie simulacre chère à Chomsky et d’une Amérique régie par une aristocratie financière telle qu’exposée, notamment, par le professeur Carroll Quigley, insider du système et maître à penser de Bill Clinton (et sur qui nous reviendrons).

2) On aura compris pourquoi les Démocrates ont, par deux fois, risqué le suicide en écartant le seul candidat capable de battre Trump dans la vie réelle: le socialiste dogmatique et populiste Bernie Sanders aurait sans doute plus résolument attaqué la mafia Biden-Clinton que le rouquin vantard, lui-même issu de l’oligarchie.

3) On aura saisi la puissance de la mise en réseau de l’information, décentrée et «citoyenne», qui aura permis à Trump de faire jeu égal avec le candidat des médias de grand chemin malgré l’hostilité irrationnelle du mainstream. Une hostilité que Trump a délibérément entretenue et qui a conduit le mainstream à se discréditer jusqu’au bout — notamment en diffusant n’importe quel bobard lié au Russiagate — tout en ne réussissant pas à entamer la popularité de l’adversaire.

Rien que pour la leçon de combat médiatique qu’il a fournie au long de ces quatre années, faisant entrer la réalité du deep state dans la conscience et le langage communs, Donald Trump pourrait être rangé parmi les grands lanceurs d’alerte de ce début de millénaire. Ce n’est pas le moins cocasse des paradoxes.

Notes

«C’est faux — et pas que d’un peu. Biden a surestimé le nombre de morts militaires du Covid de 6 107 et les infections de près de 79 000.

Il y a eu sept décès dans l’armée dus au Covid-19 et 40.026 cas au 9 septembre, selon le Département de la Défense.» (CNN, 9.9.2020)

Voir Arnaud Dotézac: «Affaire Biden, épisode 1: au paradis des emplois fictifs», Antipresse 205 | 03/11/2019;

 «Affaire Biden, épisode 2: officine de la CIA à Kiev», Antipresse 206 | 10/11/2019.

L’éditorial en vidéo: https://youtu.be/JoxjSBTewqQ

Un groupe de santé publique poursuit la NIH pour obtenir des documents sur les origines du SRAS CoV-2

Le procès vise à obtenir une mesure déclaratoire et injonctive pour réparer les violations de la loi sur la liberté de l’information.

By U.S. Right to Know

US Right to Know , un groupe d’enquête de santé publique à but non lucratif, a déposé jeudi une plainte contre les National Institutes of Health (NIH) pour violation des dispositions de la loi sur la liberté de l’information.

Le procès, déposé devant le tribunal de district américain de Washington, DC, vise à obtenir de la correspondance avec ou à propos d’organisations telles que le Wuhan Institute of Virology et le Wuhan Center for Disease Control and Prevention, ainsi que l’EcoHealth Alliance, qui s’est associé et financé le Wuhan. Institut de virologie.

US Right to Know a déclaré que les litiges d’aujourd’hui contre les NIH font partie des efforts de l’organisation pour tenter de découvrir ce que l’on sait sur les origines du SRAS-CoV-2 , et les risques des laboratoires de biosécurité et de la recherche sur les gains de fonction, qui cherche à augmenter l’infectiosité ou la létalité des pathogènes potentiels d’une pandémie. Depuis juillet, US Right to Know a déposé 36 demandes de dossiers publics étatiques, fédéraux et internationaux sur ces sujets. 

«La prévention de la prochaine pandémie peut dépendre essentiellement de la compréhension des origines de la pandémie actuelle», a déclaré Gary Ruskin, directeur exécutif de US Right to Know. «Nous voulons savoir si les gouvernements américains ou chinois, ou les scientifiques qui leur sont affiliés, cachent des données sur les origines du SRAS-CoV-2, ou les risques des laboratoires de biosécurité et de la recherche sur les gains de fonction. 

Le NIH a rejeté la demande FOIA de l’organisation et a décidé de «retenir ces enregistrements conformément à l’exemption 7 (A), 5 USC § 552, et l’article 5.31 (g) (l) des règlements HHS FOIA, 45 CFR Part 5. Exemption 7 qui permet la rétention de dossiers d’enquête compilés à des fins d’application de la loi lorsque la divulgation pourrait raisonnablement interférer avec les procédures d’exécution.

Publié avec l’autorisation de US Right to Know .

Circulez il n’y a rien à voir !

Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France

Encore une excellente tribune du Dr Gérard Delépine sur France Soir, inspirée du « Décryptage de la Pandémie de Covid-19 : un exercice d’ingénierie sociale machiavélique » d’après Amar − Septembre 2020 sur Saker francophone.

Pour lire l’article complet sur le site de France Soir

Quelques extraits:

Une des réflexions les plus fréquentes des internautes pour tenter de justifier les aberrations mortifères qui nous sont imposées par notre gouvernement est que les autres pays font comme nous et de citer le Canada [1], l’Australie ou la Nouvelle-Zélande ! Pourtant ces pays introduisent des méthodes totalitaires qui font frémir, et complètement dénuées, à l’évidence, de raison sanitaire sollicitant nos interrogations.

 194 états dans le monde ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

Ce règlement prévoit : « en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états ».

Et il semble bien que ce soit exactement ce qui s’est passé et continue plus ou moins à se passer car quelques états ont néanmoins résisté comme la Suède [3], les Pays-Bas et la Bielorussie.

Par exemple le Parlement Européen a promulgué une loi extrêmement dangereuse le 10 juillet 2020 afin de légaliser la vaccination des individus en leur inoculant des OGM et des nanoparticules lipidiques dont on ne sait absolument rien et en contredisant le moratoire OGM précédemment adopté.

« Les crises ne sont bien souvent rien d’autres que des zones d’incertitudes, de risques et d’opportunités dans lesquelles ceux qui maîtrisent les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut bien dire que les crises sont délibérément organisées et déclenchées à des fins précises et aux moments voulus ».

Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus ou derrière un lockstep économique et un lockdown [5] des populations, l’homme est partout. Il pense à tout. Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de la répression et de l’intimidation des groupes de prostestataires comme ce fut le cas en France avec les gilets jaunes ou qu’il s’agisse de terrorisme affectif, l’homme pense vraiment à tout. »

Telle est l’analyse convaincante de Amar dans Saker Francophone.

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 Comment obtenir la soumission de la quasi-totalité des citoyens du monde ?

  Amar cite Nicholas Butler et son terrible constat :

 « Le monde se divise en 3 catégories : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité ».

 Comment obtenir la soumission de la quasi-totalité des citoyens du monde ?

  Amar cite Nicholas Butler et son terrible constat :

 « Le monde se divise en 3 catégories : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité ».

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L’avenir n’est pas écrit. C’est l’intensité de nos réactions contre les atteintes insupportables à nos libertés fondamentales qui décideront du résultat final. Ne soyez pas collabo des menées criminelles de notre gouvernement. Battez vous ; contactez vos maires et vos députés pour les informer de l’état réel du pays ; discutez avec vos voisins ; déposez des tracts montrant les dégâts des mesures prétendument sanitaires ; exigez que les médecins retrouvent le droit de soigner leurs malades y compris avec l’hydroxy chloroquine comme cela est autorisé dans tous les autres pays et même recommandé en autre en Chine, Corée, Inde, Maroc, Algérie, Malaisie, Barain qui souffre d’une mortalité par million huit à vingt fois inférieure à la nôtre.

Ne rien faire s’est se résigner au confinement quasi perpétuel car après celui en cours le gouvernement en a prévu au moins quatre autre d’ici décembre 2021 appliquant ainsi le programme de Ferguson exposé dans le rapport 9 de l’Imperial College[12]

Ceci ne sont que quelques extraits. Lisez l’article complet sur France Soir

Toujours l’aspect spécieux des tests PCR.

Extrait de l’article de France Soir de ce 5/11, intitulé « Avec les tests Véran PCR, restez confinés tout l’hiver » qui montre bien que ces tests sont utilisés avec un objectif politique.


Sur le même sujet, vous trouverez aussi ci-dessous, les réponses aux questions que j’avais envoyées par mail à Clémence Richetta, Maître de Conférence à l’Ecole Normale Supérieure de Paris-Saclay, suite à une vidéo où elle expliquait la technologie des tests PCR.
Ces réponses indiquent notamment qu’il y a en France, 96 tests différents et que chaque labo définit son protocole et ses amorces. Une aubaine pour continuer un business qui marche ! Une sérieuse enquête scientifique, judiciaire et indépendante (?) serait bien nécessaire pour démasquer les manipulations potentielles.

Extraits de l’article de France Soir

Comme démontré dans l’article précédent où l’on interrogeait ces tests PCR, les prélèvements effectués sur les patients contiennent de multiples fragments d’ARN : ARN de différents virus, de bactéries, ARN humain…Une part importante de ces fragments sont des des ARN inertes, des déchets. Il est probable, et même plus qu’évident au regard de la quantité et de la diversité des ARN présents (1), que certains fragments ARN puisent contenir des séquences communes à certaines séquences du Sars-CoV-2. Il est donc envisageable que certains de ces fragments puissent correspondre aux amorces choisies pour détecter le Covid-19. Si un des ces fragments était amplifié par PCR, une personne non infectée par le SARS-Cov-2 serait quand même détecté positif au Covid-19.

Alors, M.Véran nous dirait que les signes cliniques permettent ou non de valider cette positivité. Sauf que là encore, les incertitudes sont nombreuses, même si certains dogmes ont été établis pour les nier. En effet, et comme évoqué encore une fois dans l’article sus-cité, le tableau clinique de la Covid-19 peut être similaire en de nombreux points avec d’autres viroses respiratoires. Le Haut conseil de la Santé publique le reconnaît dans ses dernières recommandations.

Le HCSP reconnaît donc que le diagnostic clinique pour distinguer la Covid-19 est incertain. Il affirme cependant que l’anosmie et l’agneusie seraient deux symptômes assez caractéristiques. Cela nous surprend. Cette démarche n’est pas très scientifique, mais il nous a toujours semblé avoir souvent souffert d’anosmie et d’agueusie lors de gros rhumes ou de grosses grippes par le passé. Avoir la crève et ne plus sentir, ni même goûter son café, nous semblait être un grand classique. C’est pourquoi, et nous vous invitons à en faire de même, nous avons consulté les archives Internet quant à la survenue de ces symptômes dans des cas de grippes ou de rhume. Et il se trouve que tous les documents, les plus officiels qui soient, évoquent l’anosmie et l’agueusie comme deux symptômes fréquents des gros rhumes et des grippes. La liste est tellement exhaustive que nous vous incitons à vérifier par vous-même, mais ces extraits nous semblent plutôt éloquents car destinés au grand public, ils démontrent que c’est bien un classique (2) et (3). Il est surprenant que ce soit devenu la marotte des médecins pour distinguer la Covid-19 des autres maladies respiratoires.

Quoi qu’il en soit, il semble très compliqué de se baser sur le tableau clinique pour distinguer la Covid-19 des autres viroses respiratoires saisonnières. C’est pourquoi il est indispensable de croiser ce tableau clinique avec des tests PCR les plus précis qui soient pour minimiser les risques de confusion.

Raoult est un grand infectiologue, Veran se veut grand communicant.

Elle est là toute la différence entre nos deux protagonistes : Raoult a utilisé les tests PCR pour soigner, Veran les a instrumentalisés pour communiquer. Dans le premier cas, les tests PCR sont comme nous l’avons vu et quelles que soient leur limites, indispensables au regard de l’aspect pathognomonique de la Covid-19. Dans le second cas, les tests PCR sont inutiles voire dangereux pour notre démocratie.

L’IHU de Marseille a publié une étude de grande qualité qui traite notamment du bon usage des tests PCR (4). Dans cette publication, on constate que l’usage fait des tests PCR par l’IHU de Marseille atteint une précision qui le transforme en art. Mais surtout démontre, qu’encore une fois, le reste des structures hospitalières françaises devrait s’appuyer sur le travail fait par l’IHU de Marseille et par Didier Raoult plutôt que de le traiter de charlatan.

En effet, l’IHU de Marseille limite le nombre de cycle d’amplification à 35 (Ct cut off) et il y est estimé qu’au-dessus d’un Ct de 33, le patient n’est plus contaminant. Cela correspond d’ailleurs aux mises en garde récentes de la CDC, autorité sanitaire américaine, qui recommande d’être précautionneux avec l’interprétation des tests car l’ARN viral pouvant subsister 3 mois dans les muqueuses respiratoires, le nombre de faux positifs, porteurs du Sars-CoV-2 mais ni malades, ni contaminants, pouvait être très important.

La meilleure manière de minimiser ces faux positifs, outre le fait de corréler le test PCR avec d’autres informations, notamment le tableau clinique, est de prendre un cycle d’amplification qui ne soit pas trop élevé. Habituellement, on estime qu’il ne faut pas tenir compte d’un nombre de cycle d’amplification supérieur à 36, car sinon on amplifie tout et n’importe quoi. Pour les différentes viroses respiratoires, on estime, comme l’IHU de Marseille pour la Covid-19, qu’un cycle d’amplification autour de 35 permet de détecter les patients malades. Et quel que soit la maladie, on estime que le nombre de cycles d’amplifications doit être strictement inférieur à 40 pour pouvoir interpréter les résultats. Dans une publication de l’institut national des systèmes de mesures allemand, il est estimé que : « Un problème commun rencontré avec certaines des techniques publiées est que beaucoup des approches qPCR pour la spéciation de viande tendent à démontrer la réactivité croisée pendant les cycles ultérieurs du PCR. Cela est démontré par de faux positifs qui se produisent lorsqu’un essai d’amorce et de sonde spécifique à une espèce amplifie l’ADN non ciblé d’autres espèces de viande après environ 35 cycles » (5). Au-delà de 35 cycles, les tests PCR ne peuvent distinguer un mouton d’un bœuf. Alors que penser de tests PCR avec des patients diagnostiqués positifs à la Covid-19 (par abus de langage…) avec 40 cycles d’amplification…

C’est là qu’est la supercherie mis en place par les autorités sanitaires internationales. Parfois, un simple détail peut rendre totalement inefficiente la plus puissante des technologie. Ici, ce détail est un trait, un simple trait. En effet, même si comme nous venons de l’exposer un nombre d’amplification supérieur à 35 induit de probables réactions croisées avec d’autres virus, mais surtout implique qu’une part importante des patients diagnostiqués positifs ne soient ni malades, ni contagieux, comme le précise la très bonne revue « Industrie et technologie » (6), la plupart des tests fixent le Ct à… 40, indique le NYT. Certains à 37. « Des tests avec des seuils aussi élevés peuvent ne pas détecter uniquement du virus vivant mais aussi des fragments génétiques, restes de l’infection qui ne posent pas de risque particulier », précise le quotidien. Une virologue de l’Université de Californie interrogée admet qu’un test avec un Ct supérieur à 35 est trop sensible. « Un seuil plus raisonnable serait entre 30 et 35 », ajoute-t-elle. »

Il est déjà évident ici qu’utiliser des tests avec des seuils au-dessus de 35 et jusqu’à 40 cycles ne peut que donner de faux résultats. Mais il est encore surprenant d’apprendre que beaucoup de laboratoires européens et français interprètent ces tests avec un nombre de cycle d’amplification de 40. Ce seuil ne devrait jamais être considéré comme interprétable, et encore moins comme valide, pour détecter un cas positif. Pourtant c’est ce seuil qui est retenu par toutes les autorités sanitaires occidentales : OMS, FDA, CDC, HSA, HCSP, ANSM… On retrouve cette synergie surprenante entre ces différentes instances dans la polémique sur l’hydroxychloroquine, pour le Remdesivir, pour les masques, pour le confinement…  Ce seuil de 40 ne devrait même pas être atteint et nombre de publications expliquent clairement qu’à ce seuil, on détecte tout. D’ailleurs, jusqu’ici, et dans tous les diagnostics PCR, il a toujours été mentionné que ce seuil devait être strictement inférieur à 40 comme indiqué précédemment (<40). Nos autorités sanitaires ont peut-être simplement fait une erreur, laissé une coquille lorsqu’elles ont inclus les seuil égaux à 40 (<=40). Avec des seuils comme ceux-là, les résultats des diagnostics de la Covid-19 sont « au petit bonheur la chance », ce qui explique d’ailleurs le fait que des personnes testées positives le lundi deviendront négatives le mardi.

Lorsque les morts deviennent un outil de communication .

Olivier Véran n’aime pas la contradiction, c’est en train de devenir de notoriété publique. Il a toujours raison, surtout quand il a tort, comme nous avons pu le voir pour les masques, les respirateurs, les tests lors du premier épisode du printemps. Même face au président de la République. Ce dernier avait en effet pensé, à juste titre croyons-nous, que l’épidémie était terminée. Olivier Véran nous assénait à longueur d’ondes que le virus reviendrait, en accord avec les grands laboratoires pharmaceutiques, trop heureux de vendre des masques, des traitements, des tests et des analyse biologiques, et qui ne souhaitaient pas voir se tarir la poule au oeufs d’or. D’où lui venait cette conviction ? Toutes les épidémies suivent habituellement la même courbe en cloche que le professeur Raoult avait maintes fois utilisée pour expliquer qu’il ne pensait pas qu’il y aurait une seconde vague. Cette courbe est connu de tous les épidémiologistes. C’est un modèle robuste qui s’est à chaque fois vérifié. Comment se fait-il alors que notre ministre ait eu cet éclair de clairvoyance ? Il n’a pas brillé depuis le début par son sens de l’anticipation, c’est le moins qu’on puisse dire…

Nous pensons avoir la réponse et elle est en lien avec les tests PCR. Nous sommes conscients de ne pas avoir découvert l’eau chaude avec les problèmes de fiabilité des tests PCR, notamment utilisé avec des seuil de 40. Tous les scientifiques utilisant la PCR savent cela. Donc tous les scientifiques intègres ne pourraient nier que les tests PCR utilisés comme ils le sont en ce moment, sauf selon la « méthode marseillaise », ne sont pas fiables et détectent tout. D’ailleurs, cet été, malgré la disparition de la Covid-19 dans sa forme grave, nous continuions à détecter de nombreux cas positifs. Comme une sorte de bruit de fond. Il y avait les tests positifs, mais pas les symptômes. Aujourd’hui, nous avons les tests positifs et les symptômes. Quels sont ces symptômes ? Des rhumes, avec nez qui coule, qui pourtant n’était pas un symptômes de la première version du Covid-19, des courbatures, parfois de la fièvre, voire de l’anosmie et de l’agueusie. Comme nous l’avons déjà, évoqué, ces symptômes ne sont pas caractéristiques du Covid-19 et de nombreuses viroses respiratoires peuvent les engendrer.

Il était dès lors évident que l’automne venu, ces symptômes allaient se démultiplier. Il était donc facile de prévoir, sachant que les tests présenteraient un grand nombre de faux positifs et que le nombre de personnes qui viendraient se faire tester seraient bien plus important, qu’on aurait un épisode épidémique. Comme nous l’avons démontré, cette épidémie n’est que l’épidémie classique des viroses automnales. Elle était prévisible, il n’y a donc aucune clairvoyance de la part de Mr Véran, ni plus des laboratoires pharmaceutiques. Une manipulation qui s’apparente à du délit d’initier. Tellement facile de parier quand on connaît le résultat en avance.

Réponses aux questions posées sur tests PCR

Voir mail avec les questions en fin d’article

Pour répondre à vos questions :

– Comment peut-on être certain que les amorces sont spécifiques au SARS-COV2 (initial mais aussi lequel à travers tous les pays ?) et surtout par rapport à ses mutations actuelles. J’ai notamment cru comprendre à travers l’ étude en annexe que le test actuel réagissait à d’autres coronavirus ?

Pour savoir si les amorces sont spécifiques au SARS-COV2, c’est à dire si elles ne sont s’hybrider que sur le génome de ce virus et pas sur celui de virus apparentés, on peut tout d’abord faire des alignements de séquences grâce aux bases de données qui référencent l’ensemble des séquences des génomes viraux. On cherche ainsi si la séquence des amorces « matchent » uniquement avec le génome du SARS-CoV2 (et avec tous les variants du SARS-Cov2) ou si elles « matchent » aussi avec d’autres génomes viraux. Cette analyse bio-informatique est une première indication. Ensuite on peut tester directement par l’expérimentation: on réalise la PCR avec les amorces choisies sur différents échantillons : SARS-Cov2, autres virus….et on teste ainsi si les amorces n’amplifient que le SARS-cOV2 ou si elles amplifient d’autres virus. Ce qui est préconisé est de choisir des amorces dans des régions très conservées du SARS-Cov2 (pour que la probabilité d’apparition de mutations dans ces régions soient faibles). Oui certaines amorces utilisées dans certains tests réagissent avec d’autres coronavirus mais dans ce cas, il est fait systématiquement 2 PCR consécutives : une avec des amorces qui peuvent aussi réagir avec d’autres coronavirus et ensuite, si le test est positif, une 2e PCR, elle très spécifique du SARS-Cov2.


-Le choix des amorces a-t-il évolué depuis le début de l’année?

Oui, au tout début de l’épidémie, les différents centres de référence de différentes pays ont publié des protocoles « maison » de RT-qPCR avec chacun leur amorces (protocoles disponibles sur le site de l’OMS). Aujourd’hui, il y a, en France, 96 tests différents de RT-qPCR déclarés sur le site https://covid-19.sante.gouv.fr/tests validés par un marquage CE ou par le CNR. Chaque test avec ses propres amorces. 

– Qui décide du choix de ces amorces ?

– Qui (firme et pays d’origine) fournit ces amorces ?

Ce sont les labos ou entreprises biotech qui développent les tests qui font le « design » de leur propres amorces. Il n’y a donc pas une firme ou un pays qui fournit les amorces. Ensuite le test doit être validé par un marquage CE ou par le CNR pour pouvoir être mis sur le marché

Sont-elles les mêmes dans les différents kits commerciaux au sein d’un pays ou de l’ensemble des pays?

Les amorces sont différentes dans chaque kit commercial différent. C’est même en général ce qui différencie un test d’un autre et qui fera qu’un test sera plus sensible ou plus spécifique qu’un autre.

– Quelles sont les procédures de contrôle officielles garantissant que les tests sont faits correctement (notamment avec les tests et calibrages des écouvillons et des équipements de test permettant d’éviter des faux négatifs et faux positifs, avec le respects des procédures sanitaires et types de laboratoires,…) ?

En ce qui concerne l’amplification PCR en elle-même, des contrôles positifs et négatifs sont inclus pour vérifier la qualité de la manipulation. Le prélèvement est un autre problème. La mauvaise réalisation de l’écouvillonnage sera bien sûr un facteur faussant le résultat final.

Cordialement,

Clémence Richetta

——– Message d’origine ——–
Le 21 oct. 2020 à 11:54, alain.flamion < alain.flamion@protonmail.com > a écrit :

Bonjour,

Suite à votre excellente vidéo sur le fonctionnement des tests de dépistage Covid, il y a quelques questions que je me pose et je me permets de vous les adresser.
– Comment peut-on être certain que les amorces sont spécifiques au SARS-COV2 (initial mais aussi lequel à travers tous les pays ?) et surtout par rapport à ses mutations actuelles. J’ai notamment cru comprendre à travers l’ étude en annexe que le test actuel réagissait à d’autres coronavirus ? 
– Le choix des amorces a-t-il évolué depuis le début de l’année?
– Qui décide du choix de ces amorces ?
– Qui (firme et pays d’origine) fournit ces amorces ?
– Sont-elles les mêmes dans les différents kits commerciaux au sein d’un pays ou de l’ensemble des pays?
– Quelles sont les procédures de contrôle officielles garantissant que les tests sont faits correctement (notamment avec les tests et calibrages des écouvillons et des équipements de test permettant d’éviter des faux négatifs et faux positifs, avec le respects des procédures sanitaires et types de laboratoires,…) ?

J’apprécierais beaucoup d’être éclairé sur ces questions par vous et je vous en remercie sincèrement d’avance.

Alain Flamion

Un autre montage vidéo d’Eric Remacle sur les tests PCR

Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave

Un article (41 min de lecture) très intéressant de la psychologue et philosophe Ariane Bilheran à découvrir sur son site arianebilheran.com.

Début de l’article:

Introduction

Depuis le début de cette « pandémie », je n’avais écrit qu’un bref article sur « le totalitarisme sanitaire », ayant besoin moi-même d’y voir suffisamment clair avec du recul pour me prononcer. Néanmoins, nous pouvons reconnaître, à un niveau mondial, avec quelques nuances selon les pays, la griffe d’une contagion délirante paranoïaque qui chaque jour montre davantage son visage odieux.

J’ai raccourci cet article car il y a trop à dire, et je voudrais déjà qu’il paraisse rapidement.

Rappelons-nous que le délire paranoïaque fonctionne sur la persécution, l’interprétation et la tyrannie de l’idéal. La persécution est au cœur de ce qui est divulgué : l’autre est en puissance mon ennemi, car il est en puissance un malade qui va me contaminer. Cet ennemi peut être invisible, et même au sein de l’intime et de la famille. Cette persécution entraîne méfiance, peur et culpabilité (ceux qui dénoncent le bien-fondé de mesures dogmatiques totalement arbitraires et parfois confinant à l’absurde sont désignés comme coupables). L’interprétation est également au cœur du processus : selon l’interprétation de vos paroles, de vos actes, vous serez considéré comme un ennemi du système et censuré (la censure bat son plein sur les réseaux sociaux). Selon l’interprétation de symptômes (très généralistes au demeurant), vous serez classés dans les pestiférés qu’il ne faut pas fréquenter. L’idéal est celui de « sauver l’humanité de la maladie », quel qu’en soit le prix à payer :

  • Effondrement économique (perte de ressources, désespoir, insécurité…)
  • Famines (des millions de personnes pour l’Amérique du sud)
  • Clivages sociaux entraînant une dégradation majeure du climat social, de l’agressivité et de l’insécurité
  • Délaissement des plus vulnérables, voire leur euthanasie (personnes âgées)
  • Etc.

Et quels qu’en soient les moyens :

  • Mensonges
  • Techniques de propagande grossières et influenceurs de masse
  • Censures du peuple, de nombreux médecins et experts scientifiques
  • Violences policières
  • Enfermement généralisé et assignation à résidence (l’individu étant traité comme un criminel en puissance)
  • Chute libre des droits humains fondamentaux
  • Éradication de la conscience humaine, du consentement
  • Maltraitances sur les familles, et en particulier les enfants
  • Etc.

Malheureusement, ce n’est pas la première fois que nous aurions à affronter une tyrannie pseudo-scientifique, où nous est dictée une idéologie visant à modeler nos comportements, nos pensées, nos paroles et nos actes, nous encourageant à devenir délateurs de nos propres voisins et organisant le fichage et le traçage des individus (voir ce poste à la CPAM).

Rappelons que, à supposer que le premier principe soit vrai (un virus très dangereux menace la survie de l’espèce), ce dont l’on peut partiellement ou totalement douter, il ne saurait justifier en aucun cas que la fin justifie les moyens, car comme l’avait magistralement analysé Hegel, un être humain n’est pas un moyen : il est une fin. Ainsi, les logiques quantitatives (sacrifions les vieux pour laisser place aux jeunes), les logiques divisantes (séparons les parents des enfants dans les familles) et totalitaires (mise en quarantaine, menaces, répression totalement disproportionnée…) sont des logiques déshumanisantes ôtant l’être humain de ses droits, et le transformant en numéro sans besoin, désir, ni conscience, que l’on ballotera au gré des formulations politiques (ex. : confine/confine pas) dont il est démontré qu’elles peuvent donc être brutales, mensongères, et sans aucun esprit de débat, de concertation, de dialogue et d’échanges ni avec le peuple ni avec les experts médicaux et scientifiques au sein desquels le soutien aux politiques menées semble loin de faire l’unanimité. « Dans le doute abstiens-toi », est-ce vraiment cette sagesse d’Hippocrate que nous nous voyons appliquer depuis des mois ?

Les politiques mondiales menées sur pression de l’OMS se sont permises de mettre l’humanité à l’arrêt, de stopper le mouvement de la vie du jour au lendemain, en encourageant des méthodes manipulatrices au chantage, à la culpabilité, et à la peur, qui ne sont pas des méthodes politiques convenables, et que nous ne devons pas accepter. A tout le moins pouvons-nous également rajouter que le manque d’équilibre et de mesure, de tempérance et de bienveillance a présidé à ces différentes politiques, avec des couleurs locales variées selon les pays …

Lire la suite …

Statistiques: où est la seconde vague de la pandémie ?

Une pandémie se caractérise par une surmortalité générale. Voyez donc ce graphique montrant le Z-score (surmortalité) dans différents pays d’Europe. Le cas de la Belgique, championne du monde, fait un peu exception avec 3 vagues dont une au mois d’août? Pourquoi ?
Pour les autres pays, pas de 2ème vague sauf petite amorce en Italie et en Espagne (à confirmer).
Source: euromomo.eu

Qui oserait affirmer que ce scénario soit pure mythomanie ?

Après vérifications, ce document ci-dessous provient pas de « Scénarios pour le futur de la technologie et du développement international« , produit en mai 2010 par la Fondation Rockefeller et le Global Business Network.

Il est cependant vrai qu’à partir de la page 18 du rapport de la Fondation Rockefeller on trouve une projection troublante: un scénario de pandémie mondiale d’où est suscité l’enfermement des populations dans un système de surveillance globale qui prend modèle du système communiste chinois.

Toutefois, les présumés extraits ci-dessous, quoique plausibles, ne s’y trouvent pas. Je maintiens cependant cet article d’une part parce que ce document circule et qu’il faut en connaître la nature mais accessoirement pour sensibiliser aux débordements sur lesquelles l’évolution de la situation actuelle (déjà impensable il y a quelques mois) pourrait déboucher si on n’y fait pas attention. L’avenir de la démocratie est vraiment en question.

Quelle est votre limite?

Ce que nous vivons actuellement n’est qu’un début, et comme dans la série Matrix, nous allons vivre le covid 20 et le covid21. Et vous savez pourquoi ? Tout le monde attend NEO… plutôt que de devenir NEO ! Les mauvaises pensées, les sentiments de haine, de jalousie, de colère, de peur, moisissent et pourrissent l’essence même de l’être humain, elles nous asphyxient. le monde est déjà divisé, écartelé, apeuré et la seule manière de garder sa justesse et sa liberté, c’est de refuser catégoriquement les ordres qui ne reposent sur aucune logique claire et précise. On vous a mis des croyances en tête et comme vous n’avez pas encore assez de recul et découvert d’autres angles de vue, il vous est difficile de vous questionner et de remettre en cause ces croyances ! Cependant je vous pose une question : quelle est votre limite ?

La C0VlD-orthodoxie de gauche, ou la pensée de l’essaim.

Extrait de l’Antipresse n° 257 de Slobodan Despot (https://antipresse.net/)

Texte paru dans le magazine Kopp exklusiv 37/2020, pages 5–6, sous le titre «Die Macht des linken Schwarms». Traduit et adapté de l’allemand par le Dr Walter Habicht avec l’aimable autorisation de l’éditeur.

On l’aura remarqué: la gauche institutionnelle, partout en Europe, est à la pointe de la stratégie de la peur et milite pour la censure de tout débat sur la gestion du Covid. Quelqu’un donne-t-il des ordres pour que tant d’éditorialistes et de politiques disent et pensent la même chose au même moment? Non, explique l’éditeur et analyste Werner Reichel: un essaim, un vol d’oiseaux ou un banc de poisson se pilote sans tête. L’important est de ne pas se détacher de l’essaim (1).

Les gauchistes prêtent aux adversaires de la dictature sanitaire des idées aussi simplistes que les leurs

Dans les débats sur le Coronavirus, tous les citoyens qui mettent en doute les politiques actuelles sont globalement dénoncés comme nostalgiques du Reich, comme extrémistes de droite, ou encore comme «covidiots» (selon Mme Merkel, après les grandes manifestations de Berlin) et complotistes.

Sur le site d’une radio allemande officielle, la Mitteldeutscher Rundfunk (MDR), on peut lire un article de niveau boulevardier intitulé «Les mythes complotistes les plus dingues au sujet du Covid – voilà pourquoi ils sont faux». Et: «En Allemagne, la presse est libre, et pour cette raison on y a le droit de répandre même des théories du complot, en partie complètement délirantes.»

La censure remplace les arguments

Mais dans les milieux de gauche, depuis de début la crise du coronavirus, les libertés des citoyens n’ont plus la cote. La MDR les voit avant tout comme un obstacle pour la lutte contre une infection supposée très dangereuse. On ne veut pas s’abaisser à entrer en matière avec les critiques de la politique sanitaire. Les arguments et les faits soi-disant à disposition du «bon côté», sont trop bancals. Aussi l’on réclame de plus en plus bruyamment la censure et l’interdiction des réunions. Les «corona-négationnistes» dérangent, ils font obstacle à la transformation gauchiste de la société, transformation qui avance bon train depuis le début de la crise. Les «covidiots» dérangent le jeu des gauchistes, qui ont vu dans le Covid un game-changer.

Dès lors, on essaie de ridiculiser les opposants comme «complotistes» afin de pouvoir les exclure du débat public. On ne trouve pour ainsi dire de critique approfondie de la politique du coronavirus que dans les canaux internet à l’écart des médias «officiels». Ces derniers fonctionnent désormais comme simples porte-voix du gouvernement. Tout individu qui suspecte que des pouvoirs et des gens mal intentionnés tirent les ficelles en coulisses doit être un idiot, et par conséquent on peut l’exclure de la discussion publique.

Tout le monde dans le même sac

On attribue aux opposants politiques des attitudes et des convictions caricaturales qu’ils ne partagent pas, sauf une très petite frange d’entre eux. Les critiques actuels de la gestion du Corona appartiennent à des camps politiques, des milieux sociaux et des courants de pensée extrêmement variés. On fait croire que tous dont convaincus d’une conspiration mondiale planifiée et gérée par une personne seule ou une petite clique. Ceci est, bien sûr, une conception bien trop simpliste du fonctionnement réel du pouvoir. Il y a quelques individus isolés qui le croient, mais pour la grande plupart des corona-critiques, cela n’est pas le cas.

Les gens de gauche n’imaginent en aucun cas qu’eux-mêmes puissent faire partie d’une semblable «conspiration»: jamais un «personnage obscur» ne les a invités à une rencontre de coordination. Le gauchiste moyen est, tout au contraire, fermement convaincu d’avoir une opinion indépendante, non influencée par autrui, et qu’il affirme inébranlablement. Il se voit comme un résistant actif à une domination droitière qui n’existe que dans l’imagination des médias et des milieux de gauche. Le pigiste de la presse de grand chemin, le prof de lycée, la cadre du parti des Verts ou encore le préposé aux questions de genre le croient vraiment. Les gauchistes considèrent les idées de la conspiration des covidiots comme aussi simplettes que les leurs propres.

Mais en vérité, la gauche et les opportunistes font effectivement partie – non pas d’une conspiration – mais de l’État profond, donc d’un réseau politique, d’un très grand mouvement social, et qui est d’une grande longévité. Qu’ils en soient conscients ou non.

L’État profond n’a pas besoin de meneurs qui tirent les ficelles. Il n’a besoin de personne pour diriger le réseau de façon centralisée. Il a justement ceci de typique qu’il est indépendant des personnes et des intérêts particuliers. L’État profond, ce sont les forces qui définissent l’orientation de l’évolution sociétale indépendamment du pouvoir politique du moment. Il fonctionne comme un vol d’oiseaux ou un banc de poissons.

Quand l’esprit de meute sert de GPS

Un vol d’oiseaux ou un banc de poissons n’ont pas de meneur. Personne n’explique à la sardine ou à l’hirondelle individuelle ce qu’elle doit faire. Un banc de poissons se forme et fonctionne sans chaos parce que chaque petit poisson sait instinctivement quel mouvement ou quel changement de direction il doit accomplir. Chaque sardine se cale sur le comportement de ses voisines immédiates. Celle qui sort du banc risque d’être dévorée par des prédateurs.

Cette peur fatale du petit poisson est partagée par la grande majorité des humains. Eux aussi ont peur de sortir du banc, d’attirer l’attention de gens qui désapprouvent leurs avis «contestables» dans leur entourage social. Tout comme pour la petite sardine, leur écart pourrait avoir des conséquences fatales. Qui veut rester dans le banc et avoir un futur, suit tout mouvement du banc sans beaucoup y réfléchir.

Pour cette raison, le petit rédacteur, l’institutrice, l’acteur ou le fonctionnaire, ne voulant pas être exclus ou entrer en collision avec les autres membres du banc, savent bien ce qu’ils doivent faire, quand et dans quelle situation. Pour cela, ils n’ont besoin ni d’ordres, ni d’instructions, ni de consignes, ni d’ententes secrètes ni de conspirations.

Autrement, ils ne maintiendraient pas leur position dans le vol. La bonne tenue dans l’essaim, on l’apprend depuis l’enfance. D’ailleurs, cela n’a rien a voir avec une «intelligence collective» (Schwarm-Intelligenz) qui, comme telle, n’existe pas. Un média de grand chemin n’a besoin de personne pour lui dire ce qu’il doit écrire sur les manifestations anti-Covid à Berlin, personne ne doit expliquer à une vedette de la télévision comment elle doit commenter les événements dans le contexte du virus ou de la migration. Aucun expert médiatisé n’a besoin des instructions d’un supérieur pour savoir dans quel sens orienter son analyse. De même monsieur tout le monde, lui aussi, sait instinctivement ce qu’il a le droit de penser et de dire.

Qui ne nage pas avec les autres poissons n’est plus membre du banc, mais un «covidiot». Dans les sociétés européennes, les bancs de gauche sont de loin les plus massifs. Depuis les années post-soixante-huit, ils ont pénétré à fond tous les secteurs cruciaux de la société, tels que médias, administration, culture, justice, science, société civile ou églises.

Peu importe en principe qui est chef d’état en Allemagne. Peu importe qui est chef de la télévision publique ou qui est nommé évêque.

Même en Autriche, où pour un bref moment un gouvernement de droite conservatrice aura été au pouvoir, ceci n’a rien changé, ou bien peu de choses, à la prédominance de la mentalité de gauche dans le pays et dans la vie des citoyens. On ne peut donner de réponse à la question de savoir si ce sont les médias qui influencent les politiciens ou si les politiciens définissent la ligne des médias. Les deux camps s’adaptent l’un à l’autre selon la situation.

On l’a bien vu quand le banc gauchiste est parti en hystérie en 2015 avec son «refugees welcome». Le plus grand danger pour le banc de gauche est que de plus en plus d’éléments s’en détachent furtivement. La force du banc réside uniquement dans sa taille. C’est pourquoi l’establishment politique et les autres membres du banc manifestent une réaction violente et agressive à la critique et à l’opposition montante contre la corona-politique. Ils sont affolés par les grandes manifestations à Berlin rassemblant des milliers de citoyens, alors même qu’on avait actionné tous les leviers pour casser le mouvement. Un banc concurrent est en train de se former, qui met en danger les buts et les intérêts de l’État profond.

Ne pas lâcher le contrôle du récit

On a dépassé de loin la question du virus et de la lutte contre une maladie particulière. L’enjeu tient dans la maîtrise narrative (Deutungshoheit, «souveraineté intellectuelle», NdT) de la crise. Les gauchistes ont reconnu dans le coronavirus une rare occasion de réaliser rapidement et sans détours leurs plans socialistes d’économie planifiée, de dépossession, de limitation des droits et de contrôle total des citoyens. Aucun leader politique ou intellectuel de la gauche n’a sonné la charge. Le banc de gauche s’est orienté spontanément.

Le processus est intéressant à observer : au début de la crise du coronavirus, la gauche ne savait pas encore comment se positionner face à la pandémie. Le banc montrait une réaction chaotique et hétérogène. Au début, de nombreux gauchistes disaient que le Covid-19 n’était pas plus dangereux qu’une grippe de type influenza – par exemple, le ministre de la santé autrichien, Rudolf Anschober, du parti des Verts. D’autres estimaient que la droite pourrait instrumentaliser le coronavirus pour remettre en selle l’État nation, tellement détesté par la gauche, et qu’il ne fallait fermer les frontières en aucun cas.

Mais les gauchistes ont vite compris ce qu’ils devaient faire et comment exploiter la peur du virus. Ils n’avaient besoin de nul, chef suprême ou tireur de ficelles. Ils ont réagi comme un banc de poissons. Mais chaque poisson de gauche, si insignifiant soit-il, se prend pour quelqu’un d’important, d’autonome et de novateur. Les covidiots, nageant à l’écart de ce banc de poissons, dérangent cette prétention. Hormis la quête et le maintien du pouvoir, ceci est probablement l’explication principale de cette réaction aussi agressive des médias et des politiques face aux «covidiots», aux «complotistes» et aux «extrémistes de droite».

Texte paru dans le magazine Kopp exklusiv 37/2020, pages 5–6, sous le titre «Die Macht des linken Schwarms». Traduit et adapté de l’allemand par le Dr Walter Habicht avec l’aimable autorisation de l’éditeur.

Photo James Wainscoat sur Unsplash.

Note
  1. Le terme exact serait l’essaim (Schwarm). En allemand, ein Vogelschwarm = une volée d’oiseaux, ein Fischschwarm = un banc de poissons, die Schwarmintelligenz = l’intelligence collective. (NdT)